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CULTURE IL éTAIT UNE VOIX FESTIVAL DES ARTS DU RéCIT 28 SEPT. > 31 OCT. 2013 16 communes de Lot-et-Garonne Tous publics à partir de 12 ans SPECTACLES GRATUITS www.cg47.fr

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CULTURE

IL éTaIT UnE voIxfEsTIvaL dEs aRTs dU RéCIT

28 sEpT. > 31 oCT. 2013 16 communes de Lot-et-GaronneTous publics à partir de 12 ansspECTaCLEs GRaTUITs

www.cg47.fr

« Une heure de lecture est le souverain remède contre les dégoûts de la vie » écrivait Montesquieu. Et cependant, la frénésie de la vie d’aujourd’hui, le règne de l’urgence et des média audiovisuels nous conduisent trop souvent à délaisser le livre.

C’est pourquoi, plus que jamais, la lecture doit retrouver toute sa place dans l’espace public. C’est l’ambition partagée du Conseil général en collaboration avec les bibliothèques des communes et intercommunalités de Lot-et-Garonne.

En imaginant le Festival des arts du récit, nous avons voulu redonner ses lettres de noblesse à un art populaire ancestral, malheureusement quelque peu négligé dans notre société contemporaine. Je veux, bien entendu, parler du conte, ce style littéraire qui mélange écriture et oralité.

Mais, ce festival ne serait pas possible sans l’engagement exemplaire des bibliothèques du département et de leurs animateurs qui consacrent une énergie remarquable pour organiser les spectacles. À cet égard, il me faut souligner l’effort conséquent d’un grand nombre de communes pour moderniser ou construire une nouvelle bibliothèque. Ces réalisations sont le fruit d’un partenariat fructueux avec le Département qui, grâce au nouveau schéma culturel, peut désormais aider plus généreusement les collectivités qui décident d’investir en faveur de la lecture publique.

Qu’il me soit enfin permis de féliciter les artistes conteurs qui ont répondu présents pour cette 5e édition du festival. Parmi eux, certains comme Bernard Barbier ou Sébastien Bertrand ne se sont jamais produits dans notre département. D’autres, tels Daniel L’Homond, Rachid Bouali, Rémy Boiron ou encore la Compagnie Pierre Debauche sont bien connus et appréciés du public lot-et-garonnais. D’autres encore comme Frédéric Naud et Jérôme Rouger nous offriront cette année l’occasion de redécouvrir leur grand talent.

Le Festival des arts du récit « Il était une voix » est totalement gratuit. C’est une volonté forte du Conseil général de préserver une culture familiale, conviviale et accessible au plus grand nombre.

Bon festival à toutes et à tous !

Claire pasut, Vice-présidente du Conseil général,

en charge de la Culture

édito

SPECTACLE D’OUVERTUREsamedi 28 septembre 2013 sainte-Livrade-sur-Lot - 20 h 30Salle polyvalente – La Gravade

Réservation conseillée : Mairie - Tél. 05 53 49 69 00 ou Bibliothèque départementaleTél. 05 53 40 14 40

Rachid Bouali arpente la scène comme si sa vie en dépendait… Comédien, conteur engagé et virtuose de la parole, il nous propose de l’accompagner dans un monde où les passions humaines sont autant de prétextes à l’émotion et au rire ! Comédien professionnel depuis 1988 (Hem, Caen, Lille…), Rachid Bouali est admis en 1993 à l’École Lecoq à Paris, où il étudie diverses techniques théâtrales : clown, pantomime, conte, chœur tragique, mélodrame…Deux ans plus tard, diplômé, il crée « Contes à Cachichi » à partir de contes traditionnels du monde entier avec Nouredine, son frère percussionniste.

« Un jour, j’irai à vancouver »C’est l’épopée de quatre ados d’une cité, quatre évadés de l’inertie, de la morosité, qui décident d’aller voir ailleurs... au cas où ils y seraient.Sur leur chemin, ils rencontrent Sophocle et se retrouvent malgré eux sur les planches. Une quête commence alors, celle d’un nouveau monde où le théâtre devient leur Amérique, leur eldorado.Un récit épique et autobiographique que Rachid Bouali nous livre avec humour et émotion.

Rachid Bouali

Lionel Antoni

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2, 3 et 4 octobreMercredi 2 octobre : saint-antoine-de-ficalba - 20 h 30Salle des fêtes – Place du foirailTél. 05 53 41 70 98 (mairie)Tél. 05 53 70 97 69 (bibliothèque)

Jeudi 3 octobre : samazan - 20 h 30 Salle d’animationTél. 05 53 20 63 16 (mairie)

vendredi 4 octobre : Laplume - 20 h 30Foyer rural – 1, place E. LabatTél. 05 53 95 10 16 (mairie)Tél. 05 53 87 77 20 (bibliothèque)

Sébastien Bertrand, directeur artistique de la Compagnie des Arts d’hier pour Aujourd’hui, est né au Liban le 23 janvier 1973. Il construit depuis plusieurs années une œuvre inédite, entre tradition et éclectisme, entre ici et là-bas. Bébé, il est adopté par une famille vendéenne baignée par le folklore. Il s’intéresse aux danses traditionnelles et joue de l’accordéon pour des ensembles locaux, devenant rapidement un spécialiste des traditions musicales.

« Chemin de la Belle étoile »Le bonheur d’être de là-bas et de là« Le bruit, y a du bruit partout, les enfants, la ville, les klaxons dehors. Sœur Joseph s’assoit devant les archives de l’orphelinat, devant une armoire métallique grise, tire les dossiers triés par ordre alphabétique. B comme Bertrand ou Bouchara… »

En mars 2008, avec Yannick Jaulin, Sébastien Bertrand revient au Liban pour la première fois depuis son adoption, il y a 35 ans. Un an plus tard, le spectacle « Chemin de la Belle Étoile » est créé. Sébastien Bertrand explore en musique sa trajectoire de vie, de Beyrouth à Saint-Jean-de-Monts. Il raconte, sur un texte de Yannick Jaulin, la nécessité de dire les retrouvailles, le bonheur d’être de là-bas et de là ! De le dire avec des mots, avec l’accordéon, avec la danse, en explorant - presque en interaction avec le public - l’art du conte. Son conte. On en ressort debout grâce à l’amour.

sébastien Bertrand

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8 et 23 octobreMardi 8 octobre : Castillonnès - 20 h 30Salle des Fontaines (La Fevrette)Tél. 05 53 01 75 33 (bibliothèque)Tél. 05 53 36 80 49 (mairie)

Mercredi 23 octobre : Mézin - 20 h 30Théâtre « Côté cour » – Cour des religieusesTél. 05 53 65 07 57 (bibliothèque)Tél. 05 53 65 77 46 (office Sud’Albret)

Fondée en 1982 à Paris, la Compagnie Pierre Debauche voyage à travers la France : elle dirige le Centre national dramatique de Bretagne pendant quatre ans, fonde l’École supérieure d’Art dramatique de Paris, puis s’installe pour de bon à Agen en 1993, créant le Théâtre du Jour.

« Le chant du cygne ou les 150 miroirs »inspiré d’Anton TchekhovTout commence par une saynète tragique d’Anton Tchekhov, Le Chant du cygne. Un vieil acteur, Cyril, qui a trop fêté la dernière d’une pièce, s’endort dans sa loge et se laisse enfermer dans le théâtre. À son réveil, en compagnie de ses deux complices, Piotr et Alicia, il évoque sa vie de comédien et leurs souvenirs de scène.Puis rapidement Cyril redevient Pierre Debauche  ; Piotr, Robert Angebaud et, bien sûr, Alicia, Françoise Danell : vision des deux côtés du miroir qu’est le théâtre.Et tout aussi rapidement, la nostalgique évocation de Tchekhov devient un hymne à l’art dramatique.Pierre Debauche se souvient d’un festival où il fut invité comme conteur de la mémoire du théâtre et de la tradition orale, ce qui l’a amené à faire revivre dans le même esprit plus d’un demi-siècle de scène de l’après-guerre à nos jours.Et des extraits de chefs-d’œuvre aux récits de souvenirs vécus s’enchaîne une superbe évocation qui, de Dullin à Jouvet mais aussi de Vilar à Blin ou de Maria Pacôme à Marthe Mercadier, constitue une anthologie passionnée mais souriante de cette extraordinaire période où tant de talent a croisé tant d’innovation.

La compagnie pierre debauche avec Robert Angebaud – Françoise Danell – Pierre Debauche

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10 et 11 octobreJeudi 10 octobre : saint-sylvestre-sur-Lot - 21 h Salle des fêtesTél. 05 53 41 24 58 (mairie)Tél. 05 53 01 96 84 (bibliothèque)

vendredi 11 octobre :damazan - 20 h 30Salle polyvalente – Rue Larrey Tél. 05 53 79 40 15

Formé à l’expression corporelle et à la danse classique au conservatoire de Bordeaux, au mime avec Jean-Bernard Laclotte et des élèves de Marcel Marceau, il pratique ensuite la danse contemporaine et la Commedia dell’arte dans des compagnies professionnelles, dirigeant pendant dix ans la compagnie Le Corps et la Parole. Enseignant éclectique (enfants, jeunes sourds, public en insertion, traumatisés crâniens….), il se produit au Festival off d’Avignon depuis 1999 (Prix Tournesol du Spectacle vivant et Devos d’or).

« Tu seras un homme »« Le Néolithique, c’est le grand tournant. C’est le moment où, comment dire, l’homme commence à dominer la nature et son environnement… et, peu à peu, être conscient de cette domination. Bon, on sait tous que ça lui a un peu tourné la tête et qu’il n’y a pas fait toujours que du beau, ni pour le monde, ni pour lui-même…Heureusement, avant-hier, hier et encore aujourd’hui, il existe ici et là de simples humains aux parcours tellement incroyables, qu’on pourrait presque encore croire à une forme de beauté de l’humanité.J’en ai croisé quelques-uns, et vous livre dans un partage tout simple leur témoignage. »

Rémy Boiron

Rémy Boiron

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12 octobresamedi 12 octobre : Montpezat-d’agenais - 20 h 30Salle des fêtesTél. 05 53 95 02 14 (mairie)

Né en 1952 en Auvergne, passionné de musiques traditionnelles et de violon, c’est à 26 ans qu’il fait ses premiers pas sur scène. En 1982, dans le Lot, il croise le chemin de la compagnie de cirque Pince Lune et gratte cul et devient professionnel en 1986 avec un numéro de clown visuel « Le vidéo clown », mis en scène par Christian Coumin. Ce spectacle est présenté au Festival d’Avignon et fait le tour du monde.Fréquentant déjà l’univers du conte à travers ses connaissances et au cours de festivals, il rencontre Kamel Guennoun qui lui ouvre les portes du conte professionnel.

« après le déluge »Contes de la mer, de marinsAprès le déluge, Noé avait embarqué ses trois fils et leurs femmes sur l’arche. Quand les eaux sont descendues, ils ont repris la navigation et chaque fois qu’ils découvraient une nouvelle terre, ils débarquaient des animaux. Noé a navigué au hasard et quand ils ont fini par trouver un port de pêche qui leur plaisait, ils s’y sont amarrés ! Noé était un homme bon et sage, respectueux de la nature. C’était un homme de lumière qui connaissait le langage des animaux…Hélas, également grand amateur de vin, il passait beaucoup de temps à l’auberge du port et petit à petit, il finit par oublier le monde qui l’entourait ! Ne supportant plus de le voir ainsi, ses fils décidèrent d’agir ! En vain ! Car au lieu de le ramener à la raison, Noé reprit la mer avec trois vieux amis marins aussi buveurs que lui.Pendant ce voyage incertain, les marins se raconteront des histoires… Le voyage se terminera, ô hasard des hasards, ô merveille des merveilles, dans un pays de vignes !

Accompagné à la harpe par Rébecca Féron

Bernard Barbier

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22 et 23 octobreMardi 22 octobre : Meilhan-sur-Garonne - 20 h 30Maison du Temps Libre Jean-FenouilletTél. 05 53 94 30 04 (mairie)

Mercredi 23 octobre : fumel - 20 h 30Centre culturel – Lieu-dit « Cauquillou »Tél. 05 53 40 46 76(service Culture, Fumel Communauté)

Dès sa naissance en 1969 dans le Maine-et-Loire, Frédéric Naud apprend le métier de « rêveur public » : repriser les rêves anciens avec de la mémoire fraîche. Une silhouette de jeune homme soulignée par des souliers rouges, une voix au timbre profond, un regard planté dans le vôtre, Frédéric Naud est prêt à en découdre avec Dieu, mêlant ses souvenirs d’enfance aux questionnements de l’homme qu’il est devenu, imposant en douceur sa présence aux adultes comme aux jeunes.Au début des années 90, Frédéric Naud s’installe en Nouvelle-Calédonie, s’initie au conte avec Saoulo Helloa, conteur canaque. La mélopée des vieux récitants canaques, ancestrale, simple, imprègne aujourd’hui encore ses histoires. Après la rencontre avec Henri Gougaud, il travaille à une trilogie sur son enfance et son village natal : Ma Mère l’Ogre, Le Grand Merdier  et Le Sourire du Fou (2002-2008).

« Le Grand Merdier » L’histoire d’un vieil homme et de son petit-fils qui vivent furieusement malgré la mort qui rôdeLorsqu’on balance une vieille voiture, tous feux allumés, dans le Grand Merdier, ce trou béant derrière le mur du cimetière de Villedieu-la-Blouère, il faut compter jusqu’à 666 pour que disparaissent les lumières. Quant au fracas de la chute, on peut toujours attendre  ! Le Grand Merdier avale tout en silence. C’est comme les ouvriers ; ils ravalent leur désespoir, sans bruit ou presque, quand ferme la dernière usine à chaussures du village. Il faudra la rage d’un vieil homme et la naïveté d’un enfant pour oser la descente dans le Grand Merdier.Au rythme ardent du tango, l’histoire d’un don total et d’un fabuleux plongeon.« Le Grand Merdier » est un spectacle sur la fin des choses.

Accompagné au chant et à l’accordéon par Jeanne Videau

frédéric naud

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Jacques-Olivier BADIA

26 octobresamedi 26 octobre : pont-du-Casse - 20 h 30Centre culturel – Balade Tél. 05 53 67 56 09 (bibliothèque)Tél. 05 53 67 96 41 (mairie)

S’il existait une famille pour les comédiens équivalente au rock’n’roll pour les musiciens, Jérôme Rouger en serait : un souffle, une énergie semblable, une même attirance pour la liberté. Dans une langue fraîche et poétique, naïve et inattendue, il s’amuse avec les codes du spectacle, nous rappelant que tout système peut à la fois exalter et broyer l’identité.Pour La Martingale, il écrit et crée « Police Culturelle » (théâtre de rue). En 2003, il écrit et joue « Trapèze » flânerie verbale humoristique, avec la collaboration de Bertrand Suarez-Pazos et Jean-Pierre Mesnard (Premier prix du festival du théâtre solo Coup de Chapeau, Toulouse). En 2005, il crée « Furie » (avec Jean-Pierre Mesnard) ; après un passage par Avignon et Paris, il écrit et crée « Je me souviens ».

« Je me souviens »S’inspirant du procédé employé par Perec dans son roman Je me souviens, Jérôme Rouger évoque des souvenirs puisés dans sa propre enfance. Reposant sur ce collectage intime qui résonne de façon universelle, ce « Je me souviens » est un spectacle qui relie les générations avec malice, émotion et tendresse. C’est surtout un moment de bonheur partagé, frais et revigorant, où le décalage et l’humour font bon ménage.

“J’ai écrit des «  Je me souviens » issus de mon enfance et de mon adolescence. Ces « petits morceaux de quotidien » se situent approximativement entre 1975 et 1988. Pendant que je dis, joue, scande ces « Je me souviens », des photographies sont projetées en fond de scène. Ces images ne sont pas directement illustratives du propos. En décalage ou en contre-emploi, elles appuient le texte ou produisent un sens nouveau. Une grand partie du travail d’écriture fut d’ailleurs d’élaborer l’écart entre ce qui est dit et ce que l’on voit à l’écran. Comme j’ai grandi à Terves, à côté de Bressuire, dans les Deux-Sèvres, ces « Je me souviens » évoquent très largement ce village et cette région dans ces années-là. Il ne s’agit pourtant pas d’un spectacle régionaliste, mais bien d’une balade dans le quotidien d’un enfant qui a grandi à cet endroit-là, à cette époque-là… d’une visite dans notre mémoire individuelle et collective.“

Jérôme Rouger

Jérôme Rouger

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19, 29, 30 et 31 octobresamedi 19 octobre : « Le Bestiaire » Boé - 20 h 30Espace François Mitterrand - Tél. 05 53 98 75 31 (médiathèque)

Mardi 29 octobre : « pampeligòsse » saint-pardoux-Isaac - 20 h 30 (en partenariat avec la bibliothèque de Miramont-de-Guyenne) - Salle des fêtes - Tél. 05 53 93 22 51

Mercredi 30 octobre : « vide-greniers » Lévignac-de-Guyenne - 20 h 30 Salle Plancher (derrière la mairie) - Tél. 05 53 83 72 11 (mairie) – Tél. 06 33 93 65 44 (bibliothèque)

Jeudi 31 octobre : « pampeligòsse » Monflanquin - 20 h 30 (Communauté de communes des Bastides en Haut-Agenais – Périgord)Salle des Consuls – Place des Arcades - Tél. 05 53 36 54 31 (médiathèque) – Tél. 05 53 36 40 05 (mairie)

Une langue poétique, périgourdine, émaillée d’humour… L’Homond conteur-créateur embarque sans peine l’auditoire dans ses histoires fantasques et fantastiques, aux tons surréalistes  ; la voix chaude et profonde de ce «  rémouleur de mots  » servant alors de guide. Il faut voir et entendre Daniel L’Homond dans ses canevas et ses impros de bluesman, créant l’universalité, mais certainement pas l’uniformité…

« Le Bestiaire »Un revenant se mêle aux convives lors d’une pendaison de crémaillère dans le Sud. Son amour pour Vanille aux Deux Printemps se déclare au fil de son récit. Guêpes, chouette, lézard, chienne, chatte et rhinocéros viennent pimenter son histoire… Burlesque et tragique, merveilleux et fantastique, « Le Bestiaire » est une véritable légende du XXIe siècle.

« pampeligòsse »

Dans le pays imaginaire de Pampeligòsse, voici le périple d’un homme, Pontouquet, qui croit s’offrir de simples vacances… mais qui rencontre en chemin sa véritable quête, croisant autrui, l’Amour, la Mort, la Chance… Les intrigues rebondissent du Japon à l’Espagne, des Tropiques à l’Angleterre, dans une véritable saga humaine traversant les époques, légère mais sérieuse !

« vide-greniers »

En flânant dans le vide-greniers d’un village, le conteur se souvient de ses treize ans avec sa petite amie dans le grenier du café, des voyages à Montevideo déguisés en corbeaux, des cruelles bagatelles d’une géante, des S.O.S «  jeux de rôles  » de l’Enfant Sans Paroles… Voix profonde et accent d’oc, accordéon et chansons viendront bigarrer le conte surréaliste empreint d’humour et de poésie…

daniel L’Homond

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En lien avec les communes de :

Boé, Castillonnès (Communauté de communes des Bastides en Haut-Agenais-Périgord), Damazan, Fumel, Laplume, Lévignac-de-Guyenne, Meilhan-sur-Garonne, Mézin, Monflanquin (Communauté de communes des Bastides en Haut-Agenais-Périgord), Montpezat-d’Agenais, Pont-du-Casse, Saint-Antoine-de-Ficalba, Saint-Pardoux-Isaac (en partenariat avec la commune centre de Miramont-de-Guyenne), Saint-Sylvestre-sur-Lot, Sainte-Livrade-sur-Lot, Samazan.

Carte

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Sainte-Livrade-sur-Lot

Castillonnès

Monflanquin

Fumel

Saint-Sylvestre-sur-Lot

Boé

Pont-du-Casse

Saint-Antoine-de-Ficalba

LaplumeMézin

Samazan

Meilhan-sur-Garonne Marmande

Nérac

Villeneuve-sur-Lot

Agen

Lévignac-de-Guyenne

Damazan

Saint-Pardoux-Issac

Montpezat-d’Agenais

La Baïse

La Gélise

28 septembre sainte-Livrade-sur-Lot / ouverture officielle - 20 h 30 Rachid Bouali « Un jour, j’irai à Vancouver »

2 octobre saint-antoine-de-ficalba / Sébastien Bertrand « Chemin de la Belle Étoile »

3 octobre samazan / Sébastien Bertrand « Chemin de la Belle Étoile »

4 octobre Laplume / Sébastien Bertrand « Chemin de la Belle Étoile »

8 octobre Castillonnès / Cie Pierre Debauche « Le chant du cygne ou les 150 miroirs »

10 octobre saint-sylvestre-sur-Lot / Rémy Boiron « Tu seras un homme »

11 octobre damazan / Rémy Boiron « Tu seras un homme »

12 octobre Montpezat-d’agenais / Bernard Barbier « Après le déluge »

19 octobre Boé / Daniel L’Homond « Le Bestiaire »

22 octobre Meilhan-sur-Garonne / Frédéric Naud « Le grand merdier »

23 octobre fumel / Frédéric Naud « Le grand merdier »

23 octobre Mézin / Cie Pierre Debauche « Le chant du cygne ou les 150 miroirs »

26 octobre pont-du-Casse / Jérôme Rouger « Je me souviens »

29 octobre saint-pardoux-Isaac / Daniel L’Homond « Pampeligòsse »

30 octobre Lévignac-de-Guyenne / Daniel L’Homond « Vide-greniers »

31 octobre Monflanquin / Daniel L’Homond « Pampeligòsse »

Calendrier

Informations pratiques Le festival des arts du récit « Il était une voix » est organisé à l’initiative de la direction de la Culture et de la Bibliothèque départementale de Lot-et-Garonne (Conseil général).

Contact Bibliothèque départementale de Lot-et-GaronneRue du Pont-de-Marot - BP 947301 Villeneuve-sur-Lot CedexTél. 05 53 40 14 40 - Fax : 05 53 70 15 34e-mail : [email protected]/bd47

Licences d’entrepreneur de spectacle n° 2-1020183 et n° 3-1020184