Hygiène et Salubrité du CamerounPour un monde de propreté

HYSACAM

Douala – Yaoundé – Bafoussam – Kribi – Limbe – Penja/Njombe – Sa’a/Obala – Soa – Sangmelima – Dschang - Mbalmayo

HYSACAM

EXPERIENCE D’HYSACAM EN MATIERE DE COLLECTE ET

TRAITEMENT DES DECHETS URBAINS

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• Le parcours• Le métier• Les atouts

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1969: création de la société Hysacam à Douala.

1979: ouverture de l’Agence de Yaoundé à la faveur d’un contrat passé avec la Commune Urbaine de Yaoundé.

Jusqu’au début de la décennie 90, la société est une filiale du Groupe GranJouan, associé de la SITA.

Au milieu des années 90, Hysacam devient une société de droit Camerounais. Mais elle garde un partenariat technique avec la Lyonnaise des eaux.

En 2000, l’entreprise connaît une véritable mutation: au niveau des hommes, du positionnement géographique, du matériel, du savoir-faire, et même de l’ambition.

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Marché /Villes desservies

Jusqu’au début des années 2000: Hysacam opère dans deux villes.

Douala - Yaoundé

En 2006: Elle offre ses services à une dizaine de villes camerounaises: Douala – Yaoundé – Bafoussam – Kribi – Limbe – Penja/Njombe – Sa’a/Obala – Soa - MbalmayoSes camions travaillent également dans les villes de – Sangmelima – Dschang - Tiko

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Ressources Humaines

1969: 133 employés:Quelques cadres occidentaux

2006: 1500 employés permanents: Avec une trentaine de cadres nationaux et internationaux (ingénieurs, spécialistes d’horizons divers…)

2000: 1000 employés:

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Ressources Matérielles

1969: À peu près 10 camions

2006: - 130 camions- 14 engins spécialisés- 4 balayeuses mécaniques

2000: Acquisition de 76 camions neufs

2007: Arrivage de 60 camions

1998: 40 vieux camions

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Quelques chiffres / Résultats

2006: -Plus de 5 millions de personnes desservies dans 10 villes

-3 000 tonnes d’ordures ménagères collectées et traitées par jour

-Plus de 2000 bacs à ordures.

- plus de 8 milliards de francs CFA de chiffres d’affaires.1969:

À peu près 500 000 personnes desservies

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Notre métier: la propreté

Collecte et traitement des déchets solides produits par les ménages; - Nettoiement et balayage des rues , places et marchés;

- criblage des plages, principalement à Kribi et à Limbé;

- Ingénierie urbaine auprès des collectivités.

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La Collecte

- la collecte porte-à-porte;

- la collecte à point fixe (apport volontaires des ménages).

Elle désigne l’ensemble des opérations au cours desquelles le contenu des récipients est déversé dans les bennes de ramassage pour évacuation vers le lieux de traitement. Deux modes de collecte sont principalement utilisés (en fonction du tissu urbain):

Le choix de l’un ou l’autre type de mode dépend du découpage administratif, de la topographie du site, la densité des populations, leurs habitude et le type de voirie.

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Évolution de la collecte à Yaoundé

Année 1999 2002 2004 2005 2006

Secteur de collecte

18 24 30 34 35

Taux de collecte

18 20 40 60 65

Tonnage journalier

350 460 550 700 725

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La méthode utilisée (contractuelle) est la mise en

décharge contrôlée.

Processus:

Contrôle d’acceptation Pesée Déversement

dans les alvéoles

Compactage

Traitement des effluents (lixiviats)

Des analyses sur le comportement mécanique des déchets et les phénomènes

physico-chimiques sont faites tout le long de ce processus .

Le traitement

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Contrôle d’acceptation

Les déchets qui arrivent sont contrôlées du point de vue de leur nature. Ne sont admis que les ordures ménagères et assimilées.

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Les déchets sont ensuite peséesDans le but d’établir une évaluation précise des tonnages collectés et leur répartition géographique.

Pesée

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Dans des casiers spécialement aménagées, les déchets sont déversés, compactés et couverts de terre (à la fin de l’exploitation du casier).

Déversement et compactage dans des alvéoles

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Les effluents générés (en particulier les lixiviats ) par ce procédé sont ensuite captés et traitées avant leur rejet.

Les solutions de traitement ne sont pas entièrement satisfaisantes.

On espère avec les MDP pouvoir également capter et traiter les effluents gazeux.

Captage et traitement des effluents

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- Mise en place d’une unité d’incinération des déchets hospitaliers.

- Projet de compostage.

-Projet de traitement et de captage des effluents gazeux (avec les MDP).

- Projets d’amélioration du traitement des lixiviats (soit par lagunage, soit par assèchement).

Projets en cours

La décharge est un laboratoire en permanence

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Nos atouts

Le pari du social:

- plus de 1500 employés qui ont une rémunération convenable et une assurance maladie à 80%;

- une politique de recrutement à l’affût des compétences locales sortis des meilleures écoles (une douzaine d’ingénieurs de l’ENSPY… des communicateurs sortis de l’ESSTIC…);

- un système de formation continu qui garantit la veille technologique dans l’entreprise;

- une stratégie efficace de prise en compte et de lutte contre le VIH-SIDA.

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Le pari de la maintenance

-Avec 130 camions et 14 engins lourds, la maintenance est un gros défi. Elle est assurée principalement en interne, avec l’appui d’un réseau efficace d’approvisionnement en pièces détachées. - En projet, la formation en continue des mécaniciens et électriciens pour prendre en considération l’automatisation poussées des camions et des équipements.

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Le pari de la communication

HYSACAM apporte un appui à ses partenaires dans leur démarche de communication et de sensibilisation. L’information et l’éducation sont en effet de précieux atouts en matière de développement durable.

Le contrat de confiance

Le dialogue citoyen

Le permis à points

Bosangi – Mfuban Ysaac..

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Le pari de l’avenir….

- une remise en question permanente des choix et des stratégies;

- un souci permanent d’amélioration du service (démarche qualité et recherche de la certification

- des partenariats solides (VEOLIA…)

- une ouverture sur le monde de la recherche technologique, avec la mise en place d’un Département spécialisé dans l’Ingénierie urbaine dont l’une des missions est de travailler en étroite collaboration avec les Etablissements Technologiques.

- Conquête de la sous – région