Développement humain Niveau trois

Bureau de bien-être et de prévention 19/06/2015

Aperçu du programme du cours de niveau trois Page 1 Instructions pour réaliser l’évaluation Page 2 – 3 Instructions pour les adaptations et modifications

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Cours Page 5 – 60 Instructions d'évaluations Page 61

Écoles publiques de Milwaukee

Bureau du bien-être et de prévention

Programme de développement humain Cours de Niveau trois

APERÇU

Unité 1 – Relations

• Cours 1-Familles, compétences d'écoute et coopération • Cours 2-Familles et responsabilités • Cours 3-Amitiés

Unité 2 – Société et culture

• Cours 4-Respecter les autres • Cours 5-Influences des médias

Unité 3 – Compétences personnelles

• Cours 6-Communication et résolution des conflits • Cours 7-Émotions • Cours 8-Valeurs • Cours 9-Prise de décision et compétences de refus

Unité 4 – Développement humain

• Cours 10-Image du corps • Cours 11-Anatomie • Cours 12-Intimité corporelle

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Écoles publiques de Milwaukee Bureau du bien-être et de prévention

INSTRUCTIONS POUR RÉALISER L'ÉVALUATION

• Utilisez le Formulaire de suivi d'évaluation ci-joint ; faites-en des copies selon vos besoins.

• Chaque niveau scolaire du cours HGD a une pré-évaluation et une post-évaluation ainsi que deux évaluations/questionnaires supplémentaires qui peuvent être utilisés pour les évaluations formatives ou sommatives.

• Le formulaire de suivi d'évaluation doit être soumis au directeur de l'école.

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AV= AVANCÉ : L'élève effectue cette tâche à un niveau avancé et son niveau est nettement supérieur à la norme EXP= EXPÉRIMENTÉ : L'élève effectue cette tâche avec confiance et de façon cohérente et conforme à la norme BA= BASIQUE : L'élève s'améliore dans cette compétence ou ce comportement, mais il se trouve en dessous de la norme MI= MINIMAL : L'élève commence à développer cette compétence ou ce comportement, mais il se trouve à un niveau nettement inférieur à la norme

HGD niveau trois Nom de l'école : _________________ Nom de l'enseignant : _____________ Nb d'élèves ___________.

Pré-

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UInstructions pour les adaptations et modifications, niveaux 3-5 Il est de notre responsabilité d'éducateurs de nous assurer que les élèves ont accès au programme ou aux

informations que nous présentons, ainsi qu'à un moyen de démontrer leur compréhension. Il est important de réaliser que ce programme peut être compris différemment par certains élèves.

Les modifications pour les élèves handicapés comprennent, sans que cette liste soit exhaustive : Instructions : les modifications constituent des éclaircissements sur les instructions et sont distinctes des modifications relatives aux éléments de test. (Exemples : utilisation de la langue des signes pour les instructions, explications ou la clarification des instructions, etc.) Présentation du contenu : les modifications permettent de donner une évaluation à un élève dans un format différent ou un mode d'accès qui peut être auditif, multisensoriel, tactile ou visuel. (Exemples : gros caractères, enregistrement audio, Braille, etc.) Réponse : les modifications permettent à un élève de répondre à chaque élément d'un test ou d'organiser son travail en utilisant un dispositif d'assistance. (Exemple : l'élève répond oralement à un scribe qui documente les réponses de l'élève, l'élève utilise un organisateur graphique, etc.) Cadre : les modifications permettent à un élève de passer une évaluation dans un endroit ou un environnement différent de celui du reste de sa classe. (Exemple : tests individuels, l'élève reste debout ou se déplace pendant les tests, etc.) Calendrier/Planification : les modifications augmentent la durée autorisée pour une évaluation, ou changent la façon dont le temps est organisé. (Par exemple du temps supplémentaire, des tests sur plusieurs jours, etc.)

Exemples de sujets de préoccupation :

Méthodes envisageables pour répondre à ces besoins :

ULecture/ÉcritureU- L'élève éprouve des difficultés à lire des instructions, du contenu et/ou à terminer une activité.

• Fournissez-lui un Live Scribe Pen contenant des directives et expressions préenregistrées sur les fiches d'exercice ; peut également être utilisé pour la prise de notes.

• Fournissez une lettre/des bandes sonores et des lignes numériques pour soutenir les élèves qui ont des difficultés avec la reconnaissance des lettres, mots et chiffres.

• Chargez tout le texte à lire sur un lecteur de texte. • Fournissez une visionneuse de lecture colorée pour faciliter la

concentration, la fluidité et la compréhension générale. • Créez/fournissez une banque de mots basée sur des mots ou mots clés

discutés au préalable ; ceci s'avère utile pour les élèves ayant un vocabulaire limité ou une orthographe faible.

• **Utilisez l'un des nombreux outils disponibles sur Premier (voir document relatif à l'utilisation de Premier avec le programme HGD pour plus d'informations et de détails)

UMotricité fineU- L'élève éprouve des difficultés de préhension du papier, des ciseaux ou d'accessoires d'écriture lorsque la tâche nécessite de dessiner, d'écrire ou de manipuler du papier.

• Fournissez des manchons de crayon. • Utilisez un tableau à étiquettes laminé. • Des ciseaux adaptés. • Fournissez des images des catégories à dessiner (taille, forme, couleur

variées). Autorisez les élèves à découper et coller. • Autorisez l'utilisation d'une tablette tactile. • Logiciel de reconnaissance vocale.

ULangue/CommunicationU- L'élève a de la difficulté à verbaliser et/ou exprimer ses pensées. **Contactez le phoniatre/l'orthophoniste pour plus d'informations à ce sujet

• Fournissez à l'élève des supports visuels pour encourager la communication. • Vous devrez peut-être utiliser un dispositif de synthèse vocale pour faciliter

la communication. **Remarque : nous venons d'énumérer tous les outils permettant d'aider l'apprentissage et pouvant être utilisés par n'importe quel élève. Si un élève souffrant d'un handicap a besoin de l'un de ces outils, celui-ci devient alors une technologie d'assistance. Contactez l'équipe Assistive Technology par courriel à 23TUatteam@milwaukee.k12.wi.usU23Tsi vous voulez plus d'informations ou si vous avez des questions concernant la nécessité éventuelle d'une technologie d'assistance pour un élève. Le site Web Assistive Technology est une excellente ressource. Veuillez vous rendre sur 23Thttp://www5.milwaukee.k12.wi.us/dept/at/23T ou 23T www.mpsmke.com/at 23T pour plus d'idées.

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Nom de l'unité : Relations Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 1 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Boogie du Corps » - Familles, compétences d'écoute et coopération Normes nationales de l'éducation sanitaire Objectif principal Norme 4 – Communication interpersonnelle Les élèves démontreront des compétences de communication interpersonnelle qui leur permettent d'améliorer leur santé et de réduire ou éviter les risques sanitaires. Objectif secondaire Norme 1 – Concepts Fondamentaux Les élèves vont appréhender les concepts associés à la promotion de la santé et la prévention des maladies visant à améliorer la santé. Norme 5 – Prise de décision Les élèves vont démontrer des compétences de prise de décision leur permettant d'améliorer leur santé. Ce qu'il faut savoir Les élèves devront :

• reconnaître qu'une famille se compose de deux personnes ou plus qui se soucient les unes des autres de nombreuses façons

• discuter des membres de leur famille et partager ce qui rend leur famille spéciale • reconnaître que chaque membre de la famille a un rôle et des choses dont il a besoin

Matériel

• « Qu'est-ce qu'une famille ? » - chanson • Fiche d'exercices Enquête sur la famille • Fiche d'exercices : Coups de pouce • Crayon • Papier • Suggestion de lecture : Livre suggéré, Families are Different de Nina Pellegrini

Holiday House ISBN : 0823408876 Septembre 1991

Procédures 1. Lisez Families are Different 2. Parlez de l'histoire et des relations familiales. Commencez par une discussion en posant la question ;

« Qu'est-ce qu'une famille ? » Mettez les mots, « Une famille est ... » et « Dans une famille, les gens ... » sur deux feuilles de papier journal ou deux sections du tableau. Donnez aux élèves le temps d'écrire individuellement leurs idées (et des idées qu'ils ont tirées de l'histoire) sous les rubriques. Résumez ce qui a été écrit pour que toute la classe puisse l'entendre. Si les commentaires suivants ne sont pas faits sous une certaine forme par les enfants, ajoutez-les à mesure que vous avancez. Si aucune de ces observations ne se réfère à l'adoption, veillez à ajouter que les relations dans une famille peuvent être basées sur la biologie (si vous êtes né de l'une des personnes dans la maison) et aussi sur un choix de vivre ensemble en famille, comme par le mariage et l'adoption. Quand quelqu'un est adopté ou est dans une famille d'accueil, les parents s'engagent à donner leur amour et des soins à l'enfant comme deux personnes le font quand elles se marient.

• Une famille se compose de deux personnes ou plus qui se soucient les unes des autres. • Une famille se compose de personnes qui vivent dans des endroits différents et s'aiment les unes

les autres. • Une famille se compose d'enfants et d'adultes qui habitent ensemble et s'aiment.

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Nom de l'unité : Relations Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 1 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Boogie du Corps » - Familles, compétences d'écoute et coopération

• Une famille se compose de personnes qui ont des liens de parenté comme des frères, des sœurs, des mères, des pères, des grands-parents.

• Une famille se compose de personnes qui habitent ensemble et se soucient les unes des autres, mais n'ont pas de lien de parenté.

• Les membres de la famille se donnent mutuellement soutien et amour. • Les familles offrent un abri, de la nourriture, et d'autres choses. • Les familles offrent des endroits sûrs pour que les membres de la famille apprennent, grandissent,

se développent et partagent. • Les membres des familles ont une responsabilité envers les autres membres de la famille.

3. Donnez à chaque élève une « Enquête sur la famille » et demandez-leur de remplir le questionnaire. 4. Demandez aux élèves de faire un graphique de classe à partir des informations tirées des enquêtes.

(Exemple de graphique en pièce jointe) 5. Donnez à chaque élève la photocopie d'une photo d'école de lui-même, qui a été montée sur un papier

cartonné. 6. Ensuite, demandez à chaque élève de placer son marqueur photographique près de l'en-tête de graphique

correct. 7. Encouragez les élèves à analyser et discuter de ce que le graphique révèle. Prolongement du cours Fiche d'activité pour les parents sur le jour où l'enfant est arrivé dans la famille (à la maison) - voir pages suivantes. Cette activité couvre la naissance, l'adoption et les familles d'accueil. DVD « That’s a Family » de Groundspark, et une partie du projet Respect for All. www.groundspark.org/films/thatfamily/index.html Dans ce DVD récompensé, des enfants de familles diverses et variées parlent de ce qui fait la spécificité de leur famille, des problèmes qu'ils rencontrent, et ce qu'ils voudraient que les autres enfants comprennent au sujet de leur famille. Ce DVD est recommandé pour les enfants de la maternelle au niveau 5 et est fourni avec un guide détaillé. « What is a Family ? » – Chanson (sur l'air de Rock-a-Bye Baby) Families are big, And families are small. Families give love, And care to us all. People in families Work and play, too. I live in a family, And so do you! Families are different. None are the same. Some families have Special names. Families have ways, So special and fine. You love your family. I sure love mine!

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Nom de l'unité : Relations Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 1 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Boogie du Corps » - Familles, compétences d'écoute et coopération Enquête sur la famille

Nous parlons de la famille à l'école. Nous savons que, tout comme chacun d'entre-nous, chaque famille est différente. Aidez-nous s'il vous plaît à remplir cette fiche. Elle sera utilisée à l'école dans le cadre des projets en cours. Je m'appelle J'aime ma famille parce que Il y a personnes dans ma famille. parents J'ai : sœurs. frères cousins

grands-parents tantes oncles

Je suis : l'aîné le plus jeune au milieu

enfant unique

Pour s'amuser, ma famille aime Nous travaillons ensemble à L'une des règles de notre famille est :

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Nom de l'unité : Relations Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 1 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Boogie du Corps » - Familles, compétences d'écoute et coopération Cher parent, Veuillez aider votre enfant à écrire une histoire ou à dessiner une image du jour où il est arrivé dans votre famille... Vous pouvez utiliser les grandes lignes du « journal » ci-joint pour démarrer l'histoire.

Le jour où je suis arrivé(e) dans ma famille... Je suis arrivé(e) dans cette famille le ___________________. (date) Dans ma famille il y a ___________________________________

(Fais la liste des membres de la famille)

Le jour où je suis arrivé(e) dans cette famille, je ressemblais à ça : Une chose qui est vraiment super à propos de cette famille :

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Nom de l'unité : Relations Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 1 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Boogie du Corps » - Familles, compétences d'écoute et coopération Exemple de graphique Dans ma famille j'ai :

Un/des frère(s)

Une/des sœur(s)

Je suis enfant unique

Parent(s) Beaux-parents Famille d'accueil

Grands-parents

Tantes et Oncles

Cousins

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Nom de l'unité : Relations Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 2 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Coups de pouce » - Familles et responsabilités Normes nationales de l'éducation sanitaire Objectif principal Norme 7 – Gestion de soi Les élèves montreront leur capacité à appliquer des comportements d'amélioration de la santé pour éviter ou réduire les risques sanitaires.

Objectif secondaire Norme 1 – Concepts Fondamentaux Les élèves vont appréhender les concepts associés à la promotion de la santé et la prévention des maladies visant à améliorer la santé. Norme 6 – Définition d'objectif Les élèves vont démontrer leur capacité à utiliser des compétences de définition d'objectif de façon à améliorer leur santé.

Ce qu'il faut savoir Les élèves devront :

• reconnaître qu'une famille se compose de deux personnes ou plus qui se soucient les unes des autres de nombreuses façons

• discuter des membres de leur famille et partager ce qui rend leur famille spéciale • reconnaître que chaque membre de la famille a un rôle et des choses dont il a besoin • démontrer leur rôle dans la famille en remplissant une « fiche de corvées » • parler de ce qu'ils ressentent quand ils sont en mesure d'aider à la maison

Matériel • Poème « Helping Hands » • Fiche d'exercices : Coups de pouce • Crayon • Papier

Procédures 1. Présentez le cours avec le poème « Helping Hands. » 2. Discutez de comment la façon de prendre soin de nous et de faire des corvées font partie d'être une

famille. 3. Distribuez un morceau de papier de construction à chaque élève. 4. Demandez aux élèves de plier le papier en quatre sections. 5. Ensuite, dessinez une grand forme ovale au centre. 6. Marquez au centre, « Comment j'aide » 7. Dans chacune des quatre sections demandez aux élèves de dessiner ou écrire une courte phrase sur la

façon dont ils aident à la maison. 8. Envoyez à la maison 2 exemplaires de la fiche d'exercice « Prendre ses responsabilités » comme

devoir et demandez aux élèves de suivre leurs responsabilités pendant 2 semaines.

0B« Helping Hands »

Helping hands can use a rake, Hang a picture, bake a cake. Helping hands are hands that share, Helping hands are everywhere.

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Nom de l'unité : Relations Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 2 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Coups de pouce » - Familles et responsabilités « Coups de pouce » Prendre ses responsabilités Fiche d'exercices

o Demandez à votre enfant d’indiquer quand il a fait l'une des activités énumérées. o Parlez avec votre enfant et demandez-lui de s'occuper d'une « nouvelle » corvée qu'il

ou elle ne fait pas actuellement pour « Aider ». Semaine n. N. Activités journalières L M M J V Sa Di Signature du Parent L M M J V Sa Di Signature du Parent

Se brosser les dents

Prendre un bain ou une douche

Faire de l'exercice, marcher, courir

Ranger sa chambre et ses

jouets

S'habiller en fonction de la météo

Se lever à l'heure

Se préparer pour aller à l'école

Manger des repas

équilibrés

Autre :

Autre :

Autre :

« Nouvelle corvée » :

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Nom de l'unité : Relations Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 3 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Qu'est-ce qu'un ami » - Amitié Normes nationales de l'éducation sanitaire Objectif principal Norme 4 – Communication interpersonnelle Les élèves démontreront des compétences de communication interpersonnelle qui leur permettent d'améliorer leur santé et de réduire ou éviter les risques sanitaires. Objectif secondaire Norme 1 – Concepts Fondamentaux Les élèves vont appréhender les concepts associés à la promotion de la santé et la prévention des maladies visant à améliorer la santé. Norme 2 – Analyse des influences Les élèves vont analyser l'influence de leur famille, de leurs pairs, de la culture, des médias, des technologies et d'autres facteurs sur les comportements liés à la santé. Ce qu'il faut savoir Les élèves devront :

• parler de ce qui fait un bon ami • en apprendre davantage sur les qualités que les amis possèdent • parler d'autres cultures

Matériel • Fiche d'exercice « Qu’est-ce qu’un ami ? » • Boîte à œufs coupée en tronçons de 3. Étiquette « N » (Jamais), « S » (Parfois) et « A » (Toujours) • Petits haricots ou autres objets pour le comptage • Poème : « Friends Around the World »

Procédures 1. Remue-méninges sur le concept d’« ami » pour les élèves. Écrivez les réponses sur le tableau. 2. Distribuez les sections de carton d'œufs aux élèves. Si elles ne sont pas déjà étiquetées, demandez aux

élèves de les étiqueter en utilisant les indications ci-dessus. 3. Expliquez aux élèves que vous allez lire une liste de questions. Si les élèves répondent « jamais » à

une question, ils doivent mettre un haricot dans la coupe « N » et ainsi de suite pour les deux autres façons de réagir. Si vous n'aimez pas utiliser des termes absolus, utilisez d'autres étiquettes telles que rarement, parfois, souvent ou presque toujours, parfois, et presque jamais.

4. Donnez un exemple ; posez une question et mettez un haricot dans l'un des récipients. 5. Une fois que toutes les questions ont été posées, demandez à chaque élève de comptabiliser le nombre

de haricots dans chaque catégorie. 6. Discutez de vos réponses. 7. Si les élèves connaissent quelqu'un provenant d'un endroit différent, demandez-leur d’énumérer des

similitudes et des différences (culture, vêtements, nourriture, etc.).

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Nom de l'unité : Relations Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 3 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Qu'est-ce qu'un ami » - Amitié « L'Amitié » Qu’est-ce qu’un ami ? Pour découvrir quel genre d'ami tu es pour les autres, marque les réponses qui te décrivent le mieux.

Pour chaque proposition, coche Toujours, Parfois, ou Jamais.

Toujours Parfois Jamais

1. Je tiens les promesses que je fais.

2. Je dis à mes amis combien ils comptent pour moi.

3. Je sais écouter.

4. Je discute des malentendus.

5. Je présente mes excuses quand j'ai tort.

6. Je reste proche de mes amis quand ils traversent des périodes difficiles.

7. Je me mets en quatre pour aider les gens.

8. Je fais en sorte que les nouveaux élèves à l'école se sentent les bienvenus.

9. Je rends les choses que j'emprunte en bon état.

10. Je ne parle pas dans le dos d'une personne.

11. Je n'embarrasse pas les gens en face des autres.

12. Je suis flexible et prêt à partager.

13. Je ne me vante pas.

14. Je ne critique pas les gens.

15. Je ne m'en prends pas aux autres enfants.

*Premier peut être utilisé pour la lecture et le marquage des réponses. Contactez le Département informatique pour obtenir de l'aide

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Nom de l'unité : Société et culture Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 4 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Différent & Similaire » - Respecter les autres Normes nationales de l'éducation sanitaire Objectif principal Norme 2 – Analyse des influences Les élèves devront analyser l'influence de leur famille, de leurs pairs, de la culture, des médias, des technologies et d'autres facteurs sur leurs comportements en matière de santé. Objectif secondaire Norme 1 – Concepts Fondamentaux Les élèves vont appréhender les concepts associés à la promotion de la santé et la prévention des maladies visant à améliorer la santé. Norme 8 - Promotion Les élèves vont démontrer des compétences de promotion de la santé aux niveaux personnel, familial et communautaire. Ce qu'il faut savoir Les élèves devront :

• parler de différents types de cultures • parler de ce que signifie se respecter et respecter les autres • faire une liste des façons dont ils peuvent montrer du respect aux autres • en apprendre davantage sur la diversité de culture des élèves de la classe

Matériel

• Fiche d'exercices Chasse au Trésor • Crayons • Suggestion de lecture : « I Wish I Could Fly Like a Bird » de Katherine Denison

Wildwood Creative Enterprises ISBN : 0965435156 1ère édition, 1er octobre, 1996 Ce livre raconte l'histoire d'un oiseau qui ne peut pas voler parce qu'il a des difficultés d'apprentissage.

Procédures 1. Donnez un exemplaire de la fiche d'exercice Chasse au Trésor aux élèves. 2. Demandez aux élèves de faire le tour de la salle et de demander à leurs camarades de classe de signer

la catégorie à laquelle ils correspondent. 3. Donnez 10 minutes aux élèves pour cette tâche (ajustez si besoin.) 4. En groupe-classe, discutez des résultats. Sommes-nous tous identiques ou différents ? Qu'avez-vous

appris de cette chasse au trésor ? 5. Lisez des passages de « I Wish I Could Fly Like a Bird » de Katherine Denison. 6. Discutez des types de diversité existants :

a. compétences (certains sont vraiment bons en lecture, certains sont vraiment bons en maths, certaines personnes savent chanter, certaines personnes pratiquent très bien un sport)

b. diversité culturelle - posez des questions aux enfants sur les traditions chez eux c. capacités/handicaps physiques - parlez positivement de la façon dont les personnes

handicapées font certaines choses de manière différente si elles ne peuvent pas utiliser

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Nom de l'unité : Société et culture Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 4 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Différent & Similaire » - Respecter les autres

leurs jambes ou si elles souffrent d’une déficience visuelle ou auditive. Donnez quelques exemples issus de la communauté.

d. Dirigez une discussion sur la diversité et le respect : « Respecter les autres signifie être gentils avec eux, ne pas les interrompre, attendre son tour, être juste, répondre quand on nous parle. Parfois, les gens ne respectent pas les autres parce qu'ils sont différents d'eux ou qu'ils ne les connaissent pas. Lors du dernier cours, nous avons parlé du concept d’ami. Le respect fait partie intégrante de l’amitié et de la bonne entente avec les autres, même s’ils ne sont pas tous vos amis. Pourquoi pensez-vous qu'il est important d'avoir du respect pour les autres ? Qui sont les personnes que vous respectez ? Pouvez-vous vous respecter vous-même ? Le respect de soi consiste à penser beaucoup de bien de vous-même parce que vous agissez de manière responsable. Comme nous l'avons vu dans notre enquête, nous sommes tous différents. Nous sommes tous uniques et spéciaux. Découvrir les différences des autres rend la vie passionnante et nous fait grandir. »

Prolongement du cours Évaluation 1. Distribuez une feuille de papier vierge et un crayon à chaque élève. 2. Demandez-leur d'écrire les noms de trois personnes en haut de la page. Une personne pour chacune

des catégories suivantes, (a) une personne de leur âge (les pairs), (b) un adulte qui est pas apparenté à eux (enseignant, pasteur, ami de la famille) (c) un parent (parent, frère, sœur, tante, oncle, cousin germain)

3. Sous le nom de chaque personne, écrivez deux choses qui sont uniques sur cette personne et deux façons dont vous faites preuve de respect envers cette personne.

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Nom de l'unité : Société et culture Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 4 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Différent & Similaire » - La diversité culturelle « Différent & Similaire » Carte de Chasse au Trésor 1BQuelqu'un de plus grand que toi...

Quelqu'un qui a la même couleur d'yeux que toi...

Quelqu'un dont la couleur des cheveux est différente de la tienne...

Quelqu'un qui a la même couleur de peau que toi...

Quelqu'un qui est plus petit que toi...

Quelqu'un qui a la même pointure que toi...

Quelqu'un qui sait chanter...

Quelqu'un qui porte des lunettes...

Quelqu'un qui sait pratiquer un sport... ____________________________

Lequel ? ____________________________

Quelqu'un qui a un animal domestique... ____________________________ Lequel ? ____________________________

Quelqu'un qui sait jouer d'un instrument... ____________________________ Lequel ? ____________________________

Quelqu'un qui a quelque chose d'unique... ____________________________ Quoi ? ____________________________

Quelqu'un qui a des mains de la même taille que toi... ____________________________

Quelqu'un qui a des taches de rousseur... ____________________________

Quelqu'un qui porte des bijoux... ____________________________ Lesquels ? ____________________________

Quelqu'un qui a les cheveux plus courts que toi...

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Nom de l'unité : Société et culture Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 5 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « C'est vrai ? » - Influence des médias Normes nationales de l'éducation sanitaire Objectif principal Norme 2 – Analyse des influences Les élèves devront analyser l'influence de leur famille, de leurs pairs, de la culture, des médias, des technologies et d'autres facteurs sur leurs comportements en matière de santé. Objectif secondaire Norme 1 – Concepts Fondamentaux Les élèves vont appréhender les concepts associés à la promotion de la santé et la prévention des maladies visant à améliorer la santé. Norme 6 – Définition d'objectif Les élèves vont démontrer leur capacité à utiliser des compétences de définition d'objectif de façon à améliorer leur santé. Ce qu'il faut savoir

Les élèves devront : • examiner la télévision populaire ou des familles de films et évaluer si les programmes sont

similaires à leur vie réelle • discuter de la façon dont les familles, les genres et les valeurs sont dépeints à la télévision ou dans

les films • faire la liste des façons dont la télévision ou les films peuvent ou non influencer leurs sentiments

envers l'image corporelle, l'estime de soi et le respect Matériel

• « C'est vrai ? » – Fiche d'exercice (à utiliser à l'école et comme devoir à faire à la maison) • Ressource pour l'enseignant - Statistiques sur les habitudes télévisuelles des enfants (voir la fiche de

statistiques « C'est vrai ? ») Procédures 1. Demandez aux élèves de penser à des programmes de télévision qui montrent des familles interagir.

En groupe-classe, répertoriez trois à cinq familles de télévision parmi les plus populaires. 2. Écrivez le nom des émissions au tableau. 3. Demandez aux élèves de choisir deux des émissions pour compléter les deux premières colonnes de la

fiche d'exercice « C'est vrai ? ». Les élèves ne rendront pas ces fiches, elles serviront uniquement lors de la discussion. (Si les élèves peuvent compléter la fiche d'exercice en fonction de ce dont ils se souviennent de cette émission, ce cours peut être fait en un jour. Sinon, demandez aux élèves de choisir une émission, de la regarder pendant la semaine et de remplir la fiche.)

4. Lancez la discussion avec certaines des statistiques de la fiche de statistiques « C'est vrai ? ». 5. Divisez les élèves en petits groupes pour la discussion. (Essayez de diviser les groupes selon

l'émission qu'ils ont choisi d'examiner.) Invitez un élève à être « greffier » (qui note les réponses) et un autre à être « rapporteur » (qui transmettra à la classe ce qui est ressorti des discussions en groupe.) Chaque groupe doit répondre aux questions suivantes, une à la fois, sous la direction de l'enseignant. Toutes les réponses seront enregistrées et rapportées au groupe dans son ensemble après que les professeurs auront terminé de poser les cinq questions.

a. Est-ce que les émissions de télévision concernent la vie réelle ? Donnez un exemple. b. Qu'est-ce qui rend cette émission divertissante ? (amusante à regarder)

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Nom de l'unité : Société et culture Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 5 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « C'est vrai ? » - Influence des médias

c. Dans notre dernier cours (Cours n° 4) nous avons parlé du respect. Est-ce que ce programme illustre la notion de respect ? (envers les membres de la famille, envers des cultures différentes, envers les femmes, envers les hommes)

d. Est-ce que ce programme vous permet d’avoir une bonne estime de vous-même ? (en tant qu'enfant, garçon ou fille, personne d'une culture spécifique)

e. Pensez-vous que ce spectacle encourage les enfants à faire de bonnes choses ou de mauvaises choses ?

6. Rassemblez la classe et demandez aux « rapporteurs » de communiquer leurs réponses à la classe. 7. Pour conclure, demandez aux élèves dans leur ensemble :

a. Quelles questions pouvons-nous nous poser concernant une émission de télévision afin de contrôler la façon dont elle nous affecte ? (Est-ce que c'est réel ? Qu'est-ce que j'en pense ? Qu'est-ce que ça signifie pour moi ? Est-ce que cette émission me dit de suivre les directives de la famille ? Est-ce que les personnes présentes agissent de manière responsable ?)

b. À qui pouvez-vous parler quand vous avez des questions sur une émission de télévision ? c. Comment les enfants de votre âge peuvent-ils vous aider à réfléchir sur ce sujet ?

Comment les adultes peuvent-ils vous aider à réfléchir sur ce sujet ? d. Quel regard pouvez-vous avoir sur les émissions que vous regardez et comment pouvez-

vous en changer pour limiter la façon dont les émissions vous affectent ? 8. Devoir à la maison : demandez aux élèves de regarder un troisième programme à la télévision au cours de la semaine avec un membre adulte de la famille. Ils devront alors remplir la troisième colonne de la fiche d'exercice et la rapporter en classe. Prolongement du cours Demandez aux élèves de s'interviewer les uns les autres sur leurs habitudes télévisuelles et leurs pensées. Utilisez le matériel pour créer :

• Un article de journal • Des reportages TV qui peuvent être joués devant la classe • Les élèves peuvent créer une enquête de classe pour trouver les statistiques de leur classe.

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Nom de l'unité : Société et culture Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 5 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « C'est vrai ? » - Influence des médias « C'est vrai ? » – Fiche d'exercice Trois familles TV favorites Famille TV 1 : Famille TV 2 : Famille TV 3 : Qui vit ensemble comme une famille ?

Dans quel type de foyer vivent les familles ? (appartement, maison ?)

À quoi ressemblent les mamans ? Que font-elles ?

À quoi ressemblent les papas ? Que font-ils?

Est-ce que les garçons et les filles se comportent comme vous et vos amis ?

À propos de quoi les familles sont-elles en désaccord ?

Nommez trois valeurs que dépeignent les familles à la télévision

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Nom de l'unité : Société et culture Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 5 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « C'est vrai ? » - Influence des médias

Votre vie réelle

Qui sont les membres de votre famille ? (Qui vit avec vous ?)

Dans quel type de foyer habitez-vous ?

Est-ce que les adultes dans votre vie ressemblent à/agissent comme les adultes dans l’émission ?

À propos de quoi votre famille est-elle en désaccord ?

Donnez trois valeurs qui sont importantes pour vous.

Laquelle des familles à la télévision se rapproche le plus de votre vie réelle ?

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Nom de l'unité : Société et culture Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 5 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « C'est vrai ? » - Influence des médias Ressources pour l'enseignant – Statistiques Children Now mène des enquêtes d'opinion publique annuelles auprès des jeunes âgés de 10 à 17 ans, concernant leurs relations avec les médias et la façon dont ils pensent qu'ils affectent leur vie. Le sondage suivant était destiné aux enfants et se concentrait sur les valeurs dans les médias qu'ils consomment. Les enfants sont couramment exposés aux médias.

• 58 % regardent 2-4 heures ou plus de télévision par jour • 55 % regardent habituellement la télévision seuls ou avec des amis, mais pas avec leur famille • 44 % regardent quelque chose de différent quand ils sont seuls de quand ils sont avec leurs

parents (25 % choisissent MTV) Les enfants sont convaincus que les médias influencent les jeunes de leur âge.

• 66 % déclarent qu'ils pensent que leurs pairs sont influencés par ce qu'ils voient à la télévision • 65 % pensent que des émissions comme Les Simpsons poussent les jeunes à manquer de respect à

leurs parents • 62 % pensent que le sexe présent dans les émissions de télévision et les films pousse les jeunes à

faire l'amour trop tôt • Les jeunes garçons sont plus susceptibles de convenir que les enfants de leur âge sont influencés

par les médias... ils sont d'accord à 76 % avec une marge de 22 %

La grande majorité des enfants croit que la télévision devrait contribuer à enseigner aux enfants à distinguer le bien du mal.

• Bien que 73 % des enfants pensent que la télévision est la plupart du temps un divertissement, 82 % disent que les émissions de télévision devraient enseigner aux enfants à distinguer le bien du mal

• 77 % disent qu'il y a trop de sexe avant le mariage à la télévision http://www.childrennow.org/index.html

• Regarder la télévision augmente les comportements agressifs. • Les enfants imitent ce qu'ils voient. • Les enfants de moins de 5 ans ne peuvent pas distinguer la réalité de la fiction. • 66 % des Américains dînent en regardant la télévision. • Lorsqu'ils font des courses avec un parent, en moyenne, les enfants demandent un article de

marque entre 13 et 18 fois. • En moyenne, les enfants regardent 27 heures de télévisions par semaine. • Les Américains dans leur ensemble passent 231 milliards d'heures par an à regarder la télévision. • Un adulte moyen, à l'âge de 65 ans, aura passé neuf années à regarder la télévision. • Un élève de niveau 6 a vu 8 000 meurtres et 100 000 actes de violence. • 60 % des informations que les enfants reçoivent provient de la télévision. • Les publicitaires dépensent 125 milliards de dollars par an pour nous convaincre d'acheter

leurs produits. • Un adulte moyen a vu entre 50 et 100 annonces avant 9 heures du matin. • Les enfants influencent 250 milliards de dollars de décisions d'achat par an.

Source : The Projet TV, http://www.tvp.org/index.html

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Nom de l'unité : Compétences personnelles Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 6 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Arrêtez, s'il vous plaît ! » - Communication et résolution de conflits Normes nationales de l'éducation sanitaire Objectif principal Norme 4 – Communication interpersonnelle Les élèves démontreront des compétences de communication interpersonnelle qui leur permettent d'améliorer leur santé et de réduire ou éviter les risques sanitaires.

Objectif secondaire Norme 1 – Concepts Fondamentaux Les élèves vont appréhender les concepts associés à la promotion de la santé et la prévention des maladies visant à améliorer la santé. Norme 7 – Gestion de soi Les élèves démontreront leur capacité à adopter des comportements favorisant la santé et à éviter ou réduire les risques pour la santé.

Ce qu'il faut savoir Les élèves devront :

• Identifier les comportements d'intimidation • Savoir quoi faire quand ils sont victimes d'intimidation ou qu'ils voient quelqu'un victime

d'intimidation • Pratiquer les affirmations en « Je » relatives à l'intimidation • Être conscients du rôle que les spectateurs jouent pour éliminer l'intimidation

Matériel • Fiche d'exercice « Arrêter le harcèlement ? » • Ressources pour l'enseignant - « Communication interpersonnelle »

Procédures 1. Discussion sur le harcèlement

Écrivez cette définition au tableau : « Le harcèlement est injuste et à sens unique. Il se produit quand quelqu'un ne cesse de faire du

mal, de faire peur, de menacer ou de rejeter quelqu'un intentionnellement. » (Cette définition provient du Committee for Children) Expliquez aux élèves que cette définition signifie que la personne qui intimide quelqu'un… • le fait de façon répétée ; cela ne se produit pas qu'une seule fois. • se comporte intentionnellement de cette manière dans le but de nuire à quelqu'un. • intimide les autres pour avoir du pouvoir sur eux. • va continuer à le faire jusqu'à ce que quelqu'un lui dise d'arrêter.

Les comportements suivants constituent du harcèlement : • insulter quelqu’un • dire du mal de quelqu'un d'autre pour lui nuire (directement ou dans son dos) • interdire à quelqu’un de jouer avec soi • frapper quelqu’un • menacer quelqu’un • voler quelque chose à quelqu’un Posez les questions suivantes :

a. Avez-vous vu déjà été témoin de harcèlement ? b. Qu’avez-vous ressenti ? c. En quoi le harcèlement est-il nuisible ?

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Nom de l'unité : Compétences personnelles Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 6 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Arrêtez, s'il vous plaît ! » - Communication et résolution de conflits 2. Le fait d’exprimer vos pensées, vos sentiments et vos besoins peut arrêter l'intimidation

a. Expliquez aux élèves que quand ils sont victimes de harcèlement ou qu'ils sont témoin de harcèlement, ils doivent agir pour que le harcèlement cesse.

b. Étapes à suivre : i. Partir

ii. Si le harcèlement continue, parler fermement iii. Si le harcèlement continue, se faire aider par un adulte

c. Complément sur le fait de parler fermement i. Utiliser une affirmation en « Je » : « Je me sens _______ lorsque tu _______, et

je veux que tu arrêtes. Si tu n’arrêtes pas, alors je vais aller chercher un adulte pour nous aider à régler cela. »

ii. Si le harceleur les traite de rapporteurs ou d'autre chose, il suffit de dire : « Tu as le choix d'impliquer un adulte ou non en arrêtant ce que tu fais. »

3. Les élèves sont encouragés à aller voir un adulte si le harcèlement se poursuit ou s’ils sont témoins de harcèlement. Posez les questions suivantes :

a. Qu'est-ce qui se passera si vous ne parlez pas à un adulte ? b. Qui sont les adultes à qui vous pourriez demander de l'aide ? c. À qui pourriez-vous en parler à la maison ? d. Que pourriez-vous dire ? 4. Pratiquez l'utilisation des affirmations en « Je » et la décision d'impliquer un adulte en utilisant la

fiche d'exercice « Arrêter le harcèlement ? » Attribuez à chaque situation un groupe d'élèves. Demandez au groupe de décider comment il va jouer le sketch pour la classe. Demandez aux élèves d'inclure une affirmation en « Je » dans leur sketch. Allez voir un groupe et demandez-lui de jouer la première étape (s’en aller) ; faites de même avec les autres étapes. Écrivez l'esquisse d'une affirmation en « Je » au tableau pour orienter la préparation des sketchs.

5. Chaque groupe joue son sketch. Lorsque chaque groupe a terminé, demandez à la classe de commenter :

a. Est-ce que la personne responsable du harcèlement a arrêté ? b. Qu'est-ce que la victime a fait ou dit pour faire stopper le harcèlement ?

Lorsque tout le monde a terminé, lancez la discussion sur le pouvoir des mots, plus puissants que des actions violentes. La violence conduit souvent à la violence (verbale ou physique). S'éloigner et demander à quelqu'un d'arrêter peut suffire. Demander l'aide d'un adulte n'est pas de la délation. Les harceleurs qui refusent de changer de comportement sont responsables de leurs actes.

6. Terminez le cours en racontant une histoire personnelle illustrant la façon dont l'utilisation d'affirmations en « Je » peut être utile dans les relations dans d'autres contextes. (Les exemples peuvent inclure : dire à quelqu'un que vous ne voulez pas faire quelque chose de malsain, dire à un ami que son comportement heurte vos sentiments, demander à quelqu'un de tenir promesse, etc.)

Prolongement du cours : vous trouverez ci-dessous un cours proposé au Children's Health Education Center. Appelez le (414) 390-2166 pour organiser une sortie scolaire Communication : niveaux 3-4 : différents styles de communication sont abordés alors que les élèves travaillent ensemble vers un but commun. L'importance de l'écoute active est également soulignée, ainsi que la résolution des conflits. Ce programme est proposé par les éducateurs du Teen Health Crew du CHEC, lorsque cela est possible.

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Arrête l'intimidation maintenant !

Sam se moque sans arrêt de Malika parce qu'elle n'a pas bien réussi le dernier test d'orthographe. Malika travaille dur à l'école et obtient habituellement de bonnes notes. C’est dans le bus scolaire que Sam se moque de Malika. Quatre personnes sont dans le même groupe de lecture. Le professeur leur dit de lire à tour de rôle. Il demande au lecteur en cours de faire appel au lecteur suivant lorsqu'il aura terminé. Trois des élèves ne font délibérément jamais appel au quatrième élève (Shawn). Cela dure depuis trois jours. Shawn est en colère et se sent mis à l'écart. Trois garçons plus âgés s’amusent beaucoup à prendre la balle de basket de Carlos sur le terrain de jeux. Cela le rend triste. Pendant une semaine, Sheena et Maria ont appelé Amy après l'école pour lui dire des choses méchantes. Amy a peur d'aller à l'école. La semaine dernière, Marcus a pleuré à l'école. Il a parlé au psychologue de l'école. Jake n'arrête pas de lui demander pourquoi il pleure tout le temps comme un bébé. Marcus ne veut pas dire ce qui est arrivé et Jake est embarrassé qu'il n'arrête pas d'en parler devant les autres enfants.

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Nom de l'unité : Compétences personnelles Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 6 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Arrêtez, s'il vous plaît ! » - Communication et résolution de conflits Cher parent ou tuteur, Les élèves de niveau trois apprennent à utiliser les mots de manière puissante pour arrêter l'intimidation sans pour autant faire croître la violence. Nous nous sommes exercés à dire aux gens ce que nous pensons et ressentons et ce dont nous avons besoin. Nous nous sommes également exercés à demander l'aide d'un adulte quand nos mots ne suffisent pas pour arrêter l'intimidation ou le harcèlement. Pour lancer votre conversation avec votre enfant au sujet de notre cours, vous pouvez lui poser les questions suivantes :

1. En quoi le fait de parler à un adulte quand quelqu'un est victime de harcèlement n'est pas de la délation ? (Réponse : le harcèlement est un comportement blessant qui se répète et est fait volontairement. La personne qui parle à l'adulte demande de l'aide. Le harceleur a la possibilité de modifier son comportement. La délation, c'est quand quelqu'un fait un mauvais choix et que l'autre personne veut juste lui causer des ennuis.)

2. Que pouvez-vous dire au harceleur pour tenter de mettre un terme à

l'intimidation avant d’impliquer un adulte? (Réponse : dites-lui que vous voulez que le comportement cesse et que si ledit comportement s'arrête, vous n’aurez pas à aller voir un adulte.)

Nous vous remercions de soutenir le travail que nous faisons à l'école ! Cordialement,

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Ressources pour l'enseignant - Communication interpersonnelle

La communication interpersonnelle consiste à « montrer des moyens appropriés d'échanger ses idées et ses besoins. » Un élève démontre une application appropriée de cette compétence quand il/elle peut présenter correctement les deux côtés d'une question, en montrant comment les deux côtés se sentent et interagissent, en montrant du respect, en utilisant un langage approprié, en n'utilisant pas d'expressions péjoratives, et en utilisant des stratégies telles que les messages en « Je » et les techniques de refus. Les jeux de rôle, le dialogue et l’utilisation de marionnettes font partie des activités permettant de travailler ces compétences (tiré de : Assessing Health Literacy: A Guide to Portfolios).

Amorce pour la communication interpersonnelle La plupart des gens veulent être compris et acceptés plus que toute autre chose au monde. Savoir cela constitue la première étape vers une bonne communication. Une bonne communication a deux composantes de base :

• Vous écoutez et reconnaissez les pensées et les sentiments des autres : plutôt que de montrer que vous vous souciez seulement de diffuser vos sentiments et d'insister pour que les autres soient d'accord avec vous, vous encouragez les autres à exprimer ce qu'ils pensent et ressentent. Vous écoutez et vous essayez de comprendre.

• Vous exprimez vos propres pensées et sentiments ouvertement et directement : si vous n'écoutez que ce que les autres pensent ou ressentent et que vous n'exprimez pas vos propres pensées ou sentiments, vous finissez par vous sentir lésé ou « victime. »

Pour communiquer efficacement, exercez-vous à utiliser ces techniques de communication interpersonnelle. • Les affirmations en « Je » vous aident à exprimer ce que vous ressentez et ce que vous voulez avec

une grande clarté. Parfois, les gens utilisent des affirmations en « tu », telles que « tu n'appelles jamais quand tu vas être en retard. » Ce type de déclaration peut agacer les autres et les mettre immédiatement sur la défensive. Lorsque vous utilisez des affirmations en Je telles que « j'ai vraiment besoin de savoir quand tu vas arriver pour que je puisse faire des projets », vous exprimez vos soucis en termes personnels.

• Un ton de voix respectueux exprime que vous prenez les autres au sérieux et que vous vous attendez également à être pris au sérieux. En outre, les personnes ayant de bonnes compétences en communication s'affirment sans être agressives ou manipulatrices.

• Le contact visuel est vital pour une bonne communication. Par exemple, comment vous sentiriez-vous si la personne qui vous parle continuait à regarder vaguement le couloir ou par la fenêtre ?

• Un langage corporel approprié encourage la conversation. Hocher la tête, sourire, rire, utiliser des mots tels que « mmh » et « oui » et poser des questions à des moments appropriés montre à la personne que vous êtes vraiment à l'écoute.

• Des idées claires, organisées vous aident à décrire vos sentiments avec précision et honnêteté et contribuent à des conversations et à des prises de décision nécessaires. Les bons communicants sont également précis. Par exemple, un bon communicant dira : « je dois utiliser l'ordinateur de 7 à 9, » et non « je vais avoir besoin de l'ordinateur ce soir ».

Affirmations en « Je »/Compétences d'affirmation de soi Styles de communication S’ils ne disposent pas de compétences de communication adéquates, les adolescents peuvent avoir des difficultés à exprimer leurs sentiments. Ce manque de communication peut augmenter le stress et faire baisser l'estime de soi. Il existe trois styles de communication :

• passive • assurée • agressive

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Nom de l'unité : Compétences personnelles Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 6 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Arrêtez, s'il vous plaît ! » - Communication et résolution de conflits La communication passive implique l'incapacité ou le refus d'exprimer des pensées et des sentiments. Les personnes passives feront quelque chose qu’elles ne veulent pas faire ou trouveront une excuse plutôt que de dire comment elles se sentent.

Un comportement assuré (affirmé) implique de se défendre soi-même. Les personnes assurées diront ce qu'elles pensent et défendront leurs croyances sans blesser les autres. Le style de communication agressif implique une réaction excessive, le reproche et la critique. Les personnes agressives essaient d'obtenir ce qu’elles veulent par l'intimidation, la menace ou même la violence physique. Elles ne se soucient pas des autres et ne veulent pas prendre en considération leurs droits.

Types de Messages Il existe deux types de messages qui accompagnent chaque style de communication : non verbal et verbal. Les signes, les symboles, la posture, les mouvements du corps, l'habillement, les expressions faciales et les gestes sont des exemples de messages non verbaux. Les messages non verbaux renforcent ce que dit celui qui parle. Par exemple, les communicants passifs ont souvent une posture affaissée et évitent le contact visuel. Les personnes assurées présentent une posture droite et un contact visuel direct. En revanche, se pencher vers l’avant, pointer du doigt ou regarder quelqu’un de façon soutenue sont des signaux non verbaux de communication agressive.

Les messages verbaux correspondant à chaque style de communication sont très différents. Les personnes passivent posent souvent des questions pour déterminer ce que les autres veulent, ou pourront dire : « je m'en moque. » Les communicants qui s'affirment utilisent les messages en « Je » pour exprimer ce qu'ils veulent ou ce dont ils ont besoin. Ils utilisent les techniques de refus pour dire non pour autant blesser les autres. Les personnes agressives utilisent souvent des affirmations en tu (vous) pour faire des reproches ou critiquer.

Composantes de la communication assurée Les composantes de messages verbaux pour la communication assurées sont les messages en « Je » et les refus. Les messages en « Je » expriment ce que l'orateur pense, ressent, ce dont il a besoin, ce qu'il veut ou croit. Ils commencent par le mot Je.

Exemples de messages en Je :

• Je veux voir Star Wars. • Je suis en colère à cause du jeu.

Il existe diverses stratégies de refus, qui incluent :

• Dire le mot « NON » avec fermeté. • Répéter « NON » (si besoin est). • Dire à l'autre personne que vous voulez rester amis.

Exemples de refus

• Non, je ne peux pas rester dormir vendredi soir, mais j'aimerais bien le faire une autre fois. • Non, merci. Je suis allergique aux cacahuètes. Ces biscuits ont l'air délicieux, et je suis désolé de ne

pas pouvoir en prendre.

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Nom de l'unité : Compétences personnelles Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 6 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Arrêtez, s'il vous plaît ! » - Communication et résolution de conflits Compétences d'affirmation de soi

Quelle différence existe-t-il entre s'affirmer et l'agressivité ? L'affirmation de soi, ou la confrontation, signifie prendre l'initiative ou les premières mesures pour faire face à un problème de manière constructive et en se protégeant. L'affirmation de soi attaque le problème, pas la personne.

L'agressivité attaque l'autre personne plutôt que le problème. C'est un désir destructeur de dominer une autre personne ou de forcer l’autre personne à adopter une position ou un point de vue ; c’est ainsi que démarrent les bagarres ou disputes.

Quand utilise-t-on des compétences d'affirmation de soi ? Ces compétences peuvent être utilisées lorsque le comportement d'autrui est inacceptable ou lorsque la poursuite de « l'écoute et l'acceptation » ne convient pas. Nous évitons souvent d'affronter les autres sur leur comportement afin de ne pas mettre nos relations en danger. Cependant, éviter les problèmes peut causer une accumulation de ressentiment et provoquer une explosion ou le retrait de la relation. L'utilisation de messages en « Je » pour s'affirmer est quelque chose de constructif. Ces messages aident à composer avec les problèmes de comportement d'une manière qui permet à l'autre personne d'accepter de changer sans que la relation soit mise en péril.

Comment utiliser ces compétences ? Le but est de faire en sorte que les autres personnes modifient leur comportement sans les rabaisser ou leur donner mauvaise conscience. On peut aimer une personne tout en n’appréciant pas un comportement particulier de cette personne. Le but est d'aborder le comportement, pas de « rabaisser » la personne.

L'importance des messages en Je Les messages en « Je » sont conçus pour faire face aux problèmes. Le but d'un message en « Je » est d'exprimer ses propres besoins, de dire « je ne vais pas renoncer à mes besoins et je suis prêt à t'aider à répondre aux tiens ». Tout le monde gagne ! Les messages en « Je » utilisent des termes personnels ; on va dire « j’ai un problème ». Un message en Je est désarmant. Il est difficile pour quelqu'un de dire quelque chose de méchant en réponse à un message en « Je » correctement exprimé. D'autre part, un message en « Tu » exprime des reproches et met l’autre sur la défensive. Il pourra ensuite vouloir se venger.

Étapes pour utiliser les messages en « Je » Délivrer un message en « Je » comporte généralement trois étapes, même si ce n’est pas toujours le cas.

Une description du comportement. Quel est le comportement qui vous cause problème ? Vous décrivez quelque chose à l'autre personne, sans lui faire de reproche. Les messages en « Je » expriment aux autres que leur comportement interfère avec quelque chose dont vous avez besoin (et pas seulement quelque chose que vous voulez). Il faut donc donner à l'autre une idée claire de ce qu'il a fait sans lui faire de reproche supplémentaire ou évoquer chez lui un sentiment de culpabilité.

Une description du sentiment que vous fait ressentir ce comportement. Comment le comportement de l’autre vous affecte-t-il ?

Une description des effets produits par le comportement. Quels problèmes concrets ce comportement vous cause-t-il ? Si vous pouvez aider les autres à voir comment leur comportement vous affecte, ils sont alors plus susceptibles de modifier ledit comportement.

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Nom de l'unité : Compétences personnelles Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 6 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Arrêtez, s'il vous plaît ! » - Communication et résolution de conflits Exemples : L'enseignant à l'élève :

• Message en « Tu » : Tu viens de mettre de la boue partout dans la classe ! Tu te fiches des autres !

• Message en « Je » : « Quand je vois de la boue partout dans notre salle de classe propre, cela m'agace, parce que nous devons faire des efforts supplémentaires pour garder notre salle propre. Va chercher des serviettes en papier et nettoie la boue. »

Description du comportement Description du ressenti Description des affects

Quel est le comportement qui vous dérange ?

Que ressentez-vous à cause de ce comportement ?

Comment ce comportement vous affecte-t-il ?

De la boue partout sur le sol propre Agacement

Plus de choses à faire alors que vous êtes déjà bien

occupé

Un ami à un autre :

• Message en « Tu » : Tu ne te soucies que de ta petite personne ! • Message en « Je » : Je me sens blessé lorsque tu ne m’appelles que quand tu n’as personne

d’autre. Je suis laissé de côté.

Description du comportement Description du ressenti Description des affects

Quel est le comportement qui vous dérange ?

Que ressentez-vous à cause de ce comportement ?

Comment ce comportement vous affecte-t-il ?

Tu ne m'appelles que quand tu n'as personne d'autre Souffrance Sentiment de mise à l’écart

L'élève à l'enseignant :

• Message en « Tu » (Vous): « Vous êtes injuste ! Vous la laissez toujours lire en premier ! » • Message en Je : « Quand je ne suis pas appelé pour lire, je me sens frustré et j’ai moins envie de

faire des efforts. »

Description du comportement Description du ressenti Description des affects

Quel est le comportement qui vous dérange ?

Que ressentez-vous à cause de ce comportement ?

Comment ce comportement vous affecte-t-il ?

L'enseignant choisit quelqu'un d'autre que vous plus souvent. Frustration et colère Je n’ai plus envie de faire des

efforts.

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Nom de l'unité : Compétences personnelles Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 6 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Arrêtez, s'il vous plaît ! » - Communication et résolution de conflits

Conseils pour des messages en « Je » réussis

• Soyez précis dans la description du problème de comportement. • Regardez la personne dans les yeux. • Utilisez un ton de voix respectueux et non agressif. • Soyez conscient de votre langage corporel, car celui-ci renforce vos mots.

Lorsqu'un message en « Je » n’aboutit pas Si un message en « Je » n’aboutit pas, c'est peut-être un mauvais message. Oui, les mots peuvent être corrects, mais le ton être plein de reproches, de colère ou de manque de respect. Faites attention au message non verbal. Avez-vous l’air énervé, parlez-vous très fort ? Ou êtes-vous calme et concentré ?

Il y a peu à gagner à envoyer un message de colère. Essayez de réfléchir à la raison de votre colère. Vous trouverez probablement d'autres sentiments sous la colère : la frustration, la honte, le rejet, la peur, la douleur et la solitude, par exemple.

Parfois, un message en « Je » ne fonctionne pas si l'autre personne a un fort besoin de poursuivre son comportement. Si l'autre personne est en colère, hors d’elle, changez de rapport. Essayez l'écoute active, changez l'environnement, ou laissez-la se calmer.

Les messages en « Je » peuvent également ne pas fonctionner si l'autre personne ne croit pas que l'« effet » sur vous est un vrai problème. Il s’agit là d’un conflit de valeurs, qui se produit souvent dans les familles.

S’il y a un conflit de besoins, un message en « Je » ne sera pas suffisant. Vous aurez besoin de renoncer au message en « Je » et de travailler sur le conflit avec d'autres techniques.

Ressource : http://www.healthteacher.com/teachersupports/skills4.asp

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Nom de l'unité : Compétences personnelles Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 7 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Je me sens stupide » - Émotions Normes nationales de l'éducation sanitaire Objectif principal Norme 7 – Gestion de soi Les élèves montreront leur capacité à appliquer des comportements d'amélioration de la santé pour éviter ou réduire les risques sanitaires. Objectif secondaire Norme 1 – Concepts fondamentaux Les élèves vont appréhender les concepts associés à la promotion de la santé et la prévention des maladies visant à améliorer la santé. Norme 4 – Communication interpersonnelle Les élèves démontreront des compétences de communication interpersonnelle qui leur permettent d'améliorer leur santé et de réduire ou éviter les risques sanitaires.

Ce qu'il faut savoir Les élèves devront :

• nommer des émotions différentes • citer des moyens appropriés de faire face aux émotions • parler de la différence entre l'émotion et le comportement

Matériel • Fiche d'exercice « Cinq étapes pour se calmer » • Jeu « Guerre des sentiments » (préparé avant le cours) • 5 cartons pour affiche • 10 morceaux rectangulaires de papier cartonné avec du ruban adhésif au sommet pour cacher les

réponses • Un marqueur permanent • 3 cartes avec un « X » - découper les cartes et les coller sur le papier cartonné • 2 cloches (une par équipe) • Lettre aux parents

Procédures 1. PRÉPARATION : créez des panneaux d'affichage pour le jeu Guerre des Sentiments. Écrivez les

questions sur les morceaux de papier cartonné. Le panneau d'affichage devrait ressembler à ceci : Nommez les 9 choses qui mettent un enfant en colère :

1. Se faire chahuter 6. Qu'on ne lui fasse pas confiance

2. Être frappé, recevoir des coups de pied, un croc-en-jambe, être poussé, etc.

7. Perdre

3. Être blâmé pour quelque chose qu'il n'a pas fait

8. Être traité de façon injuste

4. Qu'on lui mente 9. Frère/Sœur

5. Qu’on lui refuse ce qu’il désire Découpez des morceaux rectangulaires de papier cartonné pour couvrir les réponses. Mettez de l'adhésif sur le papier pour le réutiliser pour les autres planches. (Voir la feuille suivante pour 4 autres planches de jeu.) Il faudra aussi couvrir la question (« Nommez le meilleur...) jusqu'à ce que vous l’ayez lue à haute voix une fois.

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Nom de l'unité : Compétences personnelles Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 7 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Je me sens stupide » - Émotions 2. Préparez trois cartes sur lesquelles vous dessinerez de grands « X ». 3. Donnez la fiche d'exercice « Cinq étapes pour se calmer » aux élèves. Passez la fiche en revue et

discutez-en. Envoyez la fiche d'exercice à la maison avec la lettre aux parents. 4. Jouez à la « Guerre des sentiments » - Ce jeu a pour but de renforcer le thème enseigné (5 étapes pour

se calmer) et de fournir une entrée de discussion. Les « Questions sur le processus » sont situées au bas de chaque « planche de jeu ». Prenez le temps après chaque question de jeu de poser les questions correspondantes.

5. Avant que le jeu ne commence, expliquez aux élèves que les réponses aux questions viennent d'enquêtes auprès d’élèves de niveau cinq. « ... Les réponses au tableau peuvent ne pas être les réponses que vous donneriez. Nous allons jouer à un jeu selon les règles de la « Famille en or » et nous prendrons du temps après chaque question pour nous exprimer. Je tiendrai compte de vos pensées et de vos réponses quand je mettrai à jour le plateau de jeu pour l'année prochaine. »

6. Divisez la classe en deux équipes. Un joueur de chaque équipe s'avance. L'enseignant lit la première question. Si le joueur sait une réponse, il sonne la cloche de son équipe. Le premier joueur à sonner peut répondre. Si sa réponse est sur la planche, révélez-la. Si ce n'est pas la réponse numéro 1, l'autre joueur peut essayer de trouver une réponse située plus haut sur le tableau. La réponse la plus haute permet à l’équipe qui l’a donnée de jouer la manche. Les élèves de cette équipe se relaient pour deviner jusqu'à ce qu'ils aient trouvé toutes les réponses ou qu'ils aient obtenu 3 « X ». Un « X » est remis à l'équipe chaque fois qu’elle donne une réponse qui ne se trouve pas sur la carte. Si l'équipe obtient trois « X » avant d’avoir trouvé toutes les réponses, l'autre équipe reprend la main. Si elle devine une réponse qui est au tableau, elle gagne la manche.

7. Après chaque manche, posez les questions de processus situés sous chaque planche de jeu. 8. Envoyez une lettre aux parents à la maison avec la fiche Cinq étapes pour se calmer. (Voir les pages suivantes.)

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Nom de l'unité : Compétences personnelles Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 7 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Je me sens stupide » - Émotions

Planches du jeu Guerre des sentiments et questions de processus : Questions de processus : 1. Ces réponses correspondent aux réponses les plus fréquentes des élèves de niveau 5 interrogés. Bon

nombre de ces réponses sont négatives ; pourquoi pensez-vous que beaucoup d'entre nous pensent à des émotions négatives en premier ?

2. Chaque équipe peut-elle nommer 5 émotions positives en une minute ?

Nommez les 9 choses qui mettent un enfant en colère :

1. Se faire chahuter 6. Qu'on ne lui fasse pas confiance

2. Être frappé, recevoir des coups de pied, un croc-en-jambe, être poussé, etc.

7. Perdre

3. Être blâmé pour quelque chose qu'il n'a pas fait 8. Être traité de façon injuste

4. Qu'on lui mente 9. Frère/Sœur

5. Qu’on lui refuse ce qu’il désire

Questions du processus :

1. Quelles sont les choses positives que vous faites pour vous aider à vous calmer ?

2. Y a t-il des choses que vous pouvez faire pour essayer d'éviter d'être dans une situation où vous pourriez mettre en colère ?

Nommez 9 choses que l’on peut faire lorsqu’on se sent frustré ou en colère.

1. Parler à quelqu'un 6. Ne parler à personne

2. Jeter quelque chose 7. Pleurer

3. Jurer 8. Respirer profondément

4. Se battre 9. Manger

5. Faire de l'exercice

Questions de processus :

1. Quelle différence existe-t-il entre émotion et comportement ?

2. Est-ce mal d'avoir de « mauvais » sentiments ?

3. Comment peut-on faire face à la frustration ?

Nommez les 9 principales émotions :

1. Heureux (joyeux) 6. Effrayé

2. Pas content (en colère) 7. Mal à l'aise.

3. Triste (seul) 8. Jaloux

4. Inquiet (stressé) 9. Frustré

5. Honteux (coupable)

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Nom de l'unité : Compétences personnelles Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 7 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Je me sens stupide » - Émotions

Nommez 8 choses qui inquiètent un enfant : Ajouter deux réponses qui se rapportent à votre classe ou utilisez seulement 8 réponses.

1. Les contrôles/l’école 6. Les drogues

2. Amis (être accepté) 7. Déménager

3. Les problèmes familiaux 8. La violence

4. Les décès

5. L’avenir

Questions du processus :

1. Que pouvez-vous faire quand vous êtes inquiet ?

2. Nommez deux personnes de confiance à qui parler.

5 façons de se calmer :

1. Admets ce que tu ressens

2. Inspire lentement, trois fois

3. Compte lentement jusqu'à cinq

4. Dis « Calme-toi »

5. Parle à un adulte

Questions de processus :

1. Qu'est-ce qui vous empêche d'utiliser les techniques pour se calmer ?

2. Qu’est-ce qui vous aiderait à utiliser ces techniques pour se calmer ?

3. Pourquoi est-il important de ne pas se laisser déborder par la colère ?

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Nom de l'unité : Compétences personnelles Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 7 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Je me sens stupide » - Émotions Cinq étapes pour se calmer

2 Inspire trois fois, lentement.

3 Compte lentement jusqu'à cinq.

5 Parles-en à un adulte.

1 Admets ce que tu ressens

4 Dis-toi « Calme-toi. »

Calme-toi

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Nom de l'unité : Compétences personnelles Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 7 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Je me sens stupide » - Émotions Cher parent ou tuteur, Nous apprenons à nous calmer quand nos sentiments sont forts et que notre comportement pourrait causer des problèmes. Regardez la fiche « cinq étapes pour se calmer ». Décidez avec votre enfant d'un bon endroit dans votre maison pour accrocher ce papier comme rappel. Prenez le temps de partager une histoire avec votre enfant sur un moment où vous avez fait des efforts pour vous calmer et sur un autre où vous ne l'avez pas fait. Qu'est-ce qui s'est passé ? En quoi ces mesures pourraient-elles être bénéfiques à votre vie de famille ? Merci de votre intérêt pour ce que nous apprenons en troisième année ! Cordialement,

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Nom de l'unité : Compétences personnelles Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 8 Programme de développement humain Niveau scolaire : 3 « Beauty and the Beast » - Valeurs Normes nationales de l'éducation sanitaire Objectif principal Norme 2 – Analyse des influences Les élèves vont analyser l'influence de leur famille, de leurs pairs, de la culture, des médias, des technologies et d'autres facteurs sur les comportements liés à la santé. Objectif secondaire Norme 1 – Concepts Fondamentaux Les élèves vont appréhender les concepts associés à la promotion de la santé et la prévention des maladies visant à améliorer la santé. Norme 5 – Prise de décision Les élèves vont démontrer des compétences de prise de décision leur permettant d'améliorer leur santé. Ce qu'il faut savoir Les élèves devront :

• citer des valeurs qui composent un bon caractère • expliquer pourquoi ils ont besoin d'un bon caractère • expliquez la différence entre une décision responsable et une mauvaise décision • pratiquer l'application des valeurs pour réécrire l'histoire de La Belle et la Bête

Matériel

• Liste des valeurs (faire un poster ou écrire sur le tableau avant la classe) • L'histoire de « La Belle et la Bête » (lire le livre ou utiliser le synopsis ci-dessous).

Procédures 1. Faites une liste des valeurs en cours. Vous pouvez les écrire sur le tableau noir ou créer une affiche

qui sera accrochée au mur. Liste de valeurs : Attention (pour autrui), Impartialité, Honnêteté, Responsabilité, Santé, Gentillesse, Partage, Courage, Respect, Citoyenneté, Amitié, Indépendance, Sécurité, Courtoisie.

2. Discutez de ces valeurs en cours. 3. Permettez à la classe d'ajouter d'autres valeurs à la liste. 4. Dirigez une discussion en utilisant les questions suivantes :

o Qui se soucie de ces valeurs ? o Où les gens utilisent-ils ces valeurs ? o Où as-tu appris ces valeurs ? o Qu'est-ce qui pourrait arriver si nous n'avions pas de valeurs dans cette classe ?

5. Demandez aux élèves de réfléchir aux valeurs qui sont les plus importantes à leurs yeux. 6. Lisez l'histoire de « La Belle et la Bête » ou utilisez le synopsis ci-dessous pour raconter l'histoire

avec vos propres mots.

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Nom de l'unité : Compétences personnelles Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 8 Programme de développement humain Niveau scolaire : 3 « Beauty and the Beast » - Valeurs

« La Belle et la Bête » Un riche marchand vivait dans une ville avec ses trois filles, dont la plus jeune se prénommait

Belle. Le marchant finit par perdre toute sa fortune. Quelques années plus tard, il entendit dire que l'un des navires de commerce envoyés était arrivé au port ; il revint donc à la ville pour aller voir s’il contenait quelque chose de valeur. Avant de partir, il demanda à ses filles si elles voulaient qu'il leur rapporte un cadeau à son retour. Ses deux filles aînées demandèrent des bijoux et des robes, pensant qu’il allait être riche ; Belle se contenta de demander une rose. Le marchand découvrit que la cargaison de son navire avait été saisie pour payer ses dettes, le laissant sans argent pour acheter des cadeaux à ses filles.

Sur le chemin du retour, il se perdit dans la forêt. Cherchant un abri, il entra dans un château. À l'intérieur, il trouva des tables chargées de nourriture qui avait été laissée par le propriétaire du château. Le marchant se réjouit de ce cadeau et, alors qu’il était sur le point de partir, vit un jardin de roses et se souvint de la demande de Belle. Après avoir choisi la plus belle rose qu'il pouvait trouver, le marchand se retrouva face à une affreuse « Bête », qui lui dit que pour avoir pris son bien le plus précieux après avoir accepté son hospitalité, le commerçant devait rester à jamais son prisonnier. Le marchand supplia qu'on le libère, faisant valoir qu'il avait seulement choisi la rose comme cadeau pour sa fille cadette. La Bête accepta de le laisser partir à condition qu’il envoie sa fille vivre au château à sa place.

Le marchand, bouleversé, accepta. Il tenta, en arrivant à la maison, de cacher ce secret à Belle ; mais elle finit par le lui arracher et s’en alla volontairement au château de la Bête. La Bête la reçut gracieusement et la traita comme son invitée. Il lui donna des vêtements somptueux et de la nourriture, et eut de longues conversations avec elle.

Finalement, Belle eut le mal du pays et supplia la Bête de l’autoriser à aller voir sa famille. Elle accepta, à condition qu’elle revienne exactement une semaine plus tard. Belle accepta et rentra chez elle. Ses sœurs aînées furent surprises de la trouver si bien nourrie et vêtue de beaux atours. Elles devinrent jalouses et, apprenant qu'elle devait retourner chez la Bête à une date précise, la supplièrent de rester un jour de plus, allant jusqu’à se mettre de l'oignon dans les yeux pour se faire pleurer. Belle fut touchée et accepta de rester.

Lorsque Belle rentra en retard au château de la Bête, elle le trouva en train de mourir dans son jardin de roses, le cœur brisé. Belle pleura et lui dit qu'elle l'aimait ; quand ses larmes le touchèrent, il se transforma en un beau prince. Le prince expliqua à Belle qu’une fée l'avait transformé en une bête hideuse après qu'il eut refusé de la laisser entrer un jour de pluie. Il ne pouvait rompre la malédiction qu'en trouvant le véritable amour, en dépit de sa laideur.

1. Demandez aux élèves :

• Quelles erreurs les personnages ont-ils commises ? (Père : a pris la nourriture et la rose, a promis que Belle prendrait sa place, Sœurs : ont choisi des vêtements coûteux et ont demandé à Belle de rester, la Bête :a menacé d'emprisonnement) ?

• Que pouvons-nous faire quand nous commettons des erreurs ? • Quelles valeurs Belle démontre-t-elle? (essayer d'être responsable de sa famille en lui

fournissant des vivres, faire preuve de courage face au danger, être indépendant) 2. Demander aux élèves de réécrire l'histoire de « La Belle et la Bête » pour incorporer au moins

quatre valeurs.

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Nom de l'unité : Compétences personnelles Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 9 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 Prise de décision et compétences de refus Normes nationales de l'éducation sanitaire Objectif principal Norme 5 – Prise de décision Les élèves vont démontrer des compétences de prise de décision leur permettant d'améliorer leur santé. Objectif secondaire Norme 1 – Concepts fondamentaux Les élèves vont appréhender les concepts associés à la promotion de la santé et la prévention des maladies visant à améliorer la santé. Ce qu'il faut savoir Les élèves devront :

• faire une liste de six questions avant de prendre une décision • expliquer la différence existant entre une décision responsable et une mauvaise décision • montrer comment utiliser les techniques de résistance

Matériel

Exemplaire de « Questions pour une bonne prise de décision »,« Comment dire Non » et lettre aux parents pour chaque élève

Procédures

2. Présentez le cours discutant du modèle de prise de décision qui est utilisé tout au long du programme HGD, de la maternelle au lycée.

Énoncez la situation qui demande de prendre une décision. Faites la liste des choix possibles. Pensez aux conséquences.

Est-ce sans danger ? Est-ce légal ? Est-ce respectueux des autres et de soi-même ? Est-ce conforme aux directives de mes parents ? Est-ce sain ? Comment cela affectera-t-il mon futur ?

Choisissez la meilleure option et appliquez-la. Réfléchissez aux conséquences qu'elle a eues. Est-ce qu'on peut changer quelque chose ? Maintenant ? La prochaine fois ?

3. Distribuez les fiches d'exercices, discutez des prises de décision et des manières de dire non.

Demandez aux élèves de compléter les exemples sur la fiche d'exercice. 4. Utilisez les scénarios suivants pour pratiquer les « Questions pour une bonne prise de décision »

et « Comment dire Non. » Pour chaque scénario ; (1) lisez la situation, (2) demandez aux élèves de répondre à chacune des six questions, (3) demandez aux élèves de faire des recommandations (parler de la différence entre une décision responsable et une mauvaise décision. Une décision responsable est une décision permettant de répondre « oui » aux six questions). (4) Réponse du groupe : le groupe entier dit « non ».

a. Tu rentres de l'école à pied avec ton ami. Ton ami trouve un paquet de cigarettes froissé avec deux cigarettes dedans. Il te propose de rentrer à la maison et d'essayer d'en fumer une.

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Nom de l'unité : Compétences personnelles Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 9 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 Prise de décision et compétences de refus

Tu rentres de l'école à pied avec ton ami. Ton ami trouve un paquet de cigarettes froissé avec deux cigarettes

dedans. Il te propose de rentrer à la maison et

d'essayer.

b. Un de tes amis a vécu une situation familiale difficile hier soir. Il n'a pas pu terminer ses devoirs pour aujourd'hui. Il te demande s’il peut copier tes devoirs.

c. Toi et un ami repérez votre bonbon préféré au rayon des bonbons à l'épicerie du coin. Vous n'avez pas d'argent, mais voulez vraiment ces bonbons...

5. Distribuez la lettre aux parents ou envoyez-la avec les dossiers de communication

hebdomadaires.

Scénario A

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Nom de l'unité : Compétences personnelles Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 9 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 Prise de décision et compétences de refus

Un de tes amis a vécu une situation familiale difficile hier soir. Il n'a

pas pu terminer ses devoirs pour

aujourd'hui. Il te demande s’il peut copier

tes devoirs.

Scénario B v

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Nom de l'unité : Compétences personnelles Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 9 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 Prise de décision et compétences de refus

Toi et un ami repérez votre bonbon préféré au rayon des bonbons à l'épicerie du coin. Vous n'avez pas d'argent, mais voulez vraiment ces bonbons...

Scénario C

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Nom de l'unité : Compétences personnelles Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 9 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 Prise de décision et compétences de refus « Questions pour une bonne prise de décision »

Est-ce sain ?

Cela est-il conforme aux règles et aux lois ?

Est-ce sans danger ?

Cela indique-t-il du respect pour les autres et pour moi-même ?

Est-ce conforme aux directives de ma famille ?

Est-ce que c’est bien ?

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Nom de l'unité : Compétences personnelles Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 9 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 Prise de décision et compétences de refus « Comment dire Non » : Pour chacune des « façons de dire non », lisez la situation et donnez un exemple de la façon dont vous utiliseriez cette technique.

Exemple : Comment dire non - éviter

Situation : il y a toujours un groupe de jeunes qui fument à un coin de rue, lorsque tu rentres à pied de l'école.

Exemple : change d’itinéraire pour éviter cet endroit.

Comment dire Non :

1. Éviter (essayer de rester à distance des situations difficiles) Situation : il y a un groupe d'enfants qui utilisent des gros mots et racontent des blagues qui te mettent mal à l'aise.

Exemple :

2. Dire non (regarde la personne droit dans les yeux et prends une voix ferme)

Situation : un ami t'invite à venir chez lui après l'école. Il n'y aura pas d'adulte à la maison et tu as une règle dans ta famille qui dit que tu ne peux pas aller chez quelqu'un où n'y a pas d'adulte pour te surveiller.

Exemple :

3. Donner une excuse

Situation : tes amis ont décidé de s'en prendre au petit nouveau à l'école. Ils veulent que tu lances une rumeur à son sujet.

Exemple :

4. L'union fait la force (avec des amis qui diront également « non »)

Situation : un de tes amis a apporté un marqueur à l'école et veut que tu gardes la porte des toilettes afin qu'il puisse écrire des graffiti sur le mur.

Exemple :

5. Partir

Situation : ton ami te met au défi de voler des bonbons dans un magasin.

Exemple :

6. Changer de sujet (trouver autre chose à faire)

Situation : tu passes la nuit chez un ami, et l'un des invités a apporté une vidéo que tes parents ne veulent pas que tu regardes à la maison.

Exemple :

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Nom de l'unité : Compétences personnelles Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 9 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 Prise de décision et compétences de refus

Chers parents ou tuteur, Nous avons appris comment prendre de bonnes décisions cette semaine. En maternelle, nous introduisons un modèle de prise de décision qui sera renforcé tout au long de l'éducation de votre enfant dans les Écoles publiques de Milwaukee. Les étapes de la prise de décision sont :

1. Énoncer la situation qui demande de prendre une décision. 2. Faire la liste des choix possibles. 3. Penser aux conséquences.

a. Est-ce sans danger ? b. Est-ce légal ? c. Est-ce respectueux des autres et de soi-même ? d. Est-ce conforme aux directives de mes parents ? e. Est-ce sain ? f. Comment cela affectera-t-il mon futur ?

4. Choisir la meilleure option et l’appliquer. 5. Réfléchir aux conséquences qu'elle a eues. Est-ce qu'on peut changer

quelque chose ? Maintenant ? La prochaine fois ? Très souvent, la meilleure décision nous oblige à être capable de dire « non » à quelqu'un. Nous avons pratiqué les manières de dire « non » suivantes :

o Éviter (essayer de rester à distance des situations difficiles) o Dire non (regarder la personne droit dans les yeux et parler d’une voix

ferme) o Donne une excuse o L'union fait la force (avec des amis qui diront également « non ») o Partir o Changer de sujet (trouver autre chose à faire)

Nous voulons soutenir vos efforts quand vous apprenez à vos enfants à prendre des décisions saines à la maison. Je me tiens à votre disposition si vous souhaitez vous entretenir avec moi. Cordialement,

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Nom de l'unité : Développement humain Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 10 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Je suis Cool » - Image du corps Normes nationales de l'éducation sanitaire Objectif principal Norme 4 – Communication interpersonnelle Les élèves démontreront des compétences de communication interpersonnelle qui leur permettent d'améliorer leur santé et de réduire ou éviter les risques sanitaires. Objectif secondaire Norme 1 – Concepts Fondamentaux Les élèves vont appréhender les concepts associés à la promotion de la santé et la prévention des maladies visant à améliorer la santé. Ce qu'il faut savoir Les élèves devront :

• comprendre les influences des médias dans la définition des normes sociales en ce qui concerne qui réussit et ce qui est désirable

• comprendre la fugacité et la superficialité des images et des messages des médias en ce qui concerne ce qui est cool

• comprendre comment ils sont eux-mêmes influencés par ces images et messages médiatiques • nommer ce qui les rend cool

Matériel

• 2 boîtes de Smarties • Fiche d'exercice « Qu'est-ce qui est cool ? » • Fiche d'exercice « Qu'est-ce qui est cool chez moi ? » • Ressources pour l'enseignant - Analyser les influences internes et externes

Procédures 1. Demandez aux élèves ce que signifie pour eux le mot « cool » quand on parle de choses telles que des

vêtements ou des jouets. Écrivez les suggestions au tableau. Ensuite, demandez aux élèves d'identifier ce qui rend une personne « cool ». Est-ce externe (son apparence physique ou sa façon de se vêtir), ou est-ce interne (la façon dont elle agit) ? En groupe-classe, dressez une liste de traits qui définissent le terme « cool » , en veillant à inclure des traits de personnalité tels que l'indépendance, la force de caractère, être un bon ami, avec les traits externes les plus évidents comme « porter des vêtements à la dernière mode » ou « être beau ».

2. Renforcez l'idée que nous avons tendance à penser au « cool » comme à une chose extérieure, alors que le plus cool vient de l'intérieur.

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Nom de l'unité : Développement humain Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 10 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Je suis Cool » - Image du corps 3. Demandez aux élèves de penser à leurs amis

• Sans nommer leur ami, les élèves rédigent une description de leur ami le plus cool, en expliquant ce qui le rend cool.

• Rappelez aux élèves qu'ils sont à la recherche de ce qui est cool « à l'intérieur », pas seulement dans l'apparence d'une personne.

• Demandez aux élèves de partager ce qu'ils ont écrit avec le reste de la classe. 1. Expliquez aux élèves qu'il peut y avoir deux types de personnes cool – celles qui sont cool parce

qu’elles sont célèbres ou à la mode, et celles qui sont cool à cause de la façon dont elles agissent. 2. Dites : « Très peu de personnes ressemblent à ce que vous voyez d’elles dans les médias. Certaines

des personnes célèbres que nous voyons ne ressemblent en rien à l’image qu’elles donnent, parce que leurs photos sont retouchées pour les rendre plus attrayantes, ou parce qu'elles sont très maquillées à l’écran, ou filmées avec un éclairage spécial. Il y a même des logiciels qui peuvent prendre une photo de quelqu'un et lui donner de plus longues jambes, ou le rendre plus mince ! Pourtant, nous sommes nombreux à être toujours influencés par les images que nous voyons dans les magazines et à la télévision. Statistiquement, les personnes que nous voyons dans les médias ne représentent que 5 pour cent de la population. Cela signifie que l'on dit à 95 pour cent d'entre nous que nous devrions avoir la même apparence qu'un très petit pourcentage de gens. »

3. Pour faire valoir votre argument, prenez deux boîtes de Smarties et sortez tous les Smarties bleus. a) Comptez 95 Smarties ordinaires et mélangez-y 5 bleus. b) Expliquez que les 95 Smarties ordinaires sont des gens ordinaires, et les 5 Smarties bleus sont

les types de personnes que les médias nous donnent envie d’être. c) Demandez aux élèves : Quel est le problème ? Est-il possible que les autres couleurs virent au

bleu ? (Vous pourriez remarquer que les couleurs qui sont les plus proches de bleu, comme le violet, pourraient passer pour du bleu, mais est-ce le cas pour les jaunes et les rouges ? Il est tout aussi impossible pour eux de devenir bleus qu'il l'est pour beaucoup d'entre nous de se conformer aux normes de beauté que nous voyons dans les médias.)

d) Comment se sentent les « Smarties » incapables de se conformer à l’image dictée par les médias ?

4. Quelle est l'importance d'être « cool » pour les personnes qui tentent de vendre des choses ? Les entreprises qui veulent attirer les enfants et les adolescents vont embaucher des personnes pour savoir ce qui est cool. Celles-ci vont observer les enfants pour déterminer ce qui est « cool ». Elles vont aussi utiliser Internet pour que des enfants remplissent des sondages en ligne. (Elles font la même chose aux adultes quand elles leur proposent de prendre la carte d’un magasin. Elles regardent ce que les gens achètent pour voir ce qui est populaire et créer des bons de réduction personnalisés afin de pousser la personne à acheter.)

5. Distribuez la fiche d'exercice « Qu'est-ce qui est cool ? » et demandez aux enfants de la remplir. Une fois qu'ils ont terminé les questionnaires, examinez leurs réponses et rassemblez les résultats de la classe.

6. Qui, selon les élèves, a le plus d'influence sur leur perception de ce que c'est qu'être cool ? Le même jour ou le deuxième jour 7. Hier, nous avons parlé du fait d'être cool à l'intérieur et à l'extérieur. Nous avons tendance à penser à

ce qui est cool comme une chose extérieure, mais le plus cool vient de l'intérieur. 8. Tu es cool ! Aujourd'hui, nous allons parler de ce qui te rend cool. Distribuez la fiche d'exercice

« Qu'est-ce qui est cool chez moi ? » et demandez aux élèves de la remplir. 9. Demander aux élèves de partager quelque chose qui est cool chez eux. Ressource : http://www.media-awareness.ca/english

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Nom de l'unité : Développement humain Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 10 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Je suis Cool » - Image du corps « Qu'est-ce qui est cool ? » - Fiche d'exercice

Quelle est ton attitude vis à vis de ce qui est cool comparée à celle d'autres élèves ? Réponds aux questions suivantes pour le savoir ! 1. Penses-tu qu'il est important d'avoir des vêtements et des accessoires cool ?

Entoure une réponse.

Très important Assez important Pas important 2. Réfléchis bien. Lequel de ces groupes a le plus d'influence sur ce que tu considères

comme cool ? Pourquoi ?

tes amis des enfants que tu connais et qui sont un peu plus âgés des enfants qui sont vraiment populaires des célébrités

3. Nomme les cinq premiers noms de marque qui te viennent à l'esprit pour des choses comme les vêtements, la nourriture, les articles de sport et de jeux. (Ne réfléchis pas, écris juste les cinq premiers noms de marque qui te viennent à l'esprit !)

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4. Nomme cinq personnes qui sont cool.

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Nom de l'unité : Développement humain Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 10 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Je suis Cool » - Image du corps « Qu'est-ce qui est cool sur moi ? » - Fiche d'exercice Dessine ton portrait. Écris quelques mots qui traduisent ce qui est cool chez toi en utilisant tes propres mots ou en choisissant des mots de la page.

Indépendance

Un bon ami

Fort caractère

Sportif Élégant

Ce qui est cool chez moi...

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Nom de l'unité : Développement humain Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 10 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Je suis Cool » - Image du corps Ressources pour l'enseignant

Analyser les influences internes et externes Analyser les influences consiste à savoir ce qui nous influence et comment nous sommes influencés lorsque nous faisons certains choix en matière de santé. Un élève démontre une bonne application de cette compétence quand il est capable de montrer de quelle façon ses choix en matière de santé sont affectés (sentiments personnels et aspects externes), et qu'il a examiné la raison de ces différentes influences sur ses choix. Voici quelques exemples d'activités qui aident à construire cette compétence : retravailler une annonce, faire un sketch sur la pression des pairs, réécrire un conte qui permet d'expliquer les influences. (Tiré de : Assessing Health Literacy: A Guide to Portfolios ). Influences sur les décisions La catégorie des compétences d'analyse des influences internes et externes permet de développer la capacité des élèves à analyser l'influence des éléments internes et externes sur les comportement relatifs à la santé. Malheureusement, beaucoup de jeunes gens ne reconnaissent pas le rôle que les facteurs internes et externes jouent dans leurs décisions concernant leur santé, ou celle de la famille ou la communauté. Ces décisions sont plus susceptibles d'entraîner des comportements à risque. Les élèves doivent apprendre à apprécier la complexité de ces influences et être en mesure de déterminer comment ces facteurs peuvent affecter positivement ou négativement leurs décisions relatives à la santé. Il existe deux grands types d'influences internes et externes.

1. Influences internes : a. connaissances/informations factuelles/ce que je sais b. curiosité c. intérêts, goûts/aversions d. désirs (se sentir accepté, aimé, puissant, compétent, etc.) e. peurs

2. Influences externes : a. médias/publicités b. restrictions légales (limite de vitesse, lois sur l'âge légal pour boire, permis de conduire,

panneaux d'interdiction de fumer) c. cadre/lieu d. culture e. parents/famille/proches f. pairs/amis/autres adolescents g. modèles en dehors de la famille (célébrités, athlètes, chanteurs, dirigeants)

Compétence médiatique La compétence médiatique est définie comme « la possibilité d'accéder à des informations, de les analyser, de les évaluer et de les communiquer dans une variété de formats, y compris les documents imprimés et non imprimés... C'est une compétence d'information et de communication élargie qui est sensible à la nature changeante de l'information dans notre société. Elle aborde les compétences que les élèves doivent apprendre à l'école, les compétences que les citoyens doivent avoir alors qu'ils consomment des informations chez eux, les capacités que les travailleurs doivent avoir alors nous nous dirigeons vers le 21e siècle et les défis d'une économie mondialisée. » (Définition de l'Appalachian State University.) Ressource : http://www.healthteacher.com/teachersupports/skills3.asp

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Nom de l'unité : Développement humain Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 11 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Mon corps génial » - Anatomie Normes nationales de l'éducation sanitaire Objectif principal Norme 1 – Concepts Fondamentaux Les élèves vont appréhender les concepts associés à la promotion de la santé et la prévention des maladies visant à améliorer la santé. Objectif secondaire Norme 4 – Communication interpersonnelle Les élèves démontreront des compétences de communication interpersonnelle qui leur permettent d'améliorer leur santé et de réduire ou éviter les risques sanitaires. Ce qu'il faut savoir Les élèves devront :

• apprendre chaque partie du corps et sa fonction spécifique. Les parties du corps sont : la tête, les yeux, la bouche, les oreilles, le nez, le cou, les épaules, les bras, le coude, la poitrine, le dos, les jambes, les genoux, les pieds, les chevilles et les orteils.

• réviser les différentes parties du corps impliquées dans la reproduction et les noms médicaux correspondants.

Dans le cadre de la création de ce programme, des enseignants, des parents, des directeurs d’école et des responsables religieux ont été interrogés ; le but était de recueillir leur opinion sur l'âge auquel les différents aspects du développement humain devaient être enseignés aux élèves. Tous se sont mis d'accord sur le fait que les termes médicaux correspondant aux parties du corps doivent être utilisés à l'école à partir de la maternelle. Ce cours est une excellente occasion de collaborer avec l'infirmière de l'école, si possible. L'utilisation des schémas est facultative, basée sur le jugement professionnel de l'enseignant à l'égard de la culture de son école et de ses classes. Si vous débutez dans l'enseignement de la sexualité, entraînez-vous à dire à haute voix les noms des organes génitaux jusqu'à vous sentir suffisamment à l’aise pour les utiliser en présence des enfants. Si les enfants ricanent, vous pouvez dire : « Il est normal de rire. Mais nous nous devons d'utiliser les mots adéquats, comme pénis, vulve, sein et fesses, parce que toutes les parties du corps sont importantes. Lorsque nous en parlons correctement et sans gêne, nous apprenons le sens, la fonction et la valeur de notre corps. » Nous ne discutons spécifiquement que de l'anatomie externe, voilà pourquoi la vulve est utilisée, pas le vagin. Matériel

• Préparez un dessin représentant la forme d'un corps • Étiquettes transparentes des parties du corps • Transparent en couleur des différentes parties du corps. (Facultatif – non inclus dans ce

programme) • Rétroprojecteur • Si un rétroprojecteur n'est pas disponible, l'activité peut se faire avec une silhouette du corps ou le

kit du corps en feutre de Carson Dellosa. • Papier blanc • Crayons de couleur • Lettre aux parents (utilisée seulement si ce cours aborde les parties intimes du corps).

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Nom de l'unité : Développement humain Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 11 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Mon corps génial » - Anatomie 16TProcédures16T (Utilisez les images des parties du corps. Demandez aux élèves de vous dire comment ils les appellent.) 1. Expliquez aux élèves que « Dans cette salle, nous allons utiliser les termes médicaux pour notre

corps. Jouons à Jacques a dit pour vérifier le nom de certaines parties de notre corps. » 2. Jouez à Jacques a dit pour vérifier la compréhension par les élèves des noms des parties courantes

du corps (hors système reproducteur). Le même jour ou un autre jour, jouez à Jacques a dit pour réviser la fonction des parties du corps. Exemple : touche la partie du corps avec laquelle tu : sens, manges, entends, plies les jambes, sur lesquelles tu marches, qui pompe le sang, avec laquelle tu fais entrer l'oxygène et rejettes le dioxyde de carbone, mélanges ta nourriture, etc.

3. Pour les organes de reproduction : l'enseignant couvrira la fonction des organes suivants : • La vulve - c'est de là que le bébé sort quand il naît • Testicules - c'est là où les cellules (les spermatozoïdes) qui font un bébé sont fabriquées • Pénis - c'est par là que sortent l'urine et le sperme

4. Utilisez le transparent pour examiner les parties du corps. Pour expliquer, placez une étiquette à côté d'une partie du corps. (Exemple : dites « Ceci est le coude. Je vais placer le mot coude à côté du coude »). Demandez aux élèves d'indiquer sur le corps une partie commune. Demandez-leur d'en dire le nom et donnez-leur l'étiquette à placer à côté.

5. Finissez ce cours en insistant sur le fait que le corps humain est incroyable et capable d’accomplir beaucoup de choses.

6. Demandez aux élèves de parler de quelques-unes des choses qu'ils font (faire du vélo, courir, sauter, lire, etc.). »

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Nom de l'unité : Développement humain Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 11 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Mon corps génial » - Anatomie « Mon corps génial » Cartes des parties du corps

Tête 2BYeux

3BBouche Nez

Oreilles Cou

Épaules Bras

Coudes Poitrine

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Nom de l'unité : Développement humain Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 11 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Mon corps génial » - Anatomie

Dos Jambes

Genoux Pieds

Chevilles Orteils

Main Doigts

Nombril Fesses

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Nom de l'unité : Développement humain Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 11 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Mon corps génial » - Anatomie

Pénis Vulve

Cœur Poumons

Cerveau Estomac

Testicules Seins

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Nom de l'unité : Développement humain Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 11 Programme de Développement humain Niveau scolaire : 3 « Mon corps génial » - Anatomie Cher parent ou tuteur, Notre programme de niveau trois comprend un cours sur notre corps. L'objectif de la leçon porte sur l'ensemble des parties de notre corps. Dans le cadre du cours, nous introduisons les termes médicaux corrects pour les parties intimes de notre corps. Le but est de :

1) faire savoir aux enfants que nous attendons d’eux qu’ils utilisent les mots appropriés pour désigner toutes les parties du corps

2) promouvoir le respect de notre corps dans notre salle de classe Dans le cadre de la création de ce programme, divers membres de la communauté ont été interrogés ; le but était de recueillir leur opinion sur l'âge auquel les différents aspects du développement humain devaient être enseignés aux élèves. Parmi les personnes interrogées figuraient des enseignants, des parents, des directeurs d'établissements scolaires et des responsables religieux. Tous se sont mis d'accord sur le fait que les termes médicaux correspondant aux parties du corps devaient être utilisés à l'école à tous les niveaux. D'après notre expérience, ce cours ne met pas les enfants mal à l’aise, et il contribue à établir une norme de respect. N'hésitez pas à me téléphoner, ou à passer à l'école pour en discuter, ou joignez-vous à notre classe le ____________ (date) si vous avez des questions. Dans les familles, on peut utiliser des termes non médicaux pour désigner les parties intimes. Vous pouvez demander à votre enfant quel terme l'enseignant utilise pour des parties spécifiques du corps. Cela aidera votre enfant à répondre aux attentes de l'école. Cordialement,

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Nom de l'unité : Santé Sexuelle Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 12 Programme de développement humain Niveau scolaire : 3 « Mon corps est privé » - Intimité corporelle Normes nationales de l'éducation sanitaire Objectif principal Norme 4 – Communication interpersonnelle Les élèves démontreront des compétences de communication interpersonnelle qui leur permettent d'améliorer leur santé et de réduire ou éviter les risques sanitaires. Objectif secondaire Norme 1 – Concepts fondamentaux Les élèves vont appréhender les concepts associés à la promotion de la santé et la prévention des maladies visant à améliorer la santé. Norme 8 - Promotion Les élèves vont démontrer des compétences de promotion de la santé aux niveaux personnel, familial et communautaire. Ce qu'il faut savoir Les élèves vont :

• apprendre la marche à suivre pour garder leur corps en bonne santé • explorer le concept de l'intimité du corps • identifier trois adultes de confiance à qui ils peuvent parler en cas de problème

Matériel • Contour d'un corps ou kit du corps humain en feutre de Carson Dellosa. • Suggestion de lecture : My Body is Private de Linda Walvoord Girard Albert Whitman & Co ;

ISBN : 0807553190 ; Nouvelle impression septembre 1992 Une conversation entre une mère et sa fille. Toutes les questions importantes sont abordées d'une manière non effrayante mais sérieuse et sans fournir trop de détails sur ce qui peut arriver lors d'un abus sexuel.

• Suggestion de lecture : Your Body Belongs to You de Cornelia Spelman, Albert Whitman & Co

ISBN : 0807594741 Septembre 1997 Dans un langage simple et rassurant, la thérapeute Cornelia Spelman explique que le corps d'un enfant lui appartient, qu'il est acceptable que les enfants refusent une accolade amicale ou qu'on les embrasse, même si la demande vient de quelqu’un de proche, et que « même si vous ne voulez pas de câlin ou de bisous maintenant, vous pouvez toujours être amis. » Une note préliminaire aide les parents à parler à leurs enfants des bons et mauvais contacts physiques. En couleur.

• Suggestion de lecture : affiche DIRE NON, PARTIR, RACONTER (agrandir la page et la coller sur le panneau d'affichage)

Procédures Avant le cours : 1. Envoyez une lettre aux parents pour les aider à enseigner des conseils de sécurité à la maison et pour

informer les parents de la règle DIRE NON, PARTIR, RACONTER 2. Présentez le concept en lisant une histoire comme My Body Is Private ou Your Body Belongs to You. 3. Dites : « Le corps de chaque personne lui appartient (revenir au cours n°10 où les parties intimes ont été

présentées) ; cela signifie que votre corps est privé et que c’est vous qui choisissez qui peut vous toucher. »

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Nom de l'unité : Santé Sexuelle Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 12 Programme de développement humain Niveau scolaire : 3 « Mon corps est privé » - Intimité corporelle 4. Parlez aux enfants des occasions où des personnes sont susceptibles de toucher leurs organes génitaux :

examen médical, aide d'un parent à la toilette, etc. 5. Expliquez que la grande majorité des adultes ne maltraiteraient jamais un enfant, mais que cela arrive

quand même. Dites-leur que si jamais on les touche à un endroit intime sans raison valable (ni examen médical, ni toilette à cet endroit-là), il faut qu’ils en parlent à un adulte à qui ils font confiance.

6. Expliquez que si quelqu'un les touche et dit : « c’est notre secret, ne le dis à personne », ce n’est pas bien. La personne essaie d'éviter d'avoir des problèmes. Ce n’est pas leur faute, ils n’auront pas d’ennuis, et il faut absolument raconter ce qui s’est passé à un adulte de confiance.

7. Enseignez aux élèves les règles « DIRE NON, PARTIR, RACONTER » (voir affiche) : • Si quelqu'un te touche d'une manière que tu ne souhaites pas, DIS NON. N'oublie pas que personne

n'a le droit de te toucher sur ou près de tes parties intimes si cela te met mal à l'aise ou si il n'y a pas une bonne raison à cela. Si quelqu'un de plus âgé ou plus fort que toi te fait mal physiquement, que dois-tu dire ? NON !

• Quand tu es dans ces situations, PARS ! Écoute ce que tes émotions te disent. Tu sais ce que sont les marques d'affection. Un attouchement qui te met en colère ou te fait peur est mauvais. Que dois-u faire ? (PARS)

• RACONTE toujours ce qui s’est passé à un adulte en qui tu as confiance. N'aie pas peur. N'attends pas. Raconte, même si la personne qui a abusé de toi est un membre de ta famille. Le dire à quelqu'un en qui tu as confiance t'apportera l'aide dont tu as besoin. Continue à en parler jusqu'à ce que quelqu'un t'aide.

8. Demandez aux élèves de penser à trois adultes à qui ils pourraient parler de leurs sentiments si quelqu'un les touchait d'une manière désagréable ou qui les mettait mal à l'aise. Demandez aux élèves de vous dire en qui ils ont confiance.

9. Lisez quelques-unes des situations suivantes aux élèves. Demandez-leur de vous dire ce qu'ils feraient dans chaque situation. • Un ami de tes parents veut toujours t'asseoir sur ses genoux. Il te serre vraiment très fort et tu n'aimes

pas ça. (DIRE NON, PARTIR, RACONTER) • Ton grand-père vient chez toi et te lit des livres. Il te demande de t'asseoir sur ses genoux pour lire.

C'est douillet et agréable de lire avec Papy. (Toucher acceptable) • L'amie de ta sœur aînée a commencé à te baby-sitter. Lorsque vient le moment de se préparer pour

aller au lit, elle essaie de te voir nu. (DIRE NON, PARTIR, RACONTER) • Tu prends un bain et tes parents t'aident à laver tes parties intimes.

(Toucher acceptable) • Tu vas à pied à l'école et quelqu'un que tu ne connais pas s'approche en voiture et te demande des

indications. (DIRE NON, PARTIR, RACONTER)

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Nom de l'unité : Santé Sexuelle Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 12 Programme de développement humain Niveau scolaire : 3 « Mon corps est privé » - Intimité corporelle La règle Dire non, partir, raconter

1. Dis NON !

2. PARS !

3. Raconte ce qui s’est passé à un adulte en qui tu as confiance.

NON !

Docteur Parent Enseignant

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Nom de l'unité : Santé Sexuelle Écoles publiques de Milwaukee Cours numéro : 12 Programme de développement humain Niveau scolaire : 3 « Mon corps est privé » - Intimité corporelle Chers parents ou tuteurs, En classe, nous avons parlé de « toucher acceptable » et de « toucher inacceptable ». Nous avons parlé avec les enfants des marques d'affection dispensées par la famille et les amis. Vous pouvez les encourager à vous parler davantage des marques d'affection qu'ils reçoivent (étreintes, baisers, frappes dans les mains, se tenir la main, quelqu'un qui frotte la tête ou le dos quand on ne se sent pas bien, etc.). Parlez avec votre enfant et, ensemble, réfléchissez à ce que votre enfant devrait faire s’il se perdait ou si un étranger s’approchait de lui. Écrivez ses suggestions et mettez-les à un endroit visible. Passez-les en revue. Nous avons également discuté des parties intimes du corps et de la marche à suivre quand quelqu'un les touche de façon inappropriée ou désagréable. Nous avons parlé de la règle DIRE NON, PARTIR, RACONTER à l'école. Les élèves ont appris que si quelqu'un les touche d'une manière qui les rend mal à l'aise, ils doivent :

• DIRE NON. Personne n'a le droit de te toucher sur ou près de tes parties intimes si cela te met mal à l'aise ou s’il n'y a pas de bonne raison (examen médical, aide d'un parent à la toilette). Si quelqu'un de plus âgé ou plus fort que toi te fait mal physiquement, que dois-tu dire ? NON

• Quand tu es dans ces situations, PARS ! Écoute ce que tes émotions te disent. Tu sais ce que sont les marques d'affection. Un attouchement qui te met en colère ou te fait peur est mauvais. Que dois-tu faire ? PARS

• RACONTE ce qui s’est passé à un adulte en qui tu as confiance. N'aie pas peur. N'attends pas. Raconte, même si la personne qui a abusé de toi est un membre de ta famille. Le dire à quelqu'un en qui tu as confiance t'apportera l'aide dont tu as besoin. Continue à en parler jusqu'à ce que quelqu'un t'aide.

Relisez et pratiquez ces règles jusqu'à ce que vous soyez sûr que votre enfant sait ce qu'il faut faire dans une situation d’abus. Merci de votre aide. Cordialement,

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Évaluations Écoles publiques de Milwaukee Programme de développement humain

Instructions d'évaluations Les évaluations doivent servir aux enseignants à appréhender dans quelle mesure les élèves assimilent le contenu. Les pages suivantes doivent être utilisées avec le programme HGD pour les évaluations. Les premières évaluations sont les pré/post-évaluations. Tous les élèves doivent y être soumis. Les pré/post-évaluations peuvent être utilisées dans le cadre du SLO d'un enseignant. Vous êtes également invités à remplir deux autres évaluations au cours du programme d'études HGD. Ces évaluations supplémentaires peuvent être utilisées comme évaluations formatives ou sommatives. Les enseignants qui ont préparé ces évaluations ont noté des activités dans le programme d'études qui pourrait être utilisées comme des évaluations pour les élèves. Voici une liste des évaluations :

• HGD Niveau 3 HGD - Pré- et post-évaluations Évaluations d'unité

• Niveau 3, Cours 2 : Fiche d'exercice Coups de pouce • Niveau 3, Cours 3 : Fiche d'exercice Amitié • Niveau 3, Cours 5 : Fiche d'exercice C'est vrai • Niveau 3, Cours 10 : Fiche d’exercice Qu'est-ce qui est cool ?

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Évaluations Écoles publiques de Milwaukee Programme de développement humain

Nom__________________________________________

Développement humain

_____ Pré-évaluation _____ Post-évaluation

1. Est-ce que tout ce que tu vois à la télé/sur Internet est réel ? Explique ta réponse.

2. Dois-tu toujours suivre ce que font tes amis ? Explique ta réponse.

3. Est-il plus important d'avoir l'air gentil ou d'être gentil avec les autres ? Explique ta réponse.

4. Serait-il acceptable que ton cousin te touche dans les zones couvertes par ton maillot de bain ? Explique ta réponse.

5. Est-il important d'être gentil avec les autres dans la salle de classe ? Explique ta réponse.

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