Hugier, notre village

la lettre

bulletin communal indépendant d’information et d’échange n° 12 octobre 2016

Sommaire

Jeu

La vie au village Au Conseil municipalSécurité routière dans le villageCarnetDans l’air du tempsOffices religieuxConcert à Hugier

Communauté de communesIntercommunalité

La Fontaine

Environnement et cadre de vie Où sont passées les buses ? … et les haies ? Alerte sur les buis Internet Très haut débit Gestion des déchets Pollution ordinaire

Histoire d’Hugier (feuilleton)au début du 19ème siècle …

À la recherche du temps perdu (feuilleton)

Miscellanées Jeu Exposition Sur le Mont Questions d'un naïf

Après la Tour Eiifel bleu-blanc-rouge (la lettre n° 11), la Tour arc-en-ciel, puis bleu-blanc-rouge, puis noir-jaune-rouge, quelles autres couleurs à venir ? … ©13 juin 2016 tempsreel.nouvelobs.com

Jeu…………….. Apprenons à regarder et à reconnaître les modestes fleurs des bords des routes et chemins. Il s'agit aujourd'hui de placer en face de chaque nom de la liste le numéro de laphoto qui lui correspond (photos prises en août et septembre entre Hugier et Chancevigney). Réponse en page 17.

Berce commune Centaurée MauveBrunelle commune Chardon Morelle noireCampanule agglomérée Clématite des haies Œillet des ChartreuxCampanule étalée Eupatoire Origan commun Campanule gantelée Euphorbe réveille matin ScabieuseCarline commune Gesse des prés SéneçonCarotte commune Guimauve officinale Vesce des haies

La vie au village

Au Conseil municipal

Rien de notable.

Sécurité routière dans le village

Les deux radars "pédagogiques" à l'entrée du village donnent des signes de fatigue et neseront peut-être pas réparés. À part les deux stops (pas toujours respectés) et l'aménagement discutable du carrefour devant l'église, on reviendra bientôt à la situationinitiale, avec des ... – j'allais dire un gros mot, je me retiens par respect pour mes lecteurs – irresponsables qui traversent toujours le village à 80 km/h.Il existe pourtant des solutions efficaces : quelqu'un a-t-il déjà essayé de traverser Cult àplus de 40 km/h depuis le printemps dernier ? et Marnay, Brussey, Audeux, Pouilley-les-Vignes … ?

CarnetMariages

Juliette Faivre et Jean-Michel Quirot le 21 mai 2016.

Virginie Valles et Nicolas Boissenin le 20 août 2016.

Nouveaux habitants

Bienvenue à Nadia Delaire et à ses enfants Lydie et Kevin Gusching, qui viennent de s'installer dans l'ancienne maison de Jean Faivre,

ainsi qu'à Anaïs Jeanneret, Johann Perrot et leur fils Lucas (maison en face la tour, depuis avril),

et à M. Jean-Luc Vauge, qui doit emménager prochainement dans l'ancienne maison de Paul Gardot.

Dans l’air du temps

La météo catastrophique de ce printemps a été bénéfique au moins pour les orchidées sauvages de notre territoire, qui ont été cette année particulièrement vigoureuses et abondantes. Les périodes de canicule et de sécheresse de juillet, août et début septembrenous ont rappelé ensuite que le changement climatique est bien en marche. En conséquence pour l'agriculture des foins abondants, des moissons finalement satisfaisantes et des vendanges moyennes en quantité mais d'un bon degré, qui ont commencé le 24 septembre, une date dans la moyenne.

Ophrys abeille Orchis pyramidal Ophrys bourdon

Offices religieux

Pas de messe prévue à Hugier dans les mois qui viennent.

Concert

Le désormais traditionnel concert au profit de la restaurationde l'église a eu lieu le 12 juin, avec le retour de l'ensemble Cleonide. Une page page Facebook "Des concerts pour notre église" présente cette animation dans notre village avec des photos et des informations.

Communauté de communes (CCVM)

Élargissement de la CCVM

Nous n'avons pas encore le compte-rendu de la dernière séance du Conseil où cette question devait être évoquée.

La FontainePremier vide-grenier à Hugier le 2 octobre.

Dans le placard aux archives de la Fontaine (tournoi de pétanque septembre 2008).

En consultant le site www.lafontainehugier.org vous saurez tout sur la vie de l’association.

Environnement et cadre de vieOù sont passées les buses ?

Ayant tenté pendant plusieurs jours en juin dernier de photographier une buse sur une botte de foin, je me suis aperçu que, là où les années précédentes on en voyait parfois une dizaine, elles avaient pratiquement disparu. En ce début d'automne, j'en observe heureusement de nouveau en nombre.On a trouvé récemment plusieurs buses mortes en limite de notre territoire ; conséquence du réchauffement climatique ? de pratiques agricoles douteuses – voir ci-après ?

et les haies ?

Pendant que certains replantent des haies, d'autres les suppriment (photo ci-après – icides arbustes divers et des alisiers, un arbre devenu rare dans notre paysage –).

© ian-patrick 2016

Savent-ils, ces conducteurs de tractopelles, que les haies constituent un élément majeur d'un environnement équilibré, non seulement du point de vue de la qualité des paysages et du cadre de vie, mais aussi pour une agriculture durable ? Un seul exemple : la prolifération des campagnols, observée depuis plusieurs années, liée notamment à la destruction des abris naturels de leurs prédateurs que constituent les haies, et aussi à la préférence des campagnols pour les milieux ouverts. D'où l'engrenage infernal : suppression des haiescampagnolspoisondestruction des buses qui mangent les campagnols empoisonnésprolifération des campagnols, etc ...

Alerte sur les buis

Vous avez peut-être constaté récemment sur vos buis des feuilles qui semblent décolorées par endroit. En observant de plus près, vous constaterezque c'est le limbe qui a été décapé, et, à l'intérieur du buis, que toutesles feuilles ont été dévorées, et qu'il y a des petites toiles et lesdéchets du casse-croûte (photos ci-dessous). Il s'agit d'un parasite quiest arrivé cette année à Hugier (en tout cas c'est la première annéeque je l'observe) : la pyrale du buis, chenille d'un papillon de nuitqui ravage les buis en France depuis plusieurs années. Avec beaucoup d'attention, vous pourrez voir la chenille en train de se régaler sur votre arbuste ; il faut en effet être très observateur, car l'animal fait preuve d'un mimétisme diabolique (photo ci-dessous à droite). Les chenilles mesurent de quelques mm à 5 cm de long, elles ont beaucoup d'appétit, et comme elles sont nombreuses si l'attaque est massive, elles ont vite fait de réduire un buis de bonne taille à l'état de squelette.

Quels sont les moyens de lutte : 1. manuel : on écrase les chenilles entre le pouce et l'index (pas besoin de gants, sauf si on est délicat, cette chenille n'est pas urticante) ; il faut répéter l'opération plusieurs jours de suite, car beaucoup en réchappent. Pour le papillon, si on le repère (en secouantles buis) on peut l'attraper à la main (il n'est pas très véloce) et le détruire ;2. pièges à phéromones pour détecter le début de l'apparition des papillons et bacillus thuringiensis,3. insecticides chimiques type Decis. Les deux premiers traitements sont bios ; le 3éme n'est pas recommandé, il tue tout ce qui bouge y compris les abeilles et les auxiliaires utiles au verger et au jardin, il sera d'ailleurs prochainement interdit. Quel que soit le moyen employé, il faudra de toute façon le renouveler plusieurs fois dans l'année (3 générations entre mars et septembre) et rester très attentif à tout signe d'attaque pour réagir immédiatement.

Un autre parasite, observé également pour la premièrefois cette année : le cylindrocladium buxicola. Ils'agit dune maladie cryptogamique (champignonmicroscopique) ; tout un côté de l'arbuste paraîtdesséché, phénomène qui se produit très rapidement. Quel traitement ? après avoir fait tomber les feuillessèches pulvériser un produit fongicide du commercecontre le dépérissement des buis, par exemple EminentGarden ou Sporgon Garden (à renouveler). Enprévention : purin d'ortie et/ou bouillie bordelaise.

À propos de buis, je vous propose un exercice de taille à la mode d'aujourd'hui.

Internet Très haut débit

La fibre optique est arrivée à Hugier : fin juillet, unetranchée nous l'a apportée depuis Chancey, en avance parrapport à ce qui nous avait été annoncé précédemment ;les derniers branchements et réglages sont en cours.Quelques mots de technique : la fibre arrive jusqu'aux"sous-répartiteurs" téléphoniques répartis dans le village,via une armoire installée derrière l'église, ensuite leréseau actuel (fils de cuivre) prendra le relais jusqu'àvotre prise téléphonique. Donc pas de travaux à la chargede l'abonné, mais un service très amélioré (débit jusqu'à10 ou 20 fois le débit actuel), ce qui permettra notamment

de recevoir la télévision via une box Internet, à condition bien sûr d'être abonné à un fournisseur d'accès (Orange et Free – à confirmer – dans un premier temps).Concernant le calendrier : selon "Haute-Saône numérique", l'ouverture commerciale, c'est à dire la possibilité pour les fournisseurs d'accès d'adapter leurs offres actuelles oude présenter de nouvelles offres, s'effectuera en novembre 2016, et ensuite les abonnés pourront bénéficier des possibilités ouvertes par le très haut débit (par exemple téléchargement audios ou vidéos beaucoup plus rapide, accès à la télévision via la box, donc sans antenne et indépendante – en principe – des conditions météo) .

Gestion des déchets

Depuis le 1er juillet, tous les emballages vont au recyclage, donc dans la poubelle jaune, gratuite (jusqu'à quand?). Profitons au maximum de cette possibilité pour réduire le nombre de ramassages de notre poubelle bleue, nombre qui gonfle la facture au delà de 12 par an. Mais ne nous faisons pas trop d'illusions : au delà des aspects écologiques, parfaitement estimables, l'objectif est, à terme, de réduire le nombre de tournées de ramassage, donc le service offert aux habitants contribuables, probablement sans diminuer la redevance.

Pollution ordinaire

Vu en bordure du bois de Fiole :

Ils* viennent jusque dans nos bois Pour polluer nos routes et nos campagnes ...

* Les industriels de la malbouffe

Histoire d’Hugier Feuilleton

au 19ème siècle … (suite)

L'hiver 1829-1830 est terrible : le froid s'installe dès la mi-novembre, jusqu'au 21février, et on compte au total plus de 100 jours de gel. Le thermomètre descendrégulièrement jusqu'à – 30°, les rivières restent gelées pendant plus d'un mois, leschemins envahis par une épaisse couche de neige restent longtemps impraticables. Lesconséquences sont dévastatrices : les semis d'automne sont détruits, les vignes gelées. En 1832, une grande sécheresse s'installe de juin à novembre, les sources sont taries,une nouvelle fois les récoltes sont catastrophiques.

1833 : le premier cadastre (dit cadastre napoléonien ou ancien cadastre), au senscontemporain du terme, voit le jour pour Hugier.

Rappelons que le cadastre rassemble l'ensemble des documents (plans, état de sections, matricecadastrale) établissant la répartition et la qualité de la propriété foncière du territoire, en vuenotamment d'établir les bases de calcul des impôts fonciers. Une première tentative, avortée, avaitété engagée par les autorités révolutionnaires, mais c'est Napoléon, par la loi du 15 septembre 1807,qui relance l'opération pour l'ensemble de la France. L'entreprise est gigantesque, des dizaines demillions de parcelles doivent être répertoriées, arpentées, les propriétaires identifiés et les conflitséventuels réglés ; elle durera plus de 40 ans et ne sera terminée qu'en 1850.Les remembrements effectués dans la plupart des communes dans la deuxième moitié du 20ème

siècle imposent une révision à partir de 1955, c'est le cadastre rénové que chacun peut consulter enMairie.Pour qui souhaite aller plus loin et utiliser le cadastre pour retrouver par exemple l'histoire de samaison, voici un document à consulter : http://cadastre.pagesperso-orange.fr/histoire-maison_aube.pdf.

À Hugier, le cadastre napoléonien est donc publié en 1833 ; il a fallu sans doute denombreux mois de travail aux géomètres Blanchot et Zéler pour effectuer le relevé deplus de 3000 parcelles réparties entre plus de 100 propriétaires. Au total sont compta-bilisés 418 hectares de terres labourables, 25 ha de prés, 131 ha de prés, 49 ha depâtures, 131 ha de bois, 25 ha de friches et 45,63 hectares de vignes.

Dans les pages suivantes sont présentés d'abord un plan qui rassemble les différentessections de 1833 et sur lequel on retrouvera notamment les anciens lieux-dits, lesparcelles de vigne (480) et les murgers qui façonnent le territoire ; ensuite unecomparaison entre les parcellaires au 19ème siècle et aujourd'hui, par l'exemple de lavigne du côté Ouest du village.Cette comparaison permet d'imaginer l'évolution des façons d'exploiter la terre, desmodes de vie et des paysages depuis 180 ans : de près de 160 parcelles, appartenant àune vingtaine de propriétaires différents, on est passé sur cette portion du territoired'Hugier à 3 vignes de plus d'un hectare chacune (plus 3 petites vignes familiales d'unedizaine d'ares, subsistance anachronique des siècles passés). D'une manière générale, au19ème siècle, la terre est répartie en lopins qui dépassent rarement quelques ares,dessinant une structure en "lames de parquet", résultat des partages successifs aprèssuccession (partages dans le sens de la longueur pour que chacun des héritiers bénéficiede la même qualité de terre) ; aujourd'hui, c'est l'efficacité de l'exploitation agricole quia guidé pour l'essentiel le découpage foncier.

Comment cela se passait-il sous l'Ancien Régime ? C'était alors sur la base de registresdescriptifs et estimatifs de la propriété appelés pouillé, terrier, ... de qualité très variablesuivant les régions, qu'étaient établies les impositions foncières seigneuriales et royales.On a la chance d'avoir conservé pour Hugier de tels registres datant de 1687 et 1745(archives familiales et départementales).

On y trouve pour chaque parcelle, classée par "pie" (voir page 16) et par "climat" (lieu-dit), le nom du propriétaire, la superficie et la situation (de levant, de couchant, de bize,de midy, …) par rapport aux parcelles voisines. Il n'y avait aucun plan. Ces listesservaient de base aux transactions, vente ou successions, par exemple :« es Baules la vigne appelée ??? contenant environ deux ouvrées se partagera parmoitié avec les héritiers d'Antoine Gardot à prendre la ?? du couchant entre leshéritiers de Balthazard Faivre de couchant et le copartageant de levant, aboutissantd'un bout sur le chemin de Chancey et de l'autre sur les héritiers dudit Faivre ».

On conçoit aisément le progrès de précision que représente le cadastre actuel avec sesplans et bornes de limitation des propriétés.

À suivre ■ ■ ■

… et entre les deux guerres

La suite de cette chronique dans le prochain numéro

À la recherche du temps perdu Feuilleton Promenade, racontotes et patrimoine

"…le souvenir d'une certaine image n'est que le regret d'un certain instant ; et les maisons, les routes,les avenues, sont fugitives, hélas, comme les années." Marcel Proust.

Dans le précédent numéro de la lettre, nous nous étions arrêtés au 1, rue de Pampouille* ; aujourd'hui, c'est l'ancienne maison seigneuriale du village, au n° 3, qui nous intéressera.Cette maison, comme la ferme attenante, a été édifiée au début du 18ème siècle. C'est sans doute Anne-Françoise Mathieu, épouse de Guillaume Pioton, avocat général du roi de Sicile à Thonon, héritière du domaine en 1686, qui la fit construire, sur les restes d'une construction plus ancienne dont il subsiste quelques témoignages. Si A.-F. Mathieu et son époux y ont probablement peu séjourné, leur fils Jean-Claude Pioton, y est passé au moins le temps de faire un enfant non reconnu à une jeune fille de Chancevigney.La propriété est vendue en 1735 à Pierre-FrançoisPetitcuenot, avocat au Parlement de Besançon, futurseigneur d'Hugier, qui, lui non plus, ne doit passéjourner souvent dans son domaine puisqu'on croitdevoir saluer son passage par une inscription,aujourd'hui conservée au dessus d'un portillon à l'entréede la propriété.Derniers propriétaires sous l'Ancien régime : le lieutenant-général François-Eugène Devault, à partir de 1760, puis son neveu, le baron Alexandre Devault, aide-maréchal des logis, dernier seigneur d'Hugier, mort sans descendance vers 1802. A l'époque, la maison de maître est parfois qualifiée de "pavillon de Bouloy ou Bouloie" (voir document ci-dessous), pourquoi, on l'ignore (Bouloie est le nom d'un lieu-dit du côté du bois de Bay, probablement à cause de l'existence dans le secteur de bouleaux, depuis longtemps disparus).

Pendant toute cette période où les propriétaires n'habitent pas sur place, ce sont des fermiers qui assurent l'exploitation des terres et l'entretien du domaine ; ils logent à côté de la maison principale dans le bâtiment de ferme où se trouvent également « grangeage, écurie, cuverie, chenevière ... ». Le clos attenant, d'une superficie de 4 journaux (plus d'un hectare), entouré de murs, comporte 3 parties : potager, verger et vigne.Les derniers fermiers ont été Antoine Groshenry, originaire de Sornay, et son beau-frère Jean-Baptiste Balancet. Ils seront les deux premiers maires d'Hugier après la Révolution et c'est J.-B. Balancet qui devient alors propriétaire du domaine où il décède en 1814 et qu'il lègue par moitié à ses deux filles, Thérèse épouse Royer et Jeanne-Baptiste épouse Millot.

vers 1970

aujourd'hui

Nous évoquerons dans le prochain numéro la période Royer-Millot-Martin. À suivre ■ ■ ■

* Certains se demandent quelle est l'origine du nom de cette rue, Pampouille, qui fait parfois sourire. Il s'agit du nom d'un lieu-dit qui se situait avant le croisement de la route de Bonboillon et du chemin de Chancevigney, côté Ouest.. Ce lieu-dit a donné son nom à l'une des trois " pies" qui partageaient le territoire de la commune pour organiser l'assolement triennal (pratique agricole de rotation des cultures sur 3 ans, avant l'invention des engrais chimiques et des pesticides) : la pie du bois de Bay (au sens évident), la pie des Mauchamps (sans doute "les mauvais champs"), et la pie de Pampouille (parfois orthographiée Pompouille, et dont la signification reste inconnue).

* Miscellanées

Jeu Solution du jeu de la première page

Berce commune 18 Centaurée 6 Mauve 8Brunelle commune 13 Chardon 10 Morelle noire 19 Campanule agglomérée 2 Clématite des haies 3 Œillet des Chartreux 21Campanule étalée 12 Eupatoire 16 Origan commun 9 Campanule gantelée 15 Euphorbe réveille matin 5 Scabieuse 2Carline commune 4 Gesse des prés 20 Séneçon 7Carotte commune 1 Guimauve officinale 17 Vesce des haies 14

Exposition

Ian-Patrick a exposé ses photos récentes à Liesle en juillet.

Sur le Mont

Un soir de printemps chemin des Vignes

Questions d'un naïf (aujourd'hui sur la publicité)

Pourquoi, à la fin des pubs pour les assurances, les mutuelles ou les banques, une dame parle-t-elle très, très vite pour me dire des choses que je ne comprends pas ?

Pourquoi mon supermarché qui se dit "producteur commerçant" ne produit-t-il que des pêches et des tomates immangeables ?

Pourquoi un Monsieur avec une barbe de 3 jours, un menton à fossette et une belle voix très grave veut-il que j'achète dès le mois de septembre du parfum comme cadeau deNoël pour ma femme ?

Une astuce pour ceux qui consultent la lettre sur Calaméo : passez d'abord en affichage plein écran (clic enhaut à droite sut l'icône correspondante ) ; vous pouvez ensuite zoomer, si vous souhaitez étudier de plus prèsune illustration (par exemple les plans du cadastre napoléonien) en cliquant sur l'image ; ensuite en bougeant lecurseur vous naviguerez dans l'image agrandie. En cliquant de nouveau sur l'image, vous revenez à la taillenormale . Pour sortir du mode plein écran : Echap (ou Escape).

Hugier notre village la lettre est publiée 3 fois par an sous la responsabilité de : Jean-Yves Normand03 84 31 56 74albertdethervay@gmail.com

auprès de qui vous pouvez réagir librement.

Sont bienvenues également les suggestions et les contributions (textes, photos, dessins, …) sur tout sujet d’intérêt commun relatif au village ; celles-ci seront publiées dans la mesure du possible.

Textes : jyn . Illustrations : archives privées pour tout ce qui concerne Hugier, Internet pour le reste. Sauf mention contraire (©), l’utilisation des documents est libre, à condition de citer la source.

Quelques sites à consulter pour qui est intéressé par la vie à Hugier et alentour :

alainmathiot.fr ianpatrickhugier.blogspot.fr patrickburdy.canalblog.com univers-singuliers.com

Alain Mathiot Ian-Patrick Patrick Burdy Poésie picturale de Maurice Noirot

petunias.fr lescoteauxdlhugier.com valmarnaysien.com hugierlafontaine.org cult.village.free.fr

Chambres d’hôtes Serge Ballot Communauté de communes La Fontaine Cult

Visitez les blogs et sites des artistes d'Hugier : Alain Mathiot, Ian-Patrick et Patrick Burdy ; vous y découvrirez, si vous ne lesconnaissez pas déjà, des œuvres de grande qualité. Si vous souhaitez aller plus loin, ces artistes vous accueilleront volontiers dans leur atelier (sur rendez-vous).

Parlez de cette publication à vos parents et amis susceptibles d’être intéressés.

Le présent numéro a été diffusé à 70 exemplaires (62 par courriel et 8 en version papier) chez 45 foyers d’Hugier et 25sympathisants.

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