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Frases de Marcel Proust 31 de julho de 2016 1- Ce qu'il y a d'admirable dans le bonheur des autres, c'est qu'on y croit. 2- Il n'y a pas de réussite facile ni d'échecs définitifs. 3- Le véritable voyage de découverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages, mais à avoir de nouveaux yeux. 4- Comme il n’est de connaissance, on peut presque dire qu’il n’est de jalousie que de soi-même. L’observation compte peu. Ce n’est que du plaisir ressenti par soi-même qu’on peut tirer savoir et douleur. 5- Les vrais paradis sont ceux qu’on a perdus. 6- Savoir qu'on n'a plus rien à espérer n'empêche pas de continuer à attendre. 7- L’amour c’est l’espace et le temps rendus sensibles au cœur. 8- Le souvenir d'une certaine image, n'est que (pas) le regret d'un certain instant. 9- Laissons les jolies femmes aux hommes sans imagination. 10- Je ressentis devant elle ce désir de vivre qui renaît en nous chaque fois que nous prenons de nouveau conscience de la beauté et du bonheur. 11- Comme il y a me géometrie dans l'espace, il y a une psychologie dans le temps, où les calculs d'une psychologie plane ne seraient plus exacts parce qu'on n'y tiendrait pas compte du temps et d'une des formes qu'il revet, l'oubli (...) qui est un si puissant instrument d'adaptation à la realité parce qu'il détruit peu à peu en nous le passé survivant qui est en constante contradiction avec ele. 12- En réalité, dans l'amour il y a une souffrance permanente, que la joie neutralise, rend virtuelle, ajourne, mais qui peut à tout moment devenir ce qu'elle serait depuis longtemps si l'on avait pas obtenu ce qu'on souhaitait, atroce.

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Frases de Marcel Proust

31 de julho de 2016

1- Ce qu'il y a d'admirable dans le bonheur des autres, c'est qu'on y croit.

2- Il n'y a pas de réussite facile ni d'échecs définitifs.3- Le véritable voyage de découverte ne consiste pas à chercher de

nouveaux paysages, mais à avoir de nouveaux yeux.4- Comme il n’est de connaissance, on peut presque dire qu’il n’est de

jalousie que de soi-même. L’observation compte peu. Ce n’est que du plaisir ressenti par soi-même qu’on peut tirer savoir et douleur.

5- Les vrais paradis sont ceux qu’on a perdus.6- Savoir qu'on n'a plus rien à espérer n'empêche pas de continuer à

attendre.7- L’amour c’est l’espace et le temps rendus sensibles au cœur.8- Le souvenir d'une certaine image, n'est que (pas) le regret d'un

certain instant.9- Laissons les jolies femmes aux hommes sans imagination.10- Je ressentis devant elle ce désir de vivre qui renaît en nous chaque

fois que nous prenons de nouveau conscience de la beauté et du bonheur.

11- Comme il y a me géometrie dans l'espace, il y a une psychologie dans le temps, où les calculs d'une psychologie plane ne seraient plus exacts parce qu'on n'y tiendrait pas compte du temps et d'une des formes qu'il revet, l'oubli (...) qui est un si puissant instrument d'adaptation à la realité parce qu'il détruit peu à peu en nous le passé survivant qui est en constante contradiction avec ele.

12- En réalité, dans l'amour il y a une souffrance permanente, que la joie neutralise, rend virtuelle, ajourne, mais qui peut à tout moment devenir ce qu'elle serait depuis longtemps si l'on avait pas obtenu ce qu'on souhaitait, atroce.

13- L'idée qu'on mourra est plus cruelle que mourir, mais moins que l'idée qu'un autre est mort.

14- Je sentais qu'une partie de la vie d'Albertine m'échappait. L'amour dans l'anxiété douloureuse comme dans le désir heureux est l'exigence d'un tout. Il ne naît, il ne subsiste que si une partie reste à conquérir. On n'aime que ce que l'on ne possède pas tout entier.

15- Si un autre me ressemble, c'est donc que j'étais quelqu'un.16- Il vaut mieux rêver sa vie que la vivre, encore que la vivre, ce soit

encore la rêver.17- Une heure n'est pas qu'une heure, c'est un vase rempli de

parfums, de sons, de projets et de climats.

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18- Car bien souvent, pour que nous découvrions que nous sommes amoureux, peut-être même pour que nous le devenions, il faut qu'arrive le jour de la séparation.

19- L'absence n'est-elle pas, pour qui aime, la plus certaine, la plus efficace, la plus vivace, la plus indestructible, la plus fidèle des présences?

20- Le véritable voyage de découverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages, mais à avoir de nouveaux yeux.

21- Notre mémoire et notre coeur ne sont pas assez grands pour pouvoir être fidèles.

22- Il y a dans notre âme des choses auxquelles nous ne savons pas combien nous tenons. Ou bien, si nous vivons sans elles, c'est parce que nous remettons de jour en jour, par peur d'échouer ou de souffrir, d'entrer en leur possession.

23- C'est parce qu'ils contiennent ainsi les heures du passé que les corps humains peuvent faire tant de mal à ceux qui les aiment.

24- Nos désirs vont s’interférant, et dans la confusion de l’existence, il est rare qu’un bonheur vienne justement se poser sur le désir qui l’avait réclamé.

25- Le seul véritable voyage, le seul bain de jouvence, ce ne serait pas d'aller vers de nouveaux paysages, mais d'avoir d'autres yeux, de voir l'univers avec les yeux d'un autre, de cent autres, de voir les cent univers que chacun d'eux voit, que chacun d'eux est.

26- Nous ne connaissons jamais que les passions des autres, et que ce que nous arrivons à savoir des nôtres, ce n'est que d'eux que nous avons pu l'apprendre.

27- Nous sommes tous obligés, pour rendre la réalité supportable, d'entretenir en nous quelques petites folies.

28- Soyons reconnaissants envers les gens qui nous rendent heureux. Ils sont les jardiniers qui font fleurir notre âme.

29- La beauté n’est pas dans les couleurs, mais dans leur harmonie.30- Nous n'arrivons pas à changer les choses suivant notre désir, mais

peu à peu notre désir change.31- En moi aussi bien des choses ont été détruites que je croyais

devoir durer toujours...32- La vie est semée de ces miracles que peuvent toujours espérer les

personnes qui aiment.33- L’amour physique, si injustement décrié, force tellement tout être

à manifester jusqu’aux moindres parcelles qu’il possède de bonté, d’abandon de soi, qu’elles resplendissent jusqu’aux yeux de l’entourage immédiat.

34- Et ces moments du passé ne sont pas immobiles; ils gardent dans notre mémoire le mouvement qui les entraînait vers l'avenir, - vers un avenir devenu lui-même le passé, - nous y entraînant nous-même".

35- il reste que c'est le temps qui amène progressiment l'oubli n'est pas sans altérer profoundément la notion du temps.

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36- Oui, si le souvenir, grâce à l'oubli, n'a pu contracter aucun lieu, jeter aucun chaînon entre lui et la minute présente, s'il est resté à sa place, à sa date, s'il a gardé ses distances, son isolement dans le creux d'une vallée ou à la pointe d'un sommet, il nous fait tout à coup respirer un air nouveau, précisément parce que c'est un air qu'on a respiré autrefois, cet air plus pur que les poètes ont vainement essayé de faire réguer dans le paradis et qui ne pourrait donner cette sensation profonde de renouvellement que s'il avait été respiré déjà, car les vrais paradis sont les paradis qu'un a perdue.

37- Pour la jalousie il n'est ni passé ni avenir et que ce qu'elle imagine est toujours le Présent.

38- Notre personnalité sociale est une création de la pensée des autres.

39- on aime toujours un peu à sortir de soi, à voyager, quand on lit".40- Autrefois on rêvait de posséder le cœur de la femme dont on était

amoureux; plus tard sentir qu’on possède le cœur d’une femme peut suffire à vous en rendre amoureux.

41- Le désir fleurit, la possession flétrit toutes choses.42- Alors moi qui depuis mon enfance, vivant au jour le jour et ayant

reçu d'ailleurs de moi-même et des autres une impression définitive, je m'aperçus pour la primière fois, d'après les métamorphoses qui s'étaient produites dans tous ces gens, du temps qui avait passé pour eux, ce qui me boulerversa par la révélation qu'il avait passé aussi pour moi.

43- On ne trouve le bonheur qu'à faire ce qu'on aime avec les tendances profondes de son âme.

44- ...cette indifférence aux souffrances qu'on cause et qui, quelques autres noms qu'on lui donne, est la forme terrible et permanente de la cruauté.

45- Dire que j'ai gâché des années de ma vie, que j'ai voulu mourir, que j'ai eu mon plus grand amour, pour une femme qui ne me plaisait pas, qui n'était pas mon genre.

46- Ce que je reproche aux journaux, c'est de nous faire faire attention, tous les jours, à des choses insignifiantes, tandis que nous lisons trois ou quatre fois dans notre vie des choses essentielles.

47- il ne faut jamais discuter sur les romans ni sur les pièces de théâtre. Chacun a sa manière de voir et vous pouvez trouver détestable ce que j’aime le mieux.

48- Un homme qui dort, tient en cercle autour de lui le fil des heures, l'ordre des années et des mondes.

49- Il faudrait choisir de cesser de souffrir ou de cesser d'aimer. Car, ainsi qu'au début il est formé par le désir, l'amour n'est entretenu plus tard que par l'anxiété douloureuse.

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50- "Si nous croyons qu'il y a peu de choses drôles, C'est que nous ne savons pas les y voir."

51- Désirer avoir de la volonté n'y suffisait pas. Il aurait fallu précisément ce que je ne pouvais sans volonté: le vouloir.

52- Le souvenir d'une certaine image n'est que le regret d'un certain instant”

53- Le bonheur est salutaire pour le corps, mais c'est le chagrin qui développe les forces de l'esprit.

54- La force qui fait le plus de fois le tour de la terre en une seconde, ce n'est pas l'électricité, c'est la douleur.

55- Nos plus grandes craintes, comme nos plus grandes espérances, ne sont pas au-dessus de nos forces, et nous pouvons finir par dominer les unes et réaliser les autres.

56- Les châtiments, on croit les éviter parce qu'on fait attention aux voitures... Mais il en est d'internes. L'accident vient du côté auquel on ne songeait pas, du dedans, du coeur.

57- La douleur est un aussi puissant modificateur de la réalité qu'est l'ivresse.

58- On n’aime que ce qu’on ne possède pas tout entier.59- Notre personnalité sociale est une création de la pensée des

autres.60- Si la littérature constitue un moyen privilégié pour connaître la vie,

c'est au fond parce qu'elle n'est finalement rien d'autre que la vie elle-même.

61- Nous sommes tous obligés, pour rendre la réalité supportable, d'entretenir en nous quelques petites folies.

62- Nous trouvons de tout dans notre mémoire. Elle est une espèce de pharmacie, de laboratoire de chimie, où on met au hasard la main tantôt sur une drogue calmante, tantôt sur un poison dangereux.

63- Sans doute, l'amitié, l'amitié qui a égard aux individus, est une chose frivole, et la lecture est une amitié sincère (...). Dans la lecture, l'amitié est soudain ramenée à sa pureté première. Avec les livres, pas d'amabilité.

64- La jalousie n’est souvent qu’un inquiet besoin de tyrannie appliqué aux choses de l’amour.

65- Le bonheur seul est salutaire pour le corps, mais c'est le chagrin qui développe les forces de l'esprit.

66- On désire être compris parce qu'on désire être aimé, et on désire être aimé parce qu'on aime. La compréhension des autres est indifférente et leur amour importun.

67- L'intelligence n'est pas l'instrument le plus subtil, le plus puissant, le plus approprié pour saisir-le-Vrai... c'est la vie qui peu à peu, cas par cas, nous permet de remarquer que ce qui est le plus important pour notre coeur, ou pour notre esprit, ne nous est pas appris par le raisonnement mais par des puissances autres.

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68- La douleur est un aussi puissant modificateur de la réalité qu’est l’ivresse.

69- On se souvient d'une atmosphère parce que des jeunes filles y ont souri.

70- Nous n'arrivons pas à changer les choses suivant notre désir, mais peu à peu notre désir change.

71- Dans l'attente, on souffre tant de l'absence de ce qu'on désire qu'on ne peut supporter une autre présence.

72- Mais l'important dans la vie n'est pas ce qu'on aime, reprit-il (Charlus) d'un ton compétent, péremptoire et presque tranchant, c'est d'aimer.

73- Je suis arrivé à un âge où il faut prendre parti, décider une fois pour toutes qui on veut aimer, et qui on veut dédaigner, se tenir à ceux qu'on aime et, pour réparer le temps qu'on a gâché avec les autres, ne plus les quitter jusqu'à la mort.

74- Nos désirs vont s'interfèrant, et dans la confusion de l'existence, il est rare qu'un bonheur vienne justement se poser sur le désir qui l'avait réclamé.

75- C'est étonnant comme la jalousie, qui passe son temps à faire de petites suppositions dans le faux, a peu d'imagination quand il s'agit de découvrir le vrai.

76- On dédaigne volontiers un but qu'on n'a pas réussi à atteindre, ou qu'on atteint définitivement.

77- Cette impossibilité où nous sommes, quand nous avons à raisonner sur la mort, de nous représenter autre chose que la vie.

78- On ne reçoit pas la sagesse, il faut la découvrir soi-même après un trajet que personne ne peut faire pour nous, ne peut nous épargner, car elle est un point de vue sur les choses.

79- Le temps dont nous disposons chaque jour est élastique; les passions que nous ressentons le dilatent, celles que nous inspirons le rétrécissent, et l’habitude le remplit.

80- Quant au bonheur, il n’a presque qu’une seule utilité, rendre le malheur possible.

81- Quand on aime, l’amour est trop grand pour pouvoir être contenu tout entier en nous; il irradie vers la personne aimée, rencontre en elle une surface qui l’arrête, le force à revenir vers son point de départ; et c’est ce choc en retour de notre propre tendresse que nous appelons les sentiments de l’autre et qui nous charme plus qu’à l’aller, parce que nous ne connaissons pas qu’elle vient de nous.

82- Le bonheur est salutaire pour le corps, mais c’est le chagrin qui développe les forces de l’esprit.

83- « On ne connaît pas son bonheur. On n'est jamais aussi malheureux qu'on croit. »

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84- Ah! dans ces premiers temps où l’on aime, les baisers naissent si naturellement!Ils foisonnent si pressés les uns contre les autres ; et l’on aurait autant de peine à compter les baisers qu’on s’est donnés pendant une heure que les fleurs d’un champ au mois de mai.

85- Plus tard, l'absence porta d'autres enseignements plus amers encore, qu'on s'habitue à l'absence, que c'est la plus grande diminution de soi-même, la plus humiliante souffrance de sentir qu'on n'en souffre plus.

86- Ah! dans ces premiers temps où l’on aime, les baisers naissent si naturellement!Ils foisonnent si pressés les uns contre les autres ; et l’on aurait autant de peine à compter les baisers qu’on s’est donnés pendant une heure que les fleurs d’un champ au mois de mai.

87- On arrange aisément les récits du passé que personne ne connait plus, comme ceux des voyages dans les pays où personne n'est jamais allé.

88- Nous travaillons à tout moment à donner sa forme à notre vie, mais en copiant malgré nous comme un dessin les traits de la personne que nous sommes et non de celle qu'il nous serait agréable d'être.

89- Les gens du monde se représentent volontiers les livres comme une espèce de cube dont une face est enlevée, si bien que l'auteur se dépêche de "faire entrer" dedans les personnes qu'il rencontre.

90- La vrai beauté est si particulière, si nouvelle qu'on ne la reconnaît pas pour la beauté.

91- Les querelles qui fortifient un amour naissant avancent la fin d'un amour qui a beaucoup duré, comme ces maladies d'où les jeunes gens sortent plus vigoureux, mais auxquelles succombent les vieillards.

92- On ne reçoit pas la sagesse, il faut la découvrir soi-même après un trajet que personne ne peut faire pour nous, ne peut nous épargner, car elle est un point de vue sur les choses.

93- Les intérêts de notre vie sont si multiples qu'il n'est pas rare que dans une même circonstance les jalons d'un bonheur qui n'existe pas encore soient posés à côté de l'aggravation d'un chagrin dont nous souffrons.

94- Si mes parents m'avaient permis, quand je lisais un livre, d'aller visiter la région qu'il décrivait, j'aurais cru faire un pas inestimable dans la conquête de la vérité.

95- Un homme qui dort, tient en cercle autour de lui le fil des heures, l'ordre des années et des mondes. Il les consulte d'instinct en s'éveillant et y lit en une seconde le point de la terre qu'il occupe, le temps qui s'est écoulé jusqu'à son réveil.

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96- Ce n’est pas parce que les autres sont morts que notre affection pour eux s’affaiblit, c’est parce que nous mourons nous-mêmes.

97- En amour, il est plus facile de renoncer à un sentiment que de perdre une habitude.

98- La maladie est le plus écouté des médecins: à la bonté, au savoir on ne fait que promettre; on obéit à la souffrance.

99- On ne guérit d'une souffrance qu'à condition de l'éprouver pleinement.

100- Mon voyage à Balbec fut comme la première sortie d'un convalescent qui n'attendait plus qu'elle pour s'apercevoir qu'il est guéri.

101- Chaque lecteur est, quand il lit, le propre lecteur de soi-même.102- Ce qui est étonnant, dit-il, c’est que ce public qui ne juge ainsi

des hommes et des choses de la guerre que par les journaux est persuadé qu’il juge par lui-même.

103- Les être nous sont d'habitude si indifférents que, quand nous avons mis dans l'un d'eux de telles possibilités de souffrance et de joie pour nous, il nous semble appartenir à un autre univers, il s'entoure de poésie, il fait de notre vie comme une étendue émouvante où il sera plus ou moins rapproché de nous.

104- L'espérance d’être soulagé lui donne du courage pour souffrir.105- Il n'y a plus de société, plus de règles, plus de convenances, pas

plus pour la conversation que pour la toilette. Ah! mon cher, c'est la fin du monde. Tout le monde est si méchant. C'est à qui dira le plus de mal des autres. C'est une horreur.

106- Jusque là, parce que je n'avais pas compris, je n'avais pas vu. Le vice (on parle ainsi pour la commodité du langage), le vice de chacun l'accompagne à la façon de ce génie qui était invisible pour les hommes tant qu'ils ignoraient sa présence. La bonté, les fourberies, le nom, les relations mondaines ne se laissent pas découvrir, et on les porte cachés. Ulysse lui-même ne reconnaissait pas Athénée.

107- Les êtres nous sont d'habitude si indifférents que, quand nous avons mis dans l'un d'eux de telles possibilités de souffrance et de joie pour nous, il nous semble appartenir à un autre univers, il s'entoure de poésie, il fait de notre vie comme une étendue émouvante où il sera plus ou moins rapproché de nous.

108- Il n'y a rien de plus agréable que de se donner de l'ennui pour une personne qui en vaille la peine.

109- Une personne n'est pas, comme j'avais cru, claire et immobile devant nous avec ses qualités, ses défauts, ses projets, ses intentions à notre égard (comme un jardin qu'on regarde, avec toutes ses plates-bandes, à travers une grille), mais est une ombre où nous ne pouvons jamais pénétrer, pour laquelle il n'existe pas de connaissance directe, au sujet de quoi nous nous faisons des

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croyances nombreuses à l'aide de paroles et même d'actions, lesquelles les unes et les autres ne nous donnent que des renseignements insuffisants et d'ailleurs contradictoires, une ombre où nous pouvons tour à tour imaginer, avec autant de vraisemblance, que brillent la haine et l'amour.

110- Je trouve ridicule au fond qu'un homme de son intelligence souffre pour une personne de ce genre et qui n'est même pas intelligente, car on la dit idiote ", ajouta-t-elle avec la sagesse des gens non amoureux qui trouvent qu'un homme d'esprit ne devrait être malheureux que pour une personne qui en valût la peine; c'est à peu près comme s'étonner qu'on daigne souffrir du choléra par le fait d'un être aussi petit que le bacille virgule.

111- Jusque là, parce que je n'avais pas compris, je n'avais pas vu. Le vice (on parle ainsi pour la commodité du langage), le vice de chacun l'accompagne à la façon de ce génie qui était invisible pour les hommes tant qu'ils ignoraient sa présence. La bonté, les fourberies, le nom, les relations mondaines ne se laissent pas découvrir, et on les porte cachés. Ulysse lui-même ne reconnaissait pas Athénée.

112- … les femmes qu’on aime plus et qu’on rencontre après des années, n’y a-t-il pas entre elles et vous la mort, tout aussi bien que si elles n’étaient plus de ce monde, puisque le fait que notre amour n’existe plus fait de celles qu’elles étaient alors, ou de celui que nous étions, des morts?

113- On n'est jamais aussi malheureux qu'on croit.114- Le chagrin qui n'est nullement une conclusion pessimiste

librement tirée d'un ensemble de circonstances funestes, mais la reviviscence intermittente et involontaire d'une impression spécifique, venue du dehors, et que nous n'avons pas choisie.

115- Les idées sont des succédanés des chagrins; au moment où ceux-ci se changent en idées, ils perdent une partie de leur action nocive sur notre cœur, et même au premier instant, la transformation elle-même dégage subitement de la joie.

116- Le véritable voyage de découverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages, mais à avoir de nouveaux yeux.

117- … les femmes qu’on aime plus et qu’on rencontre après des années, n’y a-t-il pas entre elles et vous la mort, tout aussi bien que si elles n’étaient plus de ce monde, puisque le fait que notre amour n’existe plus fait de celles qu’elles étaient alors, ou de celui que nous étions, des morts?

118- On ne connaît pas son bonheur. On n'est jamais aussi malheureux qu'on croit.

119- Le chagrin qui n'est nullement une conclusion pessimiste librement tirée d'un ensemble de circonstances funestes, mais la reviviscence intermittente et involontaire d'une impression spécifique, venue du dehors, et que nous n'avons pas choisie.

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120- Les idées sont des succédanés des chagrins; au moment où ceux-ci se changent en idées, ils perdent une partie de leur action nocive sur notre cœur, et même au premier instant, la transformation elle-même dégage subitement de la joie.

121- En réalité, dans l'amour il y a une souffrance permanente, que la joie neutralise, rend virtuelle, ajourne, mais qui peut à tout moment devenir ce qu'elle serait depuis longtemps si l'on avait pas obtenu ce qu'on souhaitait, atroce.

122- C'est tout de même malheureux que ce soit à moi d'apprendre son histoire à un professeur en Sorbonne.

123- Celui qui veut entretenir en soi le désir de continuer à vivre et la croyance en quelque chose de plus délicieux que les choses habituelles, doit se promener. Car les rues, les avenues sont pleines de Déesses. Mais les Déesses ne se laissent pas approcher.

124- Ce qu'il faut savoir, c'est si vraiment tu es cet être qui est au dernier rang de l'esprit, et même du charme, l’être méprisable qui n'est pas capable de renoncer à un plaisir. Alors, si tu es cela, comment pourrait-on t'aimer, car tu n'es même pas une personne, une créature définie, imparfaite, mais du moins perfectible? Tu es une eau informe qui coule selon la pente qu'on lui offre, un poisson sans mémoire et sans réflexion qui tant qu'il vivra dans son aquarium se heurtera cent fois par jour contre le vitrage qu'il continuera à prendre pour de l'eau.

125- Mais pourquoi est-ce qu'on ne peut pas tout dire, tout penser? Je peux avoir raison, vous aussi. Comme c'est terrible et étroit d'avoir une opinion.

126- Mais il compta que cette existence durait déjà depuis plusieurs années, que tout ce qu’il pouvait espérer c’est qu’elle durât toujours, qu’il sacrifierait ses travaux, ses plaisirs, ses amis, finalement toute sa vie à l’attente quotidienne d’un rendez-vous qui ne pouvait rien lui apporter d’heureux, et il se demanda s’il ne se trompait pas, si ce qui avait favorisé sa liaison et en avait empêché la rupture n’avait pas desservi sa destinée, si l’événement désirable, ce n’aurait pas été celui dont il se réjouissait tant qu’il n’eût eu lieu qu’en rêve : son départ ; il se dit qu’on ne connaît pas son malheur, qu’on n’est jamais si heureux qu’on croit.

127- Car tant que notre coeur enferme d’une façon permanente l’image d’un autre être, ce n’est pas seulement notre bonheur qui peut à tout moment être détruit; quand ce bonheur est évanoui, quand nous avons souffert, puis, que nous avons réussi à endormir notre souffrance, ce qui est aussi trompeur et précaire qu’avait été le bonheur même, c’est le calme.

128- Mais même au point de vue des plus insignifiantes choses de la vie, nous ne sommes pas un tout matériellement constitué, identique pour tout le monde et dont chacun n'a qu'à aller prendre

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connaissance comme d'un cahier des charges ou d'un testament; notre personnalité sociale est une création de la pensée des autres. Même l'acte si simple que nous appelons "voir une personne que nous connaissons" est en partie un acte intellectuel. Nous remplissons l'apparence physique de l'être que nous voyons de toutes les notions que nous avons sur lui, et dans l'aspect total que nous nous représentons, ces notions ont certainement la plus grande part. Elles finissent par gonfler si parfaitement les joues, par suivre en une adhérence si exacte la ligne du nez, elles se mêlent si bien de nuancer la sonorité de la voix, comme si celle-ci n'était qu'une transparente enveloppe, que chaque fois que nous voyons ce visage et que nous entendons cette voix, ce sont ces notions que nous retrouvons, que nous écoutons.

129- Comme tous ceux qui possèdent une chose, pour savoir ce qui arriverait s’il cessait un moment de la posséder il avait ôté cette chose de son esprit, en y laissant tout le reste dans le même état que quand elle était là. Or l’absence d’une chose, ce n’est pas que cela, ce n’est pas un simple manque partiel, c’est un bouleversement de tout le reste, c’est un état nouveau qu’on ne peut prévoir dans l’ancien.

130- Ah! dans ces premiers temps où l’on aime, les baisers naissent si naturellement! Ils foisonnent si pressés les uns contre les autres; et l’on aurait autant de peine à compter les baisers qu’on s’est donnés pendant une heure que les fleurs d’un champ au mois de mai.

131- Autrefois on rêvait de posséder le cœur de la femme dont on était amoureux; plus tard sentir qu’on possède le cœur d’une femme peut suffire à vous en rendre amoureux.

132- Car l’homme est cet être sans âge fixe, cet être qui a la faculté de redevenir en quelques secondes de beaucoup d’années plus jeune, et qui entouré des parois du temps où il a vécu, y flotte, mais comme dans un bassin dont le niveau changerait constamment et le mettrait à la portée tantôt d’une époque, tantôt d’une autre.

133- Nous sommes tous obligés pour rendre la réalité supportable d'entretenir en nous quelques petites folies.

134- (...) la sagesse des gens non amoureux, qui trouvent qu'un homme d'esprit ne devrait être malheureux que pour une personne qui en valût la peine, c'est à peu près comme s'étonner qu'on daigne souffrir du choléra par le fait d'un être aussi petit que le bacille virgule.

135- Et avec cette muflerie intermittente qui reparaissait chez lui dès qu'il n'était plus malheureux et que baissait du même coup le niveau de sa moralité, il s'écria en lui-même: "Dire que j'ai gâché des années de ma vie, que j'ai voulu mourir, que j'ai eu mon plus

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grand amour, pour une femme qui ne me plaisait pas, qui n'était pas mon genre!"

136- Comme on sait peu ce qu'on a dans le coeur!137- On se souvient d’une atmosphère parce que des jeunes filles y ont souri.138- La possession de ce qu’on aime est une joie plus grande encore que l’amour.139- En amour, il est plus facile de renoncer à un sentiment que de perdre une

habitude.

140- L'amour devient immense, nous ne songeons pas combien la femme réelle y tient peu de place.

141- Je l'aimais et ne pouvais par conséquent la voir sans ce trouble, sans ce désir de quelque chose de plus qui ôte, auprès de l'être qu'on aime, la sensation d'aimer.

142- Sans doute peu de personnes comprennent le caractère purement subjectif du phénomène qu'est l'amour, et la sorte de création que c'est d'une personne supplémentaire, distincte de celle qui porte le même nom dans le monde, et dont la plupart des éléments sont tirés de nous-mêmes.

143- L'amour le plus exclusif pour une personne est toujours l'amour d'autre chose.

144- Si tranquille qu'on se croie quand on aime, on a toujours l'amour dans son coeur en état d'équilibre instable.

145- La manière chercheuse, anxieuse, exigeante, que nous avons de regarder la personne que nous aimons rend notre attention en face de l'être aimé trop tremblante pour qu'elle puisse obtenir de lui une image bien nette.

146- Si tranquille qu'on se croie quand on aime, on a toujours l'amour dans son coeur en état d'équilibre instable.

147- Le bonheur, la possession de la beauté, ne sont pas des choses inaccessibles et nous avons fait oeuvre inutile en y renonçant à jamais.

148- Pour tous les éléments qui dans la vie et ses situations contrastées se rapportent à l'amour, le mieux est de ne pas essayer de comprendre, puisque, dans ce qu'ils ont d'inexorable comme d'inespéré, ils semblent régis par des lois plutôt magiques que rationnelles.

149- On peut avoir du goût pour une personne. Mais pour déchaîner cette tristesse, ce sentiment de l'irréparable, ces angoisses qui préparent l'amour, il faut - et il est peut-être ainsi, plutôt que ne l'est une personne, l'objet même que cherche anxieusement à étreindre la passion - le risque d'une impossibilité.

150- Le mensonge ne recommence à nous causer l'indignation, et la bonté la reconnaissance qu'ils devraient toujours exciter en nous, que s'ils viennent d'une femme que nous aimons, et le désir physique a ce merveilleux pouvoir de rendre son prix à l'intelligence et des bases solides à la vie morale.

151- En amour, notre rival heureux, autant dire notre ennemi, est notre bienfaiteur. A un être qui n'excitait en nous qu'un insignifiant désir physique il ajoute aussitôt une valeur immense, étrangère, mais que nous confondons avec lui. Si nous n'avions pas de rivaux, le plaisir ne se transformerait pas en amour.

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152- Il semble que dans la vie mondaine, reflet insignifiant de ce qui se passe en amour, la meilleure manière qu'on vous recherche, c'est de se refuser.

153- Son sommeil réalisait, dans une certaine mesure, la possibilité de l'amour; seul, je pouvais penser à elle, mais elle me manquait, je ne la possédais pas; présente, je lui parlais, mais étais trop absent de moi-même pour pouvoir penser. Quand elle dormait, je n'avais plus à parler, je savais que je n'étais plus regardé par elle, je n'avais plus besoin de vivre à la surface de moi-même.

154- On n'aime que ce en quoi on poursuit quelque chose d'inaccessible, on n'aime que ce qu'on ne possède pas.

155- Dans les personnes que nous aimons, il y a, immanent à elles, un certain rêve que nous ne savons pas toujours discerner mais que nous poursuivons.

156- Les mille bontés de l'amour peuvent finir par éveiller chez l'être qui l'inspire et ne l'éprouve pas, une affection, une reconnaissance, moins égoïstes que le sentiment qui les a provoquées, et qui, peut-être, après des années de séparation, quand il ne resterait rien de lui chez l'ancien amant, subsisterait toujours chez l'aimée.

157- Une femme qu'on aime suffit rarement à tous nos besoins et on la trompe avec une femme qu'on n'aime pas.

158- Vivez tout à fait avec la femme et vous ne verrez plus rien de ce qui vous l'a fait aimer.

159- Pendant quelques minutes, je sentis qu'on peut être près de la personne qu'on aime et cependant ne pas l'avoir avec soi.

160- Quand on veut se rappeler de quelle façon on a commencé d'aimer une femme, on aime déjà; les rêveries d'avant, on ne se disait pas: c'est le prélude d'un amour, faisons attention; et elles avançaient par surprise, à peine remarquées de nous.

161- Les homosexuels seraient les meilleurs maris du monde s'ils ne jouaient pas la comédie d'aimer les femmes.

162- La souffrance dans l'amour cesse par instants, mais pour reprendre d'une façon différente. Nous pleurons de voir celle que nous aimons ne plus avoir avec nous ces élans de sympathie, ces avances amoureuses du début, nous souffrons plus encore que, les ayant perdus pour nous, elle les retrouve pour d'autres.

163- Nos désirs vont s'interférant et, dans la confusion de l'existence, il est rare qu'un bonheur vienne justement se poser sur le désir qui l'avait réclamé.

164- S'il peut quelquefois suffire pour que nous aimions une femme qu'elle nous regarde avec mépris, et que nous pensions qu'elle ne pourra jamais nous appartenir, quelquefois aussi il peut suffire qu'elle nous regarde avec bonté et que nous pensions qu'elle pourra nous appartenir.

165- Nos désirs vont s'interférant et, dans la confusion de l'existence, il est rare qu'un bonheur vienne justement se poser sur le désir qui l'avait reclame.

166- Mais le bonheur ne peut jamais avoir lieu. Si les circonstances arrivent à être surmontées, la nature transporte la lutte du dehors au dedans et fait peu à peu changer assez notre coeur pour qu'il désire autre chose que ce qu'il va posséder. Et si la péripétie a été si rapide que notre coeur

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n'a pas eu le temps de changer, la nature ne désespère pas pour cela de nous vaincre, d'une manière plus tardive il est vrai, plus subtile, mais aussi efficace. C'est alors à la dernière seconde que la possession du bonheur nous est enlevée, ou plutôt c'est cette possession même que par ruse diabolique la nature charge de détruire le bonheur. Ayant échoué dans tout ce qui était du domaine des faits et de la vie, c'est une impossibilité dernière, l'impossibilité psychologique du bonheur, que la nature crée. Le phénomène du bonheur ne se produit pas ou donne lieu aux réactions les plus amères.

167- Je ressentis devant elle ce désir de vivre qui renaît en nous chaque fois que nous prenons de nouveau conscience de la beauté et du bonheur.

168- Ce fut vers cette époque que Bloch bouleversa ma conception du monde, ouvrit pour moi des possibilités nouvelles de bonheur (qui devaient du reste se changer plus tard en possibilités de souffrance), en m'assurant que, contrairement à ce que je croyais au temps de mes promenades du côté de Méséglise, les femmes ne demandaient jamais mieux que de faire l'amour.

169- Je sentais que la recherche du bonheur dans la satisfaction du désir moral était aussi naïve que l'entreprise d'atteindre l'horizon en marchant devant soi. Plus le désir avance, plus la possession véritable s'éloigne. De sorte que si le bonheur, ou du moins l'absence de souffrances, peut être trouvé, ce n'est pas la satisfaction, mais la réduction progressive, l'extinction finale du désir qu'il faut chercher. On cherche à voir ce qu'on aime, on devrait chercher à ne pas le voir, l'oubli seul finit par amener l'extinction du désir.

170- Quant au bonheur, il n'a presque qu'une seule utilité, rendre le malheur possible.

171- A supposer qu'elle eût éprouvé du bonheur à passer les après-midi rien qu'avec moi, à Balbec, je savais qu'il ne se laisse jamais posséder complètement et qu'Albertine, encore à l'âge (que certains ne dépassent pas) où on n'a pas découvert que cette imperfection tient à celui qui éprouve le bonheur, non à celui qui le donne, eût pu être tentée de faire remonter à moi la cause de sa déception.

172- Et avec cette muflerie intermittente qui reparaissait chez lui dès qu'il n'était plus malheureux et que baissait du même coup le niveau de sa moralité, il s'écria en lui-même: "Dire que j'ai gâché des années de ma vie, que j'ai voulu mourir, que j'ai eu mon plus grand amour, pour une femme qui ne me plaisait pas, qui n'était pas mon genre!"

173- Comme on sait peu ce qu'on a dans le coeur!174- Les créatures qui ont joué un grand rôle dans notre vie, il est rare

qu'elles en sortent tout d'un coup d'une façon définitive. Elles reviennent s'y poser par moments (au point que certains croient à un recommencement d'amour) avant de la quitter à jamais.

175- Les créatures qui ont joué un grand rôle dans notre vie, il est rare qu'elles en sortent tout d'un coup d'une façon définitive. Elles reviennent s'y poser par moments (au point que certains croient à un recommencement d'amour) avant de la quitter à jamais.

176- On dit, et c’est ce qui explique l’affaiblissement progressif de certaines affections nerveuses, que notre système nerveux vieillit. Cela

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n’est pas vrai seulement pour notre moi permanent, qui se prolonge pendant toute la durée de notre vie, mais pour tous nos moi successifs qui, en somme, le composent en partie.

177- J'ai bcp aimé la vie, j'ai beaucoup aimé les arts.Maintenant, tous ces anciens me semblent très précieuxJe m'ouvre, à moi-même comme une espèce de vitrine et, je regarde un à un tout. ces amours que les autres n'ont pas eu, et je me dis que ce sera bien embêtant de quitter tout cela.

178- Les modes changent, étant nées elles-mêmes du besoin de changement.

179- Oh, merveilleux arts, qui nous font tant de bien, comme de tourner les pages d'un très bon livre!! fermons pendant un petit moment , les portes du monde réel!!!!

180- Ce n’est pas que l’éducation des enfants, c’est celle des poètes qui se fait à coups de gifles

181- les navettes agiles des années tissent des fils entre ceux de nos souvenirs qui semblaient d’abord les plus indépendants.

182- La pensée et la vie nous sont comme administrées par Dieu comme antidotes l'une de l'autre. Les plaisirs de la pensée nous adoucissent les chagrins de la vie, et les plaisirs de la vie corrigent ce qu'il y a de trop rude dans les chagrins de la pensée.

183- Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n'avais pas le temps de me dire: "Je m'endors".

184- Certains souvenirs sont comme des amis communs, ils savent faire des réconciliations.

185- Les créatures qui ont joué un grand rôle dans notre vie, il est rare qu'elles en sortent tout d'un coup d'une façon définitive. Elles reviennent s'y poser par moments (au point que certains croient à un recommencement d'amour) avant de la quitter à jamais.

186- Les vrais livres doivent être les enfants non du grand jour et de la causerie, mais de l'obscurité et du silence.

187- Le monde n'est pas créé une fois pour toutes pour chacun de nous. Il s'y ajoute au cours de la vie des choses que nous ne soupçonnions pas.

188- Mais c'est quelquefois au moment où tout nous semble perdu que l'avertissement arrive qui peut nous sauver; on a frappé à toutes les portes qui ne donnent sur rien, et la seule par où on peut entrer et qu'on aurait recherchée en vain pendant cent ans, on y heurte sans le savoir et elle s'ouvre.

189- Car il y a dans ce monde où tut s’use, où tout périt, une chose qui tombe en ruine, qui se détruit encore plus complètement, en laissant encore moins de vestiges que la Beauté: c’est le Chagrin.

190- Les liens entre un être et nous n’existent que dans notre pensée. La mémoire en s’affaiblissant les relâche, et, malgré l’illusion dont nous voudrions être dupes et dont, par amour, par amitié, par politesse, par respect humain, par devoir, nous dupons les autres, nous existons seuls.

191- Le plagiat humain auquel il est le plus difficile d’échapper, pour les individus (et même pour les peuples qui persévèrent dans leurs fautes et vont les aggravant), c’est le plagiat de soi-même.

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192- Il ne faut pas ne redouter dans l’amour, comme dans la vie habituelle, que l’avenir, mais même le passé qui ne se réalise pour nous souvent qu’après l’avenir, et nous ne parlons pas seulement du passé que nous apprenons après coup, mais de celui que nous avons conservé depuis longtemps en nous et que tout d’un coup nous apprenons à lire.

193- Au-dessus du regard souriant d’une jeune fille, qu’y a-t-il de plus beau que cette couronne bouclée de violettes noires? Le sourire propose plus d’amitié; mais les petites crochets vernis des cheveux en fleurs, plus parents de la chair dont ils semblent la transposition en vaguelettes, attrapent davantage le désir.

194- Il est très rare qu'un bonheur vienne se poser précisément sur le désir qui l'avait appelé.

195- C’est dans la maladie que nous nous rendons compte que nous ne vivons pas seuls mais enchaînés à un être d’un règne différent, dont des abîmes nous séparent, qui ne nous connaît pas et duquel il est impossible de nous faire comprendre: notre corps.

196- Jadis les valets de chambre du Roi étaient recrutés parmi les grands seigneurs, maintenant les grands seigneurs ne sont guère plus que des valets de chambre.

197- On pardonne les crimes individuels, mais non la participation à un crime collectif.

198- moi qui connaissais à cette époque plus de livres que de gens et mieux la littérature que le monde

199- L’adolescence est le seul temps où l’on ait appris quelque chose.200- Il n’est peut-être rien qui donne plus l’impression de la réalité de ce

qui nous est extérieur, que le changement de la position, par rapport à nous, d’une personne même insignifiante, avant que nous l’ayons connue, et après.

201- Et avoir un corps, c'est la grande menace pour l'esprit, la vie humaine et pensante, dont il faut sans doute moins dire qu'elle est un miraculeux perfectionnement de la vie animale et physique, mais plutôt qu'elle est une imperfection […]. Le corps enferme l'esprit dans une forteresse; bientôt la forteresse est assiégée de toutes parts et il faut à la fin que l'esprit se rende.

202- La puissance de notre sensibilité et de notre intelligence, nous ne pouvons la développer qu'en nous-mêmes, dans les profondeurs de notre vie spirituelle.

203- Peut-être l'immobilité des choses autour de nous leur est-elle imposée par notre certitude que ce sont elles et non pas d'autres, par l'immobilité de notre pensée en face d'elles.

204- Et en effet les femmes qu'on n'aime plus et qu'on rencontre après des années, n'y a-t-il pas entre elles et vous la mort, tout aussi bien que si elles n'étaient plus de ce monde, puisque le fait que notre amour n'existe plus fait de celles qu'elles étaient alors, ou de celui que nous étions, des morts?

205- Je connais des gens malheureux parce qu'ils ont un an de plus ou des choses de ce genre. Le bonheur pris comme un but se détruit à pleins bords.Il coule à pleins bords chez ceux qui ne cherchent pas la satisfaction.

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206- Naturellement, ce qu'il avait dans son atelier, ce n'était guère que des marines prises ici, à Balbec. Mais j'y pouvais discerner que le charme de chacune consistait en une sorte de métamorphose des choses représentées, analogue à celle qu'en poésie on nomme métaphore et que si Dieu le Père avait créé les choses en les nommant, c'est en leur ôtant leur nom, ou en leur en donnant un autre qu'Elstir les recréait. Les noms qui désignent les choses répondent toujours à une notion de l'intelligence, étrangère à nos impressions véritables, et qui nous force à éliminer d'elles tout ce qui ne se rapporte pas à cette notion.

207- Pendant que ma tante devisait ainsi avec Françoise, j’accompagnais mes parents à la messe. Que je l’aimais, que je la revois bien, notre Eglise! […] tout cela faisait d’elle pour moi quelque chose d’entièrement différent du reste de la ville: un édifice occupant, si l’on peut dire, un espace à quatre dimensions – la quatrième étant celle du temps - , déployant à travers les siècles son vaisseau qui, de travée en travée, de chapelle en chapelle, semblait vaincre et franchir, non pas seulement quelques mètres, mais des époques successives d’où il sortirait victorieux.

208- mais qui voit le tort des autres, pour peu que les circonstances le grisent, y succombe souvent lui-même.

209- J’ai dit (...) ce que je pense de l’amitié: à savoir qu’elle est si peu de chose que j’ai peine à comprendre que des hommes de quelque génie, et par exemple un Nietzsche, aient eu la naïveté de lui attribuer une certaine valeur intellectuelle et en conséquence de se refuser à des amitiés auxquelles l’estime intellectuelle n’eût pas été liée. Oui, cela m’a toujours été un étonnement de voir qu’un homme qui poussait la sincérité avec lui-même jusqu’à se détacher, par scrupule de conscience, de la musique de Wagner, se soit imaginé que la vérité peut se réaliser dans ce mode d’expression par nature confus et inadéquat que sont, en général, des actions et, en particulier, des amitiés, et qu’il puisse y avoir une signification quelconque dans le fait de quitter son travail pour aller voir un ami et pleurer avec lui en apprenant la fausse nouvelle de l’incendie du Louvre.

210- Il retrouva tout ce qui de ce bonheur perdu avait fixé à jamais la spécifique et volatile essence.

211- L'habitude! aménageuse habile mais bien lente et qui commence par laisser souffrir notre esprit pendant des semaines dans une installation provisoire ; mais que malgré tout il est bien heureux de trouver, car sans l'habitude et réduit à ses seuls moyens il serait impuissant à nous rendre un logis habitable.

212- Quoi qu'il en soit, l'amour, même en ses plus humbles commencements, témoigne du peu qu'est la réalité pour nous.

213- Les images choisies par le souvenir sont aussi arbitraires, aussi étroites, aussi insaisissables, que celles que l'imagination avait formées et la réalité détruites.

214- "Comment, vous ne connaissez pas ces splendeurs?" me dit la duchesse, en me parlant de l'hôtel où nous étions. Mais après avoir célébré le "palais" de sa cousine, elle s'empressa d'ajouter qu'elle préférait mille fois "son humble trou". "Ici, c'est admirable pour visiter. Mais je mourrais de chagrin s'il me fallait rester à coucher dans des

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chambres où ont eu lieu tant d'évènements historiques. Ça me ferait l'effet d'être restée après la fermeture, d'avoir été oubliée, au château de Blois, de Fontainebleau ou même au Louvre, et d'avoir comme seule ressource contre la tristesse de me dire que je suis dans la chambre où a été assassiné Monaldeschi. Comme camomille, c'est insuffisant. (...)"

215- Comme la souffrance va plus loin en psychologie que la psychologie.216- Swann ne le savait-il pas par sa propre expérience, et n'était-ce pas

déjà, dans sa vie - comme une préfiguration de ce qui devait arriver après sa mort - un bonheur après décès que ce mariage avec cette Odette qu'il avait passionnément aimée - si elle ne lui avait pas plu au premier abord - et qu'il avait épousée quand il ne l'aimait plus, quand l'être qui, en Swann avait tant souhaité et tant désespéré de vivre toute sa vie avec Odette, quand cet être-là était mort?

217- Je n’obéis pas tout de suite à cette invitation, un autre l’eût même pu trouver superflue, car Albertine avait une prononciation si charnelle et si douce que, rien qu’en vous parlant, elle semblait vous embrasser. Une parole d’elle était une faveur, et sa conversation vous couvrait de baisers.

218- Ce que nous n'avons pas eu à déchiffrer, à éclaircir par notre effort personnel, ce qui était clair avant nous, n'est pas à nous.

219- Née presque sur les marches d’un trône, mariée trois fois, entretenue longtemps et richement par de grands banquiers, sans compter les mille fantaisies qu’elle s’était offerte, elle portait légèrement, comme ses yeux admirables et ronds, comme sa figure fardée et comme sa robe rose, les souvenirs embrouillés de ce passé innombrable.

220- qu’on eût dit qu’elle était un être condamné, comme un personnage de féerie, à apparaître d’abord en jeune fille, puis en épaisse matrone, et qui deviendrait sans doute bientôt en vieille branlante et courbée. Elle semblait, comme une lourde nageuse qui ne voit plus le rivage qu’à une grande distance, repousser avec peine les flots du temps qui la submergeaient.

221- Vouloir n'y plus penser, c'était y penser encore, en souffrir encore.222- la flatterie n’est parfois que l’épanchement de la tendresse et la

franchise la bavede la mauvaise humeur.

223- Les paradoxes d’aujourd’hui sont les préjugés de demain, puisque les plus épais et les plus déplaisants préjugés d’aujourd’hui eurent un instant de nouveauté où la mode leur prêta sa grâce fragile.

224- Je tâcherai, quand je sentirai mon cœur se détacher d’elle, de le retenir si doucement, qu’elle ne le sentira même pas.

225- L’exigence du libertin qui veut une virginité est encore une forme de l’éternel hommage que rend l’amour à l’innocence.

226- Un milieu élégant est celui où l’opinion de chacun est faite de l’opinion des autres. Est-elle faite du contre-pied de l’opinion des autres? c’est un milieu littéraire.

227- Les fleurs tardives que la joie fit éclore dans mon coeur que je croyais à jamais stérile portèrent des fruits.

228- Quand l’amour finit, l’habitude avait pris sa place et il ne manquait pas de jeunes gens immoraux pour l’exploiter. Complices de mes fautes,

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ils s’en faisaient aussi lesapologistes en face de ma conscience.

229- Les jours sont peut-être égaux pour une horloge, mais pas pour un homme.

230- Ce sont nos passions qui esquissent nos livres, le repos d'intervalle qui les écrit.

231- Il plaça sur sa table de travail, comme une photographie d'Odette, une reproduction de la fille de Jéthro. Il admirait les grands yeux, le délicat visage qui laissait deviner la peau imparfaite, les boucles merveilleuses des cheveux le long des joues fatiguées, et adaptant ce qu'il trouvait de beau jusque-là d'une façon esthétique à l'idée d'une femme vivante, il le transformait en mérites physiques qu'il se félicitait de trouver réunis dans un être qu'il pourrait posséder. Cette vague sympathie qui nous porte vers un chef-d'oeuvre que nous regardons, maintenant qu'il connaissait l'original charnel de la file de Jéthro, elle devenait un désir qui suppléa désormais à celui que le corps d'Odette ne lui avait pas d'abord inspiré. Quand il avait regardé longtemps ce Botticelli, il pensait à son Botticelli à lui qu'il trouvait plus beau encore et, approchant de lui la photographie de Zéphora, il croyait serrer Odette contre son coeur.

232- Ces paroles nouvelles, mon amour les entendait; elles le persuadaient que le lendemain ne serait pas différent de ce qu'avaient été tous les autres jours: que le sentiment de Gilberte pour moi, trop ancien déjà pour pouvoir changer, c'était l'indifférence; que dans mon amitié avec Gilberte, c'est moi seul qui aimais. "C'est vrai, répondait mon amour, il n'y a plus rien à faire de cette amitié-là, elle ne changera pas".

Proust233- ...imprégnés comme tout ce qui l'entourait, de son charme, excitaient

en moi autant d'amour qu'elle même un trouble plus douloureux et enfin ce sentiment de vénération que nous vouons toujours à ceux qui exercent sans frein la puissance de nous faire du mal.

234- ...si nous pouvons désirer que les actions d'une personne qui nous a peinés jusqu'ici n'aient pas été sincères, il y a dans leur suite une clarté contre quoi notre désir ne peut rien et à laquelle, plutôt qu'à lui (l'ordre nouveau), nous devons demander quelles seront ses actions de demain.

235- Il semble que le goût des livres croisse avec l'intelligence, un peu au-dessous d'elle, mais sur la même tige, comme toute passion s'accompagne d'une prédilection pour ce qui entoure son objet, a du rapport avec lui, dans l'absence lui en parle encore.

236- Ces paroles nouvelles, mon amour les entendait; elles le persuadaient que le lendemain ne serait pas différent de ce qu'avaient été tous les autres jours: que le sentiment de Gilberte pour moi, trop ancien déjà pour pouvoir changer, c'était l'indifférence; que dans mon amitié avec

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Gilberte, c'est moi seul qui aimais. "C'est vrai, répondait mon amour, il n'y a plus rien à faire de cette amitié-là, elle ne changera pas".

237- ...imprégnés comme tout ce qui l'entourait, de son charme, excitaient en moi autant d'amour qu'elle même un trouble plus douloureux et enfin ce sentiment de vénération que nous vouons toujours à ceux qui exercent sans frein la puissance de nous faire du mal.

238- ...si nous pouvons désirer que les actions d'une personne qui nous a peinés jusqu'ici n'aient pas été sincères, il y a dans leur suite une clarté contre quoi notre désir ne peut rien et à laquelle, plutôt qu'à lui (l'ordre nouveau), nous devons demander quelles seront ses actions de demain.

239- Ce qui pour nous fait le bonheur ou le malheur de notre vie, constitue pour tout autre un fait presque imperceptible.

240- Elle ne connaissait pas encore l'amour. Peu de temps après, elle en souffrit, ce qui est la seule manière dont on apprenne à le connaître.

241- Je ressentis devant elle ce désir de vivre qui renaît en nous chaque fois que nous prenons de nouveau conscience de la beauté et du bonheur.Nous oublions toujours qu’ils sont individuels et, leur substituant dans notre esprit un type de convention que nous formons en faisant une sorte de moyenne entre les différents visages qui nous ont plu, entre les plaisirs que nous avons connus, nous n’avons que des images abstraites qui sont languissantes et fades parce qu’il leur manque précisément ce caractère d’une chose nouvelle, différente de ce que nous avons connu, ce caractère qui est propre à la beauté et au bonheur.

242- Or, les souvenirs d’amour ne font pas exception aux lois générales de la mémoire, elles-mêmes régies par les lois plus générales de l’habitude. Comme celle-ci affaiblit tout, ce qui nous rappelle le mieux un être, c’est justement ce que nous avions oublié (parce que c’était insignifiant, et que nous lui avions ainsi laissé toute sa force). C’est pourquoi la meilleure part de notre mémoire est hors de nous, dans un souffle pluvieux, dans l’odeur de renfermé d’une chambre ou dans l’odeur d’une première flambée, partout où nous retrouvons de nous-même ce que notre intelligence, n’en ayant pas l’emploi, avait dédaigné, la dernière réserve du passé, la meilleure, celle qui, quand toutes nos larmes semblent taries, sait nous faire pleurer encore.

243- D’ailleurs la nature par tous les sentiments qu’elle éveillait en moi, me semblait ce qu’il y avait de plus opposé aux productions mécaniques des hommes. Moins elle portait leur empreinte et plus elle offrait d’espace à l’expansion de mon coeur.

244- Elle avait appris dans sa jeunesse à caresser les phrases, au long col sinueux et démesuré, de Chopin, si libres, si flexibles, si tactiles, qui commencent par chercher et essayer leur place en dehors et bien loin de la direction de leur départ, bien loin du point où on avait pu espérer qu’atteindrait leur attouchement, et qui ne se jouent dans cet écart de fantaisie que pour revenir plus délibérément - d’un retour plus

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prémédité, avec plus de précision, comme sur un cristal qui résonnerait jusqu’à faire crier - vous frapper le coeur.

245- " C'est regrettable, mais gentil ou non, c'est ainsi. "Et il fit à sa mère les reproches que sans doute il se sentait peut-être mériter ; c'est ainsi que les égoïstes ont toujours le dernier mot ; ayant posé d'abord que leur résolution est inébranlable, plus le sentiment auquel on fait appel en eux pour qu'ils y renoncent est touchant, plus ils trouvent condamnables, non pas eux qui y résistent, mais ceux qui les mettent dans la nécessité d'y résister, de sorte que leur propre dureté peut aller jusqu'à la plus extrême cruauté sans que cela fasse à leurs yeux qu'aggraver d'autant la culpabilité de l'être assez indélicat pour souffrir, pour avoir raison, et leur causer ainsi lâchement la douleur d'agir contre leur propre pitié.

http://g1.globo.com/sao-paulo/noticia/2015/04/policia-reabre-caso-e-apura-se-elize-teve-ajuda-no-assassinato-do-marido.html

Se um petista ver o Mírto, ou passar na casinha dele, vai dizer que ele é um explorado pela elite branca que não dá oportunidades.

Eu diria ao petista: - Nunca fomos explorados seu imbecil. O bisavô do Mirto tinha a Fazenda Badajós em Uberaba-MG que se podia andar nela o dia todo à cavalo que não vinha o fim. Só que o bisavô do Mirto CORONEL JOÃO MONTEIRO DE ARAUJO teve 16 filhos e filhas herdeiros.

Badajós dividido por 16.

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Herança do avô do Mirto, o CARLOS JUSTINO MONTEIRO, foi dividida por 10 filhas e filhos herdeiros.

Badajós dividido por 16x10.

Herança da mãe do Mirto, Alcina, foi dividida por 7 filhos e filhas, um deles o Mirto.

Badajós dividido por 16x10x7=1.120 foi a MÍNIMA herança do Mirto.

Ninguém foi explorado seo petista.

O que coube ao Mirto foi 1/1.120 avos da Fazenda Badajós.

http://www.entrelecteurs.com/marcelproust.html

« On se souvient d’une atmosphère parce que des jeunes filles y ont souri.

La possession de ce qu’on aime est une joie plus grande encore que l’amour. »

Read more at http://dicocitations.lemonde.fr/blog/en-amour-il-est-plus-facile-de-renoncer-a-un-sentiment-que-de-perdre-une-habitude/#5HxigsKpS0YvEvRs.99

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Os símbolos não são só da cidade, são do município, que compreendo o distrito-sede, a cidade de São José dos Campos-SP, o distrito de Eugênio de Melo e o distrito de São Francisco Xavier.

Lei nº 14, de 12/04/1864 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR AS POSTURAS DA CÂMARA MUNICIPAL DA CIDADE DE TAUBATÉ.

Lei nº 13, de 12/04/1864 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR AS POSTURAS DA CÂMARA MUNICIPAL DA CIDADE DE LORENA.

Lei nº 8, de 14/03/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR DEZ ARTIGOS DE POSTURA DA CÂMARA MUNICIPAL DA CIDADE DE PINDAMONHANGABA.

Lei nº 7, de 14/03/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR UM ARTIGO DE POSTURA DA CÂMARA MUNICIPAL DA CIDADE DE ATIBAIA.

Lei nº 6, de 14/03/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR DOIS ARTIGOS DE POSTURA DA CÂMARA MUNICIPAL DA CIDADE DE FRANCA.

Lei nº 5, de 14/03/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR QUATRO ARTIGOS DE POSTURA DA CÂMARA MUNICIPAL DA VILA DA PENHA.

Lei nº 4, de 14/03/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR TRÊS ARTIGOS DE POSTURA DA CÂMARA MUNICIPAL DE SÃO JOSÉ DE PARAHYTINGA.

Lei nº 3, de 10/03/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR OS ARTIGOS DE POSTURAS DA CÂMARA MUNICIPAL DA CIDADE DA LIMEIRA.

Lei nº 31, de 27/04/1864 MARCA A RECEITA E DESPESA DAS CÂMARAS MUNICIPAIS PARA O ANO DE 1º DE JULHO DE 1864 A 30 DE JUNHO DE 1865.

Lei nº 28, de 22/04/1864 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR AS POSTURAS DA CÂMARA MUNICIPAL DA VILA DE SILVEIRAS.

Lei nº 19, de 20/04/1864 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR AS POSTURAS DA CÂMARA MUNICIPAL DA CIDADE DE CAMPINAS.

Lei nº 22, de 16/04/1864 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR AS POSTURAS MUNICIPAIS DA CÂMARA MUNICIPAL DA

Lei nº 45, de 05/04/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR OS ARTIGOS DE POSTURAS DA CÂMARA MUNICIPAL DA VILA DE BOTUCATU.

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Lei nº 43, de 05/04/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR SEIS ARTIGOS DE POSTURAS DA CÂMARA MUNICIPAL DA CIDADE DA CONSTITUIÇÃO RELATIVOS À ESMOLA PARA FESTA DO ESPÍRITO

Lei nº 42, de 04/04/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR OS ARTIGOS DE POSTURAS DA CÂMARA MUNICIPAL DA VILA DE SÃO JOÃO DA BOA VISTA.

Lei nº 37, de 01/04/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR O ARTIGO ÚNICO DE POSTURA DA CÂMARA MUNICIPAL DA VILA DE INDAIATUBA.

Lei nº 35, de 31/03/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR DOIS ARTIGOS DE POSTURAS DA CÂMARA MUNICIPAL DE ARARAQUARA.

Lei nº 34, de 31/03/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR TRÊS ARTIGOS DE POSTURA DA CÂMARA MUNICIPAL DA VILA DE CASA BRANCA.

Lei nº 32, de 29/03/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR O CÓDIGO DE POSTURAS DA CÂMARA MUNICIPAL DA VILA DE AMPARO.

Lei nº 17, de 18/03/1865 EMENDA OS ARTIGOS DE POSTURAS DA CÂMARA MUNICIPAL DA VILA DE SÃO BENTO DE SAPUCAHY-MIRIM.

Lei nº 10, de 14/03/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR O ARTIGO ÚNICO DE POSTURA DA CÂMARA MUNICIPAL DA CIDADE DE PORTO FELIZ.

Lei nº 9, de 14/03/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR O ARTIGO ÚNICO DE POSTURA DA CÂMARA MUNICIPAL DA CIDADE DO BANANAL.

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Lei nº 85, de 25/04/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR DOIS ARTIGOS DE POSTURAS DA CÂMARA MUNICIPAL DE SANTA BRANCA.

Lei nº 84, de 25/04/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR OS ARTIGOS DE POSTURAS DA CÂMARA MUNICIPAL DE ITAPETININGA.

Lei nº 74, de 22/04/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR OS ARTIGOS DE POSTURAS DA CÂMARA MUNICIPAL DE CAMPINAS.

Lei nº 71, de 22/04/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR TRÊS ARTIGOS DE POSTURAS DA CAMÂRA MUNICIPAL DA CIDADE DE PARAHYBUNA.

Lei nº 70, de 22/04/1865 MARCA A RECEITA E FIXA A DESPESA DAS CÂMARAS MUNICIPAIS PARA O ANO FINANCEIRO DE 1.º DE JULHO DE 1865 A 30 DE JUNHO DE 1866.

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Lei nº 64, de 20/04/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR DOIS ARTIGOS DA CÂMARA MUNICIPAL DE ITÚ.

Lei nº 63, de 20/04/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR DOIS ARTIGOS DE POSTURAS DA CÂMARA MUNICIPAL DE ARARAQUARA.

Lei nº 61, de 20/04/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR OS ARTIGOS DE POSTURAS DA CÂMARA MUNICIPAL DA CIDADE DE CAMPINAS.

Lei nº 50, de 12/04/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR OS ARTIGOS DE POSTURAS DA CÂMARA MUNICIPAL DA VILA DE CAÇAPAVA.

Lei nº 47, de 10/04/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR OS ARTIGOS DE POSTURAS DA CÂMARA MUNICIPAL DA CIDADE DE TAUBATÉ.

Lei nº 103, de 04/05/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR OS ARTIGOS DE POSTURAS DA CÂMARA MUNICIPAL DE BATATAES.

Lei nº 102, de 28/04/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR O SUPLEMENTO AO CÓDIGO DE POSTURAS DA CIDADE DE SÃO JOSÉ DO PARAÍBA, APROVADO EM 19 DE MAIO DE 1865.

Lei nº 100, de 28/04/1865 CONTEM O CÓDIGO DE POSTURAS DA CÂMARA MUNICIPAL DA CIDADE DE SOROCABA.

Lei nº 98, de 26/04/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR OS ARTIGOS DE POSTURAS DA CÂMARA MUNICIPAL DE JUNDIAÍ.

Lei nº 97, de 26/04/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR OS ARTIGOS DE POSTURAS DA CÂMARA MUNICIPAL DA CIDADE DE PARAIBUNA.

Lei nº 95, de 26/04/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR OS ARTIGOS DE POSTURAS DA CÂMARA MUNICIPAL DA CIDADE DE LORENA.

Lei nº 89, de 25/04/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR DOIS ARTIGOS DE POSTURAS DA CÂMARA MUNICIPAL DE SÃO JOSÉ DO PARAÍBA.

Lei nº 88, de 25/04/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR DOIS ARTIGOS DE POSTURAS DA CÂMARA MUNICIPAL DA CIDADE DE SANTOS.

Lei nº 87, de 25/04/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR OS ARTIGOS DAS POSTURAS DA CÂMARA MUNICIPAL DA VILA DE APIAÍ.

Lei nº 86, de 25/04/1865 MANDA PUBLICAR E EXECUTAR CINCO ARTIGOS DE POSTURAS DA CÂMARA MUNICIPAL DE NAZARETH.

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LEI N. 2.185, DE 30 DE DEZEMBRO DE 1926

Dispõe sobre o processo de infracção das posturas municipaes

O Doutor Carlos de Campos, Presidente do Estado de São Paulo.

Faço saber que o Congresso Legislativo decretou e eu promulgo a lei seguinte:

Artigo 1.° - Fica elevado a 200$000 o maximo das multas que as Camaras Municipaes podem impor pela infracção de suas leis e posturas.

§ 1.° - Esta quantia poderá attingir até o dobro nos casos de reincidencia.

§ 2.° - A lei, ou a postura, marcará o maximo e o minimo da penalidade correspondente à infracção.

Artigo 2.° - O auto de infracção, lavrado e assignado pelo funccionario que impuzer a multa, indicará:

a) o nome do infractor;

b) o logar, o dia, a hora e o facto constitutivo da infracção;

c)o nome e a residencia das testemunhas presenciaes;

d) o preceito violado;

e) a importancia da multa.

§ unico. - O auto será assignado também pelo infractor; recusando se elle, on não sabendo escrever, sua assignatura será supprida pela de duas testemunhas.

Artigo 3.° - Da imposição da multa haverá recurso para o prefeito.

§ 1.° - Da decisão do prefeito mantendo ou diminuindo o quantum da multa, poderá o interessado recorrer para a Camara Municipal, depositando, previamente, no respectivo Thesouro o valor da pena pecuniaria que lhe foi imposta.

§ 2.° - A legislação municipal determinará prasos nunca inferiores a oito dias para a interposição dos recursos.

§ 3.° - Depois de exgottado o praso do recurso, o procurador da Camara, ou quem suas vezes fizer, avisara ao infractor que devo pagar a importancia da multa, dentro do praso de oito dias, sob pena de ser requerida a cobrança judicial.

Artigo 4.° - Depois de exgottado o praso para a interposiçào do recurso, confirmado ou diminuido o quantum da multa, será o infractor citado para ver se processa perante os juizes preparadores nas comarcas da Capital e as do 5.ª, 4.ª e 3 ª entrancias o juizes de direito nas demais comarcas.

§ unico. - Dada a ausencia em logar incerto o não sabido, far-se-á a citação por edital com o praso de dez di as, edital que será affixado em cartorio e publicado na imprensa da sede do municipio ou, em falta desta, no «Diario Official» do Estado.

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Artigo 5.° - A petição inicial, instruida com o auto de infracção, indicará as provas do facto, arrolando testemunhas em numero de duas a cinco.

Artigo 6.° - Na audiencia para que se fizer a citação, o juiz procederá á qualificação do infractor e á leitura da petição inicial e do auto, dando em seguiria a palavra á defesa.

§ 1.° - O infractor poderá arrolar testemunhas, até ao numero de cinco, offerecer documentos e requerer diligencias que tenham relação directa com os factos em debate.

§ 2.° - Na mesma audiencia o juiz ouvirá as testemunhas da accusação e fará proceder as louvações por que houverem as partes protestado.

Paragrapho 3.° - Na audiencia immediata, inquiridas as testemunhas e defesa e juntos aos autos os laudos das diligencias que no intervallo se tiverem effectuado, o juiz proferirá sentença.

Artigo 7.º - Si o infractor não comparecer á primeira audiencia, nem mandar excusa relevante, será julgado á revelia, em vista do auto; si a autora não comparecer, o infractor será absolvido da instancia.

Artigo 8.º - Da sentença cabe appellação nos effeitos regulares, que póde ser interposta no praso de dois dias a contar da intimação.

§ 1.º - Os autos serão presentes á instancia superior dentro de dez dias, a partir da interposição do recurso, e preparados dentro de igual praso no juizo «ad quem», sob pena pe deserção, numa e noutra hypothese, independente de mais formalidades.

§ 2.º - O praso para arrazoar a appellação será de cinco dias, abrindo-se vista dos autos em cartorio.

Artigo 9.º - A execução correrá nos mesmos autos e ao mesmo juizo do processo, feita preliminarmente a conta da multa e das custas.

Artigo 10.° - Nos processos de infracção de posturas, as Camaras Municipaes ficam dispensadas do pagamento prévio da taxa judiciaria e do sello estadual que serão cobrados afinal da parte vencida.

Artigo 11.° - Feita, por qualquer modo, a prova da exorbitancia da multa, poderá ella ser reduzida até o seu minimo.

Artigo 12.° - As Camaras Municipaes não poderão considerar como infracções ás suas leis e posturas acções e omissões já previstas e punidas, por qualquer forma, pela legislação estadual ou federal.

Artigo 13.° - Revogam-se o artigo 17, n. 17, da lei n. 1.038, de 19 de Dezembro de 1906, e as demais disposições em contrario.

O Secretario de Estado dos Negocios do Interior assim a faça executar.

Palacio do Governo do Estado de São Paulo, 30 de Dezembro de 1926.

CARLOS DE CAMPOS

José Manoel Lobo

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Publicada na Secretaria de Estado dos Negocios do Interior, em 3 de Janeiro de 1927. - O Director Geral: João Chrysostomo Bueno dos Reis Junior.

1- Em Barueri-SP, 245.027 eleitores, 21 vereadores, PT Zero eleito; o candidato a vereador mais votado do PT teve míseros 217 votos, da coligação PSOL/PT que não atingiu o quociente eleitoral.

2- Em Taubaté-SP, 222.763 mil eleitores, 19 vereadores, o mais votado do PT, que não se coligou, teve 1.069 votos, e, não se elegeu.

3- Em Jundiaí-SP, 290.278 eleitores, 19 vereadores, o mais votado do PT, que não se coligou, teve 3.215 votos; não se elegeu.

4- Em Piracicaba-SP, 283.810 eleitores, 23 vereadores, a coligação PT/PCdoB/PMB/PDT não elegeu ninguém, com o mais votado da coligação tendo só 1.812 votos.

5- Em São Caetano do Sul-SP, 128.453 eleitores, 19 vereadores, nenhum vereador eleito pelo PT. A coligação PDT/PT/PCdoB não obteve o quociente eleitoral. O mais votado do PT teve míseros 481 votos.

6- Em São Vicente-SP, 256.516 eleitores, 15 vereadores, PT não elegeu nenhum vereador, o mais votado do PT com 1.987 votos não atingiu o quociente eleitoral.

7- Em Bauru-SP, 263.463 eleitores, 17 vereadores, PT não elegeu ninguém. Coligação PT/PRB elegeu um do PRB. O mais votado do PT teve 2.235 votos.

8- Em Belfort Roxo-RJ, 328.777 eleitores, 25 vereadores, nenhum eleito do PT. Coligação do PT/PV elege um do PV.

9- Em Nova Iguaçu-RJ, que já teve prefeito do PT, 583.636 eleitores, 17 vereadores, PT não elegeu ninguém; sua coligação elegeu 2 do PDT.10- Em Campos dos Goytacazes-RJ, 359.323 eleitores, 25 vereadores, PT não elegeu ninguém. Mais votado do PT teve 1.940 votos.

11- Em São Gonçalo-RJ, 686.207 eleitores, 27 vereadores, PT não elegeu ninguém. Coligação com PCdoB elegeu 1. O mais votado do PT teve só 671 votos.

12- Em São João de Meriti-RJ, 368.991 eleitores, 21 vereadores, o PT não elegeu nenhum. O mais votado do PT conseguiu 1.271 votos, e será QUARTO suplente da coligação PP/PCdoB/PT.

13- Em Londrina-PR, 353.314 eleitores, 19 vereadores, PT não elegeu ninguém. O votado do PT teve 3.138 votos, mas o PT não conseguiu atingir o quociente eleitoral.

14– Em Cuiabá-MT, 415.098 eleitores, 25 vereadores, PT Zero, coligação PDT/PT/PCdoB não atinge o quociente eleitoral.

15– Em Palmas-TO, 172.344 eleitores, vereadores, 19 vereadores, PT não obtém quociente eleitoral, mais votado tem 1.220 votos.

16– Em Boa Vista-RR, 203.586 eleitores, 21 vereadores, nenhum PT; a coligação PCdoB-PT elege 2.

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17– Em Macapá-AP, 277.689 eleitores, 23 vereadores, nenhum PT; a coligação PT/PHS não obtém o quociente eleitoral.

18– Em Porto Velho-RO, 319.941 eleitores, 21 vereadores, Zero PT; mais votado do PT, que não obteve o quociente eleitoral e não se coligou, teve 1.552 votos.

19– Em Campina Grande-PB, 274.004 eleitores, 23 vereadores: PT zero; a coligação PDT/ PT/ PCdoB/ PRP/SD elegeu 1 vereador.

20– Em Uberaba-MG, 224.864 eleitores, 14 vereadores, PT Zero eleito; o candidato a vereador mais votado do PT na coligação PP-PT teve só 543 votos e é 5° suplente.

21– Em Goiânia-GO, 957.161 eleitores, 35 vereadores, PT ZERO ELEITO; a coligação PEN/PT/PPL/PCdoB elegeu 2 vereadores (um do PEN e outro do PCdoB. O mais votado do PT teve 3.319 votos; não se elegeu.

22- Em Santarém-PA, 209.484 eleitores, 21 vereadores, ZERO PT; a coligação PT-PPL não atingiu o quociente eleitoral.

23- Em Várzea Grande-MT, 182.979 eleitores, 21 vereadores, ZERO PT, a coligação PTC/PT/PSDC elegeu 1. O candidato do PT mais votado teve 707 votos só.

24- Em Limeira-SP, 212.570 eleitores, 21 vereadores, ZERO PT; mais votado do PT sem coligação e sem quociente eleitoral teve 1.100 votos.

25- Em Cascavel-PR, 206.714 eleitores, 21 vereadores, ZERO PT, mais votado do PT sem coligação e sem quociente eleitoral teve 1.895 votos.

História de São José dos Campos-SP contada por sua administração municipal em 1881 para a Exposição de História do Brasil da Biblioteca Nacional do Rio de Janeiro-RJ

A Cidade de S. Jose dos Campos foi fundada pelos padres jesuitas e principiou como aldêa de Indios, e foi elevada a villa, sem ter capacidade pa (para) sêla pelo Governador o general D. Luiz Antonio de Souza Botelho Mourão em 1766 segundo uma memoria do general Dr José Arouche de Toledo Rondom, e em 1767, confe.  (conforme) a noticia raciocinada sobre as aldêas de indios da Prova. (província) pelo Brigadeiro Machado Oliveira; ou em 1773, como se infere de um livro de tomada de contas do Conselho, existente no Archivo da Camara Munnicipal.

 (Nota: O que foi fundado foi uma aldeia).

(Nota: O Brigadeiro José Joaquim Machado d´Oliveira escreveu várias obras sobre São Paulo entre elas “Quadro histórico da Provincia de S. Paulo até o anno de 1822”. Estamos

procurando este texto dele que fala de São José dos Campos-SP).

(Nota: Conselho é a denominação medieval das câmaras municipais, as quais só receberam, no Brasil, este nome de Câmara Municipal a partir da Lei de 01 de Outubro de 1828,

conhecida esta lei como " O Regimento das Câmaras" pelo qual as Câmaras perdeu o contencioso, não tendo mais juízes).

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(Nota: A referência a um livro de contas de 1773 significa que os demais livros de atas de câmara, registro da câmara já estavam desaparecidos em 1881 quando este texto foi

escrito).

 Seja como for, a data de sua elevação a cattegoria de Villa, o certo é, que de aldeamento de Indios passou a ser villa, sem nunca ter sido freguesia - observação q~ (que) fazem todos os que dão notícia a respeito.

Tambem dade-se por tradição e por vestigios ainda existentes que a primitiva aldêa foi erecta na margem direita do rio Comprido (divisa deste com o munnicipio de Jacarehy) a 10 km mais ou menos da actual, isto em eras remotas, que não se pode precizar, mas que deve ter sido no fim do seculo 16 ou principio do 17. 

(Nota: Entenda-se: O Rio Comprido faz a divisa entre São José dos Campos-SP e Jacareí-SP. A sua margem direita esta no território do São José dos Campos-SP). 

A Villa chamou-se a principio Villa Nova de São Jose; - depois Villa de São José do Sul, e depois Villa de São Jose do Parahyba, em com esta ultima denominação foi elevada a cidade pela Lei Provincial n° 27 de 22 de abril de 1864, a qual foi mudada para a de São Jose dos Campos, pela Lei Provincial n° 47 de 2 de abril de 1871. 

(Nota: Como vimos acima estas denominações da Villa não existiram. Desconhecia-se a documentação de ereção da vila quando fizeram este texto. Sempre foi Vila de São José do Parahyba desde 1767, como vimos, até passar a ser São José dos Campos-SP por causa de

sua homônima mineira, a atual Além-Paraíba-MG.)

(Nota: No Almanack de 1873 já se fala em 1767, portanto a documentação foi descoberta na antiga Secretaria de Governo em 1872 +-). 

O Termo foi creado pela Portaria do Governo Provincial em 5 de janeiro de 1854 e por decr. (decreto provincial) de 18 de janeiro de 1858 foi lhe nomeado o primeiro juiz municipal e de orphãos.

O Termo fez parte da Comarca de Jacarehy ate 1872, e pela Lei (provincial) n° 46 de 6 de abril desse anno (1872) foi creado a Comarca de S. Jose dos Campos, que abrange este e Termo de Caçapava.

, aluna de doutorado da Pós Graduação em Odontologia Restauradora (Endodontia) do ICT-UNESP,vv

Em Belfort Roxo-RJ, 328.777 eleitores, 25 vereadores, nenhum eleito do PT. Coligação do PT/PV elege um do PV.

Em Nova Iguaçu-RJ, que já teve prefeito do PT, 583.636 eleitores, 17 vereadores, PT não elegeu ninguém; sua coligação elegeu 2 do PDT.

Em Campos dos Goytacazes-RJ, 359.323 eleitores, 25 vereadores, PT não elegeu ninguém. Mais votado do PT teve 1.940 votos.

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Em São Gonçalo-RJ, 686.207 eleitores, 27 vereadores, PT não elegeu ninguém. Coligação com PCdoB elegeu 1. O + votado do PT teve só 671 votos.

Em Londrina-PR, 353.314 eleitores, 19 vereadores, PT não elegeu ninguém. O votado do PT teve 3.138 votos, mas o PT não conseguiu atingir o quociente eleitoral.

Em Bauru-SP, 263.463 eleitores, 17 vereadores, PT não elegeu ninguém. Coligação PT/PRB elegeu um do PRB. O mais votado do PT teve 2.235 votos.

Crime dos velhos em sjc alemães

sjc tem seus cassados

alguns lugares vereador sem remuneração carta sp 69 vice idem

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DECRETO N. 3.830 – DE 29 DE OUTUBRO DE 1919

Autoriza o Governo a transformar em Faculdade de Odontologia o actual curso de odontologia da Faculdade de Medicina do Rio de Janeiro e dá outras providencias.

O Presidente da Republica dos Estados Unidos do Brasil:

Faço saber que o Congresso Nacional decretou e eu promulgo a resolução seguinte:

Art. 1º Fica o Governo autorizado a transformar em Faculdade de Odontologia, sem novos onus para o Thesouro, o actual curso de odontologia da Faculdade de Medicina do Rio de Janeiro.

Art. 2º O ensino será feito em quatro annos, e comprehenderá as seguintes cadeiras:

1ª – Noções de anatomia descriptiva e anatomia medico cirurgica da bocca;

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2ª – Histologia;

3ª – Physiologia;

4ª – Anatomia, physiologia e histologia dentarias;

5ª – Noções geraes de pathologia, de microbiologia e de anatomia pathologica;

6ª – Therapeutica, materia medica e arte de formular;

7ª – Technica odontologica;

8ª – Pathologia dentaria e therapeutica applicada;

9ª – Prothese;

10ª – Metallurgia;

11ª – Hygiene, especialmente da bocca;

12ª – Orthodontia e prothese dos maxilares;

13ª – Clinica odontologica.

Art. 3º As materias serão distribuidas pelos quatro annos, do seguinte modo:

1º anno:

a) – Noções de anatomia descriptiva e anatomia medico-cirurgica da bocca;

b) – Histologia;

c) – Phyisologia.

2º anno:

a) – Anatomia, histologia e physiologia dentarias;

b) – Noções geraes de pathologia, de microbiologia e anatomia pathologica;

c) – Therapeutica, materia medica e arte de formular.

3º anno:

a) – Technica odontologica;

b) – Pathologia dentaria e therapeutica;

c) prothese (1ª parte).

d) metallurgica, assistencia obrigatoria á clinica.

4º anno:

a) hygiene especialmente da bocca;

b) prothese (2ª parte).

c) orthodontia e prothese dos maxillares;

d) clinica odontologica.

Art. 4º A’ Faculdade de Odontologia ficam pertencendo todo o material odontologico existente na Faculdade de Medicina e os laboratorios de technica odontologica, de prothese dentaria e o gabinete de

clinica odontologica.

Paragrapho unico. para a installação da Faculdade de Odontologia o Governo aproveitará um dos proprios nacionaes do Districto Federal até que seja construido pela faculdade e edificio proprio.

Art. 5º Para a matricula na Faculdade de Odontologia os candidatos, além do exame vestibular, apresentarão attestados de approvação nas seguintes materias: portuguez, francez, inglez ou allemão,

arithmetica, geometria, geographia, physica e chimica, e historia natural.

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Art. 6º O provimento das cadeiras da Faculdade de Odontologia se fará mediante concurso, nos termos da lei, com as modificações que forem estabelecidas, para as primeiras nomeações, pelo Poder Executivo

devendo ser aproveitados os actuaes professores e livres docentes.

Art. 7º O pessoal docente e administrativo será o da tabella annexa, com os vencimentos na mesma estabelecidos.

§ 1º Os professores substitutos só perceberão, quando estiverem em exercicio, a differença de vencimentos que não fôr percebida pelo cathedratico.

§ 2º Os logares do pessoal administrativo serão preenchidos pelo Governo dentre os funccionarios addidos.

Art. 8º Todas as taxas de matriculas, de exames e quaesquer emolumentos serão arrecadadas pela faculdade para o custeio de suas despezas, determinando-lhe a União apenas a importancia que despende

com o curso de odontologia da Faculdade de Medicina.

Art. 9º Os alumnos que terminarem o curso será dado o diploma de doutor em odontologia.

Art. 10. No curso de pharmacia da Faculdade de Medicina a actual cadeira de chimica analytica passará a constituir uma secção com cathedratico e substituto, considerando-se o seu actual titular como

cathedratico, com preferencia na promoção a substituto de um dos livres docentes da materia, medico, que tenha regido cursos officiaes em mais de dous annos lectivos, correndo por conta da subvenção da

Faculdade as despezas da presente alteração.

TABELLA A QUE SE REFERE O ART. 7º

13 professores, a 6:000$000...............................................................................................

78:000$000

4 assistentes (dous para clinica odontologica, um para prothese, e um para technica), a 3:000$000............................................................................................................................

                  12:000$000

Director (gratificação)...........................................................................................................

6:000$000

Secretario.............................................................................................................................

4:000$000

Thesoureiro..........................................................................................................................

6:000$000

1 conservador......................................................................................................................

3:000$000

1 amanuense.......................................................................................................................

2:400$000

2 serventes, a 1:200$000....................................................................................................

2:400$000

1 porteiro-almoxarife............................................................................................................

3:000$000

  116:800$000

Rio de Janeiro, 29 de outubro de 1919, 98º da Independencia e 31º da Republica.

EpitacIo Pessôa.

Alfredo Pinto Vieira de Mello.

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DECRETO N. 3.830 – DE 29 DE OUTUBRO DE 1919

Autoriza o Governo a transformar em Faculdade de Odontologia o actual curso de odontologia da Faculdade de Medicina do Rio de Janeiro e dá outras providencias.

O Presidente da Republica dos Estados Unidos do Brasil:

Faço saber que o Congresso Nacional decretou e eu promulgo a resolução seguinte:

Art. 1º Fica o Governo autorizado a transformar em Faculdade de Odontologia, sem novos onus para o Thesouro, o actual curso de odontologia da Faculdade de Medicina do Rio de Janeiro.

Art. 2º O ensino será feito em quatro annos, e comprehenderá as seguintes cadeiras:

1ª – Noções de anatomia descriptiva e anatomia medico cirurgica da bocca;

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2ª – Histologia;

3ª – Physiologia;

4ª – Anatomia, physiologia e histologia dentarias;

5ª – Noções geraes de pathologia, de microbiologia e de anatomia pathologica;

6ª – Therapeutica, materia medica e arte de formular;

7ª – Technica odontologica;

8ª – Pathologia dentaria e therapeutica applicada;

9ª – Prothese;

10ª – Metallurgia;

11ª – Hygiene, especialmente da bocca;

12ª – Orthodontia e prothese dos maxilares;

13ª – Clinica odontologica.

Art. 3º As materias serão distribuidas pelos quatro annos, do seguinte modo:

1º anno:

a) – Noções de anatomia descriptiva e anatomia medico-cirurgica da bocca;

b) – Histologia;

c) – Phyisologia.

2º anno:

a) – Anatomia, histologia e physiologia dentarias;

b) – Noções geraes de pathologia, de microbiologia e anatomia pathologica;

c) – Therapeutica, materia medica e arte de formular.

3º anno:

a) – Technica odontologica;

b) – Pathologia dentaria e therapeutica;

c) prothese (1ª parte).

d) metallurgica, assistencia obrigatoria á clinica.

4º anno:

a) hygiene especialmente da bocca;

b) prothese (2ª parte).

c) orthodontia e prothese dos maxillares;

d) clinica odontologica.

Art. 4º A’ Faculdade de Odontologia ficam pertencendo todo o material odontologico existente na Faculdade de Medicina e os laboratorios de technica odontologica, de prothese dentaria e o gabinete de

clinica odontologica.

Paragrapho unico. para a installação da Faculdade de Odontologia o Governo aproveitará um dos proprios nacionaes do Districto Federal até que seja construido pela faculdade e edificio proprio.

Art. 5º Para a matricula na Faculdade de Odontologia os candidatos, além do exame vestibular, apresentarão attestados de approvação nas seguintes materias: portuguez, francez, inglez ou allemão,

arithmetica, geometria, geographia, physica e chimica, e historia natural.

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Art. 6º O provimento das cadeiras da Faculdade de Odontologia se fará mediante concurso, nos termos da lei, com as modificações que forem estabelecidas, para as primeiras nomeações, pelo Poder Executivo

devendo ser aproveitados os actuaes professores e livres docentes.

Art. 7º O pessoal docente e administrativo será o da tabella annexa, com os vencimentos na mesma estabelecidos.

§ 1º Os professores substitutos só perceberão, quando estiverem em exercicio, a differença de vencimentos que não fôr percebida pelo cathedratico.

§ 2º Os logares do pessoal administrativo serão preenchidos pelo Governo dentre os funccionarios addidos.

Art. 8º Todas as taxas de matriculas, de exames e quaesquer emolumentos serão arrecadadas pela faculdade para o custeio de suas despezas, determinando-lhe a União apenas a importancia que despende

com o curso de odontologia da Faculdade de Medicina.

Art. 9º Os alumnos que terminarem o curso será dado o diploma de doutor em odontologia.

Art. 10. No curso de pharmacia da Faculdade de Medicina a actual cadeira de chimica analytica passará a constituir uma secção com cathedratico e substituto, considerando-se o seu actual titular como

cathedratico, com preferencia na promoção a substituto de um dos livres docentes da materia, medico, que tenha regido cursos officiaes em mais de dous annos lectivos, correndo por conta da subvenção da

Faculdade as despezas da presente alteração.

TABELLA A QUE SE REFERE O ART. 7º

13 professores, a 6:000$000...............................................................................................

78:000$000

4 assistentes (dous para clinica odontologica, um para prothese, e um para technica), a 3:000$000............................................................................................................................

                  12:000$000

Director (gratificação)...........................................................................................................

6:000$000

Secretario.............................................................................................................................

4:000$000

Thesoureiro..........................................................................................................................

6:000$000

1 conservador......................................................................................................................

3:000$000

1 amanuense.......................................................................................................................

2:400$000

2 serventes, a 1:200$000....................................................................................................

2:400$000

1 porteiro-almoxarife............................................................................................................

3:000$000

  116:800$000

Rio de Janeiro, 29 de outubro de 1919, 98º da Independencia e 31º da Republica.

EpitacIo Pessôa.

Alfredo Pinto Vieira de Mello.

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Senado FederalSecretaria de Informação LegislativaEste texto não substitui o original publicado no Diário Oficial.

DECRETO N. 1371 - DE 14 DE FEVEREIRO DE 1891

Declara que o archipelago de Fernando de Noronha continúa a pertencer ao Estado de Pernambuco.

O Generalissimo Manoel Deodoro da Fonseca, Chefe do Governo Provisorio da Republica dos Estados Unidos do Brazil, tendo ouvido o Ministro da Justiça, e considerando:

Que o archipelago de Fernando de Noronha recebeu de Pernambuco os seus primeiros povoadores nos primeiros annos do seculo XVII;

Que o governo da capitania de Pernambuco por duas vezes, em 1630 e 1654, expulsou os hollandezes que se haviam apossado da principal das mesmas ilhas, primitivamente denominada S. João por seu descobridor Fernão de Noronha;

Que foi por iniciativa do governador e capitão general de Pernambuco Caetano de Mello e Castro e com auxilio da Camara Municipal do Recife, que a carta régia de 7 de setembro de 1696 tomou as primeiras providencias para o povoamento e fortificação da ilha principal;

Que a carta régia de 24 de setembro de 1700 determinou que a ilha de Fernando de Noronha ficaria pertencendo á capitania de Pernambuco;

Que foi o governador dessa capitania Henrique Luiz Pereira Freire quem defendeu o mesmo archipelago contra a invasão da companhia oriental franceza, que se havia apoderado em 1736 da ilha de Fernando de Noronha, á qual dera o nome de - Isle Delphine -, sendo desalojados os francezes e construidos os fortes dos Remedios, Santo Antonio e Conceição, além de iniciados os trabalhos agricolas pela expedição que o dito governador mandou em 1737 sob o commando do tenente-coronel João Lobo de Lacerda;

Que pelo mesmo governador foi organizado em 1739 o governo militar e economico da ilha, desde então designada - Presidio de Fernando de Noronha;

Que durante todo o regimen colonial o archipelago de Fernando de Noronha continuou sujeito ao governo de Pernambuco;

Que, proclamada a independencia do Brazil, foi o presidente de Pernambuco quem nomeou o commandante do presidio, e expediu as instrucções de 5 de fevereiro de 1824 para a administração local;

Que a unica lei patria que autorizou cumprimento de pena na ilha de Fernando de Noronha, a de 3 de outubro de 1833, arts. 8º e 9º, designando-a para degredo dos fabricadores e introductores de moeda falsa e falsificadores de notas, cautelas, cedulas, e mais papeis fiduciarios da nação ou de banco, assim como os decretos n. 196 de 1 de fevereiro e n. 802 A de 4 de outubro de 1890, na parte em que mandam alli recolher além dos moedeiros falsos, os contrabandistas, já estão implicitamente revogados pelo art. 43 do novo Codigo Penal que não admittiu a pena de degredo, e pelas disposições do Titulo VI, capitulos 1º e 2º, e Titulo VII do livro 2º do mesmo Codigo que punem taes criminosos com a prisão cellular;

Que, em virtude do art. 3º, paragrapho unico, n. 2 da lei n. 2792 de 20 de outubro de 1877, deixou de ser a ilha de Fernando de Noronha um presidio militar, reconhecendo o legislador a desnecessidade de continuar a pratica, aliás não autorizada por lei, de mandar para alli réos de crimes militares, condemnados a galés ou trabalhos forçados, visto não proseguirem as obras de fortificação em que dantes eram empregados, e já está revogado o decreto n. 3413 de 11 de fevereiro de 1865;

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Que, abolidas as penas de galés e degredo, e não havendo lei alguma vigente que designe Fernando de Noronha para cumprimento de penas, cessaram os motivos pelos quaes em 1877 foi posto esse estabelecimento sob a administração do Ministerio da Justiça, não podendo prevalecer os decretos do poder executivo, que, por conveniencias transitorias, autorizaram a transferencia para aquelle presidio de outras classes de criminosos, mencionados nos decretos n. 2375 de 5 de março de 1859 e n. 9356 de 10 de janeiro de 1885 em varios avisos e ordens provisorias;

Que com o systema federativo e posto em execução o Codigo Penal, nenhum Estado ou o Districto Federal póde ter o direito ou a obrigação de condemnar os criminosos a degredo em territorio de outro Estado, só ao Congresso competindo designar uma certa parte do territorio para estabelecimentos da União;

Que o archipelago de Fernando de Noronha pertence a Pernambuco desde 1700, e sempre esteve sob a jurisdicção das autoridades do Recife;

Que o decreto n. 854 de 13 de outubro de 1890, cuja exposição de motivos, na parte em que affirma ser o archipelago pertencente á União Brazileira, só significa que elle constitue territorio do Brazil, como o de todos os Estados, não estando discriminada por lei qualquer fracção territorial que deva pertencer á União, e na parte que suggeria a conveniencia de ficar o archipelago sujeito á autoridade e justiça federal, se fundava na legislação, actualmente revogada, que impunha pena de degredo para a ilha de Fernando de Noronha, deve ser entendido e executado, de accordo com o disposto no art. 224 do decreto n. 1030 de 14 de novembro de 1890, que declarou pertencer a justiça alli constituida ao Estado de Pernambuco, reconhecendo assim o seu direito e jurisdicção no territorio do archipelago;

DECRETA:

Art. 1º O territorio do archipelago de Fernando de Noronha continha a pertencer ao Estado de Pernambuco.

Art. 2º As attribuições conferidas ao Ministerio da Justiça, em relação ao mesmo archipelago, passarão a ser exercidas pelo Governador do Estado de Pernambuco, desde que este se organizar, e emquanto de outra fórma não determinar o seu poder legislativo, guardadas as disposições da Constituição Federal e leis do Congresso Nacional.

Art. 3º Revogam-se as disposições em contrario.

O Ministro e Secretario de Estado dos Negocios da Justiça assim o faça executar.

Sala das sessões do Governo Provisorio, 14 de fevereiro de 1891, 3º da Republica.

MANOEL DEODORO DA FONSECA.

Barão de Lucena.

DECRETO N o 1.955, DE 17 DE SETEMBRO DE 1908 .

Regula o processo de infracções de leis e posturas municipaes.

O PRESIDENTE DA REPUBLICA DOS ESTADOS UNIDOS DO BRAZIL: Faço saber que o Congresso Nacional decretou e eu sancciono a seguinte resolução:

Art. 1º O processo de infracção de leis e posturas municipaes será oral e correrá perante o Juizo dos Feitos da Fazenda Municipal.

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§ 1º Será iniciado e findo na mesma audiencia e no maximo, na seguinte, representada a accusação pelos procuradores ou solicitadores dos Feitos da Fazenda Municipal.

§ 2º Na defesa, que será oral e produzida pela parte ou seu advogado, poderá o accusado juntar documentos ou produzir testemunhas, que serão inquiridas juntamente com as accusações, si as houver, summariamente e de pleno sem termo de assentada. Estas diligencias ficarão constando de auto resumido e, logo após, será proferida a sentença pelo juiz dos Feitos da Fazenda Municipal.

§ 3º A appellação só poderá ser interposta na mesma audiencia em que for proferida a sentença, quando a parte estiver presente por si ou seu procurador; e, no caso de revelia, 48 horas depois de sua publicação na folha official da Prefeitura. Em qualquer dos casos, só poderá seguir a appellação si o infractor depositar a importancia da multa, dentro do prazo de oito dias. Quando a pena for prisão, só poderá seguir a appellação depois de preso o infractor ou prestada a fiança.

§ 4º A’s razões de appellação podem as partes juntar documentos, bem como justificações que hajam produzido no Juizo dos Feitos, com citação do representante da Fazenda Municipal.

§ 5º Os autos de infracção e mais termos do processo poderão ser impressos.

Art. 2º Quando, perante o Juizo dos Feitos, for necessario vistoria, exame ou qualquer outra diligencia, a audiencia do julgamento será adiada para oito dias depois, e findo este prazo o processo será julgado afinal, independentemente do resultado da diligencia que o interessado juntará ás razões de appellação si lhe convier.

Art. 3º Quando se tratar de infracção de posturas sobre obras, demolição, interdicção ou despejo, e cassação de licença ou de clausura de estabelecimento, além do processo criminal respectivo, será affixado no local da infracção um edital que dê conhecimento aos interessados da pena imposta ou da diligencia a cumprir, incorrendo nas penas que forem estabelecidas os que desrespeitarem o prescripto no edital.

Art. 4º Ao processo e julgamento das infracções de leis e regulamentos sanitarios serão tambem applicaveis as disposições dos arts. 1º, 2º e 3º da presente lei, mantida a competencia privativa do Juizo dos Feitos da Saude Publica, ficando a União sujeita a condemnação nas custas quando decahir das acções propostas.

Art. 5º Revogam-se as disposições em contrario.

Rio de Janeiro, 17 de setembro de 1908, 20º da Republica.

AFFONSO AUGUSTO MOREIRA PENNA.Augusto Tavares de Lyra.

Este texto não substitui o publicado na CLBR, de 1908

http://www.senado.gov.br/noticias/TV/Video.asp?v=437721

http://www.senado.gov.br/noticias/TV/Video.asp?v=437721&m=434995

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Capitão Domingos da Silva e Oliveira (*Glaura, Ouro Preto-MG 1.782 +Uberaba-MG 1.852) – História de Portugueses no Brasil – História de Nós Portugueses do Brasil – Família de Fernando Henrique   Cardoso 17 de janeiro de 2008

Lúcio de oliveira falleiros Disse:abril 6, 2010 às 9:50 am | Responder   editar

QUEM IDEALIZOU ESSE MARAVILHOSO SITE?

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1. appliance repair Irvine Disse:maio 1, 2011 às 8:25 am | Responder editar Mate. Este blog é incrível. Como posso fazer com que pareça tão bom?

Chegamos à marca de 100.000 acessos em 14/out/2013 – Muito Obrigado.

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História de Portugueses no Brasil  

História de Portugueses do Brasil

Uma redação escolar:

Minha Família:

“Minha família é Silva e Oliveira, a família do Capitão Domingos. O Capitão Domingos morava na Fazenda da Conquista, no Triângulo Mineiro. O Tio Eustáquio e o Capitão Domingos criaram Uberaba-MG.  EU AMO O CAPITÃO DOMINGOS. Quando eu morrer, quero morar, com o CAPITÃO DOMINGOS, naquela grande Fazenda da Conquista, lá no Céu.”

Uma redação escolar:

  Minha Freguesia, minha pátria, minha aldeia:

“A nossa terra chama-se Oliveira do Douro e é muito bonita.  Em Oliveira do Douro há muitas coisas antigas: o Castelo (Casa) da Castanheira, a Capela da Ermida e o cais (porto antigo) que torna a aldeia ainda mais bonita!    As paisagens de Oliveira do Douro são encantadoras e muito relaxantes.”

ANTES DE MAIS NADA, leia aqui a APRESENTAÇÃO DE NOSSA GENEALOGIA E DE NOSSO SITE:

https://capitaodomingos.com/quem-somos-1/

EM 4 DE ABRIL DE 2016 COMEMORAMOS 200 ANOS DA TRANSFERÊNCIA DO TRIÂNGULO MINEIRO DE GOIÁS PARA MINAS GERAIS.

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O CAPITÃO DOMINGOS foi de +- 1810 a 1831 Capitão da Companhia de Ordenanças do Desemboque que compreendia todo o Triângulo Mineiro, além de

Juiz do Julgado do Desemboque, isto quer dizer que liderou, junto com seu primo o Vigário Hermógenes Casimiro de Araujo, todo o Triângulo Mineiro durante 20 anos,

e, depois de 1831 até falecer em 1852, foi o grande líder político de Uberaba-MG.

Amamos o Capitão Domingos.

Reverenciamos sua memória e de seus irmãos e primos.

Somos milhares de descendentes que os amamos e preservamos suas memórias.

Aqueles que voltam para o Pai só morrem quando são esquecidos por aqueles que aqui eles geraram.

Importante entender que no Império do Brasil, a Câmara Municipal governava as vilas e cidades, não tinha Prefeitura Municipal. Nosso avô portanto foi importantíssimo, e

temos tremendo orgulho dele.

SÍNTESE PERFEITA DO CAPITÃO DOMINGOS DA SILVA E OLIVEIRA

Da Câmara Municipal de Uberaba-MG sobre nomes de Ruas de Uberaba-MG:

O Capitão Domingos da Silva e Oliveira foi o primeiro que exerceu, neste Termo, o Cargo de Presidente da Câmara Municipal, em 1837. Sob sua administração gratuita e diligencia pessoal no agenciamento de donativos, construiu-se o actual edifício do Paço da Câmara Municipal desta povoação, onde até agora se celebram as Sessões da mesma Câmara, as do Jury, Collegios Eleitoraes; Nelle dão as audiências todas as auctoridades judiciárias.

Além disto, foi, mais tarde, Juiz Municipal e exerceu outros cargos públicos, com preponderância constante nos negócios comuns desta povoação, até o seu passamento em 1852.

É justo que seu nome seja contemplado na denominação das ruas, especialmente na que lhe dava entrada vindo da sua Fazenda da Conquista, onde era sua residência mais activa; e esta, a que do Largo da Misericórdia vai para o Barro Preto, que se denominará:

Rua do CAPITÃO DOMINGOS. (autor Borges Sampaio).

A única Rua de Uberaba-MG que dá o nome como era mais conhecido. Apenas Capitão Domingos. Título que ele tanto honrava. As outras ruas todas de Uberaba-MG dão o nome por inteiro… DOMINGOS DA SILVA OLIVEIRA…. seria…

mas esta não.. É o orgulho. Exatamente como ele era conhecido…. CAPITÃO DOMINGOS.

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O CAPITÃO DOMINGOS DA SILVA E OLIVEIRA, ((PRIMEIRO PRESIDENTE DA CÂMARA MUNICIPAL DE UBERABA-MG, 1837-1839, E QUE DEPÓIS, NA DÉCADA DE 1840 VOLTOU A SER PRESIDENTE DA CÂMARA, na época da Lei

de 1828 onde era a Câmara que governava as vilas e cidasdes, como ainda o é em Portugal)) foi o líder político de Uberaba-MG desde a morte de seu irmão fundador de Uberaba-MG Antonio Eustáquio da Silva e Oliveira em 1832, até sua morte em 1852.

Em 1852, faleceu com testamento, ver abaixo, o CAPITÃO DOMINGOS, NA FAZENDA SANTA ELZA, ONDE ERA NAQUELE TEMPO A SEDE DA

FAZENDA DA CONQUISTA. FICA A FAZENDA SANTA ELZA HÁ UNS 10 QUILÔMETROS INDO PARA O ESTADO DE SÃO PAULO POUCO DEPOIS DO

CONJUNTO VALLIM DE MELO.

JOB 8,8 Interroga enim generationem pristinam,et diligenter investiga patrum memoriam8,9 (hesterni quippe sumus, et ignoramus,

quoniam sicut umbra dies nostri sunt super terram),8,10 et ipsi docebunt te, loquentur tibi,

et de corde suo proferent eloquia.

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RESUMO nº 1:

Manuel da Silva c/c Isabel Francisca, é o pai de

João da Silva de Oliveira, c/c Joana Francisca de Paiva,  é o pai do Capitão Domingos

CAPITAO DOMINGOS DA SILVA E OLIVEIRA, c/c Francisca de Salles Gomides, é o pai de:

JOAO DA SILVA E OLIVEIRA, c/c Maria Assidália da Silva Diniz (Dadáia), é o pai de:

JOAO DE AQUINO da SILVA E OLIVEIRA, c/c Eliza Cândida da Silveira Castro, é o pai de:

Maria Teodora de Castro, c/c ANTONIO CARRILHO DE CASTRO FILHO (seu tio), é a mãe de:

AMINTAS  EUDORO DE CASTRO (Dóro), c/c Esmeralda de Mello Lima, é o pai de:

José Antônio de Castro, Antônio Carrilho de Castro Neto, Maria Terezina de Castro, Suzana de Castro Ferreira, Roberto Carrilho de Castro  e  de LUCIANA DE CASTRO,

que se casou com Alceu Júlio da Silveira, é a mãe de:

PAULO CÉSAR DE CASTRO SILVEIRA, autor deste site.

Aqueles que voltam para o Pai só morrem quando são esquecidos por aqueles que aqui eles geraram.

JOAO DE AQUINO DA SILVA E OLIVEIRA,  além de ser pai de Maria Teodora de Castro, foi pai de Honorato, Nabor, Libânia (Zazinha), Antônio  (Tonico), Cornélia

(Dondona), João de Aquino da Ferroviária, e, da Augusta Palharo.

Veja a Família de João de Aquino aqui:

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0 0 0 0 0 0 O João da Silva e Oliveira, filho do Capitão Domingos, pai de João de Aquino da Silva e Oliveira, avô de Maria Teodora de Castro, do Tonico,

a

OBRIGADO: Em janeiro de 2015:

Visitaso 150,521 visitantes

Para entender mais sobre Brasil e Portugal, vilas cidades e câmaras onde nossos avós governavam, lei este PDF:

a administracao local em portugal e no brasil dezoito abril

e

https://uberabagenealogia.files.wordpress.com/2013/09/autarquias-locais-no-brasil-6-7-2016.pdf  

Leia esta mesma página aqui, em PDF, para facilitar a consulta e pesquisa   de nomes de familiares pelo CTRL F:

capitao domingos 20 jan 15

LINDA FREGUESIA DE OLIVEIRA DO DOURO A NOITE

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Por volta de 1802, o CAPITAO DOMINGOS DA SILVA E  OLIVEIRA casou-se em Ouro Preto-MG ou Glaura distrito de Ouro Preto-MG com sua prima RITA CONSTÂNCIA CARDOZA filha de Luis da Silva Cardoso, tio paterno do CAPITAO DOMINGOS.

Tiveram vários filhos no DESEMBOQUE até o último Luís em 1820 e Rita morreu. De 1814 a 1818 não tiveram filhos.

DOMINGOS DA SILVA E OLIVEIRA foi capitão de ordenanças do Desemboque, portanto era ele que mantia a ordem desde que seu irmão o CORONEL JOSÉ DA SILVA E OLIVEIRA deixou o Desemboque em direção a Goiás por volta de 1802 e lá morreu em 1814.

O Capitão Domingos foi também juiz do julgado do desemboque até mais ou menos 1830.

Dividia a liderança do Desemboque e da região, então muito extensa abrangendo o Triângulo Mineiro, com seu primo o Vigário do Desemboque Hermógens Casimiro de Araújo, e, tinha também o Capitão Domingos, influência em Araxá-MG onde trabalhou para ser elevada à vila. Não pode ter deixado de conhecer a Dona Beja.

Passou em 1831 para Uberaba-MG depois de ter nosso avó JOÃO DA SILVA E OLIVEIRA com sua segunda esposa FRANCISCA DE SALES GOMIDES em Desemboque.

Em 1833, teve sua primeira filha em Uberaba-MG, a nossa avó TEREZA EUSÉBIA DA SILVA E OLIVEIRA.

Somos descendentes tanto do VOVÔ JOÃO quanto da Vovó TEREZA, portanto, eu sou pentaneto do CAPITÃO DOMINGOS duas vezes.

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Aqui os Antepassados maternos do Capitão Domingos da Silva e Oliveira, de seu irmão Antônio Eustáquio da Silva e Oliveira fundador de Uberaba-MG

A mãe do CAPITÃO DOMINGOS era JOANA FRANCISCA DE PAIVA

leia o PDF abaixo com a Genealogia dela:

Antepassados de joana francisca de paiva

Curiosidades do Douro – Vinho do Porto

No Douro respira-se vinho em todos os locais. Quase todos os habitantes desta magnífica região têm algum tipo de envolvimento com a produção ou comércio de vinho do Porto ou, mais recentemente, com os vinhos brancos e tintos do Douro. Muitas pessoas têm pequenas vinhas com área inferior a 1 hectare . Estas áreas, por pertencerem à mesma família há várias gerações, dificilmente são vendidas. Várias famílias produzem apenas 1 pipa ou 2 por ano para consumo próprio.

História de Famílias

CASAMENTO DO PAI E MÃE DO CAPITÃO JOÃO DA SILVA E OLIVEIRA, o qual é pai do CAPITAO DOMINGOS

Documento descoberto agora em 26 de junho de 2015.

O pai do Capitão Domingos, o Vereador João da Silva de Oliveira perdeu a mãe com mais ou menos 2 anos de idade. QUE TRISTEZA.

Seu pai casou-se 3 vezes.

Em 1743, Manuel da Silva já tinha a filha Isabel com a terceira esposa.

O Pai do Capitão Domingos é de 1739 como veremos abaixo.

O casamento de Manuel da Silva Cardozo e Isabel Francisca foi em Ferreira de Tendais.

Há uma divergência:

No assento de baptismo do SARGENTO MOR JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA pai do CAPITAODOMINGOS se diz que seu avô é Simão Jorge e no assento de casamento de seu pai se diz que seu avô é Antônio Jorge.

Transcrição do assento de casamento do pai do SARGENTO MOR JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA:

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E estes PDF com CTRL F você consulta nomes:

Descendentes dos filhos do CAPITÃO JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA:

Joaquim da Silva e Oliveira, Antônio Eustáquio da Silva e Oliveira,  João Quintino de Oliveira, Domingos da Silva e Oliveira, e, José Manuel da Silva e Oliveira:

familia de joao quintino de oliveira

tenente joaquim da silva e oliveira e descententes

descendentes de jose manuel da silva e oliveira

PAULO CESAR NAO APAGAR ! Capitão Domingos e seus descendentes

familia do eustáquio

alferes silvestre da silva e oliveira

Terrinha maravilhosa

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AS HISTÓRIAS E LEMBRANÇAS DE NOSSAS FAMÍLIAS NÃO PODEM MORRER CONOSCO

TEMOS QUE PASSÁ-LAS DE GERAÇÃO EM GERAÇÃO!

PORTUGUESES NO BRASIL E DO BRASIL

Aquilo que ouvimos e aprendemos e nossos pais nos contaram, não o encobriremos aos nossos filhos, nós o contaremos de geração em geração.

A FAMÍLIA SILVA E OLIVEIRA Tem seu tronco no Vereador de OURO PRETO-MG na época da inconfidência Mineira: Capitão JOAO DA SILVA DE OLIVEIRA.

É A FAMÍLIA DO CAPITÃO DOMINGOS DA SILVA E OLIVEIRA, filho do Capitão JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA.

É a família do fundador de Uberaba-MG Sargento-Mór Antônio Eustáquio da Silva e Oliveira e de muitos de seus prefeitos, ministros da Guerra, políticos, artistas e do Presidente Fernando Henrique Cardoso.

O sobrenome, (em Portugal se diz apelido),  OLIVEIRA se devem ao fato de nós termos vindo de OLIVEIRA DO DOURO

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A grafologia permite estudar a personalidade do vovô.

JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA VEIO COM SEU IRMÃO LUIS DA SILVA CARDOSO QUE é pai do Vigário Silva ( ANTÔNIO JOSÉ DA SILVA) e de CAMILO

DE LELIS E SILVA

Vigário Silva foi por mais de 20 anos vigário de Uberaba-MG e escreveu sobre as entradas do Sargento Mor Eustáquio seu primo fundador de Uberaba-MG.

Hermogenes Casiminiro de Araujo, vigario de toda aquela região, antes de criar a freguesia de Uberaba-MG, é primo materno de Eustaquio e do Capitão Domingos.

Material Manuscrito

Autor/Criador

Oliveira, João Da Silva De

TítuloCarta a João Rodrigues de Macedo pedindo que ajude seu sobrinho, Antônio José, que pretende ir ao Rio de Janeiro [Manuscrito]

Ano 20/2/1800

AssuntosRio de Janeiro

pdfhttp://objdigital.bn.br/objdigital2/acervo_digital/div_manuscritos/mss1436001_1448077/mss1437016.pdf

Resumo 2:

João da Silva de Oliveira, c/c Joana Francisca de Paiva,  é o pai do Capitão Domingos

CAPITAO DOMINGOS  é pai de  TEREZA EUZÉBIA , casada/com José da Cunha Peixoto Leal

TEREZA EUZÉBIA é a mãe de Francisca Alvina, c/c Joaquim Ignácio de Sousa Lima

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FRANCISCA ALVINA é mãe de  JOSE JOAQUIM DE LIMA, c/c Eulina de Melo Lima

JOSE JOAQUIM de Souza Lima é pai de Nair, Elza, Helenita, Joaquim, Totó, José,  e de ESMERALDA DE MELO LIMA, c /c Amintas Eudoro de Castro,

ESMERALDA DE MELO LIMA  é mãe de:

José Antônio de Castro, Antônio Carrilho de Castro Neto, Maria Terezina de Castro, Suzana de Castro Ferreira, Roberto Carrilho de Castro  e  de LUCIANA DE CASTRO,

que se casou com Alceu Júlio da Silveira

LUCIANA DE CASTRO é a mãe de:

PAULO CESAR DE CASTRO SILVEIRA, autor deste SITE.

E AQUI UMA CaRTINHA CARINHOSA DA ESMERALDA PARA O SEU PAI

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A ALDEIA MAIS PORTUGUESA É MONSANTO — a SEGUNDA ALDEIA MAIS PORTUGUESA É BOASSAS, QUE FICA NA NOSSA FREGUESIA DE OLIVEIRA

DO DOUTRO, CONCELHO DE CINFÃES

–A IGREJA DE OLIVEIRA DO DOURO E A CASA DA CASTANHEIRA ATRÁS

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A Genealogia das famílias que se ligaram aos SILVA E OLIVEIRA estão neste site:

Silva e Oliveira, Silva Cardoso, Távora, Rodrigues Gondim, Alves Gondim, Gomes do Nascimento, Rodrigues Cid, Silva Porto, Leme, Félix, George, Evangelho, Carrilho de Castro, Bernardes da Silveira, Gonçalves de Lima, Silva Diniz, Pereira do Lago, Gonçalves Valim, Valim de Melo, Rodrigues Nogueira, Faleiro de Aguiar, Faleiros, Alves Guimarães, Alves Ferreira, Souza Lima, Sales Gomides, Moreira de Meireles, Garcia Lopes, Rosa Terra, Souza Lima, do Valle, Soares de Azevedo, Arantes.

Aqui, neste site, aparecem muitas famílias de Uberaba, Franca e outras cidades, famílias que se ligaram aos descendentes de JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA, como Rodrigues Gondim, Alves Gondim, Gomes do Nascimento, Rodrigues Cid, Silva Porto, Carrilho de Castro, Bernardes da Silveira, Silva Diniz, Pereira do Lago, Valim de Melo, Nogueira de Baependi, Faleiros.

DOURO SOBRE TELA

TERRINHA AMADA E ABENÇOADA

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ESTÁ É A TERRINHA ABENÇOADA

Hoje aqui, amanhã em Oliveira do Douro

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Uma sardinheira em Boaças, a segunda aldeia mais portuguesa, e, que fica em São Miguel de Oliveira do Douro (Terrinha)

Obrigado – 100 mil visitas atingimos em 14 out 2013 as 10:00 horário de Brasília

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OOOOO terrinha abençoada que saudade nós portugueses do Brasil temos da terrinha,

segundo melhor azeite de Portugal e Boassas, Boaças,  segunda aldeia mais portuguesa com certeza

Porto Antigo – a ponte – o Douro – oh amor à terra duriense!

ANTES DE MAIS NADA, em um minutinho e meio, veja a querida Freguezia de São Miguel de Oliveira do Douro, que nos deu o nosso sobrenome (apelido) OLIVEIRA:

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Estrada em Glaura, Ouro Preto-MG, do tempo do CAPITÃO DOMINGOS; ele passou por ela

provavelmente

ESTÁ É A DESCENDÊNCIA QUE ORIENTA TODO ESTE SITE E SUAS MAIS DE 100 PÁGINAS:

Manuel da Silva Cardoso, da Freguesia de  Oliveira do Douro, Concelho de Cinfães, é pai de:

João da Silva de Oliveira, nascido em Oliveira do Douro, em 1739, e, chegado ao Brasil, em, +-1760,  pai de:

 Sargento Mor Eustáquio da Silva e Oliveira, Capitão João Quintino de Oliveira, Joaquim, Silvestre, Rita, e, o Capitão Domingos que é pai de:

João da Silva e Oliveira, natural do Desemboque, em 1831, fal. em 1888, em Uberaba-MG, pai de:

Tenente Coronel João de Aquino da Silva e Oliveira, de Uberaba-MG, que é pai de:

Maria Teodora (Carrilho) de Castro, de Uberaba, mãe de:

Amintas Eudoro (Carrilho) de Castro, de Uberaba, pai de:

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Luciana de Castro, de Uberaba, mãe de:

PAULO CÉSAR DE CASTRO SILVEIRA, autor deste site.

=

ABRA este arquivo em pdf e veja  a ARVORE GENEALÓGICA DO CAPITÃO DOMINGOS:

arvoregenealogicadechiquinhanetadocapitaodomingos

Nossa árvore genealógica, muitos nomes ainda por serem incluídos, calma:

http://www.myheritage.com.br/site-33238761/familias-de-minha-familia

Leia aqui, a apresentação deste site, como este trabalho foi feito e dicas de como fazer pesquisa de Genealogia:

0 0 0 0 0 0 A APRESENTAÇÃO DO SITE: Famílias Silva e Oliveira, Carrilho de Castro, e outras famílias portuguesas do   Brasil

Mandas-me, Ó Rei, que conte declarando

De minha gente, a grão GENEALOGIA;

Não me mandas contar estranha história,

Mas mandas-me louvar dos MEUS A GLÓRIA.

Tereza Euzébia da Silva e Oliveira e seu irmão João da Silva e Oliveira são os filhos do CAPITÃO DOMINGOS que deram origem, e, se ligaram aos SOUZA LIMA, Melo Lima, Família do João de Aquino da Silva e Oliveira, dos Arantes do Vicente Arantes Tutuna, Carrilho de Castro, em mais famílias de Uberaba-MG. Vamos estudá-los com mais detalhes.

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Aqui, leia sobre eles aqui:

Souza Lima e Melo Lima de Uberaba-MG:

0 0 0 0 0 0 0 Tereza Euzébia, filha do Capitão Domingos e o Vovô Cunha Peixoto, e os “Sousa Lima” e “Melo Lima” de Uberaba-MG

0 0 0 0 0 Tereza Euzébia, filha do Capitão Domingos, Francisca Alvina, Eulina , seus netos Souza Lima, 2 deles casados com os Carrilho de Castro

Tenente Coronel João de Aquino da Silva e Oliveira, neto do CAPITÃO DOMINGOS e seus descendentes em Uberaba-MG:

0 0 0 0 0 O João da Silva e Oliveira, filho do Capitão Domingos, pai de João de Aquino da Silva e Oliveira, avô de Maria Teodora de Castro

Leia aqui sobre os Melo Lima e Souza Lima, (Esmeralda, Mário, Elza, Joquim e mais 8 irmãos), TRINETOS DO CAPITAO DOMINGOS, BISNETOS DA TEREZA EUZEBIA, E NETOS DA FRANCISCA ALVINA:

Leia aqui os descendentes do casal Amintas Eudoro de Castro, (O Dóro), e Esmeralda de Melo Lima, ambos são trinetos do CAPITÃO DOMINGOS DA SILVA E OLIVEIRA, e, portanto primos em 5° grau,  Sendo Esmeralda bisneta de TEREZA EUZÉBIA e AMINTAS EUDORO bisneto de João da Silva e Oliveira.

0 0 0 0 0 0 Antônio Carrilho de Castro Filho – Boiadeiro, casado com Maria Teodora de Castro, bisneta do Capitão Domingos – Os Carrilho de Castro de Candeias, Formiga, Iguatama, Uberaba-MG e   Goianésia-GO

AQUI TEM  AS MELHORES FAMILIAS DE MINAS GERAIS E DE SÃO PAULO todas antepassadas de Maximina e Esmeralda, o que nos  enche de tremendo orgulho.

Filhos, netos, bis e trinetos de DÓRO E ESMERALDA DE MELO LIMA

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E ENTRE GENTE REMOTA, EDIFICARAM, NOVO REINO, QUE TANTO SUBLIMARAM.

A Minas Gerais do Nosso Tempo

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Assinalada a Terrinha – Casa Branca, hoje chamada Glaura, DISTRITO DE OURO PRETO-MG

CLIC NA FOTO PARA AMPLIAR – É MARAVILHOSA

Esta é a Lei Mineira n° 28 que elevou a freguesia de Uberaba-MG à categoria de Vila e extinguiu o Julgado do Desemboque.  Ao tomar posse como primeiro presidente da Câmara de Uberaba-MG, o CAPITÃO DOMINGOS leu esta Lei.

A Lei mandava erigir uma Casa de Câmara e Cadeia e isto foi feito pelo CAPITÃO DOMINGOS, com certidão dos doadores passada em cartório (1° oficio do Raul Silveira) em 1836.

“Manuel Dias de Toledo, Presidente da Província de Minas Gerais: Faz saber a todos os seus habitantes que a Assembleia Legislativa Provincial decretou e eu sancionei a Lei seguinte:

Artigo 1- Fica elevado à Vila o arraial de Santo Antônio e São Sebastião de Uberaba, compreendendo no seu município a freguesia do mesmo nome e o distrito de Sacramento (Minas Gerais) da Freguesia do Desemboque, servindo de divisa pelo lado desta povoação a Lagoa dos Esteios e a linha do prolongamento da mesma lagoa até o Rio das Velhas ao Rio Grande.

Artigo 2- É suprimido o julgado do Desemboque, e a parte dele não compreendida no Município de Uberaba é incorporada ao de São Domingos do Araxá.

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Artigo 3- Os habitantes do novo município são obrigados a construir à sua custa Casa para sessões da Câmara Municipal, Júri, uma cadeia segura conforme o plano que for determinado pelo governo; antes de verificar-se condição não terá lugar a execução desta lei”.

Dada no Palácio do Governo,na Imperial cidade de Ouro Preto, aos vinte e dois de fevereiro 1836.

Nota: O Rio das Velhas citado é o atual rio Araguari (Minas Gerais).

EU TENHO UM PROFUNDO ORGULHO DE MEU PENTAVÔ quinto avô JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA TER SIDO VEREADOR 3 VEZES NA CAPITAL DA

CAPITANIA DE MINAS GERAIS NO TEMPO EM QUE VEREADOR GOVERNAVA A VILA COMO AINDA O É NA TERRINHA PORTUGAL

Oliveira do Douro – Cinfães, Distrito de Vizeu Viseu

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Famílias importantes com muitos oficiais da Câmara desde a Câmara da Vila de São Paulo, então vamos ler sobre as Câmaras no Brasil e em Portugal para entender melhor

nossos honrados antepassados:

Leia este PDF e use o CTRL F  para pesquisar informações e nomes.

Estudo Completo sobre Câmaras Municipais no Brasil desde 1532, comparando com Portugal, e, mostrando o poder e independência que tinham a administração local no

Brasil até 1828, e, mostrando a importância que tinham os vereadores como foi o caso de nosso avô CAPITÃO JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA ,3 vezes vereador, junto

com os inconfidentes, em Vila Rica, capital da Capitania de Minas Gerais:

Clic em:

https://uberabagenealogia.files.wordpress.com/2013/09/autarquias-locais-no-brasil-6-7-2016.pdf  

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OUTRO IRMÃO DO   CAPITÃO DOMINGOS DA MAIOR IMPORTÂNCIA - Desbravador de Goiás – Maior Autoridade no Desemboque, Julgado que abrangia todo

o Triângulo Mineiro, descobridor de minas em Goiás

Veja este site em homenagem aos 80 anos do tetra-neto do Capitão General José Manuel da Silva e Oliveira, Presidente Fernando Henrique Cardoso.

http://www.fhc80anos.com.br/index.php

O tetra-avô de FHC foi barbaramente assassinado em Traíras-GO, em 1813, jurando vingança, o CAPITAO DOMINGOS teria, segundo tradição da família, percorrido Goiás, durante 5 ano,s até encontrar o assassino e matá-lo, em uma cavalhada que participou e o matou de verdade. Há um fundo de verdade nisso, pois, de 1815 a 1820, não teve o CAPITÃO DOMINGOS nenhum filho. Intervalo o qual teria deixado o Desemboque para procurar o assassino do seu irmão JOSÉ MANUEL DA SILVA E OLIVEIRA por aquele mundão de Goiás afora.

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OLIVEIRA É UMA ÁRVORE QUE DÁ EXCELENTES FRUTOS E DURA MIL ANOS ou muito mais!

  –

Esta Oliveira aqui é a mais antiga de Portugal. Tem 2600 anos. Isso é a nossa tradição. Nós que somos de Oliveira do Douro onde se produz o segundo melhor azeite do Mundo.

Abra este pdf e leia a GENEALOGIA do CAPITÃO DOMINGOS DA SILVA E OLIVEIRA:

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OS DESCENDENTES DO CAPITÃO DOMINGOS DA SILVA E OLIVEIRA

Aqui estão famílias e mais famílias de Uberaba que se ligaram aos SILVA E OLIVEIRA: do  Dóro, da Cidália,  os Lima,  do João de Aquino, Amélio Arantes, do Leopoldino de Oliveira, do Bruninho da Silva e Oliveira, da Família Terra. etc..

https://capitaodomingos.wordpress.com/0-0-0-a-familia-do-capitao-domingos-hildebrando-pontes/

=

Os 14 filhos do CAPITÃO DOMINGOS são os seguintes:

Do 1º casamento:1- Francisco da Silva e Oliveira.2- José Alexandre da Silva e Oliveira.3- Rita de Cássia e Oliveira.4- Maria dos Reis e Oliveira.5- Luís da Silva e Oliveira.

Todos estes filhos ficaram órfãos, crianças ainda, quando a Rita Constância Cardoza faleceu no parto do tio Luís da Silva e Oliveira, em 1821, em Desemboque-MG.

Do 2º casamento:

6- Cândido da Silva e Oliveira.7- João da Silva e Oliveira, nascidos em Desemboque-MG. Ver sobre ele em:

0 0 0 0 João da Silva e Oliveira, filho do Capitão Domingos, e nosso   avô

E os seguintes nascidos em Uberaba-MG, também do 2º casamento:

8- Tereza Euzébia da Silva e Oliveira. Ver sobre ela em:

0 0 0 0 Tereza Euzébia da Silva e Oliveira, filha do Capitão Domingos, seu genro Joaquim Inácio de Souza Lima, vinhateiro, e a família Souza Lima de Uberaba e de Uberabinha, hoje   Uberlândia

E em:

0 0 0 0 Tereza Euzébia, filha do Capitão Domingos, e nossa avó, esposa do Vovô Cunha   Peixoto

9- Sinhorinha Cândida da Silva e Oliveira.10- Domingos da Silva e Oliveira (mingote).11- José Joaquim da Silva e Oliveira.

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12- Franscisco Gualberto da Silva e Oliveira.13- Maria Rita Gomides de Oliveira.

14- O CAPITÃO DOMINGOS também teve um filho natural, em Itapecerica-MG, com Maria do Carmo Pacheco falecida em Campina Verde-MG: o tio Antônio Cesário da Silva e Oliveira, pai de outro Antônio Cesário da Silva e Oliveira, o qual aparece no livro “Inocência” do Visconde de  Taunay, que o conheceu e gostou tanto dele que o colocou no livro. O único que aparece no livro com seu nome real.

Somos   De   Oliveira porque somos da:

 Freguesia de  São Miguel de Oliveira do Douro,

Concelho de Cinfães, Distrito de Lamego – Portugal 

No nosso tempo era Concelho de Ferreiros, aldeia vizinha de Oliveira do Douro

História administrativa/biográfica/familiar da FREGUESIA DE SÃO MIGUEL DE OLIVEIRA DO DOURO

Orago: São Miguel.

Esta freguesia é mais antiga que a monarquia; já existia no reinado de D. Ordonho II, primeiro rei de Leão. Buaças, (Boaças), lugar em Oliveira do Douro, recebeu foral de

D. Afonso III em 15 de Março de 1253.

Oliveira do Douro pertenceu ao extinto concelho de Ferreiros de Tendais, até 24 de Outubro de 1855.

Atualmente, pertence ao Concelho de Cinfães, Distrito de Viseu.

Era abadia da renúncia da apresentação do Bispo de Lamego, à qual está anexa a Freguesia de Ermida do Douro.

Oliveira do Douro pertence à Diocese de Lamego.

Lugares de Oliveira do Douro:

Boavista, Boaças, Casal, Castelo, Fanzes, Fundais, Granja, Gravato, Montão, Oliveira, Paredes, Passô, Picão, Porto Antigo, Quintela, Rebogato, Ribeira do Gil,

Vale Melhorado, Vila Nova e Vinha. Orago: São Miguel

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João da Silva de Oliveira, seu irmão Luís da Silva Cardoso, Frei Lourenço do Caraça, João Rodrigues de Macedo, e, outros, fugidos da perseguição aos Távora,

chegam ao Brasil por volta de 1760-1761.

 No Brasil, depois de breve passagem por Tijuco (Diamantina) e Serro-MG, onde nos acolheu o Padrinho Matias de Távora, que já não podia usar o apelido Távora e não

pode ser padre a que se candidatara em 1757, pois nenhum Távora não podia ser mais nada. Seu processo de Genere et Moribus na Cúria de Mariana só tem o pedido

inicial.

Fomos do Tijuco, com o Padrinho Mathias e o Frei Lourenço para  Ouro Preto-MG (Glaura),  depois Desemboque, (hoje em Sacramento-MG), e, depois, fundamos

Uberaba-MG, onde somos a Família Pioneira.

PUBLICADO PELA PRIMEIRA VEZ A ÍNTEGRA DO PROCESSO TÁVORA.

Leia o Processo Távora em fac-símile, em PDF, do primeiro dos seis volumes.

ATENÇÃO:

EM BREVE POSTAREMOS AQUI as 6 partes do PROCESSO DA FAMÍLIA TÁVORA:

Leia a principal parte do Processo Távoras, neste PDF:

Excelente estado da cópia fiel do Processo Távoras que D. Maria I e o Príncipe D. João trouxeram para o Brasil. Não voltou para Portugal, pois ficou esquecido em uma caixa.

Tudo aconteceu porque o Rei D. José teve um filho, no final de 1758, com a Marquesa Nova de Lorena e Távora.

Esse filho era o Grande Governador de São Paulo e depois de Minas Gerais Dom Bernardo José de Lorena (sobrenome materno), o homem que construiu a Calçada do

Lorena entre São Paulo e Santos-SP, foi grande amigo de nosso amigo o Frei Lourenço do Caraça e protetor de nossa família quando governou as Minas Gerais, e, que sempre foi protegido por sua irmão Dona Maria I e por seu sobrinho o Príncipe Regente Dom

João.

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Pela primeira vez na Internet:

PRIMEIRO VOLUME

 Páginas de AN_012_98

 

SEGUNDO VOLUME

 Algumas páginas em mau estado. A maioria excelente de se ler. Tem muitos depoimentos, inclusive do Duque do Aveiro.

Páginas de AN_012_98 dois

SANTO ANTÔNIO DA CASA BRANCA DO OUTRO PRETO-MG, hoje GLAURA-Ouro Preto-MG onde viveu o SARGENTO MOR JOÃO DA SILVA E OLIVEIRA e

onde nasceram seus filhos:

vista de Glaura

=

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Glaura, nos seus arredores ficava a sesmaria de João Alves Portela e depois de João da Silva de Oliveira

No Uberaba-MG e no Desemboque (hoje dentro do município de Sacramento-MG) instalaram-se:

O primo, por parte da mãe do Capitão Domingos, a Joana Francisca de Paiva,

 o Vigário Hermógenes, PRIMO MATERNO, de extensa descendência, seus pais, e o seu irmão Padre António Álvares Portela Dumiense,

nós, os primos Vigários Antônio e Carlos José da Silva, filhos da Tia Rita de Assunção (Ascenção) e Silva com o  sobrinho do Seo João  Rodrigues de Macedo

  o tio Jerônimo Rodrigues da Silva Macedo; o Camilo de Lellis e Silva, este filho do tio Luís da Silva Cardoso, entre outros.

O inventário do tio Luis provavelmente esteja no Forum de Sacramento MG ou em Goias.

E, claro, Rita Constança Cardoza, também filha de Luís da Silva Cardoso, e, primeira esposa do Capitão Domingos.

Nota: Naquela época, o sobrenome (apelido) era flexionado – ia para o feminino (Cardoza).

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Desta forma, parte dos descendentes do CAPITÃO DOMINGOS são também descendentes do LUIS DA SILVA CARDOSO,e,  portanto, duas  vezes primos do

Presidente Fernando Henrique Cardoso.

=

Dificuldades de pesquisar Vila Rica  – Conta-se que o Fórum pegou fogo na década de 1940, e, por isso, restaram poucos processos de inventários de bens que ficaram de

falecidos e processos crimes.

=

Há 25 anos pesquisamos quais mais principais de Vila Rica eram ligados aos Távora. Checamos origem e data de chegada, parentescos:

 Exemplos: O Capitão Mor de Vila Rica, o compadre José Álvares Maciel saiu de Viana do Castelo, em 1760, logo depois que o Palacete dos Távora, em Viana do Castelo, foi

derribado, e, salgado o  terreno. Esse é um dos muitos para se investigar.

e o  3° vereador: Sargento mor José de Almeida Figueiredo, (talvez irmão do Frei Lourenço, e, mais moço que nosso avô João da Silva de Oliveira que era o vereador

mais velho em 1786),

Outra linha de investigação  para saber quem mais foi fugitivo é verificar todos que o Governador Bernardo José de Lorena, (filho da Marquesa Nova Tereza de Lorena e

Távora com o Rei D. José I), promoveu a comandos importantes. É muito provável que não foram só nós que ele BERNARDO JOSÉ DE LORENA promoveu como o caso do Tio João Quintino de Oliveira (Capitão Mor de Tamanduá onde foi figura veneranda e

onde sua casa é hoje museu).

Nota: Tio José Manuel da Silva e Oliveira foi ser o Comandante do Desemboque-Goiás, mas, muito provável, por influência do Governador Bernardo José de Lorena.

No livro do Waldemar de Almeida Barbosa, Dicionário de Minas Gerais, fala-se dos Melo que teriam também fugido por causa da perseguição aos Távora.

Que ironia da História, os fugitivos da Perseguição aos Távora que se instalaram em Vila Rica nunca imaginavam que o pequeno menino Távora viria a ser o Governador de

Minas, em Vila Rica.

=

Além de morar na Fazenda da Conquista, mais exatamente onde hoje é a Fazenda Santa Elza, o Capitão Domingos tinha uma morada de casas na Rua Manoel Borges (naquele

tempo Rua Municipal), acreditamos que seja a que ficou para o tio Luís da Silva e Oliveira, seu filho, e, muito possível de ser no segundo quarteirão da Rua Manuel

Borges, próxima a morada de casas da Tia Luíza, no Beco da Dona Luísa, depois Beco da Maçonaria, hoje final da Rua Major Eustáquio.

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 Há no Cartório do Raul Silveira, em UBERABA, nota de compra e venda da casa do Tio Luís. No primeiro quarteirão eram casas da Familia Rodrigues Gondim – Bernardes da Silveira (também presentes neste site), do tio Eustáquio e descendentes e o terreno da

Câmara.

=

Leia aqui com orgulho, vovô JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA, 3 vezes na lista dos vereadores de Vila Rica:

http://www.ouropreto-ourtoworld.jor.br/cmop%2019.htm

=

Sim, os Silva e Oliveira se ligaram as melhores famílias, as mais tradicionais e honradas famílias de Vila Rica do Ouro Preto, do Desemboque e de Uberaba.

 E porque?

Porque eram os pais experientes e vividos que escolhiam os casamentos dos filhos, não se casava com qualquer um.

=

UMA FAMÍLIA QUE VEIO PARA O BRASIL DEVIDO À PERSEGUIÇÃO A TODOS QUE ERAM LIGADOS à FAMÍLIA TÁVORA.

O Capitão Comandante de Santo Antônio da Casa Branca (hoje Glaura) JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA, nascido em 1739, na Freguesia de São Miguel de Oliveira do Douro,veio, logo depois da execução e morte dos Távoras, para o Brasil. Ele é o pai do CAPITÃO DOMINGOS nascido, em Glaura-Ouro Preto-MG, em 1781. 

Os 15 filhos e centenas de bisnetos e trinetos do CAPITÃO DOMINGOS nascido em Glaura-MG e falecido em UBERABA em 1852 estão neste site.  Assim como também os irmãos do CAPITÃO DOMINGOS e seus descendentes.

=

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Genealogia de nós, os portugueses do Brasil,  pioneiros e bandeirantes que se ligaram à nossa família Silva e Oliveira  (Silva Cardoso) da Freguesia de São

Miguel de Oliveira do Douro, Concelho de Cinfães, Distrito de Viseu, Portugal.

==

Os seguintes presidente da câmara, agentes executivos e prefeitos municipais de Uberaba -SP são da família Silva e Oliveira:

– Domingos da Silva e Oliveira

Vigário Silva

– José Teixeira Alves de Oliveira

– José Joaquim de Oliveira Teixeira

João Quintino Teixeira

-Gabriel Orlando Teixeira Junqueira

Manuel Terra, ( O primo Maneco Terra)

– Hildebrando de Araujo Pontes, genealogista da família Silva e Oliveira e historiador

– Olavo Rodrigues da Cunha

– Leopoldino de Oliveira

-Guilherme de Oliveira Ferreira

-Artur de Melo Teixeira, prefeito do centenário de Uberaba em 1956

– Luís Guaritá Netto

Outros nomes dos Silva e Oliveira também foram grandes líderes políticos como o Coronel Bruno da Silva e Oliveira e seu filho Bruninho da Silva e Oliveira falecido na década de 1990.

JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA veio para o Brasil, com seu irmão LUIS DA SILVA CARDOSO, com O FREI LOURENÇO DO CARAÇA E MAIS ALGUNS SOBREVIVENTES DA TRAGÉDIA DOS TÁVORA, PARENTES PRÓXIMOS OU EMPREGADOS DOS TÁVORAS.

Nossa maior pista é Ana Joaquina Rosa, solteira, madrinha, em 1784, de Tia Rita, filha de João da Silva de Oliveira.   Essa Ana Joaquina Rosa é muito provavelmente uma das filhas desaparecida dos Távora.

Assim dizendo os pesquisadores dos Távora desaparecidos:

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“Dos filhos do Conde de Alvor e da Marquesa de Távora, desconhecemos o paradeiro de duas filhas, D. Ana e D. Inês de Távora, nascidas respectivamente em Chaves, em 1727 e em Lisboa em 1731.”

http://jus2.uol.com.br/doutrina/texto.asp?id=7669

http://www.portuguesefoundation.org/tavoras.pdf

http://sagatavora.blogspot.com/

=

PASSARAM POR DIAMANTINA-MG, ANTIGO ARRAIAL DO TIJUCO, E COM O PADRINHO MATIAS DE TÁVORA, SE FIXOU EM GLAURA, OURO PRETO-MG.

Essa passagem por Diamantina, que Hildebrando Pontes menciona, coincide com o Padrinho Matias ser de lá (que Hildebrando Pontes não sabia) e não sabia ele também que o FREI LOURENÇO DO CARAÇA também passara por lá.  (Descobri, há pouco, que o primeiro Távora chamava-se Lourenço).

JOAO DA SILVA DE OLIVEIRA se fixou na FREGUESIA DE SANTO ANTONIO DA CASA BRANCA DO OURO PRETO, hoje chamada GLAURA que é, até hoje, Distrito de Ouro Preto-MG.

JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA foi tenente da Companhia de Ordenanças de Glaura, depois seu Capitão, e quando aposentou, em 1798, com 30 anos de serviço, foi promovido a Sargento Mor.

EM OURO PRETO, granjeou amizades influentes como o compadre José Álvares Maciel, ( VINDO EM 1760 DA CIDADE QUE OS TÁVORAS MAIS RESIDIAM = VIANA DO CASTELO)  homem mais poderoso de Ouro Preto e pai do inconfidente Maciel;

E JOAO DA SILVA DE OLIVEIRA também teve a amizade importante e foi cobrador de impostos a serviço de JOAO RODRIGUES DE MACEDO, seu vizinho de fazenda em Glaura-MG .

Sim o mesmo JOAO RODRIGUES DE MACEDO, homem mais rico das Minas Gerais, envolvido também na Inconfidência mineira. Uma das filhas do Capitão João da Silva e Oliveira foi casada com um sobrinho do João Rodrigues de Macedo, o homem mais rico de Minas Gerais.

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=

Nós Silva e Oliveira, viemos de Oliveira do Douro,  passamos pelo Serro Frio, onde encontramos o Matias Silveira de Távora,  por Glaura (Ouro Preto), rumamos para a Farinha Podre (Desemboque), Uberaba e Goiás, de onde se originaram milhares de

descendentes espalhados pelo mundo afora.

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Além do Capitão Domingos e seus irmãos (José Manuel, Joaquim, Eustáquio) que foram para o Triângulo Mineiro, sabemos que também foram para lá, os primos: VIGÁRIO HERMÓGENES DE ARAUJO e Padre Antônio Alves Portela Dumiense (estes dois padres são irmãos) ,  e primos, filhos do Luis da Silva Cardoso (que é irmão do pai do Capitão Domingos), como o Camilo de Lelis e Silva que foi para Uberaba.

Procuramos saber onde faleceu e onde está o inventário do LUÍS DA SILVA CARDOSO.

MUITO IMPORTANTE CONSULTAR e copiar acentos de batismo, casamentos, depoimentos de conhecidos, no PROCESSO DE GENERE ET MORIBUS do padre Luís da Silva  Mezencio, nascido em 1767 no então arraial de Congonhas do Sabará (hoje Nova Lima), filho de Luís da Silva Cardoso.

OS PROCESSOS DE GENERE ET MORIBUS são ricos em informações, quando vieram de Portugal, esclarece que não são cristãos-novos, pois só cristãos velhos podiam ser padres.  Este processo se encontra no Arquivo da Cúria da Arquidiocese de Mariana-MG, onde também pode estar o processo de casamento do CAPITÃO DOMINGOS, caso tenha se casado depois de 1.800 com sua prima Rita Constância Cardosa.  Os Processos de casamento do século XVIII de Mariana, eu já consultei, não estavam neles.

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Começamos com a História que corria na família de os Silva e Oliveira vieram de Portugal, fugidos da Tragédia dos Távora em 1759, e encontramos por todos os lados que pesquisamos que a História de Família é verdadeira.

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-“Lesa-majestade quer dizer traição cometida contra a pessoa do Rei, ou seu Real Estado, que é tão grave e abominável crime, e que os antigos Sabedores tanto

estranharam, que o comparavam à lepra; porque assim como esta enfermidade enche todo o corpo, sem nunca mais se poder curar, e empece ainda aos descendentes de

quem a tem, e aos que ele conversam, pelo que é apartado da comunicação da gente: assim o erro de traição condena o que a comete, e empece e infama os que de sua linha

descendem, posto que não tenham culpa.”==

Pelo crime de lesa-majestade, em 1759, no reinado de D. José I de Portugal, a família Távora, no processo dos Távora, havia padecido de morte cruel: tiveram os membros quebrados e foram queimados vivos, mesmo sendo os nobres mais importantes de Portugal. A Rainha Dona Maria I sofria pesadelos devido à cruel execução dos Távoras ordenado por seu pai D. José I e terminou por enlouquecer em 1792.

==

EXECUÇÃO DOS TÁVORA, EM 13 DE JANEIRO DE 1759, NA PRAÇA DO BELÉM, EM LISBOA.

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Depois de 21 anos estudando os SILVA E OLIVEIRA, Silva Cardoso, comecei a juntar os pontos soltos da rede de ajuda mútua dos sobreviventes do Caso Távora em Ouro Preto-MG, numa

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história que vai muito além das inocentes histórias da Inconfidência Mineira dos livros escolares.

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Desde o Frei Lourenço do Caraça (da família Figueiredo de São João da Pesqueira) que, de madrugada, avisou os inconfidentes mineiros que seriam presos, e seu grande amigo o Capitão-Mór de Minas Gerais BERNARDO JOSÉ DE LORENA, filho da Marquesa Nova de Távora (Teresa) com o Rei D. José I, e, portanto, meio irmão da Rainha Dona Maria I e que deu postos importantes para os irmãos Silva e Oliveira.

Lorena é o apelido (sobrenome) materno dele, tanto por parte das avó materna quanto de sua mãe que era tia de seu pai. Lourenço (cujo nome de batismo procuramos e desconhecemos) escolheu esse nome por ser nome de um antepassado dos Távoras que, um século antes também se recolheu recluso a um convento que criou (Lourenço Pires de Távora) e porque São Lourenço foi um santo que morreu queimado como foram os Távora.

=

O Doutor João Rodrigues de Macedo, (em cuja família Macedo até hoje corre a história dos Távoras fugidos), e que foi patrão e compadre de meu Sexto-Avô JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA, nosso patriarca e pai do CAPITAO DOMINGOS. Pesquiso também se o Seo Macedo não seria parente do famigerado padre Macedo da Revolução de 1757 ocorrida no Porto.

=

O 3º – vereador: Sargento – mor José de Almeida Figueiredo, colega de vereança de João da Silva e Oliveira, em 1785, e membro da Família Almeida Figueiredo, também de São João da Pesqueira, terra dos Távora e do Frei Lourenço do Caraça.

Ver esta página:

0 1 caso, processo Távora, Frei Lourenço do Caraça) .

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O Inácio Correia de Pamplona, da inconfidência mineira em cuja companhia o CAPITAO DOMINGOS serviu, em uma história que vai muito além das inocentes histórias da Inconfidência Mineira dos livros escolares.

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E, por último, o Seo JOSÉ ALVES MACIEL, (padrinho de batismo de José Manuel da Silva e Oliveira), que veio, de Viana do Castelo, onde os Távora tiveram seu palacete derrubado, e, o terreno salgado, exatamente em 1759, para o Brasil.

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Eu estudo todas as 4 grandes tragédias portuguesas, ocorridas, por volta de 1757, que afetaram nossa genealogia e nossos estudos:

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1- O Caso Távora (execução,, em 1758, de família e fuga de muitas pessoas para o Brasil porque a Marquesa Nova (Tereza de Távora) deu a luz ao menino BERNARDO JOSE DE LORENA filho do Rei D. José I).

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2- O terremoto em Lisboa, em 1755, onde se perderam muitos livros de Igreja de Lisboa e o primeiro grande genealogista brasileiro, Pedro Taques, perdeu quase toda sua obra magnífica. E quais de nossos familiares teriam vindo para o Brasil por causa do terremoto.

=

3- A Revolução do Porto, em 1757, com mais de 50 executados. Quantos e quais parentes envolvidos?

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4- O Maremoto nas Ilhas dos Açores, em 1755, tragédia que também destruiu livros de Igreja e motivou muitos açorianos a virem para o Brasil, especialmente Praia da Vitória foi atingida. Muito provável os Faleiro terem vindo logo após o maremoto. Tsunami em palavras de hoje.

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=

Investigo também a tetra avó do genealogista DARIO CARDOZO VALE, a Barbara Heliodora Guilhermina da Silveira, se por um acaso, também seria SILVEIRA DE TÁVORA.

=

Depois de 21 anos de pesquisa sobre SILVA E OLIVEIRA e TÁVORA, comecei a juntar o fio da meada, quando entendi que os SILVA E OLIVEIRA, começaram a serem promovidos e a prosperar, quando o filho bastardo do Rei Dom José e a MARQUESA NOVA, TEREZA DE TAVÓRA, o BERNARDO JOSÉ DE LORENA, passou a ser o CAPITÃO MOR de MINAS GERAIS e nomeou os irmãos SILVA E OLIVEIRA para altos cargos. BERNARDO JOSÉ DE LORENA, grande amigo do FREI LOURENÇO DO CARAÇA, segundo o velho SAINT HILAIRE.

Sabemos que logo em seguida à Inconfidência Mineira, D. Maria I que sempre protegera seu irmão BERNARDO JOSÉ DE LORENA, enlouquece de tanto ter pesadelo por seu pai D. JOSÉ I ter matado os Távora. Seu Filho D. João assume o governo e continua protegendo seu tio. Assim BERNARDO JOSE DE LORENA passa a comandar Minas Gerais, depois de brilhante governo na Capitania de São Paulo,  onde construiu a CALÇADA DO LORENA, a estrada mais moderna, na época, em todo o mundo.

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Leia estas páginas sobre os Távora:

https://capitaodomingos.wordpress.com/0-0-0-0-o-caso-processo-tavora/

0 1 caso, processo Távora, Frei Lourenço do   Caraça

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0 1 caso, Família   Távora

0 1 caso, processo Távora, e Bernardo José de   Lorena

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O General Juarez Távora, quando candidato à presidência, em 1955, encontrou-se com a Família Silva e Oliveira, em Uberaba-MG, ele que conta em suas memórias como seu antepassado só recuperou o sobrenome (apelido no português de Portugal) Távora, após a proclamação da República.

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No final desta página inicial deste site, leia os acentos de batizado do CAPITÃO DOMINGOS e de seus irmãos em Glaura, município de Ouro Preto-MG.

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Em breve, neste site, toda a obra de Hildebrando Pontes, Genealogia dos Silva e Oliveira e outras, que caíram em domínio público, em 2010.

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Nós procuramos os descendentes Rita de Assunção, (irmã do Capitão Domingos) e seu marido, o tio Jerônimo Rodrigues da Silva Macedo. Se você for descendentes deles, poste aqui, aparece neste site.

Além do Carlos e do Antônio que foram padres em Uberaba, e lá aparecem no Mapa de População de 1827, com idades compatíveis com os batismos dos filhos da tia Rita, e os quais acredito serem filhos de Jerônimo e Rita, estes devem terem tido mais filhos que ficaram por Ouro Preto e jamais os vimos.  Nós de Uberaba, procuramos vocês que ficaram em Ouro Preto por mais de cem anos.

O Vigário Silva (Antônio José da Silva) e o Padre Carlos José da Silva aparecem neste mapa de População de 1827.  O livro da Arquidiocese de Uberaba registra DOS SANTOS, mas é Carlos José da Silva.  Verificaremos  o Processo de Habilitação de Genere et Moribus em Mariana-MG para tirar a dúvida.

FILHOS DO CAPITÃO JOÃO DA SILVA E OLIVEIRA

O  CAPITÃO JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA TEVE 8 FILHOS, TODOS CULTOS , O QUE ERA RARO  PARA AQUELA ÉPOCA.

E TODOS OS 8 FILHOS SE DESTACARAM PELA INTELIGÊNCIA, CULTURA, HONRADEZ E BONDADE.

TENDO OS FILHOS HOMENS DESTREZA POLITICA E LIDERANÇA POLITICA.

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Quantas vezes o menino JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA, em Porto Antigo, olhando para o Douro, viu um barco Rabelo passar… Meu sonho de raizeiro, buscador de raízes e das origens é ficar em Oliveira do Douro às margens do Bestança e do Douro, ver a capela da Ermida que existia no tempo de vovô….e tudo mais…

Abaixo, os 8 filhos de JOAO DA SILVA DE OLIVEIRA:

1- CAPITAO-MOR DE TAMANDUÁ (ITAPECIRICA-MG) JOÃO QUINTINO DE OLIVEIRA, Batizado em Casa Branca (Glaura) em 25 de outubro de 1767. O PRIMOGÊNITO DA FAMÍLIA.

Leia aqui seus descendentes neste PDF – Use o CTRL F para procurar nomes:

familia de joao quintino de oliveira

Homem culto e bondoso, jovem vereador em Ouro Preto-MG, em 1798.

Líder político da Região de Itapecirica-MG e Formiga-MG, de grande prestígio, falecido em 1842.

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Recebeu a visita do viajante francês famoso Saint Hilaire que o elogiou muito. A sua fazenda Cachoeirinha ainda existe com o mesmo nome e fica em Camacho perto do bairro Cachoeirinha e próximo á divisa de Camacho-MG com Itapecerica-MG.

A Fazenda ficava no caminho que ligava Campo Belo-MG a Itapecerica-MG.  Hoje há uma rodovia asfaltada ligando Itapecerica a Camacho.

A Casa do Tio João Quintino ainda existe e  está conservada e usada como museu histórico.  Logo abaixo da casa há nascentes que abasteciam a vila de Itapecirica. Na época Ipapecirica chamava-se São Bento de Tamanduá.

Saint Hilaire no seu livro Viagens às nascentes do Rio São Francisco, passou pela fazenda Cachoerinha, em 1819, (um ano após vovó Joana Francisca de Paiva ter falecido) onde foi recebido pelo tio João Quintino:

“Já descrevi em outra parte a fazenda da Cachoerinha, (ver página Vida de antigamente nas fazendas) cujo proprietário, João Quintino de Oliveira, Capitão -Mór de Tamanduá, me recebeu com perfeita cortezia. A Fartura de sua mesa não condizia com a pobreza de seus alojamentos. A comida era abundante e considerada excelente em qualquer país. Diante de cada conviva havia um garrafão de vinho-do-porto de ótima qualidade, acompanhado de um pãozinho saborossímo, o  que era realmente uma raridade. O dono da casa desmanchava-se em gentilezas, mas sem nenhuma afetação, no que era secundado por seu capelão.  Eu fora tão bem tratado na casa do Capitão-Mór e ele me cumulara de tantas atenções que foi com pesar que eu o deixei. ESTE HOMEM TRAZIA A BONDADE ESTAMPADA EM SUA FISIONOMIA e tinha sabido granjear a estima de todos os seus vizinhos“.

Veja aqui, a história da região de Itapecerica-MG:

http://interactfga.vilabol.uol.com.br/historiafga.htm

Veja o vídeo da casa desse tio maravilhoso nosso:

“Aos vinte e cinco dias do mês de outubro deste prezente ano de mil setecentos e secenta e sete nesta igreja matriz de Santo Antônio da Casa Branca batizei e puz os sanctos óleos a JOAM ignocente filho legítimo de Joam da Sylva de Oliveyra e de Joanna Francisca de Payva necto pela parte paterna de Manoel da Sylva Cardozo, e de Isabel Francisca naturais de São Miguel de Oliveyra do Douro bispado de Lamego = e pella parte materna necto do Alferes Joam Alvez Portella, natural da Freguesia de Santa Maria do Canedo, Arcebispado de Braga, e de Joanna Monteyra de Paiva nascida e baptizada na freguesia de Sam Paullo do Arcebispado de Lisboa, foram padrinhos o dito Alferes Joam Alvez Portella, e sua mulher Joanna Monteyra de Paiva, todos moradores nesta freguesia de que fiz este assento e assinei vigário encomendado Manoel de Barros.”

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A amada Vila de Tamanduá – Que tio João Quintino de Oliveira comandou por 40 anos de 1802 a 1844. A casa dele fica em cima da foto à direita da Igreja no alto.

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2- SARGENTO-MOR ANTONIO EUSTÁQUIO DA SILVA E OLIVEIRA.  Batizado em Casa Branca (Glaura), em 11 de outubro de 1769.

Fundador e construtor da primeira casa de Uberaba-MG. Um homem culto como se prova com as centenas de cartas que ele mandou para o Governador de MG. Estas cartas estão no Arquivo Público Mineiro em BH-MG.

CONHEÇA OS DESCENDENTES DO ANTONIO EUSTÁQUIO NESTE PDF: Clic para ler:

Leia aqui seus descendentes neste PDF:

familia do eustáquio

“”AOS ONZE DIAS DO MÊS DE OUTUBRO DO PRESENTE ANO DE MIL SETECENTOS E SESSENTA E NOVE NESTA IGREJA MATRIZ DE SANTO ANTONIO DA CASA BRANCA BATIZOU E PÔS OS SANTOS ÓLEOS O REVERENDO DOUTOR ANTONIO ALVES PORTELA (tio de Eustáquio) A ANTONIO INOCENTE FILHO LEGÍTIMO DO ALFERES JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA E DE SUA MULHER JOANA FRANCISCA DE PAIVA, NETO PELA PARTE PATERNA DE MANUEL DA SILVA CARDOSO E DE ISABEL FRANCISCA, NATURAIS DA FREGUESIA DE SÃO MIGUEL DE OLIVEIRA DO DOURO, BISPADO DE LAMEGO, e PELA PARTE MATERNA DO ALFERES JOÃO ALVARES PORTELA NATURAL DA FREGUESIA DE SANTA MARIA DO CANEDO ARCEBISPADO DE BRAGA E DE JOANA MONTEIRA DE PAIVA NATURAL DA FREGUESIA DE SÃO PAULO DO PATRIARCADO DE LISBOA. FORAM PADRINHOS, O CAPITÃO MATIAS GONÇALVES MOREIRA SOLTEIRO MORADOR NA FREGUESIA DE ANTONIO DIAS DO OURO PRETO E ANA MARIA DE PAIVA MULHER DE JOÃO GONÇALVES CAMPOS. DO QUE FIZ ESTE ACENTO E ASSINEI. VIGÁRIO ENCOMENDADO MANOEL DE BARROS.””

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O CAPITAO DOMINGOS PASSOU DE DESEMBOQUE-MG PARA UBERABA-MG, EM PARTE PARA SUPRIR O VÁCUO POLÍTICO EM UBERABA SURGIDO COM A MORTE DO TIO EUSTÁQUIO em 1827. O padrinho de batismo de Tio Eustáquio foi um Távora: o Padrinho Matias Gonçalves.

O Irmão do Capitão Domingos, fundador de Uberaba

Santo Eustáquio morreu queimado, portanto o nome Eustáquio lembra o martírio dos Távoras.

Nota: O padrinho Mathias era Mathias de Távora da Silveira, (filho de Matias Gonçalves de Proença e Bárbara da Távora da Silveira}, mas não podia, na época, ninguém, usar o sobrenome (apelido)  Távora.

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BIBLIOTECA NACIONAL DO RIO DE JANEIRO- BRASIL:

Localização: C-0092,035

Autoridade: OLIVEIRA, Antonio Eustaquio da Silva

Título:Requerimento encaminhado ao Ministerio do Imperio, solicitando Habito de Cristo.

Local: [S.l.]

Data: [s.d.]

Paginação: 2 docs.

Coleção: Documentos biográficos

Notas: Orig. Ms.

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3- Coronel JOSÉ MANUEL DA SILVA OLIVEIRA: Batizado em Casa Branca (Glaura), em  29 de abril de 1771. Barbaramente assassinado, em 1814, em Traíras-GO. Traíras agora são ruínas históricas abandonadas.

Nome dado em homenagem aos seus avós (José e Manoel). Herói sertanista. Homem culto, seu padrinho de batismo foi o político mais importante de Minas Colonial:  o Capitão Mor de Vila Rica do Ouro Preto José Álvares Maciel.  Seu filho José Álvares Maciel Filho foi inconfidente.

O Capitão General José Manuel da Silva e Oliveira foi grande conhecedor de mineralogia, influente no Governo de Minas e Goiás.Existem estudos seus guardados no Instituto Histórico do Rio de Janeiro e na Biblioteca Nacional no Rio de Janeiro.  Ele fez um estudo sobre as minas de ouro e diamantes de Goiás. Este estudo está na Biblioteca Nacional. Nós pretendemos copiar este estudo brilhante e  postá-lo neste site.

JOSÉ MANUEL Foi líder da Região do Desemboque (atual Triângulo Mineiro), na época que a região pertencia a Goiás. Faleceu assassinado em Traíras-GO, em 1814. PESQUISAMOS: inventário do José Manuel em Goiás Velho, cartas e patentes dele no arquivo publico goiano, eventual processo crime sobre seu assassinato.

Tio José Manuel é tetra avô do Presidente Fernando Henrique Cardoso.  Não se casou, mas deixou orfãos muito novos. Traíras hoje em dia é apenas ruínas históricas. O

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PRESIDENTE e sua família também gostam de genealogia e de preservar a memória da família, o que muito nos honra.

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BIBLIOTECA NACIONAL DO RIO DE JANEIRO- BRASIL:

A biblioteca nacional quer muito caro pela cópia do documento e diz que está em péssimo estado. Mas onde estão os outros 2 textos de José Manuel, doados ao Instituto Histórico do RJ?

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: OLIVEIRA, José Manuel da Silva e

Título:Descrição sobre o estado atual da navegação dos rios Araguaia, Tocantins, e Maranhão, encaminhado a d. Rodrigo de Souza Coutinho.

Datas: Rio de Janeiro 14/07/

Dimensão e suporte: 07 p.

Nota: Capa e folhas soltas. Original e Autógrafo. Manuscrito.

Âmbito e Conteúdo:V rias informações sobre diversos rios com indicações e relatos da existência de várias minas de ouro.

Assuntos:

Rios – BrasilNavegação – BrasilMinas e mineração – BrasilCOUTINHO, Rodrigo de SouzaAraguaia, rioTocantins, rioMaranhão, rio

“”AOS VINTE E NOVE DIAS DO MÊS DE ABRIL DESTE PRESENTE ANO DE MIL SETECENTOS E SETENTA E UM NESTA IGREJA MATRIZ DE SANTO ANTÕNIO DA CASA BRANCA BATIZOU E POS OS SANTOS OLEOS O DE MINHA LICENÇA O REVERENDO DOUTOR PADRE FRANCISCO ANTONIO DUMIENSE, MORADOR NA FREGUESIA DE NOSSA  SENHORA DE NAZARE A JOSÉ INOCENTE FILHO LEGÍTIMO DO ALFERES JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA E DE SUA MULHER JOANA FRANCISCA DE PAIVA, NETO PELA PARTE PATERNA DE MANUEL DA SILVA CARDOZO E DE ISABEL FRANCISCA, NATURAIS DA FREGUESIA DE SÃO MIGUEL DE OLIVEIRA DO DOURO BISPADO DO PORTO, DIGO BISPADO DE LAMEGO, E PELA PARTE MATERNA DO ALFERES JOÃO ALVARES PORTELA NATURAL DA FREGUESIA DE SANTA MARIA DO CANEDO DO ARCEBISPADO DE BRAGA E DE JOANA MONTEIRA DE PAIVA NATURAL DA FREGUESIA DE SÃO PAULO DO ARCEBISPADO DE LISBOA, FORAM PADRINHOS O capitão-mor JOSÉ ALVARES MACIEL DA FREGUESIA DE NOSSA SENHORA DO PILAR DO OURO PRETO E MARIA TEREZA DE BARROS MORADORA NESTA FREGUESIA. DO QUE FIZ ESTE ACENTO E ASSINEI. VIGÁRIO MANOEL DE BARROS.”‘

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Aqui neste PDF os descendentes do Coronel José Manuel da Silva e Oliveira, inclusive o Presidente da República Fernando Henrique Cardoso. A Genealogia dos França, dos Esselin e outros:

Use o Ctrl F para localizar nomes e lugares:

descendentes de ose manuel da silva e oliveira

4- TENENTE JOAQUIM DA SILVA E OLIVEIRA: Batizado em Casa Branca (Glaura) em 9 de abril de 1777. Ganhou uma sesmaria em terras que hoje são de Uberaba-MG e Delta-MG, em 1800. Foi o segundo introdutor de gado na região. Construiu, na sesmaria, 3 grandes fazendas no tempo que terra não tinha valor. As fazendas ficavam à beira do Rio Grande, entre Delta-MG e o Distrito Industrial de Uberaba-MG.

Leia aqui seus descendentes neste PDF:

tenente joaquim da silva e oliveira e descententesTio Joaquim morreu novo, em 1829, deixando as fazendas para tia Maria Violante

cuidar; E deixou também vários filhos menores orfãos. Logo após sua morte e da morte do Tio Eustáquio, em fins dos anos 1820, o CAPITAO DOMINGOS resolveu passar

para UBERABA-MG, para cuidar da família e de Uberaba-MG.nota: Sesmaria eram matos que os Governadores das Capitanias davam para bravos que

queriam plantar e colher sem ajuda do Governo.

“”Aos nove de abril de mil setecentos e setenta e sete nesta Igreja Matriz de Santo Antônio da Casa Branca com licença do R. P. M.  Antônio Dias Cordeiro que ficou fazendo as minhas vezes batizou e poz os santos óleos o reverendo José Pereira do Couta a JOACHIM inocente filho legítimo do Alferes Joam da Sylva de Oliveira e de sua mulher Joana Francisca de Paiva, neto pela parte paterna de Manoel da Silva Cardozo natural da freguesia de São Miguel de Oliveira do Douro e de Isabel Francisca, natural da freguesia de São Pedro de Ferreiros bispado de Lamego e pela parte materna do Alferes João Avarez Portela natural da freguesia de Santa Maria de Candedo de Basto, Arcebispado de Braga, e  de Joana Monteira de Paiva batizada na Freguesia de São Paulo do Arcebispado de Lisboa. Foram padrinhos JOÃO RODRIGUES DE MACEDO assistente em Vila Rica e Thomázia Maria de Paiva, assistente nesta freguesia, Para constar faço este assento. vigario encomendado José Nunar Pereira.”””

Nota: Neste batismo de tio Joaquim, se diz que ela é da Freguesia de Ferreiros, vizinha de Oliveira do Douro. Esta madrinha Tomázia de Paiva é tia ou prima, parente da nossa avó Joana Francisca de Paiva, esposa do CAPITÃO JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA, pai do CAPITÃO DOMINGOS.

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5- CAPITÂO DOMINGOS DA SILVA E OLIVEIRA – nosso quinto-avô e ao qual este site se dedica. Batizado em Casa Branca (Glaura) em 17  de janeiro de 1782. O acento de batismo está muito apagado, muito difícil de ler. Falecido em Uberaba-MG em 7 de agosto de 1852.

LEIA AQUI SEUS DESCENDENTES NESTE PDF e procure por nomes no CTRL F:

PAULO CESAR NAO APAGAR ! Capitão Domingos e seus descendentes

VER FOTO DO ACENTO DE BATISMO:

Acta ACENTO DE BAPTISMO DO CAPITÃO DOMINGOS

“”Aos dezessete dias do mês de janeiro do ano de mil setecentos e oitenta e dois anos, nesta Igreja Matriz de Santo Antônio da Casa Branca, solenemente batizou e pôs os

santos óleos o reverendo  ……..  a  Domingos, inocente filho legítimo do capitão João da Silva de Oliveira e sua mulher Dona Joana Francisca de Paiva, neto pela parte

paterna de …..digo Manuel da Silva Cardozo, natural da freguesia de São Miguel de Oliveira do Douro e de Isabel Francisca natural da Freguesia de São Pedro de

Ferreiros Bispado de Lamego e pela parte materna do Alferes João Alves Portela natural da freguesia de Santa Maria do Canedo de Basto, Arcebispado de Braga e de Joana Monteira de Paiva, batizada na Freguesia de São Paulo da Cidade de Lisboa, Foram Padrinhos o Coronel …………. Guarda Mor Antônio José Coelho e Francisca

Rosa de Santa Ana assistente nesta freguesia.  O vigário encomendado José……..

Acento de Batismo do Capitão Domingos da Silva e Oliveira:

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Acento de batizado do Capitão Domingos, em Glaura-MG, em 17 de janeiro de 1782

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6- RITA DE ASSUNÇÃO (Ascensão) E SILVA, também RITA EUZÉBIA DE ASSUNÇÃO: Nascida em Casa Branca (Ouro Preto-MG), em 31 de outubro de 1 784, casada em Ouro Preto-MG ,em 1798, com o Capitão Jerônimo Fernandes da Silva Macedo. O Capitão Jerônimo Macedo era lavrador e sobrinho do famoso inconfidente JOAO RODRIGUES DE MACEDO, morava no distrito das cabeças, em Ouro Preto.

Material Manuscrito

Autor/Criador

Macedo, Bento Rodrigues De

TítuloCarta a João Rodrigues de Macedo enviando um sobrinho de ambos, Jerônimo Fernandes da Silva deMacedo, para ser seu protegido [Manuscrito]

Ano 2/3/1791

Assuntos Minas Gerais – Política e governo

pdfhttp://objdigital.bn.br/objdigital2/acervo_digital/div_manuscritos/mss1436001_1448077/mss1436920.pdf

Jerônimo

 

Material Manuscrito

Autor/ Macedo, Bento Rodrigues De

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Criador

TítuloCarta a João Rodrigues de Macedo enviando mapa de devedores e tratando do destino dos bens do falecido Antônio José dos Santos Leivia, que não deixou testamento [Manuscrito]

Ano 12/2/1795/-21/1/1796

Assuntos Cobrança de contas; Testamentos

pdfhttp://objdigital.bn.br/objdigital2/acervo_digital/div_manuscritos/mss1436001_1448077/mss1436922.pdf

Material Manuscrito

Autor/Criador

Macedo, José Rodrigues De

TítuloCarta a João Rodrigues de Macedo enviando notícias da família e um sobrinho de ambos, Antônio para ser seu protegido [Manuscrito]

Ano 21/1/1796

Assuntos Minas Gerais – Política e governo

pdfhttp://objdigital.bn.br/objdigital2/acervo_digital/div_manuscritos/mss1436001_1448077/mss1436926.pdf

 

 

Material Manuscrito

Autor/Criador

[F…], Jerônimo

TítuloCarta a João Rodrigues de Macedo explicando porque não foi as localidades de Pitangui e Tamanduá[Manuscrito]

Ano [s.d.]

Assuntos Pitangui; TamanduA

pdfhttp://objdigital.bn.br/objdigital2/acervo_digital/div_manuscritos/mss1436001_1448077/mss1436732.pdf

O Capitão JOAO DA SILVA DE OLIVEIRA, pai de Rita, trabalhou para o João Rodrigues de Macedo, como cobrador de impostos, na região de Glaura, Cachoeira do

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Campo e Itabira. Tia Rita morava no Distrito das Cabeças, em Ouro Preto-MG. Foi recenseada em Ouro Preto, em 1804. Teve vários filhos, dos quais nada sabemos sobre seus descendentes, onde estão hoje? Uma se chamava Carlos, nascido em 1802.

 O padrinho de batismo de Tia Rita foi o Ouvidor de Vila Rica (Ouro Preto) e inconfidente TOMAS ANTONIO GONZAGA, na época OUVIDOR em Vila Rica e que declarou naquele ano que a FOLHA CORRIDA de VOVÔ JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA era limpa e que ele podia ser VEREADOR em Vila Rica em 1785.

Acredito que Tia Rita possa ser a mãe do Padre Carlos José da Silva que também foi para Uberaba-MG. Em 1802 batizou em Casa Branca o filho Carlos.

“Aos trinta e um de outubro do ano de mil setecentos e oitenta e quatro nesta igreja matriz de Santo Antônio da Casa Branca batizou e pôs os santos óleos de licença minha o Dr. Ignácio João de Almeida vigário da igreja de São Bartolomeu a RITA inocente filha legítima do capitão João da Silva de Oliveira e sua mulher Joana Francisca de Paiva. Foram padrinhos, o Doutor ouvidor de Vila Rica TOMÁS ANTÔNIO GONZAGA e Ana Joaquina Rosa solteira da dita freguesia de Casa Branca. Do que fiz este assento e assinei. O Vigário Colado Manuel Pires Vergueiro.”

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Acento de batismo de tia Rita, descobri que existiu uma Rita Euzébia naquela época de onde saiu o nome de Tia Rita em sua homenagem. acima do batismo de tia rita tem Joana Monteira como madrinha, quer dizer que vovó ainda estava viva em 1784.

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nota: Hildebrando Pontes diz que ela é irmã do Capitão Domingos mas não consta no inventario da mãe do Capitao Domingos JOana Francisca de Paiva. É provável que seja irmã do Vigário Silva e portanto filha de Luis da Silva Cardoso tio do Capitao Domingos.

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7- LUIZA ALMERIA DA SILVA-: também chamada Luiza Alméria do Vale. Faleceu em 1865, em Uberaba-MG, viúva do Capitão João do Vale Pereira, importante homem em Desemboque com vários documentos na Biblioteca Nacional. Foi mãe do importante Comendador José Bento do Vale. Este foi o 2º proprietário da Fazenda da Conquista, depois que os herdeiros do CAPITAO DOMINGOS a venderam para BORGES SAMPAIO que repassou a Conquista para JOÃO BENTO DO VALE.  DESTA tia NÃO ACHAMOS O BATIZADO. Não aparece esse nome no inventário de Vovó Joana. Nem encontrei nos acentos de batismo de Glaura, mas estou a procura. O nome BECO DA DONA LUÍSA era dado em homenagem a ela. TAMBEM CHAMADO BECO DA MAÇONARIA, hoje é o trecho da Rua Major Eustáquio, entre rua São Sebastião e rua Manuel Borges. Quer dizer que morou perto da casa que o Capitão Domingos tinha na rua Municipal (atual Manuel Borges). é possível que sua casa fosse a da esquina onde Vovô Cunha teve residência posteriormente. A Vó Esmeralda, trineta do CAPITÃO DOMINGOS, tinha medo e lembrava bem do beco da Maçonaria.

8- ALFERES SILVESTRE DA SILVA E OLIVEIRA. Filho natural do CAPITAO JOAO DA SILVA E OLIVEIRA, com ANA MARIA DA SILVA, nascido em Santa Luzia do Sabará-MG, agricultor, trabalhou na construção da Matriz velha de Uberaba-MG, onde faleceu em 1885. Essa informação é do genealogista Hildebrando Pontes, da qual ainda não procurei o acento de batismo.

alferes silvestre da silva e oliveira

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A Constituição Brasileira de 1824 dizia:

“CAPITULO II – Das Camaras

Art. 167. Em todas as Cidades, e Villas ora existentes, e nas mais, que para o futuro se crearem haverá Camaras, ás quaes compete o Governo economico, e municipal das mesmas Cidades, e Villas.

Art. 168. As Camaras serão electivas, e compostas do numero de Vereadores, que a Lei designar, e o que obtiver maior numero de votos, será Presidente.

Art. 169. O exercicio de suas funcções municipaes, formação das suas Posturas policiaes, applicação das suas rendas, e todas as suas particulares, e uteis attribuições, serão decretadas por uma Lei regulamentar”. (A Lei de 1828).

Exemplo da aplicação deste Artigo 168 colocando como Presidente da Câmara Municipal o candidato mais votado a vereador: A Posse do Capitão Domingos da Silva e Oliveira como o primeiro presidente da Câmara Municipal da Vila de Uberaba-MG:

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Ata da Instalação do Município de Uberaba que segue exatamente a Constituição de 1824:

“Ano do Nascimento de Nosso Senhor Jesus Cristo de mil oitocentos e trinta e sete, décimo-sexto da Independência e do Império, aos sete dias do mês de janeiro do dito ano, neste Arraial de Santo Antônio e São Sebastião do Uberaba, Comarca do Rio Paracatu do Príncipe, Província de Minas Gerais, em nova Casa, construída pelos Cidadãos do novo Termo, para servir de Paço da Câmara, que vai se instalar, perante os novos vereadores, que hão de formar, eleitos na forma da Lei. E, em presença dos cidadãos que concorreram a este Ato, leu, o Capitão Domingos da Silva e Oliveira, o Ofício da Câmara Municipal da Vila do Araxá, pelo qual o convidava, como cidadão mais votado, a prestar juramento para Presidente da nova Câmara; E declarando que o tinha feito, leu a Certidão do mesmo juramento prestado a 20 de dezembro de mil oitocentos e trinta e seis. Leu a Portaria da Presidência da Província de Minas Gerais, de vinte de julho do dito ano, que ordena a execução da Lei Mineira número 28, que elevou este Arraial à Vila e que lhe marcou seus limites“.

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DOURO NOSSA AMADA TERRINHA

O Vale do Douro, compreendido entre Barqueiros e a fronteira,é fruto dos prodígios da natureza, mas também do esforço e da energia despendida pelo homem na sua

transformação. A vinha que gera as castas do célebre Vinho do Porto é a causa e a razão maior de todo este árduo trabalho. Séculos de labuta, fadiga e suor humano,

desventraram a terra, removeram o xisto maciço, moldaram os muros e patamares de socalcos para arrimar as videiras, erguendo esta obra colossal, que Marquês de Pombal

recompensaria, no século XVIII, com o título de primeira Região Demarcada do mundo.

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18 h ·

Douro: o rio mais bonito do mundo | VortexMag

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Património Mundial repleto de cultura, história e paisagens deslumbrantes. Assim é o Rio Douro, o Rio mais bonito do mundo.

VORTEXMAG.NET|DE VORTEX MAGAZINE

TESTAMENTO, hoje desaparecido, do CAPITÂO DOMINGOS DA SILVA E OLIVEIRA

Só restou a metade final de seu enorme processo de inventário de bens.

O Capitão Domingos, nos últimos anos de vida, trajava-se, em certos dias, à moda de Luís XV, ou seja, com calção de veludo, capa, espada e chapéu de penas, que era a indumentária própria das pessoas categorizadas da época.

Faleceu em 7-AGO-1852 em Uberaba (MG).

Eis os termos de seu testamento:

Ver aqui testamento do capitão domingos:

0 0 0 0 Testamento do Capitão Domingos e outros   documentos

“Eu Domingos da Silva e Oliveira, abaixo assinado, estando no meu perfeito juízo, sem mais temendo a morte que partilha com todos, resolvi fazer e como é justo faço o testamento da maneira seguinte:

– Declaro que sou Católico Romano natural da Freguesia de Santo Antônio da Casa Branca do Bispado de Mariana, e filho legítimo do Sargento-Mor João da Silva e Oliveira e de Dona Joana Francisca de Paiva, ambos falecidos.

-Declaro que fui casado em face da Igreja com Dona Rita Constância da Silva e Oliveira (Cardoza), de quem tive os seguintes filhos: Francisco José, Rita, que foi casada com Raimundo Soares de Azevedo, Maria, que foi casada com José Lourenço de Araújo, Luís, único existente.

-Declaro que passado o tempo de prazo de meu primeiro matrimônio fui casado canonicamente com Dona Francisca de Sales Gomides, já falecida; deste matrimônio tive os seguintes filhos: João, Teresa, que se acha casada com José da Cunha Peixoto Leal, Domingos, Senhorinha, José, Francisco e Maria Rita, os quais todos ainda existentes; do primeiro matrimônio que são Luís, por si, Raimundo, como sucessor de sua mãe Rita, e Rita e Maria, como sucessoras de sua mãe. São meus herdeiros, como tais os instituo.

-Declaro que depois do falecimento da minha primeira mulher a todos os seus herdeiros a quem lhes coube de herança, ficavam intimados a nada herdarem mais de meu filho Francisco, nem de meu filho José, porque estes me ficaram devendo mais do que possuíam, obrigados a dar à mulher do último por nome Iria um porco e esse por tudo. Outros, assim como declaro no Livro de Razão às folhas trinta e nove.

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-Declaro que à minha filha Rita quando se casou com Raimundo Soares de Azevedo dei de dote a quantia de quatrocentos mil réis em notas.

-Declaro que instituo meus testamenteiros em primeiro lugar nosso sobrinho João Quintino Teixeira, em segundo lugar meu genro José da Cunha Peixoto Leal e em terceiro lugar meu filho Luís da Silva e Oliveira, e ao que me aceitar, deixo além de documentos mais de um ano para contestar.

-Declaro que sou Irmão Remido de São Francisco, na Vila de Tamanduá (Hoje Itapecirica-MG), e falecendo quero ter a mortalha no hábito de que usam os velhos confrades, acompanhado com decência, sem pompas, pelo Pároco e nossos sacerdotes que me assistirem, logo que me livrarem das minhas culpas presentes.

-Declaro que meu testamenteiro mandará dizer cem missas a saber: cinqüenta por minha alma, vinte e cinco por alma de minhas duas mulheres, vinte e cinco por alma de nossos filhos já falecidos.

-Declaro que deixo para as obras ou alfaias da Igreja Matriz desta Vila (de Uberaba) cem mil réis.

-Declaro que deixo ao meu filho Domingos seiscentos mil reis, mais seiscentos mil réis no caso de continuar seus estudos, para assemelhar coadjuvantes, do contrário esta linha não terá valor.

-Declaro que dei ao Antônio Cesário e Maria Cândida duzentos e quarenta mil réis.

-Declaro que deixo forra a minha escrava Felipa pelos serviços que me tem feito.

-Declaro que os bens que possuo são a Fazenda da Conquista com escravos que existem e gado e três moradas de casas nesta Vila.

-Declaro que a minha vontade é que seja tutor dos meus filhos o meu primeiro testamenteiro e para tal fim o nomeio.

-Por esta forma tenho concluído meu testamento de última vontade, desejando se cumpra como se contém e que assino pedido escrito pelo Vigário Antônio José da Silva, assinado por mim aos vinte e seis de outubro de um mil e oitocentos e quarenta e nove.”

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A CONSTRUÇÃO DE UBERABA-MG e seu POVOAMENTO por nós Silva e Oliveira, primos e conterrâneos de Minas Gerais:

O povoamento da região de Uberaba teve início, no final do século XVIII, com sesmarias concedidas pela Capitania de Goiás, entre elas, a Fazenda das Toldas, ainda

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existente, concedida a Tristão de Castro Guimarães, e as Fazendas Santo Inácio, Ponte Alta e Bebedouro, concedidas, em 1799, ao Tenente Joaquim da Silva e Oliveira, irmão do Sargento-Mor Antônio Eustáquio da Silva e Oliveira, todas estas fazendas situadas ao sul da atual Uberaba.

A povoação de Uberaba, (o arraial),  foi fundada, em 1808, pelo sargento-mor comandante da Companhia de Ordenanças do Distrito do Julgado do Desemboque da Capitania de Goiás, Antônio Eustáquio da Silva e Oliveira.

Anteriormente a Eustáquio, o cargo de comandante do Distrito do Desemboque fora ocupado por seu irmão Capitão-General José Manuel da Silva e Oliveira.

O Julgado do Desemboque correspondia ao atual Triângulo Mineiro menos a região de Araxá que foi elevada a julgado, em 1811, desmembrada do Julgado do Desemboque.

A primeira casa de Uberaba, construída pelo Sargento-Mor Antônio Eustáquio, localizava-se na atual esquina da Praça Rui Barbosa com a Rua Artur Machado, do lado esquerdo de quem desce a rua Artur Machado.

O Sargento-mor Antônio Eustáquio era oriundo do Distrito de Glaura, pertencente à antiga Vila Rica, atual Ouro Preto, onde seu pai, João da Silva de Oliveira, fora vereador por três mandatos na época da Inconfidência Mineira e capitão comandante de Glaura.

O Sargento-Mor Antônio Eustáquio, buscando desbravar novas terras na região, realizou duas entradas pelo Sertão da Farinha Podre e que foi também fundador, entre os anos de 1810 e 1813, do arraial denominado Nossa Senhora do Carmo dos Morrinhos, atual município de Prata.

Da família fundadora do Uberaba, Sargento-mor Antônio Eustáquio, seus irmãos e primos, o descendente mais ilustre é o ex-presidente Fernando Henrique Cardoso, tetraneto do Capitão-General José Manuel da Silva e Oliveira.

Uberaba surgiu pela migração de geralistas, como eram chamados os habitantes das Minas Gerais na época do Brasil Colônia, os quais deixaram as já esgotadas regiões produtoras de ouro, porém fracas para agricultura, da Capitania de Minas e de Goiás (Desemboque), em busca de terras férteis para se estabelecerem como agricultores e pecuaristas.

Entre estes pioneiros, além dos Silva e Oliveira, estavam, entre outros, os Rodrigues da Cunha, originários da Vila de Queluz, atual Conselheiro Lafaiete, e os Bernardes da Silveira, Rodrigues Gondim e Alves Gondim vindos de Formiga (Minas Gerais).

O local onde se instalou o Arraial de Uberaba, inicialmente denominado sertão da Farinha Podre, às margens do Córrego das Lages, foi escolhido por existirem, naquela área, formadas por seis colinas (Boa Vista, Estados Unidos, da Matriz, Cuiabá, Barro Preto e a colina da Misericórdia), grande quantidade de nascentes de córregos no alto destas colinas.

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As primeiras “moradas de casas”, como se dizia na época, foram construídas próximas às nascentes destes córregos.

As terras do novo arraial pertenciam à Fazenda das Toldas, ainda existente, e foram doadas, em 1812, por seu proprietário Tristão de Castro Guimarães.

O “Arraial” de Uberaba, na época pertencente ao Julgado do Desemboque, Capitania de Goiás, foi elevado à condição de “Distrito de Índios” em 13 de fevereiro de 1811.

Em 1816, a região do Triângulo Mineiro, que na época compreendia o “Julgado do Desemboque” (onde Uberaba se encontra) e o “Julgado do Araxá”, deixou de pertencer à Capitania de Goiás e foi anexada à Capitania de Minas Gerais.

Estes dois julgados (Desemboque e Araxá) ficaram pertencendo à Vila e comarca de Paracatu do Príncipe. A comarca de Paracatu foi criada em 1815.

O Sargento-Mor Eustáquio pediu e conseguiu de D. João VI a elevação de Uberaba à categoria de freguesia em 2 de março de 1820 com o nome de Freguesia de Santo Antônio e São Sebastião do Uberaba, desmembrada da Freguesia do Desemboque.

Em 1831 é criada a Vila de Araxá, a qual Uberaba fez parte até sua emancipação política em 1836.

Na década de 1830, o escritor Bernardo Guimarães residiu em Uberaba.

O sargento-mor Antônio Eustáquio foi o líder político de Uberaba até sua morte em 1832, quando assumiu o seu lugar, seu irmão Capitão Domingos da Silva e Oliveira que foi o líder político de Uberaba até sua morte em 1852, e, que conseguiu, em 1836, a emancipação política de Uberaba, então pertencente à Vila de Araxá.

O Capitão Domingos havia trabalhado, também, em 1831, para a elevação de Araxá à categoria de vila.

Em 22 de fevereiro de 1836, pela lei mineira número 28, Uberaba foi elevada à categoria de município, a Vila de Uberaba, desmembrando-se de Araxá.

Em 7 de janeiro de 1837, é instalada a Câmara Municipal, tomando posse os primeiros vereadores, tendo o Capitão Domingos como seu primeiro presidente. Esta lei número 28 também extinguiu o julgado do Desemboque e o anexou ao município de Araxá.

Esta lei número 28 também extinguiu o julgado do Desemboque e o anexou ao município de Araxá e exigia que a população construísse às suas custas uma Casa de Câmara e cadeia. O Capitão Domingos, em menos de um ano, recolheu donativos e construiu a Casa de Câmara,  podendo, então, instalar a nova vila.

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O duas vezes prefeito de Uberaba-MG Doutor Hugo Rodrigues da Cunha, em 1992, definiu o CAPITÃO DOMINGOS como a:

“Cabeça pensante da família Silva e Oliveira“

Seu avô, o Coronel Cândido Rodrigues da Cunha estava junto com o CAPITÃO DOMINGOS, na primeira vereança de Uberaba-MG, em 1837. Hugo também falou com orgulho da Escola Municipal Capitão Domingos lá na Serrinha, bairro rural de Uberaba-MG.

CAPITÃO JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA – Capitão de Ordenanças de Glaura-Ouro Preto-MG, ou seja era o comandante de Glaura, foi também 3 vezes vereador em Ouro Preto-MG quando isto era importante e só eram 3 vereadores e

só 10 vilas em Minas Gerais, e, cobrador de impostos para o Doutor João Rodrigues de Macedo

O Capitão JOAO DA SILVA DE OLIVEIRA foi vereador 3 vezes em Ouro Preto, com folha corrida limpa, como atestou, em despacho, o Ouvidor da Capitania Doutor Tomás Antônio Gonzaga ( o inconfidente), e compadre.

Leia este PDF abaixo:

Estudo Completo sobre Câmaras Municipais no Brasil desde 1532, comparando com Portugal, e, mostrando o poder e independência que tinham a administração local no

Brasil até 1828, e mostrando a importância que tinham os vereadores como foi o caso de nosso avô CAPITÃO JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA, 3 vezes vereador, junto com

os inconfidentes, em Vila Rica, capital da Capitania de Minas Gerais:

Clic em:

https://uberabagenealogia.files.wordpress.com/2013/09/autarquias-locais-no-brasil-6-7-2016.pdf

 

O Capitão Comandante de Ordenanças do Distrito de Glaura, Vila Rica do Ouro Preto, então capital da Capitania de Minas Gerais,  JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA foi vereador em 1782, 1786 e em 1793, em época que vereador era importante, derrubava governadores, e quando existia em Minas Gerais, menos de 10 câmaras municipais.

O CAPITÃO JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA foi Vereador da Capital de MG – Vila Rica do Ouro Preto-MG, por 3 mandatos:

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“” Abaixo a composição da: Câmara da Vila Rica do Ouro Preto – 1786. (mandato de um ano):

– Juiz mais velho: Cláudio Manoel da Costa (Inconfidente);

– Juiz mais moço: Doutor Gregório Pereira Soares Albergaria;

– Vereador mais velho: Capitão João da Silva de Oliveira

– 2º vereador: João Pinto Basto;

– 3º -vereador: Sargento- mor José de Almeida Figueiredo. (provável parente (irmão) do Frei Lourenço do Caraça que veio junto com vovô fugidos do Caso Távora).

– Procurador: Cirurgião mor Pedro Teixeira da Silva Mursa;

– Tesoureiro: Francisco Caetano Ribeiro;

– Escrivão: Antônio José Velho Coelho””

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JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA foi vereador, em 1793, em Ouro Preto, o que quer dizer que passou apertado, mas escapou de se envolver na inconfidência mineira. Depois, já velho, passou seu prestígio para seu filho JOÃO QUINTINO DE OLIVEIRA, VEREADOR em OURO PRETO em 1798, e que, logo após, passou para ITAPECERICA-MG ( chamada naquele tempo de Tamanduá) para ser seu prestigioso  e venerando CAPITÃO-MOR. Amado em Itapecerica-MG até hoje.

Em 1786,  JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA foi vereador junto com o importante Dr. Cláudio Manoel da Costa (Inconfidente).

O Capitão JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA foi o líder político de Glaura-MG por décadas com a patente de  CAPITÃO COMANDANTE DE ORDENANÇAS DA FREGUESIA DE CASA BRANCA (GLAURA) do  termo de Vila Rica.

O Pai do CAPITÃO DOMINGOS foi o Capitão de Ordenanças, aposentado como Sargento-Mor CAPITÃO JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA, nascido na Freguesia de São Miguel de OLIVEIRA DO DOURO, CONCELHO DE CINFÃES, Distrito de Viseu, em janeiro de 1739, filho de Manoel da Silva Cardozo, nascido em Oliveira do Douro, e de Isabel Francisca, nascida na Freguesia de São Pedro de Ferreiros, vizinha de Oliveira do Douro.

João da Silva de Oliveira  era neto paterno de Manuel da Silva e Ana de Affonseca, neto materno de Manuel Jorge e Maria Francisca.

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Acento de batismo de João da Silva de Oliveira, em Oliveira do Douro, Cinfães, em  18 Janeiro de 1739

JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA veio para o Brasil, junto com outros fugitivos, logo depois do CASO TÁVORA, ocorrido em 1758.

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Leia abaixo a patente de  SARGENTO-MÓR, em 1800, depois de 33 anos de dedicados serviços em Glaura, na Companhia de Ordenanças daquele Distrito (Casa Branca), Vovô foi nomeado tenente em 1767.

A carta patente é assinada por BERNARDO JOSÉ DE LORENA, um Távora bastardo. O Filho do Rei José com a marquesa de Távora, a nova. Há outra assinatura de um Oliveira Cardozo.

Clic na imagem uma vez, ela abre e clic de novo e leia com orgulho:

BERNARDO JOSE DE LORENA, do conselho de Sua Alteza Real Príncipe Regente Nosso Senhor, Governador e Capitão General da Capitania das Minas Gerais. Faço saber aos que esta minha Carta que atendendo a JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA haver exercido o posto de Capitão de Ordenanças do Distrito da Casa Branca do termo desta Vila, comportando-se sempre com honra zelo e fidelidade 33 anos que ……….. com desempenho das suas obrigações  cumprido exatamente as diligências que lhe

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foram incumbidas e me representar que por justos impedimentos de moléstias e outras causas que lhe ……não podia continuar no referido exercício, pedindo me houvesse de reformar com o………. correspondente a seu serviço. Hei por bem fazer mercê de formar ao dito JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA no posto de sargento-mor das ordenanças do termo desta Vila e ficará gozando de todas as honras, graças, privilégios, liberdades, isenções, e franquias, que em razão de lhe pertencerem. Pelo que o Capitão-Mór e oficiais de ordenanças do dito termo o conheçam por tal. E por firmeza de tudo que mandei passar a presente por mim assinada e selada com o selo de minhas armas que se cumprirá inteiramente como nelas contem registrando-se nos livros da secretaria deste governo….mais tocar. José Vicente Pinto a fez. Dada em Vila Rica de Nossa Senhora do Pilar do Ouro Preto, a 23 de janeiro, ano do nascimento de Nosso Senhor Jesus Cristo de 1800. José Joaquim de Oliveira Cardozo Oficial maior da Secretaria…………secretario de governo a……. escrever. BERNARDO JOSÉ DE LORENA.

Esse Cardozo que era secretário precisa ser pesquisado. É provável que seja parente nosso entrosado com Bernardo de Távora, meio irmão de Dona Maria I.

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Aqui o  inconfidente Ouvidor de Vila Rica Tomás Antônio Gonzaga examina a Folha Corrida do Pai do Capitão Domingos e o declara apto a ser vereador em Vila Rica, em 1785:

1.1.17.   Edital assinado pelo Ouvidor-Geral e Corregedor Tomás Antônio Gonzaga, fazendo pública a eleição do vereador JOÃO DA SILVA E OLIVEIRA à Câmara de Vila Rica.  Vila Rica, 29/12/1785. C. I.

O Compadre Tomás Antônio Gonzaga, padrinho de batismo de Tia Rita, diz que foi aberta o pelouro e tendo sendo eleito  para exercer o cargo de vereador de Ouro preto

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em 1786 o Capitão João da Silva de Oliveira e  vendo sua FOLHA CORRIDA onde nada consta que o impeça de ser vereador, manda-o jurar os Santos Evangelhos para melhor servir de Vereador.

Foi vereador junto com o inconfidente CLÁUDIO MANUEL DA COSTA.

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Ótima resolução, pode imprimir que sairá uma foto ótima:

Aposentou-se em, 1798, sem ter sofrido nenhuma punição em 30 anos de serviço, na Companhia de Ordenanças de Casa Branca do Ouro Preto (Glaura).

Aposentou-se como capitão-mor de Glaura e promovido na aposentadoria para a patente de SARGENTO-MOR.

Faleceu em agosto de 1802.  Aposentado com 30 anos de serviço, em 1798. Recebeu a patente de alferes, em 1768, isto confere pois no batismo de tio João Quintino, em 1767, ainda não é alferes, e no batismo de Tio Eustáquio, em 1769, já é alferes. No batismo de tia Rita, em 1784, já era capitão.

NOTAS:1- Sim, ser vereador era muito importante na MINAS COLONIAL. Existiam, nas Minas, centenas de arraiais e freguesias, mas só 14 municípios (vilas), que eram enormes em território.

2-Além disto, Vereador Colonial tinha muito mais poder que vereadores de 2.006. Portanto era o CAPITÃO JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA era, em 1786, um dos apenas 27 vereadores em toda a Capitania de Minas Gerais (9 vilas, com 3 vereadores

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cada). A décima vila foi Itapecerica em 1793, a vila em que tia João Quintino foi Capitão-Mor.

3- Ler o livro: DICIONARIO DE TERMOS E GENTES DE MINAS, de WALDEMAR DE ALMEIDA BARBOZA; e ver os sites abaixo:

www.culturamg.gov.br/arquivo/ativperm.html

http://www.descubraminas.com.br/destinosturisticos/hpg_pagina.asp?id_pagina=1897

4- Sim, extremamente escaldados com o Caso dos Távoras, os SILVA E OLIVEIRA atravessaram, sem um arranhão, a INCONFIDÊNCIA MINEIRA. Mesmo sendo o CAPITÃO JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA, compadre de ALVARES MACIEL e do RODRIGUES DE MACEDO.

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PARA SE TER UMA IDEIA DA IMPORTÂNCIA DAS CÂMARAS E DOS VEREADORES E DO ORGULHO QUE TEMOS DO VOVÔ:

CAMARAS LEGISLAVAM SOBRE MOEDA PREÇOS PEDIAM A SAIDA DE UM GOVERNADOR DE CAPITANIA.

BONS TEMPOS AQUELES EM QUE CAMARAS MANDAVAM.:

 

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VEREADORES EM OURO PRETO MINAS GERAIS: O pai do Capitão Domingos 3 vezes e o Tio João Quintino um vez:

http://www.ouropreto-ourtoworld.jor.br/cmop%2019.htm

838. Câmara – 1793

Juiz mais velho: Coronel José P. Lima de Velasco Molina

Juiz mais moço: Dr. Diogo Pereira Ribeiro de Vasconcellos

Vereador mais velho: Capitão João da Silva de Oliveira

2- vereador: Dr. Manoel Rodrigues Pacheco

3– vereador: Tenente Libório Martins Machado

762. Câmara – 1786

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Juiz mais velho: Cláudio Manoel da Costa (Inconfidente)

Juiz mais moço: Doutor Gregório Pereira Soares Albergaria

Vereador mais velho: Capitão João da Silva de Oliveira

2 vereador: João Pinto Basto

3 vereador: Sargento mor José de Almeida Figueiredo

Procurador: Cirurgião mor Pedro Teixeira da Silva Mursa

Tesoureiro: Francisco Caetano Ribeiro

Escrivão: Antônio José Velho Coelho

72a Câmara – 1782

Juiz mais velho: Capitão José da Mota Araújo

Juiz mais moço: Dr. José Dias Rosa Maciel

Vereador mais velho: Sargento mor Pedro Luís P. da Cunha

2- vereador: Capitão João da Silva de Oliveira

3- vereador: Domingos José Ferreira

Procurador: Tenente Francisco Correia Fortuna

88a Câmara – 1798

Juiz mais velho: Dr. Teotônio Álvares de Oliveira Maciel

Juiz mais moço: Dr. Diogo Pereira Ribeiro de Vasconcellos

Vereador mais velho: Dr, Manoel Rodrigues P. de Morais

2- vereador: Capitão João Quintino de Oliveira

3- vereador: Dr. João Gualberto Monteiro de Barros

Procurador: Tenente Domingos de Amorim Lima

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JOANA FRANCISCA DE PAIVA – Mãe do CAPITÃO DOMINGOS

Seus antepassados neste PDF:

Antepassados de joana francisca de paiva

A mãe do CAPITÃO DOMINGOS nasceu em 1735, em Glaura, cresceu lá, se casou lá, e morreu, em 1818, lá m Glaura (Ouro Preto-MG). Somos, portanto, antigos em Ouro Preto-MG, nossa família Paiva é pioneira em Glaura, no início da mineração em Minas Gerais.

Vovó Joanna Francisca de Paiva ficou 16 anos viúva (de 1802 a novembro de 1818, quando faleceu). Só tia Rita vinha visitá-las. Viagens eram difíceis.

Seus companheiros de velhice foram seus fiéis escravos, um casal já velhinho, um Preto Véio, como se dizia naqueles tempos, sua mulher já velhinha também, e mais alguns escravos: Clemente, pardo, 32 anos, Pedro, congo, 40 anos. Teodora, 60 anos, criola.  Joaquim, 36 anos, criolo, Victória, 76 anos parda, e Águida, 73 anos, parda.

Vovó tinha 5 tachos de cobre, um Alambique e um forno de torrar farinha.

Uma fazenda de Cultura em Cachoeira do Campo, e outra em Glaura. Cachoeira do Campo é vizinha a Glaura. Tio Joaquim declarou no inventário de vovó, uma fazenda contígua ao Desemboque, um sitio em São Bento do Tamanduá, outro na Babilônia, na paragem os canteiros da fazenda das talhadas, ribeirão das bateias. Entendemos que é a Serra da Babilônia  lá na Região de Passos, Delfinópolis, Desemboque.

Que saudade que ficou dos filhos que moravam tão longe e dos netos que nunca conheceu.

HOJE, NÓS NETOS DA VOVÓ JOANA, SOMOS NO MÍNIMO 20 MIL PESSOAS.

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O CAPITÃO DOMINGOS e o Reverendo Padre HERMÓGENES CASIMIRO DE ARAUJO BRUNSVINCK (Primo pelo lado materno do CAPITÃO DOMINGOS) governaram com brilhantismo o Julgado do DESEMBOQUE-GO, que era todo o Sertão da Farinha Podre, depois chamado TRIANGULO MINEIRO.

Depois de 1816, a Farinha Podre passou a pertencer a MINAS GERAIS.Hoje a região do Sertão da Farinha Podre é conhecida como Triângulo Mineiro.

om a decadência do amado DESEMBOQUE-MG, que deixou de ser Cabeça de Julgado, em 1834, onde o CAPITÃO DOMINGOS fora JUIZ;

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E com a morte, em 1829, do Tio Joaquim da Silva e Oliveira, deixando a viúva, Tia Maria Vitória com filhos menores para cuidar de grande quantidade de terras;

E com, na mesma época, em 1827, a morte do Tio Eustáquio, deixando um vazio político em UBERABA-MG:

Então, o CAPITÃO DOMINGOS resolve passar, em 1832, para UBERABA-MG.

SIM, O CAPITÃO DOMINGOS RUMOU PARA UBERABA-MG, COM SUA SEGUNDA JOVEM ESPOSA, NOSSA AMADA AVÓ FRANCISCA DE SALLES GOMIDES, LEVANDO ELA, NO COLO, em 1832, O FILHO JOÃO (NOSSO AVÔ) E NO VENTRE, A FILHA TEREZA (NOSSA AVÓ).

SIM, AS ESPERANÇAS NÃO MORRIAM, ELES IAM SEMPRE PARA MAIS A OESTE A BUSCA DE UMA VIDA MELHOR E PARA CONSTRUÍREM O BRASIL.

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O CAPITÃO DOMINGOS foi casado, na primeira vez, com sua prima RITA CONSTÂNCIA CARDOSA, filha de tio Luis da Silva Cardoso e de Joana Maria da Trindade, cujos filhos também foram para Uberaba. Camilo de Lélis e Silva é filho do tio Luis da Silva Cardoso e irmã de Rita.

Rita nasceu em Congonhas do Sabará, hoje, chamada Nova Lima-MG

Rita Constância Cardoza morreu logo após o parto do Tio Luis da Silva e Oliveira, no Desemboque, em 1821.

O CAPITÃO DOMINGOS casou-se, em segundas núpcias, com nossa avó FRANCISCA DE SALES GOMIDES,  que, assim como Rita Constância, também morreu jovem, em 1848, em Uberaba-MG.

Vovó Francisca de Sales morreu na Fazenda da Conquista em Uberaba-MG em 1848, deixando o CAPITÃO DOMINGOS, idoso e viúvo.

Faleceu o CAPITÃO DOMINGOS, em 1852, cercado de todos os filhos e usando roupa estilo Luís XIV, na Fazenda da Conquista, em Uberaba-MG.

Foi enterrado em um pequeno cemitério, atrás da Igreja Matriz, que foi depois desativado, quando se construiu o cemitério de Uberaba, no inicio da rua Paulo Pontes e que hoje é uma escola. Nada disso existe mais.

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Antes de morar em Uberaba-MG, O CAPITÃO DOMINGOS morou no DESEMBOQUE-MG, (onde hoje só há algumas ruínas, atualmente na zona rural do Município de Sacramento-MG).

http://www.revelacaoonline.uniube.br/a2002/cultura/desembo.html

http://scarparoclaudio.br.tripod.com/protecaodopatrimoniocultural/id15.html

http://www.sacramento.com.br/historia.htm

http://www.google.com.br/search?hl=pt-BR&q=desemboque&meta=

http://www.canastra.com.br/geografia/regional_cultura_sacramento.asp

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Todos os 14  filhos do CAPITÃO DOMINGOS ficaram órfãos, quando eram crianças ainda, quando a Vovó Francisca de Salles Gomides faleceu, em 1848 em Uberaba-MG.

Localizei, também, no Cemitério de Uberaba, o túmulo do tio Luís da Silva e Oliveira, falecido em 1896. Na última vez que eu estive no cemitério,  não o achei. Quando eu o vi, estava um pouco danificado, é um túmulo pequeno e alto, e fica no meio não nas avenidas. Estava abandonado e era muito pequeno.

A última filha do Capitão Domingos a falecer foi tia Senhorinha, matriarca da Família Terra, falecida, em 1926, e  cujo túmulo estava  na avenida principal do cemitério de Uberaba.

Não localizei mais o túmulo de tia Senhorinha, falecida em 1926. Deve ter sido reformado e tirado o nome dela. Acredito que seja o túmulo da Família Terra, na avenida principal do cemitério de Uberaba. Penso ter visto uma vez, por volta de 1990, um túmulo com o nome da Tia Senhorinha, a última filha CAPITÃO DOMINGOS a falecer, em 1926.

Tenho um rascunho que consta qual era o túmulo da tia  Senhorinha e do tio Luís, rascunho este que espero encontrar um dia.

Os demais filhos, acreditamos,  foram enterrados no cemitério antigo que não existe mais e que ficava onde hoje no começo da rua Paulo Pontes.

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Valeu a pena?

TUDO VALE A PENA SE A ALMA NÃO É PEQUENA!

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QUANDO NASCE UM SILVA E OLIVEIRA deve-se plantar uma muda de Oliveira:

Árvore que sempre dá BONS FRUTOS, e é uma planta que cresce até os Céus e é forte e dura mil anos:

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A CASA DE CÂMARA E CADEIA DE UBERABA-MG

A CASA DO CAPITÃO DOMINGOS:

Da Câmara Municipal de Uberaba-MG sobre nomes de Ruas de Uberaba-MG:

O Capitão Domingos da Silva e Oliveira foi o primeiro que exerceu, neste Termo, o Cargo de Presidente da Câmara Municipal, em 1837. Sob sua administração gratuita e diligencia pessoal no agenciamento de donativos, construiu-se o actual edifício do Paço da Câmara Municipal desta povoação, onde até agora se celebram as Sessões da mesma Câmara, as do Jury, Collegios Eleitoraes; Nelle dão as audiências todas as auctoridades judiciárias. Além disto, foi, mais tarde, Juiz Municipal e exerceu outros cargos púbicos, com preponderância constante nos negócios comuns desta povoação, até o seu passamento em 1852. É justo que seu nome seja contemplado na denominação das ruas, especialmente na que lhe dava entrada vindo da sua Fazenda da Conquista, onde era sua residência mais activa; e esta, a que do Largo da Misericórdia vai para o Barro Preto, que se denominará: Rua do CAPITÃO DOMINGOS.

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Antiga Casa de Câmara e Cadeia

Prefeitura e Câmara Municipal de Uberaba-MG construída pelo Capitão Domingos.

A estátua no frente é o Tio Eustáquio da Silva e Oliveira.

A SALA DE SESSÕES DA CÂMARA MUNICIPAL DE UBERABA:

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A Casa do Capitão Domingos:

Único caso no Brasil de uma Câmara Municipal estar a quase 200 anos no mesmo local.

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Capitão Domingos da Silva e Oliveira, o primeiro a presidir a Câmara Municipal de Uberaba

Quando o  VISCONDE DE TAUNAY se hospedou na “Casa de Capitão Domingos”, a Casa de Câmara e Cadeia de Uberaba:

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Casa de Câmara e Cadeia de Uberaba – Nota-se as grades nas janelas das celas dos presos

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Sobre a CÂMARA MUNICIPAL DE UBERABA-MG, a CASA do CAPITÃO DOMINGOS:

Naquela época se dizia CASA DE CÂMARA E CADEIA” : O 1º prédio da Câmara Municipal de Uberaba foi construído pelo Capitão Domingos da Silva e Oliveira às custas da população, em 1836, e inaugurado, em 1837, para sediar o Governo Municipal. A doação do prédio à Câmara Municipal foi registrada em cartório em 1836, documento este que estamos providenciando sua transcrição.

No prédio funcionaram as Sessões da Câmara, do Júri, Juntas Municipais, de qualificações e outras de caráter público. Reuniam-se no seu salão os Colégios Eleitorais, e todas as autoridades judiciárias nele davam suas audiências.

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Em seu porão funcionava a Cadeia Pública. Vejam as Grades, na foto, no andar de baixo. O sobrado passou por várias reformas, preservando suas características, tais como: proporção, número de pavimentos, estruturas e decoração interna. As reformas datam de 1888, 1893, 1918, sendo o prédio atual reinaugurado em julho de 1920.

O arquiteto Luís Dorça modificou a antiga forma das edificações portuguesas para um estilo mais moderno. A planta do prédio é de autoria do engenheiro e arquiteto, W. Brosenius. O construtor foi Santos Guido, que introduziu as ordens civis modernas.

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A casa do Capitão Domingos passou por várias mudanças em quase 2 séculos.

Da Câmara Municipal de Uberaba-MG sobre nomes de Ruas de Uberaba-MG:

O Capitão Domingos da Silva e Oliveira foi o primeiro que exerceu, neste Termo, o Cargo de Presidente da Câmara Municipal, em 1837. Sob sua administração gratuita e diligencia pessoal no agenciamento de donativos, construiu-se o actual edifício do Paço da Câmara Municipal desta povoação, onde até agora se celebram as Sessões da mesma Câmara, as do Jury, Collegios Eleitoraes; Nelle dão as audiências todas as auctoridades judiciárias. Além disto, foi, mais tarde, Juiz Municipal e exerceu outros cargos púbicos, com preponderância constante nos negócios comuns desta povoação, até o seu passamento em 1852. É justo que seu nome seja contemplado na denominação das ruas, especialmente na que lhe dava entrada vindo da sua Fazenda da Conquista, onde era sua residência mais activa; e esta, a que do Largo da Misericórdia vai para o Barro Preto, que se denominará: Rua do CAPITÃO DOMINGOS.

NOTAS:

1- Este texto brilhante foi escrito pelo BORGES SAMPAIO, historiador, grande amigo, que comprou a Conquista dos filhos do Capitão Domingos.

2- Naquela época não havia a divisão dos Governos em 3 poderes. Tudo se resolvia na CÂMARA MUNICIPAL.

3- O Largo da Misericórdia é agora a Praça Tomás Ulhoa, do Uberaba Tênis Clube.

4- O Córrego do Barro Preto é hoje a Avenida Grande Abadia.

5- A Fazenda da Conquista é hoje o Conjunto Vallim de Mello e as fazendas à margem da BR-050 até o Rio Conquista (Conquistinha), para frente da Fazenda Tangará. Do Rio Conquista, que todo mundo chama de rio Conquistinha, para frente e até o Rio Grande ficavam as Fazendas do tio tenente Joaquim da Silva e Oliveira.

6- A séde, onde o Capitão Domingos residia era na atual Fazenda Santa Elza, também Chamada Conquistinha, fica às margens da BR-50 Chico Xavier, 10 km do Trevo de Uberaba. A casa não existe mais.

7- O Capitão Domingos também tinha uma residência na cidade de Uberaba na Rua Municipal, atual Manuel Borges.

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Este site se dedica à preservação da História e da Memória do CAPITÃO DOMINGOS DA SILVA E OLIVEIRA, (FILHO de JOÃO DA SILVA E OLIVEIRA, PORTUGUÊS de Oliveira do Douro) de seus feitos e de sua família SILVA E OLIVEIRA, Silva Cardoso e das localidades que eles ajudaram a construir e que tanto amaram: Glaura (Distrito de Ouro Preto-MG), Desemboque (hoje no município de Sacramento-MG), Uberaba-MG, Prata-MG e tantas outras.

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NESTA FOTO, DO GOOGLE, SE VÊ, À DIREITA, A PREFEITURA E CÂMARA CONSTRUÍDA PELO CAPITÃO DOMINGOS ,E O EDIFÍCIO DO HOTEL CHAVES, ONDE ERA A PRIMEIRA CASA DE UBERABA CONSTRUÍDA PELO TIO ANTONIO EUSTÁQUIO.

AO LADO DO HOTEL, O LOCAL ONDE FOI A  CASA QUE FOI DA NOSSA FAMÍLIA ALVES GONDIM e dos BERNARDES DA SILVEIRA.

No ano que Uberaba passou de Vila a Cidade:  É a Matriz Nova, a antiga era mais no fundo.

Na pintura acima, você vê o Largo da Matriz de Uberaba-MG, atual Praça Rui Barbosa.

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O edifício assobradado, à direita da pintura, é a Casa de Câmara e Cadeia de Uberaba-MG construída pelo Capitão Domingos da Silva e Oliveira.

Uberaba, na pintura acima, no ano de 1856, quando foi promovida à categoria de Cidade. O Capitão Domingos já tinha falecido há 4 anos (1852).

Abaixo da foto, em frente a Casa de Câmara e Cadeia, vivia nossa avó Sibila Bernardes da Silveira, no começo da Rua Municipal, hoje Rua Manoel Borges, isto desde o início de Uberaba na década de 1820.

Ali também viveram Tia Tarquilina Bernardes da Silveira. Há uma foto de Uberaba, de 1880, tirada do Alto dos Estados Unidos, que aparece a casa delas.

Ali viveram Mariana Joaquina da Silveira e Joaquim Alves Gondim, que correu de espada na mão por Uberaba, à procura da pequena Sibilia.

A Residência do Capitão Domingos na cidade ficava descendo a Rua Municipal, atual rua Manoel Borges, que principia ao lado da Casa de Câmara e Cadeia.

Uberaba por volta de 1885: A Casa de Câmara e Cadeia (Prefeitura) e Hotel do Comércio. Na Rua Municipal, atual Rua Manuel Borges, à direita da Prefeitura, os sobrados da Tia Tarquilina e Tia Lizarda, onde nossa família Bernardes da Silveira morou por décadas, desde os anos 1820. Bem no canto direito da foto, em cima, o sobrado que Vovô Cunha Peixoto médico ganhou por curar uma mulher. Do Sobrado do Vovô Cunha, na Rua São Sebastião com Major Eustáquio, descia-se o Beco da Maçonaria até chegar a atual Rua Manuel Borges.

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A MESMA FOTO AMPLIADA:

Hotel do Comércio à Esquerda, Casa de Câmara e Cadeia, Casas dos Bernardes da Silveira MARCADA COM X, casa que foi do Capitão Domingos e ficou para Tio Luis da Silva e Oliveira e acima a direita casarão do Vovô Cunha, ganho porque curou uma mulher.

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O CAPITÃO DOMINGOS  INSTALANDO A CÂMARA MUNICIPAL DE UBERABA-MG:

Ata da Instalação do Município de Uberaba-MG:

“Ano do Nascimento de Nosso Senhor Jesus Cristo de mil oitocentos e trinta e sete, décimo sexto da Independência e do Império, aos sete dias do mês de janeiro do dito ano, neste Arraial de Santo Antônio e São Sebastião do Uberaba, Comarca do Rio Paracatu do Príncipe, Província de Minas Gerais, em Nova Casa, construída pelos Cidadãos do Novo Termo para servir de Paço da Câmara que vai se instalar, perante os novos vereadores que hão de formar, eleitos na forma da Lei, e em presença dos cidadãos que concorrerão a este Ato, leu, o Capitão Domingos da Silva e Oliveira, o Ofício da Câmara Municipal da Vila do Araxá, pelo qual o convidava, como cidadão mais votado, a prestar juramento para Presidente da nova Câmara; E declarando que o tinha feito, leu a Certidão do mesmo juramento, prestado a 20 de dezembro de mil oitocentos e trinta e seis. Leu a Portaria da Presidência da Província de Minas Gerais, de vinte de julho do dito ano, que ordena a execução da Lei Mineira número 28 que elevou este Arraial a Vila e que lhe marcou seus limites“.

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Assinatura do Capitão Domingos no inventário dos bens que ficaram de Vovó Maria Joaquina da Silveira, neta de Bernardo Homem da Silveira, o qual é o tronco dos Bernardes da Silveira, com páginas neste site.

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MEMBROS DA FAMÍLIA SILVA E OLIVEIRA QUE GOVERNARAM UBERABA-MG

Os seguintes presidente da câmara, agentes executivos e prefeitos municipais de Uberaba -SP são da família Silva e Oliveira:

– Domingos da Silva e Oliveira

Vigário Silva

– José Teixeira Alves de Oliveira

– José Joaquim de Oliveira Teixeira

João Quintino Teixeira

-Gabriel Orlando Teixeira Junqueira

Manuel Terra, ( O primo Maneco Terra) filho da tia Senhorinha

– Hildebrando de Araujo Pontes, genealogista da família Silva e Oliveira e historiador

– Olavo Rodrigues da Cunha

– Leopoldino de Oliveira

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-Guilherme de Oliveira Ferreira

-Artur de Melo Teixeira, prefeito do centenário de Uberaba em 1956

– Luís Guaritá Netto

Outros nomes dos Silva e Oliveira também foram grandes líderes políticos como o Coronel Bruno da Silva e Oliveira e seu filho Bruninho da Silva e Oliveira falecido na década de 1990.

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NÃO SÓ ESTES, é claro:

No tempo dos nossos avós coronéis, nem todos assumiam os cargos mais mandavam… como o Comendador João Quintino, nosso primo e principal figura política de Uberaba no final do século 19; e no século XX, o Bruno da Silva e Oliveira,,, entre outros…

História de Uberaba pelo Vigário Silva:

 Este primeiro historiador de Uberaba conta a história de nós, os Silva e Oliveira, no sertão, os bandeirantes do SÉCULO XIX: Acredito que o Vigário Silva seja primo do Capitão Domingos, filho de tia Rita.

https://capitaodomingos.wordpress.com/0-0-0-os-silva-e-oliveira-na-fundacao-de-uberaba-pelo-vigario-silva-e-borges-sampaio/

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FOTO DO DESEMBOQUE ONDE O CAPITÃO DOMINGOS FOI JUIZ do Julgado, e, ONDE NASCEU A METADE DE SEUS FILHOS:

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O CAPITAO DOMINGOS na Biblioteca Da Família, Centro de História da Família:

Memória preservada: em breve, eu completo estes dados.Brazil Baptisms, 1688-1935 for Domingos Da Silva De Oliveira

Search collection

Name: Domingos Da Silva De Oliveira

Gender: Male

Baptism/Christening Date: 01 Jan 1782

Baptism/Christening Place: Santo Antônio, Glaura, Minas Gerais, Brazil Birth Date: Birthplace:

Death Date:

Name Note:

Race:

Father’s Name: Joam Da Silva De Oliveira

Father’s Birthplace:

Father’s Age:

Mother’s Name: Joanna Francisca De Paiva

Mother’s Birthplace: Mother’s Age:

Paternal Grandfather’s Name: Manuel Da Silva Cardoso

Paternal Grandmother’s Name: Isabel Francisca

Maternal Grandfather’s Name: Joam Alves Portella

Maternal Grandmother’s name: Joanna Monteira De Paiva

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Indexing Project (Batch) Number: C04292-6 System

Origin: Brazil-EASy Source Film Number: 1284508

Reference Number:

O Capitão Domingos na Wikipedia:

http://pt.wikipedia.org/wiki/Domingos_da_Silva_e_Oliveira

Domingos da Silva e Oliveira. Natural da Freguesia Santo Antônio da Casa Branca, atual Glaura, na vila de Ouro Preto (MG), onde casou com Rita Constância Cardoso. Fazendeiro. Recebeu esmerada educação.

Posteriormente, viveu em no Julgado de Nossa Senhora do Desterro do Desemboque, Capitania de Goiás, denominação reduzida em 1923 para Desemboque, hoje distrito do Município de Sacramento (MG), onde foi comissionado Juiz do Julgado do Desemboque que compreendia todo o Triângulo Mineiro, e agraciado com o nascimento de cinco de seus filhos.

Não teve filhos de 1813 a 1816, numa época que fora assassinado seu irmão em Traíras -GO, Capitão General José Manoel da Silva e Oliveira, tetravô de Fernando Henrique Cardoso.

Em 2-MAR-1818, Domingos recebeu sesmaria na Parada do Ribeirão da Cachoeira, no Distrito de São Carlos de Jacuí, atual Município de Jacuí (MG).

Irmão do fundador de Uberaba (MG), o Sargento-Mor Antônio Eustáquio da Silva e Oliveira, que foi nomeado pelo Governador Provincial, em 27-OUT-1809, para as funções de Comandante Regente dos Sertões da Farinha Podre. Por ato de 3-FEV-1811, Antônio Eustáquio passou a ser, também, Comandante do Distrito e Curador dos Índios, sendo inclusive encarregado de zelar pela segurança dos colonos que estavam se instalando naquela região.

Farinha Podre era a denominação dada a toda a zona do Triângulo Mineiro. Anos depois da morte de Rita, sua esposa, golpe que muito o abateu, Domingos decidiu casar-se com Francisca de Sales Gomides.

Após o nascimento do primeiro filho oriundo do segundo matrimônio, que foi João da Silva e Oliveira, resolveu passar para o Sertão da Farinha Podre, onde já se encontravam os irmãos Major Antônio Eustáquio e Joaquim. A ele, como companheiro de todas as horas do irmão Antônio Eustáquio, coube a tarefa de conduzir os destinos da povoação na sua marcha para a conquista da segunda etapa do sonho que vinham acalentando.

Assim, pôde construir em 1836, às custas da população, o 1º prédio da Câmara Municipal de Uberaba, cuja instalação se deu no dia 7-JAN-1837, sob a presidência de

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Domingos, o Vereador mais votado para aquela Casa. No mesmo prédio funcionou, também, a Cadeia Pública, juntamente com a Câmara Municipal, o Fórum e os Correios.

Sua luta certamente contribuiu para a transformação da terra inóspita que encontrou na atual Uberaba, que tem merecido os títulos de Princesa do Sertão e Capital do Triângulo. Continuou exercendo, cumulativamente, os cargos de Juiz de Órfãos e Juiz Municipal. Tinha grande popularidade e era muito acatado e político de grande prestígio na região.

Filhos: Francisco da Silva e Oliveira, José Alexandre da Silva e Oliveira, Rita de Cássia da Silva e Oliveira, Maria da Silva e Oliveira, Luís da Silva e Oliveira (do primeiro casamento) e João Domingos da Silva e Oliveira, Teresa Eusébia da Silva e Oliveira, Capitão Domingos da Silva e Oliveira, Senhorinha da Silva e Oliveira, José Joaquim da Silva e Oliveira, Francisco Gualberto da Silva e Oliveira e Maria Rita da Silva e Oliveira (do segundo casamento).

Teve um filho natural com Maria do Carmo Pacheco.

O Capitão Domingos, nos últimos anos de vida, trajava-se, em certos dias, à moda de Luís XV, ou seja, com calção de veludo, capa, espada e chapéu de penas, que era a indumentária própria das pessoas categorizadas da época. Faleceu em 7-AGO-1852 em Uberaba (MG).

O Irmão do Capitão Domingos – O Fundador de Uberaba-MG – Antônio Eustáquio da Silva e Oliveira

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MORADORES DE UBERABA-MG em 1827

Abaixo, primeira página do mapa de população de 1827, onde aparecem tio Eustáquio com 58 anos, o que é correto, ele é de 1769.  Aparecem também vovó Sibila com 8 anos, que é correto, ela nasceu em 1819.

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A Fazenda da Conquista, Uberaba-MG:

A Fazenda do Capitão Domingos 

Já existia em 1818 em um inventário que vi no Arquivo Público de Uberaba-MG

O Capitão Domingos nela viveu de 1831 até morrer em 1852

Era a Fazenda da Conquista excelente pela fartura de nascentes de águas, e na sua divisa corria o Rio Conquista (Conquistinha) do qual Hildebrando Pontes disse:

“É um rio de águas correntes e margens povoadas de florestas, que vegetam em excelentes terras“.

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No retângulo assinalado na foto abaixo ficava a Fazenda da Conquista, aproximadamente.

A área em retângulo é aproximadamente a Fazenda da Conquista, que ia de Uberaba, 15 km abaixo pela atual BR-050 rumo a São Paulo, até próximo a Fazenda Tangará.

Na foto abaixo: A Fazenda da Conquista, em Uberaba-MG:BEM EMBAIXO NA FOTO FICA a Fazenda Santa Elza, onde o CAPITÃO

DOMINGOS tinha a sede da FAZENDA DA CONQUISTA

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: –

O RIBEIRÃO CONQUISTINHA AINDA TEM ÁGUAS TRANSPARENTES PERTO DE SUA NASCENTE

A FAZENDA DA CONQUISTA do CAPITÃO DOMINGOS: A cidade de Uberaba, em 2013, já está dentro da Fazenda, muito perto da atual sede, a casa inaugurada em 1 de

novembro de 1901, assinalada em vermelho, construída pelo Antônio Valim de Melo:

PORÉM, a casa do CAPITÃO DOMINGOS, ficava 1 légua (6,6 quilômetros) abaixo na atual Fazenda Santa Elza:==O Conjunto Valim de Melo, em Uberaba-MG, é uma justa

homenagem ao José Valim de Melo, nosso tio, que morreu com quase 100 anos.

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Fazenda da Conquista do Antônio Valim, a sede da Fazenda, a BR-50, o Conjunto Residencial Valim de Melo

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A Fazenda da Conquista foi comprada dos herdeiros, pelo Coronel e  historiador Borges Sampaio que a repassou para o sobrinho do CAPITÃO DOMINGOS, o Comendador JOSE BENTO DO VALE, que a vendeu para o ANTONIO VALLIM DE MELLO, que a rebatizou de Fazenda Santa Maria.

A sede da fazenda Santa Maria até hoje é dos Valim de Melo. Do Ivan Valim, neto de Maximina.

A sede da FAZENDA DA CONQUISTA se localizava onde é atualmente a FAZENDA CONQUISTINHA ou  SANTA ELZA, que permaneceu como sede até 1901, quando Antônio Valim de Mello inaugurou a sede atual, em 1 de novembro de 1901, e que ainda está de pé.

A nova sede foi inaugurada no dia 1-nov-1901, aniversário da esposa de Antônio Valim, a vovó Maximina.  A sede antiga ficava a cerca de 10 km do Uberaba a esquerda de quem vai pela rodovia de Uberaba para Delta e para o Estado de São Paulo.

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A poesia que melhor retrata o heroísmo do nosso povo português, o povo lusitano, o mais internacionalista dos povos, foi escrita por FERNANDO PESSOA:

MAR PORTUGUÊS:

Ó mar salgado!

Quanto do teu sal são lágrimas de Portugal!

Por te cruzarmos, quantas mães choraram,

Quantos filhos em vão rezaram!

Quantas noivas ficaram por casar!

Para que fosses nosso, ó mar!

Valeu a pena?

Tudo vale a pena,

Se a alma não é pequena.

Quem quer passar além do Bojador,

Tem que passar além da dor.

Deus ao mar o perigo e o abismo deu,

Mas nele é que espelhou o céu.

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O Tejo é mais belo que o rio que corre pela minha aldeia,Mas o Tejo não mais belo que o rio que corre pela minha aldeia

Porque o Tejo não é o rio que corre pela minha aldeia,O Tejo tem grande navios

E navega nele ainda,

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Para aqueles que vêem em tudo o que lá não está,A memória das naus.

O Tejo desce de EspanhaE o Tejo entra no mar em Portugal.

Toda a gente sabe isso.Mas poucos sabem qual é o rio da minha aldeia

E para onde ele vaiE donde ele vem.

E por isso, porque pertence a menos gente,É mais livre e maior o rio da minha aldeia.

Pelo Tejo vai-se para o Mundo.Para além do Tejo há a América

E a fortuna daqueles que a encontram.Ninguém nunca pensou no que há para além

Do rio da minha aldeia.O rio da minha aldeia não faz pensar em nada.

Quem está ao pé dele está só ao pé dele.

Da minha aldeia vejo quanto a terraAlberto Caeiro

Da minha aldeia vejo quanto da terra se pode ver no Universo…Por isso a minha aldeia é tão grande como outra terra qualquer

Porque eu sou do tamanho do que vejoE não, do tamanho da minha altura…

Nas cidades a vida é mais pequenaQue aqui na minha casa no cimo deste outeiro.

Na cidade as grandes casas fecham a vista à chave,Escondem o horizonte, empurram o nosso olhar para longe

de todo o céu,Tornam-nos pequenos porque nos tiram o que os nossos olhos

nos podem dar,E tornam-nos pobres porque a nossa única riqueza é ver.

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Agradecemos a Ituverava-SP essa grande homenagem a nós portugueses do Brasil:

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Nossos avós portugueses:

Que da ocidental praya lusitana,

Por mares nunca de antes navegados,

Passaram ainda além da Taprobana,

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Em perigos e guerras esforçados,

Mais do que prometia a força humana,

E entre gente remota edificaram

Novo Reino, que tanto sublimaram;

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“NÃO SE PARTE DA TERRA ONDE REVOA” – ´José Martiniano de Alencar.

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“E ENTRE GENTE REMOTA, EDIFICARAM, NOVO REINO, QUE TANTO SUBLIMARAM”.

Verso de nosso patrício Luís Vaz de Camões sobre o nosso povo português, o mais internacionalista dos povos.

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“Nós Portugueses somos os mais internacionalistas dos povos“

Frase do Professor Aníbal Cavaco e Silva, Presidente da República Portuguesa.

Essa frase postei emocionado, lembrando sua excelência dizendo isto em entrevista à Marília Gabriela.

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Aqui nestes livros raros do Cônego Trindade podem estar nossos parentes Silva Cardoso e os filhos de nossa tia Rita, irmã do  Capitão Domingos:

 

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-NOSSA FAMÍLIA E A CONSTRUÇÃO DO BRASIL:

Construção da PICADA DE GOIÁS: A primeira estrada ligando Minas Gerais a Goiás. Fundação e construção de São Vicente-SP, São Paulo, Taubaté-SP, Baependi, Contagem, Franca-SP, Patrocínio Paulista, Uberaba e de Prata-MG. A Expansão

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territorial do Brasil por nós Bandeirantes.  A Expulsão dos Franceses de Parati-RJ. As Minas de Goiás.

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E essa era a Goiás do nosso tempo, onde o Tio José Manuel da Silva e Oliveira escreveu sobre como era viajar pelo rio Araguaia indo para a Amazônia, onde ele governou o

Sertão da Farinha Podre desde o Desemboque, onde o Capitão Domingos e o tio Eustáquio construíram Uberaba e Prata que pertencia à Goiás na época, como também

pertencia a Goiás o leste do atual Mato Grosso do Sul, essa é nossa terra amada, a Capitania de Goyáz:

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AQUI A VERDADEIRA E REAL FOTO DO TRIÂNGULO MINEIRO, O SERTÃO DO PARANAÍBA, O TERRITÓRIO DA FARINHA PODRE QUE TIO EUSTÁQUIO DEFENDIA:

Sertão do Paranaíba, Sertão da Farinha Podre, Triângulo Mineiro

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Descrição de Uberaba, em 1885, por BORGES SAMPAIO, o original, descobri, e vou copiar, está na Biblioteca Nacional, no Rio de Janeiro.

http://www.siaapm.cultura.mg.gov.br/modules/brtexport/index.php?cid=14&mid=31&full_pdf=1|3

=====

MUITO IMPORTANTE:    Mapa do Sertão da Farinha Podre, em volta da atual Uberaba:

http://purl.pt/3432/1/P39.html

==

História de Uberaba pelo Vigário Carlos José da Silva.

http://www.siaapm.cultura.mg.gov.br/modules/brtexport/index.php?cid=15&mid=31&full_pdf=1|3

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Localização: C-0416,020BIBLIOTECA NACIONAL DO RIO DE JANEIRO Autoridade: SILVA, Antonio Eustaquio da capitaoTítulo: Requerimento encaminhado ao Ministério do Império, solicitando para a recem povoada regiao de Farinha Padre, rio da Prata, Goias, os mesmos previlegios concedidos aos povoadores da regiao do rio Doce, e providencias no sentido que seja aberta uma estrada, ligando Sao Paulo a GoiasLocal: [S.l.]

Data: 1809-1811

Paginação: 3 doc.

Coleção: Documentos biográficos

Notas: Orig. Ms.

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Mapa de Uberaba e região na época de sua fundação:

Neste mapa, clic abaixo, já aparece a Baixa, a aldeia de índios ao sul de UBERABA, perto do Rio Grande, onde surgiu a lenda do tesouro dos bandeirantes, e que aparecia uma mulher avisando do tesouro na Fazenda da Ressaca do Antônio Carrilho de Castro, boiadeiro. a lenda do tesouro e da mulher que aparecia falando para desenterrarem o tesouro ainda existia na época da ressaca nos anos 1910.  A Baixa ainda existe até hoje. o vovô JOAO DE AQUINO DA SILVA E OLIVEIRA teve terra lá.

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Dado a importância desse mapa, acesse este site, e veja parte por partes ampliado. As partes estão do lado esquerdo da página, clic nelas.

http://purl.pt/3432/1/P39.html

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MAPA desenhado na expedição de 1826, feito pelo Coronel CUNHA MATOS. Este mapa foi impresso em 1836:

Aparecem no mapa: Uberaba, Prata (Santa Ana), Araxá, Desemboque, Baixa, Porto da Espinha, o caminho para Goiás, vindo de São Paulo. Aparecem no mapa, também, o Rio Grande, Rio Uberaba (Uberaba falsa), e rio Uberaba verdadeira (o rio Uberabinha),  e o Rio Mogi-Guassu e o Rio das Velhas (Rio Araguari).

Os  portugueses diziam RIO DAS ABELHAS, e que disso passou para Rio das Velhas. Diogo Vasconcelos registra Rio das Abelhas em sua “História Média de Minas Gerais“, e fala do quilombo que existia onde hoje é o Desemboque.

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Neste mapa já aparece Uberaba, inicio século 19

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Na foto abaixo você vê Goiás, Mato Grosso e São Paulo, pouco antes da fundação de Uberaba, em 1808.

O mapa dá a entender que o Rio Grande se chamava Paraná também.  A confusão houve porque Paraná significa GRANDE, na língua dos índios.

Aqui dei um close no mapa, assinalei o Triangulo Mineiro, mostra rio Uberaba, NO CANTO DIREITO DO CÍRCULO,  que eu fiz a lápis, tem o Rio Uberaba encontrando o Rio Grande. Uberaba fica um pouco acima da foz do Rio Uberaba.

Assinalei, com um X, a antiga divisa Minas Gerais, Goiás e São Paulo: No Rio Pardo, (sul mato grossense) aquele que vem de Ribas do Rio Pardo e chega no rio Paraná.

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O Mapa do Triângulo Mineiro é bem distorcido, aparece o Rio Uberaba bem no alto do Mapa, e o Sertão da Farinha Podre  ia até a foz do Rio Pardo (atual sul mato grossense) no Rio Paraná.

Isto  conforme a descrição da Freguezia de Uberaba, no alvará de sua criação, por sua Majestade D. João VI, em 1820.  No mapa, porém, que é mais antigo que Uberaba, Goiás vai ainda até mais abaixo próximo do Paraguai.

http://www.wdl.org/pt/item/910/zoom.html?ql=por&s=mato+grosso&view_type=gallery

Aqui o mesmo mapa resumido:

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Assinalado em cor, o contorno das antigas capitanias de Goiás e Matto Grosso

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E  a terra de onde viemos em Portugal:

OLIVEIRA DO DOURO tem o melhor azeite de Oliva do Mundo, então leia tudo sobre azeite de oliva:

http://www.snpcultura.org/vol_azeite_como_oliveira_verdejante_na_casa_de_Deus.html

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Qual o rio que corre por nossa Aldeia em Portugal?

O Rio Bestanças: Como é lindo o rio que corre por nossa aldeia:

Freguesia de Oliveira do Douro

http://www.cm-cinfaes.pt/index.php?option=com_content&view=article&id=88&Itemid=412

Situada na margem esquerda do rio Douro, é uma povoação antiquíssima, que se estende desde o Cabrum até Porto Antigo e sobe as encostas até às confrontações de Ferreiros de Tendais e Ramires. Tem ligações com a pré-história o remotíssimo povoamento do seu território, onde a toponímia mostra a existência de fortificações castrejas, no monte eminente às povoações por tal motivo chamadas Paredes e Castelo.

ANTES DE MAIS NADA, em um minutinho e meio, veja a querida Freguezia de São Miguel de Oliveira do Douro, que nos deu o nosso sobrenome (apelido) OLIVEIRA:

InformaçãoDistância à sede do Concelho  Cinfães: 14 kmÁrea: 1240 ha

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Lugares: Boassas, Desamparados, Fundoais, Oliveira, Porto Antigo e Vila Nova.Nº de Habitantes: 1.785 (Ano de 2001)Nº de eleitores: 1.600 (Ano de 2001)Orago: S. Miguel

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VEJA ESTE LINDO VÍDEO SOBRE O PASSADO A HISTÓRIA E A VIDA ANTIGA E ATUAL NA TERRINHA:

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Veja sobre nossa Terrinha, Oliveira do Douro também nesta  página deste nosso site:

0 0 0 0 0 Oliveira do Douro, Cinfães, Nossa aldeia portuguesa com certeza, uma casa portuguesa com certeza, nossa origem em Portugal nas aldeias   portuguesas

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Muito bem SILVA E OLIVEIRA, seja você neto do Capitão Domingos, ou de nossos tios:

veja nossa maravilhosa Oliveira do Douro, Nossa Aldeia em Portugal:

https://capitaodomingos.wordpress.com/nossa-aldeia-em-portugal/

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Não Não, Não é o Paraíso!

É o rio que passa na nossa aldeia, (a Freguesia de São Miguel de Oliveira do Douro), o Rio Bestanças:

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NOSSA TERRA. Freguesia de SÃO MIGUEL DE OLIVEIRA DO DOURO, Concelho de CINFÃES, Distrito de VISEU, PORTUGAL.

Onde se colhe o melhor Azeite de Oliva do Mundo?

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A Família  SILVA E OLIVEIRA, também dita SILVA CARDOSO é da FREGUESIA DE SÃO MIGUEL DE OLIVEIRA DO DOURO,  Concelho de CINFÃES, PORTUGAL:

http://www.eb1-oliveira-cinfaes.rcts.pt/terra.htm

Mais sobre Oliveira do Douro em:

0 0 0 a aldeia nossa em OLIVEIRA DO DOURO: Boassas a 2º aldeia mais   portuguesa

0 0 0 A aldeia nossa, nossa origem em   Portugal

http://www.eb1-oliveira-cinfaes.rcts.pt/terra.htm

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MAPA ANTIGO DA TERRINHA, em 1580, NO TEMPO QUE ÉRAMOS do Concelho de Ferreiros de Tendais.

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http://www.wdl.org/pt/item/470/?view_type=gallery&end_year=2010&countries=PT&start_year=-8000&regions=europe&qla=pt

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Veja aqui mapas antigos de Portugal, para você entender melhor como era nossa terra, quando viemos   para o Brasil :

http://www.oliveirasalazar.org/portugal.asp

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A Freguesia de São Miguel de OLIVEIRA DO DOURO produz o MELHOR AZEITE DE OLIVA do mundo.

Sim, somos SILVA E OLIVEIRA porque viemos da Freguesia de São Miguel de Oliveira do Douro, do Conselho de Cinfães, Distrito de Viseu, Arcebispado de Braga, Portugal. (Não confundir com a outra Oliveira do Douro, de Vila Nova de Gaia).

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http://historiadecinfaes.blogspot.com

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Aqui a terrinha querida OLIVEIRA DO DOURO, CINFÃES:

Senhor Fernando Pessoa, o rio que corre por minha aldeia é o Bestanças

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Ponte sobre o Rio Douro, lá na terrinha, na Fóz do Rio Bestanças:

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Igreja de Oliveira do Douro. Postal não circulado de uma colecção de 9 que reproduzem aspectos vários de Oliveira do Douro, finais do século XIX. Colecção particular. Atrás da pequena igreja de Oliveira (que nesta altura ainda não possuía campanário) a imponente Casa da Castanheira com os seus acrescentos e edifícios anexos. Embora suspeitemos que este postal seja anterior à implantação da República, não deixa de ser um documento valiosíssimo para o estudo da arquitectura, e, da própria evolução histórica da paisagem por terra de Cinfães, nos últimos 150 anos.

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Calçada romana na região do Rio Douro:

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http://www.cm-cinfaes.pt/index.php?ption=com_content&view=category&layout=blog&id=20&Itemid=166

http://www.eb1-boassas.rcts.pt/

http://www.geneall.net/P/forum_msg.php?id=28808&fview=e

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NO GENEAL ALL encontrei esta informação sobre Famílias e sobre genealogia da Região de Oliveira do Douro, Concelho de Cinfães, Distrito de Viseu, Portugal:

NESTE LIVRO deve haver muito coisa sobre nossa família SILVA E OLIVEIRA, Silva Cardozo:

Famílias Nobres Nos Concelhos de Cinfães, Ferreiros e Tendais nos Sec. XVI, XVII e XVIII, José Cabral Pinto de Resende & Miguel Pinto de Resende, Porto, 1988.

Autor: aburma

Exma Sra:

Felicito-a pelo avanço das suas investigações, nessas terras onde eu tenho muitas raízes, pelo meu lado materno Serpa Pinto.  Ainda estou muito ligado à zona, e não apenas materialmente. Se conhece Montão, conhecerá também, pelo menos de nome, Boassas, Fundoais, Porto Antigo, tudo sítios que muito me dizem.

Quanto à pergunta que me coloca, o único livro actualmente à venda sobre famílias daquela zona é “Famílias Nobres dos Concelhos de Cinfães, Tendais e Ferreiros de Tendais nos Séc. XVI, XVII e XVIII“, do Dr. José Pinto Rezende (também ele Pinto e cinfanense!).  Esse livro está disponível aqui na Livraria do GP.  A “História da Diocese de Lamego” tem também alguns elementos genealógicos sobre Cinfães, compilados por um dedicado investigador local, o Padre Alfredo Pimenta. Costuma por vezes surgir aqui no Forum outro cinfanense, Nuno Rezende, que sei que também tem feito alguma investigação genealógica sobre a zona. Se procurar o tópico “Monarquia do Norte” é possível que aí encontre o seu email.Ao procurar os assentos, deverá ter em atenção que não estão todos no Arq. Dist. Viseu. Alguns, penso que os mais antigos, estão na Diocese de Lamego.

Ao seu dispôr

Alexandre de Serpa Pinto Burmester

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O Rio Douro, em Oliveira do Douro

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E AQUI ESTÁ NOSSA OURO PRETO, Vila Rica do Albuquerque, no nosso tempo, onde o vovô JOÃO DA SILVA DE OLIVEIRA, foi vereador 3 vezes juntos com os inconfidentes.

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Sites e imagens de Glaura, Ouro Preto-MG, onde nasceu o CAPITÃO DOMINGOS:

http://www.glaura.hpg.ig.com.br/

http://www.ouropreto.com.br/noticias.asp?cod=4030

http://www.ouropreto.com.br/noticias.asp?cod=727

http://www.google.com.br/images?hl=pt-br&source=og&sa=N&tab=li&q=Glaura,+Itabirito+-+Minas+Gerais

http://www.flickr.com/photos/12458637@N05/1331396365/

http://estaeareal.blogspot.com/2010/01/glaura-distrito-de-ouro-preto-mg.html

Praça da Gameleira, em Glaura Ouro Preto-MG,;coincidência Uberaba-MG também já teve uma Praça da Gameleira

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Estrada em Glaura, Ouro Preto-MG, do tempo do CAPITÃO DOMINGOS, ele passou por ela provavelmente

E ENTRE GENTE REMOTA, EDIFICARAM, NOVO REINO, QUE TANTO SUBLIMARAM.