Histoire et mémoire du quartier de Courteille · 2017. 5. 25. · Histoire et mémoire du quartier...

Histoire et mémoire du quartier de Courteille (Orientation urbanisme) – Dossier méthodologique

CS 2012-2013 / 30

Histoire et mémoire du quartier de Courteille

Orientation urbanisme

Projet tuteuré 2012-2013 Bedel Julie – Fleck Rose – Jajolet Anne-Julie – Lécureuil Marie – Mathé Pauline – Sivy Jérome

Urban'Mood


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Introduction

Dans le cadre de notre deuxième année de DUT carrières sociales option Gestion Urbaine et Services à la Personne, nous avons eu l'opportunité de réaliser un projet tuteuré commandité par Romain MERCIER, chargé de la politique de la ville d'Alençon.En effet, notre sujet porte sur le quartier de Courteille, et plus particulièrement sur son histoire et sa mémoire.

Un projet tuteuré est une « production » collective, organisée dans le cadre de nos études et encadrée par un professeur tuteur. Ce rendu permet de répondre à une demande faite par un commanditaire.Ce projet, du fait de sa complexité, implique un investissement important en dehors des horaires d’enseignements. Nous avons appris à mener un projet dans son intégralité, ceci de manière active et autonome, en y mettant à profit nos compétences respectives.Ce projet se déroule sur Courteille, un des quartiers de la ville d'Alençon, il se situe au Nord-Est de la ville et est délimité par la Sarthe et la voie ferrée. Alençon est une commune française se situant au sud du département de l'Orne et de la région Basse-Normandie. Il s'agit d'un quartier en pleine mutation, étant actuellement l’objet de nombreux aménagements urbains. Aujourd’hui, on y observe la rénovation de grands ensembles construits à l’aube des années 60. On y aperçoit des barres d’immeubles fermées situées au centre du quartier ainsi que des lotissements de maisons individuelles. Ces dernières ont été construites à la périphérie du centre et à des époques différentes.Beaucoup de points forts sont à découvrir dans ce quartier, tant par rapport à son histoire qu’à sa mémoire et son vécu. Cependant, les habitants de celui-ci ne le savent pas forcément, c'est pour cela qu'il faut susciter leur curiosité et celle des habitants extérieurs au quartier. Pour évaluer ces atouts, nous avons entrepris une démarche méthodologique, avec une stratégie de communication et des outils adaptés. C'est donc tout au long de ce mémoire que nous allons vous faire part de la méthodologie utilisée depuis la découverte du sujet, jusqu'au jour de notre projet final.

Notre problématique de départ portait sur « comment faire revivre la mémoire et l'histoire d'un quartier, de façon intergénérationnelle ? ». L’ensemble de nos réflexions ce sont donc appuyées sur le thème de notre projet. Cependant, il s’agit ici d’un mémoire méthodologique, c’est pourquoi nous avons modifié notre problématique afin qu’elle réponde mieux aux attentes de ce rendu. Nous allons alors nous demander « Comment mettre en place un projet dans le but d’organiser une manifestation destinée à l'ensemble de la population ? ». Pour répondre à cette problématique, nous allons détailler l’aspect méthodologique avec une première partie traitant sur la découverte et l’appropriation du sujet, puis une seconde et dernière partie sur l’organisation du rendu final.

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I- Découverte et appropriation du sujetA. Cadrage du projet

● Définir les termes du sujet pour mieux les aborder

Notre projet tuteuré porte sur l'histoire et la mémoire du quartier de Courteille. Avant de nous lancer dans une réflexion détaillée, nous devions commencer par définir le sujet. Nous avons donc précisé, un par un, les termes de notre thème général afin de mieux le cerner.

Dans un premier temps, commençons par le terme « Histoire », qui d’après le dictionnaire Le Petit Larousse « est la relation des faits, des événements passés concernant la vie de l'humanité, d'une société, d'une personne, etc... » De notre côté, le travail sur l'histoire de Courteille fait référence à tous les événements passés et marquants du quartier. Notre mission était donc de retracer tous ces moments clés afin de les faire remémorer à la population de Courteille. Dans un deuxième temps, le terme « Mémoire » correspond, toujours d’après le dictionnaire Le Petit Larousse , à une « activité biologique et psychique qui permet d’emmagasiner, de conserver et de restituer des informations ». C’est dans cette optique de restitution des informations que durant notre projet nous avons cherché à réveiller de lointains souvenirs, à travers de la documentation, des témoignages, des photos, etc... Tous cela dans le but de faire revivre certains moments du passé qui se sont effacés avec le temps. Il nous a été demandé de cibler cette recherche d'histoire et de mémoire dans le quartier de Courteille, mais qu'est-ce qu'un quartier ? C'est la division administrative d'une ville. Ici le quartier de Courteille fait partie de la ville d'Alençon. Cependant il nous est possible de diviser ce quartier en trois sous-quartiers : Le « vieux Courteille », le « Courteille aviateur » et le « Courteille point du jour ». En général, Courteille c'est quoi ? Un quartier d'Alençon certes, mais encore.. C'est une zone de 118 hectares comprenant une population d'environ 6000 habitants. Cette zone en pleine mutation est située au nord-est de la ville et délimitée naturellement par la Sarthe et la voie ferrée. Au centre, nous pouvons retrouver des immeubles (vieux, délabrés, d'aspect négatif et fermés) et aux alentours des lotissements et des zones résidentielles plus ouverts et plus aérés se sont formés. Pour les politiques de la ville, Courteille est considéré comme une zone urbaine sensible et comme une zone franche urbaine.

● Délimitation du sujet

Après avoir définit les termes de notre sujet, nous avons dû effectuer une délimitation de celui-ci afin de ne pas nous dispercer dans des domaines trop vastes. Au début de notre réflexion nous avons établi une liste de « c'est » et « ce n'est pas » afin de dégager nos idées principales. Nous sommes arrivés aux résultats suivant :L'histoire et la mémoire du quartier de Courteille c’est :- L’évolution de la ville- Les dates des premières constructions- La perception des habitants (du quartier et hors du quartier)- Le flux de population des années 60- La valorisation / mise en avant du quartier

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- L'évolution de l’agencement « technique » Ce n’est pas :- Une étude sociale (population etc..)- Une comparaison avec les autres quartiers- Un simple historique- L’histoire et la mémoire d’Alençon mais seulement d’un de ses quartiers

Après avoir listé les éventuels champs de recherches, nous n'étions toujours pas satisfaits de nos résultats. C'est avec l'aide de notre professeur tuteur que nous avons été amenés à réfléchir sur la délimitation géographique du quartier. De ce fait, nos recherches ce sont ciblées sur les trois sous-quartiers de Courteille, facilitant notre organisation et notre travail. A partir de ce point, l'idée était non pas, de trouver des renseignements généraux sur le quartier (quoi que certaines nous aient été utiles) mais de rechercher des informations spécifiques à chaque sous-quartier.

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Courteille composé de ses trois sous-quartiers


B. Sources d'informations

● Le web : un début classique mais pas extraordinaire

Les bases de notre projet tuteuré se sont construites essentiellement autour des recherches préliminaires nous permettant de cibler correctement les points à travailler pour remplir les objectifs qui nous ont été donnés. Une fois la lecture du sujet effectuée, et ce peu importe le sujet ou la matière : la grande majorité des étudiants désirant effectuer des recherches préliminaires se ruent vers l’outil informatique, tout d’abord car il est facilement accessible, mais également car c’est un outil que l’on maîtrise (ou que l’on pense maîtriser) à l’inverse des bibliothèques, archives municipales ou départementales dans lesquelles nos apparitions se font moins fréquentes. C’est donc naturellement que nous nous sommes dirigés vers l’outil informatique. Les informations trouvées y sont nombreuses mais souvent incomplètes, le problème majeur qui sévit lorsque l’on trouve des informations sur Internet reste la provenance de ces renseignements. De plus lorsqu’il s’agit de vérifier la période de publication de données chiffrées les réponses sont rarement fiables. En effet sur plusieurs sites il est difficile d’identifier la source, et donc impossible d’utiliser ces supports dans le cadre de notre projet tuteuré.

● Les archives et les bibliothèques : des sources sures

Lorsque une information semble être exploitable c’est parce qu’elle est authentifié par une référence manuscrite (livres, articles, documents publics). C’est à partir de ce moment-là et à partir de ses références manuscrites que le vrai travail de recherche commence, car en prenant du recul il s’avère que l’on se sert du l’outil informatique comme d’un référencer : la multitude des sites et forum consultés nous ont permis de créer une base de données de livres et manuscrits à consulter afin d’étoffer nos connaissances sur Courteille et l’histoire s’y attachant. Les bibliothèques qu’elles soient universitaires ou municipales nous ont apportées énormément de contenu (annexe 1), et surtout nous ont permis de trier les informations trouvées sur la toile. Malgré les réponses données à nos questions il s’avère que les supports manuscrits ou numériques restent essentiellement des supports d’informations générales sur Courteille et son histoire. La petite envergure de Courteille nous permet seulement de trouver des documents qui parlent de la ville d’Alençon dans sa totalité, il a été impossible de trouver des manuscrits traitant uniquement de Courteille. Nous nous sommes également dirigé vers les archives de la ville, le problème que nous avons rencontré pendant la phase de documentation a été que les documents étaient juste consultables, impossible d’obtenir une copie ou de les photographier. Dans les archives municipales il était possible d’obtenir des copies mais celle-ci était tarifée. Les archives se sont révélés être utile par le contenu de ses documents mais dispensable car les documents n’étaient pas exploitables.

● La population : des paroles authentiques

Il a été indispensable, afin de comprendre le quartier, que nous nous intéressions aux personnes qui y étaient établies. La rencontre avec des habitants du quartier nous ont montrés

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comment les gens percevaient leur propre lieu de vie.Les entretiens ont été primordiaux afin de pouvoir traiter le volet mémoire de notre sujet. En effet impossible de traduire la mémoire d’un quartier sans se confronter aux vécus des habitants. Les entretiens ont été faits avec différents acteurs du quartier (annexe 2). Il y a eu les commerçants de la Place du Point du Jour qui, grâce à leurs commerces voient énormément d’habitants. Ils sont véritablement témoin de la vie du quartier et par leurs professions ils rendent compte d'un potentiel dynamisme, ou non. Nous nous sommes néanmoins rendu compte que certains commerçants n’avaient guère de temps à nous accorder pour un entretien, ce problème s’est également présenté avec les habitants rencontrés dans le quartier, un certain nombre de personnes a répondu négativement à une proposition d’entretien. Un personnage important de notre projet tuteuré à été Mr Adam qui grâce à ses collections de cartes postales et à une documentation obtenu sur 30 ans, ses connaissances nous ont permis de recueillir énormément d’informations, le problème qui s’est posé bien qu’il soit mineur fut qu’il avait trop d’informations et de documentation sur Courteille et que par conséquent l’analyse de tout cela risquait de prendre énormément de temps, heureusement Mr Adam prenait le soin de préparer nos entretiens à l’avance en cherchant des documents susceptibles d’être utile à l’avancement de notre projet.

Dans l’ensemble tous les entretiens nous ont été utiles, ainsi que toutes les recherches documentaires. Il n’est pas évident de trouver une méthode de documentation plus intéressante qu’une autre, le contenu des recherches a été obtenu grâce à une complémentarité entre les entretiens, les recherches bibliographiques ou encore numériques.

C. Outils

Il est normal de définir un certain nombre de chose avant de commencer une étude. Pour cela il existe des outils nous permettant de structurer notre réflexion. Pour notre sujet nous avons choisi d'utiliser trois outils différents.

● La méthode du Quintilien : elle cadre notre projet

Dans un premier temps la méthode du Quintilien (appelé plus communément le « QQOQCP »). Cette méthode a pour but de faire réfléchir sur l'ensemble des aspects que peut avoir un sujet et ainsi nous éviter d'oublier des informations. Le « QQOQCP » (annexe 3) est donc composé de six axes : Qui, Quand, Où, Quoi, Comment et Pourquoi. A nous ensuite de nous poser les bonnes questions afin de compléter au maximum les réponses attendues.

● Le Brainstorming pour l'identité de notre groupe

Une fois notre projet bien lancé il nous a fallu un nom de groupe, en effet avoir un nom commun à tous les membres nous a permis de nous sentir plus soudés, nous appartenions à la même équipe. Pour ce faire nous avons utilisé le « Brainstorming », qui signifie en français : Remue-méninges. Ce procédé est recommandé afin de laisser libre cours à notre imagination sans avoir peur du ridicule, le principe est simple : partir d'un mot clef et citer tous les mots qui nous

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viennes en tête. Une fois que nous avons écrit une liste interminable de mot il nous reste à choisir les meilleurs et essayer de les assembler. Pour notre nom d'équipe le résultat fut : Urban'mood (d'humeur urbaine) nom qui colle bien à notre sujet puisque nous devions travailler sur l'aspect urbain du quartier.

● Le diagramme de Gantt : programmation des étapes

Tous est lancé, ou presque ! Dans une équipe de six il est impossible de nous lancer tête baissé. Nous devions impérativement nous répartir les tâches et planifier un planning pour organiser nos actions. Les tâches principales concernent surtout la communication : qui passe les appels ? Qui se charge des e-mails ? Des récapitulatifs de rendez-vous ? Etc... Après nous avoir réparti le travail nous avons réalisé un planning plus général afin de nous situer dans le temps et permettre le bon déroulement du projet. Le logiciel Gantt nous à permis de réaliser ce calendrier (annexe 4). Au jour d'aujourd'hui, nous avons refait notre parcours temporel et nous nous sommes aperçu que le timing n'a pas toujours été respecté.Sur l'image ci-dessous nous pouvons constater que la plage prévue (en bleu) et la réalisation réelle (en rouge) ne corresponde pas. Pour un grand nombre de chose nous n'avons pas vu juste sur le temps nécessaire. Cependant, le planning réel était plus approprié par rapport à ce que nous avions prévu. En effet, la fusion avec le groupe à orientation sociale a été faite plus tardivement que nous l'avions espéré. Cet écart est du au fait qu'il nous a fallu un peu plus de temps pour nous approprier le sujet. Nous avons alors préféré consacré un temps supplémentaire aux premières étapes pour continuer par la suite, dans la bonne direction.Nous avons également décider de consacrer plus de temps à nos recherches (documentaires, témoignages..) pour enrichir davantage notre connaissance du quartier et ainsi s'approcher au plus près de la réalité.

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II- Organisation finaleA. Organisation relationnelle

● Fusion avec le groupe sociale : une fusion riche mais complexe

Notre projet portant sur le quartier de Courteille fait intervenir deux groupes dont seule l’orientation diffère. En effet, l’un est à orientation urbaine et l’autre à orientation sociale. Une coopération était donc primordiale notamment en vue du rendu commun.Cette fusion a eu ses avantages, par exemple, elle a permis de faciliter la réflexion, de proposer plus d’idées, de trouver des solutions aux problèmes mais aussi de répartir le travail en plusieurs petits groupes. Malgré tout, cela présente aussi des inconvénients, entre autre la difficulté parfois à se comprendre, à s’entendre dû au grand nombre de personnes (12) et donc aux possibles divergences de points de vue.

● La communication : élément indispensable dans la programmation du projet

Pour prendre rendez-vous, ou simplement communiquer des informations, avec les professeurs tuteurs comme avec le commanditaire, la démarche se fait principalement par e-mail. Pour les rendez-vous on recherche un créneau, le plus adéquat possible, afin qu’il convienne à tous. Pour les autres acteurs, notamment les « témoins », la prise de contact se fait plus souvent par téléphone ou directement en face à face, comme par exemple avec les micros-trottoirs qui nous ont servi à récolter des témoignages, des avis sur des questions précises. Cette prise de contact avec les personnes n’a pas toujours été simple. Par exemple pour la partie concernant la gare, la récolte d’informations et de témoignages par rapport aux cheminots fut compliqué. En effet, le secret professionnel fut un frein majeur à la divulgation d'information. Nous avons toutefois réussi à trouver des anciens cheminots qui ont accepté de nous aider. Quel que soit la personne rencontrée lors du rendez-vous, un compte rendu, plus ou moins important, est rédigé pour tenir au courant le groupe ainsi que les professeurs tuteurs si nécessaire. Le compte rendu permet aux personnes non présentes d'avoir les informations essentiels que nous ont apporter les rendez-vous. Il était évident que nous ne pouvions pas être à 12 pour chaque échange, par manque de temps, de disponibilité, de places, ou tout simplement parce qu'un rendez vous à 12 n'est pas pertinent.Afin de faire connaître notre projet final, un plan de communication a été mis en place. Nous avons donc réalisé des affiches et des flyers (annexe 5) avec l’aide de la mairie présentant le déroulement du weekend. Nous avons également misé sur un article dans le magazine « Alençon Magazine », dans le journal du « Ouest France » ainsi que dans l’hebdomadaire « Orne Hebdo » (annexe 6). Nous serons aussi présents au marché de Courteille, qui a lieu sur la Place du Point du Jour, les dimanches 10 et 17 mars étant donné que ce marché réunit beaucoup de monde, autant des personnes du quartier que des personnes extérieures. Nous aurons donc un stand afin de faire connaître notre exposition. Pour encourager les personnes à venir, un système de tombola a été créé. Le principe est de demander aux personnes de répondre à une question sur le quartier pour pouvoir participer à un tirage au sort et obtenir des lots, cela permet en plus d’obtenir différents

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avis pour compléter l’aspect mémoire du projet. Pour le 17 mars, nous avons imaginé un théâtre de rue qui se fera à plusieurs reprises tout au long de la matinée afin d’attiser la curiosité du public.

● Le partenariat : une façon d'impliquer les commerçants de la ville

Dans le cadre de notre rendu les 15, 16 et 17 mars 2013, une remise de lots est programmée. Pour cela nous avons démarché différents acteurs à Alençon tel que le cinéma « les 4 Normandy », l’espace aquatique « Alancéa », la patinoire d’Alençon, le bowling d'Arconnay-Alençon ainsi que plusieurs commerçants de la Place du Point du Jour dans le quartier de Courteille. Pour prouver que notre demande n’était pas destinée à un usage personnel, nous avons du rédigé un courrier (annexe 7) en utilisant un papier à en-tête de l’IUT sur lequel figurait également le cachet de l’établissement accompagné d’une signature du chef de département. Ce courrier expliquait qu’en échange de leur participation il avait été envisagé de faire de la publicité à travers nos moyens de communication. Or, nous n’avons pas pu ajouter cette publicité sur nos affiches comme nous l’avions prévu. Finalement, il a été décidé que cette communication se fera sur le panneau de remerciement de l’exposition.

B. Organisation de la solution

● Le choix d’un rendu : entre cohérence avec le sujet et « attentes » du public

Une exposition est une idée classique mais pratique à mettre en place. C’est pourquoi, nous avons décidé de reprendre ce cheminement. Néanmoins, faire découvrir Courteille et revaloriser ce quartier par de simples panneaux explicatifs ou descriptifs ne nous paraissait pas pertinent. Il nous a donc paru évident d’ajouter des éléments plus attractifs comme une vidéo témoignage, l’intervention de personnes clefs et la mise en place d'activités manuelles pour le plaisir des plus grands et des plus petits. Nous avons également intégrer dans notre rendu un après-midi d’échanges intergénérationnels entre l8 élèves de CM2 de l’école du point du jour et quelques personnes de la la résidence Clair Matin. L’existence d’un partenariat entre eux à facilité la mise en place du projet. Ensembles, ils partageront en équipe un moment qui leur permettra d’échanger sur le quartier tout en remplissant un questionnaire (annexe 8). A la fin, chaque équipe sera récompensée par un petit lot de cadeaux pour sa participation. Et l’équipe gagnante se verra offrir un lot plus important. Le but étant de faire découvrir le quartier de manière ludique et vivante, par le biais d’un échange intergénérationnel. Ce choix s’est effectué par l’échange d’idées entre les deux groupes (orientation urbanisme et social) liés par le projet.

● Le comptable : un rôle majeur et indispensable pour la réalisation d’un projet.

Un des étudiants des deux groupes réunit a endossé le rôle de comptable. Sa mission était

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de répertorier toutes les dépenses nécessaires pour mener à bien notre mission. Ce budget prévisionnel (annexe 9) devait être vérifié et validé par notre commanditaire. Les principales dépenses sont liées à l’exposition même (le coût des supports pour les affiches) et à la communication (coût de l’impression des flyers et affiches). Certaines dépenses ont pu être évitées soit par la générosité des partenariats (prêt de la salle gratuit) soit par notre commanditaire qui a mis à notre disposition du matériel (tables, télévision, rétroprojecteur…).

● Fixer la date d’un événement : un programme indispensable et judicieux.

Afin que notre projet soit vu par le plus de personnes possibles, nous avons choisi de le réaliser pendant un week-end, une période où les personnes sont plus disponibles pour se déplacer et prenne le temps. Le public visé par notre projet : les habitants d’Alençon et ses environs. Étant en vacances scolaires du 23 Février au 10 Mars, nous avons choisi d’organiser l’exposition du 15 au 17 mars (annexe 10).

● Une présence stratégique au marché de Courteille le dimanche 10 mars

Un stand nous a été réservé au marché de Courteille le dimanche précédent notre événement. C’est avant tout un moyen efficace de communication. Les personnes présentes sur le marché sont des habitués, en général. Les prévenir de l’exposition quelques jours avant, près du lieu, nous donne plus de chance de croiser des personnes susceptibles d’y faire un tour. Trois ou quatre étudiants seront donc présents pour faire connaître l’exposition. Pour inciter les personnes à venir, nous distribuerons des papiers sur lesquelles les personnes devront écrire leur ressenti sur le quartier. Ce n’est que le week-end suivant, lors de l’exposition qu’ils afficheront ou déposerons dans l’urne leur papier. Ils seront alors susceptibles de gagner par tirage au sort, des bons d'achats offert par les commerçants du quartier.

● La salle : un choix complexe et crucial

Le nombre de panneaux à réaliser doit prendre en compte plusieurs éléments :- La taille de la salle et sa capacité d’accueil ;- Les thèmes et sujets à aborder ;- Le budget à consacrer. La salle choisit pour l’exposition est la salle de gymnase de l’école du point du jour. Son grand espace a des avantages au niveau de la capacité d’accueil et de sa disposition. Les élèves sont déjà sur place le vendredi.De plus, il s’avère que la situation géographique de l’école soit un atout majeur. En effet, elle est à proximité du marché de Courteille (place du Point du Jour) sur lequel un stand nous est réservé.

● L’harmonie : une des clés du succès

Pour créer les panneaux nous nous sommes mis d’accord sur les différents sujets. Il a fallu choisir les sujets les plus représentatifs et en lien avec l’histoire et la mémoire de Courteille. Ensuite, les recherches d’approfondissement et la confection de chaque panneau ont été

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attribuées par libre choix (selon les envies et les connaissances des étudiants) à un étudiant ou groupe d’étudiants (2 ou 3 maximum) selon la complexité du sujet. Le travail en groupe apportant plus de recul et donc une vision plus large et globale. Dans un souci d’harmonie et de cohérence, nous avons établi que l’ensemble des panneaux devait respecter certains critères :- La taille et la police d’écriture du texte et des sous-titres commune ;- La taille et la position du titre identique ;- La taille et l'endroit où l’on place la vignette du sous-quartier où se situe l’élément.

● La disposition de la salle : un fil conducteur cohérent et dynamique (pour une réussite.)

Pour dynamiser cet événement, nous avons réalisé plusieurs activités. Pour cela, nous avons divisé la salle (annexe 11) :

- A l’entrée, nous avons placé des panneaux de présentation du projet et du quartier ainsi que les remerciements que nous adressons à tous les partenaires qui ont participé à la réalisation du projet.

- L’élément principal est une exposition à thèmes. En effet, nous avons créé 4 pôles dont 3 représentant les trois sous-quartiers : le vieux Courteille, le quartier des aviateurs et le point du jour. Le quatrième étant des sujets généraux se basant sur la totalité du quartier. Nous les avons disposés dans toute la salle pour faciliter la circulation/ le passage. Certains panneaux sont ceux de nos partenaires qui présentent leur structure (école du point du jour, centre social, épicerie social…)

- L’élément secondaire est un espace placé au centre mais le long du mur de la salle, réservé pour les intervenants qui vont aborder des thèmes précis et faire découvrir le quartier d’une manière différente et plus dynamique. Chaque jour bénéficie ainsi d’un événement particulier et attractif :

o Le samedi 16 mars à 15h : M. Adam retracera l'histoire de Courteille en l'illustrant avec ses anciennes photos.

o Le dimanche 17 mars à 11h : M. Rose fera une présentation sur l'usine Boulenger.

- L’espace vidéo placé stratégiquement au fond et dans un coin de la salle sera isolé pour mieux entendre les témoignages fournit par des habitants sur leur quartier. Ce support permet de garder une trace audio-visuelle.

- Ensuite, nous avons placé des stands pour rendre plus attractif l’exposition et variés les supports pour éviter la monotonie d’une exposition classique.

o Puzzle du quartier : son aspect ludique permet de découvrir Courteille sous un autre angle.

o Photo avant /après : moyen de raviver des souvenirs mais aussi de savoir placer les différents lieux.

o Livre d’or / mot sur le quartier (urne gagnante) : moyen d’avoir les impressions des

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visiteurs sur le quartier et l’exposition, et surtout de garder une trace écrite.

- Nous avons également décidé de dédier un espace aux enfants afin qu’ils puissent s’occuper par des activités (coloriage, dessin…) et ainsi ne pas perturber le bon déroulement de la visite.

- Enfin, discrètement à côté de l’entrée, nous avons mis le buffet qui servira au vernissage et au goûter de la journée de vendredi. Le vernissage est un moment clé de l’exposition : c’est l’ouverture officielle à 17h30, le vendredi 15 mars. Toutes les personnes qui ont participé à la construction du projet seront invitées à découvrir en exclusivité l’exposition et à partager un pot. Nous avons convié celle-ci grâce à un carton d'invitation (annexe 12).

● L’exposition : un support de cours

Dans le cadre de leur cours de méthodologie de projet au programme du semestre 2, les étudiants de 1ère année se rendront à l’exposition le vendredi 15 mars de 9h à 12h30, accompagné des enseignants du module, Serge RADET et Julien CRAPET. Les étudiants devront réaliser un travail en lien avec leur cours, l’exposition leur sera alors un support concret.

● Le théâtre de rue : une solution efficace et dynamique pour éveiller la curiosité des passants, tout âge confondu.

Le théâtre de rue est un art qui interpelle. Inattendu, il surprend les passants et active immédiatement en eux un sentiment de curiosité. Dynamisme et bonne humeur sont nécessaires à sa réalisation mais son bon fonctionnement et aussi dans l’écoute et le respect des « acteurs » et de l’environnement qui l’entoure. Un respect mutuel donc. Cette forme de théâtre a la particularité d’être court (maximum 20 minutes) pour garder l’attention des spectateurs et s’assurer de la compréhension du « message ». Il faut être concis et essayer le plus possible de tendre vers un objectif possible : captiver le public (et ce à tout moment de la scène) et le convaincre d’aller visiter l’exposition.Le théâtre de rue a pour but d'intriguer les habitants sur le quartier de Courteille, le scénario étant : deux explorateurs arrivent sur le marché mais ne savent pas où ils se trouvent, en découle alors une série de questions posées aux habitants. Une autre personne de notre groupe jouera le rôle d'un ancien habitant "réponse à tous". Nous le ferons à plusieurs reprises, 9h, 9h30, 10h et 10h30 afin de toucher un maximum de personne.

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C. Bilan et analyse de A à Z

● Des obstacles à surmonter pour progresser

Tout d’abord, l’obstacle le plus important a été de cerner et délimiter le sujet. Cela n’a pas été chose facile. Nous ne savions pas trop vers quelle(s) direction(s) nous orienter car le sujet était vague. Au départ, les recherches documentaires ou encore les visites sur le terrain « pour prendre la température » n’ont pas été très fluctuantes. Sachant que nous étions le groupe urbanisme, nos idées étaient surtout portées sur le bâtit et le patrimoine. Nous n’avions pas pris en compte le côté social réservé, selon nous, à l’autre groupe. Lors de notre oral, nous avons présenté la démarche que nous avions eue avec les outils utilisés. Nos idées commençaient à se matérialiser petit à petit. Mais lorsque nous nous sommes réunis avec le groupe social, le sujet s’est plus précisé. Cette union avec le groupe social nous a vraiment permis de nous mettre dans le droit chemin vers un rendu optimal. Nos enseignants tuteurs ont également été d’une aide précieuse pour établir des frontières à notre sujet et nous donner des pistes à suivre.

Au départ, nous avons mis du temps à trouver, tous ensemble, une idée originale pour notre rendu final. Après de nombreuses réflexions collectives, nous sommes parties sur la visite du quartier de Courteille sous forme d’une visite grandeur nature. En effet, nous souhaitions que les habitants du quartier, ou d'ailleurs, arpentent les rues de Courteille accompagnés d’un ou plusieurs guides choisis par nos soins. Des commentaires pertinents fuseraient alors sur les points forts du quartier (église Saint Roc, les maisons cheminots, les bains douches, la Sarthe..). L’idée étant de faire découvrir le quartier de manière ludique à un public varié. Cette idée a été remise en question, jugée trop ambitieuse et difficile à réaliser par rapport au temps qui nous était accordé. Nous aurions voulu faire un rendu original, sortant de l’ordinaire mais nous avons dû nous raccrocher à quelque chose de plus sûr : une exposition.Nos professeurs référents ont insisté sur le fait qu’il fallait instauré une séquence originale dans notre rendu (n’ayant pas pu faire l’exposition grandeur nature). C’est pourquoi, il nous a semblé important que le côté intergénérationnel soit mis en avant. Mais alors vers qui s’adresser ? Des collégiens ? Des élèves de primaire ? Quelles classes ? Où trouver les personnes âgées ? Il fallait trouver la meilleure combinaison pour que des personnes âgées et des jeunes enfants s'entendent ensemble. L’association d’une classe de CM2 de l’école du point du jour et quelques personnes âgées de la résidence Clairematin nous a semblé être la meilleure solution pour un après midi jeux autour de l’exposition.

En ce qui concerne les obstacles que nous avons dû surmonter, il y a également la cohésion au sein de notre groupe. Sans vraiment le vouloir, une certaine frontière s’est créée entre SAP et GU notamment à cause de nos formations et de nos emplois du temps difficilement compatibles. Un bon rappel de notre enseignant nous a permis de nous ressouder et de travailler ensemble.Nous avons eu également quelques difficultés pour la prise de rendez-vous. Tout d’abord, prendre contact avec certains partenaires notamment avec la responsable de la résidence Clairematin était impossible. Madame NICOLAS, la directrice du CCAS, était injoignable. Par conséquent, Monsieur MERCIER, notre commanditaire, nous a aidé en nous mettant en contact avec la coordinatrice d’animation, Pauline BESNARD. L’établissement d’un rendez-vous a aussi été compliqué entre les membres de notre groupes car nous avions des emplois du temps très différents selon les options

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et les TD.Vers la fin de nos 6 mois de travail sur le projet, tous les différents rendus ce sont accumulés en même temps. Il aurait peut être fallu plus de répartition dans le temps impartis, ce qui nous donnerait plus de recul sur la globalité du travail fourni. Certes nous sommes déjà limité par le temps de manière générale mais une meilleure répartition apporterait peut être plus de sérénité au sein des groupes.

● Des apports personnels non négligeables

En ce qui concerne l’apport personnel de ce projet tuteuré, on peut tous considérer que l’on a pris en maturité. En effet, les enseignants nous ont donné des responsabilités pour un projet à réaliser de A à Z. Nous sommes les acteurs directs de notre projet, nous avons une certaine liberté d’action qui nous a permis de mettre en avant un projet qui nous ressemble. Ce dernier nous a permis de voir la réalité du terrain et de donner deux approches différentes en fonction de nos options. De ce fait, il y a une certaine confiance qui s’est instaurée entre nous, le commanditaire et nos tuteurs référents. Chaque année, l’image de l’IUT est « en jeu ». Nous devons avoir un comportement exemplaire pour que ce partenariat IUT/commanditaire continue à l’avenir.D’un point de vue organisationnel, nous avons su être attentifs aux attentes de nos professeurs ; rendre les supports dans les temps, rédiger des compte rendus à chaque réunion de groupe ou encore départager équitablement notre travail et essayer de s’investir chacun de la même façon. Notre autonomie s’est encore plus renforcée qu’auparavant comme notre manière de travailler en individuel et en collectif ; respecter les autres en écoutant son collaborateur, échanger ses bonnes ou mauvaises idées ou encore respecter les échéances étaient des objectifs à respecter tout au long de notre projet.Nous avons également été en contact avec de nombreux partenaires : le directeur de l’école primaire, les responsables de la résidence Clairematin, des intervenants pour notre exposition, ect.. Ces démarches relationnelles nous ont aidés à prendre de l’assurance ce qui est important pour notre futur professionnel.Pour finir, les outils que nous avons utilisés comme le Brainstorming ou encore le diagramme de Gantt ou les cours de méthodologie en général, nous servirons ou non dans notre vie future. Nous aurons au moins le mérite, si jamais nous sommes amenés à les utiliser, de nous en être déjà servis.

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Conclusion

Tout au long de ce projet, nous avons exposé notre stratégie méthodologique pour atteindre les objectifs fixés dès le début du projet. Dans un premier temps, nous avons utilisé les outils méthodologiques acquis au semestre 3 afin de nous approprier et de cerner le sujet. Le cadrage du sujet est une étape primordiale pour définir les différentes étapes de notre projet. Dans un deuxième temps, nous avons exposé de manière explicite l’organisation de notre rendu : l’association avec le groupe social, la communication intergroupe et externe, notre rendu final ou encore les obstacles et les apports personnels.

Finalement, nous pensons avoir atteint les objectifs que nous nous étions fixés au départ. En effet, notre rendu, sur le point d'être réalisé, permet aux habitants de Courteille mais également aux populations environnantes de mieux connaître l’histoire de leur quartier. Cela permet également de susciter la curiosité des uns et les souvenirs des autres. Dans le cadre de notre rendu, nous avons également réalisé un après-midi intergénérationnel ce qui nous a permis de mener à bien l'attente principale de notre commanditaire, Romain MERCIER. Malgré les difficultés que nous avons pu rencontrer, la mise en place d'une manifestation telle que l'exposition « Courteille, une ville dans la ville » a été possible grâce à l'application des outils méthodologiques vu dans le cadre de notre formation associé à un bon fonctionnement au sein de l'équipe. Ce projet nous a apporté à chacun une expérience enrichissante sous tous les aspects de la conception méthodologique et relationnelle.

La commande de la mairie n'est pas le fruit du hasard. Non seulement elle répond à un besoin de faire resurgir l'histoire et la mémoire de Courteille mais elle est aussi un élément du projet global que désir réaliser la commune. En effet, cette dernière souhaite faire une grande exposition rassemblant toutes celles des étudiants de l’IUT qui ont eu lieu sur chaque quartier d’Alençon (Saint Léonard, Perseigne, ...). Nous nous projetons donc plus loin sur « l’avenir » de notre exposition concernant cet éventuel projet général de la commune.

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Equipe Urban'Mood


Remerciements

Toute l’équipe Urban’mood remercie l’ensemble des acteurs nous ayant permit de réaliser l’exposition « Courteille une ville dans la ville ».

Tout d’abord, l’équipe enseignante ainsi que le personnel du département Carrières Sociales de l’IUT d’Alençon, et tout particulièrement nos enseignants tuteurs Mr Radet et Mme Tondereau, pour nous avoir guidé dans notre démarche tout au long du projet. Nous remercions également :

- Romain Mercier, chargé de la politique de la Ville d’Alençon pour nous avoir confié cette mission et épaulé du début à la fin de notre projet.

- Mr Mireles, directeur de l’école du point du jour, qui accueille notre exposition dans ses locaux et fait participer certains de ses élèves à nos activités intergénérationnelles.

- Mme Nicolas, directrice du CCAS et Mme Besnard, chargé de l'animation famille/seniors pour nous avoir mit en relation avec les personnes âgées de la résidence Clair Matin.

- Mr Adam et Mr Rose, pour leur témoignage et leur participation active à l’animation d’une activité lors de l’exposition.

- Les résidents de Clair Matin participants à l’après-midi intergénérationnel.- Les commerçants de Courteille, le cinéma les 4 normandy, le bowling, la piscine Alencéa et

la patinoire d'Alençon pour leur participation aux récompenses.

Ainsi que toutes les autres personnes qui ont pu nous aider à enrichir notre exposition de part leur témoignage, leurs informations et leurs connaissances du quartier.

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Annexes

Annexe 1 : Livres et ressource documentaire

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Livre n°2

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Annexe 2 : Acteurs et habitants du quartier

Mr Adam 64 r Marchand Saillant 61000 ALENCON

Mr Rose CCAS, 18 rue de Bretagne, 61014 Alençon cedex

Marie-Laure Cormier CCAS, 18 rue de Bretagne, 61014 Alençon cedex

Mme Besnard CCAS, 18 rue de Bretagne, 61014 Alençon cedex

Mr Champion Lieu dit la friche 72600 Fresnaye sur chedouet

Mr Lequilerier Les Courbardières 61420 SAINT DENIS SUR SARTHON

Directeur et personnel CENTRE SOCIAL DE COURTEILLE, RUE EDOUARD BRANLY

Mme Méziere

Mr Gonano 8 rue Résistance-fer 61000 ALENCON

Mr Briéré 166 avenue Quakenbruch 61000 Alencon

Mr Meireles Ecole maternelle du point du jour, 21 r Vicques, 61000 Alencon

Annexe 3 : Le QQOQCP

Qui → Les habitants de Courteille

Quand → Depuis le début du quartier

Où → Au sein du Quartier concerné

Quoi → Histoire et mémoire du quartier (cf. définition des termes du sujet)

Comment → A travers une activité publique

Pourquoi → Faire revivre l'histoire et réveiller la mémoire du quartier

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Annexe 4 : Le planning de Gantt prévisionnel

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Annexe 5 : Affiche et Flyers

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Annexe 6 : Articles de presse

Alençon Magazine

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Orne Hebdo

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Annexe 7 : Courrier aux partenaires

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Annexe 8 : Questionnaire pour la journée intergénérationnelle

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Suite du questionnaire

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Annexe 9 : Budget prévisionnel

Annexe 10 : Programme du week-end

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Annexe 11 : Le plan de la salle d'exposition

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Annexe 12 : Carton d'invitation vernissage

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Histoire et mémoire du quartier de Courteille · 2017. 5. 25. · Histoire et mémoire du quartier...

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