Bienvenue dans la première édition du magazine Hillsong Paris.

Ce magazine est le fruit des talents et des efforts d’un groupe de personnes passionnées. Elles ont travaillé ensemble pour vous faire découvrir quelques unes des choses incroyables qui se produisent dans la vie de notre église et de notre ville… PARIS.

Notre objectif est que vous puissiez prendre plaisir à lire ces pages et avoir un aperçu de la vie de personnes faisant partie d’une église qui cherche simplement à AIMER Dieu, AIMER les gens et AIMER la vie.

Nous espérons également que vous soyez inspirés à utiliser les dons et les talents uniques que vous possédez afin de vivre de GRANDES vies.

Passez un excellent été!

Brendan et Camille.

EDITO JUIN 2010

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SOMMAIRE

3. Nouveau A Paris ?4. Les Celebres Passages Couverts5. Un Diner Plus Que Parfait7. Six bonnes Idées Pour Sortir Manger8. Où Trouver Son Bonheur9. Interview13. En Mode - Julianne14. En Mode - Jose-Luis15. Des Bonnes Adresses16. Si J’étais…

9. Un australien à Paris

13. La mode de Julianne

15. Les bons plans parisiens

3. Envie de (re)découvrir Paris?

5. Révelez le chef qui est en vous

14. En mode José-Luis

7. Trouvez le café qu'il vous faut

NOUVEAU A PARIS ? SUIVEZ LE GUIDE !

Visite du mEtro parisien by night

Une nuit par mois environ, l’Ademas (Association d’exploitation du matériel Sprague) organise une visite de la face cachée du métro parisien. Des bénévoles passionnés font découvrir le patrimoine de la RATP aux visiteurs installés dans une rame des années 30. Ateliers de fabrication de la voierie, passages secrets et stations oubliées ou reconvertie en studio de cinéma, défilent sous les yeux étonnés des voyageurs. Un petit déjeuner conclut ce voyage nocturne et permet de rejoindre en douceur le monde des usagers modernes et pressés.

Ouvert une fois par mois de septembre à juin, de 22h30 à 5h 15 rue Erlanger, 75016 ParisMetro : Michel-Ange-AuteuilTel : 01 47 46 03 91Tarif : 45 € ; adhérents et groupes 40 €www.ademas.fr

Pour dEcouvrir Paris

Des visites sur mesureVous souhaitez découvrir ou redécouvrir la capitale ? Alors Enjoy Your Paris est un concept qui pourrait bien vous intéresser. Le principe est très simple : il s’agit de se rencontrer autour d’événements spécialement organisés pour les participants afin de leur permettre de découvrir le Paris des Parisiens, loin des circuits touristiques conventionnels. Sorties, événements spéciaux (expositions, concerts, visites, balades, dégustations...), soirées ou encore rencontres sportives permettent à des personnes de tous horizons de se retrouver autour d’un même centre d’intérêt et d’échanger leur point de vue, de partager leur culture et surtout de découvrir Paris sous un angle nouveau.Alors si vous ne connaissez pas encore Paris, ou si au contraire vous êtes un parisien « confirmé », inscrivez-vous vite sur le site d’EnjoyYourParis pour vivre des expériences uniques et rencontrer des personnes du monde entier.

Enjoy Your Parishttp://fr.enjoyourparis.com/

Pour les amoureux de la culture

Musée d’OrsaySitué sur la rive gauche de la Seine dans le 7ème arrondissement de Paris, le musée d’Orsay est une ancienne gare des Chemins de fer, inaugurée en 1900 et désaffectée 40 ans plus tard pour des raisons techniques. Le projet d’un musée du XIXème siècle prend forme en 1973 et c’est en 1986 que le musée ouvre ses portes. Le musée d’Orsay présente un parcours chronologique (regroupant les œuvres françaises et européennes entre 1848 et 1914) débutant au RDC avec les « Classiques », « Romantiques » et « Académiques », les débuts du symbolisme, du réalisme et de l’impressionnisme. Au niveau supérieur, vous découvrirez les impressionnistes, les successeurs de l’impressionnisme, la salle des pastels secs ainsi que les tableaux des artistes issus de l’école de Pont-Aven. Et enfin, au niveau médian, vous trouverez les arts de la 3ème république, le naturalisme, le symbolisme, l’Art nouveau et les tableaux peints à l’aube du XXème siècle.

Le Musée d’OrsayOuvert du mardi au dimanche de 9h30 à 18h00 (jeudi jusqu’à 21h45).1 rue de la Légion d’Honneur75007 Pariswww.musee-orsay.fr

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8ème arrondissementNon loin de là, le 8ème arrondissement abrite le Passage des Princes qui relie le boulevard des Italiens et la rue de Richelieu et fut inauguré en 1860 sous le nom de passage Mirès. Détruit en 1985 pour une opération immobilière, il fut ensuite reconstruit à l’identique en conservant des éléments d’origine comme la coupole en verre coloré décorée de roses. Depuis l’ouverture en 2002 d’un grand magasin de jouets pour enfants, le passage a retrouvé une nouvelle jeunesse et gagné le surnom de « Passage du jouet ».

Situé entre la rue de l’Arcade et la rue Pasquier, le Passage Puteaux a joué de malchance dès son ouverture puisque l’emplacement de la Gare St Lazare fut déplacé plus au nord, amenant commerces et badauds à déserter son charme pourtant manifeste. Un peu plus au sud, la Galerie de la Madeleine abrite quant à elle quelques sandwicheries.

Construit en 1847 dans l’alignement du passage Verdeau et du passage des Panoramas, le Passage Jouffroy relie les Grands Boulevards et la Grange Batelière. Vous pourrez profiter de votre balade pour visiter le célèbre Musée Grévin, situé dans le coude du passage, ou pour flâner devant les vitrines des magasins qu’il abrite. Enfin, n’hésitez pas à entrer dans la célèbre « Tour des délices » pour un thé ou une petite friandise !

Pour plus d’informations, visitez www.passagesetgaleries.org

10ème arrondissementDepuis le 7 mars 2002, le célèbre passage Passage Brady est inscrit au titre des monuments historiques. Construit en 1828, il reliait originellement la rue du Faubourg St Denis et la rue du Faubourg St Martin. Le boulevard de Strasbourg le divise aujourd’hui en deux parties : la partie couverte - où sont établis de nombreux restaurants indo-pakistanais, mauriciens et réunionnais - et la partie découverte, caractérisée par la présence de loueurs de costumes de fêtes.

2ème arrondissementC’est dans le 2ème arrondissement que vous découvrirez le passage le plus long de Paris (370m), le Passage du Caire. Sa devanture date de la campagne de Napoléon en Egypte en 1798, à l’occasion de laquelle le passage a été construit. Situé au cœur du quartier du Sentier, il a tour à tour abrité imprimeurs, lithographes et grossistes du prêt-à-porter et est essentiellement occupé par des commerces de confection de tissus aujourd’hui.

C’est une rivalité historique qui oppose la luxueuse Galerie Colbert, construite sur l’emplacement de l’ancien l’hôtel Colbert construit par Le Vau, et la Galerie Vivienne, inaugurées en 1826. La première n’arrivera jamais à détrôner sa voisine, très prisée des commerçants et qui héberge encore aujourd’hui de nombreuses boutiques.

Le Passage Choiseul, construit en 1829, est pour sa part l’un des seuls passages qui n’a pratiquement pas changé depuis sa création. Quant au Passage du Bourg l’Abbé, construit en 1828, il a été largement amputé lors de la construction du Boulevard Sébastopol et n’a conservé que très peu d’activité depuis. Son entrée est encadrée par deux statues de femmes sculptées par Aimé Millet qui symbolisent le commerce et l’industrie.

Les cElEbres passages couverts de ParisLes passages couverts parisiens sont des galeries percées au travers des immeubles couverts par une verrière, offrant ainsi un éclairage d’une luminosité particulière. Leur architecture unique, à partir de matériaux qu’on ne voit plus aujourd’hui, fait son apparition dès la fin du XVIIème siècle. Ces passages deviennent très rapidement une commodité de transport pour les piétons, donnant ainsi aux propriétaires l’idée d’y installer des commerces. Ces derniers rencontrent un véritable succès lorsque les parisiennes se rendent compte qu’elles peuvent y faire leurs courses à l’abri de la pluie !

On ne dénombre plus aujourd’hui que 24 passages couverts alors qu’on en comptait 160 en 1850. La majorité de ces galeries se situe sur la rive droite de la Seine et principalement près des Grands Boulevards, des zones particulièrement prisées de la clientèle aisée de l’époque.

Alors pour découvrir ou redécouvrir une facette du patrimoine historique de notre belle capitale, suivez le guide !

Notre coup de cœur : la Galerie Vivienne Pas étonnant qu’elle attire les foules depuis près de 200 ans ! La Galerie Vivienne est une merveille architecturale qu’il est bon de traverser ; la lumière, le décor, les commerces : tout vous invite à délaisser l’agitation extérieure pour quelques minutes - voire quelques heures ! Alors si vous cherchez un havre de paix en plein cœur de Paris, rendez-vous rue de Petits Champs ou rue de Vivienne pour déguster un café chez A priori Thé, vous cultiver à la Librairie ancienne & moderne ou acheter des petits cadeaux chez Abis. Si vous y déjeunez, direction le Traiteur et salon de thé du Vivienne pour des recettes originales aux prix très abordables. www.galerie-vivienne.com

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Poulet aux tomates séchées

Enlevez les pépins du poivron vert et

coupez-le en dés.

Pelez le concombre et découpez-le en

rondelles. Mettez les tomates, le poivron

vert, le concombre, l’oignon et le pain

de mie dans un robot (vous pouvez

également utiliser un blender ou un

moulin) et mixez assez longtemps pour

obtenir un mélange homogène.

Ajoutez-y l’ail, le vinaigre de vin rouge et

l’huile d’olive.

Salez et poivrez selon votre goût.

Placez le mélange au frigo pendant 2

heures.Répartissez le gazpacho dans 6 verrines.

Donnez un tour de moulin à poivre.

Décorez avec quelques feuilles de basilic

et servez bien frais.

1kg de tomates

1 poivron vert

1/2 concombre

2 cuil. à soupe d’oignons râpés

2 tranches de pain de mie

3 gousses d’ail, coupées très finement

3 cuil. à soupe de vinaigre de vin

4 cuil. à soupe d’huile olive

sel, poivre

Gazpacho fait maison

Un dîner plus que parfait

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Epluchez l’ananas et coupez-le en quatre (dans la longueur). Retirez le trognon (le morceau dur). Tranchez finement chaque quart en rondelles et disposez-les dans un récipient. Avec un mortier et un pilon (ou avec un verre dans un récipient) écrasez toutes les feuilles de menthe et le sucre. Ca va sentir très bon! Soupoudrez l’ananas avec le sucre et la menthe. Mélangez bien.

Répartissez l’ananas dans des petits bols et servez avec le yaourt à la grecque ou le fromage blanc.

750g de filets de poulet290g tomates séchées

400 ml de crème fraîchePour la marinade :

2 cuil. à café de piment doux4 cuil. à soupe de jus de citron

2 cuil. à café d’estragon2 cuil. à soupe d’huile olive

3 poignées de roquette

1 ananas mûr5 cuil.à soupe de sucre cristal

1 poignée de feuilles de menthe1 yaourt à la grecque ou fromage blanc

(pour servir à la fin)

Poulet aux tomates séchées

Ananas à la menthe

Coupez les filets de poulet en lamellesMettez-les dans un récipient et mélangez-les avec la marinade. Laissez le mélange reposer 30 min. Coupez les tomates séchées en rondelles et mettez-les de côté.

Chauffez une poêle. Faites cuire le poulet pendant 10 min jusqu’a ce que les morceaux de poulet soient bien dorés. Retirez les lamelles de poulet. Ajoutez les tomates séchées et un petit peu d’huile

olive dans la poêle. Faites cuire pendant 3 min. Rajoutez le poulet avec la crème fraîche, Remuez délicatement et laissez sur le feu jusqu’a ce que la sauce soit bien chaude. Servez avec le riz. Décorez avec une poignée de roquette.

Un dîner plus que parfait

APPETIT AMERICAIN

Envie d’un sandwich épais comme un bottin ?

Schwartz’s deli est l’endroit idéal. A tenter pour

les gros estomacs : le fameux sandwich spécial

au pastrami et terminer avec LE cheesecake New

York. Une sélection de plats très « NY style » est

aussi proposée à la carte. Question ambiance, il

est possible de s’installer dans une petite pièce

à part qui fait également office de cave à vin.

Pas besoin de réserver pour s’y installer : c’est la

règle des premiers arrivés. En fin si vous voulez

prolonger l’expérience culinaire à la maison,

il est possible de repartir avec un petit sac de

charcuterie « kosher » sous le bras - disponibles à

la coupe dans le restaurant.

Schwartz’s Deli

16 rue des Ecouffes 75004 Paris

www.schwartzsdeli.fr

GROS MANGEUR

Les petits budgets ça signifie parfois se contenter

d’une petite boîte de thon avec des pâtes. Mais

ça peut aussi être des salades géantes, des plats

“chargés” servis sur de grandes assiettes, des

fontaines de coca et des desserts énormes.

Vous l’avez compris, Canteen Bus c’est ça : des

plats sérieux. La carte propose une variété de

plats portant les noms de grands classiques du

cinéma et pour parfaire l’ambiance, les murs sont

couverts de photos d’acteurs qui ont incarné vos

personnages mythiques favoris.

Après un plat démesuré, la montagne de

profiteroles est un monument à gravir si les

autres desserts proposés ne vous paraissent pas

à la hauteur.

Canteen Bus

81 rue d’Alésia 75014 Paris

www.canteenbus.com

TOUTES LA VAPEUR !

Un restaurant qui pense à notre ligne ! La cuisine

est vapeur et sans graisses, à base de légumes et

de viandes qui conservent toutes leurs saveurs et

leurs vitamines.

Faites votre choix entre différents paniers cuits à

la demande, de l’entrée jusqu’au dessert.

Formules à partir de 17 euros.

Ouvert 7 jours sur 7 de 11h à 23h

A toutes Vapeurs

2 rue de l'Echelle 75001 Paris

ou

7 rue de l’Isly 75008 Paris

Tel. 01 44 90 95 75

www.atoutesvapeurs.com

DINER EN FAMILLE

Enfin un restaurant adapté pour les parents et

les enfants ! Pendant que les parents dînent

tranquillement, les enfants sont accueillis dans

un espace spécialement réservé pour eux (salle de

lecture, jeux intérieurs…) ou des transats, chaises

hautes, petites tables et chaises sont mises à

disposition pour les plus petits. Des ateliers pour

les 3-8 ans ont lieu les mercredis, et des concerts

de jazz ou de musique classique sont proposés le

samedi de 18h à 19h.

Ouvert du mercredi au dimanche, de 10h30 à 18h,

jusqu’à 21 h le samedi ; réservation conseillée le

week-end.

Les 400 coups

12 bis rue de la Villette

75019 Paris

www.les400coups.eu

SPORT ENTRE AMIS

Pour une soirée sportive avec les potes, The

Moose offre une ambiance très canadienne.

De la musique, mais surtout des écrans derrière

les bars et un écran géant au fond de la salle

pour suivre les matchs des sports selon les

saisons : rugby, american football, hockey sur

glace…

Le menu propose des plats typiquement nord

américains et les prix restent raisonnables.

The Moose

16 rue de quatre vents 75006 Paris / Métro

Odéon / www.mooseparis.com

6 BONNES IDÉES POUR SORTIR MANGER À PARIS

LES FEMMES ET LES POUSSETTES D'ABORD !

Parce que Paris est une ville hétéroclite, une vraie,

voici en fin un endroit totalement conçu pour

vous les mamans et votre progéniture. Dans le

9ème arrondissement, Le Poussette Café vous

accueille : garage à poussettes, aires de jeux et tout

pleins d’ateliers prévus pour les futures mamans,

les mamans et leurs joyeux bambins. Tout y est

pensé depuis les chaises hautes ou les menus

pour les tout petits pour que vous puissiez profiter

d’un café, d’un déjeuner ou d’un goûter l’esprit

tranquille

Le Poussette Café

6 rue Pierre Sémard 75009 Paris

www.lepoussettecafe.com

Ouvert du mardi au samedi de 10h30 à 18h30

POUR LES MECS

POUR LES MECS POUR LES FAMILLES

POUR LES FAMILLES

POUR LES FILLES

POUR LES MECS

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OÙ TROUVER SON BONHEURPOUR UN MOMENT ENTRE AMIS !

UNE TERRASSE DE LUXE

L’Hôtel Crillon est un des palaces les plus luxueux de Paris. En traversant le salon de thé décoré dans un style Louis XVI, vous découvri-rez une terrasse agréable et paisible où boire un cocktail aux arômes délicats. A réserver pour un moment exceptionnel ou pour une belle surprise !

Hôtel Crillon, 10 place de la Concorde, M° Concorde

LE PLUS BEAU STARBUCKS

Si vous voulez passer un temps inoubliable en-tre amis mais que vos finances ne sont pas au beau fxe, courrez au Starbucks Opéra ! Vous au-rez l’impression de boire votre frapuccino dans un musée. La décoration est juste magnifque !

Starbucks Opéra, 26 avenue de l’Opéra, M° Opéra

LE MEILLEUR CHOCOLAT CHAUD

Angelina est le plus célèbre salon de thé de la

capitale. Dans une architecture qui rappelle les belles années de Paris, vous aurez l’honneur de goûter le plus intense, le plus onctueux et le plus délicieux chocolat chaud de toute votre vie (6.90€). Et pour ajouter au rêve, le chocolat est servi avec une petite coupe de crème fouettée : un vrai régal !

Angelina,

226 rue de Rivoli, M° Tuileries

POUR SE CACHER

Le Musée de la Vie Romantique se cache au

fond d’une petite allée. Après une visite gratuite et une découverte des formidables toiles d’Ary Scheffer, pourquoi ne pas se prélasser au milieu des roses et des lilas dans un salon de thé unique en son genre ? Vous pourrez accompagner votre boisson (envi-ron 3.5€) d’un des meilleurs cakes de la capitale (environ 5€). Un havre de paix connu de peu de monde !

Le Musée de la Vie Romantique, 16 rue Chaptal, M° Pigalle

STYLE LOUNGE

Le Comptoir de Madame Tomate est LE lieu pour avoir des discussions entre amis. L’ambiance est détendue, la musique agréable et les serveurs sympas. Les prix sont très raison-nables : café à 2.20€, et cocktails de 4 à 5€ pendant le Happy Hour de 17h à 21h ! Le petit plus : des chips, cacahuètes et autres petites bouchées en libre service à volonté avec toute boisson commandée.

Le comptoir de Madame Tomate, 58 boulevard Sébastopol, M° Etienne Marcel ou Rambuteau

POUR UNE AMBIANCE MUSICALE ET COSY

Au Novotel des Halles, vous allez adorer boire

thé, chocolat chaud ou cocktail au son du piano de 19h00 à 20h30. L’endroit est calme et il n’y a jamais trop de monde. Idéal pour un peu d’intimité. Le petit plus : les prix sont les mêmes que dans n’importe quel café parisien !

Hôtel Novotel, Place Marguerite de Navarre, M° Chatelet ou Les Halles

8

A 31 ans, Heath a tout ce dont il avait rêvé : il a un travail intéressant, il vit dans la ville de ses rêves, est marié à une femme qu’il aime et ensemble ils viennent d’avoir un enfant. Mais est-ce une raison pour s’arrêter là ?

Interview.

Alors tout d’abord, qu’est-ce qu’un australien peut bien venir faire à Paris ?C’est un rêve que j’avais dans mon cœur depuis l’âge de 17 ans. C’était la France, et Paris, je ne savais pas vraiment pourquoi. Après l’université, je suis allé à Londres, le but étant toujours d’aller à Paris par la suite. Mais, malheureuse-ment, à Londres j’ai trouvé une vie sympa qui m’a emmené assez loin de mes rêves.J’ai du rentrer en Australie pour faire le point, et après deux ans à Sidney où j’avais trouvé une petite église où je m’étais fait baptiser, ce rêve de la France est revenu. Mais je ne savais pas forcément que c’était en rapport avec Dieu. Finalement je ne pouvais plus résister, alors j’ai décidé :

« je lâche tout, je pars en France ».

Tu étais bien installé à Sidney ?Oui, je travaillais pour Sanofi en Australie, et il y avait une opportunité de venir en France mais ce n’était pas certain. Donc quand je suis arrivé ici j’ai passé un an à apprendre le français, à faire les vendanges, à travailler dans une station de ski, et surtout j’ai rencontré ma femme Sonia à Lyon !J’ai passé beaucoup d’entretiens d’embauche, et la réponse était toujours négative. Donc après une année j’ai cru qu’il fallait que je rentre en Australie. Ça me faisait mal au cœur, surtout que cela voulait dire quitter Sonia. J’ai même acheté mon billet d’avion pour rentrer en Australie, et deux semaines avant la date du départ j’ai eu la réponse positive.Et c’était Paris ?C’était Paris.Est-ce que l’adaptation en France a été facile, du fait que ça avait été ton rêve depuis si longtemps ?L’adaptation à Paris a été assez facile parce que j’avais passé un an à Lyon donc je comprenais déjà un peu la culture française……qui est très différente de la culture australienne !Oui, c’est très différent. Il y a des choses que je ne comprends toujours pas aujourd’hui ! Mais vu que c’était un rêve assez fort et que j’avais l’impression de le vivre, je me suis facilement adapté. Je ne suis pas du genre à regarder toutes les différences et à dire « c’est mieux en Australie ». En fait c’est plutôt l’inverse, je trouve que c’est mieux en France !Le fait de rencontrer Sonia a du t’aider à t’adapter, ou est-ce que c’était plus difficile de vous retrouver tous les deux dans un pays étranger ?Comme je l’ai dit le jour de mon mariage, il y avait tel-lement d’obstacles entre Sonia et moi : nous étions à Lyon, sans travail tous les deux, elle devait rentrer en Espagne, je devais rentrer en Australie, ses parents ne voulaient pas entendre parler de l’Australien… Et petit à petit, les obstacles ont disparu. C’était vrai-ment des petits miracles. C’est pour ça que je savais que c’était Dieu, que c’était vraiment la fille pour moi.

« J’aime mon travail,

mais est-ce qu’à la fin de

ma vie je veux pouvoir dire

« j’ai fait gagner plein

d’argent à une

entreprise »

ou est-ce que j’ai envie de

dire « avec Dieu j’ai aidé à

changer des vies » ? »

Est-ce que Dieu a toujours joué un grand rôle dans ta vie ?Je suis né dans une famille chrétienne. On est allés à l’église jusqu’à mes 12 ans, puis je ne sais pas vraiment pourquoi, on a arrêté. J’étais super content, parce qu’à 12 ans la dernière chose que tu veux faire c’est aller à l’église, sauf à Hillsong ! Et c’est vers l’âge de 19 ans que j’ai vraiment commencé à ressentir le besoin de vivre une relation avec Dieu. Malheureusement, à Londres j’ai trouvé cette vie de fête, de boites de nuit et de pubs qui m’a amené très loin de Dieu, jusqu’à tomber dans une grave dépres-sion. Je crois que c’est à ce moment là que Dieu m’a clairement dit : « si tu veux vivre ta vie de cette façon, vas-y, je ne t’en empêcherai pas ». Mais bien entendu, Il m’a donné une porte de sortie, qui était de rentrer en Australie. Heureusement, je l’ai prise. Depuis, ma vie n’a fait que s’améliorer. Mais j’ai d’abord du tomber très bas.En quoi est-ce qu’aller à l’église influence ta vie de tous les jours ? Ma vie est complètement différente, parce que j’ai un but. Sans ce but je serais vide ! Avant, peut-être que je servais l’église pour essayer de gagner l’amour de Dieu ou pour être accepté par Lui. Mais depuis que j’ai vraiment compris que même si je ne le faisais pas ça ne changerait rien - que j’ai envie de le faire - je le fais simplement pour Lui redonner quelque chose parce qu’Il a donné tellement pour nous. Donc c’est tout pour moi de venir à l’église, de servir, d’aider les autres à grandir. C’est ça également le but : quand tu es à peu près stable, tu peux te concentrer à aider les autres, par exemple dans le cadre des « Men’s Breakfast » organisés avec Jaco. Certains ont vécu des choses difficiles et je peux es-sayer de les encourager et de les aider à grandir. En fait c’est ça qui compte.

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ans. Nos leaders Camille et Brendan ont cette vision et veulent la soutenir, et moi je veux la voir se développer.Dieu a un plan pour cette ville, et pour moi ça passe beaucoup par les pauvres. Il y a beaucoup de pauvreté à Paris, même si la France est un pays très social. Et si quelqu’un bénéficie de l’action sociale sans subir un changement profond, il va rester dans sa situation.Ce qui nous amène à City Care. Pourrais-tu nous expliquer un peu ce que c’est ?C’est le nom de notre équipe, mais j’aime bien dire simplement que c’est le coté « social » de notre église car je n’aime pas les étiquettes. Notre église met de la valeur sur l’action sociale et City Care est l’équipe qui dirige cette action, mais ce n’est pas seulement City Care qui agit, c’est toute l’église.Concrètement, quels sont les projets ?Pour l’instant nous sommes dans le 13ème, alors la straté-gie est « Que peut-on faire pour impacter notre quartier ? » Il y a beaucoup d’associations dans le 13ème, et le but est d’influencer notre quartier en nous construisant une bonne réputation pour nous amener plus loin. Dans deux ans, j’aimerais que la Mairie du 13ème puisse se dire « On peut peut-être faire confiance à cette église qui aide nos associations ». « Être fidèle dans les petites choses… »Exactement. Nous aidons déjà un foyer de femmes, avec des petits ateliers le week-end et des donations de vêtements. J’ai un RDV avec une autre associa-tion du 13ème, avec laquelle j’espère qu’on pourra commencer à travailler dans le même esprit. Nous aidons également les Restos du cœur depuis 3 mois, avec un petit groupe qui « ma-raude » dans une camionnette la nuit pour distribuer des repas chauds aux SDFs.

J’aime mon travail, mais est-ce qu’à la fin de ma vie je veux pouvoir dire « j’ai fait gagner plein d’argent à une entreprise » ou est-ce que j’ai envie de dire « avec Dieu j’ai aidé à changer des vies » ? Entre les deux il n’y a pas photo : pour moi les vies sont plus importantes.

L’église, c’est également une communauté. Des amis, une famille. On est plus forts ensemble pour affronter la vie.L’église, c’est se sentir aimé même si on vient de l’autre bout du monde, qu’on est là sans sa famille, sans per-sonne. Sonia aussi a quitté l’Espagne, mais on se sent aimés ici, et les gens prennent soin de nous. Dieu est tout pour moi, donc Son Eglise est tout pour moi.Tu as un travail intéressant, une famille, une église, mais qu’est-ce qui te passionne vraiment dans la vie ?Mon rêve c’était de venir vivre en France, et je l’ai réali-sé à 25 ans. Dieu m’a donné une famille, un super bou-lot et tout le reste mais je ne vais pas arrêter de rêver après ça ! « Merci Dieu, on va en rester là » : imagine le gâchis ! Non, quand je vais me retrouver devant Lui à la fin je veux être comme le type avec les cinq talents : « bon travail, fidèle serviteur ». Je ne veux pas entendre : « tu n’as rien fait avec ce que je t’ai donné ». Et ça ne vient pas d’un simple désir de vouloir plaire à Dieu, car je sais que je le fais déjà.Le rêve maintenant pour moi, c’est tout ce qui est action sociale. Je crois que nous vivons dans une des villes les plus frappées par les inégalités sociales, et je crois que nous avons une église qui peut réagir dès maintenant à son niveau, et qui pourra réagir encore mieux dans 10

« Pour moi c’est le premier pas :

montrer que nous sommes une

église du quartier qui travaille avec

les associations du quartier. »

Pour moi c’est le premier pas : montrer que nous som-mes une église du quartier qui travaille avec les associa-tions du quartier. L’année dernière et les années d’avant nous étions sortis dans la rue distribuer des sacs de couchage et des sous-vêtements, et c’était très bien mais finalement nous ne sommes pas des professionnels ! Pour la plupart, nous sommes des gens sans expérience qui ont envie de faire quelque chose mais ne savent pas forcément le faire. D’où notre stratégie d’aider les associations au début, pour se bâtir une réputation et pour se former. Aider les experts plutôt que faire n’importe quoi dans notre coin, trouver d’autres partenariats pour donner plus d’opportunités aux gens de l’église d’aider, et bien s’organiser avec des gens fidèles.Le but de City Care c’est d’aimer et de prendre soin des gens dans notre ville !Comment as-tu commencé à t’occuper de City Care ? En fait, j’ai commencé à servir à Hillsong comme Host il y a quatre ans. Après j’ai fait partie de l’équipe de Dis-covery, puis j’ai été leader d’un Connect Group, et mille autres choses encore. Toutes ces choses m’ont fait gran-dir : servir comme Host à mon arrivée (même si je crois que j’étais un très mauvais Host !), faire partie de l’équipe des nouveaux chrétiens pour féliciter ceux qui ont levé la main, etc. Chaque étape de service m’a fait grandir et développer de nouvelles capacités.D’autre part, j’avais cette passion d’aider les gens pau-vres, donc pendant deux ans environ j’ai aidé les Restos du cœur à distribuer de la nourriture dans les péniches, les maraudes et les camions. Je pense que Brendan a vu tout ça, et il m’a proposé de prendre cette place.C’est un challenge pour tout le monde : comment arrives-tu à concilier ta vie de famille, ta vie professionnelle, ta vie d’église, et ta relation person-nelle avec Dieu ?C’est vraiment la chose la plus difficile pour moi. La seule façon que j’ai trouvé pour le faire, c’est demander au Saint Esprit chaque jour si mes priorités sont dans le bon ordre. Et il me corrige souvent ! Mais c’est vraiment en Lui demandant qu’Il me donne la sagesse. Parce qu’au bout du compte, Dieu veut que je sois un bon père, un bon mari, que je sois fidèle dans mon travail, que je sois un leader dans l’église, et que j’ai une relation avec Lui. Il est capable de gérer ça, moi je ne

suis pas capable, alors je demande ! Et ça marche ! Tu nous as dit que ton rêve était d’avoir un impact sur la pauvreté à Paris. Ton rêve pour les pro-chaines 5 ou 10 années, c’est ça ?J’aimerais voir les gens qui sont en difficulté rencontrer Jésus grâce aux actions de notre église, et en même temps donner aux gens de l’église une opportunité d’aider. Je crois qu’il y a beaucoup de gens qui veulent aider mais ne savent pas forcément comment faire. Je veux construire quelque chose de bien pour qu’ils puis-sent faire des choses. Leur donner l’opportunité, et voir ce changement arriver. C’est ça mon rêve de 5-10 ans.Après je suis sur que Dieu a plus de choses prévues mais Il ne m’en a pas encore parlé.

Meilleure destination de vacances : Costa Brava, Espagne

Football ou Rugby : Basketball !

iPhone ou BB : iPhone

Endroit préféré à Paris : Trocadéro, là où j’ai demandé Sonia en mariage

Celui que tu aimes le moins : Châtelet

Dernière chanson écoutée sur ton iPod : \ACDC, You shook me all night long

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Pour les originaux

Avis à tous les amateurs de pommes, Pomze est un lieu où la pomme est une véritable passion! Plus de 30 cuvées de cidre et des cocktails originaux vous attendent au bar, l’épicerie vous propose la pomme sous toutes ses formes et enfin le restaurant et le salon de thé la déclinent aussi bien dans des recettes salées que sucrées, dans une atmosphère chaleureuse et sympathique.Une adresse vraiment originale et des produits de qualité : Pomze vous emmène dans un véritable voyage gourmand !Pomze109, boulevard Haussmann 75008 Paris http://www.pomze.com/

Pour les filles

Ciel mon Paris !Voilà LE site internet qu’il vous faut pour découvrir Paris sous un nouveau jour et être au courant des bons plans en matière de shopping, visites, maquillages, cadeaux et bien d’autres choses encore. Inscrivez-vous et recevez 2 fois par semaine dans votre boite mail une petite e-douceur parisienne à déguster avec votre café. Une adresse secrète ou une idée insolite : restos atypiques, créatrices qui montent, idées design, invitations pour les meilleures ventes privées, expos confidentielles…MylittleParishttp://www.mylittleparis.com

Pour les (petits et grands) enfants

En avant les histoires !Sur une surface de 2000 m2, le parc Playmobil vous propose d’entrer dans les décors géants de plusieurs univers différents inspirés des thèmes phare de la marque - la ferme, la ville, les chevaliers... - dont une spécialement réservée aux enfants de 18 à 36 mois. Des salles de jeu géantes où chaque enfant pourra inventer des histoires à l’infini avec les milliers de playmobil mis à sa disposition. A conseiller pour une journée de jeux inoubliable !

Playmobil FunparkOuvert du lundi au dimanche de 10h à 19h 22/24 allée des JachèresZA «La Cerisaie» 94260 Fresnes 01 49 84 94 44Tarif d’entrée : 2€, gratuit pour les moins de 3 ans Aménagement pour les personnes handicapées.

Pour les gourmands

Le musée du chocolat Depuis le temps que les gourmands l’attendaient : Paris, à l’image de Biarritz, Strasbourg, Bruxelles ou Bruges, a enfin son musée du chocolat ! Sur trois étages, dans un cadre original (surtout au sous-sol avec des fontaines et vasques d’un ancien spa) et ludique adapté à tous les âges, le musée du chocolat retrace toute l’histoire du chocolat, depuis les Olmèques jusqu’à aujourd’hui. Pour les plus gourmands, il existe un espace de dégustation et de démonstration tenu par un employé après la visite du musée et une petite boutique ouverte en permanence en libre accès.

Choco Story, le musée gourmand du chocolat 28, bd Bonne Nouvelle75010 ParisTél: 01 42 29 68 60Ouvert tous les jours de 10 à 18 hEntrée : 9 € pour les adultes, gratuit pour les moins de 6 answww.museeduchocolat.fr

Pour les mecs

En plein cœur du quartier Haussmann, Citadium est l’alternative pour trouver son style si le Printemps est trop habillé pour vous. Devenu un concept store, les articles de sport ont laissé la place au style « street ». Suivant (ou dictant) les tendances cette adresse propose de nombreuses marques, pas forcément au dessus de vos moyens, il y en a pour tous les budgets - on pense notamment à Pull and Bear (du H&M mais en mieux). Cet endroit unique offre aussi des thématiques mensuelles et propose des collections très ciblées en mettant par exemple une marque en avant ou en proposant des modèles en exclusivité. Vous l’avez compris, Citadium c’est pour vous habiller le week-end et tous les jours de la semaine.

Citadium50-56 rue Caumartin75009 Pariswww.citadium.fr

DES BONNES ADRESSES POUR TOUS LES GOUTS !

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Si j’étais…

Leigh – professeur d’anglais…un super-héros : Mrs Incredible (Mme Indestructible)…un magasin : une librairie…une heure de la journée : 6h …une station de métro : Buttes Chaumont…un parfum de glace : Caramel au beurre salé…une chanson : Better together de Jack Johnson

Helen - graphiste…un magasin : La Grande Epicerie…une heure de la journée : 22h…une station de métro : Flinders Street Station…un parfum de glace : Café…une destination de vacances : le Chili…une chanson : Whats a girl to do des Bat for Lashes

kasey - artiste…un magazine : je parlerais d’artistes pas encore connus du monde entier…un super héros : je pourrais créer des choses en y pensant…une heure de la journée : le coucher du soleil…un parfum de glace : fleur de cerisier…un personnage de Friends : Ross…une chanson : un sifflotement

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Anaïs - hôtesse d’accueil…un magazine : Biba…une station de métro : Olympiades…un parfum de glace : la vermonster de Ben & Jerry’s…une destination de vacances : la Thailande ou les Highlands…un personnage de Friends : Marcel…une chanson : Dreams are my reality de Richard Sanderson

Adeline - inspecteur sanitaire …un magasin : Kookaï…un parfum de glace : Litchi…une destination de vacances : l’Afrique du Sud…une terrasse de café : celle du Café de Flore…un personnage de Friends : Chandler …une chanson : Desert song de Brooke Fraser

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Emmanuelle - assistante & photographe…un magazine : Cosmo…un super-héros : Tornade …un magasin : Pull & Bear…une heure de la journée : 15h…un parfum de glace : Nutella…une destination de vacances : l’Italie…une chanson : Don’t worry baby des Beach Boys

Anne - étudiante en management…un magasin : urban outfitters…une heure de la journée : 19h…un parfum de glace : Banoffee pie…une destination de vacances : la Corse !…un personnage de Friends : Ross…une chanson : Something good can work de Two Door Cinema Club

Line - étudiante en dessin d’illustration et bande dessinée…un magazine : Marie-Claire idées …un super-héros : Wonder-Woman…une heure de la journée : Minuit…une station de métro : Lamarck caulaincourt …une destination de vacances : Le Laos…un personnage de Friends : Sans hésiter, Phoebe !…une chanson : Somewhere over the rainbow

Estelle - étudiante en photographie…un super-héros : Supergirl…un magasin : Sessùn - casual avec une touche de rock…un parfum de glace : Mangue…une destination de vacances : Tahiti…une terrasse de café : Le Pause Café, rue de Charonne dans le 11ème

www.hillsong.fr