Havas Edition - Publications Media Poche - LA ......du Bilan et perspectives 2016 d’Havas Media...

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MPA Nº27 - mars 2016 1 MP ACTUALITÉS LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISE MEDIA DU GROUPE HAVAS Nº27 MARS 2016 ness, les plus fortes capitalisations boursières, les grandes innovations qui bouleversent notre économie, les GAFA (Google, Apple, Face- book, Amazon) ou les NATU (Net- flix, Airbnb, Tesla et Uber) sont tous des succès UX. C’est-à-dire des ex- périences formidables, spontanées, qui mettent en relation l’être Comment créer de la valeur ? Comment faire vivre au consommateur une user experience unique avec un produit, un service ou un media ? Tel est le fil rouge du Bilan et perspectives 2016 d’Havas Media Group. Nadine Medjeber, directrice Études Consumer & Media Insights, CSA Data Consulting, et Sébastien Emeriau, directeur du Planning stratégique et de l’Innovation d’Havas Media, nous en détaillent les grandes lignes. L’UX – expérience utilisateur – est une notion qui existe depuis longtemps dans le digital. Pourquoi en faire aujourd’hui un axe fondamental de la communication media ? Sébastien Emeriau : Nous sommes partis d’un constat. Il suffit de regar- der les plus grandes réussites busi- Tendances L’UX, nouvelle clé de lecture des media DES POINTS DE CONTACT 100 % UTILES AMPLIFICATION BUSINESS AUGMENTATION DE LA LIFE TIME VALUE REPRODUCTION INTERDITE DIT IT D Nº27 Nº27 MARS MARS es plus fortes c es plus fortes c sières, les grand sières, les grand i bouleversent i bouleversent es GAFA (Go es GAFA (Go book, Amazon book, Amazon flix, Airbnb, flix, Airbnb, des succè des succè périence périence qui m qui m e e roup. roup. r & Media r & Media n Emeriau, n Emeriau, nnovation nnovation randes ligne randes ligne es es gar- gar- busi- busi- O REPRO REP

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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS

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ness, les plus fortes capitalisations boursières, les grandes innovations qui bouleversent notre économie, les GAFA (Google, Apple, Face-book, Amazon) ou les NATU (Net-fl ix, Airbnb, Tesla et Uber) sont tous des succès UX. C’est-à-dire des ex-périences formidables, spontanées, qui mettent en relation l’être

Comment créer de la valeur ? Comment faire vivre au consommateur une user experience unique avec un produit, un service ou un media ? Tel est le fi l rouge du Bilan et perspectives 2016 d’Havas Media Group. Nadine Medjeber, directrice Études Consumer & Media Insights, CSA Data Consulting, et Sébastien Emeriau, directeur du Planning stratégique et de l’Innovation d’Havas Media, nous en détaillent les grandes lignes.

L’UX – expérience utilisateur – est une notion qui existe depuis longtemps dans le digital. Pourquoi en faire aujourd’hui un axe fondamental de la communication media ?

Sébastien Emeriau : Nous sommes partis d’un constat. Il su� t de regar-der les plus grandes réussites busi-

TendancesL’UX, nouvelle cléde lecture des media

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Nous sommes partis d’un constat. Il su� t de regar-

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humain et un produit ou un ser-vice de façon e� cace et fl uide, qui facilitent la vie des gens. Autrefois, c’était le design, l’interface homme-objet, puis l’interface homme-ma-chine. Avec le développement du digital, des biens immatériels et la sophistication des besoins, on appelle ça l’«�user experience�». Être UX, penser UX, c’est se mettre dans la peau de son futur utilisa-teur et anticiper tous ses besoins au regard de ses capacités et de ses habitudes (animales, comportemen-tales, culturelles, morales…) pour concevoir un produit ou un service. Une grosse partie de l’appréciation que les gens ont des marques vient

de l’UX, ça devient crucial dans la grille de lecture du succès des marques. Or, pour beaucoup de marques de grande consommation, la première user experience est la communication publicitaire, mais ce n’est pas le pro-duit lui-même. Il n’est donc plus possible de penser la communication sans une réfl exion UX sur l’expérience globale du consommateur, c’est pourquoi il nous a sem-blé important de regarder le monde des media et de l’entertainment sous cet angle.

Qu’appelez-vous une communication UX ?Nadine Medjeber : L’usage croissant des adblockers nous enjoint de trouver rapidement une réponse à cette

question. Car l’interruption n’est pas UX, la vente for-cée non plus. Selon les chi� res mesurés par CSA Re-search en 2015, 24�% d’internautes sont utilisateurs d’adblocks et 15�% des internautes déclarent avoir l’intention d’en installer. Ce verbatim d’un inter-

viewé résume bien la situation : «�Sur certains sites, pour regarder une vidéo de soixante secondes, il y a 1’30’’ de publicité obligatoire avant.�» Le phénomène est su� samment important pour que l’IAB ait fait publi-quement son mea-culpa en octobre dernier en se fi xant un objectif ambitieux : redonner du plaisir à l’expé-rience d’Internet, limiter la surexposition tout en assu-rant la sécurité de l’utilisateur. Il faut dire que l’enjeu est de taille, puisque le manque à gagner estimé pour les acteurs digitaux est de 41 milliards de dollars en 2016, le double de l’estimation 2015. Il est donc urgent de revoir les pratiques !

Sébastien Emeriau : Ce chi� re est e� rayant, car il se traduit en argent, mais voyons-le d’abord comme le symptôme d’une mauvaise UX, de pollution digitale. Nous passons des heures à développer les sites les plus ergonomiques, les plus fl uides, agréables, et nous infl i-geons des choses à nos visiteurs lecteurs que nous ne supportons pas nous-mêmes. C’est même contradic-toire avec le contrat tacite passé avec l’audience. Sur les media OFF, la présence de la publicité est codifi ée, on sait quand elle va arriver, combien de temps elle va durer, la forme qu’elle aura, notre esprit l’a intégré. Sur les media ON, on a expliqué aux gens que tout est interactif, que chacun fait ce qu’il veut, va où il veut, regarde ce qu’il veut, le mythe de la liberté. Et dans le même temps, les publicités n’arrivent pas toujours au même moment, sous la même forme, il n’y a aucune règle tacite ou aucun code établi, ce qui donne envie d’entrer en ré-sistance. Raisonner UX en communication, c’est partir de l’insight, mais c’est aussi intégrer la compréhension du consumer journey ou du purchase funnel.

Certains media sont-ils plus avancés, plus innovants que d’autres dans la prise en compte de l’expérience utilisateur ?

Sébastien Emeriau : Les media sont en permanence en réfl exion UX car ils sont confrontés à des évolutions qui vont au-delà de leur champ d’ac-tion historique. Prenons l’exemple du publishing et de l’audio, deux UX bien di� érentes. Il y a d’un côté une UX à la fois exigeante – il faut faire l’e� ort d’acheter la presse, de se concentrer pour la lire – et engageante, sur des idées pour la PQN ou des passions pour la presse magazine. Et de l’autre, une UX de l’accompagnement, plus fa-cile, qui se glisse dans nos vies et nos oreilles en nous laissant la liberté de faire ce que l’on veut mais qui marque peut-être moins. Mais ces deux UX sont confrontées au règne croissant de

PENSER UX C'EST SE METTRE DANS LA PEAU DE SON FUTUR UTILISATEUR ET ANTICIPER TOUS SES BESOINS AU REGARD DE SES CAPACITéS ET DE SES HABITUDES

—Nadine Medjeber

Directrice Études Consumer & Media Insights,CSA Data Consulting

—Sébastien EmeriauDirecteur du Planning stratégique et de l’Innovation

L’EXPERT HAVAS

Sébastien EmeriauDirecteur du Planning stratégique et de l’InnovationTél. : +33 0(1) 46 93 16 [email protected]

Nadine MedjeberDirectrice Études Consumer & Media Insights, CSA Data ConsultingTél. : +33 0(1) 46 93 33 [email protected]

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c’est le nombre de messages envoyés chaque jour via WhatsApp par les 990 millions d’utilisateurs de la messagerie. WhatsApp a détrôné le SMS avec ses 20 milliards de messages envoyés chaque jour quotidiennement(source : expandedramblings.com)

30milliards

l’image animée, celui qui envahit les écrans des mobiles, des desktops, de la rue, et qui est une UX fascinante et envoûtante. Ce qui explique sans doute pourquoi publishing et audio se rapprochent de l’UX vidéo pour faire exister les marques media. Tous les media sont aujourd’hui engagés dans la vidéo : le publishing fait de la vidéo, la radio fait de la vidéo en fi lmant ses émissions, la TV fait du replay, du on demand c’est de l’UX. La presse et la radio rassemblent aujourd’hui des audiences qui sont devenues signi-fi catives avec 10 millions de vidéos vues en moyenne par mois sur Europe 1 ou Le Figaro, par exemple. TF1, de son côté, totalise 1,3 milliard de vidéos vues sur MYTF1 sur une année.

Nadine Medjeber : La question que chacun se pose est comment faire vivre aux gens une expérience de divertissement ou d’information qui correspond à leurs envies et à leurs nouvelles pratiques. Et comment créer des contenus qui tiennent compte de ceux qui les regardent. En matière de divertissement, la question UX se résume à «�Quelle histoire sur quel device ou sup-port ou écran ?�». Or, tout bouge,

tout change, on passe d’un univers dicté par les créateurs à un univers de plus en plus dirigé par les spec-tateurs et leurs écrans. Cela signi-fi e qu’il faut suivre l’audience dans son usage des di� érents devices (smartphone, télé 4K, tablette et, à terme, objets connectés) mais aussi dans la narration – pourquoi pas en modélisant les intrigues et le style de narration que les gens appré-cient. Ce qui nous emmène vers des narrations en transmedia, avec du second écran, mais aussi du MCN (multi-channel network), des jeux, de l’UGC (uger-generated content), qui sont autant d’expériences et de contenus qui se partagent. Et à des histoires que l’on pourra choi-sir de voir selon plusieurs points

de vue, celui du héros, de sa femme, du méchant, etc. Et de voir en mobilité. 65�% des vidéos vues sur Face-book le sont sur mobile. Ce pourcentage élevé est à mettre en regard de trois autres chi� res : 934 millions d’utilisateurs de Facebook sur mobile chaque jour, 47�% d’exclusifs mobile et 78�% des revenus de Facebook

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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS

issus du mobile. Une réalité bien intégrée chez Facebook, qui a for-tement investi ces deux dernières années sur des solutions d’aide aux créateurs de contenus, qu’ils soient éditeurs, marques ou individus.

Sébastien Emeriau : Ce qui est inté-ressant dans cette nouvelle mobi-lité est le potentiel qu’elle o� re aux marques. Il s’agit d’une mobilité individuelle et non plus de masse : le marcheur équipé d’un mobile va pouvoir interagir avec les marques ou les distributeurs grâce au lien entre les espaces physiques et vir-tuels. Cette mobilité n’est pas fan-tasmée, elle est de l’ordre du réel et nourrit une nouvelle expérience du consommateur. Il n’est donc pas sur-prenant de voir que 85 % du top 10 des retailers sont engagés dans des investissements dans les technolo-gies beacon.

Les objets connectés, la réalité virtuelle, la réalité augmentée sont des sujets régulièrement évoqués, mais les usages sont encore limités. Comment peuvent-ils intervenir dans l’expérience consommateur ?

Sébastien Emeriau : Côté consom-mateurs, les équipements en objets

À quelques mois du lancement de l’Euro 2016, la question se pose avec plus d’acuité car elle confronte deux UX différentes à l’heure où la consommation de sport devient ultrasociale. L’expérience TV, qui permettait déjà d’avoir les buts, les ralentis, les commentaires sportifs, s’enrichit aujourd’hui des tweets et posts des amis sur les réseaux sociaux. Ainsi, 35,6 millions de tweets ont été échangés pour le match Brésil-Allemagne lors de la dernière Coupe du monde, 265 millions de posts et 17 millions de tweets lors du Super Bowl de janvier dernier. Une effervescence footballistique qui se vit assis sur son canapé car, dans le même temps, les taux de remplissage des stades français stagnent autour de 70 % depuis 2011 lors des matchs de Ligue 1. Pour favoriser la digitalisation de l’expérience du spectateur, les stades s’équipent en Wi-Fi, passant d’un lieu de divertissement à une plateforme de consommation et de communication connectée avec le monde. Et touchent aussi les limites de l’UX du supporter, plus enclin à pianoter sur son smartphone qu’à faire la ola et encourager l’équipe.

Spectateur ou supporter ?

connectés restent limités ainsi que l’intérêt déclaré, même si l’appé-tence est plus forte chez les tech-nophiles : le prix et le manque d’utilité perçue sont les principaux freins à l’achat pour deux tiers des Français. L’enjeu pour les marques et les annonceurs est d’apporter à leurs clients une expérience en-richie via ces nouveaux «�media�». En permettant de fournir la bonne information au bon destinataire et au bon moment, ou encore de faire ressortir les informations utiles à la prise de décision, les marques feront la preuve d’une vraie valeur ajoutée auprès de leurs clients. Les objets connectés permettent ainsi aux marques de devenir des plate-formes de contenus et de services personnalisés afi n d’améliorer la satisfaction des clients et d’en acquérir de nouveaux. Cette di� u-sion d’expérience consommateurs passera notamment par la mise en

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scène en points de vente et par le relais de communautés.

Nadine Medjeber : Pour ce qui concerne la réalité virtuelle, le fi lm Ready Player One, produit par War-ner Bros et Steven Spielberg, qui devrait sortir au cinéma en 2017, va sans doute alimenter les conversa-tions sur la réalité virtuelle dans les prochains mois et marquera d’une pierre blanche l’irruption de celle-ci dans la sphère grand public. Mais, à date, la réalité virtuelle trouve sa place principalement dans les spec-tacles, festivals ou comme outil de communication promotionnelle pour les media plus traditionnels comme le cinéma et la télévision. Largement portée aujourd’hui par l’univers des jeux vidéo, elle est des-tinée à couvrir un champ d’appli-cation plus vaste. Le marché n’est certes pas à maturité, mais il ne fait

aucun doute qu’il suscite l’intérêt dans les domaines du contenu de marques, de la création publicitaire et en termes de promesses d’engage-ment. La capacité de la technologie à construire et imaginer des mondes lui confère un énorme potentiel d’utilisation. Le principe fondateur de la réalité virtuelle est sa capacité à conférer une émotion réelle à des environnements virtuels. Elle peut littéralement vous mettre en scène et augmenter l’impact, l’intensité des expériences ainsi créées. Elle permet de redynamiser les marques en favorisant l’engagement via une expérience sensorielle inédite. À l’heure où les marques et les media cherchent à gagner des audiences et à les fi déliser, la réalité virtuelle présente un avantage majeur : c’est une machine à créer de l’émotion. Et une nouvelle user experience pour le consommateur.

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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS

Atteindre la bonne cible, au bon en-droit, au bon moment, avec le bon ou-til est la règle de base de tout bon me-diaplanning, direz-vous. Et les cibles à atteindre sont grosso modo toujours les mêmes, pensez-vous. Or, à moins d’avoir vécu en ermite ces dernières années, impossible d’ignorer l’évolu-tion des consommateurs-internautes-mobinautes, confrontés à des boule-versements dans leur vie quotidienne personnelle et professionnelle inima-ginables il y a encore dix ans. «�Notre réfl exion est partie d’une demande ex-primée directement par les marques elles-mêmes. Nous le voyons chaque jour en travaillant avec nos clients sur les stratégies de touchpoints de leurs

Les 7 familles viennent s’intégrer dans les stratégies marketing des annonceurs, dans quelque secteur qu’ils soient

Aller au plus près du comportement des consommateurs pour repousser les limites du ciblage classique et activer tous les leviers ad hoc, c’est ce que proposent les 7 familles DDOG d’Havas Media Group. Revue de détail.

Mediaplanning7 Familles, un jeuoù tout le monde gagne

L’EXPERT HAVAS

Antoine MellottéeChargé d’études CSA Data ConsultingTél. : +33 (0)1 46 93 36 [email protected]

marques, il devient de plus en plus di� cile pour eux d’at-teindre leurs cibles les plus stratégiques. Parce que leurs défi nitions comportementales et attitudinales sont sub-tiles, mais aussi parce que leur consommation media est devenue de plus en plus ra� née, explique Nadine Med-jeber, directrice Études Consumer & Media Insights chez CSA Data Consulting. Forts de l’expertise data de l’agence, construite depuis trois ans autour de la philosophie DDOG (Data Driven Organic Growth), nous avons pu mettre en exergue la connaissance approfondie des cibles en allant au-delà des limites du ciblage classique.�» C’est ainsi qu’Ha-vas Media Group a construit une nouvelle segmentation de 7 familles de consommateurs, bâtie au plus près de leurs comportements, de leurs besoins et de leur évolution. Pour chacune de ces cibles, les équipes des pôles experts d’Havas Media et des pure players du Groupe (Mobext, Socialyse, Ecselis, A� perf, Adcity), en liaison avec CSA Data Consulting, ont déployé une stratégie de communica-tion optimale, via l’analyse et la sélection des data les plus pertinentes afi n de proposer des dispositifs adaptés aux attentes et aux moments de vie de ces 7 familles, en s’ap-puyant sur des media socles et des media de complément.

Préprogrammées et activables dans les outils online et o½ ine du Groupe, de l’amont à l’aval, les 7 familles viennent s’intégrer dans les stratégies marketing des annonceurs, dans quelque secteur qu’ils soient.

ZOOM SUR LES 7 FAMILLES

LES MOVERS Qui sont-ils ? Des personnes ayant l’intention de déménager au cours des douze prochains mois, princi-palement des jeunes célibataires et des jeunes couples

actifs, au pouvoir d’achat relativement contraint, à l’a� ût des bons plans pour faciliter leurs démarches.

Combien sont-ils ? 3,5 millions de personnes ont l’inten-tion de déménager chaque année.

Quels sont leurs formats d’expression ? Les blogs, les formats vidéo courts et longs.

Quels sont leurs besoins ? Opéra-teurs télécoms, distribution spéciali-sée (bricolage, décoration, ameuble-ment), banques, assurances, énergie…

LES INNO LOVERS Qui sont-ils ? Des personnes adeptes de l’innovation au sens large, avides de découverte, d’exploration, de changement, de nouveauté. Inter-nautes particulièrement friands des dernières NTIC et des nouveaux usages digitaux.Combien sont-ils ? 5,4 millions en France.Quels sont leurs besoins ? Opérateurs télécoms, NTIC, distribution spéciali-sée, media digitaux, entertainment…Quels sont leurs formats d’expres-sion ? Les formats vidéo courts, les tweets, les formats innovants.

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LES DIGITAL SENIORS Qui sont-ils ? Des seniors jeunes et moins jeunes de 50-75 ans, inter-nautes confi rmés, équipés de devices mobiles, aux usages digitaux sélectifs mais a� rmés, plutôt urbains et aisés qui ont su s’approprier les déclinai-sons digitales des media classiques.Combien sont-ils ? 8,1 millions en France.Quels sont leurs formats d’expres-sion ? Les formats classiques (presse), le native advertising, les infomercials, les newsletters. Quels sont leurs besoins ? NTIC, opérateurs télécoms, distribution, tou-risme, automobile, santé…

LES FIRST JOB Qui sont-ils ? De jeunes actifs de 15-29 ans, débutant leur carrière pro-fessionnelle, en phase d’installation personnelle, développant de nou-veaux besoins d’autonomie et d’équi-pements. Une génération de rupture qui consomme les media dans leur version digitale. Combien sont-ils ? 5,1 millions de jeunes actifs.Quels sont leurs formats d’expression�? Les formats vidéo courts, les infl uen-ceurs, les applis, les pages de marques.

Quels sont leurs besoins ? Banques, assurances, opéra-teurs télécoms, distribution spécialisée (bricolage, décora-tion), loisirs, mode, entertainment…

LES SMART SHOPPERS Qui sont-ils ? Des acheteurs malins, multicanaux, qui refusent de payer au plein tarif, qui comparent et mettent en concurrence les di� érentes enseignes et canaux de vente, afi n de traquer les combines, les bons plans et les bonnes a� aires.Combien sont-ils ? 10 millions de en France.Quels sont leurs formats d’expression ? Les formats vidéo courts, les infl uenceurs, les applis, les pages de marques, les blogs et forums.Quels sont leurs besoins ? Banques, distribution, opéra-teurs télécoms, assurances, alimentation, hygiène-beauté, mode, tourisme…

LES PETITS PROS Qui sont-ils ? Une majorité d’hommes, actifs âgés de 30-59 ans, habitant plutôt en province, au pouvoir d’achat variable (de modeste à aisé) et à l’emploi du temps parti-culièrement contraint, donc en recherche de solutions pour se faciliter la vie.Combien sont-ils ? 1,9 million de travailleurs indépen-dants ou à leur compte, développant de très petites struc-tures (5 salariés au maximum).Quels sont leurs formats d’expression ? Les applis, les formats audio, les e-mails, les newsletters…Quels sont leurs besoins ? Banques, assurances et mu-tuelles, opérateurs télécoms, énergie, distribution spéciali-sée, NTIC, automobile…

LES MASS AFFLUENTS Qui sont-ils ? Des individus au pou-voir d’achat particulièrement aisé. Une population hédoniste en recherche de consommation premium avec des usages media éclectiques et digitauxCombien sont-ils ? 1,3 million de personnes vivant dans le top 2 % des foyers aux plus hauts revenus.Quels sont leurs formats d’expres-sion ? Les formats premium, l’e-mai-ling, les formats classiques (PQN, magazines), les formats vidéo courts, les tweets. Quels sont leurs besoins ? NTIC, banques, assurances, tourisme, auto-mobile, luxe…

La donnée que nous manions, croisons, générons est hybride :

attitudinale et comportementale, passive et active, individu et foyer,

qualitative et quantitative.

Apporter aux entreprises et institutions une compréhension fine des comportements des individus pour appréhender leurs besoins, analyser leurs environnements, anticiper leurs évolutions et identifier les leviers d’engagement.

CSA, Consumer Science & Analyticsc’est la synergie de CSA Research,institut de référence des étudesmarketing et d’opinion depuis40 ans et CSA Data Consultingdédié à l’analyse et l’activationde la data au bénéfice desstratégies media-marketing.

La donnée CSA est activable,via le CRM, l’achat programmatique…

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59 ans, habitant plutôt en province, au pouvoir d’achat variable (de modeste à aisé) et à l’emploi du temps parti-

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variable (de modeste à aisé) et à l’emploi du temps parti-culièrement contraint, donc en recherche de solutions pour

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culièrement contraint, donc en recherche de solutions pour

1,9 million de travailleurs indépen-

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1,9 million de travailleurs indépen-dants ou à leur compte, développant de très petites struc-

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dants ou à leur compte, développant de très petites struc-tures (5 salariés au maximum).

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tures (5 salariés au maximum).Quels sont leurs formats d’expression ?

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Quels sont leurs besoins ? Banques, assurances et mu-

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Banques, assurances et mu-tuelles, opérateurs télécoms, énergie, distribution spéciali-

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tuelles, opérateurs télécoms, énergie, distribution spéciali-sée, NTIC, automobile…

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Des individus au pou-voir d’achat particulièrement aisé. Une

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population hédoniste en recherche de consommation premium avec des

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personnes vivant dans le top 2 % des foyers aux plus hauts revenus.

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La donnée que nous manions, croisons, générons est hybride :

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croisons, générons est hybride : attitudinale et comportementale,

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CSA, Consumer Science & Analytics

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CSA, Consumer Science & AnalyticsCSA Research

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CSA Data Consultingdédié à l’analyse et l’activation

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dédié à l’analyse et l’activationde la data au bénéfice des

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de la data au bénéfice desstratégies media-marketing.

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stratégies media-marketing.

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MPACTUALITÉS

LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS

L’institut CSA a adopté une nouvelle signature, «�Consumer Science & Analytics�». Pourquoi ce changement de base line ?

Ketty de Falco : Pendant très long-temps, on a opposé les données comportementales (l’analytics) aux données attitudinales, c’est-à-dire les données déclarées. Or, chez CSA, notre conviction profonde est que ces deux mondes doivent se côtoyer et se nourrir mutuellement, qu’il est né-

Depuis janvier 2016, le rachat de CSA par le Groupe Havas a fait entrer l’institut dans une nouvelle dimension. Ketty de Falco, directrice générale de CSA Research, et Thierry Fontaine, directeur général de CSA Data consulting, nous détaillent la nouvelle organisation.

ÉTUDES ET DATACSA renforceson expertise surl’expérience consommateur

L’EXPERT HAVAS

Thierry FontaineDirecteur général de CSA Data [email protected]

Ketty de FalcoDirectrice générale de CSA [email protected]

cessaire de réconcilier le comportemental et l’attitudinal pour enrichir la compréhension du consommateur. C’est cette exigence d’une donnée pertinente, utile, hybride qui a donné naissance à CSA Consumer Science & Analytics. La donnée pertinente, c’est aussi celle qui va nous per-mettre de cibler utile pour recentrer la compréhension du consommateur sur des intentions crédibilisées.

Comment procédez-vous ?Ketty de Falco : En limitant le plus possible la part du sur-déclaratif dans nos études pour fi abiliser les prévisions. Prenons l’exemple d’un test d’o� re dans lequel quelqu’un déclare avoir l’intention de souscrire une assurance-vie�; nous allons challenger cette réponse avec sa connais-sance des produits bancaires et fi nanciers, avec sa situa-

tion personnelle, avec l’a� nité qu’il porte à la marque émettrice de l’o� re en question. En clair, nous allons croiser à la fois ce qu’il nous dit, sa compréhension du secteur, son appétence à une marque donnée pour

voir si cette intention va vraiment se concrétiser dans les faits. Cette solution illustre bien le pont entre les don-

nées déclaratives et les données réelles, entre l’attitude et le comportement, entre l’intention et l’acte réel. C’est cette approche qui fait la spécifi cité de CSA sur le mar-ché. On parle beaucoup de big data, nous préférons parler de multi-data sélectif, c’est-à-dire la capacité à générer, croiser, analyser de la donnée utile car elle répond à une

problématique spécifi que. C’est un axe fondamental de notre stratégie qui nous rend plus pertinents dans

nos recommandations clients. L’enjeu est de comprendre l’individu dans son intégralité. Recréer son unicité à partir du maximum d’informations dont nous disposons. Enfi n,

l’autre dimension que nous exploitons est celle de la mesure en temps réel.

Comment les di� érents pôles sont-ils désormais organisés ?

Thierry Fontaine : La nouvelle organisa-tion de CSA Consumer Science & Analytics repose sur trois entités qui travaillent en synergie. CSA Research, qui regroupe les activités historiques d’études marketing et

d’opinion de CSA, dirigé par Ketty. Dans sa démarche de développement sur la gestion de la data, l’institut ac-cueille désormais CSA Data Consul-ting, que je dirige, qui est l’ancienne Data Room d’Havas Media, une en-tité d’une soixantaine de personnes dédiée à l’analyse et à l’activation de la data au bénéfi ce des stratégies me-dia-marketing. CSA Data Consulting propose des solutions de mesure de l’e� cacité media marketing dans son ensemble, media, hors-media, pro-motion, et mesure, analyse, quantifi e l’e� cacité de ces di� érents leviers au sein de plateformes mises à la dispo-sition de nos clients. Notre spécifi cité est de proposer des recommandations immédiatement activables dans les plans de communication du fait que nous travaillons de manière extrê-mement proche avec Havas Media. CSA Data Consulting accompagne les annonceurs dans le pilotage de l’e� cacité business de leurs moyens media marketing. Intégrer la marque CSA, une marque reconnue, qui a une forte notoriété, nous met dans la cour des grands et nous apporte aussi beaucoup de possibilités en termes de transversalité de clients. La troisième entité de CSA Consumer Science & Analytics est CSA Insight, codirigée par Ketty et moi-même. Elle regroupe les activités de ciblage, de segmenta-tion, et de création de bases de don-nées activables online et o� ine, y compris en mode programmatique. Le programmatique est aujourd’hui le nerf de la guerre. L’objectif est de faire en sorte que toutes les analyses comportementales et attitudinales puissent être opérationnelles et acti-

—THIERRY FONTAINEDirecteur général de CSA Data consultingREPRO

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Depuis janvier 2016, le rachat de CSA par le Groupe Havas a fait entrer l’institut dans une nouvelle dimension. Ketty de Falco, directrice générale de CSA Research, et Thierry Fontaine, directeur

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dimension. Ketty de Falco, directrice générale de CSA Research, et Thierry Fontaine, directeur général de CSA Data consulting, nous détaillent la nouvelle organisation.

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cessaire de réconcilier le comportemental et l’attitudinal

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cessaire de réconcilier le comportemental et l’attitudinal pour enrichir la compréhension du consommateur. C’est

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pour enrichir la compréhension du consommateur. C’est cette exigence d’une donnée pertinente, utile, hybride qui

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cette exigence d’une donnée pertinente, utile, hybride qui a donné naissance à CSA Consumer Science & Analytics.

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a donné naissance à CSA Consumer Science & Analytics. La donnée pertinente, c’est aussi celle qui va nous per-

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La donnée pertinente, c’est aussi celle qui va nous per-mettre de cibler utile pour recentrer la compréhension du

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mettre de cibler utile pour recentrer la compréhension du consommateur sur des intentions crédibilisées.

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consommateur sur des intentions crédibilisées.

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En limitant le plus possible la part du sur-déclaratif dans nos études pour fi abiliser les prévisions.

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Prenons l’exemple d’un test d’o� re dans lequel quelqu’un déclare avoir l’intention de souscrire une assurance-vie�;

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déclare avoir l’intention de souscrire une assurance-vie�; nous allons challenger cette réponse avec sa connais-

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nous allons challenger cette réponse avec sa connais-sance des produits bancaires et fi nanciers, avec sa situa-

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cette approche qui fait la spécifi cité de CSA sur le mar-ché. On parle beaucoup de big data, nous préférons parler

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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS

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vables notamment en digital, mais pas seulement, le pro-grammatique ayant vocation dans les années futures à concerner d’autres media.

Vous évoquez le digital. Quelle est sa place dans cette nouvelle organisation ?

Ketty de Falco : Le digital est partout, transversal à tous les projets. Pendant longtemps, on a reproché aux instituts d’arriver trop tard, avec des études extrêmement bien faites mais qui prenaient trop de temps et ne servaient plus à la prise de décision de nos clients. Je pense qu’il faut raccourcir les délais, et le digital est évidemment pour nous le moyen de tenir ces objectifs. Via son intégration dans le Groupe

Havas, CSA renforce son expertise di-gitale autour de deux axes : le Mobile research, pour intégrer la géolocali-sation et la mesure de l’émotion dans les études via les objets connectés qui permettent, par exemple, d’analyser en temps réel les émotions véhiculées par une publicité ou une expérience UX dans un magasin, et le Social media listening, pour l’écoute des comporte-ments digitaux et l’analyse des usages. Ces deux outils participent à notre volonté d’aller chercher de la donnée pertinente et sélective et d’avoir un temps d’avance pour servir la prise de décision de nos clients.

Cette organisation est-elle appelée à se développer à l’international ?

Ketty de Falco : Absolument. Dans le cadre de son nouveau projet straté-gique, CSA se déploiera à l’inter-national en 2016. Le développe-ment commercial, opération-nel et l’animation de réseau de CSA Worldwide sont confi és à Virginie Wong, directrice du Développement. CSA était perçu comme un institut fran-co-français, même si nous réa-lisions à peu près 25�% de nos études à l’international. Nous

L’objectif est de faire en sorte que toutes les analyses comportementales et attitudinales puissent être opérationnelles et activables notamment en digital, mais pas seulement, le programmatique ayant vocation dans les années futures à concerner d’autres media

n’avions pas de réseau à l’internatio-nal, nous allons profi ter du réseau des experts études dont dispose Havas Media dans di� érents pays. Nous avons démarré par la Belgique, nous sommes en phase de déploiement au Portugal et d’autres pays vont suivre. Avec toujours la volonté d'intégrer les spécifi cités locales dans la compré-hension de l’individu, même dans le cadre d’une étude globale.

— Ketty de Falco Directrice générale de CSA Research

La donnée que nous manions, croisons, générons est hybride :

attitudinale et comportementale, passive et active, individu et foyer,

qualitative et quantitative.

Apporter aux entreprises et institutions une compréhension fine des comportements des individus pour appréhender leurs besoins, analyser leurs environnements, anticiper leurs évolutions et identifier les leviers d’engagement.

CSA, Consumer Science & Analyticsc’est la synergie de CSA Research,institut de référence des étudesmarketing et d’opinion depuis40 ans et CSA Data Consultingdédié à l’analyse et l’activationde la data au bénéfice desstratégies media-marketing.

La donnée CSA est activable,via le CRM, l’achat programmatique…

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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS

Pas créative la télévision ? Plus encline à rebattre les mêmes cartes qu’à miser sur des programmes in-novants ? C’est un bilan plus positif que dresse NoTa (New on the air), l’outil de mesure d’Eurodata TV Worldwide de Médiamétrie, après avoir étudié les programmes dif-fusés l’an dernier dans les 44 terri-toires de son périmètre. En 2015, l’institut de mesure a ainsi recensé plus de 8�500 nouveaux concepts de programmes TV et SVOD lan-cés dans l’ensemble de ces pays. Et NoTa de souligner que plus de la moitié (53�%) de ces nouveaux programmes sont des créations originales nationales, et non des copier-coller de concepts internatio-naux. «�La balance s’est clairement inversée par rapport à 2014, et les contenus locaux sont ceux qui ont le plus dopé la production audiovi-suelle l’an dernier�», indique Sahar Baghery, directrice du pôle Études et Stratégies des contenus chez

C’est ce qui ressort du bilan 2015 d’Eurodata TV Worldwide. Un bilan qui pointe du doigt le boomdes créations originales nationales comme moteur de la production audiovisuelle.

TV À L’INTERNATIONALÉbullition créative

L’EXPERT HAVAS

Philippe BigotDirecteur du département VidéoTél. : +33 (0)1 46 93 34 [email protected]

Eurodata TV Worldwide. Pas de sur-prise, les séries constituent le princi-pal vivier des nouveautés (40�%) car elles s’imposent encore et toujours comme le premier format de fi ction di� usé en TV et le genre préféré des téléspectateurs. Elles sont suivies par des programmes factuels – ma-gazines, documentaires (37�%) – et des programmes de divertissement (23�%). L’Inde (80�%), la Chine (60�%), le Nigeria (45�%), la Russie (45�%), l’Égypte (44�%) ou la Turquie (44�%) se classent dans le top des créateurs de formats originaux de fi ction en pourcentage de lancement de pro-grammes di� usés dans le pays en 2015. Le Japon (29�%), la Corée du Sud (26�%) et les États-Unis (25�%) tiennent la tête en matière de diver-tissement, la Grande-Bretagne (47�%) et le Danemark (38�%) en matière de formats originaux factuels. «�Dans un tel contexte d’innovation et d’enrichissement des programmes, les chaînes de télévision mettent

notamment en place des stratégies de programmation plus créatives pour accroître leur audience ou toucher de nouveaux publics�», relève Sahar Baghery. Ainsi, aux Pays-Bas, la chaîne de divertissement SBS6, qui a choisi de privilégier les nouvelles productions, a vu sa part d’audience globale augmenter de 10 % en trois ans. En Europe du Sud, la première chaîne espagnole, Telecinco, a réussi à doper son audience sur le prime time auprès des 15-25 ans (+34�% entre 2012 et 2015) en misant sur les contenus locaux tels que les télé-crochets La Voz Kids, de Talpa Distribution, et Levántate, de Televisa Interna-cional. Ou encore la saison 2 de la série El Principe, de Mediaset, qui lui a permis de remporter 70�% d’audience supplémentaire sur les 15-25 ans.

EN QUÊTE D’IDENTITÉ

La création locale s’appuie sur un certain nombre de ten-dances fortes lancées à la rentrée 2015. En matière de divertissement, place à la recherche de talents, au dating ou encore aux game shows à l’image de The Great Emoji Challenge, à venir aux États-Unis, où les candidats peuvent gagner jusqu’à 1 million de dollars en décodant ce que signifi ent des messages en emojis. Ou de Airheads et Air-mageddon en Angleterre qui feront s’a� ronter des passion-nés de drones. En fi ction, on assiste à des variations autour de l’idée d’identité, un thème qui fait écho à l’actualité. « Ce peut être une identité qui passe par l’a� rmation et l’acceptation de soi, dans son unicité et dans son origina-lité, à l’image de Matsuko Roid, au Japon, qui met en scène une célébrité transgenre, ou à travers des personnages atypiques qui s’émancipent d’un système politique et se mettent à l’écart des normes sociales, comme la série The Young Pope, à venir sur Canal+. The Young Pope relate l’his-toire scandaleuse des débuts du règne du pape Pie XIII, personnage complexe et contradictoire incarné par Jude Law », détaille Estelle Chandèze, responsable d’études chez Eurodata TV Worldwide. D’autres créations abordent la question identitaire en montrant comment l’identité col-lective et culturelle se construit à travers des récits histo-riques et sociétaux forts. En janvier dernier, le même soir démarraient ainsi avec succès deux créations symboliques. La première, War & Peace, adaptée du roman de Tolstoï, a réuni 6,3 millions de téléspectateurs (25�% de parts de marché) sur BBC. La seconde, Rebellion, une fi ction qui traite de l’insurrection de 1916 d’une Irlande alors en quête d’indépendance de l’Empire britannique, s’est octroyé 41�% des parts de marché (619�000 spectateurs) sur la chaîne publique irlandaise RTÉ. Une deuxième saison est d’ores et déjà en développement, soutenue par la chaîne améri-

—Rebellion, RTÉ

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C’est ce qui ressort du bilan 2015 d’Eurodata TV Worldwide. Un bilan qui pointe du doigt le boomdes créations originales nationales comme moteur de la production audiovisuelle.

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des créations originales nationales comme moteur de la production audiovisuelle.

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Tél. : +33 (0)1 46 93 34 01

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plus créatives pour accroître leur audience ou toucher de nouveaux publics�», relève Sahar Baghery. Ainsi, aux

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d’audience globale augmenter de 10 % en trois ans. En Europe du Sud, la première chaîne espagnole, Telecinco,

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Mediaset, qui lui a permis de remporter 70�% d’audience supplémentaire sur les 15-25 ans.

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supplémentaire sur les 15-25 ans.

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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS

MPA Nº27 - mars 2016 11

caine SundanceTV, qui a acheté les droits de di� usion. L’étude d’Eurodata TV Worldwide identifi e également une troisième tendance de format narratif qui explore l’individualité en se centrant sur les sentiments et les réfl exions d’un personnage. À l’instar de la série danoise Anton 90 (DR3), entièrement fi lmée du point de vue d’Anton, dont le téléspectateur ne voit jamais le visage (+ 17�% d’audience auprès des 15-34 ans pour les trois premiers épisodes). Ou de la série 11/22/63, adaptée du roman de Ste-phen King, di� usée sur la plateforme de vidéo à la demande Hulu et qui relate l’histoire d’un homme devant empêcher l’assassinat de J.F. Kennedy pour modifi er le futur.

LE NUMÉRIQUE TRAVERSE L’ÉCRAN

Pour toucher de nouveaux publics, les producteurs puisent aussi de plus en plus ouvertement dans les codes du numérique. «�Dans un contexte d’hy-perchoix de contenus et plateformes, de créativité qui s’internationalise, la concurrence s’intensifi e. Elle incite les chaînes de télévision à innover forte-ment, se di� érencier et aussi s’inspirer du Web�», confi rme Sahar Baghery.

Cette tendance va même au-delà de l’inspiration quand des contenus à succès de chaînes YouTube sont repris pour être adaptés à la TV. C’est le cas en France avec Lolywood du feu Won-derfools sur D17, de la série Le Tour du Bagel du collectif d’humoristes de Studio Bagel sur Canal+ ou des paro-dies de Golden Moustache sur W9. Les exemples similaires se multiplient également un peu partout : au Brésil, où la chaîne YouTube Acelerados s’est transformée en magazine sportif sur la chaîne de télévision SBT, en Fin-

lande, où Yle TV2 di� use Folk, un pro-gramme qui invite les téléspectateurs à publier leurs spots vidéo, ou encore au Japon sur TBS. La chaîne propose Upumura, un format où une trentaine de comédiens se fi lment sur YouTube tandis que le présentateur ainsi que les invités sur le plateau votent pour leur vidéo préférée. Des synergies entre le monde du Web et le monde de la TV traditionnelle qui permettent de rajeunir l’audience, de détecter des talents mais aussi de générer des re-venus additionnels.

des nouveaux

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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS

Oubliée la grande désillusion de 2012, Paris repart à la conquête des JO, bien décidé à remporter le titre d’organisateur face à Budapest, Los Angeles et Rome. Une étape décisive a été franchie le 17 février dernier par le comité de candidature Paris 2024, qui a dévoilé un plan de bataille réso-lument o� ensif dont l’objectif est de placer le sport et ses valeurs au cœur de la société, pour démontrer le rôle majeur que le sport peut jouer dans l’édifi cation d’un monde meilleur. Ce message fédérateur est bien résu-mé dans l’accroche «�La Force d’un Rêve�», imaginée par BETC. «�Il nous a semblé que la notion de rêve était fédératrice : tout le monde a un jour rêvé. Tout cela va rencontrer les valeurs de l’olym-pisme : l’optimisme, la croyance que les choses sont possibles. Les Fran-çais ont besoin de re-nouer avec la positivité et l’espoir, c’est un en-jeu national im-

« La force d’un rêve », l’accroche imaginée par BETC

Tel est le fi l rouge de la campagne de sensibilisation qui accompagne la candidature de Parispour l’accueil des Jeux olympiques et paralympiques d’été 2024. Un projet porté par Havas 2024,une équipe de choc qui réunit Havas Sports & Entertainment, BETC et Fullsix.

—Augustin PénicaudDirecteur Stratégie et Business Intelligence, Havas Sports & Entertainment

ÉVÉNEMENTParis 2024, « La force d’un rêve »

L’EXPERT HAVAS

Augustin PénicaudDirecteur Stratégie et Business Intelligence, Havas Sports & EntertainmentTél. : +33 (0)6 87 53 74 10 [email protected]

portant dans tous les domaines, y compris économique�», estime Mercedes Erra, présidente de BETC et directrice générale d’Havas. Ce message fédérateur est déjà porté par un fi lm manifeste, une série d’a� ches et d’annonces presse créés par l’agence de publicité. Il est également relayé sur le site Internet paris2024.org développé par le groupe Fullsix. « Nous sommes convaincus que le digital favorisera l’appropriation, l’adhésion et l’engagement des Français. Le site paris2024.org a été conçu pour cela, en apportant de l’information et de l’émotion, tout en favori-sant les interactions avec la candidature », explique Jean-Michel Neyret, directeur général de Fullsix. «�Havas Sports & Entertainment (Havas SE) s’est asso-

cié avec BETC et Fullsix pour former une seule et même équipe intégrée baptisée “Havas

2024” afi n de répondre pleinement aux di� érents appels d’o� res de la candi-dature, explique Augustin Pénicaud, directeur Stratégie et Business intel-ligence de Havas SE. BETC et Havas SE travaillent ensemble sur la pla-teforme de marque, le concept et la

stratégie de mobilisation des Français derrière la candidature pour les dix-huit

mois à venir, et Havas SE et Fullsix ont en charge la stratégie digitale, c’est-à-dire le

site Internet et la recommandation, la mise en œuvre et le suivi d’actions d’acti-

vation digitale sur les réseaux sociaux notamment.�» L’en-

semble du dispositif vise à créer un élan partagé, à rallier tous les Fran-çais autour d’un projet universel et positif. Pour ce faire, les trois

agences d’Havas ont identifi é avec la candidature un certain nombre de cibles auxquelles s’adresser de ma-nière spécifi que : «�Les enthousiastes envers Paris 2024, qui peuvent en de-venir les meilleurs ambassadeurs, les pragmatiques, qui ont une approche rationnelle de ce projet national, sensibles à son impact économique par exemple, les indi� érents – notre enjeu est de les amener à devenir soit des pragmatiques, soit des enthou-siastes – et les sceptiques, à qui il faut répondre�», détaille Augustin Pénicaud. Havas 2024 travaille également à la conception d’opérations à desti-nation de cibles particulières, par

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Tel est le fi l rouge de la campagne de sensibilisation qui accompagne la candidature de Parispour l’accueil des Jeux olympiques et paralympiques d’été 2024. Un projet porté par Havas 2024,

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pour l’accueil des Jeux olympiques et paralympiques d’été 2024. Un projet porté par Havas 2024,une équipe de choc qui réunit Havas Sports & Entertainment, BETC et Fullsix.

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une équipe de choc qui réunit Havas Sports & Entertainment, BETC et Fullsix.

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apportant de l’information et de l’émotion, tout en favori-sant les interactions avec la candidature », explique Jean-

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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS

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exemple, les mamans, et tout parti-culièrement les jeunes qui ont 10-12 ans aujourd’hui et qui seront ma-jeurs en 2024. Cette jeune popula-tion, appelée «�la Génération 2024�», est un des fers de lance de la vision portée par le comité de candidature Paris 2024, comme le montrent les visuels des a� ches de la campagne de BETC. «�Notre indicateur fi nal sera le pourcentage de Français favorables à l’accueil des Jeux olym-piques et paralympiques en France, ce qui implique d’activer aussi des cibles intermédiaires, institu-tionnelles, à qui il faut donner des outils pour relayer les messages de la candidature. On parle ici des col-lectivités, des partenaires privés, du monde économique en général, des media, du monde éducatif et, évi-demment, des fédérations et clubs de sport de toute la France qui sont essentiels dans le projet. Le but est de bénéfi cier d’un e� et de levier et de relais très importants auprès de tous ces acteurs, pour accompagner la mobilisation�», indique Augustin Pénicaud. Passera-t-on (enfi n) du rêve à la réalité en 2024 ? Réponse lors du verdict du CIO en septembre 2017 à Lima.

En attendant de savoir si la France sera olympique, le pays s’apprête déjà à vivre au rythme du ballon rond du 10 juin au 10 juillet prochains. Côté sponsors, Coca-Cola est un des premiers à mettre en œuvre le dispositif qui accompagnera les fans jusqu’à la finale. Le coup d’envoi a été donné le 10 mars, lors d’une conférence de presse organisée par Havas Sports & Entertainment. Le plan d’action s’articulera autour d’innovations majeures et illustrera la nouvelle signature de marque mondiale, « Savoure l’instant ».

Sur le terrain, Coca-Cola jouera « local » dans tous les lieux où se retrouveront les supporteurs. De l’aéroport aux gares (habillage des halls), dans les bars (de 300 à 500 bars aux couleurs de Coca-Cola et de l’UEFA Euro 2016), dans les « fans zones » installées dans les 10 villes-hôtes, dans les stades (service de pre-ordering, points de vente mobiles, containers transformés en bars) et via un partenariat avec Panini, la marque sera omniprésente.

Elle sera évidemment aussi en force sur le digital : collaboration avec le réseau social Snapchat pour offrir aux fans des filtres exclusifs aux couleurs de l’événement, création d’une chaîne YouTube dédiée au football, appelée « Coke TV », animations sur le site Happiness Football Club, lancé en juin 2015, production de contenus sur les plateformes françaises et européennes et ses réseaux sociaux, avec Arsène Wenger dans le rôle de l’expert. À la maison, entre amis ou en famille, les fans pourront se défouler sur la chanson « Taste the Feeling », spécialement produite pour l’occasion par Avicii et interprétée par Conrad Sewell. Elle sera intégrée aux plateformes du jeu Just Dance.

Et pour compléter ce dispositif exceptionnel, de très nombreuses innovations produits sont prévues, de la bouteille Alu refermable aux couleurs de l’événement à la canette 33 cl au format slim aux couleurs de l’équipe de France. Jusqu’aux 140 millions de bouteilles 1,5 l produites avec une vignette Panini offerte à l’intérieur de l’étiquette !

Au-delà de Coca-Cola, Havas SE a également la fierté de travailler avec les clients suivants autour de l’événement : Orange, SNCF, Crédit Agricole, Hyundai/Kia, Carrefour, PMU, EDF, Atout France et Altran.

On savoure l’UEFA Euro 2016avec Coca-Cola !

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qui accompagnera les fans jusqu’à la finale. Le coup d’envoi a été donné le 10 mars, lors d’une conférence de presse organisée par Havas Sports & Entertainment. Le plan d’action s’articulera autour d’innovations

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majeures et illustrera la nouvelle signature de marque mondiale, « Savoure l’instant ».

Sur le terrain, Coca-Cola jouera « local » dans tous les lieux où se retrouveront les supporteurs. De l’aéroport

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Sur le terrain, Coca-Cola jouera « local » dans tous les lieux où se retrouveront les supporteurs. De l’aéroport aux gares (habillage des halls), dans les bars (de 300 à 500 bars aux couleurs de Coca-Cola et de l’UEFA Euro

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aux gares (habillage des halls), dans les bars (de 300 à 500 bars aux couleurs de Coca-Cola et de l’UEFA Euro 2016), dans les « fans zones » installées dans les 10 villes-hôtes, dans les stades (service de

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Elle sera évidemment aussi en force sur le digital : collaboration avec le réseau social Snapchat pour offrir

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Elle sera évidemment aussi en force sur le digital : collaboration avec le réseau social Snapchat pour offrir aux fans des filtres exclusifs aux couleurs de l’événement, création d’une chaîne YouTube dédiée au football,

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aux fans des filtres exclusifs aux couleurs de l’événement, création d’une chaîne YouTube dédiée au football, appelée « Coke TV », animations sur le site Happiness Football Club, lancé en juin 2015, production de

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appelée « Coke TV », animations sur le site Happiness Football Club, lancé en juin 2015, production de contenus sur les plateformes françaises et européennes et ses réseaux sociaux, avec Arsène Wenger dans le

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Feeling », spécialement produite pour l’occasion par Avicii et interprétée par Conrad Sewell. Elle sera intégrée aux plateformes du jeu Just Dance.

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Et pour compléter ce dispositif exceptionnel, de très nombreuses innovations produits sont prévues, de la bouteille Alu refermable aux couleurs de l’événement à la canette 33 cl au format slim aux couleurs de

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CHIFFRES

– 22,57 % : c’est la baisse du nombre de vidéos vues sur Facebook en janvier 2016 (488,5 millions) par rapport au mois de décembre 2015, selon le Top 15 des brands mesu-rés par Médiamétrie. Dans le même temps, le nombre de vidéos vues sur Dailymotion augmente de 32,5�%, à 68,2 millions. AlloCiné monte à la cinquième place du classement avec 18,4 millions de vidéos vues. En janvier 2016, près de 35 millions d’internautes ont regardé au moins une vidéo sur Internet depuis leur ordinateur.

Avec 25,45 millions d’entrées au mois de février 2016, la fréquenta-tion cinéma a progressé de 12,9 % par rapport à février 2015. Il s’agit du record de fréquentation pour un mois de février, depuis la mise en place des statistiques mensuelles du CNC, en 1980. Sur les deux premiers mois de l’année, 42,03 millions d’en-trées ont été réalisées, soit 6,9�% de plus que sur les deux premiers mois de 2015.

CANAL+ REPART SUR LE TAPIS ROUGE

Le Festival de Cannes et le groupe audiovisuel ont renouvelé leur par-tenariat pour les cinq prochaines années. Grâce à ce nouvel accord, Canal+ sera le di� useur exclusif des

brèvesOn vous l’aura dit !

prochaines cérémonies d’ouverture et de clôture du Festival de Cannes, qui célébrera en 2017 son 70e anni-versaire. Pour l’heure, la chaîne peaufi ne le dispositif de mai pro-chain qui fera une place plus large au digital via ses équipes et celles de Dailymotion.

NOMINATION

Direct Matin renforce son équipe de direction avec l’arrivée de Fabienne Marquet en tant que directrice de Bolloré Média Régie. Elle a en charge le pilotage de la régie publi-citaire, le développement et la diver-sifi cation des revenus de Direct Ma-tin. Fabienne Marquet était, depuis fi n 2013, directrice commerciale au sein de MEDIA.fi garo et membre du comité de direction de la régie.

MARIE CLAIRE DIVERSIFIESES ACTIVITÉSÀ nouvelle équipe, nouvelle formule�: le numéro de mars de Marie Claire propose une nouvelle maquette, des sujets

en lien plus direct avec l’ac-tualité, plus d’analyses, de cri-

tiques ainsi que de nouvelles rubriques comme les «�Idées Claires�», réaction de quatre personnalités d’univers dif-férents face à un mot évoqué

par la rédaction, «�La femme du mois�» ou «�Le question-naire Marie Claire�». Le magazine féminin a dégagé 1,2 million d’euros pour la campagne promotionnelle de cette nouvelle formule. Par ailleurs, pour renforcer son image de marque auprès de la cible féminine, Marie Claire élargit son champ d’actions événementielles à la musique (festival Les Nuits Claires), le bien-être (le spa Les Eaux Claires) et la croisière (Les Idées Claires).

UN BAROMÈTRE POUR LES ÉVÉNEMENTS COMMERCIAUX, C’EST UNE PREMIÈRE

Clear Channel et l’hebdomadaire LSA s’associent pour étudier les événements qui rythment la vie et les lieux de consommation des Français. La première étude de ce baromètre porte sur la perception des 18 temps forts commerciaux de l’année. Elle a été menée à partir du panel dédié iligo pour Clear Channel. Trois temps forts incontournables arrivent en tête de classement : Noël (pour 45�% des urbains et 54�% des femmes), suivi des soldes d’hiver et de la fête des Mères. Au sein du top 3, les hommes sont plus enclins que les femmes à citer la Saint-Valentin (70�%) et l’Euro 2016 (72�%). Les soldes REPRO

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Tube, Dailymotion, Twitch, Twitter, Facebook, Snapchat. La fonctionna-lité de live chat sera optimisée pour permettre à l’utilisateur d’intégrer au programme son propre fl ux vidéo live à l’aide de sa webcam, et ainsi d’interagir directement avec les vi-déocasters et les invités. La mise en ligne d’une version bêta est prévue pour mai 2016.

d’hiver sont davantage plébiscités par les 18-34 ans (55�%) ainsi qu’Halloween (74�%) et l’Euro 2016 (63�%). Les tendances révélées par ce baromètre seront décryptées tous les deux mois dans les pages du magazine du com-merce et de la consommation.

COPAINS D’AVANT DÉPASSE TWITTER ET LINKEDIN

73,1�% des Français ont visité un réseau social le mois précédent avec un ordinateur, un smartphone ou une tablette selon eMarketer, qui s’appuie sur les chi� res du Web Observatoire des réseaux sociaux de Médiamétrie du quatrième trimestre 2015. Un chi� re qui monte, en bonne logique, à 94,8�% chez les 15-24 ans. Le classement des réseaux sociaux les plus visités par les internautes français de tous âges est plus inattendu. Facebook ar-rive en tête avec 62,9�% d’utilisateurs en France, suivi de Google+ (21,6�%), mais Copains d’avant (19,6�%) se classe devant Twitter (18,3�%) et LinkedIn (14,6�%). Le site fran-çais se classe même en deuxième position chez les 35-49 ans et les 50 ans et plus.

MELTYGROUP RENFORCE SA PLATEFORME DE CONTENUS LIVE Depuis juin 2015, le groupe media en ligne dédié à la youth culture expérimente la production de contenus vidéo live a� nitaires. Il passe aujourd’hui une nouvelle étape avec le développement du projet live-cast, qui permettra la multiplication des programmes di� usés en live, la di� usion multicanale instantanée et le ren-forcement de l’interaction avec les utilisateurs de melty. Comme pour les contenus écrits, les contenus vidéo live

seront produits à l’aide de la plate-forme Shape, permettant d’identifi er en temps réel les sujets qui inté-ressent les jeunes. Les contenus se-ront accessibles sur tous les media melty (desktop, Web mobile, applica-tions…) mais aussi di� usés simulta-nément et nativement en multicanal sur l’ensemble des supports où les utilisateurs sont les plus actifs : You-

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CSA (Consumer & Science Analytics) a réalisé une étude exclusive pour comprendre le phénomène de l’adblocking en France. Le point sur les principaux enseignements dans le prochain MP Actualités.

TEASING MPA Nº28

Contact : ROSE-AIMÉE GEMAIN.

Coordination : Marie Glatt, Nadine medjeber.

Rédaction : lena rose.

S.RÉdaction : EVE MOUGENOT.

SUIVI DE FABRICATION : ANNE GEESEN.

D.A. : EMILIA SAUSSE, Coraline vacher.

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COUP DE FREIN SUR LES SMARTPHONES Fini la croissance à deux chiffres pour les ventes de smartphones ? C’est ce que prédit International Data Corporation (IDC) 2015. Après une année 2015 en pro-gression de 10,4�% par rapport à 2014 (1,44 milliard d’ap-pareils vendus), 2016 devrait ralentir le rythme et ne progresser «�que�» de 5,7�%, avec 1,5 milliard de smart-phones vendus. Des prévisions qui s’appuient sur une arrivée à maturité des marchés américains, d’Europe de l’Ouest et de Chine.

LCI EST DANS LES STARTING-BLOCKS

En attendant son passage en gratuit sur le canal 26 de la TNT le 5 avril, la chaîne d’info est déjà di� usée en direct sur tous les écrans de Mytf1 News (Web, mobiles, tablettes) et en clair au sein des o� res de télévision de Bouygues Telecom, Orange, Canal+, Free, SFR, Numericable, Fransat et Bis TV.

Une offre 360 (Media, Crea, Sport,PR, BTL/Event...) à travers un hubdédié à Paris et un réseau d'agenceset de partenaires couvrant95 % du continent.

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