Basketball, Escrime et Bumball

Le basket fauteuil est apparu grâce à des soldats blessés. Il date de la seconde guerre mondiale et est un des plus vieux handisport.

Un match se joue en quatre périodes de dix minutes chacune. Il y a deux équipes composées chacune de cinq membres. Le but de chaque équipe est de marquer le plus grand nombre de paniers. Les joueurs doivent aussi défendre leur panier.

Le basket se joue sur un terrain de 22 à 29 mètres de long et 13 à 15 de large. Le panier se trouve à 3.05 mètres du sol. Au basket fauteuil, les paniers ont la même hauteur que les paniers du basket normal. Les joueurs doivent aussi dribbler toutes les deux poussées, au contraire du basket normal, où le joueur doit dribbler pour se déplacer.

Aujourd'hui, handibasket est pratiqué dans plus de 80 pays par des handicapés moteurs.

Un match se joue en trois périodes de trois minutes, le vainqueur est celui qui totalise en premier quinze touches. Il existe une période supplémentaire d'une minute pour les départager en cas d'égalité. Chaque touche rapporte un point. Toutes les touches doivent être effectuées avec la pointe de la lame.

Pour l’escrime fauteuil, les deux athlètes sont installés face à face dans un fauteuil roulant qui est fixé sur le sol. Les athlètes ont un équipement d'escrime normal avec en plus des protections pour leurs jambes.

Les adversaires tiennent d'une main leur arme (fleuret, épée ou sabre), et de l'autre se cramponnent à leur fauteuil. Pendant la rencontre, ils doivent rester assis, et ne peuvent se servir de leurs jambes.

C’est un sport danois et un jeux collectif. Il est pratiqué par des handicapés mentaux.

Il se joue en trois sets de onze points avec deux points d’écart. Il y a deux équipes de six à douze joueurs. Il y a plein de zones sur le terrain.

Quelques règles de base sont obligatoires mais on peut inventer ses règles. Quand on nous fait une passe, on ne peut pas rattraper la balle avec ses mains. Il faut la rattraper avec le velcros accroché sur la poitrine ou celui accroché sur les reins. Il faut réceptionner le ballon dans une des zones adverses.

Quand on rattrape la balle avec les reins on marque trois points si on est dans la zone adverse et si on la rattrape avec la poitrine, on marque un point.

Quand la balle tombe au sol on ne peut la prendre qu’avec les reins. Lorsque le ballon est sur la poitrine on doit l’arracher et le lancer (on a le droit

à un pied de pivot et sept secondes). Lorsque le ballon est sur les reins on a le choix entre courir avec (il est

toujours accroché) et un partenaire ou un adversaire doit le prendre. Ou s’arrêter, le prendre et faire une passe. On ne peut pas courir avec le ballon en main et les adversaires ne peuvent arracher la balle que quand on court.

Avant d’essayer, nous pensions que ça devait être très dur de faire du sport en étant handicapé.

Pour nous, d’un côté, ces personnes n’ont pas la chance de vivre « normalement ». De l’autre côté, ils ont la possibilité de pratiquer un sport. Et comme tout sport, c’est une question d’habitude, d’entraînement et de savoir faire : et pour nous ça allait être très compliqué!

Nous avons appris quelques-uns de leurs sports : bien entendu, nous étions un peu perdues car c’était différent des nôtres.

Ce que nous avons préféré, c’est l’handibasket. Nous en avons découvert d’autres comme le kinball et le bumball.

Certains sports n’étaient pas très compliqués mais d’autres étaient vraiment plus difficiles comme, par exemple, les sports pour malvoyants.

C’était super!!!☺

Emma & Lucie