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vidéo poème 

d'Arnaud Poujol et d'Olivier Crouzel

D E U X M A R G U E R I T E N E F O N T P A S

L E P R I N T E M P S

Présenté le 3 juin 2017

au château de Cadillac, Monument National

dossier de diffusionPatrimoine en scène

CRÉATION / VIDÉO-POÈME

Poème et mise en scène, Arnaud Poujol

Création Vidéo, Olivier Crouzel

Avec Elise Servières et Cécile Delacherie, comédiennes

Création Sonore, Benjamin Ducroq

Durée : 50 mn

Deux Marguerite ne font pas le printemps est une création théâtrale et audiovisuelle conçue et

réalisée à l'occasion de la Commémoration des 400 ans du Centre Hospitalier de Cadillac en Gironde

(1617-2017).

Le 3 juin 2017, ce spectacle fut projeté sur la façade du château des ducs d'Épernon, propriété des

Monuments Nationaux.

Deux Marguerite ne font pas le printemps est une évocation poétique et artistique de la vie de

Marguerite B., jeune fille enfermée au château de Cadillac entre 1948 et 1950.

Marguerite témoigne du sort réservé aux femmes dans le château lorsque celui-ci s’appelait la Maison

Centrale de Force et de Correction (1891) ou bien encore l'Institution Publique d'Éducation Surveillée

(1944-1951).Nous suivons Marguerite dés son arrivée le 8 août 1948 à l’IPES de Cadillac jusqu’à son

suicide le 31 Octobre 1950.

Inspirée du livre de Béatrice Koeppel et du film de Gabriel Gonnet Marguerite B., une histoire singulière

mais aussi en écho aux ouvrages de Sophie Mendelsohn, Vagabondes et de Véronique Blanchard,

Mauvaises filles, cette création s’affranchit de la reconstitution et prend la forme d'un vidéo-poème.

Alliant les lettres rédigées par Marguerite B, à l'épais dossier tenu par la Directrice de l'IPES, nous

pouvons la suivre jour après jour jusqu'au dernier.

L'HISTOIRE DE MARGUERITE B

Marguerite B est née en 1930. Elle se donne la mort à 20 ans dans le Château de Cadillac, devenu prison, puis maison de redressement pour jeunes filles. Son suicide en 1950 marque la fermeture des Maisons de Redressements à travers la France. Dans l’imposant dossier que l’administration pénitentiaire consacre à Marguerite B, elle est qualifiée d’ « être exceptionnel (… ), avec une intelligence vive (…), un esprit curieux » et « plus intelligente que la moyenne ». Au Tribunal de Première Instance pour enfants et adolescents de Saint Pol sur Ternoise, le 21 juillet 1948, lui sont reprochés des actes suffisamment graves pour justifier son placement dans différentes maisons de redressement, avant la tristement célèbre, IPES de Cadillac.

Marguerite a battu et volé sa mère lourdement handicapée. Elle vole également la famille de Mademoiselle la Directrice. Fillette de l’après guerre, elle est abandonnée par son père après le divorce de ses parents, elle est le seul soutien de sa mère infirme. Pourtant Marguerite B. préfère à l’image de la victime ou de l’enfant maltraitée, celle du bourreau. Elle refuse toute compassion. « Marguerite n’aime pas les faibles », comme l’écrit la Directrice de l’IPES.

Toujours dans son dossier : « Marguerite fait preuve d'un grand orgueil, elle veut être la première aussi bien dans le mal que dans le bien. La seconde attitude est plus souvent la sienne. »

le 31 Août 49 : Marguerite fait un projet d'évasion et écrit à la Directrice à ce sujet. « (...) Je sais que tout un monde d'imprévus plus ou moins dégradants m'attend au dehors, mais croyez bien

Mademoiselle, qu'il me sera plus facile de les supporter que de supporter votre mépris. » Marguerite B

LE CONTEXTE HISTORIQUE  

Marguerite B arrive le 8 août 1948 à l'Institution Publique d'Éducation Surveillée de Cadillac (IPES).

Cette période-charnière marque le déclin des méthodes coercitives du système pénitentiaire, c’est le début d’une justice des enfants (ordonnance de 1945) avec ses spécialistes préoccupés de l’épanouissement du mineur. Marguerite connaît les errements d’un nouveau système où les éducatrices sont à peine plus âgées qu’elle. Cadillac est le « lieu de laissées pour compte » comme le rappelle l’historienne Michèle Perrot, où sont envoyées celles dont on ne veut plus ailleurs.

Si l’encadrement de L’IPES est bienveillant et renouvelle les méthodes de l’Éducation surveillée, il n’en reste pas moins inexpérimenté, sans formation, animé par la seule foi religieuse et une bonne volonté aiguisée par l’expérience du scoutisme.

Le grand souffle de la réforme de 1945 balaie les vestiges d’un autre siècle.

La mort de Marguerite B signe l’échec d’un système archaïque, en inadéquation avec les théories psychanalytiques et les expériences éducatives qui se font jour.

UNE FLEUR SANS LENDEMAIN : MARGUERITE B

- Pourquoi l'histoire de Marguerite B. est-elle exemplaire ?

- Parce que la violence a une histoire et que cette histoire est la nôtre. Elle nous parle de nous.

- Si l’histoire de Marguerite nous parle de nous, il est difficile cependant de ne pas associer

Marguerite aux grandes figures littéraires qui ont surgi des pénitenciers.

- Sans aller bien loin, Marguerite pourrait être la grande sœur ou la maîtresse d’Albertine Sarrazin

- Ou bien un Jean Genet au féminin partageant avec l’auteur du Miracle de la rose, ce

renversement de toutes les valeurs.

- Tout à fait, c’est pourquoi. Je fais dire à Margot : « … alors j’ai volé Mademoiselle afin de punir Gabrielle

de l’espoir qu’elle ouvrait en moi. Ici les portes sont fermées cric-crac… »

- Marguerite n’aura pas la chance de faire de son talent d’écrivain, un outil de sublimation.

- Oui, effectivement. Elle meurt à 20 ans.

- Dans le film de Gabriel Gonnet, les amis de Marguerite l’appelle Maguy.

- Je n’ai pas ce privilège. C’est pourquoi, j’ai distingué Maguy de son prolongement poétique Margot. Je

ne voulais pas faire parler le cadavre de Marguerite.

- Prénom qu'elle partage avec la duchesse d’Épernon.

- Marguerite de Foix-Candale n’a pas eu le loisir de voir le château fini, elle est morte en couche à 26 ans.

- Cinq ans de plus que Maguy.

- D’où l’idée de la lettre que Maguy adresse à la Duchesse, son double symbolique, l’autre Marguerite.

- Les lettres que l’on entend ont été écrites par Marguerite B.

- Exactement, elles ont été versées à son dossier.

- Une belle langue où sa lucidité est effrayante.

- Elle sait qu’elle est un sujet d’étude. Elle n’est pas dupe de la fascination qu’elle exerce sur la Directrice.

- En projetant sur la façade des prisons les images mentales de Marguerite, son inconscient

semble se déployer.

- Nous souhaitions avec Olivier Crouzel que le poème se mêle aux images mais aussi à la partition sonore

afin de mettre à jour la psyché de Marguerite autant que l’architecture carcérale dans ce qu’elle a de

singulier.

- Les façades des prisons deviennent à leur tour des écrans protégeant l’intimité de celles qui ont

connu la détention ...

- Tout comme Marguerite qui finit par revendiquer le Château de Cadillac comme son unique maison.

« Je suis le Château » dira Margot, elle transforme le lieu du supplice en piédestal.

Entretien d’Arnaud Poujol par Sandrine Salier de Patrimoine en scène.

EXTERIEUR / INTERIEUR  - Dans l’enceinte de la prison, chaque

représentation sera accompagnée d'une

rencontre et du visionnage de la captation

du spectacle à Cadillac.

- D'une intervention de Sophie Mendelsohn,

auteur de Vagabondes ou de Véronique

Blanchard, responsable du Centre

d'exposition " Enfants et justice" de l'ENPJJ,

auteur de Mauvaises filles, en présence des

artistes.

- Projection du vidéo-poème sur la façade

extérieure des établissements pénitenciers

réservés aux femmes.

- Il est peut-être utile de rappeler que le Château de Cadillac n’est pas seulement la demeure du

duc d’Épernon, mais la prison où le nombre de décès est l’un des plus important de France.

- Triste privilège. C’est pourquoi, il fallait se méfier de faire de Marguerite B une image d’Épinal, une

image de la suppliciée avec ce qu’il faut de complaisance et de dolorisme. Marguerite B n’est pas une

sainte. Marguerite est fascinante. Marguerite est scandaleuse.

- Marguerite est malade ?

- Ce n’est pas à moi à le dire. Je ne suis pas médecin.

- Alors comment dire quelque chose d’elle ? Comment faire advenir un corps de femme qui n'est

plus celui de la victime expiatoire ?

- C’est le défi. Les images d’Olivier Crouzel, nous permettent d’appréhender quelque chose de

Marguerite loin de toute commisération. Jusqu’à ce double portrait.

- Son image se confond avec l’image d’une autre Marguerite, la Duchesse d’Épernon.

- Les deux Marguerite mêlent leurs chants sous les étoiles. Elles nous éclairent sur le destin de celles

qui ont souffert à Cadillac

- Comme dans les autres prisons de France.

Elise Servieres comédienne

Jeune comédienne, chanteuse et violoniste, Elise est issue du « Cycle d'Orientation Professionnelle »-classe Art Dramatique du Conservatoire de Bordeaux. Elle a participé à différents stages dirigés par Jeanne Biras, Laurent Rogero, Babeth Fouquet, Stella Irr, Guy Junior Régis, Catherine Beau et Catherine Fourty. Elle a suivi un « master » d’ingenierie de projets culturels, après avoir obtenu sa licence en Lettres Modernes. Depuis 4 ans, son activité professionnelle témoigne de l’exigence de ses choix : 2017 Peer Gynt (Ibsen) - Laurent Rogero / 2016 Ravie (Sandrine Roche) Les Lubies / 2015 O.D.A matériau Arnaud Poujol / 2014 La trilogie de la guerre d'après Eschyle, Luc Cognet / Que sont nos Avenirs devenus d'Adeline David, Luc Cognet / 2013 Le bruit des os qui craquent, de Suzanne Lebeau, Luc Cognet / Les filles de la Lune, de Françoise du Chaxel, Babeth Fouquet / 2012 L'Acte inconnu de Novarina, mise en espace de Luc Cognet / 2011 Les Mals Aimés de Mauriac mise en espace de Pierre Barat / 2010 Le pôle Nord on y revient Lionel Teixeira. Elle mène des ateliers de pratique théâtrale auprès d'un large public (patients de hôpital de Cadillac et de Marmande, collégiens et lycéens).

Cécile Delacherie comédienne

Comedienne, chanteuse, elle se forme au Conservatoire National de Region de Bordeaux. Depuis 1992, elle a joué sous la direction de Gilbert Tiberghein, Jean-Marie Broucaret, Christian Rousseau, Jagen Genuit, Alain Chaniot, Colette Froidefond. Ellea collaboré avec la Compagnie Mutine avec Muriel Barra et Olivier Gerbeaud, y a créé des spectacles jeunes et tout public. Avec Martine Pont et Valerie Ancel, elle forme les V.M.C en 1997. Depuis 2006, elle travaille principalement avec Jean-Philippe Ibos de l'atelier Mécanique Générale Contemporaine. Formatrice, elle intervient auprès de lycéens, de l'école de cirque de Bordeaux, d'avocats au CRFPA de Bordeaux, de danseurs avec la C° Révolution et d'enfants dans le cadre des Ateliers du regard de la Petite Fabrique avec Betty Heurtebise. En 2015, elle joue pour la C° Les Lubies, Même pas peur, et Plaisir d'offrir, joie de recevoir mis en scène par Gilbert Tiberghien.

EXTRAITS IPES de Cadillac, le 10 Octobre 1949

Madame la Directrice,

Vous me demandez de motiver ma conduite de ces derniers jours. J'essaie de le faire. Je ne chercherai pas de vaines excuses. Cette déplorable histoire, croyez-le, n'est ni le pourquoi d'une vengeance quelconque, ni l'explication d'un "j'en ai marre" stupide. C'est l'acte volontaire et réfléchi d'une conscience faussée.

Vous, vous n'avez qu'un seul devoir, nous, quel est le nôtre ? Toujours et malgré tout, nous restons des détenues et je pense que, quoique ce soit stupide, nous avons le droit de rechercher notre liberté et de prendre pour y parvenir le plus de garanties possibles. (…) Je ne pense pas avoir trompé une confiance que vous m'aviez retirée depuis longtemps et que je ne méritais plus. Je pense que je vous ai offensée mais non déçue, je m'en excuse.

Veuillez excuser l'écriture affreuse due à la position incommode dans laquelle je vous écris.

Je vous prie, d'agréer, Mademoiselle la Directrice, avec ma confusion et mon repentir, l'assurance de mon profond respect. Marguerite B

(...) Margot : l'amer de l'océan dans la bouche salée ça c'était l'été l'été d'avant le bel été que c’était

Mademoiselle avait bien voulu au bord de l’océan, elle a demandé à Margot de la suivre avec des détours dans la voix, elle lui a dit avec précaution et mille soins que si Margot le désirait elle pouvait elle avait le droit de l'appeler Gabrielle et non Mademoiselle

Gabrielle

eh bien, croyez-moi, à chaque fois, que je disais Gabrielle c'est comme une porte qui s'ouvrait en moi alors j’ai volé Mademoiselle afin de punir Gabrielle de l’espoir qu’elle ouvrait en moi

ici les portes sont fermées cric-crac (...)

Août 49 : vacances à Oloron dans la famille de la Directrice où Maguy vole de l'argent

EXTRAIT VIDÉO http://www.oliviercrouzel.fr/deux-marguerites-ne-printemps

Arnaud Poujol entre au conservatoire de région de Bordeaux puis intègre, en 1992, le Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris dans les classes de Madeleine Marion, Catherine Hiègel et Jacques Lassalle. Il y affine son intérêt pour les écritures dramatiques contemporaines et collabore avec Philippe Minyana. Il rencontre Didier-Georges Gabily et crée le rôle de Servant dans Chimère et autres bestioles. En 1997, au Jeune Théâtre National, il monte sa première pièce, Les veilleurs, aide d'encouragement de la DMDTS (Ministère de la culture). En 2006, Catherine Riboli met en scéne le triptyque Corpus Europa en partenariat avec le Festival 30'30, l'Agora de Boulazac, La Générale à Paris, et les Chantiers de Blaye et de l'Estuaire. Le texte Le Danseur est mis en scène par Mustapha Aouar, puis repris à Vitry-sur-Seine à Gare au Théâtre. En novembre 2011, résidence à l'OARA pour le projet Orphéo, bourse d'écriture de la Région Aquitaine. Depuis 2011, il collabore avec l'association Patrimoine en scène à l’écriture et la mise en scène des projets culturels menés avec les centres hospitaliers de Charles Perrens et de Cadillac : Correspondances, Parcours Zébrés (I , II, III) Octobre 2016, création de Fils & Filles de Caron au Rocher de Palmer dans le cadre du festival Hors jeu/En jeu. Juin 2017: direction artistique des Commémorations des 400 ans du centre hospitalier de Cadillac avec Patrimoine en scène. Arnaud Poujol publie aux Ed.Moires Dorian & les Télétubbies, ODA Matériau, Behind the green door pour les Paysages nomades Nー2.

Arnaud Poujol Auteur et metteur en scène

Olivier Crouzel création vidéo

Né en 1973 à Fès au Maroc, il vit actuellement à Bordeaux. Parallèlement à ses études d'arts graphiques, Olivier Crouzel débute son activité artistique par des travaux photographiques et des vidéos. En 2002, il intègre la vidéo projection à son langage et développe ses oeuvres dans une relation forte aux paysages. Son atelier, souvent à ciel ouvert, est un endroit qu'il explore. Le repérage, temps de résidence, sauvage ou commandé, donne lieu aux premiers travaux photographiques, prises de sons, films. La captation, et le montage qu'il en fait, servent à l'intervention (projection in situ) ou l'installation en intérieur (projection sur des objets ou des tirages photographiques) qui formalisent l'oeuvre. Si la nature a été sa première obsession il admet désormais que l'homme y a sa place. Et l'homme avec ce qu'il fait du monde, force l'artiste à s'engager davantage. La rencontre avec les gens devient central.

QUELQUES INTERVENTIONS... Adaptation – Paredes de coura – Portugal / Rêver le destin – Biomuseo – Panama city / Boca la caja /Cenon – France / La zone du dehors – Bordeaux / Nuit du patrimoine de Sarlat / / Le Signal – Soulac-sur-Mer / Parole de lecteurs – Saint-Ciers-sur-Gironde / Panorama 2014 – Lormont / Agora 2014 – Bordeaux / Trajet – Eté métropolitain 2014 – CUB / Ici bientôt – Les architectes ouvrent leurs portes – AGA – Bordeaux / Invasion – Observatoire astronomique de Floirac / Transe rupestre – Nuit Européenne des musée – Musée Nationale de Préhistoire / Nuit blanche – Paris / La nuit défendue – Pessac / JunkPage / Darwin/Iboat – Bordeaux / Projet Nouvelle – Rocher de Palmer / Eté métropolitain – CUB / Art et paysage – Artigues / Métamorphose – Darwin – Bordeaux / Caserne Niel – Bordeaux / PanOrama 2012 – CUB /

FICHE TECHNIQUE

Matériel

2 Vidéo-projecteurs : fournis Entre 6000 et 15000 lumens – optique : 0,8 – 1,4

Sonorisation : à prendre en charge

4 enceintes acoustique 500 W 4 pieds d'enceinte 1 amplificateur1 console numérique 1 micro statique 1 micro serre tête 1 recepteur et 1 émetteur numériques câbles (prolon à définir en fonction du site)

Lumière : à prendre en charge

1 Table de régie pour son et lumière 1 Tente de protection du matériel 1 Découpe 2 kw ou PC 2 kw avec Gaffe Aluminium 1 Pied découpe 2 Blocs puissance DMX nicols DP 405 1 Table de mixage console DMX nicols 24 2 Ensembles pied + barre d'éclairage stagg Lis 4 Projecteurs halogène 1000W (avec déflecteur) 4 PAR CP 62 (large) Câbles

Décor : fournis Alimentation et puissance électrique tri 16A à prévoir sur le site 4 praticables type samias

PATRIMOINE EN SCÈNE

Créée en 2009, l'association [Patrimoine en scène] a pour vocation de concevoir et d'organiser des projets culturels dans le domaine de la valorisation et de la médiation du patrimoine.

Consciente que le patrimoine est un enjeu dans la recherche de notre identité mais aussi un vecteur de lien social, elle s'est donnée pour mission de fédérer autour d'un même projet, spécialistes du patrimoine, artistes et public, privilégiant le spectacle vivant et la création artistique alliés aux technologies nouvelles (images, photographie, vidéo, mapping...) comme média de transmission, de rencontres, d'échanges et vecteur de connaissance pour tous.

Elle conçoit des programmes où la création artistique rejoint le patrimoine par le biais du spectacle, des arts et de la création contemporaine, qui font écho à l’histoire du lieu. Elle associe au patrimoine matériel, architectural et historique, le patrimoine immatériel, part importante de notre héritage culturel.

L'Histoire se mêle ainsi à la parole des hommes dans une histoire commune.

Editions : Carnets de voyage à Lormont en 2010 et Escapades à Latresne, 2014, édités aux éditions Confluences.

Patrimoine en scène : Balades nocturnes mises en scène et en lumière, depuis 2011. Carte blanche à différentes compagnies et artistes ( Blop Interjection, C° Farouche, Renaud Borderie, Divers Sens...) Récolte de témoignages : veillées du patrimoine – mis en scène avec Sophie Robin à l'Aérocampusd'Aquitaine et au Domaine de Valrose à Latresne.

Exposition : Réécritures de la ville au Pôle Culturel du Bois fleuri à Lormont, octobre 2012, en partenariat avec la ville de Lormont et le Centre d'art.

Balade urbaine à Lormont : visite guidée artistique et décalée à la découverte du nouveau quartier Génicart en compagnie d'Augustine Picard et Fred Lasnier 2012.

Depuis 2013, en association avec Arnaud Poujol : Cafés Mémoires et Correspondances : Journées du patrimoine du Centre Hospitalier Charles Perrens à Bordeaux - Interprétation Sonia Millot Parcours Zébrés I,II, III : Journées du patrimoine du Centre Hospitalier de Cadillac -2014, 2015, 2016 - Interprétation : Cécile Delacherie et Fred Klein.

2017 : En charge de la conception et de la réalisation du programme artistique des 400 ans du Centre hospitalier de Cadillac: Deux marguerite ne font pas le printemps ; L'Appel des Oubliés, installation sonore de Fred Lasnier; Cadillac : Portraits de nous, exposition de photographies de Bernard Brisé.

Association Patrimoine en scène - Bordeaux - Siret : 52043859900018 -

Contact : Sandrine Salier 06 70 13 12 18 [email protected]

production - diffusion https://patrimoineenscene.wordpress.com

Conseil Départemental de la Gironde – Centre Hospitalier de Cadillac – Château de Cadillac, Monument National – Ville de Cadillac –

Ville de Lormont - Iddac