GUILLAUME!CONSTANTIN! Unnuage#d’incertitudes# 12 03 11au ... ·...
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DOSSIER DE PRESSE / PRESS RELEASE
GUILLAUME CONSTANTIN Un nuage d’incertitudes 12_03_11 au 29_04_11
47 rue de Montmorency – 03 Paris +33(0)1 42 71 30 87 / +33(6) 85 45 01 30 www.bertrandgrimont.com -‐ [email protected] mardi -‐ samedi / 11h -‐ 19h
PATTERN RECOGNITION #5, 2008/2011, tubes pmma soudés, coton ciré, 131x109x58 cm.
UN NUAGE D'INCERTITUDES, 2011, encre, verre, plexiglas, 18 x 24 x 16,5 cm.
Entretien entre Guillaume Constantin et François Aubard
(extrait de l’entretien réalisé en février-‐mars 2011) François Aubart : D’où vient le titre de cette exposition ? Guillaume Constantin : C’était le titre d’un article de journal à propos du nuage de cendres provoqué par l’éruption d’un volcan islandais qui a perturbé le trafic aérien européen en avril et mai 2010. C’est le genre de titre fabriqué, au « catastrophisme calculé» avec une symbolique presque anecdotique, voire fictionnelle qui reste malgré cela assez évocateur et mystérieux lorsqu’on s’y arrête un peu. FA : En fait j’ai aussi l’impression que ce titre peut être lu comme une définition de ton travail puisqu’un nuage est quelque chose de mouvant dans sa constitution même. Par ailleurs un nuage c’est aussi un "tag cloud" fait d’un ensemble de mots clés liés et éparpillés qui composent une identité. Qui plus est, le nuage que tu évoques est fait d’incertitude ce qui me paraît proche de ta façon d’opérer. Souvent tes productions deviennent des sortes de motifs que tu réemplois dans différents contextes et qui peuvent ainsi passer d’un matériau à un autre. Est ce que c’est une raison pour le choix de ce titre? GC : Un nuage est quelque chose d’assez paradoxal. Ce n’est pas évident d’imaginer que c’est une grande quantité d’eau en suspension dans l’atmosphère qui change d’aspect selon les circonstances. C’est donc quelque chose d’apparemment très simple mais qui est en réalité assez complexe. Ce caractère mouvant m’intéresse beaucoup en effet. J’ai aussi choisi ce titre pour les dysfonctionnements produits par ce nuage de cendres. Comme une métaphore de mon travail : une pratique tout en dysfonctionnement, en fragilité, en instabilité, truffée de références mortuaires plus ou moins directes comme par exemple une réplique en noir sur noir d’un catalogue des Blacks Paintings d’Ad Reinhardt (1), l’extinction de plus de lumière, un néon de Claude Lévêque qui reprend Goethe (2), de faux néons qui ne fonctionnent pas (3) ou encore les everyday ghosts (4). Je souscris complètement à ton idée de tag cloud, un nuage de mots-‐ clés, ça me semble assez juste, car ce que je fais sont des combinaisons d’éléments qui gravitent ensemble et se relient à un endroit et à un moment donnés. Tu évoques des mots-‐clés, je pourrais ajouter des « matériaux-‐clés » qui définissent très bien la notion de motifs. Des matériaux qui s’assemblent, qui se confrontent mais pas toujours de manière très contrôlée. Ma pratique se définit beaucoup plus maintenant par ce jeu-‐là que par sa relation à la fragilité ou par rapport à la mort. FA : Est-‐ce que tu peux préciser ce que tu entends par « matériaux-‐ clés » ? Je te pose la question parce que certains reviennent assez régulièrement, comme des motifs ou des objets. C’est le cas par exemple des draps ou les pierres auxquels tu es revenu régulièrement. Quels rapports entretiens tu avec les matériaux et les objets que tu traites et utilises?
GC : De mon point de vue, tout est matériau et un matériau-‐clé « ouvre » littéralement une porte d’entrée vers un sentiment, un propos, une idée. Il peut s’agir d’un matériau précis: le liège d’isolation, le plastique thermoformable ou les bâtons de plexiglas mais aussi du caractère figuratif d’une pièce ou de sa lisibilité, s’il s’agit d’un fragment de texte comme je le fais avec les spams ou les citations. Tous ces éléments forment une sorte de palette dans laquelle je puise pour avancer des formes et des propositions. La récurrence des motifs dont tu parles, comme les rochers ou les drapés, sont des référents classiques voire archaïques de la sculpture que je revisite et détourne à ma manière. Ce qui induit ainsi une certaine lecture du passé, de la tradition et un jeu avec elle. Ce sont des éléments qui se télescopent avec les matériaux industriels, chimiques, standards que j’utilise. ________________________ 1. Print it black, 2008, impression laser noire sur papier canson noir 28x20cm (format fermé). Reproduction intégrale du catalogue «Black paintings» (1970) d’Ad Reinhardt. 2. Plus de lumière (reprise), 2007, plexiglas, câbles électriques, carton, supports en pvc. Reprise du néon de Claude Lévêque (1999). 3. Let’s just imitate the real until we find a better one, 2009, plexiglas peint, carton plume noir, supports acryliques, câbles électriques et prise murale. 400x 200 cm. Imagination aveugle, 2011 plexiglas, peinture phosphorescente, supports acryliques, silicone, 90x30 cm. 4. Veille d’écran téléchargeable «Everyday ghosts» réalisée pour la revue Hypertexte n°3 http://www.projet-‐hypertexte.com/index.php?page=10_No3-‐Constantin&sommaire=s_no3
Interview between Guillaume Constantin and François Aubard
(excerpt from the interview conducted in Feb.-‐March, 2011) François Aubart: Where does this show's title comes from? Guillaume Constantin: It was a newspaper article title on the ash cloud caused by the eruption of a volcano in Iceland, it had disrupted the air traffic over Europe between April and May 2010. This is the kind of title which is fabricated with 'calculated catastrophism', with a near anecdotical, even fictional symbolism that, nevertheless, remain quite evocative and mysterious when we take the time to consider it. FA : Actually I feel that this title can be read as a definition of your work since a cloud is something for which movement is built-‐in its own properties. Furthermore, a cloud is also a 'tag cloud', a set of keywords linked and scattered to compose an identity. Moreover, the cloud you suggest is made of uncertainty which seems to me close to your way of operating. Often your productions become patterns that you reuse in different contexts and can be thus translated from one material to another. Is this a reason for choosing this title? GC: A cloud is something quite paradoxical. It is not easy to imagine that it is a large amount of water suspended in the atmosphere and prone to change its appearance depending on the circumstances. So this is something seemingly very simple but is actually quite complex. This changing property interests me very much indeed. I also chose this title for the dysfunctions produced by this ash cloud, as a metaphor for my work: a practice made of dysfunction, fragility, unbalance, replete with direct or oblique references to death, for example a black on black replica of Ad Reinhardt's (1) 'Black Paintings' catalogue, or the extinction of more light, a Claude Lévêque neon that cites Goethe (2), also the false neons that do not work (3), and the series 'Everyday Ghosts (4). I agree fully with your idea of tag cloud, a cloud of keywords, it seems to me quite fair, since what I do are combinations of elements that gravitate together and connect to a given location in space and time. You mention keywords, I might add 'key materials' that define very well the pattern notion. Materials that fit together, facing each other but not always in a controlled manner. My practice is now defined much more by this notion than by its relation to fragility or over death. FA: Can you clarify what you mean by "key materials"? I'm asking this question since some of them come back regularly as patterns or objects. This applies to bed sheets or stones for example. What kind of relationship to you have with the materials and objects that you process and use? GC: From my point of view, everything is a material and thus a 'key material'
literally 'opens' a gateway to a feeling, a notion, an idea. It may be a specific material such as cork insulation, thermoformed plastic, or Plexiglas sticks but also the figurative character of a room, its 'readability', or as I do with text fragments such as spams of quotes. All the elements form a kind of palette in which I draw in order to bring forward forms and proposals. The recurrent patterns that you mention, such as draperies or rocks, are classical, even archaic references in sculpture that I enquire and divert in my own way. That induces a certain reading of the past, the tradition and a play with it. These elements collide with standard industrial and chemical materials that I use. (1) 'Print in black', 2008, black laser print on black Canson paper, 28x20 (closed format), full reproduction of Ad Reinhard's 'Black Paintings', 1970 (2) 'Plus de lumière (retake)', 2007, Plexiglas, electrical wires, cardboard, pvc stands, retake of Claude Lévêque neon, 1999. (3) 'Let's just imitate the real until we find a better one', 2009, painted Plexiglas, black feather cardboard, phosphorescent paint, acrylic stands, silicone, 90x30cm (4) 'Everyday Ghosts', downloadable screensaver, produced for the Hypertexte magazine, n°3: http://www.projet-‐hypertexte.com/index.php?page=10_No3-‐Constantin&sommaire=s_no3
(Translation by Samy Da Silva)
Curriculum Vitae Guillaume CONSTANTIN 07/08/1974 EXPOSITIONS PERSONNELLES / (sélection) 2011 UN NUAGE D’INCERTITUDES, Galerie Bertrand Grimont, Paris. OF OF FOSSIL OF, Galerie Bonneau-‐Samames, Marseille. 2010 CE SOIR J’AVALE avec Arnaud Rivière et Damien Schultz, DAF, Nantes. PATTERN RECOGNITION #4, Chapelle Saint Gildas, L’art dans les Chapelles, Bieuzy-‐les-‐Eaux. 2009 COPIES CACHÉES hors-‐les-‐murs, Parc Saint léger, Pougues les Eaux. LET’S JUST IMITATE THE REAL UNTIL WE FIND A BETTER ONE, Galerie Bonneau-‐Samames, Marseille. 2008 TOUTES SORTES D’OMISSIONS, Ecole Supérieure d’Arts, Lorient. EXPOSITIONS COLLECTIVES/ (sélection) 2011 DRAWING NOW PARIS, salon du dessin contemporain, Carousel du Louvre, Paris UNE CHAMBRE EN VILLE commissariat CODE 2.0 (Clément Dirié & Laetitia Chauvin), Fondation Bullukian, Lyon. 2010 CARNETS D’INSPIRATION + Musée d’art moderne de la ville de Paris, Paris. LA GAMME PÉROUSE, commissariat Maxime Thieffine & Alexandre Ovize Atelier Lamarche-‐Ovize, Aubervilliers. CARGO CULTE, commissariat Axelle Banc et Tiphanie Chateigné-‐Blanc La vitrine, Paris. LES INTERLOCUTEURS, commissariat Mathilde villeneuve Printemps de Septembre / Palais des Arts, Toulouse. SUR LA TERRE COMME AU CIEL…, centre d’art contemporain, Pontmain. THÉORÈME, Galerie Bertrand Grimont, Paris. DERRIÈRE LA FORME / DOUCES COMBINAISONS, commissariat Colin Champsaur, Galerie Bonneau-‐Samames, Marseille QUELLE ÉNERGIE METTONS-‐NOUS À TRANFORMER LES CHOSES, AVEC UN PLAISIR NON DISSIMULÉ, une proposition de Rada Boukova, la Générale en Manufacture, Sèvres. COLLÈGE ROBINSON, commissariat Cécilia Bécanovic Ateliers des Arques.
INS BLICKSFELD GERÜCkT, commissariat Gaëlle Boucand & francisca würz, Institut français, Berlin. LES BELLES IMAGES SECOND SCÉNARIO, commissariat Céline Poulin & Grégory Castéra, La Box, Bourges. ESPÈCES D’HYBRIDES, une proposition du Buy-‐Sellf Art Club, 40mcube, Rennes. 2009 PLUS RÉEL QUE L’HERBE : LES CRATÈRES DE L’INFINI, commissariat Ernesto Sartori, ZOO Galerie, Nantes. PLUS RÉEL QUE L’hERBE : LOW PROFILE, HI-‐RESOLUTION commissariat Armand Morin ZOO Galerie, Nantes. SLICK ART FAIR 2009, Invitation de la Galerie Bertrand Grimont au 104, Paris. TOILET ENCOUNTERS #2, Invitation de Charlie jeffery, Paris. NOUS NE VIEILLIRONS PAS ENSEMBLE, commissariat Label hypothèse, galeries Nuke/Bertrand Grimont / la Générale/ 0fr -‐ Paris. ART AThINA, foire d’Athènes, Galerie Bonneau-‐Samames (Marseille). RÉPERTOIRE POUR UNE fORME commissariat M.villeneuve La vitrine, Paris. 2008 PARADOXE DU TRÉSOR ... /... A SPLIT SINGLE, avec Raphaël Zarka, Interface, Dijon. Avec Raphaël Zarka Cardenas-‐Bellanger, Paris. Une invitation de Claude Lévêque frac haute Normandie, Sotteville-‐Lès-‐Rouen. PLAYTIME A DISTANCE (BEHIND THE BACK OF R.DEACON) , Galerie Bernard Jordan, Paris. POWER ON, avec Anthony Duchêne & hugo Schüwer-‐Boss Le 13Bis, Clermont-‐Ferrand. CE QUI REvIENT une exposition de françois Aubart, Galerie ACDC, Brest. THE WHITE PATCH HAD BECOME A PLACE OF DARKNESS, commissariat G.Constantin. 619.jPG XS UN VOYAGE D’HIVER CE VOLUME D’AIR CONTENU, La Générale, Paris. 2007 HORIZONS SYNTHÉTIQUES, RÉCURRENCES DÉROBÉES, commissariat Mélanie Bouteloup & Grégory Castéra Bétonsalon, Paris. 2006 XS PARIS, commissariat E.wetterwald, Fondation d’Entreprise Ricard, Paris. 10 SAISONS, 1996-‐2006, Galerie du haut Pavé, Paris. AVEC LESQUELLES J’EXERÇAIS DANS L’OMBRE, Galerie villa des Tourelles, Nanterre, Histoire de l’oeil, Marseille, Commissariat l’Ambassade, Appt 619, Cité Radieuse, Marseille. Commissariat E.wetterwald Espace Mica, St Grégoire, Rennes. Avec Raphaël Zarka une invitation de Tripode, Espace Diderot, Rezé/Nantes. Commissariat l’Ambassade Mains d’œuvres, Saint Ouen. Cardenas Bellanger, Bruxelles. commissariat Raphaël Zarka Bétonsalon, Paris. 2005 MEMOIRE COLLECTIVE SERENDIPITY OU LA PRODUCTIVITÉ DU HASARD,
Console/Galerie Frédèric Giroux, Paris. 2004 BUY-‐SELF, Ateliers d’Artistes, Marseille. PRINTROOM, Het wilde weten, Rotterdam, Pays-‐Bas. 2003 DASEIN, Ernst-‐Barlach Museum, hambourg. 2001 Centre d’Art Contemporain, Pontmain. SINCÈRES FÉLICITATIONS, Diplômés en 2000, Ensb-‐a, Paris. FORMATION 1999/2000 DNSAP obtenu à l’ENSB-‐A, Paris, avec les ‘félicitations du jury ‘ à l’unanimité. Atelier Richard DEACON. 1997/1999 DNSEP, Ecole Supérieure d’Arts d’Angers. 1994/1997 DNAP obtenu avec mention, Ecole Supérieure d’Arts d’Angers. ENSEIGNEMENT, CONféRENCES -‐ Enseignant en sculpture, Parsons Paris, depuis septembre 2008. -‐ jury DNAP, ENSA Limoges, juin 2010. -‐ Artiste intervenant dans l’ARC Paysage avec les étudiants l’ESA de Clermont–ferrand, Sète, novembre 2009. -‐ Conférence au Crac de Sète, novembre 2009. -‐ jury DNSEP, ESA Lorient, juin 2009. -‐ Conférence, Collège de Dornes, mai 2009. -‐ Conférence, Les Arcades Ecole Municipale d’arts, Issy-‐Les-‐Moulineaux, janvier 2009. -‐ Présentation de la Sonate hoboken, Séance d’écoute proposée par Grégory Castéra, Bétonsalon, Paris décembre 2008. -‐ Conférence et visites d’ateliers, Ecole Régionale des Beaux-‐Arts, Rouen octobre 2008. -‐ Conférence et visites d’ateliers, Ecole Supérieure d’Arts, Lorient janvier 2008. -‐ workshop de sculpture (1ère et 2ème années), faculté d’arts plastiques, Université de Lille, octobre -‐ novembre 2007.
COMMISSARIAT D’EXPOSITIONS Depuis 2002, programmation arts visuels aux Instants Chavirés, salle de concerts dédiée à la diffusion des musiques improvisées et expérimentales à Montreuil (93). www.instantschavires.com RIEN À vOIR 2002 -‐ 2010 programmation mensuelle de vidéos d’artistes, LIEUX COMMUNS 2004 -‐ 2007, festival arts sonores, concerts et arts visuels, CE MOMENT D’ATTENTE de Dominique PETITGAND (exposition personnelle) 2008 lA SPéCIfICITé DES SOLS -‐ ART GRANDEUR NATURE 2008 (exposition collective) PAR DES RIGOLES, DES CANAUX, LA fORME EST CONDUCTRICE 2009 (exposition collective) L’éTAT DE SURfACE 2010 (exposition collective) RÉSIDENCES Collège Robinson (commissariat C. Bécanovic) Ateliers des Arques, 2010 Immanence Paris-‐Berlin , 2008 Atelier/Résidence Astérides, Marseille 2007 ‘Corps et biens’ Chapelle St Eman, Chartres 2003 Centre d’Art Contemporain, Pontmain 2001 BOURSES Aide individuelle à la création, Drac Ile-‐de-‐france, 2009 Aide de la ville de Paris, département l’Art dans la ville, 2008 PUBLICATIONS «HYPERTEXTE #3 Des fantômes à l’oeuvre» éditions Ed Spector, 2010 «Une forme pour toute action» notices de Mathilde vILLENEUvE, Printemps de septembre, 2010 «Nous ne vieillirons pas ensemble» catalogue collectif texte de C. ALANDETE 2010 « L’art dans les chapelles» texte de Pl CONSTANTIN 2010 « BOOK» projet collectif éditions Lendroit 2008 ‘the white patch had become a place of darkness’ Galerie hO -‐ histoire de l’oeil, Marseille 2008 “10 saisons – 1996/2006” Galerie du haut-‐Pavé, texte de Maxime THIEFFINE 2007 “Rond-‐points de Novembre”, CAPI, Saumur 2007 “l’excuse du vide” publication numérique, résidence chez Astérides, Marseille 2007 “Nos amours de vacances” catalogue de l’exposition, texte de Cecilia BECANOVIC 2006. “Memoire Collective” Catalogue de l’exposition, texte de Richard DEACON 2005. Catalogue ‘Buy-‐Sellf n°4», 2004. ‘résidence 2001’, Centre d’Art Contemporain, Pontmain, texte de Pierre GIQUEL 2001. ‘sincères félicitations’, Diplômés en 2000, Ensb-‐a, Paris, texte d’Anne TRONCHE 2001.
Remerciements à François Aubard, Samy da Silva et à la Direction Régionale des Affaires Culturelles d’Ile de France. Photographies Aurélien Mole.