Guide touristique 20janv 2 - chaudiereappalaches.com · GUIDE TOURISTIQUE du patrimoine religieux...

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ŒUVRES D’ART

CROIX ET CALVAIRES

GUIDE TOURISTIQUE du patrimoine religieux

de Lévis

Ce guide touristique du patrimoine religieux de Lévis est une initiative de la Corporation du patrimoine et du tourisme religieux de Lévis. Il représente une parcelle des éléments répertoriés sur le territoire

de la ville de Lévis. La version complète est disponible sur le site Web de la Corporation à l’adresse www.patrimoinereligieuxlevis.com,

vous y trouverez entre autres une carte interactive afin de repérer plus facilement tous les éléments ainsi qu’une bibliographie complète.

RECHERCHE Marjorie Côté

PHOTOS Marjorie Côté et Luc Fontaine

CORRECTIONS Monique Lehouillier, Yolande Samson Rivard et Pierre-Antoine Rivard

CONSEIL D’ADMINISTRATION DE LA CORPORATION DU PATRIMOINE ET DU TOURISME RELIGIEUX DE LÉVIS Monique Lehouillier, présidente Nicole Goupil, vice-présidente Yolande Samson Rivard, secrétaire Pierre-Antoine Rivard, trésorier Luc Fontaine, administrateur André Matte, administrateur

2015 Corporation du patrimoine et du tourisme religieux de Lévis © Tous droits réservés

« Une société sans reconnaissance de son

héritage culturel matériel et immatériel

est vouée à la perte de son identité,

de ses trésors et de son histoire. »

Le patrimoine façonne l’histoire d’un peuple et lui donne une direction et un sens pour les générations actuelles et futures. Il balise le meilleur pour la collectivité et sa visibilité dans la diversité culturelle et créative.

Par ses activités, la Corporation du patrimoine et du tourisme religieux de Lévis contribue à susciter la fierté légitime des citoyennes et citoyens de Lévis.

La Corporation veut assurer la sauvegarde et la protection des cultures traditionnelles matérielles et immatérielles par la mise en valeur de ses richesses historiques religieuses et marquantes de la collectivité et transmises de génération en génération.

Monique Lehouillier, présidente du conseil d’administration Corporation du patrimoine et du tourisme religieux de Lévis

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QUI SOMMES-NOUS?

La Corporation du patrimoine et du tourisme religieux de Lévis a pour mandat d’encourager la sauvegarde et la promotion du patrimoine religieux lévisien par la formation d’un regroupement d’intervenants religieux, culturels et touristiques, ainsi que de toutes personnes physiques ou morales qui partagent les objectifs suivants :

• Conscientiser les divers intervenants aux valeurs religieuses, sociales et culturelles du patrimoine religieux;

• Sensibiliser les dirigeants civils et religieux et la population en général à l’importance de sauvegarder et de protéger les patrimoines qu’ils soient matériels et immatériels;

• Assurer l’acquisition de compétences auprès des communautés dans leurs tâches de conservation;

• Inventorier l’ensemble des biens de valeur patrimonial (architectural, artistique, archivistique, etc.) sur le territoire lévisien;

• Favoriser la mise en valeur, la promotion et la diffusion du patrimoine religieux de l’ensemble des biens de valeur patrimonial ainsi que du patrimoine immatériel;

• Développer des pratiques en matière de recyclage des édifices et des propriétés religieuses.

Concrètement, en quoi consiste le travail d’un inventaire patrimonial religieux? Dans un premier temps, il faut bien se documenter. D’ailleurs, si l’information est absente, il faut faire l’impossible pour en trouver. Il faut comparer les diverses études et les informations que l’on possède sur le sujet, faire plus de recherches. C’est un travail en constante évolution. Une fois la recherche effectuée, il faut compiler l’inventaire disponible en ligne. En résumé,

la majorité du travail est reliée à la recherche et à la vérification des informations que l’on possède sur le sujet.

Par la suite, la prise de photos des lieux, objets, et édifices est parfois désolante. Alors qu’est-ce que j’ai vu durant tout ce temps? Je vous dirais des monuments parfois oubliés ou abandonnés dont la peinture aurait besoin d’être refaite. Les constructions en bois sont plus vulnérables et l’engagement des citoyens est nécessaire pour en assurer la conservation. Souvent vandalisés, les monuments disparaissent parfois du jour au lendemain ne laissant plus qu’un socle vide et une inscription du passé. Les édifices sont généralement bien entretenus.

Bien sûr, la question « devons-nous investir? » demeure présente. Je répondrai qu’au nombre de monuments qui requièrent des soins (ce n’est pas la majorité), l’investissement devrait être fait et l’engagement doit se poursuivre. Pour moi, il est important de se souvenir. Lorsqu’une communauté perd la mémoire, elle perd aussi son identité qui la fait vivre.

En dernier lieu, il convient de noter que mon travail n’aurait pu être complet sans l’aide de la ville de Lévis et les nombreuses paroisses et les sociétés historiques qui m’ont aidée avec la recherche d’informations.

Bonne lecture et bonne exploration.

Marjorie Côté (B.A.)

Table des matièresÉglise Sainte-Jeanne-d’Arc . . . . . . . 31Église Très-Saint-Rédempteur . . . 32Juvénat Notre-Dame-du-Saint-Laurent. . 33Maison Alfred Pampalon . . . . . . . . . . 34Maison Duffy . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35Patro de Lévis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36Presbytère de l’église Notre-Dame-de-la-Victoire . . . . . . .37Presbytère de l’église Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours . . . . 38Presbytère de l’église Saint-David-de-l’Auberivière. . . . . 39Presbytère de l’église Saint-Jean-Chrysostome. . . . . . . . . 40Presbytère de l’église Saint-Joseph-de-la-Pointe-Lévy . . . . . . . . 41Presbytère de l’église Saint-Nicolas . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42Presbytère de l’église Saint-Romuald . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43Presbytère de l’église Sainte-Hélène-de-Breakeyville . . 44Presbytère de l’église Très-Saint-Rédempteur . . . . . . . . . . . 45Résidence des Pionniers. . . . . . . . . . . 46Résidence Déziel-Blanchet. . . . . . . . .47Résidence Notre-Dame. . . . . . . . . . . . 48Résidences du Précieux-Sang. . . . 49St. Andrew’s United Church . . . . . . . 50

Croix et CalvairesCalvaire de la route Marie-Victorin . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51Calvaire de la rue Pierre-Beaumont . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52Calvaire Saint-Joseph-de-la-Pointe-Lévy . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53

BâtimentsAnglicane . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7Bibliothèque Pierre-Georges Roy. . 8Chapelle de la Résidence Pie X. . . . . 9Chapelle de Procession Saint-François-Xavier . . . . . . . . . . . . . . 10Chapelle de Procession Saint-Nicolas . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .11Chapelle de Procession Sainte-Anne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12Chapelle des Sœurs de la Charité de Saint-Louis . . . . . . . 13Chapelle Notre-Dame-de-Grâce. . 14Chapelle Saint-Joseph . . . . . . . . . . . . . 15Christ Church New Liverpool. . . . . . . 16Collège de Lévis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17Condominium Le Parvis de Bienville . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18Église ChristRoi. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19Église dite chapelle Sacré-Cœur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20Église Notre-Dame-de-la-Victoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21Église Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours . . . . . . . . . . . . . 22Église Saint-David-de-l’Auberivière. . . . . 23Église Saint-Étienne-de-Lauzon . . . . . . . . . 24Église Saint-Jean-Chrysostome. . . . . . . . . 25Église Saint-Joseph-de-la-Pointe-Lévy . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26Église Saint-Louis-de-Pintendre. . . . . . . . . .27Église Saint-Nicolas . . . . . . . . . . . . . . . . 28Église Saint-Romuald . . . . . . . . . . . . . . 29Église Sainte-Hélène-de-Breakeyville. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30

Croix commémorative du parc des Pionniers . . . . . . . . . . . . . . 54Croix de chemin de la route des Rivières. . . . . . . . . . . . 55Croix de chemin du chemin Beauséjour . . . . . . . . . . . . . 56Croix de chemin du chemin des Îles . . . . . . . . . . . . . . . . . . .57Croix de chemin du chemin Sainte-Anne Ouest . . . 58Croix de chemin du chemin Ville-Marie . . . . . . . . . . . . . . 59Croix de Tempérance. . . . . . . . . . . . . . . 60

Instruments de musiqueOrgue de l’église Notre-Dame-de-la-Victoire . . . . . . . 61Orgue de l’église Saint-Jean-Chrysostome. . . . . . . . . 62Orgue de l’église Saint-Romuald . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 63

Œuvres d’artChaire de l’église Saint-Romuald . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64Chemin de croix du Cimetière Mont-Marie. . . . . . . . . . 65Chemin de croix du Cimetière Mont-Marie. . . . . . . . . . 66Christ en croix de l’église Saint-Romuald . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .67Clôture de chœur de l’église Saint-Romuald . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 68Fonds baptismaux de l’église Saint-Romuald . . . . . . . . . 69Monument de la Sainte-Vierge (Josephte Stéphanie) . . . . . . . . . . . . . . .70Sacré-Cœur de l’église Notre-Dame-de-la-Victoire . . . . . . . 71

Sacré-Cœur de l’église Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours . . . . .72Sacré-Cœur de l’église Saint-Nicolas . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .73Sacré-Cœur de l’église Saint-Romuald . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .74Sacré-Cœur de l’église Sainte-Hélène-de-Breakeyville . . .75Sacré-Cœur du cimetière Mont-Marie alias Sacré-Cœur de l’église de Saint-Antoine-de-Bienville . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .76Saint-Joseph de l’église Saint-Romuald . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 77Sculpture de l’Ange du Jugement dernier . . . . . . .78Sculpture de l’Éducation de Marie du Cimetière Mont-Marie. . .79Sculpture de la Vierge à l’enfant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 80Sculpture de la Vierge aux Roses de l’Immaculée Conception . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 81Sculpture de la Vierge Marie . . . . . 82Sculpture de Monseigneur Déziel . . . . . . . . . . . . . . . . . 83Sculpture de Saint-Casimir . . . . . . . 84Sculpture de Saint-Eusèbe . . . . . . . 85Sculpture de Saint-François-Xavier . . . . . . . . . . . . . 86Sculpture de Saint-Jean-de-Brébeuf. . . . . . . . . . . .87Sculpture de Saint-Joseph . . . . . . . 88Sculpture de Saint-Richard. . . . . . . 89Sculpture de Sainte-Thérèse-de-l’Enfant-Jésus . . . . . . . . . . . . . . . . . . 90Table de communion de l’église Saint-Romuald . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 91Tombe de Mère Saint-Cyprien. . . . 92

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Anglicane L’Anglicane est construite dans les environs de 1848-1850 et est l’œuvre de l’architecte britannique Edward Staveley. La communauté de l’Église d’Angleterre prend donc entente le 15 juin 1848 avec Simon Peters, entrepreneur, pour la construction d’une église en pierre. Cette église est inaugurée le 7 juillet 1850. En 1935, la foudre détruit le clocher d’origine qui était fait de pierres et prenait place dans le prolongement du mur pignon. Servant principalement au culte du XIXe au XXe (une partie), le lieu devient désaffecté et la ville de Lévis en fait l’achat en 1973. En 1975, l’Anglicane changera de vocation et deviendra une salle de spectacles. Elle est reconnue officiellement le 6 décembre 1999 comme lieu patrimonial et est inscrite au répertoire canadien le 2 février 2006.

31 rue Wolfe, Lévis, G6V 3X6

Arrondissement Desjardins

Construction : 1848-1850

Propriétaire : Ville de Lévis

Téléphone : 418-838-6000

Site Web : www.langlicane.com

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Bibliothèque Pierre-Georges Roy Anciennement : Chapelle du Collège de Lévis

C’est en 1889 que monsieur Louis-Édouard Couture fait don au Collège de Lévis d’une somme d’argent pour amorcer le projet de construction d’une nouvelle chapelle. La construction se termine vers 1900. Cette dernière possède quelques bijoux, dont un orgue signé Casavant (1903) qui est non fonctionnel aujourd’hui. Elle comprend aussi une œuvre de Lauréat Vallière (escalier qui mène au jubé), sculpteur originaire de Saint-Romuald. Aujourd’hui, la chapelle du Collège de Lévis fait face à la modernité. Cette dernière a été fermée au culte en 1994 et transformée en bibliothèque en 1996, la bibliothèque Pierre-Georges Roy.

7 rue Monseigneur-GosselinLévis, G6V 5J9


Construction : environ 1891


Téléphone : 418-838-4122

Site Web : www.ville.levis.qc.ca/bibliotheques

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Chapelle de la Résidence Pie X La chapelle construite en 1954 est l’œuvre de Paul-Émile Samson (concepteur-architecte). L’ensemble de l’édifice était, lors de sa construction,

une école privée. Le bâtiment est la propriété des Sœurs de la Charité de Saint-Louis et une partie sert à l’Hôtel-Dieu de Lévis. Monsieur Samson s’est illustré ailleurs dans la ville par la construction du bureau de poste (1955).

106 rue Jean XXIIILévis, G6V 2K1


Construction : 1954

Propriétaire : Privé

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Chapelle de Procession Saint-François-Xavier La construction de la chapelle se situe autour de 1809. Le terrain avait été donné par madame Madeleine Duclos. La chapelle est remarquable grâce à sa situation géographique, elle était en bordure du chemin du Roy et tout près de l’église Saint-Joseph. Comparée aux autres chapelles de procession, la chapelle de Procession Saint-François-Xavier est un peu plus grande. Elle se différencie en outre par la plaque sur la façade indiquant 1822 et à la petite niche en haut de la porte. Sa jumelle se trouve un peu plus vers l’ouest, il s’agit de la chapelle de Procession Sainte-Anne. La chapelle est classée monument historique par le Ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine le 5 octobre 1977 selon la loi sur les biens culturels.

344 rue Saint-JosephLévis, G6V 1G2




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Chapelle de Procession Saint-Nicolas C’est en mars 1768 que monsieur Louis Nadeau donne un terrain à la fabrique de Saint-Nicolas pour y la construire. C’est un don conditionnel à ce que la chapelle soit construite incessamment et que lors de son inauguration un Ave Maria soit dit pour lui et sa famille. La construction se fera au cours de l’été. En 1870, monsieur Joseph Gosselin y effectue quelques réparations. Elle en subira d’autres en 1914, en 1969 et en 1994 à l’occasion des 300 ans de Saint-Nicolas. À près d’un kilomètre plus loin se trouvait sa voisine, la chapelle de Procession du sud-ouest qui a été déplacée aux Éboulements. La chapelle de Procession Saint-Nicolas possède des murs en pierres et crépis, un toit à deux versants un peu retroussé et un clocher à base carrée au sommet duquel se dressent une lanterne et une flèche surmontées d’une croix. La chapelle

est classée immeuble patrimonial depuis le 6 décembre 1961 par le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine selon la loi sur les biens culturels.

1413 rue des PionniersLévis, G7A 4L3

Arrondissement Chutes-de-la-Chaudière-Ouest


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Chapelle de Procession Sainte-Anne La chapelle de procession Sainte-Anne est construite en 1789. Le terrain pour sa construction a été donné par Joseph Samson le 7 juin 1789, celui-ci désirant que la chapelle construite soit en l’honneur de Sainte-Anne. Elle possède une jumelle, la chapelle de Procession Saint-François-Xavier située un peu plus vers l’est. Elle s’avère différente des deux autres chapelles de procession connues sur le territoire de Lévis puisqu’elle possède une sacristie à la charpente en bois. Celle-ci a été ajoutée au long-pan gauche entre 1892 et 1896. La chapelle était située, comme Saint-François-Xavier, en bordure de l’ancien chemin du Roy. En 1891, la chapelle subit quelques restaurations dans le but de faire revivre les processions en l’honneur de Sainte-Anne. Ainsi, elle est repeinte et réparée. En 1896, on ajoute une nouvelle cloche à la chapelle.

220 rue Saint-JosephLévis, G6V 1C9


Construction : 1789


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Chapelle des Sœurs de la Charité de Saint-Louis La chapelle du bâtiment se retrouve dans la section de l’édifice datant de 1912. Le couvent a subi plusieurs modifications. Dès les débuts, l’édifice ne comportait que la partie nord (parallèle à la rue Saint-Louis-de-France). Suivant un plan au sol en forme de « E », d’autres modifications furent apportées au bâtiment en 1940 (aile parallèle à la rue Saint-Omer) et en 1950 (parallèle à la rue Saint-Antoine). On y retrouve aussi un orgue de la compagnie Casavant et frères datant de 1960, il fût acheté en 1977. Les vitraux ont été réalisés par Guido Nincheri en 1957.

6670 rue Saint-Louis-de-France Lévis, G6V 1P3


Construction : 1912

Propriétaire : Sœurs de la Charité de Saint-Louis

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Chapelle Notre-Dame-de-Grâce Construite en 1867-1868, la chapelle connaît l’ajout d’une sacristie en 1896 sur le côté ouest. En 1897 avait été aussi construit un porche devant la façade, celui-ci a été détruit en 1956 puis reconstruit en 1999-2000. Fait intéressant, la hauteur de la chapelle fait 33 pieds faisant référence à l’âge du Christ lors de son décès. La hauteur de la chapelle s’inscrit aussi dans une logique propre à la construction des bâtiments aux XIXème où les bâtisseurs construisaient en hauteur pour se rapprocher du ciel. Les plans de la chapelle sont l’œuvre de l’abbé Octave Audet. Elle a été construite près de la maison Pâquet. La chapelle était un lieu de culte privé appartenant à la famille. D’ailleurs, elle sera utilisée à des fins religieuses : lieux de culte et éducation religieuse jusqu’au milieu du XXème. Étant donné sa situation géographique et sa proximité de l’église paroissiale, elle a servi aux pèlerinages, aux événements spéciaux et aux dévotions paroissiales. Considérée comme un bijou d’architecture, elle est classée monument historique en 1989 par le Ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine selon la Loi sur les biens culturels, la chapelle Notre-Dame-de-Grâce étonne grâce à son style d’architecture néo-gothique.

1629 route Marie-VictorinLévis, G7A 4H2




Téléphone : 418-831-0738

Site Web : www.chapellendg.com

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Chapelle Saint-Joseph En 1900, le curé Hospice Desjardins fait une demande pour la construction de la chapelle Saint-Joseph qui fût étudiée et acceptée le 19 juillet 1901 par l’archevêché de Québec et est terminée le 14 septembre 1902. Beaucoup de citoyens de Saint-David travaillant sur le chemin de fer, c’est à eux qu’on attribue la construction et l’entretien de la chapelle. Lors de sa construction, on demanda à Saint-Joseph, nouveau patron

des lieux, de les protéger de tous les accidents de travail. Cette chapelle, aux dimensions relativement petites, a été bâtie sur un terrain de 40 par 50 pieds qui fût acheté de monsieur François Hallé. Il est aussi dit que les pierres ayant servi à sa construction auraient été extraites du chemin des Îles, auparavant appelé rang Petit Saint-Henri. En mars 1923, la chapelle devient la propriété de la paroisse. En 1950, elle fait l’objet de réparations. En 2000, le comité de sauvegarde et d’entretien reçut de monsieur Maurice Boutin, architecte, un montant qui servit à faire l’inspection de la chapelle.

4192 rue Saint-GeorgesLévis, G6W 1E4


Construction : 1902

Propriétaire : Paroisse Saint-Joseph-de-Lévis

Téléphone : 418-837-8813

Site Web : www.sjdl.org

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Christ Church New Liverpool Le temple est construit autour de 1841 sur un terrain donné par monsieur William Price. Beaucoup de fournitures sont manquantes lors de son inauguration, celles-ci s’ajouteront au fur et à mesure que l’église recevra des dons des paroissiens. La communauté avait auparavant accès à une autre église anglicane construite en 1820 à la Pointe-Lévy. L’église est ouverte pour la première célébration le 6 juin 1841 et est consacrée le 9 septembre 1842. En 1878, le presbytère est construit sur un terrain donné par E.-C. Benson. Vers 1975, l’administration ecclésiastique anglicane décide de vendre l’église qui devient une maison privée.

120 côte Rouge, Lévis, G6W 5Y2

Arrondissement Chutes-de-la-Chaudière-Est



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Collège de Lévis Le Collège de Lévis est l’une des grandes réalisations de Mgr Déziel. Le collège subit plusieurs modifications au cours du temps. La construction du

collège commence dès l’automne 1851 et se termine en 1853. À partir de 1883, après des années de difficultés, la demande devient de plus en plus grandissante, le collège doit se moderniser et s’agrandir, on pense à ajouter une nouvelle aile au nord-est du corps central. Les plans de modernisation sont faits par Eugène Talbot. Durant les travaux, on modifie la toiture du premier

édifice et on remplace la toiture par une toiture mansarde. En septembre 1885, les travaux sont terminés et on accueille les pensionnaires. En 1922, les occupants se sentent encore à l’étroit. Dès lors, on décide de l’emplacement d’une future nouvelle aile. Elle sera dans l’axe de la chapelle et l’aile de l’ouest à angle droit avec le vieux collège. Le projet arrive à terme en 1924. Le cardinal Bégin fait la bénédiction de la nouvelle aile le 23 septembre 1924. Au terme du centenaire du collège, le désir de se moderniser et de s’agrandir est présent. Plusieurs aspects du collège ne répondent plus aux besoins du moment, beaucoup de nouvelles installations sont requises. Sous la direction de Komo Construction commence le 14 septembre 1950 les travaux, ceux-ci seront terminés à l’été 1952. En 1973, des nouveaux besoins apparaissent, la population étudiante est aussi grandissante. Le collège a besoin d’un nouveau gymnase pour remplacer celui situé au sous-sol de la chapelle. Ce dernier date de 1952 et n’est pas suffisamment équipé pour répondre à la modernité. On entame en 1974 la construction de ce nouveau gymnase qui se termine à l’automne 1975.

9 rue Monseigneur-GosselinLévis, G6V 5K1



Propriétaire : Collège de Lévis

Téléphone : 418-833-1249

Site Web : www.collegedelevis.qc.ca

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Condominium Le Parvis de Bienville Anciennement : Église Saint-Antoine-de-Bienville

L’église a été construite en 1896 selon les plans de l’architecte David Ouellet. La bénédiction de la pierre angulaire a lieu le 21 mai 1896 en présence de Mgr C.-A. Marois. Le 17 septembre de la même année, c’est la bénédiction de l’église par l’abbé Antoine Gauvreau. En 1897, on installe un système de chauffage à eau chaude. Le temple comprenait un orgue Casavant et frères datant de 1917 qui subit quelques modifications en 1959. Le temple comprend aussi des vitraux réalisés par Guido Nincheri vers les années 1940. La sacristie, quant à elle, a été construite en 1903. En 2004, des réparations trop coûteuses ont eu raison de sa vocation religieuse et le 11 avril elle fût vendue avec l’objectif d’en faire des condominiums.

11 rue de Bienville, Lévis, G6V 2L3


Construction : 1896

Propriétaire : Condominiums Le Parvis de Bienville

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Église Christ-Roi Le temple est l’œuvre de l’architecte René Blanchet réalisé en 1954. En 1927, dans l’optique de pouvoir desservir les citoyens les plus éloignés de l’église de la paroisse Notre-Dame-de-la-Victoire, le chanoine Omer Plante, nommé évêque auxiliaire de Québec, fait une demande auprès des autorités religieuses. Il obtient une réponse à sa demande le 5 août 1927. Mgr Raymond-Marie Rouleau, archevêque de Québec, donne son accord pour l’établissement d’une desserte religieuse sous le nom de Christ-Roi. Ne possédant pas encore d’église, la première messe y fût célébrée le 3 octobre 1927 dans une école du secteur. L’érection canonique de la paroisse a lieu le 11 mars 1928. On voulut construire une église, mais les moyens manquaient. Le projet de construction de l’église s’étala pendant environ 25 ans. L’église possédait un orgue de la maison Casavant et frères qu’elle s’était procuré de l’église de Saint-Antoine-de-Bienville et

inauguré le 26 septembre 2004, ce qui correspond au 50e anniversaire de l’église. Il fût complètement détruit lors de l’incendie en 2006. Une partie de l’église dut être en partie reconstruite. Désormais, l’église possède un orgue Möller datant de 1970, orgue arrivant tout juste de la First Presbyterian Church de Greensboro en Caroline du Nord. Ce dernier subit quelques rénovations en 2006, un nouveau buffet est installé. Les travaux ont été effectués par les Orgues Létourneau.

5515 rue Saint-GeorgesLévis, G6V 4M7


Construction : 1954


Téléphone : 418-837-8813


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Église dite chapelle Sacré-Cœur Faisant partie du Couvent Jésus-Marie, la chapelle Sacré-Cœur est construite aux environs de 1876-1878. Le couvent est bâti plus tôt autour de 1855. La chapelle prend place dans l’aile sud du bâtiment. Elle comprend un orgue de la compagnie Casavant et frères datant de 1898. Ce dernier est rénové en 1955. On attribue à Ferdinand Villeneuve l’ornementation intérieure et le maître-autel qui est de style corinthien.




Propriétaire : Sœurs de Jésus-Marie

Téléphone : 418-837-6134

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Église Notre-Dame-de-la-Victoire En 1848, le curé Déziel fait une demande de terrain au gouvernement au nom de la fabrique de Saint-Joseph. Ce dernier mentionne que la ville est en croissance et que l’église Saint-Joseph ne suffit plus aux besoins. Aujourd’hui, ce terrain est le site du couvent des Sœurs de la Charité. C’est alors que le 18 avril 1850, Mgr Turgeon donnait son accord pour la construction du temple dans la ville, appelée à l’époque, Aubigny. Toutefois, des oppositions se dressent et les revendicateurs de la nouvelle église essuient un refus. En effet, les gens ont peur que la construction de cette nouvelle église encourage le développement d’une nouvelle ville plutôt que d’être comme elle le devrait, une église succursale. Sept généreux donateurs pallient donc à ce problème en donnant chacun une parcelle de terrain. Ceux-ci sont : Georges Carrier, Joseph Guerette, François Guenette, Julien Chabot, Laurent Chabot, Pierre Lecours dit Barras, Pierre-Benjamin Carrier. Ils se réunissent donc dans la demeure de monsieur Étienne Dalaire et font une offre finale à Mgr Turgeon. Celui-ci accepte. La construction peut maintenant commencer. Les contrats ont été donnés à David Dussault, entrepreneur maçon de la ville de Québec et à monsieur André Paquet, sculpteur également de la ville de Québec. L’église est agrandie en 1854-1855 d’environ trente pieds. À cette occasion, on détruit les deux sacristies qui se positionnaient de chaque côté de l’abside et on construit une seule sacristie à deux étages. L’église est de style néoclassique et reflète le style très utilisé par Thomas Baillargé. Paquet est un élève de Baillargé, il n’est donc pas surprenant d’y retrouver une forte influence dans les décors. En 1895-1896, l’intérieur est réaménagé par l’architecte David Ouellet qui a aussi produit les plans de la sacristie. L’église est reconnue monument historique le 13 décembre 2002 par le Ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine selon la loi sur les biens culturels.

18 rue Notre-DameLévis, G6V 4A4




Téléphone : 418-837-8813


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Église Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours L’église est construite en 1903 et est l’œuvre de l’architecte Joseph Saint-Hilaire. Près de l’église, on y retrouve ce qui était à l’époque la maison du sacristain et le presbytère datant de 1904. Le terrain pour la construction de l’église et le presbytère fût donné par monsieur J.-B. Lemieux, il s’agit d’un terrain totalisation 60 250 pieds carrés. La communauté de Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours a dû faire des sacrifices pour la construction de son temple. Le montant total emprunté pour l’église en 1903 se chiffre à 15 000 $ et pour le presbytère en 1904 à 5 000 $. Quant à la paroisse, ses registres ouvrent en 1902, l’érection canonique se fit le 2 mars 1903 et l’érection civile le 29 juin 1903. La bénédiction de la pierre angulaire de l’église est faite le 15 novembre 1903. Le sermon est prononcé par l’abbé Charles-Édouard Carrier. La fanfare de Saint-Romuald est invitée pour l’occasion. Le temple est équipé d’un orgue de la compagnie Casavant et frères de 1918. Cependant, l’instrument est reconstruit en 1978. Issue d’une partie de la seigneurie de Lauzon, Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours est détaché de Saint-Jean-de-Chrysostome. Le 15 décembre 1924, la paroisse prend le nom de « Village de Charny » en l’honneur de Jean-de-Lauzon, Sieur de Charny (3ème Seigneur de Lauzon).

3324 place de l’ÉgliseCharny, G6X 3L8


Construction : 1903

Propriétaire : Paroisse Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours

Téléphone : 418-832-2275

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Église Saint-David-de-l’Auberivière Le temple est l’œuvre de l’architecte Charles-E. Lepage et du constructeur David Gosselin. Dès 1875, les premières démarches furent faites pour la création d’une nouvelle paroisse entre Notre-Dame-de-la-Victoire et Saint-Romuald. Le 16 mars 1875, sur le terrain de monsieur Joseph Bourassa, se tient une assemblée organisée par les abbés Gauvreau et Laliberté qui avait pour objectif de déterminer s’il pouvait y avoir création ou non d’une nouvelle paroisse et où serait construite la nouvelle église. On conclut donc que l’église sera érigée sur la côte Dawson. La première messe fût célébrée le 20 février 1876 par le curé Déziel dans la maison qui sert d’école. La bénédiction de la pierre angulaire de l’église eut lieu le 27 mai 1877 par Mgr Taschereau qui présida la cérémonie. Le nom de la paroisse Saint-David-de-l’Auberivière rappelle Mgr François-Louis Pourroy de l’Auberivière, deuxième évêque de Québec et Mgr Joseph-David Déziel, curé de Lévis. Saint-David-de-l’Auberivière est fusionnée à Saint-Joseph-de-Lévis le 1er janvier 2010.

3995 rue de la FabriqueLévis, G6W 1J6




Téléphone : 418-837-8813


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Église Saint-Étienne-de-Lauzon La paroisse Saint-Étienne-de-Lauzon ne comprenait qu’une chapelle, celle-ci ne répondait plus aux besoins de la population. C’est ainsi que le 26 juin 1904 eut lieu la cérémonie de la bénédiction de la pierre angulaire présidée par l’abbé Miville. La dernière messe dans la chapelle eut lieu le 14 août 1905. Le temple construit en 1904 est l’œuvre de l’architecte et concepteur David Ouellet et Joseph-Georges Bussières. Il comporte un chemin de croix en haut-relief. En 1905 s’ajoutent les cloches, celles-ci proviennent de la compagnie Paccard en France. L’église est munie d’un orgue Providence datant de 1969.

4105 route des RivièresLévis, G6J 1J3



Propriétaire : Paroisse Saint-Nicolas-de-Lévis

Téléphone : 418-831-2186

Site Web : www.sndl.org

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Église Saint-Jean-Chrysostome L’église est l’œuvre de l’architecte Thomas Baillairgé, mais les plans sont retouchés par un de ses élèves, Thomas Fournier, qui a conçu les plans de la décoration intérieure qui est faite en bois. La façade de l’église s’inspire de l’église Saint-Patrice (ville de Québec) aussi réalisée par Baillairgé. L’église est inscrite au répertoire canadien depuis le 17 février 2006 et est reconnue site patrimonial selon la ville de Lévis le 20 août 2001. Elle possède un orgue Casavant et frères datant de 1900. Fait intéressant, l’église Saint-Jean-Chrysostome est l’une des rares églises du Québec qui ne fait pas face à la rue principale. Le clocher d’origine était plus haut. Il fût reconstruit et réduit en 1915 après son effondrement. Les cloches d’origine sont remplacées le 21 novembre 1926 et proviennent de France des entreprises Bollé. Au nombre de trois, elles ont différentes tonalités en fonction de leur poids. La plus grande des trois pèse 1 800 livres et se prénomme Pie, Alfred et Grégoire. Elle comporte un message : « Je loue le Seigneur ». La deuxième, un peu moins lourde, pèse 1 300 livres et se prénomme Auguste, Napoléon et Joseph. Son message est :

« J’appelle à la prière ». Quant à la troisième, plus légère, elle pèse 900 livres et porte les noms d’Anne, Marie et Thérèse. Son message est : « Je prie pour les morts ». L’église subit quelques restaurations en 1939.

1012 rue Pierre-BeaumontLévis, G6Z 3H4



Propriétaire : Paroisses Saint-Jean-Chrysostome et Saint-Romuald

Téléphone : 418-839-8264

Site Web : www.sjc-sr.org

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Église Saint-Joseph-de-la-Pointe-Lévy

Les travaux de construction d’une église dans la paroisse Saint-Joseph ont débuté en 1675. Elle fût détruite par un incendie en février 1830. Rapidement, une nouvelle église a été construite à quelques mètres plus loin de l’ancienne. L’église est l’œuvre Thomas Baillairgé, architecte, de François Fournier, entrepreneur de la charpente et de Charles Côté, entrepreneur en maçonnerie. Les vitraux ont été faits par Guido Nincheri pendant les années 1940. L’église est équipée d’un orgue O. Jacques datant de 1940 qui fût restauré vers 1985 par Guilbeault et Thérien. Faisant face à la modernité et aux besoins croissants de la population, l’église fût agrandie en 1950.



Construction : 1675 et 1830


Téléphone : 418-837-8813


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Église Saint-Louis-de-Pintendre

Le 11 avril 1899, après réflexion sur la question de fonder une nouvelle paroisse, Mgr Bégin se rend à Lévis pour faire le choix du terrain qui accueillera la future église de Saint-Louis-de-Pintendre. Ce dernier choisit le terrain de monsieur George Couture, puis la construction commence. Le 22 octobre 1899, lors de la messe à Notre-Dame-de-la-Victoire, il est fait mention que les paroissiens de Pintendre pourront, dès la semaine prochaine, avoir une messe dans leur propre église. Le 29 octobre 1899, lors de la célébration, les cloches de l’église sont

bénies par l’abbé A.-E. Boilard. Le temple est la création de l’architecte Joseph-Georges Buissières. L’édifice est érigé par l’entrepreneur David Roy. L’église possède un orgue Providence datant de 1964. Les vitraux sont l’œuvre de E. Rault et de la Compagnie Vitraux d’Art de Rennes en France.

811 chemin PintendreLévis, G6C 1C6


Construction : 1899


Téléphone : 418-837-8813


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Église Saint-Nicolas En novembre 1961, l’église d’origine est incendiée. Cette dernière était l’œuvre du célèbre architecte Thomas Baillargé et datait de 1821-1823. Une nouvelle église est construite en 1961-1962 et est l’œuvre de l’architecte et ingénieur André Gilbert. Pour l’élaboration des plans de l’église, Gilbert se serait inspiré d’une thématique navale. L’église actuelle possède une plaque de plomb importante datant de 1721, celle-ci rappelle le temps de la première église. Le temple possède un orgue Casavant datant de 1947.





Téléphone : 418-831-9622


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Église Saint-Romuald En 1855-1856, la construction se fait sous l’égide de l’architecte Charles Baillargé, des entrepreneurs maçons Joseph et Louis Larose, des charpentiers Paul et Joseph Breton et du menuisier Édouard Gaboury. L’église est orientée face au fleuve. Elle possède plusieurs caractéristiques

qui la distinguent des autres. À partir de l’initiative du curé Pierre Sax, Wilhem Lamprecht, Louis Lang et une personne nommée Thien, on peint le décor de l’église dont une partie est aussi sculptée. On y retrouve des statues en bois illustrant quelques saints, celles-ci sont l’œuvre de Johann Evangelist Riedmiller, un artiste de Munich. Selon le Ministère de la Culture et des Communications, on répertorie à l’intérieur de l’église 17 objets patrimoniaux classés, la sculpture du jugement dernier qui surmonte la chaire en est un et son état est exceptionnel. En 1901, on fait l’ajout d’une sacristie, cette dernière est dessinée par l’architecte David Ouellet. L’église est reconnue comme monument historique le

5 février 2004 par le Ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine.

180 rue de Saint-RomualdLévis, G6W 3G9




Téléphone : 418-839-8804


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Église Sainte-Hélène-de-Breakeyville Après un combat qui dura presque 10 ans pour l’érection canonique de la paroisse Sainte-Hélène-de-Breakeyville, les habitants qui désiraient avoir une messe plus près de chez eux ont gain de cause le 9 novembre 1908 : décret pour la construction d’une église. Temporairement, les gens se rassemblent, pour la messe, dans une petite chapelle située non loin de la future église, toutefois, cette chapelle répond de moins en moins aux besoins de la population qui grandit. La construction de l’église débute à l’été 1906 et le 6 juin 1909, le curé de Charny bénit la pierre angulaire. La paroisse achète le 24 octobre 1909 un harmonium. L’inauguration officielle de l’église se fait le 10 juillet 1910 lors de la cérémonie, l’église et les cloches sont bénies. Le temple est l’œuvre de l’entrepreneur Joseph Saint-Hilaire. Un orgue Casavant datant 1948 y est installé. Ce dernier est acheté du Conservatoire de musique de Montréal.

2500 rue Sainte-HélèneLévis, G6Z 7K4



Propriétaire : Paroisse Sainte-Hélène-de-Breakeyville

Téléphone : 418-832-2834

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Église Sainte-Jeanne-d’Arc Le 8 février 1917, dans le but de répondre aux besoins grandissants de la population, l’établissement d’une desserte dominicale à Pointe-Lévy est autorisée par Mgr Bégin, archevêque de Québec. Elle prendra le nom de paroisse Sainte-Jeanne-d’Arc. En attendant l’inauguration de l’église, un lieu de culte temporaire sera aménagé dans la salle à manger de l’hôtel Victoria. La première messe y sera célébrée au mois de mars 1920. La démographie de la paroisse est de plus en plus grandissante et on décide d’utiliser un ancien entrepôt industriel J.-A. Boulanger et de le transformer en lieu de culte. L’érection canonique de la paroisse se fait le 4 juin 1929. Vers 1930, on ajoute au bâtiment les éléments qui manquaient au temple : un clocher, un porche et une fenêtre à hémicycle surmontée d’un oculus.

5270 rue Saint-LaurentLévis, G6V 3V7




Téléphone : 418-837-8813


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Église Très-Saint-Rédempteur Dès 1937, les paroissiens de Saint-Rédempteur ressentent le besoin d’avoir leur propre église. C’est alors que le 20 juin 1937 qu’est prise la décision d’ériger cette église. Celle-ci devra avoir la capacité de recevoir 700 personnes. Le terrain de la future église est donné par monsieur et madame J.-Benjamin Huot. On estime le coût de la construction à 36 000 $. Le temple est la création de l’architecte René Blanchet, originaire de Lévis. Les travaux furent dirigés par l’entrepreneur monsieur Roberge et commencèrent au printemps 1938. La bénédiction de la pierre angulaire se fera le 24 juillet 1938 alors que la bénédiction officielle se fait le 20 octobre 1940 par Mgr Omer Plante. Les trois cloches de l’église furent bénies le 3 août 1941. Entre 2006-2007, le temple nécessite d’importantes réparations qui seront effectuées grâce à une collecte de fonds des paroissiens. L’église comprend un orgue Casavant et frères datant de 1945 qui est béni le 14 juillet 1946. L’église possède une forte influence de l’architecte français et moine bénédictin Dom Bellot. Son style est reconnaissable à son utilisation du béton armé et de la brique.

100 rue Aurélio-BoucherLévis, G6K 1E3


Construction : 1938


Téléphone : 418-831-4562


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Juvénat Notre-Dame-du-Saint-Laurent Le juvénat a été construit sur un petit îlot appartenant à Sir John Caldwell. Caldwell possédait plusieurs seigneuries et exploitait scieries et moulins à farine. En 1856, la grande propriété passe aux mains de l’homme d’affaires de Québec monsieur Henry Atkinson qui s’occupa de remettre les moulins fonctionnels. Ce dernier y installe sa compagnie et fait construire à l’ouest du grand moulin, au centre des opérations, une grande maison qui occupera la fonction de bureau et de logement. En 1944, les Frères de l’Instruction Chrétienne deviennent les nouveaux propriétaires de l’ensemble des terrains et des bâtiments. Dès les premières années, les frères se servent de la villa de monsieur Atkinson comme lieu d’enseignement. Le bâtiment actuel qui sert de lieu d’enseignement a été construit en 1948. L’établissement subit une demande croissante et on agrandit l’ensemble en 1961. Aujourd’hui, l’établissement est toujours consacré à l’enseignement. Ce dernier est d’ordre privé depuis 1972.

30 rue du JuvénatLévis, G6W 7X2


Construction : 1948


Téléphone : 418-839-9592

Site Web : www.jnd.qc.ca

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Maison Alfred Pampalon

Il s’agit de la première demeure d’Alfred Pampalon, une maison de style québécois. Généralement, ce type de demeure est construit entre 1780 à 1920. On y retrouve un toit moins aigu que dans les modèles français et des lucarnes disposées symétriquement. Les registres de Notre-Dame-de-la-Victoire font état de la naissance d’Alfred Pampalon le 24 novembre 1867. L’historien Pierre-Georges Roy notera plus tard le 22 juillet 1886 le départ d’Alfred vers l’Europe pour entrer au noviciat de l’Ordre des Rédemptoristes. Sur la façade de la maison (gauche) on retrouve une plaque commémorative. Sur celle-ci est gravée avec le logo des rédemptoristes : « Le serviteur de Dieu, Alfred Pampalon, rédemptoriste, naquit dans cette maison le 24 novembre 1867 ».

42 rue Wolfe, Lévis, G6V 3X6




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Maison Duffy Anciennement : Presbytère de New Liverpool

C’est 35 ans après la construction de son temple, soit en 1877, que la communauté ressent le besoin d’avoir un presbytère. Celui-ci est construit en 1878 sur le terrain donné par monsieur Edward-Cambria Benson. Cette nouvelle construction fait suite à la séparation de la mission de l’église de la Pointe-Lévy et celle de New Liverpool. L’édifice est la réalisation de l’architecte Harry Staveley qui a aussi conçu les plans de l’église St. Andrew’s United Church située sur la rue Marie-Rollet.

1821 chemin du SaultLévis, G6W 2L6


Construction : 1878


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Patro de LévisAnciennement : Chapelle des Sœurs de la Visitation

La chapelle est l’œuvre de Joseph Saint-Hilaire. Saint-Hilaire est d’abord sculpteur de métier et fait partie de l’école de sculpture de Saint-Romuald. Outre son titre de sculpteur, il est aussi architecte et entrepreneur. Il élabore les plans de plusieurs lieux de culte dont celui de l’église Saint-Lambert-de-Lauzon et bien d’autres. L’historien Pierre-Georges Roy mentionne l’arrivée des Sœurs de la Visitation, qu’il appelle aussi les Visitandines, le 16 mai 1922. Il mentionne qu’elles prennent possession de leur monastère situé sur la rue Saint-Georges à ce moment. L’édifice est vendu le 9 octobre 2004 par les Sœurs de la Visitation au Patro de Lévis. Les artéfacts et ornements religieux ont par la suite été distribués dans les paroisses et communautés religieuses du diocèse. Bien que la chapelle soit toujours utilisée aujourd’hui à des fins spirituelles, elle est aussi utilisée à d’autres fins. De cette manière, l’ancien cloître (lieux où s’assemblaient les sœurs) est aujourd’hui la salle Jean-Léon Le Prévost, celle-ci sert principalement aux ateliers de pastorale au secteur jeunesse comme salle de Yoga, ligue d’improvisation et modèles vivants. La chapelle en elle-même est utilisée comme salle de Tai-chi ou encore comme salle de réceptions.

6150 rue Saint-GeorgesLévis, G6V 4J8



Propriétaire : Patro de Lévis

Téléphone : 418-833-4477

Site Web : www.patrolevis.org

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Presbytère de l’église Notre-Dame-de-la-Victoire En octobre 1852, lorsque Mgr Déziel vient s’établir dans la paroisse, cette dernière ne possède pas de presbytère. En 1854, l’administration organise sa construction : soumissions et fonds, etc. On engage monsieur Vital Gagné, maître menuisier, pour la construction du bâtiment qui sera de style néo-classique. C’est à l’automne 1855 que le presbytère est prêt à accueillir ses occupants. En 1895, le presbytère subit un agrandissement selon les plans de David Ouellet.



Construction : 1855


Téléphone : 418-837-8813


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Presbytère de l’église Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours

Le presbytère prend place non loin de l’église et est l’œuvre de l’architecte Joseph Saint-Hilaire. La construction se fait sous l’initiative de l’abbé Poirier au printemps 1904 et est fabriqué avec de la brique d’Écosse, tout comme l’église. Selon les archives de la paroisse, le prêt requis pour la construction du presbytère s’élevait à 5 000 $. Ce montant s’ajoutait aux 15 000 $ déjà emprunté pour la construction de l’église. Il s’agissait donc à cette époque d’une dette assez considérable pour la paroisse, qui à ce moment, comprenait 547 habitants.

3324 place de l’ÉgliseLévis, G6X 3L8


Construction : 1904


Téléphone : 418-832-2775

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Presbytère de l’église Saint-David-de-l’Auberivière L’édifice en pierre est d’inspiration Second Empire et date de 1880. Le terrain sur lequel se trouvent le presbytère, l’église et la sacristie a été donné par monsieur François Bourassa, madame (veuve) Pierre-Édouard Bourassa, monsieur Louis Cloutier et la Corporation des écoles de la localité. Vers 1904, des rénovations sont faites sous l’initiative du curé Desjardins. En effet, ce dernier fait construire une galerie avec véranda. En 1935, l’édifice est victime des fontes de neige qui inondent le sous-sol. Les réparations sont alors faites par monsieur Gaudreau, un plombier de Charny. La bâtisse abrite aujourd’hui une maison funéraire.

4001 rue de la FabriqueLévis, G6W 1J6


Construction : 1880

Propriétaire : Gilbert & Turgeon

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Presbytère de l’église Saint-Jean-Chrysostome Le premier presbytère-chapelle a été construit en 1830 et incendié en 1871. Reconstruit la même année, l’actuel presbytère est assez ressemblant au premier. Le bâtiment est de style québécois, on le reconnaît principalement à son toit moins aigu que dans les modèles d’inspirations françaises et au nombre important de baies et de portes. On retient principalement du presbytère ses qualités architecturales et son unicité. La ville de Lévis mentionne qu’il a conservé bien des détails d’antan au niveau structurel et de sa décoration. Le bâtiment est inscrit au registre canadien depuis le 17 février 2006 et est reconnu site patrimonial par la ville de Lévis depuis le 20 août 2001 sous règlementation municipale.



Construction : 1830 et 1871


Téléphone : 418-839-8264


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Presbytère de l’église Saint-Joseph-de-la-Pointe-Lévy La paroisse a connu trois presbytères. Le premier fût construit vers 1690. L’architecte et entrepreneur est alors monsieur Claude Baillif qui s’occupa des travaux de maçonnerie : foyer, cheminée, etc. Le deuxième presbytère fût construit vers 1802, soit 8 ans après l’arrivée du curé Masse. Le bâtiment est construit à environ 100 pieds au nord-est de l’ancien. Ce dernier possédait 5 lucarnes, deux cheminées et comprenait aussi une large galerie. En 1844, le presbytère accueille finalement Mgr J.-O. Déziel. En 1874, le presbytère requiert d’importantes rénovations. Finalement, c’est en 1910 que le deuxième presbytère est détruit pour faire place au troisième. L’édifice est d’influence anglaise et de style victorien. Il possède un toit mansardé à 4 versants en tôle.



Construction : 1690, 1802 et 1910


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Presbytère de l’église Saint-Nicolas Trois presbytères se sont succédés à la paroisse Saint-Nicolas. Le premier est construit à la fin du XVIIème siècle à l’anse du Vieux-Moulin, pour ce qui est du deuxième, il est construit entre 1721 et 1724. L’actuel presbytère date de 1825 et est construit sur les fondations de l’ancien. Certains auteurs mentionnent qu’il était de style maison québécoise avec un toit à deux versants courbés. Toutefois, c’est en 1904 que ce dernier subit maintes réparations qui changent son aspect extérieur, les travaux sont exécutés par l’entrepreneur Joseph Gosselin, soit l’ajout d’étage, d’un toit en pavillon et d’une galerie à balustrade. Le presbytère abrite aujourd’hui un centre de diffusion des arts et du patrimoine qui met toujours en valeur l’importance patrimoniale du bâtiment. Cependant, une partie du bâtiment sert toujours de presbytère à l’église.



Construction : 1825


Téléphone : 418-831-5257

Site Web : www.presbyteresaintnicolas.com

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Presbytère de l’église Saint-Romuald Le presbytère de la paroisse Saint-Romuald, datant de 1906, est lié à l’église par un chemin couvert depuis 1955. Sa présence contribue à donner un plus à la valeur patrimoniale de l’église. L’édifice d’inspiration victorienne est une réalisation de Joseph Saint-Hilaire et coûta à la paroisse 10 000 $. En 1962, le presbytère subit des travaux d’agrandissement qui ajoutent à l’édifice actuel une voûte pour les archives et des bureaux. Aujourd’hui, il fait office de maison des naissances où des suivis de maternité sont offerts, et ce depuis 1994. Le lieu fait désormais partie du Centre de santé et de services sociaux du Grand Littoral. Cependant, une petite partie de l’édifice est toujours utilisée comme presbytère.



Construction : 1906


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Presbytère de l’église Sainte-Hélène-de-Breakeyville Dans une lettre datée du 19 octobre 1908, monsieur Georges Gagné mentionne à la future paroisse qu’il est prêt à vendre sa maison pour y installer le presbytère. Il mentionne entre autres que la maison possède un bas fini et une cuisine d’été. Monsieur Gagné mentionne aux futurs acheteurs qu’ils peuvent devenir propriétaires de la demeure pour la somme de 1 060 $. Le presbytère était présent sur le terrain avant la construction de l’église.



Construction : 1908


Téléphone : 418-832-2834

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Presbytère de l’église Très-Saint-Rédempteur

Le bâtiment est de courant victorien. Depuis 1987-1988, la paroisse Très-Saint-Rédempteur possède un nouveau presbytère qui se situe au 100 rue du Rocher. L’ancien presbytère est, depuis 1987, une résidence pour personnes âgées, le Conf’Or.

74 rue de Saint-RédempteurLévis, G6K 1E1


Construction : 1920


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Résidence des Pionniers C’est le 27 octobre 1870 qu’arrivent à Saint-Nicolas, sous la demande du curé Gaudreau, quatre sœurs de la communauté religieuse des Sœurs de la Charité de Québec. Leur but est de fonder un couvent. Elles s’installeront temporairement dans l’école. En 1876, le curé Joseph-Aimé Bureau fait l’achat d’un terrain logeant celui de la fabrique. Ce sera l’emplacement du couvent. L’édifice est l’œuvre de l’entrepreneur Joseph Gosselin. Il est de style Second Empire. Pendant le premier quart du 20ème siècle, le couvent voit sa clientèle grandir. Ce fait nécessite qu’on agrandisse l’édifice, ainsi on ajoute une annexe le long du mur ouest. Cette annexe a trois étages. Sur sa façade, on remarque un clocheton et une toiture de style mansarde. Le couvent reçoit officiellement ses premiers élèves en 1877. Aujourd’hui, l’annexe qui avait été ajoutée a été détruite, le bâtiment reprend donc sa forme originale.





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Résidence Déziel-BlanchetAnciennement : Presbytère Notre-Dame-de-la-Victoire

En octobre 1852, lorsque Mgr Déziel vient s’établir dans la paroisse, cette dernière ne possède aucun presbytère. Le Dr Joseph-Godéric Blanchet offre de le loger temporairement en attendant la construction du presbytère. C’est en 1855 que ce dernier est prêt à accueillir ses occupants. On retrouve, près de la maison, l’inscription suivante sur une plaque de fonte : « Cette maison fût le premier presbytère de Lévis. Elle fût habitée par Mgr Déziel et ses vicaires de 1852 à 1855. Maison habitée de 1855 au 1er janvier 1890, date de sa mort, par l’Hon. Docteur Joseph-Godéric Blanchet, président de l’Assemblée législative de Québec et président de la Chambre des communes du Canada. Je me souviens. »

2 rue du Mont-MarieLévis, G6V 1V9




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Résidence Notre-Dame Le bâtiment est une réalisation de l’architecte Paul Cousin. La construction débute le 10 mars 1890 et se termine le 14 novembre 1890. Monsieur Cousin aurait fait les plans pour le compte du gouvernement du Québec alors qu’il était architecte en chef de la province de Québec. Le 30 novembre 1897, la corporation de Lévis vend à monsieur D.-Charles Morency l’édifice pour un total de 3 000 $. Ce dernier souhaitait y exploiter ses appareils pour la production du gaz acétylène. Le 21 mai 1906, les Sœurs du Précieux-Sang arrivent en territoire lévisien. Elles n’ont pas encore de monastère, elles occuperont alors l’édifice le temps de la construction. En 1913, la communauté des Sœurs missionnaires de Notre-Dame d’Afrique prend possession du bâtiment. Aujourd’hui, il est devenu une résidence pour personnes âgées : Résidence Notre-Dame.

6212 rue Fraser, Lévis, G6V 3R7


Construction : 1890

Propriétaire : Résidence Notre-Dame

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Résidences du Précieux-SangAnciennement : Monastère des Sœurs Adoratrices du Précieux-Sang

Dans le cadre de leur mission, les Sœurs Adoratrices du Précieux-Sang s’installent à Lévis le 21 mai 1906. Elles n’ont pas encore de monastère, elles occuperont alors une résidence sur la rue Fraser le temps de la construction. Elles confient en 1908 à Lorenzo Auger, architecte, la tâche de leur construire un monastère pour leurs activités. Le 19 juin 1908, l’Action Catholique faisait mention des caractéristiques du futur monastère, s’attardant aussi sur sa division en deux parties : le cloître et une partie réservée au public. Fait intéressant, le monastère comprenait une fabrique d’hosties. L’immeuble subit quelques rénovations et retouches au cours du temps. Quelques années après ces modifications, d’autres suivront au niveau du décor de brique et au niveau du fronton qui sera simplifié. Le monastère fait lui aussi face à la modernité et est abandonné de la population religieuse à partir de janvier 1978, il est depuis 1993 converti en maison pour personnes âgées : Résidences du Précieux-Sang. Le monastère des Sœurs Adoratrices du Précieux-Sang est déclaré en 1994 monument historique par la ville de Lévis.

5615 rue Saint-LouisLévis, G6V 4G2


Construction : 1908

Propriétaire : Résidences du Précieux-Sang

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St. Andrew’s United Church Le 6 septembre 1899, on pose la pierre angulaire du temple. L’architecte responsable des plans est Harry Staveley tandis que les entrepreneurs sont monsieur Joseph Couture et monsieur Georges Martin. L’historien Pierre-Georges Roy, dans son ouvrage Dates lévisiennes, vol. 5 rapporte que l’église fera 51 pieds de longueur sur 32 de largeur. Le sous-sol de l’église sera aussi utilisé comme salle de conférence et de lecture en cas de besoin. L’œuvre de Staveley s’inscrit dans un courant architectural néo-gothique. Aujourd’hui, l’église est une résidence privée.

321 rue Marie-RolletLévis, G6V 5P9


Construction : 1899


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Calvaire de la route Marie-Victorin Le calvaire est l’un des deux seuls restant dans le secteur de Saint-Nicolas, l’autre se retrouve au cimetière de la paroisse. Le calvaire fût installé en 1964. La croix provient des Sœurs de la Sainte-Famille de Sillery. Pour ce qui est de la statue du Christ, celle-ci provient de Limoilou. La croix d’une hauteur d’environ 4,5 mètres est faite de métal. Cette dernière est peinte en noir. La statue du Christ est faite de poussière de pierre. L’ensemble du monument prend place sur une base de béton à deux paliers. On retrouve l’inscription suivante en haut de la tête du Christ : « INRI, Jésus-Christ ».

Près du 2148 route Marie-Victorin (à la jonction de la route Germain) Lévis, G7A 4H5


Année : 1964


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Calvaire de la rue Pierre-Beaumont La croix aurait été érigée pour commémorer le premier site de l’église en 1828 (1828 correspond à la date de fondation de la ville de Saint-Jean-Chrysostome). L’actuelle église ayant été construite en 1848 selon les plans de Thomas Baillargé se retrouve un peu plus loin. Le choix du terrain avait été fait par Mgr Signay, alors évêque de Québec.

Rue Pierre-Beaumont (jonction route Bécar) Lévis, G6Z 2L1


Année : 1828


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Calvaire Saint-Joseph-de-la-Pointe-Lévy Le calvaire est installé en 1946 par la Société Saint-Jean-Baptiste de Lauzon. Ce dernier cherche à commémorer le lieu de naissance de Mgr Ignace Bourget qui est né à Lauzon le 30 octobre 1799 et décédé le 8 juin 1885. Mgr Bourget fût nommé évêque de Montréal en 1840.

Route Monseigneur-Bourget (jonction chemin Harlaka)Lévis, G6V 6N4


Année : 1946


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Croix commémorative du parc des Pionniers En 1955, la Chambre de Commerce de Saint-Romuald fait construire un monument en hommage aux pionniers de la ville de Saint-Romuald. Ainsi, Jean Demers arrivé en 1662 et Eustache Lambert arrivé en 1651 sont à l’honneur. La croix d’environ 6 mètres de hauteur est faite en fer et est peinte de couleur argentée. On remarque à l’intérieur de la croix des formes circulaires. À la base du monument se trouvent quatre faces gravées sur des plaques d’acier. Les gravures relatent l’établissement de la croix en l’honneur de Jean Demers et d’Eustache Lambert.



Année : 1955

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Croix de chemin de la route des Rivières La croix est installée pour commémorer l’année sainte en 1984. C’est durant l’année 1984, plus précisément au mois de septembre, que le Pape Jean-Paul II fait une visite au Canada. La croix est d’une hauteur d’environ 4 mètres. Cette dernière est faite en bois et au sommet (titulus) on peut y lire l’inscription « INRI ». L’ensemble est peint en blanc et présente à son axe un cœur en bois peint en rouge. Ce dernier est traversé d’une lance peinte en blanc et rouge à l’extrémité. Sur la face en avant de la croix, on peut observer une plaque de plexiglas donnant les informations historiques de la croix. Cette dernière fait partie d’une série de plusieurs croix de chemin érigées à l’occasion de la visite papale.

2864 route des RivièresLévis, G6J 0B3


Année : 1984


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Croix de chemin du chemin Beauséjour La présente croix de chemin n’est pas l’originale. Il s’agit en fait de la troisième à être posée à cet endroit. La première croix du chemin Beauséjour fût installée en 1943. Elle comprenait alors une petite statue de Saint-Jude dans une niche en bois. En 1973, une deuxième croix fût installée. On explique la présence de Saint-Jude par l’ancienne appellation de la rue, qui était : Saint-Jude-de-Beauséjour. La croix mesure environ 3 mètres de hauteur et elle est faite de métal. On y retrouve les éléments habituels de la Passion : échelle, marteau, lance et clous. Elle est peinte en blanc et à son axe on retrouve un cœur peint en rouge. Vers le bas de la croix se trouve une niche en bois, peinte en blanc, celle de Saint-Jude.

1509 chemin BeauséjourLévis, G6Z 2L2


Année : 1943 et 1973


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Croix de chemin du chemin des Îles La croix a d’abord été installée par monsieur Amédée Carrier en raison de faveur obtenue. Le 11 octobre 1942, l’abbé Edmond Pelletier, curé de la paroisse de Saint-David-de-l’Auberivière, la bénit. Puis en 1955, la famille Dubé se porte acquéreur de la terre où est installée la croix de chemin qui par le fait même s’engage à l’entretenir. Cette dernière subit quelques restaurations effectuées par les propriétaires en 1998.

318 chemin des ÎlesLévis, G6V 7M5


Année : 1942


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Croix de chemin du chemin Sainte-Anne Ouest

La croix est installée pour commémorer l’année sainte en 1984. C’est durant cette année, plus précisément au mois de septembre, que le Pape Jean-Paul II fait une visite au Canada. La croix est d’une hauteur d’environ 4 mètres et est faite en bois. Au sommet (titulus), on peut y lire l’inscription « INRI ». Les extrémités de la croix sont de forme polygonale. L’ensemble est peint en blanc et prend place sur une base de ciment. Le monument comprend une plaque de plexiglas donnant les informations historiques de la croix. Cette dernière fait partie d’une série de plusieurs croix de chemin érigées à l’occasion de la visite papale.

40 chemin Sainte-Anne Ouest (jonction chemin de la Savane) Lévis, G6J 1E8


Année : 1984


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Croix de chemin du chemin Ville-Marie

Le calvaire, à l’origine installé en 1889, devient avec le temps une croix de chemin. Le calvaire comprenait 3 personnages soit celui du Christ, de la Vierge Marie et de Jean. Les personnages étaient faits de poussière de pierre. On remarque d’ailleurs la présence du clou qui tenait le Christ. Aujourd’hui, la croix qui se dresse est faite de fer et peinte en noir. Bien sûr, le passage du temps est visible et la peinture s’écaille. Au sommet, le titulus indique « INRI ». Le monument mesure 7,5 mètres de hauteur.

À l’angle du chemin Ville-Marie et de la route Monseigneur-Bourget Lévis, G6C 1B5


Année : 1889


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Croix de Tempérance La croix est faite d’acier et d’aluminium d’une hauteur de 9,14 mètres sur une base de ciment. Anciennement lumineuse, elle est désormais recouverte de feuilles d’aluminium. En 1920, elle devient la propriété de la paroisse Notre-Dame-de-la-Victoire. Étant située non loin de la rue Fraser, elle fût entretenue longtemps par la famille Bernier résidente sur cette même rue. La croix devient officiellement la propriété de la ville en 1928, elle est un don de la paroisse Notre-Dame-de-la-Victoire. Son premier emplacement fût celui du cimetière Mont-Marie. Elle est ensuite placée à l’extrême nord de la rue Marie-Rollet. Elle est depuis 1924 au même emplacement, c’est-à-dire son emplacement actuel. Selon la ville de Lévis, il y avait une plaque sur le socle, face avant. Cette plaque fût apparemment enlevée par l’abbé J.-Eugène Carrier qui souhaitait par ce mouvement s’opposer aux mesures qui encourageaient l’alcool. Les croix de tempérance étaient le symbole des sociétés de tempérance qui militaient contre la consommation d’alcool.

À l’angle de la rue Guenette et de la rue Fraser Lévis, G6V 3R5


Année : environ 1920

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Orgue de l’église Notre-Dame-de-la-Victoire La décision d’acheter un orgue pour l’église Notre-Dame-de-la-Victoire ne se fit pas tout de suite après la construction de l’église. Mgr Déziel trouvant que la population avait déjà suffisamment fait des sacrifices pour leur église, retarda l’achat de l’instrument de musique. C’est le 13 décembre 1868, après avoir reçu plusieurs dons que la paroisse confirme l’achat de l’orgue. L’instrument datant de 1869 est acheté de Louis Mitchell de Montréal et est inauguré le 17 août 1870. Puis en 1912, ce dernier subit quelques modifications (électrification) effectuées au coût de 6 000 $. Suite à ces rénovations, l’orgue est inauguré le 25 avril 1912. Monsieur Louis Jalbert ajoute à l’instrument trois jeux d’anches en 1931. L’orgue est restauré par Casavant et frères en 2000. Le buffet de l’orgue serait fait en bois de noyer noir selon les plans de Victor Bourgeau. La restauration faite en 2000 est surtout au niveau sonore, on tente de lui redonner le son d’antan. Coût de la restauration : 750 000 $.



Année : 1870


Téléphone : 418-837-8813


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Orgue de l’église Saint-Jean-Chrysostome

L’instrument, acquis de la chapelle des Franciscaines missionnaires de Marie située sur la Grande-Allée dans la ville de Québec, est de marque Casavant et frères datant d’environ 1900. Ce dernier subit des modifications en 1915 et est finalement restauré en 1996 par les Orgues Létourneau Ltée.



Année : 1900


Téléphone : 418-839-8264


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Orgue de l’église Saint-Romuald L’orgue Mitchell a été acquis en 1865. La composition mécanique de l’orgue occasionnait des bris constants et coûteux à la paroisse. Une restauration s’imposait pour régler le problème. Celle-ci est effectuée par la compagnie Casavant et frères en 1918. Selon l’historien de la ville de Lévis, David Gagné, c’est 75% de l’orgue original qui fût reconstruit. En 1980, ce dernier subit un nettoyage. Quelques petits réajustements furent faits au niveau de la composition instrumentale des jeux de l’instrument.



Année : 1865


Téléphone : 418-839-8804


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Chaire de l’église Saint-Romuald La chaire est une réalisation conjointe de Lauréat Vallière et de Joseph Lacroix en 1909. Les détails de sculpture dont la dorure sur l’ensemble de l’œuvre illustre bien le talent du jeune sculpteur Vallière qui se voit proposer un emploi par Joseph Saint-Hilaire. Lacroix réalisa, quant à lui, la sculpture de l’escalier en noyer et en cerisier rouge. Les plans de la chaire ont été réalisés par Joseph Saint-Hilaire. La commande de la chaire visait à remplacer l’ancienne qui était désormais considérée non prudente à l’utilisation.



Année : 1909


Téléphone : 418-839-8804


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Chemin de croix du Cimetière Mont-Marie Le chemin de croix instauré en 1928 est la propriété de la corporation du cimetière Mont-Marie. Le monument comporte le nom gravé de tous ses donateurs. L’ensemble fût béni l’année de son installation le 7 octobre 1928. D’ailleurs, il remplace un chemin de croix qui était fait en bois, celui-ci avait été donné par mademoiselle Caroline Lagueux. Les stations (14 au total) ont une hauteur de 2,90 mètres. Chacune comprend sur la face avant une plaque de bronze indiquant le chemin de croix du Christ avant qu’il soit crucifié. En-dessous de la plaque de bronze illustrant le Christ, se trouve aussi une autre plaque avec les noms des donateurs ou des personnes honorées. Les stations prennent la forme d’un abri avec un toit sur lequel une croix domine le tout. On remarque en 2013 que plusieurs plaques avec le nom des donateurs sont absentes. Pierre-Georges Roy, l’historien et archiviste, fait partie de la liste des donateurs.

152 rue du Mont-MarieLévis, G6V 8X1


Année : 1928

Propriétaire : Cimetière Mont-Marie

Téléphone : 418-833-1813

Site Web : www.cimetieremontmarie.com

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Chemin de croix du Cimetière Mont-Marie

Ce chemin de croix est la propriété de la corporation du cimetière Mont-Marie et est installé en 1944. L’ensemble des 14 stations, mesurant pour chacune environ 3,15 mètres de hauteur, se tient sur un socle de granit. Le chemin de croix représenté par des personnages faits de ciment illustre les scènes menant à la crucifixion du Christ. Au-dessus de ceux-ci s’élève une croix faite de métal. Sur un bloc de granit est gravée la scène du chemin, on y retrouve aussi le nom des donateurs. Ce chemin de croix est en meilleur état que celui datant de 1928 se trouvant également dans le cimetière Mont-Marie.



Année : 1944


Téléphone : 418-833-1813


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Christ en croix de l’église Saint-Romuald Le Christ en croix est situé à l’intérieur de l’église Saint-Romuald. Cette dernière abrite d’ailleurs plusieurs œuvres d’art notables. Sculpté en 1914, le Christ en croix est l’œuvre de Lauréat Vallière, sculpteur québécois, originaire de Saint-Romuald. Il apprend le métier dans l’atelier de Ferdinand Villeneuve. Pour la réalisation de cette œuvre d’art, il priorise la ronde-bosse, une technique qui lui permet de faire ressortir les œuvres en trois dimensions. Vallière a aussi réalisé plusieurs œuvres pour le compte de la paroisse (dans l’église et à l’extérieur). Beaucoup de ses œuvres sont de nature religieuse, il préfère le bois à la pierre.



Année : 1914


Téléphone : 418-839-8804


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Clôture de chœur de l’église Saint-Romuald La clôture de chœur (appelée aussi le chancel) se trouve à l’intérieur de l’église Saint-Romuald qui comprend plusieurs bijoux artistiques dignes d’intérêt. La clôture de chœur est l’œuvre de plusieurs artisans locaux : Wellie Hallé, Arthur Bernier et Lauréat Vallière. Les douze apôtres sculptés sont l’œuvre de Vallière. Hallé et Bernier se sont occupés de sculpter l’encadrement. D’ailleurs, tous les trois avaient travaillé pour Ferdinand Villeneuve et Joseph Saint-Hilaire qui avaient des ateliers de sculpture à Saint-Romuald. La clôture de chœur sépare la nef où sont réunis les fidèles, du chœur liturgique.



Année : 1933


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Fonds baptismaux de l’église Saint-Romuald Les fonds baptismaux font partie des caractéristiques de l’église Saint-Romuald. Sculptés en 1933 par Lauréat Vallière, originaire de Saint-Romuald, l’œuvre est faite en bois de noyer. Ce dernier utilise la technique de sculpture ronde-bosse. Une partie de la sculpture (le baptistère) a été réalisée avec l’aide de son fils Robert et se détaille comme suit : une fontaine supportée par les quatre évangélistes et au sommet de l’ensemble, Jésus un genou à terre représentant la scène de son baptême avec Jean-Baptiste.



Année : 1933


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Monument de la Sainte Vierge (Josephte Stéphanie) Le monument était originalement composé d’une Vierge Marie vêtue d’un drapé blanc et bleu et surmonté d’une cloche. Ce qu’il reste aujourd’hui du monument est la cloche qui aurait déjà fait partie de l’église Saint-Étienne-de-Lauzon. Cette cloche est nommée Josephte Stéphanie. Cette dernière pèse environ 224 livres. Elle a été coulée en 1860 et achetée en 1861 de la fonderie Meneely, West Troy (New York). Le nom de la cloche se veut un hommage au saint patron Étienne. Selon la documentation fournie par la paroisse, le nom Stéphanie traduit en anglais donnerait Étienne. Quant au nom Josephte, il fait référence à Joseph, père de Jésus.

4105 route des RivièresLévis, G6J 1J3


Année : 1861


Téléphone : 418-831-2186


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Sacré-Cœur de l’église Notre-Dame-de-la-Victoire La décision de se doter d’un Sacré-Cœur vient du père Victor Lelièvre en 1912. Réalisé par Paul-Romain Chevré, sculpteur français, le monument est la propriété de la paroisse Notre-Dame-de-la-Victoire. Chevré décède en 1914 sans avoir le temps de finir son œuvre. Il était célèbre entre autres pour ses statues de Samuel de Champlain, de François-Xavier Garneau et d’Honoré Mercier à Québec. Le Sacré-Cœur incomplet sera terminé par son père et des artisans de son atelier. Pour ce qui est de la construction de sa base, la tâche fût attribuée à Lorenzo Auger, architecte de Lévis. La statue connaît finalement son heure de gloire le 25 juillet 1915 où celle-ci est inaugurée devant des milliers de gens. Selon la ville de Lévis, le monument est restauré en 1995 par le Centre de conservation du Québec sous l’initiative de la Société Saint-Jean-Baptiste de Lauzon. La statue du Sacré-Cœur faite de bronze est placée sur un piédestal de 2,80 mètres de hauteur qui comporte quatre faces décorées par

des plaques de bronze dont une ronde-bosse illustrant Sainte-Marguerite-Marie Alacoque qui prie le Sacré-Cœur.



Année : 1914-1915


Téléphone : 418-837-8813


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Sacré-Cœur de l’église Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours

Le Sacré-Cœur fût béni et dévoilé le 28 juin 1953 à l’occasion du 50ème anniversaire de Charny. Ce dernier prend place non loin de l’église Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours. La statue de granit mesure environ 2 mètres de hauteur et affiche sur son socle l’inscription : « 1903-1953 » (1903 fait référence à la date de fondation de la ville et à la bénédiction de la pierre angulaire).

3324 place de l’ÉgliseLévis, G6X 3L8


Année : 1953


Téléphone : 418-832-2775

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Sacré-Cœur de l’église Saint-Nicolas La statue de couleur bronze appartenait à monsieur Philias Méthot qui l’avait fait installer et bénir devant sa maison. La statue comporte l’indication « 1936 » gravée sur le socle de granit, ce qui correspond à l’année à laquelle monsieur Méthot en fit don à la fabrique de Saint-Nicolas. Toutefois, ce dernier demande à l’administration de s’occuper du déménagement et des frais afférents. La même année, le déménagement est effectué et le Sacré-Cœur est mis en place par monsieur Delawaide. Il est installé entre le presbytère et l’église Saint-Nicolas.



Année : 1936


Téléphone : 418 831-5257


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Sacré-Cœur de l’église Saint-Romuald Le Sacré-Cœur est la propriété de la paroisse Saint-Romuald et est l’œuvre de Lauréat Vallière. C’est un sculpteur originaire de Saint-Romuald. La statue se trouve devant l’église. Le Sacré-Cœur est d’une hauteur d’environ 168 centimètres prenant place sur une base de granit. La main gauche pointant son cœur enflammé et la main droite pointant vers l’horizon, le Sacré-Cœur arbore une couleur rosée. Le monument prend place sur une base en ciment peinte en bleu.



Année : 1915


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Sacré-Cœur de l’église Sainte-Hélène-de-Breakeyville

La statue du Sacré-Cœur est installée devant l’église en 1953 et est l’initiative de la Ligue du Sacré-Cœur. En 1955, la statue est cédée à la fabrique. Le Sacré-Cœur mesure environ 180 centimètres de hauteur et est de couleur or. Le monument est éclairé par une série d’ampoules et prend place sur un socle de ciment bleu. On y retrouve une plaque sur laquelle est gravée en lettres d’or : « Honneur au Cœur de Jésus ».



Année : 1953


Téléphone : 418-832-2834

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Sacré-Cœur du cimetière Mont-Mariealias Sacré-Cœur de l’église de Saint-Antoine-de-Bienville Le Sacré-Cœur est la propriété du cimetière Mont-Marie, datant de 1943. Il s’agit d’un don des paroissiens de la paroisse Saint-Antoine-de-Bienville. Le 18 juin 1944, il est béni par Mgr Georges-Léon Pelletier. Auparavant, la statue se trouvait devant l’église Saint-Antoine-de-Bienville. En 2002, le Sacré-Cœur fût déplacé au cimetière Mont-Marie. La statue du Sacré-Cœur de couleur blanche représente le Christ les mains vers l’horizon laissant entrevoir un cœur enflammé. Le monument prend place sur un piédestal de granit à trois paliers. On y retrouve l’inscription suivante sur la façade : « Don des paroissiens de Bienville, 1943 ». D’autres inscriptions semblent avoir déjà été présentes, mais le temps les a effacées.



Année : 1943


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Saint-Joseph de l’église Saint-Romuald

La statue de Saint-Joseph est la propriété de la paroisse Saint-Romuald et est l’œuvre de Lauréat Vallière qui a aussi réalisé plusieurs sculptures pour le compte de la paroisse (dans l’église). Il est originaire de Saint-Romuald. Ce dernier apprend le métier dans l’atelier de Ferdinand Villeneuve. Beaucoup de ses œuvres sont de nature religieuse, il préfère le bois à la pierre.



Année : 1950


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Sculpture de l’Ange du Jugement dernier L’historien David Gagné mentionne que cette sculpture provient originalement de l’Hôpital Général de Québec. L’ange a ensuite été donné à l’église Saint-Zacharie en Beauce vers 1892. Cette dernière en fit alors cadeau à la paroisse Saint-Romuald qui la conserve depuis. La sculpture prend place à l’intérieur de l’église Saint-Romuald, plus précisément au-dessus de l’abat-voix de la chaire. Elle est de style baroque dont on ignore l’âge. Le ministère de la Culture du Québec évalue cette dernière au dernier tiers du XVIIème siècle. Il s’agit d’un important héritage préservé de la Nouvelle-France. L’état de sa conservation est dit exceptionnel. Fait intéressant, Postes Canada lui rend hommage en produisant un timbre à son effigie.


Arrondissement Chutes-de-la-Chaudière-Est.

Année : dernier tiers du XVIIème siècle


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Sculpture de l’Éducation de Marie du Cimetière Mont-Marie

La statue fait référence au déplacement des sépultures, datant de 1673 à 1875, du premier cimetière. En 1874, la paroisse Saint-Joseph-de-la-Pointe-Lévy trouve un nouveau terrain qu’elle se procure du département de la milice et de la défense, pour y aménager un nouveau cimetière. Cette partie de terrain correspond à la section Lauzon. La paroisse possédait déjà un cimetière derrière l’église Saint-Joseph-de-la-Pointe-Lévy. Ainsi, le premier cimetière (près de l’église) fût déplacé à l’adresse actuelle. Une fosse commune se trouve donc sous la statue.





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Sculpture de la Vierge à l’enfant La statue de la Vierge Marie mesure environ 1,52 mètre de hauteur et tient l’enfant Jésus dans ses bras. Ce dernier pointe vers l’horizon. Les personnages sont peints en blanc. L’ensemble prend place sur un socle en ciment et pierres des champs de 72,60 centimètres de hauteur. La statue aurait été produite autour des années 1940. Cette dernière est la propriété de la congrégation des Sœurs de la Charité de Saint-Louis. Celles-ci, aussi connues sous le nom de Sœurs de Saint-Louis-de-France, arrivent à Lévis en 1911.

6670 rue Saint-Louis-de-France Lévis, G6V 1P3



Propriétaire : Congrégation des Sœurs de la Charité de Saint-Louis

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Sculpture de la Vierge aux Roses de l’Immaculée Conception

La Vierge en bois a les mains jointes, mesure 1,70 mètre de hauteur et est de couleur blanche. Sur sa tête se tient une couronne de roses. Sur le monument se trouve une plaque avec les inscriptions suivantes : « La Vierge aux Roses ». Elle a été restaurée à l’été 1996 par le Centre de conservation du Québec. Sculpture de Louis Jobin faite vers 1910, celle-ci prend place à l’intérieur de la bibliothèque Pierre-Georges Roy.

7 rue Monseigneur-GosselinLévis, G6V 5J9


Année : 1910


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Sculpture de la Vierge Marie La statue fût installée sous l’initiative de l’École Apostolique Notre-Dame dans les années 1950. Cette dernière provenait des ateliers Barsetti et frères, de Québec, alors installés sur la rue Richardson. La Vierge Marie peinte en blanc et mesurant environ 1,65 mètre a les yeux rivés aux cieux et les mains sur le cœur. Elle revêt une toge ample et à ses pieds se tiennent des angelots. L’ensemble prend place sur une base en ciment gris.





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Sculpture de Monseigneur Déziel Alors que Mgr Déziel est décédé depuis 3 ans, les citoyens décident d’honorer sa mémoire avec une statue. L’idée germe dans leurs têtes et le 15 octobre 1882, un comité est créé à cet effet. Le Dr Joseph-Godéric Blanchet préside celui-ci. La statue fût conçue par Louis-Philippe Hébert. La ville s’occupe du coût de la statue. Par la suite, c’est la fonderie de Carrier, Lainé & Cie de Lévis qui s’occupa de couler la statue. Cette dernière prendra place dans un parc et c’est l’ingénieur civil de Lévis, monsieur D.-C. Morency, qui conçoit les plans du monument, de l’aménagement du parc et de l’épitaphe. C’est le 27 septembre 1885 à 9 h 30 que le dévoilement du monument est fait. Une messe est célébrée par Mgr Dominique Racine et ses assistants les abbés Olivier Mathieu et J.-E. Feuiltaut. Des milliers de personnes sont au rendez-vous, dont des personnages fort importants du milieu religieux tel que l’archevêque de

Québec, Mgr Elzéar-Alexandre Taschereau et monsieur Pierre Lefrançois, à l’époque maire de Lévis. Le monument est la propriété de la paroisse de Notre-Dame-de-la-Victoire. Depuis 1929, la statue de Mgr Déziel regarde éternellement son œuvre, puisque la statue a été ancrée de manière à faire face à son église. En 1994, le monument a été laissé aux bons soins du Centre de conservation du Québec, qui le restaura.

À l’angle de la rue Guenette et de la rue du Mont-Marie


Année : 1885


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Sculpture de Saint-Casimir La sculpture prend place à l’intérieur de l’église Saint-Romuald qui comprend plusieurs bijoux artistiques. Cette dernière est un don de monsieur Casimir Roberge. La sculpture fait partie d’un lot qui a été importé d’Europe. Cette dernière a été conçue par Rüdmiller, artiste de Munich. La statue est en bois polychrome. L’œuvre aurait été produite autour de 1870. Le lot de sculptures de Rüdmiller fût copié des modèles en glaise faits par des artistes originaires de Munich. Plusieurs autres sculptures de Rüdmiller ornent l’église et font partie de ce lot, celles-ci sont disposées autour du chœur.





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Sculpture de Saint-Eusèbe La sculpture prend place à l’intérieur de l’église Saint-Romuald qui comprend plusieurs bijoux artistiques. Elle est un don d’Eusèbe Pelletier. Cette sculpture, produite par Rüdmiller, artiste de Munich, fait partie d’un lot qui a été importé d’Europe. La statue est en bois polychrome. L’œuvre aurait été produite autour de 1870. Le lot de sculptures de Rüdmiller fût copié des modèles en glaise faits par des artistes originaires de Munich. Plusieurs autres de ses sculptures ornent l’église et sont disposées autour du chœur.





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Sculpture de Saint-François-Xavier La sculpture prend place à l’intérieur de l’église Saint-Romuald qui comprend plusieurs bijoux artistiques. La sculpture est un don de François-Xavier Guay et fait partie d’un lot qui a été importé d’Europe. L’originale de la sculpture a été produite en 1870 par Rüdmiller, artiste de Munich. La statue était à l’origine en bois polychrome. Toutefois, du lot importé, l’historien David Gagné rappelle qu’il s’agit de la seule sculpture à être arrivée trop abimée pour être réparée. Elle fût alors remplacée par une copie en plâtre. Plusieurs des sculptures de Rüdmiller ornent l’église et font partie de ce lot, celles-ci sont disposées autour du chœur.





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Sculpture de Saint-Jean-de-Brébeuf

La sculpture de Saint-Jean-de-Brébeuf est une réalisation de monsieur Lauréat Vallière. La scène représentée par Vallière montre le père Brébeuf en évangélisateur Jésuite. C’est d’ailleurs de lui que nous sont parvenues les nombreuses informations sur les pratiques des Jésuites en Nouvelle-France. Le père Brébeuf décède en Huronie le 16 mars 1649 en martyr. Il fût canonisé en 1930. La réalisation de Vallière se situe en 1931. La création de cette sculpture peut ainsi s’expliquer par le nouveau statut de Brébeuf. Lauréat Vallière a aussi réalisé plusieurs œuvres pour le compte de la paroisse.



Année : 1931


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Sculpture de Saint-Joseph La statue de Saint-Joseph âgé mesure 1,22 mètre de hauteur, tenant une équerre dans sa main gauche faisant référence à son métier de charpentier. Il tient un lys dans la main droite. Le monument se tient sur un socle pyramidal de pierres taillées comprenant six paliers. Ce dernier appartient au centre hospitalier Hôtel-Dieu de Lévis. La statue est donnée aux Sœurs Augustines en 1963, car une faveur avait été obtenue. Fait intéressant, la représentation de Saint-Joseph âgé est plutôt rare sur le territoire de Lévis.

143 rue Wolfe, Lévis, G6V 3Z1


Année : 1963

Propriétaire : Hôtel-Dieu de Lévis

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Sculpture de Saint-Richard La sculpture prend place à l’intérieur de l’église Saint-Romuald qui comprend plusieurs autres bijoux artistiques tels que des sculptures de Lauréat Vallière. Elle est un don de Richard Walsh. Cette dernière fait partie d’un lot qui a été importé d’Europe. La sculpture a été faite par Rüdmiller, artiste de Munich. La statue est en bois polychrome. L’œuvre aurait été produite autour de 1870. Dans le lot de sculptures de Rüdmiller, certaines furent copiées des modèles en glaise faits par des artistes originaires de Munich. Plusieurs autres sculptures de Rüdmiller ornent l’église et font partie de ce lot, celles-ci sont disposées autour du chœur.





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Sculpture de Sainte-Thérèse-de-l’Enfant-Jésus

La statue de Sainte-Thérèse mesure environ 1,27 mètre de hauteur tenant des roses et un crucifix dans ses deux mains, elle prend place sur un socle de ciment et sur une base à deux paliers. Cette dernière, érigée en 1937, est la propriété de la congrégation des Sœurs de la Charité de Saint-Louis. Peu de temps avant, la congrégation fait face à un problème, le terrain du couvent où se trouve la statue était menacé d’expropriation. Le chemin de fer de Trans-Canada devait y passer. Finalement, le tracé changea. La statue est érigée pour faveur obtenue et fût bénie le 26 juillet 1937.

6670 rue Saint-Louis-de-FranceLévis, G6V 1P3


Année : 1937

Propriétaire : Congrégation des Sœurs de la Charité de Saint-Louis

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Table de communion de l’église Saint-Romuald Reconnue comme monument historique le 5 février 2004, l’église Saint-Romuald possède plusieurs caractéristiques qui la distinguent des autres dont les œuvres d’art qui la foisonnent et rendent le décor unique. La table de communion faite en bois est l’une d’entre elles. Cette dernière a été produite en 1947 par les artisans de la famille Trudelle, c’est-à-dire J.-Georges, le père et Henri, le fils.



Année : 1947


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Tombeau de Mère Saint-Cyprien Le tombeau de Mère Saint-Cyprien est situé sur le terrain du couvent Jésus-Marie de Lauzon. Née en France en 1811 et décédée à Lauzon le 9 décembre 1868, mère Saint-Cyprien, alias Rose Eynac, arrive à Pointe-Lévy avec un groupe de religieuses françaises le 14 décembre 1855. Elle faisait partie de la congrégation des Sœurs de Jésus-Marie. Ces dernières érigèrent leur couvent vers 1856. L’installation du tombeau date du 23 novembre 1957 et comprend une nouvelle statue, la Vierge Marie, création d’Annie Coulombe, stagiaire à l’époque au couvent, remplace l’originale qui était en mauvais état. Cette dernière était nommée Notre-Dame-des-Bois. L’ensemble appartient à la congrégation des Sœurs de Jésus-Marie.



Année : 1957

Propriétaire : Congrégation des Sœurs de Jésus-Marie

Vous souhaitez apporter des modifications ou des précisions à ce guide touristique, n’hésitez pas à nous en faire part.

Ce guide touristique a été produit grâce à une subvention du Programme de soutien financier aux projets spéciaux de la ville de Lévis.

REMERCIEMENTS

La Société d’histoire régionale de Lévis, la Société historique de Saint-Nicolas-Bernières, la Société d’histoire de Saint-Romuald, monsieur David Gagné, historien à la ville de Lévis, madame Isabelle Roy, conseillère en patrimoine de la ville de Lévis et monsieur Pierre-André Corriveau, conseiller en développement culturel à la Direction régionale de la Chaudière-Appalaches du ministère de la Culture et des Communications du Québec.

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CORPORATION DU PATRIMOINE ET DU TOURISME RELIGIEUX DE LÉVIS 22 rue Notre-Dame , Lévis (Québec) G6V 4A4

Téléphone : 418-903-0811 [email protected]

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