Guide Sante & Bien Etre 2012

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LA SANTÉ - Santé & Bien-être dans le Var 2012 / 2013

description

Santé & Bien être est un guide incontournable réunissant, dans un ouvrage de qualité, informations,conseils et adresses des professionnels de la Santé et le bien être de la prévention aux pathologies, en passant par la médecine douce, le bien être ou encore l’assistance, découvrez aussi le répertoire de tous les professionnels de ce secteur

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Marketing - Edition - CommunicationZaC Valgora impérial B - 83160 La Valette-du-Vartél. 04 94 00 64 66 - fax 04 94 01 44 82www.edicis.fr - e-mail : [email protected] technique : arnaud

dans le Sud

Marketing - Édition - Communication

Santé & Bien-être

mes remboursements

mes décomptes et formulaires

par mail avec ma CPAM

d'un suivi personnalisé (grossesse,bilan dentaire des enfants, etc.)

Suivre

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SIMPLE, SÉCURISÉ,en ouvrant mon compte ameli,

je gagne du temps et simplifie mes démarches©

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Prévention

Pathologie et Services Médicaux

Médecine Douce

Les Établissements

Assistance

Devant le succès de cette 1ère édition,

nous avons tout naturellement décidé

d’éditer le guide Santé & bien être 2013

Santé & Bien être est un guide

incontournable réunissant, dans un

ouvrage de qualité, informations,

conseils et adresses des professionnels

de la Santé et le bien être.

De la prévention aux pathologies,

en passant par la médecine douce,

le bien être ou encore l’assistance,

découvrez aussi le répertoire de tous les

professionnels de ce secteur, ô combien

primordial dans notre vie quotidienne.

Grâce à notre expérience dans le

domaine de l’édition depuis plusieurs

années et notre partenariat avec la

CPAM, nous poursuivons notre mission

d’information médicale et la prévention

pour notre santé et bien être

Editeur :Edicis Marketing Communication

Directeur de Publication :Aladdin BIJO

Direction Artistique :CRÉATIS

Partenaire :

dans le SudSanté & Bien-être

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Dimensions et tarifs

4ème de couverture ........................5 000€ Ht

3ème de couverture .........................2 200€ Ht

2ème de couverture ........................3 500€ Ht

1 page ..............................................................1 850€ Ht

1/2 page .............................................................950€ Ht

1/4 page .............................................................780€ Ht

support internetfacebook

DesCriPtif teCHniQUe

format : 180x297mmCouverture : 300g.couché.brillantPages intérieures : 115g.couché.brillantQuantité : 15 000 exedition : annuelle

Distribution : ......>.Centres.Médicaux.(spécialisés.et.généralistes)......>.Centres.Hospitaliers......>.Pharmacies......>.Laboratoires......>.CPAM......>.Annonceurs

mes remboursements

mes décomptes et formulaires

par mail avec ma CPAM

d'un suivi personnalisé (grossesse,bilan dentaire des enfants, etc.)

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je gagne du temps et simplifie mes démarches

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1. ASSISTANCE

Accompagnement des familles dans les démarches (Actes Civils, hospitalisation, CPAM, etc...)Protection sociale et complémentaire santéAide à domicileSapeurs-PompiersProtection Civile

2. PRÉVENTION ET HYGIÈNE DE VIE

PollutionAddictionsCarnet de Santé et vaccinsCures thermalesAccidents domestiquesGestes qui sauventDons d’organesAnimaux

3. PATHOLOGIES ET SPÉCIALISTES

DiabèteObésitéAVCHypertensionCholestérolAutres maladies cardio-vasculairesArthroseArthriteCancerMSTAllergiesMaladies InfantilesAlzheimerParkinson Maladie de Peau

4. MÉDECINES ALTERNATIVES

Acupuncture, aromathérapie, homéopathie,ostéopathie, phytothérapie, réflexologie,sophrologie

5. RÉPERTOIRE ÉTABLISSEMENTS

HôpitauxCliniquesMaisons de retraite et EPHADCentres de rééducation

Les informations sont données sous les réserves d’usage en particulier d’erreurs typographiques. La société MEC ne peut en aucun cas être rendue responsable pour des éventuelles omissions ou des erreurs d’interprétations dans les textes, d’impressions ou de photos. L’appréciation de son utilité appartient au lecteur seul pour son usage personnel. Les descriptifs, photos et logos sont fournis par les annonceurs et restent sous leur entière responsabilité. La loi du 11/03/1957 interdit la copie ou la reproduction même partielle ou par quelque procédé que

ce soit de tous documents, textes, illustrations.

Réalisation, conception et publicité :Marketing Edition Communication – Edicis

1044, Chemin des Plantades – 83130 LA GARDE Tél. 04 94 00 09 65 – Fax 04 94 91 25 77

Email : [email protected] - www.edicis.frCrédits photos : Fotolia

Le mot de l’éditeur :

Qui n’a jamais souhaité être en parfaite santé,

que ses proches, jeunes et moins jeunes, soient à l’abri des pathologies les plus importantes, mais aussi que son entourage vive dans un environnement

sain, via une hygiène de vie ou se mêlent les bienfaits d’une alimentation irréprochable, d’un exercice physique efficace, et le tout dans une atmosphère de plaisir et de détente ?

Cependant, chacun sait qu’il n’est pas toujours facile de rester en bonne santé, et que selon les âges, il convient d’être attentif à la prévention, à l’hygiène de vie, ou encore de faire appel à des services spécialisés pour aider les plus amoindris d’entre nous.

C’est donc dans le but de vous rendre la vie plus agréable que nous vous présentons « Le Guide Pratique de la Santé » dans le Var.

Ce guide, que nous nous efforçons de rendre le plus complet possible, mettra à votre disposition toutes les informations pratiques, de A à Z, nécessaires face à un problème, ou à une simple interrogation, sur la santé.

De la prévention aux pathologies, en passant pas les médecines alternatives, ou encore un répertoire complet des établissements médicaux du Var, nous nous efforçons aussi de nous pencher sur le dossier de l’assistance incluant toutes les démarches administratives.

Grâce à un accompagnement technique de la CPAM, nous mettons à votre disposition un véritable outil d’informations, de conseils, et d’adresses, nécessaires à la protection de vos proches, de tous âges.

En espérant que ce guide s’avèrera un compagnon utile pour vous et vos proches.

L’éditeurAladdin BIJO

Santé & Bien-être

Sommaire

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Santé & Bien-être

ASSISTANCE

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L’HOSPITALISATION

Une hospitalisation s’accompagne d’Un certain nombre de formalités.

Assistance

L’admission

Si elle se fait suite à une urgence, il y a peu de formalités. Il faut se présenter au bureau des admissions, si possible avec sa carte de sécurité sociale.

Si elle fait suite à une consultation, le patient doit présenter une pièce d’identité ou une carte de séjour, sa carte Vitale et de l’attestation de cette carte vitale, sa carte de mutuelle, attestation CMU ou attestation d’aide médicale et un justificatif de domicile (facture EDF, quittance de loyer).

Pour un accouchement, la feuille de suivi de la maternité est nécessaire.

Carnet de santé, ordonnances, résultats d’analyses, radiographies, électrocardiogrammes réalisés ultérieurement peuvent fournir d’importantes indications.

Un livret d’hospitalisation est remis à toute personne hospitalisée. Il présente l’établissement de santé, les informations utiles à la personne accueillie comme les modalités de visite et d’accueil des proches, les droits et obligations des patients, les services et prestations de l’établissement (bibliothèque, espace de pratique religieuse, horaire du service social, location de télévision). Une charte du patient hospitalisée est également remise à la personne hospitalisée.

Le patient hospitalisé devra récupérer un bulletin de situation nécessaire pour percevoir les indemnités journalières. Il est délivré par le service des admissions après 24h d’hospitalisation. Le patient doit fournir ce document à sa caisse d’assurance

maladie et à son employeur. Les salariés doivent également envoyer un courrier à leur employeur dès le début de l’hospitalisation.

Forfait hospitalier

Lors d’une hospitalisation, un forfait journalier hospitalier doit être payé par le patient afin de participer aux frais de l’hôpital. Il est dû pour tout séjour supérieur à 24 heures. Certains motifs d’hospitalisation peuvent vous permettre de bénéficier d’une exonération. Depuis le 1er janvier 2010, le forfait hospitalier, fixé par arrêté ministériel, est de 18 euros par jour en hôpital ou en clinique, 13,5 euros en service psychiatrique.

La sortie

La décision est prise par le médecin.

Cependant, le patient demeure libre de sortir contre l’avis du praticien. Dans ce cas, il signe une décharge de responsabilité.

Un bon de sortie est remis au patient qui devra là aussi l’adresser à sa caisse d’assurance maladie.

Un patient peut bénéficier d’un transport assis professionnalisé, soit en véhicule sanitaire léger (VSL) soit en taxi conventionné. ou d’un transporté allongé, c’est-à-dire en ambulance.

Le médecin peut estimer utile le retour du patient à son domicile en ambulance. Un certificat médical est nécessaire afin d’obtenir le remboursement des frais d’ambulance par l’organisme d’assurance maladie.

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Santé & Bien-êtreAssistance

Elle se compose de quatre branches :

• La branche maladie • La branche famille • La branche vieillesse • La branche recouvrement.

La branche maladie est composée de 102 CPAM départementales. Elle a pour mission de garantir à chacun l’accès aux soins, des conseils en santé et d’assurer, le cas échéant, un revenu de rempla-cement.

La CPAM du Var est votre interlocuteur privilégié aux moments importants de votre vie :

maternité, maladie, invalidité, accidents du travail,maladies professionnelles, décès.

Nous rencontrer

La CPAM du Var gère 866.000 varois répartis sur 150 communes. Pour cela, elle met à disposition :

• 8 centres locaux dotés de 11 guichets en libre-service

• 95 points d’accueil :

Pour consulter les adresses et jours de perma-nences, rendez-vous sur le site ameli.fr, espace Assurés, Votre caisse, Nous rencontrer, Nos points locaux.

Les soinsAccéder à l’offre de soins

Vous recherchez :

• un professionnel de santé, • une spécialité, • un établissement de soins,

Vous souhaitez connaître :

• les tarifs, • les bases de remboursement, • les coordonnées,

Connectez-vous sur ameli-direct.fr

LA CAISSE PRIMAIRED’ASSuRANCE MALADIE Du VARfondée en 1945 sUr le principe de la solidarité, la sécUrité sociale est l’Une des institUtions majeUres de notre pays.

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Assistance

Couverture sociale

En fonction d’un certain nombre de critères (activité, résidence, statut/situation), l’assuré et ses ayants droit éventuels sont affiliés à un régime et rattachés à un organisme de Sécurité sociale.

La CMu (Couverture Maladie universelle)

En France, il y a une solution pour chaque situation.

Toute personne qui déclare ne bénéficier d’aucune protection sociale, et qui remplit les conditions de stabilité et de régularité de résidence, doit être affi-liée à la CMUB (régime d’affiliation d’urgence) ou à l’AME (l’Aide Médicale Etat) : n’hésitez pas, rensei-gnez-vous.

Vous avez des difficultés pour obtenir une mutuelle ?

L’Assurance maladie peut vous aider. N’hésitez pas à vous renseigner sur la CMUC ou l’Aide à une Com-plémentaire Santé.

Rendez-vous sur ameli.fr, site gratuit, disponible 24h/24, 7jours/7.

ou contactez-nous au 3646, appel non surtaxé ; nos conseillers répondent à vos questions de 8h à 17h du lundi au vendredi.

Vous préférez nous adresser un mail : connectez-vous à votre compte ameli sur ameli.fr, rubrique «nous contacter».

COMPRENDRE VOS MAux : AMELI-SANTÉ.FRBesoin d’une information santé claire et fiable ?

L’assurance Maladie a créé pour vous un site inter-

net dédié à la santé.

Vous y trouverez des informations sur les maladies, les traitements, les gestes de prévention, l’essentiel

pour réagir dans les situations d’urgence, la vacci-nation, la grossesse, etc…

Vous attendez un enfant ?

La Caisse d’Assurance Maladie du Var, en partena-riat avec la CAF et le Conseil Général du Var, orga-nise près de chez vous des ateliers destinés aux femmes enceintes. Pour connaître les dates des prochains ateliers, consultez le site ameli.fr ou bien renseignez-vous auprès de nos agents d’accueil.

Les bons gestes

La Carte Vitale simplifie, accélère vos rembourse-

ments et indique vos droits à l’Assurance Maladie. Présentez-la à vos professionnels de santé : plus de 79 % des professionnels de santé varois l’utilisent.

À partir de 16 ans, chaque bénéficiaire de l’Assu-rance Maladie reçoit un dossier à nous retourner complété.

À réception, la Caisse lui enverra une Carte Vitale à son nom sur laquelle figurera sa photo.

Cependant, les remboursements continueront de se faire sur le numéro du parent auquel il est rattaché

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Santé & Bien-êtreAssistance

Quand mettre à jour sa carte vitale ?

Surtout, pensez bien à la mettre à jour :

• une fois par an, • et à chaque changement de situation si-gnalé à votre Caisse (déménagement, mariage, dé-claration médecin traitant…).

Où la mettre à jour ?

Auprès de nos agents d’accueil, en centres ou lors des permanences, et dans la plupart des pharma-cies.

Pour plus de renseignements sur vos droits et ceux de vos ayants droits, rendez-vous sur ameli.fr.

Pour gérer votre dossier de l’assurance maladie (ex : demander une attestation de droits, commander un formulaire, etc) et suivre vos remboursements en temps direct sur Internet : mon compte ameli sur ameli.fr (site ameli.fr > Services en ligne pour les assurés > Mon compte).

La Prévention

L’Assurance Maladie s’engage pour vous aider à prendre soin de votre santé. Chaque année, des campagnes de prévention sont relayées par votre Caisse :

Cancer du sein

36 000 mam-mographies de dépistages ont été réalisées en 2010.

Près d’une femme sur dix développe un cancer du sein au cours de sa vie. Entre 1980 et 2000, le nombre de nouveaux cancers du sein a presque doublé. Pour autant, la mortalité a très peu augmenté grâce à l’amélioration des traite-ments.

Plus un cancer est détecté tôt, plus il se soigne facilement, et plus les chances de guérison sont éle-vées. Il est donc essentiel de faire les mammogra-phies de dépistage gratuites, même en l’absence de tout symptôme !

L’Assurance Maladie a mis en place un programme de dépistage organisé du cancer du sein : toutes les femmes âgées de 50 à 74 ans bénéficient d’une mammographie gratuite à effectuer tous les deux ans.

Cancer du côlon

37 000 tests de dépistage ont été pratiqués en 2010.

Le cancer colorectal est le deuxième cancer le

plus fréquent et la deuxième cause de mort par can-cer. En général, le cancer colorectal survient chez des personnes de plus de 50 ans. Grâce au dépistage et à l’amélioration des traitements, la mortalité dé-croît.

Un cancer colorectal dépisté tôt se soigne mieux. Vous avez entre 50 et 74 ans ? N’hésitez pas à bé-néficier gratuitement du test de dépistage.

Si vous n’avez pas reçu l’invitation (adressée par votre Caisse tous les deux ans à partir de l’âge de 50 ans), n’hésitez pas à vous renseigner.

Le test est gratuit : vous n’avez pas de frais à avan-cer. Votre médecin traitant vous remet gratuitement le test de dépistage. L’analyse de votre test en labo-ratoire agréé est également prise en charge à 100 % par l’Assurance Maladie.

MT’dents

Votre enfant a 6 ans, 9 ans, 12 ans, 15 ans ou 18 ans ? L’Assurance Maladie vous propose un exa-men bucco-dentaire pour faire vérifier la santé de ses

dents. Cet examen est gratuit, intégralement pris en charge par l’Assurance Maladie.

Un mois avant sa date d’anniversaire, vous recevrez chez vous un courrier d’invitation de l’Assurance Maladie pour un rendez-vous de prévention dentaire.

À l’issue de la consultation, si votre enfant a be-soin de soins complémentaires (traitement des ca-ries et des racines, détartrage, scellement des sillons, etc.), ils sont pris en charge à 100 % par l’Assu-rance Maladie. Ces soins doivent être effectués dans les neuf mois qui suivent l’examen.

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Le bilan de santé gratuit

La CPAM du Var met également à votre disposition son centre d’examens de santé :

«La Colombe»

Place Pouyade à Toulon

Téléphone : 04 94 09 80 30 – Fax : 04 94 09 80 26

Courriel : [email protected]

L’an dernier, 5.100 bilans médicaux de préventions ont été dispensés gratui-tement.

Ces examens périodiques vous permettent de faire le point sur votre état général, et propose une analyse biologique, avec, notamment, un contrôle de votre glycémie, un bilan permettant de détecter d’éven-tuelles pathologies, ainsi que des examens den-taires, visuels et auditifs.

LA GROSSESSEVous attendez un enfant ?

Vous devez déclarer votre grossesse au moyen de l’imprimé «Premier examen médical» remis par le mé-decin dès que possible à votre caisse d’Assurance

Maladie et à votre Caisse d’Allocations Familiales.

Vos remboursements

• 3 échographies sont remboursables, • et tous vos soins et médicaments sont pris en charge à 100 % du 1er jour du 6ème mois de gros-sesse jusqu’au 12ème jour après la date réelle de votre accouchement.

Vous exercez une activité professionnelle ?

Sous réserve de conditions d’immatriculation et du nombre d’heures travaillées, vous pouvez bénéficier d’indemnités journalières :

Pour les cas particuliers, le report de la période pré-natale ou le congé pathologique de 14 jours, rendez-vous sur ameli.fr ou à l’accueil.

Le futur papa bénéficie quant à lui d’un congé pa-ternité de 11 jours ou une naissance simple, 18 jours pour une naissance multiple. Ce congé doit être posé dans les quatre mois suivant la naissance.

L’Assurance Maladie vous accompagne

Des ateliers à destination des futurs parents sont organisés dans tout le département.Renseignez-vous.

De plus, vous recevrez la visite d’un conseiller le len-demain de l’accouchement pour planifier ensemble votre fin d’hospitalisation et envisager le passage, au domicile, d’une sage-femme.

Vous attendez Congé prénatal Congé postnatal

Un enfant et moins de 2 enfants à charge 6 semaines 10 semaines

Un enfant et 2 en-fants ou plus à charge 8 semaines 18 semaines

Des jumeaux 12 semaines 22 semaines

Des triplés ou plus 24 semaines 22 semaines

Assistance

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Santé & Bien-être

La sécurité sociale

Pour bénéficier d’une pro-tection sociale, chaque in-dividu doit s’immatriculer auprès de la caisse d’as-surance maladie. Chaque assuré social possède un numéro d’immatriculation et une carte d’assuré social.

L’immatriculation se fait soit lors de la première em-bauche, même si elle est de courte durée, soit lors de l’inscription au baccalauréat pour les élèves de terminale. Elle peut aussi intervenir lors de l’inscrip-tion dans un établissement d’enseignement supé-rieur dans certains cas.

Ce sont les services de l’employeur ou des établis-sements scolaires qui se charge de cette inscription. Les titulaires du revenu de solidarité active (RSA) qui ne relèvent d’aucun régime obligatoire de protection sociale, sont affiliés à la couverture maladie univer-selle (CMU) de base.

À partir de 16 ans, les bénéficiaires de l’assurance maladie reçoivent une carte vitale comportant leur numéro de sécurité sociale, c’est un numéro d’ins-cription (NIR) au répertoire national des personnes physiques (RNIPP). L’assuré le conserve toute son existence. Ce numéro est nécessaire pour gérer

tout dossier d’assurance maladie ou d’assurance vieillesse. La carte donne droit aux remboursements de la sécurité sociale. Elle est délivrée par la caisse d’assurance maladie. Cette carte Vitale contient toutes les informations nécessaires pour identifier le bénéficiaire, notamment le sexe, l’année et le mois et le lieu de naissance.

Tout changement de situation personnelle doit être signalée à la caisse primaire d’assurance maladie : un mariage, un pacs, un divorce, une naissance, un décès. Cela permet de rattacher un conjoint ou un enfant en qualité d’ayant droit pour bénéficier des

prestations en nature de l’as-surance maladie

Un déménagement doit aussi être signalé afin d’effectuer un éventuel changement de caisse d’assurance maladie que ce soit dans le même dé-partement ou dans un autre

département. Son dossier sera alors transféré. L’as-suré reçoit alors une nouvelle attestation de droits, sa carte vitale doit être mise à jour en utilisant une borne vitale.

Complémentaires santé

L’adhésion a un contrat de complémentaire santé (par exemple, auprès d’une mutuelle) permet d’être mieux remboursé de ses dépenses de santé. Le régime de base de l’assurance maladie prend en charge une partie des frais. Le reste, le ticket mo-dérateur, est à la charge du patient. Il peut être pris en charge par un organisme d’assurance complé-mentaire.

Un contrat de complémentaire santé peut été signé avec une mutuelle, une société d’assurance ou une institution de prévoyance. Dans tous les cas, cela n’et pas obligatoire et c’est à la charge du patient lorsqu’elle est individuelle. Elle peut aussi être col-lective, certaines sociétés négocient des tarifs pour leurs salariés et prennent en charge une partie du montant de cette complémentaire.

PROTECTION SOCIALE ET COMPLÉMENTAIRE SANTÉ

À partir de 16 ans, les bénéficiaires de l’assurance maladie reçoivent une carte vitale comportant leur nu-méro de sécurité sociale

Assistance

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LA CLINIQuE SAINT-MARTIN

la cliniqUe saint martin, établissement de santé mentale, oUvre en 1965. elle rejoint le groUpe générale de santé, en 1996.

86 lits en hospitalisation complète, et 8 places en hôpital de jour, la clinique est conventionnée avec la sécurité sociale et les principales mutuelles.Elle est spécialisée dans l’accueil de patients adultes, présentant des troubles psychiatriques compatibles avec des soins en milieu ouvert.

Une prise en charge pluridisciplinaire associe les différentes compétences requises, pour assurer des soins et un suivi personnalisés ( psychiatres, méde-cins généralistes, infirmier(e)s, psychologues, aides soignant(e)s, art-thérapeute, assistante sociale, éducateur sportif ).En début d’hospitalisation, un projet thérapeutique est élaboré entre le psychiatre et le patient.

L’infirmière référente du patient, est chargée de la mise en œuvre et du suivi du parcours de soins en lien avec le projet thérapeutique.L’objectif est, à l’aide d’ateliers thérapeutiques ac-tifs, de groupes de parole, d’entretiens individuels, … et du soutien constant des équipes soignantes, de dépasser la phase de crise.

Deux orientations fortes de la clinique sont la prise en charge de :

- la dépression sous toutes ses formes - la maladie bipolaire dans le cadre d’un programme d’Education Thérapeutique reconnu et autorisé par l’Agence Régionale de Santé ( ARS ) .

Qu’est ce que la maladie bipolaire ?

Les troubles bipolaires sont des pathologies com-plexes, se caractérisant par des variations exces-sives de l’humeur, pouvant alterner entre euphorie et dépression, ou parfois associer les deux.Ces troubles ont des répercussions sur la vie quo-tidienne, familiale, et professionnelle, conduisant souvent à un isolement social.

La prise en charge associe un traitement médica-menteux, l’accompagnement d’un travail sur soi et la participation au programme d’Education Théra-peutique.L’éducation thérapeutique pratiquée à la clinique, consiste à expliquer au patient sa maladie et ses traitements, à reconnaître les symptômes, et surtout à lui donner des outils pour mieux vivre au quotidien avec sa maladie,.

Les séances sont groupales et individuelles :

- Les séances en groupe, favorisent les échanges entre patients sur les ressentis et son vécu de la maladie. Ce partage d’expériences est essentiel. - Les séances individuelles, entre le patient et l’infirmière, permettent d’approfondir les aspects plus personnels, de lever certains obstacles et de personnaliser l’accompagnement..

La clinique propose aussi une prise en charge en hôpital de jour.

L’hôpital de jour est une alternative à l’hospitalisa-tion complète, et peut être complémentaire au suivi en médecine de ville. Elle est compatible avec une vie professionnelle, à temps partiel.

Quelles sont les indications thérapeutiques?

- les troubles bipolaires stabilisés - les troubles anxieux, les phobies sociales - les dépressions - les troubles psychotiques stabilisés

Quelle est la prise en charge ?

Le psychiatre et le patient définissent le projet théra-peutique individualisé, et les journées ou demi-jour-nées de présence.Des ateliers thérapeutiques, des ateliers socio-édu-catifs, des groupes de parole, des entretiens infir-miers, une psychothérapie individuelle, sont propo-sés en lien avec la pathologie.

Les ateliers thérapeutiques ont pour but de déve-lopper une image positive de soi, par la créativité (peinture, modelage), la concentration (danse), la réalisation d’objet (mosaïque), ou encore la prise de parole en public (groupe de parole, théâtre).Les ateliers socio-éducatifs facilitent la resocialisa-tion (informatique, photo langage, jeux de sociétés), stimulent la mémoire, et donnent des pistes pour mieux appréhender son capital santé (nutrition, pré-vention).

Une fois par mois, le personnel organise une sortie culturelle, comme la visite d’un musée, d’un jardin botanique, d’une exposition, ou encore une mini randonnée avec pique nique .Chaque année, une journée « portes ouvertes » per-met à chaque patient de présenter ses réalisations et son savoir faire aux autres patients, à l’entourage, et aux familles.

Tout au long de la prise en charge, l’équipe soignante pluridisciplinaire assiste, écoute et encourage le pa-tient pour l’aider dans son parcours thérapeutique.Les échanges entre patients au cours des ateliers, la convivialité de l’hôpital de jour sont des valeurs ajoutées en vue d’une resocialisation. Les liens qui se créent à l’hôpital de jour, sont une aide pour cha-cun.

Le projet de l’hôpital de jour favorise une possible réinsertion dans la vie sociale et professionnelle.

CONTACT :Clinique SAINT-MARTIN : 04.98.00.31.00Hôpital de jour : 04.98.00.31.40Site internet : www.generale-de-sante.fr/clinique-saint-martin-ollioules

Publi-Rédactionnel

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L’aide ménagère

L’aide ménagère est réservée aux personnes légère-ment dépendantes. Cette aide s’occupe de l’entre-tien du domicile, de la préparation des repas et peut assister une personne pour faire certaines démarches administratives. Elle aidera aussi la personne dépen-dante à se déplacer, se lever ou s’assoir si besoin est. Cette aide est assurée par des prestataires de services conventionnés : associations d’aides ména-gères et CCAS.

Elle sera financée, selon les revenus de la personne, soit par la Caisse nationale d’assurance vieillesse (Cnav), ou par la caisse régionale d’assurance mala-die, selon que la personne habite en Île-de-France ou en province, soit par le département.

Les personnes dont l’autonomie est grandement ré-duite peuvent quand à elles bénéficier de la presta-tion spécifique dépendance. Créée en 1997, la PSD a ensuite été remplacé par l’APA en 2002.

L’Aide Personnalisée d’Autonomie (APA) n’est pas soumise à condition de ressources mais selon le niveau de revenu, une partie restera à la charge du malade. Elle est, qui plus est, attribuée aux personnes âgées d’au moins 60 ans et résidant en France.

La demande s’effectue auprès de la mairie ou d’une associa-tion d’aide ménagère à domi-cile. C’est le président du conseil général de chaque département qui, après étude du dossier, accorde ou pas cette aide personnalisée d’autonomie.

Les soins à domicile concernent les personnes ma-lades, très dépendantes voire alitées. Les services de soins à domicile interviennent sur prescription médi-cale. La prise en charge suit souvent une hospitalisa-

tion, une maladie ou une chute.

Ces soins sont dispensés par des aides-soignantes sous la responsabilité d’infirmières. Elle administre les médicaments nécessaires, s’occupe de soins de toilettes ou d’hygiène, ou paramédicaux (prévention d’escarres, des piqûres, de la coupe d’ongles).Pour en bénéficier, ces soins à domicile doivent être prescrits par le médecin traitant. Une demande de prise en charge doit être envoyée à la caisse d’assu-rance maladie.

Ces soins peuvent être dispensés 24h sur 24h, si né-cessaire. Cette allocation peut se cumuler avec l’Apa. Le montant de cette dernière peut en revanche être, dans ce cas, revu à la baisse.

L’hospitalisation à domicile (HAD)

L’hospitalisation à domicile (HAD) s’adresse à des malades qui ont besoin d’une surveillance perma-nente et de soins fréquents à leur retour au domicile. Cela permet au malade d’écourter son séjour à l’hô-pital et de continuer à bénéficier de soins et d’un ma-tériel médical adapté.

Les malades peuvent bénéficier d’une prise en charge à 100 % par la caisse d’assurance ma-ladie ou par l’aide sociale. Les conditions pour en bénéficier varient en fonction de l’établis-sement dans lequel le malade a

été hospitalisé.

Enfin la garde à domicile est une aide financière des-tinée à aider les personnes dépendantes à employer un tiers à domicile.

Elle est attribuée, sous certaines conditions, aux per-sonnes venant d’être hospitalisées et ayant besoin d’un accompagnement de courte durée.

L’AIDE À DOMICILEaide oU soins à domicile s’adressent à des personnes dépendantes. l’aide à domicile re-groUpe Une mUltitUde de services.

Les soins à domicile concer-nent les personnes malades

ou très dépendantes

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Santé & Bien-êtreAssistance

L’accroissement de la durée de vie est un privilège des nations développées.Il faut cesser de croire qu’elle est un poids pour notre société mais au contraire une formidable opportunité de croissance pour notre économie et un levier majeur de création d’emplois au moment où une crise sans précédents nous atteint de plein fouet.

Mais à la condition bien sûr que la majorité de la population âgée soit active et en bonne santé.

La prévention de la dépendance doit donc jouer un rôle majeur. L’espérance de vie croit dans notre pays d’un trimestre par an. Elle atteint aujourd’hui 84,5 ans chez les femmes et 77,6 ans chez les hommes. Aujourd’hui 14 millions de Français ont plus de 60 ans, ils seront plus de 20 millions en 2030.

Pour ces hommes et ces femmes de 60 ans en bonne santé aujourd’hui, l’espérance de vie est d’hors et déjà supérieure à 90 ans !Actuellement notre pays compte 3,5 millions d’octogénaires. Ils seront plus de 6 millions en 2030.

La dépendance concerne aujourd’hui 6,6 % des personnes de plus de 60 ans soit un peu plus d’1,1 million de françaises et de français. Contrairement à certaines idées reçues elle n’intéresse que 17,5 % des 80 - 89 ans.

Par contre elle augmente ensuite brutalement et concerne plus de 40 % des personnes de plus de 90 ans. Elle génère un coût pour la collectivité de 23 Milliards d’euros. Il sera de plus de 30 milliards en 2025 si nous ne modifions pas nos comportements actuels.

Il est donc évident que pour des raisons bien sûr humaines mais aussi économiques la prévention est une priorité absolue. Cette prévention doit être mise en œuvre très tôt, bien avant la période charnière du départ à la retraite.

Accroître la culture sanitaire, changer les comportements en améliorant le bien être au travail et l’efficacité du personnel aussi bien chez eux que sur leur lieu de travail doit devenir une priorité.

Priorité aussi d’évaluer la fragilité de chacun d’entre nous, état de vulnérabilité à un stress souvent généré par une intégration sociale insuffisante, et qui conduit à une diminution des réserves physiologiques.L’inactivité aussi bien physique que mentale doit bien sûr être combattue. Elle diminue les interactions sociales et le sentiment d’auto efficacité et atteint par ce biais les capacités intellectuelles en particulier de mémoire.

Promouvoir le maintien dans l’emploi des plus de 50 ans, prolonger l’activité professionnelle au-delà de

60 ans, proposer un environnement propice aux développements des activités pour les retraités est la garantie d’une prévention efficace des fragilités cérébrales.

En ce sens la formation aux activités post salariales dites «de seconde partie de la vie active» est aujourd’hui insuffisante. Elle devra être développée et être ainsi un des éléments de lutte contre

toutes les discriminations dont les séniors peuvent être l’objet.

Et gardons toujours à l’esprit que la génération de 1968 va bousculer l’univers de la «retraite « comme elle a tout bousculé sur son passage depuis plus de 40 ans ! Être senior pour eux signifiera ne renoncer à rien voire en profiter jusqu’au bout. Nous assisterons à l’éclosion d’une population d’aînés dont le projet de vie n’a pas d’âge et qui voudra rester aux commandes de sa propre destinée comme elle l’a été pendant sa période d’activité professionnelle.

Prévention de la dépendance, mise en place d’un nouvel agencement entre le collectif et l’individuel rendu nécessaire par le respect des modes de vie et des choix personnels de notre nouvelle génération de séniors, mise en adéquation des modèles de résidence souhaitée et de l’offre actuellement proposée sont les trois mamelles de la réussite d’une longévité triomphante.

LA LONGÉVITÉla longévité est Une force poUr notre société alors relevons le défi !

« La prévention de la dépendance doit jouer un rôle majeur.

L’espérance de vie croit dans notre pays d’un

trimestre par an »

Employons-nous à relever

ce passionnant défi !

Philippe Vitel

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Naissance

La déclaration se fait dans les 3 jours qui suivent le jour de la naissance. Après ce délai, une naissance ne pourra être inscrite sur les registres que sur pré-sentation d’un jugement rendu par le tribunal de grande instance.

Il faut par ailleurs déclarer une grossesse à la caisse d’Assurance Maladie dans les trois premiers mois. Cela permettra d’accompagner la mère tout au long de sa grossesse. La déclaration de naissance est faite à la mairie du lieu de naissance. L’acte de naissance est rédigé gratuitement sur présentation d’un certificat établi par le mé-decin ou la sage-femme, d’une déclaration éventuelle de choix des noms, de l’acte de recon-naissance si il a été fait avant la naissance et du livret de famille.

Accouchement sous x

Une femme peut souhaiter garder l’anonymat et de-mander le secret de son admission et de son identité. Aucune pièce d’identité ne peut lui être demandée et aucune enquête ne peut être menée.

La femme, lors de son admission, est informée sur les conséquences de l’abandon de l’enfant, sur l’im-portance d’informations sur l’histoire et l’origine de l’enfant. Elle peut laisser son identité sous pli fermé.

Enfant sans vie

L’acte d’enfant sans vie peut être obtenu, à la de-mande des familles en mairie, sur présentation d’un certificat médical d’accouchement si l’enfant est mort-né ou si l’enfant est né vivant mais non viable et décédé avant la déclaration de naissance.

Le certificat médical doit mentionner l’heure, le jour et le lieu de l’accouchement. L’acte d’enfant sans vie permet aux parents d’inscrire cet enfant sur les re-gistres de l’état civil et sur le livret de famille

Filiation

La filiation est le lien juridique qui unit un enfant à son père et à sa mère. La filiation est légalement établie par l’effet de la loi (à l’égard de la mère ou du père ma-rié), par la reconnaissance volontaire pour les coupes non mariés avant, pendant ou après la naissance,

par la possession d’état constatée par un acte de notoriété, par jugement (la filiation est déclarée par le juge). Elle se prouve par l’acte de naissance de l’enfant, par l’acte de reconnaissance ou par l’acte de notoriété constatant la possession d’état.

Acte de décès

Un acte de décès est établi à la mort d’une personne, quelle que soit sa nationalité dans les 24h suivant la constatation du décès.Si le décès survient à l’hôpital, la déclaration est faite par l’hôpital à la mairie du lieu du décès.

L’acte de décès s’effectue en mairie. Pour l’établir il faut se munir, du certificat de décès délivré par le mé-decin, le commissariat de police, ou la gendarmerie en cas de mort violente (accident, suicide), le livret de famille du défunt, une carte d’identité du défunt, pas-seport, acte de naissance ou de mariage du défunt.

Les services de pompes funèbres peuvent aussi se charger des démarches. L’inhumation ou la créma-tion doivent auparavant être autorisées par le maire de la commune, ou se déroulera l’enterrement ou la mise en bière.

LES ACTES CIVILSles démarches d’état civil sont celles qUi sont liées aUx actes de naissance, actes de mariage et actes de décès ainsi qUe celles relatives aU livret de famille.

La déclaration de naissance est faite à la mairie du lieu de

naissance.

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Santé & Bien-être

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Les missions :La Sécurité Civile a plusieurs missions: les Opéra-tions de Secours (plan ORSEC, plan ROUGE...), les actions de soutien aux populations sinistrées, l’en-cadrement des bénévoles lors des actions de sou-tien aux populations sinistrées et la mise en place de dispositifs prévisionnels de secours.

Elle assure l’entraînement de ses équipes bénévoles mais aussi la formation du public au secourisme PSC1, PSE1, PSE2, BNMPS).

Elle assure aussi des activités de types opération-nelles.

Parmi elles, les Dispositifs Prévisionnels de Se-cours sont les plus fréquents. C’est-à-dire qu’à la demande d’organisateurs publics ou privés, des équipes de secouristes seront présents sur des évè-nements sportifs ou festifs.

Ces secouristes disposent d’un Véhicule de Premier Secours (VPS) dans lequel se trouvent trois bénévoles et un Poste Médical Avan-cé (PMA).

La Protection Civile peut intervenir ponctuellement sur des missions de ser-vice public à la demande de l’Etat, lors de cérémonie officielle, ou d’assistance aux personnes notamment.

Elle intervient également lors de plan de secours : Plan ORSEC, plan rouge, plan neige, plan canicule. Elle apporte un renfort aux services de l’Etat, dans le Var cela lui arrive sur les feux de foret notamment, dans le monde aussi, des bénévoles varois sont no-tamment partis en 2011 au Japon.

Les équipes de la Protection Civile peuvent être contactées 24h/24.

«Les sauveteurs sont regroupées au sein d ‘une ving-taine d’associations, Croix Rouge, Croix Blanche, FFSS », explique Alain Robert de l’association Pro-tacc.

La Fédération Française de Sauvetage et de Secou-risme est représentées par plus de 300 structures en France et s’organise localement à travers des co-mités départementaux et les associations qui leurs sont affilées.

La formation PSC1 : Toutes les structures de la FFSS, au même titre que les pompiers, peuvent dispenser des formations de Prévention et Secours Civiques de niveau 1, une for-mation accessible à tous.

« On organise des interventions dans les établissement scolaires » explique Christine Maltese,

de l’éducation nationale. Notre objectif est que tous les élèves qui sortent de 3e aient passé leur PSC1.

Cette formation de 7 à 10 heures est destinée à apprendre les gestes du premiers secours.

Savoir donner l’alerte, effec-tuer des points de compres-sions, placer la victime en positon latérale de sécurité, pratiquer une réanimation cardio-pulmonaire ou utiliser un défibrillateur automatisé

externe font partie des gestes enseignés lors de la PSC1, qui peuvent sauver des vies en attendant les secours.

www. protection-civile-var.org

LA PROTECTION CIVILEconcerts, manifestations sportives, inondations, les membres de la sécUrité civile inter-viennent qUasiment toUs les joUrs dans notre vie. les secoUristes sont des bénévoles.

Assistance

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Santé & Bien-être

Il englobe la Direction Départementale des Services d’Incendie et de Secours (DDSIS) et les Centres d’Incendie et de Secours (CIS). Le service dépar-temental d’incendie est divisée en groupements territoriaux (3), Centres de secours principaux (7), Centres de secours (23) et des Centres de première intervention (36).

« Les secours à la personne constituent notre prin-cipale activité, à domicile comme sur la voie pu-blique. Mais nous traitons surtout les opérations de secours, pour les interventions d’assistance ce sont les ambulances le plus souvent qui interviennent», explique Joel Soldani, du CSP La Garde.

Chaque commune est rattachée à au moins deux centres d’incendie et de secours et chaque centre d’incendie et de secours est rattaché à un centre plus important appelé «centre de secours principal». Le centre de secours principal a pour mission de fournir des renforts aux centres qui lui sont ratta-chés en cas de sinistre important ou d’intervention difficile. Ces renforts peuvent également intervenir au niveau départemental en cas de besoin à la de-mande du Centre Opérationnel Départemental d’In-cendie et de Secours (CODIS).

Le CODIS 83 est le centre Opérationnel Départe-mental d’Incendie et de secours. Il gère la coordina-tion de l’activité opérationnelle des services d’incen-die et de secours du département.

Toutes les opérations en cours transitent par le CODIS du dé-but à la fin de l’intervention. Il est placé sous l’autorité du directeur départemental, le Colonel Martin. Le CODIS centralise les informations pour permettre d’articuler les dispositifs préventifs et opé-rationnels. Il assure également les relations avec le Préfet, les autorités départementales

et municipales. Il fonctionne 24h/24.

Depuis 2010, le système SCALA permet de traiter tous les appels d’urgence du 18 ou du 112. Ce sys-tème centralise les appels en se subs-tituant aux anciens centres de traite-ments des appels du département. Le but est de mieux organiser les secours. Il englobe un système de géolocalisation des véhicules de secours grâce à une cartographie numériques. Cela facilite l’envoi et l’intervention des véhicules qui sont les plus proches du lieu d’inter-vention.

Concrètement, le CRAU (centre de réception des Appels d’Urgence) reçoit les appels, les CGI gère les interventions, des Csat permette une interconnexion des Centre d’Intervention et de Secours et le Codis reste outil opérationnel.

Véhicule d’Intervention Polyvalent, Véhicule de Se-cours Aux Victimes, Camion Citerne Feux Moyen ou Feux Super, Zodiac, hélicoptères, au total, les sapeurs pompiers du Var disposent aujourd’hui de plus de 1300 engins terrestres, maritimes et aériens. A cela s’ajoute des moyens nationaux notamment aériens pour la lutte contre les incendies : 12 cana-dairs, 9 trackers et 2 dash 8.

LES SAPEuRS POMPIERS Du VAR

le service départemental d’incendie et de secoUrs (sdis) 83 est installée à dragUignan

Les sapeurs pompiers du Var disposent aujourd’hui de plus

de 1300 engins terrestres, maritimes et aériens

Assistance

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PRÉVENTION & HYGIÈNE DE VIE

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Dioxyde de carbone, ozone sont les deux principaux polluants de l’air que nous respirons. Le dioxyde d’azote est principalement issu des combustions à haute température, principalement produit par les moteurs automobiles. C’est un oxydant qui peut transporter des composés toxiques dans les voies respiratoires inférieures.

L’ozone se forme par la transformation du dioxyde d’azote sous l’effet des ultraviolets. Ce gaz stagne en l’absence de vent et la chaleur des couches d’air élevées. L’ozone est un gaz agressif pour les mu-queuses oculaires et respiratoires.

Allergies, asthmes, troubles car-diaques sont favorisés dans un en-vironnement pollué.

Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, trois millions de décès seraient dus à l’effet de la pollution atmosphérique.

En France, près de 3 000 décès sont attribuables à la pollution atmosphérique dans neuf grandes villes françaises (Bordeaux, Le Havre, Lille, Lyon, Marseille, Rouen, Strasbourg, Toulouse et Paris)

7 à 20% des cancers seraient imputables à des éléments environnementaux dont les produits chimiques, a déclaré le ministre de l’Écologie et du Développement durable, Serge Lepeltier, en ouver-ture des deuxièmes rencontres parlementaires Santé et Environnement en octobre 2011.

Que faire pour se protéger ?

- Eviter de sortir aux heures les plus chaudes

- Eviter la pratique d’activité physique durant les pics et pollution mais de façon générale dans le courant de la journée, préférer le matin de bonne heure ou le soir

- Eviter d’associer d’autres toxiques à la pollution at-mosphérique (tabac, solvants, produits d’entretien ou de bricolage)

- Aérer les habitations la nuit ou au petit matin : les composés chimiques présents dans de nombreux produits sont responsables de la pollution de nos intérieurs (maison, bureaux) comme le Monoxyde de carbone (CO2), l’oxydes d’azote, radon (un gaz ra-dioactif cancérigène émis par le sol dans certaines régions) et les COV (composés organiques volatils

présents dans les produits de construction, d’entre-tien et de décoration).

- S’hydrater : boire suffisamment permet d’éliminer les toxines.

- Consommer des antioxydants pour se protéger. Ils sont particulièrement présents dans les petits fruits (mûres, canneberges, framboises et prunes) et cer-tains légumes (artichauts, asperges, brocolis, poivron jaune

- Les plantes peuvent réduire la pollution intérieure. Elles absorbant ces émanations toxiques et les ache-minent dans leurs racines ces substances sont en-suite détruites par les micro-organismes de la terre. L’azalée, par exemple, extermine l’ammoniac présent dans les produits nettoyants, le chrysanthème ab-sorbe le trichloréthylène présent dans la peinture. Le ficus est parfait contre le formaldéhyde, présent dans de nombreux emballages, essuie-tout, la mousse d’isolation ou la moquette.

LA POLLuTION

pollUtion atmosphériqUe, des sols, de l’eaU : le corps lUtte.

Prévention et Hygiène de vie

Allergies, asthmes, troubles cardiaques

sont favorisés dans un environnement pollué.

Suivi quotidien des taux de

pollution de votre environnement,

appellez le +564654684+4

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Santé & Bien-être

Les médicaments se classent en 3ème position (usage théra-peutique et non thérapeutique).

Du côté des drogues, le cannabis est la substance psycho-active illicite la plus consommée.

Enfin existent des addictions liées à des activités, et non à des substances, comme par exemple le jeu pathologique ou les achats compulsifs.

« Quand parle d’addictions, aux médicaments, à la nourriture, au sexe, il s’agit plutôt d’un usage problématique pour lequel il y a une dépendance », explique le docteur Léonelli qui inter-vient au centre hospitalier de Toulon La Seyne

En France, les addictions aux substances psycho-actives sont à l’origine chaque année d’environ 100 000 morts, dont près de 40 000 cancers. Les conduites addictives interviendraient dans 30 % de la mortalité précoce (avant 65 ans)

D’un point de vue neurobiologique, les neurones dopami-nergiques jouent un rôle dans l’apparition des addictions. La dopamine est un neuromédiateur du plaisir. Le cerveau libère cette dopamine lors d’une expérience qu’il juge agréable. Un dérèglement de cette fonction peut engendrer des dépen-dances.

« Pour sortir d’une addiction, il faut d’abord en prendre conscience, et se faire aider, consulter, l’approche sera sou-vent spécifique en fonction de la dépendance, du produit re-prend le docteur Léonelli.

Il existe aussi des prédispositions génétiques. Tous les indivi-dus ne sont pas égaux devant les substances ou les activités addictives.

Le principal symptôme des addictions est la difficulté à réfré-ner le désir de consommation. Les addictions peuvent avoir une issue tragique : overdose, coma éthylique, cancers des buveurs et fumeurs, troubles neurologiques et psychiatriques sans compter les conséquences sociales (isolement, désocia-lisation).

LES ADDICTIONS

l’alcool et le tabac sont les sUbstances psycho-actives les plUs consommées en france

Pour sortir d’une addiction, il faut d’abord en prendre conscience, et se

faire aider

Diverses offres de soins existent

pour aider les personnes dépen-

dantes :

Les centres de soins aux toxico-

manes, le réseau santé addiction

sud, les bus méthadone, les comités

départementaux (prévention contre

l’alcoolisme), des consultations

hospitalières (tabacologie), psy-

chiatriques (boulimie), réunion de

groupes ou d’associations (SOS

joueurs).

Plan gouvernemental 2007/2011 :

Pour répondre aux problèmes liés

aux addictions, un plan gouverne-

mental 2007-2011 sur « La prise en

charge et la prévention des addic-

tions » a été mis en place. L’objectif

est de renforcer et de coordonner les

dispositifs existants et développer

les ressources à toutes les étapes de

la prise en charge de ces problèmes

(de la prévention, aux soins et à

l’accompagnement social).

De plus ce plan a pour ambition de

mettre en place une prise en charge

des addictions de façon «transver-

sale». Les approches thérapeutique

et préventive s’effectuait jusqu’à pré-

sent par produits (tabac, alcool…).

Le problème de dépendance est de-

puis considérer de manière globale.

En finir avec ces dépendances

Prévention et Hygiène de vie

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LE CARNET DE SANTÉ

le carnet de santé est Un docUment confidentiel. il contient les informations médicales relatives aU sUivi de la santé de l’enfant jUsqU’à ces 16 ans. ses informations sont coU-vertes par le secret médical.

Il est délivré gratuitement par l’officier d’état civil au moment de la déclaration de naissance de l’enfant ou à défaut, par les services de la protection mater-nelle et infantile (PMI) du Conseil général.

Les enfants nés à l’étranger, vivant en France, peu-vent obtenir un carnet de santé.

utilisation du carnet

La consultation du carnet de santé de l’enfant est soumise à l’accord de ses parents. Elle est réser-vée aux professionnels de santé dans le cadre de soins ou d’actes de prévention qu’ils lui délivrent. Il est présenté systématiquement au médecin pour lui permettre de prendre connais-sance des renseignements qui y figurent et d’y consigner ses propres indications et consta-tations.

Chaque professionnel qui ins-crit une information dans le carnet de santé est tenu de s’identifier par le cachet de son cabinet et par sa signature.

utilisation du carnet comme certificat de vaccination

Deux doubles pages insérées dans le carnet sont consacrées aux vaccinations. Chacune porte un nu-méro de formulaire Cerfa. Leur photocopie a valeur de certificat de vaccination.

Des certificats de santé sont établis par le médecin

après chacun des 3 examens de santé obligatoires prévus avant les 6 ans de l’enfant. Le médecin rem-plit et adresse ces certificats par envoi confidentiel au médecin responsable de la PMI (protection ma-ternelle et infantile), qui en informe les organismes prestataires des allocations familiales.

Les organismes qui versent les allocations familiales n’ont donc pas à exiger des familles les justificatifs de passation de ces 3 examens de santé obliga-toires.

Conservation du carnet

Il doit être conservé par les parents ou la personne ayant la charge de l’enfant ou de l’adolescent. Son utilisa-tion n’est plus obligatoire à partir de 16 ans.

Dans le cas où le carnet doit être confié à l’enfant, ou à un accompagnateur, il est conseillé de le faire sous en-veloppe fermée, portant la mention «secret médical».

En cas de perte du carnet

En cas de perte ou de détérioration du carnet de santé, une demande d’un nouveau carnet peut être faite auprès du service de la protection maternelle et infantile (PMI) du Conseil général. Ce nouvel exem-plaire du carnet de santé vous sera donné sur présen-tation d’une pièce d’identité et du livret de famille.

Des certificats de santé sont établis par le médecin après chacun des 3 examens de

santé obligatoires prévus avant les 6 ans de l’enfant.

Prévention et Hygiène de vie

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Santé & Bien-être

Pour être prise en charge par la sécurité sociale, votre cure doit faire l’objet d’une prescription médi-cale. Le médecin traitant ou le rhumatologue remplit aussi un « questionnaire de prise en charge de cure thermale ». Le patient la complète la et l’envoie à sa caisse d’assurance maladie.

L’assurance maladie prend en charge exclusive-ment les cures motivées par des affections diges-tives, psychosomatiques, des muqueuses bucco-linguales, des affections urinaires, dermatologiques, gynécologiques, en cas de maladie cardio-artérielle, neurologique, problème phlébologique, rhumatolo-gique, en cas troubles du développement chez l’en-fant ou de troubles des voies respiratoires.

Pour être prise en charge, votre cure doit se dérou-ler dans un établissement agréé et conventionné par l’Assurance maladie. Le médecin choisit la station la plus adaptée à votre affection. Et pour être rembour-sée, votre cure doit durer 18 jours.

Frais pris en charge et taux de remboursement

Les frais médicaux pris en charge comprennent le forfait de surveillance médicale, remboursé à 70 % du tarif conventionnel, et si besoin, des pratiques médicales complémentaires, remboursés à 70 % du tarif conventionnel, sous réserve qu’elles figurent sur la liste des pratiques médicales remboursables et qu’elles soient effectuées dans les stations. Le forfait thermal (pour les traitements de la cure elle-même), remboursé à 65% du tarif convention-nel.

Les soins complémentaires et les prestations de confort ne sont pas pris en charge. Les frais d’hé-bergement et de transport sont pris en charge en fonction des ressources du patient.

D’autres modalités de prises en charges peuvent in-tervenir : si la cure est liée à une affection de longue durée (ALD)), à un accident de travail ou une maladie professionnelle, ou s’il s’agit d’une cure avec hospi-talisation.

Dans 65 % des cas, des cures thermales prises en charge par la sécurité sociale concernent les affec-tions de l’appareil locomoteur. Le plus souvent, ces cures thermales associent une prise en charge de

kinésithérapie et de rééduca-tion fonctionnelle associées à un changement de climat, de lieu ou de mode de vie.

Elles s’appliquent à toutes les affections rhumatologiques chroniques ainsi qu’aux séquelles de traumatismes ostéo-articu-laires. L’arthrose ou les lombalgies, peuvent être une indication pour se faire prescrire une cure.

Les remboursements Sécurité sociale de votre cure thermale peuvent être complétés par ceux d’une mutuelle ou complémentaire santé.

CuRES THERMALES

Une cUre peUt s’envisager de façon lUdiqUe oU thérapeUtiqUe.

Pour être prise en charge, votre cure doit se dérou-ler dans un établissement agréé et conventionné par

l’Assurance maladie.

Prévention et Hygiène de vie

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Joel Soldani, sapeurs pompiers SCP de la Garde : « Chez eux, les gens se sentent en sécurité, ils ont l’impression d’être dans un cocon. Or les dangers sont nombreux, dans chaque pièce de la maison, les dangers sont présents ».

Les enfants et les personnes âgées sont les pre-miers touchés par les accidents de la vie courante.

Pour éviter les accidents domestiques, diverses précautions peuvent être prises :

- Ranger, dans un placard qui ferme à clé, produits toxiques et médicaments.

- Fermer les fenêtres basses ou installer un garde fou

- Ranger briquets et allumettes hors de portée des enfants

- Surveiller un enfant dans son bain ou dans la piscine

- Entretenir ses radiateurs et sa cheminée

- Ne pas surcharger les prises multiples et protéger les prises électriques.

- Aérer maison et garage

- Vider et nettoyer régulièrement son réfrigérateur

« Les dangers domestiques ne concernent pas que les enfants ou les personnes âgées, repend Joel Soldani, Un réfrigérateur est souvent plein de bac-téries. Qui n’a jamais eu un produit périmé, un fruit ou légume abimé ? Les bactéries en profitent pour proliférer. On risque une intoxication. Et dans les cas les plus graves, cela peut être mortel.»

Quels dangers ?

Chaque pièces de la maison comporte une multitude de dan-gers plus ou moins sévères :

Brûlure : la queue d’une casserole, les projections d’une poêle, la porte d’un four, un bain trop chaud peuvent entrainer d’importantes brûlures

Coupure : couteau, tronçonneuse, coupe haie, ci-seau et autres outils coupants peuvent entrainer des coupures ou sectionner parfois un membres (doigts)

Etouffement : les billes, pièce de monnaie, gâteaux apéritifs peuvent être avalés par un enfant et provo-qué un étouffement.

Chute : un coin de tapis, un jouet d’enfant, sols glis-sants peuvent provoquer une chute

Electrocution : les appareils ménagers branchés près d’une source d’eau peuvent entrainer une élec-trocution.

Intoxication : attention aux aliments périmés et aux plantes, beaucoup sont toxiques.

Incendie : entretenir les installations électriques, les conduits de cheminées et les radiateurs pour éviter les incendies.

Une loi de 2010 rend obligatoire l’installation d’un détecteur de fumée dans une habitation. Il existe aussi des détecteurs de monoxyde de carbone.

Comment réagir ?

Il faut apprendre à repérer les signes d’un malaise et les bons réflexes à avoir.

- Surveiller les suites d’un coup à la tête surtout en cas d’étourdis-sements.

- En cas d’électrocution, séparer la victime de la source électrique.

- En cas d’obstruction de la gorge, essayer de faire tousser la personne ou l’enfant.

- Allonger une personne faisant un malaise ou souf-frant d’étourdissement.

- Laver et désinfecter une morsure ou une piqûre.

- Asseoir une personne présentant les signes d’un malaise cardiaque.

D’autres gestes existent pour sauver une personne. Il faut savoir pratiquer les gestes adéquates. Il est nécessaire pour cela de suivre une formation : la PSC niveau 1 (Prévention Secours Civique).

Dans tous les cas, appeler le 15, le 18 ou le 112.

Les dangers domestiques ne concernent pas que les enfants ou les per-

sonnes âgées

LES ACCIDENTS DOMESTIQuES

il y a en france aUjoUrd’hUi 20 000 morts dUs à des accidents domestiqUes

Prévention et Hygiène de vie

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Santé & Bien-être

Il y a quatre étapes principales à respecter pour porter secours

Quelle que soit la situation d’urgence, il faut avant tout analyser la situation et réaliser les gestes de premiers secours de manière appropriée :

• Sécuriser les lieux de l’accident pour éviter une nouvelle situation à risques. En cas d’accident de voiture, signaler l’accident sur la chaussée par exemple.

• Ne pas approcher d’un lieu d’accident si cela peut être dangereux (couper l’électricité ou l’eau qui coule).

• Parler et rassurer la victime, essayer de voir de quoi elle souffre afin de donner le maximum de ren-seignements aux secours.

• Appeler les secours, le 18 (pompiers), le 112 (pompiers depuis un mobile), le 15 (Samu), le 115 (Samu Social) ou le 17 (police). Il faudra préciser dans votre appel le lieux de l’accident, la raison de l’appel, le nombre de personnes à secourir, l’état de la ou des victimes, les risques éventuelles (en cas d’incendie notamment), un numéro de téléphone ou de la borne de secours et le plus souvent aussi le nom de l’interlocuteur

• Pratiquer les gestes de premiers secours.

Dans la majeure partie des cas, 6 bons réflexes sont à connaître pour bien réagir

• Face à une personne inconsciente, l’allonger sur le coté, en positon latéral de sécurité. Vérifier que les voies aériennes ne sont pas obstruées, ouvrir la bouche et regarder s’il n’y a rien qui encombre la respiration.

• Face à un saignement, asseoir ou allonger la vic-time et comprimer la plaie pour limiter le saigne-ment.

• Face à un étouffement, taper 5 fois dans le dos

de la personne en vérifiant à chaque fois si l’objet ou l’aliment coincé est ressortie. Si cela ne fonc-tionne pas, faites des compressions abdominales pour évacuer ce qui obstrue les voies respiratoires.

• Pour les arrêts cardiaque, il faut soit savoir effec-tuer des compressions thoraciques et dans ce cas en faire 30 suivi de 2 insufflations, soit savoir utiliser un défibrillateur.

Des défibrillateurs sont aujourd’hui disponibles dans de nombreux lieux public, stade, port, centre commerciaux. Des notices d’utilisation se trouvent à l’intérieur.

• En cas de malaises cardiaque, parler à la victime, essayer d’obtenir des détails sur sa douleur, sa puissance, si elle irradie d’autres membres. Allongez-la si possible.

• Dans tous les cas, appeler les secours le plus ra-pidement possible.

Les formations au premiers secours

La prévention secours civique de niveau 1 rem-place désormais l’AFSP (Attestation de formation

aux premiers secours). C’est une formation de 10 heures environ, dispensée par les formateurs titulaires de l’unité d’enseignement « Pédagogie appliquée aux emplois/activités de classe 3 (PAE 3). Les membres de la Croix Rouge, des secou-ristes ou des pompiers peuvent notamment être

habilités à faire cette formation.

LES GESTES QuI SAuVENT

Prévention et Hygiène de vie

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La greffe est possible si deux individus sont com-patibles, c’est-à-dire quand le donneur d’un organe possède le même groupe tissulaire que le receveur ou un groupe très voisin. C’est ce qui explique qu’on recherche d‘abord des donneurs parmi les membres de la famille qui sont (ou non) compatibles.

Pour ou contre ?Lorsqu’on est pour, le principal est d’en par-ler. Pour un prélèvement post mortem, c’est la famille, à défaut de la carte du donneur, qui té-moignera de la volonté de donner. On peut être pour le don mais refuser le prélèvement de cer-tains organes.

« L’idée qu’on se fait de la préparation de sa mort n’est pas entré dans les habitudes en France, ex-plique Marie Magdeleine Georges, de l’association France ADOT 83. Or il faut l’aborder, et parler de sa volonté d’être donneur»

Si on est contre en revanche, il faut s’inscrire sur le Registre Nationale des Refus, auprès de l’Agence de la biomédecine. Cette décision est révocable à tout moment.

Principes du donIl n’y a pas d’âge minimum pour être donneur. Pour un mineur, il faudra l’accord des parents. On peut prélever un ou plusieurs organes selon leurs états et les besoins. Le don est anonyme et gratuit.

La durée de conservation est variable selon les or-ganes mais n’excède pas quelques heures, 4 à 6 heures pour le cœur par exemple.

Après le ou les prélèvement(s), l’aspect extérieur du corps fait l’objet de soins de la part des médecins, avant la restitution à la famille. Si le corps a du être transporté dans un autre hôpital, agrémenté par le ministère de la santé, il est ramené dans son hôpital d’origine, sans frais supplémentaire pour la famille.

La loi bioéthique du 6 août 2004, complétée par des décrets de 2005 règlemente les principes des dons d’or-ganes, à savoir le consente-ment du donneur, la gratuité, de l’anonymat du don, l’inter-diction de publicité, ainsi que de sécurité sanitaire et de bio-vigilance.

Il ne faut pas confondre don d’organe et le fait de «Léguer son corps à la science». Dans ce cas, le corps est donné pour les besoins d’une faculté de médecine et ne sera pas restitué à la famille.

Les besoinsActuellement, 15000 personnes environ sont en at-tente de greffe d’organes et moins d’un tiers bénéfi-ciera d’un don d’organe.

Sur 4705 personnes ayant subi une greffe l’an pas-sé, 2289 se sont vus greffées un rein.

Le don de moelle osseuse Une greffe de moelle osseuse s’effectue soit par prélèvement dans certains os, soit par prise de sang, via le cordon placentaire.

«La moelle osseuse se trouve dans les os plats es-sentiellement, les hanches par exemple ». explique Maire Magdeleine Georges.

Un don de moelle osseuse permet d’aider des per-sonnes atteintes de leucémie, de drépanocytoses ou des patients ayant subi une chimiothérapie.

LE DON D’ORGANE

Une greffe est la mise en place dans le corps hUmain d’Un organe étranger qUi lUi est devenU nécessaire lorsqUe ce dernier est défaillant et donc lorsqUe sa fonction est vitale.

Prévention et Hygiène de vie

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Santé & Bien-être

LES CARESSESUn des gestes les plus naturels quand on vit avec un chien ou un chat : on a envie de le caresser. Bien sûr, vous n’allez tout de même pas vous (et le) priver de ce plaisir ! En revanche, pensez à vous laver les mains avant de passer à autre chose. «En caressant votre animal, vous risquez de garder sur vos mains les parasites présents dans son pelage», explique le Dr Stéphanie Roquet, vétérinaire à Blainville-sur-Orne. La teigne peut notamment se transmettre ain-si de l’animal domestique à l’humain. «Elle se mani-feste par de petites plaques rouges de forme ronde.»

LA NOuRRITuREVotre animal vous regarde avec des yeux tellement suppliants, comment ne pas lui céder en le laissant grignoter ce petit morceau de poulet dans votre as-siette ? «Certes, mais sa salive est pleine de bacté-ries en tous genres, rap-pelle le Dr Roquet. Ce type de comportement est donc à proscrire. Surtout, il ne faut absolument pas man-ger après votre chien ou votre chat dans la même assiette.»

LE LITLa tentation est souvent grande de laisser votre ami à quatre pattes grimper sur le lit. «L’ennui, c’est que ça n’est pas très propre, explique Stéphanie Roquet. Il risque de laisser sur vos draps des parasites, la gale, éventuellement des vers...» Outre l’aspect hy-giénique, faire dormir un animal, a fortiori un chien, dans son lit risque de rapidement poser un pro-blème de hiérarchie. Monsieur risque de se prendre pour le maître des lieux. L’idéal semble donc de faire preuve de fermeté et VOTRE ANIMAL à dormir dans une autre pièce.

VACCINATIONAutre mesure d’hygiène de base, qui devrait vous préserver, votre animal et vous : la vaccination. Comme pour les humains, de nombreuses maladies

peuvent aujourd’hui être évitées en vaccinant votre protégé dans son «enfance», puis en effectuant des rappels réguliers à l’âge adulte.

Le chien doit être vacciné contre la rage, mais aussi la leptospirose, la maladie de Carré, la parvovirose... Liste non exhaustive. Pour le chat, outre la rage, on le vaccine contre le typhus, le coryza et la leucose. Rappels à effectuer tous les ans.

Parmi ces maladies, la rage et la leptospirose, sont transmissibles à l’homme. Deux pathologies parti-

culièrement graves chez l’animal mais aussi chez l’homme.

«Le traitement anti-puces et anti-tiques doit être fait une fois par mois, quelle que soit la saison». Choisissez de préférence un produit dis-ponible en pipette, le plus simple à appliquer entre les omoplates de votre animal.

Choisissez un produit qui sera efficace contre plu-sieurs parasites, notam-ment la gale. Et n’oubliez pas de renouveler l’opéra-tion régulièrement, surtout si votre animal sort ou est en contact avec d’autres copains à 4 pattes.

TOILETTES/BAINOn peut les laver aussi souvent que l’on veut, ça leur fait du bien, ça désinfecte leur peau. En revanche, il faut vraiment utiliser un shampoing adéquate, car ils n’ont pas le même pH cutané que les humains. Veillez également à ce qu’il ne prenne pas froid après son bain. Attention aux coups de griffes éven-tuels au cours de la toilette.

LES ANIMAux

Un animal de compagnie est Un animal recevant la protection de l’homme en échange de sa présence, sa beaUté, sa jovialité, oU poUr ses talents. en raison de leUr très longUe présence aU côté de l’homme, ils ont fait l’objet d’Une domestication. mais attention, ils ne sont pas sans danger poUr notre santé.

- Votre chat vous a griffé et la plaie est rouge et enflée.

- Vous vous êtes fait mordre par votre chien ou par un chien

- Votre animal domestique a ou a eu des puces et vous vous grattez à votre tour.

- Votre animal a eu la leptospirose.

- Vous vous êtes fait mordre par une tique

=> CONSULTEZ IMMEDIATEMENT

Prévention et Hygiène de vie

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PATHOLOGIES & SPÉCIALISTES

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Dans les deux cas, une partie du cerveau, non irri-guée, est alors en danger de destruction. Lorsque les cellules du cerveau sont privées d’oxygène, elles meurent. D’où l’importance d’agir vite. Plus le temps de prise sen charge est long, plus les risques de sé-quelles sont importants. Selon la zone du cerveau touchée, les conséquences peuvent être plus ou moins sévères.

Les accidents vasculaires cérébraux sont la deu-xième cause de mortalité chez l’homme et première cause chez la femme.

Ils touchent 150 000 personnes par an et près de 32 500 per-sonnes en décèdent.

Symptômes

L’AVC peut entraîner une para-lysie plus ou moins importante d’un ou plusieurs membres mais aussi une perte partielle ou totale de la sensibilité de la face ou des membres, une difficulté d’élocution, de compréhension, des troubles de la mémoire, de l’équilibre.

L’arrêt de circulation de sang dans une partie du cerveau n’entraîne pas toujours de destruction cel-lulaire et donc de dommages irréversibles. Il s’agit alors d’accident ischémique transitoire (AIT). Des signes apparaissent et disparaissent dans un laps de temps de courte durée : une paralysie d’un membre ou de la face, des difficultés à parler, des troubles de la vision.

Traitement

L’objectif est de rétablir la circulation sanguine dans le cerveau.

Le patient peut, si la prise en charge est rapide, bé-néficier d’une thrombolyse. Un traitement médica-menteux permet de dissoudre les caillots sanguins obstruant les vaisseaux sanguins. Ce médicament est injecté par voie intraveineuse dans les 3 à 4,5 heures qui suivent l’AVC.

Un médicament anticoagulant ou antiplaquettaire pourra aussi être administré pour éviter la formation de nouveaux caillots.

Une intervention chirurgicale peut aussi être pratiquée pour nettoyer la paroi de la carotide atteinte d’athérosclérose. C’est une endartériectomie de la ca-rotide. Dans d’autres cas, une angioplastie (une intervention pour dilater une artère rétrécie) sera effectuée.

Prévention

Il est important de contrôler son hypertension et son taux de cholestérol pour éviter les AVC. Ca n’est pas l’unique cause d’accident vasculaire cérébral, mais l’un comme l’autre sont deux facteurs majeurs des AVC, vient ensuite le tabac, l’alcool, ou encore le stress.

Si les signes sont rapidement pris en compte, on peut éviter l’AVC ou réduire ses conséquences.Dès les premiers signes, le bon réflexe est d’appeler les secours.

L’ACCIDENT VASCuLAIRE CÉRÉBRAL

Un accident vascUlaire cérébral sUrvient lorsqU’Une artère se boUche oU se rompt. si elle se boUche, c’est infarctUs cérébral. si elle se rompt, c’est Une hémorragie cérébrale.

Une ligne d’écoute a été mise en place par l’Alliance du Cœur au 0811 099 098

(numéro azur)

Les accidents vasculaires cérébraux sont la deuxième

cause de mortalité chez l’homme et première cause

chez la femme.

Pathologies et Spécialistes

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Santé & Bien-être

La tension optimale est de 12/8 (120/80 millimètres de mercure. L’hypertension artérielle est effective lorsque sa valeur est supérieure à 14/9.

C’est un des premiers facteurs de risque de maladies cardiovascu-laires et d’accidents vasculaires cérébraux.

Les causes de l’hypertension peu-vent etre multiples : alimentation trop riche en graisse ou en sel, excès de poids, manque d’activités phy-siques, alcool, tabac, médicaments, stress. Certains individus ont même une prédisposition héréditaire.

L’hypertension due à divers facteurs est dite pri-maire, ou essentielle. Elle peut être secondaire si elle résulte d’un autre problème de santé, déréglant la tension artérielle.

Près d’une personne hypertendue sur deux pré-sente des antécédents familiaux. Environ 14 millions de personnes en France souf-frent d’hypertension.

Symptômes

Près d’un hypertendu sur deux en France ignore sa maladie. L’hypertension artérielle est une maladie silencieuse, souvent asymptomatique. On estime qu’un tiers des personnes atteintes d’hypertension l’ignore.

Selon l’Organisation mondiale de la Santé, 30 % des hommes et 50 % des femmes âgées de 65 ans à 75 ans souffrent d’hypertension artérielle. Si sa fré-quence augmente avec l’âge, l’hypertension peut survenir aussi chez de jeunes sujets.

Le seul moyen fiable de contrôler sa tension est de la faire mesurer chez un pharmacien ou un médecin.

Dans des cas d’hypertension sévère, certains symp-tômes peuvent être diagnostiqués : maux de tête, problèmes de vue, vertiges, fatigue, bourdonnement d’oreilles, palpitations.

Complications

L’hypertension artérielle peut avoir des consé-quences sur le fonctionnement du cœur (insuffi-sance cardiaque, infarctus), sur le cerveau (AVC), sur les membres inférieurs (artérite). Elle peut éga-lement parfois entraîner des insuffisances rénales et certaines lésions de la rétine.

Traitement

Les médicaments antihypertenseurs sont utilisés pour rétablir une tension normale. Ils sont divers. Ce peut être des bétabloquants, des inhibiteurs d’en-zyme de conversion, des inhibiteurs calciques, des diurétiques, des inhibiteurs des récepteurs à l’angio-tensine. II ou un l’antihypertenseur vasodilatateur.

Pour améliorer sa tension, il est aussi conseillé de changer ses habitudes alimentaires et de suivre un régime spécifique, pauvre en sel par exemple.

L’HYPERTENSION ARTÉRIELLE

on parle d’hypertension artérielle (oU hta) qUand, à plUsieUrs reprises et à qUelqUes se-maines d’intervalle, la pression systoliqUe, c’est-à-dire la pression avec laqUelle le cœUr expUlse le sang, est sUpérieUre à 14 (140 millimètres de mercUre), oU la pression diasto-liqUe, c’est-à-dire la pression minimale qUand le cœUr se relâche, est sUpérieUre à 9 (90 mm de mercUre). Une seUle des deUx pressions peUt etre trop élevée.

Environ 14 millions de personnes en France

souffrent d’hypertension.

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Un individu est, ou devient diabétique, lorsque son corps produit trop peu d’insuline ou lorsque celle-ci est mal utilisée.

Le diabète est une maladie insidieuse car il est parfois asymptomatique, comme l’explique Marie France Genin, directrice de la maison du diabète du Var : « Quand le taux de diabète est trop élevé, le plus souvent les signes qui le prouvent sont une grande fatigue, une hyperactivité, une soif intense ou une envie d’uriner fréquente. Seule une prise de sang permet de savoir si l’on a un problème de dia-bète.»

Il y a plusieurs formes de diabète :

* Le diabète de type 1 dit insulinodépendant

Il est du a une destruction auto-immune de la cel-lule qui fabrique l’insuline. Il apparait souvent chez l’enfant, l’adolescent ou les jeunes adultes. Un trai-tement à l’insuline est nécessaire par injection. Il est aussi appelé diabète de type maigre car souvent il engendre un amaigrissement. Il représente 10 à 15% du diabète en France.

* Le diabète de type 2Il survient lorsque le système de régulation natu-relle du glycose dans le sang se fait mal. Il apparait souvent à l’âge adulte. Il est non insulinodépendant. Une surveillance est néanmoins nécessaire ainsi qu’une attention particulière à son alimentation. Les apports d’aliments sucrés doivent être réduits.

* Le diabète gestationnelC’est une intolérance au glycose qui apparait chez

la femme lors d’une grossesse. La mère devra donc suivre certaines recommandations diététiques afin de contrôler sa glycémie. Une partie des femmes atteintes de diabète gestationnel ont un risque de développer par la suite un diabète non insulinodé-pendant.

En 2009, il y avait 2.9 millions de personnes diabé-tiques en France.

Le diabète progresse, de plus en plus en France et dans le monde. Entre 2000 et 2009, le nombre de personnes diabétique est passé de 1.6 millions à 2.9 millions en France. À cela s’ajoutent les diabétiques qui s’ignorent, faute de dépistage. Le vieillissement de la population ex-plique en partie cette explosion de cas mais aussi notre mode de vie : manque d’activité physique, mauvaise alimentation, surpoids peuvent aussi ex-pliquer de nombreux cas de diabète.

SurveillanceQue l’on soit ou non diabétique, il est conseiller de réaliser des prises de sang régulières pour vérifier son taux de glucose dans le sang. Des lecteurs de glycémies permettent de connaître ce taux à tout moment de la journée. Des analyses d’urine peuvent également être faites en complément d’une glycé-mie.

ComplicationsLe diabète peut entrainer diverses complications comme une rétinopathie diabétique pouvant aller jusqu’à la cécité totale, des insuffisance corona-riennes ou angines de poitrine, des infarctus du myocarde, des problèmes d’hypertension ou de cholestérol ou encore une neuropathie.

Pathologies et Spécialistes

LE DIABÈTE

le diabète est Une hyperglycémie chroniqUe définie pat Une glycémie à jeUn, c’est à dire Une aUgmentation dU glycose dans le sang.

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Santé & Bien-être

Il existe aussi une prédisposition génétique à la prise du poids, deux personnes pourront réagir différem-ment à un même apport calorifique.

Pour détecter une situation de surpoids et déterminer le type d’obésité, on calcule l’indice de masse corpo-relle. Cela se fait par un calcul simple : IMC=Poids/(Taille)2

Chez l’adulte, si l’IMC dépasse les 25 km/M, l’exa-men devra être complété par une mesure du tour de taille, autre indicateur d’un problème de surpoids.

Chez l’enfant, il est conseillé de suivre son IMC des la naissance pour diagnostiquer le plus tôt possible un éventuel problème de surpoids ou d’obésité.

Prévention

Avoir une alimentation déséquilibrée est un des fac-teurs de surpoids, voire d’obésité. Il faut tout d’abord privilégier les fruits et légumes, quelle que soit leur forme, comme le rappelle, Marlène Degoy, diététi-cienne : « Connaitre le principe n’est pas suffisant, il faut l’appliquer. Cinq fruits et légumes par jour ça peut vouloir dire, 3 fruits et deux légumes, un jus de fruits, une compote ou une salade de fruits sont au-tant de moyen d’en consommer dès le petit déjeuner. Avec une crudité le midi et un légume cuit le soir on arrive vite à 5.»

Il faut aussi avoir une alimentation équilibrée : « Il faut piocher dans toutes les familles des aliments» reprend-elle «et adapter les quantités à sa dépense énergétique.»

Conséquences

Un surpoids peuvent entrainer diverses complica-tions : cardio-vasculaires, respiratoires, hépatiques ou biliaires, parfois même des troubles au niveau sexuel avec une baisse de la qualité des spermato-zoïdes, observée dans certains cas. L’obésité peut provoquer des dégâts irréversibles au niveau rhuma-tologique, avec un surmenage articulaire au niveau des genoux et des hanches notamment.

Prise en charge

Elle peut se faire en premier lieu chez son généraliste. Le patient doit être éduqué ou rééduqué, sur sa façon de s’alimenter mais aussi sur sa façon de vivre. Un diététicien pourra aider à mettre en place des menus et de bonnes habitudes alimentaires, un accompa-gnement psychologique sera parfois nécessaire.

Des chiffres alarmants

En France, 15 % des adultes présentent une obésité, ils étaient quasiment moitié moins il y a 12 ans. 32 % des adultes sont en surpoids. Un enfant sur six présente un excès de poids.

Le plan obésité 2010/2013

Face à l’évolution de l’obésité en France, le gouver-nement a dédié la mise en place d’un plan de prise en charge de l’obésité. Ce plan s’articule autour de 4 axes : - la prévention - l’offre de soins - la prise en charge « émotionnelle » - la recherche.

L’OBÉSITÉ

l’obésité est Un excès de masse grasse dans le corps. elle résUlte d’Un déséqUilibre entre l’apport caloriqUe qUotidien et les dépenses énergétiqUes. comme l’organisme reçoit plUs d’apport énergétiqUe qUe ce dont il a besoin, il stocke.

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L’excès de cholestérol, cela peut avoir des consé-quences graves pour la santé… et pourtant, on ne ressent généralement pas grand chose.

C’est pourquoi, il est souvent difficile de bien suivre son traitement chaque jour, quand aucun symptôme ne vous rappelle que vous êtes malade. Pourtant, seule une prise en charge au long cours permet d’éviter de graves complications.

Cholestérol et attaques cardiaquesLe cholestérol en excès se dépose sur les parois des artères notamment celles du coeur (artères coronaires), formant des plaques graisseuses qui s’épaississent au fil des ans (athérosclérose).

Le passage du sang devient de plus en plus difficile et cette réduction du calibre des vaisseaux favorise la formation de caillot (thrombose). Quand le sang ne passe plus, c’est l’infarctus du myocarde.

L’hypercholestérolémie, une maladie insidieuse

Dans la grande majorité des cas, l’hypercholestéro-lémie est totalement dénuée de symptômes jusqu’à l’apparition des complications : plaques d’athérome (rétrécissement de l’artère visible à l’échographie), attaques cérébrales (ou accident vasculaire céré-bral) ou cardiaques (infarctus), artérite des membres inférieurs…

Autant de troubles qui peuvent occasionner des douleurs ou d’importants handicaps voire mettre la vie en danger. Un traitement permet d’éviter de telles complications. Encore faut-il le suivre réguliè-rement…

Pour vous motiver, sachez mieux en évaluer les bé-néfices et n’hésitez pas à en parler avec votre mé-decin.

Des symptômes n’apparaissent que très rarement

Parfois, dans un très petit nombre de cas, l’hyper-cholestérolémie se révèle cliniquement. Cela en-traîne des dépôts de cholestérol sur les tendons, que l’on appelle xanthome, et qui peuvent gêner le mouvement s’ils sont très importants.

De la même façon, il peut exister des dépôts jau-nâtres au coin interne de l’oeil (xanthélasma) ou un arc blanchâtre autour de la cornée (ils vont former un arc que l’on appelle arc cornéen et qui existe aussi de façon physiologique chez les personnes âgées).

Malheureusement (ou heureusement), ces signes n’apparaissent que dans les hypercholestérolémies majeures, et non dans les hypercholestérolémies modérées ou légères, qui sont de loin les plus fré-quentes.

LE CHOLESTÉROL

les maladies cardiovascUlaires constitUent le problème de santé pUbliqUe nUméro 1. parmi les coUpables, on a sUspecté très tôt les graisses alimentaires et plUs particU-lièrement le cholestérol. mais d’où vient-il ? poUrqUoi parle-t-on de bon et de maUvais cholestérol ? qUels sont les risqUes ?…

Rappellez-vous :

Rien ne remplace une

alimentation équilibrée et

une analyse de sang annuelle.

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Santé & Bien-être

Rappellez-vous :

Rien ne remplace une

alimentation équilibrée et

une analyse de sang annuelle.

Athérosclérose

C’est une dégradation des artères. Alcool, tabac, cholestérol, hypertension, diabète, obésité peuvent être à l’origine d’athérosclérose.

Cette maladie atteint principalement les artères de moyen et de gros calibres comme les artères coro-naires, les artères carotides internes et vertébrales, l’aorte abdominale sous-rénale, les artères iliaques ou fémorales. Elle entraine infarctus du myocarde et attaque cérébrale.

L’Angine de poitrine ou angor

Elle se manifeste par une douleur assez brutale dans la poitrine, résultant d’un manque d’apport en oxygène vers le cœur. Elle survient lorsqu’un effort est trop intense, et plus rarement après le repas et parfois la nuit. Un traitement médicamenteux est le plus souvent administré. Une angioplastie peut être nécessaire, c’est à dire une opération visant à dilater l’artère bouchée pour faciliter la circulation sanguine

En France, deux millions de personnes seraient atteintes par cette maladie.

Infarctus myocarde

C’est une complication de l’angine de poitrine. L’in-farctus du myocarde se définit comme la nécrose d’une partie du muscle cardiaque. Cette zone n’est alors plus irriguée. Les artères coronaires apportant le sang peuvent être entièrement ou partiellement bouchées par un caillot ou alors par des plaques d’athé-rome. Un spasme peut aussi la fermer.

L’infarctus intervient le plus souvent lorsque qu’une plaque d’athérome se rompt ou s’use.

Le cholestérol en excès favo-rise la formation de caillot et la survenue de l’infarctus.

On administre un traitement médicamenteux. Si cela n’est pas suffisant il faudra procéder à un pontage coronarien. Il s’agit de créer un pont entre l’aorte et la partie du vaisseau située avant l’obstruction. S’il y a plusieurs artères bouchées ou plusieurs bou-chons, on réalise un multiple pontage.

La rapidité d’intervention en cas d’infarctus est dé-terminante pour la santé du patient. Les deux pre-mières heures sont même capitales.

Insuffisance cardiaque

Il y a insuffisance cardiaque (IC) lorsque le myo-carde, c’est à dire le tissu musculaire du cœur, est

incapable d’assurer un débit cardiaque suffisant pour couvrir les besoins du corps en oxygène.

L’insuffisance cardiaque entraîne une gêne respi-ratoire, autrement appe-lée dyspnée. Cette gêne survient en cas d’efforts, lorsqu’on est couché ou par crises la nuit. Elle

peut être accompagnée de tachycardie, d’essouf-flements, de fatigue ou encore d’œdème sur les membres inférieurs.

Elle se traite par traitements médicamenteux, d’abord. Certains patients auront besoin de subit un actes chirurgical. On pratique alors une resynchroni-sation cardiaque à l’aide d’un stimulateur implantée près du cœur. Dans de rares cas, une greffe sera né-cessaire. L’individu doit aussi le plus souvent suivre un régime peu salé et éviter les efforts trop intenses.

AuTRES MALADIES CARDIO-VASCuLAIRES

il existe différents types de maladies cardio-vascUlaires.

L’infarctus intervient le plus souvent lorsque qu’une plaque d’athérome se rompt ou s’use.

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L’arthrite peut handicaper grandement les patients qui en sont atteints. Elle les empêche pour beaucoup d’avoir une mobilité correcte.

Dans 70% des cas, les patients ont plus de 65 ans. Mais il existe des cas d’arthrite juvénile. L’arth-rite juvénile idiopathique (AJI) est une maladie très rare. Elle affecte 0,1% de la population française. Elle atteint les enfants, avant l’âge de 16 ans, et touche sur-tout les filles. La maladie de Still est une autre forme d’arthrite qui affecte surtout les enfants. C’est une polyarthrite symétrique.

L’arthrite est plus fréquente chez les femmes que chez les hommes.

Symptômes de l’arthrite

Quel que soit le type d’arthrite, elle entraîne enflure, raideur articulaire, sensation de malaise et de fatigue.

Dans certains cas, il peut subvenir un peu de fièvre, des douleurs musculaires et une difficulté à bouger.

Elle peut entraîner des défor-mations sévères des membres notamment en cas d’arthrite rhumatoïde. Ces déformations des articulations (doigts, poi-gnet, ...) sont dues à une perte de cartilage. Le syndrome du canal carpien peut aussi prove-

nir d’un problème d’arthrite.

Un examen physique peut suffire pour diagnostiquer un problème d’arthrite. Des tests sanguins et radio-graphies des articulations peuvent confirmer le dia-gnostic, et pour les radiographies permettre de suivre la progression de l’arthrite.

Prévention et thérapie de l’arthrite

Selon le type d’arthrite, l’activité physique comme la marche et la natation, peut réduire les risques d’arth-rite. Une alimentation saine est aussi bénéfique.

Traitement de l’arthrite

Il existe des traitements médicamenteux. Analgé-siques synthétiques, les AINS (anti-inflammatoires non-stéroïdiens) et les ARMM (médicaments anti-rhumatismaux modificateurs de la maladie) soignent l’inflammation et réduisent la douleur. Mais le traite-ment n’est pas dépourvu d’effets secondaires plus ou moins graves (hémorragie rénale et/ou gastro-in-testinale, diarrhée, ulcère gastro-duodénal, lésions hépatiques).

Il existe aussi des traitements à base de plantes mé-dicinales. L’harpagophytum, la prêle et la reine des prés sont des plantes qui calment les inflammations et soulagent les douleurs.

Enfin, un traitement chirurgical de l’arthrite peut être envisagé (s’il s’agit d’une arthrite très avancée). Cela consiste à réparer, renforcer cartilages et articula-tions.

On peut aussi pratiquer le yoga, le taï chi, l’acupunc-ture, dans le but de soulager la douleur de l’arthrite.

L’ARTHRITE

l’arthrite est Une maladie inflammatoire des articUlations. il existe plUsieUrs formes d’arthrite : l’arthrite rhUmatoïde, l’arthrite psoriasiqUe, la goUtte, l’arthrite septiqUe et la spondylarthrite ankylosante. elle provoqUe des doUleUrs, elles aUssi, variables. la polyarthrite rhUmatoïde est le plUs soUvent particUlièrement doUloUreUse le matin à caUse de la rigidité des articUlations.

L’arthrite est plus fréquente chez les femmes que chez

les hommes.

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Santé & Bien-être

Elle résulte d’une dégradation du cartilage qui re-couvre les extrémités des os au niveau des articu-lations. Elle peut aussi toucher l’os lui-même qui se décalcifie par endroits (ostéoporose). Elle peut entraîner aussi la formation sur les bords de l’arti-culation de petites excroissances osseuses : les os-téophytes.

Ces lésions peuvent s’accompagner d’une synovite, qui correspond à l’inflammation de l’enveloppe de l’articulation. Elle peut toucher toutes les articula-tions: arthrose du genou, arthrose de la main, arth-rose de la hanche.

L’arthrose touche plus de la moitié de la population des plus de 65 ans. Plus de 6 millions de personnes en France sont concernées.

Symptômes

Des douleurs apparaissent lorsque l’articulation est sol-licitée (lorsqu’on descend un escalier pour les genoux).Elle peut devenir sensible lorsqu’on la touche. Elle en-traîne des raideurs matinales et une perte de flexibilité de l’articulation. Parfois on entend certaines articulations craquer. Elle peut en-traîner une inflammation.

L’arthrose évolue plus ou moins vite selon l’individu. Certains symptômes interviendront en cas d’évolu-tion de la maladie. L’apparition d’ankylose (limitation des mouvements) et des déformations des articu-lations seront les signes d’aggravations d’une arth-rose.

Prévention

Faire attention à son poids et pratiquer une activité physique limitent les risques d’arthrose. Un excès de poids peut par exemple contraindre l’articulation du genou à plus d’effort et l’user prématurément. Prati-quer une activité permet de renforcer les muscles et donc de protéger ses articulations.

Traitements

Un traitement à base de médicaments analgésiques peut être prescrit ainsi que des anti-inflammatoires non-stéroïdiens, pour soulager la douleur et l’inflam-mation.

On peut aussi pratiquer des infiltrations. Cette mé-thode est réservée aux cas plus graves. On injectera dans ce cas des corticostéroïdes pour traiter les cas plus graves directement dans l’articulation atteinte.

On peut aussi procéder à des injections d’acide hya-luronique, c’est une sorte de gel qui permet de lubri-fier l’articulation et de soulager la douleur.

L’arthrose peut aussi se soigner de façon chirurgi-cale. Dans ce cas, on pratique une arthroscopie. Cette opération permet de retirer des débris de cartilage et d’os dans l’articulation. On peut aussi corriger certaines difformités osseuses, souder des articulations, ou reconstruire une partie de l’articu-lation. L’ultime recours pour soulager le patient (et lui permettre de retrouver l’utilisation de son articu-lation) sera la chirurgie de remplacement. L’articu-lation atteinte est remplacée par une prothèse en métal ou en plastique.

Arthrose et ostéoporose

L’arthrose touche les articulations. L’ostéoporose est une maladie dégénérative des os. Elle entraîne une baisse du capital osseux et par conséquence une augmentation du risque de fracture.

On la traite en administrant des œstrogènes, du cal-cium, de la vitamine D ou des biphosphonates pour éviter la destruction des os et les renforcer.

L’ARTHROSE

l’arthrose est Une UsUre anormale des cartilages aU niveaU des articUlations. elle est aUssi appelée ostéoarthrite.

L’arthrose touche plus de la moitié de la population des

plus de 65 ans

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Allergies :

Respiratoires, alimentaires et cutanées, il existe tous types d’allergie : cacahuète, soleil, nickel, piqûres d’insectes, iode, poils de chat. Les allergies résul-tent d’une réaction exagérée et inadaptée de l’or-ganisme vis à vis de l’environnement. Elle provoque asthme, eczéma, rhinites, urticaire ou dermatite dans de nombreux cas.

Plusieurs grands types d’allergènes sont distingués : - les aériens, appelés parfois pneumallergènes en-globent acariens, pollens, poils d’animaux, moisis-sures, - les alimentaires : œufs, arachides, gluten, - les chimiques ou de contact : crèmes, savons, sprays, désodorisants, métaux, toxiques, médica-menteuses.Ces dernières ne sont pas évidentes à diagnosti-quer, il faut surtout dans un premier temps être sur que la réaction n’est pas due à d’éventuels effets secondaires de la prise du médicament. Enfin res-tent l’allergie aux venins, ceux des abeilles, guêpes, frelons ou même fourmis (venins d’hyménoptères)

Symptômes :

En cas d’allergie respiratoire, le patient développe une pollinose. C’est une rhinite allergique saison-nière qui provoque nez bouché, éternuements et démangeaisons. Il peut egalement y avoir une conjonctivite allergique saisonnière qui provoque les yeux rouges, avec sensation de sable dans les yeux et des crises en cas de pénétration des pollens dans les bronches. Les œdèmes et urticaires sont plus rares dans ce type d’allergie.

Certaines allergies, alimentaires notamment peuvent se manifester par une dermatite atopique. La peau peut rapidement se surinfecter lors de grattages in-tensifs, avec l’apparition de bulles purulentes et de croûtes. La réaction allergique peut aussi déclen-cher une manifestation plus sévère : un œdème de Quincke ou un choc anaphylactique. Certaines al-lergies peuvent entraîner des réactions provoquant la mort.

Il existe par ailleurs une dermatite atopique profes-sionnelle c’est-à-dire un exéma qui se développe au contact d’un produit, particulièrement sur les mains, les avants bras, parfois les paupières en réaction au contact de substance tel le chrome, le cobalt, le nic-kel. L’allergie se manifeste en journée et régresse le week-end et/ou durant les congés.

LES ALLERGIES

respiratoires, alimentaires et cUtanées, il existe toUs types d’allergie. les allergies ré-sUltent d’Une réaction exagérée et inadaptée de l’organisme vis à vis de l’environnement.

- limiter la prolifération des acariens : aérer les

pièces pour éviter l’humidité propices à leur

installation, traiter les matelas et moquette

notamment (acaricides), laver couette et oreillers

régulièrement

- éviter les contacts avec les pollens (tonte de la

pelouse), se renseigner sur les bulletins d’alerte

du Réseau national de surveillance aérobiolo-

gique (RNSA).

-utiliser des savons surgras pour se laver les

mains

- protection par crèmes barrières cutanées et/

ou gants si nécessaire pour les allergies dites de

contact

-soins dermatologiques

Dépistage

En premier lieu un interrogatoire est nécessaire

pour répertorier les symptômes allergiques.

Cet interrogatoire pourra être compléter par un

test sanguin, des tests de provocation alimen-

taire, voire un examen clinique, de la peau des

bronches notamment.

Quelques conseils

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Suivez au quotidien les taux depollution de votre environnement,

Appellez le +564654684+4

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Santé & Bien-être

Elles peuvent se situer n’importe où dans le corps et migrer de façon anarchique. En se multipliant, ces cellules cancéreuses donnent naissances à des tu-meurs.

Ces tumeurs détruisent progressivement l’organe qu’elles entourent et envahissent petit à petit le corps humain. Un tumeur dite maligne va envahir les tissus sains contigus au risque de détruire des fonc-tions vitales. Une tumeur bénigne grossit mais reste locale et ne comporte pas de cellules anormales.

En 2010 en France, 357 500 nouveaux cas ont été détectés.

Chez l’homme le cancer de la prostate reste le plus fréquent puis le cancer du poumon et le cancer co-lorectal. Le cancer est d’ailleurs le première cause de mortalité chez l’homme.

Chez la femme, le cancer du sein est le plus fré-quent, vient ensuite le cancer colorectal puis celui du poumon.

La survie du malade dépend de la localisation du cancer. Une survie au delà de 5 ans est possible dans 95% des cas pour un cancer de la thyroïde mais mois de 10% en cas de cancer du foie.

Faire un dépistage permet de détecter des lé-sions alors qu’il n’y a pas forcément de symp-tômes : mammographie, coloscopie, analyse d’urine, IRM, divers méthodes sont possibles pour détecter la présence d’une tumeur.

Prévention

Il est possible de se prémunir des facteurs à risques de cancer : éviter la consommation de tabac, d’al-cool, surveiller son poids, pratiquer une activité phy-sique et avoir une alimentation équilibrée.

Certains facteurs environnementaux peuvent in-tervenir, d’ailleurs 5 à 10% des cancers seraient liés à des facteurs environnementaux : pesticides, substances chimiques, ondes électromagnétiques, amainte etc.. (cf : Pollution)

Traitement

De nombreux cancers peuvent aujourd’hui être trai-tés, par chirurgie, pour ôter la ou les tumeurs, pour chimiothérapie ou radiothérapies pour détruire les cellules cancéreuses.

Tous les établissements hospitaliers ne sont pas équipés pour la prise en charges de malades du can-cer. Une carte des établissements traitants le cancer a été élaborée, elle est notamment disponible sur le site internet de l’institut national du cancer :

www : e-cancer.fr

Plan cancer 2009/2013

Le Plan cancer 2009-2013 a été établit à partir du rapport du Pr Jean-Pierre Grünfeld. Ce plan d’arti-cule autour de trois thèmes prioritaires:

- une meilleure prise en compte des inégalités de santé pour assurer des mesures de lutte contre le cancer;

- une personnalisation de la prise en charge avant, pendant et après la maladie ;

- le renforcement du rôle du médecin traitant même après la maladie.

Recherche, Observation, Prévention-Dépistage, Soins, Vivre pendant et après le cancer sont les 5 axes de ce plan. Il comprend 30 mesures dévelop-pées en 118 actions concrètes. Tous les détails de ce plan sur : www.plan-cancer.gouv.fr

LE CANCER

qUel qU’il soit, Un cancer se caractérise par Une prolifération anormale de cellUles. ces cellUles deviennent incontrôlables, elles ne meUrent pas et se mUltiplient sans cesse.

Une ligne d’information existe pour répondre à toutes les questions

concernant le cancer:

Cancer info au 0810 810 821 (prix d’un appel local)

du lundi au samedi de 9h à 19h.

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LA MALADIE D’ALZHEIMER

la maladie d’alzheimer est Une maladie neUro-dégénérative. la dégénérescence des neU-rones entraine leUr mort. on observe alors Une diminUtion des fonctions dU corps hU-main, la perte de capacités.

Symptômes

Les neurones localisés dans la région de l’hippo-campe, siège de la mémoire, sont souvent les pre-miers atteints. Progressivement d’autres zones du cerveau seront touchées entraînant d’autres symp-tômes : troubles du comportement, perte de la re-connaissance (agnosie), apraxie, désorientation spatiale, troubles de la pensée, tendance à redire ou re-faire les mêmes choses (persévéra-tion).

Une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer va petit à petit perdre son autonomie. En France, 225 000 nouvelles personnes touchées par la maladie d’Alzheimer.

Les troubles rencontrés dans la maladie d’Alzheimer et les maladies apparentées touchent les fonctions cognitives.

Plusieurs examens sont nécessaires, certains ont pour objectif de faire un diagnostic différentiel, c’est-à-dire de s’assurer qu’une autre pathologie n’est pas à l’origine des symptômes.

Diagnostic

Différentes examens permettre de diagnostiquer la maladie d’Alzheimer.

Une IRM ou un scanner permet de diagnostiquer de façon très précoce la maladie. Car l’imagerie (scan-ner ou IRM) permet de voir l’aspect des structures cérébrales. Les médecins pourront distinguer les atrophies sur certaines zones.

Une consultation neurologique peut être faite par un neurologue, mais cet examen sera souvent nor-mal en début de maladie. Les troubles n’apparais-sent pas tout de suite et ne permettent donc pas forcément de détecter la maladie. Lors de cet exa-men, le médecin va rechercher un certain nombre de signes et de réactions indiquant un trouble neurolo-

gique comme des troubles ocu-lomoteurs, troubles de l’équilibre, de la marche.

Un bilan biologique doit éga-lement être fait car selon leur cause, certains cognitifs peuvent être atténué par un traitement de complément.

Un bilan neuropsychologique doit enfin être réalisé. Il s’agit d’ une série de tests à faire passer au patient, des questions, ou des tâches simples à accomplir pour évaluer les capacités co-gnitives du patient.

Traitement

La maladie d’Alzheimer ne peut être guérie. Mais on peut agir sur les symptômes. Certains médicaments permettent une amélioration durable, ils peuvent agir sur les capacités d’attention et d’autonomie et ralentir la progression de la maladie.

L’orthophonie peut améliorer les problèmes de mé-moire. Participer à des ateliers de groupes, pra-tiquer l’art thérapie peuvent stimuler les facultés cérébrales. Ces activités sont proposées dans les hôpitaux de jour, accueils thérapeutiques de jour, services de rééducation ou centres mémoire.

En France, 225 000 nouvelles personnes

touchées par la maladie d’Alzheimer.

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Santé & Bien-être

Elle entraîne la disparition des neurones dopami-nergiques dont le rôle est de fabriquer et libérer la dopamine, un neurotransmetteur indispensable au contrôle des mouvements du corps.

La maladie de Parkinson débute lorsque près de la moitié des neurones dopaminergiques a disparu. La maladie affecte principalement les personnes de plus de 60 ans

La maladie de Parkinson touche une personne sur 100 après l’âge de 50 ans en France il y aurait entre 150 000 et 200 000 personnes atteintes de la mala-die de Pakinson aujourd’hui.

Symptômes

La lenteur des mouvement (bradykinésie), la perte des mouvements automatiques, une moins bonne précisions des geste, la raideur des membres (hy-pertonie) sont des signes de la progression de la maladie. D’autres signes peuvent apparaître selon les patients, tremblements d’une ou des mains, troubles moteurs, végétatifs ou psychiques. L’évo-lution de la maladie est elle aussi différente selon les individus.

Des formes génétiques rares de la maladie de Par-kinson peuvent toucher certaines personnes avant 40 ans.

Il existe quatre grandes phases dans cette évolution de la maladie de parkinson : l’apparition des symptômes et l’annonce du diagnostic, la rémission thérapeutique également appelé «lune de miel » qui se traduit par un mieux-être dû au traitement. La troisième phase dite de fluctuation les complications motrices s’amplifient(akinésie, dyskinésie) et des problèmes

cutanées font aussi leur apparition. Vient ensuite la phase d’envahissement lors de laquelles les troubles deviennent plus nombreux (perte d’équi-libre, troubles de déglutition, etc...) et le traitement est moins efficace.

Traitement

Des médicaments à base de la dopamine ou d’ago-niste de la dopamine (molécule mimant l’action de la dopamine) sont prescrits afin d’améliorer les troubles moteurs.

Un traitement chirurgical existe. La neurostimulation permet d’améliorer l’akinésie, la rigidité et le trem-blement. Elle ne peut pas se pratiquer chez tous les patients.

D’autres traitements font l’objet de recherche. Un traitement par thérapie génique est notamment en cours d’expérimentation chez l’homme. Il pourrait à terme remplacer les médicaments.

Le Plan Parkinson est lancé depuis le mois de juillet 2011. Ce plan englobe la prise en charge médicale mais aussi la recherche sociale et so-ciétale.

Le Plan Parkinson se focalise sur trois objectifs prin-cipaux : comprendre la maladie, structurer les soins avec de meilleurs dispositifs et une coordination des soins médicaux et paramédicaux, et enfin y inclure les Agences Régionales de Santé.

Source : http://franceparkinson.fr/

LA MALADIE DE PARKINSON

la maladie de parkinson est Une affection neUrodégénérative chroniqUe. elle toUche Une strUctUre de qUelqUes millimètres sitUée à la base dU cerveaU.

La maladie de Parkinson touche une personne sur 100 après l’âge de 50 ans

en France

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Principales infections

Herpès : maladie virale, caractérisée par l’appa-rition de petites vésicules groupées sur les lèvres, le gland, le prépuce ou l’anus, accompagnées d’une in-flammation locale qui provoque des démangeaisons fréquentes. Les récidives sont fré-quentes. Il toucherait deux millions de personnes en France.

Hépatites B et C : se mani-festent par une grosse fatigue, une perte d’appétit, un amaigrissement et des troubles digestifs divers. La durée d’incubation est de 4 à 28 se-maines. Elle peut évoluer vers une infection chronique et provoquer cirrhose ou cancer du foie. Un traitement existe en cas d’hépatites C chronique et un vaccin existe contre l’hépatite B.

VIH : virus de l’immunodéficience humaine est l’agent responsable du Sida. Il s’attaque au système de défense de l’organisme et se caractérisée par un déficit immunitaire, c’est-à-dire que l’organisme perd sa capacité à lutter contre les infections. Selon Sidac-tion, en France en 2006, près de 130 000 personnes étaient porteuses du sida.

Papillomavirus : il provoque des lésions hyper-prolifératives bénignes telles que verrues, papillomes ou condylomes. Certains types de HPV sont associés à des tumeurs malignes, notamment le cancer du col de l’utérus.

Chlamydiose : provoque chez la femme des pertes ou écoulements, brûlures et démangeaisons. Chez la femme, cela peut entraîner une infection des trompes, avec un risque d’infertilité et de grosses ex-tra-utérine.

La syphilis : elle se manifeste par de petites lé-sions non douloureuses sur le gland, la marge anale, le rectum, le bouche ou dans la gorge. L’incubation dure trois semaines à trois mois. Si elle se généralise dans le corps, elle devient syphilis secondaire et pro-voque l’apparition de petites taches roses sur le torse et sur les bras.

Les blennorragies ou « chaudes pisses » : c’est une infection de l’urètre avec ap-parition de pus au bout de la verge ou infection de l’anus et du rectum avec de fausses envies d’aller à la selle, démangeaisons anales, parfois glaires sur les selles et ganglions dans les aines. La période d’incu-bation va de 1 à 2 semaines.

Prévention

* Se protéger : préservatif masculin et féminin lors de chaque rapport sexuel permet de ne pas être conta-miné.

* Se faire dépister : test du VIH mais aussi pour déceler d’autres

IST, hépatites par prise de sang egalement, le HPV se détecte par un frottis. Il existe en France, des centres de dépistages anonymes et gratuits.

* Consulter : gynécologues ou planning fa-miliale afin de lutter contre MST et IST

Pour connaître le centre de dépistage le plus proche de chez vous : 0 800 840 800 ou www.var.fr rubrique social, puis santé prévention.

LES MALADIES SExuELLEMENT TRANSMISSIBLES

maladies oU infections sexUellement transmissibles sont diverses. certaines peUvent avoir des conséqUences dramatiqUes. le papillomavirUs hUmains (hpv) peUt entrainer Un cancer dU col de l’UtérUs. on dénombre chaqUe année 3000 cas de cancer de col de l’UtérUs en france, qUi peUvent provenir dU hpv. le mieUx est de se protéger.

Selon Sidaction, en France en 2006, près de 130 000 personnes

sont porteuses du sida.

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Santé & Bien-être

Rougeurs, brûlures, démangeaisons, boutons, plaques, la peau réagit souvent à diverses agressions et virus.

Eczéma : maladie de la peau atopique ou de contact. Il se manifeste le plus souvent sous la forme de plaques rouges qui démangent. Un traitement a base de crèmes cortisonées peut être prescrit et des antihistaminiques (en cas d’allergie).

Psoriasis : dermatose qui s’exprime en plaque, en goutte ou de façon pustuleuse avec productions de squames souvent sur les plaques rouges. Plusieurs facteurs sont mis en cause : l’hérédité, une infection cutanée comme un streptocoque, un traumatisme psychologique ou encore la prise de certains médicaments. Il peut toucher l’ensemble du corps, ou seulement certaines parties (psoriasis des plis, du cuir chevelu, des paumes et des plantes). Des dérivés de la vitamine A ou à la vitamine D sont prescrits, des crèmes cortisonées et, selon les cas, un traitement par UV pour « blanchir » les tâches de psoriasis.

Verrue : tumeur bénigne dues à une infection par un virus de la famille du Papilloma Virus Humains, qui peut être plane, plantaire ou génitales. On peut la soigner par cryothérapie, une application d’azote liquide voire de neige carbonique sur la verrue ou par l’application de préparations kératolytiques, à base d’acide salicylique. On peut aussi l’ôter par une excision ou au laser.

Mycose : maladie due à une multiplication de champignons sur la peau ou dans les muqueuses

(pieds, mains, ongles, appareil génital). La mycose se transmet par contact humain, avec l’eau, le sol ou les vêtements. Elle est traitée par des médicaments antifongiques.

Herpes : maladie virale qui se transmet par contact de la peau ou des muqueuses. Elle peut toucher divers endroits (bouche, organes sexuels). La première contamination peut passer inaperçue mais le virus reste latent et peut se réactiver subitement, en cas d’un état général de fatigue notamment (fièvre, dépression, contrariétés). Le traitement de la primo-infection de l’herpès se fait par médicaments antiviraux.

Zona : dermatose virale, du même virus que la varicelle. Ce dernier, lorsqu’il se réveille, migre le long des nerfs provoquant une éruption cutanée. L’âge, la fatigue, la baisse des défenses immunitaires peuvent expliquer l’apparition d’un zona. Une crise de zona peut durer 2 semaines à 1 mois. On le traite par des médicaments antiviraux et antalgiques pour calmer la douleur.

Lupus : maladie auto-immune qui affecte essentiellement les femmes. Il existe deux sortes de lupus : le lupus cutané et le lupus systémiques. Il provoque éruptions cutanées ou douleurs articulaires, douleurs thoraciques, manifestations neurologiques, fièvre et fatigue voire des complications rénales. Pour le traiter, on administre des anti-inflammatoires non stéroïdiens, des médicaments anti-malariques, des immunosuppresseurs ou encore des corticoïdes. Il n’existe pas de remède définitif.

LES MALADIES DE PEAu

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La rougeole revient en force avec 22 000 cas ont été recensés depuis trois ans. UN vaccin existe. Mais seuls quelques vaccins sont obligatoires pour les touts petits, contre la diphtérie, le tétanos et la polio-myélite (ainsi que le vaccin contre la fièvre jaune pour les personnes résidant en Guyane).

Principales maladies infantiles :

Varicelle : maladie infectieuse, d’une durée d’incubation de 15 jours. Le corps se couvre de boutons rouges. Des cicatrices peuvent rester si on les gratte. C’est une maladie immunisante, on ne peut l’attraper qu’une fois. Vaccin : oui

Rubéole : maladie bénigne qui provoque fièvre, douleurs articulaires ou musculaire, d’une du-rée d’incubation de 15 à 21 jours. Elle peut être plus préoccupante, chez l’adulte, particulièrement chez la femme enceinte. Vaccin : oui

Roséole : survient en général avant 24 mois. Elle provoque fièvre et éruption cutanée, de pe-tits boutons roses très clairs (voire blanchâtres)

Rougeole : symptôme : maladie conta-gieuse dont l’incubation est d’une dizaine de jours. Elle provoque fièvre, fatigue accompagnée de toux sèches, de larmoiements et de boutons rouges. Vaccin : oui

Oreillons : maladie virale qui pénètre dans l’organisme par les voies respiratoires, d’une période d’incubation de 15 à 21 jours. Elle entraine fièvre, maux de tète et un gonflement douloureux près de l’oreille et sous la mâchoire. Vaccin : oui

Bronchiolite du nourrisson : c’est une forme de bronchite des tous petits, une affec-tion qui atteint les petites bronches terminales situées près du tissu pulmonaire. C’est une maladie virale.

Gastroentérites : maladie infectieuse qui entraîne une inflammation de la muqueuse diges-tive. Elle provoque diarrhées, parfois vomissements

et fièvre. L’essentiel est d’éviter une déshydratation et de consul-ter son médecin.

La diphtérie : maladie infectieuse qui affecte essentielle-ment les voies respiratoires supé-

rieures et parfois la peau. Vaccin : oui

Poliomyélite : maladie infectieuse trans-mise par voie digestive. Il y a plusieurs types : la plus bénigne provoque un syndrome grippal, une pharyn-gite ou des vomissements. Dans sa forme la plus vi-rulente, si l’infection touche le système nerveux, elle entraine une destruction des cellules nerveuses, pro-voquant méningites et paralysie des muscles et des membres. Elle touche principalement les enfants de moins de cinq ans. Vaccin : oui

Tétanos : maladie infectieuse, d’une du-rée d’incubation d’une à deux semaines. Elle se tra-duit par des contractures musculaires de plus en plus fortes pouvant entrainer la mort. Vaccin : oui

Coqueluche : maladie infectieuse conta-gieuse. La contamination s’opère par voie aérienne, elle provoque une légère fièvre mais une toux sèche,

parfois par forte quinte. Coliques : crise spas-modique intestinale. Chaque crise ne dure que quelques minutes. L’enfant pleure rougit, est agité.

LES MALADIES INFANTILES

attention : certaines maladies sont de retoUr !

La rougeole : 22 000 cas ont été recensés depuis

trois ans.

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Santé & Bien-être

Bien que les traitements d’orthodontie pour aligner, coordonner les dents, améliorer l’état parodontal et corriger les malocclusions peuvent se faire à tout âge et jusqu’à 99 ans, les traitements les plus effi-cace pour agir sur les mâchoires, améliorer le dé-calage et équilibrer les fonctions de la respiration a l’occlusion sont les traitements jeunes dès l’âge de 3 ans, les motivations de ces traitements sont d’ordre préventif(empêcher l’apparition d’une anomalie en supprimant les facteurs étiologiques) et interceptif( empêcher qu’une anomalie existante ne s’aggrave) (1). Ceci permettant une réduction du pourcentage d’extraction de dents permanentes et un meilleur ré-sultat esthétique et fonctionnel en raison d’une crois-sance faciale réorientée. (1)

Les causes des décalages des mâchoires

Chez l’enfant, la croissance faciale dépend autant de facteurs génétiques (hérédité) que fonctionnels (Res-piration, Mastication, Déglutition). (2)La perturbation de ses fonctions par la pollution, l’al-lergie, l’évolution vers une alimentation molle, la suc-cion du pouce et sucette, est la cause principale des décalages des mâchoires.

1ère visite :

La 1ère visite de contrôle chez l’orthodontiste doit se faire a partir de 3 ans dès que l’ensemble des dents de lait sont présentes (3), un simple examen de la bouche de l’enfant permet de détecter une éven-tuelle dysmorphose (décalage entre les mâchoires) ; des conseils sur l’hygiène, mauvaises habitudes sont souvent suffisants à cette période et un appareillage pendant 1 semestre peut aider a rediriger la croissance.

Que traiter jeune ? (3)

1/ l’articulé inversé : quand les mâchoires du haut et du bas sont décalées. Un traitement jeune pour éviter une asymétrie de croissance.

2/ la béance antérieure (5) : l’absence de contact entre les incisives du haut et du bas, souvent à cause de la succion du pouce ou de la sucette, Nous conseillons de proposer et d’aider le patient en subs-tituant son pouce par un régulateur de crois-sance contrôlée® qui non seulement l’aide à arrêter mais va refor-mer ce que le pouce a déformé 3/ la classe II « rétrognathe » : quand les dents du haut sont trop en avant par rapport aux dents du bas, c’est souvent la mâchoire du bas qui est en arrière, au plus on intervient tôt au plus la mâchoire du bas va rattraper la mâchoire du haut

4/ la classe III « Prognathe » : quand les dents du bas sont en avant par rapport aux dents du haut, c’est souvent la mâchoire du haut qui est en arrière, un traitement jeune et long et indispensable pour évi-ter la chirurgie.

5/ la Dysharmonie-Dento-Maxillaire« chevauchement » la manque de place des dents (6) : l’absence des espaces entre les dents de laits va souvent entrainer une manque de place pour les dents définitives, c’est souvent du a un hypodevel-lopement des maxillaires, la stimulation précoce de la croissance des mâchoires permet de faire la place et éviter de tirer sur les dents définitives ou les extraire.

Quel appareil ? (7)Les appareils qui permettent l’hygiène avec des forces légère et physiologiques et qui respectent au mieux les 6 règles de l’isfeso sont le Régulateur de croissance contrôlé© et les Aligneurs© cependant selon le cas clinique et l’âge du patient, d’autres ap-pareils peuvent être préconisés.

Bibilographie(1) B VI FANE, P.GARREC, P. CANAL :L’age de début de traitement : de la bonne gestion du temps en orthodontie ID N°20 mai 1998(2) Professeur DELAIRE : les états pathogènes post-orthodontiques cours d’in-troduction 1er congrès de l’ISFESO, Bandol 2010(3) HAS ( haute autorité de santé) bilan de dysmorphose dento-maxillo-faciale / Décembre 2006(4) BERGEYRON, PONSOT, FRANCISCI,SABOUNI comment traiter le sourire de 3 à 6 ans Dentoscope 20/09/10(5) W. SABOUNI La béance antérieure : congrès de stomatolgie Nancy 09/09(6) W.SABOUNI La respiration et l’aérophonoscope revue d’orthodontie clinique N°36/2008(7) Réglès d’appareillage de la société internationale d’orthodontie esthétique et fonctionnelle du sourire www.isfeso.com

À QuEL AGE DOIT-ON ALLER CHEZ L’ORTHONDONTISTE ?

Drs P. BErGEYrON, W.sABOUNI

Pathologies et Spécialistes

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MÉDECINES ALTERNATIVES

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Santé & Bien-êtreMédecines alternatives

LES MÉDECINES ALTERNATIVESUne trentaine de thérapies natUrelles, parallèles, doUces existent : elles proposent toUtes Un traitement natUrel sans aUcUne toxicité poUr l’organisme

En voici quelques-unes :

Acupuncture : cette pratique est utilisée depuis des millénaires en Chine Médecine d’Etat, c’est un traitement par implantation d’ai-guilles à certains endroits bien définis du corps agissant sur certaines fonctions physiologiques. Dans chaque zone cutanée circule l’énergie dite Qi. Chaque point d’acupuncture est relié à un organe ou une fonction du corps.

Ostéopathie : envisage le corps dans sa globalité. Elle est fondée sur la capacité du corps à s’auto-équilibrer et sur une connaissance appro-fondie de l’anatomie. L’ostéopathie part du principe que le trouble provient d’un blocage des structures anatomiques entre elles, d’un mauvais fonctionne-ment du corps.

Phytothérapie : usage thérapeutique des plantes. L’arôme des huiles essentielles stimule le système nerveux et prépare le corps à lutter contre la maladie. Elle a plusieurs branches : l’aromathéra-pie utilise les essences aromatiques (huiles essen-tielles) de plantes ou végétaux, la gemmothérapie utilise des préparations à base de bourgeons, de jeunes pousses.

Musicothérapie : c’est une compo-sante de l’art-thérapie. Elle consiste à utiliser la mu-sique pour rétablir, maintenir ou améliorer la santé mentale, physique et émotionnelle.

Kinésiologie : méthode qui étudie l’ensemble musculaire dont les réactions sont por-teuses d’informations sur l’état de santé du patient. Le but est de rétablir ou renforcer l’équilibre et la vitalité de l’être humain

Sophrologie : technique de relaxation basée sur une approche d’harmonie entre le corps et l’esprit par l’autohypnose. Elle vise à apprendre à se concentrer et à gérer ses pensées pour atténuer une douleur, réduire son stress, dénouer les tensions musculaires, etc.)

« Il y a des ateliers de gestion de stress » explique nathalie Euchin, « avec des techniques accessibles à tous basée sur la respiration, la concentration pour aller doucement vers la sophrologie et travailler sur la confiance en soi. La sophrologie est en quelque sorte une méthode pour être bienveillant avec soi même. »

Hypnothérapie : utilisation de l’hyp-nose, un état modifié de conscience destiné à ac-céder à l’inconscient. Son but est de permettre au patient de puiser en lui les ressources nécessaires à la résolution de ses problèmes

Chiropractie (chiropraxie) : méthode de manipulations de certaines parties du corps, principalement autour ou le long de la co-lonne vertébrale.

Homéopathie : traitement par des doses infinitésimales de substances ayant la faculté de reproduire dans l’organisme des symptômes si-milaires à ceux provoqués par cette maladie chez un individu atteint.Les médicaments homéopathiques sont élaborés à partir de substances végétales, minérales ou ani-males. Cela ne traite pas la maladie mais le terrai sur

lequel elle est installée.

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Elle apporte son écho a la cicatrisation, au suivi d’une acné, au bien-être de tous ces patients de tout âge atteint de cancer ou d’autre maladie éprouvante. Ceux-là qui désirent après ces lourdes épreuves, reprendre goût à l’existence.

Les soins s’intègrent dans une prise en charge globale à la fois médicale et artistique.

L’idée de beauté n’a-t-elle pas évolué à travers le temps ?

La notion de bien-être, de bien vieillir, de partager vient au premier plan pour exprimer une longévité bienfaisante. Le ressenti est désormais aussi important que le visuel.

D’ici 10 ans les seniors seront majoritaires dans nos pays.C’est pourquoi le centre esthétique offre une direction de soins dans le sens de l’histoire.Parmi les nouvelles technologies, la photobiomodulation Led, les injections de plasma riche en plaquettes, l’usage des champs magnétiques et des micro-courants viennent enrichir l’arsenal du soignant.La dermatologie doit persister dans son approche médicale pour accompagner les soins esthétiques.

C’est une équipe avertie et constamment à l’écoute qui prendra le relais dans le cadre des programmes personnalisés (corps ou visage).

Centre Laser Dermatologique & Esthétique - Dr Pelletier Michèle5 Place Puget - 83000 Toulon

TÉL. : 04 94 62 30 71FAX : 04 94 62 30 45MAIL : [email protected]

Médecines alternatives

GESTION ESTHÉTIQuE DERMATOLOGIQuE« seUle compte la démarche car c’est elle qUi dUre et non le bUt qUi n’est qU’illUsion dU voyage » - antoine de st exUpéry -

Traitement de l’acné par photothérapie LED

Avant Après

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Santé & Bien-êtreMédecines alternatives

Adolescente, c’est vers les enfants et les pré-adolescents qu’elle s’ouvre et participe à de nombreux séjours de colonies de vacances comme monitrice. En qualité d’enseignant universitaire c’est vers les jeunes étudiants en difficultés qu’elle s’ est penchée pour lier enseignement et soutien psychologique.

Toujours à l’écoute de leur difficultés, elle les aidait à mettre leur passé «entre parenthèses» pour réussir leur études tout en renforçant leur confiance en eux. Sensible aux problèmes de l’existence, elle s’est consacrée autant aux autres qu’aux différents moyens de cultiver son bien être et son développement personnel.

La sophrologie :

La rencontre avec la sophrologie en 1980 l’a amené à offrir aux étudiants des séances de relaxation et de créativité pour les protéger du stress. La sophrologie devenait l’outil de la résilience pour se détacher du passé et réussir les examens universitaires dans le bonheur vital.

Des liens d’amitié sincères et durables se sont crées dans son parcours universitaire par l’apport de la sophrologie et de la phénoménologie.

Sa quête philosophique lui fit créer le «Café philo de Sanary» dans lequel elle accueillit pendant neuf ans de nombreux philosophes et auteurs en quête de sens, ayant le désir d’éclairer les participants de leurs connaissances et de partager leur savoir.

Elle en profite aujourd’hui pour leur dire un grand merci et les invitent à rejoindre le «Philomène Café» qu’elle a créé depuis deux ans.

En 2005 elle décide de réactualiser sa formation de sophrologie caycedienne pour obtenir le titre de Master spécialiste dans l’école du fondateur de la sophrologie le psychiatre Alfonso Caycedo.

La sophrologie est aujourd’hui une pratique complémentaire de nombreuses activités telles que le sport, la médecine, la psychologie et l’enseignement.

C’est la rencontre avec l’ergologie qui a réactivé sa volonté d’aider les travailleurs dans le cadre de la prévention de la souffrance au travail et d’utiliser l’outil sophrologique pour apprendre à ressentir percevoir les souffrances psychiques et physiques pour agir précocement.

Elle se donne pour projet d’aller à leur rencontre pour

les aider à dépasser le stress et prévenir les risques psycho-

sociaux et musculo-squelettiques en complément avec les autres méthodes existantes.

Elle souhaite aujourd’hui aider les travailleurs à devenir des acteurs heureux du monde du travail, à conjuguer bien-être personnel et bien être au travail.

Certaines entreprises proposent aux employés un centre bien-être internalisé et d’autres des centres bien-être externalisés.

Le vœu de Françoise Vitel Di Mondo pour les futures années : « Que la santé deviennent la préoccupation de tous pour vivre le plus longtemps possible dans la liberté, la responsabilité, la dignité dans la joie ».

INTERVIEWfrançoise vitel di mondo, enseignante hospitalo-Universitaire, a très tôt désiré se mettre aU service des personnes en soUffrance.

MAIL : francoise [email protected] [email protected]

SITE WEB :www.philomene-harmonie.com

TÉL. : 06 10 79 26 15

Centre Laser Dermatologique & Esthétique - Dr Pelletier Michèle5 Place Puget - 83000 Toulon

TÉL. : 04 94 62 30 71FAX : 04 94 62 30 45MAIL : [email protected]

« Que la santé deviennent la préoccupation de

tous pour vivre le plus longtemps possible dans la liberté, la responsabilité,

la dignité dans la joie ».

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RÉPERTOIRE DES ÉTABLISSEMENTS

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RÉPERTOIRE DES ÉTABLISSEMENTS

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Hôpital Sainte Musse54 r Sainte Claire Deville83056 TOULON CEDEX04 94 14 50 00 www.ch-toulon.fr

Hôpital D’Instruction Des Armées Sainte Anne(HIA Sainte Anne)2 bd Ste Anne83800 TOULON04 83 16 20 14

Les oiseaux35 pl Antigone83110 SANARY SUR MER04 94 88 21 19

Centre Hospitalier Intercommunal98 bd Joseph Audiffren83110 SANARY SUR MER04 94 74 95 66

Centre Hospitalier Jean Marcelbd Joseph Monnier83170 BRIGNOLES04 94 72 66 00

Centre Hospitalier Psychiatriequart Barnencq83390 PIERREFEU DU VAR04 94 33 18 00 www.ch-pierrefeu.com

Groupe Hospitalier de La Seyne sur Merav Jules Renard83500 LA SEYNE SUR MER04 94 11 30 00 www.ch-toulon.fr

Hopital du Golfe de Saint Tropezrd pt Gén Diégo BrossetRN 55983580 GASSIN04 98 12 50 00 www.ch-saint-tropez.fr

Hôpital San Salvadour 4312 rte Almanarre83400 HYERES04 94 38 08 00 www.aphp.fr

Centre de Gériatrie Beauséjour1 av du 15ème Corps83400 HYERES04 94 00 00 00 www.cos-beausejour.com

Centre de Gérontologie Georges Clémenceau421 av 1er Bataillon d’Infanterie du Pacifique83130 LA GARDE04 94 08 86 86 www.ch-toulon.fr

Centre Hospitalier de la Dracénierte Montferrat83300 DRAGUIGNAN04 94 60 50 00 www.ch-dracenie.com

Centre Hospitalier 579 r Mar Juin83400 HYERES04 94 00 24 00 www.ch-hyeres.fr

Hôpital Léon Bérardav doct Marcel Armanet 121BP 1083418 HYERES CEDEX04 94 38 05 05 www.leonberard.com

Hopital Local Départementalrte Toulon N9783340 LE LUC 04 94 50 04 00

Hôpital Renée SabranEdouard Herriot83400 GIENS04 94 38 17 40

Institut Hélio Marin De La Côte Azur590 bd MarineBP 4008183407 HYERES CEDEX04 94 12 12 12

L’Oasis Hopital de Jour Pédopsychiatrie31 r République83170 BRIGNOLES04 94 59 21 41

Maison Départementale de Retraite120 Centre Gaudinrte Toulon N° 9783340 LE LUC04 94 60 44 50

Pomponiana Olbiachem Almanarre Pomponiana83400 HYERES04 94 35 94 35

Santé et Solidarité du Var1328 chem Planquette83130 LA GARDE04 94 27 50 50

Unité D’Hospitalisation Pour Adolescents237 av Frédéric Mistral83130 LA GARDE04 98 01 39 01

Unité Urgence Psychiatrique13 av Riondet83400 HYERES04 94 12 61 00

LES HOPITAux

posez-voUs les bonnes qUestions... compte tenU de la grande diversité de l’offre, il convient en toUt premier lieU, de préciser les critères sUr lesqUels s’appUiera votre recherche.

Répertoire des établissements

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Santé & Bien-êtreRépertoire des établissements

Centre de Balnéothérapie M.G.E.N (Mutuelle Générale Education Nationale)rte Giens83400 HYERES04 94 12 32 42

Centre De Jour Athénaquart Bonneval83470 SAINT MAXIMIN LA SAINTE BAUME04 94 59 98 03

Centre de Jour Henri Eychem Raton83170 BRIGNOLES04 94 59 27 01

Centre de Jour Infanto-Juvénile550 bd Edouard Herriot83400 HYERES04 94 58 29 59

Centre Hospitalier Henri Guerinchem St Pierre83170 BRIGNOLES04 94 37 99 00

Centre Hospitalier Henry GuérinPsychiatrie11 rte Puget Ville83390 PIERREFEU DU VAR04 94 33 18 00

Centre Hospitalier Intercommunal Fréjus Saint Raphaëlstandard Hôpital Bonnet240 av St Lambert83600 FREJUS04 94 40 21 21

Centre Médico Psychologique42 bd Jean Jaurès83700 SAINT RAPHAEL04 98 12 30 72

Centre Médico Psychologique Infanto Juvénilepl Raphaël de Garrezio83990 SAINT TROPEZ04 94 97 75 73

Hôpital de Jour (Psychiatrie Adultes)villa Rénata 1591 av De Lattre de Tassigny83600 FREJUS04 94 51 81 60

Hôpital de Jour de Psychiatrie Infanto-Juvénile584 chem Varrayon83720 TRANS EN PROVENCE04 94 47 06 73

Hôpital de Jour de Psychiatriepour Adultes (C.A.T.T.P)imp Jacques Monod83310 COGOLIN04 94 54 78 80

Hôpital De Jour Le Chênerte Camps83170 BRIGNOLES04 94 59 15 11

Hôpital de Jour Mont Sereinav Commdt Houot83130 LA GARDE04 94 61 29 29

Hôpital De Jour Regainav Commdt Houot83130 LA GARDE04 94 27 10 10

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Santé & Bien-être

La Maison des Micocouliers 123 rue du Jas de Callian 83520 ROQUEBRUNE-SUR-ARGENS Tél: 04 98 12 51 80

Maison de Famille La Bastide Guirans 3552 route départementale 554 83210 SOLLIES-TOUCAS Tél: 04 94 13 56 00

Résidence Hermès500 avenue du Mai 1945 83700 SAINT-RAPHAËL Tél: 04 94 17 22 22

Résidence Le VergerLogement Foyer68 avenue du Nid 83110 SANARY-SUR-MER Tél: 04 94 88 58 30

Renaissance MayolCentre Mayol 5 rue Henri Pertus 83000 TOULON Tél: 04 94 16 91 91

Maison de Retraite Home Arménien107 avenue du Maréchal Lyautey 83700 SAINT-RAPHAËL Tél: 04 94 19 51 50

Résidence Helles Seniors167 av 551e Bataillon de Parachutistes 83300 DRAGUIGNAN Tél: 04 98 10 20 33

Korian Rives d’Esterel301 avenue Andréï Sakharov 83600 FREJUS Tél: 04 94 51 72 20

La Rose de Noël220 rue Bouillibaye 83140 SIX-FOURS-LES-PLAGES Tél: 04 94 10 06 06

Korian Les FontainesQuartier des Laus 83670 BARJOLS Tél: 04 94 72 83 83

Les Clos de Planestel Les Jardins de Cybèle599 route de Saint Paul 83600 BAGNOLS-EN-FORET Tél: 04 94 40 23 23

Résidence Retraite Les Amandiers (Emera)118 quartier Vincent chemin de la Mi-Gra 83440 MONTAUROUX Tél: 04 94 47 76 00

Résidence Aigue Marine (Le Noble Age)Quartier La Garduère Chemin de Reganeu83150 BANDOL Tél: 04 94 29 85 16

Maison de Retraite du Cap Sicié264 chemin des Barelles 83500 LA SEYNE-SUR-MER Tél: 04 98 03 52 52

Maison de Retraite La Provençale34 rue du Moulin 83136 LA ROQUEBRUSSANNE Tél: 04 94 86 96 86

Maison de Retraite Le Rosaire335 chemin du Rosaire 83110 SANARY-SUR-MER Tél: 04 94 25 30 50

Le Grand Jardin Avenue de la Grande Bastide 83980 LE LAVANDOU Tél: 08 00 10 11 20

Notre-Dame de la Paix961 avenue Colonel Picot 83100 TOULON Tél: 04 94 61 97 00

Résidence Les Pléiades (Le Noble Age)192 rue Reine Jeanne 83000 TOULON Tél: 0498005910

Korian Villa Eyras770 avenue Jean Moulin 83400 HYERES Tél: 04 94 38 49 49

Maison de Retraite Home Arménien107 avenue du Maréchal Lyautey 83700 SAINT-RAPHAËL Tél: 04 94 19 51 50

Les Jardins de ValescureHameau de Vaulongue Boulevard du Cerceron 83700 SAINT-RAPHAËL Tél: 04 94 52 88 88

Résidence Retraite Les Amandiers (Emera)118 quartier Vincent chemin de la Mi-Gra 83440 MONTAUROUX Tél: 04 94 47 76 00

Tonus Vitamine81 avenue Jean Garrus 83300 DRAGUIGNAN Tél: 04 94 50 94 50

LES EPHAD

il faUt savoir qUe le terme génériqUe de maison de retraite englobe Un ensemble très hétérogène dans leqUel il faUt distingUer diverses strUctUres qUi peUvent dépendre dU secteUr pUblic oU privé.

Répertoire des établissements

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Korian Les Pins Bleus Domaine de Saint ElmeRoute du Lazaret 83430 SAINT-MANDRIER-SUR-MER Tél: 04 94 11 03 03

Maison de Retraite Saint François du Las816 rue David 83200 TOULON Tél: 04 98 07 02 02

Maison de Retraite La Provençale34 rue du Moulin 83136 LA ROQUEBRUSSANNE Tél: 04 94 86 96 86

Fleur de LysLe Sous Bois B 1621 avenue Joseph Gasquet 83100 TOULON Tél: 04 94 27 20 08

Foyer Logements Les Bougainvilliers8 rue Louis Armand 83400 HYERES Tél: 04 94 57 49 02

Les MagnoliasPavillon Toussaint Merle BP 1412 83056 TOULON Tél: 04 94 11 30 40

Les Agapanthesrue Jean Giono 83420 LA CROIX-VALMER Tél: 04 94 54 34 41

L’Age d’OrLes Playes 517 avenue de Rome 83500 LA SEYNE-SUR-MER Tél: 04 94 22 00 22

Maison de Retraite Le Nouvel Age120 rue Ferrin 83140 SIX-FOURS-LES-PLAGES Tél: 04 94 07 63 89

Maison de Retraite Stella Maris486 avenue du Stade 83110 SANARY-SUR-MER Tél: 09 75 33 23 73

Maison de Retraite La Bastide du Baou229 avenue André Dumerc 83110 SANARY-SUR-MER Tél: 04 94 88 53 88

La Marquisanne II309 chemin Belle Visto 83200 TOULON Tél: 04 94 09 57 00

Le Vallon des AbeillesPlaine des Aires 83470 SEILLONS-SOURCE-D’ARGENS Tél: 04 98 05 23 30

Maison de Retraite Les Figuiers110 avenue du Cadenet 83210 SOLLIES-PONT Tél: 04 94 23 80 90

Foyer Logement Les Romarins6 rue Pierre Renaudel 83400 HYERES Tél: 04 94 57 49 02

Maison de Retraite Les Charmettes 60 rue Robert Forrer Le Brusc 83140 SIX-FOURS-LES-PLAGES Tél: 04 94 10 61 01Maison Retraite Les Roches BanchesChemin de Mouries Le Brusc 83140 SIX-FOURS-LES-PLAGES Tél: 04 94 34 06 50

Maison de RetraiteBP 1412 83056 TOULON Tél: 04 94 61 61 61

Maison de Retraite l’Amaryllis700 chemin du Lancon 83110 SANARY-SUR-MER Tél: 09 75 33 23 73

Maison de Retraite L’HéliotropeVilla Les Hespérides27 avenue Alexis Godillot 83400 HYERES Tél: 04 94 65 00 37

Maison de Retraite Les FauvettesQuartier Reganas Impasse de la Fauvette 83210 LA FARLEDE Tél: 04 94 48 48 47

Foyer Logements Les Lavandes 210 rue Pierre Renaudel 83400 HYERES Tél: 04 94 57 49 02

Maison de Retraite KériosAvenue Marc Delage 83130 LA GARDE Tél: 04 94 21 83 50

Maison de Retraite Les Figuiers110 avenue du Cadenet 83210 SOLLIES-PONT Tél: 04 94 23 80 90

Maison de Retraite Les Mimosas384 chemin de Jaumard 83140 SIX-FOURS-LES-PLAGES Tél: 04 94 25 42 20

Résidence Promenades de JadeLieu-dit Les Bouillonnets 83120 SAINTE-MAXIME Tél: 04 94 43 53 00

Foyer Logement Les Romarins6 rue Pierre Renaudel 83400 HYERES Tél: 04 94 57 49 02

Résidence Les HamadriadesLa Croix Saint Marc 83640 PLAN-D’AUPS-SAINTE-BAUME Tél: 06 85 84 81 43

Maison de Retraite Le Nouvel Age120 rue Ferrin 83140 SIX-FOURS-LES-PLAGES Tél: 04 94 07 63 89

Les AgapanthesRue Jean Giono 83420 LA CROIX-VALMER Tél: 04 94 54 34 41

Résidence Les RestanquesMontée de la Grande Vigne 83780 FLAYOSC Tél: 04 98 10 15 15

Maison de Retraite Domaine des Gueules CasséesLe Coudon avenue du Colonel PicotBP 147 83160 LA VALETTE-DU-VAR Tél: 04 94 61 93 00

La Maison du LacChemin de Flanquegiaire lieu dit Le Village 83390 BESSE-SUR-ISSOLE Tél: 04 94 69 73 88

Centre Hospitalier Jean MarcelMaison de Santé La Source Quartier des Capucins 83170 BRIGNOLES Tél: 04 94 72 66 00

Maison de Retraite Le Châtelet251 allée Thérèse 83110 SANARY-SUR-MER Tél: 04 94 88 52 52

Maison de Retraite236 rue Saint-Honorat - BP 113 83510 LORGUES Tél: 04 98 10 10 00

La Pierre de la Fée93 avenue du Pont d’Aups 83300 DRAGUIGNAN Tél: 04 94 39 32 00

Maison de Retraite L’HéliotropeVilla Les Hespérides27 avenue Alexis Godillot 83400 HYERES Tél: 04 94 65 00 37

La Marquisanne II309 chemin Belle Visto 83200 TOULON Tél: 04 94 09 57 00

Maison de Retraite La Bastidedu Baou229 avenue André Dumerc 83110 SANARY-SUR-MER Tél: 04 94 88 53 88

Résidence Les RestanquesMontée de la Grande Vigne 83780 FLAYOSC Tél: 04 98 10 15 15

Foyer Logements Les Bougainvilliers8 rue Louis Armand 83400 HYERES Tél: 04 94 57 49 02

Résidence Promenades de JadeLieu-dit Les Bouillonnets 83120 SAINTE-MAXIME Tél: 04 94 43 53 00

Répertoire des établissements

LES EPHAD (SuITE)

Page 63: Guide Sante & Bien Etre 2012

I S A N T É E T B I E N - Ê T R E I I n f o s S a n t é 2 0 1 2 / 2 0 1 359

Santé & Bien-être

Centre Hospitalier du Luc en Provence - Maison de Retraite7 rue Jean Jaurès BP 87 83340 LE LUC Tél: 04 94 50 04 00

Maison de Retraite l’Eden RocQuartier Sainte-Marguerite 9 chemin de la Chapelle 83130 LA GARDE Tél: 04 94 23 79 91

Maison de Retraite Le MalmontBoulevard Joseph Collomp 83300 DRAGUIGNAN Tél: 04 94 60 51 40

Foyer Logement Les Lavandes 12 rue Louis Armand 83400 HYERES Tél: 04 94 57 49 02

Centre Hospitalier Jean MarcelMaison de Santé La Source Quartier des Capucins 83170 BRIGNOLES Tél: 04 94 72 66 00

Méditerranée Retraite137 rue Victor Reymonenq 83100 TOULON Tél: 04 94 09 36 66

Maison de Retraite Le Châtelet251 allée Thérèse 83110 SANARY-SUR-MER Tél: 04 94 88 52 52

Foyer-Logements La RessenceChemin de la Ressence 83100 TOULON Tél: 04 94 27 52 02

Foyer-Logements Le Port MarchandSquare Commandant Laurenti 83100 TOULON Tél: 04 94 03 37 00

Maison de Retraite Les Acacias38 place des Escudiers 83260 LA CRAU Tél: 04 94 66 70 83

Les Eaux VivesChemin de la Montagne 83600 FREJUS Tél: 04 94 44 53 80

Maison de Retraite Félix PeyRue Félix Pey 83210 SOLLIES-PONT Tél: 04 94 28 93 37

Résidence Retraite Marie-Magdeleine371 avenue du 8 Mai 1945 83470 SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME Tél: 04 94 78 01 94

Foyer-Logements Les TamarisAvenue de Coupiane 83160 LA VALETTE-DU-VAR Tél: 04 94 61 20 20

Résidence Saint-Honorat548 chemin de la Seyne à Bastian 83500 LA SEYNE-SUR-MER Tél: 04 94 06 58 28

Maison de Retraite Bouen Seren7 rue Jean Jaurès 83830 BARGEMON Tél: 04 94 76 60 28

Foyer-Logements Résidence LaroqueRue René Cassin 83440 FAYENCE Tél: 04 94 39 14 74

Le Domaine de Tassy1849 route Départementale 19 83440 TOURRETTES Tél: 04 94 39 15 55

Foyer Logement Louis Faraut596 avenue de Lattre de Tassigny 83140 SIX-FOURS-LES-PLAGES Tél: 04 94 25 79 62

Logements Foyer Roger Mistral176 rue de la Font des Fabres 83210 LA FARLEDE Tél: 04 94 27 86 06

Foyer Résidence La FalquetteAvenue de Tausentum 83270 SAINT-CYR-SUR-MER Tél: 04 94 26 31 24

Maison de Retraite Xavier MarinPlace Xavier MarinBP 16 83570 COTIGNAC Tél: 04 94 37 00 77

Les OpalinesAvenue du Docteur Coulet 83220 LE PRADET Tél: 04 94 08 76 00

Logements-Foyer Ambroise Croizat7 rue Ferrandin 83500 LA SEYNE-SUR-MER Tél: 04 94 94 72 61

Logement-Foyer RésidenceSainte-MadeleinePlace Sainte-Madeleine 83740 LA CADIERE-D’AZUR Tél: 04 94 90 00 63

Résidence La Minorque401 avenue André Le Chatelier 83200 TOULON Tél: 04 94 91 05 90

Maison de Retraite Saint-JacquesQuartier des 30 Gouttes6 rue Jules Ferry 83560 RIANS Tél: 04 94 80 33 54

La Chesnaie et Saint JacquesAvenue André LéotardBP 110 83608 FREJUS Tél: 04 94 40 21 21

Logements-Foyer Jean BartoliniQuartier de la Présentation681 boulevard Toussaint Merle 83500 LA SEYNE-SUR-MER Tél: 04 94 87 24 96

Résidence Bastide Bonnetières89 rue des Bonnetières 83000 TOULON Tél: 04 94 09 12 12

Au Bon Accueil8 impasse Bizet 83260 LA CRAU Tél: 04 94 01 37 70

Foyer-Logement Pierre Curie101 rue Jacques Prévert 83130 LA GARDE Tél: 04 94 75 35 94

Maison de Retraite Les Migraniers2 rue de la Pompe 83310 GRIMAUD Tél: 04 94 83 21 57

Les Jardins de Thalassa135 allée Georges Leygues La Barentine 83100 TOULON Tél: 04 94 16 92 92

Logements-Foyer Jean BartoliniQuartier de la Présentation 681 boulevard Toussaint Merle 83500 LA SEYNE-SUR-MER Tél: 04 94 87 24 96

Maison de Retraite Jeanne Marguerite472 avenue Joseph Gasquet 83100 TOULON Tél: 04 94 36 50 16

Hôpital Local Départemental du Var7 rue Jean Jaurès BP 87 83340 LE LUC Tél: 04 94 50 04 00Maison de Retraite Saint-JacquesImpasse Antoinette Achard 83480 PUGET-SUR-ARGENS Tél: 04 98 11 44 30

Maison de Retraite33 avenue Riondet 83407 HYERES Tél: 04 94 00 28 12

Résidence Les Terrasses d’Amadeus95 chemin de Gauran 83500 LA SEYNE-SUR-MER Tél: 04 94 87 40 31

Foyer Logement Louis Faraut596 avenue de Lattre de Tassigny 83140 SIX-FOURS-LES-PLAGES Tél: 04 94 25 79 62

Les Jardins de ProvenceDomaine de la Capelle391 chemin Uba 83200 TOULON Tél: 04 94 24 31 59

Maison de Retraite Saint-Jacques22 avenue du Maréchal Foch BP 10 83390 CUERS Tél: 04 94 28 61 35

Foyer-Logements Les GenêtsChemin des Terres Rouges 83160 LA VALETTE-DU-VAR Tél: 04 94 20 91 50

Répertoire des établissements

Page 64: Guide Sante & Bien Etre 2012

I S A N T É E T B I E N - Ê T R E I I n f o s S a n t é 2 0 1 2 / 2 0 1 360

L’Oustaou de ZaouQuartier chemin neuf 96 chemin des Prés 83630 AUPS Tél: 04 94 50 28 50

Résidence Retraite Les Mille Soleils411 boulevard Charles de GaulleLieu-dit Les Peyrouas 83490 LE MUY Tél: 04 94 19 65 65

Les Opalines L’Arche VarAvenue du 8 Mai 1945 83120 SAINTE-MAXIME Tél: 04 94 55 05 00

Résidence La SourceAvenue de la Libération 83690 SALERNES Tél: 04 94 60 40 50

La Rose des Vents7 rue Joseph Peyre Ferry 83000 TOULON Tél: 04 94 89 58 81

Maison de Retraite Bouen Seren7 rue Jean Jaurès 83830 BARGEMON Tél: 04 94 76 60 28

Résidence Retraite Bellisa4 Puits de Magne Lieu-dit Le Bastidon 83250 LA LONDE-LES-MAURES Tél: 04 94 01 39 39

Maison de Retraite La Blandinière Les Jardins de ProvenceDomaine de la Capelle 391 chemin de l’Uba 83000 TOULON Tél: 04 94 92 73 69

Foyer Résidence La FalquetteAvenue de Tausentum 83270 SAINT-CYR-SUR-MER Tél: 04 94 26 31 24

Foyer Logement Notre-DameLes Sources d’Azur Quartier Notre Dame 83460 LES ARCS Tél: 04 94 85 23 00

Maison de Retraite Les Migraniers2 rue de la Pompe 83310 GRIMAUD Tél: 04 94 83 21 57

Maison de Retraite des Médaillés Militaires20 avenue Marc Riché Costebelle 83408 HYERES Tél: 04 94 00 53 00

Résidence Le Jas de CallianAvenue Paul Arène 83520 ROQUEBRUNE-SUR-ARGENS Tél: 04 94 45 76 76

Maison de Retraite Saint-JacquesQuartier des 30 Gouttes 6 rue Jules Ferry 83560 RIANS Tél: 04 94 80 33 54

Foyer-Logements du NaiAvenue Pierre Gaudin 83690 SALERNES Tél: 04 94 70 66 45

Résidence Les Terrasses d’Amadeus95 chemin de Gauran 83500 LA SEYNE-SUR-MER Tél: 04 94 87 40 31

Résidence JasminQuartier dGasquette 83340 LE THORONET Tél: 04 94 60 67 67

Les OpalinesAvenue du Docteur Coulet 83220 LE PRADET Tél: 04 94 08 76 00

Maison de Retraite Peirin2 place de la Liberté BP 89 83311 COGOLIN Tél: 04 94 54 65 94

L’Alexandra10 chemin Pierre Vezzozo 83190 OLLIOULES Tél: 04 94 63 43 85

Résidence Les GenêtsAvenue PothonierBP 10 83390 CUERS Tél: 04 94 13 85 00

Foyer-Logement Marie Curie I101 rue Jacques Prévert 83130 LA GARDE Tél: 04 94 21 07 46

Les Jardins de Thalassa135 allée Georges Leygues La Barentine 83100 TOULON Tél: 04 94 16 92 92

Logements-Foyer Ambroise Croizat7 rue Ferrandin 83500 LA SEYNE-SUR-MER Tél: 04 94 94 72 61

Foyer-Logements Résidence LaroqueRue René Cassin 83440 FAYENCE Tél: 04 94 39 14 74Résidence L’AtriumDomaine Saint-Georges Route de Fabrégas 83500 LA SEYNE-SUR-MER Tél: 04 94 11 11 00

Foyer-Logement Wetzel6 rue Pierre Victor Peyron 83320 CARQUEIRANNE Tél: 04 94 58 50 33

Saint-Clair Résidéal SantéQuartier Les Peygros 83640 SAINT-ZACHARIE Tél: 04 42 72 90 71

Logement-Foyer Les AcaciasRue Didier Daurat 83150 BANDOL Tél: 04 94 29 45 98

Maison de Retraite Manderleychemin du Fort Cap Brun 83000 TOULON Tél: 04 94 41 33 73

Résidence de Retraite Verdon 660 chemin du Lac 83560 SAINT-JULIEN Tél: 04 94 37 25 00

La Rose des Vents7 rue Joseph Peyre Ferry 83000 TOULON Tél: 04 94 89 58 81

Foyer Logement Les Tilleuls17 avenue Georges Pompidou 83120 SAINTE-MAXIME Tél: 04 94 96 33 32

Les Palmiers339 avenue Salvador Allende 83500 LA SEYNE-SUR-MER Tél: 04 94 94 18 97

Résidence Les Amandiers de La RessenceChemin de la Ressence 83100 TOULON Tél: 04 94 27 97 00

Maison de Retraite Saint-Maur237 avenue de Valbourdin 83200 TOULON Tél: 04 94 92 37 40

Résidence Services Les Cardinales9 rue Georges Simenon 83400 HYERES Tél: 04 94 65 18 73

Maison de Retraite Saint-Jacquesimpasse Antoinette Achard 83480 PUGET-SUR-ARGENS Tél: 04 98 11 44 30

Le Domaine de Tassy1849 route Départementale 19 83440 TOURRETTES Tél: 04 94 39 15 55

Logement-Foyer Résidence Sainte-Madeleineplace Sainte-Madeleine 83740 LA CADIERE-D’AZUR Tél: 04 94 90 00 63

Les Palmiers339 avenue Salvador Allende 83500 LA SEYNE-SUR-MER Tél: 0494941897

Résidence Retraite Les Mille Soleils411 boulevard Charles de Gaulle Lieu-dit Les Peyrouas 83490 LE MUY Tél: 04 94 19 65 65

Maison de Retraite Les Platanesavenue Augustin Grangeon 83990 SAINT-TROPEZ Tél: 04 94 55 83 23

Résidence Retraite Bellisa4 Puits de Magne Lieu-dit Le Bastidon 83250 LA LONDE-LES-MAURES Tél: 04 94 01 39 39

Répertoire des établissements

LES EPHAD (SuITE)

Page 65: Guide Sante & Bien Etre 2012

I S A N T É E T B I E N - Ê T R E I I n f o s S a n t é 2 0 1 2 / 2 0 1 361

Santé & Bien-être

Saint-Clair Résidéal SantéQuartier Les Peygros 83640 SAINT-ZACHARIE Tél: 04 42 72 90 71

Foyer-Logement La Respelidoplace Paul Vernet 83600 FREJUS Tél: 04 94 51 22 14

Foyer Logement Louis Faraut596 avenue de Lattre de Tassigny 83140 SIX-FOURS-LES-PLAGES Tél: 04 94 25 79 62

Maison de Retraite Manon des SourcesQuartier La Fourmigue 83330 LE BEAUSSET Tél: 04 94 98 55 00

Foyer Logement La Recampadoavenue de la Thébaide Lieu-dit Les Issambres 83520 ROQUEBRUNE-SUR-ARGENS Tél: 04 94 96 91 44

Maison de Retraite L’Emeraude223 rue Victor Reymonenq 83200 TOULON Tél: 04 94 24 19 86

Maison de Retraite Saint-Jacques22 avenue du Maréchal FochBP 10 83390 CUERS Tél: 04 94 28 61 35

Foyer-Logements Le PorphyreBoulevard Jean-Baptiste Pellicot 83200 TOULON Tél: 04 94 92 05 92

Foyer-Logement Wetzel6 rue Pierre Victor Peyron 83320 CARQUEIRANNE Tél: 04 94 58 50 33

Foyer-Logement Fondation Lelièvre155 rue Allègre 83140 SIX-FOURS-LES-PLAGES Tél: 04 94 74 73 89

Maison de Retraite Notre-Damedes Anges17 avenue des Quatre Pierres 83510 LORGUES Tél: 04 94 73 70 47

Foyer Logement Frédéric Mistral135 rue de la Cauquière 83140 SIX-FOURS-LES-PLAGES Tél: 04 94 34 54 74

Maison de Retraite Saint-Maur237 avenue de Valbourdin 83200 TOULON Tél: 04 94 92 37 40

Maison de Retraite Le Pradon2 route de Fayence 83440 CALLIAN Tél: 04 94 39 12 12

Résidence Hôtel La Louisiane33 rue Eugénie 83400 HYERES Tél: 0494015200

Maison de Retraite Résidence Pin et Soleilavenue du Calvaire 83790 PIGNANS Tél: 04 94 33 20 40

Maison de Retraite33 avenue Riondet 83407 HYERES Tél: 04 94 00 28 12

Hôpital Local Départemental du Var7 rue Jean JaurèsBP 87 83340 LE LUC Tél: 04 94 50 04 00

Répertoire des établissements

Page 66: Guide Sante & Bien Etre 2012

I S A N T É E T B I E N - Ê T R E I I n f o s S a n t é 2 0 1 2 / 2 0 1 362

Medica France Clinique Psychiatrique du Golferue Gaou83310 COGOLIN04 94 17 70 00 www.medica-france.fr

Polyclinique les Fleursquart Quiez83190 OLLIOULESN° spécial : 0 826 30 88 00 www.cliniquelesfleurs.fr

Polyclinique Notre-Dameav Pierre Brossolette83300 DRAGUIGNANN° spécial : 0 826 399 925

Centre de dialyse Diaverum343 av Pierre Brossolette83300 DRAGUIGNAN04 98 10 68 68 www.diaverum.com

Centre de Nephrologie les Fleurs Polyclinique Les Fleurs 332 av Frédéric Mistral83190 OLLIOULESN° spécial : 0 826 30 88 00 www.cliniquelesfleurs.fr

C.E.R.S (Centre Européen de Rééducation du Sportif)1314 rte Corniche83700 SAINT RAPHAËL04 94 19 70 50 www.cers.org

Clinea Clinique Héliades Santé Affiliée40 r Roland Garros83600 FREJUSN° spécial : 0 826 10 84 20 www.orpea.com

Clinea Clinique la Chenevière Affiliéechem Moulin83440 CALLIANN° spécial : 0 826 96 00 12 www.orpea.com

Clinea Clinique La Salvate Affiliée1033 rte Général de Gaulle83200 REVEST LES EAUX (LE)04 94 98 90 01 www.orpea.com

Clinea Clinique L’Arthémise AffiliéeCD 46 Les Favières83200 TOULON04 94 27 24 67 www.orpea.com Clinea Clinique Les Oliviers Affiliéequart Ray83830 CALLASN° spécial : 0 826 96 38 39 www.orpea.com

Clinea Institut Hélio Marin de la Côte d’Azur Affiliée590 bd MarineBP 8183407 HYERES CEDEX04 94 12 12 12 www.orpea.com

Clinique Chirurgicale du Golfe de Saint TropezRD 559 Rond point du General Diego Brosset83580 GASSIN04 98 12 70 00 www.clinique-saint-tropez.fr

Clinique du Cap d’Or1361 av Anciens Combat Indochine83500 LA SEYNE SUR MERN° spécial : 0 826 30 62 62 www.cliniqueducapdor.fr

Clinique Les LauriersChirurgie, chirurgie ambulatoire147 r Jean Giono83600 FREJUS04 94 51 22 80 www.cliniqueleslauriers.info

Clinique Les Trois Sollieslot Hauts Guirans83210 SOLLIES TOUCAS04 94 13 01 00

www.groupe-saint-george.org

Clinique Mutualiste Malartic203 chem de Faveyrolles83196 OLLIOULES CEDEX04 94 89 89 89 www.cliniquemalartic.fr

Clinique Saint Michelpl 4 Septembre83100 TOULONN° spécial : 0 826 30 18 18 www.cliniquesaintmichel.fr Clinique Saint Vincentr Belvédère83000 TOULONN° spécial : 0 826 30 96 96 www.cliniquesaintvincent.fr Le Noble Age Institut Médicalisé de Mar Vivochem de Mar Vivo Aux Deux Chênes BP 23283511 LA SEYNE SUR MER CEDEX04 94 11 12 22 www.lenobleage.fr

Le Noble Age Les Oiseaux 169 av Prado83110 SANARY SUR MER04 94 88 51 00 www.lesoiseaux.fr

Les Bois Saint Joseph Médica France Centre de Post Cure Rue Cinsault83260 LA CRAU04 94 12 51 51 www.medica-france.fr

A.D.I.V.Aimp Valérane83320 CARQUEIRANNE04 94 12 24 12

Adiva1508 rte dép 55983580 GASSIN04 94 43 39 03

LES CLINIQuES

posez-voUs les bonnes qUestions... compte tenU de la grande diversité de l’offre, il convient en toUt premier lieU, de préciser les critères sUr lesqUels s’appUiera votre recherche.

Répertoire des établissements

Page 67: Guide Sante & Bien Etre 2012

I S A N T É E T B I E N - Ê T R E I I n f o s S a n t é 2 0 1 2 / 2 0 1 363

Santé & Bien-être

A.D.I.V.A (Association de Dialyse Varoise)Centre Hospitalier av Jules Renard83500 LA SEYNE SUR MER04 94 87 83 78

AVODD (Assoc Varoise pour Organisation de la Dialyse à Domicile)Centre Jean Hamburger 579 r Mar Juin 83400 HYERES04 94 12 83 83

Centre Diététique Spécialisé Saint Jean1 Bis av Alouettes83320 CARQUEIRANNE04 94 12 34 60

Centre Hémodialyse Serena345 av Brossolette83300 DRAGUIGNAN04 98 10 68 68

Centre Hospitalier Général Jean Marcelr Hôpital83170 BRIGNOLES04 94 72 66 54

Centre Hospitalier Intercommunal Fréjus Saint Raphaël240 av St Lambert83600 FREJUS04 94 40 20 79

Clinéachem Moulins83440 CALLIAN04 94 39 17 00

Clinea Chateau De Montvert Affiliée560 rte Nationale83640 SAINT ZACHARIEN° spécial : 0 826 96 62 00

Clinique Chirurgicale Saint Roch99 av St Roch83000 TOULON04 94 92 50 60

Clinique des Esperels Saint Ponsquart Cornueredes83830 FIGANIERES04 98 10 38 00

Clinique du Coudonav Coupiane83160 LA VALETTE DU VAR04 94 61 76 00

Clinique Du Sein1 av Georges Bizet83000 TOULONN° spécial : 0 800 083 000

Clinique Notre Dame de la Merci215 av Mar Lyautey83700 SAINT RAPHAEL04 98 11 00 00

Clinique Psychiatrique du Golfe (Médica France)r Vignerons83310 COGOLIN04 94 17 70 00 Clinique Saint Jean47 av Georges Bizet83100 TOULONN° spécial : 0 826 00 44 83 www.clinique-st-jean.fr

Clinique Sainte Marguerite14 Bis av Victoria83400 HYERES04 94 12 55 67

Clinique Ste Margueriteav Alexis Godillot83400 HYERES04 94 12 55 67 www.clinique-sainte-marguerite.fr

Répertoire des établissements

Page 68: Guide Sante & Bien Etre 2012

I S A N T É E T B I E N - Ê T R E I I n f o s S a n t é 2 0 1 2 / 2 0 1 364

LES CENTRES DE RÉÉDuCATION

ce sont des lieUx qUi offrent aUx personnes ayant des incapacités, des moyens de récU-pérer leUrs capacités maximales oU de pallier dU mieUx possible leUrs incapacités par Une réédUcation des fonctions lésées.

Clinea Institut Hélio Marin de la Côte d’Azur Affiliée590 bd Marine BP 8183407 HYERES CEDEX04 94 12 12 12 www.orpea.com

Hôtel Restaurant Ibis Thalassa Hyeres Plageall de la Mer la Capte83400 HYERES04 94 58 00 94 www.ibishotel.com

Le Noble Age Institut Médicalisé de Mar Vivochem de Mar Vivo Aux Deux Chênes BP 23283511 LA SEYNE SUR MER CEDEX04 94 11 12 22 www.lenobleage.fr

Le Noble Age Les Oiseaux (AJO)169 av Prado83110 SANARY SUR MER04 94 88 51 00 www.lesoiseaux.fr

Centre de Gériatrie Beauséjour1 av du 15ème Corps83400 HYERES04 94 00 00 00 www.cos-beausejour.com C.E.R.S (Centre Européen deRééducation du Sportif)1314 rte Corniche83700 SAINT RAPHAËL04 94 19 70 50 www.cers.org

Clinea Clinique Héliades Santé Affiliée40 r Roland Garros83600 FREJUSN° spécial : 0 826 10 84 20 www.orpea.com

Clinea Clinique la Chenevière Affiliéechem Moulin83440 CALLIANN° spécial : 0 826 96 00 12 www.orpea.com

Clinea Clinique Les Oliviers Affiliéequart du Ray83830 CALLASN° spécial : 0 826 96 38 39 www.orpea.com

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Etablissement de Santé Jean Lachenaud374 av Jean Lachenaud83600 FREJUS04 94 17 68 00 www.ajl-asso.fr

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Centre de Gérontologie Saint Françoisrte Marseille83860 NANS LES PINS04 94 72 81 16

Centre de Pneumologie et de Réeducation Respiratoire de la Sainte Baumequart Orge83860 NANS LES PINS04 94 37 07 37

Centre Hospitalier Henry Guérin Psychiatriequart Barnenq83390 PIERREFEU DU VAR04 94 48 11 62

Répertoire des établissements

Page 69: Guide Sante & Bien Etre 2012

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