Griffonnier020 12janvier2004

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No 20 • 12 janvier 2005 • 3000 copies • gratuit • [email protected] Nouveau système de récupération La résolution de l’UQAC Conférence et film sur le Tibet Entrevue avec Kalsang Dolma page 3 Conférence et film sur le Tibet Entrevue avec Kalsang Dolma page 3

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No 20 • 12 janvier 2005 • 3000 copies • gratui t • journal_gr i f [email protected]

Nouveau système de récupération

La résolution de l’UQAC

Conférence et film sur le Tibet

Entrevue avec Kalsang Dolma page 3

Conférence et film sur le Tibet

Entrevue avec Kalsang Dolma page 3

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Aide financière: les actions

Pour faire suite aux actions entreprises à la session d'automne concernant l'aide finan-cière aux études et de manière solidaire avec l'ensemble des associations généralesétudiantes universitaires membres de la FEUQ, MAGE-UQAC organise une manifes-tation devant les bureaux de Madame Françoise Gauthier, le 18 janvier prochain.Rendez-vous à 9h45 sortie Est du pavillon Principal. Heure de départ : 10h. Retour àl'UQAC prévu à 14h30.

Plus de 60% des étudiants de l'UQAC sont bénéficiaires de l'aide financière aux étudescontre une moyenne provinciale avoisinant les 40%

Madame Gauthier, qui donc représentez-vous ?

Ouverture de poste

Assistant(e) de recherche

Calendrier des partys

Janvier 2005

Lundi 10 Génie

Mardi 11 Enseignement secondaire et collégial

Mercredi 12 Travail social

Jeudi 13 Langues modernes et Regroupement des étudiants des études supérieures de 2e et 3e

cycles en administration et comptabilité (REESAC)

Lundi 17 Chimie

Mardi 18 Psychologie

Mercredi 19 Arts

Jeudi 20 Regroupement des étudiants diplômés en Sciences de la terre 2e et 3e cycles (RÉDIST)

Lundi 24 Activité physique et plein air

Mardi 25 Association des étudiants de 2e et 3e cycles en éducation et psychologie (AE2/3CEP)

Mercredi 26 Sciences politiques

Jeudi 27 Activité physique et plein air

Lundi 31 REESAC

Février 2005

Mardi 1er Association des étudiants en Sciences administratives (AEMSA)

Mercredi 2 RÉDIST

Jeudi 3 Adaptation et intervention sociale

Lundi 7 Intervention sociale

Mardi 8 REESAC

Mercredi 9 Adaptation scolaire

Jeudi 10 Sciences infirmières

Nous offrons un poste d'assistant(e) derecherche pour la réalisation d'une étude sur lesbesoins des usagers du transport en commun auSaguenay. Les conditions salariales respectent cellesde l'institution (voir taux selon cycle d'étude). Lavaleur du mandat avoisine les 1 200$. Ce mandatdoit être réalisé entre janvier et avril 2005. Le

mandat prévoit 10 entrevues semi-dirigées, ladistribution de 30 questionnaires en pré-sondage etde 300 autres en sondage (distribution dans lesclasses au début des cours et dans les autobus). Lespersonnes intéressées sont priées de contacterMartin Filion (545-5011, poste 2083) ou simple-ment passer au bureau de MAGE (P0-5300-2).

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le griffonnier • journal étudiant de l’université du québec à chicoutim

i • mercredi le 12 janvier 2005 • 3

U Q A C

JE SUIS ICI.

VACANCES OU AFFAIRES,

JE VOYAGERAITOUJOURS

EN PREMIÈRE.Je désire être là où ça bouge et participer aux décisions

cruciales pour l’avenir de mon entreprise. J’ai un bon niveau de tolérance au risque et je veux travailler

dans une équipe ouverte au changement. Je veux proposer de nouvelles idées et de nouvelles façons

de faire. Je m’intéresse aux chiffres comme source d’information, mais surtout comme moyen de faire grandir

mon organisation. Je suis CMA.

C’EST MON AVENIRwww.cma-quebec.org

Agente de développement:Karyne GagnéRédacteur en chef: Nicolas FortinConception graphique, montage et pré-presse: Anne-Édith RiouxPublicité: Karyne Gagné, Vincent DallaireCorrection: Sophie Birri, Francis Plourde,

Jean TalbotPhotographie: Karyne GagnéIllustration: Emmanuel Rousseau,

André-Philippe Côté (une)Collaborateurs: Pierre Beauregard,Gervais Bouchard, Félix-Antoine Carignan,

DÉES Éco-Conseil, Mireille G.-Langlais,Samuel Lemieux, Emmanuel Rousseau

Impression: Imprimerie Le RéveilTirage: 3000 copies

Le Griffonnier ne se tient pas responsablede la page du MAGE-UQAC dont le

contenu relève entièrement de celui-ci.Les propos contenus dans chaque article

n’engagent que leurs auteurs.Dépôt légal-

Bibliothèque Nationale du CanadaBibliothèque Nationale du Québec

Le Griffonnier est conçu par lesCommunications Étudiantes

Universitaires de Chicoutimi (CEUC)

Prochaine parution:Mercredi 9 février

Tombée des textes:Mercredi 2 février, 17h

555, boulevard de l’UniversitéChicoutimi (Québec) G7H 2B1Local P0-5110, Casier #25Téléphone: (418) 545-5011 poste 2011Télécopieur: (418) 545-5336Courriel: [email protected]

Le Tibet a besoin du monde...

Le monde abesoin du Tibet

Le 6 décembre dernier, le Griffonnier, l’UQAC et leCiné-Club de Chicoutimi recevaient Kalsang Dolma,québécoise d’origine tibétaine, pour une série de bellesrencontres et la projection du film Ce qu’il reste denous. Cela a ouvert les yeux à beaucoup de monde sur laréalité vécue par les Tibétains et sur les actionspossibles à poser pour que ça change pour le mieux.Chacun de nous peut faire la différence…

Lors de sa visite, KalsangDolma est venu nous «brasser»dans notre petit confort douillet.Elle nous a fait réfléchir sur lesréalités et les actions possibles àfaire pour aider un peuple vic-time d’un génocide incroyable àl’autre bout de la planète. Le Grif-fonnier a assisté à deux rencon-tres qu’elle a eu avec le public et aréalisé une entrevue avec elle. Envoici les éléments marquants.

Kalsang Dolma admet que lesTibétains, là-bas, sont dans unesituation difficile. Parfois, unemême famille sera divisée. Cer-tains membres de la familletravaillent pour le gouvernementchinois, ça complique les choses.Par contre, certains sont actifs,posant des affiches la nuit etcontinuent à donner leur viepour cette cause. Cependant, letemps fait son œuvre et certainsoublient qui ils sont et pourquoiils sont là.

Mario Bilodeau, directeur duprogramme Plein air et tourismed’aventure de l’UQAC accom-pagnait Kalsang Dolma lors deson passage. Celui-ci est trèstouché par ce que vit le peuple duTibet qu’il a eu le plaisir de visiterà deux reprises. À la fin de lajournée, M. Bilodeau m’indiquaitqu’il allait lui aussi écrire unelettre, à l’invitation de KalsangDolma, pour faire sa part dans cecombat contre ce génocide. «Tupeux l’écrire que j’ai dis que c’é-tait un génocide, parce que c’estvraiment ça», a déclaré M.Bilodeau.

Avec toute sa notoriété, le dalaï-lama ne pourrait-il pas en faireplus? Il est le chef spirituel des Ti-bétains et le chef du gouvernement

en exil du Tibet, explique MmeDolma, mais avant tout, il est le«Bouddha de la compassion».Partout où il va, il parle de troissujets par ordre d’importance: lepremier est la «non-violence et lapaix», le second, le «Bouddhisme»et le troisième, la «cause tibétaine».

On sent beaucoup de respect dela part de Kalsang Dolma pourcet homme important. Elle dira,

lors d’un échange avec lepublic: «Ce film est mafaçon, non-violente, devous partager ce qui sepasse avec les Tibétains etde faire action.»

Des actions concrètes

Redevenir un pays auto-nome serait la meilleuredes choses, souligne Kal-

sang Dolma, mais un objectifplus réaliste serait d’obtenir lestatut de «région autonome» aumême titre que Hong Kong, etainsi, regagner une liberté reli-gieuse et spirituelle si importantepour ce peuple isolé.

Le gouvernement tibétain en exila approché plusieurs gouverne-ments pour leur demander dedevenir médiateur entre eux et legouvernement chinois. Le Cana-da a d’ailleurs été approché pourcette mission. Les canadiens, enfaisant pression sur leurs repré-sentants, en écrivant une lettrepar exemple, peuvent éventuel-lement obtenir des changements.Très bien renseignée, elle apprendque tous les députés, lorsqu’ils re-çoivent 20 lettres portant sur unmême sujet, doivent ouvrir undossier et en faire un suivi. Déjà,lit-on dans un article de La Pressepublié en mai 2004 que plus de160 députés canadiens ont signéune pétition qui demande auCanada de jouer un rôle médiateurentre les gouvernements chinoiset tibétain.

Lors de la réception d’un prix auHollywood Film Festival, KalsangDolma a déclaré: «Le Tibet n’aplus besoin de plus de sympathie.Le Tibet a besoin de notre action.»

Pierre Beauregard

Oubli de l’existence d’un peuple

Plus d’un demi-siècle de souffrance

Avec la sortie de «Ce qu’il reste de nous», le sort du Tibet refaitlégèrement surface dans l’actualité.

Depuis les années 50, le peuple tibétain subitles assauts sauvages d’une Chine en position deforce: destruction de lieux de culte ou de symbolesnationaux, répressions sanglantes des manifestants,génocide, stérilisation d’une population sans défen-se et envahissement par des colonisateurs. Le pire decette situation est que jamais l’ONU n’est intervenupour remédier à la situation. Le résultat est quemaintenant les tibétains ne sont même plus recon-nus comme peuple et le Tibet n’est officiellementqu’un simple territoire occupé. En réponse à ces viols

du respect hu-main et à l’in-différence despoliticiens: lanon violence,clâmée par led a l a ï - l a m a

depuis l’invasion chinoise. Le peuple résiste tantbien que mal pour survivre, maintenant marginalisésur son propre territoire. Il y a maintenant 25% plusde Chinois que de Tibétains au Tibet!

Les Tibétains continuent donc de prier «pour lebonheur de tout être vivant» comme le veut la phi-losophie bouddhiste. Pour combien de temps étantdonné que la liberté d’expression est interdite et quel’école sous l’administration chinoise ne se faitqu’en chinois? Cette survivance silencieuse ne faitmalheureusement pas les grands titres face auxkamikazes palestiniens, aux incursions israéliennes,aux bombes des rebelles irakiens, ripostes américai-nes, etc. Pas de morts en vue, pas d’histoires... bienque l’occupation chinoise ait fait près de 1,2 mil-lions de morts. Quand est-ce que les citoyens de laplanète vont se réveiller?

Félix-Antoine Carignan

À proposde la une

Baptiste est un clochard qui habitedans une poubelle. C'est un garsqui pense et imagine beaucoup, onpourrait dire qu'il est un clochardphilosophe! On le voit souvent par-ler avec les étoiles, la pluie... Et ilest, même s'il vit dans une poubelle,très écologique. Baptiste a égale-ment une amie (Sophie) qui, elleaussi, vit dans une poubelle. Il y aégalement Bali, le chien de Baptis-te qui a le même problème que lesvrais clochard en général: soitl'alcool! Mais le vrai problème deBaptiste, c'est qu'il cherche unmonde où il n'y a pas de travail!Pauvre lui... 6 albums de Baptistesont parus: Baptiste le clochard,Baptiste et Bali, Le monde deBaptiste, Allô Baptiste, SacréBaptiste ! et Bon voyage Baptiste!

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Un contexte favorableDes changements ont lieu en ce moment à l’UQAC. Soyez attentifs, ces changementsaffecteront sûrement votre façon d’être étudiant à l’université. Voici pourquoi.

En septembre 2000, le gouvernement québécoisa adopté la politique de gestion des matièresrésiduelles 1998-2008 qui demande aux munici-palités et aux citoyens de réduire leurs déchetsenfouis de 65%. Le 1er novembre 2004, la ville deSaguenay a adopté son Plan de Gestion des MatièresRésiduelles qui inclut dorénavant les institutions.Ce plan de gestion sera applicable à partir de 2006.Le plan de la ville de Saguenay, comme celui des

autres municipalités au Québec, doit aussi rencontrerles objectifs de réduction de la politique québécoise.

C’est donc un mouvement à travers le Québec quiest entrepris aujourd’hui dans le but d’améliorer lesconditions environnementales dans lesquelles nousvivons et vivront ceux et celles qui nous suivent. Celaveut dire qu’en tant que citoyen, vous serez appelé àaméliorer vos habitudes de disposition des déchets.

Préparez-vous maintenant!

En tant qu’établissement d’ensei-gnement supérieur et de recher-che, l’UQAC a décidé de prendreles devants dans la région pouratteindre ces objectifs et elle abesoin de la participation desétudiants et du personnel pourrencontrer ses nouvelles réso-lutions de l’année 2005.

L’UQAC passe à l’action, elle décide de réduire laquantité de kilos de déchets envoyés au site d’enfouis-sement. Participez à sa cure minceur et soyez actif(ve)vous aussi.

Dès janvier 2005, selon sonplan de gestion des matièresrésiduelles, l’UQAC met en placeplus de 65 îlots disponibles pourtrier les matières résiduelles. Ladistribution de ces îlots a été dé-terminée en fonction d’une carac-térisation des déchets effectuéeen octobre 2004 par des étudiantsmembres du comité de l’environ-nement de l’UQAC. Cette opéra-tion a été supervisée par la Chairede recherche et d’intervention enÉco-conseil.

La distribution des îlots est opti-misée. Elle est conçue en fonctionde la quantité de déchets produitspar secteur ainsi que du dépla-cement nécessaire pour se rendreà chaque îlot. On les retrouveainsi sur l’ensemble des étages dupavillon principal ainsi que dupavillon des Humanités. Chaqueîlot comporte trois voies c’est-à-dire deux voies de recyclage(papier-carton et plastique-verre-métal) ainsi qu’une voie pour les

déchets ultimes. Un îlot de récu-pération pour les matières pu-trescibles à la cafétéria sera bien-tôt disponible. Surveillez-le.

Plus qu’un projet environnemen-tal, voici un bel exemple de déve-loppement durable pour plusieursraisons. Ces îlots ont été fabri-qués par le Centre de formationen entreprise de récupération(CFER) du Saguenay, une entre-prise d’économie sociale dont lesparticipants sont souvent soit enréinsertion sociale, soit en désin-toxication ou encore en stage deformation professionnelle.

Dans les îlots, on retrouve les an-ciennes poubelles récupérées dansles bureaux et les classes. Le boisutilisé, du peuplier et du MDF, aété cueilli et transformé dans larégion. Tout cela permettra à l’u-niversité d’économiser sur le coûtd’enlèvement et d’enfouissementdes déchets tout en favorisant ladiminution des déchets enfouis.

Après lesîlots

Qu’advient-il des matièresrésiduelles que vousdéposez dans les îlots?

Sachez que le métal est re-cueilli par un ferrailleur de larégion. Le papier, le verre, lecarton et le plastique non-consi-gné ainsi que les papiers confi-dentiels sont récupérés et traitéspar CODERR-02, une entreprised’économie sociale de la région.Les canettes d’aluminium et lesbouteilles de plastique consi-gnées sont récupérées dans lescompacteurs à consigne.

Les fonds ainsi recueillis servi-ront entre autres au financementdes différentes phases du SGE.Finalement, les matières putres-cibles déposées dans les îlots à lacafétéria sont recueillies parGazon Savard pour faire ducompostage industriel.

D’ailleurs, la récupération desmatières résiduelles ne constitueque la première phase du systèmede gestion environnementale del’UQAC. Une fois le tri, lerecyclage et la valorisation desdéchets bien en place, plusieursautres étapes sont prévues.

La réduction à la source parexemple, en substituant unematière indésirable par une autre(ex: les verres en styromousse pardes tasses durables), dans le butde certifier l’université Ici onRecycle! de Recyc-Québec, unecertification de gestion adéquatedes matières résiduelles.

La récupération à l’UQAC

Éco-Conseillers en formation

Une partie de la grande équipe qui a travaillé sur le projet: GaétaneMauger, Caroline simard, Ian Dessureault, Vincent Jacob,

Abdou Ali-Abdallah, Jacques Blanchet

Perdre des kilos enutilisant les îlots

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Le pire c’est que l’utilisateur moyen n’en n’est pasvraiment informé parce que bien souvent se prému-nir contre les attaques des pirates requiert une bon-ne connaissance de l’informatique. Vous êtes proba-blement infecté par un virus et vous ne le savez pas.D’une manière aveugle, nous utilisons ce média sansréellement se soucier de la réalité se cachant dans lesentrailles les plus sombres de cette gigantesque toile.Victime de son propre succès, Internet est devenuune immense foire incontrôlable dont le réseau crou-le sous un épouvantable fardeau de délinquance in-formatique. Une délinquance principalement pous-sée par le capital et la soif d’une gloire dérisoire.

Selon MessageLabs, une firme filtrant la messagerieélectronique partout dans le monde, 66,7% des cour-riers qu’elle a filtré ont été identifiés comme indési-rables. On aurait également décelé que 1/16 des mes-sages transigeant sur le réseau seraient infectés parun virus. Les virus informatiques sont en fait despetits programmes qui se répliquent eux-mêmes.Internet est le lieu de prédilection pour la propa-gation de virus puisqu’il est une mégalopole infor-matique. Le blâme revient aux fabricants de logicielset de systèmes d’exploitation connus qui ne font pra-tiquement rien pour restreindre cette propagation.

En novembre 2004, le site The Register a été victimed’un virus qui infectait les visiteurs d’une publicité.En effet, en raison de nombreuses failles dans les

systèmes informatiques, le sim-ple fait de naviguer sur Internetavec Internet Explorer ou d’ouvrir un courriel libé-rait le virus dans votre ordinateur. Depuis quelquesannées est apparu une menace à la vie privée présenteexclusivement sur Internet. Certaines compagnies sespécialisent dans l’étude de votre comportement surInternet. Elles utilisent des espiogiciels (spyware). Cesprogrammes s’installent à votre insu dans votre ordi-nateur lors de l’installation de produits alléchants.La version gratuite de Kazaa et une large gammed’outils de navigation tel les barres de navigationdans votre navigateur Web dégradent littéralementvotre système, vous embêtent continuellement avecdes fenêtres publicitaires et parfois détruisent lecontenu de ce que vous voyez sur Internet.

Phillipe Breton, chercheur au CNRS, affirme qu’In-ternet était supposé être la source d’information glo-balement démocratisée, contenant le savoir univer-sel du monde. Malheureusement, la distribution decette connaissance est encore plutôt mal partagée et lesystème n’est pas exploité avec bonne foi. Bref, Inter-net ressemble au pâle reflet de notre société, ce conti-nent informatique câblé ou règne une forme deliberté plus ou moins absolue, sans réelle législationglobale et encline à devenir la nouvelle tour deBabel. Si rien n’est fait pour améliorer sa condition,les gros joueurs du Web le délaisseront et Internet nesera plus qu’une épave. Confiant, vous dites?

s o c i é t éle g

riffonnier • journal étudiant de l’université du québec à chicoutimi • m

ercredi le 12 janvier 2005 • 5

Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQAC

Le Griffonnierremercie ses partenaires

CEUC

Nouvelle création

Voici notre tout dernier bébé,l’identification visuelle de laCEUC. Conçue et réalisée par lagraphiste Anne-Édith Rioux, celogo représente bien, avec sonvert lumineux, le dynamisme desCommunications Étudiantes Uni-versitaires de Chicoutimi (CEUC).Les deux «C» de CEUC formentun œil avec un regard vers l’avant,et les points, en plus de repré-senter la transmission d’informa-tion, est un lien avec sa division leGriffonnier.

La CEUC est un organisme à butnon lucratif dont la mission estd’assurer les communications dumilieu universitaire et d’offrir lapossibilité aux étudiants d’ac-quérir de l’expérience dans diversdomaines comme le journalisme,la radio et d’autres domainesconnexes au monde des commu-nications. Cet organisme existedepuis 2002 sous les divisions dujournal Le Griffonnier et de laradio étudiante CAJT.

Karyne Gagné

Chronique Internet

Vous avez confiance?Votre présence sur Internet n’a jamais été aussi convoitée qu’aujour-d’hui. Vous êtes dorénavant une source de revenu pour une poignéede pirates qui empoisonnent la vie de millions d’utilisateurs.

Emmanuel Rousseau

Délégation des Jeux de Génie

Enfin…de retour!Même si ce n'était pas une surprise, encoreune fois l'équipe de «Génie Info» a très bienperformé, s'assurant la première place. Lasurprise est plutôt arrivée lorsque le comman-ditaire principal, Ubisoft, a déclaré ceci: «Avantde nommer les vainqueurs, la compagnie Ubisofttient à mentionner qu'elle donnera à chacun desmembres de l'équipe gagnante, une consoleGame Cube, tous les jeux sur cette dernière,plusieurs jeux d'ordinateur ainsi que desvêtements.» Wooow!

Quant à l'Engin-souris, malgré tous les efforts, lamachine créée par des étudiants de l'UQAC n'amalheureusement pas parcouru la totalité dulabyrinthe. Mais elle en a fait une belle partieavec deux trois petites tapes.

La dernière surprise fut la position de ladélégation lors de la compilation des pointages,le bilan quoi! Neuvième et bon dernier. Nous lesommes par peu, mais nous devrons l'accepter.Est-ce que le fait que tout le monde se lève tousles matins aurait pu changer la mise?

En mon nom personnel je remercie la totalité dema délégation pour cette belle semaine des Jeuxde Génie!

Samuel Lemieux, chef de délégation pour les Jeux de Génie 2005

Les Jeux de Génieremercient leurs partenaires pour leur support

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Nul besoin de vous dire quecette décision ne fait pas l’una-nimité. La semaine dernière, huitcommissaires au mariage démis-sionnaient en Saskatchewan et lesconservateurs multiplient lessorties publiques pour crier leuropposition.

Au moment où le Québec recon-naît les unions entre conjoints dumême sexe, la Cour d’appelrejette la requête de la Liguecatholique pour les droits del’homme qui défend la définitiontraditionnelle du mariage.

En 1977, l’Assemblée Nationalemodifie la Charte des droits etlibertés pour justement inclurel’orientation sexuelle commemotif discriminatoire. L’interdic-tion de se marier pour deuxpersonnes de même sexe et laprivation d’accéder aux privilègesque cette union pourrait leurconférer ne sont-elles pas discri-minatoires?

Je crois que le noyau des discus-sions devrait s’orienter sur cethème plutôt que celui de la«différence», des croyances reli-gieuses ou du lobbying gai. Laliberté de religion et les droitshumains sont deux choses tota-lement différentes et je respecte

les Églises quis’opposent à ces unions, c’est toutà fait légitime de leur part.

Le Canada se veut avant-gardistesur cette question. Un sondageCRIC démontre que 57% desCanadiens sont favorables à lareconnaissance de ces unions.Nous serons le troisième pays àreconnaître le mariage gai, aprèsles Pays-Bas et la Belgique. Dansle pays de la liberté, où, soit dit enpassant, la sodomie et les vibra-teurs sont interdits dans troisétats et des centaines de comtés,Bush veut amender la constitu-tion pour y interdire le mariagegai. Le Massachusetts est jusqu’àmaintenant le seul état où l’unionde personnes de même sexe estreconnue. Quand on se compare,on se console!

Comme il n’y a aucun regroupe-ment voué à cette cause à l’UQAC,je n’ai pu recueillir les commen-taires de cette clientèle. Toujoursselon les statistiques, il seraitnormal de croire que 30% de laclientèle universitaire saguené-enne est soit bi ou homosexuelle.

Dans les sept provinces et leterritoire qui reconnaissent déjàles unions homosexuelles, 2500couples ont uni leur destinée.

Selon moi, une mode malsaine s’installe de façongrave dans notre beau petit monde. Celle de donnerla charité quand cela nous convient et quand celanous fait bien paraître. Présentement, il y a suren-chère mondiale à savoir quel pays, quel organismehumanitaire ou quelle personnalité donnera le plusaux victimes des grosses vagues de l’océan Indien.

C’est à la mode, donc, il faut être dans ce train là,sinon, gare à la réputation que les médias feront devous. Mais après, lorsque la mode sera passée, on lesaura aidés certes, mais ils resteront dans la mêmemerde qu’ils étaient avant. La charité c’est bien, maisoù est le vrai partage, la vraie distribution de larichesse?

Ici et là, on voit poindre des voix qui indiquent queles montants d’argent amassés sont largementsuffisants. Dans Le Quotidien du 5 janvier dernier,on pouvait y lire que Médecins Sans Frontières avaitdécidé de suspendre sa collecte pour les victimes duTsunami, estimant que le mon-tant amassé (65 millions $ CAN)était suffisant pour leurs opéra-tions. Je pose une simple ques-tion: Pourquoi autant de généro-sité pour cette catastrophe alorsque d’autres événements passentpresque inaperçus?

Vous voulez des exemples? LeTibet, génocide inacceptable de-puis plus de 50 ans, 1,2 million demorts. La crise humanitaire auDarfour et la crise en Républiquedémocratique du Congo pour nenommer que ceux-là.

Répartition de la richesse

Nous, dans les pays riches, nousdonnons la charité quand cela faitnotre affaire. Jamais il n’est ques-tion d’un partage différent, d’unerépartition réelle de la richesse.Vous connaissez les chiffres: 20%de la population mondiale con-somme 80% de tout ce qui estproduit sur la planète.

Sur une autre échelle, regardezseulement notre belle société «ca-nayenne». Les mêmes symptômessont visibles. On donne aux pau-vres quand ça nous tente, maisn’allez pas parler d’augmenter lesimpôts pour que la richesse soitdistribuée de façon plus équitable,comme un revenu de citoyennetépar exemple. Une idée défenduepar plusieurs dont Michel Char-trand, un de nos vieux revendi-cateurs québécois. Un revenu mi-nimum garantie et décent pourtous qui ferait en sorte que tout lemonde pourrait mener une viedigne.

Revenons à nos vagues mor-telles. Au-delà des gros montantsd’argent promis de partout, une autre crainte pointeà l’horizon: Est-ce que l’argent sera réellementversé? Lors du tremblement de terre du 26 décembre2003, en Iran, un milliard de dollars avait été promisde partout. Le gouvernement iranien dit n’avoir reçuque 17,5 millions de dollars. Le secrétaire généraldes Nations unies, Kofi Annan, se dit inquiet derevoir le même scénario alors que, cette fois-ci, dixmilliards de dollars d’aide sont promis.

Et au Canada, nous nous félicitons bien rapidementde l’aide que nous envoyons là-bas. Grand paysriche de la terre, notre aide pourrait être encore plusgrande et plus permanente. Et ne parlons même pasdes États-Unis qui dépensent un milliard par jourseulement en Irak. Pour ma part, je vais prendre dutemps pour écrire à mes députés au sujet du Tibet etje vais chercher une autre cause moins à la modepour donner.

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Mariages gais

Un autre pas dans la bonne direction

Le 9 décembre dernier, la Cour suprêmea tranché. Le mariage entre conjoints demême sexe est légal. Le gouvernementMartin doit déposer ce mois-ci un projetde loi qui permettrait aux homosexuelsde s’unir civilement.

Nicolas Fortin

Chronique pour changer le monde

Tsunami ou mode de la charité?Un pays pauvre par ici, une catastrophe par là, une sécheresse plusloin… Où donner? Quoi partager? Leur venir en aide, évidemment.Mais surtout bien paraître, être à la mode et donner juste assez, sansêtre dérangé dans notre confort. C’est la «mode de la charité» quigagne du terrain.

Pierre Beauregard

Maladie de l’année...

Téléphone: (418) 654-2500 | Sans frais: 1 877 326-5762 www.inrs.ca

La science en ACTION pour un monde en ÉVOLUTION

Emplois d’étéde 1er cycle

en rechercheCONCOURS 2005

Si vous avez complété une 2e année d’études dans un

programme de 1er cycle en sciences naturelles, en génie

ou en sciences de la santé, l’INRS vous offre la

possibilité d’occuper un emploi d’été en recherche dans

l’un ou l’autre des domaines suivants : eau, terre et

environnement; énergie, matériaux et télécommunications;

santé humaine, animale et environnementale.

Date limite du concours : 11 février 2005

Critères d’inscription, modalités d’application du concours

et information sont disponibles sur le site Web de l’INRS.

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Le 29 novembre 2004, laCommission scolaire Des Rives-du-Saguanay et la polyvalenteDominique-Racine annonçaientqu’elles s’associaient aux produc-tions Caravane Films pour la misesur pied d’un tout nouveau profilen cinéma dans le cadre duprogramme Sport-Arts-Études.

Cette initiative permettra ainsi, àpartir de l’automne 2005, auxélèves des deux cycles du secon-daire de bénéficier de 450 heuresde cours dans cette discipline.L’idée d’ajouter un volet cinéma àce programme est d’autant plus in-téressante qu’elle semble la pre-mière dans la province.

«Il existe un programme d’unecentaine d’heures d’initiation aucinéma à Rimouski, mais c’est lapremière fois qu’un projet d’unetelle envergure est offert à desélèves du secondaire» expliqueJulie Dufresne, directrice généralede Caravane Films.

Chaque élève, qu’il soit de secon-daire I à V, pourra prendre contactet approfondir ses connaissancesdans le domaine du cinéma enéchangeant avec des artisansinvités et, bien sûr, en mettant lamain à la pâte cinématographique.

Le programmeest ouvert à tousceux qui visentune carrière encom mu n i c a -tion, du journaliste en herbe auproducteur plus ambitieux. «Lescours que nous offrirons couvrirontun large éventail de ce que propo-sent les métiers liés au cinéma. Cescours formeront un pont que nousvoulons solide avec les études subsé-quentes», souligne Mme Dufresne.

Des personnes ressources d’ATMet de l’UQAC ont été mis à contri-bution pour l’élaboration et la misesur pied du profil. On évalue quel’impact sur les inscriptions desoptions en cinéma des quatre cé-geps de la région et de l’universitépourrait être intéressant. En fait,depuis 2000, le baccalauréat inter-disciplinaire en art a connu unehausse de sa clientèle de l’ordre de12 à 15% par année. Cet accrois-sement est dû en grande partie àune augmentation des étudiants encheminement cinéma. Le festival«Regard sur le court métrage auSaguenay», dont Caravane Filmsest le promoteur, est l’un desfacteurs importants de cette aug-mentation. Les intéressés sontpriés de consulter le site internet:www.caravane.tv

Da Vinci code de Dan Brown s’est vendu àplus de quatre millions d’exemplaires dans plus de35 pays. Il s’agit de son quatrième roman. M.Brown n’a pas toujours été un auteur à succès. Il adéjà enseigné l’anglais et l’histoire de l’art. Ce doitêtre pour cette raison que son roman fait référenceaux œuvres du peintre Léonard de Vinci.

Il n’est pas nécessaire d’êtreun spécialiste en art pourapprécier le roman, tout esttrès bien expliqué au fil del’histoire. Par contre, ce quipeut être parfois désagré-able, c’est lorsque l’on ajamais vu l’œuvre dont il estquestion. Comme ce sont desœuvres très célèbres, vous

pouvez les retrouver sur Internet, dans desencyclopédies ou dans des dictionnaires, mais cen’est pas indispensable pour comprendre.

L’histoire débute à Paris. Robert Langdon, un émi-nent spécialiste en symbologie, est demandéd’urgence au Louvre où le corps du conservateur,Jacques Saunière, vient d’être retrouvé. Il a étéassassiné. Avant de mourir, l’homme a laisséd’étranges symboles qui seront les premiers d’unelongue série. Langdon rencontre alors SophieNeveu, une cryptologue de la police, la petite-fillede Saunière. Ensemble, ils devront déchiffrer tousles indices judicieusement concoctés par le vieilhomme, ce qui les mènera à découvrir un bienétrange secret en lien avec l’Église catholique. Ilsauront sans cesse la police aux trousses en plusd’être épiés par ceux qui ne veulent pas que le

secret soit dévoilé. Ouf!Quelle histoire! Avant tout,c’est un roman qui se littrès bien, on passe d’uncouvert à l’autre sans trop s’en rendre compte.Bien qu’il s’agisse d’un bon roman à suspense, ilest parfois possible de deviner à l’avance ledéroulement de l’histoire. Mais, soyez rassuré, il estdifficile de découvrir le coupable avant la toute fin.

Les personnages sont aussi remplis de surprise. Onne sait jamais vraiment qui travaille dans quelcamp ou pour quels intérêts. On devient mêmefrustré lorsqu’un personnage que l’on croyait hon-nête se retourne subitement contre les deuxprotagonistes et commence à leur nuire dans leurquête. On entre facilement dans l’histoire et onespère sincèrement qu’ils réussiront avant de sefaire prendre ou de se faire carrément tuer.

Ce qui m’a le plus impressionnée, ce sont les énig-mes à résoudre pour découvrir le fameux secret.Elles sont époustouflantes tellement elles sontintelligemment constituées. Rien ne semble avoirété laissé au hasard et tout est expliquè au fur et àmesure. Ce qui surprend le plus dans cettehistoire, c’est le lien avec l’Église catholique etsurtout avec la quête du Graal, la coupe qui auraitcontenu le sang du Christ. Il s’agit d’un quêtereligieuse très spéciale et, si vous voulez en savoirplus, j’ai déniché une sorte de petit lexique enrapport avec le roman, Le code Da Vinci décrypté.Ce n’est pas une référence officielle mais le livre seconsulte bien et donne des informations supplé-mentaire intéressantes. Bonne lecture!

Cote griffon : ***1/2

le griffonnier • journal étudiant de l’université du québec à chicoutim

i • mercredi le 12 janvier 2005 • 7

c u l t u r e

Da Vinci code

Un secret bien gardéAttention! Attention! Ce livre écorche les éléments d’une croyanceet pourrait choquer certains lecteurs. Nous préférons vous avertirqu’il s’agit d’abord et avant tout d’un roman de fiction.

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Page 8: Griffonnier020 12janvier2004

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Le concours Idée d'affaires CEE-UQACoffre un premier prix de 750 $ et undeuxième de 250 $ aux étudiants et étu-diantes de l'Université du Québec à Chi-coutimi ou à l'un de ses centres d'étudesdésirant développer et présenter des idéesd'affaires créatives et innovatrices. Unebourse de 500 $ pour les projets provenantd'étudiants des collèges de la région estégalement offerte.

Pour être admissible à ce concours, ilsuffit d'être étudiant à l'UQAC ou à l'undes centres d'études pour les projetsuniversitaires ou encore dans l'un descollèges du Saguenay—Lac-Saint-Jean etne jamais avoir remporté un prix dans lecadre des concours du CEE-UQAC.

L'évaluation finale des projets est faite par un jury indépendant du CEE-UQAC. Deplus, le CEE-UQAC n'apas l'obligation d'attribuer l'ensemble des prix dans le cas où les

projets présentés seraient jugés irrecevables.

Faites vite ! Ce concours se termine le 28 janvier 2005 à 16 hPour renseignements et formulaire :

Mme Myriam Duperré, responsable de projetsTél.: (418) 545-5011 poste 5308 • Téléc.: (418) 545-5041

[email protected] • www.uqac.ca/~ceeuqac

Vous devrez fournir un document en 4exemplaires (maximum de 4 pages) oùl'on y retrouvera :

• Vos coordonnées;• Une introduction;• La pertinence du projet;• Une définition du produit

ou du service;• La clientèle et le territoire visés;• Les avantages concurrentiels (ce qui

vous différencie de la concurrence);• Les retombées du projet.

Le projet doit démontrer qu'il estréalisable à court terme et qu'il répond àun besoin.

Programmation Hiver 2005Midi-conférences Ateliers26 janvier 2005

Les hauts et les bas de la nouvelle entreprise

Conférencier: M. Renaud Grimard, président, Guérin-Grimard Optimisation inc.Heure: 11h45 • Local H1-1050 (Pavillon des humanités, UQAC)

Entrée libre!

23 février 2005

Ma passion: entreprendre

Conférencier: M. Hugues Harvey, président, Harvey IndustriesHeure: 11h45 • Local H1-1050 (Pavillon des humanités, UQAC)

Entrée libre!

23 mars 2005

50e midi-conférence du CEE-UQAC

Conférencier: Invité spécialHeure: 11h45 • Hôtel Le Montagnais • Coût à confirmer

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11 février 2005

La gestion des conflits

Animateur: M. Pierre Deschênes,professeur, UQACHeure: 9 h à 12 h • Coût: 30$Lieu: Hôtel du Jardin, Saint-Félicien

8 avril 2005

La mobilisation et la réussite de l’entreprise

Animateur: M. Pierre Deschênes,professeur, UQACHeure: 9 h à 12 h • Coût: 30$Lieu: P1-7000 (Pavillon principal, UQAC)

Pour des renseignements supplémentaires : Mme Marianne Bolduc, coordonnatrice d’activités,(418) 545-5011 poste [email protected]

Les Jeux du Commerce 2005

remercient tous leurs partenaires pour leur support