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SommaireThéâtre

La vie va où ?Le Recours au ForêtsSous les VisagesOde maritimeMême si c’est faux, c’est vrai

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Musique

Le Pont Sonore BeljuBarry AdamsonDaniel MelingoChralotte etc. & Babx

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Danse

ZeitungComète ComixSolo #2 Fréquences

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Humour

La Ferme des ConcombresEllesCocorico

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Et aussiAteliersRenseignements pratiques

TarifsBuletins d’abonnement

Faites votre programme

L’équipe

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De et par : Michèle Guigon - Coécriture : Susy Firth - Mise en scène : Susy Firth - Collaboration artistique : Anne Artigau - Chansons, musiques : Michèle Guigon - Lumières : Marie Vincent - Plateau : Bruno Arnould

La Vie va où ?De Michèle Guigon

Sam. 5 Sep. 20h30entrée Libreà La maiSon du peupLe

Michèle Guigon mène sa vie comme une (en)quête. L’air de rien, ou d’un accordéon, par

petites touches pleines de lucidité et de poésie, elle s’interroge, seule en scène, et ses questions nous emmènent dans un voyage drôle et bouleversant. Avec cette nouvelle escale, elle déploie des trésors de délicatesse, de subtilité, de drôlerie. Comme au sommet d’un art qu’elle peaufine depuis des an-nées, elle saisit ces brins de vie à pleines dents, tire l’extraordinaire de l’ordinaire, met du soleil dans ses interrogations, ses indignations, ses émotions. Et elle nous fait passer du rire aux larmes. Elle ne cesse de mêler les mots et les notes, le mouvement et la parole, l’image et le son pour des spectacles inclassables et hors des sentiers battus lesquels, par leur souriante réflexion, touchent à l’universel. Une grande part de la vie s’agit de la mort ; c’est in-évitable. La prestation de Michelle Guigon vole bien au-delà de toutes les « façons de parler » de la fin de nous tous. Elle parle de nous, condamnés à vivre… et à pleurer… et à mourir aussi, en attendant mieux.

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Un spectacle de : Jean Lambert-wild, Jean-Luc Therminarias, Michel Onfray, Carolyn Carlson, François Royet - Voix : Fargass Assandé, Stéphane Pelliccia, Elsa Hourcade, Laure Wolf - Danseur : Juha-Pekka Marsalo - Direction : Jean Lambert-wild - Musique : Jean-Luc Therminarias - Texte : Michel Onfray - Chorégraphie : Carolyn Carlson - Images : François Royet - Pictoglyphe : Mark Alsterlind - Mnémographe : Aurélia Marin - Lumières : Renaud Lagier - Conception scénique : Jean Lambert-wild, Thierry Varenne - Costumes : Françoise Luro - Direction technique : Claire Seguin - Son : Christophe Farion - Programmation: Léopold Frey - Régie vidéo : Quentin Descourtis, Julien Delmotte - Storyboard : Patrick Demière - Constructeurs : Patrick Le Mercier, Bruno Banchereau, Patrick Demière, Gérard Lenoir, Hubert Rufin, Serge Tarral - Réalisation des costumes : Antoinette Magny

Le Recours aux FôretsDe Jean Lambert-Wild

Jeu. 28 Jan. 19h30Ven. 29 Jan. 20h30 à La maiSon du peupLe

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Auteur, metteur en scène et directeur de la Comédie de Caen, Jean Lambert-wild poursuit

sa démarche convoquant des artistes de différentes disciplines pour constituer sa nouvelle création, composée cette fois d’un poète, d’un philosophe de renom, d’une chorégraphe mondialement reconnue, d’un compositeur associé et d’un cinéaste. Démocrite fut dans la Grèce antique un philosophe matérialiste fêté qui parcourut le monde. Lors de son périple jusqu’en Inde, il a constaté la vilenie des hommes, à la suite de quoi il fit construire une petite cabane au fond de son jardin pour y finir en sage le restant de ses jours. Je nomme tentation de Démocrite et recours aux forêts, ce mouvement de repli sur son âme dans un monde détestable. Le repli sur son âme consiste à retrouver le sens de la terre, autrement dit se réconcilier avec l’essentiel : le mouvement des astres, la logique de la course des planètes, la coïncidence avec les éléments, le rythme des saisons qui apprennent à bien mourir, l’inscription de son destin dans la nécessité de la nature.

Mise en scène : Julie Bérès - Scenario, dramaturgie, textes : Julie Bérès, Elsa Dourdet, Nicolas Richard, David Wahl - Créé et interprété par : Olivier Coyette, Virginie Frémaux, Lucas Manganelli, Gilles Ostrowsky, Julie Pilod, Guillaume Rannou, Delphine Simon - Scénographie : Goury - Création sonore : David Segalen - Composition musicale : Frédéric Gastard - Création lumières : Jean Marc Ségalen - Création vidéo : Christian Archambeau - Costumes : Aurore Thibout - Perruques : Catherine St Sever - Regard sur le corps : Lucas Manganelli - Plasticienne : Juliette Barbier - Construction du décor : Stéphane Lemarié et l’équipe du Quartz - Direction technique : Nicolas Minssen - Régie générale : Didier Le Barrazer - Régie son : Roland Auffret - Régie lumières : Jean Marc Ségalen - Régie vidéo : Loic Lecadre - Régie plateau : Stéphane Lemarié - Production : Compagnie Les Cambrioleurs

De la Compagnie des Cambrioleurs

Sous les Visages

au Granit

mer. 21 aVr. 20h30Jeu. 22 aVr. 19h30Ven. 23 aVr. 20h30

Sous les visages est une invitation dans l’espace mental d’une femme, fragilisée par la précarité,

qui pour fuir sa propre réalité se laisse absorber par un monde virtuel : les médias. Cette femme va fan-tasmer l’intimité des personnes qu’elle voit à la télévi-sion, s’imaginant parfois être des leurs, s’identifiant à certains d’entres eux. Elle se réinvente ainsi une identité. Sous la forme d’un certain surréalisme, pou-vant aller jusqu’au burlesque, Sous les visages met en jeu quelques-uns des dérèglements psychiques et comportementaux que secrète une société contem-poraine où le culte de la performance prolifère sur le dos d’une précarité grandissante, et qui invente de nouvelles formes d’addiction pour refouler l’angoisse de la mort.

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Texte : Fernando Pessoa - Texte français : Dominique Touati - Mise en scène : Claude Régy - Scénographie : Sallahdyn Khatir - Lumière : Rémi Godfroy, Sallahdyn Khatir, Claude Régy - Son : Philippe Cachia - Avec : Jean-Quentin Châtelain - Assistant mise en scène : Alexandre Barry - Dramaturgie : Sébastien Derrey - Fabrication du costume : Julienne Paul

Comme dans un conte, l’oeuvre de Pessoa a dormi dans un coffre où s’entassaient les feuillets qu’il

écrivait chaque jour. Toute reconnaissance lui ayant été refusée tant qu’il vivait, la découverte d’un des plus grands poètes des temps d’aujourd’hui s’est faite par le classement et l’organisation de ces pages. Cet homme occupé dans des bureaux d’export-import à traduire des lettres commerciales ne trouvait de ré-alité qu’aux seuls produits de son imagination. C’est là, en imagination, qu’il a vécu. « Ma relation avec un texte, si je puis dire, est une relation d’homme à

De Claude Régy

Odemaritime

Centre ChoréGraphique nationaL de FranChe-Comté à beLFort

mar. 27 aVr. 19h30mer. 28 aVr. 20h30Jeu 29 aVr. 19h30

homme. Et j’essaie de faire que le spectacle reste une relation de cet ordre entre l’écrivain et le public. Je cherche au maximum à mettre le spectateur en rela-tion avec l’écriture, à lui proposer un rôle actif, où il ne s’agit pas de voir passivement, mais de créer en même temps, à partir de ce qui est proposé. Le théâtre est un lieu où des hommes vivants parlent à des hom-mes vivants. Ça devient extrêmement rare. Il faudrait toujours que le public se sente en état de création. J’ai renoncé à ce qu’on appelle la décoration, le décor. Je fais un dispositif scénique qui vise surtout à mettre le public le plus en relation possible avec l’écriture à travers l’acteur. C’est un système de rapprochement et de grossissement. La lumière a l’intérêt d’être un élément immatériel, donc spirituel, donc d’une cer-taine manière religieux, bien que n’appartenant à au-cune religion ! Je pense que la lumière est l’élément essentiel pour travailler sur ces choses mobiles de l’inconscient qui sont déposés dans l’oeuvre et qui se mettent à transparaître, à circuler à travers l’écriture. Dans mon travail, il reste donc essentiellement le texte, l’acteur et la lumière. Ce qui m’intéresse chez Jean-Quentin Châtelain, c’est qu’il a vraiment la fac-ulté physique et mentale de dépasser les frontières et d’aller à l’infini, au-delà de toute limite. »

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Conçu et interprété par : Thierry Collet - Avec des extraits de : Crise d’Asthme d’Etgar Keret et Le Réel, traité de l’Idiotie de Clément Rosset - Collaboration à la dramaturgie et à la mise en scène : Michel Cerda - Effets magiques : Thierry Collet - Lumière : T’Oto - Son : Thierry Balasse - Scénographie et collaboration au costume : Pascale Hanrot - Régie générale et construction : Patrick Muzard - Régie son : Bernard Lévéjac ou Fany Schweitzer -

De Thierry Collet

Même si c’est faux, c’est vrai

au paLot à montbéLiard

mar. 11 mai 21hmer. 12 mai 21h

Qu’est-ce que la réalité et sommes-nous libres de la percevoir ? Même si c’est faux, c’est vrai est

un spectacle interactif, jubilatoire et inquiétant, con-frontant théâtre et magie, textes littéraires et paroles personnelles, virtuosité du geste et manipulation mentale. Questionnant constamment les processus de perception et d’appréciation du réel, la magie est le code central du spectacle de Thierry Collet. Mais le magicien se fait aussi acteur et au fil d’anecdotes qui interrogent son rapport à la magie, de textes lit-téraires qui traitent de la fragilité et du doute lié à la perception, la frontière entre fiction et réalité devient floue et ce sont nos pensées, nos croyances, notre jugement qui se trouvent questionnés : suis-je fou si je vois rouge un objet que tous les autres spectateurs voient blanc ? Mes perceptions sont-elles manipula-bles ? Un son peut-il éteindre une bougie ? Qu’est-ce qui est faux, qu’est-ce qui est vrai ?

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Des voisines... Le Territoire de Belfort et le Canton du Jura sont deux entités politiques qui parta-

gent une portion de frontière commune, la frontière franco-suisse. Elles sont voisines, c’est arbitraire. Tenez, vous prenez le Doubs... si tous les matins, vrai-ment, des centaines de jeunes filles, ayant chaussé leur Ipod, accouraient des alentours sur le sentier des contrebandiers, à l’envers de Réclère, guidées par une voix qui leur ordonnerait d’y venir sacrifier leur joujou, leur pet, leur fétiche, que se diraient-elles ? Et qu’en dira-t-on ailleurs ? De là-haut, de la tour, ou dans les réseaux ? Quelle scène dans quel panorama ! Mais c’est quoi, aujourd’hui, ce voisinage frontalier au

Installation Sonore

Le Pont Sonore Belju

au Granit

du 27 aout au 12 Septembreentrée Libre

bord de l’Europe ? Quels refrains, quels actes, quelle communauté ? Bienveillantes, les voisines ? Surveil-lantes ? Sur le seuil, au bout du fil, les voisines pala-brent. Si elles s’écoutaient ? Du 27 août au 12 sep-tembre, le Granit accueille les paysages sonores Pont Belju dans son escalier extérieur (côté Savoureuse), dont l’accès est rendu public pour l’occasion. L’équipe franco-suisse du Belju y installera ses trouvailles so-nores, enregistrements issus d’une dérive explora-toire menée durant tout l’été sur et aux bords de l’aire géographique comprenant le Canton du Jura et le Territoire de Belfort. Assigné aux catégories identités-mémoires-territoires, le Granit deviendra la quatrième Bouche du Pont Sonore Belju, dernière à s’allumer après l’espace d’art contemporain Les Halles à Porrentruy (le 15 août), le Pont RDU à Delémont (le 16 août) et l’Espace Gantner à Bourogne (le 20 août). Durant toute la durée du Pont Sonore Belju (15 août au 12 septembre), les internautes peuvent accéder à l’archive et soumettre leurs propres enregistrements via le site www.belju.info

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Ce concert est un événement. C’est la seule date en France de cet artiste anglais inclassable, qui jongle

avec maestria entre tous les styles musicaux, du rock au jazz, en passant par le blues, la soul, le funk. Barry Adamson a grandi à Manchester. Dans les années 80, il fonde avec Nick Cave le célèbre groupe « The Bad Seeds » puis sort un premier album solo, « The Man with the Golden Arm » en référence au thème de James Bond composé par son compatriote John Barry. Presque naturellement, Barry Adamson com-

Jazz - Rock - Soul

BarryAdamson

au Granit

Ven. 27 noV. 20h30

posera pour le chef d’oeuvre cinématographique de David Lynch, « Lost Highway », ou pour Oliver Stone dans « Natural Born Killers ».Auteur, compositeur, interprète, producteur, Barry Adamson livre des musiques hétéroclites qui brillent par la qualité de leurs arrangements presque extrav-agants. L’artiste, à la voix soul d’un Barry White, se balade entre les sons de cuivres, de cordes, de cla-viers, de beats électroniques, de guitares et dessine de magnifiques ambiances où sa passion pour les musiques de film éclate au grand jour. Son septième et dernier album solo porte le titre mystérieux de « Back To The Cat ». Il y redécouvre et réinterprète en-tre autres les grandes figures du jazz que sont Duke Ellington ou Miles Davis. Divinement posé ou plus excité, Barry Adamson a une palette musicale rare et ses concerts sont jubilatoires. Avec un groupe com-posé de dix musiciens dont un ensemble de cuivres, Barry Adamson fera vibrer le théâtre de sa présence exceptionnelle.

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Que donne un rockeur reconverti au tango à 50 ans ? Daniel Melingo, cheveux poivres et sel qui

balance son corps dans tous les sens. Car l’art du tan-go est un défi à l’équilibre. Daniel Melingo se réappro-prie le « tango-canción » en convoquant les poètes de Buenos Aires, celle des bas-fonds aux gueules cas-sées, dans l’argot des canailles et des parias. Avec lui,

Tango

DanielMelingo

au Granit

Ven. 26 FéV. 20h30

c’est la musique des poètes maudits qui renaît et qu’il appelle « le tango de la cruauté ». Daniel Melingo puise dans les racines du genre, de Gardel à Riveri, en passant par Piazzola, sans délaisser ses influences rock, de Nick Cave à Tom Waits. Sur scène, il adopte une attitude déjantée, faussement cabotine, prenant à partie le public. Costume et feutre noir, foulard col-oré, il conjugue la sensualité de cette musique aux vé-hémences du rock. Il ne faut pas seulement écouter Melingo. Il faut le voir pour arpenter avec lui les ru-elles sombres argentines. Mots de poètes sobrement mis en relief, ici au bandonéon, là au violon, ailleurs à la contrebasse ou à la clarinette. Le tout avec une sorte de patine rétro rehaussée par une véhémence très actuelle.

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Il est temps de jeter à la volée les mots violents / Sans se préoccuper du procès que l’on nous fait.

C’est par cette gifle que débute le nouvel album de Charlotte etc., duo de jeunes artistes impressionnants de force, de maîtrise et de lucidité. Car Charlotte, au-teur et interprète, n’est pas seule. Yann Féry, guitar-iste, l’accompagne dans ses envolées musicales. Cet univers est né de la rencontre entre deux sensibilités, la dualité du « masculin / féminin ». Ce n’est pas de la chanson à proprement parler, mais une musique rock atmosphérique à l’implacable liberté artistique, portée par des mots directs, sulfureux, plein de désir et d’impatience. On y trouve de multiples influences comme The Beatles, Radiohead, PJ Harvey, The Cure,

Chansons

Charlotte etc. & Babx

au Granit

Ven. 12 mar. 20h30

mais aussi Edith Piaf, Alain Bashung, Noir Désir. Cer-taines de ces influences iront même jusqu’à de vraies collaborations notamment avec Jean Fauque, parolier de Bashung. Il faut découvrir Charlotte et ses textes, d’une poésie brute, sans fard, à l’émotion quasi on-irique. Babx se traduit par « Bab » alias David Babin ; le « x » pour ses complices. Ce jeune artiste n’a pas trente ans et vient de sortir un deuxième album mag-nifique, perle rare d’une production intense. Babx a ses maîtres, de Tom Waits à Léo Ferré, en passant par Alain Bashung. Et cela s’entend, cela se ressent, tant il est à la fois bouleversant et percutant. Il interprète ses propres compositions ambitieuses, empreintes d’une poésie du réel. Etats limites, visions hantées, transes orageuses, les mots de Babx explosent com-me des grenades dégoupillées. Quant à sa musique, elle swingue, sans s’enfermer dans un genre, à la fois organique, tendue ou sensuelle, abandonnée. Elle donne envie de danser, dans une sorte de cabaret un peu crasseux ou un dancing chic et désuet. Puisque le monde tangue, mieux vaut danser avec lui.

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Concept : Anne Teresa De Keersmaeker et Alain Franco - Chorégraphie : Anne Teresa De Keersmaeker - Dansé par et créé avec : Bostjan Antoncic, Tale Dolven, Fumiyo Ikeda, Cynthia Loemij, Mark Lorimer, Moya Michael, Elizaveta Penkóva, Igor Shyshko, Sandy Williams - Vocabulaire de danse en collaboration avec David Hernandez - Décors et éclairages : Jan Joris Lamers - Costumes : Anne Catherine Kunz - Son : Alexandre Fostier - Directeur des répétitions : Muriel Hérault - Assistante à la direction artistique : Anne Van Aerschot - Assistants Décor et Lumières : Jan Herinckx, Simo Reynders, Kristof Vandijck, Jan Dekeyser, Joris Erven, Herman Sorgeloos - Assistantes Costumes : Maria Eva Rodriguez, Valerie Dewaele, Emma Zune

De Anne Teresa De Keersmaeker

Zeitung

à La maiSon du peupLe

Ven. 23 oCt. 20h30

Dans Zeitung, la chorégraphe Anne Teresa De Keersmaeker, le pianiste Alain Franco et les dan-

seurs de la célèbre compagnie Rosas réussissent la délicate conjonction de la musique et de la danse, de la chorégraphie et de l’improvisation, du romantisme et du désenchantement. Bach, Schönberg et Webern y incarnent une perspective historique où se croisent les principes de la géométrie et de l’improvisation chorégraphique de Rosas. Dans l’harmonie ou le dé-calage, l’unisson ou le contrepoint. La danse et la mu-sique se retrouvent, non pas à partir d’une ressem-blance ou d’un parallélisme, mais au croisement de l’une avec l’autre. « Dans ce spectacle, j’ai voulu reve-nir à l’essence, à la simplicité du corps dans la danse : le corps comme deux spirales s’enroulant autour d’un axe central vertical. Le corps comme énergie matéri-alisée, comme manifestation de principes universels. J’ai toujours puisé beaucoup d’inspiration dans la géo-métrie, par exemple, dans l’abstraction absolue de certaines lois, qui feront contraste avec la présence physique bien concrète des neuf danseurs, chacun ayant leur corporalité propre. »

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Chorégraphie : Emilio Calcagno - Assistante à la création : Lydia Carillo - Illustratrice : Marie Caillou - Scénographie : Emilio Calcagno, Tommy Trzaskus, Marie Caillou - Danseurs : Benjamin Forgues, Gaël Rougegrez, Nicolas Sannier - Costumes : Emilio Calcagno, assisté de Sylvie Baudier - Création lumière : Daniel Lévy - Création musicale et jeu : Bertrand Belin

De Emilio Calcagno

Comète Comix

au Granit

mar. 8 déC. 20h30

L’équilibre du monde est perturbé, l’étoile qui veillait sur la galaxie s’est éteinte. Pour rétablir

l’harmonie, trois mages dotés de super pouvoirs dé-cident de partir à la conquête d’une nouvelle étoile, la dernière du cosmos. Celle-ci est mystérieuse, elle se déplace et brille quand bon lui semble et sa force de gravité provoque de gigantesques tempêtes cos-miques. Le voyage aux allures de chasse au trésor se révèle plein d’embûches. Les trois mages luttent contre les éléments déchaînés de l’espace et se dis-putent l’étoile en se livrant de violents combats. Le gagnant réussira-t-il à mettre fin au chaos en domp-tant l’étoile mystérieuse ? La musique de Bertrand Be-lin et les dessins de Marie Caillou entretiennent tout au long de la pièce le climat cinématographique d’un futur «rétro», tenant autant de Kraftwerk que de Mé-tropolis : une époque d’avant les désillusions, où l’on rêvait encore de faire du beau avec des machines... Aujourd’hui que nous sommes assaillis par les contin-gences de toutes sortes, j’avais envie d’évoquer cette apparente légèreté du super-héros, avec sa double identité et sa propre agonie, face à un monde ou même les superpouvoirs ne suffisent plus.

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Chorégraphie et concept : Brice Leroux - Danse : Brice Leroux ou Krassen Krastev - Assistant artistique : Krassen Krastev - Musique : poème symphonique pour 100 métronomes door György Ligeti - Concept scénographie, lumière, costumes : Brice Leroux - Réalisation costumes : Eugénie Poste - Assistantes costumière : Caroline Côté, Bertille Gibourdel, Clémence Canel - Réalisation technique scénographie : Vincent Malstaf, Philippe Baste - Technique : Antonin Chaumet - Nous remercions Jan Maertens pour ses conseils techniques.

De Brice Leroux

Solo # 2Fréquences

Centre ChoréGraphique nationaL de FranChe-Comté à beLFort

mar. 23 FéV. 19hmar. 23 FéV. 21h30mer. 24 FéV. 20h30

Dans le monde de la danse conceptuelle, Brice Le-roux occupe une place à part. A dix-neuf ans, ce

jeune danseur et chorégraphe français a rejoint Ro-sas, la compagnie d’Anne Teresa De Keersmaeker. En 1999, il crée son premier solo, Continuum, nom qu’il donnera ensuite à sa propre compagnie. Son langage des mouvements minimaliste se caractérise par sa virtuosité et sa précision mathématique. En 2002, il a réalisé Gravitations-quatuor, dans lequel quatre dan-seurs suivent inlassablement, comme dans un rituel obsessionnel, des pistes lumineuses circulaires dans la pénombre. Gravitations-quatuor est une explora-tion hypnotisante de la perception et de l’espace, une expérience spirituelle où les motifs circulaires et les formes elliptiques font allusion au cosmos. Brice Ler-oux nous propose ici sa toute dernière création, solo sans aucun déplacement dans l’espace, qui invite le regard du spectateur à percevoir les forces en jeu au sein d’un corps pris dans un mouvement perpétuel en trois dimensions. Une véritable aventure sensorielle.

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« En 76, la sécheresse faisait des ravages dans notre pays, les vents d’Afrique remontaient jusque dans

les hangars à tabac, il faisait une chaleur épouvant-able… J’étais avec ma famille, on rentrait de Wood-stock à pied, on a mis sept ans à rentrer, mes parents s’arrêtaient partout ils parlaient avec tout le monde. À l’époque on trouvait du boulot partout, certains en refusaient, ils s’étaient réfugiés en plein désert, dans un pays pas loin des lacs, au soleil, sur une ancienne scierie de pain de sucre qui avait été envahie par la

De Patrick Robineet Jean-Michel Ribes

Le Ferme des Concombres

au Granit

Ven. 16 oCt. 20h30

végétation... C’est là-bas que nous allions, cet endroit s’appelait : la ferme des concombres. » C’est une in-vraisemblable histoire de baba cool errant dans le dé-sert à la fin des années 70, que nous conte, ou plutôt nous chante, nous crie, nous sussurre, nous danse, nous sculpte et mime, seul en scène, Patrick Robine. Le magicien à la bouille ronde, enfantine, extirpe une kyrielle de personnages extravagants. Orchestré par Jean-Michel Ribes, l’exorcisme excentrique – mélange de rituel africain à la française et de numéros de caba-ret dans la lignée des Poiret-Serrault – est à la fois en-chanteur et salvateur. Patrick Robine est tout à la fois, image et son, et peut très bien physiquement, sous nos yeux, devenir en un instant une forêt de séquoi-as, une vague océane, une plume, un encrier ou une feuille de papier sur laquelle s’inscrivent des textes fantastiquement drôles ou drôlement fantastiques… Les éclats de rires qu’il nous offre contiennent des trésors d’observation, d’invention de sensations et d’émotion.

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Sous une immense draperie rouge et royale, le petit homme entre en scène. La blancheur de sa che-

mise atteste son innocence. Jean-Jacques Vanier a un oeil d’écureuil battu. Son cerveau d’homme inquiet fourmille de méandres totalement inattendus. Sur le plateau, sa franchise est désarmante : « je me compli-que inutilement la vie » dit-il. Et comment ! Il s’engage, dans ce nouveau spectacle, l’air de rien et à petits pas, dans une vraie galère. Partant d’une histoire de chaussures à lacets, cet homme délicat se donne un

De Jean-Jacques Vanieret François Rollin

Elles

à La maiSon du peupLe

mar. 12 Jan. 20h30

énorme défi : comprendre les femmes. Après L’Envol du Pingouin, présenté au Granit en 2001, et A part ça la vie est belle programmé pour la soirée de rentrée 2005, c’est avec joie que nous accueillons ce spectacle de Jean-Jacques Vanier, suite des deux précédents.Troisième pierre du parcours de comédien-auteur-humoriste de Jean-Jacques Vanier, ce spectacle, écrit avec François Rollin, nous plonge à nouveau dans sa quête philosophique et drolatique d’une improbable clé universelle de l’âme humaine. Tous les fidèles de Vanier savent désormais que l’ardente aspiration de son personnage à la vérité, à l’équilibre, et au bon-heur, demeurera vaine longtemps encore, et que longtemps encore ils riront de sa maladresse, de ses échecs à répétition, de sa touchante persévérance, de ses égarements, de ses interminables digressions et de ses poétiques utopies. Car ils savent aussi que ce n’est pas le but qui compte le plus, mais le chemin.

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Un spectacle de : Patrice Thibaud - Mise en scène : Michèle Guigon, Susy Firth, Patrice Thibaud - Musique : Philippe Leygnac - Lumière : Marie Vincent - Costumes : Isabelle Beaudouin - Avec : Patrice Thibaud, Philippe Leygnac

Virtuose et très drôle, Cocorico est un hommage au métier d’acteur et à sa présence corporelle.

Dans la lignée des grands anciens, Keaton, Tati, de Fu-nès ou Chaplin, Cocorico est un petit précis de poésie visuelle. Un enchantement pour tout dire : un spec-tacle basé sur la virtuosité corporelle de Patrice Thi-baud et son sens de l’observation, qui évoque avec humour et poésie nos espoirs et nos défauts, nos habitudes et nos perditions, nos manies et nos ten-dresses. Patrice Thibaud et Michèle Guigon ont créé ensemble Duo, histoire d’amourire en 1994, mis en scène par Susy Firth au sein de la Compagnie du P’tit

De Patrice Thibaud

Cocorico

au Granit

Jeu. 25 mar. 20h30

Matin. De là est née leur amitié, solidement cousue par le fil de l’humour et l’envie de continuer, dans une autre aventure, ce travail de création mêlant humour, dérision et gravité. Patrice Thibaud a déjà été accueilli au Granit dans La Cour des Grands de Deschamps et Makeïeff.Ce spectacle, je le fais aussi pour mes enfants, pour les faire rire et éduquer leur regard, pour qu’ils voient le monde avec humour et philosophie, comme ont su, je crois, si bien le faire mes grands-pères avec moi. Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eu besoin d’exprimer mes sentiments et ma vision du monde sous l’angle de la comédie ; sans doute pour cacher une hypersensibilité, une fragilité et une certaine mélancolie dues à une enfance mouvementée. Faire rire était pour moi vital, une façon de vérifier que j’avais bien ma place ici, une échappatoire aux petits drames de nos vies. Un travail de chaque instant où l’observation du monde m’inspirait mille prétextes de jeux et d’imitation. Par un enchaînement de hasards et de rencontres, j’en ai fait mon métier.

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Ateliers tout public

Suite au travail effectué sur Les Trois soeurs de

Tchekhov et Violences de Gabily, l’atelier adulte

poursuit l’aventure, en continuant de chercher,

d’explorer l’articulation entre les textes. Continuer

donc à travailler sur le même projet, mais pour le faire

avancer en s’adaptant à la grande salle du Granit.

atelier théâtre adultes Avec Anne Monfort metteur en scène associé

au Granit

InscrIptIons closes.présentAtIon publIque MArdI 24 noveMbre à 20h30 Au

GrAnIt / entrée lIbre

En partenariat avec l’association Femmes Relais. Il

s’agit de la poursuite du travail engagé en 2008 / 2009

avec l’association Femmes Relais. L’apprentissage

se poursuivra autour d’un travail d’improvisation,

d’écriture, de choix de textes mais aussi une

confrontation au plateau et surtout un plaisir partagé

dans ce lieu fédérateur qu’est le théâtre.

atelier Femmes relais Avec Mohamed Guellati, metteur en scène

Ateliers avec

les associations

et collectivités

atelier théâtre Jeunes 9 à 13 ans Avec Frédéric liénard comédien et metteur en

scène

« Autour d’Hamlet de William Shakespeare ». Dans

cette tragédie, Hamlet échoue politiquement et

sentimentalement. Malgré cela, il réussit son entrée

dans l’âge adulte. Le travail proposé par le comédien

ira à l’essentiel d’un point de vue narratif. Il s’appuiera

sur le passage de la pantomime, pièce dans la pièce,

qui en résume l’action.

deux MercredIs pAr MoIs, de 10h à 12h.

présentAtIon publIque à lA FIn de l’AtelIer. tArIF : 90€

(coMprenAnt les heures de prAtIque et une plAce pour

le spectAcle nosFerAtu). renseIGneMents : sonIA pérez

03 84 58 67 56 / [email protected]

Dans le cadre de la « semaine sans télé », la Mairie

d’Offemont et le Granit s’associent pour proposer un

atelier de théâtre destiné aux enfants de 8 à 12 ans

fréquentant les centres de loisirs de « La Clé et la

Ruche ». Cet atelier aura pour objectif de familiariser

les enfants à la pratique théâtrale, de les confronter à

un plateau, ou plus simplement de leur faire découvrir

le théâtre. Une présentation de travail aura lieu lors

de la dernière semaine du mois de janvier à la MIEL

d’Offemont.

atelier mairie d’offemont

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approche organique du plateau Avec Mohamed Guellati metteur en scène

En lien avec la résidence de Mohamed Guellati, metteur

en scène, pour sa création Mémoire de papillon (créa-

tion à laquelle collabore Kader Attou, chorégraphe de

la compagnie Accrorap et directeur du CCN de La Ro-

chelle), le CCN de Franche-Comté à Belfort et le Granit

proposent ce stage. Animé par Mohamed Guellati, il

s’adresse à un public d’amateurs de danse (Hip Hop

et autres styles) intéressés par le lien texte et danse,

ainsi qu’à un public d’ amateurs de théâtre souhaitant

aborder plus précisément la présence corporelle et

l’improvisation à partir de textes écrits par l’artiste.

dIMAnche 29 noveMbre de 10h à 13h et de 14h à 17h Au ccn

de FrAnche-coMté à belFort, 3 Avenue de l’espérAnce.

tArIFs : 30€ réduIt (Abonnés, jeunes –de 26Ans) 45€ (non

Abonnés) renseIGneMents : jérôMe ArAujo - 03 84 58 67 68 jeroMe.

[email protected] ou noël clAude - 03 84 58 44

84 - [email protected]

Stagespour les stages, inscriptions sur le bulletin d’abonnement,

dans la limite des places disponibles. règlement séparé

obligatoire, joint à l’inscription.

at

eL

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rS

mise en scène contemporaineAvec julien travaillé metteur en scène

Ce stage a pour sujet l’écriture de Jean-Charles

Massera. Après le spectacle We are la France, Benoît

Lambert crée au Granit We Are L’Europe. A cette occa-

sion, le metteur en scène propose de lire des extraits

de l’auteur, comme Amour, gloire et CAC 40 ou France

guide de l’utilisateur. Ce sera un jeu de va et vient entre

le texte et le plateau, avec des exercices de pratiques

liés aux dialogues contenus dans la nouvelle création.

les sAMedIs 3 et 17 octobre de 10h à 13h et de 14h à 17h.

les dIMAnches 4 et 18 octobre de 14h à 17h Au GrAnIt.

tArIFs : 15€ réduIt (MeMbres du pAs de côté, Abonnés,

jeunes –de 26Ans) / 45€ (non Abonnés)

renseIGneMents : FAbIenne v GuIer / 03 84 58 67 63 / FvI-

[email protected]

écritures contemporainesAvec benoît lambert metteur en scène

associé au Granit

Ce stage a pour sujet l’écriture de Jean-Charles

Massera. Après le spectacle We are la France, Benoît

Lambert crée au Granit We Are L’Europe. A cette occa-

sion, le metteur en scène propose de lire des extraits

de l’auteur, comme Amour, gloire et CAC 40 ou France

guide de l’utilisateur. Ce sera un jeu de va et vient entre

le texte et le plateau, avec des exercices de pratiques

liés aux dialogues contenus dans la nouvelle création.

les sAMedIs 7 et 14 noveMbre de 13h à 19h Au GrAnIt.

tArIFs : 30€ réduIt (Abonnés, jeunes –de 26 Ans), 45€

(non Abonnés) renseIGneMents : jérôMe ArAujo - 03 84 58 67 68 - je-

[email protected]

Horaires

pour commencer la saison, l’accueil du Granit est

ouvert du mardi au samedi de 13h à 19h, du mardi

25 août au samedi 5 septembre. à partir du mardi

8 septembre, l’accueil du Granit est ouvert du mardi

au samedi de 14h à 18h et les soirs de spectacles

en continu. La Galerie du Granit est ouverte du mardi au

samedi de 14h à 18h, le dimanche de 15h à 19h et

les soirs de spectacles au Granit en entrée libre.

Informations

pour toutes informations concernant les

spectacles, les ateliers, les visites, les rencontres

avec les artistes, vous pouvez contacter le service

des relations avec le public :

jérôme Araujo directeur des relations avec le public

03 84 58 67 68 / jerome.araujo@theatregranit.

com, sonia pérez responsable du secteur éducatif

03 84 58 67 56 / [email protected],

Fabienne viguier responsable du secteur associatif

03 84 58 67 63 / [email protected].

pour la Galerie du Granit : dossiers pédagogiques

sur demande, visites accompagnées d’exposition

sur rendez-vous pour les enseignants et pour les

groupes auprès de charlène strock attachée aux

relations avec le public 03 84 58 67 54 / cstrock@

theatregranit.com

Les spectacles commencent à l’heure. Après le lever du rideau, en raison des contraintes artistiques ou techniques, l’accès aux salles peut être rendu impos-sible. Les billets seront échangés. Ils ne pourront pas être remboursés. Certains spectacles sont déconseillés aux jeunes enfants. Le cas échéant, Le Granit pourra leur refuser l’accès en salle. Les places sont numérotées jusqu’à l’heure de la représentation. Après, le placement est libre.

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Les abonnements vous pouvez retirer votre pAss

à l’accueil du Granit ou par courrier. dès réception

du journal de saison, en envoyant votre bulletin

d’abonnement et un chèque de règlement à l’ordre

du Granit. pour vous assurer de la disponibilité des

places, vous pouvez contacter l’accueil du Granit

billetterie sans abonnement Nouvelle modalité

: vous pouvez réserver vos places par courriel sur

[email protected] ou par téléphone à

l’accueil du Granit au 03 84 58 67 67. Attention :

le règlement doit nous parvenir au plus tard 5 jours

après votre commande. Au-delà de ce délai, votre

réservation sera annulée des places pour les spectacles musicaux, d’humour

et de danse sont disponibles sur le site fnac.com.

pour nos voisins suisses, vous pouvez réserver vos

places au centre culturel de porrentruy (ccrp), du

lundi au vendredi de 15h à 18h au 32 466 92 19.

Réservations

Les spectacles commencent à l’heure. Après le lever du rideau, en raison des contraintes artistiques ou techniques, l’accès aux salles peut être rendu impos-sible. Les billets seront échangés. Ils ne pourront pas être remboursés. Certains spectacles sont déconseillés aux jeunes enfants. Le cas échéant, Le Granit pourra leur refuser l’accès en salle. Les places sont numérotées jusqu’à l’heure de la représentation. Après, le placement est libre.

Tarifs

pLein tariF - 20€

tariF réduit - 15€ (jeunes –26 ans, sur

présentation d’un justificatif : scolaires, étudiants,

carte cézam, demandeurs d’emplois, abonnés

structures voisines, retraités, familles)

autre tariF réduit - 7,5€ (enfants –de 12 ans,

sur présentation d’un justificatif : allocataires RSA,

Adulte handicapé)

pour LeS SpeCtaCLeS Jeune pubLiC :

nosferatu, Ieto, hans et Greutel, comète comix :

plein tarif - 11,5€ tarif réduit - 7,5€ (jeunes –26

ans, sur présentation d’un justificatif : scolaires,

étudiants, carte cézam, demandeurs d’emplois,

abonnés structures voisines, retraités, familles)

autre tarif réduit - 5,5€ (enfants –de 12 ans ;

sur présentation d’un justificatif : allocataires RSA,

Adulte handicapé)

tranSport en buS - 5€

Chèques vacances ou chèques culture - avec ce

mode de règlement, en billetterie, hors abonnement,

vous bénéficiez du tarif réduit.

ta

ri

FS

Le paSS 4 SpeCtaCLeS minimum. Au-delà de

4 spectacles, vous continuez à bénéficier du tarif

pAss.Le pass Jeune –26 ans : 30€ minimum soit 7,5€

par spectacle Le pass adulte : 46€ minimum soit 11,5€ par

spectacle.

Le paSS+ 10 SpeCtaCLeS minimum. Au-delà de

10 spectacles, vous continuez à bénéficier du tarif

pAss+.Le pass+ Jeune –26 ans : 55€ minimum soit 5,5€

parspectacleLe pass+ adulte : 65€ minimum soit 6,5€ par

spectacle.

Carte avantages Jeunes - en partenariat avec le bIj

de Belfort. Dans votre PASS, vous bénéficiez d’une

place offerte supplémentaire pour le spectacle de

votre choix. Avec le chéquier Avantages culturels

vous bénéficiez d’une place offerte pour le spectacle

We Are l’europe.

Carte club étudiant - dans votre pAss, une place

offerte supplémentaire pour le spectacle de votre

choix (non cumulable avec la carte Avantages

jeunes), dans la limite des places disponibles.

pour LeS GroupeS pour les comités d’entreprise

et les associations, contactez Fabienne viguier

03 84 58 67 63 [email protected]

pour les scolaires, contactez sonia pérez

03 84 58 67 56 / [email protected]

Abonnements

Fa

it

eS

V

ot

re

p

ro

Gr

am

me

dates Spéctacles

□ 27/08 12/09 Le Pont Sonor Belju p.14

□ 05/09 La Vie va où ? p.4

□ 16/10 La Ferme des Concombres p.28

□ 23/10 Zeitung p.22

□ 27/11 Barry Adamson p.16

□ 08/12 Comète Comix p.24

□ 12/01 Elles p.30

□ 28-29/01 Le Recours aux forêts p.6

□ 23-24/02 Solo # 2 Fréquences p.26

□ 26/02 Daniel Melingo p.18

□ 12/03 Charlotte etc. & Babx p.20

□ 25/03 Cocorico p.32

□ 21-22-23/04 Sous les Visages P.8

□ 27-28-29/04 Ode Maritime p.10

□ 11-12/05 Même si c’est vrai, c’est faux p.12

_______ total Spectacles

La saison 2009/2010en un coup d’oeil

Directeur - Henri Taquet

Administratrice - Nathalie Cravé

Directrice des Arts Plastiques - Monique Chiron

Secrétaire générale - Elise Ruysschaert

Graphiste - Stéphanie Renaud

Secrétaire de direction - Séverine Cara

Secrétaires - Roselyne Buchwalter, Nathalie Laurençot

Comptable principale - Ludivine Trincklin

Directeur des relations avec le public - Jérôme Araujo

Responsable du secteur éducatif - Sonia Pérez

Responsable du secteur associatif et comités d’entreprise -

Fabienne Viguier

Responsable de l’accueil - Sylvie Jannière

Attachée aux relations avec le public - Charlène Strock

Attachée à la diffusion - Christine Weibel

Hôtesse d’accueil - Samantha Prudot

Directeur technique - Jacques Courtot

Régisseur plateau - Boris Husser

Régisseur lumières - Catherine Fruchart

Régisseur son - Olivier Renaud

Gardien - Patrice Cardot

Chef d’équipe entretien - Régine Dietrich

Agents d’entretien - Michèle Martinet, Nathalie Benaïssa

Programmation - Henri Taquet

Danse et collaboration à la programmation théâtre - Elise

Ruysschaert

Musique - Jérôme Araujo

Jeune public Sonia - Pérez

Projets d’actions culturelles - Fabienne Viguier

Directeur de la publication - Henri Taquet

Responsable de la publication - Elise Ruysschaert

Photographies - Anne Durez

Graphisme - Stéphanie Renaud

Tirage 35 000 exemplaires - Ne pas jeter sur la voie publique,

merci.

Dépôt légal troisième trimestre 2009.

Numéro de licence : 1-1001663, 2-1001664, 3-1001665

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