Gestion des actifs : risques d'utilisation intensive

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IBM Software Livre blanc – Le leadership éclairé Décembre 2011 Évaluation du risque réel pour les entreprises utilisant des actifs de manière intensive Les cinq idées reçues qui vantent la valeur des solutions ERP en tant qu'outil de gestion des actifs

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Évaluation du risque réel pour les entreprises utilisant des actifs de manière intensive

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IBM Software

Livre blanc – Le leadership éclairé

Décembre 2011

Évaluation du risque réel pour les entreprises utilisant des actifs de manière intensiveLes cinq idées reçues qui vantent la valeur des solutions ERP en tant qu'outil de gestion des actifs

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2 Évaluation du risque réel pour les entreprises utilisant des actifs de manière intensive

RécapitulatifAvoir une solution ERP unique pour gérer tous les processus métier reste bien ancré dans les esprits. Cette approche n’est pas applicable, notamment dans les secteurs utilisant des actifs de manière intensive. L’évolution des exigences en matière de gestion du risque d’entreprise, de santé, de sécurité, d’environnement, de gestion des opérations intégrées et de gestion du cycle de vie des actifs met la pression sur les équipes en charge des opérations de maintenance. Elles sont comptables de la productivité de ces actifs et de la performance. Ces nouvelles exigences pressent les entreprises à choisir la meilleure solution offrant la visibilité, le contrôle et l’automatisation.

Les avancées technologiques, comme l’architecture orientée services (SOA) et les services Web, préservent l’efficacité opérationnelle. Les stratégies orientées plate-forme, proposées par les principaux éditeurs de logiciels spécialisés, brouillent la limite entre ce qui est proposé par les principaux éditeurs de solutions ERP et les fonctionnalités métier proposées par les fournisseurs de logiciels spécialisés tels qu’IBM Maximo.

Des idées fausses circulent sur la valeur, les fonctionnalités et le déploiement de solutions ERP dans les secteurs utilisant des actifs de manière intensive. Ce livre blanc décrypte et démystifie ces idées reçues et aidera les décideurs à mieux cerner le risque réel dans leur secteur d’activité.

Idée reçue n°1 : Les solutions ERP suffisent à gérer les actifsDans les secteurs utilisant des actifs de manière intensive, la défaillance d’un actif ou d’une infrastructure critique peut avoir un effet dévastateur sur une entreprise aux niveaux financier, social et environnemental. Une panne d’actif ou d’infrastructure peut mettre une multinationale à la une des journaux. Ce type de défaillance se chiffre en centaines de milliards de dollars, un risque que les entreprises ne peuvent pas se permettre de prendre à la légère. Lorsque les grandes entreprises recherchent des solutions de gestion des actifs, elles doivent choisir les meilleures technologies du marché.

Les chefs d’entreprise, parfois sur la base de rapports rédigés par des analystes de renom, estiment que les modules de gestion des actifs de leurs systèmes financiers sont suffisants. Mais, pour une entreprise qui gère des actifs intensifs ou des infrastructures stratégiques, ce compromis est trop risqué. L’entreprise s’expose à un risque opérationnel et ne conforte ni ses employés ni ses actionnaires. La situation financière de l’entreprise, la santé et la sécurité du personnel, la fiabilité et l’efficacité des actifs, ainsi que la préservation de l’environnement, sont en jeu.

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Les faits

●● Une entreprise qui utilise des actifs de manière intensive et qui connaît un grave problème de sécurité ou d’environnement s’expose à un risque qui s’évalue en centaines de milliards de dollars.

●● Logiciel phare de la gamme IBM® Tivoli, IBM Maximo Asset Management est considéré comme la référence en matière de gestion des actifs. Cette solution fait partie des leaders du marché depuis plus de 10 ans.

Idée reçue n°2 : Une solution ERP diminue les risques et les coûts informatiquesLes entreprises qui utilisent des actifs de manière intensive et une solution ERP ne couvrent que 60 à 80 % de leurs besoins fonctionnels. Qu’en est-il des 20 à 40 % restants ? Que font les utilisateurs lorsqu’ils ont besoin de fonctionnalités que la solution ERP ne prend pas en charge ? Ils créent leurs propres solutions. Les services Opérations, Ingénierie et Maintenance utilisent des outils pour créer des applications « à la volée » et

répondre aux nouvelles exigences opérationnelles et/ou réglementaires, et aux modifications des processus métier. Ces applications sont parfois qualifiées de « rebelles ».

Ces applications de niche sont créées pour combler un manque de fonctionnalités dans un système, par exemple de type ERP, et aider l’entreprise à atteindre ses objectifs opérationnels. Souvent basées sur Microsoft® Excel, Microsoft Access ou d’autres applications de niche, ces solutions/applications sont en général mal sécurisées, non prises en charge par le système informatique et non contrôlables. Elles coûtent cher à intégrer et sont généralement gérées « de manière cachée » par une personne ou un groupe restreint. Et par conséquent :

●● Elles augmentent le coût de l’informatique.●● Elles augmentent le risque opérationnel et réglementaire pour

l’entreprise qui ne dispose pas d’un référentiel unique et contrôlable de gestion de ses actifs.

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1 ÉvaluationLe changement commence lorsqu'une entreprise évalue sa stratégie informatique et réalise que:

le nombre d'applications utilisées est trop important ; la base des utilisateurs est trop fragmentée. Ce constat marque le point de départ du développement d'une stratégie de consolidation.

2 Consolidation En général, un système ERP

est déployé sur plusieurs fonctionsde l'entreprise, notamment la gestion

des services et des actifs.

3 RéalisationLes équipes internes réalisent que le nouveau système ne peut pas prendre en charge totalement les nouveaux processus métier et commencent à mettre en place des applications spécifiques pour répondre aux besoins opérationnels.

4 RéglementationLes nouvelles réglementations peuvent ajouter

des niveaux supplémentaires de gestion des informations. Comme les systèmes d'entreprise ne sont pas suffisamment souples et évolutifs,

les utilisateurs se tournent vers des outils de productivité personnelle pour assurer

les fonctions stratégiques.

5 ActualisationLe résultat : des applications de plus en plus disparates, prenant en charge des processus déconnectés et des silos d'informations, au lieu d'un système ERP de qualité qui prend en charge tous les utilisateurs et les processus.

ManagingChange

Figure 1 : Le cycle de vie d’une application rebelle

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Par exemple, les secteurs réglementés sont tenus de signaler les écarts par rapport aux opérations prévues et de suivre un processus prédéfini pour en analyser la cause et l’origine. Mais, les principaux fournisseurs de solutions ERP ne proposent pas de modules pour la gestion du changement et/ou d’action corrective. Certaines entreprises créent des bases de données parallèles au système existant ou préfèrent acheter des applications très spécialisées. Pour pallier ce manque, ces applications nécessitent une maintenance, une intégration et un support, en plus de l’application de l’entreprise.

Les déploiements de solutions ERP sont souvent financés sur la base de plans dont l’objectif est d’abaisser le coût total de possession (TCO) en rationalisant le portefeuille d’applications de l’entreprise, selon la formule TCOEntreprise = TCOERP. Il convient pourtant d’intégrer à cette formule l’impact des applications rebelles : TCOEntreprise = TCOERP + TCORebelle. Dans la mesure où elles ne sont pas prises en charge, les applications rebelles présentent souvent un risque opérationnel et de non-conformité. Certaines réglementations obligent les entreprises à vérifier que les applications utilisées pour traiter les informations sont totalement documentées et prises en charge.

Donc, au lieu de RisqueEntreprise = RisqueERP, le risque réel pour l’entreprise est : RisqueEntreprise = RisqueERP * RisqueRebelle 1 * RisqueRebelle n.

Les entreprises qui gèrent leurs actifs et leur infrastructure stratégiques à l’aide de systèmes ERP génériques s’exposent à un risque important et à des dépenses inutiles. La consolidation des applications est incomplète, les applications se multiplient. Pire, les entreprises risquent d’être confrontées à une multitude de nouvelles applications développées et non prises en charge, ce qui augmente à la fois le risque opérationnel et le coût de l’informatique et ne permet pas d’atteindre l’objectif du système ERP unique.

Les faits

TCOEntreprise = TCOERP + TCORebelle

RisqueEntreprise = RisqueERP * RisqueRebelle 1 * RisqueRebelle nLa résistance de la chaîne est égale à celle de son maillon le plus faible (par exemple, Rebelle 1 à Rebelle n).

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Idée reçue n°3 : Intégrer des solutions spécialisées dans un système ERP coûte cherERP ou application spécialisée : intégrer une solution spécialisée à un système ERP coûte très cher et toute intégration augmente le risque du projet. Examinons cette idée reçue sous trois angles différents :

●● Dans la plupart des cas, le risque d’intégration et le risque opérationnel ne sont pas les mêmes.

●● Les technologies d’intégration ont considérablement évolué ces dernières années, offrant des niveaux d’intégration inégalés.

●● Pour évaluer l’intégration, il ne suffit pas d’examiner l’intégration entre une solution et le système ERP, mais aussi la globalité.

Les entreprises qui gèrent des actifs de manière intensive et des infrastructures stratégiques susceptibles d’avoir un impact sur les personnes, l’environnement et les performances financières doivent choisir des solutions qui leur permettent de gérer leurs actifs de manière optimale en termes de santé, de sécurité, d’intégrité et de fiabilité. L’optimisation des coûts informatiques ne doit pas compromettre ces aspects car elles s’exposeraient à des amendes potentielles, un contrôle défaillant, des accidents, des problèmes environnementaux et une dégradation de leur image, de leur réputation. Les technologies d’intégration plus mâtures modifient le coût et les risques de l’intégration.

Intégration « point à point »Dans cette approche déjà ancienne, les applications sont connectées l’une à l’autre par des points d’intégration dédiés. En général, les utilisateurs créent une interface pour chaque besoin à l’aide des API propriétaires de chaque application. Ces interfaces sont conçues spécifiquement pour les deux applications et prennent en compte la version et la configuration de l’une et de l’autre, ce qui garantit un couplage étroit des applications. Ce type d’intégration reste gérable à petite échelle, mais peut prendre des proportions énormes et devenir rapidement hors de contrôle. Une modification apparemment anodine dans une application peut affecter les interfaces de toutes les autres applications auxquelles elle est connectée, directement ou indirectement.

Intégration en étoile (« hub-and-spoke »)Dans cette version plus récente de l’intégration point à point, les applications sont connectées à un système d’intégration central, baptisé concentrateur EAI (Enterprise Application Integration). Ce concentrateur exécute les services d’intégration et gère la communication entre les applications. Si cette approche privilégie une gestion, une standardisation et une réutilisation centralisées, les connexions nécessitent davantage de travail. Les applications n’ont pas d’API ou ont des API propriétaires qui requièrent du développement et de la maintenance pour chaque modification apportée aux applications (mises à niveau, améliorations, etc.).

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SOAC’est l’approche la plus moderne. L’architecture orientée services ou SOA (Service Oriented Architecture) exécute des services d’application d’entreprise et assure l’interopérabilité de ces services. Pour la mettre en œuvre, les applications doivent être des services détectables, exécutables et fiables. De plus, elle requiert une plate-forme robuste et des outils d’exploration, d’identification et de routage des services et messages. Le bus de services d’entreprise ou bus ESB (Enterprise Service Bus) gère l’invocation des services et le routage au sein de l’architecture SOA. Il s’appuie sur la plate-forme pour gérer et router les invocations de service, les événements et les messages.

La plupart des fournisseurs de plate-forme, notamment des plates-formes J2EE et Microsoft .NET, mettent en œuvre des concepts et des composants SOA dans leurs produits. Les principaux fournisseurs de solutions ERP, réalisant l’importance de la SOA, ont créé ou racheté des plates-formes compatibles et étendent leurs champs de compétences aux plates-formes, à l’intégration et aux services essentiels. Par exemple, SAP NetWeaver est l’architecture de services d’entreprise créée par SAP pour déployer des solutions métier basées sur J2EE et les services Web. NetWeaver offre une plate-forme ouverte standard, un portail et une couche de technologies d’intégration. Elle permet aux clients et aux partenaires de pallier le manque de fonctionnalités du produit. Les fournisseurs leaders sur le marché tient parti de cette plate-forme et de son interface, pour intégrer des applications ERP en toute transparence et avec une bonne rentabilité.

Grâce à son infrastructure d’applications composite, la plate-forme NetWeaver permet à IBM Maximo Asset Management et à SAP ERP d’exploiter leurs fonctionnalités respectives de manière efficace, économique et transparente. Maximo Asset Management intègre en mode natif les applications SAP ERP via NetWeaver Process Integration (PI).

Intégration « point à point »

Intégration en étoile (« hub-and-spoke »)

SOA

Figure 2 : Approches d’intégration

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Cette fonctionnalité est mise en œuvre par IBM Maximo Enterprise Adapter for SAP, un adaptateur qui permet un échange d’informations en temps réel entre Maximo Asset Management et SAP ERP grâce à une connectivité bidirectionnelle et des intégrations prédéfinies entre les deux applications. Cet adaptateur est un environnement complet de développement qui permet aux clients d’étendre les processus d’intégration prédéfinis et d’en développer d’autres spécifiques à leur environnement. Il accélère l’intégration des modules qui sont mis en œuvre entre Maximo Asset Management et SAP ERP, notamment la comptabilité, les comptes fournisseurs, les stocks, les achats, les ressources humaines et les projets.

Cet adaptateur permet aux clients d’être plus productifs sur la ligne métier où la convivialité et les fonctionnalités sont essentielles pour améliorer l’efficacité du personnel, tout en maintenant l’échange entre les processus métier, les processus de planification et les processus de reporting de l’entreprise. L’objectif de cette approche est de ne pas impacter l’utilisateur au quotidien et de ne pas lui demander d’effectuer des tâches supplémentaires.

Les faits

●● Le logiciel Maximo Asset Management utilise une architecture basée sur les mêmes standards technologiques que les architectures de plate-forme des fournisseurs pour grandes entreprises.

Idée reçue n°4 : Les modules EAM des ERP valent la solution IBM MaximoPlusieurs fournisseurs importants de solutions ERP affirment que les fonctionnalités de leurs modules de gestion des actifs rattraperont bientôt leur retard par rapport à celles de Maximo Asset Management, l’un des leaders de ce marché. En réalité, le fossé entre Maximo Asset Management et les solutions  ERP actuelles est large et semble même se creuser dans plusieurs domaines. Maximo Asset Management utilise une architecture SOA pour apporter rapidement des améliorations fonctionnelles à l’application et répondre à la demande du marché. Ces extensions sont organisées par industrie métier ou par classe d’actifs et répondent à des exigences spécifiques en matière de gestion des actifs, comme l’indique la figure 3.

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Secteur d'activité Besoin

Secteurs réglementés Étalonnage, action corrective, gestion du

changement, évaluation du risque et

conformité réglementaire

Utilities Estimation et gestion d'unités d'œuvre, actifs

linéaires et spatiales (géolocalisation)

Transports Gestion des garanties et actifs linéaires

Facilities Gestion de l'espace, gestion des clés, des

énergies renouvelables

Secteur public Biens publics, dépréciation des actifs

Figure 3 : Besoins spécifiques des secteurs en matière de gestion des actifs

Le marché ne considère plus que la maintenance est une activité interne à l’entreprise, mais une activité métier à part entière. Ce concept, baptisé « Asset and Service Management », est mis en œuvre au sein de l’activité de l’entreprise et permet l’alignement des objectifs métier. Ainsi, l’entreprise optimise son retour sur investissement et améliore l’efficacité et la fiabilité de ses actifs en respectant ses obligations de conformité. De plus, cette harmonisation garantit une fiabilité de haut niveau à moindre coût. Les solutions de gestion des actifs et des services favorisent l’autonomie de l’utilisateur et remportent leur adhésion, ce qui est vital pour l’acceptation de la solution.

L’exemple suivant illustre parfaitement le danger potentiel si la solution n’est pas adoptée par la totalité des opérateurs de maintenance : dans les centrales électriques, pour que certaines tâches puissent être effectuées, la zone d’intervention doit être mise hors tension. La procédure visant à vérifier que le personnel pénètre dans une zone non électrifiée est appelée consignation/étiquetage. Si le système n’est pas exploité parce que trop contraignant ou peu pratique, la sécurité du personnel peut ne pas être assurée. Face à ce cas de figure, on constate que les entreprises développent une application spécifique en marge de la solution existante (voir idée reçue n°2) permettant de pallier la déficience, mais hors du contrôle du système de traçabilité cachant l’insuffisance à la direction.

Les faits

●● La gamme Maximo Asset Management comprend des solutions par industrie avec des fonctionnalités adaptées pour les centrales nucléaires, les utilities, le pétrole, le gaz, les sciences de la vie et les transports.

●● Les capacités de consolidation de Maximo Asset Management offrent aux entreprises un jeu unique de processus qui réduisent le risque et favorisent la standardisation. De plus, elle permet de réduire le coût total de possession, de gagner en souplesse et de mettre en place une architecture moderne qui offre une meilleure visibilité sur les données et un contrôle accru des processus.

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Idée reçue n°5 : Les entreprises de renom n’utilisent que des systèmes ERPLes entreprises de renom utilisent, pour la plupart, des solutions leaders du marché. Souvent, leur choix se porte sur SAP ou Oracle, mais cette solution n’est pas forcément idéale pour la gestion des actifs. L’approche ERP peut se justifier si les risques sont faibles. Mais les entreprises exposées à un risque élevé, comme celles qui utilisent des actifs de manière intensive, privilégient des solutions complètes et dédiées, comme Maximo Asset Management.

Les faits

Toutes les entreprises du classement Fortune 100 utilisent un système ERP pour gérer leurs activités, mais plus de la moitié d’entre elles s’appuie sur Maximo Asset Management pour gérer et entretenir leurs actifs stratégiques.

IntroductionPlusieurs idées fausses circulent sur la valeur, les fonctionnalités et le déploiement de solutions d’entreprise dans les secteurs utilisant des actifs de manière intensive. Ce livre blanc lève le voile sur ces mythes pour aider les décideurs à mieux appréhender le risque réel. La figure 4 compare les idées reçues évoquées dans ce livre blanc à la réalité.

Idée reçue Réalité

Les solutions ERP suffisent à gérer les infrastructures des entreprises En raison des risques potentiels associés à une panne d'actif, les

utilisant beaucoup d'actifs. solutions ERP ne sont pas appropriées dans les secteurs utilisant

beaucoup d'actifs intensifs car ils sont critiques.

Une solution ERP milite pour des coûts faibles et un risque moindre car Les écarts fonctionnels et les changements de processus métier

déjà en place et maîtrisée par l'entreprise. aboutissent à la création d'applications supplémentaires qui augmentent

le risque opérationnel et les coûts de mise en œuvre.

L'intégration des ERP avec des solutions spécialisées est complexe, Les nouvelles technologies embarquées ont permis de réduire le risque

risquée et coûteuse. et les coûts de l'intégration.

Les modules de gestion des actifs d'entreprise (EAM) des principaux La richesse fonctionnelle des solutions Maximo Asset Management a

fournisseurs de solutions ERP offrent de nombreuses fonctionnalités creusé l'écart avec les solutions ERP.

et sont comparables à Maximo Asset Management.

Les entreprises les mieux gérées n'utilisent que des systèmes ERP. La plupart des entreprises de renom utilisent également des solutions

spécialisées comme Maximo Asset Management, en plus d'un ERP.

Figure 4 : Idées reçues et réalités de l’ERP

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Les plates-formes ERP constituent une excellente base pour développer un environnement intégré de manière transparente et basé sur des solutions hétérogènes spécialisées. L’utilisation de Maximo Asset Management comme solution opérationnelle préserve l’intégrité des données, prend en compte la santé et la sécurité du personnel, facilite la mise en place de bonnes pratiques et leur transmission.

Pour plus d’informationsPour en savoir plus sur le logiciel IBM Maximo Asset Management, contactez votre responsable marketing IBM ou votre partenaire commercial IBM. Vous pouvez également consulter le site Web suivant : ibm.com/tivoli ou maximo.com

À propos des logiciels IBM TivoliLes logiciels IBM Tivoli permettent aux entreprises de gérer efficacement les actifs, tâches et processus informatiques afin de répondre à leurs besoins évolutifs et d’assurer une gestion souple et réactive du service informatique, tout en contribuant à réduire les coûts. Basées sur une gamme étendue de logiciels – sécurité, conformité, stockage, performances, disponibilité, configuration, opérations, gestion du cycle de vie de l’informatique –, les offres Tivoli s’appuient sur la qualité exceptionnelle des services, du support technique et des capacités de recherche d’IBM. Pour plus d’informations sur les logiciels IBM Tivoli, rendez-vous sur ibm.com/tivoli

De plus, IBM Global Financing peut vous aider à acquérir les solutions informatiques correspondant à vos besoins de la façon la plus rentable et stratégique possible. Nous nous associerons aux clients éligibles au crédit pour proposer une solution de financement informatique personnalisée, adaptée aux objectifs métier, permettant une gestion rentable des liquidités et améliorant le coût total de possession. IBM Global Financing est le choix idéal pour financer des investissements informatiques clés et faire prospérer votre entreprise. Pour en savoir plus, visitez le site web : ibm.com/financing/fr

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IBM France 17 Avenue de l’Europe 92275 Bois Colombes Cedex

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