Gazette n°52

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Gazette des Briataux n° 52

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La mairie de Brié-et-Angonnesest ouverte au public du lundi au vendredi

de 8 h 30 à 12 h et de 13 h 30 à 16 hTél. : 04 76 73 63 35Fax : 04 76 72 08 66

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Directeur de la Publication : Robert MeyerRédacteur en Chef : Yves Markowicz

Impression : imprimerie Notre-Dame 80 rue Vaucanson - 38330 Montbonnot

Imprimé sur papier recyclé 100 % - Encres à base végétaleCrédits photographiques : P. Blanc, E. Braure, L. Didot, Y. Markowicz, X. Vigouroux,Académie d’Aikido de Brié-et-Angonnes, CCAS Brié-et-Angonnes, CCAS Herbeys,

CCI Vosges, Club des briataux, CSC Malraux, GUC Tennis, Sud Grenoblois, Trièves Compostage, USJC Tennis, mairie de Brié-et-Angonnes

Photo de couverture : X. Vigouroux

ditorial

ommaireEditorial P 1L’Information de la municipalité P 2/3Vie communale P 4/5Dossier P 6/9Intercommunalité P 10/11Délibérations P 12Retour sur l’Actu P 13/14Associations P 15-17/18Infos pratiques P 20Etat-Civil P 20

Réactions, critiques, suggestions, … : [email protected]

La réunion du Conseil Municipal du 3 juillet 2012portait essentiellement sur les problèmesd’urbanisme, avec notamment le lancement de la révision du POS (Plan d’Occupation des Sols)afin d’instaurer un PLU (Plan Local d’Urbanisme). Il s’agit là d’une procédure à la fois lourde dans son fonctionnement et essentielle pour l’avenirde notre commune.Lourde tant au titre des études à entreprendre que de la durée d’instruction, qui portera au minimum sur 2 à 3 ans. Essentielle, avec la définition de la configuration que noussouhaitons donner à notre village au cours des décennies à venir.Il s’agira d’un exercice difficile à réaliser, avecl’obligation de définir notre politique communale en conformité avec les orientations retenues sur le plan national par la loi « Grenelle 2 », et sur le plan départemental par le SCoT (Schéma de Cohérence Territoriale) de l’agglomérationgrenobloise, en cours de validation. Il nous faudra trouver le juste équilibre entre la maîtrise d’une urbanisation densifiée sur les zones déjà constructibles et la protection – voirele développement – des zones réservées àl’agriculture et à la valeur paysagère.

Ce même équilibre devra se retrouver dans la limitation des autorisations de permis de construire et une évolution restreinte de la démographie, celle-ci devant être compatibleavec les infrastructures de la commune et le nécessaire renouvellement de la population.Notre futur PLU devra également tenir compte de l’indispensable développement économique,générateur d’emplois, tout en recherchant des solutions favorisant les transports en communet réduisant les nuisances en termes de pollution.Il s’agit d’un vaste programme qui nécessiterabeaucoup de concertations et de débats, et qui créera malheureusement aussi desdésillusions pour les propriétaires fonciers situés sur des zones à vocation agricole. L’intérêt généraldevra en l’occurrence primer sur l’intérêt particulier.En effet, le maintien d’une agriculture à un bonniveau reste prioritaire pour notre village, d’où le dossier que nous vous proposons dans la présente édition de la Gazette. Bien quenous habitions une commune périurbaine, nous souhaitons lui maintenir la consonance ruraleléguée par nos aïeux, et qui lui va tellement bien !Bonne rentrée à tous !

Robert MEYER

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de la municipalité

BBrèvesDans votre agenda• Lundi 24 septembre – 20 h – Conseil municipal (mairiede Brié-et-Angonnes)• Mardi 2 octobre – 18 h 30 – Atelier compostage (chezM. et Mme Voiron, 711 route de Souveyron)• Vendredi 5 octobre – 15 h / 18 h – Consultancearchitecturale (mairie de Brié-et-Angonnes)• Mardi 30 octobre – 20 h – Conseil municipal (mairie de Brié-et-Angonnes)

Bravo et merciLors de sa séance du 3 juillet dernier, le Conseil Municipala voté la suppression d'un emploi d'adjoint technique 2ème

classe et la création concomitante d'un emploi d'adjointtechnique 1ère classe. A l’origine de cette décision, laréussite à un concours de l’un des membres des servicestechniques, Michel Mollard, qui lui permettait de postulersur un emploi de niveau supérieur. Il a paru légitime auxélus de créer le support d’emploi afin que le lauréatbénéficie des avantages de son succès.A cette occasion, la municipalité tient à féliciter Michel, età le remercier de son investissement pour la préparationde ce concours. Un travail personnel, sur son temps libre,qui bénéficiera à la commune à travers les compétencesacquises par l’intéressé, qui plus est certifiées par sabrillante réussite.

Pour les accros du smartphoneL'accès au site internet de la commune par des mobilesest en forte augmentation. C’est pourquoi un système aété mis en place qui permet de faire un affichage simplifiédu site lorsqu’on accède au site par un smartphone.N’hésitez pas à faire le test, et à faire part au webmasterde vos éventuelles critiques.

SécheresseSi les pluies du printemps ont permis de combler le retardaccumulé à la suite de la faiblesse des précipitationsaccusée en février et mars, le mois de juillet a été marquépar un fort déficit pluviométrique. Les précipitations des5 et 6 août derniers ont bien permis une rechargetemporaire des cours d'eau, mais le déficit resteimportant et aucune précipitation significative n'estattendue prochainement.Bien que les cumuls pluviométriques sur une périodeallant de l’automne 2011 à juin 2012 inclus présententune allure proche des normales et que la situation desnappes ne soit pas problématique dans le département,en revanche, le déficit se creuse au niveau de la ressourcesuperficielle (cours d'eau), en particulier sur les territoiresde montagne. C’est pourquoi le comité de vigilancesécheresse – qui rassemble les services de l’Etat, Météo-France et les représentants des usagers de l’eau – aproposé au Préfet toute une série de mesures.En ce qui concerne la commune de Brié-et-Angonnes, ils’agit uniquement d’une situation de vigilance pour laressource superficielle, et aucune restriction n’estimposée. Il est cependant demandé à chacun de modérersa consommation d’eau à usage domestique ouprofessionnel : la diminution des prélèvements dans lemilieu naturel permettra de soulager la ressource, et doncde retarder l’éventuel renforcement des restrictions. Lacanicule de la mi-août ne fait que renforcer cesrecommandations.

HHaauussssee ddeess ttaarriiffss ppéérriissccoollaaiirreessInchangés depuis septembre 2004, les tarifsde la cantine augmentent à la rentrée 2012 de5 à 30 centimes par repas selon le quotientfamilial. Un chiffre à mettre en regard du coûtréel du service, estimé à 9,47 t pour2011/2012 (coût du repas, encadrement etdépenses de fonctionnement).Si la situation est restée stable aussi longtemps,la raison principale en revient aux engagementspris par la précédente municipalité : partageréquitablement les responsabilités financièresentre familles et commune. Or, l’évolution de ladémographie locale a eu pour conséquencesune forte hausse du nombre d’enfants inscrits àla cantine – entraînant de facto une diminutionde la part de frais fixes par enfant – et undéplacement de la répartition des quotientsfamiliaux vers les tranches supérieures dubarème initialement mis en place, avec pourconséquence des ressources plus importantesà nombre de repas égal.Mais, au cours du temps, le coût de la vie, et doncdes services – repas, frais de personnel –,augmente inexorablement : au cours des huitdernières années, l’inflation s’est élevée àenviron 14 %. Et, du coup, la part de lacommune a fortement progressé depuis deux

ou trois ans. Il était temps de rééquilibrer lescomptes : cette augmentation devrait générerune augmentation des recettes d’environ 4,6 %.Une hausse de 10 centimes sera égalementappliquée aux tarifs de la garderie, qui avaientété revus à la rentrée 2007.Ces ajustements s’accompagnent d’unenouvelle mesure, qui facilitera le règlement desfactures de cantine et de garderie : la possibilitéde régler par télépaiement, dès le 2nd semestre2012. En accord avec la Trésorerie de Vizille,la commune devient en effet la 29ème communede l’Isère à mettre en place un tel moyen depaiement, qui devrait être par la suite étenduaux abonnés du service public d’eau etd’assainissement.

Cantine scolaire

Quotient Familial Tarif 2011 Tarif 2012

QF ≤ 500 1er enfantautres enfants

2,30 t1,80 t

2,35 t1,85 t

501 ≤ QF ≤ 700 1er enfantautres enfants

3,50 t2,80 t

3,60 t2,90 t

701 ≤ QF ≤ 900 1er enfantautres enfants

4,40 t3,60 t

4,55 t3,75 t

901 ≤ QF ≤ 1100 1er enfantautres enfants

4,90 t4,00 t

5,10 t4,20 t

1101 ≤ QF ≤ 1300 1er enfantautres enfants

5,30 t4,30 t

5,50 t4,50 t

1301 ≤ QF ≤ 1450 1er enfantautres enfants

5,60 t4,50 t

5,85 t4,75 t

1451 ≤ QF 1er enfantautres enfants

5,90 t4,70 t

6,20 t5,00 t

Garderie périscolaire

Garderie périscolaire Tarif 2011 Tarif 2012

Tarif horaire 1,50 t 1,60 t

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de la municipalité

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DDuu nnoouuvveeaauu ppoouurr lleess llooyyeerrssDDeeppuuiiss llee 11eerr aaooûûtt 22001122,, lleess llooyyeerrss ssoonntt eennccaaddrrééssddaannss lleess zzoonneess ooùù llee mmaarrcchhéé llooccaattiiff eesstt ddiitt «« tteenndduu »».. BBiieenn qquuee BBrriiéé--eett--AAnnggoonnnneess nnee ssooiitt ppaassccoonncceerrnnééee,, ccee ddiissppoossiittiiff ppeeuutt iinnttéérreesssseerr lleess bbrriiaattaauuxxppoosssseesssseeuurrss ddee bbiieennss ssuurr dd’’aauuttrreess ccoommmmuunneess..Le décret d’encadrement des loyers du 20 juillet2012 ne s’applique que dans les agglomérationsoù le niveau et l’évolution des loyers révèlent unesituation anormale du marché locatif. L’encadrementconcerne les nouvelles locations de logementsinoccupés, reloués entre le 1er août 2012 et le 31juillet 2013, ainsi que les renouvellements decontrats entre ces mêmes dates. La fixation du loyerreste libre pour les logements neufs, les logementsvacants répondant aux critères de décence et misen location pour la première fois et les logementsvacants dans lesquels le bailleur a réalisé depuismoins de six mois des travaux d’un montant aumoins égal à une année du loyer antérieur.L’encadrement des loyers concerne les autres cas.Pour les nouvelles locations de logements anciensrépondant aux caractéristiques de décence, quelleque soit la durée de l’inoccupation, le loyer dulogement reloué ne peut excéder le dernier loyerappliqué au précédent locataire révisé en fonctionde l’indice IRL (Indice Référence Loyer). Unemajoration à la relocation peut toutefois êtreappliquée :• si des travaux d’amélioration sur les partiesprivatives ou communes ont été réalisés depuis ledernier contrat de location, pour un montant aumoins égal à la moitié de la dernière année de loyer,auquel cas une augmentation sur le loyer annuelpeut s’appliquer, qui ne peut excéder 15 % du coûtréel des travaux TTC ;• si le loyer est manifestement sous-évalué maisque le bailleur n’a pas réalisé de travauxd’amélioration, la hausse applicable est égale à lamoitié de la différence entre le loyer déterminé parréférence aux loyers habituellement constatés dansle voisinage et le loyer appliqué au précédentlocataire ;

• si le loyer est manifestement sous-évalué parrapport au loyer du voisinage et que des travauxd’amélioration ont été réalisés, auquel cas uneaugmentation peut être pratiquée soit sur le loyermensuel, qui correspond à la moitié de la différenceentre le loyer fixé par référence aux loyers duvoisinage et le dernier loyer pratiqué, soit sur le loyerannuel, d’au plus 15 % du coût des travauxd’amélioration (dont le montant doit être au moinségal à la moitié du montant de la dernière année deloyer), sachant que la hausse ne peut excéder laplus élevée des deux augmentations.Pour les baux faisant l’objet d’un renouvellement decontrat, la hausse applicable ne peut excéder lavariation de l’IRL sous réserve qu’une clause derévision soit prévue au contrat. La fixation d’unnouveau loyer est cependant possible si celui-ci estmanifestement sous-évalué :• si le bailleur a effectué des travaux d’améliorationla majoration du loyer est subordonnée auxconditions suivantes : coût des travaux au moinségal au montant du dernier loyer annuel ; mise enoeuvre par le bailleur d’une proposition derenouvellement pour loyer sous-évalué conforme àl’article 17c de la loi du 6 juillet 1989 ;augmentation soit sur le loyer mensuel,correspondant à la moitié de la différence entre leloyer fixé par référence aux loyers du voisinage et ledernier loyer pratiqué, soit sur le loyer annuel,correspondant à 15 % du coût des travauxd’amélioration ;• si le bailleur n’a pas effectué de travaux mais quele loyer est manifestement sous-évalué, la hausseapplicable est égale à la moitié de la différence entrele loyer déterminé par référence au voisinage et leloyer à la date du renouvellement, et nécessite lerespect de la procédure de l’article 17c de la loi du6 juillet 1989.Un étalement de l’augmentation est applicable surune période de 6 ans si la hausse est supérieure à10% par rapport au précédent loyer. Si la hausse estinférieure à 10%, elle est étalée en fonction de la

durée du bail renouvelé par tiers lorsque le bail estde 3 ans (propriétaire particulier) ou par sixièmelorsque le bail est de 6 ans (propriétaire personnemorale).En cas de non respect de l’encadrement, aucunesanction n’a été prévue par la loi. Toutefois lacommission départementale de conciliation peutêtre saisie pour une éventuelle contestation. En casd’échec de la conciliation le juge d’instance pourraêtre saisi.Pour connaître les zones définies comme tenduesdans le département de l’Isère, et pour toutesinformations complémentaires : ADIL 38, 2 boulevard Maréchal Joffre, 38000 Grenoble - 04 76 53 37 30 - wwwwww..aaddiill3388..oorrgg..

EEnn mmaattiièèrree ddee llooccaattiioonn,, lleess ddééllaaiiss àà rreessppeecctteerr aaffiinn ddeeddoonnnneerr ccoonnggéé eett rroommpprree llee ccoonnttrraatt ssoonntt llooiinn dd’’êêttrreeiiddeennttiiqquueess.. EEnn eeffffeett,, llaa llooii pprréévvooiitt ddeess ddééllaaiiss ddiissttiinnccttsssseelloonn llee ssttaattuutt ddee llooccaattaaiirree oouu pprroopprriiééttaaiirree bbaaiilllleeuurr eettllee ccaarraaccttèèrree vviiddee oouu mmeeuubblléé dduu llooggeemmeenntt..

En matière de location videLa loi du 6 juillet 1989 s’applique en principe àtous les logements loués non meublés qui sont larésidence principale du locataire. Elle prévoit que lelocataire peut donner congé à tout moment enrespectant un préavis de trois mois. Toutefois, cedélai peut être réduit à un mois quand le locataireperçoit le RSA, en cas d’obtention d’un premieremploi, d’un nouvel emploi consécutif à une perted’emploi, de mutation professionnelle et de perted’emploi. Une possibilité de réduction du préavisexiste également pour un locataire âgé de plus de60 ans dont la nécessité de déménager estattestée par un certificat médical.Le propriétaire ne peut donner congé qu’au termedu bail, en respectant un préavis de six mois etdans trois situations prévues par la loi : vente dulogement, occupation personnelle ou familiale, motiflégitime et sérieux (par exemple, des impayés deloyers ou un défaut d’assurance).Il existe également une protection du locataire âgéde plus de 70 ans qui dispose de ressourcesinférieures à une fois et demie le montant annuel duSMIC, le bailleur pouvant être amené dans certainesconditions à lui proposer un nouveau logement.

En matière de location meubléeL’article L.632-1 du Code de la construction et del’habitation dispose que le locataire pourra donnercongé à tout moment en respectant un préavis d’unmois. Ce texte étant d’ordre public, il ne prévoitaucune exception.Le propriétaire doit respecter un préavis de troismois et motiver la non-reconduction du bail par ladécision de vendre le logement, de le reprendre oupar un motif légitime et sérieux. En matière delogement social, il existe un délai d’un mois en casde mutation chez le même bailleur et de deux moischez un autre bailleur.

NB : C’est toujours le moment de la réception ducourrier recommandé qui marque le point de départdu préavis et non son envoi.

Demandeur Objet Arrêté AdresseBaumann 1 habitation 24/11/11 Le Montiou

Excousseau 1 habitation 02/12/11 Le Mont RollandMainguenaud/Clochereau 1 habitation 15/03/12 Le Mont Rolland

Finet bâtiment agricole- réhabilitation grange 16/05/12 Les Métraux

Cartier-Millon 1 habitation 21/06/12 Le MontiouNombre de PC habitation : 5 pour 5 logements Nombre de PC autres : 7 (extensions)Nombre de PC modificatifs : 6 (modification ouverture, modifications diverses, transfert PC)Nombre de déclarations préalables délivrées : 20 (abri de jardin, murette, piscine, détachement parcellaire, réfection de toiture, panneauxphotovoltaïques, ravalement de façade, auvent, véranda, clôture, portail, abri bois, buanderie, …)

SSttaattiissttiiqquueess ddeess ppeerrmmiiss ddee ccoonnssttrruuiirreedélivrés fin 2011 et au 1er semestre 2012

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BBrèvesRéflexologieUne seconde réflexologue vient de s’implantersur la commune : membre de la FédérationFrançaise des Praticiens et Enseignants enRéflexologie, Aurélie Drevon-Gaillot reçoit au 132chemin Bouvier, à Tavernolles. Pour la contacter,téléphoner au 06 86 22 39 12 ou envoyer uncourriel à [email protected].

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communale

RReennttrrééee ssccoollaaiirree

Patrimoine etmusiqueAA ll’’ooccccaassiioonn ddeess JJoouurrnnééeess EEuurrooppééeennnneess dduu PPaattrriimmooiinnee,, llaacchhaappeellllee SStt HHiippppoollyyttee ddeess AAnnggoonnnneess aaccccuueeiillllee ll’’eennsseemmbblleevvooccaall LLaa QQuuiinnttee dduu LLoouupp ppoouurr uunn ccoonncceerrtt ddééddiiéé àà SScchhüüttzzeett MMoonntteevveerrddii,, ssaammeeddii 1155 sseepptteemmbbrree àà 2200 hh 3300..Compte tenu de l'exiguïté des lieux, nous ne pourronsaccueillir qu'une soixantaine de personnes : il est conseilléde réserver ses places auprès du secrétariat de la mairiependant les heures ouvrables (04 76 73 63 35) ou parcourriel ([email protected]).La chapelle, édifice médiéval reconstruit au 17ème siècle,sera ouverte au public samedi 15 et dimanche 16, de 14à 18 h, avec des visites guidées toutes les heures. A cetteoccasion, le « patrimoine oublié » sera mis en valeur : neuf livres d'art restaurés – essentiellementdes missels et des graduels, dont le plus ancien date de 1663 – seront présentés pour la premièrefois au public. L'église St Pierre de Brié, fondée en l'an 432, remaniée aux 11ème et 17ème siècles puis modifiée au19ème siècle, ne sera pas en reste : samedi 15 et dimanche 16, de 14 à 18 h, les visiteurs pourrontlibrement découvrir l’histoire du lieu grâce à de nouveaux panneaux d’information, et admirer lesstatues et boiseries et le maître autel restaurés. Ce dernier, en marbre composite des 18ème et 19ème

siècles de belle qualité, acheté au curé du Péage de Roussillon et installé au chevet de l'église en1889, a bénéficié d'un soin particulier.Pour mémoire, les dépenses engagées pour les restaurations des objets culturels de la communesont prises entièrement en charge par des mécènes. Qu'ils en soient ici remerciés !

Avec la fermeturee dde cllaasssee ddécciddééee ppaarr laaDirection des Serrvicces DDéépaartteemmeennttaaux del’Education Nationale de ll’IIsèree,, ill yy aadésormais autant de cclassssees que ddee nniveaauxxau groupe scolairee duu Barllatieerr.. Maaiss lenombre de naissances vvaarie bbeeauucoupp d’uunneannée sur l’autre,, eett uune nouvelle ffooiiss, lecasse-tête des niveauuxx doouubblless a oocccupél’équipe enseignannte avvaanntt qquuee de parrttir ppoouurrdes vacances bienn mméérrittééees…

Cette année, l’école accueille 205 enfants, soit19 de moins que l’an passé. Un chiffre quimasque un flux sortant important : les 37enfants de la génération 2001, dont lesDemain le collège… de la dernière Gazettes’apprêtent à devenir Aujourd’hui. Encontrepartie, mardi 4 septembre, 22 enfantsdécouvriront la classe de Petite Section, dont3 nés en 2010.

La commune retrouve, à deux unités près,l’effectif scolaire de 2005/2006. Le nombred’enfants scolarisés – conforme à ce qui avaitété anticipé – n’a pas permis de sauver laclasse de M. Fourchet, et celui-ci a donc dûnous quitter. Conséquence du passage à 8classes, le nombre d’enfants par classe est enlégère augmentation, passant de 24,9 à25,6.

Parmi les 75 enfants de maternelle, 33 sonten Moyenne Section et 27 en GrandeSection. Du coup, les enseignantes ont optépour une Petite Section à faible effectif confiéeà Isabelle Mollard – qui est de retour de congématernité et travaillera désormais à 50 %, uneenseignante étant nommée à la rentrée pourassurer les deux autres journées – et deuxclasses mixtes Moyenne/Grande Sections,sous la houlette d’Alexandrine Régnat etAnnick Bournique.

Côté élémentaire, ils sont 130, le nombred’enfants par tranche d’âge variant de 23 à33, avec un effectif maximum pour les CE1(à l’origine des difficultés rencontrées quant àla constitution des classes). Après mûreréflexion, l’équipe enseignante a opté pour desniveaux uniques : 23 CP avec Claire Valchera,28 CM1 avec Sylvie Virieu, et 25 CM2 avecDenis Chambaz. Les CE1 seront répartis entreune classe à niveau unique de 27 élèves, avecCécile Sanfilippo, et un CE1/CE2 de 27enfants, confié à Laurence Licinio qui retrouveles CE2 qu’elle avait délaissé l’an passé.

A quelques jours de la rentrée, noussouhaitons aux enfants et enseignants – sansoublier les parents d’élèves – une excellenteannée scolaire.

Du côté de la bibliothèqueVVoouuss aavveezz aaiimméé LL''HHoommmmee qquuii mmuurrmmuurraaiitt ààll''oorreeiillllee ddeess cchheevvaauuxx,, ddee NNiicchhoollaass EEvvaannss ??AAlloorrss,, nnee rraatteezz ppaass ssoonn nnoouuvveeaauu lliivvrree,, LLeessbblleessssuurreess iinnvviissiibblleess..Evans nous conte l’histoire de Tommy, unenfant de huit ans qui, après les châtimentscorporels d’un pensionnat anglais desannées 50, va découvrir le rêve holly-woodien… mais aussi l'envers du décor, faitde mensonges et de violence. Une nouvellefois, les chevaux sont présents à traversl’amitié du gamin pour Cal, un dresseur dechevaux de cinéma. Tommy, devenu adulte,restera marqué par les traumatismes de sonenfance et une relation père-fils houleuse.D’autres nouveautés vous attendent à laBibliothèque municipale, parmi lesquellesLes dames de Rome de FrançoiseChandernagor, second volet des Enfantsd'Alexandrie, qui s'ouvre sur l'arrivée àRome des trois enfants de Cléopâtre et deMarc Antoine, exhibés lors du triomphed'Octave avant d'être confiés à la sœur dunouvel empereur. Et pour les amateurs desagas historiques, Mourir pour Saragosse deMichel Peyramaure, qui relate l’épopée dubaron Antoine-Joseph de Barsac, gentil-homme paysan attaché à sa terrepérigourdine qui, alors que la frénésierévolutionnaire enflamme la France, n’ad’autre choix que de s’engager dansl’armée, délaissant sa promise, la belleHéloïse. Et côté polars, ne ratez pas Le poids desmensonges de Patricia Mac Donald – unthriller psychologique doublé d’une histoirefamiliale gratinée ! – et Sous haute tensionde Harlan Coben, qui mêle meurtres,drogue, rock’n’roll et mafia, traque surFacebook et secrets familiaux, et nousamène à nous demander si, parfois, de jolismensonges ne valent pas mieux qu’unecruelle vérité…

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communale

LLe CCAS à votre serviceEtablissement public autonome, le CentreCommunal d’Action Sociale a pour mission demettre en œuvre la politique d’action sociale dela commune. Le Maire, Président de droit, dirigele Conseil d’Administration composé à partségales de conseillers municipaux et de membresde la société civile.

Le CCAS de Brié-et-Angonnes propose etdéveloppe des actions de proximité à caractèresocial en direction des familles, des personnesâgées et handicapées, de la petite enfance et desjeunes. Il répond également aux demandes d’aideou d’assistance exprimées par des personnesfragilisées ou leurs proches.

Aide socialeBien que la commune soit considérée comme riche du fait du revenu moyen de ses habitants,les problèmes existent pour certains briataux etjustifient notre assistance. Ainsi, au cours des 6derniers mois, 15 nouveaux dossiers à caractèresocial ont-ils été montés pour l’accès à 25prestations diverses.

Commerce ambulantGrâce à la persévérance des élus des CCAS deChampagnier, Montchaboud, Saint-Pierre-de-

Mésage et Brié-et-Angonnes, le commerceambulant de Fabien Gobert a fait son apparitionfin mai sur notre territoire. Venez à sa rencontrele mercredi de 16 à 17 h sur le parking de lamairie, ou faites appel à ses livraisons à domicile.

Les seniors en vacancesEn juin dernier, pour la quatrième annéeconsécutive, 30 seniors sont partis en vacances,pour un séjour soutenu par le CCAS et l’ANCV.Cette année, c’est le Cap d’Agde qui accueillaitnos anciens, ainsi que ceux des communes deBresson et Herbeys, dont les CCAS étaient co-organisateurs. En 2013 est prévue la découvertedes plus beaux sites et des spécialités culinairesde Bretagne ou de Normandie : si vous êtestentés par l’aventure, n’hésitez pas à aller à larencontre du CCAS en mairie, lors de lapermanence du mardi matin.

CaniculeDans le cadre du plan canicule préfectoral, leCCAS a recensé 15 personnes fragilisées sur lacommune. Chacune d’entre elles a étépersonnellement informée des préconisationsnécessaires en termes de comportement sur lespériodes de grande chaleur. Ces personnesseront tout particulièrement suivies en cas dedéclenchement du plan d’alerte départemental,comme nous le faisons également en hiver pourle déneigement. A cette occasion, nous rappelons aux habitantsqu’ils ne doivent pas hésiter à contacter le CCASs’ils constatent une situation délicate concernantune personne âgée ou handicapée vivantseule… tout comme, d’ailleurs, pour despersonnes plus jeunes, qui peuvent elles aussivivre des situations délicates !

Projets de collaboration entre laMAS Le Val Jeanne Rose et lesassociations localesLors de la construction de la Maison d’AccueilSpécialisée, la municipalité s’était engagée àmettre en place une collaboration entre le CCAS,les associations communales et la MAS.Dans un premier temps, le CCAS avait pris langueavec l'association Sport Adapté, dont une salariéediplômée interviendra 2 heures par semaineauprès des résidents à partir de septembre. LeCCAS participera financièrement à cette activité.Mi-juin, une réunion avec les principalesassociations locales – Union des Habitants, Clubdes Briataux, Arts et Loisirs, APE – avait lieu à laMAS, afin d’étudier ensemble les actions quipourraient être menées pour favoriser le lien entreles résidents et le village tout en témoignant ainsinotre soutien à leurs familles. Cette réunionconviviale et très riche en idées partagées apermis d’envisager de nombreuses pistes decollaboration – participation de résidents de laMAS aux manifestations organisées tout au longde l’année par les associations, organisationd’événements associatifs sur place –, pour leplus grand plaisir des résidents.

Carnet de voyage en BolivieIl y a une dizaine d’années, dans le cadre d'une mission pour l’UNESCO, l’artiste fontainoise Elisabeth Braure s’attachait à dessinerla place des femmes dans les villages andins. L’artiste aime aller à la rencontre des gens, les dessiner, tisser des liens et nouerdes échanges, capter quelque chose de leur vie, partager leur vie quotidienne et accéder à leur intimité. Les croquis et encresque ce voyage va inspirer sont à la base de l’exposition accueillie à la Bibliothèque municipale Paul Blanc cet automne.Objets de la vie quotidienne et œuvres de l’artiste vous proposent de découvrir le quotidien des femmes boliviennes. Vousdécouvrirez les travaux des champs à Juella, les commerçantes et restauratrices de Potosi – l’une des villes les plus hautes dumonde, à 4070 mètres d’altitude, construite au pied du Cerro Rico, une montagne de minerai d'argent – et la cuisine de Teodora.Et aussi, surtout, le trait noir et appuyé d’Elisabeth Braure, qui donne sa force aux encres exposées et aux personnages représentés,pris dans leur occupations, dans la tension d’un geste, d’un regard, d’un clair obscur, d’un détail parfois rehaussé de brou de noixou d’une seule couleur.

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Demandes traitées par le CCAS

Aide ménagère

Aide sociale

Aides exceptionnelles

Allocation AdultesHandicapés

Allocation Personnaliséed’Autonomie

Demandes de secours

Dossiers maison de retraite

Livraisons de repas

Obligation alimentaire

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LL’agriculture communale

UUnnee ccoommmmuunnee –– eennccoorree –– aaggrriiccoolleeA 10 km du centre-ville de Grenoble, avec unepopulation constituée majoritairementd’habitants installés sur la commune depuismoins de 10/15 ans et qui travaillent – pourl’essentiel – sur le territoire de la Métro, Brié-et-Angonnes est ce qu’on appelle unecommune périurbaine. Elle se situe dans ce queles premières réflexions sur l’aménagement del’agglomération grenobloise ont appelé le « poumon vert de Grenoble », et sondéveloppement urbanistique – relativementrécent – reste contraint par cette idée, y comprisdans les futurs Schéma de CohérenceTerritoriale et Plan Local d’Urbanisme (PLU).

Notre commune s’étend sur 970 hectares, dont487 de terres agricoles. La plupart d’entre ellessont cultivées, une chance pour la diversité despaysages : quand les surfaces agricoles ne sontpas exploitées – et entretenues –, la forêt atendance à se développer et occuper ce quiétait, il y a encore quelques années, des terresde pâtures. La question du maintien d’uneactivité agricole sur la commune est donccruciale pour la structuration de l’espacecommunal, ainsi que pour l'économie locale.

Lors du recensement général de l’agriculture de2000, la Superficie Agricole Utilisée (SAU) parles 26 exploitations communales était de 570hectares2. Ces chiffres témoignaient d’un netrecul par rapport au recensement de 1988 –38 exploitations pour une SAU de 694 ha. Endépit d’une chute de 18 % de la SAU, lacession d’activité d’un tiers des exploitationsavait pour conséquence une augmentation de lataille moyenne des exploitations restantes : 21,9hectares en 2000, contre en 18,3 en 1998.Des superficies qui restent faibles si l’on vise la

rentabilité pour une activité traditionnelle à pleintemps.3

Depuis 2000, si les surfaces agricoles se sontstabilisées, voire ont légèrement progressé, pourle reste, la situation s’est encore dégradée.4

Selon la Chambre d’Agriculture de l’Isère, il n’ya plus aujourd’hui que 12 exploitations enactivité à Brié-et-Angonnes. S’y ajoutent unagriculteur de Vif – Jean-Pierre Cochet, qui, àBrié-et-Angonnes, exploite essentiellement lesterres de la famille de son oncle, récemmentretraité – ainsi que quelques agriculteursretraités5.

LLeess aaggrriiccuulltteeuurrss bbrriiaattaauuxxQuand on lui demande combien il y ad’agriculteurs sur notre commune, MarionCanaud, conseillère transmission à la Chambred’Agriculture7, commence par hésiter... entre lacomplexité des données provenant du Centrede Formalité des Entreprises8, les difficultés àobtenir des informations stabilisées de la partde la Mutuelle Sociale Agricole (MSA) – àlaquelle s’inscrivent les agriculteurs – et desexploitants qui, quand ils cessent leur activité,ne le déclarent pas toujours, il est difficile d’avoirdes chiffres fiables.

Par ailleurs, il y a agriculteurs… et agriculteurs.Pour la MSA, tout dépend de la surfaceexploitée, de la valeur ajoutée sur la surface – c.a.d. du type de production – et, le caséchéant, de la taille du cheptel. Au-dessus d’une

1 Animateur à l’Association pour le Développement de l’Agriculture dans l’Y Grenoblois (ADAYG) jusqu’au démantèlementde cette structure, Thierry Loeb travaille maintenant sur les problématiques agricoles à la Métro.2 La différence entre SAU communale – 487 ha – et SAU exploitée par les agriculteurs communaux – 570 ha – s’expliquepar le fait que certains exploitants utilisent également des terres surd’autres communes (alors qu’une partie de la SAU communaleest exploitée par des agriculteurs non briataux…).3 A titre de comparaison, la surface moyenne des exploitationsdans les communes voisines était de 22,5 ha à Jarrie, 31,3 àHerbeys et 45,6 à Champagnier.4 Selon le recensement général de l’agriculture de 2011, le nombre d’exploitations agricoles en Isère a encore chuté de 28 % par rapport à 2000, et celui des actifs permanents de 31 %. On constate une augmentation du nombre d’exploitationsde plus de 100 ha ou générant un chiffre d’affaire supérieur à100 kt annuels, aux dépens des autres types de structures.5 Les agriculteurs retraités ont le droit de conserver jusqu’à 1,94ha et quelques têtes de bétail pour leur propre consommation.6 Sur le plateau, le nombre moyen d’actifs agricoles par exploita-tion tourne autour de deux quelle que soit la commune, mais avecde grandes variations (à Herbeys, le GAEC du Thicaud emploie àlui seul 8 personnes !).7 Elle aide les exploitants en fin de carrière à assurer l’avenir de leurexploitation, si possible via la transmission à un jeune agriculteur.8 Dédiés à l’aide aux créateurs d’entreprises, les CFE immatricu-lent toutes les entreprises, mais recensent dans un même ensemble aussi bien les exploitations agricoles stricto sensu quedes paysagistes, des entreprises concernées par la transformationde produits de l’agriculture, …

MMii--jjuuiilllleett,, lleess cchhaammppss ddee BBrriiéé--eett--AAnnggoonnnneess ssee ssoonntt ccoouuvveerrttss ddee rroouulleeaauuxx ddee ppaaiillllee eett ddee ffooiinn,, eett oonn ssee pprreenndd àà rrêêvveerr ddee ll’’aassppeecctt ppiiccttuurraall –– VVaann GGoogghh ?? ––qquu’’aauurraaiieenntt ppuu aavvooiirr ddeess pphhoottooss aaéérriieennnneess...... EEnn ddééppiitt dd’’uunnee ffoorrttee mmuuttaattiioonn ssoocciioollooggiiqquuee eett dd’’uunn uurrbbaanniissmmee iimmppoorrttaanntt ddeeppuuiiss uunnee qquuaarraannttaaiinnee dd’’aannnnééeess,,nnoottrree ccoommmmuunnee aa ssuu ccoonnsseerrvveerr ssoonn hhéérriittaaggee rruurraall..

Pour Thierry Loeb1, l’un des meilleurs connaisseurs de l’agriculture sur le territoire du Sud Grenoblois, Brié-et-Angonnes dispose d’un excellent potentiel– exploitations peu morcelées et peu enclavées au sein de zones urbanisées, bâti de qualité, tailles d’exploitations correctes, terres majoritairementmécanisables – qui fait d’elle LA commune agricole du plateau de Champagnier. Mais l’agriculture en zone périurbaine est fragile, confrontée à uneurbanisation toujours plus agressive, à une désaffection des nouvelles générations pour la profession d’agriculteur et aux handicaps que constituent –pour ceux qui souhaiteraient s’installer – la forte pression foncière et la frilosité des banques.

Majoritairement « importés », les briataux, s’ils apprécient cet environnement rural, ne sont généralement pas au fait de la réalité vécue par leurs concitoyensagriculteurs. Entre travaux des champs, traite du bétail et autres activités professionnelles, la Gazette est allée à leur rencontre.

En ce qui concerne le nombre d’actifs agricoles,là aussi, les effectifs ont fortement baissé : 67actifs en 1988, 59 en 2000, 13 en 2012. ABrié-et-Angonnes, on ne recense désormaisplus qu’un seul actif par exploitation, alors qu’ily en avait généralement deux à trois au coursdes décennies précédentes6. Et ces actifs ont,pour la plupart, une autre activitéprofessionnelle, qui constitue leur principalesource de revenus.

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LLee ggrroouuppee ssccoollaaiirree dduu BBaarrllaattiieerr

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certaine surface9, l’exploitant est considérécomme chef d’exploitation ; en dessous, onparle de cotisant solidaire10. Par contre, le tempsde travail de l’agriculteur n’est pas pris encompte. Et pourtant…

Car celui-ci constitue une donnée capitale pourles exploitations. Ainsi, parmi les treize exploitantsrecensés par la Chambre d’Agriculture, seuls cinqsont agriculteurs à plein temps. Parmi eux, troisont une activité conforme à l’image que le grandpublic se fait généralement du métier : ils seconsacrent essentiellement à l’élevage, vacheslaitières pour Daniel Guimet, à Briançon, vachesallaitantes pour Daniel Robert, à Mont Rolland, etJean-Pierre Cochet. Philippe Mercier a, lui, montéune structure dédiée à l’élevage et au gardiennagede chevaux, une forme d’agriculture particulière –très développée à Champagnier et Jarrie – danslaquelle Sébastien Papet s’apprête également àse lancer.

Les 8 autres sont ce qu’on appelle des « pluriactifs » : déclarés en tant qu’agriculteursauprès de la MSA, ils exercent ce sacerdoce encomplément d’une autre activité professionnelle,souvent salariée, qui leur assure un revenu fixe.11

A deux exceptions près, il s’agit d’éleveurs devaches allaitantes, l’un d’entre eux possédantégalement un troupeau de brebis qui passe lesbeaux jours sous la garde d’un berger dans unalpage du côté de Valsenestre. Aux Angonnes, ontrouve un éleveur de volailles – poulets, pintadeset dindons (essentiellement nourris au grainproduit sur place) – qui fait également un peu demaraîchage. Et aux Métraux, un projet d’élevagede volailles fermières est en train de voir le jour.

UUnnee aaggrriiccuullttuurree pplluuttôôttccoonnvveennttiioonnnneelllleeA la – notable – exception d’Herbeys,l’agriculture sur le Sud Grenoblois correspondà des modèles traditionnels, avecessentiellement des filières de production demasse, sans transformation. La perception dumétier, en particulier à Brié-et-Angonnes, estessentiellement patrimoniale : pas d’innovationmajeure, on continue à faire comme avant. Avecpour conséquence, dans un environnement deplus en plus mondialisé, des revenus faibles.

Peu de recours aux circuits courts également, lacommercialisation des produits se faisantgénéralement via des négociants, coopérativesou industries agro-alimentaires. La défunteADAYG a d’ailleurs toujours été surprise par lefait qu’aucune des exploitations du secteurn’avait adhéré à la charte Terres d’Ici.

Une telle agriculture à faible valeur ajoutéenécessite soit de grandes surfaces, soit uneactivité professionnelle complémentaire, lesrecettes d’exploitation – malgré une réellerecherche de rentabilité – couvrant parfois àpeine les charges. Pour Jean-Michel Finet, ladouble activité est la seule issue viable pour unagriculteur, vu la faiblesse des superficiesmoyennes des exploitations12. Actuellement,cette deuxième activité consiste généralementen un emploi dans l’industrie ou les services. Mais il existe une alternative qui consisterait àdévelopper une deuxième activité en lien avecl’activité agricole de l’exploitation, par exemplela transformation des produits de la ferme et lavente directe, à l’instar de certaines fermesherbigeoises13. Un modèle économiqueégalement revendiqué par la Chambred’Agriculture, qui mentionne aussi la possibilitéd’ « ateliers secondaires » dans les exploitations,élevages de poules pondeuses, production depetits fruits – fraises, framboises, baies diverses– ou activités de type ferme pédagogique.L’agriculture locale, bien que traditionnelle, a unimpact environnemental plutôt positif. A celaplusieurs raisons : un engrais naturel produit surplace par les bovins et qui va être épandu surles champs, des cultures qui nécessitentgénéralement peu d’intrants – fini les pesticideset herbicides dévastateurs du passé – et desterres souvent peu morcelées, avec pourconséquence une limitation des déplacements,et donc de la pollution par les engins. Quant àl’alimentation des animaux, elle est pourl’essentiel fournie par les cultures locales. Bref,nos agriculteurs peuvent revendiquer unexcellent bilan carbone et une vraie attitudecitoyenne.Enfin, qui dit petites exploitations dit moyenslimités. La majorité des exploitants ne possèdepas les machines – très coûteuses –nécessaires aux moissons. Or la mutualisationdes équipements agricoles ne fait pas partiedes habitudes locales… Du coup, cet été, cesont généralement des entreprises de travauxagricoles – venant de communes voisines –qui moissonnaient sur la commune contrerétribution.

PPâttures, ffoiinn eett ccérrééaaleessLa qualité de l’herbe et de l’eau font de Brié-et-Angonnes un paradis pour l’élevage. Et cettequalité particulière de notre terroir, reconnuebien au-delà des limites du plateau, a pourconséquence que ces terres sont trèsconvoitées. Certains ne s’y sont d’ailleurs pas

trompés, qui véhiculent leurs troupeaux depuisChampagnier ou St Georges de Commiers,mais aussi de Belledonne ou de la Matheysine,pour les faire paître sur notre commune.

Du coup, une grande partie de notre territoireest couverte de pâtures et de champs destinésà récolter du foin, deux à trois par an selon lesannées. A la clé, une autonomie alimentairepour le bétail bienvenue en ces temps desécheresse et de hausse des prix du fourrage !Et début juillet, le promeneur pouvait ainsiassister aux étapes progressives de l’élaborationdu rouleau de foin, en passant par la fauche etle ratissage destiné à former des « lignes » surlesquelles vont ensuite passer les machines àfaire les rouleaux.

Autre grande production sur la commune, lescultures céréalières, blé, maïs et autrestriticales14. Des productions pour l’essentieldestinées à l’alimentation du bétail local : tousles éleveurs consacrent une part importante deleurs terres à ces cultures, qui contribuent à lesmettre à l’abri des effets collatéraux des aléasclimatiques, en particulier la spéculation sur lescéréales. Et s’il y a des excédents, ceux-ci sontvendus à la Coopérative Dauphinoise, à Varces.

Une seule exploitation a développé uneproduction céréalière à vocation commerciale, laferme Papet, qui produit du blé destiné à fairede la farine. Elle est par ailleurs la seuleexploitation à s’être lancée dans le bio sur lacommune15. Deux hectares sont consacréschaque année au blé, jamais deux fois de suiteles mêmes : qui dit bio dit absence d’engrais, etdonc nécessité de faire tourner les cultures afinde ne pas épuiser les sols, voire d’enrichir ceux-ci en azote en alternant céréales etlégumineuses telles que la luzerne. A l’arrivée,une production d’environ 40 quintaux de farinepar an, moulue et commercialisée sur place.

9 De 1 ha pour le maraîchage à 8,75 ha pour l’élevage bovin.10 Contrairement au chef d’exploitation, le cotisant solidaire ne bénéficie pas des prestations sociales de la MSA.11 En 2011, près du tiers des chefs d’exploitations isérois étaientdes pluriactifs, une proportion à peine inférieure à celle constatéepour les conjoints et autres familiaux. Des chiffres bien plus im-portants dans notre région qu’au niveau national.12 Seule exception, le maraîchage, qui permet à un exploitant devivre de son travail avec une SAU réduite.13 Produits laitiers au GAEC du Thicaud, restauration pour la Fermedes Charrières, abattage des veaux élevés sous la mère pour laPetite Ferme Fleurie, tous trois commercialisant directement leursproduits sur le marché de Tavernolles.14 Hybride blé/seigle utilisé comme céréale fourragère, qui cu-mule les caractéristiques de productivité du blé tendre et la résis-tance au froid et aux maladies du seigle.15 Alors qu’à Herbeys, le bio constitue la marque de fabrique del’agriculture communale… mais il s’agit, selon les experts, d’uneexception dans le département.

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IIll yy aa vvaacchheess…… eett vvaacchheess !!

Il suffit de circuler sur les voiries communalespour s’en rendre compte : Brié-et-Angonnes estun pays de vaches ! La force de notrecommune, selon Thierry Loeb. Un cheptelhistoriquement dédié à la production laitière, lelait étant collecté sur la commune avant d’êtreconvoyé vers les laiteries de la cuvettegrenobloise (dont la défunte entreprise LAITALP,à Eybens). Il fut même un temps où le collecteurde lait, M. Tavel, profitait de sa descentequotidienne pour créer un service de bus reliantBrié à Grenoble !

Mais la production de lait a des contraintes –deux traites quotidiennes – qui s’accommodentmal de la pluriactivité. Par ailleurs, l’évolutionactuelle des industries laitières ne laisse que peude choix aux exploitants : soit on développe enparallèle une entreprise de transformation –yaourts, beurre, fromages, … – qui nécessiteégalement de s’occuper de la distribution desproduits, soit on se limite à une activité – peulucrative – de sous-traitant pour des grandsgroupes laitiers qui ne brillent pas par excès dephilanthropie.

Au fil des années, à une exception près, leséleveurs de bétail locaux ont donc bifurqué versla vache allaitante16, une activité beaucoupmoins prenante en termes de temps de travail.En effet, l’éleveur de broutards – c’est le nomdonné aux veaux élevés sous la mère, nourrispour l’essentiel de lait, d’herbe et de céréales –va garder les veaux pendant 6 à 9 mois avantde les vendre. Pendant ce temps, pas de traite :c’est le veau lui-même qui vide les mamellesde sa mère ! De plus, les vaches assurent latonte des pâtures…

De son côté, l’éleveur de vaches laitières vaégalement vendre les veaux, mais au plus vite :la ferme Guimet commercialise ses veaux dèsl’âge de 15 jours, auprès d’éleveurs situés dans

le nord du département. La vache qui vient devêler va continuer à produire du lait pendantplusieurs mois, la stimulation du veau qui tèteétant remplacée par la trayeuse. Le lait serarécolté quotidiennement – avec des contraintesen matière d’hygiène de plus en plusimportantes, ce qui engendre d’importants coûtsd’infrastructure – et commercialisé.

AAuu ppluss pprèss ddeess ccllieenntss ??La plupart des agriculteurs briataux necommercialisent pas directement leur productionauprès du public. Les éleveurs de vachesallaitantes sont généralement liés par contrat auxmaquignons, à qui ils vendent leurs broutards17 :la rentabilité est faible, mais ce type d’élevage ale mérite d’entretenir l’espace agricole. De soncôté, Daniel Guimet, dernier briataux à « faire »de la vache laitière, vend l’intégralité de laproduction de ses douze vaches – 60 000 litrespar an – au groupe SODIAL, qui collecte le laiten moyenne tous les deux jours pour le dirigervers son unité de production de Vienne.

Pour tous ces éleveurs, une alternative lucrativeserait de viser les circuits courts de distribution,par exemple un atelier de découpe sur placepour les producteurs de viande ou latransformation du lait en yaourts et fromages,tous produits qu’il est possible decommercialiser directement. Mais là, il s’agit d’untravail à plein temps, qui nécessite par ailleursdes investissements importants, en particulierpour le respect des normes sanitaires.

Ils ne sont que trois sur la commune à avoir optépour la commercialisation directe de leurproduction. Pour chacun d’entre eux, il s’agitd’une production qui ne suffirait pas à nourrir sonhomme. Mais le succès des grosses exploitationsherbigeoises montre qu’il peut s’agir là d’unmodèle économique d’avenir. Et puis, quoi deplus agréable pour le consommateur que desavoir d’où vient ce qu’il mange ?…

Cette vente directe repose sur la constitution deréseaux. Collègues, amis, famille… au début, ily a toujours un petit noyau qui vaprogressivement s’étendre aux relations despremiers consommateurs. Et quand certains s’envont, d’autres viennent prendre leur place, quipermettent de faire perdurer le circuit decommercialisation.

C’est ainsi que, chez les Papet, on vend la farinemaison à des clients qui vont de la Ferme desCharrières d’Herbeys – maintenant, vous saurezavec quelle farine Jocelyne fait ses délicieusestartes – au quidam qui s’arrête à Tavernollespour acheter un sac de farine afin

d’approvisionner sa machine à pain. Cesderniers ont même droit à la visite du petitmoulin construit au sein de la propriété, qui asuppléé l’ancien Moulin Coopératif deTavernolles, dont Roland Papet était l’un desutilisateurs.

Les volailles des Angonnes ont commencé partrouver un débouché chez les clients de leuréleveur, du temps où celui-ci était chauffeur decamion. Depuis, le bouche à oreille permet lemaintien d’une clientèle solide, et si l’on ne faitpas partie du cercle des initiés, il faut alors s’yprendre suffisamment tôt pour s’assurer qu’ilreste encore une poule ou un dindon prêt àcuire. Cet exploitant est également présent sur lemarché d’Herbeys tous les dimanches, où ilpropose par ailleurs des œufs et de savoureuxlégumes. Les moutons de Brié, eux, outre unpetit noyau d’habitués, ont trouvé un débouchéparticulier avec la fête de l’Aïd el Kebir.

LLaa pprroobblléémmaattiiqquuee ddee llaa tteerrrreeLa quasi-totalité des agriculteurs de lacommune – et, plus généralement, du plateau– ne possèdent qu’une partie des surfacesqu’ils cultivent. La plupart des terres agricolesappartiennent en effet à des propriétairesterriens, souvent des descendants d’agriculteursqui n’ont pas souhaité reprendre l’activitéancestrale et trouvent dans le fermage unmoyen de s’assurer un petit revenucomplémentaire, voire des personnes n’ayantjamais eu d’activités agricoles. Ainsi, unexploitant comme Daniel Guimet loue-t-il 25hectares sur les 30 qu’il exploite.

Ces terres peuvent également appartenir à desagriculteurs qui cessent leur activité maissouhaitent conserver leur bien : il s’agit là delogique patrimoniale, une solution qui, sur leplateau, est généralement préférée à celle quiconsisterait à transmettre son exploitation… eten assurer la pérennité ! Plutôt conserver lapropriété de ses terres, et des installations quivont avec, que de céder son bien à un nouvelexploitant… surtout si celui-ci n’est pas ducoin... Du coup, le risque existe de voirl’agriculture locale péricliter.

En 2010, un tiers des exploitants locaux avaitentre 50 et 55 ans, et un autre tiers plus de 55ans18 : la question de l’âge, et du devenir à courtou moyen terme des exploitations est donc

16 Il s’agit là d’une tendance générale, pas seulement communale.17 Les broutards sont généralement dirigés vers l’Italie, où ils vontêtre engraissés pendant 18 mois à 2 ans avant d’être conduits àl’abattoir.18 En Isère, alors que 20 % des exploitants ont 60 ans et plus,seuls19 % ont moins de 40 ans.

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particulièrement délicate. Or les agriculteurs nepeuvent toucher leur retraite de la MSA que sileurs terres continuent d’être exploitées : il fautdonc trouver quelqu’un pour prendre le relais.La tendance générale est donc au fermage,c’est-à-dire la location des terres à desexploitants qui voient là un moyen d’augmenterla surface de leurs exploitations.

Ces derniers y voient un double intérêt :disposer de plus de terres pour faire paître leurbétail ou cultiver les céréales et le foinnécessaires à l’alimentation de leurs bêtes ;éventuellement, récupérer des aides directesliées aux terres louées19. Si le fermage permetd’assurer le maintien en activité des terres, ilrecèle cependant deux dangers, heureusementencore limités sur notre commune : lemorcellement des terres cultivées par unexploitant, avec des conséquences en termesde coût pour l’exploitation – surtout en cestemps de renchérissement des produitspétroliers – et, parfois, des difficultés d’accèsliées à des voiries pas toujours adaptées auxengins modernes ; l’utilisation d’une partieseulement des terres – les plus intéressantesd’un point de vue qualitatif ou en raison de leurlocalisation – avec le risque de voir sedévelopper des friches ou la forêt progresser.

Plutôt réticents vis-à-vis d’une augmentationtrop importante de la taille des exploitations surle plateau, les responsables agricoles dudépartement préféreraient voir l’implantation denouveaux agriculteurs, et tentent de contrer lalogique patrimoniale dominante. Parmi les outilsà leur disposition, l’achat de terres via la SAFERet la possibilité donnée à la DirectionDépartementale du Territoire de limiter lesautorisations d’exploitation de terres agricoles…à condition que la demande soit faitesuffisamment en amont, et que l’institution nesoit pas mise devant le fait accompli par despartenaires qui auront déjà « topé » et necomprendraient pas qu’on revienne sur leurarrangement !

Mais il y a surtout l’accompagnement desagriculteurs en fin de carrière et des candidatsà l’installation. Ainsi un Comité Locald’Installation a-t-il été mis en place sur leterritoire du Sud Grenoblois, courant 2010 :piloté par le Vice-président de la Communautéde communes en charge de l’économie, il estcomposé d’agriculteurs, d’élus – la communeest représentée par Nicolas Grojeanne, adjointau Maire – et de représentants de différentesstructures qui peuvent apporter leur contribution.Réuni deux fois par an, son travail consiste àexaminer les projets de nouveaux agriculteurs

potentiels et à donner une dynamique locale,notamment par une sensibilisation des élus auxproblématiques agricoles. Autre dispositif, leRépertoire Départemental Installation met enregard les coordonnées de ceux qui vont bientôt s’arrêter et ceux qui souhaiteraient se lancer.

EEtt ddeemmaaiinn ??L’acquisition de terres agricoles est freinée parleur prix, même s’il est sans commune mesureavec ceux des terrains constructibles. Viennents’y ajouter le matériel agricole et, le cas échéant,le cheptel. Et, problème n°1 sur notre commune,les constructions20 : sans bâti pour abriter le bétailet stocker matériel, céréales et foin, impossibled’installer une exploitation…

A moins de 100 000 t, il n’y a pas d’installationpossible pour un jeune agriculteur. Or les aidesnationales – Dotation Jeune Agriculteur, prêts àMoyen Terme Spéciaux Jeunes Agriculteurs –ne sont pas énormes. D’où le recours privilégiéà la location quand cela est possible.

Difficulté supplémentaire pour les candidats à lareprise, certains propriétaires fonciers se refusentà signer des baux de fermage et préfèrentconserver leur bien, même inutilisé, tout à leur –vain – espoir d’obtenir un reclassement de leursterrains en vue de futures et lucratives opérationsimmobilières. Il existe heureusement un moyenjuridique de remettre en culture les terres« abandonnées », la collectivité pouvant s’en fairele relais.

Pourtant, il y a une relève possible, jeunes dusecteur désireux de maintenir l’activité familialeou personnes venant d’ailleurs, notamment desurbains en quête d’une reconversionprofessionnelle. Des néo-ruraux qui bénéficientd’un accompagnement et de formations à mêmede leur donner toutes les chances de réussir. Desjeunes qui, contrairement à une agriculturetraditionnelle qui a de plus en plus de mal ànourrir son homme, privilégient des activitésdiversifiées et peu consommatrices d’espace,dans l’esprit de la réforme des systèmes d’aidesde l’Union Européenne21.

C’est ainsi que la Chambre d’Agriculture voitémerger de nombreux projets qui concernent lecouplage élevage/transformation des produitslaitiers ou carnés – les projets d’élevages dechèvres sont très (trop) à la mode ces dernierstemps –, le maraîchage – en particulier en lienavec la mise en place d’AMAP – ou les élevagesde volailles ou de chevaux. Avec, dès qu’il s’agitde commercialisation, un double leitmotiv :circuits courts et commercialisation directe.

QQuueelllleess oorriieennttaattiioonnss ppoouurr uunnee ppoolliittiiqquuee ccoommmmuunnaallee ??La politique agricole à conduire au sein de laCommunauté de communes fait partie de lacompétence développement économiqueassumée par le Sud Grenoblois. Au niveaucommunal, la commission Economie etDéveloppement Durable s’approprie lesorientations définies au niveau intercommunalpour proposer ses lignes d’action.

Ce travail de réflexion sera renforcé dans lecadre de la mise en place du PLU, afin de doperl’agriculture en tant que vecteur économique dela commune. Sans préjuger des orientationsnouvelles qui seront retenues lors de l’instructionde ce chantier, plusieurs pistes sont à explorerou consolider :• un zonage figé des terres agricoles pour lesdécennies à venir, l’urbanisme consistant pourl’essentiel à densifier les périmètresconstructibles existants ;• la définition de zones à même de permettrel’installation de jeunes agriculteurs, encomplément des exploitations actuelles ;• le maintien d’une volonté municipale d’achatdes terres agricoles en lien avec la SAFER, afinde favoriser le développement agricole au lieude livrer ces terres à la spéculation ;• une action volontariste en faveur d’une plusgrande diversification des activités par rapportà l’agriculture et l’élevage traditionnels. La municipalité doit également affirmer son rôled’élément régulateur – en lien avec la Chambred’Agriculture et le Sud Grenoblois – pour tout cequi touche à la protection de l’environnementpaysager, l’image des cours de ferme et desexploitations, la stimulation des circuits courts, …

19 Il s’agit des Droits à Paiement Unique – en exploitant un terrain auquel sont liés ces DPU, on peut alors toucher ceux-ci,quoi qu’on fasse avec les terres concernées… – et de la PrimeHerbagère Agro-Environnementale – qui concerne le surfacesherbagères, c.a.d. les pâtures et le foin.20 Les exploitants retraités continuent à vivre dans leur ferme, etleurs successeurs sont limités dans leurs possibilités de construc-tion par le coût des investissements et les éventuelles restrictionsdu POS.21 En orientant les aides de la Politique Agricole Commune versune agriculture « utile », de proximité, au lieu d’enrichir les plusnantis comme les céréaliers de la Beauce ou de Pologne, on estime que l’agriculture vivrière a de beaux jours devant elle si lesmentalités évoluent et accompagnent cette réforme. La clientèlese trouve dans les centres urbains, la production – dans une perspective de développement durable – peut être localisée enproximité : une chance à saisir pour les agriculteurs locaux !

Tous nos remerciementsà nos différents interlocuteurs,

agriculteurs ou techniciens, pour les informations essentielles

qu’ils nous ont apportées pour la réalisation de ce dossier.

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VVous avez du compost, mais vous n'êtes passûr de savoir si vous pouvez l'utiliser ? Votrecompost vous paraît trop humide, ou trop sec ? Vous n'osez pas vous lancer dans lecompostage, car cela vous paraît compliqué ?Vous ne savez pas quoi faire de votredésherbage et de vos tontes de gazons ? Vousvoulez soulager vos poubelles ? Veneznombreux découvrir le compostage : un atelierest proposé à Brié-et-Angonnes début octobre.Vous apprendrez comment le compost peutfortifier, nourrir vos cultures et améliorer lastructure de votre sol ! Une fois épandu survotre terre du jardin, le compost permettra àvos cultures d'y puiser tous les éléments nutritifsdont elles ont besoin, et de les fortifier contre lesmaladies. De plus, il améliore la structure du sol et agit comme une éponge qui garde l'eau, et garantit de ce fait des économies d'arrosage !Vous découvrirez aussi le compostage desurface, ou paillage, cette pratique qui permetd'éviter les voyages en déchetterie ainsi que lasurcharge des bennes et leur traitement. Enutilisant le désherbage ou les tontes de gazonspour couvrir le sol au potager, autour des arbresou sous les haies, on peut économiser jusqu'à30 % d'arrosage en pleine chaleur car cettecouverture de sol gardera l'humidité.

De plus, lecompostage desurface apporteradirectement del'humus au pied devos plantes pourles nourrir, lamatière organiqueétant dégradée parles vers de terrequi aèreront laterre en même temps.Mandatée par la Communauté de Communesdu Sud Grenoblois, l'association TrièvesCompostage & Environnement organise desateliers pratiques d'1 h 30, gratuits, faciles etouverts à tous, pour répondre à toutes vosquestions sur le compostage et vous permettrede réaliser au mieux ce produit de qualité.Rendez-vous à Brié-et-Angonnes, mardi 2 octobre à 18 h 30, chez M. et Mme Voiron,711 route de Souveyron.Et si, vous aussi, que vous possédiez déjà uncompost ou que vous envisagiez d’en mettre unen place, vous souhaitez accueillir un futur atelierdans votre jardin, en soirée ou le samedi matin,contactez l’association : 04 76 34 74 85, [email protected] ouwww.trieves-compostage.com.

Je composte, tu compostes, …

Enorme succès populaire pour la 5ème édition des FêtesRévolutionnaires : la large communication menée surl’ensemble du département et un programmed’animations et de spectacles de haut niveau ont attiréde 20 à 25 000 spectateurs sur l’ensemble du week-end des 21 et 22 juillet.A partir du thème de la commémoration du 220ème

anniversaire de la proclamation de la République,l’évocation de la bataille de Valmy et de la prise desTuileries par une troupe de près de 300 reconstituteurs, la création théâtrale 1792 : l’an 1 de laRépublique et le feu d’artifice furent sans conteste les points forts – plébiscités par le public – deces deux journées de festivités. Ainsi les Fêtes Révolutionnaires s’inscrivent-elles durablement comme fêtes communautaires du SudGrenoblois, qui reste l’un des organisateurs aux côtés de la Ville de Vizille, de l’Office du Tourismedu Sud Grenoblois, du Domaine de Vizille et du Conseil Général.

Fêtes révolutionnairesde Vizille

10 Bientôtdu nouveaupour la déchetterieLe Conseil Communautaire du Sud Grenoblois a validéle projet de restructuration de la déchetterie deVaulnaveys-le-Haut. Il s’agit d’améliorer le tri, avecl’acceptation de nouveaux déchets, de fluidifier le trafic,de réorganiser les dépôts en bas de quai, d’améliorer lasécurité – tant pour les professionnels que pour lesusagers – et de limiter l’impact sur l’environnement.Au centre des futurs travaux d’aménagement, quis’accompagnent d’une réflexion poussée sur l’insertionpaysagère du site, la création d’une végèterie avec unbroyeur fixe, d’un rendement de 10 tonnes à l’heure :chacun pourra se débarrasser de ses déchets végétauxtout en récupérant du broyat pour pailler son jardin ; lesvégétaux seront également compostés, le compost étantproposé gratuitement aux utilisateurs de la végèterie.Les quais de déchargement seront élargis, et desbâtiments en « dur » implantés pour les déchetsménagers spéciaux (DMS) – déchets dangereux pour lasanté ou l'environnement : batteries de voiture,peintures, acides, piles, solvants, produitsphytosanitaires, huiles de vidange, tubes fluorescentsou néons, ... – et les déchets d'équipement électriqueélectronique (D3E). Une installation de vidéosurveillanceest envisagée.Dans le cadre du raccordement de la commune deVaulnaveys-le-Haut au SIERG, une conduite d’eaudevrait passer non loin du site : une demande a été faitepour assurer son raccordement (jusqu’à présent, l’eaupotable est apportée par le biais de bouteilles d’eau !). Laconduite servirait également à la sécurité incendie dusite.Les travaux devraient durer 4 mois, hors préparationset intempéries : dans la mesure du possible, ils sedérouleront pendant l’hiver, pour une ouverture auprintemps 2013. S’il faudra, à certains moments,envisager la fermeture de la déchetterie, notamment aumoment de la démolition d’une partie du quai, unfonctionnement réduit devrait pouvoir être mis en placependant la durée des travaux. Pour compenser la gênetemporaire apportée aux usagers, il est envisagé d’ouvrirdavantage les 2 autres déchetteries.

BrèvesNew lookDepuis cet été, le site internet de la CCSG a faitpeau neuve. N’hésitez pas à aller le visiter, ilregorge d’informations utiles :www.sudgrenoblois.com !

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AActivités du CSC Malraux

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Dans le cadre de la convention liant le CSC AndréMalraux et la commune de Brié-et-Angonnes, leshabitants peuvent accéder à un grand nombred’activités aux mêmes tarifs que les jarrois, lacommune payant la différence avec le tarifextérieur. L’occasion pour les briataux d’accéderà des activités inexistantes sur Brié-et-Angonnes,à travers les ateliers de découverte et de pratiqueculturelle ou sportive hebdomadaires – enpériode scolaire – et le centre de loisirs (attention :la subvention communale pour le centre de loisirsest limitée à 30 jours ou 60 demi-journées parenfant et par an !).

Centre de loisirsPour les 3/11 ans, le centre propose, tous lesmercredis et pendant les périodes de vacancesscolaires, de multiples activités – sortiesculturelles, séjours, sports, jeux, veillées, … –encadrées par des animateurs diplômés, à l’écolematernelle du Louvarou pour les plus jeunes, àl’espace Albert Royer pour les autres. Inscription àla journée, de 8 h 15 à 18 h, ou la demi-journée,de 8 h 15 à 12 h ou de 13 h 30 à 18 h.Le mercredi de 14 à 18 h, les 12/17 ans ontrendez-vous pour les Mercredi loisirs : jeux,sorties, ateliers créatifs, … Pendant les vacancesscolaires, ils se voient proposer des activités deloisirs, du lundi au vendredi de 10 à 12 h et de14 à 18 h, ainsi que des sorties à la journée etdes veillées.Des séjours vacances sont également organiséspour tous les âges : mini-camps et élaborationcollective de projets de départs par les enfantsou les adolescents, les parents et lesprofessionnels. Le CSC Malraux propose aussi unaccompagnement au montage de projets desados : encadrement, préparation, budget, …

Pour les plus jeunesA côté du centre de loisirs, le CSC Malrauxpropose aux 3/11 ans des activités variées :• éveil sportif enfance pour les 4/6 ans, avecAnne Stouls, le mercredi de 9 à 10 h à l’écolematernelle de la Gare ;• cirque, avec Lulu Larme, le mercredi à la sallede sport du CSC Malraux, de 10 h 30 à 11 h 30 pour les 4-6 ans, et de 9 h 30 à 10 h 30 pour les 7-10 ans ;• danse moderne & éveil, avec Cathy Jérôme, lelundi à l’école Victor Pignat, de 16 h 45 à 17 h 30 pour les 4-5 ans, de 17 h 30 à 18 h 30pour les 6-7 ans, et de 18 h 30 à 19 h 30 pourles 8-12 ans ;• arts plastiques, avec Laurence Perrin, lemercredi au CSC Malraux, de 9 h 30 à 10 h 30pour les 4-7 ans, et de 10 h 30 à 12 h pour les8-12 ans ;• escrime, avec Patrick Fleuret, à la salle CPI(sapeurs-pompiers), le mercredi de 16 h 30 à17 h 30 pour les 4-6 ans (baby escrime), et levendredi de 16 h 30 à 18 h pour les 6-11 ans ;

• théâtre, avec Alexis Aubert, le mercredi à l’écoleVictor Pignat, de 14 à 16 h pour les 6-10 ans, etde 16 à 18 h pour les 10-14 ans ;• hip-hop, avec Hicham Ben Salem, le lundi de17 h 30 à 18 h 30 au CSC Malraux pour les 6-8 ans, le mardi de 17 h 30 à 18 h 30 à l’écoleVictor Pignat pour les 6-8 ans, et le lundi de 18 h 30 à 19 h 30 au CSC Malraux pour les 9-11 ans.

Pour les 12/17 ans• arts plastiques - techniques mixtes (dessin,crayon, pastel, acrylique, fusain, encre, collage…),avec Laurence Perrin, le jeudi de 17 à 19 h auCSC Malraux (prévoir son matériel) ;• escrime, avec Patrick Fleuret, le vendredi à lasalle du CPI, de 18 à 19 h 30 pour les 12-14ans, de 19 h 30 à 21 h pour les 15 ans et plus ;• danse modern jazz, avec Cathy Jérôme, le lundide 19 h 30 à 20 h 30 à l’école Victor Pignat ;• hip-hop, avec Hicham Ben Salem, le lundi de19 h 30 à 20 h 30 ou le mardi de 18 à 19 h au CSC Malraux pour les 11 ans et plus etles débutants, le mardi de 19 à 20 h 30 à l’écoleVictor Pignat pour grands ados et jeunes adultes ;• théâtre, avec Alexis Aubert, le mercredi à l’écoleVictor Pignat, de 16 à 18 h pour les 10-14 ans,et de 18 à 20 h pour les 15-18 ans.S’y ajoute Temps Jeunes, un temps après lecollège pour se retrouver jouer, échanger, le mardiet le jeudi, de 17 à 18 h 30 au CSC Malraux.

Pour les adultes• anglais, avec Pamela Stuart, le mardi au CSCMalraux, de 19 à 20 h pour les débutants, de 18à 19 h pour les confirmés ;• aquarelle - initiation et perfectionnement, avecMartine Petiot, au CSC Malraux, le mardi de 14 à16 h et de 19 à 21 h, et le mercredi de 19 à 21 h ;• patchwork (mais aussi point de croix et toustravaux d’aiguilles), avec Danièle Vorwalter, le lundide 14 à 16 h au CSC Malraux ;• arts plastiques - différentes techniques, avecLaurence Perrin, le jeudi de 17 à 19 h au CSCMalraux ;• peinture à l’huile, avec Laurence Perrin, le jeudide 14 h 30 à 16 h 30 au CSC Malraux ;• danse moderne Africa Jazz, avec Cathy Jérôme,le lundi de 20 h 30 à 22 h à l’école primaire VictorPignat ;• danse de salon, avec Yves Heinry, le lundi auCSC Malraux, de 19 h 30 à 20 h 30 pour lesdébutants, de 21 h 30 à 22 h 30 pour lesconfirmés ;• rock, avec Yves Heinry, le lundi au CSC Malraux,de 18 h 30 à 19 h 30 pour les débutants, de 20h 30 à 21 h 30 pour les confirmés ;• généalogie (en partenariat avec le Centre

Généalogique du Dauphiné), au CSC Malraux, lepremier vendredi de chaque mois de 14 à 18 h etle troisième lundi de 18 à 22 h ;• yoga, avec Brigitte Andrieux, le mercredi à lasalle polyvalente de l’école des Chaberts, de 16 h30 à 18 h pour les débutants et de 18 à 19 h 30 pour les confirmés ; • yoga & mouvements d’éveil corporel, lemercredi à la salle polyvalente de l’école desChaberts, de 15 h à 16 h 30 pour les débutantset de 19 h 30 à 21 h pour les confirmés ;• randonnées organisées, animées par un groupede bénévoles, le mardi (2 groupes) ou le vendredi(1 groupe).Pour en savoir plus, venez rencontrer lesreprésentants du CSC Malraux lors du Forum desassociations de Brié-et-Angonnes, samedi 8 septembre, de 9 à 13 h à la salle du Mail.Alternative, allez butiner sur leur site :wwwwww..ccssccmmaallrraauuxx..oorrgg.

Collectes d’encombrantsLa collecte sur les places publiques ayant rencontré unsuccès mitigé, les usagers ne se déplaçant pas ou très peu,la collecte des encombrants – effectuée par l'associationOzanam – se fera désormais uniquement en porte à porte.Les particuliers pourront s'inscrire directement à laCommunauté de communes du Sud Grenoblois, au 04 76 68 84 60 ou sur www.sudgrenoblois.fr.Les dates et lieux de passage pour septembre et octobresont disponibles dans le MAG n°26 (été 2012) ainsi quesur le site internet de la CCSG. Les dates et lieux depassage de novembre et décembre seront communiquésdans le prochain MAG, fin septembre.Seuls les gros objets – électroménager, vélos, literie,meubles, canapés, ... – hors d'usage ou en état sontcollectés. Les petits objets tels que les livres ou lesvêtements sont à déposer directement auprès d'Ozanam,à Vaulnaveys-le-Bas, ou à donner à d'autres associationslocales. Les déchets tels que gravats, végétaux ou boissont à déposer en déchetterie.

Brèves

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du conseil municipal

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LL’’iinnttééggrraalliittéé ddeess ccoommpptteess--rreenndduuss ddee ssééaannccee eesstt ccoonnssuullttaabbllee ssuurr llee ssiittee iinntteerrnneett ((wwwwww..bbrriiee--eett--aannggoonnnneess..ffrr//vvoottrree--mmaaiirriiee//mmuunniicciippaalliittee//ccoommpptteess--rreenndduuss--dduu--ccoonnsseeiill//)) oouu eenn mmaaiirriiee..

•• TTaarriiffss ddee llaa ccaannttiinnee eett ddeess ggaarrddeerriieess ppéérriissccoollaaiirreessLe Maire propose de réaménager les tarifs de cantine et degarderie périscolaire à compter du 1er septembre 2012. Ces tarifssont applicables sur présentation d’un justificatif du quotient familialétabli par la CAF ou par les services municipaux à partir de l'avisd'imposition.Vote à l'unanimité•• Encaissement des recettes par prélèvement par carte bancaire sur internetLe Maire propose que la collectivité étende les différentespossibilités de paiement actuel des services facturés aux usagersau paiement par internet via le service de paiement en ligne de laDirection Générale des Finances Publiques. La collectivité aura à sacharge les coûts relatifs à la création et à la mise à jour de sonportail, ainsi que le coût du commissionnement carte bancaire envigueur pour le Secteur Public Local. Vote à l'unanimité•• DDeemmaannddee ddee ffiinnaanncceemmeenntt ppoouurr lleess aaccttiioonnss ddee vvaalloorriissaattiioonn ddee ll''EEssppaacceeNNaattuurreell SSeennssiibbllee ddee ll''ééttaanngg ddeess LLoonnggssLes travaux liés à la préservation et l'entretien du site débuteront aucours du 2nd semestre 2012. Le Conseil Général de l'Isère et laCommission Locale de l'Eau du Drac et de la Romanche pourraientparticiper financièrement au programme d'actions dont le montanttotal s'élève à 16 665 t : le Maire propose de solliciter une aidefinancière dans ce sens.Vote à l'unanimité• PPaarrttiicciippaattiioonn aauuxx ffrraaiiss ddee ssccoollaarriissaattiioonn ddeess eennffaannttss ddee llaa ccoommmmuunneeaaccccuueeiilllliiss àà ll’’ééccoollee dd’’HHeerrbbeeyyss –– aannnnééee ssccoollaaiirree 22001111//22001122Le Maire donne lecture du courrier de Mme le Maire d’Herbeyssollicitant une participation financière pour les élèves de lacommune scolarisés à l’école d’Herbeys. au nombre de 7 contre9 à la rentrée précédente. Le montant de la contribution a été fixéà 3 441,62 t nets, soit 491,66 t par enfant.Vote à l'unanimité

•• PPllaann ddee mmiissee eenn AAcccceessssiibbiilliittéé ddee llaa VVooiirriiee eett ddeess EEssppaacceess ppuubblliiccssLa loi de février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, laparticipation et la citoyenneté des personnes handicapées fixe leprincipe d’une accessibilité généralisée intégrant tous les types dehandicaps. Elle prévoit la mise en accessibilité du cadre bâti, de lavoirie, des espaces publics et des transports. La collectivité al’obligation d’élaborer un Plan de mise en Accessibilité de la Voirieet des Espaces publics, la décision d’élaborer celui-ci devant êtreau moins portée à la connaissance du public par affichage enmairie pendant un mois. Un comité de pilotage sera prochainementconstitué, composé d’élus et de représentants d’associations ;l'assistance de la DDT 38 sera sollicitée.Le Maire évoque le problème d'accessibilité du bureau de voten°1 de la mairie pour les personnes à mobilité réduite. Des travauxde mise en conformité devront être réalisés d'ici 2015conjointement à l’extension de la mairie. En attendant, il estenvisagé le transfert du bureau de vote à l'école élémentaire duBarlatier.Vote à l'unanimité•• PPaarrttiicciippaattiioonn ppoouurr llee ffiinnaanncceemmeenntt ddee ll''AAssssaaiinniisssseemmeenntt CCoolllleeccttiiffLe raccordement des immeubles aux réseaux publics de collectedisposés pour recevoir les eaux usées domestiques est obligatoiredans le délai de 2 ans à compter de la mise en service du réseaupublic de collecte. A compter du 1er juillet 2012, la Participationpour Raccordement à l’Egout, destinée à financer le serviced’assainissement collectif, est remplacée par une Participation pourle financement de l’Assainissement Collectif (PAC), applicable auxpropriétaires des immeubles soumis à obligation de raccordement,pour tenir compte de l’économie par eux réalisée en évitant uneinstallation d’évacuation ou d’épuration individuelle réglementaire,ou la mise aux normes d’une telle installation.

Le Conseil Municipal décide d’instaurer, à la charge despropriétaires, une PAC exigible à compter de la date duraccordement au réseau public de collecte des eaux usées del’immeuble, de l’extension de l’immeuble ou de la partieréaménagée de l’immeuble, dès lors que ce raccordement génèredes eaux usées supplémentaires. Elle sera cumulable avec leremboursement du coût des travaux de construction dubranchement d’eaux usées. Tous les propriétaires des zonesnouvellement desservies par un réseau de collecte des eaux uséesy seront assujettis dès lors qu’il existe un immeuble productif d’eauxusées sur le terrain, neuf ou préexistant.Pour les constructions nouvelles, la PAC sera de 4 500 t parlogement individuel, d’un montant variable selon l’importance duprogramme pour les logements collectifs, groupes d’habitations etopérations relevant d'un permis d'aménager, de 20 t/m² desurface de plancher dans le cas d’une extension, ou d’un montantfixé en fonction de l'importance du projet et de la populationconcernée pour les autres constructions, installations ouaménagements. Pour les constructions existantes, elle est fixée à2 000 t par logement individuel. Dans le cas des constructionsnouvelles, le redevable de la PAC est la personne publique ouprivée qui demande le raccordement au réseau public de collectedes eaux usées ; les recettes seront recouvrées par l'émission d'untitre de recette à l'encontre du constructeur, lotisseur ou del'aménageur, en trois versements annuels égaux. Pour lesconstructions existantes, il s’agit du propriétaire au moment où lelogement immeuble est raccordé au réseau ; les recettes serontrecouvrées en deux versements annuels égaux. Lorsque,conformément au règlement d'assainissement communal, lacollectivité exécutera ou fera exécuter les parties de branchementsous la voie publique, la PAC sera augmentée de la participation auxfrais de branchement.Vote à la majorité (une abstention)•• PPaarrttiicciippaattiioonn aauuxx ffrraaiiss ddee bbrraanncchheemmeennttPour financer le service d’assainissement collectif, la communepeut instituer par délibération une participation des riverains auxfrais de branchement, perçue auprès des propriétaires d’habitationsexistantes lors de la mise en place des collecteurs, ou édifiéespostérieurement à la mise en service du réseau public de collecte.Le Conseil Municipal décide, pour les immeubles existants lors dela création du réseau d'assainissement ou réalisés postérieurement :de réaliser d’office les parties de branchement situées sous la voiepublique lors de la construction d’un réseau d’assainissement ;d’instaurer la participation aux frais de branchement enremboursement partiel des dépenses entraînées par ces travaux,à la charge des propriétaires.La commune retient un montant unique de 1 000 t pour lebranchement des immeubles édifiés avant ou après la mise enservice du réseau d’assainissement collectif. Le redevable de cetteparticipation est le propriétaire au moment où le logementimmeuble est raccordé au réseau public de collecte des eauxusées ; les recettes seront recouvrées par l'émission d'un titre derecette à l'encontre du propriétaire comme en matière decontribution directe et inscrites au budget assainissement, en deuxversements annuels égaux.Vote à la majorité (une abstention)•• AAvviiss ddééffiinniittiiff ssuurr llee SSCCooTT ddee llaa RRééggiioonn UUrrbbaaiinnee GGrreennoobbllooiisseeLe Maire présente une proposition relative au développementéconomique qui nécessite une modification de la carte du Schémade Cohérence Territoriale (SCoT), consistant à l'extension de lalimite de principe de l'enveloppe globale d'urbanisation àTavernolles, dans le but de créer une zone d'activités. Deuxhypothèses ont été examinées par la commission d'urbanisme etsoumises au commissaire enquêteur, dans le cadre de l'enquêtepublique : sur Tavernolles/Montavie (4 ha 41 a 87 ca, classés enzones NC, NDb et NAba) ; sur Tavernolles/Le Clos (9 ha 32 a 70ca, essentiellement classés en zone NCa).

Compte tenu des enjeux des secteurs en termes d'urbanisation etd'élaboration du futur PLU, et, après avoir pris connaissance del'avis de principe du commissaire enquêteur, le Maire propose deretenir l’hypothèse concernant le secteur de Tavernolles/Montavie.Vote à l'unanimité

•• MMiissee eenn rréévviissiioonn dduu PPOOSS eenn vvuuee dd’’ééllaabboorreerr uunn PPLLUULe Plan d’Occupation des Sols (POS) de 2000 ne répondant plusaux besoins du territoire, le Conseil Municipal souhaite engager samise en révision, ce qui entraîne obligatoirement l’élaboration d’unPlan Local d’Urbanisme (PLU). Celle-ci conduit le Conseil Municipalà préciser les objectifs de cette révision, l’élaboration du PLUimpliquant une réflexion d’ensemble qui vise à l’expression d’unprojet global de développement et des grands axes de la politiqueurbaine à mener dans les prochaines années. Le Maire propose de définir les objectifs poursuivis dans le cadrede la mise en révision : permettre une urbanisation progressive etmaîtrisée ; réaffirmer le projet agricole de la commune ; préserverles espaces naturels et les éléments du patrimoine communal ;accroître le potentiel économique et commercial ; réaffirmer lesprincipes de l’organisation du territoire communal ; viser lacomplémentarité entre les différents modes de déplacements,notamment en faveur des transports collectifs et des modes doux.La transformation du POS en PLU sera également l’occasiond’assurer la compatibilité du futur PLU avec les documents supra-communaux, dont le SCoT de la région urbaine grenobloise.La procédure devant s’accompagner de l’organisation d’uneconcertation avec les habitants, les associations locales et les autrespersonnes concernées dont les représentants de la professionagricole, il revient au Conseil Municipal de définir les modalités decette concertation qui se résume comme suit : communication viale bulletin municipal sur la durée de la procédure, et diffusion d'uneinformation continue et synthétique sur le site internet de lacollectivité ; consultation de la population à travers unquestionnaire/sondage, mise en place d'un registre de remarquesen mairie et organisation de 3 réunions publiques générales.La collectivité sollicitera l'Etat pour qu’une dotation lui soit allouéeafin de couvrir les frais matériels et d’études nécessaires.Vote à l'unanimité

•• MMooddiiffiiccaattiioonn dduu PPOOSS nn°°33Les objectifs et priorités affichés dans le rapport de présentation duPOS consistent pour l’essentiel à préserver les espaces naturels etle caractère rural de la commune, et promouvoir un développementde l’urbanisation, économe en termes d’espace. La communesouhaite modifier son POS en vue de procéder aux modificationssuivantes : substitution de la « surface de plancher » aux notions deSHOB/SHON ; hauteur des bâtiments agricoles (articles NC10,NC6, NC7) ; précision concernant des distances d’implantation(articles UB7, NA7) ; précision concernant des annexes (articlesUA1, UB1, UB2, UA10, UB10) ; extension des bâtiments agricolesdans les secteurs NC et NCa ; construction des abris de jardin,garages et d’autres annexes dans la zone NC ; suppression del’emplacement réservé n°14 ; actualisation du zonage suite àl’aménagement des zones d’urbanisation future indicées.Vote à la majorité (une abstention, un vote contre)•• RReessttiittuuttiioonn ddee llaa ccoommppéétteennccee ddee ll''aaccccuueeiill ddee llooiissiirrss ddee VVaauullnnaavveeyyss--llee--HHaauuttLors de l'adhésion de Vaulnaveys-le-Haut en 2010, laCommunauté de communes du Sud Grenoblois est devenuecompétente pour le centre de loisirs de la commune. Après plus dedeux ans de fonctionnement, faute d'un développementintercommunal de cette compétence, il apparaît opportun derestituer au niveau communal la gestion de ce centre de loisirs,dans l'attente d'un éventuel transfert de la totalité de la compétencede l'accueil de loisirs au Sud Grenoblois.Vote à l'unanimité

■ ■ ■ SSééaannccee dduu 33 jjuuiilllleett 22001122

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BBalles jaunesAAvveecc ppaass mmooiinnss ddee 112200 ccoommppééttiitteeuurrss –– ddoonntt 2266ddaammeess –– qquuii ssee ssoonntt aaffffrroonnttééss ppeennddaanntt 22 sseemmaaiinneessssuurr lleess ccoouurrttss ddee tteennnniiss ddeess ccoommmmuunneess ddee JJaarrrriiee eettddee BBrriiéé,, ssoouuss ll’’œœiill aavviisséé dduu jjuuggee aarrbbiittrree llooccaall JJeeaann--LLoouuiiss TTrraammbboouuzzee,, llee ttoouurrnnooii 22001122 ddee ll’’UUSSJJCC TTeennnniissaauurraa ééttéé uunn ggrraanndd ssuuccccèèss..

Après 138 matchs joués et plus de 360 balles usées,dimanche 8 juillet, les finales se déroulaient sous lesoleil de Brié-et-Angonnes, en présence du Maire,Robert Meyer, et de René Sestier, conseiller municipalet voisin des courts de tennis. L’occasion d’inaugurerles courts rénovés au printemps, une action prise encharge par la commune. Puis le Maire remettait lesdifférentes récompenses aux joueuses et joueurs quiont marqué cette édition.

Chez les dames, c’est Charlotte Brault (Tennis Clubde La Tronche) qui remportait le tournoi en battant enfinale Pascale Herbert (Grenoble Tennis), les autresdemi-finalistes étant Rachelle Ruelle (La Mure) etFanny Morin (Grenoble Tennis). La consolante étaitremportée par Martine Mollard (Tennis Club d’Uriage)face à une locale, Christine Sircoulomb.

Chez les messieurs, victoire finale de Neal Hoeycontre Jean Dominoni, deux martinérois ; en demi-finales, ils avaient battu Eric Clerc (Vizille) et PierreBlond (Tennis club d’Eybens), ce dernier étantrécompensé pour la meilleure progression du tournoiaprès avoir passé 6 tours du tableau messieurs. Laconsolante était l’occasion de voir briller un membredu club, Michel Billon, vainqueur face à IrvanInthavixay (Grenoble Tennis).

CCoommmmeennccééee ssoouuss uunn ssoolleeiillccaaniicculaaiirre,, qquuii aavvaaiit probabbleemmeenntiinncciittéé lleess ffllâânneeuurrss àà cchheerrcchheerr llaaffrraaîîcchheeuurr dduu ccôôttéé dd’’uunn llaacc oouu dd’’uunneeppiisscciinnee,, llaa 4400èèmmee FFêêttee dduu ppaaiinn ss’’eesstttteerrmmiinnééee eenn qquueeuuee ddee ppooiissssoonn,, ssoouussuunnee pplluuiiee bbaattttaannttee eett ddaannss llaaffrrooiidduurree…… 1177 ddeeggrrééss,, ll’’ééttéé aavvaaiittddéécciiddéé ddee ffaaiirree uunnee ppaauussee...... MMaallggrrééccee cchhaauudd eett ffrrooiidd,, lleess mmiinneesseexxttéénnuuééeess ddeess bbéénnéévvoolleess àà ll’’aauubbeedduu ddiimmaanncchhee –– aalloorrss qquu’’iillss vveennaaiieennttddee rraassssaassiieerr eett ddiivveerrttiirr ddeess cceennttaaiinneessddee ppeerrssoonnnneess,, eett ssee pprrééppaarraaiieenntt àà uunnssoommmmeeiill rrééccuuppéérraatteeuurr aavvaanntt uunneesseeccoonnddee jjoouurrnnééee qquu’’iillss eessppéérraaiieenntt aauussssii iinntteennssee ––ttéémmooiiggnnaaiieenntt ddee mmoommeennttss qquuii mméérriittaaiieenntt llaa rrééfféérreennccee ààTTrraavvoollttaa eett aauuxx BBeeee GGeeeess !!

Dans son nouvel écrin, à savoir la cour de l’école duBarlatier, la Fête du pain aurait probablement battu desrecords de fréquentation si la météo avait été plusclémente. Ainsi, le samedi, fallut-il attendre le début desoirée, et une baisse relative de la température, pour quela foule arrive, toujours plus dense. Auparavant, les enfantsencadrés par Sonia Debernardy, dans le cadre desactivités périscolaires proposées par l’APE, avaient offertaux parents et amis une jolie démonstration d’activitéscircassiennes. Quant à l’Académie de Taekwondo ClaudePerdigon, elle fêtait dignement la ceinture noire – et rouge,car l’impétrante n’a pas encore 16 ans – de CamilleGrattard, offrant un spectacle plein de fraîcheur etd’énergie.

Les averses du dimanche ont probablement affecté leschiffres de la restauration, alors que les grenouilles dubassin de rétention de l’école affichaient bruyamment leurenthousiasme. De cette journée, outre la démonstrationtoujours captivante de nos soldats du feu, on retiendracertainement le stoïcisme des danseurs de country duclub d’Eybens, qui faisaient fi des cordes qui leur tombaientdessus avant de proposer une initiation sous le préau del’école. Une séance qui permit d’apprécier la souplessede certains de nos pompiers volontaires, et de notreambianceur préféré. En guise de final tronqué, onregrettera que Good Fortune, ses guitares généreuses etsa chanteuse à la voix chaude et sombre à la fois, ait jouéface à un public hélas peu nombreux… et des bénévolesqui « bâchaient », faute d’éclaircie en vue.

Parmi les nouveautés de l’édition 2012, on notait lagénéralisation de l’utilisation de tickets dans la plupart desstands, avec pour conséquence une manipulation d’argentrestreinte hors caisse et bar adulte. Bien sûr, il y a encoredes ajustements à faire, et certaines queues suggèrentqu’il serait bien de chercher des moyens d’accélérer leservice en période de rush. Mais globalement,organisateurs et participants étaient satisfaits, d’autant quele chiffre des recettes, qui avait plongé l’an passé, est à lahausse.

D’ores et déjà, notez le sur vos agendas : la 41ème Fête dupain aura très probablement lieu les 6 et 7 juillet 2013.

La fièvre du samedi soir

sur lʼactu

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SSii llee ppuubblliicc ddee llaa FFêêttee dduu ppaaiinn eesstt pplluuttôôtt aammaatteeuurr ddeetteemmppss cchhaauuddss ((mmaaiiss ppaass ttrroopp)),, llee ccoouurreeuurr àà ppiieedd,, lluuii,,aapppprréécciiee llaa ddoouucceeuurr.. EEtt eenn ccee ddiimmaanncchhee 11eerr jjuuiilllleett,, iill aaééttéé ggââttéé :: aavveecc uunnee mmééttééoo mmaauussssaaddee,, aannnnoonncciiaattrriicceedd’’uunnee vvrraaiiee jjoouurrnnééee ppoouurrrriiee,, lleess ccoonnddiittiioonnss ééttaaiieenntt qquuaassiiiiddééaalleess ppoouurr llaa ccoouurrssee àà ppiieedd.. RRééssuullttaatt ?? UUnn nnoouuvveeaauurreeccoorrdd ddee ppaarrttiicciippaattiioonn,, ddaannss uunnee aammbbiiaanncceeeexxcceeppttiioonnnneellllee aauuxx ddiirreess ddee ttoouuss !!

Après 168 coureurs en 2010 et 326 en 2011, ilsétaient cette fois-ci 466, dont 443 classés : c’est sûr,le Cross du pain est bien l’une des principales courseshors stade du département. Une manifestation qui, loinde s’endormir sur ses lauriers, s’attache à offrir chaqueannée de nouvelles améliorations très appréciées descoureurs : cette année, le chronométrage à puces apermis un affichage rapide et fiable des résultats, etdes séances de massages et de shiatsu étaient offertesà ceux en mal de douceur après l’effort (par contre, leprojet de garderie a été reporté à la prochaine édition).

Nouveauté de l’année, le parcours de 15 kmrencontrait un formidable succès, avec 151 participantsdont 20 femmes. La course était remportée en un peuplus d’une heure par Guillaume Bouret, qui avait cetteannée opté pour la distance supérieure – il s’étaitclassé 3ème du 10 km en 2011. Chez les dames, c’estAlexandra Munier qui s’imposait. Du côté du 7 km,dont le nombre de participants – 70, dont 32 femmes– a plus que doublé par rapport à la première édition,l’an passé, c’est Quentin Dan, de l’AS INSA Lyon, quis’imposait chez les hommes, et Annie Bassani chez lesdames.

Ils avaient promis de revenir, ils ont tenu parole… etMohamed Mahnan et Laurent Gigante, les deux amisde l’Entente Athlétique de Grenoble, ont réédité leurexploit de l’an passé, franchissant à nouveau la ligne

d’arrivée du 10 km main dans la main, loin devant les220 autres concurrents, dont 76 femmes. Avec à laclé un temps de 36'17", soit six secondes de moinsque leur chrono de 2011. Une victoire qui comblaitd’aise Pierre Arnaud, président du club, qui découvraitle Cross du pain « new look » et ne cachait pas sonenthousiasme face à la qualité de l’organisation et laconvivialité omniprésente. La première féminine, NellyBauda, se situait en 18ème position, hommes etfemmes confondus.

Du côté des briataux, on assistait à l’émergence deMaxime Dubois : encore cadet, il remportait le trophéeClaude Perdigon, dont le vainqueur 2011 avait cetteannée préféré courir le 15 km. Maxime terminait 23ème

au classement scratch, précédant de près d’un quartd’heure sa maman, Silvana, meilleure féminine de lacommune pour la 3ème fois consécutive.

Pas en reste avec les grands, les enfants battaient euxaussi les records : alors qu’ils étaient déjà 176 l’anpassé, ce sont 265 coureurs de 4 à 15 ans quiparticipaient aux 5 courses, de 200 à 2 500 mètres.Des enfants qui, bien qu’il n’y ait pas de classement,mettaient toute leur fougue pour figurer au premierplan. Et qui retrouvaient leurs parents – dont denombreux coureurs du jour – médaille au cou etcadeaux plein les mains, avec la ferme intention defaire encore mieux l’an prochain.

La cérémonie de remise des prix et trophées étaitégalement l’occasion de célébrer le parrain de l’édition2012, David Smetanine, à qui tout le monde souhaitaitde glaner de nouvelles médailles d’or lors des Jeuxparalympiques de Londres, courant septembre. Et dese donner rendez-vous en juillet 2013… pour passerle cap des 500 participants adultes ?

sur lʼactu

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De plus en plus fort

Et de troisSSoolleeiill ddee pplloommbb eett ffoouullee ddeess ggrraannddss jjoouurrss :: uunneennoouuvveellllee ffooiiss,, eenn ccee ddiimmaanncchhee 2244 jjuuiinn,, llee vviiddee--ggrreenniieerrdduu CClluubb ddeess bbrriiaattaauuxx –– ttrrooiissiièèmmee ééddiittiioonn –– aa rreennccoonnttrrééuunn ggrraanndd ssuuccccèèss.. EEtt cc’’eesstt mméérriittéé,, ccaarr lleess oorrggaanniissaatteeuurrssnnee ssee ssoonntt ppaass mméénnaaggééss ppoouurr ooffffrriirr àà ttoouuss,, eexxppoossaannttsseett bbaaddaauuddss,, ddeess ccoonnddiittiioonnss ooppttiimmaalleess ssuurr uunn ppéérriimmèèttrreeppoouurrttaanntt ppeeuu éévviiddeenntt ppoouurr uunnee tteellllee mmaanniiffeessttaattiioonn..

Dès 6 h, les « placeurs » du Club, épaulés par notrepolicier municipal – en charge de la sécurité et durespect de règles de stationnement –, guidaient lespremiers exposants vers leur lieu d’installation, puisle parking réservé mis à disposition par la commune.Cette année, ils étaient cent à s’être inscrits – certainspour la troisième fois –, la plupart dès les deuxsamedis d’inscriptions, en mai, même si quelquesplaces restées libres faisaient le bonheur de ceux quise réveillèrent à la dernière minute.

A la fin de la journée, Françoise Chazal, RichardDupuy et toute l’équipe pouvaient légitimementafficher un large sourire : exposants et participantsétaient unanimes à célébrer cette nouvelle réussite,fruit d’un travail remarquable qui, n’en doutons pas,sera reconduit en 2013.

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• LA CRANTEE DE JACKY DURANDdimanche 2 septembre, à partir de 8 h - école du Barlatier(organisée par l’APE)• FORUM DES ASSOCIATIONSsamedi 8 septembre, de 9 à 13 h - Le Mail (organisé parla municipalité)• GRANDE FETE DU RUGBYdimanche 9 septembre, à partir de 9 h (repas champêtreà 12 h) – Vaulnaveys-le-Haut, Stade Daniel Petiot(organisé par l’ESV Rugby)• CONCERT A LA CHAPELLEœuvres de Schütz et Monteverdi par l’ensemble vocal LaQuinte du Loupsamedi 15 septembre, à 20 h 30 - chapelle saintHippolyte des Angonnes (organisé par la municipalité)• JOURNEES EUROPENNES DU PATRIMOINEsamedi 15 et dimanche 16 septembre, de 14 à 18 h -chapelle saint Hippolyte des Angonnes et église saintPierre de Brié (organisé par la municipalité)• EXPOSITIONPeintures par Elda Gouillondu vendredi 28 au dimanche 30 septembre - salle du Mail(organisée par Arts & Loisirs)• APRES-MIDI JEUXdimanche 14 octobre, de 14 à 18 h - salle du Mail(organisé par l’Union des Habitants)• JOURNEE DU GOUTmardi 16 octobre, à partir de 16 h - Le Mail (organisée parArts & Loisirs)• CONFERENCE : LA RESERVE DU LUITELjeudi 18 octobre, à 20 h 30 - salle du Mail (organisée parl’Union des Habitants)• THEATRE : RIZ ET JEUNESSEspectacle par la troupe Les Dracotins - entrée : 6 tsamedi 27 octobre, à 20 h 30 - salle du Mail (organisépar Arts & Loisirs)

LL’agenda

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55 bboouuggiieess ppoouurr llaa CCrraannttééee

DDiimmaanncchhee 22 sseepptteemmbbrree,, llaa CCrraannttééee ddee JJaacckkyy DDuurraanndd ssoouufffflleerraassaa 55èèmmee bboouuggiiee,, eett ooffffrriirraa,, ccoommmmee àà cchhaaqquuee ffooiiss,, uunnee ddeerrnniièèrreeooccccaassiioonn ddee ss’’ééccllaatteerr ssuurr lleess cchheemmiinnss ddee llaa ccoommmmuunnee –– eettdduu ppllaatteeaauu ddee CChhaammppaaggnniieerr ddaannss ssoonn eennsseemmbbllee –– aavvaanntt llaarreennttrrééee ssccoollaaiirree..Cinq ans, déjà… C’était hier, et ça semble déjà si loin :dimanche 7 septembre 2008, alors que les trombes d’eaude la veille cédaient enfin la place au soleil, 75 randonneursse retrouvaient à l’école du Barlatier pour participer à unnouveau rendez-vous dédié aux vététistes de la régiongrenobloise, la Crantée de Jacky Durand. Une manifestationqui porte fièrement le nom de l’ancien champion cycliste, quiavait proposé à l’Association Pour les Ecoles d’utiliser sonnom – sa réputation – pour organiser un événement familialet sportif, dont les bénéfices iraient au financement d’activitésscolaires.Deux parcours de 21 et 34 km avaient été balisés sur deschemins rendus très glissants par les pluies de la semaine,mais les joyeux vététistes n’eurent pas peur de patauger dansla gadoue. Déjà, la Crantée se distinguait par la beauté desparcours proposés, une ambiance particulièrementchaleureuse, la qualité de ses ravitaillements… et lesnombreux lots récoltés par Jacky sur les courses cyclistesqu’il commente pour la télévision. L’après-midi, plus de 40familles inauguraient la balade familiale ludique, un circuitaccessible aux plus jeunes, jalonné d’indices et d’énigmes.Ont suivi deux années marquées par une croissance rapidedu nombre de parcours – 3, puis 4, avec des distances de15 à 47 km, et des dénivelés pour tous les niveaux – et dela participation : 527 participants – dont 341 randonneurs –en 2009, près de 700 – 509 randonneurs – en 2010.L’audience de la Crantée attirait les vététistes de tout ledépartement, et même de plus loin. Parfaite alchimie entreune équipe d’organisateurs de choc, des partenairesgénéreux et en phase avec l’esprit de la manifestation, desservices techniques municipaux et des élus qui s’impliquentlargement, et ces enthousiastes bénévoles en tee-shirt orangequi ont également fait le succès du Cross du pain, au débutde l’été, la Crantée s’est imposée comme un événementpopulaire de premier plan dans le paysage du Sud Grenoblois,et même plus largement. Et seuls la pluie et le froid pouvaient

expliquer la légère chute de fréquentation observée en2011…Cette année, quatre nouveaux parcours sont proposés auxrandonneurs :• Découverte, 15 km et 300 m de dénivelé, via les crêtes deBrié et les hauteurs d’Herbeys, un circuit particulièrementdédié aux enfants (accompagnés de leurs parents) ;• Randonneur, 28 km et 900 m de dénivelé, qui enchaînerales crêtes, les Quatre Seigneurs et le Mûrier ;• Sportif, 34 km et 1100 m de dénivelé, qui ajoute auparcours Randonneur une boucle sur Bresson et Jarrie ;• Expert, 48 km et 1500 m de dénivelé, avec, en plus,Champagnier et Montchaboud.Comme d’habitude, les randonneurs partiront librement entre8 et 9 h 30 (10 h 30 pour le 15 km), seuls ou en bande. Toutau long des parcours, ils trouveront des ravitaillementstoujours aussi copieux et goûteux, en particulier un ravito biooffert par la Ferme Cochet, à Herbeys. Et à l’arrivée, un tirageau sort permettra d’offrir des lots à tous, sans compter latombola, qui met en jeu, cette année, maillot vert et maillot àpois dédicacés par les vainqueurs finaux des deuxclassements, Peter Sagan et Thomas Voeckler.Le temps de midi sera l’occasion de manger un bout surplace – frites et grillades – et en musique, avec un groupe deblues. Puis retour de la balade familiale ludique : deuxkilomètres jalonnés d’indices, à découvrir avant de résoudreles énigmes proposées à la sagacité des enfants… et deleurs parents. Et, à l’arrivée, lots et surprises pour tous, ainsique des animations cyclistes pour les enfants.A l’heure où la Gazette était mise sous presse, bonne nouvelle,les organisateurs apprenaient que Jacky pourrait être présent,avec sa légendaire bonne humeur et sa convivialité (merci àEurosport de l'avoir libéré cette année). Ne restait donc qu'uneseule interrogation : qu’en sera-t-il de la météo ?i le soleil est dela fête, c’est sûr, il y aura du record de fréquentation dans l’air !

Pour en savoir plus ou pour s'inscrire, aller sur cranntteeee..bbrriiee--ett-aannggoonnnees.ffr, écrire à [email protected] outéléphoner au 06 85 71 50 04.

A la fin de l’envoi…… je touche, disait Cyrano. Bientôt, les briatauxpourront en dire autant : projet né à la suited’interventions à l’école l’hiver dernier, la création decours d’escrime va devenir réalité cet automne. Dèsle 10 septembre, tous les lundis, la salle de sports del’école du Barlatier va en effet accueillir le GUCEscrime pour des assauts que nous espéronsnombreux.

Deux cours vont être ouverts : de 17 à 18 h 30,place aux écoliers (7/12 ans) ; de 18 h 30 à 20 h,place aux ados et aux adultes (de 13 à 77 ans).

Plus d’informations en ligne :hhttttpp::////eessccrriimmee..gguucc..aassssoo..ffrr//llee__gguucc__aa__bbrriiee__eett__aannggoonnnneess__11336666..hhttmm..

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CChangement d’horaire, cette année, pour le 11ème Forumdes Associations : il se tiendra au Mail, samedi 8septembre, de 9 à 13 h. Les participants espèrent ainsipouvoir mobiliser plus de briataux… et si ceux-cidonnaient raison à nos responsables associatifs ?

Les efforts développés par la municipalité quant audéveloppement de nouvelles activités sur la commune sepoursuivent. Ainsi le Forum accueillera-t-il un nouvelinvité, le GUC Escrime, qui va proposer deux cours lelundi soir dans la salle de sports du Barlatier. A leurscôtés, on retrouvera les associations « historiques » de lacommune ainsi que le CSC André Malraux et lesassociations extra-communales avec lesquelles des

partenariats ont été noués ces dernières années.

Il y en aura pour tous les âges… et les amateurs depronostics se demandent déjà quelle sera l’ampleur del’impact du 2ème titre olympique consécutif des Expertssur les effectifs du mini-hand ! Alors, samedi 8septembre, n’hésitez pas à consacrer une partie de votrematinée au Forum, pour y découvrir ou retrouver toutesces associations, prendre une inscription pour lesactivités sportives ou culturelles qu’elles proposent, ouprendre le temps d’échanger avec les acteurs de la viecommunale, dont les élus présents sur le stand de laMairie.

DDeeuuxxiièèmmee ssaaiissoonn ppoouurr lleess ccoouurrss dd''aaiikkiiddoo eett dd''aaiikkiisshhiinnttaaiissoo àà llaassaallllee ddee ssppoorrttss ddee ll''ééccoollee dduu BBaarrllaattiieerr.. VVoouuss ppoouuvveezz ssuuiivvrreejjuussqquu''àà ttrrooiiss ccoouurrss dd''eessssaaiiss ggrraattuuiittss ppoouurr vvoouuss ffaaiirree uunnee iiddééee ::aalloorrss,, nn''hhééssiitteezz ppaass eett rreejjooiiggnneezz lleess ttaattaammiiss ddee BBrriiéé !!Le jeudi soir, un cours d’aikido pour adultes et adolescents estproposé de 19 à 20 h 30. De 20 h 30 à 21 h 45, place àl’aikishintaiso, pour adultes seulement. La reprise des coursaura lieu le jeudi 13 septembre. Il est possible de commencern'importe quand dans l'année. Pour plus de renseignements, téléphoner au 06 07 09 87 36ou écrire à [email protected]

DDuu jjuuddoo aauu BBaarrllaattiieerrInaugurés l’an passé, les cours de judo dde ll’’EESSSSMM KKooddookkan rreeprrennnneentt àà lla ssallle dde sspoorttss ddee l’’ééccoolee duu BBaarrllaattiieerr àà ppaarrttiirr dduu mmeerrccrreeddii19 septembre. Ils seront à nouveau assssurréss ppaarr SSyyllvvaaiinn GGenntte,, cceeinntturree nnoiire 22èèmmee ddaann, bbreeveetéé d’’EEttaatt eenn jjuuddoo,, jjiiuu--jjiittssuu eett ttaaïïssoo..Trois cours sont proposés chaque mercredi : de 8 h 45 à 9 h 45, pour les enfants nés en 2004 et avant ; de 10 à 11 h pourceux nés en 2005 et 2006 ; de 11 h 15 à 12 h pour les plus jeunes, nés en 2007 et 2008. Les débutants bénéficieront d’une séance d’essai, puis d’un forfait jusqu’aux vacances de la Toussaint.Pour s’inscrire, rendez-vous au Forum des associations, samedi 8 septembre, et à la salle de sports, mercredi 12 septembre de10 à 12 h. Et, pour les retardataires, pendant les entraînements…

CeinturenoireAApprrèèss uunnee ffiinn ddee ssaaiissoonn ccoouurroonnnnééee ppaarr llaa cceeiinnttuurree nnooiirree ddeeCCaammiillllee GGrraattttaarrdd,, uunnee ssooiirrééee ddee ffiinn dd’’aannnnééee ccoonnvviivviiaallee –– aavveeccrreemmiissee ddee rrééccoommppeennsseess eett ttrroopphhééeess ppoouurr lleess lliicceenncciiééss dduucclluubb –– eett uunnee ddéémmoonnssttrraattiioonn rreemmaarrqquuééee àà llaa FFêêttee dduu ppaaiinn,,ll’’AAccaaddéémmiiee ddee TTaaeekkwwoonnddoo CCllaauuddee PPeerrddiiggoonn rreepprreenndd sseessaaccttiivviittééss ddèèss llee 1100 sseepptteemmbbrree..Les cours ont lieu à la salle Claude Perdigon les mardi,mercredi et vendredi de 18 à 22 h, le jeudi de 20 à 22 het le samedi de 10 à 12 h. Plus d’informations auprès desmembres du club présents au Forum des associations, et surwwwwww..ttaaeekkwwoonnddoo--aattccpp..ccoomm//.

Forum des associations

CCaammiillllee GGrraattttaarrdd,, cceeiinnttuurree nnooiirree :: cc’’eesstt aavveecc bbeeaauuccoouupp ddeeffiieerrttéé qquuee ll’’AAccaaddéémmiiee ddee TTaaeekkwwoonnddoo CCllaauuddee PPeerrddiiggoonn aaaaccccuueeiillllii llaa nnoouuvveellllee aauu ddéébbuutt ddee ll’’ééttéé..La jeune licenciée, à l’Académie depuis 8 ans, a obtenuce grade en finissant première de sa catégorie, et parmiles quatre meilleures notes des 49 participants à cepassage de grade régional.Après avoir suivi l’enseignement de Claude Perdigon,Olivier Vincent et Laureen Grattard, c’est avec MaîtrePassalacqua que Camille a terminé sa formation. Aprèsdes semaines de travail acharné auprès du meilleurtechnicien de la Région, diplômé d’état et responsablede la commission technique Rhône-Alpes, elle a acquisun bagage technique de grande qualité, laissantentrevoir un avenir des plus intéressants.Camille, qui aura 16 ans, l’an prochain est désormaisen mesure d’apporter un soutien technique aux plusjeunes du club. Une bouffée d’oxygène pour l’Académie,qui mise beaucoup sur les jeunes pour combler unsecteur de l’enseignement de plus en plus limité, mêmeau niveau régional.

AArrtt mmaarrttiiaall jjaappoonnaaiiss ttrraaddiittiioonnnneell eett nnoonn vviioolleenntt,, ffoonnddéé ppaarr ÔÔ sseennsseeiiUUeesshhiibbaa MMoorriihheeii ((11888833--11996699)),, ll’’aaiikkiiddoo eesstt pprraattiiqquuéé ssaannssccoommppééttiittiioonn eett ss''aaddrreessssee aauuxx hhoommmmeess eett aauuxx ffeemmmmeess,, ssaannss lliimmiitteedd''ââggee nnii pprrééppaarraattiioonn ssppéécciiaallee.. Son enseignement se base sur des principes d'équilibre desénergies et de respect du partenaire. Le pratiquant étudie des principes de base propres aux arts martiaux : déplacements,esquives, saisies, distances. Il aborde progressivement le travail à mains nues, les techniques d'immobilisation ou de projectionsainsi que le travail des armes. Par l'étude d'une gestuelle naturelle, par le travail en souplesse des techniques et la recherche d'une disponibilité du corps etde l'esprit, l'aikido favorise le bien être physique et permet une meilleure connaissance de soi et des autres. L'affirmation desa propre confiance, l'acquisition d'une stabilité mentale au cœur du mouvement rendent alors inutile le recours à la force.L’aikishintaiso est une discipline de développement personnel fondée sur la prise de conscience. Gymnastique d’harmonisationde l’énergie, il alterne postures, marches, mouvements, méditations, en vue d’améliorer l’attitude corporelle et de corrigerd’éventuels déséquilibres posturaux. En équilibrant nos énergies internes et externes, il permet un bon fonctionnement de l’être,physique, physiologique et psychique.Plus de détails – y compris des vidéos – sur wwwwww..33aaiikkiiddoo..oorrgg.

MMaarrttiiaall eett nnoonn vviioolleenntt

Page 20: Gazette n°52

18 BBrèvesFête du RugbyDimanche 9 septembre, à partir de 9 h, au stade DanielPetiot de Vaulnaveys-le-Haut, l’ES Vaulnaveys Rugbyfait la fête. Les briataux seront de la partie, eux quifréquentent en nombre ce formidable club formateur.

Club des BriatauxLe club reprend ses activités le jeudi 6 septembre à lasalle du Mail. Et les 15 et 16 septembre, sortie à Thiers,avec une visite de la coutellerie, bien sûr, mais aussi unesoirée cabaret au Moulin Bleu (ambiance Moulin Rouge).

Forum des associations d'HerbeysSi vous ne trouvez pas votre bonheur sur Brié-et-Angonnes, tentez votre chance à Herbeys : le Forum desassociations aura lieu à la Maison Pour Tous d'Herbeys,mercredi 12 septembre, de 15 à 19 h.

Randos automnalesDDaattee ((hheeuurree ddee ddééppaarrtt))

MMaassssiiffPPooiinntt ddee ddééppaarrtt

((aallttiittuuddee**)) DDeessttiinnaattiioonn((ss))

Altituuddee mmaaxxiimmaallee** ((nniivveeaauu

dee ddiiffffiiccuullttéé****))

DDéénniivveelléé ccuummuulléé** // DDuurrééee

CCaarrttee IIGGNN

6/09(7 h) Taillefer Combe Oursière

(1700)

G1 : Taillefer

G2 : Lac Brouffier

2857 (2)

2150 (1)

1180 / 7 h

500 / 3 h 30

3336 OT

13/09 Journée de tous les marcheurs***

20/09(7 h) Beaufortin Arêche - Lac de

St Guérin (1559)Les lacs

de la Tempête 2131 (1/2) 600 / 5 h 3532 OT

27/09(7 h) Oisans Les Hières

(1770)Le Signal de laGrave (circuit) 2446 (1/2) 700 / 4 h 30 3435 OT

4/10(7 h) Oisans La Villette -

Vaujany (1345)

G1 : Tour des Aiguillettes(col de Couard)

G2 : Col du Sabot(aller-retour)

2300 (2)

2100 (1)

955 / 5 h 30

755 / 3 h 30

3335 OT

11/10(7 h) Beaufortin

GrandNaves(1316)

G1 : Grand Crétet

G2 : RefugeNant du Beurre

2292 (1/2)

2075 (1/2)

976 / 5 h 30

760 / 4 h 30

3532 OT

18/10(7 h) Belledonne

La Gafe - Les Seiglières

(1110)

G1 : Lac Longet -La Pra

G2 : Vallon de l’Oursière (cascade)

2109 (2)

1620 (1/2)

1000 / 5 h 30

510 / 3 h 30

3335 OT

25/10(7 h) Taillefer Oris en Rattier

(1004)

G1 : Sommet de la Cavale

G2 : Crête Côte Belle

2147 (2)

1640 (1/2)

1140 / 5 h 30

640 / 3 h 30

3336 OT

8/11(7 h 30) Sept Laux Gleyzin

(1100)Refuge

de l’Oule 1836 (1/2) 750 / 4 h 30 3433 OT

15/11(7 h 30)

Grand Armet

Route de Vaunoire

(1216)Plancol 1872 (1/2) 670 / 4 h 3336 OT

22/11(7 h 30) Vercors Trézanne

(1009)Aubeyron - Goutaroux 1553 (2) 550 / 4 h 3236 OT

29/11(7 h 30) Vercors

Pont Chabert(col

de Romeyère,882)

Fessole, par Belvédère

du Rivet1420 (1) 540 / 4 h 30 3235 OT

* Les altitudes et dénivelés sont donnés en mètres.** Niveaux de difficulté :

1/2: itinéraires faciles, accessibles à tous, assez longs sur sentiers balisés avec sections hors sentiers possibles.2 : itinéraires sur ou hors sentiers sur terrain peu exposé, certains passages aménagés peuvent être impressionnants mais sans difficultés techniques.2/3 : itinéraires sur terrains moyennement exposés, réservés aux randonneurs avec notions d’orientation et sens du terrain, certains passages – généralement équipés –peuvent nécessiter l’usage des mains pour la progression.

*** Journée de tous les marcheurs : une information ultérieure sera donnée sur cette journée. Comme les autres années, il s’agira d’une balade douce de 2 h 30 / 3 h, suivied’un repas dans un restaurant du secteur visité.Comme par le passé il sera fait appel au volontariat pour assurer l’accompagnement des groupes : merci à ceux qui pensent avoir la possibilité de consacrer un peu de leurtemps à cette tâche de se faire connaître. B. Bonnal et P. Poulenard, nouveaux responsables de cette activité, assureront désormais la répartition des sorties – non conduitespar eux-mêmes – auprès des accompagnateurs volontaires. Petite contrainte : faire une reconnaissance de l’itinéraire avant la randonnée.Pour toute information complémentaire, téléphoner au 04 76 73 67 25.

APE chercheparentsRRééccoolltteerr ddeess ffoonnddss ppoouurr ffiinnaanncceerr ddeess aaccttiivviittééssccuullttuurreelllleess oouu ssppoorrttiivveess ppeennddaanntt llee tteemmppss ssccoollaaiirreemmaaiiss aauussssii ooffffrriirr aauuxx eennffaannttss ddee ll’’ééccoollee ccoommmmuunnaalleeddeess aaccttiivviittééss ppéérriissccoollaaiirreess aattttrraaccttiivveess :: tteell eesstt llee ccrreeddooddee ll’’AAPPEE eett ddee sseess bbéénnéévvoolleess.. DDeess ppaarreennttss qquuiillaanncceenntt uunn aappppeell aauuxx bboonnnneess vvoolloonnttééss,, eenn ppaarrttiiccuulliieerrdduu ccôôttéé ddeess nnoouuvveeaauuxx aarrrriivvaannttss ssuurr llaa ccoommmmuunnee oouuddee cceeuuxx ddoonntt lleess eennffaannttss eennttrreenntt àà ll’’ééccoollee mmaatteerrnneelllleeàà ll’’ooccccaassiioonn ddee llaa rreennttrrééee 22001122..L’APE, ce sont bien évidemment la Fête du pain, enpartenariat avec l’Union des Habitants et la mairie, leCross du pain et la Crantée de Jacky Durand, et aussides ventes de chocolats ou de fleurs. L’an passé,l’association a également innové avec des activitéspendant le temps de garderie scolaire. Quant aucinéma de plein air, s’il n’est pas sûr qu’il soit réitérésouvent, eu égard à l’importance du coût del’opération, le succès de la première de l’été dernierreste dans les mémoires. Mais pour continuer à faire le bonheur des enfants,l’APE a besoin d’aide. D’autant que, chaque année,des enfants quittent l’école… et leurs parents l’APE.Pour perdurer, l’association a, encore et toujours,besoin de sang neuf, que ce soit pour un coup demain ponctuel ou pour une participation régulière.Alors, écrivez vite à [email protected], oumettez un mot dans la boîte à lettres mise à sadisposition à l’entrée de l’école primaire. Et rendez-vous pour les réunions mensuelles, ouvertes à tous,de grands moments de convivialité.LL’’AAsssseemmbbllééee GGéénnéérraallee aauurraa lliieeuu vveennddrreeddii 2288sseepptteemmbbrree,, àà 2200 hh 3300 àà llaa mmaaiissoonn ddeess aassssoocciiaattiioonnss((aanncciieennnnee ééccoollee dduu BBaarrllaattiieerr)).. LLeess ddaatteess ddeess aauuttrreessrrééuunniioonnss ddee ttrraavvaaiill ddee ll’’AAPPEE ssoonntt ddaannss ll’’aaggeennddaa dduu ssiitteeiinntteerrnneett ddee llaa ccoommmmuunnee..

Page 21: Gazette n°52

LE RELAIS DES MOUSQUETAIRES

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Les Hauts du Moulin - 38320 BRIE ET ANGONNES

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Electricité GénéraleCourant fort - Courant faible

Le Bourg 38320 BRIÉ ET ANGONNESTél. : 04 76 72 07 86 Fax : 04 76 73 68 38

Horaires d’ouvertureFermé le Lundi

Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi : 8 h - 12 h 30 / 15 h - 19 hSamedi : 8 h - 12 h 30 / 15 h 30 - 19 hDimanche : 8 h 30 - 12 h

Page 22: Gazette n°52

Pharmacie

Bibliothèque La Bibliothèque municipale Paul Blanc vous accueilleles mardi, mercredi et vendredi de 17 à 19 h.Tél. : 04 76 73 68 48 (pendant les heuresd’ouverture)

La PosteOuvert le lundi de 14 h 15 à 17 h, du mardiau vendredi de 9 à 12 h et de 14 h 15 à 17 h, et le samedi de 9 à 12 h.

Attention au bruitLes travaux bruyants (tondeuses, tronçonneuses,élagage, …) sont autorisés uniquement les joursouvrables de 8 à 12 h et de 14 à 19 h 30, les samedis de 9 à 12 h et de 15 à 19 h, et les dimanches et joursfériés de 10 à 12 h.

Collecte des déchets• Ramassage des poubelles : le lundi (Brié)ou le jeudi (Tavernolles, Les Angonnes).• La déchetterie intercommunale de Vaulnaveys-le-Haut vous accueille lesmardi, jeudi et vendredi de 8 à 13 h, lemercredi de 8 à 13 h et de 14 à 18 h, et lesamedi de 8 à 18 h. Des cartes d’accèssont disponibles en mairie.• Prochaine collecte de DASRI11 : mercredi5 septembre, de 9 à 10 h 30, place du Mail.1 Déchets d'Activités de Soins à Risques Infectieux (aiguilles, seringues,scalpels, compresses, stylos pour diabétiques, lames, cotons)

Mairie• La mairie de Brié-et-Angonnes est ouverte au public dulundi au vendredi de 8 h 30 à 12 h et de 13 h 30 à 16 h.

Tél. 04 76 73 63 35 - Fax 04 76 72 08 66Courriel : [email protected] internet : www.brie-et-angonnes.fr

Permanences• le maire et les adjoints reçoivent sur rendez-vous• permanence du CCAS le mardi, de 9 à 12 hPour contacter

• le policier municipal : [email protected]

• la responsable des services périscolaires : [email protected]

La pharmacie de Brié est ouverte le lundi de 14 h 30 à 19 h, du mardi au vendredi de 8 h 30 à 12 h 15 et de 14 h 30 à 19 h, et le samedi de 8 h 30 à 12 h 15. PPhhaarrmmaacciieess ddee ggaarrddee ((sseerrvveeuurr ttéélléépphhoonniiqquuee 33991155))

• Communauté de communes 04 76 68 84 60• Office de tourisme du Sud Grenoblois 04 76 68 15 16• Sapeurs pompiers 18• Secours à partir d’un téléphone portable 112• Police 17• Gendarmerie de Vizille 04 76 78 98 50• EDF (sécurité - dépannage) 04 76 68 05 05

0 810 33 33 38• SIEC (service des eaux) 04 76 72 03 17

(en cas d’urgence) 06 08 24 30 32• La Poste 04 76 73 63 00• Déchetterie intercommunale 04 76 68 84 60• Perception de Vizille 04 76 68 03 84• Pharmacie 04 76 73 67 86• Pharmacies de garde 3915• Dr Ledrappier Mireille 04 76 73 65 81• Dr Enkaoua William 04 76 72 01 74• Urgences médicales et risques vitaux 15• Permanence médicale 0 810 15 33 33• Cabinet de soins infirmiers

des Hauts du Moulin 04 76 72 09 32• Cabinet de soins infirmiers

Brié Soins 04 76 73 62 11• Masseurs-kinésithérapeutes 04 76 72 05 98• Ostéopathe 06 23 39 75 91• Pédicure 04 76 72 09 42• Réflexologue (Martine Enkaoua) 06 87 42 76 18

(Aurélie Drevon-Gaillot) 06 86 22 39 12

Etat civilNNaaiissssaanncceess

VVIIGGNNAALL AAllbbaann,, nnéé llee 2211 jjuuiinn 22001122CCOOCCUUZZZZAA EEnnzzoo,, SSaannddrroo,, nnéé llee 55 jjuuiilllleett 22001122

GGRRAANNDD JJaakkee,, PPaattrriicckk,, JJoosseepphh,, nnéé llee 1133 jjuuiilllleett 22001122LLUUCCAASS MMAASSSSOONN LLyyssaa,, nnéé llee 1188 jjuuiilllleett 22001122

YYZZEERRMMAANNSS LLuuccaass,, NNaatthhaann,, nnéé llee 2211 jjuuiilllleett 22001122NNUUBBAANN CCaammbbyyssee,, nnéé llee 1133 aaooûûtt 22001122

20

TToouutt ttyyppee ddee bbrrûûllaaggee eesstt iinntteerrddiitt dduu 1155 fféévvrriieerr aauu 3300 aavvrriill eett dduu 1155 jjuuiilllleett aauu 3300 sseepptteemmbbrree,, aaiinnssii qquuee lleess jjoouurrss ddee ggrraanndd vveenntt..Brûlage de déchets ménagers ou industriels et de déchets végétauxverts sont interdits tout au long de l’année, ainsi que le brûlage enagglomération au sens du code de la route.Pour connaître les conditions auxquelles le brûlage de déchetsvégétaux secs ne dégageant pas de forte fumée peut êtreexceptionnellement toléré, consulter le site internet de la commune -www.brie-et-angonnes.fr/article36 - ou s’adresser en mairie.Toute infraction à ces règles est susceptible d’être verbalisée.

Brûlage de déchets

Consultances architecturalesVVoouuss aavveezz uunn pprroojjeett ddee ccoonnssttrruuccttiioonn oouu dd''aamméénnaaggeemmeenntt ??VVoouuss ssoouuhhaaiitteezz oobbtteenniirr ddeess rreennsseeiiggnneemmeennttss ssuurr lleess rrèègglleemmeennttss dd''uurrbbaanniissmmee àà rreessppeecctteerr ?? DDeess ccoonnsseeiillss ssuurrll''iinnttééggrraattiioonn ppaayyssaaggèèrree ddee vvoottrree pprroojjeett ?? CCéécciillee LLeerreebboouurrgg,,aarrcchhiitteeccttee ccoonnsseeiill dduu SSuudd GGrreennoobbllooiiss,, aassssuurree ddeess ppeerrmmaa--nneenncceess ddaannss ddiifffféérreenntteess mmaaiirriieess,, llee vveennddrreeddii ddee 1166 àà 1199 hh ::•• VVeennddrreeddii 77 sseepptteemmbbrree –– JJaarrrriiee•• VVeennddrreeddii 2211 sseepptteemmbbrree –– VVaauullnnaavveeyyss--llee--BBaass•• VVeennddrreeddii 55 ooccttoobbrree –– BBrriiéé--eett--AAnnggoonnnneess•• VVeennddrreeddii 1122 ooccttoobbrree –– CChhaammppaaggnniieerr•• VVeennddrreeddii 22 nnoovveemmbbrree –– HHeerrbbeeyyss

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Sud grenoblois

• 2 septembre : Pharmacie de l’Enclos (Haute Jarrie)• 9 septembre : Pharmacie Cohen (Vaulnaveys-le-haut)• 16 septembre : Pharmacie des Alpes (Vizille)• 23 septembre : Pharmacie Guérinoni-Espié (Champ-sur-Drac)• 30 septembre : Pharmacie Cocolomb (Uriage)

• 7 octobre : Pharmacie Benoit (Vizille)• 14 octobre : Pharmacie des Mattons (Vizille)• 21 octobre : Pharmacie de l’Enclos (Haute Jarrie)• 28 octobre : Pharmacie Schmitt-Bablet (Jarrie)• 1er novembre : Pharmacie de Brié

■ ■ ■ Numéros utiles

DDééccèèssDA CUNHA NEVES Joâo décédée le 17 juin 2012

VILLARD Paul, décédé le 18 juillet 2012CHERUSEL Marcel, décédé le 31 juillet 2012

BARDOUX Henri, décédé le 4 août 2012

Marché campagnardTous les mardis, de 15 à 19 h, place du Mail.

Commerce ambulantTous les mercredis, de 16 h à 17 h parkingde la mairie.Livraison à domicile le mercredi : pourcommander et connaître les horaires, appelerFabien au 06 29 58 01 19, au plus tard le lundi.

MMaarriiaaggeessMAZZONE Anne et CALLEGHER Cédric, le 233 juuinn 22001122

QUATELA Lætitia et LAPRAY Yves,, le 7 jjuuiillleett 22001122LAUFER Catherine et VILA Roger,, le 7 jjuuiillleett 22001122

Page 23: Gazette n°52

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