GAZETTE des 2 et 3èmes trimestres 2021 - MAGIX

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1 GAZETTE des 2 et 3èmes trimestres 2021 Editorial Chers amis bonjour, Dans l'histoire du printemps bien plus qu'une saison, c'est au moins deux symboles, ceux du renouveau et de l'espoir. La vie réserve de belles surprises et même si certains matins le moral est un peu en baisse, il faut relever le défi, tenter une aventure, mériter le bonheur et bien vivreVoici quelques mots qui j'espère vous aiderons à surmonter cette période difficile : ° Tenons le coup, nous allons bientôt nous retrouver ; ° A notre âge, pour rester jeune, il faut toujours avoir des projets. En effet, suite à notre fête de septembre 2020 restée dans les tiroirs, nous envisageons une programmation pour le jeudi 23 septembre 2021, bien entendu sous réserves gouvernementales à venir et peut être à disparaître. Prenez soin de vous et profitez, au maximum, du temps présent ! Michel Avon Président, Michel Avon 06 26 83 33 56 [email protected] Vice-Président, Louis Charbonnier 06 84 80 90 94 [email protected] Vice-Président, Pierre Baron 06 80 98 52 75 [email protected] Président d’honneur, Michel Rumeau-Maillot [email protected] Secrétaire, Paul-André Gilibert, tél. 06 76 85 48 04 [email protected] Secrétaire-adjoint, Patrick Deher, tél. 06 81 68 94 24, [email protected] Trésorier, Patrick Theys, tél. 06 75 86 89 61, [email protected] Trésorier-adjoint, Jean-Robert Richard 06 70 51 92 36 [email protected] Gazette, JC. Christophe 06 33 57 05 89 [email protected] Internet : http://christjcc.magix.net/public/

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GAZETTE des 2 et 3èmes trimestres 2021

Editorial

Chers amis bonjour,

Dans l'histoire du printemps bien plus qu'une saison, c'est au moins deux symboles, ceux du renouveau et de l'espoir. La vie réserve de belles surprises et même si certains matins le moral est un peu en baisse, il faut relever le défi, tenter une aventure, mériter le bonheur et bien vivre… Voici quelques mots qui j'espère vous aiderons à surmonter cette période difficile :

° Tenons le coup, nous allons bientôt nous retrouver ; ° A notre âge, pour rester jeune, il faut toujours avoir des projets. En effet, suite à notre fête de septembre 2020 restée dans les tiroirs, nous envisageons une programmation pour le jeudi 23 septembre 2021, bien entendu sous réserves gouvernementales à venir et peut être à disparaître.

Prenez soin de vous et profitez, au maximum, du temps présent !

Michel Avon

Président, Michel Avon 06 26 83 33 56 [email protected] Vice-Président, Louis Charbonnier 06 84 80 90 94 [email protected]

Vice-Président, Pierre Baron 06 80 98 52 75 [email protected]

Président d’honneur, Michel Rumeau-Maillot [email protected]

Secrétaire, Paul-André Gilibert, tél. 06 76 85 48 04 [email protected]

Secrétaire-adjoint, Patrick Deher, tél. 06 81 68 94 24, [email protected]

Trésorier, Patrick Theys, tél. 06 75 86 89 61, [email protected]

Trésorier-adjoint, Jean-Robert Richard 06 70 51 92 36 [email protected]

Gazette, JC. Christophe 06 33 57 05 89 [email protected] Internet : http://christjcc.magix.net/public/

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BULLETIN D’ADHÉSION ARLB A retourner complété et signé

_______________

Je soussigné(e) :

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Adresse complète :

Tél. fixe : Tél. portable :

Courriel :

Souhaite adhérer à l’Amicale des Retraités de la L.B. (choisissez votre section de rattachement dans la

liste ci-dessous qui pourra vous fournir toute information sur notre association) :

Bureau National:

Président : Michel AVON 06.26.83.33.56 [email protected] Section de :

Bourg : Jacqueline PERROT 04.74.21.71.30 [email protected] Grenoble : Michel REPELLIN 06.26.38.63.21 [email protected] Dijon : Danièle HELIOT 06.75.23.60.28 [email protected] Lyon : Laurence DANNA 06.17.85.47.25 [email protected] Le Puy : Philippe GALANTINI 06.82.34.53.90 [email protected] Marseille : Michel AVON 06.26.83.33.56 [email protected] Montluçon : Catherine DIF 06.37.01.90.24 [email protected] Nice : Chantal LLINARES 06.89.29.71.98 [email protected] Nîmes : Maurice TRIAIRE 06.15.92.47.78 [email protected] Roanne : Daniel THELIS 04.77.64.92.60 [email protected] Saint-Etienne : Nicole GRAIL 06.30.03.76.99 [email protected] Toulon : Jacques TOURNOIS 06.81 54 14 04 [email protected] Valence : Michel RIVOIRE 06.06.88.01.95 [email protected]

A : le Signature

__________________________________________________________

Si à l’avenir vous nous autorisez à prélever le montant de la cotisation sur votre compte, merci de nous fournir

un RIB, dater et signer le mandat SEPA ci-dessous sans lequel votre banque rejetterait l’opération de

prélèvement.

__________________________________________________________________________________

MANDAT DE PRELEVEMENT SEPA AMICALE DES RETRAITES LB En signant ce formulaire de mandat vous autorisez l’Amicale des Retraités de la LB à envoyer des instructions à votre banque pour débiter votre

compte, et votre banque à débiter votre compte conformément aux instructions de l’Amicale des retraités de la LB. Vous bénéficiez du droit

d’être remboursé par votre banque selon les conditions décrites dans la convention que vous avez passé avec elle. Une demande de

remboursement doit être présentée dans les 8 semaines suivant la date de débit de votre compte pour un prélèvement autorisé.

Coordonnées du débiteur Coordonnées du créancier AMICALE DES RETRAITES LB

IBAN : ICS : FR92ZZZ115142

BIC : RUM : HI20150709155846876906

Type de paiement : Récurrent

A : le : Signature du débiteur

Nota : vos droits concernant le présent mandat sont expliqués dans

un document que vous pouvez obtenir auprès de votre banque.

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ILS NOUS ONT QUITTÉS…

Liste établie avec les informations disponibles lors de la rédaction de la Gazette

DURIX René 02/11/1929 Roanne mars 2020

FARJAS Pierre 11/01/1928 Roanne juin 2020

SYLVESTRE Jean-Jacques 10/07/1943 Grenoble 12/02/2021

Nos pensées vont vers eux et leurs familles à qui nous transmettons nos condoléances les plus sincères !

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Section de Bourg-en-Bresse Présidente : Jacqueline PERROT 42, rue du Peloux,

01100 BOURG-EN-BRESSE

Depuis un an, plus de rencontres avec nos retraités. Les projets sont tombés à l’eau ! Heureusement, il nous reste les souvenirs de moments conviviaux. Ces photos, des

années passées, vous rappelleront quelques-uns de ces moments

Année 2007- jeux à St Denis les Bourg.

Mmes Letang et Gaillot, J.L. Le Kunff.

Année 2008 – les membres du bureau de l’amicale de Bourg.

Voir la photo en fin d’article

Année 2014 – visite des serres Louvet à Polliat.

Repiquage des semis : Mme Déplanche, M. Collet, Mmes Savey

et Brazier.

Présentation des travaux : Mmes Michaud, Savey, Perrot.

Année 2014 – Villereversure lors du repas de juin.

Jacques Marinelli, sa femme Raymonde, Mme Bon Guichardon.

______________________________________

« L’eau qui coule ne revient pas, ainsi va la vie, alors prends-la du bon coté et sois heureux. »

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Dans la gazette du dernier trimestre 2020,

l’amicale de Marseille, sous la signature de

Robert Lesueur, lance un clin d’œil à la Banque

Privée. Qui se

souvient encore

de celle-ci ?

Toujours dans mes documents anciens, j’ai retrouvé un courrier datant du 24 septembre 1928 émanant de la Banque Privée de Marseille, en bon état - presque cent ans- dont voici la photo. Un autre courrier du 5 décembre 1928 émane de la Banque Privée de Paris et est destiné à la Banque Privée de Nuits Saint Georges, en Côte d’Or.

Précisons tout de même que le nom complet de l’établissement financier était : « Banque Privée Industrielle, Commerciale, Coloniale ». C’est l’époque qui le veut…

Photo : cachet de cire de la Banque Privée de Paris

Année 2008 - Debout, devant : Mmes Guillot, Perrot, Brazier, Gagneux, Mrs Savey, Butillon, Mirmand. A l’arrière : Mrs Cornet, Gadiollet, Reynier, Fantin. Photo prise à la Maison des Pays de l’Ain à St Etienne du Bois

Robert Gadiollet

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Section Dauphiné/Deux-Savoies

LE LAC BLEU

C’est ainsi que les riverains du Lac de PALADRU, connu également sous le nom de Lac de CHARAVINES l’ont surnommé. D'une longueur de 5,3 km, d’une largeur de 650 m, et d’une profondeur moyenne de 25 m avec un maximum à 36 m, et d'une superficie de 3,92 hectares, le volume d'eau qu'il contient est de 97 millions de m3. Il est situé à 492 m d'altitude.

Quatre communes se partagent le territoire lacustre. Celle-ci sont, dans le sens des aiguilles d'une montre : au sud, la commune de Charavines, à l'ouest et au nord, la commune nouvelle de Villages du Lac de Paladru (fusion des deux communes riveraines Le Pin et Paladru en 2017) et, à l'est, les communes de Montferrat et Bilieu. Il s’étend sur 2 cantons et se présente aujourd'hui comme le cinquième lac naturel d’origine glacière de France, exception faite de la partie française du Léman. En plus de donner sa belle couleur turquoise au lac, la craie lacustre qui recouvre ses fonds est bénéfique pour la peau.

Son bassin, est situé à mi-chemin entre les agglomérations de Grenoble et de Lyon, dans un paysage de collines et de petites montagnes. Il s'agit d'un lac privé, propriété de la société civile du lac de Paladru fondée le 24 juin 1874. Cette société a publié un règlement qui s'applique aux riverains et aux plaisanciers, notamment dans l'usage des bateaux à moteurs et dans la pratique de la baignade autorisée au niveau de certaines surfaces. C'est aussi un haut lieu archéologique français, ainsi que de biodiversité piscicole ; plusieurs espaces sont classés en zones naturelles protégées et sont inaccessibles au public.

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LES ACTIVITÉS AUJOURD’HUI Le lac est devenu aujourd’hui un haut lieu touristique avec une saison d’été très chargée. Les plages les plus importantes se situent aux deux extrémités nord et sud, les rives latérales ayant une déclivité plus importante. Le bassin du lac est un facteur d'unité et donne une image d'authentique « pays » au sens géographique du terme. Avec des eaux à 25 degrés en plein été, la baignade dans les eaux cristallines du lac est un vrai bonheur pour les grands et les petits ! Pour la sécurité de tous, la baignade n’est autorisée que sur les plages surveillées du tour du lac. C’est aussi, bien sûr, de nombreuses activités nautiques ! Croisières en voilier, plongée, découverte de l'aviron, location de pédalos, planches à voile, Stand Up Paddle ou canoës... Skippers au long cours ou marins d'eau douce trouveront forcément leur bonheur ! Vous pouvez également profiter des aires de détente du Bois d’Amour à Charavines et de la Véronnière, à Montferrat ou vous trouverez des tables de pique-nique ombragées ainsi que de nombreux jeux pour enfants. De nombreux sentiers balisés, de tous niveaux, attendent les randonneurs : les sentiers pédestres et les circuits VTT allient plaisir des yeux et pratique sportive en vous offrant des balades ombragées, une découverte de ce bel écrin de verdure et de larges panoramas sur le lac. Que vous soyez adeptes de randonnées pédestres, VTT ou cyclo vous aurez la possibilité de faire le tour du lac pour découvrir tous ses aspects, chacun y trouvera son bonheur selon le parcours emprunté !

LES VESTIGES ENGLOUTIS La notoriété du lac de Paladru ne tient pas uniquement au célèbre film d’Alain Resnais « On connaît la chanson » mais bien à l’importance des recherches qui ont dans les années 70, dévoilé le pan d’une histoire encore assez peu renseignée par l’archéologie, celle des sociétés néolithiques et des débuts de l’An Mil. Modelé à l'époque glaciaire, ses rives accueillent, en 2700 av J-C, l'une des 1ères communautés humaines de l'Isère (village néolithique des Baigneurs). Plus tard, ce sont les chevaliers de l'An Mil qui s'installent sur le site de Colletière. Les vestiges mis au jour au cours des nombreuses campagnes de fouilles archéologiques seront exposés dans le futur Musée archéologique à Paladru - Les villages du lac de Paladru.

LE MUSÉE ARCHEOLOGIQUE Le musée archéologique du lac de Paladru, situé sur la commune de Charavines et ouvert en 1988 a fermé ses portes en janvier 2018. Les collections restaurées vont être présentées dans un nouveau bâtiment construit sur la commune des Villages du Lac de Paladru dont l’ouverture est programmée en 2021.

VOYAGE DANS LE TEMPS Les photos illustrant cet article datent de la fin des années 1920. C’était avant les congés payés et donc avant le tourisme de masse. Les riverains y pratiquaient essentiellement l’agriculture et la pêche.

Bernard VERDEL

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Section de DIJON

TEXTES CHOISIS

TOUJOURS LE BUREAU EN

VISIOCONFERENCE

Toutes les activités prévues sont maintenues

…à une date ultérieure à préciser.

AMITIÉS A TOUS

A tous les jeunes qu'on a connus… avant

Et qui sont des vieillards... maintenant !

A toutes ces filles jadis si coquettes

Maintenant en maison de retraite.

Pour nous souvenir, prenons un instant

Tant qu'il en est vraiment encore temps !

A tous ces garçons, hier si charmants

Et qui, aujourd'hui, sont grisonnants,

A toutes ces filles en mini-jupettes

Ridées désormais comme des poires blettes,

J'envoie ce message important

Pour nous moquer un peu de nos tourments.

On vieillit, on vieillit,

On est de plus en plus raplati, raplati.

On a la mémoire comme une passette

On a du mal pour enfiler nos chaussettes.

On est tout rabougri, déjà amorti,

On oublie même parfois ses anciens amis.

A tous mes virtuels correspondants

Qui sont chaque jour devant leur écran

A tous mes amis qui, par internet,

M'envoient souvent des "blagounettes",

Je souhaite qu'encore longtemps

Nos échanges soient récurrents.

Amitiés à tous !

Ceux qui se plaignent de vieillir doivent se

rappeler que c'est un privilège refusé à

beaucoup !

AURIEZ-VOUS QUELQUE CHOSE A

AJOUTER ?

Chers ami(e)s amicalistes,

J’aurais voulu vous adresser mes vœux

sincères, amicaux et assortis de souhaits très

optimistes (pour être cohérent avec la carte

ci-dessous) mais, après consultation de mon

cabinet d’avocats, j’ai pris conscience des

risques potentiels contenus dans des

formulations en apparence anodines, même si

elles ont été utilisées sans conséquences par

de multiples générations avant moi.

Voici donc quelques préalables qui semblent,

selon mon avocat, en conformité avec le

principe de précaution de notre Constitution.

Les vœux qui vous sont adressés le sont sans

aucune obligation implicite ou explicite

d’acceptation de votre part, et ils le sont dans

le respect de la tradition, de la religion et des

valeurs existentielles de votre choix et de

celles des autres membres de votre famille.

Ces vœux concernent plus particulièrement:

- la santé, ceci ne supposant de ma part,

aucune connaissance particulière de votre

dossier médical, ni d’une quelconque volonté de

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m’immiscer dans le dialogue confidentiel établi

avec votre médecin traitant ou votre assureur

mutualiste.

- la prospérité, étant entendu que j’ignore tout

du contenu de votre déclaration de revenus,

de votre taux d’imposition et du montant des

taxes et cotisations auxquelles vous êtes

assujetti.

- le bonheur, sachant que l’appréciation de

cette valeur est laissée à votre libre arbitre

et qu’il n’est pas dans mes intentions de vous

recommander tel ou tel type de bonheur.

Nota Bene : Le concept d’année nouvelle est ici

fondé, pour des raisons de commodité, sur le

calendrier grégorien qui est celui le plus

couramment utilisé dans la vie quotidienne de notre

région.

Son emploi n’implique aucun désir de prosélytisme

et la légitimité des autres chronologies utilisées

par d’autres Cultures, n’est absolument pas mise en

cause.

Ces souhaits sont transférables à quiconque sans

indemnités ni royalties.

Leur reproduction est autorisée et n’a fait l’objet

d’aucun dépôt légal.

Ils sont valables pour une durée d’un an et leur

renouvellement, à l’issue de cette période, n’a

aucun caractère obligatoire et reste soumis à la

libre décision de l’expéditeur.

Ils sont adressés sans faire référence aux notions

d’âge, de genre, d’aptitude physique et mentale, de

race, d’ethnie, d’appartenance communautaire, de

pratiques sexuelles, de régime alimentaire, de

convictions politiques, religieuses, philosophiques

ou syndicales, susceptibles de caractériser les

destinataires.

En acceptant ces vœux, vous renoncez à toute

contestation postérieure.

Pour tout différend lié à l’interprétation des

présentes, la juridiction compétente est celle du

lieu d’expédition de ces vœux.

Faisant l’hypothèse que vous acceptez l’ensemble

des termes énoncés ci-dessus, je me permets de

vous adresser tous mes vœux de santé, de

prospérité et de bonheur pour l’année nouvelle. PS - Les vœux arrivent un peu en retard mais

vous comprendrez bien ce qui a occasionné ce

retard.

CHERCHEZ L’ERREUR !

Une journée maussade dans un petit bourg

humide au fin fond de la Grèce. Il tombe une

pluie battante et les rues sont désertes. Les

temps sont durs, le pays est très endetté,

tout le monde vit à crédit. Arrive un riche

touriste allemand. Il arrête sa belle grosse

voiture devant le seul hôtel de la ville et il

entre. Il pose un billet de 500 euros sur le

comptoir et demande à voir les chambres

disponibles afin d’en choisir une pour la

nuit. Pour 500 euros, le propriétaire de

l'établissement lui donne toutes les clés et lui

dit de choisir celle qui lui plaira.

° Dès que le touriste a disparu dans l'escalier,

l'hôtelier prend le billet de 500 euros, file

chez le boucher et règle la dette qu'il a

envers celui-ci.

° Le boucher se rend immédiatement chez

l'éleveur de porcs à qui il doit 500 Euros et

rembourse sa dette.

° L'éleveur, à son tour, s'empresse de régler

sa facture à la coopérative agricole où il se

ravitaille en aliments pour le bétail.

° Le directeur de la coopérative se précipite

au pub régler son ardoise.

° Le barman glisse le billet à la prostituée qui

lui fournit ses services à crédit déjà depuis un

moment.

° La fille, qui occupe à crédit les chambres de

l'hôtel avec ses clients, court acquitter sa

facture chez notre hôtelier qui pose le billet

sur le comptoir, là où le touriste l'avait posé

auparavant. Le touriste Allemand redescend

l’escalier, annonce qu’il ne trouve pas les

chambres à son goût, ramasse son billet de

banque et s’en va !

Question « Personne n’a rien produit ! Personne

n’a rien gagné ! Mais plus personne n'est endetté

! Et le futur semble beaucoup plus prometteur.

C’est ainsi que fonctionnent les plans de

sauvetage au profit des pays de l'Europe en

difficulté ! Vous voyez que ce n'est pas la

peine d'avoir fait l'ENA pour comprendre.

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A (Re)programmer

1 / Recherche de voyages dépaysants…

2 / Et toujours date à préciser

Assemblée Générale à l’ABBAYE DU VAL DE CHOUES à ESSAROIS (Canton de Recey sur

Ource)

3 / Et toujours date à retrouver

Voyage à NANCY - Visite de Nancy : Villa Majorelle, Musée des Beaux Arts, Salle des

coffres du CIC/Est (visite exceptionnelle - cette salle n'étant ouverte que lors des Journées

du Patrimoine), Place Stanislas, et de ses envions : Abbaye des Prémontrés, Fort de Villey le

Sec, visite d'une fabrique de madeleines à Commercy,

Jean-Marie Michel

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Section de Marseille

Coup de cœur pour un écrit de Philippe Noiret et souvenir d’une mission DDS…

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Coopération interprofessionnelle

Lors de mon passage à la DDS (Direction du Domaine et de la Sécurité), j’ai connu plusieurs situations anecdotiques, dont celle-là : La direction du réseau Loire avait, dans les années 2000, un bureau périodique au beau milieu des monts du Forez. Ce local était si exigu qu’il nous fut demandé d’y faire un tour pour voir s’il n’était pas possible de « pousser les murs » afin de créer un bureau supplémentaire. Je me rendis donc sur place pour constater qu’effectivement, la place manquait. Je demandais au responsable s’il existait d’autres locaux mitoyens que nous aurions pu aménager. Il me conduisit vers une porte basse qui donnait sur un local d’archives et l’ouvrit. Avant même d’entrer et d’éclairer le local, je fus assailli par une agréable odeur de viande fumée, que j’attribuais au fait que notre bureau était voisin d’une charcuterie. Une fois le local éclairé, je vis effectivement des rayonnages d’archives… mais en levant les yeux au plafond, je constatais que des jambons, saucissons et quartiers de viande fumée y étaient en train de sécher ! J’interrogeais le responsable qui me répondit : « on a un accord avec notre voisin et client charcutier. Comme il n’a pas assez de place chez lui, nous lui permettons d’installer ses salaisons dans notre salle d’archives ». Je n’ai pas osé lui demander si le commerçant en question payait son loyer…en nature !

Robert Lesueur

DEPUIS LA GLOIRE JUSQU’AU CHATEAU…

Ces deux mots évoquent les souvenirs d’enfance et d’adolescence de Marcel Pagnol, souvenirs romancés où se retrouvent l’amour du pays natal, l’admiration pour ses géniteurs, la fidélité pour ses amis, saupoudrés, il est vrai, d’un peu de « merveilleux »… Qu’importe, nous vivons avec le jeune Marcel, la découverte de ce pays provençal, circonscrit pour ces deux romans au Massif d’Allauch, entre Pichauris et le Garlaban dominant Aubagne, les Camoins et La Treille. Voilà le décor où nous allons admirer « la gloire » du père : Joseph Pagnol, authentique vainqueur d’une partie de chasse où les bartavelles (1), pauvres victimes, sont d’une taille hors de la moyenne et où nous suivrons Augustine, la tendre mère, laquelle loin d’être châtelaine comme on pourrait le supposer, vit des épreuves bien pénibles lors d’un déplacement pédestre sur un itinéraire interdit et la traversée d’un domaine privé autour d’un château, qui plonge la pauvre femme dans des affres qui augurent bien mal des vacances qui commencent. Mais tout s’arrange et nous voici dans les collines où la végétation dispense généreusement ses parfums et nous faisons connaissance avec les naturels du pays : Lili des Bellons à peine plus âgé que Marcel, plus souvent dans la nature qu’à l’école, grand initiateur du jeune citadin aux mystères de la flore et de la faune, des sentiers rocailleux cachés et des grottes secrètes et aussi Mond des Parpaillouns (2), vieux sage, quelque peu ermite ou marginal mais « maître en savoir »… Avec eux, nous pénétrons dans ce territoire dominé par le Garlaban, à plus de 700 mètres, le vallon des Escaouprés, la grotte des pestiférés, le Taoumé, la grotte du Gros-z-hibou, la colline de Tête Rouge et autres lieux …..A nous l’aventure !

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Mais revenons au temps présent et si « la gloire de mon père» est réelle (ou presque), pas de trace des bartavelles qui ont été dégustées et non « empaillées » pour les besoins d’un quelconque musée, il n’en est pas de même pour « le château de ma mère», officiellement connu sous le nom de « château de la Buzine » dont l’origine remonte au XVème siècle où plusieurs familles se sont succédées, lieu de fêtes et de réceptions qui ont marqué ce qu’il est convenu d’appeler « la belle époque ».

Marcel Pagnol, cinéaste en pleine activité, en quête de lieux et terrains pour établir des nouveaux studios, trouve en 1941, dans le site de Saint Menet- Les Camoins, banlieues de Marseille, ce château et ses dépendances. Il reconnaît alors le château de la Buzine comme étant le lieu des angoisses maternelles.

Il écrira plus tard ce que nous savons. Mais la guerre et l’occupation allemande sont là Le château est réquisitionné et commence alors la lente mais progressive détérioration

de la bâtisse. Pagnol vend le domaine et ses 40ha, le château n’a plus ni toit ni charpente. Une association se crée en 1991 pour sauver ces ruines et la ville de Marseille les rachète 4 ans plus tard Le château est, depuis 1997, inscrit à l’inventaire des monuments historiques.

Il est restauré en 2001 et abrite maintenant la Maison des Cinématographies de la Méditerranée et offre aux visiteurs tout un ensemble muséographique, des salles de projections et de conférences et de nombreuses manifestations culturelles y sont programmées. Le château de ma mère.. pardon… le château de la Buzine est devenu un haut lieu du cinéma dont la notoriété dépasse largement la dimension régionale voire nationale. Venez le visiter …et si le cœur vous en dit et si vos jambes de retraités sont encore opérationnelles, poursuivez par les itinéraires fléchés proposés par les amis de nos collines et vous ferez connaissance avec les lieux chers à nos cœurs et aux noms évocateurs : la source des Amoureux … la grotte de Baume Sourme … les cuvettes des Escaouprés…. le puits du Murier …le vallon de Ruissatel … Sinon, plongez-vous, si ce n’est déjà fait, dans le 3ème tome de la trilogie, le Temps des Secrets

Lucien Sentenac (1)nom provençal de la perdrix (2)papillons en provençal

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Section de Montluçon

LA DENTELLE AUX FUSEAUX EN HAUTE LOIRE Il y a quelques siècles, l'activité « industrielle » se pratiquait sur une petite échelle et dans des régions bien déterminées, par exemple, la coutellerie à Thiers, le papier à Ambert et, bien sûr, la dentelle aux fuseaux dans la région du Puy. Difficile de dire exactement pourquoi la fabrication de la dentelle fut introduite en Haute Loire. Probablement, venant d'Italie où elle préexistait, par les flux commerciaux ; négociants, colporteurs qui affluaient aux grandes foires associées aux fêtes religieuses du Puy, trouvèrent là des femmes de paysans disponibles pour une activité complémentaire. Car la fabrication de la dentelle se faisait à domicile (de toute façon les usines n'existaient pas à cette époque). Quand les travaux du ménage ou de la ferme étaient finis, elles se rassemblaient en « couvige » sur la place du village, avec leur « carreau » (coussin en vieux français) sur les genoux, elles travaillaient et papotaient en même temps, c'était possible car elles faisaient de la dentelle au mètre, les croisements de fils finissaient par se faire mécaniquement. Le couvige faisait office de journal télévisé, c'est là que les nouvelles circulaient

En hiver, c'était chez l'une d'entre elles, près de la grande cheminée, ou les pieds posés sur la chaufferette, éclairées par le « chaleil » (petite lampe) dont la lumière était diffusée par le « doulhi » (globe en verre) qu'elles poursuivaient leur travail.

Toute une activité économique tournait autour. Un artiste concevait un dessin, celui ci était reporté sur des cartons qui étaient ensuite distribués aux dentellières organisées en tournées : tous les mois, le « leveur », responsable d'une tournée, leur apportait une nouvelle provision de fil et leur payait leur travail (il « levait » la dentelle).

Rassemblées chez le grossiste (l'industriel de l'époque), les dentelles étaient finies (par exemple les « aponceuses » reliaient les deux bords pour faire un napperon), puis commercialisées, sur les marchés d'abord, dans les premiers grands magasins d'il y a 100 ans plus tard, comme articles de mode, d'ornement, d'arts de la table. Avec les moyens de l'époque, il y avait par conséquent plusieurs métiers qui tournaient autour de la dentellière, l'ouvrière de l'époque, qui trouvait ainsi un (maigre) revenu, régulier, qui était le bienvenu par rapport au revenu, irrégulier, de la ferme, ce qui permettait d'acheter, le sel, le tabac, ce qu'elle ne fournissait pas. La dentelle est donc un travail textile minutieux (cf. l'expression « ne pas faire dans la dentelle ») qui permet en croisant des fils de différentes manières (« point d'esprit », « fond torchon », « fond mariage »...) d'obtenir des motifs plus ou moins compliqués, en cela elle se distingue du simple tissage.

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La Révolution Industrielle a transformé une activité manuelle en activité mécanique, mais elle nécessitait alors de gros capitaux dont ne disposaient pas les grossistes ponots. Pour cette raison, les dentellières ont fini par ranger leurs fuseaux après la Deuxième Guerre Mondiale, mais grâce à la civilisation des loisirs, d'autres dentellières ont progressivement pris le relais, « sans esprit de lucre » cette fois ; des clubs de dentellières, parfois appelés eux aussi « couviges », se sont constitués dans toute la région ; en même temps un autre type de dentelle est né, la dentelle figurative (où on réalise des tableaux), a pris la place de la dentelle au mètre. Ailleurs, c'est de justesse que les anciennes dentellières ont pu transmettre leur savoir faire à la nouvelle génération, quelques années de plus et la dentelle aurait pu devenir de l'archéologie. Car il ne faut pas voir le Puy comme le centre du monde dentellier, c'est une ile dans un archipel. En France, on fait aussi de la dentelle comme en Normandie (plus proche des grosses fortunes parisiennes, on y faisait les plus belles pièces) et dans les Vosges (Mirecourt, Luxeuil)…

Il y avait aussi des régions dentellières dans la plupart des pays d'Europe. En Russie, on les appelait les « travailleuses des caves et des greniers », elles auraient envié leurs collègues de la Haute-Loire. La tradition dentellière reste vivante avec l'ONU des dentellières, l'OIDFA, Organisation Internationale de la Dentelle aux Fuseaux et à l'Aiguille, qui organise un grand rassemblement tous les deux ans, 500 dentellières y échangent leurs petites recettes et y papotent tout autant que leurs ancêtres...

Nicole Grangeon, dentellière du Couvige des Dentellières de

Clermont Ferrand

Nicole et Georges Grangeon

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Section de Nice

Histoire de NICE tirée de quelques vues d’un diaporama _______________________________________________________________

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Chantal LLINARES & Patrick TARADE

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Section de St Etienne

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Prenez soin de vous, restez en forme juqu’à la vaccination !!!!

Guy Poyet

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Section de Valence/Drôme-Ardèche

EXERCICE DE DÉTENTE… UNE BULLE LÉGÈRE, LÉGÈRE…

Le corps et l’esprit sont sensibles aux vibrations des couleurs :

° Le rouge est la couleur de l’action. ° L’orange de la joie et du dynamisme. ° Le jaune de la confiance en soi. ° Le vert de la croissance et de la spontanéité. ° Le bleu du calme et de la maitrise. ° Le violet de la spiritualité et de l’intelligence. ° Le blanc, qui réunit toutes les couleurs, crée une énergie de guérison et de transformation.

Cet exercice vous aidera à éloigner vos angoisses, votre stress, vos pensées négatives !

° Vous allez vous installez confortablement dans votre fauteuil ou sur une chaise peu importe, le dos bien droit, les pieds bien à plat sur le sol et votre tête bien dans l’alignement de votre colonne vertébrale. Et vous fermez les yeux.

° Vous commencez à prendre conscience de votre respiration : inspiration le ventre se gonfle, expiration le ventre rentre. Vous êtes uniquement à l’écoute de votre respiration, et petit à petit vous sentez le calme s’installer en vous.

° Vous visualisez une bulle transparente qui vient se positionner au-dessus de votre tête. Vous la remplissez d’une couleur que vous aurez choisie. Imaginez que cette bulle de couleur descend sur vous et vous enveloppe de la tête aux pieds. ° Vous êtes à l’intérieur de votre bulle de couleur, vous ressentez un bien-être qui vous envahit où tout est calme, tranquille… Soyez juste dans le moment présent ici et maintenant… ° Et dans cette bulle vous allez vous remémorer un souvenir positif de la journée, le revivre comme si vous y étiez et vous remplir de tout le positif qu’à pu vous apporter ce souvenir…

° Ensuite, vous soufflerez doucement sur votre bulle pour qu’elle s’envole, en sachant que vous pourrez la rappeler chaque fois que vous en aurez besoin

Une bonne idée d’une de nos adhérentes, la présentation de cet exercice de détente !

Michel Rivoire

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Section de Lyon Gazette des 2 & 3èmes trimestres 2021 Bureau de Lyon : Jacques Champetier - Louis Charbonnier - Jean Claude Christophe - Nicole Chirac

Laurence Danna – Patrick Deher - Lucette Grumel - Alain Guastini - Mireille Jannon

Le mot de la Présidente…

Ce matin, en ouvrant mon agenda, j’ai vu que nous avions plusieurs activités à préparer

pour les mois de mai et juin : journée pétanque, journée surprise, journée champêtre… !

Quelle horreur, j’avais tout oublié ! Vite, il faut prendre rendez-vous avec toutes les

personnes concernées, afin que tout soit prêt !... Alors que je prends mon téléphone,

l’agenda m’échappe des mains, et je vois sa couverture. C’est celui de l’année 2019…

Quel cauchemar !

Enfin, le beau temps ne va peut-être pas tarder à s’installer, nous pourrons bientôt nous

revoir en petits groupes, puis agrandir les cercles, jusqu’à reprendre des activités

normales ?

En attendant portez-vous bien et prenez soin de vous !

Laurence DANNA

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L’actualité avec le message d’une de nos adhérentes… puis, détente…

Bonjour,

Le retour à la normale me semble encore loin, je viens aux nouvelles qui me manquent terriblement, presque un an c’est long. Il a fallu ce Covid pour que la vie de l’Amicale s’arrête d’un coup. Plus de rencontres amicales, plus de visites organisées, plus de concours de coinche et j’en passe…

Heureusement il reste la Gazette qu’il faut entretenir !

Etes-vous protégés de ce virus toujours présent et offensif malgré les soi-disant moyens que nous avons pour l’éradiquer ?

Le vaccin ! A chacun de prendre sa décision !

Quand nous reverrons nous ? Cet été, à l’automne, ne sombrons pas dans le pessimisme, nous verrons ! En attendant protégez-vous et votre famille. Pour moi je pense à nos retrouvailles autour d’un café, d’un verre d’un repas…

Je vous embrasse toutes et tous de toute mon amitié !

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Et pour un peu de détente, à la question : « Pourquoi le poulet traverse-t-il la route ?», voici les réponses, sans queue ni crête, de personnages illustres

DESCARTES : Pour passer de l'autre côté ! PLATON : Pour son bien ; de l'autre côté est Le Vrai. ARISTOTE : C'est la nature du poulet, que de traverser les routes. KARL MARX : Poussé par la pression sociale, le poulet exploité s’est senti contraint de traverser la route. HIPPOCRATE : C’est en raison d'un excès de sécrétion de son pancréas. MARTIN LUTHER KING : J'ai fait un rêve où tous les poulets seraient libres de traverser la route sans avoir à justifier leur acte. MOÏSE : Et Dieu descendit du paradis et Il dit au poulet : " Tu dois traverser la route". Et le poulet traversa la route et Dieu vit que cela était bon. SIGMUND FREUD : Le fait que vous vous préoccupiez du fait que le poulet ait traversé la route révèle votre fort sentiment d'insécurité sexuelle latente. STEEVE JOBS : Nous venons justement de mettre au point une application "Poulet 3.0" qui ne se contentera pas seulement de faire traverser les routes à vos poulets, mais couvera aussi leurs œufs, les classera par taille, etc. GALILÉE : Et pourtant, il a traversé. ERIC CANTONA : Le poulet, il est libre le poulet. Les routes ? Quand il veut, il les traverse. L'EGLISE DE SCIENTOLOGIE : La raison pour laquelle le poulet traverse est en vous, mais vous ne le savez pas encore. Moyennant la modique somme de 1000 € par séance, une analyse psychologique vous permettra de la découvrir. EINSTEIN : Le fait que ce soit le poulet qui traverse la route ou que ce soit la route qui se meuve sous le poulet dépend uniquement du référentiel dans lequel vous vous placez. ZEN : Le poulet peut avoir traversé la route, mais seul le Maître connaît le bruit de son ombre derrière le mur. NELSON MONTFORT : J'ai à côté de moi l'extraordinaire poulet qui a réussi le formidable exploit de traverser cette superbe route : « Why did you cross the road ? " " Cot cot JEAN-CLAUDE VANDAMME : Le poulet ? la road, il la traverse parce qu'il sait qu'il la traverse. Tu vois la route c'est sa vie et sa mort, la route c'est Dieu c'est tout le potentiel de sa vie, et moi Jean-Claude Super Star quand le truck arrive sur moi, je pense à la poule et à Dieu et je fusionne avec tout le potentiel de la life de la road ! Et ça c'est beau ! STALINE : Le poulet devra être fusillé, ainsi que tous les témoins de la scène et 10 autres personnes prises au hasard, pour n'avoir pas empêché cet acte subversif. EMMANUEL MACRON : C’est parce que le poulet veut trouver du travail de l’autre côté de la route. ÉRIC ZEMMOUR : « Ce poulet, probablement clandestin qui traverse la route, est à l'origine de l'islamisation de nos basse-cours ! MARLÈNE SCHIAPPA : Chaque poulette aussi possède le droit de traverser la route en toute quiétude, sans se faire embêter !

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CE QUE PEUT DIRE DE NOTRE AMICALE sur l’amitié entre ses membres…

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Un peu d’histoire lyonnaise & l’origine de certains mots de notre langue…

LES SECRETS DU PARC DE LA TÊTE D’OR ENFIN DÉVOILÉS !

Lieu parfait pour un footing matinal, une balade du dimanche ou une sortie en pédalo, le

Parc de la Tête d’Or a depuis bien des années conquis le cœur des lyonnais. Et pourtant,

le plus grand espace vert de la ville n’a pas fini de vous surprendre. Rien que pour vous, il

livre ses secrets. Chuuut, ça reste entre nous !

UN SECRET PLUS SI SECRET…

Commençons par l’anecdote la plus connue : l’origine du nom du Parc de la Tête d’Or. Vous

connaissez sûrement l’histoire, mais pour les autres, petite séance de rattrapage. Il y a

des siècles, un trésor aurait été enfoui (par des barbares? des croisés?) dans des

pâturages à l’Est de Lyon, où se situe aujourd’hui le parc.

Bien plus tard, des canuts tenus de creuser le futur lac tombèrent nez-à-nez avec

l’objet tant convoité : une tête du Christ en or massif. La légende raconte qu’ils se

seraient battus pour empocher le butin et face à ce spectacle de désolation, la statue

du Christ aurait fondu en larmes, inondant le lac. Dans ce déluge, le trésor aurait été à

nouveau perdu : on raconte qu’il gît toujours au fond de l’eau. Récemment, une équipe de

plongeurs a sillonné le lac, sans traces du butin. Alors, qui pour enfiler son masque et son

tuba ?

LA NAISSANCE DU PARC

C’est en 1857 qu’est inauguré le Parc de la Tête d’Or. Surnommé le jumeau de Central

Park, il fut construit les mêmes années, avec leurs architectes en étroite collaboration.

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À Lyon, l’œuvre est signée des frères Denis et Eugène Bühler, sous la commande du

préfet Vaïsse (auquel on doit aussi la rue de la République et la rue Edouard-Herriot).

L’objectif du parc était d’amener “la campagne à ceux qui n’en ont pas”, comprendre :

occuper les canuts au chômage et accessoirement éviter toute révolte. L’espace vert

était pensé pour accueillir les promeneurs, les voitures, des chevaux, une école

botanique, des serres, une orangerie et un amphithéâtre, mais aussi un parc de daims et

un aviarium. Rien que ça ! Pas moins de 3000 canuts furent employés à sa construction.

Les travaux furent périlleux, nombreux furent blessés et certains trouvèrent la mort,

mais gardaient l’espoir de retrouver le fameux trésor.

UN INCONTOURNABLE : LE ZOO !

Inauguré la même année que le parc (en 1857, si vous suivez bien!), il était au départ

pensé comme un lieu utile et pédagogique. Il devait accueillir des espèces acclimatées,

une sorte de ferme regroupant vaches, moutons… autant dire que le projet a bien

changé. Dès son ouverture, le parc se dote d’un pré où vivent des daims, les ancêtres de

ceux que l’on peut voir aujourd’hui !

Quelques années plus tard sont introduites des antilopes, puis des ours, des loups, et

des espèces de plus en plus exotiques. La vacherie Tony Garnier ouvre ses portes à des

panthères, des lions… et à l’époque même un éléphant, Loulou ! Dans les années 2000, le

zoo réhabilite ses espaces et introduit sa plaine africaine. Et aujourd’hui, le zoo

comporte plus de 300 animaux, pour le bonheur des tout petits comme des plus grands.

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UNE INVENTION LYONNAISE !

Le saviez-vous ? La plaque d’immatriculation a été inventée à Lyon, et plus précisément à

la Tête d’Or ! Fin 19ème, les voitures circulent librement dans le parc. Or, celles-ci

provoquent d’énormes nuages de poussière et même des accidents. Le maire décide alors

d’instaurer un système de plaques temporaires numérotées, à récupérer à l’accueil et à

rendre à la sortie, pour identifier les véhicules. Mais bientôt, c’est toute la ville de Lyon

qui impose ces plaques à numéro fixe, et en 1901 toute la France suit le pas. Une

première mondiale !

QUELQUES SECRETS EN VRAC : Au départ, le parc était prévu sans clôture. Mais une grille, puis un muret, puis les

portes mythiques ont été érigés pour éviter les vols de plantes, d’arbustes...et même de

plumes d’autruche !

En 1894, le parc a accueilli l’Exposition Universelle.

En 1989, un espace dédié aux Droits de l’Homme est créé, avec des monolithes

comportant le fameux texte.

En 1995, une tigresse s’échappe de sa cage. Heureusement, plus de peur que de mal !

Chaque année, le parc ouvre ses portes à 3 millions de visiteurs, jusqu’à 65 000 par

jour.

Le Lac de 17 hectares regorge de silures, perches, carpes, écrevisses et même des

tortues.

Les trois roseraies sont connues internationalement et ont reçu la visite de grands

noms, notamment la Princesse Grâce de Monaco.

Bon, alors sur tous ces secrets, vous en connaissiez combien ?

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CES BELLES MÉCANIQUES LYONNAISES TENAIENT LE HAUT DU PAVÉ

L’Automobile n’est pas née de l’étincelle d’une bougie magique. Une réalisation humaine élaborée par petites touches de progrès techniques. A l’aube du XXème siècle, dans Lyon et ses banlieues, se créent une cinquantaine d’ateliers automobiles. Les inventeurs et constructeurs donnent à leur production un rayonnement important pour la cité. L’auto impacte la vie quotidienne et les coutumes de la population.

En 1890, l’ingénieur Serpollet relie Lyon depuis la capitale, juché sur un tricycle à vapeur chauffé au charbon par économie. Il se retrouve aux ateliers de La Buire (proche de la Part-Dieu) en moins d’une semaine avec quelques avaries de route. Déjà en 1895 les rues de Lyon sont parcourues de véhicules dotés de moteurs à explosion. Le bruit jugé infernal, effraie les braves canassons de livraison, ce qui alimente la polémique populaire.

Dès 1896, Rochet et Schneider illustrent cette saga des gones par la mise au point d’un élégant modèle « vis-à-vis », quatre places de très belle allure munie d’une capote dérivée des voitures hippomobiles. Cette mécanique peut atteindre 30 kilomètres par heure Elle franchit le col du Galibier dans les Alpes à 2642 mètres d’altitude. Cette performance ouvre la voie aux amateurs de sport automobile, époque où la conduite est un sport. Deux soyeux discrets, Audibert et Lavirotte, s’investissent dans l’automobile et créent un modèle sans marche arrière, mais à la force des biceps. Une chainette située dans chaque aile de carrosserie, fait office d’arrache clous. Cette astuce guignolesque alimente le club d’humoristes lyonnais à l’emblème du clou (cf. Gazette Arlb 2

ème trimestre

2013).

En 1905, Lyon compte un certain nombre d’entreprises de carrosseries pour véhicules et la ville devient une capitale renommée de l’industrie automobile. Grâce à ces inventeurs et autres professionnels de talent, l’acheteur est garanti de parcourir 1000 km sans panne. Sortie de 900 voitures pour l’année, équipées de moteurs de 12 à 80 HP (chevaux vapeur). Les autos sont équipées d’accessoires élaborés localement : pneumatiques antidérapants, phares à acétylène et compteurs de vitesse…

Marius Berliet, homme génial, reste une figure de l’époque. Fils d’un modeste tisserand, il débute dans la mise au point d’un moteur à essence dans un local de 86 m² à la croix Rousse, aidé de trois compères. En 1905 il vend sa licence aux USA, avec l’argent il achète du terrain dans le quartier de Lyon-Montplaisir et installe l’usine au sigle célèbre : la loco du Far-West. De là sortiront uniquement des poids lourds. La production sera multipliée en raison des commandes de la Grande Guerre et le nom de BERLIET deviendra célèbre dans le monde entier à l’exemple de FORD.

Toutes ces créations et réalisations sont sauvegardées par un passionné, Henri Malartre, à partir de 1931. Ces belles mécaniques d’hier s’exposent au château de Rochetaillée proche de Lyon et certaines roulent dans le parc sous l’œil des visiteurs.

Jean-Yves LARGE

Source : « Lyon 1900 au temps des années folles »

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Elle est belle votre belle-mère Pourquoi on emploie les adjectifs « beau » et « belle » quand on évoque les parents de son conjoint et tous les membres de la belle-famille ?... C’est un terme d’affection qui se disait souvent au Moyen Âge quand on s’adressait à des personnes qu’on aimait : « belle sœur », « belle amie », « beau fils »,(sans trait d’union) comme on dirait « ma chère sœur », « chère amie », « mon fils chéri ». A partir du Xe siècle « beau est employé comme terme flatteur à l’adresse d’une personne estimée, et c’est cet usage qui explique son rôle dans la formation de termes de parenté (beau-père, beau-frère etc ..) avec trait d’union cette fois. Ce qui est intéressant aujourd’hui c’est que belle-mère et beau-père ont un double sens en français. En anglais stepmother désigne la nouvelle épouse de votre père tandis que mother in law désigne la mère de votre conjoint; stepfather est le nouvel époux de votre mère, et father in law désigne le père de votre conjoint. Mais en français on est parfois obligé de préciser de qui il s’agit et ce n’est pas très commode. Il fut un temps et on en trouve encore trace dans les contes comme Blanche Neige ou Cendrillon où la nouvelle épouse de votre père était appelée marâtre. Marâtre n’a plus qu’un sens péjoratif et injurieux, mais il n’en était pas ainsi dans l’ancienne langue, il signifiait

simplement comme dans la langue actuelle « belle-mère ». Comme les belles-mères ne sont pas toujours tendres avec les enfants d’un premier lit, il n’est pas étonnant que marâtre soit devenu synonyme de mauvaise belle-mère et a fini par prendre un sens péjoratif. On disait aussi « parastre » pour le beau-père, « filastre » pour le beau-fils, etc. Et aujourd’hui il existe la même confusion

lorsque je parle de ma belle-fille : s’agit-il de ma bru ou de la fille de mon compagnon ? et mon-beau-fils est-il mon gendre ou le fils de mon époux ? « quel méli-mélo » .

Lucette Grumel (source Muriel Gilbert) son dernier livre « vous reprendrez bien un bonbon sur la langue »