Gazette de l'ESI - Edition 1, Novembre 2013.

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Qu'est ce que le Hacknowledge Contest Europa-Africa ? Une Entreprise Verte la Global Entrepreneurship Week Clubs Le SeaOrbiter, œil de la mer : un vaisseau futuriste pour explorer le grand bleu ! p.18 Technologie Egocentrique… p.17 Sciences Les contrôles flashés pour excès de vitesse p.5 Actualités Les prix Nobel P.12 Culture La Gazette de l’ESI N°01 | Novembre 2013 La Gazette de l’ESI, enfin disponible !

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La Gazette de l'ESI est un recueil d'articles écrits par des étudiants de l'ESI, ayant trait à tout ce qui se rapporte à la vie au sein de l'école. Que ce soit les activités des différents clubs, l'actualité pédagogique des étudiants voir de la culture générale ou des lettres ouvertes. En bref, tout ce qui peut de près ou de loin intéresser les étudiants. La Gazette est un projet proposé et réalisé par les membres du CSE. Projet proposé et dirigé par: SI MOHAMMED Hakim ([email protected])

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Qu'est ce que le Hacknowledge Contest Europa-Africa ?Une Entreprise Verte

la Global Entrepreneurship WeekClubs

Le SeaOrbiter, œil de la mer : un vaisseau futuriste pour explorer le grand bleu !

p.18

Technologie

Egocentrique…p.17

Sciences

Les contrôles flashés pour excès de vitessep.5

Actualités

Les prix NobelP.12

Culture

La Gazette de l’ESI N°01 | Novembre 2013

La Gazette de l’ESI, enfin disponible !

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EditorialL’ESI accueille un nouveau membre !Aujourd’hui est un grand jour, après plusieurs ten-tatives infructueuses, voilà que le projet « Journal de l’ESI » est ranimé par une équipe d’étudiants motivés. L’idée est à la base très simple et commune aux précédents prototypes, créer un journal qui soit une source d’information, de distraction, de culture et un moyen d’expression destiné aux Esistes.Cette fois-ci pourtant, une petite touche d’origina-lité vient s’ajouter au tableau déjà souvent repris et toujours avorté, à savoir le fait que ce journal-là, soit un journal alimenté par tous les étudiants, enseignants et toute personne désireuse de par-tager un article. C’est le concept de journal par-ticipatif. De surcroît, c’est aussi certainement le premier projet qui se veut rassembleur de tous les clubs de l’école afin que ceux-ci puissent accé-der aux étudiants à travers nos colonnes et qu’ils contribuent ainsi que chaque étudiant à la pros-périté du projet. A ce titre je relance un appel à tous les présidents des différents clubs et à tous les étudiants afin qu’ils se joignent à cette aventure.C’est un peu ça la « Gazette de l’ESI » un moyen de partage, d’expression et de rassemblement.Nous lui souhaitons au passage longue vie et espé-rons une contribution massive de votre part à tous.En vous remerciant de ma part et de la part de toute l’équipe pour votre soutien.

SMH.

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Act

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Actualités

Alors que le quotidien estudiantin suivait son cours normal, enchainant les séances de cours/TDs et poursuivant sa traversé dans une route jalonnée de conférences et autres Welcome Day , il se retrouvât fauché par un chauffard qui s’était fait oublié dans le courant de la circulation, suite à cet incident l’agent « étudiant » releva le nom de l’accusé ( contrôle ) ainsi que son immatriculation ( 10/11/13 ) et les a transmis au poste « administratif », tout en relatant les faits communiqués par les deux parties. Pour éclaircir la situation, le procureur sollicita l’aide d’officiers auréolés d’une réputation de « maitres en la matière», ces deniers ont contraint le chauffard à reconnaitre son préjudice, en

lui soumettant un document pertinent titré « CPI » ; déclarant le véhicule immatriculé (10/11/13) comme étant volé. Le conducteur chevronné a tenu à s’expliquer : la diligence dont il a fait preuve au volant de sa voiture est due à la poursuite d’un criminel connu sous le nom d’ « emploi du temps pédagogique ». Suite à ses aveux le chauffard « contrôle » a écopé d’un retrait de permis s’étalant sur 21 jours a compté du 3 novembre 2013 et de travaux d’intérêts généraux œuvrant ainsi pour le bien être des étudiants via une conduite propre et engagée.

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Les contrôles flashés pour excès de vitesse

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Le HacknowledgeContest Europa-Africa est un événe-ment international qui pro-pose une série de challenges de hacking éthique, dans sept pays d'Europe et d'Afrique.Chaque compétition s'étend sur douze heures, tenant en haleine des équipes de pas-sionnées -cryptographes, ingénieurs en télécommu-nication, consultants ou chercheurs en sécurité in-formatique, étudiants, dé-veloppeurs- ; ils scannent sans relâche des milliers de lignes de codes, développent leurs attaques et s'affrontent dans le jeu de la cyberguerre.Les épreuves sont multi-ples. Plus de soixante-dix challenges faisant appel à

un grand nombre de tech-niques (forensic, hardware, réseau, web, applicatif...). L'attaquant pourra ainsi pé-nétrer l'ordinateur cible et y récupérer des codes de va-lidation qui sont immédia-tement enregistrés dans la plateforme des scores, autant de trophées et de preuves de son intrusion dans le système, dont les résultats s'affichent en temps réel.La finale Hacknowledge se déroulera à Maubeuge en France. Elle récom-pensera l'équipe gagnante d'un séjour à Las Vegas où elle pourra participer à la mythique conférence DEFCON, qui rassemble chaque année l'élite mon-

diale du hacking, et dont le

«Capture the flag» (CTF) est la compétition du genre la plus prestigieuse au monde.»- site officiel du HNC

C’est quoi le Hacknowledge contest Algeria?

En partenariat avec l'Ecole Nationale Supérieure d'In-formatique, l'Association Algérienne de Sécurité des Systèmes d'information et l'ANPT, et sponsorisé par Al-gérie Télécom, le Club Shell-mates a organisé la première édition de Hacknowledge-contestAlgeria le 16 et 17 Novembre 2013 au Cy-ber Parc de Sidi Abdellah.

Qu'est ce que le Hacknowledge Contest Europa-Africa ?

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Cet événement s'est présenté sous forme de série de confé-rences concernant la sécurité informatique et la télécom-munication, suivi par un Atelier pour terminer avec des challenges « Capture The Flag » (CTF) en ligne.

Un mot par un représentant du sponsor AASSI (Associa-tion Algérienne de Sécurité des Système Informatiques) a introduit l’événement en présentant l’association et ses activités dans le domaine de sécurité et en valorisant le travail énorme que les membres du club Shellmates ont fait pour réaliser le HNC.

Après une grande ouverture, La première conférence qui avait pour thème les Menaces Internes avec le manager in-ternational de WALLIX et le membre actif d’AASSI Mon-sieur Ahmed Bouzid, a com-mencé en posantquelques problèmes concernant le sujet et en proposant quelques solutions efficaces.

La deuxième conférence était animée par monsieur Lamine Ouyahia, le direc-teur général d’OTEK et un membre de l’AASSI, qui a présenté l’état des lieux de la cybercriminalité en Algérie. Le conférencier s'est attardé sur le fait que l’Algérie n'a pas de loi concernant la cy-ber sécurité, et celle relative

à la cybercriminalité n'est pas complète. « La cyber-criminalité est une menace parmi tant d'autres. C'est pour cela qu'il faut élargir le champ législatif », en plus il a cité quelques différences de l’état des lieux entre l’Al-gérie et quelque autres pays dans le monde à savoir « la Russie », « Mexique » …..

Une troisième conférence a commencé à 14 :30 et était animée par monsieur Kamel Derouiche qui est un cher-cheur et un mathématicien, il a présenté la théorie des jeux appliquée à la sécurité informatique : Anticipation Game, ce sont des concepts mathématiques appliqués dans la sécurité informatique.

Ensuite, monsieur Assem-Chelli a enchaîné avec un Atelier de « Tricks about SSH » sous Linux où il a pré-senté quelques commandes pour gérer un serveur SSH.

La présidente du club Shellmates a clôturé la première partie concer-nant les conférences à 16 :00 afin de lancer la deu-xième partie qui est bien les challenges en ligne à 18 :00.Les participants, comme il a été mentionné aupa-ravant, avaient 12 heures pour résoudre un peu plus de 70 épreuves réparties en plusieurs catégories du-rant les challenges à savoir :

Web, Forensic, Réseau, Crack me,Voip,Logique, Buffer over Flow,Hardware,Crypto-graphie, Mixed Challenges.

Le niveau était quant à lui graduel, les premiers co-des étaient relativement simple à trouver quant aux derniers, ils commen-çaient à vraiment être dur.

Enfin, l'équipe qui repré-sentera l’Algérie à la fi-nale de HNC en France est «DSSL» à qui on sou-haite un bon courage.

Pour récapituler, beaucoup d’énergie, d'enthousiasme ont marqué l’événement grâce à l’équipe Shellmates, un événement qui sera dans la mémoire de tous les par-ticipants car il était une expérience enrichissante pleine d’ambiance pour eux.

par ‘‘shellmates club’’

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L'entreprise verte est une entreprise qui évolue au-tour "d'activités vertes" et qui organise son fonc-tionnement, exploiteses ressources et conçoit sa croissance dans un ésprit de "développement durable".

1.Les activités vertes:

Les activités vertes sont clas-sées en deux grandes fa-milles; les éco-activités et les activités périphériques:

1.1.Les éco-activités: ce sont des activités qui produisent des biens et des services environne-mentaux au sens strict etont pour finalité la protection de l'environnement et la ges-tion des ressources naturelles.La protection de l'environ-nement comprend essentiel-lement les activités liées à:- La dépollution- La gestion des déchets- L'assainissement et la réha-bilitation des sols et des eaux.- La préservation de la na-ture et de la biodiversité.La gestion des ressources naturelles comprend:- La gestion durable de l'eau.- La récupéra-tion et le recyclage.- Les énergies renouvelables et l'éfficacité énergétique.- L'agriculture biologique.

1.2.Les activi-

tés périphériques: ce sont des activités dont la finalité n'est pas environne-mentale mais elles produisent des biens et services fa-vorables à la protection de l'environnement et à la gestion des ressources naturelles.Elles sont rattachées aux domaine de:- La gestion des espaces verts.- Le transport pu-blic, notamment ce-lui à carburants propres.- La production et la distribution de l'eau.- Les services d'architec-ture et de construcion, no-tamment celle liée à l'iso-lation thermique et aux travaux de couvartureet d'étanchéité.- La fabrication de pro-duits industriels tels que chauffe eau solaire, lampe fluocompacte à basse consommation, chaudière à condensation.

2 .La logique du de-veloppemnt durable:

La logique du develop-pemnt durable pour une entreprise consiste en la prise en considération dans son management et dansson fonctionnement et à un niveau d'intéret égal des trois dimensions sui-vantes: Economique-En-vironnementale-Sociale.L'entreprise Verte

trois pilliers:

- Economique: - L'entreprise verte recherche la performance économique. - Se soumet aux règles loyales de la compétivité. - Poursuit des objectifs de profitabilité et de croissance.- Environnemental: - Elle est respectueuse de l'environnement et oevre ac-tivement à sa préservation. -Elle mesure, prévient et limite les impacts en-vironnementaux, tels que les problèmes liés aux déchets, au bruitet aux écosystèmes.- Social: elle est responsable: - envers son personnel, qu'elle déclare, forme, mo-tive et dont elle préserve la sécurité et la santé au travail. - envers la société en géné-ral, elle respecte les lois en vigueur, entretient des rap-ports de dialogue et d'écouteenvers les riverains dans un souci d'intéret mutuel, contribue par ses activités à l'éradiction de la pauvreté et à la promotion de l'emploi des jeunes et des femmes.Ce n'est donc pas la seule nature des activités qui détermine le carac-tère vert de l'entreprise.L'entreprise responsable se doit en effet de réali-ser l'équilibre le plus har-monieux possible entre ces trois dimentions

Une Entreprise Vertepar le club vert de l’ESI

de telle sorte qu'elle conjugue trois objectifs:prospérité économique, justice sociale et qua-lité environnementale.D'après le Guide des dispositifs d'appui à l'entrepreneuriat vert

la Global Entrepreneurship Week Le CSE a encore une fois répondu présent à la Se-maine Globale de l’Entre-prenariat qui a lieu au ni-veau de l’hôtelEl-Aurassi du 18 au 24 novembre 2013.

L’ouverture de l’événement se fit sur un mot de bienve-nu du Président du NAPEO.Ensuite,vint l’intervention de Mr le Ministre du Dé-veloppement Industriel et de la Promotion de l’Inves-tissement qui s’est focalisé sur l’importance de l’entre-prenariat pour notre pays. Il encouragea les jeunes algé-riensà acquérirl’esprit d’en-treprise et à le concrétiser sur le terrain par la création de diverses entreprises pri-vées. On eut également droit à une présentation de la Glo-bal EntrepreneurshipWeek : LA GEW est le plus grand évènement mondial qui célèbre les innovateurs et les créateurs d'emplois, ceux qui lancent des star-tups, et qui contribuent à la croissance économique

et au bien-être humain.Pendant une semaine, chaque mois de Novembre, partout dans le monde, un très grand nombre d’activités sont or-ganisées au niveau local, na-tional et mondial pour aider les démarreurs d’entreprises à explorer leur potentiel.

La journée est devenue très intéressante après le lance-ment des communications. Mr Abderahmane Benari-ba, Directeur du Dévelop-pement à SAJE Montréal Centrea insisté sur l’impor-tance du suivi, autrement dit la pré-incubation et l’incu-bation des projets,suivi qui manque énormémenten Al-gérie.Ceci conduit malheu-reusement à un taux de fail-lite très élevé. On peut tout de même citer un exemple concret et qu’il faut encou-rager : le Cyber Park de Sidi Abdellah. Mr Benariba a également mis le doigt sur un point très important : le prin-cipe de partage. Le partage permet à chaque collabora-

teur d’améliorer et depeaufi-ner ses compétences, ce qui se répercute positivement sur l’entreprise. Elle gagne en valeur et en fiabilité en tant qu’entité entrepreneuriale.

Le programme de l’après-mi-dide la première journée prit la forme de tables rondes su-pervisées par le modérateur, Mr Abdelkader Djeflat, ainsi que MrAbderahmaneBena-riba.Les invités évoquèrent et traitèrent des situations très pertinentes et la majorité des jeunes investisseurs deman-dèrent conseil sur différents plans pour éviter la perte.

Conclusion, les membres du CSE ont bien profité de cette journée très riche en connaissances et qui fut très interactive et amusante.

Ammari Soumia -soomoo -

par le Club Scientifique de l’ESI

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Les faits se déroulent à partir de 1961 : ce ma-tin, j’ai décidé d’enfiler ma combinaison spa-tiale pourfranchir la ligne de Kármán, située à 100 km au-dessus de la surfacede la terre et faisant office de frontière avec l’espace, dans le butd’être leprécurseur de l’exploration spatiale.Amon grand étonne-ment, je fus devancée par un égocentrique russe nommé Iouri Gagarine qui considérait sa cap-sule Vostok 3KA comme un bolide,et vu que der-rière chaque homme il y a toujours une femme, ce vaniteux fut suivide près par une certaine Valentina Terechkova qui, peinantà conduire sonVostok-3A n°8 , n’est arrivée qu’en 1963.Iouri Gagarine et Va-

lentina Terechkova

En 1969, alors que nous faisions plus ample connaissance, nous vîmes un vaisseau jaillir de la terre et fusant vers la lune. De cette embar-cation s’empressait de sortir un dénommé Neil Armstrong dont on re-connaissait la nationa-

lité américaine à l’aide du drapeau qu’il bran-lait avec hargne. Ilscan-dait l’accomplissement d’un grand pas pour l’humanité, et manifes-tait l’enjambée qui a permis aux yankees de rattraper les soviétiques.Neil Armstrong

La suffisante URSS n’ayant pas dit son dernier mot, décidade coloniser l’es-pace en propulsant la première station habi-tée,Saliout1, en 1971.Pendant ce temps, les américains tamisaient la poussière lunaire.S a l i o u t 1

Constatant qu’en dépit de mes grandes ambi-tions je fus distancée sur de nombreux fronts, je me résignai à faire office de médiateur entre ces deux envahisseurs qui s’affrontaient pour une acquisition chimérique d’une contrée inexplo-

rée, foisonnante d’op-portunités, afin qu’ils al-lient leurs connaissances pour pallier aux pertes humaines et maté-rielles encourues durant cette conquête spatiale.Le fruit de mon labeur a vu le jour en 1975, lors de la poignée de main his-torique entre l’astronaute Thomas Stafford et le cos-monauteAlexeï Leonov. Thomas Stafford (à droite)et le Alexeï Leonov (à gauche)

Cette alliance eut des retombées épiques.Enef-fet,à partir de 1981, Co-lumbia ouvra le bal des navettes spatialesréutili-sables transportant des explorateurs cosmopo-lites. Ces derniers orga-nisaient des sorties entre amis à bordde fauteuils fusées à partir de 1984. Entre temps, de témé-raires soviétiques amélio-raient leurs installations spatiales et finirent par propulser la mythique station MIR en 1986.

ESI on se cultivait autrement ?

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Station MIR

En dépit de leur entente spatiale, les relations américano-soviétiques demeuraient tumultueuses, ce qui retarda le lancement de la station international « ISS » jusqu’en 1998, tandis que MIRdevenait

l’hébergeur de l’essor spatial, en tolérant par exemple l’arrimage de la navette Atlantis en 1995.

Station spatiale internationale ISS

L ’ e s p a c e intersidérale,faisant office d’exode astral, devenait invivable. Ainsije pris mon courage à deux mainspourexplorer une planète encore occulte

: la voisineMars. Là,je fus narguée par un curieux robot quiy séjournait dans le but d’étendre la colonisation de ses concepteurs en les abreuvant d’une hypothétique source de vie. Néanmoins, je refusai de m’assujettir à ces découvertes concurrentes. Voilà pourquoi, propulsée par ma volonté de lever le voile sur les mystères de l’univers, je poursuivis ma traversée vers l’infini et l’au-delà.

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Les prix Nobel

Portrait d’Alfred Nobel

En 1888, un journal français publie : « Le marchand de la mort est mort. Le Dr. Alfred Nobel, qui fit fortune en trouvant le moyen de tuer plus de personnes plus rapidement que jamais auparavant, est mort hier ». Mais Alfred Nobel était bien vivant, en fait il a lu de sa propre bouche cette nécrologie « prématurée ». Alfred Nobel n’a pas aimé l’image que le monde avait de lui et il décida de

changer le courant des choses. Et pour cela, il lègue la totalité de sa fortune pour la création des Prix Nobel et ce le 27 novembre 1895, les Prix Nobel sont nés.Mais les Prix Nobel est un sujet un peu controversé de nos jours, est ce qu’ils ont un sens dans le 21ème siècle ?Dans son testament, Alfred Nobel a bien précisé : « …aux hommes et femmes bienfaiteurs de l’humanité… ». Les Prix Nobel ont fait leur début en 1901 avec les lauréats suivants : En physique, Wilhelm Conrad Röntgen pour sa découverte des rayons X, Jacobus Henricus van ‘t Hoff est primé en chimie, Emil Adolf Von Behring en médecine, Sully Prudhomme en littérature, tandis que le fondateur de la Croix-Rouge Henry Dunant et que leprésident de la société française pour l’arbitrage entre les nations, Frédéric Passy, se

partagent le Nobel de la paix.Comme vous pouvez le remarquer, les Prix Nobel ne sont pas remis pour toutes les catégories. Et donc, on trouve seulement : La physique, la chimie, la physiologie ou médecine, la littérature et la paix. Les Prix Nobel sont supervisés depuis 1900 par la Fondation Nobel (sous le souhait d’Alfred Nobel) qui est basée à Stockholm en Suède.La Fondation Nobel a, au fil du temps, crée plusieurs règles pour la nomination et la sélection des lauréats, les plus importantes étant :• Une personnedoit être nominée par les experts du domaine.• Une personne ne peutpas se nominer elle-même.• Lapersonnedoitêtreenvie.• Un prix Nobeldoit être remis à un maximum de 3 personnes.

Portrait d’Alfred Nobel

• Un prix Nobel doitêtre remis à des individus et non à des institutions (C’est la règle la moins respectée).Ces règles marchaient très bien au début. Par exemple en physique on peut trouver Albert Einstein (1921), Werner Karl Heisenberg (1932), Erwin Schrödinger (1933) et beaucoup d’autres, et tous méritaient leurs prix.Alors, comment gagner un prix Nobel ? En faisant quelque chose de génial !…mais aussi il faut être un homme, de peau blanche, âgé de 50 ans ou plus, né aux états unis ou à l’Europe de l’ouest, travaillant à Harvard, Cambridge, MIT, Caltech, Stanford, ou Berkeley… C’est la statistique qui gagne et c’est la réalité!

Médaille Prix NobelDans le passé, les Prix Nobel étaient décernés à des chercheurs solitaires travaillant sur de grandes questions avec une petite somme d’argent et un équipement très réduit (C’était ça la science). Or de nos jours, la science est faite essentiellement à l’aide de super calculateurs ou tout simplement d’ordinateurs (chose qui n’existait

pas à l’ère d’Alfred Nobel), elle est aussi représentée par de grand projets multinationaux incluant des milliers de chercheurs comme le Projet Génome Humain (qui a pour mission d’établir le séquençage complet de l’ADN), mais comment donner un Prix Nobel à ce groupe de gens ? Car qui le mérite vraiment !

En 2009, un groupe de scientifique a écrit une lettre ouverte à la Fondation Nobel demandant l’ajout de nouvelles catégories des prix Nobel afin que ce dernier soit conforme aux changements que la science a subit depuis 1901. Par exemple, il n’existe pas de Prix Nobel en Neuroscience ou en Ecologie malgré leur importance.C’est n’est pas qu’on ne peut pas ajouter de nouvelles catégories au Prix Nobel, bien au contraire, prenez par exemple le prix Nobel de l’économie, ce n’est pas réellement un prix Nobel malgré le fait qu’il soit remis au même jour que les autres. Donc pourquoi pas un prix Nobel pour les Mathématiques, l’écologie, l’informatique ?Alors que pensez-vous ? Est-ce que les Prix Nobel sont toujours aussi pertinents ? Comment voyez-vous les Prix Nobel du futur ?...

BEKHTI Youcef Abderrahmane

Médaille Prix Nobel

PRIX NOBEL 2013Physique :

Peter Higgs à gauche et François Engler à droite pour la découverte du Boson de Higgs.Chimie :

De gauche à droite, Michael Levitt, Martin Karplus et AriehWarshel pour la mise en point d’outils informatiques permettant de simuler des modèles chimique même les plus complexes.

JamesRothman, RandySchekmanet ThomasSüdhof pour leurs travaux sur le système de transport des molécules à l’intérieur des cellules.

Alice Munro

L’organisation pour l’interdiction des armes chimiques

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« La Gazette de l'ESI » consiste en un recueil d'ar-ticles écrits par des étudiants de l'ESI, ayant trait à tout ce qui se rapporte à la vie au sein de l'école. Que ce soit les activités des différents clubs, l'ac-tualité pédagogique des étudiants voir de la culture générale ou des lettres ouvertes. En bref, tout ce qui peut de près ou de loin intéresser les étudiants.

Dans ce cadre, nous avions voulu, en premier lieu, prendre quelques avis concernant le lancement de la Gazette pour prévoir l'ampleur que prendra cet évè-nement ainsi que pour permettre à l'ensemble des membres de l'ESI d'exprimer leurs préoccupations et surtout de préciser ce qu'ils attendent du journal pour pouvoir répondre à leurs attentes et souhaits.Pour cela, nous avons posé divers questions de ma-nière à obtenir une vision globale du public ciblé. En quelque sorte, nous avons étudié nos destina-taires. Ainsi la 1ère question que nous avons jugée pertinente c'est de connaitre si nos étudiants étaient de bons lecteurs et s'ils étaient du genre à suivre l'actualité par le média des journaux. En outre, il est nécessaire de connaitre ce qui attire le plus les lecteurs voire les thèmes, les sujets ou la manière de les aborder. Enfin, nous leur avons laissé l'initiative de suggérer les rubriques et les thématiques qu'ils souhaiteraient voir dans leurs propre « Gazette ».

En effet, nous avons pris l'écho et voilà vos propres propos issus directement « Du Cœur de l'ESI » :

1. Tout d'abord, est-ce que vous êtes du genre à suivre l'actualité depuis les journaux ?

Malheureusement 73.4% (31 personnes) ont ré-pondu NON dont 80.64% (25 personnes) se justifient par l'insuffisance de temps et le reste (6 personnes) disaient qu'ils sont, en prin-cipe, non-amateurs de la lecture en générale.i. Qu'est-ce qui pourrait vous faire changer d'avis à propos des journaux ? c'est-à-dire qu'est-

ce que vous estimez important à mettre dans le journal pour pouvoir attirer votre attention ?

Les avis se sont regroupés sur le fait que l'aspect ESI soit reflété par le journal (c'est-à-dire, on y trouve-ra notre quotidien) suffit à attirer leurs attentions.ii. Si oui, quels types de journaux lisez-vous ?

Les 11 personnes qui ont répondu OUI suivent l'actualité à travers la presse quotidienne natio-nale, régionale et internationale, comme "EL Chourouk", "Al Watan", "Al khabar", "Le Soir" au niveau national et "Le monde" au niveau in-ternational. En plus de l'actualité, la plus part d'entre eux lisent les journaux sportifs comme "Al Haddef " afin de suivre l'actualité du monde sportif.

2. Nous avons pensé à mettre à votre dis-position un journal propre à l'ESI, qu'en pensez-vous de cette initiative ?

La majorité des membres de l'ESI que nous avons interrogé ont trouvé que l'idée du journal de l'ESI est très intéressante et que c'est une bonne initiative. Et peu n'y accorde pas d'importance.

3. Quelle forme voudriez-vous que la ga-zette prenne ? Électronique ou imprimée ?

19% (8 personnes) préfèrent que la gazette prenne la forme électronique car ils ont déjà l'habitude de télécharger et lire la presse et les livres sous forme électronique, cependant 81% (34 personnes) pré-fèrent la forme papier car cette dernière représente le charme du journal. Et il y a ceux qui nous ont pro-posé de publier notre journal sous forme d'affiches.

4. quels sont les sujets et thèmes ou encore do-maines vouliez-vous voir abordés dans la gazette ?

La gazette de l'ESI, comme tous les journaux, touche

à plusieurs domaines à travers les différentes ru-briques. La plus part des personnes que nous avons interrogées ont demandé le domaine IT et tout ce qui est en relations avec l'informatique à savoir les nouvelles technologies et les nouveaux produits sur le marché électronique (eh oui on est à l'ESI !). De plus, d'autres domaines ont été demandés, comme le domaine sportif, le domaine médical, Cinéma et séries télévisés, et même le monde des automobiles.

5. Qu'aimeriez-vous trouver dans notre journal de plus (aux autres journaux)?

Chaque membre de l'ESI, qu'il soit étudiant, enseignant ou employé a son point de vue et ses propres besoins et ambitions, ainsi les ré-ponses à cette question étaient variées. En effet, nous les avons résumés dans les points suivant :i. D'abord, le principal avis sollicité par la majorité est d'y trouver les actualités de l'ESI en tout ce qui concerne le quotidien vécu.ii. La plupart des étudiants aimeraient suivre les nouveaux événements des clubs de l'ESI et ceux de l'extérieur à travers la Gazette, et être au cou-rant des compétitions et tournois programmés.iii. Ils aimeraient aussi être informés des formations professionnelles, des pro-grammes d'interships et des bourses disponibles.

iv. Ils ont demandé à ce que soient exposés les problèmes des étudiants à l'ESI et de pouvoir échanger des idées sur la manière de les régler.v. Découvrir la vie après-ESI, les orienta-tions pour plus tard, le marché du travail et les vraies expériences des gens diplômés de l'ESI.vi. De plus, tous les membres ont deman-dé que la gazette soit en dehors des études, qu'elle soit éloignée du stress et de la charge des études et qu'elle sera un bon moyen de distraction à ses lecteurs à travers des caricatures, des quiz ... etc.vii. Et parmi les réponses bizarres : un étudiant nous a demandé les so-lutions des TDs dans le journal o.O

6. Nous songeons à ouvrir la contribution au public c’est-à-dire que tout le monde aura le droit de prendre la parole depuis le journal, trouvez-vous cela sollici-tant au fait que le journal soit en la possession de tout le monde ? Sinon quels inconvénients craignez-vous ?

Tout le monde était pour l'idée de la contribu-tion du public afin que le journal réussisse à tra-

duire toutes les idées des membres de l'ESI, à condition que les articles envoyés soient sélec-tionnés par un conseil de correction et sélec-tion afin d'assurer la qualité de notre journal.

7. nous parlons là d'une rédaction impli-quée du public, est-ce que ça vous dérange-rait de répondre aux questions de 2 à 5 rédac-teurs du journal chaque semaine (au plus)?

Selon toutes les réponses que nous avons eues, personne ne refusera de répondre aux ques-tions des rédacteurs, dans le cadre du sé-rieux et durant son temps libre bien sûr.

8. Après nous avoir parlés n'êtes-vous pas cu-rieux de voir l'image que reflétera « la ga-zette » de notre communauté ESIste ?

Et bien sûr, la plus part des membres que nous avons interrogés étaient curieux pour voir la gazette de l'ESI et impatientés pour découvrir ce qu'elle va apporter de nouveaux ! (par objectivité sauf 2 personnes qui n'étaient pas vraiment chaudes).Enfin, nous vous remercions de nous avoir ac-cordé ces moments de votre précieux temps. Nous espérons être à la hauteur de vos attentes et que nous avons transmis vos préoccupations comme vous le désiriez ! Et surtout que vous sen-tiez l'appartenance à La Gazette. Car cela sera preuve d'atteinte du but principal du journal.

NOTA : l'étude était menée sur un échantil-lon de 42 personnes (3 enseignants, 2 em-ployés et 38 étudiants de tous les niveaux).

Journal de l’ESI : Qu’en-pensez-vous ?

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Du coeur de l’ESI

Du

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Tout ce que vous observez, vous l’observez selon votre point de vue personnel. Ça parait comme une assertion évidente, mais ça s’ap-plique aussi à l’humanité comme un tout. Tout ce qu’on observe est observé selon notre point de vue. En cosmologie, ce point de vue est une fenêtre très étroite! L’hu-manité a seulement été présente dans l’univers pendant une très courte durée comparée au temps cosmique. Notre compréhension de l’univers est limitée par les pré-jugés de notre cerveau primate.C’est cette idée qui a été encapsulée par une autre idée philosophique connue sous : le principe anthro-pique. De toutes les idées en as-tronomie et en cosmologie, c’est l’idée la plus controversée. Mal-gré son nom, il y a plusieurs va-riantes du principe anthropique.Le principe anthropique faible (WAP) est un simple rappel du fait qu’on ne doit pas trop se

concentrer sur les observations qui paraissent spéciales. Je vis en Algérie, donc un échantillon aléatoire de gens autour de moi va donner que la plupart d’entre eux parlent l’arabe comme première langue. Toutefois, je ne peux pas affirmer que les humains parlent l’arabe comme première langue, parce que mon échantillon est lié à mon lieu. Quelqu’un qui vit aux Etats-Unis va trouver que la plupart des gens parlent l’anglais.Le principe anthropique fort (SAP) est plus controversé. Il annonce que l’univers comme un tout doit avoir les condi-tions nécessaires pour qu’une vie comme la nôtre puisse exister. Par exemple, la gravité en trois dimensions permet d’avoir des orbites planétaires stables alors que la gravité en quatre dimen-sions ne le permet pas. Si l’ex-pansion de l’univers avait été plus rapide, les étoiles et les galaxies

n’auraient pas été formées. Une expansion plus lente et l’univers se serait effondré sur lui-même.D’un côté, le principe anthropique fort est évident. Si l’univers était diffèrent de ce qu’il en est maintenant (plus forte gravité, vitesse de la lumière moins rapides…) on ne serait pas là. Mais cela est parfois utilisé pour argumenter une version encore plus forte du principe. Spécifiquement, le fait de notre existence veut dire que l’univers doit être peaufiné à un ensemble de conditions qui nous permettent d’exister. Cette idée a été proposée en premier lieu par Brandon Carter en 1974 et elle suscite la controverse depuis.BEKHTI Youcef Abderrahmane Source : Brian KOBERLEIN

Egocentrique…

Sciences

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Technologies

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LeSeaOrbiter, ce vaisseau futuriste, dont la construc-tion débutera auprintemps prochain (2014), se ré-vèle unique au monde, puisqu’il permettra d'ob-server et d’étudier en détail la biosphère océanique. Imaginé par l’architecte subaquatique Jacques Rouge-rie, Ce vaisseau hors-norme sera à la fois un « vaisseau d’exploration des océans » et un « laboratoire océano-graphique flottant » et prendra la forme d’un gigan-tesque hippocampe d'aluminium semi-submersible. Ce monstre aquatique disposera entre autre d’un si-mulateur spatial, d’une plateforme scientifique, d’un laboratoire et d’une base sous-marine. A vocation scientifique et éducative, il sera également équi-pé d’une plateforme de communication permet-tant d’échanger en permanence avec le grand public.

Aussi étonnant qu'il puisse paraître, ce bâtiment ver-ra bel et bien le jour en 2014 puisqu’il a été approu-vé par la DCNS (Direction des Constructions Na-vales) qui en assure la maîtrise d'œuvre et le suivi.Près de 18 mois sont nécessaires à sa construc-tion, soit près de 100.000 heures de travail pour les chantiers de Saint-Nazaire et de Cherbourg.

Le SeaOrbiter, œil de la mer : un vaisseau futuriste pour explorer le grand bleu !

Le SeaOrbiter se présente comme une passerelle de 58 m de haut (dont une quille rabattable de 31 m) pour 550 tonnes. Tout en hauteur, le vaisseau pourra accueillir sur 12 niveaux de 18 à 22 hommes d'équipage et scienti-fiques. Et à 18 m au-dessus du niveau de la mer se logera le cerveau du vaisseau "l'œil de la sentinelle de la mer", comme le surnomme son designer, Jacques Rougerie. L'océan, le siège du « destin des civilisations futures »,selonRougerie « puisque les marins ne voient que la surface des océans. Ils sont aveugles à ce monde immense en dessous d'eux. 85% de la biodiversi-té marine restent à découvrir ». Aussi, le SeaOrbiter sera le sas entre notre monde terrestre et le monde mari grâce à une plate-forme scientifique pluri-disciplinaire dotée d'équipements d'observation, d'écoute océanographiques et d’un centre de com-munication. Il s’agit à la fois d'un laboratoire, d’une maison et d’une base d'exploration sous-marine. Objectif : étudier le monde sous-marin 24h sur 24.

Pour cela, le vaisseau sera doté de la plus haute tech-nologie scientifique pour passer au crible, en per-manence et dans toutes ses composantes, la bios-phère marine océanique.., Il appelle d’ailleurs tout le monde à devenir "merrien" en participant à la col-lecte publique de fonds qu’il a lancé sur le mode du "crowdfunding". Il s’est donné 90 jours pour réunir les 325.000 euros correspondant au prix du "centre de l'intelligence" du vaisseau. Si la somme n'est pas réunie dans le délai imparti, les contributeurs (10 euros minimum) seront remboursés. L’idée est sur-tout de faire participer le plus grand nombre de per-sonnes possible à cette aventure hors du commun. Hypathie

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Evasions

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Est-il vrai que:VALLADOLID est une ville espagnole qui s'appelle en arabe : BALAD EL WALID ?LA JOCANDE (Mona Lisa) est une femme qui s'appelait Mouna-Louiza ?GALLILei galileo n'est autre de DJALILou El djilali ?

Au revoir ..et à la prochaine évasion.

Evasions est un petit espace ou se conjuguent culture, connaissance, art, poésie, histoire, énigmes, rires...etc.

Leonardo da Vinci (Léonard de Vinci pour les francophones), (1452 - 1519)Peintre,quinzième siècle au seizième, la jo-cande ou Mona Lisa ( voir représentation). Il est né à Vinci, petite ville de Toscane proche de Florence(Firenze) (Ville Italienne).

Who are we mistaken ?cette phrase provient d’un texte-poeme écrit par les cranberries !(against the war – Contre la guerre) pour dénoncer la guerre (en Irelande du Nord) et ses tragédies. Le texte (en anglais) commence par :Another head hangs lowlyChild is slowly takenAnd the violence caused such silenceWho are we mistaken

Des enfants jouant à la guerre ! Sur un lieu du drame. Dolores.O.Riordan Vous pouvez retrouver le texte complet et sa traduction sur ce lien :http://www.paroles-musique.com/traduction-The_Cranberries-Zombie-lyrics,t2138

Histoire et Connaissance

Léonard de Vinci est souvent décrit comme l’archétype et le symbole de l’homme de la Renaissance, un génie universel, un philo-sophe humaniste, observateur avec un «rare don de l’intuition de l’espace». Léonard de Vinci a beaucoup fait progresser la connais-sance dans les domaines de l’anatomie, du gé-nie civil, de l’optique et de l’hydrodynamique.

JUSTE POUR RIRES

ART et poésie :

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Avec ‘‘Disguise my folders’’ vous pouvez, en quelques clics, transformer un repertoire en un dossier système.

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Exemple :Vous pouvez mettre votre repertoire sur le bureau et le déguiser en une corbeille.