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full circle magazine n° 79 1 sommaire ^ Full Circle LE MAGAZINE INDÉPENDANT DE LA COMMUNAUTÉ UBUNTU LINUX NUMÉRO 79 - Novembre 2013 L L I I N N U U X X A A U U S S E E C C O O U U R R S S D D E E S S V V I I E E I I L L L L E E S S M M A A C C H H I I N N E E S S Photo: comedy_nose (Flickr.com)
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Full CircleLE MAGAZINE INDÉPENDANT DE LA COMMUNAUTÉ UBUNTU LINUX
NUMÉRO 79 - Novembre 2013
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Les articles contenus dans ce magazine sont publiés sous la licence Creative Commons Attribution-Share Alike 3.0 Unported license. Cela signifie que vouspouvez adapter, copier, distribuer et transmettre les articles mais uniquement sous les conditions suivantes : vous devez citer le nom de l'auteur d'unecertaine manière (au moins un nom, une adresse e-mail ou une URL) et le nom du magazine (« Full Circle Magazine ») ainsi que l'URL
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Full CircleLE MAGAZINE INDÉPENDANT DE LA COMMUNAUTÉ UBUNTU LINUX
Utiliser BOINC p.18
LibreOffice p.15
Python p.13
Blender p.20
Tutoriels Opinions
Q&R p.40
Jeux Ubuntu p.42
Mon bureau p.47
Command & Conquer p.11
Inkscape p.21
Rubriques
Labo Linux p.30
Critique littéraire p.34
Comparaison de logiciels p.36
Mon opinion p.XX
Mon histoire p.33
Courriers p.39
Actus Ubuntu p.4
Demandezaupetitnouveau p.27
Femmes d'Ubuntu p.XX
Graphismes
DE RETOURLE MOIS PROCHAIN
DE RETOURLE MOIS PROCHAIN
DE RETOURLE MOIS PROCHAIN
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ÉÉDDIITTOORRIIAALL
BIENVENUE DANS CE NOUVEAU NUMÉRO DU FULL CIRCLE !
À nouveau, un full aux as, avec les tutoriels de Python, LibreOffice, Blender et Inkscape. Et ilssont rejoints par un article sur l'utilisation de l'application BOINC. Son utilisation prin-cipale
est de rassembler la puissance CPU inutilisée des PC à travers le monde pour aider à l'analysed'énormes volumes de données. Le plus connu d'entre eux est probablement le projetSETI@home.
En regardant la couverture de ce numéro, vous verrez que j'ai mis l'accent sur l'article duLabo Linux deCharles. Je suis un fervent supporter de la réutilisation du vieuxmatériel. Ne pasêtre le plus récent ou le plus génial ne signifie pas devoir être inutilisé ou abandonné.D'aucuns, surtout les personnes âgées, pourraient l'utiliser pour garder le contact par Internet.Même vous, vous pourriez le transformer en serveur de fichier, serveur Web ou serveurd'impression. Les vieux PCneméritent pas d'êtremal aimés !
Si les bons vieux jours de Gnome 2.x vous manquent, alors vous aimerez jeter un œil àl'article Command & Conquer de Lucas au sujet de Cinnamon. Pensez que c'est un Gnome 3.x,mais faites-le ressembler à, et fonctionner comme, un 2.x. C'est l'un des environnements debureau livrés avec Linux Mint. Je suis presque sûr que vous pourrez l'installer sur n'importequelle distribution pour aller avec, ou remplacer, le bureau actuel. L'article de Lucas vous ledira, c'est sûr.
C'est presque la fin de 2013, mais n'ayez pas peur. Il y aura toujours un numéroen décembre pour vous aider à accueillir 2014. Surtout si vous êtes un grincheuxvoleur deNoël commemoi…
Amitié et gardons le contact !Ronnie
Ce magazine a été créé avec :
LePodcast Full CircleTous les mois, chaque épisode couvretoutes les dernières informations concer-nant Ubuntu, les opinions, les critiques,les interviews et les retours d'utilisa-teurs. Le Side-Pod est une nouveauté,c'est un court podcast supplémentaire(irrégulier) en marge du podcast prin-cipal. On y parle de technologie engénéral et de choses qui ne concernentpas uniquement Ubuntu et qui n'ontpas leur place dans le podcast principal.
Vos animateurs :• Les Pounder• TonyHughes• JonChamberlain•Oliver Clark
http://fullcirclemagazine.org
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J 'écris ceci pour expliquer pourquoice numéro du Full Circle Maga-
zine (FCM n° 79) sera un peumoins finique le 78 précédent et aussi un peu unecatharsis pour ce quime concerne.
Tout a commencé le samedi après-midi quand je regardais la liste des dis-trib. publiées récemment sur Distro-watch. J'en ai repéré une appelée Free-NAS et eu la bonne idée de l'installersur mon ancien ASUS Revo, en leconfigurant commeundisqueNASpourles sauvegardes. Génial ! Bien sûr, pen-dant l'installation, je documenterais letout pour un article du FCM. J'ai dûmedébattre pour réussir à faire démar-rer FreeNAS. Après beaucoup delecture, il s'avère que le fichier ISO estseulement à graver sur un CD/DVD.Ni une, ni deux, j'essaie de copier lefichier IMG sur ma clé USB. Rien. Ils'avère que vous devez utiliser la com-mande dd pour mettre le fichier IMGsur la clé car il ne s'installe pas vrai-ment sur un disque, mais démarre surla clé USB pour transformer le dispo-sitif sur lequel il se trouve en un disqueNAS. OK, je lance la commande dd etil ne se montre toujours pas sur maclé USB. Bizarre ! Attendez, alors oùFreeNAS s'est-il installé ?
Il s'est installé sur mon disque de1 To en effaçant tout. Toutes les parti-tions. La totale.Disparu.Monprofil EuroTruck Simulator 2. Perdu !
NOOOOoooonnnn !!!!!
Au départ, je pensais qu'il n'avaiteffacé que mon système, ce qui n'au-rait pas été un problème car j'ai (ouj'avais !) tousmes trucs surma partition/home. Non, il a pris le disque com-plet, effaçant toutesmes partitions etfichiers.
Après avoir intégré ce qui s'estpassé et m'être arrêté de pleurer, ilétait temps d'être rapidement opéra-tionnel à nouveau. Avais-je un DVD*buntu m'attendant, prêt à être char-gé?Nan.J'ai fouilléparmimesmagazineset trouvé un DVD contenant Ubuntu13.04 et j'ai démarré dessus. J'aitéléchargé Kubuntu 13.10 (64 bits) etutilisé l'outil Ubuntu de création dedémarrage afin de mettre Kubuntusur ma clé USB. Redémarrage. Rien.Ubuntu (pour des raisons inconnues)n'avait pas correctement copié Ku-buntu sur la clé afin qu'il démarre. Et,bien sûr, puisque je travaille sur unLiveCDUbuntu, l'ISOest parti.
J'étais en train de penser que jedevrais peut-être installer Ubuntu 13.04et mettre à niveau vers la 13.10, maisje ne voulais vraiment pas d'Unity. Jevoulais récupérermonbien-aiméKDE.
Alors j'essaie Mint. Mint 15 étaitaussi sur le DVD d'un vieux magazine.Je l'ai démarré et cela paraissait bon.Ainsi, après 30 minutes environ, jedémarre sur Mint 15. Enfin. Du pro-grès ! Mais, non. Mint 15 ne reconnaîtpasmes deux écrans et neme permetpas de changer de résolution. Lors-que je clique sur lesparamètres système(dans le menu Mint), une fenêtre invi-sible pour moi, mais que je peux redi-mensionner, semble s'afficher.
Encore des sanglots.
J'utilise ce moment d'apitoiementpour télécharger Mint 16 RC et legraver sur un DVD. Je démarre dessuset Mint 16 semble bien. Je peux chan-ger les résolutions et réorganiser laconfiguration demes écrans. Enfin !
Voilà ! je suis sous Mint 16 RC sansaucun fichier ou quoi que ce soit. J'aimaintenant installé SpiderOak et jepeux au moins télécharger les photos
que j'avais sauvegardées là. C'estmieuxque rien, je suppose.
Alors. En résumé : FAITES UNESAUVEGARDE RÉGULIÈRE ! Ne faitespas confiance à votre /home ou à unequelconque forcemystiquepour sauve-garder vos fichiers.
Il va sans dire que je n'ai jamaisécrit l'article sur FreeNAS.
Bien à vous, avec un disque dur videfraîchement Mintholé. [Ndt : jeu demots surMint = pastille à lamenthe.]
Ronnie
En ce qui concerne le FCM n° 79 :J'avais enregistré un aperçu du PDFen ligne (pour que les correcteurs puis-sent y jeter un œil) ; ainsi je pourraipublier cela vendredi. Il y a quelquespages ou colonnes vierges ici et là,mais c'est tout à fait lisible. Je ne saispas comment les traducteurs vont faire,car, évidemment, je n'ai pas de fichierScribus pour ce numéro.
Quoi qu'il en soit … c'est MONhistoire de ce mois-ci.
NNOOUUVVEELLLLEESS DDUU FFCCMMÉcrit par Ronnie Tucker
QQuuaanndd llaa tteecchhnnoollooggiiee mmee hhaaiitt,,eellllee mmee HHAAIITT vvrraaiimmeenntt !!!!!!
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BIENVENUE DANS LA LETTREHEBDOMADAIRE UBUNTU
NO 344 POUR LA SEMAINE DU
18 AU 24 NOVEMBRE 2013
Dans ce numéro :**Le Sommet virtuel des développeursUbuntudenovembre2013est terminé !**Bienvenue aux nouveaux membreset développeurs.**StatistiquesUbuntu.**La fête commence pour les Écraseursde bestioles deMunich.**Redémarrage àNewYork.**Riccardo Padovani : Pourquoi vousdevriez contribuer àUbuntu Touch.**Bryan Quigley : Saviez-vous que le20e ordinateur portable le plus vendusur Amazon est livré avecUbuntu ?**David Planella : l'application UbuntuReminders obtient l'authentificationEvernote.**Femmes d'Ubuntu : Résuméde la ses-sionUbuntuWomen au vUDS1311.**Xubuntu : Aidez-nous à tester Xu-buntu 14.04 LTS.**Randall Ross : Impressionnante Pla-nète ! Sondage 9.**Elizabeth Krumbach Joseph : Sommetvirtuel1311desdéveloppeursUbuntu.**KubuntuWire : BlueMint.
**Émulateur experimental d'UbuntuTouch.**Actus Canonical.**Dans la presse.**Dans la blogosphère.**Autres articles intéressants.**Sélection audio et vidéo.**Réunions hebdomadaires de l'équipededéveloppement d'Ubuntu.**Réunions et événements à venir.**Mises à jour et sécurité pour 10.04,12.04, 12.10, 13.04 et 13.10.**Et bien plus encore !
NOUVELLES GÉNÉRALES DE
LA COMMUNAUTÉ
Le Sommet virtuel des développeursUbuntudenovembre2013estterminé!
Le Sommet des développeurs Ubun-tu qui démarre le travail du cycle deTrusty Tahr (14.04) LTS s'est tenu cettesemaine !
Intro par Jono Bacon, discours prin-cipal parMark Shuttleworth :http://www.youtube.com/watch?v=D4kHQeu4SJk
Résumé du UDS novembre 2013 :http://www.youtube.com/watch?v=nU7HMhs2fos
Les vidéos et notes de toutes les
sessions sont disponibles sur le siteInternet du Sommet :http://summit.ubuntu.com/uds-1311/
BIENVENUE AUX NOUVEAUX
MEMBRES ET DÉVELOPPEURS
C. de Avillez écrit qu'il est heureuxd'annoncer que, suite à la réunion d'au-jourd'hui et au vote par e-mail, nouspouvons accueillir le nouveau membreUbuntu suivant :Jean-Baptiste Lallement : https://launch-pad.net/~jibelhttps://lists.ubuntu.com/archives/ubuntu-news-team/2013-November/001903.html
Statistiques Ubuntu - Statistiquesde bogues :**Ouverts (107511) + 71 pendant cettesemaine.**Critiques (121) + 1 pendant cette se-maine.**Pas confirmés (53256) + 41 pen-dant cette semaine.
Comme toujours, la brigade desbogues (Bug Squad) a besoin d'aide.Si vous voulez participer, merci d'allerà https://wiki.ubuntu.com/BugSquad
TOP 5 DES QUESTIONS
À ASK UBUNTU
Questions les plus actives
••Que signifie le « -f » dans certainescommandes ?http://askubuntu.com/questions/381820/what-does-the-f-mean-in-some-commands••Le bureau Netflix reste figé sur larésolution “auto”. Comment puis-je lefaire rester sur “low”?http://askubuntu.com/questions/381819/netflix-desktop-is-stuck-on-auto-resolution-how-do-i-make-it-stay-on-low••Double amorçage avec windows 7sans option dedémarrage :http://askubuntu.com/questions/381818/dual-boot-with-windows-7-no-boot-options••Comment installer l'outil Boot-Repairsur un disque liveUbuntu ?http://askubuntu.com/questions/226061/how-to-install-the-boot-repair-tool-in-an-ubuntu-live-disc••Désinstaller KDE Wallet d'Ubuntu13.04 :http://askubuntu.com/questions/380306/uninstall-kde-wallet-from-ubuntu-13-04
AACCTTUUSS UUBBUUNNTTUUÉcrit par l'équipe d'Actus Ubuntu
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ACTUS UBUNTUNouvelles questions les plus plébis-citées
••Y a-t-il une calculatrice en ligne decommandepourUbuntu ?http://askubuntu.com/questions/378661/••Que fait « !! » dans « sudo !! » ?http://askubuntu.com/questions/378786/••Comment optimiser Ubuntu pourune utilisation d'énergieminimale ?http://askubuntu.com/questions/379311/••Je ne peuxmettre à jour youtube-dl :http://askubuntu.com/questions/380438/••Créer un fichier pour un nouvelutilisateur :http://askubuntu.com/questions/381602/
Personnes ayant contribué aux meil-leures questions et réponses cettesemaine :
AvinashRaj(http://askubuntu.com/users/202806/avinash-raj),Rinzwind(http://askubuntu.com/users/15811/rinzwind),Braiam(http://askubuntu.com/users/169736/braiam),
Luis Alvarado(http://askubuntu.com/users/7035/luis-alvarado)et fossfreedom :(http://askubuntu.com/users/14356/fossfreedom)
Posez (et répondez à) vos propresquestions ici :http://askubuntu.com
ACTUS LOCO
La fête commence pour les Écra-seurs de bestioles de Munich (BeastieSquishers) JonathanRiddell écrit : « Noussommes réunis à Munich dans lesbureaux de LiMux qui vient de ter-miner la migration de l'ensemble del'administrationpubliquedeMunich versKubuntu, sur plus de 15 000 ordina-teurs. » Jonathan nous montre aussiquelques photos prises lors de l'évé-nement.http://blogs.kde.org/2013/11/22/munich-beastie-squishing-party-begins
Plus demessages sur l'événement :Kubuntu Photo àMunichBSP :http://blogs.kde.org/2013/11/23/kubuntu-photo-munich-bsp
Éradication debogues àMunich :http://jussi01.com/2013/11/24/munich-bug-squishing/
Sortie deGeekKubuntu :
http://blogs.kde.org/2013/11/23/kubuntu-geek-out
Redémarrage àNewYork
Charles Profitt blogue sur la renais-sance des réunions IRC de l'équipe Lo-Co de New York : « L'objectif principalest de commencer à planifier le lance-ment d'Ubuntu 14.04, mais j'espèreaussi relancer et redynamiser l'équipeLoCo. »http://ftbeowulf.wordpress.com/2013/11/24/reboot-new-york/
LA PLANÈTE
Riccardo Padovani : Pourquoi vous de-vriez contribuer àUbuntu Touch
Riccardo Padovani traite de certainsavantages de participer à UbuntuTouch. Il parle de rencontrer de nou-veaux amis, d'acquérir des connais-sances, de s'amuser et de poursuivreunobjectif commun.http://blog.rpadovani.com/en/2013/11/why-you-should-contribute-to-ubuntu-touch/
Bryan Quigley : Saviez-vous que le 20e
ordinateur portable le plus vendu surAmazon est livré avecUbuntu ?
Bryan Quigley souligne que l'Asus1015E-DS03, un ordinateur portablede 10pouces avecUbuntu 12.04, est le20e ordinateur portable le plus vendusurAmazon. L'ordinateurportable coûteseulement 200 $ et est livré avec unclavier pleine taille et un CPU Intel basde gamme. Il demande aux gens quiont acheté cet ordinateur de laisserun commentaire sur Amazon, s'ils leveulent bien, ou un commentaire surson message, pour en faire la critique.http://bryanquigley.com/1-for-linux/did-you-know-that-the-20th-most-sold-notebook-on-amazon-ships-with-ubuntu
David Planella : l'application UbuntuReminders obtient l'authentificationEvernote
David Planella annonce que le con-necteur de comptes en ligne Evernoteest maintenant disponible pour Ubun-tu ; c'est un élément clé pour la pro-chaine appli Reminders. À ce stade, leconnecteurEvernoteest seulementpourles développeurs, mais il sera ouvert àtous les utilisateurs quand Reminderssortira en version stable. Les instruc-tions d'installation et d'utili-sation duconnecteur sont décrites en détail.http://davidplanella.org/ubuntu-reminders-app-gets-evernote-authentication/
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Femmes d'Ubuntu : Résumé de la ses-sionUbuntuWomen au vUDS1311
Elizabeth Krumbach Joseph écritque le projet Ubuntu Women a par-ticipé au Sommet virtuel des déve-loppeurs d'Ubuntu pour planifier leurtravail pour le prochain cycle. Eliza-beth énumère quelques-uns des pointstraités et intègre une vidéo complètede la session dans sonmessage.http://blog.ubuntu-women.org/2013/11/ubuntu-women-at-vuds-1311-session-summary/
Xubuntu : Aidez-nous à tester Xubun-tu 14.04 LTS
L'équipe Xubuntu écrit que dansmoins de six mois Xubuntu 14.04 LTSsera publié et maintenu pendant troisans. L'équipe fait appel aux testeurs,fournit un certain nombre de liens oùtrouver des renseignements complé-mentaires, et invite les nouveaux arri-vants à les contacter par IRC ou parcourriel.http://xubuntu.org/news/help-us-test-xubuntu-14-04-lts/
Randall Ross : Impressionnante Pla-nète ! Sondage 9
Randall Ross pose une autre ques-tion afin de mesurer l'audience, la per-tinence et l'utilité de Planet Ubuntu.
Randall a son idée, mais il aimeraitvoir ce qu'en disent les données.
http://randall.executiv.es/planet-awesome-9
Elizabeth Krumbach Joseph : Sommetvirtuel 1311desdéveloppeursUbuntu
Elizabeth Krumbach Joseph écritsur les sessions auxquelles elle a par-ticipé au cours du Sommet virtuel desdéveloppeurs Ubuntu, donnant desliens vers la vidéo et les résumés desséances sur la documentation, les pro-jets LoCo, Ubuntu Women, et lesséances IRC à venir dans Ubuntu Class-room.http://princessleia.com/journal/?p=8733
KubuntuWire : BlueMint
Jonathan Riddell écrit : « Le site deBlue Mint est un site amusant d'ac-tus/blogs pour vous aider à « expéri-menter le nirvana d’informatique quesont KDE et Kubuntu. » Pas d'objec-tion possible.http://wire.kubuntu.org/?p=70
Autresnouvellesde la communauté
Émulateurexpérimentald'UbuntuTouch
Ricardo Salveti de Araujo écrit qu'ila « ajouté une nouvelle version du pac-
kage Android, contenant la premièreversion expérimentale d'un émulateurfonctionnel (avec IU), basé sur Unity 8etMir ».
Les instructions pour l'utilisationde l'émulateur et les problèmes connuspeuvent être trouvés ici :https://wiki.ubuntu.com/Touch/Emulatorhttps://lists.launchpad.net/ubuntu-phone/msg05195.html
NOUVELLES DE CANONICAL
Le nouveau site RessourcesUbuntu
Inayaili de Leon Persson nous in-forme qu'une version alpha du site Res-sources Ubuntu a été lancée afin depouvoir recevoir des retours d'infor-mation, en améliorer la conception etétendre les fonctionnalités. Inayaili énu-mère une partie du contenu et desfonctionnalités qui sont en cours d'éla-boration et invite aux commentairesen disant : « Nous voulons savoir ceque vous aimez et ce qui, selon vous,peut être amélioré, ou tout autrecommentaire que vous pourriez avoir.Nous avons inclus un lien pratiquevers le formulaire de commentairesau bas de chaquepage. »http://design.canonical.com/2013/11/the-new-ubuntu-resources/
Conception des icônes de crèmesglacées pour Juju
Matthieu-James nous dit que l'équi-pe de conception de Canonical voulaitremplacer les icônes Juju standardpar quelque chose « d'un peu plus spé-cial » afin d'expliquer aux gens le genrede choses que Juju peut faire. « Ils ontdécidé d'utiliser le concept de la crèmeglacée, des décorations, et du nap-page de la même façon que les ser-vices peuvent être construits dans Juju.Matthieu-James dit que l'ensembledu processus a pris quatre jours entrel'idée et la production des icônesfinales et conclut que « c'était unprojet très amusant à faire ».http://design.canonical.com/2013/11/juju-ice-cream-icon-design/
Dernières nouvelles de l'équipeWeb-Novembre 2013
Inayaili de Leon Persson de l'équipeWeb de Canonical nous parle des mo-ments forts des équipes de ces quatredernières semaines. Inayaili énumèreles choses sur lesquelles l'équipe atravaillé, comprenant le site Web deCanonical, le GUI de Juju, et discour-se.ubuntu.com. Elle dit ensuite quel'équipe travaille actuellement sur unessai de tchat en direct pour l'équipede vente, la mise au point de l'inter-face graphique de Juju pour la version
ACTUS UBUNTU
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14.04, et l'amélioration de la concep-tion deUbuntuRessources.http://design.canonical.com/2013/11/latest-from-the-web-team-november-2013/
Dans la presse :
Un serveur Ubuntu Linux avec unprocesseur ARM construit par BostonLimited
Agam Shah de PCWorld écrit queBoston Limited a annoncé un nouveauserveur à base d'ARM certifié pourfaire fonctionner Ubuntu 13.10. Quandil sera livré, il sera l'un des seuls ser-veurs disponibles dans le commerceutilisant l'architecture ARM. Prix etdisponibilité n'ont pas encore étéannoncés.http://www.pcworld.com/article/2064940/ubuntu-linux-server-with-arm-processor-rolled-out-by-boston-limited.html
Dans la blogosphère :
Canonical Dev considère Linux Mintcomme « vulnérable », il ne faudraitpas l'utiliser pour les services ban-caires en ligne.
Joey-Elijah Sneddon de chez OMG!Ubuntu! écrit sur un récent courriel oùOliver Grawert commente les failles
de sécurité dans Linux Mint. Il men-tionne également les raisons pour les-quelles le système pourrait ou non êtrevulnérable.http://www.omgubuntu.co.uk/2013/11/canonical-dev-dont-use-linux-mint-online-banking-unsecure
Allez aussi voir la réponse de LinuxMint :http://www.omgubuntu.co.uk/2013/11/linux-mint-responds-ubuntu-developers-security-claims
Et la réponse d'Oliver Grawert, déve-loppeur d'Ubuntu, qui a fait les pre-miers commentaires :http://ograblog.wordpress.com/2013/11/18/lots-of-canonical-in-my-mouth/
Sputnik 3 :
Après System76, Dell est le nouveauconstructeur à lancer un portable àécran tactile, basé surUbuntu
Manuel Jose de Tech Drive-in nousinforme que, bien que System76 ait étéle premier à présenter un portable àécran tactile ayant Ubuntu pré-chargé,c'est la première fois que Dell met envedette un ordinateur portable équipéd'un écran tactile et fonctionnantsous Linux. Manuel fournit une brèvedescription, information sur les prix,et une liste des pays dans lesquels
l'ordinateurportable seradisponible.http://www.techdrivein.com/2013/11/dell-ubuntu-touchscreen-laptop-xps-13-sputnik-project.html
Les « marques d'appareils ménagers »(Household Brands) sont intéresséespar Ubuntu sur les téléphones et lestablettes, selon Shuttleworth
Joey-Elijah Sneddon de OMG! Ubun-tu! explique la déclaration de MarkShuttleworth lors du dernier discoursd'ouverture de l'UDS 13.11 : House-hold Brands sont désireux d'évaluerUbuntu Touch.http://www.omgubuntu.co.uk/2013/11/household-brands-ubuntu-phone-tablets
Ubuntu 14.04 a reçu un comportementoptimisé pour renommer les objetssur le bureau
razvi de iloveubuntu décrit les der-nières modifications dans le change-ment de nomdes objets sur le bureau ;la zone de texte va maintenant êtrematérialisée et contrastée avec unezone blanche au lieu d'une couleurfoncée.http://iloveubuntu.net/ubuntu-1404-received-optimized-item-renaming-behavior-desktop
Ubuntu 14.04 LTS ne sera pas basésurMir
Michael Larabel de Phoronix nousinforme que, lors du récent sommetvirtuel des développeurs d'Ubuntu,on a appris qu'Ubuntu 14.04 LTS surPC ne sera pas basé sur Mir, car il seratoujours livré avec Unity 7, qui eststable et a fait ses preuves. Michaelajoute que les mises à jour d'Ubuntu14.04 LTSn'jouteront niMir niUnity 8.http://www.phoronix.com/scan.php?page=news_item&px=MTUxOTQ
Sortie de l'émulateur expérimentald'Ubuntu Touch
Andrew deWebUpd8 écrit que lesdéveloppeurs d'Ubuntu ont publié unémulateur expérimental Ubuntu Touchfonctionnant avec Unity 8 et Mir.Andrew nous montre des capturesd'écran de l'émulateur et fournit desinstructions d'installation pour ceuxqui utilisent Trusty Tahr.http://www.webupd8.org/2013/11/experimental-ubuntu-touch-emulator.html
Upstart a encore un avenir brillant surUbuntu Linux
Michael Larabel de Phoronix fournitun rapport sur les dernières nouvelles
ACTUS UBUNTU
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de la session virtuelle UDS au sujetd'Upstart où les développeurs ontexaminé deux principales fonction-nalités qu'ils souhaitent apporter à la14.04 : le support de cgroups et unegestion affinée de PTrace pour quesoit prêt le serviceUpstart.http://www.phoronix.com/scan.php?page=news_item&px=MTUyMDk
Ubuntu 14.04 Trusty Tahr pourrait avoirun nouveau thèmed'icônes
AndrewdeWebUpd8écrit que, dansune session du sommet des dévelop-peurs d'Ubuntu, Matthieu James (gra-phiste/concepteur visuel chez Cano-nical) a présenté les lignes directricesde conception, ainsi que certains destravaux réalisés pour créer un nou-veau thème d'icônes pour Ubuntu (àla fois les PC et les tactiles). Andrewnous montre des captures d'écran dela présentation et intègre une vidéode la session dans son article.http://www.webupd8.org/2013/11/ubuntu-1404-trusty-tahr-might-get-new.html
L'UDS de novembre a commencé, lediscours de Mark Shuttleworth estdisponible
razvi de iloveubuntu écrit que lerécent UDS a commencé avec uneintroduction de Jono Bacon et le dis-
cours traditionnel de Mark Shuttle-worth. razvi intègre une vidéo de lasession dans son article après avoirsouligné les objectifs qui sont liés à laprochaine version d'Ubuntu, la 14.04.http://iloveubuntu.net/novembers-uds-started-mark-shuttleworths-keynote-available
L'UDSdenovembre s'est terminé, desvidéos des sessions en résumé sontdisponibles
razvi de iloveubuntu nous informeque le récent UDS est terminé et secomposait de différentes vidéos desessions qui durait chacune 1 heure.razvi intègre dans son article unevidéo de la session Track Summariesqui résume les principaux thèmesabordés dans l'UDS.http://iloveubuntu.net/novembers-uds-reached-its-end-track-summaries-video-session-available
Ubuntu a atteint 59%et la premièreposition du sondageOpenStack surles systèmes d'exploitation utiliséspour les déploiements
razvi de iloveubuntu fait une ana-lyse rapide sur le récent sondage réa-lisé par l'équipe de OpenStack, qui arévélé que Ubuntu est le système d'ex-ploitation préféré des déploiementsOpenStack, avec 59%des suffrages.
http://iloveubuntu.net/ubuntu-reached-59-and-position-1-openstack-survey-about-used-oses-deployments
Autres articles intéressants
**Préparer les élèves à un monde enévolution rapide en enseignant avecl'Open Source :http://opensource.com/education/13/11/teach-better-prepare-students
**La veille de la Guerre : Avaneyahttp://blog.josephliau.com/on-the-eve-of-war-avaneya/
Audio et vidéo à écouter/voir
Ubuntu Ohio - Le Cercle de Feu (Bur-ning Circle) : Le Cercle de Feu - Epi-sode 140
L'épisode de cette semaine est brefet fait référence à un sondage Doodlepour planifier la prochaine réunion IRC[d'UbuntuOhio].http://ohio.ubuntu-us.org/node/176
Q/RRick Spencer - UDSnovembre2013
Le dernier jour des récentes vUDS,Rick Spencer rejoint Jono Bacon pourune séance deQuestions-Réponses.http://www.youtube.com/watch?v=HTUL4Oq6uCw
PODCASTUBUNTUDE L'ÉQUIPELOCOBRITANNIQUE :S06E39 -UBUNTU
AlanPope,MarkJohnson, TonyWhit-more et Laura Cowen sont de retourdans le Studio A pour le 39è épisodede la saison six du podcast Ubuntu del'équipeLocoBritannique !Nousregardonsaussi ce qui s'est passé dans les actus.Nous nous tenons au courant de cequi s'est passé dans la communautéUbuntu.Etendehorsde lacommunautéUbuntu. Et nous parlons d'un évé-nement.http://podcast.ubuntu-uk.org/2013/11/24/s06e39-rear-ubuntu/ethttp://www.youtube.com/watch?v=SadhLKFMyZw
Réunions hebdomadaires de l'équipededéveloppementUbuntu ÉquipeSécurité : 18 novembre 2013 -https://wiki.ubuntu.com/MeetingLogs/Security/20131118
Réunions et événements à venir
Pour les réunions et événements àvenir, merci d'aller voir les calendrierssur fridge.ubuntu.com :http://fridge.ubuntu.com/calendars/
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D'UBUNTU
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CONCLUSION
Merci d'avoir lu le bulletin hebdo-madaireUbuntu.
À la semaine prochaine !
GÉNÉRIQUE
Le bulletin hebdomadaire Ubuntuvous est présenté par : Elizabeth Krum-bach Joseph, PaulWhite, Nathan Dyer,JimConnett, et beaucoupd'autres.
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La signification d'autres acronymespeut être trouvée à https://wiki.u-buntu.com/UbuntuWeeklyNewsletter/glossary
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La communauté Ubuntu est cons-tituée d'individus et d'équipes, travail-lant sur différents aspects de la dis-tribution, donnant des conseils et unsoutien technique, et aidant à pro-mouvoir Ubuntu vers un public pluslarge. Aucune contribution n'est troppetite et tout le monde peut aider.C'est l'occasion de participer à la com-munauté dans un cadre amusant, lié àl'élaborationetà lapromotiond'Ubuntu.http://community.ubuntu.com/contribute/
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d'Ubuntu. Si vous avez une idée d'ar-ticle ou des suggestions pour la news-letter hebdomadaire, rejoignez la listede diffusion de l'équipeUbuntuNews àhttps://lists.ubuntu.com/mailman/listinfo/Ubuntu-news-team et soumettez-la. Les idées peuvent aussi être ajou-tées au wiki https://wiki.ubuntu.com/U-buntuWeeklyNewsletter/Ideas. Si vousvoulez contribuer à un numéro futurdu bulletin, merci de modifier la pagewiki appropriée. Si vous avez desquestions techniques à poser au sup-port, vérifiez d'abord http://commu-nity.ubuntu.com/help-information/pour avoir plus d'informations surcomment obtenir de l'aide.
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UbuntuWeeklyNewsletter/Issue344 (dernière édition 26/11/201301:27:37 par lyz)
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ACTUS UBUNTU
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S i vous êtes un lecteur de longuedate, vous avez sans doute remar-
qué mon manque d'intérêt apparentpour les environnements de bureauclassique (KDE, GNOME, Unity, XFCE,LXDE, etc.). En réalité, j'avais l'habi-tude d'utiliser GNOME 2 surmes postesde travail, mais, depuis l'introductionde GNOME 3, j'utilise des gestionnairesde fenêtre légers (openbox, XMonad,awesomeWM, etc.) à la place. La raisonen est simple : je n'ai aucun intérêt àdevoir afficher une sur-couche et gas-piller de la puissance de traitementavec des effets visuels pour pouvoirutiliser mon ordinateur ; GNOME 3 ennécessite généralement plus que n'im-porte quel autre environnement debureau que j'ai déjà utilisé. Si vous êtesdans la même galère que moi, géné-ralement mécontent des environne-ments de bureau disponibles aujour-d'hui, alors vous serez heureux desavoir que, ce mois-ci, je vais écrire unarticle sur un environnement de bureauquimeplaît beaucoup : Cinnamon.
Qu'est-ce que c'est ?
C'est une branche (un peu commeune série TV dérivée) de GNOME 3,mais avec l'intention de fonctionner
plus comme GNOME 2. Si vous avezdéjà utilisé Linux Mint quand il étaitencore sous GNOME 2, vous devriezavoir une idée de ce à quoi vous atten-dre : Un seul panneau, unmenu et unemise en page vaguement similaire àl'expérience Windows typique ou à laplupart des expériences LXDE.
Comment se le procurer ?
C'est dans les dépôts universe :
lancer simplement :sudo apt-get install cinnamon
devrait suffire. Je suis heureux avecmon environnement de bureau ou ges-tionnaire de fenêtres actuel : pour-quoi devrais-je en changer ? Je suiségalement très heureux avec Aweso-meWM et je n'ai pas changé pour Cin-namon moi-même. En fait, j'ai décidéd'utiliser Cinnamon et ArchLinux pourun assez vieil ordinateur portable quej'ai prêté à un invité pendant son
séjour chez moi. Toutefois, j'utiliseNemo (le gestionnaire de fichiers deCinnamon) dans mon installation deAwesomeWM. Si vous proposez unordinateur basé sur Linux à quelqu'unhabitué à Windows, cela peut êtreune bonne solution. Où est le ges-tionnaire d'affichage de Cinnamon (Lafenêtre de connexion) ? Cinnamon nefournit pas son propre gestionnaired'affichage (pour autant que je sache).Mais, il fonctionne très bien avec l'undes gestionnaires d'affichage que vouspourriez utiliser, y compris lightdmdans Ubuntu ou Gnome Display Mana-ger (GDM). Il suffit de choisir la bonnesession lorsque vous vous connectez.
Comment puis-je l'obtenirsi j'installe Linux ?
Linux Mint est le créateur de Cin-namon et il est donc offert sur leurliveCD. Pour ceux qui ne le savent pas,Linux Mint est basé sur Ubuntu. Ladernière version est la version 15 (nomde code « Olivia ») et sera maintenuejusqu'en janvier 2014 (bien que, suivantle cycle de sorties bi-annuel, il devraity avoir une nouvelle version bientôt).Les téléchargements peuvent êtretrouvés ici :
CCOOMMMMAANNDD && CCOONNQQUUEERRÉcrit par Lucas Westermann
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COMMAND & CONQUERhttp://www.linuxmint.com/download.php. Comme vous pouvez le voir, il ya beaucoup d'options pour les envi-ronnements de bureau, avec Cinna-mon en tête de liste. Si vous préférezutiliser votre propre version de Linux(que ce soit ArchLinux, Ubuntu, De-bian, ou tout autre), vous pouvez toutsimplement installer le paquet aprèsl'installation du système.
Oùpuis-je trouverde nouveaux thèmes ?
La plupart des sites de thèmes de-vraient proposer quelques thèmes deCinnamon, mais la meilleure liste quej'ai trouvée est sur le site de Cinna-mon : http://cinnamon-spices.linux-mint.com/themes.
Il présente des thèmes venant departout sur l'internet et me sembletrès complet.
Et si quelqu'un ne veut pasd'environnement de bureau ?
Si vous n'êtes pas intéressé par Cin-namon ou par l'un des autres envi-ronnements de bureau que j'ai men-tionnés, ce qui suit peut alors vousêtre utile :••Préférez-vous une disposition typique« flottante » (à la GNOME/KDE) ouvoulez-vous avoir toutes les fenêtresouvertes sur une pile d'espace de
travail, de sorte qu'elles soient toutesvisibles (enmosaïque) ?••Si vous préférez le flottant : fluxbox,openbox, icewm, Compiz.••Si la mosaïque vous semble intéres-sante, il y a deux options : dynamique(lamosaïque se fait par le système) oumanuelle (vous affectez à chaque fe-nêtre une taille et une position vou-lues). Je préfère l'option dynamique,mais vous pouvez préférer le contrôlesupplémentaire.••Dynamique : AwesomeWM, xmonad,DWM.
••Manuelle : herbstluftwm, ion3, wmfs.Il y en a beaucoup, beaucoup plus,que je n'ai pas cités et ils ne sont pastous disponibles via les dépôts offi-ciels,mais voilà c'est un début.
Comment puis-je essayer ?
Vous pouvez lancer le liveCD deLinuxMint pour l'essayer sans toucherà votre système actuel. Ou vous pou-vez tout simplement l'installer à côtéde votre environnement de bureauréel et l'essayer pendant un moment.
Si vous ne l'aimez pas, il suffit de ledésinstaller.
J'espère qu'au moins quelques lec-teurs auront trouvé cet article intéres-sant – et, si vous avez trouvé un ges-tionnaire de fenêtres ou un environ-nement de bureau qui vous convientet que je n'ai pas cité, n'hésitez pas àm'en envoyer le nom et une captured'écran par mail. Si j'en vois d'inté-ressants, je les présenterai dans unarticle. Si vous avez des questions, dessuggestions, des commentaires ou desdemandes d'article, n'hésitez pas àm'écrire à [email protected].
Lucas a appris tout ce qu'il sait enendommageant régulièrement sonsystème et en n'ayant alors plusd'autre choix que de trouver unmoyen de le réparer. Vous pouvez luiécrire à : [email protected].
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TTUUTTOORRIIEELLÉcrit par Greg Walters PPrrooggrraammmmeerr eenn PPyytthhoonn -- PPaarrttiiee 4499
A lors que j'étais au boulot cette se-maine, une personne très sage
du nom de Michael W. m'a suggéréd'examiner ce qui se passe avec desnombresàvirgule flottanteet l'égalité.
Prenez par exemple un simple cal-cul : 1,1 + 2,2
La réponse, direz-vous, est 3,3 !Toute enfant qui a manipulé des frac-tions à l'école le sait. Eh bien, dites çaà votre ordinateur. Si vous démarrezle Shell Interactif Python et saisissez àl'invite :
(1.1+2.2) == 3.3,
vous pourriez être surpris qu'il ré-ponde :
« False » (faux).
QUOI ?!?!?
Maintenant, confus, vous tapez àl'invite :
>>>1.1+2.2
Et la réponse est :
3.3000000000000003
Vous regardez fixement l'écran,incrédule, et pensez d'abord : « je doisavoir saisi quelque chose de travers ».Ensuite, vous vous rendez compteque non. Et vous tapez :
>>>2.2+3.3
5.5
Maintenant, vous êtes encore plusconfus et vous vous dites : « D'accord.Il s'agit soit d'un bug soit d'une sorted’œuf de Pâques [Ndt : blague infor-matique] ». Non, ce n'est ni un bug niunœuf de Pâques. C'est réel. Même sije connaissais ce phénomène il y a trèslongtemps, il avait glissé dans les pro-fondeurs et les recoins les plus som-bres de mon vieux cerveau et il a falluque je le fasse remonter. Ce que nousvoyons là est la joie des nombres bi-naires à virgule flottante.
Nous savons tous que ⅓ vaut0,33333333333333333… à l'infini, maisprenons par exemple la fraction 1/10.Tout le monde sait que 1/10 est égalà 0,1, non ? Si vous utilisez le shellinteractif, vous pouvez voir que :
>>>1/10
0
Oh, c'est vrai. Nous devons avoirau moins l'une des valeurs en virguleflottante pour voir les décimales carentier/entier retourne un entier. Donc,nous essayons de nouveau.
>>>1/10.0
0.1
Bon. La réalité est de retour. Non,pas vraiment. Python vous montre sim-plement une version arrondie de laréponse. Alors, comment voyons-nousla « vraie » réponse ? Nous pouvonsutiliser la bibliothèque décimale pourvoir ce qui se passe réellement.
>>> from decimal import *>>> Decimal(1/10.0)
Decimal('0.1000000000000000055511151231257827021181583404541015625')
WOW. Essayons donc notre for-mule originale et voyons ce que celaaffiche :
>>> Decimal(1.1+2.2)
Decimal('3.300000000000000266453525910037569701671600341796875')
Cela semble être de pire en pire.Alorsqu'est-cequisepasseréellement?
C'est ce qu'on appelle une Erreurde représentation, elle existe dans pres-que tous les langages de programma-tion moderne (Python, C, C++, Java,Fortran et d'autres) et sur presque tousles ordinateurs modernes. C'est parceque ces machines utilisent l'arithmé-tique en virgule flottante IEEE-754 qui(sur la plupart des machines et dessystèmes d'exploitation) correspondà un nombre en double précisionIEEE-754. Ce nombre en double préci-sion a une précision de 53 bits. Ainsi,notre 0,1, quand il est représenté en53-bit double précision, se trans-formeen :
0.00011001100110011001100110011001100110011001100110011010
C'est proche de 0,1 mais pas assezproche pour éviter les problèmes.
Alors, que faisons-nous avec ça ?Ehbien, la réponse rapide est que vouspouvez probablement vivre avec dans90% des cas que nous avons à traiterdans le monde réel – en utilisant la
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TUTORIEL - PYTHON P. 49méthode round(). Vous devrez déciderdu nombre de décimales dont vousavez besoin dans votre monde pouravoir la précision dont vous avezbesoin, mais la plupart du temps cesera une solution acceptable.
Je ne me souviens pas vraiment sinous avons vu laméthode round, doncje vais la décrire brièvement. La syn-taxe est très simple :
round(v,d)
où v est la valeur que vous souhaitezarrondir et d est le nombre de déci-males (maximum) que vous voulezaprès la virgule. Selon la documen-tation Python, « Les valeurs sont ar-rondies au plus proche multiple de 10à la puissance moins n, si deux mul-tiples sont à égale distance, l'arrondise fait en s'écartant du 0 ». Tout celaétant dit, si le nombre est 1,4144, etque nous arrondissons à 3 décimales,la valeur retournée sera 1,414. Si lenombre est 1,4145, il serait arrondi à1,415.
Par exemple, utilisons la valeur depi qui provient de la bibliothèquemathématique. (Vous devez importerla bibliothèque « math » avant depouvoir le faire, d'ailleurs.)
>>> math.pi
3.141592653589793
Maintenant, si nous voulons arron-dir cette valeur à 5 décimales, on peututiliser :
>>> round(math.pi,5)
3.14159
C'est la valeur « standard » de pique presque tout le monde connaîtpar cœur. C'est très bien. Cependant,si nous fixons le nombre de décimalesàrenvoyerà4, regardezcequi sepasse.
>>> round(math.pi,4)
3,1416
Tout cela fonctionne parfaitement,jusqu'à ce que vous ayez une valeurcomme 2,675 et essayez de l'arrondirà 2 décimales. L'hypothèse (car on estexactement à mi-chemin entre 2,67et 2,68), c'est que la valeur retournéesera 2,68. Essayez-le.
>>> round(2.675,2)
2.67
Cela pourrait poser un problème.Et on revient à la question initialedont nous parlions. Avec la conversionen un nombre binaire à virgule flot-tante de 53 bits de long, le nombredevient :
2,6749999999999998223653160599749535221893310546875
qui est arrondi à 2,67.
L'essentiel ici est qu'en essayantde comparer les nombres à virguleflottante, il faut être conscient quecertaines choses ne se traduisent pasbien.
Rendez-vous la prochaine fois !
Le Podcast Ubuntu couvre toutes lesdernières nouvelles et les problèmesauxquels sont confrontés les utilisa-teurs de Linux Ubuntu et les fansdu logiciel libre en général. La séances'adresse aussi bien au nouvel utili-sateur qu'auplus ancien codeur.Nosdiscussions portent sur le dévelop-pement d'Ubuntu, mais ne sont pastroptechniques.Nousavons lachanced'avoir quelques supers invités, quiviennent nous parler directement desderniers développements passion-nants sur lesquels ils travaillent, detelle façon que nous pouvons touscomprendre ! Nous parlons aussi dela communauté Ubuntu et de sonactualité.
Le podcast est présenté par desmembres de la communautéUbuntuLinux duRoyaume-Uni. Il est couvertpar le Code de Conduite Ubuntu etest donc adapté à tous.
L'émission est diffusée endirect unmardi soir sur deux (heure anglaise)et estdisponible au téléchargementle jour suivant.
podcast.ubuntu-uk.org
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TTUUTTOORRIIEELLÉcrit par Elmer Perry LLiibbrreeOOffffiiccee PP.. 3322 :: IImmpprreessss RReemmoottee
S i vous avez déjà animé une pré-sentation, vous savez que revenir
vers l'ordinateur pour faire avancervos diapositives est pénible, surtoutsi, comme moi, vous vous déplacezbeaucoup et faites activement parti-ciper votre auditoire. J'ai récemmentprésenté une session de formation autravail et je n'ai cessé de vouloir unetélécommande. La Document Founda-tion a fourni une solution avec l'ap-plication Android, Impress Remote (té-lécommande Impress). Impress Remotevous permet de contrôler votre pré-sentation Impress à partir de votretéléphone ou tablette Android. ImpressRemote nécessite LibreOffice en ver-sion 4.0.1 ou supérieure et un télé-phone ou une tablette sous Android2.3 ou supérieur. Si vous possédez untéléphone ou une tablette récente etque votre distribution Linux est à jour,l'utilisation de ce programme devraitêtre assez facile.
INSTALLATION
Nous aurons besoin de faire deschangements à notre configurationLibreOffice Impress pour exécuter leprogramme à distance. Commencezpar ouvrir une présentation (nouvelle
ou existante). Puis Outils > Options >LibreOffice Impress > Général. Cochezla case «Activer le contrôle àdistance ».Cliquez sur OK. Outils > Options >LibreOffice > Avancé. Cochez la case« Activer les fonctions expérimentales ».Cliquez sur OK. Redémarrez LibreOf-fice et ouvrez votre présentation.
Lorsque nous installerons l'applica-tion de télécommande, nous auronsbesoin de l'adresse IP de l'ordinateurqui exécute LibreOffice. Dans un ter-minal Linux, la commande suivantedevrait fonctionner pour la plupart desutilisateurs : ifconfig eth0 Les infor-mations dont vous avez besoin sontsur la ligne qui commence par « inetaddr: xxx.xxx.xxx.xxx », où xxx.xxx.xxx.xxxest l'adresse IP de votre ordinateur.Notez cette adresse et conservez-lapour plus tard. Vous en aurez besoinlorsque vous configurerez l'applicationde télécommande.
Maintenant, nous installons l'appliImpress Remote. Dans la boutiqueGoogle Play, recherchez Impress Re-mote et installez l'application sur votretéléphone ou votre tablette. La pre-mière fois que vous ouvrez l'appli, vousvoyez un écran presque vide. Sélec-
tionnez«Ajoutermanuellementunordi-nateur en WiFi ». Entrez un nom pourl'ordinateur et son adresse IP. Sélec-tionnez « Ajouter ». Sélectionnez l'ordi-nateur dans la liste et laissez-le seconnecter. De retour dans Impress, Dia-porama > Contrôle à distance Impress(Impress Remote). Sélectionnez votreappareil à distance. Entrez le code quivous a été donné par l'application.Cliquez sur Sélectionner. Dans l'applià distance, cliquez sur « Démarrer laprésentation » pour démarrer la présen-tation.
Si votre ordinateur dispose du Blue-tooth, vous pouvez également vousconnecter par l'appairage de votre télé-phone avec votre ordinateur. Lorsquevous ouvrez l'appli, il va rechercher
votre appareil via Bluetooth, et il voussuffit de sélectionner votre appareildans la liste. Vous avez toujours besoind'activer les options de communi-cation à distance et expérimentalesdans LibreOffice.
REMARQUE : Si vous utilisez un pare-feu sur votre ordinateur, vous devezouvrir le port TCP 1599 pour lescommunications parWiFi.
UTILISER L'APPLI IMPRESS
REMOTE
L'appli est assez basique,mais il fautse rendre compte quemoins c'est com-pliqué mieux c'est quand vous don-nez une présentation. La barre d'outils
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TUTORIEL - LIBREOFFICE P. 32dans la partie supérieure affiche l'heureactuelle, ce qui est pratique lorsquevotre présentation doit commencerou se terminer à des heures définies.À gauche de l'horloge est lecommutateur de vues et à droite del'heure est lemenude l'appli.
Quand vous commencez une pré-sentation, vous obtenez la vue dedéfilement des diapositives de votreprésentation. Cette vue est la plusutile parce que, quand vous êtes enmode de défilement, vous pouvezégalement voir toutes les notes quevous avez faites pour la diapositive.Bien que vous puissiez utiliser votre
doigt pour naviguer dans le diapo-rama, ce n'est pas la meilleure mé-thode, sauf si vous avez juste besoind'avancer ou de reculer de plusieursdiapositives à la fois. La meilleurefaçon de – ou celle qui a été conçuepour – naviguer dans votre présen-
tation est d'utiliser les boutons volumehaut et bas. Le bouton haut vousavance dans la présentation et le bou-ton bas fait revenir en arrière.
Parfois, vous avez besoin de faireune pause et déplacer l'attention devotre auditoire de l'écran vers autrechose. Impress Remote vous donne lacapacité de vider l'écran. Dans lemenude l'appli, sélectionnez «BlankScreen».Votre écran de présentation se vide.Lorsque vous êtes prêt à retourner àla présentation, cliquez simplement sur« Retour à la diapo ». La présentationreprendra là où vous l'avez laissée.
Vous pouvez afficher vos diaposi-tives de deux manières différentes :celle que nous avons déjà vue, lemodedéfilement, et le mode liste. Vouspouvez basculer entre les deux modesen cliquant sur le bouton sélecteur de
vue. Dans le mode défilement, vousvous déplacez rapidement jusqu'àune diapositive en faisant glisser avecvotre doigt. Pour sélectionner unediapositive en mode liste, il suffit desélectionner la diapositive. Ce n'est pra-tique que pour les diapositives figées.Toute diapositive ayant des animationsnécessitera l'utilisation des boutonsvolumehaut et bas.
Si vous cliquez sur l'horloge, vousavez la possibilité de laisser l'heureactuelle ou de démarrer un chrono-mètre. Choisissez le chronomètre pourl'utiliser. Vous obtiendrez des optionsStart et Reset. Appuyez sur Start pourlancer le chronomètre. Le chrono com-mencera à compter et les optionschangeront en Pause et Restart. Choi-sissez Pause pour interrompre le chronoet Restart pour recommencer à partirde 0.00. Ceci est pratique pour chrono-métrer une activité ou travailler sur ledébit de votre présentation.
Dans le menu de l'appli, il y a unchoix pour les Options. La premièreoption est d'utiliser les boutons devolume haut et bas pour contrôler la
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présentation. Il me semble qu'il n'y aitpas de raison valable de décocher celle-ci, mais je pense qu'elle est là parceque quelqu'un avait une bonne raison.La deuxième option est d'activer uneconnexion sans fil entre le téléphoneet l'ordinateur. Cela permet à l'applide rechercher automatiquement lespériphériques du réseau sans fil quiont LibreOffice Impress ouvert avecla fonction de connexion à distanceactivée. Enfin, l'optiondechangerd'ordi-nateur vous permet de basculer surun autre ordinateur.
CONCLUSION
Quand on anime une présentation,il est agréable de pouvoir bouger.L'appli Android Impress Remote vousdonne cette possibilité en vous per-mettant de contrôler votre présenta-tion Impress à partir de votre télé-phone ou tablette Android. L'appli estfacile à configurer via Bluetooth ouWiFi. L'interface est dépouillée, ce quifacilite son utilisation et son contrôle.Comme l'appli a été développée parlesmêmes personnes qui développentLibreOffice, la compatibilité future estpratiquement assurée.
TUTORIEL - LIBREOFFICE P. 32
Elmer Perry a commencé à travailler etprogrammer sur Apple IIE, puis il y aajouté de l'Amiga, pas mal de DOS et deWindows, une pincée d'Unix, et ungrand bol de Linux et Ubuntu. Voici sonblog : http://eeperry.wordpress.com
ÉDITIONS SPÉCIALES PYTHON :
http://www.fullcirclemag.fr/?download/224 http://www.fullcirclemag.fr?download/230
http://www.fullcirclemag.fr/?download/231 http://www.fullcirclemag.fr/?download/240
http://www.fullcirclemag.fr/?download/268 http://www.fullcirclemag.fr/?download/272
full circle magazine n° 79 18 sommaire ^
TTUUTTOORRIIEELLÉcrit par Alan Ward UUttiilliisseerr BBOOIINNCC
BOINC peut sembler être une ono-matopée, mais ce n'est pas du
tout ça. C'est l'acronyme de BerkeleyOpen Infrastructure for Network Com-puting. Le but de BOINC est de per-mettre aux chercheurs de puiser dansl'énorme puissance de traitement desordinateurs personnels dans le mondeentier. Il a été développé à l'originepour soutenir le projet SETI@homeavant qu'il ne devienne utile en tantque plate-forme pour d'autres appli-cations distribuées dans des domainesaussi variés que les mathématiques, lamédecine, la biologie moléculaire, laclimatologie et l'astrophysique. Le pro-jetBOINCacommencéenfévrier2002.
Si vous avez un faible pour l'al-truisme et l'action sociale engagée, es-sayez-le, et vous pouvez très bien lefaire puisque Linux, les Logiciels libreset Ubuntu y sont apparentés par l'al-truisme, l'action sociale engagée et lacoopération pour l'amélioration de lasociété.
BOINC additionne la puissance detraitement demilliers d'ordinateurs devolontaires dans le monde entier pouraider à traiter des quantités incroyablesde données nécessaires pour réaliser
divers projets de recherche scientifique.On prétend qu'il y a plus d'un demi-million de bénévoles à ce jour ; ce quirevient à plusieurs pétaoctets de puis-sance de traitement (un pétaoctetéquivaut à 1 000 téraoctets). Ce n'estpas que ces instituts et universitésn'aient pas de supercalculateurs pourfaire le travail ; c'est plutôt que lapuissance de traitement supplémen-taire offerte par les bénévoles le rendplus rapide. Certains projets, cepen-dant, comptent essentiellement surl'aide des bénévoles. La quantité dedonnées à analyser est tout simple-ment monumentale. En bref, BOINCest un logiciel qui peut profiter descycles inutilisés des CPU et GPU d'unordinateur, pour faire du calcul scien-tifique.
Le gestionnaire BOINC est assez in-tuitif et facile à utiliser et à compren-dre. Si votre système trouveBOINC tropexigeant ou intrusif, le gestionnaireBOINC vous aidera à configurer lafaçon dont il traite les informations.Votre première tâche sera téléchargéesur votre ordinateur – en terminer letraitement peut prendre des jours oudes semaines – selon la manière dontvous configurez le gestionnaire et le
temps que votre ordinateur reste al-lumé. Vous pouvez choisir que BOINCne fonctionne que lorsque votre ordi-nateur est inactif. Vous pouvez éga-lement choisir plus d'un projet univer-sitaire. Le gestionnaire alternera letraitement de chacun toutes les 60mi-nutes. Le gestionnaire vous informeaussi de combien vos projets ontavancé et combien il reste à faire.
Si jamais vous décidez de désins-taller BOINC, il est préférablede le faireavec Synaptic parce qu'il nettoiera
complètement toute trace de l'appli-cation, y compris les fichiers que leprogramme a analysés. Votre compteet vos préférences resteront dans leserveur BOINC au cas où vous souhai-teriez le réinstaller sur un autre ordi-nateur. Il suffit de saisir votre e-mailet votre mot de passe. Vous pouvezaussi installer BOINC sur plus d'un ordi-nateur en utilisant lemême compte.
Le mieux c'est de télécharger legestionnaire BOINC de la LogithèqueUbuntu (GUI). Ce que vous téléchargezest la version 7.0.27 par défaut, quin'est pas la dernière et il semble êtreen 32-bit. Ne téléchargez pas seulementl'application de base, car vous devreztout faire à partir du terminal (CLI).Sur le site de BOINC vous trouverezles instructions pour télécharger laversion la plus récente 7.0.65 (64 bits).Les instructions sont terriblement com-pliquées, surtout pour les non-bidouil-leurs et les débutants. L'ancienne ver-sion semble bien fonctionner dansUbuntu 12.04 pour les systèmes 32 bits(au moins pour le projet SETI@home).Si votre système est en 64 bits, télé-chargez alors la version « precise-backports » qui est la 7.0.65, et la plusrécente. Les Backports sont des adap-
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tations de nouvelles versions des appli-cations autonomes pour les anciennesversions d'Ubuntu ; dans ce cas, la ver-sion 12.04 (Precise Pangolin). Pour latélécharger, allez sur la barre de défile-ment en haut à droite de la page detéléchargement de BOINC dans laLogithèque Ubuntu et cliquez sur laflèche.
La première fois que vous ouvrirezl'application, vous verrez une fenêtrede dialogue qui vous demandera dechoisir votre ou vos projets. Ensuite,vous serez invité à ouvrir un compteavec votre adresse e-mail et unmot depasse. Enfin, la fenêtre du gestionnaireapparaît. Attendez quelques minutespour que le serveur télécharge le pre-mier paquet d'informations qui seronttraitées par votre système. Vous pou-vez voir le bouton clignotant rouge« Notices ». Il est plus que probablequ'il vous dise qu'il y a une nouvelleversion à télécharger. Il vous dirigeravers la page Web de BOINC. Notezque ce que vous téléchargez n'est pasun fichier .deb que vous installeriez enun clin d’œil en double-cliquant dessus.Le fichier est appelé :boinc_7.0.65_x86_64-pc-linux-gnu.shqui ne peut être ouvert que si vousavez déjà installé GNU Emacs 23. Etmême alors, vous devrez être assezbidouilleur pour savoir comment ins-taller BOINC avec. Ne soyez pas dé-
couragé ou frustré. Si votre systèmeest 32 bits, vous pouvez toujours uti-liser la version que vous avez télé-chargéeàpartirde laLogithèqueUbuntu.
Dans la fenêtre du gestionnaire,vous verrez aussi un bouton appelé« Projet Web Pages ». C'est le boutonque vous utiliserez le plus. Il contientles liens suivants : Home Page (paged'accueil), Forums, Help (aide), YourAccount (votre compte), Your Prefe-rences (vos préférences), Your Results(vos résultats), Your Computers(s) (vo-tre(vos) ordinateur(s)), Your System(votre système). Vous devez d'abordaller directement sur le lien « Prefe-rences » où vous serez en mesure deconfigurer le comportement de BOINC.Recherchez le panneau bleu qui dit« Edit your preferences » (Modifier vospréférences) en bas de la page Webdes préférences. Les forums sontégalement intéressants à visiter. Celarenforce beaucoup votre sentimentd'appartenance à la communauté del'écosystèmeBOINC, commenous som-mes habitués à le faire dans les fo-rumsUbuntu.
Il y a deux pépins gênants que vousvoudrez peut-être connaître à l'avance(ou sont-ils des fonctionnalités pardéfaut du programme ?) Tout d'abord,les icônes sur le lanceur et sur la barreanimée (s'il y en a) sont impossibles àfermer. Deuxièmement, la fenêtre dugestionnaire ferme bien, mais chaquefois que vous fermez une autre fe-nêtre, la fenêtre du gestionnaire re-surgit. Et il y a aussi non pas un petitproblème, mais une fonctionnalité :BOINC commencera à travailler automa-tiquement au démarrage.
Parmi tous les projets scientifiquesque vous pouvez choisir (une trentaineapparemment), j'ai décidé d'essayerSETI@home (Search for ExtraTerres-trial Intelligence – Recherche d'uneintelligence extraterrestre). Le projetSETI@home rassemble les informationsd'un large éventail d'antennes radioau Nouveau-Mexique, qui doivent en-suite être analysées pour des signauxvenant de l'espace à la recherche d'unevie intelligente. Le projet SETI@homeest actif depuis de nombreuses annéeset rien n'a encore été trouvé, mais il
faut avoir la foi pour continuer àessayer et ils l'ont. Ça me fait fris-sonner de penser qu'ils peuvent réus-sir un jour.
Dans le cas où vous devenez un fanincorrigible du projet SETI@home, lelien suivant vous amène au site deSETI@homeavec unemyriade d'écono-miseurs d'écran téléchargeables, debannières, de logos, même de la mu-sique (MP3) inspirés du projetSETI@homepour stimuler votre imagi-nation et votre enthousiasme.
Le projet SETI@home :http://setiathome.berkeley.edu/index.phpLe site deBOINC :http://boinc.berkeley.edu/index.php
Si vous voulez en savoir plus, il y a unbon article sur le projet SETI@homedansWikipedia :http://fr.wikipedia.org/wiki/SETI
Vous trouverez un article complet surBOINCdansWikipedia :http://fr.wikipedia.org/wiki/BOINC
TUTORIEL - UTILISER BOINC
full circle magazine n° 79 20 sommaire ^
TTUUTTOORRIIEELLÉcrit par Nicholas Kopakakis
BBlleennddeerr -- PPaarrttiiee 99bb
Le mois dernier, nous avons créé untrèfle à l'aide des courbes de Bézier
et nous avons aussi utilisé une image defond pour le modéliser. Maintenant, il esttemps d'ajouter la troisième dimension ànotremodèle.
Sur la droite, sous la fenêtre despropriétés, sélectionnez l'onglet descourbes (Curve) :
Faites défiler vers le bas et vous trou-verez le panneau Géométrie. Entrez lavaleur de 0,2 dans le champ Extrude (Ex-truder) comme indiqué dans l'image ci-dessous :
Vous pouvez vérifier la fenêtre devisualisation 3D pour constater que votreimage commence à avoir de la pro-fondeur.
Maintenant, une chose très inté-ressante est sous le panneau de forme
(Shape) dans la fenêtre des propriétés :
Vous pouvez voir que le bouton 3Dest sélectionné. Appuyez sur le bouton2D. Sous Remplissage (Fill), sélectionnezDos (Back). Votre modèle « s'est rempli »le dos. Maintenant, sélectionnez Devant(Front). Commeon pouvait s'y attendre, lemodèle « s'est rempli » devant. Et commevous pouvez le supposer, si vous choisis-sez Aucun (None), rien n'est « rempli ».Choisissons les deux.
Maintenant vous avez un modèle 3D,visible dans la fenêtre de vue 3D.
Fignolons un peu les choses. Sous lepanneau Géométrie que nous avons men-tionné plus tôt, vous avez un paramètrebiseau (Bevel). Dans Profondeur (Depth),entrez la valeur 0,03, et dans Résolutionentrer la valeur 2. Vous pouvez modifierle paramètre de profondeur si vous voulezbiseauter plus oumoins les bords de votremodèle. Pourmoi 0,03 est très bien.
Le moment est venu d'ajouter desmatériaux à votre modèle. Reportez-vousaux numéros précédents du Full CircleMagazine si vous ne vous souvenez pascomment ajouter des matériaux. Monmatériau préféré est le verre et j'ai doncmis du verre vert sur mon trèfle. Ensuite,ajoutez aussi un plan blanc comme fondpour avoir unmeilleur résultat visuel.
Le mois prochain, nous présenteronsle texte. Nous allons ajouter du texte àl'image que nous avons créée ce mois-ci,mais aussi examiner une technique pourcréer des choses intéressantes avec notremodèle en utilisant un modificateur trèsintéressant. Restez attentif !
Le 3 novembre, www.blender.org achangé d'apparence. Ainsi, je n'ai pas àsuggérer d'autre site. Explorez le nouveausite et amusez-vous bien !
Nicholas vit et travaille en Grèce. Il a tra-vaillé pour une maison de post-produc-tion pendant plusieurs années, et amigré vers Ubuntu à cause de son meil-leur « rendu ». Vous pouvez lui écrire à :
full circle magazine n° 79 21 sommaire ^
TTUUTTOORRIIEELLÉcrit par Mark Crutch DDeessssiinneerr aavveecc IInnkkssccaappee -- PPaarrttiiee 1199
Les tout derniers articles ont pré-senté divers outils et techniques pour
tracer manuellement un croquis scannéafin de créer un contour vectoriel. Toutce travail manuel peut produire desrésultats impressionnants, mais il prendvraiment du temps. Heureusement, Ink-scape dispose également d'un outil detraçage automatisé qui peut souventproduire des résultats acceptables enpeude temps.
Le code de vectorisation de Ink-scape est basé sur le vénérable outil enligne de commande Potrace, mais faitun peu de pré-traitement supplémen-taire du bitmap avant qu'il ne soit trans-
mis à l'algorithme sous-jacent. Vous pou-vez ouvrir la boîte de dialogue Vecto-riser le bitmap en utilisant le menuChemin > Vectoriser le bitmap…, ou enappuyant sur SHIFT-ALT-B.
C'est une boîte de dialogue dans Ink-scape qui pourrait vraiment être bien sil'IU était plus agréable. Elle est exigüe,pas intuitive, elle contient des fautesde frappe, et les roulettes n'ont pas lesbeaux menus contextuels de la plupartdes contrôles similaires dans Inkscape.Mais avec un peu d'explications sur lesdifférentes options, elle devient assezfonctionnelle, même si elle ne gagnerapas de prix pour sa conception.
La première chose à noter est quel'onglet « Mode » (Move) a deux zonesde groupe : « Passe simple » (Single scan)et « Passes multiples » (Multiple scans).Comme les titres l'indiquent, les résul-tats seront des vectorisations différentes.Le premier crée un chemin unique etest utile quand vous voulez un cheminpropre et large. Il est idéal pour la créa-tion d'un contour solide à partir d'uncroquis, ou pour reproduire un logo decouleur unique. Le second crée de mul-tiples chemins qui sont regroupés et ilest meilleur pour convertir les logos oules photos en couleur ou en niveaux degris. Pour continuer nos efforts pourcréer une belle version vectorisée ducroquis de « Frankie » qui a été présentéau chapitre 17, je vais me concentrersur les options de passe simple dans cetarticle.
Une fois le croquis importé dansInkscape et sélectionné, cliquer sur lebouton Mettre à jour (Update) dans laboîte de dialogue Vectoriser le bitmapremplit la zone de prévisualisation avec…un rectangle blanc ayant seulement quel-ques taches de noir, plutôt décevant.Le problème est que notre croquis aucrayon est composé de nuances de grisclair qui passent en dessous du seuilpar défaut requis par l'option Seuil de
Luminosité (Brightness cutoff). Cetteméthode de pré-traitement du tracéconvertit simplement en noir les pixelssombres qui passent en dessous duseuil, et convertit tout ce qui passe au-dessus en blanc. En regardant un histo-gramme du croquis dans The GIMP, ilest clair qu'il y a peu de contenu ducôtéplus sombre àgauchede l'échelle.
Il y a deux corrections possibles :soit l'image source doit être rendue plussombre, soit le seuil doit être relevé.Prenant la dernière approche, l'augmen-tation du seuil à 0,90 (il va de 0,00 à1,00) donneunbienmeilleur aperçu aprèsavoir cliqué sur leboutondemiseà jour.
Choisir le niveau de seuil pour touteimage donnée est largement une ques-tion tâtonnements. Habituellement, lesimages avec des couleurs sombres re-quièrent une valeur faible, tandis que
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TUTORIEL - INKSCAPE P. 19
celles avec des teintes plus claires né-cessiteront une valeur plus grande. Dansun monde idéal, ce dialogue montreraitun histogramme de l'image qui vouspermettrait de régler le seuil en faisantglisser un curseur, et mettrait à jourdynamiquement l'aperçu. Au lieu de cesgâteries, vous avez le seul choix de ré-gler le seuil, mettre à jour l'aperçu,régler un peu plus, mettre à jour à nou-veau, et ainsi de suite jusqu'à obtenirun résultat acceptable.
Lorsque vous obtenez enfin unaperçu qui semble prometteur, il voussuffit de cliquer sur le bouton OK pourlancer le processus de vectorisation. Laplupart du temps, il se termine presqueinstantanément, mais si vous vectorisezune image particulièrement complexe,ou si vous utilisez une machine parti-culièrement lente, vous pourrez avoir àattendre un peu plus longtemps. Pen-dant le processus de vectorisation, lebouton OK sera désactivé ; la meilleureindication que c'est terminé est quandle bouton devient actif à nouveau. À ce
stade, vous aurez un nouveau chemindans la fenêtre principale d'Inkscape,positionné exactement au-dessus del'image bitmap. Il va également être au-tomatiquement sélectionné et l'imagede trame au-dessous aura été désélec-tionnée. Malheureusement, cela signifieque si votre tracé ne semble pas cor-rect, vous ne pouvez pas modifier leseuil et cliquez sur OK pour réessayer.Au lieu de cela vous avez à déplacer ousupprimer le mauvais tracé, puis re-sélectionner le bitmap et, enfin, vouspouvez ajuster les paramètres de tra-çage dans la boîte de dialogue et essayerà nouveau. C'est seulement quelquesétapes,mais quand vous essayez de trou-ver un seuil approprié par tâtonnements,ce sont quelques étapes de trop.
Vous devez toujours vous assurerque vous déplacez le tracé final loin del'image bitmap pour vérifier le résultatafin d'éviter que l'image originale masqueles trous ou les lacunes de votre tracé.Voici à quoi ressemble le tracé fini deFrankie :
Il n'est pas trop mauvais, mais il y aplusieurs zones où la légèreté desmarques de crayon et le grain du papierse sont associés pour briser le contour.Un zoom sur les yeux montre claire-ment cet effet.
Parfois cette apparence très rugueuseest exactement l'effet artistique voulu,mais, plus généralement, l'objectif d'uneimage vectorielle est de vous donnerquelque chose de beaucoup plus lisse.Vous pouvez essayer d'augmenter leseuil avant de vectoriser à nouveau,mais souvent cela donne des lignes tropépaisses et lourdes, même si ça corrigehabituellement certains problèmes detrous dans le traitement. Mais en pra-tique, si vous voulez de bons résultatsavec l'auto-vectorisation, vous devezpartir d'une bonne image source. Celasignifie des zones d'aplats de couleurscontrastées plutôt que des teintes, desdégradés et des lignes fines. Quelquesminutes passées dans un éditeur debitmap peuvent vous faire économiserbeaucoup de temps dans Inkscape plustard.
En pratique, je n'utilise jamais l'auto-vectorisation sur un croquis au crayon.Un croquis peut être adapté à unevectorisation manuelle, mais il n'y a toutsimplement pas assez de contraste etde clarté pour qu'Inskcape et les algo-rithmes de Potrace fassent un travailfiable. En fait, voici comment Vince et
moi créons le tracé vectoriel pour notreBD«Monsters, Inked » :
1. Créer un croquis au crayon pourdécider de la forme et de la positiondes personnages et des objets.
2. Encrer le croquis au crayon avecde l'encre noire et desmarqueurs.
3. Effacer au maximum toutes lesmarques de crayon.
4. Numériser l'image.5. Ouvrir l'image dans GIMP et ré-
gler le contraste encore plus fort pourfaire une distinction claire entre le noiret le blanc.
6. Utiliser l'outil de gomme dansGIMP pour enlever les traits de crayontenaces qui ont été détectés lors de lanumérisation.
7. Vectoriser l'image dans Inkscapeen utilisant l'option Seuil de luminositéavec un seuil approprié (habituellementla valeur par défaut de 0,45 est trèsbien, compte tenu de la préparation ci-dessus). Après être passé par ces éta-pes, le résultat est beaucoup mieuxque le tracé troué comme du gruyèreque nous avions auparavant. Il y aencore quelques zones qui ont besoind'être nettoyées manuellement, la plu-part du temps là où le processus devectorisation a rempli de petites zones ;mais dans l'ensemble, nous avons ob-tenu un vecteur qui est propre et vif, etqui est une bonne représentation desintentions d'origine de l'artiste.
Vous pouvez télécharger une copie
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TUTORIEL - INKSCAPE P. 19
encrée de la tête de Frankie sur le lien àla fin de l'article si vous voulez essayervous-même.
Maintenant, regardons lesdeuxautresalgorithmes de la section Passe simplede la boîte de dialogue. Je trouve ceux-ci moins utiles que la méthode simpledu Seuil de luminosité, mais les résul-tats varient grandement d'une image àl'autre, c'est donc toujours intéressantde les essayer si vous n'obtenez pas lerésultat que vous souhaitez.
La méthode de Détection de con-tours, sans surprise, passe l'image bit-map par un algorithme de détection debords avant de vectoriser le résultat.Les contours sont définis par les chan-gements de luminosité dans l'image(une transition de l'obscurité à la lumière,ou vice versa). La valeur de seuil fixe lavaleur de variation qui est nécessairepour qu'un pixel soit considéré comme
un bord. Les valeurs les plus élevéessignifient que seuls les bords vraimentévidents sont pris en compte, ce quipeut conduire à des lignes brisées. Maispositionnez la valeur trop basse etpresque tout changement de couleursera considéré comme un bord. Ça peutsembler évident, mais la détection decontour fonctionne le mieux sur lesimages avec des bords bien définis. Deslogos avec des couleurs pleines ou desœuvres avec des traits en noir et blancpeuvent donner de bons résultats, mais,comme toujours, vous pouvez obtenirde meilleurs résultats si vous traitezl'image source dans un éditeur de bit-map d'abord. Par exemple, cette mé-thode utilisée sur le logo du Full CircleMagazine a assez bien foncionné, maisla forme des cercles intérieurs se per-dait sans cesse car la différence deluminosité entre ceux-ci et les dégradésétait trop petite. En utilisant GIMP pourconvertir le logo en niveaux de gris etajuster la courbe de couleur pour unmeilleur contraste, j'ai pu créer un tracéqui préserve le contour des cercles(haut de colonne suivante).
L'algorithme Quantification des cou-leurs adopte une approche fondamenta-lement différente. Dans ce cas, l'imagebitmap est d'abord réduite à un nom-bre défini de couleurs, chacune ayantun numéro d'indice. Cela simplifie lesdégradés et les bords doux pour don-ner des blocs de couleur unie. Ensuite,
une image en noir et blanc est créée,répartissant les blocs de couleur entrele noir et le blanc selon que l'indice dela couleur est pair ou impair. C'est cetteimage en noir et blanc qui est finale-ment donnée à Potrace qui produira unchemin.
Ça semble plus complexe que ça nel'est et j'ai donc simulé le processus enutilisant GIMP, même si le résultat finaln'est pas tout à fait le même que celuiproduit par Inkscape puisque les détailsexacts de l'algorithme qu'il utilise sontdifférents. À partir d'une image de laJoconde, la première étape est de réduirele nombre de couleurs. J'ai choisi de leréduire à 8 couleurs ; c'est cette valeurqui estmise dans la case Couleurs dans laboîtededialogueVectoriser lebitmap.
Notre image à couleurs réduites amaintenant une palette fixe, chaque
couleur étant identifiée par son indice –un décompte de sa position dans lapalette.
Parce que le code Potrace s'attendà une image en noir et blanc simple, ladernière étape avant la vectorisation estde réduire encore plus cette palette.Ceci est fait par la conversion de tousles indices impairs en noir et de tous lesindices pairs en blanc.
C'est approximativement le traite-ment ; maintenant nous allons voir cequ'Inkscape fait réellement d'une Jo-condequantifiée à 8 couleurs…
Les résultats de laméthode deQuan-tification des couleurs peuvent varierénormément lorsque vous changez lenombre de couleurs. Un nombreinférieur tend à produire de plus
full circle magazine n° 79 24 sommaire ^
grandes zones de remplissage, perdantles détails. Un plus grand nombre pré-serve un peu mieux les détails, maisproduit un chemin avec beaucoup denœuds. Certaines valeurs se traduirontpar un changement dans les indices desorte que l'image en noir et blanc ap-paraît inversée. Vous pouvez voir celaclairement dans l'aperçu lorsque vouscliquez sur le bouton Mettre à jour.Dans ce cas, cochez simplement la caseInverser l'image et appuyez à nouveausur Mise à jour. Cette case peut éga-lement être utilisée avec les deux au-tres méthodes de vectorisation et peutêtre particulièrement utile pour vecto-riser une image lumineuse sur un fondsombre.
La vectorisation automatique marchebien pour certaines images et mal pourd'autres. Dans presque tous les cas, il yaura toujours un peu de nettoyage ma-nuel à faire et savoir comment utiliserles outils d'édition de nœuds, et com-ment tracer à la main, seront toujoursde précieuses compétences. Plus im-portant encore, essayer d'obtenir une
bonne image de départ, même si celasignifie un travail dans un éditeur debitmap.
LIENS :
Potrace :http://potrace.sourceforge.net
« Frankie » et d'autres images :http://www.peppertop.com/fc/
La bande dessinée pour le web « Mons-ters, Inked » créée par Mark avec Ink-scape, est maintenant disponible sousla formed'un livre sur :http://www.peppertop.com/shop/
TUTORIEL - INKSCAPE P. 19
ÉDITIONS SPÉCIALES LIBREOFFICE :
http://www.fullcirclemag.fr/?download/284 http://www.fullcirclemag.fr/?download/291
ÉDITIONS SPÉCIALES INKSCAPE :
http://www.fullcirclemag.fr/?download/312
http://www.fullcirclemag.fr/?download/307
http://www.fullcirclemag.fr/?download/302
full circle magazine n° 79 25 sommaire ^
TTUUTTOORRIIEELLÉcrit par Ronnie Tucker ÉÉccrriirreeppoouurr lleeFFuullll CCiirrcclleeMMaaggaazziinnee
Lignes directrices
Notre seule règle : tout article doit avoirun quelconque rapport avec Ubuntu
ou avec l'une de ses dérivées (Kubuntu,Xubuntu, Lubuntu, etc.).
Autres règles••Les articles ne sont pas limités en mots,mais il faut savoir que de longs articlespeuvent paraître comme série dans plu-sieurs numéros.
• Pour des conseils, veuillez vous référer auguideofficielOfficialFullCircleStyleGuide ici :http://url.fullcirclemagazine.org/75d471
• Utilisez n'importe quel logiciel de traite-ment de texte pour écrire votre article – jerecommande LibreOffice –, mais le plus impor-tant est d'en VÉRIFIER L'ORTHOGRAPHE ETLAGRAMMAIRE !
• Dans l'article veuillez nous faire savoir l'em-placement souhaité pour une image spéci-fique en indiquant le nom de l'image dans unnouveau paragraphe ou en l'intégrant dans ledocumentODT (OpenOffice/LibreOffice).
• Les images doivent être en format JPG, de800 pixels de large aumaximum et d'un niveaude compression réduit.
• Ne pas utiliser des tableaux ou toute sortede formatage engrasou italique.
Lorsque vous êtes prêt à présenterl'article, envoyez-le par courriel à :
Si vous écrivez une critique, veuillez
suivreceslignesdirectrices :
TraductionsSi vous aimeriez traduire le Full Circle
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Auteurs francophonesSi votre langue maternelle n'est pas l'an-glais, mais le français, ne vous inquiétezpas. Bien que les articles soient encoretrop longs et difficiles pour nous, l'équipede traduction du FCM-fr vous propose detraduire vos « Questions » ou « Courriers »de la langue de Molière à celle de Shakes-peare et de vous les renvoyer. Libre à vousde la/les faire parvenir à l'adresse mail adhoc du Full Circle en « v.o. ». Si l'idée departiciper à cette nouvelle expérience voustente, envoyez votre question ou votrecourriel à :
ÉcrirepourleFCMfrançaisSi vous souhaitez contribuer au FCM, mais
que vous ne pouvez pas écrire en anglais,faites-nous parvenir vos articles, ils serontpubliés en français dans l’édition française duFCM.
CRITIQUES
Jeux/ApplicationsSi vous faites une critique de jeux ou d'applications, veuilleznoter de façon claire :
••le titre du jeu ;••qui l'a créé ;••s'il est en téléchargement gratuit ou payant ;••où l'obtenir (donner l'URL du téléchargement ou du site) ;••s'il est natif sous Linux ou s'il utilise Wine ;••une note sur cinq ;••un résumé avec les bons et les mauvais points.
MatérielSi vous faites une critique dumatériel veuillez noter de façon claire :
••constructeur et modèle ;••dans quelle catégorie vous le mettriez ;••les quelques problèmes techniques éventuels que vous auriez ren-contrés à l'utilisation ;••s'il est facile de le faire fonctionner sous Linux ;••si des pilotes Windows ont été nécessaires ;••une note sur cinq ;••un résumé avec les bons et les mauvais points.
Pas besoin d'être un expert pour écrire unarticle ; écrivez au sujet des jeux, desapplications et du matériel que vous utiliseztous les jours.
full circle magazine n° 79 26 sommaire ^
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full circle magazine n° 79 27 sommaire ^
DDEEMMAANNDDEEZZ AAUU PPEETTIITT NNOOUUVVEEAAUUÉcrit par Copil Yáňez
Salut à tous ! Bon retour dansDemandez auPetit Nouveau !
Si vous avez une question simpleet que vous pensez qu'un « zero-dayremote root bug » est quelque choseque vous pouvez attraper en man-geant un mauvais sushi, contactez-moià [email protected].
La question du jour est :
Q Quelle est la différence entre unemise à jour (update) et une mise
à niveau (upgrade) ? Laquelle dois-jefaire ? Et quand ?
R Donc vous avez enfin pris lavague et avez décidé d'installer
Ubuntu sur votre ordinateur de bureau(ou portable ou casque demoto bran-ché sur Internet, ou autre). Vous avezfait un excellent choix ! Les utilisa-teurs d'Ubuntu sont les êtres humainsles plus intelligents, innovants et beauxqui ont jamais marché à la surface dela terre. C'est vrai, je l'ai lu sur Wiki-pedia.
La première chose à faire est devous assurer que vous gardez votreinstallation à jour. Bien sûr, tout semble
fonctionner admirablement en cemo-ment, alors vous pourriez être tentéde ne rien faire, car le mieux est l'en-nemi du bien. Si c'est le cas, vous res-semblez à mon père et sa BuickElectra Estate Wagon de 1982. Cettecaisse était ultra moderne quand Rea-gan était encore président. Chaquevitesse, engrenage et courroie a étéconçu pour faire de l'autoroute à 110km/h dans un confort absolu, allantmême jusqu'à réchauffer vos fesses,car le froid aux fesses est apparem-ment un problème très sérieux pourles personnes âgées.
Quoi qu'il puisse faire pour le chou-chouter (le véhicule, pas son fessier),les ceintures ont commencé à se des-sécher et se fissurer, il y avait desfuites dans les tuyaux d'huile et lebras de renvoi se déchaîna quand ilm'a prêté la voiture, et je suis alléimprudemment faire du 4×4 dans unecarrière parce que mon copain Kevin,qui n'a jamais, vraiment jamais, pro-posé de payer l'essence, m'avait défiéde le faire. Alors, oui, à moins d'êtremécanicien, vous ne savez jamais vrai-ment exactement ce qui se passesous le capot.
Heureusement, au moins dansUbuntu, vous n'avez pas à le faire. Biensûr, vous pouvez vous salir les mainsautant que vous voulez, en faisant duchown sur les fichiers et en rediri-geant la sortie tant que vous voulez.Mais si vous êtes comme moi, vousavez des choses plus importantes àfaire, comme écrire l'érotisme deWal-terWhite et Jesse Pinkman [Ndt : Per-sonnages principaux de Breaking Bad].Si c'est le cas, vous avez de la chance.Il est très facile de maintenir les per-formances optimales d'Ubuntu.
Tout d'abord, abordons la partie laplus simple de la question. Quelle estla différence entre une mise à jour etunemise à niveau ?
Sous Ubuntu, lorsque nous parlonsdemise à jour, nous parlons en fait dedemander à une source de confiance« Hé, quelle est la dernière versiondes programmes installés sur monordinateur ? » C'est comme demanderà votre bookmaker la ligne de jeu deManchester United. Il vous donnera lacote, mais il ne va pas parier en votrenom avant que vous ne lui disiez de lefaire.
En revanche, la mise à niveau placele pari. Elle dit à Ubuntu, d'accord, j'aiune liste des versions les plus ac-tuelles des logiciels installés sur monsystème, vas-y et passe à ces nouvellesversions.
Bien qu'il y ait une différence entrela mise à jour et la mise à niveau, cene sont vraiment que les deux facesd'une même pièce. Pour pérenniser lafiabilité de votre système, vous les exé-cuterez l'une après l'autre (en com-mençant par la mise à jour, suivie parlamise à niveau).
À quelle fréquence devez-vous lefaire ? Une fois par semaine, aumoins ;plus souvent si vous voulez encoreplus de sécurité. Comme avec la plu-part des fonctions Ubuntu, vous pou-vez le faire en ligne de commande ouavec une souris. Pour le faire en lignede commande (et se sentir comme unvrai dur à cuire), ouvrez une fenêtrede terminal (CTRL-T) et tapez :
sudo apt-get update
Appuyez sur Entrée. Vous serezinvité à donner votre mot de passe.Donnez-le et appuyez sur Entrée. Des
full circle magazine n° 79 28 sommaire ^
choses se produisent. Quand c'est ter-miné, tapez :
sudo apt-get upgrade
Encore une fois, appuyez sur Entréeet donnez votre mot de passe. Ap-puyez sur Entrée.
Ubuntu se chargera du reste. Main-tenant, asseyez-vous et pensez à com-bien vous vous sentiriez bien dans unsiège chauffant sur USB à cet instant.
Si vous préférez utiliser l'interfacegraphique, pas de problème. Voilà cequ'il faut faire.
Tout d'abord, s'il y a des mises àjour pour votre ordinateur, Ubuntu vousle signalera dans une fenêtre. Si vousvoyez cette fenêtre, il suffit de suivreles instructions jusqu'à ce que votresystème soit à jour.
Si cette fenêtre ne s'affiche pas, ouque vous voulez vérifier les mises àjour vous-même, passez au tableaude bord Dash (soit vous cliquez surl'icône en haut à gauche, soit vouscliquez sur la touche Super, alias latoucheWindows, et également connuecomme la touche que je n'utilise ja-mais sauf quand j'ai appuyé dessus ac-cidentellement avec mon petit doigt).
Avec le champ de recherche duDash ouvert, cherchez le Gestionnairedes mises à jour. Dans la fenêtre quis'affiche, cliquez sur le bouton Vérifier(Check). Ceci fait essentiellement lamême chose que la commande apt-get update. S'il y a des mises à jour àinstaller, cliquez sur le bouton Installerles mises à jour. Encore une fois,Ubuntu se chargera du reste.
C'est plié. Maintenant vous avez lesversions les plus récentes des logicielsinstallés sur votre ordinateur. S'il yavait des correctifs de sécurité, ils ontété appliqués. Votre système devraitêtre sûr et stable.
Si vous avez exécuté les mises àjour à partir de la fenêtre, vous verrezéventuellement une fenêtre vous indi-
quant qu'une nouvelle version d'Ubuntuest disponible (par exemple, vous faitestourner la 13.04 et la 13.10 est dis-ponible). Ou peut-être avez-vous en-tendu qu'une nouvelle version d'Ubuntuexiste et vous souhaitez l'utiliser.
Devriez-vousmettre à niveau ?
La réponse courte est peut-être.
La réponse longue est que c'est àvous de choisir. En fait, les mises àniveau des distributions, le genre demises à niveau où le numéro de ver-sion change (12.04, 12.10, 13.04, 13.10,etc), sont un peu différentes dessimples mises à jour, hé ! ça ajoute unplat qui n'était pas inclus lorsque vousavez commandé lemenu un-deux,miseà jour/mise à niveau.
Les mises à niveau de distributionsajoutent de nouveaux logiciels qui sontsortis après la version que vous uti-lisez. Si vous voulez les dernières ver-sions des logiciels et les dernières fonc-tionnalités sur votre installation d'Ubun-tu, alors allez-y et faites une mise àniveau vers la nouvelle distribution.Mais il y a quelque chose que vous de-vriez garder à l'esprit. La mise à ni-veau de votre distribution pourraitégalement supprimer des logiciels péri-més ou des fichiers qui sont en conflitavec les fonctionnalités de la nouvelleversion. Tout cela est très bien si vousn'avez pas besoin de ces fichiers etdes anciens logiciels. Mais que faire siquelque chosequi a été supprimé casseun programme dont vous aviez besoinou supprime une fonctionnalité quivous plaisait ?
Si vous préférez la stabilité aux logi-ciels avant-gardistes, vous voudrezpeut-être pécher par excès de prudence etrester aux mises à jour et ne mettre àniveau que les logiciels installés. Enfait, vous pourriez envisager la mise àniveau de la distribution seulementlorsque vous en voyez avec LTS à lafin de son nom. LTS signifie mainte-nance à long terme (Long Term Sup-port) et se réfère à des versionsd'Ubuntu qui seront prises en chargepour les 5 prochaines années et quiont subi des tests et le renforcement
DEMANDEZ AU PETIT NOUVEAU
full circle magazine n° 79 29 sommaire ^
Copil est un nom aztèque qui signifiegrossomodo «Vous avez besoin demoncœur pour quoi faire ? » Son amour deschaussures pour femmes est racontésur yaconfidential.blogspot.com. Vous pou-vez aussi le voir sur Twitter (@ copil).
de leurs fonctions existantes. Votreversion LTS recevra toujours des misesà jour et des correctifs pendant long-temps. Assez de temps pour trouverune autre LTS à installer.
En revanche, si vous revendiquezle droit de vous vanter d'avoir un ordi-nateur qui tourne à une vitesse folle,avec le système d'exploitation le plusrécent, faites une mise à niveau de ladistribution.
Bon, vous avez analysé vos be-soins et décidé que vous voulez mettrevotre distribution à niveau. Pour cefaire, dans l'interface graphique, suivezles instructions après l'exécution duGestionnaire de mises à jour et aprèsavoir vu qu'il y a une nouvelle versionque vous pouvez installer.
Croyez-le ou pas, c'est la façon offi-ciellement approuvée et recommandéede mettre à niveau vers une nouvelleversion d'Ubuntu. Il existe différentesfaçons de mettre à niveau en utilisantla ligne de commande, mais quand jesuis allé à leur recherche, j'ai trouvéqu'on parlait de « supprimer les PPA »,« réparer des paquets résiduels » et« ajouter de la soude à de l'éphédrineet agiter ». Je suis presque sûr que cedernier venait d'un site de BreakingBad sur lequel je surfais pendant quej'écrivais cet article. Quoi qu'il en soit,
le fait est que si vous venez medemander comment faire quelquechose de complexe avec la ligne decommande, ce qui pourrait facilementniquer votre système, eh bien, je nevais tout simplement pas autoriser untel comportement auto-destructeur.Allez jouer à la roulette Ubuntu ail-leurs,mon ami.
Garder votre système à jour, ycompris les correctifs, et en parfaitétat de fonctionnement, n'est pasparticulièrement sexy (contrairementà la plupart des utilisateurs Ubuntu).Mais il vous permettra de continuer àvoyager commemon père sur le siègechauffé de son Electra Estate Wagon.Et n'est-ce pas ça l'essentiel dans lavie ?
Bonne chance et amusez-vous bienavecUbuntu !
DEMANDEZ AU PETIT NOUVEAU
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LLAABBOO LLIINNUUXXÉcrit par Charles McColm
LLeess LLooggiicciieellss lliibbrreess aauu sseeccoouurrss ddeess oorrddiinnaatteeuurrss
L inux a toujours eu la réputationd'être une bonne manière de ré-
utiliser les vieux ordinateurs. En fait,c'est la façon dont les Logiciels Libres sesont glissés dans le projet de recyclaged'ordinateurs du Working Centre (Asso-ciation indépendante de recherche d'em-ploi au Canada). Le projet a débuté à lafin des années 90 comme un moyenpour les personnes sans emploi d'avoiraccès à un ordinateur pour rédigerleurs CV. Vers lami-2001, l'un des béné-voles du projet a commencé à mettresur pied une distribution Linux baséesur Debian GNU/Linux appelé leWorkingCentre Linux Project (WCLP). WCLPétait une distribution pour ordinateursde bureau conçue pour tourner sur un486SX/25 avec 16 Mo de RAM et undisque dur de 400Mo. C'est avecWCLPque le projet a commencé à utiliser lesLogiciels libres.
Vers la mi-2005, les bénévoles déve-loppant WCLP ont abandonné le pro-jet. D'autres distributions spécialiséesdans la remise à neuf, comme RULE(Run Up-to-date Linux Everywhere -Faites tourner partout un Linux à jour),devenaient assez populaire et UbuntuLinux se profilait à l'horizon. C'étaitaussi à cette époque que le projet miten place un serveur de fichiers SAMBA,utilisé conjointement avec un logicielde clonage. Le serveur SAMBA a telle-
ment bien fonctionné que d'autres par-ties du Working Centre, autres que leprojet de recyclage informatique, ontcommencé à y stocker des données. Leserveur de fichiers SAMBA d'origine aconnu plusieurs améliorations au fil desans (du disque dur à la carte mère), maisutilise encore une version modifiée desmb.conf avec laquelle nous avonscommencé.
Ce qui a sauvé le projet a été le faitque nous avons été en mesure deprendre un disque dur avec Linux d'unsystème et de le coller dans un systèmecomplètement nouveau avec relative-
ment peu de problèmes (ce n'est pasquelque chose que vous pouvez faireavec des systèmes d'exploitation pro-priétaires en raison des questions delicence, sans parler des problèmes depilotes). Nous avons eu une défaillancematérielle majeure sur l'un de nos sys-tèmes (nous n'avions pas regardé d'assezprès la carte mère) et nous avons puutiliser le disque dur dans un ordinateuravec une carte mère du même fabri-cant, mais avec un numéro de modèledifférent. Ce système faisait tournerune distribution de bureau Linux etnous avons réussi à la restaurer sur lanouvelle cartemère sans trop d'ennuis.
Fin 2005, j'ai commencé à travaillerplus étroitement sur le projet pour par-tir d'un projet ponctuel d'une fois parsemaine et arriver à 5 jours par semaine(nous avons depuis réduit à 4 jours parsemaine pour permettre à d'autres tra-vaux de prendre la place). L'un desprojets sur lequel j'ai travaillé pendantmon bénévolat était la partie PHP/MySQL d'une base de données. La basede données a été assemblée à l'aided'un script que j'avais trouvé. Ce projetfut le début de ce qui est devenu unPoint De Vente PHP/MySQL (PDV)personnalisé, basé sur un projet OpenSource existant : OSCommerce. Quelquesmois après avoir commencé, nous avonseu la possibilité de déménager dans unbâtiment beaucoup plus spacieux. Pen-dant le temps d'arrêt, nous avons saisil'occasion de mieux organiser le PDV.Un de nos techniciens informatique adéveloppé l'interface, tandis qu'un pro-grammeur que nous avons embauchépour une courte période travaillait surle codageduPDV.
En fait, nous avons pensé à Micro-soft Dynamics avant d'embaucher quel-qu'un pour le projet, mais, à l'époque, iln'était pas disponible au Canada et,même s'il avait été disponible, nousn'étions pas convaincus que cela nousaurait donné la flexibilité dont nous
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avions besoin. La décision d'embaucherun programmeur et de développer lePDV nous-mêmes s'est avérée être unesage décision. Le programmeur que nousavons embauché a achevé le projet ra-pidement, si tôt que nous n'avions pasvraiment eu l'occasion de déboguercomplètement l'application. Mais puisquenous avions l'accès au code source etque nous avions quelqu'un dans le per-sonnel qui étaitmeilleur quemoi enPHP,nous pouvions déboguer l'applicationsans demander à une société tierce defaire les changements. Cela signifiait aussique même moi, avec ma connaissancelimitée de PHP/MySQL, je pouvais ap-porter des modifications mineures aucode (ce que j'ai fait au fil des ans).
Depuis plusieurs années, nous de-mandons à un bénévole de venir unefois par semaine maintenir le code. Lebénévole nettoie le code, faisant quel-ques modifications à l'interface etdétachant le code du socle OSCom-merce, afin que nous puissions sortir leprojet comme un PDV FLOSS (codesource libre et gratuit), complètementindépendant.
Au fur et à mesure que le projetgrandissait, nous avons placé beaucoupde documentation sur un Intranet quej'ai mis en place sur un système utilisantDrupal CMS (Système de gestion decontenu). Le système contient un grandnombre de formulaires et de pape-rasserie dont les bénévoles ont besoin,
ainsi que des informations sur le Wor-king Center, le Projet de recyclage in-formatique, les réglementations environ-nementales, les processus de sécuritéet les processus de construction, detests et de réparation des systèmes. Unde nos collaborateurs a depuis ajoutéun serveur de démarrage réseau PXEsur la même machine, pour nous per-mettre de déployer une variété de dis-tributions Linux. Nous gardons égale-ment des outils de tous les jours sur leserveur PXE, y compris Darik's Bootand Nuke (DBAN), memtest86+, HDT(Hardware Detection Tool) et des envi-ronnements Live Linux. Avant le serveurde démarrage PXE, les bénévoles medemandaient toujours de graver un CDd'outils avec DBAN/memtest86+/au-
tres. Maintenant, les bénévoles ou bienmettent en place le démarrage via leréseau dans le BIOS ou bien utilisent unCD Etherboot gPXE pour les systèmesdont le BIOS ne supporte pas ledémarrage via le réseau .
Au cœur du Projet de recyclage in-formatique se trouve une table avec 8postes de travail (7 tournant sous Xu-buntu, 1 sous Ubuntu). Chaque poste detravail est sur un commutateur écran-clavier-souris (KVM) pour permettre auxbénévoles de travailler sur les répara-tions ou les constructions sur la table,et de rechercher des informations surle poste de travail en dessous de latable. Sur une autre table, nous avonsun système spécial ; un système en tour
avec deux cartes contrôleur IDE etSATA en plus de l'IDE et des ports SATAsur la cartemère. Ce système est utilisépour DBAN-er les disques durs (nousdétestons dire nettoyer les disques dursparce que techniquement DBAN écraseles données sur les disques). DBAN ré-side sur notre serveur PXE, donc nor-malement tout ce que les bénévolesont à faire est de brancher les disquesdurs, puis allumer la machine DBAN.Nous avons mis tous les cavaliers enposition sélection-par-le-câble pour lesdisques IDE pour rendre le processusplus simple pour des bénévoles sansbeaucoup d'expérience en constructiond'ordinateurs.
Sur le mur du fond derrière la tabledu poste de travail, on a 5 moniteurs et4 commutateurs KVM. Les quatre moni-teurs avec des commutateurs KVM onttous des commutateurs KVM 4 ports ;ainsi, jusqu'à 16 ordinateurs peuventêtre mis en place sur le mur du fond.Normalement, ce comptoir est utiliséseulement pour des choses qui pren-nent un peu plus de temps : exécutermemtest86+ sur un système, par exem-ple. Le 5ème moniteur est connecté àun ordinateur de petites dimensionstournant sous XBMCbuntu (une distri-bution Linux XBMC), qui a remplacéune stéréo vieillissante dont le plateaudeCDétait cassé.
Dans un autre endroit du service derecyclage des ordinateurs se trouve
LABO LINUX
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LABO LINUX
Charles McColm est l'auteur d'InstantXBMC, un petit livre sur l'installation etla configuration de XBMCbuntu, une dis-tribution *buntu + XBMC. Il est le ges-tionnaire d'un projet non-lucratif deréutilisation d'ordinateurs. Quand il nefabrique pas des PC, il supprime les logi-ciels malveillants, en encourageant lesgens à utiliser Linux et en accueillantdes « heures Ubuntu » près de chez lui.Son blog est à : http://www.charlesmc-colm.com/.
l'une des zones de travail les plus in-téressantes où 3 cartes mères sontmontées sur le mur. Ces cartes mèressont utilisées pour tester différentstypes de RAM (actuellement nous netestons que les DDR et DDR2, puisquenous voyons rarement les systèmesanciens avec de la SDRAM ou ceux, plusrécents, avec de la DDR3). Ces sys-tèmes démarrent tous à partir d'uneclé USB multi-outil créée avec Yumimultiboot USB creator. Dans cette zonede travail, nous avons également com-mencé à utiliser Phoronix Test Suitepour recueillir plus précisément des in-formations sur la RAM de la cartevidéo. Phoronix Test Suite a une optionsystem-info pour afficher des infor-mations sur un système, y compris desinformations sur la mémoire vidéo(VRAM). Le projet reçoit beaucoup desystèmes équipés de cartes vidéo quin'ont pas d'informations VRAM écritesdessus.
Sans aucun doute, le Free LibreOpen Source Software a aidé le projetet, chaque année, notre organisationprévoit une petite somme d'argent poursoutenir quelques projets Open Source.La possibilité d'accéder au code a aidéle projet à s'adapter aux changementsau fil des ans. Quand (au Canada) laGoods and Services Tax (GST) et laProvincial Sales Tax (PST) sont deve-nues une seule et unique HarmonizedSales Tax (HST), j'ai pu faire les change-ments nécessaires pour conserver les
informations relatives aux ventes anté-rieures sur notre PDV et gérer lanouvelle mise en place des taxes. Un denos bénévoles a mis à jour le PDV àplusieurs reprises afin que nous puissionsmontrer différents rapports que nousdevons pouvoir consulter. Le FLOSS nousa épargné le coût de la mise à niveaudes licences de logiciels tous les deuxou trois ans.
Un des effets secondaires d'avoirLinux sur les ordinateurs utilisés par lesbénévoles est le changement d'attitudede la plupart des bénévoles de l'indif-férence envers le FLOSS vers son appré-ciation. Les bénévoles voient avec quellefacilité Linux s'installe sur la plupart dessystèmes avec lesquels nous travaillons.Lorsqu'un bénévole reste réellementcoincé, c'est généralement à cause d'une
défaillance matérielle dans l'équipementsur lequel il travaille. De nombreux bé-névoles sont venus ignorant tout deLinux et ils aident maintenant les gensqui arrivent avec des questions liées àLinux ou recommandent des LogicielsLibres sur d'autres plateformes. Et c'estgrâce au FLOSS et au travail des béné-voles que nous sommes en mesured'aider un grand nombre de personnesn'ayant pas un bon accès à la tech-nologie.
DOCUMENTS :
Projet de recyclage informatique duWor-kingCenter :http://www.theworkingcentre.org/computer-recycling/178
WCLP (utilise un noyau très vieux, obso-lète) :http://wclp.sourceforge.net/RULE (site hommage) :http://rule.zona-m.net/SAMBA :http://www.samba.org/Memtest86+ :http://www.memtest.org/Darik’s Boot andNuke (DBAN) :http://www.dban.org/HDT :http://www.hdt-project.org/Etherboot/gPXE :etherboot.org/wiki/index.phpXBMC :http://www.xbmc.org/YumimultibootUSB creator :http://www.pendrivelinux.com/yumi-multiboot-usb-creator/
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MMOONN HHIISSTTOOIIRREE
J 'ai deux partitions root sur sdapour que je puisse tester une nou-
velle version tout en gardant une an-cienne. Bien sûr, ma partition /homeest séparée et les partitions swap et/tmp sont sur sdb.
Avec l'expiration de Lucid Lynx,j'avais besoin demettre à niveau, maisUnity continue à m'exacerber, alorsj'ai décidé d'essayer Linux Mint Maya.Maya est une version LTS basé surPrecise, dont la date d'expiration estAvril 2017. J'ai choisi la version Cin-namon, qui tourne sousGnome3.
Avant l'installation, j'ai lancé :
dpkg –get-selections >installed-software
sur ma partition Lucid pour rendre plusfacile la réinstallation des paquets quej'ai utilisés.
L'installation s'est dérouléeparfaitement ; c'est une chose quenous attendons maintenant de Linuxet des distributions basées surDebian en particulier. Entre autreschoses, j'ai constaté que maconnexion sans fil fonctionne ànouveau, alors qu'elle a eu des hauts
et des bas pendant ma période Lucid.Ce seul point me fait regretter den'avoir pas installé Mint un an plustôt.
Après l'installation, j'ai mis à jourles logiciels, installé le pilote vidéopropriétaire, et confirmé que mondossier personnel /home restaitintact. Encore une fois, pas deproblèmes.
J'ai essayé :
dpkg –set-selections <installed-software.txt dselect
et aussi :
sudo dpkg –clear-selections
sudo dpkg –set-selections <installed-software.txt
sudo aptitude install
pour essayer de recharger les paquetsque j'avais précédemment installés.Après environ 10minutes de réflexion,les deux ont échoué. Ils m'ont offertune méthode manuelle quelconquepour résoudre les dépendances, maiscelle-ci neme disait rien qui vaille, sur-tout que je ne savais pas ce qu'étaient
toutes ces dépendances. J'ai essayé deretirer de la liste tous les « lib* » et lespaquets qui auraient pu être chargésparce quedes trucs en dépendaient et,à nouveau, je n'ai pas eu de chance.
Enfin, j'ai ouvert la liste dans unefenêtre et Synaptic dans une autre etj'ai choisi manuellement tout ce queje voulais. Ce serait vraiment bien s'il yavait une commande get-selectionsqui ne prendrait que les paquets dehaut niveau, c'est-à-dire dont rien nedépend d'eux, qui pourraient ensuiteêtre utilisés pour recharger les paquetsquand vous avez fait une nouvelleinstallation d'une version différentede Linux.
OPÉRATIONS
J'aime un bureau nu et j'ai tou-jours mis un fond noir. J'étais rapide-ment en mesure de créer quatreespaces de travail et de les voir nu-mérotés de1 à4dans la barre demenu.Certains des outils que j'utilise réguliè-rement avaient été mis à jour, ce quisignifie qu'ils se configuraient aprèsavoir été lancés. Pour ceux qui avaientalors deux fichiers .conf, j'étais rapide-ment en mesure de définir les choix
de configuration que je voulais.
Les films et les émulateurs en par-ticulier tournaient très lentement. Lenouvel outil de surveillance du systèmegraphique est mignon, mais nécessiteun énorme pourcentage de puissanceCPU. Au lieu de cela, j'ai utilisé toppour déceler ce qui prenait énormé-ment de temps. Cinnamonest lui-mêmele coupable, nécessitant environ 5 %d'un des processeurs lorsqu'il est aurepos et un processeur entier quandquelque chose qui écrit sur l'écran estactif. J'ose espérer que les dévelop-peurs de Cinnamon font l'effort deréfléchir à son optimisation. Mon pro-chain ordinateur portable aura proba-blement 4 cœurs, mais cela ne signifiepas qu'un gestionnaire de fenêtres quinécessite un processeur entier pourlui tout seul soit une bonne chose.
Je vais probablement rechercheret télécharger Gnome2, qui permettraitd'utiliser efficacement la version MATEde Mint Maya, pour voir si la lourdecharge CPU y est présente aussi.J'écrirai pour vous en donner desnouvelles.
Écrit par Michal Urbanski
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CCRRIITTIIQQUUEE LLIITTTTÉÉRRAAIIRREEÉcrit par Ronnie Tucker
MMiinnddMMaappppiinnggwwiitthh FFrreeeemmiinndd
Langue : anglais.Livre de poche : 146 pages [235mm x191mm].Date de publication :octobre 2012.ISBN : 1849517622.ISBN13 : 9781849517621.Auteure(s) : Silvina P. Hillar.Disponible pour : eBook ou PrintwitheBook.
Demandez à n'importe quelle per-sonne créative d'expliquer com-
ment lui viennent ses idées et je suissûr qu'elle va finir par parler de cartesmentales. Si vous n'êtes pas sûr de cequ'est une carte mentale, voici unebrève définition tirée de Wikipedia :
« Une cartementale est un diagrammeutilisé pour décrire visuellement l'infor-mation. Une carte mentale est sou-vent créée autour d'un simple mot oud'un texte, placé au centre, auquel desidées, desmots et des concepts qui s'yréfèrent sont ajoutés. Les principalescatégories rayonnent àpartir d'unnœudcentral, et les catégories plus bassessont des sous-branches de grosses bran-ches. Les catégories peuvent représen-ter des mots, des idées, des tâches oud'autres éléments liés à un mot ou àune idée principale centrale. Les cartesmentales peuvent être dessinées à lamain, soit en tant que "brouillons" aucours d'une conférence ou d'une réu-nion, par exemple, soit par des imagesde meilleure qualité lorsque plus detemps est disponible. »
Essentiellement, vous commencezavec un mot, puis ramifiez autour enutilisant d'autres mots et peut-êtremême en le décorant avec des grif-fonnages. L'idée étant que tout celaaidera votre esprit à envisager denouvelles possibilités. La cartographieheuristique a une multitude d'utilisa-tions (pour des gens qui étudient l'in-formation, pour l'écriture d'un livre etmême simplement pour la réflexion) ;
ainsi apprendre comment l'utiliser estune excellente chose. Habituellement,la cartographie mentale se fait surpapier (ou même sur un tableau blanc),mais ce livre utilise l'application Free-mind qui est gratuite pour tous lessystèmes d'exploitation majeurs et écriten Java. Il est toujours préférable decommencer par le commencement, etle livre commence en vous montrantcomment créer une nouvelle cartementale dans Freemind en ajoutantvotre premier – et principal – mot (quiest appelé un nœud racine). Suitl'ajout de nœuds enfants, lesmots quibifurquent du mot principal. Le forma-tage est important et vous avez beau-coup d'options pour éditer et colorerle texte.
Bien sûr, une jolie carte heuristiquen'est pas une fin en soi. Non,monsieur.Maintenant il est temps de donner auxnœuds enfants leur propre famille etde décorer la carte encore plus.
Le chapitre deux traite de la bonneformulation à utiliser dans les cartesheuristiques. Les cartes mentales nesont pas là pour bavarder. Pensez àelles comme étant une recherche surGoogle. Si vous choisissez les bonsmots, vous obtiendrez le résultat que
vous désirez. Les mauvais mots vousamènent sur une tangente souventnon désirée. L'auteure passe ensuiteà l'utilisation de Freeplane. Une autreapplication de cartographie heuristique,qui est, heureusement, également com-patible avec Freemind. Le raisonne-ment derrière cela est que Freeplanesemble permettre d'ajouter des motsà côté d'une ligne de connecteursinsérée. Pourquoi n'ont-ils pas alorssimplement utilisé Freeplane pourl'ensembledulivre?…Celamedépasse.
L'auteure exporte ensuite la carteheuristique dans un PNG et la télé-verse sur wikispaces avec des MP3 enpièces jointes. Personnellement, je vousrecommande d'utiliser MindMup oul'un des modules Google Drive decartographie mentale, puisqu'ils vontsauvegarder votre carte dans votreespace Google Drive. Mais, à chacunson avis.
À environ la moitié du livre, l'au-teure commence à ajouter des icônesà la carte, qui, tout en lui rendant l'airagréable, peut aussi aider à regrouperou étiqueter des mots et peut éga-lement aider à susciter de nouvellesidées.
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Le chapitre trois montre commentinsérerdes images (quevousavez faites,ou téléchargées) dans votre carte heu-ristique. Même en utilisant des imagesFlickr…cequi donne unbel aspect.
Le quatrième chapitre présente leshyperliens de la carte heuristique. Celainclut les liens vers de l'informationoudes fichiers locaux.
Et puis vers la fin, il est tempsd'apprendre à exporter votre carte auformats HTML, vecteur, Flash, etmêmeLibreOffice (ou OpenOffice, comme ilsl'appellent dans le livre).
C'est un excellent guide pour lesdeux sujets : les cartes mentales etFreemind, mais j'aurais juste souhaitéque l'auteure n'ait pas utilisé des cartessi criardes ! Elle utilise un bleu, unviolet, un rose, et un vert kaki sur unfond blanc. Ce sont des choix de colo-ration affreux et il rend l'aspect dulivre un peu amateur.
Comme je l'ai dit dans le livreXBMC, j'aime vraiment les guides ra-pides des éditions Pakt, mais ne vousy trompez pas en pensant qu'il s'agitde 146 pages d'informations. Ce n'estpas le cas. Les 15 premières pages sontdes informations de copyright et lestrucs de préface, et les huit dernières
sont l'index et de l'information. Doncen fait, vous avez un livre de 120pages.
Cependant, si vous avez besoind'un cours accéléré sur la cartogra-phie heuristique et Freemind, alorsc'est certainementunbon livre àavoir.
Note : 3,5 / 5
LIENS :
Freemind :http://freemind.sourceforge.net/wiki/index.php/Main_Page
Freeplane :http://freeplane.sourceforge.net/wiki/index.php/Main_PageNOTE : ces deux applications devraientêtre dans les dépôts de votre distrib.
Wikispaces :http://www.wikispaces.com/
CRITIQUE LITTÉRAIRE
TABLE DES MATIÈRES :Chapitre 1 : Création d'une carte heuris-tique : choses à faire et à ne pas faire.
• Introduction.•Organiser une cartementale.• Attrait visuel.• Ajouter différents types de nœuds.• Usage des icônes.• Texte exact.• Frontières et branches.• Écrire l'information suffisante.• Ajouter les notes nécessaires.
Chapitre 2 : Rédiger une carte heuris-tique : utiliser lesmots justes.• Introduction.•Mots clés.• Représenter lamatière du sujet.• Connecter lesmots et les lignes.• La longueur des lignes et desmots.• Écrire des phrases nominales après avoirécouté des fichiersMP3.• Téléverser la carte mentale sur wikispa-ces.com.• Développer une hiérarchie radiale au tra-vers de la taille desmots.
Chapitre 3 : Illustrer une carte mentale: utiliser la pensée visuelle.• Introduction.• Insérer une image.• Développer une technique graphique.• Travailler avec des bitmaps.• Concevoir des SVG pour les cartes men-tales.• Cartesmentales photographiques.• Choisir la taille d'une image.
• InsérerunobjetexterneàpartirdeFlickr.• Utiliser les icônes de temps.
Chapitre 4 : Ajouter des hyperliens etrelier la cartementale.• Introduction.• Relier à une adresse e-mail.• Insérer et retirer un hyperlien d'un champtexte.• Ajouter un lien graphique aux nœuds etchanger sa couleur.• Ajouter un hyperlien local.• Importer des dossiers et sous-dossiers.•Suivreunlienpourreplieroudéplierl'arbre.
Chapitre 5 : Partager une carte heuris-tique : utiliser le meilleur des fonction-nalités dumobile et duweb.• Introduction.• Exporter une branche comme nouvellecarte ou enHTML.• Exporter la cartementale comme bitmapougraphique vectoriel.• Téléverser la carte mentale vers Flickret la diffuser.• Exporter la cartementale enHTML.• Exporter la cartementale enXHTML.• Exporter la cartementale en Flash.• Exporter la carte mentale en un docu-ment OpenOffice Writer et la téléverservers GoogleDocs.• Voir une carte mentale interactive dansun navigateurweb.
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CCOOMMPPAARRAAIISSOONNDDEE LLOOGGIICCIIEELLSSWritten by Tushar Bhargava DDeess ssuussppeeccttss iinnhhaabbiittuueellss
Avons-nous vraiment besoin d'autreslecteurs de musique Open Source ?
Qu'est-ce qui ne va pas avec Banshee, Ama-rok et Rhythmbox ?
NÉ DE LA FRUSTRATION
«Tomahawkestnéde lafrustration, la
frustration que les lecteurs de média les
plus utilisés ont été conçus pour résoudre
des problèmes d'une autre époque. Nous
n'avonsplus besoin de lecteursdemusique
surle bureau, construits il ya 10 ansetqui
s’emmêlent entre la copie de CD, l'édition
d'étiquettes, la synchronisation des appa-
reils, dans une énorme liasse de code qui
prend quelques minutes ne serait-ce qu'à
selancer. »
Jason Herskowitz, de l'équipe Toma-hawk, a été d'une honnêteté brutale enénumérant les raisons d'avoir un nouveaulecteur demusique :••Les réseaux sociaux de musique sontdivisés par construction, étant donné quetout le monde utilise différentes sources :ne peut-il y avoir une couche d'interopéra-bilité qui permettrait aux utilisateurs de ser-vices de musique différents de partager etécouter leurspistespréféréesfacilement?••Pourquoi ne puis-je pas écouter facile-ment toute la musique que j'ai dissémi-née sur plusieurs ordinateurs, à plusieursendroits, à partir d'une interface unique ?••Lorsque je lis un siteWeb qui parle d'une
chanson, et que je possède cette chan-son, pourquoi je ne peux pas jouer monexemplaire directement à partir de cettepage ?•• Pourquoi ne puis-je pas m'abonner à etimporter des métadonnées des listes delecture partout sur leWeb, puis utiliser cesdonnées pour référencer n'importe lesquel-les des chansons auxquelles j'ai accès ?••Pourquoi dois-je écouter des chansonsque j'ai sur mon disque dur et des chan-sons de services auxquels je suis abonné,par desméthodes totalement différentes ?
PAS VRAIMENT UNE
RÉCLAMATION
Le créateur de Clementine, DavidSansome, a expliqué ses raisons pourcommencer le projet. « J'ai commencé à
coder Clementine en novembre 2009. Je
venais juste de mettre à jour ma distrib.
vers une nouvelle version qui est arrivée
avec Amarok 2.0, et j'ai décidé que vrai-
ment je ne l'aimaispas. J'aiessayéde trou-
verun meilleur lecteurdemusique, mais je
ne pouvais pas trouver quelque chose qui
était aussi impressionnant que Amarok 1.4,
quej'utilisaisdepuis2005environ. »
M. Sansome a ensuite précisé : « Jenedirais pas que Clementine était une "pro-
testation" contre Amarok 2.0. Je pense
qu'Amarok a certains développeurs impres-
sionnants avec des avis vraiment passion-
nés sur là où ils veulent que leur logiciel
aille etce àquoiilsveulentqu'il ressemble.
L'Open Source estvraimentamusant, caril
permet aux développeurs de faire ce qu'ils
aimentsansconditions. »
INTERFACE UTILISATEUR
Tomahawk dispose d'une interfaceutilisateur dynamique à deux ou à troiscolonnes, en fonction de l'option sélec-tionnée. Le tableau de bord central secompose de trois volets : « Recent Addi-tions » (ajouts récents), « Newest Sta-tions and Playlists » (stations et listes delecture les plus récentes), « RecentlyPlayed Tracks » (morceaux joués récem-ment). Les contrôles de la musique sontsitués en bas : avec des boutons de mé-lange et de répétition et le contrôle duvolume. Il y a une barre de recherchemondiale dans le coin en haut à droite. Ily a aussi des flèches « Back » (retour) et« Forward » (avance) qui ont une fonctionsimilaire à celles dans les navigateurs ; enfait Tomahawk est comme un navigateurmême s'il est dédié à la musique. En unmot, l'IU est simple, moderne et intuitive,elle a tout ce dont vous avez besoin dansun lecteur de musique. Un point inté-
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COMPARAISON DE LOGICIELSressant est que Tomahawk ne proposepas de donner de note aux morceaux,vous « adorez » un morceau tout simple-ment, représenté par une icône de cœur(Last.fm dispose d'un système similaire).L'approche est intéressante, certains utili-sateurs avancés peuvent en ressentir lemanque lorsqu'ils font des listes auto-matiques, mais j'aime la simplicité del'idée. Tomahawk a une icône de notifi-cation qui offre les fonctions standard« Play », « Stop », « Previous » (morceauprécédent), «Next » (morceau suivant).
Clementine a une interface utilisateurà trois colonnes fixes. La première co-lonne se compose essentiellement de caté-gories larges : vous choisissez si voussouhaitez rechercher, aller dans votrebibliothèque locale, parcourir votre disquedur, voir les périphériques connectés, ouutiliser les fonctionnalités liées à Inter-net. La deuxième colonne indique alorsles options disponibles dans chaque caté-gorie. La troisième colonne a l'interfacestandard d'une liste de musique avec l'in-clusion d'une barre d'humeur unique. Laliste de musique montrée est une playlist.Clementine a à la fois des listes normaleset des listes automatiques. Les contrôlesde la musique sont aussi en bas et sontsimilaires à ceux de Tomahawk. Dansl'ensemble, l'IU est assez simple, mais,par rapport à celle de Tomahawk, ellesemble un peu encombrée. Clementine aaussi une icône dans la barre de notifi-cation.
INTÉGRATION D'INTERNET
Voici où Tomahawk excelle. Dès ledébut, Tomahawk a été conçu pour êtreun lecteur de musique pour un mondeentièrement connecté. Tomahawk offreune intégration homogène avec Last.fm,SoundCloud, Jamendo, Grooveshark, Spo-tify, et beaucoup d'autres. De plus, To-mahawk peut identifier d'autres Toma-hawks sur le réseau et vous permettrad'écouter toute votre bibliothèque d'unseul emplacement. Tomahawk utilise lapuissance duWeb pour recueillir desméta-données pour votre collection. Il récupèrenon seulement auto-magiquement la po-chette de l'album mais a aussi une fonc-tionnalité appelée « Artist Page » (Page del'artiste), qui vous donne une biographie
suffisante de l'artiste et de son travail. Enoutre, la page de l'artiste vous dirige versde nouvelles musiques en listant des «RelatedArtists » (artistes similaires).
Tomahawk est connu pour être unlecteur social : il vous permet de voir ceque vos amis écoutent. Inversement, vosamis peuvent voir ce que vous écoutez. Sivous ne voulez pas que le monde entiersache les chansons que vous écoutez,vous pouvez choisir « Listen Privately »(écouter en privé) de l'option « Contrôle »dans le menu Universal. Une critique queje fais est que « Listen Privately » devraitêtre l'option par défaut, évitant ainsi auxutilisateurs toutemauvaise surprise.
La caractéristique la plus importantede Tomahawk, cependant, est qu'il four-
nit une couche d'interopérabilité pour lamusique. Si vous tombez par hasard surune chanson tout en parcourant lesalbums, et que vous avez une copie decelle-ci dans votre propre bibliothèque,cliquez simplement dessus et Tomahawkla trouve et commence à la jouer. Chaquefois que vous ouvrez une chanson, To-mahawk vous montre le reste des chan-sons de l'album en gris si vous ne lespossédez pas. Des méta-données incom-plètes ne sont tout simplement pas unproblèmepour ce lecteur demusique.
Clementine n'est pas loin derrièrenon plus, avec ses « Song Info » (Info dechanson) et « Artist Info » facilementaccessibles. Il utilise le Web pour fournirles paroles de la chanson, la biographiede l'artiste, et des recommandationspour des artistes similaires. Il proposeégalement l'intégration avec Last.fm, Ja-mendo, SoundCloud, Spotify, Magnatuneet même Google Drive. Même si son IUpeut ne pas être aussi avant-gardiste quecelle de Tomahawk, son intégration d'Inter-net est remarquable et certainement àparité.
RÊVERIES SUPPLÉMENTAIRES
ET RECONNAISSANCE DES
APPAREILS
Si Tomahawk était une personne, ilaurait été extraverti. Avec ses optionsd'intégration, comprenant Google Talk,Jabber et Twitter, et la possibilité de
full circle magazine n° 79 38 sommaire ^
Tushar est un Indien de 17 ans qui aimeUbuntu / FOSS. Il programme en Javaet C + +, aime écrire et, plus récem-ment, fabrique des applications Android.Si vous avez apprécié cet article, son blogest à tusharbhargava.wordpress.compour plus d'articles.
COMPARAISON DE LOGICIELSdiscuter avec vos amis, vous serez pardonnési vous vous demandez si c'est une appli-cation de musique ou un client de réseausocial. Mais, blague à part, cette fonctionest une option parfaite pour les utilisa-teurs qui veulent partager de la musiquesympa avec leurs amis dans le confort deleurs lecteurs demusique.
Tomahawkm'a déçu en échouant lorsde la reconnaissance de mon lecteur demusique ; c'est l'un des rares défautsdans une application qui est sinon enor.
Clementine dispose d'une fonctionde barre d'humeur intéressante qui a unaspect sympa et qui est peut-être unléger geste d'appréciation des capacités dela musique à influencer nos sentiments.Clementine a aussi un sens de l'humourlégèrement inhabituel et excentrique. Dansle menu « Extras », on trouve des entrées«Rain » (Pluie), «Kittens » (Chatons), «Makeit so! » (Vas-y fais-le !) et « All Glory to theHypnotoad! » (Gloire à l'Hypnotoad !) [Ndt :crapaud qui hypnotise le monde dans lasérie animée Futurama], qui lorsqu'onclique dessus, provoquent des effetshilarants. Je ne vais pas gâcher la surpriseen vous les décrivant par avance, maisl'originalité de Clementine apparait claire-ment en transparence.
Clementine s'est connecté avec monlecteur de musique Samsung immédia-tement. Il a fallu environ une minutepour parcourir ma collection de plus de300 chansons. J'étais un peu agacé par le
fait que, chez Clementine, l'affichage deschansons soit basée sur les listes de lec-ture. Si je voulais voir toute la collectionde musique de mon lecteur MP3 dans levolet principal, je devais d'abord les faireglisser vers la liste de lecture.
CONCLUSION
Clementine et Tomahawk sontcertainement de très bonnes alternativesà la troïka standard des lecteurs demusique Linux. Clementine est un lecteurde musique riche en fonctionnalités qui aune bonne intégration d'Internet et uneprise en charge de la plupart des appa-reils. Tomahawk, en revanche, est l'un deslecteurs de musique les plus innovantsque j'aie jamais vus ; il intègre de façontransparente les méta-données venant duWebet lamusiquedevotre collection localedans une expérience d'écoute agréable (etmêmesociale).
Bien que j'aime l'excentrique Clemen-tine, le vainqueur de cette confrontationest Tomahawk pour son approche uniquede l'organisation de la musique basée surInternet.
RÉSUMÉ - CLEMENTINE
Lebon :••La reconnaissance des appareils.••La fonctionnalité de barre d'humeurunique et esthétique.••Des options d'intégration d'Internetsympa.
Lemauvais :••Une IU légèrement encombrée.••La gestion de la musique basée sur leslistes de lecture peut parfois être irri-tante.
SiteWeb :http://www.clementine-player.org/
Disponible pour : Linux, Windows et MacOSX.
RÉSUMÉ - TOMAHAWK
Le bon :••Une intégration d'Internet incroyable :montre les infos de l'artiste, la pochetteet recommande d'autres artistes (sansmêmedevoir s'inscrire sur Last.fm).••Les fonctionnalités sociales reflètent lenouveau monde entièrement connecté,et feront de l'écoute de la musique uneexpérience encore plus joyeuse.••Voir ce que vos amis écoutent vous per-metdedécouvrir plusdemusique sympa.••Une IU propre, moderne, d'un aspectétonnant.
Lemauvais :••Des problèmes de reconnaissance desappareils.••« Listen Privately » devrait être l'op-tion par défaut.SiteWeb :http://www.tomahawk-player.org/
Disponiblepour :Linux,Windows,MacOSX
LE VAINQUEUR DE CETTE
CONFRONTATION EST
Tomahawk !
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CCOOUURRRRIIEERRSSSi vous voulez nous envoyer une lettre, une plainte ou descompliments, veuillez les envoyer, en anglais, à :[email protected]. NOTE : certaines lettres peuventêtremodifiées parmanque de place.
REMMINA
En tant qu'administrateur systèmedans un environnement principale-
ment Windows, je passe beaucoup detemps à utiliser Remmina sur monposte de travail. J'ai récemment mis àjour deux de mes serveurs vers Win-dows Server 2012 R2 à partir de Ser-ver 2008 R2. J'avais pu avoir une con-nexion RDP sur les serveurs à partirde Remmina sans aucun problème,jusqu'à ce que la mise à niveau soitterminée. Remmina maintenant meretourne seulement lemessaged'erreur« Impossible de se connecter ». J'ai véri-fié côté serveur qu'aucun paramètrede connexion à distance n'avait changé,puis essayé la connexion avec rdesk-top en ligne de commande. Il s'estconnecté et a affiché le bureau duserveur sans aucun problème. J'ai re-gardé Remmina de plus près. Quandj'ai cliqué pour modifier une con-nexion, j'ai remarqué l'onglet Avancé.Il y a une option pour la sécurité ici quiest fixée à Negotiate par défaut. J'aichangé ce Negotiate en RDP (menudéroulant donc facile à changer) etcliqué sur Enregistrer. Le problème estrésolu et Remmina se connecte sansproblème à nouveau. Espérons que
cela aide quelqu'un.
IainMcKeand
LUBUNTU
J 'utilise Ubuntu depuis la version7.04 et toujours sur le même ordi-
nateur de bureau. C'est un Dell Di-mension 3100 qui a un processeur Pen-tium 4 ; il a été livré avec un disquedur de 160 Go et 512Mo de RAM. J'aimis à jour la RAM à 2 Go, ce qui est lemaximum que la carte mère puissegérer et quand j'ai rempli l'espace surle disque dur, j'ai acheté un lecteur 750Go pour augmenter l'espace. Commej'ai pris plus de photos et mis plus demusique sur mon iPod, cet espace adisparu et c'est pourquoi j'ai dûremettre à niveau le disque dur. Cettefois, j'ai acheté un lecteur de 2 To, cequi devrait me durer encore quelquesannées !
Tout en s'améliorant sans cesse,Ubuntu devenait de plus en plus lentsur ma vieille machine, même avec lesmises à niveau matérielles. Quand j'aiacheté le disque de 2 To, il y a unmois,j'ai fait une nouvelle installation de13.10,mais elle s'est trouvéeêtre la dis-
trib. Ubuntu la plus lente de toutes. J'aipassé un certain temps à suivre tousles conseils sur l'accélération d'Ubuntu.Mais ce n'était pas assez, l'ordinateurétait toujours désespérément lent.
Je ne peux pas vivre avec cettelenteur et un nouvel ordinateur esthors de question pour le moment. J'aidû abandonner Ubuntu. La réponseévidente était : Lubuntu. Donc j'ai toutsauvegardé, nettoyé le disque dur etfait une nouvelle installation de Lu-buntu 13.10. OK, il n'a pas l'air aussibeau que l'Ubuntu ordinaire, il sacrifiela beauté à la vitesse. Unity m'a mêmemanqué : qu l'eût cru ? Mais Lubuntu arécupéré la vitesse à laquelle j'étais habi-tué et c'est un compromis que je suistrès heureux de faire pour le moment.Après avoir fait la nouvelle installa-tion, j'ai été en mesure de restaurertousmes fichiers via Deja Dup etmain-tenant tout est rentré dans l'ordre.
En conclusion, je tiens à remerciertoutes les personnes impliquées danstoutes les saveurs d'Ubuntu pour leurscontributions. Ça a fait une réelledifférence.Merci à tous.
Chris Burmajster
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LE FULL CIRCLE A BESOIN
DE VOUS !
Sans les contributions deslecteurs, le Full Circle ne
serait qu'un fichier PDF vide (qui,à mon avis, n'intéresserait per-sonne). Nous cherchons toujoursdes articles, des critiques, n'im-porte quoi ! Même de petits trucscommedes lettres et les écrans debureauaidentàremplirlemagazine.
Lisez nos lignes directrices page25. Si vous vous y conformez, lesuccès est pratiquement garanti.Regardez ladernièrepage (den'im-porte quel numéro) pour accéderaux informations détaillées concer-nant l'envoi de vos contributions.
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QQ&&RRRédigé par Gord Campbell
Si vous avez des questions sur Ubuntu, envoyez-les en anglais à :[email protected], et Gord y répondra dans un prochain numéro.Donnez lemaximumdedétails sur votre problème.
Q Avez-vous trouvé une version deFlash pour les anciens proces-
seurs qui n'ont pas les instructionsSSE2 ?
R Oui, grâce à Temujin sur les fo-rums Ubuntu. Tout d'abord, enle-
vez complètement tous les paquetsflash et fermez Firefox. Ensuite, exé-cutez ces commandes :
cd ~/.mozillamkdir pluginswgethttps://github.com/downloads/webgapps/flashaid/flashplayer11_1r102_63_linux.i386.tar.gz
tar xzfflashplayer11_1r102_63_linux.i386.tar.gz mv libflashplayer.soplugins/
Q J'ai LibreOffice installé, mais jene peux pas utiliser la partie base
dedonnées.
R Elle n'est pas installée par défautdans LibreOffice, car elle est moins
souvent utilisée que les autres appli-cations de bureau. Installez-la à partirde la Logithèque, ou exécutez :
sudo apt-get installlibreoffice base
dans un terminal.
Q Sur une Saucy (13.10) fraîchementinstallée,monboutond'arrêt a dis-
paru après une mise à jour. Commentpuis-je le retrouver ?
R Tapez la commande :
sudo shutdown now
Après redémarrage, le bouton d'ar-rêt devrait être de retour.
Q Mon ordinateur est assez nou-veau. J'ai reçu 30 $ à dépenser
en technologie.Quedois-je acheter ?
R Prenez une clé flash 32 Go USB3.0 et copiez-y vos données ac-
tuelles. Si jamais vous échangez desprogrammes, des documents, de lamusique, des vidéos ou des photosavec vos amis, une grande et rapideclé flash, c'est merveilleux. Je trouveque les clés USB 3.0 sont plus rapidesque les anciennes, même quand ellessont branchées sur un port USB2.0.
TOPDESNOUVELLESQUESTIONS
SURASKUBUNTU
* Utiliser Git comme alternative àDrop-box non connectée.http://goo.gl/3vcyhJ* Nautilus : Comment zoomer sur lesnoms de fichier, et pas seulement surles vignettes ?http://goo.gl/Wvp5A5* Comment envoyer du son enutilisant pulseaudio et shairplay versunRaspberry Pi ?http://goo.gl/YBHVDn* Y a-t-il un moyen d'afficher unmessage de bienvenue avec Ubuntu ?http://goo.gl/0v2BoZ* Je ne peux pas installer libdvdcss : lescript ne trouve pas medibuntu. Com-ment liremonDVD ?http://goo.gl/IQl0wN* Comment lire le fichier « .bash_his-tory » par la ligne de commande ?http://goo.gl/GglGiU* Pourquoi doit-on être root dans unterminal pour arrêter et redémarrer ?http://goo.gl/m14UwZ* Pas d’icône Dropbox dans Ubuntu13.10 ?http://goo.gl/Vo2Tmc* L'image d'un vaisseau spatial
apparaît occasionnellement sur monécran quand je changed'écran.http://goo.gl/gtuRCi* Quelle est la différence entreman etman7 ?http://goo.gl/dkA5t6* Le fichier Xorg.conf (nvidia) de monsecond écran prend les paramètres dupremier.http://goo.gl/pF1exy* Quelle est la politique d'Ubuntu con-cernant lagardedevieuxnoyaux ?http://goo.gl/FVBztZ* Comment va-t-on mettre à jour dela 12.10 à la 14.04 lorsque la 13.04sera EOL (EndOf Life) ?http://goo.gl/YNYpMl* Comment puis-je installer les appli-cations à 0 $ de la Logithèque Ubuntuà l'aide de apt-get ?http://goo.gl/ukKgux
TRUCS ET ASTUCES
Connexion à distance
Actuellementunemissionde conseilexige que j'utilise mon ordinateur
dans les locaux d'un client, à partir dechezmoi. La connexion comporte deuxparties : d'abord établir une connexionde réseau privé virtuel vers le réseau
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Full Circle PodcastÉpisode 38, justenous deux
Vos animateurs :• TonyHughes•Oliver Clark
depuis le Blackpool (UK) LUGhttp://blackpool.lug.org.uk
Dans cet épisode nous annon-çons le nouveau format pourles spectacles, parlons de notrematériel, de notre avis, du n° 76de la revue, et nous avons uneinterview depuis le STEM YorkRaspberry Jam.
Q & Rdu client, puis monter une session debureauàdistance surmonordinateur.
J'ai installé OpenVPN à partir desdépôts, puis l'ai configuré. Les instruc-tions pour Windows sont claires :mettre vos fichiers de configuration àcet endroit précis. Pour Linux, les ins-tructions sont muettes. Après beau-coup trop de recherches Google, j'aitrouvé la réponse : mettez les fichierslà où vous voulez, et dites à OpenVPNoù les trouver. (Il y a en fait juste unfichier de configuration, mais il y aaussi les fichiers « key » (clé) et « cer-tificate ». Remarquez que le mêmeensemble de fichiers fonctionne pourOpenVPN dans Windows.) J'ai mis lesfichiers dans un dossier appelé vpn etmis un petit script sur mon bureau :cd ~/vpn sudo openvpn –configclient-udp-1194.ovpn
Je lance le script, puis je donnemon mot de passe local pour satis-faire sudo, puis mon nom et mot depasse pour me connecter au réseauvirtuel chez le client. Le résultat estque je reçois une adresse IP sup-plémentaire « tun » (tunnel), telle que10.1.5.26.
Pour se connecter à mon ordinateur,j'ai installé rdesktop. Chaque ordina-teur chez le client a le service de con-nexion à distance (alias serveur de ter-
minal), et la seule façon dont ça fonc-tionne est seulement s'ils utilisent cha-cun des adresses IP statiques, et unmême port pour RDP. Le port doitêtre ouvert dans le pare-feu, et trans-mis au bon ordinateur. J'ai constatéque rdesktop ne fonctionnait pas cor-rectement en mode plein écran, doncje l'ai redimensionné à 80 % de monécran local. J'ai mis une commanded'une ligne sur mon bureau : rdesktop-g 80%192.168.168.58:11019
Cela m'amène à un écran oùj'entre le nom d'utilisateur et le motde passe pour utiliser mon ordinateurde bureau, ensuite c'est juste commesi j'étais assis en face de ce clavier.Bon, parfois un peu plus lent. Un motd'avertissement : si quelqu'un utilisel'ordinateur distant (Windows) lorsquevous vous y connectez par OpenVPNet rdesktop, il est éjecté. Ils peuventaussi vous mettre dehors en se con-nectant sur le clavier local ! (En gé-néral, aucune donnée n'est perduemalgré tout). Il est possible d'éviter cetembarrasen téléphonant à l'avance.
Après une longue carrière dans l'in-dustrie informatique, y compris unepériode comme rédacteur en chef deComputing Canada et Computer DealerNews, Gord est maintenant plus oumoins à la retraite.
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JJEEUUXX UUBBUUNNTTUUÉcrit par David Rhys Forward
Super Meat Boy est un jeu de plate-forme qui est très difficile. Vous
incarnez un cube de viande qui essaiede sauver sa petite amie (qui est faitedebandages) contre un fœtusméchantportant un smoking, dans un bocal. Cen'est pas un hasard si Super Meat Boypartage ses initiales avec Super MarioBros. C'est un pur jeu de plate-formequi, à la base, n'est rien d'autre que decourir et sauter. L'objectif deMeat Boyest toujours le même : atteindre Ban-dage Girl qui se fait toujours capturerpar leDr Fœtus à la fin du niveau.
Pour ceux qui ont joué aux vieuxjeux de plate-forme des familles, voussavez ce qui arrive ; vous sauterez desmurs au dessus des scies circulaires,des grottes qui s'effritent et des pis-cines d'aiguilles (ça semble délicieux).Le héros de viande sacrifie son proprebien-être pour sauver la fille de ban-dages. Donc, dans un jeu comme ça,vous devez faire des sauts et des pi-rouettes de précision. Ainsi, créer d'ex-cellents contrôles est essentiel pource type de jeu et c'est le cas ici. Le jeuest un plaisir à contrôler et Meat Boyrépondbien aux ordres donnés.
Super Meat Boy remet d'actualité
la difficulté des jeux rétro commeMega Man 2, etc. Donc, vous savezque vous mourrez… beaucoup… et,pour vous montrer combien de foisvous aviez à le faire, il les rejoue aprèsque vous avez terminé le niveau, mon-trant tous vos essais à la fois. Ainsi,après avoir fait un niveau une bonnequantité de fois, il y a comme un bainde sang sur votre écran, et c'est trèsamusantethonteux à la fois.
Le style de jeu rappelle égalementl'ancienne époque de la NES (Consolede Nintendo), où ça reste simple, maisy jouer est un plaisir. Cependant,comme je l'ai dit, il est extrêmementdifficile ; faites la moindre erreur etvous devrez recommencer le niveau.Et ceci se passera beaucoup de foiscar il n'y a pas de points de contrôle ; ilvous arrivera donc de mourir plusd'une centaine de fois dans un niveau,même si vous êtes un joueur acharné.Le jeu conserve également une tracede tous les décès dans le menu desstatistiques ; il est devenu tellementcrispant que je devais utiliser une ma-nette pour serrer quelque chose aprèschaque mort, puisque la tension aug-mentait.
Lors de votre premier passage dansle jeu, vous serez tellement concentrésur la réalisation de chaque étape queque vous manquerez pas mal des se-crets contenus dans le niveau. Il y a deszones spéciales qui vous amènentdans un endroit secret où vous pour-rez trouver un nouveau personnagejouable venant de jeux indépendantstels que Commander Video des éditionsBit Trip. Ces personnages qui peuventêtre trouvés ont leurs propres compor-tements qui peuvent aider dans unniveau, cela augmente le plaisir derejouer au jeu. Il y a aussi des zonesqui vous amènent à un autre niveauoù le style d'art du jeu est modifié : ilpeut se transformer en un jeu 8-bitémulant la NES, l'Atari 2600 ou laGame Boy, et, lorsque vous entrezdans une zone spéciale, il y a mêmeunécran d'accueil spécifique.
Les développeurs rendent évidentesleurs influences, puisque les cinéma-tiques hilarantes font référence à no-tamment Ninja Gaiden et Mega Man2. Même un niveau avec le thème deDonkey Kong est appelé « Weibe »d'après le champion de Donkey Kong,Steve Wiebe. De plus, la bande sonest un peu rétro, et ceci est le côté du
jeu que je préfère personnellement.La musique électronique de fondvous plonge dans le monde de stylerétro qu'est SuperMeat Boy.
En conclusion, Super Meat Boy estun jeu fantastique, et il devrait cer-tainement être acheté par ceux quirecherchent un défi. Mais soyez prêtsà jurer beaucoup et à secouer votreécran car la précision est nécessaire.Avec des personnages attachants etaussi une bande son incroyable, ce jeunedoit pas êtremanqué.
SSuuppeerr MMeeaatt BBooyy
David est un nouveau venu sur lascène Ubuntu et l'aime vraiment jus-qu'à présent. Il aime les jeux et pour-suit sa carrière en tant que con-cepteur de jeux. Vous pouvez suivreses exploits sur :rhysforward.carbonmade.com.
full circle magazine n° 79 43 sommaire ^
Quand vous étiez enfant, avez-vousdéjà rêvé d'être chirurgien ? En
utilisant des perceuses et des sciespour ouvrir la cage thoracique de quel-qu'un et jouer avec ses poumons ? Ehbien, vous le pouvez, sans quitter leconfort de votre propre machineLinux. Je vous présente Surgeon Simu-lator 2013, un jeu très amusant deBossa Studios qui simule l'environne-ment d'un chirurgien (un grand mercià Bossa Studios de nous en avoirenvoyé un exemplaire). Quand ce jeuen dessin animé démarre, au lieud'avoir un menu générique vous de-mandant ce que vous voulez faire,vous avez une vue subjective (pre-mière personne) de votre bureau in-teractif. Si vous expérimentez assez,vous pouvez obtenir des succès Steam.Une petite remarque : si vous êtes auniveau du bureau, assurez-vous dejeter un œil à la télé pour voir com-ment jouer à ce jeu. Ce qui est super,c'est que vous pouvez manipuler àpeu près tout dans ce menu. Pouraccéder aux blocs opératoires, vousdevez aller au porte-bloc. Puis viennentles opérations chirurgicales, ce qui esttrès amusant et pas si gore ; avec tousles outils du chirurgien à votre dis-position vous pouvez les utiliser libre-
ment sur votre patient, mais surveil-lez le compteur de sang et la quantitéde sangperdu en haut à droite.
Lesbons points :
Ce jeu n'a pas d'objectif spécifique.Vous pouvez faire ce que vous voulezquand vous voulez. Les interventionschirurgicales sont très amusantes carvous pouvez utiliser n'importe queloutil pour faire de la chirurgie. Jouer àla réception/au bureau permet defaire tellement de choses. L'interfaceest agréable et facile à regarder. Pourvous tous, les joueurs, qui avez desmanettes spéciales (Hydra, etc.), il y aunmode spécial (encore en développe-ment) où vous pouvez les utiliser. Il y
a aussi une mise à jour d'extension deTeamFortress 2.
Lesmauvais points :
Ce jeu a une courbe d'appren-tissage énorme, ce qui signifie quetout le monde ne peut pas simple-ment l'ouvrir et en devenir un maître ;il a un ensemble de contrôles trèsdifficiles et, si vous n'êtes pas parfait,il ne pardonne pas. De plus, le jeu n'apas de système « d'objectif » (exem-ple : ouvrir d'abord la cage thora-cique, sortir les poumons, sortir lecœur, etc…), qui pourrait être utilepour les gens qui n'ont pas appris lesétapes de la chirurgie.
Comment obtenir le jeu ?Ce jeu est disponible sur Steam
pour 9,99 $ ; son installation est rapideet facile.
Les prérequisminimums sont :
OS : Ubuntu 13.04.CPU : processeur 2,0GHzouplus.Mémoire : 2 GodeRAM.Carte graphique : Radeon x850 ou si-milaire.Disque dur : 500Mod'espace.De plus : nécessite un clavier sur lequelvous pouvez appuyer sur plusieurstouches ensemble et il est recom-mandé d'y jouer avec une souris etpas un pavé tactile.
Site de l'éditeur :http://www.bossastudios.com/
JJEEUUXX UUBBUUNNTTUUÉcrit par Gabriel Di Fruscio
SSuurrggeeoonn SSiimmuullaattoorr 22001133
Gabriel est un passionné de jeu vidéoet travaille actuellement avec un Studioindépendant pour vous apporter unagréable jeu Steam, Greenlight.
full circle magazine n° 79 44 sommaire ^
Une indication que le jeu sur Linuxest en train de s'améliorer a été
la sortie récente en juillet 2013 du jeuvidéo Dota 2 de Valve : une arène decombat multijoueurs en ligne. Dota 2est sorti pour Windows le 9 juillet et,une semaine plus tard, il est sorti pourMac OS X et Ubuntu via Steam. Sivous allez sur http://blog.dota2.com/,vous verrez quelques chiffres effa-rants du nombre de joueurs uniquesayant joué à Dota 2 ce mois-ci. Actuel-lement, ce chiffre indique 6 490 186qui correspond à environ 6,5 millionsde joueurs ce mois-ci. Non seulementDota 2 détient le record du plus grandnombre de joueurs concurrents del'histoire de Steam, mais il a égale-ment été très bien reçu par de nom-breux critiques et était l'un des jeuxlesplus attendusde l'histoire récente.
Alors, de quoi s'agit-il et pour quel-les raisons Dota 2 est-il si populaire ?Tout d'abord, un peu d'histoire estnécessaire pour comprendre l'attrac-tion gigantesque de Dota 2 et pour-quoi il est si immensément populaire.Ce qui a commencé comme un mo-dule développé par des joueurs pourWarcraft III il y a environ huit ans, estrapidement devenu un jeu à part
entière appelé Defense of the An-cients. Valve, une société florissantede développement et de distributionnumérique de jeux vidéo, responsabledu moteur de jeu Steam, y a vu degrandes possibilités et a embauché IceFrog (Grenouille de Glace), le déve-loppeur principal de Defense of theAncients. Après avoir embauché IceFrog, Valve a publié ce qui allait êtreconnu sous le nomdeDota 2 dans unedes plus longues périodes de versionbêta jamais vues. Après trois ans enversion bêta, en juillet 2013 Steam asorti officiellement Dota 2 pour Win-dows, Mac OS X et Ubuntu. En partieà cause de son immense popularité,
alors qu'il n'était qu'en version bêta,Dota 2 a une très forte communautéde joueurs et une immense biblio-thèque de guides et de forums déve-loppés par des joueurs. Toutefois, celane signifie pas que ce sera facile pourun nouveau venu de se transformeren joueur expérimenté. Ce qui est en-tendu presque à l'unanimité par lesautres joueurs de Dota 2 est que l'onne peut apprendre à jouer au jeu qu'eny jouant réellement et en passant desheures devant votre écran avec vossouris et clavier. En fait, ce qui est trèsdissuasif dans Dota 2 est sa courbed'apprentissage très raide.
Si vous n'avez pas déjà le moteurde jeu Steam installé sur votre sys-tème, vous devez l'installer pour jouerà Dota 2. Steam est disponible dans laLogithèque Ubuntu. Steam vérifie alorsque vous avez les derniers pilotes pro-priétaires disponibles pour votre cartegraphique. Une fois que vous aurezinstallé les pilotes recommandés, vousêtes prêt à jouer à Dota 2. L'un desprincipaux avantages de Dota 2 estque, pour y jouer, tout ce que vousavez à faire est de le télécharger etde l'installer sans payer un seul cen-time. Le jeu suit le modèle de plus enplus populaire free-to-play (libre accèsau jeu). Jouer à Dota 2 ne vous coû-tera rien. Mais il y a un magasin Dota2, dans lequel vous pouvez acheterdivers articles cosmétiques ; il n'estcependant pas nécessaire d'acheterquoi que ce soit pour devenir un meil-leur joueur ou avancer dans le jeu.
Dota 2 présente très bien les con-cepts de base du jeu pendant sa phasede tutoriel, mais je vous recommandequand même de lire quelques guideset tutoriels en ligne de sorte que,lorsque vous êtes prêt à jouer enligne contre d'autres joueurs, vous nesembliez pas être un débutant complet.
JJEEUUXX UUBBUUNNTTUUÉcrit par Oscar Rivera
DDoottaa 22
full circle magazine n° 79 45 sommaire ^
On peut choisir parmi 102 héros, cha-cun avec ses propres capacités, armes,sorts et équipements. Une bonne com-préhension de ce que chaque hérospeut faire est nécessaire pour bienjouer. Le tutoriel lui-même ne vouslaissera progresser que lorsque vousaurez joué avec un certain nombre dehéros différents.
Le concept du jeu est assez simpleà comprendre et à expliquer. Il y adeux équipes, chacune composée decinq joueurs, qui s'affronteront l'unecontre l'autre dans ce qu'on appelleune arène de combat en ligne multi-joueurs. Les deux équipes adversessont appelées les Radiant (Radieux)et les Dire (Désespérés). Chaque joueurcontrôle un héros, ce qui signifie qu'ily a un total de 10 héros qui s'af-frontent les uns contre les autres aveccinq héros appartenant aux Radiantet cinq héros appartenant aux Dire.Chaque équipe doit détruire le bâti-ment principal, appelé Ancient, de l'au-tre équipe pour gagner la bataille.Mais, en chemin, vous devez égale-ment détruire les tours et les ca-sernes, ainsi que d'autres héros et dessaligauds (Creeps). Les saligauds sontles robots contrôlés par l'ordinateurqui peuvent soit vous aider, soit vousnuire, selon l'équipe pour laquelle ilscombattent. Une bataille ordinaire peutdurer entre 30 et 60minutes.
Même si une bataille dure enmoyenne environ 45 minutes, unjoueur est considéré un débutant jus-qu'à ce qu'il ait fait plus de 100 heuresde jeu, ce qui en dit long sur le nom-bre de fans et le degré d'engagementrequis pour y jouer. Mais, une fois quevous commencez à bien vous dé-brouiller, le jeu devient tellement pre-nant que jouer 100 heures devienttout à coup une réalité. Vous aurezcertainement besoin de pas mal detemps pour maîtriser le jeu, mais pourle comprendre et avoir du plaisir à y
jouer, il ne faut que quelques heures,si vraiment vous vous y consacrez.
Dota 2 s'est transformé en quel-que chose de mieux qu'un simple jeuvidéo. Il y a de nombreuses compé-titions pour les joueurs de Dota 2,dans lesquelles il est même possiblede gagner de l'argent. « The Interna-tional » est un championnat internatio-nal où les équipes sont en compé-tition pour des prix en argent. Ainsi en2013, « The International » détient letitre de plus grand donneur de prix de
l'histoire du sport électronique, aprèsavoir dépassé le record précédemmentdétenu par le tournoi « League of Le-gends ». Vous pouvez aller surhttp://www.joystiq.com/2013/08/04/dota-2-international-begins-prize-pool-over-2-8-million/ pour en savoirplus. En outre, il est possible pourchacun de regarder d'autres bataillesen vrai. Sur l'écran principal vos choixsont Store (magasin), Play (jouer),Watch(regarder), Library (bibliothèque), etCommunity (communauté). Selonhttp://blog.dota2.com/, plus d'unmillion
JEUX UBUNTU
full circle magazine n° 79 46 sommaire ^
de personnes ont visionné la bataillefinale de « The International » de cetteannée.
MACONFIGURATIONDE JEU
J'ai joué à Dota 2 sur mon ordi-nateur de bureau, fait sur mesure,composé d'un CPU AMD FX-6100 à3,3 GHz (sur-cadencé à 3,5 GHz), unecartemèreAsusM5A97-EVO, une cartegraphique Sapphire Radeon HD 5770,8 Go de RAM Kingston Hyper X et undisque dur Seagate Barracuda de 1To. Le logiciel utilisé était Ubuntu12.04.1 LTS avec Unity et des pilotesgraphiques propriétaires AMD13.1.
CONCLUSION
En conclusion, je recommanderaiscertainement ce jeu à tous. Il est trèsdivertissant ; le seul point négatif quej'ai trouvé était la courbe d'appren-tissage très raide au début. Une foisque vous avez dépassé les douleursde croissance initiales, vous serez gran-dement récompensé parce que vousaurez découvert l'un des jeux les plusprofonds, complexes, intéressants etamusants disponibles actuellement.Dans Dota 2, vous pouvez toujoursévoluer, acquérir de nouvelles compé-tences, découvrir des choses que vousne saviez pas, et vous vous améliorez
constamment pendant que vous jouez.Si vous cherchez un jeu qui vous di-vertira pendant des centaines d'heures,alors ce jeu est fait pour vous. Vousdevez aussi vraiment vous astreindreà être devant l'ordinateur pendantenviron une heure d’affilée pour jouerà ce jeu, sinonne l'essayezmêmepas.
Les plus :
••Après avoir installé le logiciel Steam,le jeu est très facile à installer et il fonc-tionnesansaucunproblèmenipépin.••Dota 2 est très, et je pèsemesmots,divertissant.••Même après d'innombrables heuresà jouer à Dota 2, vous pouvez toujoursvous améliorer et apprendredes choses.••Les graphiques et les sons sont trèsimpressionnants. Les dialogues sontaussi assez amusants.••La façon dont Valve a rendu dis-ponible Dota 2 pour le jeu en ligne doitvraiment être citée.••Si vousn'aimezpas lepersonnagequevous utilisez, il en reste 101 àessayer.••C'est un JEUENLIBREACCES !••La compétition est féroce.
Lesmoins :
••Pour jouer à Dota 2, il est recom-mandé d'utiliser les pilotes graphiquesAMD propriétaires, ce qui, pour cer-tains puristes FLOSS, pourrait être con-traire à l'éthique.
••Il y aunecourbed'apprentissage raideet je pèse mes mots. Pour être enmesure de jouer à un niveau de com-pétition (et c'est vraiment pour celaque ce jeu existe), il vous faut aumoins50 heures de jeu.••La communautéDota 2 peut être trèscruelle parfois, surtout si vous êtes unnouveau venu.••Vous devez être prêt à consacrerenviron une heure d’affilée au jeu sansinterruption.••La compétition est féroce.
Dans l'ensemble, je donne à ce jeu4,5 étoiles sur 5, uniquement parcequ'il est très difficile de débuter.
Oscar est diplômé de CSUN, profes-seur de musique et chef d'orchestre,bêta-testeur, rédacteur deWikipedia etcontributeur aux Forums Ubuntu. Vouspouvez le contacter via :
www.gplus.to/7bluehandoupare-mail :
JEUX UBUNTU
full circle magazine n° 79 47 sommaire ^
MMOONN BBUURREEAAUU Voici l'occasion de montrer au monde votre bureau ou votre PC. Envoyez par courrielvos captures d'écran ou photos à : [email protected] et ajoutez-y un brefparagraphe de description en anglais.
Mon système est un ordinateurportable Toshiba Satellite avec :Ubuntu 12.04 x64 (en double-amor-çage avecWindows 7)Intel Core2Duo@2,1GHz
4GodeRAM.Disquedur : 320Go.
Le fond d'écran est généré parxplanetFX, avec conky sur le côté. Le
terminal est Guake. J'utilise Ubuntudepuis la version 6.
Bill Blankenship
full circle magazine n° 79 48 sommaire ^
MON BUREAU
Voici mon Multicom KunshanW155Design-Collection.
J'utilise Kubuntu 13.04, KDE 4.10.5.
Processeur : Intel Core i7, 8 Go RAMDDR3 1333 MHz SO-DIMM. Carte gra-
phique : Intel HD 3000 og GeForce. GT555M, Blu-Ray INTEL SSD 520 Series240Go.
J'utilise Bumblebee pour la carteGeForce GT 555M. Steam et d'autres
jeux fonctionnent très bien avec Bum-blebee.
PerGylterud
full circle magazine n° 79 49 sommaire ^
MON BUREAU
Mon bureau : Système d'exploita-tion : Ubuntu 13.04 Desktop. Environ-nement : Unity. Thème : Ambiance(modifié). Fond d'écran : Le fond estune photo que j'ai prise d'un insecteaux yeux rouges avec des stries « do-
rées » à l'extérieur de ma maison (àBangalore, Inde). Thème d'icônes :Ubuntu Mono Dark. J'ai réduit l'opa-cité à 0 en utilisantUbuntu Tweak.
J'aime le look minimaliste pour
mon bureau, toutes les « icônes debureau » sont dans un fichier avec lemême nom (réduit l'encombrement).S'il vous plaît notez que j'ai remplacéla police (en utilisant Ubuntu Tweak)par « Liberation Serif Regular », taille 12.
Cette police est grandeet en gras, ce qui larend très facile à liremême quand je me dé-tends en inclinant machaise d'ordinateur loinvers l'arrière.
Matériel : Carte gra-phique : Intel. Processeur :Intel Dual Core 2,66 GhzCPU, 2 Go de RAMet undisquedurde160Go.
Paul Joseph
full circle magazine n° 79 50 sommaire ^
MON BUREAU
J'utilise Xubuntu 12.04 mais je nesuis pas fan des icônes sur mon bu-reau, c'est donc l'une des premièreschoses que j'enlève chaque fois queje configure unemachine pourmoi.
Le thème est Xubuntu Greybird pardéfaut avec un noyau modifié (unconky minimaliste par ~LovelyBacon)et Mr. Tau, et l'arbre de TJ (du paquet
Saucy Salamandre).
Matériel : IBMThinkpad T40p. Carac-téristiques : Processeur : Intel Pen-tium M @ 1,6 GHz, RAM : 1024 Mo +
512Mo, disque dur : 40Go
C'est vraiment unmatériel de faiblepuissance – c'est un vieux modèle –mais ce que j'essaie de dire ici c'estqu'Ubuntu peut rendre utile et réac-tif, et donner même une allure mo-derne à du vieuxmatériel.
JoanAdvincula
full circle magazine n° 79 51 sommaire ^
CCOOMMMMEENNTT CCOONNTTRRIIBBUUEERRÉquipe Full Circle
Rédacteur en chef - Ronnie [email protected] - Rob [email protected] - Les Pounder&[email protected]
Nous remercions Canonical, l'équipeMarke-ting d'Ubuntu et les nombreuses équipesde traduction à travers le monde. Sincèresremerciements à Thorsten Wilms pour lenouveau logo Full Circle.
Pour la traduction française :http://fullcirclemag.fr.
Pournousenvoyervosarticlesenfrançaispour l'éditionfrançaise :[email protected]
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FCM n° 80Dernier délai :dimanche8décembre2013.Date de parution :vendredi27décembre2013.
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