France-Espagne LEON BLUM en Suède...

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3/. ANNE/. N° 13.355. Que se pane-t-il à travers les Pyrénées? M. Georges /ormet a déclaré ces jours-ci, à /a Conamission des Affai- re étrangères, qu'il s'était longue- ment entretenu avec l'ambassadeur d'Espagne à Pais au sujet des rap- ports etre la France et l'Espagne n D'aurai le cornneiqué officiel, il a rapporté à la a jummission les ren- seignements satisfaisants qui loi avaient été fournis à cette occasion» Il a enfin fait /art à la Commieion des information qui lui avaient été apportées Lors h son dernier voya- ge à Paris pare maréchal Pétain, à l'activité de qui il avait rendu hommage. D'antre part,un journal parisien de droite mène campagne pour que, exécutant loyalment les accords Jordana-Bérardet brisant les « ré- sistance de coq ministre a, le gouverneannt Faner. Inde sans retard au néné.] Franco, après la flotte républicane, a l'or espagnol déposé à la Baume de France (un milliard de fraies) les armes elle matériel de guere, le bétail de tou- tes classes panés en France, toute la flotte marchaide ou de pêche, les dépôts d'or, bioux, titre., valeurs appartenant à lEtat, à des sociétés à rins particuliers espagnols, tous les vehmules sans asti/action de promue- tatios, exportésen France ai Moyen- nant quoi, les accords Bérard-Jor- dana, dont le our,liste en ques- tion déclare av. /e texte que le Parlement et le pays les ignorent les deux gouvernenents ont affirmé leur volonté de maintenir des rela- fions amicales, 'ivre en bon voisina- ge et pratiquer m Maroc une politi- que de loyale É franche collabora- tion ni. Et de conclure que cette at- titude arnieide Jen l'assura,e 'inc a les Pyrénées ne constitueeiem pas un troisiène front C'est aller us peu vite en déduc- tions. Mais aint tout irait bien. Il parait, d'aille., que, pour que en soit ainsi, M. Gorges Bonnet livre- rait tout tenant ainsi à /a floua. es la lourde cierge de l'entretien dee ref!striée en aahaags de nette a attitude smalah, et des in ren- seignements st/Peinants qui lui ont été fournls a par l'ambassadeur espagnol M. deLequerne --- le mê- me qui, pendan la guerre .ile 1914- 1918, s'acharne dans a FA.B.C. de Madrid conte lés alliés, le Lerne qui, le 28 juin 1938; dans en dis- cours de Flordoe,, disait a. Ite lies : e Nous senne finie par la haine communie l'ennemi, que cet ennemi s'amui/ communisme, ma- çonnerie mi denocratie u -- le mê- me enfin, qui oit novembre dernier déclarait sur recuiras. allemand o Admirai Graf Ipe, à Bilbao r Nous suivons avec m intérêt passionné la révolution grincerne le Fultrer... Le génie germinque s'est dresse puissant pour iontenir le matéria- lisme barbare. ! Nous serions heureux, la France serait eertainenent rassurée de o connaitre les renseignements sa- tisfaisants o doméa au ministre par cet étrange dipomate. Mais ce que ait la France, eee que le général Franco a adhére à un pacte avec l'Alimagne, l'Italie et le Japon. C'est que la prose domestiquée du Caudillo revenlique Gibraltar et ranger, affirme dee ambitions ter- ritoriales prolongeant celles de Mus- solini en Médita-ranée, réclame une zone militaire thrrière les Pyrénées. C'est que Frei., lui-même à Ca- dix mercredi dentier, a affirmé qu'il faut e avoir la volonté d'empire, et que contre le ntrigues internatio- nale, la jeun.e doit penser à ces conquistador00 mi répandirent dans le monde la fo et la volonté d'un peuple e lfin d'aever les e sommets de la gloire espenole n et d'accroi- tre « la force de EFspage >. C'est que Mwsolini lui a adressé à l'occasion de ee discours un télé- gramme de félkitations encore plus délirant que lesprécédents. La France ighre encore, certes, s'il est vrai, conme d'aucuns raie- ment, que Frein est lié aux deux autres dictoteuis, par des accords militaires secres. Mes elle coi qu'une importante Sotte allemandeva, drue la Méditer- ranée prendre attache dans les Ports espagnols et du Maroc espa- gnol. Elle s'apeçoit ainsi que l'ad- hésion de Fran. à Erne n'est pas une simple fornule de politesse. Elle a appris que le général aile. mana von Rouie, chef suprême de la police du Reih a été envoyé par Hitler auprès d, Franco, et qu'une gr.de fête a éé donnée ces purs- ci à Algérisas, ei l'honneur des in- génieurs allemmds qui ont établi le réseau de fortifeation autour de Gi- braltar. Elle a lu enfn que, tandis que tous les gente marocains, éloi. ges des femmes fêtes de Madrid du 35 1 rejohnent en hâte le Ma- roc espagnol, le 15ine corps Relies! d'artillerie se trente partie b Figue. 000 partie à Crone, que d'autres trouas italiennes sont d.s tous les villages de la cite, aue, d'après le téll'kigeage de hiln ami des tranchée off été construites a quatre kilomètre en arrière de la frondé. des Prvénées et ce, Se- lon la correspordance d'un Pune liste français, « en dépit de tous los rIbuentis, des goure de chemisai noires se ...rent concentrés a Cc Reeesceell Tremp et sur 1 bord du golfe de picace, e'esi ove Ricins i. sesdeld France-Espagne Dans la situation internationale présente tous ces toits sont d'une extrême gravité. Et je comprends l'attitude des ministres qui résistent à M. Georges Bonnet. S'il eat vrai, comme on a écrit que le maréchal Pétain e ne doute pas que Franco ne soit dans les mains des totalitai- res, la livraison des armes, de l'or et des autres objets promis par M. Bérard serait un crime et une faute. Mais, diraeton, la signature de la France doit être honorée. Le res- pect de cette signat.e est la end/ tien de « l'attitude amicale de Fran- co >>. Et il y a déjà les e renseigne- ments satisfaisants a. de M. de Le- querica. Mais il y avait aussi la pro- musse du retrait des troupes italien- nes du territoire espagnol, dès après la victoire. L'Espagne devait être in- dépendante. D'après le journaliste trgitt,utrilV parlé, eraetligiOcorda n au maintien de cette indépendance. Or, depuis la signature de c. accords, Franco a adhéré solennellement à l'axe fasciste et les télégramme échangés entre Belin-Rome-Burgos affirmet à chaque tente cette so- lidarité. Enfin le gevernement français dispose a l'égard de Franco d'an cri- térium de sincérité. Le président Roosevelt a adressé son message au Caudillo.. Ce message de paix est aussi un message d'indépendance pour toutes les nations. Il condam- ne toute agremon et, par la mémo, toute complicité d'agresion. Le gé- néral Franco a-t-il répondu au pre- ddent Roosevelt ? Comment 0-th répondu ? Nous avon.s un ambassa- deur à Washington. Le maréchal Pétain est de retour à Burgos, lis peuvent, ils doivent eonnaitre cette reponse. Il est donc impoesible qu'avant toute livraison à Praneo et, par lui, peut-être à Hitler et à M.solini, de puissants moyens d'agression ride guerre, la France ignore l'opinion du Caudillo sur le message du pré- sident R000evelt. Vincent APFt101a. A propos d'un office ECIalrel la lanterne betearanaii-In«erit Cii'oro°110 La bataille diplomatique décrets-lois Paul Reynaud, cette «ore M m phrase en egma igue . bien. q.ue wiur-,r,on.de Les conversations cher aux Offices les phis onéreux, qu'ose laisse subsister le plus daszae- I revx d'entdevx, parce qu'il relMe- annio.rountaines aeete ¢ a for eresse e e si uni x. le sysnbole de l'emprise bolehevi- Londres, 24 avril. Les couver- /a B,ttlic de l'Interventionnisme, sations ang/o-roumaines ont corn- e. en. ce matin au Foreign Office A moi fait donc allusion « lA 'J'Urie lord Hatifax, assisté de do 00000050 quand elle pools do Alexander Cadoggan, et de leu- < Plue liztaeielci des Offlag. Bas- sieurs haut fonctionnaires du mi- tille de l'Interventionnisme ? > nistère des affaires étrangères d' u- Nous serions, enfin une fon, en- ne part, et, d'autre part de M. Ga- enflaient à M. R. P. et son journal fenco et M. Tilea ministre de Lou- s'ils daignaient 101010er leur Ion- mnoie. 0111es oc cool pours,,,s t'rpu:rions qu'ils ne le feront Pas. ffaèms-limeriiialin.en P0100000 de M. Au cours de sa première entrevue avec lord Halifax, M oafenco a mi,, le ministre des affaires etrangeres britanniques au courant de ses entretiens à Berlin et Bruxelles et, de sa rencontre avec le connd Beck. Selon les milieux informés, la po- sition prise par la Yougoslavie a fait, notamment, l'objet de l'entre- tien. Lord Halifax aurait précisé que la politique anglaise dans /es Balkans n'a qu'un objectif r rallier autour d'un pays menacé ceux de ces voisins qui sont prêts, eux aussi à défendre leur indépendance. La position de /a Bulgarie a été. également passée en revue. On esti- me à Londres que ce pays, bien que ne faisant pas partie de l'Ententel ballonuique, 000stitte 00 100150e important dons la situation. La di- plomatie ang/ate s'efforce d'opérer une réconciliation définitive entre les intérêts roumains et bu/gares. Enfin, lord Halifax a avisé M. Ga- fenco do progrès des pourparlers engages avec Moscou 01 11 a cherché à connaître l'attitude définitive de la Roumanie en ce qui cincerne l'aide éventuelle de la Russie sodé- M. ROOSEVELT a failli être victime de deux accidents d'automobile 0,5,-0000, 10 avril. M Roosevelt a aideuts d'eadorhobile. Tout d'abord, à un croisement de rot, , une voiture passa à toute vitesse à lelques centimètres de l'avant de celle président. La collision ne fut évitée me aelteso eng-frold du chauffeur de celui-el, Men- rd Sydney. Remit, à Washington, à proximité la Maison Blanche, le conductem ne petite auto, ayant reemenu rich elt et voulant ie saluer. faillit aura la voiture présidentielle. RéACTioN "L'existence des partis socialistes repose sur la démocratie 23 avril tep Havas). A l'occasion 015 10 cérémonie organisée pour fêter le cinquantième anniver- saire de la fondation du parti eeoralists suédois, Léon aBZimii:tepreoh de sause% liSu tCetirrs,,:u nom de l'Internationale ise Il a fait un vif éloge de la social-démeratie suédoie qui, triomphant de toute /es épreuve% stil dit, jouit d'un crédit toujours accru daos toute les c/asses du pays dirige un gouvernement stabb et puissant et conserve une égale fidélité acm intérêts du paYs et do Dans /a suite de son discours Léon 1110m, parlant du sort différent :réservé aux Peuls salantes a dw.1517«. constater que, seuls, ont succombé les partis des pays ou. la démocratie politique n'était pas suffisamment implan- tée, et fi a ajouté en substance : L'existence intérieure des pattia socialistes repose borin démocratie, comme celle de l'Internationale sur la sécurité celedive. Néanmoins, jamais le partis socialistes L'IMMENSE CHAMP DE TULIPES ACTUELLEMENT FLEURIES QUI SETEND AU BOURGET REÇOIT DE NOMBREUX VISITEURS Voici surprises par l'oblate/ Mile Sonia BESSIA. dr.), qui est Miss Rads I439, meigent des flet,s avee se, eguraredes. comme elle clanmeses è l'Onéra-Comique. Sous le signe de Soro ESsousgLica mot ekeangxn c'est un jeil . _ Avec ke0 ronde dr 'sr rein, en soit rIre eus quoi pied denses LEON BLUM en Suède NOTRE CAMARADE ÉVOQUE L'ACTION DU SOCIALISME ACHARNÉ A ÉCARTER LES MENACES DE GUERRE. n'ont cherché dans une guerre la revanche d'un échec ou des représailles à des persécutions. Au contraire, ils ont multiplié les offres de coopération économique, d'organi- sation de la solidarité, des échanges et du désarmement mutuel, bref, ils ont cherché un statut de co-existence pos- sible evec les régimes totalitaires. Aujondl'hui encor% quand les socialistes, notamment les socialistes français, participent de leur plein °cuir Ils mise en état de la dé- fense national au moment où un esprit courageux de résistance et la solidarité étroite des Nations menacées restent l'unique moyen de détourner la catastrophe, eu- t jourd'hui encore le socialisme international persevere dans en espoir de paix. 11 vient dols prouver en appuyant de tout ami youvely l'appel magnanime de Président Roosevelt., Au cours de la cérémonie, Stafining, président du Con- oeil de Danemark, et les délégués socialistes norvégiens et finlandais ont priségalement la parole. , fascistes. Dans leurs propres com- mentaires ils évaluent tes les pac- tes d'amitié italo-yougoslave du 25 mars 1937 qui, écrivent-ils, a donné de remarquables résleats. Le e Vréme n publie en première Page une citation de /a déclaration faite it Venise par M. Tsinter Mara eviiv4h, notamment le paeage dans lequel le ministre des affaires étrangères yougoslave a souligné que l'amitié entre /a Yougos/avie et l'Italie était Mn des principaux pi- liers de la politique extérieure den deuxay pa Le journal a Priatski Dnevnik n, journal de M. Matchek, leader de l'opposition croate a, comme titre a La els grande lutte diplomatique relative ti l'Europe Centrale et sud- orientai° s. Elle e Boutante List x, écrit e Le comte Clin° a idéalarg qu'au- cun ente diplomatique ne sera dent Venise n. a PARLER DES RESFLTATS POSITIFS EST PREMATURE DIT-ON A' BUDAPEST Budapest, 24 avril. D'ails ',lei milieux bien informés on considère 0001e communiqué publié à la suite des entretiens de Venise entre le comte Ciano et M. Markowitch cor- respondant à l'évolution de la poli- tique poursuivie par /e gouverne- ment de Rome dans le bassin dora-. lieux roumains de Londres, que la On apprécie sincèrement à Buda- position de la Roumanie est identl- Pest, le gMte amical et les efforts que à celle de la Pologne et que les que /Italie a déployés au cours des deux pays sen sont engagés à adop- récents événementa diplomatiques ter une attitude commune. pour seconder la politique hongroi- , Isa re i000 811J011, osegargarde0h01ont porté sur les négociations t"") garde l'ne oc000mtooes ont vont ouvrir do- certaine réserve quant aux résuitats arrive ce concrets qui pourraient être la suite main à Bucarest, où est immédiate des entrevues de Venise matin une importante délégation et, surtout, quant au développement bratannique prnsidée par sir Frede- privé du que prendront /es négociations riek Eeith Ross, conseiller otoonot nongovorvongosiovoo gouvernement de Londres. pour lesquelles c la vole est outrer- Notons, d'autre part, qu'au /no- te >, ment même où la délégation écono- On insiste sur le fait qu'il serait inique britannique débarquait à prématuré de parler de résultats Bucarest, une délégation éconani- positifs avant qu'une consultation que roumaine, dirigée par M. Ma- de l'autre partenaire de l'axe ait man, secretaire général du ministére lieu par les deux parties directe- de l'économie à Bucarest, arrivait à ment intéressées. Aussi attache-t- Berlin pour négocier m00 les auto- nos la plus eande Importance aux rites allemandes au sujet de /Unser- prochains entretiens de Berlin, dont tion du « protectorat de Bohème et ' on semble escompter des résultats de Moravie s dans le train écono- d'une grande Pelée Per le déve- mique germano-remain. On sup- loppeinent ultérieur des relations pose qu'en meme teinte la déléga entre les différentes putee000es d Inn négociera sur certaines ques- basnin d'anubien et des Balkans, érange es'melaringeesem.'geerrmnaan e nto-rle. ...1WAIS LA PRESSE ALLEMANDE mains. SE MONTRE ENTHOUSIASTE >oe Berlin, 24 avril. La presse alle- mande fidèle aux cornes d'opti- Quel est le reemel misro me .dnopeserle. ne:el dteoula. qui viennent de se dermfier à Venise. ales enlreilenS D'énormes titres proclament dans tous les journaux que /es a mance, naialotigoslavcs. viies de PEentente ont échoué a que la Yougoslavm se pronone en fa- >. Belgrade. 24 avril. La presse veur de rage yougoslave de dimanche décrit (Voir en page feue l'article de abondamment l'accueil solennel re- Pierre Brossolette d ce suie, serve à M. Tsintsar 'Camait., rai- nistre des affaires etrangere you- goslaves à Venise, ainsi que sa ren- contre avec le comte Ciano, minis- tre des affaires étrangères italien. Vous trouvera en page six LE gsuitieTON ilqor. Les journaux m en , en outre, 5es Paris, 24 avril. M. George LE COURRIER ors REFUGIES A ce sujet mi précise, dans les mi- articles enthousiastes des joenaux Bonnet, gui a conféré cet aprèts-midi lllllllllllllll 1111MIPM1111111111101 lllll ...... mumiumunimilumiumiuniummummt lllll umuummuritimmuunut I avec M. Tataresco, ambassadeur de 11191errekdeeFrIceP,'nemuetnctorem-- eu M. Coulondre, ambassadeur de sF.rinsinpoceârà Allemagne, qui rejoint ...ET M. HENDERSON AUSSI Londres, 24 avrll. Sir Neville Henoerson, ambassadeur de Gran- de-Bretagne en Allemagne, a rePrik son poste ce matin. Dans les milieux politiques de Londres on considère que ce retour inattendu de do Ne- ville Henderson à Berlin s'explique Par le fait que M. Chamberlain au- rait estimé nécessaire de fere ex- pliquer de vive voix, 00000 1e 20, par son ambassadeur, non seulement à M. Hitler, mais aux plus importants leaders nazis r 1° Que la Grande-Bretagne veut la paix, mais qu'elle n'est pas dispo- sée a voir s'opérer dans la carte de l'Europe des changements autre- ment que par des nemeietions Pe- .2° Que la Grande-Eretagne ne se prépare pas à. o encecler a l'Aile- mais qu'elle est Prête et combattre par tous les moyens dont elle dispose la politique de fnrce des antres 00100es eu SurlIe , cela, »est loin que cela sera néces- saire. Cependant, cet après-rnidi, à la Chambre des Communes, en réponse à Attlee, le premier ministre a dé- claré r « Il n'y a nullemet hou d'atta- che aucune signification spéciale au Voie< Beceeeelt amt etleet ce tas retour de sir Neville Henderern en«, El' ùrve I «).«I se edam< Per- Xerlin L'embezedeur rivai: été rai, eiel« pelé à Londres pour f aire non rap- M. COULONDRE REJOINT SON POSTE AH 110151 « METTONS LA MA/N A LA POCHE POUR NE PAS MET- TRE LE SAC AU DOS o, DIT LA MANCHETTE DE te L'ORDRE »s PELAS! POURVU QU'ON NE NOUS FASSE PAS METTRE LA MAIN A LA POCHE POUR ENSUITE METTRE LE SAC Ali DOS DÉMOCRATIE ET RÉARMEMENT par Charles SPINASSE ANS un monde ou la force est j à nouveau déchainée, le réas- mement produit partout /es mêmes effets. En Ronde comme os Allemagne, en Angleterre comme en France, dans tous les pays où une grande partie de l'effort humain est consa- crée à des fabrications de guerre, la, production des biens consornmaNes diminue et tous les gouvernementd sont amenés, tôt ou tard, ,à.prendre dés mesures qui tendent à' réduire lai consommation. Augmeniation des impôts directs Lb indirects; hausse, des prix, compression des traite- ments et des salaires, tout concepiin' à restreindre le pouvoir d'achat, 9' abaisser, le niveau général de vie: Toutefois,. dans' les pays totalitaires les restrictions sont généralisées,) tandis que chez nous 10100e demeure accessible à quelques privilégié,.. Lorsqu'il s'agit de se procurer le moyens de paiement, tous les goirv vernements font appel à l'épargne épargne du passé lorsqu'Oie n'est pas tconhetement épuisée, éPargile du présent, nourrie par les dépenses publiques et rendue obligatoire par l'abstinence forcée. Ils comptent airn si répartir les charges du réarme ment sur plusieurs générations. Et cela vaut mieux assurément que l'in- Cation écrasante pour la génération, présente. Mais, en Angleterre comme en Allemagne, comme en Francej l'endettemént a ses limites. Lorsquei. ses charges dépassent la valeur de 'accroissement des richesses réelles qui résee de yaugMentation ania nuelle de la productivité, il a finale- menties mêmes effets que l'inflation. Quand on accroit démesurément le volume d'un fardeau, il faut, un jour ob'Eautre, en réduire la densité. L'on, peration s'achève dans la rende la monnaie et c'est toujours la même génération qui paie. Toutefois, dans les pays totalitaires, /es injections de crédit peuvent être massives, ration- nellement dirigées et d'un rendement immédiat, tandis que chez nous elles, restent hésitantes, dispersées, trop, souvent sans efficacité réelle. Les problèmes techniques que pose la production intensive des armes de guerre ne diffèrent pas non plus d'un pays à l'aube. Partout il faut coordonner les activités économi- ques, reparhr la main-ii oeuvre créer ou transformer l'outil- lage, acquérir des matières premier res, veiller a l'équilibre de la ba- lance commerciale afin de ménager les réserves d'or, augmenter la du- rée du travail. Et tous les gouver- nements en viennent rapidement aux solutions d'autorité, Toutefois, dans les pays totalitaires, les intérêts de l'économie privée sont étroitement subordonnés à ceux de l'Etat, tandis que la structure même des démocra- ties semble les mettre, à cet égard, en état d'infériorité. Pour que les mandes prefieres que nous passe- dons exclusivement ne continuent pas à s'écouler vers les pays enne- mis, dont les frontières se sont fer- mées b nos produits, ne faudrait-il rase en effet, sacrifier la liberté du commerce Pitérieuïr El Pour 0m-1 poser le livret de travail aussi bie que l'abandon du profit ne faudrait il pas, sacrifier la risette tout court Dans la guerre d'usure économie que déjà engagée, l'avantage este/ donc assuré aux pays de dictature On pourrait le craindre si les gon, vernements démocratiques reniaienil la démocratie .pour emprunter ho./ teusement, sans courage et sans toi les méthodes autoritaires. Main, à IS condition d'être et de persevéren dans son être, une démocratie nom-4 me la nôtre peut affronter son dan-1 gereux destin. Elle n'est pas deve nue incapable de mettre en oeuvre toutes les ressources matérielles toutes les forces humaines dont le rassemblement soudain a si souvent étonné le monde. Il ne lui manqué que < l'unanimité », cette unanimité que M. P. Reynaud appellera . vain tant qu'il n'aura pas donné à tous les Français le sentiment que les sacrifices nécessaires sont équie tablement répartis entre le diffé- rentes classes sociales. Or, tous ses décrets sociaux et tous ses décida fiscaux ne sont accablants que pouf las humbles. Et pourtant, lui ne peul den attendre de l'obéissance aveu- gle r sa politique a la liberté pous principe et pour lin. Pourquoi il pas tout demandé à la discipline goiontairement consentie? Etait ce done si difficile ? Il suffisait de s'appuyer sur le Parlement au lieu de le chasser et de-demander à la fortune acquise une chntiibution égale à celle, si dure, que représente pour unc famille ouvrière la réduction du salaire. Il suffisait de faire appel aux organia sations syndicales au lieu de les bre. Néesseavionsabeareoup donné à la cl.ée ouvrière en 11136. Dans les accords Matignon et dans les con. treks collectifs, elle avait trouvé des mantages d'ordre moral plus encore quemataiel I la liberté du travail et la mgmte du travailleur. Par la se- maine de quarante heures, nous avion/ ramené la science et la teriP nique à leur véritable toncelon, qui est de libérer le hommes et non de leur imposer de modernes servitudes. Un grand progrès avait été accompli dans la voie on l'humanité libérée de la nature hostile et de la race exclu- sive s'est engagée au cours des siè- cies derniers. Pour donner au pays les moyens de sa défense, la classe ouvrière eût accepté de renoncer mentanément 8 tout cela. Il fallait le lui demander. Le progrès restait acquis pour revenir. Tout était sau- vé. On a préféré tout détruire, au nom d'un Comité de salut publie qui a agi comme un comité de défense de classe. Je sais pourtant qu'il n'y a ois M. P. Reynaud aucune haine, ni mê- me aucun égoïsme de classe. Il est le plus intelligent et fut souvent le' plus courageux des conservateurs. Comment n'a-t-il pas compris qu'y.. régime démocratique ne peut sup- porter l'épreuve de force qu'a n co' - dition de rester fidèle ri lui-même port et bringue cela fut fait, il prit njIleiègrUe pI'n1 jours rès relgesé rtle ei sà! ter- m es 1? ques. Il est reparti normalement pour Berlin rejoindre sua poste. » Le premier ministrea répondu par la négative à un autre député qui lui avait demandé elle retour de sir Neville Henderson à Berlin signifiait que le gouvernement reconnaissait l'annexion de /a Tchécoslovaquie par l'Allemagne. e Certainement pas y, a précisé le premier ministre, tiroupe socialiste au Parlement (Chambre et Sénat) Délégation exécutive Cnst le mercredi 27 avril, que Indu egation exécutive se réunira, à 10 h 30, au bureau administratif du groupe SM re. Un enfant mortellement blessé dans un stupide accident Condom. W avr. Mors endil la- boura. s.prepriété, à Lectoure, un /ai- eelefeapiers'erealVaurerretre coup d'aiguillon. ruais la partie ferrée de l'engin so détacha et alla frapper violemment a tête le fils du labou- reur, le jeune Raoul, aga de dix ares, vas SUOMI/Men ABONNEMENTS t Rédaction et Admintstratiou t 33, nie Requelater, T015.01riSit Tél, 200.45 C. C. Pesteux 5.57T it SI r/ trI S npla se tre I an III fr. BUREAUX A PARIS s 5. rue St-Augustin (2e) Téléph. Richelieu 69.00 (3 lises, grenéso ne ce numéro) 50 CENT. MARD/ 25 AVRIL; 1938. Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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3/. ANNE/. N° 13.355.

Que se pane-t-il à travers lesPyrénées?

M. Georges /ormet a déclaré cesjours-ci, à /a Conamission des Affai-re étrangères, qu'il s'était longue-ment entretenu avec l'ambassadeurd'Espagne à Pais au sujet des rap-ports etre la France et l'Espagne n

D'aurai le cornneiqué officiel, il arapporté à la a jummission les ren-seignements satisfaisants qui loiavaient été fournis à cette occasion»Il a enfin fait /art à la Commieiondes information qui lui avaient étéapportées Lors h son dernier voya-ge à Paris pare maréchal Pétain,à l'activité de qui il avait renduhommage.

D'antre part,un journal parisiende droite mène campagne pour que,exécutant loyalment les accordsJordana-Bérardet brisant les « ré-sistance de coq ministre a, legouverneannt Faner. Inde sansretard au néné.] Franco, après laflotte républicane, a l'or espagnoldéposé à la Baume de France (unmilliard de fraies) les armes ellematériel de guere, le bétail de tou-tes classes panés en France, toutela flotte marchaide ou de pêche, lesdépôts d'or, bioux, titre., valeursappartenant à lEtat, à des sociétésà rins particuliers espagnols, tous lesvehmules sans asti/action de promue-tatios, exportésen France ai Moyen-nant quoi, les accords Bérard-Jor-dana, dont le our,liste en ques-tion déclare av. /e texte que leParlement et le pays les ignorent lesdeux gouvernenents ont affirméleur volonté de maintenir des rela-fions amicales, 'ivre en bon voisina-ge et pratiquer m Maroc une politi-que de loyale É franche collabora-tion ni. Et de conclure que cette at-titude arnieide Jen l'assura,e 'inca les Pyrénées ne constitueeiempas un troisiène front

C'est aller us peu vite en déduc-tions. Mais aint tout irait bien. Ilparait, d'aille., que, pour que ensoit ainsi, M. Gorges Bonnet livre-rait tout tenant ainsi à /a floua.es la lourde cierge de l'entretiendee ref!striée en aahaags de nettea attitude smalah, et des in ren-seignements st/Peinants qui luiont été fournls a par l'ambassadeurespagnol M. deLequerne --- le mê-me qui, pendan la guerre .ile 1914-1918, s'acharne dans a FA.B.C.de Madrid conte lés alliés, le Lernequi, le 28 juin 1938; dans en dis-cours de Flordoe,, disait a. Itelies : e Nous senne finie par lahaine communie l'ennemi, que cetennemi s'amui/ communisme, ma-çonnerie mi denocratie u -- le mê-me enfin, qui oit novembre dernierdéclarait sur recuiras. allemando Admirai Graf Ipe, à Bilbao r Noussuivons avec m intérêt passionnéla révolution grincerne le Fultrer...Le génie germinque s'est dressepuissant pour iontenir le matéria-lisme barbare. !

Nous serions heureux, la Franceserait eertainenent rassurée deo connaitre les renseignements sa-tisfaisants o doméa au ministre parcet étrange dipomate.

Mais ce que ait la France, eeeque le général Franco a adhére à unpacte avec l'Alimagne, l'Italie et leJapon.C'est que la prose domestiquée du

Caudillo revenlique Gibraltar etranger, affirme dee ambitions ter-ritoriales prolongeant celles de Mus-solini en Médita-ranée, réclame unezone militaire thrrière les Pyrénées.

C'est que Frei., lui-même à Ca-dix mercredi dentier, a affirmé qu'ilfaut e avoir la volonté d'empire, etque contre le ntrigues internatio-nale, la jeun.e doit penser à cesconquistador00 mi répandirent dansle monde la fo et la volonté d'unpeuple e lfin d'aever les e sommetsde la gloire espenole n et d'accroi-tre « la force de EFspage >.

C'est que Mwsolini lui a adresséà l'occasion de ee discours un télé-gramme de félkitations encore plusdélirant que lesprécédents.

La France ighre encore, certes,s'il est vrai, conme d'aucuns raie-ment, que Frein est lié aux deuxautres dictoteuis, par des accordsmilitaires secres.

Mes elle coi qu'une importanteSotte allemandeva, drue la Méditer-ranée prendre attache dans lesPorts espagnols et du Maroc espa-gnol. Elle s'apeçoit ainsi que l'ad-hésion de Fran. à Erne n'est pasune simple fornule de politesse.

Elle a appris que le général aile.mana von Rouie, chef suprême dela police du Reih a été envoyé parHitler auprès d, Franco, et qu'unegr.de fête a éé donnée ces purs-ci à Algérisas, ei l'honneur des in-génieurs allemmds qui ont établi leréseau de fortifeation autour de Gi-braltar.

Elle a lu enfn que, tandis quetous les gente marocains, éloi.ges des femmes fêtes de Madriddu 35 1 rejohnent en hâte le Ma-roc espagnol, le 15ine corps Relies!d'artillerie se trente partie b Figue.000 partie à Crone, que d'autrestrouas italiennes sont d.s tous lesvillages de la cite, aue, d'après letéll'kigeage de hiln amides tranchée off été construites aquatre kilomètre en arrière de lafrondé. des Prvénées et ce, Se-lon la correspordance d'un Puneliste français, « en dépit de tous losrIbuentis, des goure de chemisainoires se ...rent concentrés a Cc ReeesceellTremp et sur 1 bord du golfe de picace, e'esi oveRicins i. sesdeld

France-EspagneDans la situation internationale

présente tous ces toits sont d'uneextrême gravité. Et je comprendsl'attitude des ministres qui résistentà M. Georges Bonnet. S'il eat vrai,comme on a écrit que le maréchalPétain e ne doute pas que Francone soit dans les mains des totalitai-res, la livraison des armes, de l'oret des autres objets promis par M.Bérard serait un crime et une faute.

Mais, diraeton, la signature de laFrance doit être honorée. Le res-pect de cette signat.e est la end/tien de « l'attitude amicale de Fran-co >>. Et il y a déjà les e renseigne-ments satisfaisants a. de M. de Le-querica. Mais il y avait aussi la pro-musse du retrait des troupes italien-nes du territoire espagnol, dès aprèsla victoire. L'Espagne devait être in-dépendante. D'après le journaliste

trgitt,utrilV parlé,eraetligiOcordan au

maintien de cette indépendance. Or,depuis la signature de c. accords,Franco a adhéré solennellement àl'axe fasciste et les télégrammeéchangés entre Belin-Rome-Burgosaffirmet à chaque tente cette so-lidarité.

Enfin le gevernement françaisdispose a l'égard de Franco d'an cri-térium de sincérité. Le présidentRoosevelt a adressé son message auCaudillo.. Ce message de paix estaussi un message d'indépendancepour toutes les nations. Il condam-ne toute agremon et, par la mémo,toute complicité d'agresion. Le gé-néral Franco a-t-il répondu au pre-ddent Roosevelt ? Comment 0-thrépondu ? Nous avon.s un ambassa-deur à Washington. Le maréchalPétain est de retour à Burgos, lispeuvent, ils doivent eonnaitre cettereponse.

Il est donc impoesible qu'avanttoute livraison à Praneo et, par lui,peut-être à Hitler et à M.solini, depuissants moyens d'agression rideguerre, la France ignore l'opiniondu Caudillo sur le message du pré-sident R000evelt.

Vincent APFt101a.

A propos d'un office

ECIalrel la lanterne

betearanaii-In«erit Cii'oro°110 La bataille diplomatiquedécrets-lois Paul Reynaud, cette «ore

M mphrase en egma igue . bien.

q.ue wiur-,r,on.de Les conversationscher aux Offices les phis onéreux,qu'ose laisse subsister le plus daszae- Irevx d'entdevx, parce qu'il relMe- annio.rountainesaeete ¢ a for eresse e e si uni x.le sysnbole de l'emprise bolehevi- Londres, 24 avril. Les couver-/a B,ttlic de l'Interventionnisme,

sations ang/o-roumaines ont corn-e. en. ce matin au Foreign OfficeA moi fait donc allusion « lA 'J'Urie lord Hatifax, assisté de do00000050 quand elle pools do Alexander Cadoggan, et de leu-< Plue liztaeielci des Offlag. Bas- sieurs haut fonctionnaires du mi-tille de l'Interventionnisme ? > nistère des affaires étrangères d'u-

Nous serions, enfin une fon, en- ne part, et, d'autre part de M. Ga-enflaient à M. R. P. et son journal fenco et M. Tilea ministre de Lou-s'ils daignaient 101010er leur Ion- mnoie. 0111es oc cool pours,,,st'rpu:rions qu'ils ne le feront Pas. ffaèms-limeriiialin.en P0100000 de M.Au cours de sa première entrevue

avec lord Halifax, M oafenco a mi,,le ministre des affaires etrangeresbritanniques au courant de sesentretiens à Berlin et Bruxelles et,de sa rencontre avec le conndBeck.

Selon les milieux informés, la po-sition prise par la Yougoslavie afait, notamment, l'objet de l'entre-tien. Lord Halifax aurait préciséque la politique anglaise dans /esBalkans n'a qu'un objectif r rallierautour d'un pays menacé ceux deces voisins qui sont prêts, eux aussià défendre leur indépendance.

La position de /a Bulgarie a été.également passée en revue. On esti-me à Londres que ce pays, bien quene faisant pas partie de l'Ententelballonuique, 000stitte 00 100150eimportant dons la situation. La di-plomatie ang/ate s'efforce d'opérerune réconciliation définitive entreles intérêts roumains et bu/gares.

Enfin, lord Halifax a avisé M. Ga-fenco do progrès des pourparlersengages avec Moscou 01 11 a cherchéà connaître l'attitude définitive dela Roumanie en ce qui cincernel'aide éventuelle de la Russie sodé-

M. ROOSEVELTa failli être victimede deux accidents

d'automobile0,5,-0000, 10 avril. M Roosevelt a

aideuts d'eadorhobile.Tout d'abord, à un croisement de rot,, une voiture passa à toute vitesse àlelques centimètres de l'avant de celle

président.La collision ne fut évitée me aelteso

eng-frold du chauffeur de celui-el, Men-rd Sydney.Remit, à Washington, à proximité

la Maison Blanche, le conductemne petite auto, ayant reemenu richelt et voulant ie saluer. faillit aura

la voiture présidentielle.

RéACTioN

"L'existence des partissocialistes repose surla démocratie

23 avril tep Havas). A l'occasion 015 10cérémonie organisée pour fêter le cinquantième anniver-saire de la fondation du parti eeoralists suédois, LéonaBZimii:tepreoh

de sause%

liSu tCetirrs,,:u nom de l'Internationaleise

Il a fait un vif éloge de la social-démeratie suédoiequi, triomphant de toute /es épreuve% stil dit, jouitd'un crédit toujours accru daos toute les c/asses du paysdirige un gouvernement stabb et puissant et conserveune égale fidélité acm intérêts du paYs et do

Dans /a suite de son discours Léon 1110m, parlant dusort différent :réservé aux Peuls salantes a dw.1517«.constater que, seuls, ont succombé les partis des pays ou.la démocratie politique n'était pas suffisamment implan-tée, et fi a ajouté en substance :

L'existence intérieure des pattia socialistes reposeborin démocratie, comme celle de l'Internationale sur lasécurité celedive. Néanmoins, jamais le partis socialistes

L'IMMENSE CHAMP DE TULIPES ACTUELLEMENT FLEURIES QUI SETENDAU BOURGET REÇOIT DE NOMBREUX VISITEURS

Voici surprises par l'oblate/ Mile Sonia BESSIA. dr.), qui est Miss Rads I439,meigent des flet,s avee se, eguraredes. comme elle clanmeses è l'Onéra-Comique.

Sous le signe de SoroESsousgLica mot ekeangxn

c'est un jeil ._ Avec ke0 ronde dr 'sr rein, en

soit rIre eus quoi pied denses

LEON BLUM en SuèdeNOTRE CAMARADE ÉVOQUE L'ACTION

DU SOCIALISME ACHARNÉ A ÉCARTER

LES MENACES DE GUERRE.

n'ont cherché dans une guerre la revanche d'un échec oudes représailles à des persécutions. Au contraire, ils ontmultiplié les offres de coopération économique, d'organi-sation de la solidarité, des échanges et du désarmementmutuel, bref, ils ont cherché un statut de co-existence pos-sible evec les régimes totalitaires. Aujondl'hui encor%quand les socialistes, notamment les socialistes français,participent de leur plein °cuir Ils mise en état de la dé-fense national au moment où un esprit courageux derésistance et la solidarité étroite des Nations menacéesrestent l'unique moyen de détourner la catastrophe, eu-

t jourd'hui encore le socialisme international perseveredans en espoir de paix.

11 vient dols prouver en appuyant de tout ami youvelyl'appel magnanime de Président Roosevelt.,

Au cours de la cérémonie, Stafining, président du Con-oeil de Danemark, et les délégués socialistes norvégiens etfinlandais ont priségalement la parole.

,fascistes. Dans leurs propres com-mentaires ils évaluent tes les pac-tes d'amitié italo-yougoslave du 25mars 1937 qui, écrivent-ils, a donnéde remarquables résleats.

Le e Vréme n publie en premièrePage une citation de /a déclarationfaite it Venise par M. Tsinter Maraeviiv4h, notamment le paeagedans lequel le ministre des affairesétrangères yougoslave a soulignéque l'amitié entre /a Yougos/avie etl'Italie était Mn des principaux pi-liers de la politique extérieure dendeuxaypa

Le journal a Priatski Dnevnik n,journal de M. Matchek, leader del'opposition croate a, comme titrea La els grande lutte diplomatiquerelative ti l'Europe Centrale et sud-orientai° s.

Elle e Boutante List x, écrite Le comte Clin° a idéalarg qu'au-cun ente diplomatique ne sera dent

Venise n.

a PARLER DES RESFLTATSPOSITIFS EST PREMATURE

DIT-ON A' BUDAPEST

Budapest, 24 avril. D'ails ',leimilieux bien informés on considère0001e communiqué publié à la suitedes entretiens de Venise entre lecomte Ciano et M. Markowitch cor-respondant à l'évolution de la poli-tique poursuivie par /e gouverne-ment de Rome dans le bassin dora-.

lieux roumains de Londres, que la On apprécie sincèrement à Buda-position de la Roumanie est identl- Pest, le gMte amical et les effortsque à celle de la Pologne et que les que /Italie a déployés au cours desdeux pays sen sont engagés à adop- récents événementa diplomatiquester une attitude commune. pour seconder la politique hongroi-

, Isa re i000 811J011,osegargarde0h01ontporté sur les négociations t"") garde l'neoc000mtooes ont vont ouvrir do- certaine réserve quant aux résuitats

arrive ce concrets qui pourraient être la suitemain à Bucarest, où estimmédiate des entrevues de Venisematin une importante délégation et, surtout, quant au développementbratannique prnsidée par sir Frede-

privé du que prendront /es négociationsriek Eeith Ross, conseiller otoonot nongovorvongosiovoogouvernement de Londres. pour lesquelles c la vole est outrer-Notons, d'autre part, qu'au /no- te >,ment même où la délégation écono- On insiste sur le fait qu'il seraitinique britannique débarquait à prématuré de parler de résultatsBucarest, une délégation éconani- positifs avant qu'une consultationque roumaine, dirigée par M. Ma- de l'autre partenaire de l'axe aitman, secretaire général du ministére lieu par les deux parties directe-de l'économie à Bucarest, arrivait à ment intéressées. Aussi attache-t-Berlin pour négocier m00 les auto- nos la plus eande Importance auxrites allemandes au sujet de /Unser- prochains entretiens de Berlin, donttion du « protectorat de Bohème et ' on semble escompter des résultatsde Moravie s dans le train écono- d'une grande Pelée Per le déve-mique germano-remain. On sup- loppeinent ultérieur des relationspose qu'en meme teinte la déléga entre les différentes putee000es dInn négociera sur certaines ques- basnin d'anubien et des Balkans,érange es'melaringeesem.'geerrmnaan ento-rle. ...1WAIS LA PRESSE ALLEMANDEmains. SE MONTRE ENTHOUSIASTE>oe Berlin, 24 avril. La presse alle-

mande fidèle aux cornes d'opti-Quel est le reemel misro me .dnopeserle. ne:el dteoula.

qui viennent de se dermfier à Venise.ales enlreilenS D'énormes titres proclament dans

tous les journaux que /es a mance,naialotigoslavcs. viies de PEentente ont échoué a quela Yougoslavm se pronone en fa-

>.Belgrade. 24 avril. La presse veur de rageyougoslave de dimanche décrit (Voir en page feue l'article deabondamment l'accueil solennel re- Pierre Brossolette d ce suie,serve à M. Tsintsar 'Camait., rai-nistre des affaires etrangere you-goslaves à Venise, ainsi que sa ren-contre avec le comte Ciano, minis-tre des affaires étrangères italien.Vous trouvera en page six

LE gsuitieTON ilqor. Les journaux m en , en outre, 5es Paris, 24 avril. M. GeorgeLE COURRIER ors REFUGIES A ce sujet mi précise, dans les mi- articles enthousiastes des joenaux Bonnet, gui a conféré cet aprèts-midilllllllllllllll 1111MIPM1111111111101 lllll ...... mumiumunimilumiumiuniummummt lllll umuummuritimmuunut

I avec M. Tataresco, ambassadeur de

11191errekdeeFrIceP,'nemuetnctorem--eu M. Coulondre, ambassadeur desF.rinsinpoceârà Allemagne, qui rejoint

...ET M. HENDERSON AUSSI

Londres, 24 avrll. Sir NevilleHenoerson, ambassadeur de Gran-de-Bretagne en Allemagne, a rePrikson poste ce matin. Dans les milieuxpolitiques de Londres on considèreque ce retour inattendu de do Ne-ville Henderson à Berlin s'expliquePar le fait que M. Chamberlain au-rait estimé nécessaire de fere ex-pliquer de vive voix, 00000 1e 20, parson ambassadeur, non seulement àM. Hitler, mais aux plus importantsleaders nazis r

1° Que la Grande-Bretagne veutla paix, mais qu'elle n'est pas dispo-sée a voir s'opérer dans la carte del'Europe des changements autre-ment que par des nemeietions Pe-.2° Que la Grande-Eretagne ne se

prépare pas à. o encecler a l'Aile-mais qu'elle est Prête

et combattre par tous les moyens dontelle dispose la politique de fnrce desantres 00100es eu SurlIe ,cela, »est loin que cela sera néces-saire.

Cependant, cet après-rnidi, à laChambre des Communes, en réponseà Attlee, le premier ministre a dé-claré r

« Il n'y a nullemet hou d'atta-che aucune signification spéciale au

Voie< Beceeeelt amt etleet ce tas retour de sir Neville Henderernen«, El' ùrve I «).«I se edam< Per- Xerlin L'embezedeur rivai: été rai,eiel« pelé à Londres pour f aire non rap-

M. COULONDRE REJOINTSON POSTE

AH 110151

« METTONS LA MA/N A LA POCHE POUR NE PAS MET-

TRE LE SAC AU DOS o, DIT LA MANCHETTE DE te L'ORDRE »sPELAS! POURVU QU'ON NE NOUS FASSE PAS METTRE

LA MAIN A LA POCHE POUR ENSUITE METTRE LE SAC AliDOS

DÉMOCRATIE

ET RÉARMEMENTpar Charles SPINASSE

ANS un monde ou la force est jà nouveau déchainée, le réas-mement produit partout /esmêmes effets.

En Ronde comme os Allemagne,en Angleterre comme en France,dans tous les pays où une grandepartie de l'effort humain est consa-crée à des fabrications de guerre, la,production des biens consornmaNesdiminue et tous les gouvernementdsont amenés, tôt ou tard, ,à.prendredés mesures qui tendent à' réduire laiconsommation. Augmeniation desimpôts directs Lb indirects; hausse,des prix, compression des traite-ments et des salaires, tout concepiin'à restreindre le pouvoir d'achat, 9'abaisser, le niveau général de vie:Toutefois,. dans' les pays totalitairesles restrictions sont généralisées,)tandis que chez nous 10100e demeureaccessible à quelques privilégié,..

Lorsqu'il s'agit de se procurer lemoyens de paiement, tous les goirvvernements font appel à l'épargneépargne du passé lorsqu'Oie n'estpas tconhetement épuisée, éPargiledu présent, nourrie par les dépensespubliques et rendue obligatoire parl'abstinence forcée. Ils comptent airnsi répartir les charges du réarmement sur plusieurs générations. Etcela vaut mieux assurément que l'in-Cation écrasante pour la génération,présente. Mais, en Angleterre commeen Allemagne, comme en Francejl'endettemént a ses limites. Lorsquei.ses charges dépassent la valeur de'accroissement des richesses réelles

qui résee de yaugMentation anianuelle de la productivité, il a finale-menties mêmes effets que l'inflation.Quand on accroit démesurément levolume d'un fardeau, il faut, un jourob'Eautre, en réduire la densité. L'on,peration s'achève dans la rende lamonnaie et c'est toujours la mêmegénération qui paie. Toutefois, dansles pays totalitaires, /es injections decrédit peuvent être massives, ration-nellement dirigées et d'un rendementimmédiat, tandis que chez nous elles,restent hésitantes, dispersées, trop,souvent sans efficacité réelle.

Les problèmes techniques que posela production intensive des armes deguerre ne diffèrent pas non plusd'un pays à l'aube. Partout il fautcoordonner les activités économi-ques, reparhr la main-ii oeuvre

créer ou transformer l'outil-lage, acquérir des matières premierres, veiller a l'équilibre de la ba-lance commerciale afin de ménagerles réserves d'or, augmenter la du-rée du travail. Et tous les gouver-nements en viennent rapidement auxsolutions d'autorité, Toutefois, dansles pays totalitaires, les intérêts del'économie privée sont étroitementsubordonnés à ceux de l'Etat, tandisque la structure même des démocra-ties semble les mettre, à cet égard,en état d'infériorité. Pour que lesmandes prefieres que nous passe-dons exclusivement ne continuentpas à s'écouler vers les pays enne-mis, dont les frontières se sont fer-mées b nos produits, ne faudrait-ilrase en effet, sacrifier la liberté du

commerce Pitérieuïr El Pour 0m-1poser le livret de travail aussi bieque l'abandon du profit ne faudraitil pas, sacrifier la risette tout court

Dans la guerre d'usure économieque déjà engagée, l'avantage este/donc assuré aux pays de dictature

On pourrait le craindre si les gon,vernements démocratiques reniaienilla démocratie .pour emprunter ho./teusement, sans courage et sans toiles méthodes autoritaires. Main, à IScondition d'être et de persevérendans son être, une démocratie nom-4me la nôtre peut affronter son dan-1gereux destin. Elle n'est pas devenue incapable de mettre en oeuvretoutes les ressources matériellestoutes les forces humaines dont lerassemblement soudain a si souventétonné le monde. Il ne lui manquéque < l'unanimité », cette unanimitéque M. P. Reynaud appellera .vain tant qu'il n'aura pas donné àtous les Français le sentiment queles sacrifices nécessaires sont équietablement répartis entre le diffé-rentes classes sociales. Or, tous sesdécrets sociaux et tous ses décidafiscaux ne sont accablants que pouflas humbles. Et pourtant, lui ne peulden attendre de l'obéissance aveu-gle r sa politique a la liberté pousprincipe et pour lin. Pourquoiil pas tout demandé à la disciplinegoiontairement consentie?

Etait ce done si difficile ?Il suffisait de s'appuyer sur le

Parlement au lieu de le chasser etde-demander à la fortune acquiseune chntiibution égale à celle, sidure, que représente pour unc familleouvrière la réduction du salaire. Ilsuffisait de faire appel aux organiasations syndicales au lieu de les bre.

Néesseavionsabeareoup donné àla cl.ée ouvrière en 11136. Dans lesaccords Matignon et dans les con.treks collectifs, elle avait trouvé desmantages d'ordre moral plus encorequemataiel I la liberté du travail etla mgmte du travailleur. Par la se-maine de quarante heures, nousavion/ ramené la science et la teriPnique à leur véritable toncelon, quiest de libérer le hommes et non deleur imposer de modernes servitudes.Un grand progrès avait été accomplidans la voie on l'humanité libérée dela nature hostile et de la race exclu-sive s'est engagée au cours des siè-cies derniers. Pour donner au paysles moyens de sa défense, la classeouvrière eût accepté de renoncermentanément 8 tout cela. Il fallaitle lui demander. Le progrès restaitacquis pour revenir. Tout était sau-vé. On a préféré tout détruire, aunom d'un Comité de salut publie quia agi comme un comité de défensede classe.

Je sais pourtant qu'il n'y a oisM. P. Reynaud aucune haine, ni mê-me aucun égoïsme de classe. Il estle plus intelligent et fut souvent le'plus courageux des conservateurs.Comment n'a-t-il pas compris qu'y..régime démocratique ne peut sup-porter l'épreuve de force qu'a n co' -dition de rester fidèle ri lui-même

port et bringue cela fut fait, il pritnjIleiègrUe pI'n1

joursrès relgesé rtle ei sà! ter-m es 1? ques.

Il est reparti normalement pourBerlin rejoindre sua poste. »

Le premier ministrea répondu parla négative à un autre député quilui avait demandé elle retour de sirNeville Henderson à Berlin signifiaitque le gouvernement reconnaissaitl'annexion de /a Tchécoslovaquie parl'Allemagne.

e Certainement pas y, a préciséle premier ministre,

tiroupe socialisteau Parlement(Chambre et Sénat)

Délégation exécutiveCnst le mercredi 27 avril, que Indu

egation exécutive se réunira, à 10 h30, au bureau administratif du groupe

SM re.

Un enfant mortellement blessédans un stupide accident

Condom. W avr. Mors endil la-boura. s.prepriété, à Lectoure, un /ai-

eelefeapiers'erealVaurerretrecoup d'aiguillon. ruais la partie ferréede l'engin so détacha et alla frapperviolemment a tête le fils du labou-reur, le jeune Raoul, aga de dix ares,

vas SUOMI/Men

ABONNEMENTS t Rédaction et Admintstratiou t 33, nie Requelater, T015.01riSit Tél, 200.45 C. C. Pesteux 5.57T

it SI r/ trI S npla se tre I an III fr. BUREAUX A PARIS s 5. rue St-Augustin (2e) Téléph. Richelieu 69.00 (3 lises, grenéso ne ce numéro)

50 CENT.MARD/ 25 AVRIL; 1938.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: France-Espagne LEON BLUM en Suède DÉMOCRATIEimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1939/B315556101_MIDSOC_1939... · autres dictoteuis, par des accords militaires secres. ... tous

IMe

2

Ra ententeitu e ,grade

1 l'Axe(t.te de la prerniare gags

Da. le communiqué qui a été pu-blié hier matin au terme des conféren-ces entre le comte Ciano et M. Mar-kovitch, ou lit qu' « il a été décidéd'approfondir la rnilaboration entreLes deux titiste, de mémo qu'entre laYougosiavie et l'Atenmgne a. On y litégaiement que e les plus récent. ma-nifes.tions ont ouvert la voie à nnecompréhension urne entre ree sauver-nements de Belgrade et de Budapest a.

Ite ces diverses indications, deux .-terprè.tions sont «années.

Interprn.tion optimiste t la You-goslavie n'a p. adhêrê a l'Axe.

Interprntation pessimiste la You-goslavie a né partie nye. Rome, Ber-lin et Budapest.

F.mellement, la première de cesversions peut présenter une apparenced'exactitude. LI ne semble pas en ef-fet que te gouvernement de BelgradeRit adhéré au pacte anti-Komintern.tu semble pas non plus qu'il sit d'oreset déjà conclu aces la Hongrie un paste qui .relt un nouveau nen entre liesp.ssances de l'Axe et lui-mêm,

Mais ces formalités Importent peu,et nous ne sommes plus à une époqueP. O. qui compte, c'est la lettre memedes contrats. Ce qui mit essentiel, c'est13 mouvement mène des nation, ezestle pens dans lequel elles se dirigent.C'est ainsi que la Leen et la Rom.-nie, bien qu'elles n'aient d..aucuneassur.ee it la France et aru, et qu'elles . soient bornées â pren-dre acte de /a garantie franco-beton-signe, ne s'en sont pas moles claire,u.ne orientées vers Londres et Parie.Le Yougoslavie au c.traire, marne delle n'a contracte aueaa engagementnouveau, sioente clairement versme, Ber. et Budapest,

conmient se traduira cette orienta-tion dans les mois ou les .maines quivont venir 2 Très vrais...Mententles puissances de l'Axe poseront comp-ter sur Ia neutralité blenveilisaff de laTon.S.vie dans la crise diplomatiqueet pourront ...toper avec elle d'a-v.tageu.s transactions commercia-les. En revanche, elles lut prodigue-tont /es assur.ces sur le respect desou indépendance et de son intégritéterritoria., et la Hongrie, Pour snpart, renoncera, au moi. nem...-ment, à plaider bruyamment la causede la minorité magyare en Yougosla-

SM en est est bien at.i, quelles se-ront Ire répercussions de cette SM/lo-tion sur le cours des événements cura-préau?

Eu principe, par son rapprochementavec les paissances de l'Axe, la You-goslave devrad s'être mise à l'abrid'un corp Se main soudain de l'Italie,de l'Allemagne on de /a Hongrie contreson territoire. Et est vrai que rase«,eieuvea dà apprendre aux dirigeantsde Belgrade la valeur de certaines as-surances termano-itatiennes. L'AlbanieWyatt un traité de nen-atm...a avecl'Italie, On seit pourtant eete de sa liberté. La Tehéesiskomsfedeavait, av.t Muni., on traité d'et.,trate avec te Reich t il ne le a pasépargné le rapt des cantons miens.Aprés Munich, le gouvernement .ziavait .lennellemont d.lart qu'il n'at-trnterait pour Sen au monde à l'indé-pendance ni à rexistes,ce de l'lutaitrhécosiovaque s les Allemands n'ensont pas moins à Prague depuis le Igma.- Souhaitons à tu Yougoslavie deno pas subir Mt sert ana/rogue, et dent pas s'être innocemment livrée auxdictatures en croyant gagner leursbonites grâce,

Au Congrès nationaldu parti socialiste suisse

Lausanne, 23 avril. - Le Congrès na-tional du parti socialiste suisse a au-jourd'hui, dans sa séance de clôture, emtendu les rapports d. secrétaires gé-nénitux Stocker et Graben

Stocker a insisté, surtout sur la néceoSité. de cimenter l'union entre /e peup/eet t'armée ; Crater a déclaré que laSuisse se sent menacée dans eonPendance et s'est félicité des progirés dela Collaboration qui se Prnioare eMreLondres, Paris et Moscou pour le main-tien de la paix.

Nicole, de Centre, a opiné dans lemême sens.

Le congrès n ensuite .opté h l'una-nimité une résolution générale préconi-na. l'unité de toutee len forces PoPM.-ree pour /a défense de démocratie,l'observation d'une veutralltê dégagéede toute influence étrangère, l'élimina-tion de l'armée des ennemis de la dédie-

Intéressante initiativepour le tourisme français

Les avantages dont bénéficiaient leiParisiens pour voyager k dimancle

sont étendus à la province

,On sait Salit S.N.C.F. avait organi-ee, au cours du printempstème de billets bénéficiant

pubd'une redue

tien de 50 p, lIé environ et valablesdans P.Ogion parisienne, sur une d.tance d'une centaine de kilomètres.

Moyennant une dépense très minimeles Parisiens pouvaient ainsi gagner lecampagne, et les habitants de la misaisprovince prendre le chefe de la capi.taie. Ces bilkts, appelés da a Bon di.manche v permettaient de circuler àvoionté sur l'une ds six zones établies

Cette innovation connut très rapidement faveur du public et devaM sonsuccès, /a direction des chemins de fervient de décider d'étendre a. grandesvilles an système de circulation qui per.

ttra à tous le. Françaie de prOfilerde lm. Risirs pour visiter lee citésriches en monuments histOriqiies et lessites pittoresques de notre incomparable pays.

Très prochainement, de nouvelles zo.nee.ront établies, qui auront paie ce n-ires Bordeaux, Corrnat Lille. LimogesLuxembourg, Lyon, hersent, MetsMulhouse Nancy, Nantes, Rennes, Rou.baix, Rouen, Saint,Etlenne, StrasbourgTantouse et Tome...

Le princtre du « Parisien sété conserve, les mode/Sée d'aMilloatiozMIL é. seulement...tees aux sit.lions particulièresscompte tenu des tacilins qui existaient antérieurementLes zones sont établies autour des viltes. de .9. à èermettre de multiplesPr men.. ayantpour poi. de d...«"Carrivée des gara différente,

En admettant cependant que /a Tou.gstslaSe puisse se mnsidérer mainte.Trent .mtne certaine de n'être pas laprnmitre cible sur mquene s'exereeToutles puissances de l'Axe, au risque deprovoquer un coMlit général, les ré.percussions de son rapprochementavec Rome et Berlin doivent être en....es à . fois dans le cas ofitension Mplomstique Irait eu s'aggra-vant, dans le as nia un ...flat arméfinirait par en sortir tragiquement.

En cas de conflagration, nul ne peulBec. nette après les atretiens de Ve.nia°, ce que ferait la Vougodavie. Sansdoute esrnieralt-elle . rester neutre.Maislue dietatures s'efforceraienturvisembfablement de rentramer dans. bagarre. Peu,être môme cherche-raient-elles et occuper le territoire pou-goolave. Mais dans Due et vautre deces hypothèses, il est permis de penserque leurs initiatives pourraient bienObtenir un résultat contraire à ensuiauquel ettes tendr.ent. Ni l'armée, n1le peuple yougoslaves n'atraettraienteu effet d'étre utilises ou dom.tiquêspar l'Allemagne et l'Italie. Leur révol-te ea témoignerait sans doute assezéloquemment

Mais si l'on cesse d'envisager l'éven-t.lité d'un conflit armé pour .nside-rer .iquement la grande partie diplo-matique ..eitement engagée, it h'es1pas douteux que rappoint yougostaveva apporter à l'Axe une aide très sen-sible dans les Balkans. Les Mforma-lions recues hier sur les entretiens deVenise indiqueet en effet que si laHongrie a pote il moment renoncése servir dues inMorité en Yougoslaviecomme d'une arme contre Belgrade,el. entend au contraire continuer à seservir de sa minorité en Roumaniecomme dune arrne contre Ileicarnat. Etelle le fera d'autant pins efficacementnigelle a (Pavane, par rate Promes.8le 81. Markevitch, coupé omet la .uternnstitution d'un front ponsmon eau-inanomougoalave contre elle. (l'est di-re que la Roumanie va se trouver enbutte à une pression accrue des dicta-truies, et qu'elle vs être plus ou moluesiornnee de mettre au pas son écono-mie, se politique extérieures et na poli-tique Intérieure. Elle n'avait vraimentPas be.lu de ce surcroît de menace.

Qu'. Wen dente done point r tom-Met nous n'avons cessé de le faire pré-vale depuis huit jours, l'Axe vient demarquer un point. Et de le marquerdans un secteur où la France et laGran.-Bre.gne ont étendu leur ga-rantie,

Pour que ce glumes local de lu/ta/G-allemande cuit cave

lendemain, Paris et Londres disposentheureusement d'un moyen Mais il fent(M'elles salis hésiter, etMin.es sachent qu'elles n'en ont paletd'autre : c'est de faire aboutir immé-diatement kurs conversations avec

Dans une dépêche de gon correspon-dant de e Paris-Midi a, quiMeal Pm, a..., iedSsaattldur,ajeelesotrzés des négociai.. angle-styla.-.eul était extrêmement ffdouff dugouvernement nazi, qui tait feu detout bois pour essayer de Pestalcheret dont la press, EXPLOtTià SINGT-LIEREMENT LES CAMPAGNESDES dOURNAUx EY DES DORMESPOLITIQUES ETRANGERS e QUICOMBATTENT LES LOUCHES CO31-BLNAISONS ANTISOVIETIQUES

L'enjeu de la partie est done elai,Le résultat dru entretiens italo-yom

...yes n'a pu taie le rendet plus clairma.ff.

Graf., l'élection du Conseil fédéra/ parle people, une lutte native centre le c.mage, le développement de l'exportationet du touribme, la rôalisation de Fessu-ra.e-vieillesse, Puni. du pencle s'Ossodans la lutte pour une Suisse libre et in-depondante.

Le congrès a également adopté unemotion du parti gocialiste genevois, in-vitant la fraction parlementaire à dé-Poser au Parlement une proposition dereprise des relations normales entre laRussie eoviétique ot la Confédérationsuisse,

rastrsUnleeentr'c'er'torPero'ezre=e,mu: :::maé':.,,,J,elzCeer,Lào.;tà.

Oprecht a été riélu président du partisocialiste Miss.

D'Hallali en AISOCe

Palis, 24 avriL - On annonce of-ficiellement aujourd'hui, qu'en vuede réprimer la propagande autina-lionale qui se poursuit sous diversesformes en France el Particulière...,en Alsace et en Lorraine le gueuee-

s pris, au cours du conseildes ministres de vendredi dernier,des mesures trés sêvères.

C'est ainsi qu'après un exp.écomplet par M Camille Chautempsde la situation dans nos trois dépar-tements recouvrés, le gonvernementusant des pouvoirs que lui confèrePa lui du 10 Fugger 1936 a décIdé,-Surla proposition du vice-président duconseil de distendre trois groupe-ments dont l'activité tend à porteratteinte à l'unité nationale-. la« Sung/man. Schast e, te « Oued Er-Wing von Steinbach e, e Resaessis-cher Volkshildungsverein a.

D'autre part, au cours du mêmeconseil des ministres, le garde dessceaux a soumis I la signature duPrésident de la République deux dé-

Le premier réprime les collusiensavec les organismes de propagandeétrangers et frappe de Peines sévèrestous ceux qui reçoivent de l'étrangerdes fonds destinés it entretenir enFranco des propagandes antinatio-

nales.Le second décret-loi punit les exci-

tations tendant à provoquer la haineet le discorde entre Français pourdes motifs de ra. ou de religion.

Oue dira Hitlervendredi ?

Berlin, 24 avri/. Au sujet dudiscours que le chancelier HitlerPutt prononcer vendredi au Reichs-tag, le e Danxiger Vorposten a, quiexprime souvent l'opinion dra mi-lieux officieux du Reich, écrit

« Sans anticiper, on peut dire dèsmaintenant que, du côté allemand,on repousse avec la dernière éner-gie tme médiation venue d'outre-

mer qui, de Pavie de beaucoup, cons-titue une grossière tentative a àPriori a pour établir une thèse deculpabilité de guerre. Il est proba-ble aussi que, de même que le duce,le ftihrer rappellera aux démocra-ties occidentales qu'il ne faut pasconsidérer la paix contrite un sché-ma stérile mois comme une tkeheviv.te consistant à réaliser des so-lutions éanitables pour Chaque eauprogre.ivement.

Le purnal TétMilt enauite commesuit 1 attitude allemant's

« L'Allemagne ne reenlera pasd'este Pie de os p.itIon de grandepuissance, basée sur le principe ra-cial, mais elle ne .nge pas le faireune politique d'avent... ms

Cette phrase tend manifestementeklrner les inquiétudea de l'opinion

pleallque allemande, dont la confian-ce dans les as.rances pacillques duführer est fortement ébranlée.

D'autre part, le journal annonceque, après /a vhSlte que vient de fai-re M. Qafenco, ministre des affairroétruéqgPree de Rauasuele à ficelle,a une visite hongroiSe et italiennesuivront s.

Il affirme en outre que les a rela-tions germano-turouee ont été cor-dlalement confirmées par la prise decontact personnelle du f6hrer et deSon ministre dec affaires étrangèresavec la délégation d'Ankara, venuePa. Eanniveraaire du führer. Cetteconfumation s'était emennée mem-ravant par la nomination de M. VanPapen comme ambassade. à An-kara. a

LE anolsodLatisrE

Mire et lui demanda une Piège 199urfaire une réparation.

- Quelle réparation fiai demandalitée-lia.

A cette question le rondierdit de manière évasive

-Ce n'est presque rleffvais la rame moumeme.

Mais le graisseur n'avait pas en sapossession l'outil demandé et Franckle quitta en disant qu'il al/ait se leProc.. nuPrés d'un Mectricien.

ICr témoignage est fort important'Far depuis deux jours, on cherchaitPI vain à joindre les hommes à MdCésar Franck prétendait avoir parlédu débranchement des fils du pro-Retour.

I DES MESURES SPECIALffl POUR1LA PROTECTION DES PAQUEBOTS

A QUAI

INous apprenons, d'autre Pen, tigecet aprègmidi, le conseil municipaldu Havre a l'intention de Proposer Ale direction de la Compagnie généraletransatlantique un système de sur-veillance de taus les paquebots quiviendraient h quai dans le port de laville. A cet effet da municipalité fe-rait organiser une surveillance per_manente par la police municipale duHavre et par des pomPlers réPartisen poste fixes su les principaux quais

En EspagneLE 13EFILE DE LA VICTOIRE

A MADRID

Jebd/2r1.110(1' 24 t'Ir4i(11«.(10- °0 Ira Me Zan 'RZilirclperont au grand défile de la vie-.foire ft Madrid, le 15 mai. Tous lesettinsa d'armée aàant fait campagneseront représentes par des détache-mente pans ou moms importants,

va-riant de l'effectif d'une compagnie Anobli d'un régiment.Contrairement a un règlement da

tant de Charles IH, qui veut que lestrOlilles défilent par rangs de

trois'le défile te lera per rangs de vingtLe, batteries d'artillerie défileront aupus de chasseur.Ces diverses mesures ont été prises

LA CAMPAGNEde façon que la parade ne dura pas

pour les coloniesen Allunagne

plon de ring 4 slo hein'gs,

Teplits (Bohême), 24 avril. Unegranite manifestation coioniale a eulieu h Tessin., en présence de M. Con-rad Henlein, endetter des SuelèteS.Le j.nial sudète e Die dette scull-,mte que, dan, son discours, M. Con-,rad Ireilein a déMare

Chaque Alktuand doit être /MMsuadé qu'd nous faut .rabaltre pournotre revendication de l'égalité deSdroits coloniaux et que nous ne ces-serons de id revendiquer jusqn'à ceque nuits ayons obtenu pleine satis-faction, En ces dernWfai nuitées lefuehrer est Intervenu dans l'histoirede l'Europe par des actes gisantes,-ques, mals Mus les peuples n'ont pantiré de ces succès Indéniable /a le-con que fe luehrer ne renoncera parh 10 revendication qu'il a élevée Pourréaliser la phiec égalité des droitsallemands avec Mus I. antres peu-ples

e None autres, Allernands, nous sa-vons par notre histoire que les droitsne SOM pas OttrOYru nI présents,mais qu'et 1001 les cOnguerir de hau-te lutte. Dans notre fuehrer gigan-iesque noua avons la garantie quenous recouvrerons par nous mêmestous les droits qui reviennent à no-tre peuple carrela de le grandeur S'son histoire et de sa mission dans t.vie des peuples Notre revendication,ocioniale fait partie aussi de nosdroits imPresernattnles

M. Henlein a déclaré, d'autre partque a toute une série d'industries vi-vant presque exclusiv.tent, en PaYssudètes, d'exportations d'outre-mer,ont été eomplètement parelYsées Perla perte des colonies allemandes.

pevserue tv

que la baht° à cause de la elle-

ÎZ"nne Plus

CEP PIENS DU ROI ALPTIONSE XIIIBurgos 24 us-rit - Un décret ces,

M.. roi Alphonse XIII /es biensqui avaient été confisqués par le gou..vernement réPubliesin et qui étaientde ce fait, devenus patriumine d'Etat

L'ESCADRE ALLEMANDE DANSCEP EAUX ESPAGNOLES

Berlin, 24 avril, - Le offrespOnsdant 5 Berlin du Nettes WienerTagblatt a donne les Précisions Md-Vantes sle t'envol d'Une escadre alle-mande dans les eaux espagnoles- Du 27 avril an ter mai, les naviresallemands moullieritrit à Cadix. Arne-air. et Malaga et I Colla et Tanger.thi 6 au II mai, ils mouilleront ailFerrol.

Par ailleurs, le journal croit devoirqualifier « d'absolument exagéréeset dénuées de tont fondement tes ap-préhensions ilémomatiques sur lesens de celte croisière de printemps e

TI explique Mie « l'entrée de l'es-cadre allemande dans les porta denations amies résulte de l'impossibi-lité de mouiller actuellenent donsIra ports français et anglais 3.

e LE MAINTIEN DU er STATU QUO»A TANGFR EST D'UNE PRES

GRANDE IMPORTANCE e, DIT Al.BUTLER AUX COMMUNES

Londres, 24 avril. - M. ArthurHenderson ayant demandé I laChambre des Communes dec précissmns sue /es concentrations de trou-pes emngeoles dans le voisinage deGd:malter et si une explication à egset avait été fournie par le gon-s, nemcnt espagnol, M, Butler a ré-pondu t

a Selon les informations qui nous

Pagne méridionale ont été une con-séquence naturelle des mesures dedu« Paris » Pria. par le gou-vernement espagnol. st

sont Parvenues, tes récent, trouve-L'incendie ments de noues espagnoles en Eg-

POURQUOI CESAR FRANKu A ETE ARRETE

Le Havre, 24 'avril. - C'est le té-a

moignage dx renifler Thomas qui adécidé le juge 'd'instruction Cotteslier à orlenter l'instruction dans lesens où elle est maintenant engagée tavee l'arrestation que nous avons an-none. hier de César Franck, garçonde salle du e Paris inchiPé d'incen-die involontaire.

Thomas, en effet, avait déclaré quele secteur de ronde dont était chargéson jeune camarade, concurretnmentavct lui, prévoyait une surveillancede la coursive habord du point C. surlaquelle donne la porte de la bou-langerie-pâtisserie, où l'incendie a

vraisemblablement Pris naissance.(3r, dans son récit, Franck avait

exclu cette coursive de l'itinérairedont il disait avoir la charge. Une di-

17erice's'i?é Irer 'ees,22=r;2-,ternmédiate'ment suspecte an magistratIl interrogea à nouveau Franck hieret réussit yeatidemenu anlei montree.les' invraisemblances de ses explica.lions ainsi que les différenees exis-tant entre les verSions avaitdonnées de son emploi du temps lesoir de la catastrophe.

Une première déposition recueil--lie par le commissMre Peudepièce necorrespondait en afro, que très an-protiimativement a celles 'qu'd den.Par /a suite. Considérant son attitu-de...ne éminemment suspecte etdésirant en outre, l'empêcher de com-muniquer avec l'extérieur, le luge

décida alors son arrestation.

UN TEMOIGNAGE IMPORTANT

Cr matin, vers II h. 30, un nomméMartin, graisseur sur le e Paris a

est Venu spontanément déclarer aucommissaire Peudepièce ove le soirde l'incendie il se trouvait dans leréa claire des graisseurs, quand, vers22 h. 10, Franck entra dans le rade,

Prié encore par M. Henderson dedire dans quelle mesure le gonver-nement britannique était intéresséII maintien du a statu quo T, I Tau-re-, M. Bu/ter a dbleré t que le gou-verne/nen/ brilanneue considéraite maintien du présent régimea sole de Tanger, comme une ClueS-ion d'une ,grandc importance.

Petites NouvellesARRESTATION D'UN JOURNA1lerg

POLONAIS A DANT2Iff

Varsovie, 24 poilerDantsio a arrêté et conduit dan . leu

eMutle jeMustitte no.onals Pisses

police rause de do.er toute mei-

INC INFIRMIER1 REVENUE FOLLE

cation,

Passa, 24 avril. -.AU achat de ltaprè3midi une infirmière da Y/teintai Tenon,[1.10 me sette de a-tue-culecoupa de revolver. M. Pm,. Rivetau aété stmMt de trois beiles et M. HenriRompuiu d'une balle. L'Marmiére a

été conduite au comMissariaf du Père-tachette, mas devant ses Prolma in-cohérents. e.le a été dirigée slirmerle spéciale. du dépôt

LA 00NmEMORATIONOu CENT CINQUANTENAIRE

DE LA REVOLUTION FReNCeiee

versaire de la sgrolution française, or.sanie. par le min... de /Pd/na-tion natioLale. débuteront le 5 mal par.113 cortunemoratom is Versantes ttel'ouverture des is généraux

Le president de la Réhablique quiassistera a cette journée d'ouverturev prononcera un dscours aeuv autree.discours seront prononcés par M.Edouard Reffiut nniddent de là Cham-bre et par M Jeun Sel'. rmniStre del'éducation natMnek.

De nouveaux décrets-lois

ont été publiés hierLI "-uzecJertotzdt-ac,ohil lia

Voici quelles en sont Ire dispositionsessentielles r

Le régime du travaildans la marine marchande

Ce décret 'stipule qu'a bord de toutnavire de commerce Mandais. à tIti;es

tioO'spr le

a tu% u.d.,Udêce 1.929. Certaine, ffeerven

provisoires sont appliquées à bord desnavires dont la jauge brute est égaie

Ev conséquence,peffeetif de toua les

ejtirt"Out.'elfeetet'S'onnt'it'e' g"ge--trats coùeotlts nu sont... arbitrales,rex. dans un délai d'un mois; t cer.Fy!girer= 'Ip"Once'reerui% noseat'ernetieteg7:wtoet'àrent motivé tout embarquement

;teneernvezegr.rzd.uu.L'i t duction dans Inc départe-ments du Haut-Rhin, du Bas-Rhin et de la Moselle de cer-taines dispositions relatives an,&rangers

tin décret porte introduation dans lesdépartements do Iletn-Ebto, du hass-Rhin et de la Moselle des dispositionscontenues dans le décret du la avril1130 re.tif à la tonstintion des a.-tintions étraneiveSuppression en/MilonSM Tribunal de le Seine

Ce décret eupprime les postes de jugesassesseurs au Trihnnal trie Seine quiont été nmintenus peur une Période notrois ans par la loi du 29 mai 1987. Ce,te suppression prendra effet & datedu lor juinet 1.9 en ça sut concerne(1Ut poene, et b la date du ler mars1940 en ce qui concerne le. autres.Les dispositions relativessua Celsses d'épargne

Un décret du ministre dus Finances

re'r T1 =Terdu ill'article

site aux Caisses d'épargne prendront:fret ulecelcélc de l'année 1.30. A thremeneuse., les versements opérés peren :mime déporast entre le ler janvierst 10 tee juillet 459 n'entreront pee enneve de compte pone la déterminationdu montant total de ces versements eumurs de It.née 1332L'extension à l'Algériedu décret du 20 mers

Ce décret étend 5 l'Algérie le détretOu go muet 1939 relatif atut conditionsen travail dans 1,,s entreprises travail-Sut pour la défe.e nationale.Le préparation de la mobilisationde la main-d'oeuvre

Vole/ les principales dpesitioas decet. important décretArp,. te, Les différentris,rtetrà

lOi:'Mteerleedeltrialéat'ir'.flVe dia Main-trnmem sont préparées, dès le temps dePah, tous sa haute astaffte, par en euVinisme réfiarti eUr m'(5ssaie du livré,ton,' Cet organisme tronc mission

1. Dg faire'uvreprocéder au rendementde la main-d non soumise auxObligations militaira, à l'exclusion decertaines cateteres de Peff

2; De o,e,nt,r,a117z les renseignements

mln-dicellre industrie., person-nel de direction et de maltrlua

zel'er'à'zte:Vnes Travaux PI:blies

En personnel complémentaire detoute nature, des administratif. et

"nt gez,Ptm,,... dru musources aux beeoins en ce qui centernela main-Mmuvre non soumise aux obitgations na itairee.

Art. b - Cet organisme comprend tDans Chaque département, rin.ec-

teur du travail chef du service de pré-paration à la mobilisation deplaciain-

e'Sp'g lereterdudeavaileiDans chaque région militaire,

'inspecteur du travail spécialement ac-médité près du général commanda.

ueLerT.-re%et travaille en collaboration permanen-te avec yentemajor de la region

Paris, une commission centrale9. comoremt,notamment direc-

.g e crèrnlciltu de la mabuillltllInde (a main-d'oeuvre ; le chef du bureauin ministère du Trayait 'chargé de lapréparation de la mobilisation relumain-d'oeuvre ; un représentant de lié-.t-major de l'armée ; un représentantde la direction des fabrications d'arme-ment du ministère de la guerre ; iAUreprésentant du ministere de la Marine

représent.t ministere del'Air.

t, 3, - L'organisme ainsiconstituéfonctionne dans lea conditions suivan-

ls'oans ehaque département, le sesvite est permanent

Le maire de Cannes

interdit un compte rendu

de mandat

C'est are atteinte inadmissible

à la liberté de réunion-Cannes, 23 avril. - Le Parti comme

ni. do Cannes ayant décidé d'organiser, aujourd'hui, au chéteau de Madridune réunion au cours rie laquelle Maufice Thorez, député de la Heine, devait

don.Le Parti communiste décida de laalmenir, maie en meeting privé, indi

Mant. Par voie d'affiche., que Pourta.et., député de la deuxième cirnonscr.von crasse y ferait un compte ren.lu de son mandat

Le maire, ce. Pierre Nouveau, ayantTeinte. l'interdiction et l'autorité mi.itaire ayant utilise la nuit dernière 1Emaman de M.rM pour y héberger untronmagnie de tirailleurs sênegalaisCourt.et et ses auditeurs, lorsqu'ils seirésentérent, ne purent pénétrer d.s loal. et repartirent sans incidentIl serait ourle. de savoir si M. Pi.

e Neuve. a agi sur son entière initiaive ou s'il n'a pas prononcé cette moraction sur un ordre supérieur et diqui 2

On ne saurait que protes. contsPile entrave à la liberté de réunion.

0- Le amisem La Motte-Picquet s,tictiont paddion de Comice/ Le Bigot, estanisé hier h 5etsom sang. de Shanghai.

2 Dans chaque région militaire, trservice est êtaiame.,

3° A Paris, le commission centrale etconvoquée à la diligence du ministre duTrayait elle centralise les reneelon.ments adressés par Ps organiamesrégions militaires et prend Ina décision.relatives à l'adaptation des Tesson/Yude main-d'oeuvre a. besoins.L'organisation du secrétariat:général de la commission tee-rale de la mobilisation de la

main-d'oeuvre

crPxTes décrets complètent te dé.

tef"uiPteède. L'un stipule que le se-crétariat de la commiaidon centrale deorgan me nag P

décret du a avril 1939 de préparer dinle temps de paix ms opération. incom-bant au ministère du Travail en matièred'utilisation de la meln-d'oeuvre coin

gre.téezeteeâ7:,-à.e.=ernlz ga's're

eine. eedltenvaé Cousait d'Onepeste de secrétaire général de le corn-mieston centrale de l'o..... chargéde préparer, dès le teMPs de paie, Ireopérations incombant au ministre duTravail en matière d'utiUsation de /atuain-d'muvre.

M. de Monzieen Pologne

Varsovie, 24 uvril, - M. de Mon,te, ministre fratmais des travauxpublics, a rendu ,usite ce matin, augénéral Slawoj Skaladkowski; vice-Préaldent du COnseil ct ministre d.Anallees, et à M. Bock, Ministre deeaffaires étrangèrea.

Auparavant, M. de Monzie s'étaitrendu sur la tombe du soldat noues-lu polonais où LI avait déposé unegerbe au nom du gouvernementfrançais.

Toute la presse commente longue..ment la visite du ministre françaisen Pologne et en soulgne II sensPolitique. C'est ainsi que l'organenational « Warszawski Dsiennik Na,radowy t écrit ;

« La manifestation des tendancesailemandes vers l'est eurOpéen etl'attitude du gouverneMent alle-mand vis-à-vis de la Pologne, quis'est fait jour le 31 mars dernier, acréé une nouvelle situation politique.La déclaration anglaise a servi d'ex-pression a cette évolution et, faitévident, a contribué à animer de Ma,nièce partieulière l'alliance franco-poloimee. aLa vi«ite de M. de Monte est indu.bitablement une manifestation deI sitnation rmuvelle Créée Par Path-tude du gouvernement allemand al'égard de la Pologne. Depuis l'an-nexion de Memel l'opinion publiquese souvient. forA,Atien cluxôle,que laFronce a joué, aussi bleu hot dcUrede la guerre mondiale qu'a la cOnfé-renCe de la pals.

Les Polonais sentent bien ce eu afait le soldat français noue la res-tauration de /Etat polo.ie ellerendent compte de l'importance del'alliance francostokmaise en tantqu'élement de l'équilibre europeen.Ni ln France, ru la Poloene n'ontd'intentions agressives quelles Wel-les soleM. Lv Polaque, tout particu-lièrement. a besoin de la paix p011rs'orstuntser.

A l'intérieur du pays on constateavec satisfaction que les dirigeantsde /a politMue française sont PaSs.sur le trerale d'une poh ln. réa.liste basée taff le Mincimr de l'équi-libre des forces politique» en Euro-pe. C'est de cette attitude eueroule la comnrébension du rôle 1M-/sortant des Etats situés à l'est del'Allemagne.

Se croyant menacé

un homme abat

son rival

à coups de hache

11 s'acharne sur sa victime^Voienciennes, 23 anell. -An cours de

la nuit dernière, à Crespin, le mance.Vre Mrrisue Sanirn, âgé de 49 ana ayanthabité pendant longtemps dans cettememité avee Jeanne Dubois. 44 ans,avait été abandonné par oeueini, ontétait allée vivre Un autre amant,ronvrier Gustave Deuden, figé de 27ans, veut, pare de de. entes..

A différentes reprise, Arthur Sa-myn avait supplié son ancienne amie dereprendre aa vie commune, ruais ce futen vain.

Exaspéré, le manuvre fit brusque-

eà:,;er,e1';Ctmenacé, s'empara d'une hache avec la-que.. frappa Arthur Samyn qui s'Acroula. Gustave Desdon s'acharna aloresur son adversaire et lui por. plu-sieurs autres coups de hache. Puis, ilremonta dans sa chambre et, accu.pagne de ses deux enfants et de Jean-ne Dubois, li alla se constituer prison-nier à la gendarmerie de Quiévrechaiu.

t.r.o.uneorte à, l'hlptll o

Dul"cererts'd: 'e'n'1"brri.e,'erleteede. enfants du meurtrier o. ete con-

'"vt,17:711' urs,Ze:.Pru ue. p.mr.1., re.constitution du drame.

Bulletin météorologiqueProbabilité, cet, la boumé. du 25 aerii

ré!2rUliM-rt2ent:Msdn2iZMIStrès nuageux, éclaircies locaies assez bel-le.; au nord d'une lig. Rochefort-Metzque ques plues intermittentes le matinsuivies d'éclericies passagères et d'aversesAilleurn couvert et tree brumeux, ..esép

'Température diurne z Dana le Midien baisse de 2 à 4 degrés, ailleurs, se.amnd changement,

T.S.F.Radio-loidouse

A 5 heures - Ondhestre de Talon.O h. 20. - LIas,. de hum

h. 45. -hamm. - net etemPêve.

2 h. 53 -- Les gramme réplique..ss, Ho - dee andasimit

43 - Orchestre nusets.h. 5..s. Airs d'ove... -h. 40. - Chabots de genre.

5. - Dame,.h, 45. - Le uni.ette des chanag,,,,...:

nion20 h. IO:- Sketch

,.ntique.

20 h uo. Conceff varié.21 h. 15. - Fesitie radiaphdniqua

e Le Mareeillei.21 h. 30. - Orchestre musette.22 h. 15. - Denthheum22 le. 41. - Comédies mueicalee.22 Useras. &huches miliolrm23 h 15. - Caveau.23 h. 30. - Chants provenus...

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Id h l20.'l-i.Concert vomi avac le ionscoure de M. Mana...

13 h. 35. - Sono. (Scarlatti), por.Lx Gamma, avocat à le Com.

14 h, 5. -- Emission économique 'leu.cSle,

14 h. M. - Concert sous la direction daM. Raoul Guilhot.

Il h. 5. - RaMoscideiro.Il h. 35. -- Cohen comign. français15 h 40, - Relaie de lionnaxBremans,

concert.lb h. 30. Conférence iaat M. l'abbé

Sabras.111,45. as » fiu Bataille de Marignan »,

Ptr la Carterie de la Renaissance.17 haus. Cbsurs meus.17 h. 15. - Onan.. vocal.17 h. 30. - Chante modernes fummu.17 h. 45 - Tom Eiffel, concert.18 h. 30. - Radto-acohire19 heuree. - Conférence par M. lo

estent Seves, s Latinité de Racine s.19 h. 30. -- Redindournah10h. 15. - Conférence pu M. (lrenier.

s Photographie de fleure29 h. 30 - Ernieges thé/male. Avec le

...ours de la nema de comédie de ladation m e Lee Romanesques » (EdmondRoatandl.

22 h. 30. -22 h. 45. - Mugge« de dense.23 h. 15.- en langue es..

anale.eassen

gYttla e entidelel iggr1011111.141m1.1.1 op Gal '13 '110103113111i el«mann muntoeri - Ment «mn I sunaloaa SeISPa

SELECT/ON DU JOURGrands concerts

20 h 15. - Francfort, mus. teharai,20 h. 30. - Straebourg, concert o.k.20 h, 55. - Haven.. I, cama. >ma

phonique.21 heures. - Mille, cousess avomheth

que.

illarierre de chambre, sali20 heures. - Londres quatuor à s.d..,

(Borodine,20 h. 30. et Radia-Paria, maki1e de

chambre..

Concerte variée20 h. 15. - Leipzig, soirée gaie.20 h. 35. - Bordeaux, mua. variée.21 h. 10. - Hilversum II, variétés22 th. 30. - Radio-37. cabaret.

Opéros, opérettes20 h. 30. - Alareeille,

Lyot, Grenoble, mirée dem. l'Opere.Comique; Rome, e Siegfried , (Wagner).

Théâtre21 h. Il, - Luxembourg, ri L'Or

(Blaise Cendremh21 h. 30, - Radio-Peri, e Un Voyage

da. la Nuit (Crisiansen).

Grave affaired'espionnageà la frontière

alpineUn jeune soldat

secrétaire d'un colonelest arrêté

Grenoble, 23 00011. - Depuis peu le ser-vice de contre-esplornage était informe guedes documente seere. concerna. hi défen-se nationale avaient êt. livrés une puip

rentiee'rabiit ,ine te conpable étaitun soldat nommé Optas, emrétaire dueaoivall,ea tarritrnaelrenoble et détache

Portants auraient été trouvé:os. m'a'.blure de sa veste.Ger. a été ramené t «renon, de:,

rtrJ'osti.:i'Onnt "tivreffrall(galr:."'"

La reine Géraldine refuse de tournerun film pour lequel on lui proposait

38 millions de francs

nlllluul

ADeT-IL, s'en. étonner. 2 Uns firmeja'T 'Vu% nt'ilUcItu 'do'itrar.,.'

aloI Unrie7pcoî bleu relrlUn''''fle.L'avocat desouverame (Mer:

'en'TeZedru ree zrrr.e.r-r....été son ascension et sa chute

e=v.,ellizzieveril Lashe t5e,

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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POUR CEUX DE LATERREAU PROF-1T DE; BANQUES...

M. Paul Reynaud voudraittorpiller l'Office du Blé

JUSQU'ICI LA MANUVRE A ÉCHOUÉMAIS IL IMPORTE DE RESTER VIGILANT

ECEVANT journalistes, hier

Rà midi, le Mrecteur du cabinetde M. Paul Reynaud a, dit-on,

TENU A DEPIENTIR entreautr. QU'IL IVETAIT PAS QUES-TION DE LA SUPPRESSION DEL'OFFICE DU BUE ».

11 aurait dû dire Ise démentis deo rue de Rivoli valent ceux du Quaid'Orsay que si, à l'heure où il par-lait II n'était plus question de détr.rel'Office, cela ne signifiait pas qu'onn'ait jamais eu l'intention de le torpil-ler-, et qu'on ait abandonné l'idée dele mettre en tutelle ou sous le régimedu a protectorat » comme dirait

LA VIE DES CHAMPS

ET DES BOIS

/m'OIS les hammes, à de rares ex-ourlions près, ont la crainte et100010e des serpenta et leurlivrent une guerre sans merci,

sauf dans les pays où l'interdit l'ob-servance de coutumes religieueespirées par la métempsy.ose, lesbouddhisms Si les brahmanistes deInde notamment. D.ls Pedm d'Eu-

n tue à peu Pffs sans distinctionVole t rept, rencontré, qu'il soit parfai-tement inoffensif pour nous commesent leo couleuvres, ou redoutablescomme peuvent l'être, en de rares oc-...eus, les seuls .emplaires de se.peu. venimeux vivant chez nousvipères.

Une connaissance approfondie desmurs et allures de celles,. justifie-rait plutôt un essai de réhabilitation.Nous ne nous faisons d'ailleurs pasd'illusions sur les résulta0u qu'auraitcette tentative. Quelque argument

..nes invoque, quelque défense qu'onPrésente en leur faveur, les serpentset surtout les vipères sont voués à'l'exécration générale et en aubissentlee conséquences parce qu'il est da.le caractère de l'homme, ce a bd,,de la Nature », d'obéir plus à sestincts qu'a la froide et juste r.son.

Au moins disons iCi Ponr 9111,11.0se réclame de la .ffgorie des gens lo-giques et- aime Yob.rvation naturaliste,Mie les vipères ne sont guère Ming.reuses pour nous. Mfinie est nle ombredes accidents qu'elles causent et bienplus rares encore les cas de déc.. quis'ensuivent. l'out au plus les chasseurspeuvent-Ils se plaindre de ce que leurschiens soient trop souvent mordus aucours de quêtes dans l'herbe ou lesbroussaille.

Il mille, en France, deux espèces devipères la Péliade (vipera ben.), donti'habitat s'étend au nord d'une ligneBreMsneolura, et l'Aspic (pipera asp.),qui occupe le sud de cette frontière,d'ailleurs peu formelle. Las deux:sp.Mure, f.a"v7per seieeerensilZment plus peti. et ne dépasee guère0 m. 70. Sa coloration est plus variableet va du gris-noirâtre au brun-rougeen passant par toutes sortes de nuan-ces intermédiaires. 00 10 trouve parfoisau bord de l'eau alors que la Péliadearise se cantonne en terrain S.. Lesceractères généraux du genre restentles mêmes corne relativement élmie,queue très courte, petites écaillee né-misaques et plaque pré-anale simple.La pupille de l'oeil est verticale et d,

h lats.°On reconneff aisément la vipère, sans

être obligé a aPlfr"'rdemment, à e entièrementSalaire et à son allure lente. Il sumesouvent que, surprise par l'arrivéebrusque d'Un importun, lelle ne bouge

eun.ymuen àzrer,ltrinte=re 10e pUlls fbsil00000 00 5!

=ore rdii-,nTt'îropidesentiments ...Poe. des

maux. Inutile d'en ajouter. On peutsimplement présumer que /a vipère,urfi 1.91queu. de son naturel, a tout

même conscience de ses moyens. deaidense et de l'effet qu'ils peuvent

toit Selest cole bers la chasse au.&Ma. gibierti °MM..» inse.t... Med.

Certes le Conseil des mMistres s'apas été amené a se prononcer sm leprojet de transformation de /a struc-ture de l'Office, projet qui tendait niplus ni moins à placer cette Melk,tion sous la dépendance d. Finances.Plais ce projet a existé.

GM. Paul Reynaud gouverne...Malheureusement pour lui et

heureusement pour l'Office ses in-tentions ont été dévoilées clin minis-tre de l'Agriculture ainsi que les Ser-vices du boulevard Raspail ont étéalertés.

En effet, en dépit de tous les dé-mentis, nous pouvons .nfirmer qu'un

AU CONCOURS GÉNÉRAL AGRICOLE

YIIICOLSEXPOSITIOrl COLLECTIVE

s

IF:4 le. an* -.unirORM. a

Pendent le dernier Concours. Général Agdcole, on dégustait les vinsfameux des certes du Layon, présentée par le Syndicat ele St-Lambert-du.Lattay (Maine.ef-Loire). Au centre (marqué d'une croix), notre

ami Vaillant, président du Syndicat

Les vipèresdont elle s'alimente, elle ne se donneguère de mouvement, et ses.0001! coolsont plut. ceux d'un animal dis-cret et peu agre.if. On raconte queIn! mMes sont irritables au printempset qu'ils attaquent alors sans provoca-tion. Le fait a pu se produire, maisn'est paei enregistré comme habituel.Nous avons rencontré, en mars etavril, en cherchant des morilles, plu-sieurs dizaines de vipères couplées. Iln'en est jamais résulté autre chose,après un inetant d'observation récipro-que, qu'une retraite pme ou /soins lemte des reptilee. Nous avons PsrMis im-mobilisé la bête en fixant son cou auaol à raide d'un bâton fourchu. Quatrefois sur cinq la vipère, libérée, gagnaitquelque fissure de souche ou de rocher,sans réaction menaçante. Et quandcette réaction s'est produite, elle n'alamais été au delà d'une prise de P.-sition défensive.

Evidemment, des accidents peuventse produire. Que, n'ayant pn vvi àtemps la vipère, on la heurte ou qu'onmarche dessus, et le réflexe de défe.ejoue instan.nément. Sans doute aussiquektues individus ont mauvaie carac-tère moins, c'est sûr, que dans l'es-

Péfeesbelt fenelement de ce que l'onsait de ce serpent que même dans lescontrées où 11 est commun, ses mors.res sont rares. Il est moins dangereuxde fréquenter les terrains à vipères que

elv="ite=sua Vol"Jéenrireen'teÎVeest d'inspecter le mui qu'on va fouler.d'écarMr P,rbe avec un bâton avantde se baisser pour cueillir fleum ouchampignons et téton chaussé de boncuir fort.

Après cela, si par un extravagantconcours de malheureuses circonstan-ces, il arrive qu'on soit tout de mememordu, il faut prendre la chose avec /eMus de Calots poss.c.

D'abord, si l'on let seul. ne pas s'af-foler, s'agiter ni courir. Le poison desvipères agit sur le sang. Plus la circu-lation eat intense, plue son action est1..ter"le'srelver;tteelet" ee'reebli:Tla Ves.re a.c garrrib'qu'on relâchera pour quelques sec.-des tous les quarts d'heure environ. Derécents travaux de spécialistes ont fait

00Pt

0001

admettre que ce nStait p. là une ga-rantie fameuse mais mieux vauts'en précautionner. Faire eaigner 1sble.ure immédiatement au moyend'une incision, aspirer fortement et re-cracher une notable quantité de sana.en prenant garde de n'avoir pas quel-que écorchure aux lèvres dans la

e exageree,un point quelconque route, village,

.;ur

rbtre%,isur une civiere.

Les lavages à l'ammoniaque, acidechromique, etc... ne sont guère effica-

cielles et de toute façon ne dolvelot pasépargner un. sérieux traitement méat

ru'ertsor'ecie 'e'teCatele,e's"See'veCVcations ne sont à craindre que pour lesmjets non adultes, déjà malades, outrès émotifs, chez qui le choc nerveuxest presque plus redoutable que 10 Pei-son.., 4.

décret-loi avait été préparé par leministre des Finances, que ce Mx.,dès qu'il en connut l'Inconsistance, M.Queuille refusa de le signer et mena-ça de démissionner s'il était acceptépar le gouvernement( qu'en., ammel'attitude de son collègue de l'Agricul-ture, M. Paul Reynaud a da mettrenou papire dans sa poche.

Ainsi, en quarante-huit heures, gré-ez à la protestation du Popu.ire la

I manoeuvre a échoué. Et pourtant de-puis des aemaines on préparait lecoup n .

A la vérité, malgré tout, PL PaulReyna.id a obtenu une .tisf.tion.Battant en retraite il voulait retirerà l'Office Pava/me nous reppelontqu'il ne s'agit que d'une avance, avecintérêt, °Mme que le Trésor lui a.nsentie pour financer la résoptiondes excédents (1).

Supprimer .tuellement cette avan-ce c'était mettre l'Office dons Pimpos-sibilité de fonctionner et d'assurer sesengagements car il est naturel qu'an'ait encore pu réanser les stocksavant la fin de la campagne.

Alors c'était l'obliger à solliciter.tte avance auprès de la Banque deFrance. Or celle-ci, d'après ses sta-tuts, ne peut consentir que des avan-ces égales à la valeur totale des stockset jusqu'au 31 0.0 seulement.

Ces ...lents étant destinés, soit àun report sur la campagne 1939-1940qui s'annonce déficitaire en raison desgelées de décembre, soit à la dénatu-ration, soit à l'exportation, ne serontcertainement liquidés en totalité au3/ août et pour cause h.. De plus lestaxes destinéen à fournir le com lé-ment du prix n'auront p. encore étécomplètement recouvffets par l'Officeà cette date.

PI. Queuille n'a donc pu acceptercette proposition et, IS-de.us encore,M. FouI Boyound n du cédar, eu o-rnent le enMistre des Financesba faitdécider par le Conseil des ministr.QU'A L'AVENIR LE TRESOR neCONSENTIRA PLUS A U C UNE,AVANCE Sv POffice. '

Cette mesure, semble-t-il, en raisondes perspectives déficitaires de la ré-colte, n'est pas dangereuse, mais iln'en conviendra pas mains, dés quel'occasion se présentera, de faire an-nuler cette dérision

D'ailleurs il est bien spécifié mie les

Manitous que les auricultears iletueut

effectuer mut les 1" et 15 siAVANT LE D' MAI. Les propriétaires exploitants dont le

revenu cadastral est au plus égal à 1.000 francs, doivent fournir àla mairie de leur commune toutes indications (selon les documentscadastraux) des propriétés non bâties qu'ils possèdent et celles deces propriétés dont ils assument directement l'exploitation.

AVANT LE 15 MAI. Déclaration de la superficie de leursterres labourables ensemencées en blé. (Comme ci-dessus, à lamairie de leur commune.)

Les geldes du mois de décembre dernier ayant dAtruit de nom-sterf.es enadavées. question a étd posée de &mois ai /es

producteurs de blé doivent déclamer, néanmoins, lesdites eurf.esLe ministre de l'Autrieutture viant d'informer que /es déclama

fions d'emblavâmes ont pour objet ....semmit, par le Conseilcentral de l'Office dO Né, d'une prévffion du rrndenvent de la ré-colte mffionste. En consdquenee, les déclarations d souscrire partes producteurs doivent d.ner la commissence des surfaces por-tant effectivement dallé au Mur de la déclaration.

Par suite, /a rubrique e Blés d'automne (sentes avant le Mmarier) » qui figure sur les Bue00 deian d remplir, doit port, uni-

mention des d'automne n.011. détruits par /es geffes.La rubrique e Blés de printemps » indiquera évidemment toutesles SILTraee8 ensemencées ansés le le fémvier, que les ensemence-ments tardifs .ent ou ou son pour cime les gelées exceptionnellesde cette compasse. 11 est Mair que les ffc.rations aiaci f0000001prffudicieront en 'P0m aux droits vdterievers des producteurs alcnietrds.

La défense de l'Office du Blé

La commission de l'Agriculturese réunira mercredi prochain

pour délibérer sur la situation

Renaud .1.n, président 000 10 Commis-sion de PA,miculture de la Chambre, aadressé à IL Daladier une lettre daneisquelleff déclare noMmment

do :e000, c000'0cgee"s"11:e0"ée7nti°" e:modifier, par décret-loi. la esventiol

concernant /Dia. du Blé.i'll,t.u.e:evmdo,a:liAa.M:leZe::atIlh.f0:,

faimnpour les motifs qui suivent

que eseece=nene'sereCe-clents.1re. Par conséquent, la résorption

es% terM"sMie ti'vaten 9e0re°4ce n'est que pour la réeomdion des eysé-

temeaelsa_ imunlu,',:ts. C'est dire que nous avons 1, 10000!

ae procéder à des modifications aprèsdiscuselon par les conemission con.,tentée per le Parleme, d'un Prolet

rt,z ,nrere17,FEme jour, à tissue de la réunion, une

[entrebea, a de ce problème, ainsi que ,de celui des travaux intéressantdélégation de cette cornmission.q. voue

lescommunes rurales s

test. Nes/st-Ifs actuellement en vi-gueur sont maintenus. Et ce/a est Im-portant.

Mais ce qui est grave c'est que lamanuvre du ministre des Financesrévèle ses intentions, intentionsavait d'ailleurs concrétisées dans sasdécret Initial.

111

M. Paul Reynaud travaillerait pourles banques qu'il ne s'y prendrait pasautrmnent,

Déjà en limitant le montant desopérations des Caisses d'Epargne no-hm a financier » a oblige les petitesgens à se présenter aux guichets desbanques.

Co qu'il veut maintenant c'est tout

S'implementinterdire à l'Office la peu-

bilité M'obtenir des avances de laBanque de Fran. St l'obliger de s'a,dr..r aux grandes banques privées.

L'affaire n'est pas négligeable. Pen-sez donc que les manses de la Ban-que de Frau. se montent à trois ouquatre milliards et représenteraientquelques centaines de ma,ns de nom.

LOffie perdrait tous les avantagesdu nouveau statut de la Banque deFrance que le gouvernement de FrontPopMaire à direction soci.iste avaitvoulu transformer en Banque de laFrance.

Oui, mais les banques n'aurnientpas à se plaindre de cette opération.

El

La mance.. a échoué. Le décret-loi préparé par le ministre des Finan-ces est, pour l'instant, écarté. M. PaulRoynatid a dû reculer et opérer une

Ilretraiff strate ue

importe cependant de rester vigi-lants car un ou l'autre, un jourjour

ezhe'rnieTtrtrzeleàuPl'ert...P7's'frxstmême que le usimstre de l'Agricultureen soit préalablement averti

PIERRE RIDET.

ervreue=uee em. mi 'concerne Itt récolte nos,. par

sa smsasss consanties Pee, in unu000 0,Prévue, 2. Pour ce eet de la portion ex-ted.taire de récrite per une avance du

réa.. Es..mme rinteatim de xr. P,1el=t:entMeeerrtv.,`J'eJere7sor, l'avance de... financeinent da te

résorption d. exceilente et. peur revenir,

t'vre'etstteeaVe=nteceIrrg.Menormale.

ABONNEZ-VOUS

. sera officiellement, commémoré cette année.Un comité national, créé sous les aaspices de l'as-

semblée permanente des présidents de Chambres d'agricul-ture, 01 0000 N patronage de nombreux ministres, organiseradiverses manifestations à Paris, à Lyon et au pays natal dugrand agronome.

Ce sera prétexte à mettre en relief la civilisation paysan-ne depuis la lointaine époque d'Hésiode et à rendre un joulehommage 11000 qui, comme Olivier de Serres, en furent lesartisans souvent ignorés.

A cet effet, l'administrateur général de la BibliothèqueNationale, M. julien Cain, prépare actuellement une exposi-tion d'un rare intérêt. Tous les aspects de la vie paysanned'autrefois (habitations, vêtements, scênes domestiques, tra-vaux, fêtes et coutumes) y seront évoqués par des manus-crits historiés, des tapisseries, des objets d'art, etc... 00 0100,les 010000000 des principaux écrivains de l'agriculture serontprésentés. Et parmi ceux-ci figurera, nous n'en doutons pas,Théâtre, d'agriculture et mesnage des champs, dont nousavons déjà entretenu nos lecteurs.

Ces 'armements, pour 'la .plupârt ignorés du public-et- dureste très rarbs,' seront orecidux p.r quiconque s'intéresseI rébellion de nos ean(pagneeEt nous sommes persuadésque cette exposition connaîtra un vif succés.

eX

Une fois qu'on raura visitée, on ne manquera pas de serendre aux jardins des Tuileries, où des mûriers évoquerontle souvenir du premier animateur de la sériciculture na-tionale.

Renouvelant en quelque sorte le geste d'Henri IV, quivoulait à tout prix justifier la politique de Sully, dont le fa-meux axiome (Labourage et pâturage sont les deux mamellesde l'Efrit) 0010 si souvent repris Cl pariodé, bi. jean Zay, mi-nistre de l'EN/cation nationale, présidera, en juin prochain, àcette plantation.

Ainsi sera exaucé /e pieu d'un des biographes d'Olivierde Serres, qui demandait au début du siècle dernier qu'un

Le quatrième centenaired'OLIVIER DE SERRES

agricole, le quatrième centenaire d Olivier de SerresINSI que nous l'avons dit dans notre précédente page abo,sicie

pourm Cgoielritae fût placé dans ces magnifiques j

Les allocations familialesaux gemmeurs de Gascogne

DEPUISdeux ans les ouvriers qui

travaillent à l'extraction de laLes ouvriers gemmeurs, fortement or

gantsls au sein de la Fédération natio--

voire publics et les employeurs eux- sion le chef du gouvernement actuel ?mêmes. q le

Déjà, dans un accord signé à la pré- llIIllIlllllllllbllIIlIIiIlIIIIlIIllIlIIIlIIIllillllllIIlIltlllIliIlIOb ptoyeurs répondrontPéà l'appel que leurfecture des Landes 1e 23 mars 1937, le- adresse a.s1 le ministre de l'Agricultu-

1 'toit 000l0000ie à 001 011100do ransigeance et le refus absolu de voter 00.01 qu'invités par ses services à fairebénéficier leurs ouvriers de cette dis-position s.iale, ils s'exécuteront debonne gr..

Sinon, les travailleurs, forts de cetteappréciation du ministre, ne manque-ront p. d'engager l'aetion pour obte-nir leur juste part de réalisations so-ciales.

No. sa. on. cenendast mieux .vnéd'un gouvernement doté des Plein. Po.vairs, au moment où tant de souririonssont demandés à la Masse ouvrière, ilpourrait .nsi en rendant obligatoirel'application de ces d.positions s.hdes,faire supporter aux classes possédantesleur part d'effort sans lequel il ne peutpas y avoir de véritable concorde na-tion.e.

La véritable paix 5011011 0e peut s'ob-

eira'ieftePen'"néPesrn'n a"'irelion des po.ibilitée ele chacun. -

C'est dans cette voie que nous es.,rons voir enfin s'engager l'action denos dirigeants. C'est la condition du sa-lut national auquel les gemmeurs deGascogne, autant que tout autres, sontprofondément attachés.

trente jours de grève effeetnée canon.semble de la corporation, les renr. een-tants du Syndicat des propriétaires fo-restiers du sud-ouest s'engageaient àfaire bénéficier tous les gemmeurs desallocations familiaies à partir du leravril 1937.

Sous réserve, avaient stipulé les pro-Pffétaires, de la ratification par le Sé-nat du vote intervenu à la Ch,lbre, à

UNIE EXPOSIITIION EVAZAILIÉIES

Une be(!e vue genéree de l'exposition des AîaNct, q1 u.c., rc eujourd'huaux serres de la Ville de Paris, à la Porte d'Auteuil

Le domaine du Pradel

gemme pour le noms. des pv., nate des travailleurs de Vagricuaure,prataires autres que l'Etat et n'auront garde de négliger cette invite

ertaines collectivités ubliques, atten- ministérielle.dent le bénéfice des allopcations familia. Mais, est-ce bien cela la pratique dees qui leur a. été promis et reconnu la politique de paix sociale et de con-omme parfaitement justifié par les pou- corde nationale dont parle à toute occa

par Charles PRATsaeretaire de la hédératioedes gemmeurs et métayers

. du -ud.Ouest

a les s a on e a ree par Chambredes députés, le Sénat obageait le pre-mier gouvernement de Front PopMaireà démissionner.

Dès lors, /a légishition sociale quidéjà était notablement Insuffisante, n'a,pour ainsi dire, plus fait un pas enavant.

simplement. Halle a. idés de Bourges.i uns ... 1001 Cette manifestation sa tiendra d, la

A Lyon, la Chambre f01000000010, créatrice du Muséedes Tissus, a accepté d'organiser une exposition de soieriesanciennes pour marquer la gratitude du Lyonnais envers l'unOrs hommes qui contribua le p1000 sa richesse.

On y présentera des tissus faits en France depuis l'épo-que d'Olivier de Serres jusqu'à la fin du dix-Ituitième siècle.On f00000, en particulier, des étoffes fabriquées dans lesateliers de Lyon d'après les compositions de Claude Dangon,maitre ouvrier lyonnais, chargé par Henri IV d'organiser lamanufacture des étoffes de soie, d'or et d'argent, qui devintplus tard la grande fabrique lyonnaise.

De belNs soieries brochées et des velours du temps deLouis XIV rode Louis XV et une suite de tentures d'ameuble-ment de Philippe de la Salle donneront une idée du dévelop-pement de la soierie française depuis le début du dix-huitième siècle jusqu'à la veille de la Révolution.

N

Enfin, de grandes manifestations se dérouleront à Vil/eoneuve-de-Berg et dans l'ancien domaine du Pradel, pujouràd'hui transformé en établissement agrko/e, à quelques kilo-mètrpt 00 10 cité natale d'Olivier de Serres,

Dans ce cadre historique, au milieu d'un paysage ver-doyant et pittoresque qu'a décrit avec émotion le célèbreagronome anglais Arthur Young, qui y fit un pèlerinage àla veille de la Révolution, 0100110 00 agriculteurs se réuni-ront au matin du 2 juillet. Ils inaugureront une plaque com-mémorative associant le nom d'Olivier de Serres à celui deson fervent admirateur et disciple britannique, et un muséequi rappellera aux profanes les mérites de ce paysan labo-rieux dont Michelet a si éloquemment loué le vertueux idéaL

Enfin, de grandea fêtes données avec le concours degroupes folkloriques du Vivarais, du Dauphiné, de la Pro-vence, de la Bresse et de l'Alsace, termineront , dignementces cérémonies.

R.

Puis est venue la série des décret.lois de misère quia joint aux attaques

ontre la lemslabon sociale acquiseQuelques mois plus tard, par son ln- pars travailleurs en 1936, la note démago-

gique et plonge les travailleurs paysansdans l'équivoque et suscite leur espoir.

Au sujet des allocations familiales,deux de ces décrets, du 31 mai et du14 juin 1938, ont étendu, du moins ilsle faisaient croire, le bénéfice de cehieffait social à tous /es travaaleurspaysa.ns, à partir du ler janvier MN.

En ce qui concerne les métayers, celanous fut confirmé par une lettre deM. Queuille, ministre de l'Agric.tme, e.date du 28 décembre nos. A la date du31 mars 1939, répond.t à une de noslettres, lui signalant le danger qu'il Yavait à maintenir leo gemmeurs travail-lant pour le compte des propriétaires enétat d'Infériorité sur ceux qui travail-lent pour le compte de l'Etat Mes der-niers bénéficient des allocations fanai-

dePuie le ter janvier /937), le mê-me m. Queuille, ministre de l'Agriculture,nous répond que point n'est besoin demodification à la législation soci.e ac-tuelle pour que toue les gemmeurs bé-néficient des allocutions familiales, carile ne sont pae des métayers, male deelyncherons et, comme tels, doivent Mn.ficier de toute la légieation sociale v

assuranées sociales, allocations famille°es, accidents du trayait, congés payés.

Le ministre n'a mis qu'une conditionà cette application... e Soue réserve del'appréciation des tribunaux »,écrit dans la lettre. Nous avons Peineà comprendre cette interprétation.

De l'avis du ministre, les Hemmen.doivent bénéficier de toute la législa-tion sociale. Si leurs employeurs se re-fusent à leur appliquer, il conseilleaux gemmeurs de traduire leurs 0m-

LASEMAINE PROCHAINELES REVENDICATIONS SOC/AIES

ET ECONOMIQUESDES METAYERS ET GESEYIEURS

DU SUD-OUEST

Concours spécial de la raceovine berrichone du Cher

Le ministère de l'Agriculture, 0001 10collaboration du Conseil général duch, de la ville de Houssez, du Syndi-cat de la rave ovine berrichonne duCher, du Mock-Poon de la race et deln Caisse régionale de crédit agricole deBourges, organise pour le trialUi 2 maiProchain un concours de

reproducteur'berriehons du Cher, qui sera .ivi d'unefoire, le mercredi émoi

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OULSOUI Imearcrem orsé

GROUPE D'EDUCATION SOCIALISTE DE St-SIMON« ELLEN PERS 0E

SAMEDI 29 AVRIL, à 21 heuresGRANDE CONFERENCE PUBLIQUEau Grand Café Terminns, à Saint-Simon

sou la présidence deMARIUS ItOGALI,E, Adjoint au Maire de Toulouse,

avec le concours deJEAN RABARRY, Secrétaire du Canton Ouest;ROULE BERLIA Député de Toulouse.Le Parti Social/tate veut informer la population des événementsactuels.Il estime que tous /es honnnes doivent savoir, pour conserver le

sang-froid néo.saire pour maintenir la Paix.

UNION DES SYNDICATS OUVRIERS DE LA HAUTE-GARONNEBOURSE DU TRAVAIL DE TOULOUSE

Commission des Loisirs

FETE DU TRAVAILDIMANCHE 30 AVRIL, à 14 h. 30

Halle aux GrainsPROGRAMME:

.RANI) CONCERT VOCAL ET INSTRUMENTAL, avec le concours deTA PHILHARMONIQUE, LA CHORALE DES DIETAUX,IIDS ROUGES-GORGES TOULOUSAINS, et une pléiade d'artistes

de nos principales scènes;OVOLUTIONS BYTTLIIIQUES ET GYMNIQUES, par le « Coquelicot nP.M.I. et adultee (sectiooe mixteS), sous la direction de

M. Marcel CazeneuveGRAND MICRO-CROCHET exclusivement réservé aux amateurs,

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La propagande socialisteGROUPE D'EDUCATION SOCIALISTE AUGUSTE BLANQUI

(Quartiers de la Pro:ide:tan, Cimetière)GRANDE CONFER.ENCE PUBLIQUE

GRAND CAFE DE LA PROVIDENCE, Chemin de la GloireVENDREDI 28 AVRIL, à 21 heures

sous la présidence deVALENTIN PEYRAT (Conseiller Délégué)

avec le concours deBENE DESBALS, Secrétaire de la Section Toulo.alare S. F. L O.FERNAND COLL. Délégué à la Propagande du Parti en France.Le Parti Socialiste, considérant de sort devoir d'informer la massedes travailleurs, des événements de l'heure actuelle, lance à nouv.0

une grande campagne de propagande, où i/ définira son action sur /aPolitique intérieure et Sa lutte passante pour sauver la Paix.

A la Cour d'Assisesate

.,MARCEL JOURDIA QUI, PAIR LES- COUPS QU'IL PORTA APAUL VERDIER, OCCASIONNA SA MORT,

EST CONDAMNE A UN AN DE PRISON AVEC SURSISVIF 5,000 FRANCS DE DOMMAGES ENVERS LA PARTIE CIVILEUn pénible débat est évoqué de- gné d'un mot explicatif (c'est la thi-e.int les jurés de la )(aute-Garonne, se de Vientiane).

,n1 mat a juger une ruse de jeun. Jourcha aurait alors déclare « AI-non, laquelle pour un motif futile tends-moi, je sors, eeu les pana fâche.. Bergeaud accompagna son cama-... rade et les deux amis lapèrent surUn jeune homme, âgé de quelques Pau/ Verdier. /ourdie, Verdier étantItr-huit ms à peine, est là sur le à /erre, se précipita anr lui, et le te-.ane des accusés et parait Mut éber- mit serre sans que fou puisse prée,

né de se trouver à cette place, sem- ser si c'était ou non à la gorge.lard même ne penne rendre compte Heureusement, deux témoins, M5/.Sun .davre est là qu'on évoque Pilet et Séguy qui se trouvaient ant ont non parle et duque/ l'ombre ont séparé les antagonistes et rasplaner comme me gène sur tout mené /ourdie dans le café ou parait-- prétoire. Il il aurait déclaré à. mn ami Her-geaud e Si on ne me Pavait pas sor-ti des doigs, je l'aurais étranglé s.

Le drame, malheureusement né-bu pas terminé, car un ranis Mmes,alors que l'on se figurait cette his-toire définitivement classée, Verdiermourait Ii nhdpita/ d'une asphixierelative à la compression, de. ?a _tra-chée artère, siège doux fort trauma-Dame avec lésion des anneaux, parun gonflement de la glande ty-raide.

Effectivement le surlendemain dela scène, Verdier reprend son tra-vail et ne prête guère attention à ladouleur 0011 ressent à la gorge.Quelque temps Mirés Meg lui ilsouffre et se trouve pris d'un accêsde toux et se plaint de sensatiomd'étouffement

I/ attribue tees phénomènes aufait qu'il aurait peut-être avalé a detravers aune croate de Pain. Maisles sensations deviennent Plus vio-lentes et le 17 octobre il était admisd'urgences' La Grave oh malgréplusieurs interventions chirurgicalesson état s'aggravait. Le 26 octobrele jeune Paul Verdier mourait dansd'horribles souffrances.

LES DEBATSLes débats ne prêteront à aucun

Incident et /e conseiller LaPorteIci dirige a tout le tenuen voulupour pousser à fond les différentsinterrogatoires.

L'Interrogatoire de l'accusé se ré-sume en un monologue circonstan-

.

La victime, Pan/ Verdier, de fa-mlle honorable de travailleurs, était'après tous les renmignements quint pu être recueillis sur non compte.'un carmtère excellent,

v po di é pour soncpe,t eFtelt'asseidu 'àerson travail ;>mpéré et très attaché à rd famille,ne mets:H jamais qu'avec des amis.

Aussi recommandablm que lui-mêmeet ne fréquentait que fort rarementI. caf. et /es bals.

L'accusé est, pour sa part, pré-maté comme un violent, de carac-tère ireascible et d'une éducationplutôt relâchée. Certes, Marcel Jour-alla «alt également un travailleurhonnête, et qui, chaque acmaine,

l'enquête le prouva par ailleurs, por-tait la totalité de son Salaire à lamaison.

Jouais travaillait en qualité d'af-ficheur à la Société Européenne dePublicité. Sou patron, cousue sescamare.des de travail, présenterontJourdia comme un ouvrier s'acquit,tant consciencieusement de la tâchequ'on lui confiait.

Néanmoins, l'acemé mrtalt biensouvent la nuit et rentrait fort tard,sans qm ses parents m préoccupentdavantage de ses actes.

Les parents, d'ailleurs, n'auraientpas donné à leur fils un exemple suf-fisant de tempérance. Et ce manqued'éducation restera donc un des élé-mente de /a suffisanan et de Pirras-cibilité de l'accusé.

Les faits, fis annt tellement fu-tdm qu'on m demande comment ils Les térnoms déposent ensuite etelusion qu'est ce débat public en c'est surtout la déposition du gay-Cour d'Assises. teur Paumés, médecin legiate, qui va

Le 17 mptembre dernier, on dan- amener des mises au peint de lasait an bar Pérignon. C'était un sa-Part du défenseur. Celui-m, en ef-

fet, discutera tour à rheure, la rela-medi soir., tion de cause à effet, entre /esJourdia et Son ami Berlaud aanie coupa, qu'il déclare problématiques,vent au dancing et, ma foi, ont dé- à la gorge et /a mort de Paul Ver-gustà quelques bières, quelqn. Pe-

tits verres, et avec la 1anne.e ..1° Divers témoins viennent faire Fe-échauffe vite le sang, loge de la victime tandis que d'AU-Quelques danses et voità que tout Inc viennent également présenter

ii. coup un carreau d'une des fenêtres l'accusé comme un jeune hommedonnant sur la rue est brisé. travailleur et généralement bon ca-

marade.

qui depuis plus de 6 mols Voit ttn"leu Phi.*plaisdouleur neag,1,,is,cfitépsas et dual q1111111,1111111111111111211D

r1111111111111111

L avocat gen ral, abautdans un esprit de justice, J'acquit- Les uvresdam un bref réquisitoire, demande

tement comme ayant ag/ sans 510-

putiLtr2vallsoutenu et une vie exeat- Laiques

cernement de façon à permettre àl'inca/né de racheter eet excès par

La défense discute sourtout Pau- ASSOCIATION GENERALEtopele du dmteur Paumés et lui op- DES INSTITUTRJOESPose d'autres conclusions. Mi Du- DES ECOLES MATERNELLES ETPeYrou &Mande l'acquittement Pur CLASSES ENFANTINESet simpan soulignant que la preuve PUBLIQUES DE FRANCE ET DESreste à établir que /es coUpS ontvraiment entre/né la mort. COLONIES

Après une brève mise au Point de Le e Cercle des Etudes Maternel-l'avocat général et une courte ré- les D organise pour le id avril 1939plique du défenseur l'audience est nne journée pédagogique Planée manasuspendue et le tory se rethe Pour la présidence de M. le Recteur de l'A-délibérer. Ie est Il heures, nada:aie de Toulouse. -

Cette manifestation, destin& noisLE VERDICT ET L'ARRET seri/ornent à faire connaître l'écoleAprés lents-quarts d'heure de dé- 00eara.11.' aaa'amaaa Paur batliberatIOn l'audience est reprise. d'eider à la réalisation d'un projet deAym, rmeatior,r posé, le JI, ré_ colonie de vacances maternelle.

pondu en décimant l'inculpe coupa.1 Le programme de cette journéeble de coups et blessures volontaires ...Prendre nne mi/fermes faite àayant entraîné la Mort sans inten_ 11 heures à ITmole Maternelle Mata-Don an la donner, mals lui accor- hi. par Mite l'Inspectrice Généraledant le bénéfice des circonStances Géraudatténuantes. 1 a Comuent l'Ecole Maternelle, peut

Après une nouvelle délibération eider l'enfant à comprandre son mi-asme la Cour Jourdia est condamné lieu naturel et social s.à. 1 an de prison avec Sursis.

1 Dès 10 heures dU matin, s'ouvriraA l'audience civile le délinqmnt dans /e merne local une expositionest condamné it 5000 francs de de travaux d'Heves et de matérieldommages.L'audience est levée à 21 h. 30. i'd7r4fflieures, au théâtre du Capitole

R. CLENGUE. /serer onné une fête .fantine avecIdes chamans et des danses régionauxet la projection du film c Les moins

LE NETTO-SANG EST LA MEI. de 7 ans s.loure tisane dépurative. Ge.rantie sanssend .0 n'Irrite pas' l'intestin. Polte: CERCLE LOQUE5 francs. Pane de la Croix-Verte. /I, rue 1)E LA JUNCASSEde Rémusat Prix /es plus réduits de C'est avec un profond regret queRI région M. /ro msifleors Preduits. nous apprenons le deuil qui vient

frapper notre camarade et ami Au-ban Fernand, membre de la C. C. en

Pour le Groupe lae-r-rpuezarze,......'de vouloir bien accent.' fi. sine..

scolare Fabre

am aima untlatriSTE

Au printemps elle maigrissait« Tous Ms ans, à l'apprmhe des

beaux jours - eent 55110 3. Réint,AubigmY (Cher) - je me sentais

triste et déprtmée. Cette annee,j'avais méme, perdu que/ques kilos.Après me cure de Quintomne, mesforces sont revenues arec mon en-train, et j'ai repris mon poids nor-mal s. Contre les dépressiom, quellequ'en soit la came, me cure deQuinto:line est toujoms efficace. Leflacon de Quintoninn,peur faire soi-même un litre de aeliciem vin foc.tillantcoûte seulemmt 5 fr. 75.

conodleances.Les membres du C. A. et de la CC.

disponibles, se feront un devoir d'as-sister acv obsèques qui auront lieuaujourd'hui mardi à 10 heures.

Se réunir rue du Dôme, 5.Pour répondre aux nombreuses

démarches et interv.tions person-nelles qui sont faites auprès de Pad-nxinistration municipale, par les pa-rente d'élèves et habitants du quar-tier de la Dalbsde, le Maire de Tou-louse a l'honneur de faire cc,nnaitreà la population toulousaine la situa-tim mtuelle projet de. construc-

,

Fti,tonbro.du Groupe Scolaae-der Gaggans Aile. LÀ-11t10La dépense totale de réalisationdu p t.roje s'élevant à 4.012.000 trou.

Réclamer u SU Mmaius, 551,doit être 'Maure,Michel, un bracelet; a M. C... 55.Au moyen d'une mbvention de rue du Taur, une petite robe cle bene;nEtat arrêtée é: 1.417.800 francs, à M. Page, 19 chemin des Ftroits, unele 31 janvier 1935 et portée à alliance; à M. Thibaut, 3ree arrondis-1.895.000 Ires le 6 novembre 1937 ; semons, une banyetette; à. SE Alabert,Et au moyeu d'un empesait ri, rue Romganières, deux motifs; h

eommunal de 2.117.000 teneur do, M. soffres, 17, rue de Nemmat, unune première partie (1,302,200 pro.) portemommie: S M. De/am/h...001.a ete réuliaie et 5001 10 seconde par- g, rantie (751.000 (rancs) a été autorisée noix

rimgll"-- -Par décret du 28 mtobre 1938. ." ana ."`.

Leu 1.,:e6emz

Au cou

et UN RAID DE RAVI TA ILLEM ENT% rs de /a nuit du 23 au 24 can-

par an p0 ad d'expropriatioa rée) mi a ia"atia. duosoa-e a'aania Pabliaa.' gr:1'11%111=er, trgeeutPiereui tion des immeubles nec.saires

à l'agrandissement de l'Ecole. chernm Marguerite, demeurant 288,Le montant 5 mdenunt. al-; rmé

louées Par la commtrsion arbanrelo Ormoie. café, murresan, eto.. été an-quantité de more, de

d'évaluation s'est élevé. à 1.167.270 robé°.francs et la ville a pu prendre 50s-1 outre, irae quinsaine de banteitleseesion des immeubles après Paie- d'huile, ont eté mises dans un sue etment de cette somme. ; écrasées sur place. Plmieurs boute/.L'administration municipale Se de vinaigre ont été brisecs. De nom.

disposait à réaliser l'emprunt dom- Mieux sacs de pâtes anmentaires ontplémentaire de 751.900 franoa été éventrés. DAM. et rendue bu/re-mettre à l'adjudication publique lastravaux desecomstruction paymcm travaux sur les fonds dm em-prunts effectués et de M subventionde l'Etat, lorsque le décret-loi du12 novembre 1938 sur l'arrêt desgrands travaux est venu apporterun empêchement formel à la recons-truction de l'Ecole.

v,.,liopnaireentaépeardeip'EuLatdeduxe la sali-, rteenes

La mise en adjudication publique du couvent et mi ensuite brisé te car-re. d'une fenêtre donnant sur /e per-des travam ;

La conclusion de l'emprunt comiplémentaire. S'IL LE RETROUVE

Malgré l'urgence formellement re-I, lo 22 courant, vers 18 heures. AIconnue par l'administration supé- molle Peres, regageur de commerce.Heure, de l'agrandi.emmt et de 1a, demeurant 12, rue Laserosses, a perdureconstrmtion ; malgré mn portefeuille, contenant une sommel'insuffisance manifeste des locaux de 2.100pour loger convenabanment et hy..i Manree an.M.J.am tamaaMaagiéniquement les effectifs scolaires Manant été enregistrée an Mremi desqui les fréquentmt, nexéculiron dea élmve.. m. Pan.. norre Maman coutretravang g été différée b nouvea,, inconnu au 7me arrondissement.jusqu'à ee gitane commimann sPé- LE CHAPITRE ETERNELciale siégeant à Paris m soit prononcée. DES VELOS

NI, Louis Suzanne. demeurant 3, hn-Dès le 7 janvier 1939, nadmini, der mn;es pertetratiOn municipale misissait cette mainte contre inconnu 7me amon-commission d'une demande de déro- dissement, po, roi de sa bicyclette,galion spéciale au décret-loi du 12 commis le 0 courant. mare ao doucesnovembre 1938, vu justifiant par m h. 30, rens la-cesir srun -Menemtoutes les circonstanc., la nécessité bie e /a nie du Chairedon.actuelle et grave de t'agrandisse-ment de récole qui intéressait à laque.

MOUVEMENTPois la santé et la sécmité publi-DU PORT AERIENMalgré les démarehes pressantes DE TOULOUSE-FRANCAZALet réitérées, aucune solution n'est

intervenue a ce our POUR LA jOURNEE DU 24 AVRIL 1939

Mals landminietration munieipale L'avion d'Air -France g Ville d. Men,a,:.n'aura de eesLevene ob%elu 7.5,lec'Huon dtéocuti'usnaine du quartier (le lit Passagers. 33 Llos d. noue, 173 kilos deDalbade et plue particulièrement frêt. est mrivé à Casablanca vers 16 h. 15aux parents des élèves de l'Ecole L'avion dAir-Frusc. « Ville d'AngersFabre.

G. SIRECH oh. dent. 14, rue Rival,231 85. Paiement mensuablés.

Le décret empêche à la foisdes Iocunnus fins, te 52 cou.

FAN DE BRUTM, l'abbé Castaing, supérieur au

Couvent des Pères 54ancisceins, 42,avenue Etienne/3E112r. a none plain-

venant d'A. O. F., du Mmoc est renveT001o..ro à 15 h, 04. aro. 3 pasrogers.M kilos de nom, 42 kilos de frgt

L avion assurant la ...mon rince surParis a quitté Toulouse à 15 h. 35.

RADIO-DEPANNAGE13, Rue Boulbonne - TOULOUSE Seiree nal>llananseianu anul .t.Répandions garanti.Décans de hranee ks mercredi et di.

MAISON DE CONFIANCE "'am'

VIE OESPOCIETES

LES VIOLETTES TOULOUSAINES(Clmur Mixte). - Les Inembres uoctifs sont priés d'assister à la réuni,;qui aura lieu ce mardi 25 murant

21 heures 71, nie du Tour.Communications importantes.

SOCIETE PHILANTHROPIQUEe LE PELICAN s - Tous les mem-bres rIn Pélican sont pries de blet:vouloir assister à la réunion tad au-ra lien mercredi 26 courant a 21 h.précises Mi soir au siège : Café del'Avec...arme

Ordre dudr.rultottetaanes.

Compte rendu de la fête; Seanurs;Questions diverses.

SOLIDAR1TE ET TRAVAIL FEM/-NINS ET AMIC1LE PRO A.E.P.S. -Los membres des sections ci-aprèssont convoqués aux jours suivants

Cyclisme mercredi 26 avril.Monis : vendredi 29;Natation : samedi 29. Organisation

de ces sectiom; Séjour de vacancesà Capbreton; Excursions; Réunionau Cercle à 19 heur..

PARURES DE MARIEESCOSTES, 25, rue de Fromusat, Sb

Pour les danseursMATINEE DANSANTE.

C'est sous le titre de a MatinéePrintanière anus l'Alliance

Toubousainedes Steno-Dactylos eomPtableaorganise dimanche prochain 30 avrilà 15 heures, dans les salons de l'Hô-tel de Paris, une grande Matinée

daravccePorchestre Rends et ses BOYSunr MM cotillon et la traditionnellebataille de fleurs, celte matinée, pla-cée sous le signe du Printemps pro'mes beaucoup de gaîté et d'entrain ànotre jeunesse tioulousaine qui vien-dra nombreuse dimanche à l'Hôtel deParis, oublier les preoccupatims Pré-sentes.

1111111111111111111111111111111111111111111111111

EXPOSITION SCOLAIREJeudi prochain 27 avril de 9

heures à midt, et de 14 à 18 heuresaura lieu à l'école des gare.. doCentre, 7 rue du Temps a ToulouSe,une exposition qui comprendra deslivres de classe, de bibliothèque, dechant, des gravures, des ouvrageset du matériel (jeux de lecture, de

sensorieLs, etc.) pour les éco-les maternellse et enfantines.

Le personnel enseingnant est gra-cieusement invité à y assister.

CHEZ LES STENOSAvant-hier 23 avril, ont eu llen

_Monte Supérieure de (lommerce,sous la présidenee de M. le maire,1m examens de l'Association sténo-graphique system° Prév.t-Delau-nay. Près de 150 candidates et can-didats ont subi les épreuves. Nousfmons connaître ulttrleurement lesrésultats.

ESCOLA OCCITANA

Les félibres de l'Escola occitanese réuniront à Toulouse, pour leurbanquet annuel et leur assembléegénérale le mardi 2 mai prochain,

19 h. 30, au restaurant du Clocherde Rodes, 14 p/me Matabiau.

A ce banquet, ou sera servi lmmenu spécialement tou/ousain, se-ront fétés les lauréats de l'Académiees Urus Flocaun,TOUs les félibres, présents à Tou-

louse sont invités à assister à cettebene réunion. (Cotisation 25 fr.).

Prière de se faire inscrire au siègesocial de l'Eseola occitane, à la li-brairie Privat, 14 rue des ArtsToulouse, avant le 29 avril pro-chain dernier délai.

LOIS ITALIENS DE CHEZ NOUS

L'Association franco-italienne desanciens conabattants (section deToulouse/ réunie en assemblée gé-nérale 10 23 avril a voté un ordre dujour. Pac leque/ ses membres ont re-neuve e leur fi ehte a la ance, R-délité qu'ils ont prouvée à diversesreprises et enfin consacrée, en semettant à. ta disposition du gouverrnement de la Ré 511100e, dans lecas où un confite naitrait entre laFrance et les nations ennemies de

lay,Pe's4nemcileplirrtsrent à l'assena-is/Ce, qui ont dècà Sauné Iruc a e-Mon au précédent ordre du jour.font appel à, tous leurs camaradesanciens combattants de la grande

f>011:1';'e 'drnrie%âetl'enere:aldr l'etiter'tt'se.genr ecie \amine

Ils adressent également leur plustistr.e.sseaontnt bamn/ tous Dean;le nombre de ceux qui veulent aiderau maintien de la paix, en offrantdans la mesure de leurs moyens,leur concours à la nation qui les a

ùeccuttealljisoteet lieteuurrauepecentiano.ndgeunefai-t

libre, à l'abri des oppresseurs.Les anciens combattatns comp-

tent sur vous, frères Italiens, dignesde ce nom, pour répondre nombre,uà leur appel.

EXERCICES IVEILITAIRES

14e lb. I. - Reale de perfectionne-ment - Participation des O, g, ceS. O. R. aux exercices du régimentTabanan des exercices avec troupeprévus pour ta semaine du 24 au

an avril 1939I. - 1° Bataillon a) Ire Compa-

gnie F. V. o 24 avril ; départ duquartier 12 heures ou rendez-vousau borain du Sable à 13 heuresb) 2e Compagnie F. V. n 25 avrilExercice de nuit renddesmous a19 heures, ferme Teinturier, carteToul. N. O. en 175-482 2 kilométres500 N. O. de Colomiers l el Ire Con,Pagnle de mitrailleuses : 26 avrlldépart du quartier 13 heures, ourendez-vo. sur le terrain, côte 359.1.300 m. N. N. Ch de Pomo/marne a/3 h. 45.

- 2. Bataillon t Exercice denuit le 27 avril ; rendes-vOus a 19heures, ferme Teinturier, carte Toul.N. O. en 175-482, 2 kil. 500 N. O. deColomiers.

- Hatell/on d'Instruction o a,Ire CoMpagnie de F. V. 26 avrildépart du quartier 13 hanres, ourendez-vous su r/e terrain de laPandrerie Sud de ro. N. I. A. 14heures le 2 7avril ; départ du quar-tier 13 heures, ou rendes-vom surle terrain de la Poudrerie 14 h., 20avril ; départ du quartier 13 heures,ou rendez-vous au Sud de Pouvour-ville à 14 heures In 2e CompagnieF. V. 25 et 26 avril ; départ d, quar-tier 13 heures, ou rendez-vous sur/e terrain de la Poudrerie h 14 heu-res; e) Compagnie de mitrailleu-ses 1 24 et 27 avril ; départ du quar-tier 13 heures, ou rendex-vom sur leterrain de /a Poudrerie à 14 heures.

W-liNGE, Iii Engins ca-nons de 25 r 26 avril ; départ duquartier 13 heureS, 50 rendes-vouesortie N. E. de Pouvourville à 14heures. Mortiers de Si m/m ; départSa quartier 13 heures, ou rende,vous ferme Debans 600 m N. p duclocher de Pouvourville à 14 heures.

AUX ART/STES MERIDIONAUXCes Ils 12 mai prochain que doit

avoir lieu l'Inauguration officielleSa 30e galon des Artistes Méridio-naux, complété par une très inté-ressante rétrospective du pastellistetoulonsain Gabriel Durand,

La Commission d'accranhage rap-pelle aux exposants que la remisede leurs oeuvres devra s'effectuer auPalais des Arts (entrée par la gran-de porte du quai de la Daurade), dujeudi 27 au samedi 29 avril, de 9hmres à 12 hanres et de 14 heures à18 honres.

En dehors de ces dé/ais, la Com-mission décline toute responsabilitépour le placement des esuvres,lllllllll llllll l 11B11117

ellefitRor et

MInfragt«FeeA L'ASSOCIATIONFRANCE-POLO ONE

On vient de nous informer que nes,oosaiiva Franee-Pologne ange.eo laoonldsstov du général lauie Ferry surs La position de le Peogne vls-à-visde la France et dans l'Europe cen-trale. n

Le général Emmy, ancien directeurdes letmles S l'Ecote Sananieureguerre à Varsovie, est plus que per-sonne compétent pour parier de cepays qu'il connaît trêtr bien. Le sujetd'actualité qu'il se propose de traiterva attirer sans doute te nombreux PU.-Mc de cbohr.

La conférence m questim aura Iteule vendredi 28 avril, dans la salle Oas-ton-Doumergue, 2, rue Alsace-Lorraineà 9 heures du soir.

NOUVELLE 1101.1 DE LA PAIX

Rémiuu mercredi 50 avril, salle dela rue slexandre-Fourtanler, iL 5 21

h'''terdttelulret,' Otiusee de MI P.patin, doyen de la Facuite des Let-Ires, « La politique aug aise a

Mme OUSSANE AU CAPITOLEPoésie d toniours

et peetm d'aujourd'hui nAujourd'hui lundi s'ouvre Librairie

Edouard-Priver, 14, rue des Arts, /a lo-cation pour la brillante conférence quedonnera jeudi prochain, en matinée, à1S h. 3e, au Théâtre du Capitole, l'il-lustre sociétaire de la comedie Fran-çaise, 301000e Beatrix D11.0120

On mit quelle magnifique Membréeréunit chaque fois qu'elle vient à Tou-louse, Mme Duseare, c'est une roismosuffisante pour ne pas remettre au der-nier jour, a retenir /a place de mnb

Poésie de iouieurs et poètes d'ou-i...MM s dont mus entretiendrarémanent professeur au Conservatoirede Paris et ft /Pacte Normale de 5.5.ncon ml un soolct ébtm,leount et qui

leseit.attiireret,sees, ste.u.lenuttée.ntml:t.letti.zsei:

DUNie -toulousain ami des lettres et

LE MATERIEL ELECTRIQUEA LA FERME

Hier kodr, à 14 h. 30, a eu lieu illa Maison de l'Agriculture la secon-de des conférences de M. Nivard in-génieur de la sociitié éanctrique desrevaux agncot. de Pans, qui ontété donné. à Tc.ccasion du Concoursrégional agricole.

Elle était placée sous les auspicesde la Société d'Agnon/turc de la

riante-Garonne et présidée par M. deSevin, président de cetan association

Après que /e film parlant s Bers-'lie > eut montré la succession desforces naturel/os o volcans, orages,geysers, houille, pétrote, pour en a,river à la captation des choies d'eauen vue de la productim de l'éle,Incité, M. le Président se félicita dusuccés du Concours agricole dont di-verses innovations, telle la o Fermeélectrique u ont particulièrement in-téressé les visiteurs. et souligna Pen-trite de son Commissaire général M.Bary. Puis il donna la parole au dia-ling-né conférencier.

Celui-ci dans un exposé fort inté-ressant et riche de document:Hanmontra l'effort français C.ins la cons-truction des usines, de t'équipementet des réseaux électriques, effortnom place au premier rang. Aprèsun aperçu général sur les applica-tions du courant en agricutture, il envint au sujet annoncé et examinedans le détail le matériel électrique àa ferme lnb0004rxuaysotoemq,rayeuse.s, barattes, chambres réfri-gérantes, malaxeurs, trieurs, con-asseurs, broyeurs, couveuses,sac. rie,.etc._ qui contribuent à allégerl'effort Sr l'agriculteur, â rendremoins rude le travail de la fermiMomit en assurant une merneure hy-giène et une parfaite aisance dans

Soc manipolnions ot transforrantions.Il tenniou en montrant le râle éco-nomique et social de l'électricité,éminemment propre 0 combattrel'exode rural et qui, avec le gaz desforêts contribuerait en cas de con-flit, 0 /a défense nationale puisqu'ils'agit en l'espèce diens, me Me chernous, alors que mus sommes tribu-taires de l'étranger pour la quasi-otallinè ,dees,ntcanangnts,,laiitid.ers,

aut. permit de voie en fonctionne--

GIEMACALLIA-PALANE,C -SPermanem de14 à 19 h., mitée 21 h. os Li,Accri d,Silence . Les rois da la Valle

GAIJMON1-PASACE. - Permanentde 14 à 19 h., année 21 la. t s DanineFarad. o (Ine romaine/.

- 9R,m.11. Lai ,..1/3s9,u:. 4.13cor, Cx00000tfloche avec Armand Bernard.

5OUVEAUTE5. - 'Permanent de 14 èsoie. 20 h. 45 Les Deus Cmg,

''''FitsAeZs s Le SA.-rerm'arititlatteM'Ir R'14ss,oirrya21 Heich la SauvageonneJur sucne Fred, Cardoni, Chmloq;

TRIANON-PALACE. - Matinée 15soirée 21 h. o « Vous seule que j'aime

'VURLIE,VTi'E.S..'"--/"'Peerms a'aent de 14 y19 h., maé. 21 1,. o r Le Cur Ehlosiet

VoC/XC71'"iPmermal nn'ennt'den 5à. 19

riharr''d iineth.s e'UnseanM md'd'uleaUx'L''leri.seir::

111110111121111111111171/1111111110111111111111

(

LEUNION DES SYNDICATS. - Leu

légués. sous-délégués. Vs membre, de.bureaux et des museik syndic.. maiconvoqués pour mercredi, LUI hem,

Ordre do sous c 0.9/aaiamda e.mier Mai.

Les reneRces uni ont VeYeA des fond.au groupement d'adhats sont priés de nfaire représenter à la rémrien spi aune Loice soir mnrdi. à 2/ heures.

Les inerophros roue o mices-cres.du 30 arril sont reesos an secrétariat de kBourse du Travail, tom les jours Suva':mmedi, 29 avril 1933,

Prière ana secrétaires de clésistare descollecteurs pour dimanche matis 30 avril.

couRs PROFESSIONNELS. -rappela aux élèves des murs d. k Boumedu Travail que les examens de lin d'amnée molaire sont fixés eus 26. 27 m 24

11 isdinvenroble que chacun os coraforme roirounient ana iadlsations qui mgété donnée, dans aime., dee dere..

la distribution des prm aura fies leermandhe Il min. à 14 h. 30. da. fa ro%des Mure de la Boum do Travail

COLLEGE DU TRAVAIL - Promenaele là - Mardi 25 aura. à

20 h. 30. Martin o mathérztalnqurei21 h. 30. Fakucci, professeur au laya< tTema. de Jaurès 21),hlà.,,à,ai àvra. à 2o h. 30. Wmi.

Lecture de mimaJeudi 27 arel, à 20 h. )0. Plandé,fere. au Lycée Frontières « Naior

d'Emore (VII, 521 I,. 30, Ereeher, pràlesseur à la Faculté des Lsstss. . Deusproblèmes de l'économie européennepain, k fer OH

EMPLOYES DU COMMERCE, DELINDUSTRIE. - jeudi, à 21 heure.Bourse du Travail, réunion du conseil 9311.dical, délégués et sourodélégués.

METAUX ET FARDES SIMILAIRES.- Conseil syndics/ général des métaremardi 25 avril, à 21 h=,,re, Boum d.

Choreto dee Mégies. - Répétition de,ténors, premiers et deuxièmes, mardi 23avril, i21 heures.

Répétitiou de> bartem et bu,.eredi 26 avril. A.2/ Juane, Bourse daTramaUltimes répétitious en vue de l'audit:«

de le choral. te 30 avril, a FM. d. l'Uniattdes Syndicats d. /a Ileum-Garonau s, à laHalo aux Grains.

Présence indispeumble.ARTISTES LYRIQUES ET DRAMA.TIQUES, - Réuuion vendredi. à 21 haa.tes

PERSONNEL DES SERVICES PLI-BLICS. Tous les secrétaires de sesimisent priés de passer à la perrmnenc.. 17,rus de Rémusat, durgene.e, pour prendrales instructions et ka tracts nom is jouenée du ter Mai.

&cg. oecnière. - Réunion de la sec.tion roir. à 17 h. 30, Bourse du Trandl.Comptes rendus: indemnité .SYNDICAT DES CHEMINPT.S. - Lemembres du comité direcmur, les mem,srmhnigues de section, /es délégués du perrenne!, ks receveurs ront priés d'assistasà rassemblée dia/ormoie5 réservée amcadrés et aux milimroo de nom eue.,qui aura lieu ce soir, à 21 heures. Mon.

Osa Cheminots.Ordre du kuro Camp. rendu du con-seil 'atonal de le Fédération de, Gherni.nes.Vu Il-maremme des sujets qui y serveMités, la présence de tous les milita,vOsest indispensable.

11111111111111111111111 lllll111M11111 llllll 1111115

etvis Officie95EXTENSION D'UN AVENANT AUNE CONVENTION COLLECTIVE

Industries du botePar arrêté du 28 mass 1939, M. leministre du Travail a rendueug.eeeessee,te,e eeel et set'

d'EPPEcation les dispositions de l'a-venant du 26 juillet 1938 à /a com;matonnationale Intervenue le adécembre 1938 dans /Industrie 511bois (rendue obligatoire elle-man.epar arrêté Ou 5 novembre 19371.L'attention de tantea personnes

intéressanse est appelée me le teeede vol arrêté psdi1 au S. O. du 3/mars 1938 et qui cOmporte en an-nexe le texte de i'avenant,lllll llll semmassissuisims

ment les rnultipiesaPPareik qu.nait de citer M. /Ingénieurard.At, applaudissements de l'as&oire M. de Sevan dit S l'éminent con-

férencier combien il avait su nous imtéressen il associa à ses remercie-ments M. l'ingénieur Heno Matillqui a puissamment contribue anamanifestations électriques du Cim-on., agricole, et les assura que anacollègues feraient kur profitvens,uut 5%m-re-manié en 0000e réuni.

,ment attrey.te.

Jourdan Se Peerrotter sa ue

me qui se trouvait tout près de la fe-pourquoi et interpelle un jeune hom-

nêtre en compagnie d'un camarade et ET LE REQUISITOIRELES PLAIDOIRIES

d'une jeme fille. La partie civile, car, naturelle-C'est toi aol a casse le carre/16 / ment, la maman de la victime s'est

interroge ?ourdie en s'adressmt à portée partie civile aux débats, damPaul Verdier. , une fort habile plaidoirie demande

Celui-ci lui aurait paraît-il répondu aux jurés de se roppelceno momentpar un mata significatif ac000.1.- de leur décision qu'il y a une mese

4 siaffltleM11

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 5: France-Espagne LEON BLUM en Suède DÉMOCRATIEimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1939/B315556101_MIDSOC_1939... · autres dictoteuis, par des accords militaires secres. ... tous

A VitatiALi/Section Toulousaine

L 8215,86 de la C. A. aont prie.d ametor a le réunion qui aura heu mer.entri, 26 av., à 21 heures au Fores doPeuple

tee important,Presence mdtspenetem mue.

ho, 0002, idisirse 0205 451Cénure Centre, Auguam-Blanqui, de ta

Coque. d. Borrhoure, et Po.le Canton Ouest. Same026051. Paul Fauré,Roger-Selengro, Lardenne, Latmegueue,font pries d'assister à la 'Wien de les

Commission adnunistrative Pour dee airoxtiens iroposames les intéressant. mercredi26 ore. à 21 heures au Foyer du Peu'phs.

Le .oreatre : René Dean.,

GROUPE D'EDUCATION SOCIALISTEOU GAZ

Assemblée générale do Mou02 le r.rdr25 avril. à 19 noues au Foyer do Poo

Ordre de tom Adhearomer colimtions:ammerm édu.tive Par In omarade duParti; queetione mporhantes.

GROUPE D'EDUCATION SOCIA1.ISTEDE L'AVIATION

Les camarade. da ho.. reptroserIdes d'usure ont informée que ia reunion,k la commis.07 exécetwe aura hen

64I 26 26 eyra, h 21 heures. au Foyer duPeuple. en vue dg la 0190000(07 26semblée générme gni aura lieu S On'dredi 28 avril. à ZI houes Foyer duPeePle.

Preoence abireement Inms,enmble.Le Semeielre,

GROUPE DEDUbATION SOCIALISTEADOLPI-LE TALAEAC

Tous les membres adhérente 01 MmPladentine eont intruses 9112 la rom., men-suelle du menue au a lies moere& 26avril. à 21 ber., . sidge. CON Jensen,

du Yer.h-Chevar.Ordre du mur . Causerie par notre ca-

ronade Ah ,,i, questions le

grolle.)F))) $10101061.

311401116E ETIENNE,1311,LIE01E$(Cafe eln Progrès. pie. Olivied

Némoingte. Nous venons d'anmandoJe deool qui vient de happer notre eantri-rade Ramon en Peson. de on Péo.

Que notre camarade st sa famille2020 1,186 trouver ici l'expérie.a de nos&noème sendoléances.

Le &mea..consul,. CENTRAL DES GROUPES

D'USINEC'est avec ene trée grande peine que

none emtrenone le deuil cruel qui frappestore camarade et arni Marteau Ar.ud,Pérrorier du groupe des Hoomes civile deTeuton., en la pereonne de son frèrePierre Ar.nd.

En ce. pombIe orconstance, nous leFre.* d..41cr nee eue erimetes .ndo,tatoues se toi« noirs oympathie -

1.45 camarades du Conseil central et desgromme mn disposeraient a, la matinéesont informes que les obeèques auront lien

mare notin. 10 heures; rendu-voue 52,Pierre-d'Arago (Mierne.).

Le Secrétaire edjointVotante'.

HARMONIE SOCIALISTERépétition ce mi. à 21 'heures. au siège.

69, rue du Taur.Préparation du concert à 56,410.9, T. T.

CHORALE SOCIALISTE ET NID049.9 ROUGEn-FoRGE,a

Dimanche 2328,11 «6011 lieu au siége deE société, au Popu Bar. 065 16001011 m01is fan utrone de toue les camarades de lasociété. La gelé et la french. camaraderie45, 81551 46 .949046 dans notre 1,2411, se-

No. chers entants du Nid noue ent char.tan une partie de l'après-midi P. lemsjoyeux ébate et chante

Les chariotes ainsi que les divers sr»lices de deb eurent on; ause 1e0r potde succès Le président, nette ornera.Maury Se ouiours jeune), eur 4,.,. 0601-

e e aEn réarmé, excellent eprès.midi, et

001.msomarades de la sociéri.taent un ehfort 910, 01874 pour être Mn Présent.Nos remercie.. vont auee à nes cle.camarades direeteur et professer LouraVice et Jules Lartigue. pour le dévoue,mem absolu dont ils font pernve Peur notre groupement,

a).1)

Répétition générale ce mir Mardi.21 heure. précise.

Présence indmpensable 91 507515610 d,toue les camarades Noeveaux chorusl'étude: prochaine $ortie.

Le Scindions.

CROUPE D'EDUCATION SOCIALJSTEDE SAINF-SIMON ELLES PREVOT)0,0861. Conférence publique mmedi 29

avril, à 21 'heures, Grand Café Terminusà SaesSimon.

Se,,. 16 présidence do ROGALLE, ad-joint more.

Av. le concours de Jean RABARY.«gréions du canton Ouest du Parti SoMenuet

Endre BERLJA, député de Toutou.Le Parti Socialiste veut .010,0112 Ia po.

26.901ation e événement. actuel. Il «rimeA100 tous be hommes doivent savoir p.(000611021 Io seng.froid nécessaire pournmimenir la Pao

A

Jeunesses SocialislesSECTION TOULOUSAINE

Ce soir mardi, à 21 heures, réunion d.la C. F.. au 60986

Les sec.etaire. do groupes de cantonNod sont spécialement convoqués

A l'ordre du mur Plan d. travail dan.le canton.

Le Secrétaire R. Legerdellg

COMMISSION DE PROPAGANDERéent. de la Commission de propa-

gande tore 27 avril à 28 heures.. lool71. ore du r.r. e

Présence indiepen.ble de tous ro mon.

L. secrétaire A. .4...COMMISSION EXECUT1VE

1600000 de la Commirim Exécutiveaura lieu ce eon nmrdi 25 avril, à 18 a..96. 00 Foy. de Peuple, 69. rue de raur

Ordre de jour trè. import..Le ocrerairs g. Col)

L7EILLET ROUGE23260601110 23 5,094. 1(.20112t Rouge

0001.011010(10 00 860006 0,1111001 4 l'US. BagiegeoLse. Partie louée

400,00001021'4.900110. R4.100.10 techniques.0,11101 ROUS? 141 do, u. S. B. 121 21CELlet ROUge 111 98, U E. B. 11) 93En match feminin, belle démener16

tion des équipe. du Cie, SportifEtienne 011101e66 et du a Ç. 0 T. etcharmante réception des dirigeants dél'U. S. Datiégeoise.

leÀiweri

t'eeettrueUlle assistance, 712090e. C'eat alors que Orameens Eramtris, rivalisant d'ardeur et de précistrn, ce 0005,01 en grande actipn. L'égulm)évoluèrent se. un rie/ gris et p/eureur, nerveuse et pratiquant un basla.(e t

Aucune 001e discordante. It MM, 00100090000,, part et att I)

6711')elz.ree-dt1,

79111007e,

COURONNES MORTUAIRES 0000e1 196 Notons que I. Paniers en Mure. IntliD. CISTES, 10, rue de Rémusat, 25 00,,,,ogg, VO!. 000rié marqués par Labo. apteChola a donde... 10490070,0 663-18 taire P.S. de C11.y.

. eus nerrit quit fut MM minant demazApr. une partie mouvementée, 911-

EM

gour.My remporta par 20 17.

Q ce fut la présentation des équi- °e:.. -pes fém ,.inines du S.C. Bordel et du i

M2J :M Z r mtpren,Attrq.s, ,gpouj,.

CS. Livre Paririen qmsiiIi.e. Pour rmt janials battus devant Me UMIllOn.620001,fine. du championnat ee sa, 10,a, parrniquels excellaient 010Particulier Mariniez

Le B C. Bordelais conserve et Araalld.le titre La marque laissée à 21-13 p.sa, hien

tôt à 23-13, 23-14, 23-15, 2.5.17, 27-16 27.18, 27-19, 27-21. 29-21, 49-21, 30-23, 32-2234-24 36-24 37-23 et...tee à 17-25.

AVIS DE DECESLe Conseil 2'01700011100000000 du Cer-

cle Largue 09041986061090, les Maî-tres. et I. Maitre du grotIPO Fer.mat. pnt la douleur de MS taire partde la Perte creelle qu'ils viennent40990086e en la 00100000

Monsieur Barthélemy FAYETS.retaire nonora4remoneetem 002000

400429 a l'âge 47 07 are et vous prientde vouloir Men 000410e ses Oltree.COR. qui auront aUjourd'huimardi 25 avril 1939. à 14 heures.

On 020(116*la «rte vina/paledu Cimetière de Terre-Cabaele.

Il ne sera pas fait d'autre 100b101000.

REMERCIEMENTS

91041rietir André 1,016110,0286600.trateurde la Société a

11900010eMonsieurGeorges 0.090001, Madameet leur me GUI, ainsi QUO (10001iaie.parents et alliés. 0700MucheS des nom.

b/mmuses arques de sympathie qui leur

791 274 téMoignées IStroasion desC. de

Madame André LOUBETNée Adrienne SENAC

prient Mutes les personnes qui se Sontgriserie. à :mir deuil de vouloir 01010

0let 20600006123 dl leurs remet.

Le 's'e'llve'riù neuvaine a eta Céleri'dans la plus stricte intimité.

000009,0. de«, Juliette. S. S SuMtPeptide«. 090(5,4026+.110Han

tIAVIE

PORTIVECYCLISE/1G

TOULOUSE VELO-CLUBLe Toulouse Vélo-Cleb s u'est y confier

...née l'organise.. du Circ. Roued'O. Cette éprouve drotrattomentrleverte aux .nreurs indépendants do

0°"arimeet quatrième cse.orree et de...,mra disputée le dimanche 30 avril 1959,

ou. lee negro.. de 1

que, paroles bre. ormes 'amerrie( Io renés. suivant Toulouse.94007006!.00011,462,omarsdes qui avaient répondu Vonerque, Cordouch. Villehan

$5211.051 mou.' ebma. 405 .80 the-de-Lauragais, Batiège,trouver les paroles necesoires pour rd. Ces,anet, Toulmos Distance

loi, I" ""la"" go! ss km Plue ,k 1.200 francs de 9100 00nature récompenseront les efforts de. Ple.méritants La rem.. des dee.rde auralieu 62, allé. SainhAgne, de 13 14 h.

et le départ réel 14h. 30. h P.troi dela mate d'Espagne. L'arrivée prévue MaltI8 h. 45 sera jugé. 0.iien. 200 re avent Io Po...*Les encenserons (5 fr.) seront ieemi eusiège. de T. V C., 110 n, aveue 101,0.20'lien,

moto°. 29 avril. à 21 heures.

DANS 5BANLIEUE

AUCAM VILLE

REMERCIEMENTS

'Madame et Monsieur Dommique 9E89.150100.01ER et leur remrle; Maclante etMorse. Jean-Marle PELISSIER etleur famille. Madame FIGNAC, tee fa.railles CARRIERE. ROQUES

'1'eujr'en'int.'re'an't'enedes0901100010.0 0110Par la 0090-01100, et les dicareee sotietés, Poccarion du deCeS de

Monsieur EUgêne PELISSIER

Prient trouver MI 150980,5100 deleurs sinceses remerciements et vousinvitent d essister au Service de neu-Veine aura "eu aujourd'hui mare

10 Permes, 9 l'église dAucammtre.

J101111281116111111i1EIREIMIEM

SPORTS TRAVAILLISTES

L'équipe masculine de l'E.R. Toulouseet le team féminin du S.C. Bordelais

restent champions de France de basket-ball

L'A.S.H. Gravelines et le C. S. Livre Parisienturent des adversaires courageux

Dong le cadre 000600100e..r des as On s'attend un duel serré. // le 0,5,.4e=OMM eest déroulé, hier, ung rem en effet, mais restera à Favantage do

2711.16, p749000000 000lo, 000000tl

ortive travailliate du plue gmand 04010040000 excellents

000660107,,Quatrematenee de hardtebball étalent n'II.I.Mou.jr,r,Mr.f.II,1jIt00000000001717'0000,010,,, 10.00'00 96.0e 00 09001 056711(900 00 91016001 09090100100° rert,iCe.t,4-2 et ToulMse egahse à trou-

Le0 70010ses bordelaises, en maillotlides atimposent d'entrée. Eike mar-quent trois paniers (s'assurant un Po-.. avantage.

Les Parisiennes, quehpre peu sidéréespar 1 départ foudroyant. rua nulle-ment dételtragém, remontent pe-u é, peule handicap. Elles eltritnnent 00 Pre-mier point 00101407 panier, Le scoreest donc de 0 ù S. ltraip l'équine sle Bor-deaux ble:1 enemenee par son capitritlevlIesris eu Siam. :Gnome it nortr

eau. La marque change presque à cha-que minute it l'avantage des visiteurs

!Orbe la repos, Véga!00 parisiennereùcit sous l'impulsion de son ch.Eahr. El/e s'octroie un joli panier 12-7. Bordeaux contre-atta.,ue. Et voici letableau d'affichage 0001055180 t 14-7.17.7, 109, 10.0, 1640, 18-13, 20-13, 22-13,23-13, 27-15 25450 27-15, 200-19 et enfin29-17.

Les féminin. dé Bardeaux gagnentet conservent le titre de Champion deFrance. De vris appiaudissemems souli-gnent /eue victoire mérités.

La victoire de ToulouseL'OR. Toulouse, tenant du ritre et

FARD. Gravelines prennent position.

Le coup d'envoi entre f.R. Toulouse et A.S.M. Gr o.lin« pour le championnat de basket.

Inum111111111INIMMIIIILMIIIIM llllllllll 111111111111f11111111111111111111115111111111115

rie, conseiller d'arrondissement con- peut dire appartenir 0,0 011407, moyenseidler nurntripal. vient d'avoir la doe nes, ne SemSent pas, au moins enleur de perdre sa bere-mere, madarne apparence, 00101 2000e, one tue 0105,Vve Parant. 42103110 saMecli, 6 l'âge de nette de lettr situation prochaine.79 ans. /I nous est des lors aPparn utile et

Dnus cette pértree circonstance, de notre devoir de 1000 05001(21 cesno. prions notre Camarade et ga fa. inforinatio. moine officieues, mors

Mille d'agréer nss Condoléances MS pl. exachee 001 leu? Permettre00 deplus rincer.. 1.0 Section, socialiste saisir /es données d'Un Problème,

soehme tout eeeee91111110.

0000,1ls5 lll ll 11111111511111111151111115111/5111111114 veut apPorter des solutions DrinnsSibles,

C'est dans ces 60000111000 que nomavons décidé d'ouvrir notre réuniontous

Que nos camaredeo militants enPrennent nitre Pottr assurer 950110

SAINT-GAUDENS manifestation son pieln SUC.. 5- Lebureau-

NOTRE REUNION D'INFORMA-Trorx Ces, e 079 21 heures. L'ISLE-EN-DODONqu'aura 1100 au stem de la section S.

r O., Cafe de lEtorle, l'importantere.ion d'in ormation annonce.

Les problernes d'actualités difficul.tés Intérieures et situation Mternariohale.. seront traités par nos excellentscamaracleS René Desbals. secrétaire dela Section Toulorsaine. et FernandCon délégué des crigenbsrnes sentremtdu Part.

La précipitation des événement, la F

voie dans larme. sr:etre notre gons

DANS LE DEPARTEMEN1

001" 00701,13001 0es-z:40,04.ino,rariP.mot mitan° de faits oui Men-

BLAGryqc 0001copfloner ies prévisions dee thé.

LE 075232 SOCIALISTE

Nette victoire. Les joueurs ToulonBrins ont droit a te. les éloges Men

=71,11.171re.Zà=arietentlira'ndemment 000000, et fut un excelientfinaliste

Le quatrième et dernière rencontrefut l'oecasion pour 1E.02. Loverais detriompher de la 3.0.0. Bondy pas 28 à14.

104.50141 VPOlidltirtars

0

00MITE REG/ORAL DU MIDI

Nous 760100 00100 le, 000100011211. auComité Régional du Mid, de bien vou-loir taire parvemr d'urger. au cantoracle 0011100001 000001005e général duComité 1540.0001 du Mie. 4, rue Saint-(Bene, Toulouse, tes mandats en vuede leur représentation au Congres 14frirai qui doit avoir heu les 28 et 99avril 117000010$à, Parla,

1000+'tairegênera/ t G. Guilbert].

RUGBY A QUINZE

LA GRANDE FINALEBIARRITZ-PERPIGNAN

DIMANCHE 30 AVRIL A TOULOUSE

C'est dimanche prochain 30 mud 1100FU. 0. A. Perpign.ais et le Biao.-0(15000100, disputeront à Toulouse, sut leterrain du est ade Touloe.in. la finale dechampionnat .114 France d'Excellence..

A D h. 30, or lever de odeau, onelien la finale dg championnat de Foncejuniors.

LeL. (dee. et le pua dee

010e.,9Oxdo places pour la finale dudIrempion.t de France. 000 00 ditniecralo 30 avril, à Toulouse, eu le terrain duStade Toulommin. eté figé comme eurt

Tribunes centrales numéroté, 42 In

(location et timbre compris); tribones au-tres travées, 32 fr. (location et timbre conepris); chaise, de touche non numérotées21 fr. (timbre compris): Pesage 15(timbre compris); popu rlaires 8 le,; céduPpens popelaires (scolaires et militaires).4 francs.

('o location pro. les places numérotéesreniement s'entartra aujourd'hui 25 avrilet m continvere toua les tours, de /7 h 30o 19 h. 30, eiège du Stade roulouoin.Il. allées jean-Punas Iler étage), On peutlouer par correspondanee jusqu'au joie

evril, 196,01$!. (joindre moraaPt dumandat postai 2 fr. 50 pour l'envoi re-.mr.ndé des

9-41,00.11ne peut être retenu anome place Partéléphone. Toutes les autres catégories doplac, y compris /es chatres de touche,ne .rant vendu. que ta out,.dans divers endroits de la ville qui serontindiqués ultérieurement. Il ne seo pasv.du de billets au terrain..---co,

NATATIONLes DAUPHINS DU T. O. E. C

A PARIS

Toulouse. 24 avril, -.. Samedi procheincora lieu à Paris une grande réunion de.41001100 orgainsée p. la F. F. 0. envue de former l'équipe de France. Quatrenageurs toulousaine participerontI 86011,Panard. Labres, Dealmnroto des Dau.phins.

L'équipe haukusaine partira en avionomedi, à 16 heures, nagera le soir même,1,21 heures, 0 sera de retour le (enderminà Toulouse pour osieter à la finale derugby. Véritable record de vites0 001 estbien dans la manière dee brillants nageur.du T. O. E. C Imbitués, comme on tait,è réaliser les Pim) éton000)ôoGee

Pour terminer, eonhaitens bonne chanceb nos quatre «Dauphin, . et bison. desvis.. pour qu'ils «irai sélectionnée Pourformer l'équme egymmtme de geatre fois200. Ce serait dtailkurs légitime. car irn'y o90 moiteur qu'eux à l'heure ac.

en Fran.. A. A.

RECORD DU MONDE FEMININCOIXMIlague, 22 avri/. Aujourd'huiCOpenhegue, au cours d'une

0(601011denatation consacrée des tentativ.contre les records, Mlle R Hveger abattu le 086076du monde 6002211 yards,nage libre, Couvrent la 61,10.001 en2 m. 22 e. 2-10. Le preekdant record Me-porteuse la 0219600 0050060 hollan-daise Win, den Ouden, avec 2 nt 27 0.

0.64 L'an assé, Mlle Hveger avait réa,/Né /e temps encnee meilleur de 2 m25 s 9-10, mais .....emologation du PO-med fut refusée, la piscine n'ayant P.les dimensions réglementaires pour cerecord.

UN GRAND MATCH. C'est 06 20.yrianche 30 courant 0110 1m vétérans duPleine Clob 91slois. réunirent au SM-410.na MUnicipattritécuipe du Club

37,Vieuxde l'Aseoce Toulon.Les Visitellis -peôôFclant °Poo 50161.61180 LAIQUES. Samedi pro-

posé de plusieurs seeetionnés p0001. choie 29 avril, aura lieu dans ln sallequant un 10000000 scientifique; 11 n'y a den tate, tt(at.

(050ors q présidence ee M. Mesquere, maire, tate obtenus per MO cette saison PPM', mpop ppasmiler gênerai du

P'QUae.' e12017.17eLs le ilcseltnetjtro:iur,4 0100twe:pied une &MM. 'enietcée elpi 105. 'seu'ret1a0n 1.,14.1:e0 Toulouse0,' protes% 1°0:1

0°"'" ne" 0000',

la Faculté des Lettres de Bordeaux.Nous renarlerons de ce mateal Mena.,pptpa 0050(00MlniStère dee

MClaliotes. 000001 en dOnnant la formation des10000000NECROLOGIE.Notre excenen Néanmoins nss compatriotes, et par- rima étimpea et tes performances rea,

cam.ades et ann Summer de00-5I0 ticulierement les commerçants ere Con Ilsecs var Ms vlstrellreI Cd 001,1 090104 R00$ le ou7000

ler le titre d'un livre publié teesCharles Lavemelle par I énéralFabre. En réalité, Famée netéresse nullement eux pratiques

mus.laires. Elle . se préoccupe aucunement sle fortifier Io jenees Pm anneléspour accomplir leur service militaire. Lesraisons de one négligence sont multiples.

II y a la gueoe des méthode. L'écalede qui devrait être 10 1801100où eé/aborenr les notions de culture mueculaire pour l'année et on se fannent ce.qui sont chargés de les diffuser dons lescons de troupe plusieurs fois changéde conceptions. Et puis set Nahlisomemdot orienté vars nu Oie gni n'est Pee lesien r mise au point do excipions N'abon pas or, en effet, ks Joinvillais Zoo.-per de la préparation des athlètes fon.ois en oe des Jeux Olympiquo de 1006?L'expérience a été concluante. Ce fut unfias. .M.2. Car 700.000 francs furentengloutis dans cette histoire qui n'a Md.loment aervi le Mena franç.).

A antre aviù tâche An établissementormrOo 3,iooill, ot toute efférente. Lebut à poursuivre est de fournir à flaqueimité lea édncetems enrinnelehies. L'école devrait aussi, per des causc.0,1, 4,, tracts des démonstrations con.vaincre les chefs et les officiers de la nhusité de l'enerakernent corporel. Nonseulement pour /es buis PrePme à Fooée.Mais au.i parce que le militaire se oc.cremt dans le civil, te so/dat redevientensuite citoyen. Ne seraihil pas souhaiteble de le renvoyer dans ses foyers pluerobuste, 910, 02111,100 de remplir mu teleévennzal de ehot de famille ?

Couine taos de troupe ont fait onepla., aux eiyorts. En réalité, il s'agit su,tom /l'équipes e fanions o dont lo me-rès font une agréable publicité 800010051et à l'officier chargé des exercices physi-que. dan, ce régiment. Ce/a O'0205610rapport avec la majoration PhYsiquaIer y a aussi, parfois, la volettesportive qui trouve A /a caser. /a bonnea planque e, le bon e fi/on 4 et n'eu làque quand son moi16 0010114 00 l'ennelle

as ailleurs.Tout ce/a dee p. sérieux et ne same).

ble nulkment au but à poursuivraEl

irae« part, le s restement général eé.dotation physique s era usa. dans Pavanée,(dont la publication commencée eo 1925,n'est pae terminée), coûte cher. 11 194,00dé.Imo de prix pour beausoup.de gradésDore un article de la 0 Vie [lama,11meure, le général Fabre dit que c'est ungros dictionnaire, de rédaction parfaisobscure, comeiqué et dont l'ensembren'est pas assimilable.

11e a bien le manuel de 1937 den fortmat plus abordable. Mais écrit M. Fabre.esot un a guide....

On es don. qu'aiusi outillé, le chef dece.t ou l'officier d'unité eil n'a P.Inhinteme le toit des exercices physiquo,et une formation qui le poisse veo cetteFestivité 06 oucie peu do Ventre.,meut ...ion de se, hommes.

On .mprend mal que /e ministère deI, Défense nationale, doté chaque annéede nombreux milliards, n'ait 700 000011trouvé lo quelques millions nécessaires00 "1 v y moire eaberd récole de hin.

EN - CARAFES ccy PUR, A N;LE LAIT L'EPARGNE CACHETÉES I' HYGIÉNIQUE

edllcation phySlqile,

et le sport dus liarme

mANE « L'ouvre spirituelle de la Révolution

Uamicale prie tous ses membres debien vouloir y assister Un service d'amtobole gratuit Peur Ms membres ...é-00000,,eln 086071000 p000 ceux 700 OU000p000eOoeflr p,, d, mopeos de loto.

elle et en faire, enmite, Fan/matricel'entrait...rem raisonné dam

matl'arnd

aprée lui matir dearté une méthode Pose, non ldulo,elo, 'non a nes m.

Cela vaudrait nrieux que de Coecudm sauteur; coureurs et lanceurs talÇa. qui vont 0020(00 06 faire battreBerlin nar l'elite mondiale dee athlète.

l'enneigement de la masse, le seuldoit nota prémenl.st .

L'auteur y souligne quelques lacunes dfrone..,nuel générai d'éduotiou PIO

,p000e,olçeol,i08 001. it/Z ;, 1

Mais revenons an volume de M. Fab0 j

Pour la course pédesto même réflezio

r.7:rdle:%"07;.trj:',1`à le: Ca ecem:4 0.01

peouOaitra/h.oetentrainement

à tem ponts05;I écrit encore M. Fabrerèglement (2° partie) dot qu'un Nomesdictionnaire de sports oses preseriptimgengame sort. C'est tom le contraire etai

rèVeer tallit»; général ladigae les mode remédier à one faibles,20 de l'enManlent corporel en réentent. lllooipour que les gradés s'entretiennent phgueulent 4 tour iirm et rotent aptee à .seilles ei 4 diriger leurs hommes

R se 0100, 610, entendu, mu le plmilitaire, en recherehants Par le510 14,2 individualités, à Kerte., ledonnent de Fermée. Mais les critiquobit, les solutions qu'il propose val,,également pour les buts noue occupaiei O c'est-à-dire rendre ples obus

ieux poriants tentes lea fors que e.nossibis et en loutre occasions, les FrMie) quels que soient leur ôôr et leurti..

NTa fin du livre 11050 je parie .

moment contient une annexe consacréel'édueation physique et au sport dans Inadart Cm y trouve 1010015 nombre

eprjài'elt:essérd'arreertt'e reidobri'Z'A0 r

.7olL r'e.,i'iréd'ut'eatrepil-Zsit0.°'"P'er,P0rOla antique des sports.

miP're'serruperterOntq .11 mnoinlveau pour beaueonp, (te km incombe

Il est permis d'en douter. Car le v/ume (motion ornonte à ertrienmois déjà. Est-ce que le ministère et 1membres du Conseil supérieur de&noire en ont eu connaissance ? Fighnulle ont inserit ee problème parmi leupréoccupations ? Eshos que l'un robes.Ires en out compris l'importance et Eine

'1u's'qu'ici, je n'al PM entendu dire qedy ait quelque chosh de changé dam« grande omette a, Ni que ses Uri...9

ux chefs se soient penehée ami cern(qottroo, eu000 importance pourtant ealpitak,à tous points le ore. 1

EMRE MARIE. fE15,,RiAexTiy:

O

j'avais écrit à ponm des tenues sléggéo des SUR-vetements (et non dsongtêtemmt,

Une pha,o du met« comptert peur Je charepii niietie érence férniin donbaseci 41 qui crpotsit hier aux

mili lllllll 11111 lllllllll minutait lllllllll it llllllll Holitiluutultuou lllllllllllllllll Illuiltutilm111111EHIEMIHE lllllll HIEtale av. Betty 9010e051 3. 6 Un heu,reux mari 4 comique avec HaroldLIMUL

CARDON NEACTE DE PROBITE. Pendant la

fête scolaire il a éte perdu $ous la halletut portemonnaie contenant un cenMine somme Cet objet a Gê rouvéPer tele Cayatte, enlBorée rixes MmeRouquett no. félicitons chale ouzoment cette jeune 5111e pottr sort acte de

motion personne/aSe faire inscrire b l'école avant le

27 avriL

C/NEMA SCOLAIRE. Séancemercredi 26 avr.. 0 20 heures, ou pro-

portemonume est 00041 ententtaire: Ee Partldi, 0, comedie senumen- I delaebé à la PéalMe.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 6: France-Espagne LEON BLUM en Suède DÉMOCRATIEimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1939/B315556101_MIDSOC_1939... · autres dictoteuis, par des accords militaires secres. ... tous

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salele'letVéelt=

Mme J.efina Maras Garcia, de Ma-drid, hébergée à Auch, allées du Garros(Gare) recherche M. Jullo Mame Garciaâgé de 18 anS, aussi de Madrid.

Agueda Peralta Carpi demande desnouvelles de Manuel Peralta Carpi, en-voyer les reimiimements. à AL Frelmse,rne de la Fauvette à Rodez (Aveyron)qui transmettra.

Délirant avoir des nouvelles de JuanPaMual Salagrigas, he,giaau Domenech,Jean Gill, Carlos Duran, Jaimeerra, Miguel Rodriguez Ariza, FranciscoRamas, Manuel Lorenzo, Jose Ma Cor-tés Canin. (de) Cuerpo de Tren) rafla.mon Frorney, secrétaire général ce der-nier du S.R.I. de Barcelone. le. Person-ne., qui Sauront quelque chose à leur au-get sent priées de bien vouloir écrire a

Un sourire fané déeouvrait sesdents de jeune loup. Il s'amusait, etses yeux riaient, flétris, cruels. Ilattendait le sang de la rixe. Le Bor-gne riait aussi, en silence, au bas desea deux mains qui faiSarent un mas-que sur son visage.

Le Lutteur marcha vers Martin,immobile. Comme autre ms, quandil allait sur le tapis, vers un adver-maire, il rentrait la tête dans lesépaules remontées ROUX parer à uneMise du cou. A chacun de Ses paa!lents et massifs, la barque roulaitet se penchait jusqu'au v.g..,

Martin, clans son immolahte, le

guettait.Ils furent enfin si proches l'un de

l'autre qu'en étendant le bras, ilsauraient pu se toucher à la poitrine,et le Lutteur s'arrêta. L'un et l'as.!tee. ils appuyaient leur couteau con-tre la cuisse droite, pointe en arrièreet leurs deux visages exprimaientune sorte de placidité terrible quin'était qu'un leurre, un piège souslequel ils dissimulaient leurs calculs,

LE 111DI SOCIALISTE

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Titres remboursés au tirage du 13 AVRIL 1939 et appartenant à des adhérents de la région.1.ots.ssé te. ovon L.. à si..., Miss..1..10.5st,

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Le Courrier des e ugiesRobertIglesias chez M. Paul Phal, 4u.rue de Tolbiac, Paris, demande des ned-velles de Maquin Garcia Lieonart, An-tonio Pionces Garcia, Juan Marial hiertee et Enrique Oiler Cumes

Aug.te Pierre, chez Fruit,DrvIun (Haute-Garenne, demande desminelles de Antonio Franees Garcia,commissaire politique.

Antonio Sol. CcrVelo demande desnouvelles de al rem.° Pilas Sabate Ca-tala et de son fils Antonio. qui furent'f " Pc Pr - ' T

na) sur Gérone. - Répondre Cervel/o,16, Rue de Marine. Toulouse.

A Palia Rabasa, milicien réfugié.,prière donner immédiatement son adres-se à M. Juan Pourri., 26, nie de Bene-canal, Toulouse (lute-Gal) qui lui fera

M. De/mir Ibanez (chez M. Louis Ca- peryenir d'importantes nouvellesveillés), 22, rue Denfert-Rochereau àToulouse (Haute-Garonne). Luciano Herram, réfugié, 14, quai de

Mine Do:orès M. M demande des MU- Lorraine, Narbonne demande des mou-velles de Jesus Rubio. son père, et Aleja velles de sa femme Lucia Herranz Ba-Bonacho, sa belle-seeur. Ecrire 5. M. rajas, 29 ans et de ses fils, Luciano, âgéGuillermo Fol, 14, rue Denferalloche- de 11 ans. Rangel, 8 ans et Félix, 2 anS.veau. Toulouse (Haute-Garonne/. Pedro Aruny Valles, de Nar-

S. Burgarei, 14, boluevard de la Gare bonne, demande des nouvelles de /SidroToulouse demande des nouvel/es de Arany Valles José Aruny Valles. Rosa

Frederico Heimann Baake, réfugié mili- Arme ValleS et Pedro Pis Sa/a.taire eSpagnoL Jose Duran/ à Cuver-d'Aude

demande10111111111111111111111111111111111111111111111llllll IumuumuutlillummuninunitisFEUILLETON DU MIDI (4)

détente de tout le oorps, d'un sauten avant que le Lutteur brisa de sa

main gauche ouverte et brusquementprojetée. Les deux hommes ch.ce-lèrent et le canot secoué embarqua11n paquet de mer.

- Cessez, dit alors Raynaud d'unon de chef. So. un mouvement !ro

masque, a arque peut e .Même sr nouS parveruo. ensuite àla remettre à flot, nous ne sauverionsni les vivres, ni l'eau. Et nous ne sa-vons pas si la côte n'est pas trèsél encore

- C'est vrai, approuva Amen.Fermez vos couteaux, vo. deux.

- Non, ref.a le Lutteur en s af-fermis.nt sur .s deux jambesécarté., mais pas avant que je n'aiefait son affaire à ce--

Mais le Notaire, avançant sonlong nez de rusé, suggéra

- Le Lutteur et toi, Martin, mesbons embe, Penaud a raison, maistransigeons. Finissez votre querelle,

sm la Dieu.. Vous la reprendrezquand nous serons à terre et vous

les apprets u o ., ,

chair. - Comme ça, oui, consentit leSoudain, Martin s'élança. d'Une` Lutteur.

s.,--7",tzcameffleimi

L'expérience libérale de M. Pau ey

q t de tourner .sez mal pour la Tre-iorerie, que fait M. Paul Reynaud ? Ilnous y enfonce davantage. Il nous yen'fonce jusqu'au cou. Argentier de l'es-pèce classique, il s'arme d'une gen.

" 'deUssure mule du eJ,;pecoese onumateumr l et de sa voix la plue ai-mable, en demande bien pardon aux ton-

."eant o. de isel. sim . de:mieux tannalesssFyiLssrensson=7Keegimierl'Anderacinables par.pris de c/asse.

"renepnse;Mais la défense capitallete se confond

de moins en moins, elle, avec . défensenationale.ELOGE DE PAUL REYNAUD

Inuthe de vous dire que M. Paul Bey-naud a toute grande presse pour lusOn loue son ingéniosité, son tour de

runa ne lui reproche qu'une cho-se t de n'être pas encore allé assez loin

/I y el encore en Fra#Le tr. detraina qui n'ont presque pe de aolfiageurs, trop d, prébendes, d'offices, ode

l'Inr=z;:reruede nos difficidtés proviennmt des....mains par des ...sa de fa-cilite électorale. C'est dom ces abus,dams cette faciiité unir faut Perte, lefer - ou kt hache. Car cette epoq.est révolte...L'effort de dg«. a../ on nouslaiconviesera ourni ...ment. Mals

a.si doitf être tata/. Défendre eamaison, c'est aussi y rétakdir un ordresain.Bien sûr. Je doute pourtant que la

ponception d'ormessonienne de l'ordrefans /a maison rejoigne jamais la nôtre.elEME CHANSONM. d, Réelle trépide d'enthousiasme

'Epoque). Les « mesures draconiennes »Innencées per le minisae d. Finances,g les approuve toutes sans réserve. Et I/ponc/ut son dithyrambe par un acte delot dans le génie de Paul Reynaud. Cou-mge, indépendance, vaste cuhure,

d'esprit, mépris des considérationslémagogiaues, Paul Reynaud réunit enla frêle personne toutes les qualités pro-sses a faire de lui), m Finistre des usan-tes d'aujourd'hui et... le ministre desAffaires étrangères de demain.

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. Sune Alfonso, 30 ans, fortifications,

a Midi Socialiste ii h Menem. iGers), mjxte 26, sea. mjtrais recherché par Telle Mse, 34 ans, subsecretario nanan' Enriqueta Mu:tort Ami. mente, recherché par rose Manu Lem.

sou recherchées par des mf,484 ...ri.. a8fli I.......'yeau Moreno Gozalo Francisco, 24 ans, p0- Tones Pug Juan, 29 a., de Sabadel,umeS Cu lice recherché par Maria 14)155 Soria. transmissions recherché par Trot..Centre de Condom. Braire à al A. Pou- ; Orozco Migu., recherché par Joseget, secretaire du Comité fic Secours, 7-,,,,,,, Loz.,,,.

Et puis, II s'est attiré la haine desteries hit.riennes

/1 ne p.se p. de semaine sansves M. Léon Bailbp - Peur ba

q'sdun nom - s'en prenne a.nt la petitiq. le.emee

idtranorthodose, ultra-libérale et, paromeedq.nt, idtra-conserzetrice, de-serait réunir les suffrages onteurf.-tes de tout ce que la Framée comptede nationaux. Les fanes gai prodigue(lent sono. d M. Georges Sonnet, le-quel ne no. a offert depuis un an Oull.s dê0e,ti0.9, que des échecs, quodee hontes, s'acharnent sur te seul sni-nistre auqued les Ménements ont don-né raison coutre tout de monde.On peut craindre, falsons-le observer,

sucects.:::e:

.asm, ne desserve, plutot que sels ser-vir, na politique étrangère.

OBJECTIONSContre ce caractère de c/asse, /édito-

rialiste de meuve n'hésite pas à éle-ver des objections:

Qu'il faine demander d tous ce.qu.4 contribuent d /équipement de .défense nationale un effort analogue dmati ma est f ourni ailleurs - non seu-lement chee nos rivaux, mais chez nosamis - cela est certain, et . C. G. T.elle-snéme n'y contredira pas.

Elle demandera seulement, mmdoute - et nous .mandero. avecelle - ceci z

Du moment 914,71, se rend compteMIi, que nous sommes en « économiede guerre s, il faut imposer aux...els qui .millent pour la guerre. mémo ...eine qu'on prétend exi-ger des ouvriers.

Car demander des heures de .vailsuppiementaires dans des industriesqui 114 sont pas - et elles ne le sontpas ! - coordonnées, c'est faire ungeste spectaculaire, mais eansino portée.Mais gen deviendrait la confiance si

l'on imposait aux industriels la disci-pline qu'on exige des ouvriers ?

Le libéralisme de M. Reynaud est àsens unique. Il ne profite qu'aux capita-listes.

UNANIMITE IMPOSSIBLEA I Frossard écrire dans un

article d'une rase sévérité (Justice) qu'llgouverne « avec la moitié de la Francecontre l'autre moitié s. C'est beaucoupdire la classe capitaliste ne constitue

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tom, recherché çar Den/Renia Miro Cid. recherché par Francisca °Mille. May"29 ans et ses deux enfanta. rat.

Baguez Duran pablo, 90 ans, mec, Sancho Sans Miguel, 54 ans, nicher- Ramon Resich Annam. camp dA rgeies sche par Adela Once. amp

e.--ché par Rosa Sancho Fontene, 15 ans. c civil n. 8. ga 200.

Héli. et Frmador sont recherchéS Par

goum lllll in lllllll 1011111111111111111111111 llllll t lllllllll 1111 lllll 11101111 llllllllll 1111, llllllll I llllllll 111111111111111111111111111111111111 llllll161111111D11111111110111111 llllll 101

lame de son .uteau dans la Mi- sombre et farouche violence se bat- jusqu'au Vmemela.Et, quand il eut fait claquer la - Si, répondit P.ynaud avec une dit le Notaire, depuis Saint-Laurent eeLeca e.emeer sgarreeriet miboeuilldaiet Iitteerivez

mum du m.che . ter avec 1 eau jusqu'au moment ou Une brusque montée de l'eau sub- droite la plage s'allongeait pendant- Partie remie, Martin, aujouta- elle sera à nos bouches et, si nous mergea sa Voix sur seS lèvres. La fi- es eues, sans un detour, commetri]. Au débarquement, jit'aurai. sommes VaillenS, se dire que la mort levée s'était enfoncée, et les hona- me allée. A gauche, il, s'infléchis-- On verra, est meilleure que le bagne. mes soudain dressés, n'avaient plus sait elbois, et, à moita, d'un kilomè-- C'est tout vu, répliqua le Lut- L'eau monta encore, mouilla les sous leurs pieds qu'un radeau de Ire, s'allongeait en cap souo meteur, avec un haussement d'épaules. ventres, I. Polir).., naufragé qui, peu h peu sombrait touffe de palmiers qui.-Puis, il revint à sa place, devant _ Fane paeagie, rgaa, aae ,,t,,e davantage et qui, drossé par un cou-In caisse et le baril d'eau... voix

,,nul ne r.onnut. rant dérivait vers /a rôle déserte.queTrois jours encore, le vent soutint - Po ur aimer la mort, riposta

rlà-

Choc mou. La film. avait butéla fileuse, pua, bruSqumment, da. Reynaud, aa

papaeije

lointainempré_ .ntre le sable et s'était immobili-

la nuit, il s'abattit sur elle, en torna- ri_ que fiée. La côte etait core,7obe Mourir,m

reven baS.de. La voile trop gonflée, s'arracha Un emeal,,em01,eat sembla 'rola mais l'eau ne dépassait pas /e couau mat, las rames se brisèrent, une ver, pperiaea la mer eappée. La nuit 2m homm.. Courbés comme tu]sà line, et le gouvernail se rompit net hâlaient une charge trop lourde, pasentre les mains de litaytmud. Dans ''e"learejcs51."!"''Irlr.t..sts ii à pas, ils remontèrent la pente dou-tes tenebr., entre les vagues sou- .. ce du rivage, puis d'une course 'é-levées, sore les tourbillons de la - La côte sanglota Y, Notai.% tubante de blessés qui fuient, épar-tempête, la fileuse s'abandonna com- la côte... ,

pillés, ils traversèrent une plage deme en agonie. Les hommes, à ge- ét.it eorrup, ied .,,,,, -,,,,,,, sable, vf a I re if, ti.1,g%dbesa, arbruets.f.nous et /*tants de fatigue, renvoyai- ét

c.e;e: paar7ae fatigue et ne se ra/evè-ont avec les mams, avec les cha- iusqu'aux épaules et de s. deux

brit'4.'gsVuee's l/eage Idean.s'a?a7barles- l'..li'.ért.,°di'lriè'iln''né'qu'eutitFseht.'ll'el "'I'lere Eau, ffelm4s la mer jus-que. Ils ne parlaient pas. Queiq''' ra

veule'esaied b Us en épi)ri e dminait 'à 'slaui'eanut ades"leiesuarlePeemiliielfois, .ulement, I. d eux, mureeen, le bordage ea rentre le amât perte de vue une forêt rosie par le trace prepiavie, , menees

parun cahot de la fileuse, criait de.uffrance. Ils luttaient comme desmourmts.

Ils) se crurent sauvés quand - àquel moment de la nuit, à quelledistance de l'aube? - I. vaguess'abaissèrent, mais ils ne parvin-veut pm à vif ce la fileuse Ils avaientde l'eau jusqu'à mi-eniehe et ilsavaient b.0 lutter de toutes Mursforcee, sens une pause, sans un ra-lentissement, en forçats, en évadésl'eau contin.it de monter. Elle at-ieigaait I h ch.

- La pirogue est crevée de touecôtés gémi, une voix méconnailSableharassée. Plus rien à faire.

Un refiexe de fugitif rejeta Ray-51x2 en en arrière. A la pointe du cap,Il-ail hommes surgissaient.

L'air était si clair entre eux et luila lumière si précise, qu'il discernamalgré la distance, le détail de leurscostume. Vareuse et pantalon blancumolletières, casquettes plate. A lataille, un ceinturon. En bandouliè-re, un carabine. immobiles, ils exa-minaient, la main au-d.sus desyeux, l'étendue de la mer, puis laperspective de la plage,leReynaud recula encore et réveilla

Notaire.-Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ? On

m'arrête ? balbutia le forçat en rou-vrant les yeux. Ah ! c'est toi l'In-génieur... Je rêvais que l'on marré.1151 et je revoyais les policiers.

- Viens, interrompit Reynaud.Puis, quand il, furent tous 1. 2contre l'arbuste- Regarde ces trois hommes là-

bas, ainutatli-. Les vois tu bien 8- Onu.. Je les vols- Te /es voisTout le jour, dans l'ambre mas- bien.., bégaya le Notaire d'un tonlire de la forêt où bourdonnaient faiblissant.

des vols d'insectes, ils dormirent - Si je les reconnais !... Je l'ai vusans un mouvement, sans un soupir, déjà deux fois dans ma vie..,sans un mot de rive comme si, tous - Alors nous avons échoué en..,ils étaient morts - En Guyenne anglaise, oui... Ah- Et toi, Notaire, insista le Lut- Reynaud se réveilla le premier. misèreteur toi qui. échoué deux fois chez Il se leva d'uv mouvement sounlo - Muer., répéta derrière euxles Anglais, est-ce que tu reconnais et reposé, puiS carabe hisènSau se. le fbillicur,la cÔte I. bic et, au travers d'Arbustes cessé-

- La côte est la,même.parttreitg 0/1413, regtorda autour de aig ret egiVrelz

jourefizséniur' demanda le Lut-

teur qui haleta. et qui était livid- IIsous le hérissement de la barbe, oùcrois tu que nous soyons ? Vo hamme e- Je ne sais pas, répondit Ray-naud. Au moment où la tempêtenous a pris nons avronu certaine-ment dépaesé la Guy.e holl.daiseMais nous a:telle déportés vers lafluyane anglaise vu poussés vers leVenezuela, je ne puis pas le savoir.

ia France «une minorité et M. Dalie.

dise,al t.Peirl d' reale âne' ererud Ii elt.deuxaLente.RipmL11,es,,..,,..,

va e.vux letriste hen..' qui rotera, je Mt o.,raidis, attaché d a. nota, . porteslu hache Jaxu ce quel subsistait encorede l'amure de justice fismite si megsde la République. Il fallait un «mat s de g.rre pour qu'il P. Se per.ni.,,,,,,ettr,,,e.des tout oser. Maie c'est cemat, précisément, qui devait le lui

Reynaud recueille. Je u'ez.doute pas, aujourd'hui, des «fivete.Cons entho.i.Ses. elles lai visondront . ce. qui, demi. traie ennnées, ne le résignaient Pe. d Pen.semble dee réformes qui avaient ei.s,

a leschean.q..td,Par leur résistance toutes relie,têtue et atm., d tous les

pPreaux"ei='arsedde'la'piec,°07,712tore. du Front ...ire, leur don-ne . remua. guelte escomptaient. Jeles avertie,. c'est une revanche hienprécaire, et dont ils devraient conne

un saUva0,riverse4eoi. d une po.s. tenta.,eeadersei:eosti

tlen t'd i'e'n>fs

'qtrzZe 'e.,getr;,1,174-e.7or'ser7; t'esk'rvr% in« t'en 'éte"4d"e14patrie, ni mes. /ours propres in.

Lanse,''' :r eanl pei dleer: t t'telles !

LE FRONT tD.EftLAierPMX

dent pas... temps. Ils travaillent àrallier sous leur trique 101 110111 Etatshésitants de ,l'Europe centrale et desRalluma Marcel Pays (Ex...G. star/ne que la manoeuvre, fort bien conçue;n'en sera pas moins éventée

Les précédents funestes d V.Aut.che, d . Tchécoslovaquie, d la Mn.aie et a l'Albanie, garanti., elles mest par les Mats totalitaires, ont domuld réfléchir d tous l. E.sdu sanie des..

/i'o/ogne, Roumanie, rougosteie,rem souscreront donc d tous lea

cora bilatéraux de neutre., presssés par Gorlin et Rome. Mais Van.Me, Bucarest, Belgrade, Atliénesgarderont bien de renoncer airs memenses franco-britanniques, sans los.

n'erg es7a. u" 'trete teen. ernse'eoMer /Virement, meseent reçu les inion.Nom conintb.toires devant tesq.0endurent s'incliner les Schuschnigg, lesEaclus et autre, Clivallsowsky.

.p.Evdi,de,tint cet àlesie,perréceepuet,s,

dans les br. de l'Allemagne. Ce qui Csdéterminerait sûrement à sên déhale-ner, ce serait la constitution rapide ésce front de la paix, qui les garanties,contre les agresseurs.

Où en est le front de la paix ?Le correspondant d'Excelsior h. Lon.

dr. nous en donne de Mimes noue,les. Entre Moscou et Londreal.n. benmieldas se dissipent et l'espoir est cer.

Sirwiiliuxêlmaeadu,sddlvr,.Ivin. Poateememene e

,d légere et sues cas de cooiret ' t MI d

'duvo,neenlnvruoteovoxnlulr,lludnezan. d lalIens es :a Rom.. des garantie. .

miment semé.. vient de donner und,

tla'rére br"il deen'41", pts'er*firuefiell

reetzorme

prmr%,es.,stee,

av. Ankara m poursuive. acteue-=cl lu voyri,uivn d'In 0mb5

Question de jours. Mais nous sommesen un temps où les jours comptent centPOUR L'USAGE DE GCEBBELS

Les amls de l'ennemi qui pullulentchez mus eu une parfaite impunitésavent bien et ne perdent pas Mur

Le soue-Rainvine de l'Action française' ff d t (II t h

ment pas de force, tout pacte arec IOSoviets. Le raison ? Je vous /a den.ecrneV.1/0t.,'0I/rni pacte avec Moscou ferait

, C'est a/ors q. Hitler aura un ma-. gnifique jedtEXte pour cri. d I m.".

alertent. C'est tdors aussi qedi/ se anafera les mains. Quelle arme on /ut

.1,:et dno..evo:ezn.:ra.feo:7 qteLL.uslIres-sceau vitupétion ua la eo.1-

:te'Z''uo':aJ:k'Pi,e':in''u.,/:e':i,,i,r,':ê:e:'ro:u'09':.s

de, d l'enthousiasme dont braient

ser de toutes ces caembredeeines.SI /article de M. Deleberrne n'est P.

reproduit par tous les organes . La

oe"hbeIs'Unirnaa m'aeitsorPLUS BAS (PUE BASILE

Le Goebbels italien tait parfaitement/e sien. Aussi n'a-t-Il pas manqué, lisons-nous dans la Lumière, de faire rein,elpird;nee d::::.t;o,utdee to..itrzsa,t1ralna7i:01::./e en première page et en très bon.sait cinq ministres français de vouloir la

A'eFeb.u:eud'h'ili, le même Bailby - tlq1les agissements sont à surveiller de Metprès - en un cmhl I utconforme à sa manière, Insinue trek

a,ym IxssIlle 51 al dsmausl si 1.011e

:r4tàU',orner.ron,7m.?11-prro'rg

ns'ep rrmie cnet sà.

étepnl'ur brMie Il L'OC!Bailhy est amdessous de Basile.

UN HUMORISTE.rIo

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05 lus

Il vIve aime

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rte Madrid, y a un dérhalliemenming., de haine, hab.. cont

t1::: :1.. D: 7P: el: so:q3:::

llo. sDepuis la prise de Madrid 1 Voilé

avons fait een:bla:t de les aMer.-

d e n ion .nent p. I Ce sont nue qui, rentres

7777: 'qu:c'e'sreler.,eed,,,

tram de contaminer leurs minnueursCc René Benjamin ed un

jin façon de non maitre Léon Daude:p.

rgi m. mi me ar m) er asdiet titre Pl atainaG isssvi 1.1ed 4.6.14

2.97Ze3 s - 02765 Rb 3.621"es - s - leva fr.) 4.1150-

ev0 re capital magnum garmiti . i300 fr.es par moke GO titres) .77.124.500o.200 francs ces Mme, ..., 83.080 -let trame - :(0 tmem .... 41.500 -

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60.000 francs

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TRAVAILLEURS!!!seshes

lire la pense bourgeoise eMstPerler atteiMe à la armeeouvrière - la vôtre - qui,amie, défend ms l'UMM.

Groupemvons doncautour du

Midi SocialisteLe quotdlen des Milltama.des Démocrates de laVille et de la t'empaume.

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par Suzanne MUA

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