FORAGE - BRGM

50
BRGM i^ Département de la Haute-Corse FORAGE DE PUZZICHELLO 2 "Apollonie" Rapport de fin de travaux par R. DOMINICI avec la collaboration de B. BOSCH, F. lUNDT et G. JUNCY 86 SGN ¿169 CSC Août 1986 10, OCT. 1986 BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL Service Géologique Régional Corse Immeuble Agostini - Z.l. de Furiani - 20600 BASTIA - Tél.: 95.33.75.c7 BRGM i^ Département de la Haute-Corse FORAGE DE PUZZICHELLO 2 "Apollonie" Rapport de fin de travaux par R. DOMINICI avec la collaboration de B. BOSCH, F. lUNDT et G. JUNCY 86 SGN ¿169 CSC Août 1986 10, OCT. 1986 BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL Service Géologique Régional Corse Immeuble Agostini - Z.l. de Furiani - 20600 BASTIA - Tél.: 95.33.75.c7

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BRGM

i^

Département de la Haute-Corse

FORAGE DE PUZZICHELLO N° 2

"Apollonie"

Rapport de fin de travaux

par

R. DOMINICI

avec la collaboration

de B. BOSCH, F. lUNDT et G. JUNCY

86 SGN ¿169 CSC

Août 1986

10, OCT. 1986

BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRESSERVICE GÉOLOGIQUE NATIONALService Géologique Régional Corse

Immeuble Agostini - Z.l. de Furiani - 20600 BASTIA - Tél.: 95.33.75.c7

BRGM

i^

Département de la Haute-Corse

FORAGE DE PUZZICHELLO N° 2

"Apollonie"

Rapport de fin de travaux

par

R. DOMINICI

avec la collaboration

de B. BOSCH, F. lUNDT et G. JUNCY

86 SGN ¿169 CSC

Août 1986

10, OCT. 1986

BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRESSERVICE GÉOLOGIQUE NATIONALService Géologique Régional Corse

Immeuble Agostini - Z.l. de Furiani - 20600 BASTIA - Tél.: 95.33.75.c7

SOMMAIRE

RESUME

AVANT-PROPOS

1 - INTRODUCTION

2 - CALENDRIER DES OPERATIONS

3 - RAPPEL GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

4

5

6

- CONCEPTION DU FORAGE D'EXPLOITATION

4. 1. Colonne technique de tête

4. 2. Chambre de pompage - Cimentation

4. 3. Colonne de captage

4. 4. Tête de puits

- MISE EN PRODUCTION DU FORAGE

- ESSAIS

6. 1. Débit artésien

6. 2. Essais de pompage

6. 2. 1. Premier essai

6. 2. 2. Deuxième essai

6. 2. 3. Remontée

7 - INTERPRETATION

7.

7.

7.

1.

2.

3.

Le

Le

forage

piézomëtre

Conclusions

8 - PREVISIONS D'EXPLOITATION DU FORAGE

9 - EVOLUTION DE LA QUALITE PHYSICO-CHIMIQUE DES EAUX - PRELEVEMENTS POUR ANALYSES

9. 1. Mesures in situ

9. 2. Prélèvements du Laboratoire d'Analyses d' AJACCIO

9. 3. Prélèvements BRGM

9. 3. 1. Analyses physico-chimiques

9. 3. 2. Analyses isotopiques

10 - CONCLUSIONS

*

* *

SOMMAIRE

RESUME

AVANT-PROPOS

1 - INTRODUCTION

2 - CALENDRIER DES OPERATIONS

3 - RAPPEL GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

4

5

6

- CONCEPTION DU FORAGE D'EXPLOITATION

4. 1. Colonne technique de tête

4. 2. Chambre de pompage - Cimentation

4. 3. Colonne de captage

4. 4. Tête de puits

- MISE EN PRODUCTION DU FORAGE

- ESSAIS

6. 1. Débit artésien

6. 2. Essais de pompage

6. 2. 1. Premier essai

6. 2. 2. Deuxième essai

6. 2. 3. Remontée

7 - INTERPRETATION

7.

7.

7.

1.

2.

3.

Le

Le

forage

piézomëtre

Conclusions

8 - PREVISIONS D'EXPLOITATION DU FORAGE

9 - EVOLUTION DE LA QUALITE PHYSICO-CHIMIQUE DES EAUX - PRELEVEMENTS POUR ANALYSES

9. 1. Mesures in situ

9. 2. Prélèvements du Laboratoire d'Analyses d' AJACCIO

9. 3. Prélèvements BRGM

9. 3. 1. Analyses physico-chimiques

9. 3. 2. Analyses isotopiques

10 - CONCLUSIONS

*

* *

LISTE DES FIGURES

N° des figures

1 - Coupe interprétative des formations néogènes de la Plaine Orientale Corse

2 - Coupe interprétative Est-Ouest

3 - Coupe géologique et technique du forage

3 bis - Tête de puits

4 - Pompage 28 m3/h

5 - Pompage 42 m3/h

6 - Courbe de remontée

7 - Simulation du premier essai

8 - Simulation du deuxième essai

9 - Simulation sur le piézomètre

10 - Simulation sur 6 mois

11 - Analyses physico-chimiques

^ 12 - Relation entre la teneur en magnésium et bicarbonates

* *

LISTE DES FIGURES

N° des figures

1 - Coupe interprétative des formations néogènes de la Plaine Orientale Corse

2 - Coupe interprétative Est-Ouest

3 - Coupe géologique et technique du forage

3 bis - Tête de puits

4 - Pompage 28 m3/h

5 - Pompage 42 m3/h

6 - Courbe de remontée

7 - Simulation du premier essai

8 - Simulation du deuxième essai

9 - Simulation sur le piézomètre

10 - Simulation sur 6 mois

11 - Analyses physico-chimiques

^ 12 - Relation entre la teneur en magnésium et bicarbonates

* *

PLANCHES PHOTOGRAPHIQUES

N° de la photo

1 - Mise en place de la colonne 0 225-250 PVC (chambre de pompage)

2 - Forage â l'air des conglomérats aquifères avec tubage à l'avancement

3 - Mise en place de la colonne crépinée 0 127-140 PVC

4 - Débit artésien avant pompage - 10,7 m3/h

5 - Mise en place de la pompe Immergée KSB

6 - Dispositif de pompage

7 - Pompage au débit de 42 m3/h environ (tube de Pitot)

8 - Mise en pTace de la tête de puits

9 - Abri du forage - A 5 m le forage ELISE dans l'enclos grillagé

PLANCHES PHOTOGRAPHIQUES

N° de la photo

1 - Mise en place de la colonne 0 225-250 PVC (chambre de pompage)

2 - Forage â l'air des conglomérats aquifères avec tubage à l'avancement

3 - Mise en place de la colonne crépinée 0 127-140 PVC

4 - Débit artésien avant pompage - 10,7 m3/h

5 - Mise en place de la pompe Immergée KSB

6 - Dispositif de pompage

7 - Pompage au débit de 42 m3/h environ (tube de Pitot)

8 - Mise en pTace de la tête de puits

9 - Abri du forage - A 5 m le forage ELISE dans l'enclos grillagé

RESUME

Les résultats positifs d'une campagne de reconnaissance de recherche

d'eau minérale, par forage, dans le domaine des sources sulfurées de PUZZICHELLO,

confirmés par l'arrêté paru au Journal Officiel autorisant l'exploitation des eaux

découvertes, conduisaient le Département de la Haute-Corse, propriétaire des sources,

à décider de l'exécution d'un nouvel ouvrage.

Ce dernier devait être capable d'assurer un débit de pompage tel qu'il

puisse permettre la mise en place de structures nécessaires à un développement mo¬

derne du thermalisme dans ce secteur.

La maîtrise d'oeuvre a été confiée au Service Géologique Corse du BRGM

qui a entrepris les travaux au mois de juillet 1986. Le deuxième ouvrage, dénommé

"APOLLONIE", a atteint une profondeur de 51 m, après avoir traversé 11 m de terrains

aquifères en charge donnant un débit artésien de 10 m3/h environ. '

L'interprétation des essais de pompage effectués en fin de forage a

montré la possibilité d'une exploitation d'eau souterraine au débit de 40 m3/h.

Une surveillance constante de différents paramètres (conductivité, in¬

dice de sulfuration) de l'eau en cours de pompage et des prélèvements effectuéspour analyses ont permis de conclure à la constance des caractéristiques physico-

chimiques des eaux, comparables en tous points à celles découvertes sur le forage

n° 1 "ELISE".

*

* *

RESUME

Les résultats positifs d'une campagne de reconnaissance de recherche

d'eau minérale, par forage, dans le domaine des sources sulfurées de PUZZICHELLO,

confirmés par l'arrêté paru au Journal Officiel autorisant l'exploitation des eaux

découvertes, conduisaient le Département de la Haute-Corse, propriétaire des sources,

à décider de l'exécution d'un nouvel ouvrage.

Ce dernier devait être capable d'assurer un débit de pompage tel qu'il

puisse permettre la mise en place de structures nécessaires à un développement mo¬

derne du thermalisme dans ce secteur.

La maîtrise d'oeuvre a été confiée au Service Géologique Corse du BRGM

qui a entrepris les travaux au mois de juillet 1986. Le deuxième ouvrage, dénommé

"APOLLONIE", a atteint une profondeur de 51 m, après avoir traversé 11 m de terrains

aquifères en charge donnant un débit artésien de 10 m3/h environ. '

L'interprétation des essais de pompage effectués en fin de forage a

montré la possibilité d'une exploitation d'eau souterraine au débit de 40 m3/h.

Une surveillance constante de différents paramètres (conductivité, in¬

dice de sulfuration) de l'eau en cours de pompage et des prélèvements effectuéspour analyses ont permis de conclure à la constance des caractéristiques physico-

chimiques des eaux, comparables en tous points à celles découvertes sur le forage

n° 1 "ELISE".

*

* *

AVANT-PROPOS

L'exécution, en juillet 1983, d'un forage de recherche d'eau thermale

à PUZZICHELLO (Commune d'AGHIONE, Hte-Corse) a conduit à la découverte d'une res¬

source abondante d'eau sulfurée calcique artésienne. Après la mise en production

de l'ouvrage. et une surveillance étalée jusqu'au mois d'avril 1985, un rapport en

date du 17 juin 1985 du Service des Mines conclut à un régime d'exploitation arté¬

sien de 5 m3/h.

Suite à un rapport du Laboratoire National de la Santé, l'Académie de

Médecine donne un avis favorable à une demande d'autorisation d'exploiter en tant

qu'eau minérale, l'eau du forage dénommé "source ELISE".

L'arrêté du Ministre des Affaires Social es et dé:rEmplo1, en date du

4 juillet 1986 autorise cette exploitation. Cet arrêté, paru au Journal Officiel

du 28 juillet 1986, marque l'aboutissement des travaux entrepris dès 1983, en

Haute-Corse pour relancer une activité thermale moderne d'une source délaissée de¬

puis 1940.

AVANT-PROPOS

L'exécution, en juillet 1983, d'un forage de recherche d'eau thermale

à PUZZICHELLO (Commune d'AGHIONE, Hte-Corse) a conduit à la découverte d'une res¬

source abondante d'eau sulfurée calcique artésienne. Après la mise en production

de l'ouvrage. et une surveillance étalée jusqu'au mois d'avril 1985, un rapport en

date du 17 juin 1985 du Service des Mines conclut à un régime d'exploitation arté¬

sien de 5 m3/h.

Suite à un rapport du Laboratoire National de la Santé, l'Académie de

Médecine donne un avis favorable à une demande d'autorisation d'exploiter en tant

qu'eau minérale, l'eau du forage dénommé "source ELISE".

L'arrêté du Ministre des Affaires Social es et dé:rEmplo1, en date du

4 juillet 1986 autorise cette exploitation. Cet arrêté, paru au Journal Officiel

du 28 juillet 1986, marque l'aboutissement des travaux entrepris dès 1983, en

Haute-Corse pour relancer une activité thermale moderne d'une source délaissée de¬

puis 1940.

1 - INTRODUCTION

Dès que l'avis favorable de l'Académie de Médecine était connu, le

Département de la Haute-Corse qui s'est rendu acquéreur du domaine immobilier de

PUZZICHELLO ainsi que du forage, décide la réalisation d'un ouvrage d'exploitation

supplémentaire destiné à assurer, par pompage, un débit supérieur à 5 m3/h d'une

eau de même qualité, débit qui avait été présumé en conclusion de l'étude réalisée

sur le forage n° 1. L'opération était confiée au Service géologique régional- Corse

du BRGM.

f

Compte tenu du contexte géologique local et de façon à éliminer tout

risque de découverte d'une eau de qualité différente, il est proposé d'exécuter un

forage d'exploitation d'eau minérale, à proximité du forage n° 1 (5m), de manière

à traverser l'aquifère rencontré lors du premier forage, sur une épaisseur plus Im¬

portante (20 m) tout en vérifiant l'évolution de la qualité de l'eau et en assurantune protection efficace par une bonne cimentation des terrains stériles.

Les travaux débutent le 1èr juillet 1986.

2 - CALENDRIER DES OPERATIONS

L'entreprise WEBER de BORGO ne pouvant réaliser le forage dans les dé¬

lais Impartis, c'est l'entreprise ESCO, des MILLES qui réalisait les travaux. Le

tableau ci-aprës rend compte des opérations effectuées sur le chantier.

3 - RAPPEL GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

La coupe de la figure 1 résume le contexte géologique de la région.

De la bordure des schistes lustrés à l'Ouest, les formations tertiaires du Miocène

s'étagent jusqu'à la mer en panneaux monoclinaux failles. Dans le secteur de

PUZZICHELLO, nous nous trouvons au contact des formations Inférieures ou moyennes,

constituées à l'affleurement par de grandes étendues de marnes langhlennes, décrites

sous le nom de formations d'AGHIONE.

L'épaisseur des marnes au droit de la source était reconnu lors de l'exé¬

cution du premier forage qui en avait traversé 40 m.

1 - INTRODUCTION

Dès que l'avis favorable de l'Académie de Médecine était connu, le

Département de la Haute-Corse qui s'est rendu acquéreur du domaine immobilier de

PUZZICHELLO ainsi que du forage, décide la réalisation d'un ouvrage d'exploitation

supplémentaire destiné à assurer, par pompage, un débit supérieur à 5 m3/h d'une

eau de même qualité, débit qui avait été présumé en conclusion de l'étude réalisée

sur le forage n° 1. L'opération était confiée au Service géologique régional- Corse

du BRGM.

f

Compte tenu du contexte géologique local et de façon à éliminer tout

risque de découverte d'une eau de qualité différente, il est proposé d'exécuter un

forage d'exploitation d'eau minérale, à proximité du forage n° 1 (5m), de manière

à traverser l'aquifère rencontré lors du premier forage, sur une épaisseur plus Im¬

portante (20 m) tout en vérifiant l'évolution de la qualité de l'eau et en assurantune protection efficace par une bonne cimentation des terrains stériles.

Les travaux débutent le 1èr juillet 1986.

2 - CALENDRIER DES OPERATIONS

L'entreprise WEBER de BORGO ne pouvant réaliser le forage dans les dé¬

lais Impartis, c'est l'entreprise ESCO, des MILLES qui réalisait les travaux. Le

tableau ci-aprës rend compte des opérations effectuées sur le chantier.

3 - RAPPEL GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

La coupe de la figure 1 résume le contexte géologique de la région.

De la bordure des schistes lustrés à l'Ouest, les formations tertiaires du Miocène

s'étagent jusqu'à la mer en panneaux monoclinaux failles. Dans le secteur de

PUZZICHELLO, nous nous trouvons au contact des formations Inférieures ou moyennes,

constituées à l'affleurement par de grandes étendues de marnes langhlennes, décrites

sous le nom de formations d'AGHIONE.

L'épaisseur des marnes au droit de la source était reconnu lors de l'exé¬

cution du premier forage qui en avait traversé 40 m.

TABLEAU 1 - CALENDRIER DES OPERATIONS

DATE FORAGE OBSERVATIONS

01.07.86

03.07.86

04 au09.07.86

10 et11.07.86

16.07.86

17 au19.07.86

21.07.86

22 et23.07.86

7 h à 18 h

24.07.86

25.07.86

Installation du chantier

Forage à la tarière 0 400 mm à sec de 0,00 à 3,50 m - Mise en place et cimentationd'une tête de puits- (tube acier 0 355 mm avec bride)Forage à la boue bentonique de 3,50 à 41,20 m - Tricône de 12" 1/4 (311 mm)

r

Mise en place d'un tube PVC alimentaire 0 225/250 mm de 0,45 m à 40,35 m - Cimentationinverse sous pression de l'espace annulaire - 2 tonnes de ciment CPA55HTS LAFARGE

Descente du tubage 195 mm et taillant 212 mm pour foration méthode ODE!x 165 -Reforage du ciment de 35,50 m à 40,00 m

Forage de 41,00 à 50,00 m ODEX -Foration de 50 à 51,25 m au taillant de 6 "Mise en palee du tubage crépine PVC alimentaire 127/140 avec pièce de raccord cimentau 225/250 de 34 à 51 m

Tête de puits - Mise en pression

Essai de débita) Essai de débit artésienb) Mise en place d'une pompe Immergée KSB 6"c) Essai de débit à 20 et 40 m3/h

Observations de la descente et de la remontéeRemontée du groupe de pompage

Mise en place de la tête de puits avec manomètre

Construction d'un abri maçonné - Mise en pression - Déménagement du chantierRemise en état

K . A. b

Le niveau aquifère artésien a étéatteint à 39,35 m

R.A. S. - Attente de prise

R.A. S.

Rupture de 2 têtes d'injectionForage artésien =ff 9 m3/hMesure en continu de la conductivité,température. Indice de sulfuration,débit - Coinçage de l'ODEX à 50 m -Arrêt du forage à 51,25 m dans lesformations conglomératlques - Attentede remontée du niveau dynamique

Panne du groupe électrogène": 7h-8h30Changement du filtre à huileSurveillance des paramètres (C, t°,Q, Hs)

Prise d'échantillons pour analysespar Laboratoire Départemental d' Ana¬lyses. d'AJACCIO - .

Observations manométriques de laremontée

TABLEAU 1 - CALENDRIER DES OPERATIONS

DATE FORAGE OBSERVATIONS

01.07.86

03.07.86

04 au09.07.86

10 et11.07.86

16.07.86

17 au19.07.86

21.07.86

22 et23.07.86

7 h à 18 h

24.07.86

25.07.86

Installation du chantier

Forage à la tarière 0 400 mm à sec de 0,00 à 3,50 m - Mise en place et cimentationd'une tête de puits- (tube acier 0 355 mm avec bride)Forage à la boue bentonique de 3,50 à 41,20 m - Tricône de 12" 1/4 (311 mm)

r

Mise en place d'un tube PVC alimentaire 0 225/250 mm de 0,45 m à 40,35 m - Cimentationinverse sous pression de l'espace annulaire - 2 tonnes de ciment CPA55HTS LAFARGE

Descente du tubage 195 mm et taillant 212 mm pour foration méthode ODE!x 165 -Reforage du ciment de 35,50 m à 40,00 m

Forage de 41,00 à 50,00 m ODEX -Foration de 50 à 51,25 m au taillant de 6 "Mise en palee du tubage crépine PVC alimentaire 127/140 avec pièce de raccord cimentau 225/250 de 34 à 51 m

Tête de puits - Mise en pression

Essai de débita) Essai de débit artésienb) Mise en place d'une pompe Immergée KSB 6"c) Essai de débit à 20 et 40 m3/h

Observations de la descente et de la remontéeRemontée du groupe de pompage

Mise en place de la tête de puits avec manomètre

Construction d'un abri maçonné - Mise en pression - Déménagement du chantierRemise en état

K . A. b

Le niveau aquifère artésien a étéatteint à 39,35 m

R.A. S. - Attente de prise

R.A. S.

Rupture de 2 têtes d'injectionForage artésien =ff 9 m3/hMesure en continu de la conductivité,température. Indice de sulfuration,débit - Coinçage de l'ODEX à 50 m -Arrêt du forage à 51,25 m dans lesformations conglomératlques - Attentede remontée du niveau dynamique

Panne du groupe électrogène": 7h-8h30Changement du filtre à huileSurveillance des paramètres (C, t°,Q, Hs)

Prise d'échantillons pour analysespar Laboratoire Départemental d' Ana¬lyses. d'AJACCIO - .

Observations manométriques de laremontée

Fig.l

COUPE INTERPRETATIVE DES FORMATIONS NEOCENES

DE LA PLAINE ORIENTALE CORSE

200 i?

IOO -

1 I I 1

0 BOO IOOO 1900 2000m

R.N. 198 Eiong de Piano

. , 1 .1 I ,

t' t I*Formation d'Alziton« (sabie* grav«leaKtf^al^ti) SERAVAUUEH

Forrnáiti'on d A^hione (marnCi s.j>h\eusescb m.ames Jtvee cori3lornéraLA et .Sâble.s}LAN^HIEN

¿Toaplomanabs à qjicts rViyolithiciue*BufCDiOAUtBN

Schi'ftbes. Justnéi " Sodc"

«orne

., 1 , .' : 1

Alluvions auAbernaires

¿Ton^lâménats <4' Aléria . ME5SINÍEN SUP.

Marne» - MCSSINIEN I&ASA1.

Formation de Vadîna ^Calcaire* qnéseu>tbioclaiti'ijues^ TORTONIEN

^Ü* ^y CT/rviulJibión des eauj*.

Fig.l

COUPE INTERPRETATIVE DES FORMATIONS NEOCENES

DE LA PLAINE ORIENTALE CORSE

200 i?

IOO -

1 I I 1

0 BOO IOOO 1900 2000m

R.N. 198 Eiong de Piano

. , 1 .1 I ,

t' t I*Formation d'Alziton« (sabie* grav«leaKtf^al^ti) SERAVAUUEH

Forrnáiti'on d A^hione (marnCi s.j>h\eusescb m.ames Jtvee cori3lornéraLA et .Sâble.s}LAN^HIEN

¿Toaplomanabs à qjicts rViyolithiciue*BufCDiOAUtBN

Schi'ftbes. Justnéi " Sodc"

«orne

., 1 , .' : 1

Alluvions auAbernaires

¿Ton^lâménats <4' Aléria . ME5SINÍEN SUP.

Marne» - MCSSINIEN I&ASA1.

Formation de Vadîna ^Calcaire* qnéseu>tbioclaiti'ijues^ TORTONIEN

^Ü* ^y CT/rviulJibión des eauj*.

Fig. 2

COUPE INTERPRETATIVE OUEST-EST

A (Guest) B{Est)

Hotel (ruines) Foroge Ruisseau

Ancien établissement thermal

38

Rodon

Ecr^n imp«rméab\a auy. gstz.

%VOl Co^lvoll

10

0L

m.à .'

AlIuvTons quabernaires

Marnes d'A^hiona Langh««n

:v/v'í'¡1 Sablas »t iTonjlomerattfrvfc*/^;! in-Fe'riaurs "squiforet"

^67

T

C.irc\i\a.tioT\ d'eau thermal.

Eman'^tion de qsít.

Point de mesure

too m

Fig. 2

COUPE INTERPRETATIVE OUEST-EST

A (Guest) B{Est)

Hotel (ruines) Foroge Ruisseau

Ancien établissement thermal

38

Rodon

Ecr^n imp«rméab\a auy. gstz.

%VOl Co^lvoll

10

0L

m.à .'

AlIuvTons quabernaires

Marnes d'A^hiona Langh««n

:v/v'í'¡1 Sablas »t iTonjlomerattfrvfc*/^;! in-Fe'riaurs "squiforet"

^67

T

C.irc\i\a.tioT\ d'eau thermal.

Eman'^tion de qsít.

Point de mesure

too m

- 2 -

Ces marnes constituent le toit d'une formation aquifère jaillissante,

mise en charge par cette forte épaisseur imperméable. Les eaux souterraines ther¬

males se trouvent en effet dans une formations conglomératique plus bu moins Indurée

dont l'épaisseur n'est pas connue. Le cortège de matériaux constitutifs est essentiel

lement composé de galets rhyol itiques qui peuvent être rattachés aux formations de

base du Miocène ou constituer un niveau intercalaire de la formation d'AGHIONE.

Hydrogéologiquement, les eaux de PUZZICHELLO trouvent leur origine sur

les formatlons'schisteuses de la bordure occidentale qui s'infiltrent à la faveur

de fractures pour remonter après un trajet plus ou moins long à la faveur d'autres

fractures mettant en contact des terrains de natures différentes. La figure 2 nous

rend compte de cette hypothèse qui paraît vérifiée à la suite d'une prospection

des anomalies gazeuses du secteur (rapport 86 SGN 002 CSC).

La fracture décelée dans le ruisseau de PUZZICHELLO joue un rôle Impor¬

tant dans la remontée des eaux de la source, en mettant en contact les sables supé¬

rieurs surmontant les marnes avec le conglomérat aquifère et un rôle d'écran, le

même conglomérat étant en contact Est avec les marnes.

4 - CONCEPTION DU FORAGE D'EXPLOITATION (Fig. 3)

La coupe géologique prévue était donnée par le premier forage. Les cotes

exactes de foration étalent indiquées sur place par l'hydrogéologue suivant les tra¬

vaux. Les terrains rencontrés s'ordonnent de la façon suivante :

- 0 à 0,50 m : terre végétale brune

- 0,50 à 10,00 m : passées calcaires marneuses aquifères

- 10,00 â 39,35 m : marnes gris bleu uniformes légèrement marnocalcaires

ou argileuses vers la base

- 39,35 à 41 m : sables et marnes sableuses avec galets

- 41,00 à 51,00 m : conglomérats à galets de rhyolite, de granite et

de roches vertes plus ou moins Indurées, matières

sableuses aquifères.

- 2 -

Ces marnes constituent le toit d'une formation aquifère jaillissante,

mise en charge par cette forte épaisseur imperméable. Les eaux souterraines ther¬

males se trouvent en effet dans une formations conglomératique plus bu moins Indurée

dont l'épaisseur n'est pas connue. Le cortège de matériaux constitutifs est essentiel

lement composé de galets rhyol itiques qui peuvent être rattachés aux formations de

base du Miocène ou constituer un niveau intercalaire de la formation d'AGHIONE.

Hydrogéologiquement, les eaux de PUZZICHELLO trouvent leur origine sur

les formatlons'schisteuses de la bordure occidentale qui s'infiltrent à la faveur

de fractures pour remonter après un trajet plus ou moins long à la faveur d'autres

fractures mettant en contact des terrains de natures différentes. La figure 2 nous

rend compte de cette hypothèse qui paraît vérifiée à la suite d'une prospection

des anomalies gazeuses du secteur (rapport 86 SGN 002 CSC).

La fracture décelée dans le ruisseau de PUZZICHELLO joue un rôle Impor¬

tant dans la remontée des eaux de la source, en mettant en contact les sables supé¬

rieurs surmontant les marnes avec le conglomérat aquifère et un rôle d'écran, le

même conglomérat étant en contact Est avec les marnes.

4 - CONCEPTION DU FORAGE D'EXPLOITATION (Fig. 3)

La coupe géologique prévue était donnée par le premier forage. Les cotes

exactes de foration étalent indiquées sur place par l'hydrogéologue suivant les tra¬

vaux. Les terrains rencontrés s'ordonnent de la façon suivante :

- 0 à 0,50 m : terre végétale brune

- 0,50 à 10,00 m : passées calcaires marneuses aquifères

- 10,00 â 39,35 m : marnes gris bleu uniformes légèrement marnocalcaires

ou argileuses vers la base

- 39,35 à 41 m : sables et marnes sableuses avec galets

- 41,00 à 51,00 m : conglomérats à galets de rhyolite, de granite et

de roches vertes plus ou moins Indurées, matières

sableuses aquifères.

Echelle v.'1::T/1000 : 1/10

Echelle v.'1::T/1000 : 1/10

3 -

Le forage a été réalisé en trois étapes distinctes de façon à s'assurer

d'un parfait équipement, prévu compte tenu de la qualité de l'eau, en PVC.

4. 1. Colonne technique de tête

Son rôle est de supporter la tête de puits : t

- foration en 0 400, de 0 à 3,50 m au tricône,.- tubage acier 0 346/355 cimenté à 1 'extrade. .

4. 2. Chambre de pompage - Cimentations

L'épaisseur de 40 m de marnes assurait de pouvoir exécuter une chambre

de pompage Indépendante de la colonne de captage. Le niveau conglomératique a été

touché à 39,35 m de profondeur, sensiblement à la cote prévue (40 m) :

- foration en 12"l/4 (311 mm) au tricône, avec une boue à la bentonitede faible densité, dé 3,50 m à 41,20 m ;

- mise en place d'un tube PVC rigide de 0 225/250, type alimentaire,de + 0,45 à - 40,35 m et cimentation sous pression de l'espace annulaire du toit

du réservoir aquifère, de 41,20 m jusqu'au jour, sans laisser'de zone vulnérable

à l'érosion à la base des marnes. Compte tenu de la qualité des eaux (H2S), le ci¬

ment employé sera sans chaux (PA - 55 PMC LAFARGE HTS).

4. 3. Colonne de captage

Foration au marteau "fond de trou" de 41,20 à 51,00 m (ODEX 165) avec

tubage provisoire à l'avancement. Cette technique était imposée par plusieurs fac¬

teurs :

- mauvaise tenue des conglomérats,

- nécessité d'avoir des informations à l'avancement sur l'Importance

relative des arrivées d'eau, et l'évolution éventuelle des caractéristiques physico-

chimiques avec la profondeur (température, conductivité) ce qui n'aurait pu êtreobtenu avec un forage classique à la boue.

Mise en place d'un tube crépine 0 127-140 PVC de 34,00 à 51,00 m,

crépine à 15 %, slot 1,5, de 37,00 à 51,00 m, télescopé sur 6 m avec le tube de la -

chambre de pompage.

3 -

Le forage a été réalisé en trois étapes distinctes de façon à s'assurer

d'un parfait équipement, prévu compte tenu de la qualité de l'eau, en PVC.

4. 1. Colonne technique de tête

Son rôle est de supporter la tête de puits : t

- foration en 0 400, de 0 à 3,50 m au tricône,.- tubage acier 0 346/355 cimenté à 1 'extrade. .

4. 2. Chambre de pompage - Cimentations

L'épaisseur de 40 m de marnes assurait de pouvoir exécuter une chambre

de pompage Indépendante de la colonne de captage. Le niveau conglomératique a été

touché à 39,35 m de profondeur, sensiblement à la cote prévue (40 m) :

- foration en 12"l/4 (311 mm) au tricône, avec une boue à la bentonitede faible densité, dé 3,50 m à 41,20 m ;

- mise en place d'un tube PVC rigide de 0 225/250, type alimentaire,de + 0,45 à - 40,35 m et cimentation sous pression de l'espace annulaire du toit

du réservoir aquifère, de 41,20 m jusqu'au jour, sans laisser'de zone vulnérable

à l'érosion à la base des marnes. Compte tenu de la qualité des eaux (H2S), le ci¬

ment employé sera sans chaux (PA - 55 PMC LAFARGE HTS).

4. 3. Colonne de captage

Foration au marteau "fond de trou" de 41,20 à 51,00 m (ODEX 165) avec

tubage provisoire à l'avancement. Cette technique était imposée par plusieurs fac¬

teurs :

- mauvaise tenue des conglomérats,

- nécessité d'avoir des informations à l'avancement sur l'Importance

relative des arrivées d'eau, et l'évolution éventuelle des caractéristiques physico-

chimiques avec la profondeur (température, conductivité) ce qui n'aurait pu êtreobtenu avec un forage classique à la boue.

Mise en place d'un tube crépine 0 127-140 PVC de 34,00 à 51,00 m,

crépine à 15 %, slot 1,5, de 37,00 à 51,00 m, télescopé sur 6 m avec le tube de la -

chambre de pompage.

1

4 -

Un packer a été mis en place à 34 m pour empêcher la remontée des fines

dans la chambre de pompage par l'extérieur de la crépine.

Il est dommage que l'objectif fixé (traversée du conglomérat sur 20 m)

n'ait pas pu être atteint à la suite d'ennuis de forage. En effet, la nature du ter¬

rain (présence de blocs importants) devait bloquer le système à 51,00 m. Il étaitImportant, dans le cas de la réalisation d'un forage d'exploitation, de ne pas en

compromettre tout l'ouvrage en essayant de forer en trou nu pour atteindre l'objec¬

tif d'autant- plus que les venues aquifères importantes laissaient présager d'un bon

débit d'exploitation.

4. 4. Tête de puits

La tête de puits en plastique est vissée au tubage de la chambre de pom-

page ; elle comprend une vanne latérale, une prise de pression avec manomètre

(Fig. 3 bis).

5 - MISE EN PRODUCTION DU FORAGE

Les premières venues artésiennes se sont manifestées comme prévu dès

que le forage a atteint le conglomérat aquifère et se sont poursuivies jusqu'à

51,00 m. Le forage à l'air, tout en nettoyant et développant Touvrage donnait des

renseignements sur les débits possibles.

Avant la mise en place de la pompe immergée nécessaire à l'essai de pom¬

page prévu, il était procédé au montage de la tête de puits et une mise en pression

durant 14 heures (Cf. calendrier).

Le nivsau piézométrique était mesuré au moyen d'un tube d'eau gradué,

branché sur la tête de puits et accroché au mât de la sondeuse. Il était de + 4,59 m

par rapport au sol, au moment des essais.

Dans le même temps, le manomètre du piézomëtre (premier forage) situé

à 5 m indiquait une pression de 0,49 bar.

Il était évident que la stabilisation n'avait pas été atteinte. En effet,

des essais préliminaires sur le piézomètre, effectuées avant le début des travaux

montraient que la pression était supérieure à 0,6 bar.

4 -

Un packer a été mis en place à 34 m pour empêcher la remontée des fines

dans la chambre de pompage par l'extérieur de la crépine.

Il est dommage que l'objectif fixé (traversée du conglomérat sur 20 m)

n'ait pas pu être atteint à la suite d'ennuis de forage. En effet, la nature du ter¬

rain (présence de blocs importants) devait bloquer le système à 51,00 m. Il étaitImportant, dans le cas de la réalisation d'un forage d'exploitation, de ne pas en

compromettre tout l'ouvrage en essayant de forer en trou nu pour atteindre l'objec¬

tif d'autant- plus que les venues aquifères importantes laissaient présager d'un bon

débit d'exploitation.

4. 4. Tête de puits

La tête de puits en plastique est vissée au tubage de la chambre de pom-

page ; elle comprend une vanne latérale, une prise de pression avec manomètre

(Fig. 3 bis).

5 - MISE EN PRODUCTION DU FORAGE

Les premières venues artésiennes se sont manifestées comme prévu dès

que le forage a atteint le conglomérat aquifère et se sont poursuivies jusqu'à

51,00 m. Le forage à l'air, tout en nettoyant et développant Touvrage donnait des

renseignements sur les débits possibles.

Avant la mise en place de la pompe immergée nécessaire à l'essai de pom¬

page prévu, il était procédé au montage de la tête de puits et une mise en pression

durant 14 heures (Cf. calendrier).

Le nivsau piézométrique était mesuré au moyen d'un tube d'eau gradué,

branché sur la tête de puits et accroché au mât de la sondeuse. Il était de + 4,59 m

par rapport au sol, au moment des essais.

Dans le même temps, le manomètre du piézomëtre (premier forage) situé

à 5 m indiquait une pression de 0,49 bar.

Il était évident que la stabilisation n'avait pas été atteinte. En effet,

des essais préliminaires sur le piézomètre, effectuées avant le début des travaux

montraient que la pression était supérieure à 0,6 bar.

ESCOENTREPRISE13290 LES MILLES

B. R .G. M

FORAGE DE PUZZICHELLU

TETE DE FORAGE

Bouchon PVC. /f/ef-è

T J'i/c êp fP/j-

2Zâ xâSO

P~//e/-âae

J&r/iJe hurm¿)/ij¿eDN^SÛ

Tuée iS£.rer

^Só-G X /^

Mânûme/-re

Vârtne â~pâJi>)l/on UN JOOrevêhemenh EpoKy

J=>\/ C ^J/Ûn,m

:Br/c/G PVC. DJVJuû

C2fmen/é>//¿ ns

Fig. 3 bis

E5C0. 33SOJ7 2

ESCOENTREPRISE13290 LES MILLES

B. R .G. M

FORAGE DE PUZZICHELLU

TETE DE FORAGE

Bouchon PVC. /f/ef-è

T J'i/c êp fP/j-

2Zâ xâSO

P~//e/-âae

J&r/iJe hurm¿)/ij¿eDN^SÛ

Tuée iS£.rer

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Mânûme/-re

Vârtne â~pâJi>)l/on UN JOOrevêhemenh EpoKy

J=>\/ C ^J/Ûn,m

:Br/c/G PVC. DJVJuû

C2fmen/é>//¿ ns

Fig. 3 bis

E5C0. 33SOJ7 2

6 - ESSAIS

6. 1. Débit artésien

Il était Intéressant d'observer l'évolution du débit artésien en fonc¬

tion de la pression et l'influence du débit naturel de l'ouvrage sur le piézomètre.

C'est ainsi qu'il a été procédé sur l'ouvrage équipé, le 22/07/86 à partir de 7 h,

à des essais à débit variable, d'une durée de 30 mn chacun, en notant respectivement

au bout des 30 mn, le débit et le niveau piézométrique.

Débit

m3/h

04,27,28,5

11

13

Niveau piézométrique

Forage/m

+ 4,59+ 3,84-^ 2,015+ 1,62+ 1,29f 1,12

Piézo/bar

0,490,450,420,400,370,35

Rabattement résiduel

Forage/m

00,752,5752,973,303,47

Piézo/bar

00,040,070,09

;o,i20,14

Avant la mise en place de la pompe, le forage est 'resté ouvert de 9 h 30

à 14 h. Le débit était alors tombé à 10,7 m3/h pour un niveau piézométrique de

I- 0,655, soit un rabattement résiduel de 3,935 m, pseudostabllisé à partir de 11 h.

6. 2. Essai de pompage

La pompe Immergée KSB, type BPH, alimentée par un groupe électrogëne

était placée à 28 m de profondeur. L'exhaure se faisait à 15 m de l'ouvrage. L'eau

s'écoulait vers le ruisseau de PUZZICHELLO. Le niveau piézométrique était mesuré

avec une sonde électrique, le débit au moyen d'un tube de Pitot et d'un bac jaugé

de 150 1, de contrôle, avec un chronomètre au 1/lOëme de seconde.

Il était prévu un premier essai au débit de 30 m3/h et un deuxième, en

fonction des résultats du premier.

6 - ESSAIS

6. 1. Débit artésien

Il était Intéressant d'observer l'évolution du débit artésien en fonc¬

tion de la pression et l'influence du débit naturel de l'ouvrage sur le piézomètre.

C'est ainsi qu'il a été procédé sur l'ouvrage équipé, le 22/07/86 à partir de 7 h,

à des essais à débit variable, d'une durée de 30 mn chacun, en notant respectivement

au bout des 30 mn, le débit et le niveau piézométrique.

Débit

m3/h

04,27,28,5

11

13

Niveau piézométrique

Forage/m

+ 4,59+ 3,84-^ 2,015+ 1,62+ 1,29f 1,12

Piézo/bar

0,490,450,420,400,370,35

Rabattement résiduel

Forage/m

00,752,5752,973,303,47

Piézo/bar

00,040,070,09

;o,i20,14

Avant la mise en place de la pompe, le forage est 'resté ouvert de 9 h 30

à 14 h. Le débit était alors tombé à 10,7 m3/h pour un niveau piézométrique de

I- 0,655, soit un rabattement résiduel de 3,935 m, pseudostabllisé à partir de 11 h.

6. 2. Essai de pompage

La pompe Immergée KSB, type BPH, alimentée par un groupe électrogëne

était placée à 28 m de profondeur. L'exhaure se faisait à 15 m de l'ouvrage. L'eau

s'écoulait vers le ruisseau de PUZZICHELLO. Le niveau piézométrique était mesuré

avec une sonde électrique, le débit au moyen d'un tube de Pitot et d'un bac jaugé

de 150 1, de contrôle, avec un chronomètre au 1/lOëme de seconde.

Il était prévu un premier essai au débit de 30 m3/h et un deuxième, en

fonction des résultats du premier.

- - * « , > . . . »/i, -,

.^ 00 o o yl CO « o.^ 00 o o yl CO « o

- 6

6. 2. 1 . Premier essai

Le débit était réglé à 28,4 m3/h. L'essai de pompage a débuté à 17 h 30.

Malheureusement, après 4 heures de pompage, et ce durant la nuit, le mauvais fonc¬

tionnement du groupe électrogène n'a pas permis de tenir le débit imposé. Ce dernier

baissait à 16,5 m3/h, l'arrêt était ordonné à 7 h 30, le 23/07/86 (Cf. calendrierdes travaux) .

Il a, néanmoins, été possible d'étudier l'évolution du pompage pendant

un temps assez long. A partir des observations effectuées (voir annexe), nous avons

reporté sur un diagramme semi -logarithmique les valeurs des niveaux dynamiques par

rapport au temps de pompage.

Le diagramme semi-logarithmique de la figure 4 fait apparaître au bout

de 50 mn, une rupture de pente caractéristique. L'influence du pompage atteint une

limite étanche. Les points, au-delà, s'ordonnent selon une droite de pente supéri¬

eure. A partir de 240 mn de pompage, un mauvais fonctionnement du groupe électrogëne

fit osciller le débit entre 28 et 16,5 m3/h. Le niveau dynamique était remonté aux

environs de 6 m, alors qu'il était à 7,57 m après 4 h de pompage à 28,4 m3/h.

6. 2. 2. Deuxième essai

Après réparation du groupe électrogëne, 11 était décidé d'exécuter un

deuxième essai au débit de 40 m3/h environ, alors que le forage était de nouveau

en production au débit de 7 m3/h et que la pression du piézomètre s'établissait à

0,195 bar.

Le deuxième essai débutait à 8 h 30, soit après un arrêt de 80 mn. Le

débit bien stabilisé durant les premières 5 heures (Q = 41,5/43 m3/h) avec un ni¬

veau dynamique â 16,19 m sous le sol, chutait à 39,5 m3/h, de sorte qu'il étaitdécidé, après 2 h 30 d'observation, alors que le niveau dynamique était remonté

à 15,50 m, d'ouvrir la vanne aux alentours de 50 m3/h, pour essayer de voir le com¬

portement de l'ouvrage à ce débit, durant 90 mn. Au bout de ce temps de pompage,

le niveau dynamique s'établissait à 20,10 m sous le repère des mesures (+ 0,60 m)

- 6

6. 2. 1 . Premier essai

Le débit était réglé à 28,4 m3/h. L'essai de pompage a débuté à 17 h 30.

Malheureusement, après 4 heures de pompage, et ce durant la nuit, le mauvais fonc¬

tionnement du groupe électrogène n'a pas permis de tenir le débit imposé. Ce dernier

baissait à 16,5 m3/h, l'arrêt était ordonné à 7 h 30, le 23/07/86 (Cf. calendrierdes travaux) .

Il a, néanmoins, été possible d'étudier l'évolution du pompage pendant

un temps assez long. A partir des observations effectuées (voir annexe), nous avons

reporté sur un diagramme semi -logarithmique les valeurs des niveaux dynamiques par

rapport au temps de pompage.

Le diagramme semi-logarithmique de la figure 4 fait apparaître au bout

de 50 mn, une rupture de pente caractéristique. L'influence du pompage atteint une

limite étanche. Les points, au-delà, s'ordonnent selon une droite de pente supéri¬

eure. A partir de 240 mn de pompage, un mauvais fonctionnement du groupe électrogëne

fit osciller le débit entre 28 et 16,5 m3/h. Le niveau dynamique était remonté aux

environs de 6 m, alors qu'il était à 7,57 m après 4 h de pompage à 28,4 m3/h.

6. 2. 2. Deuxième essai

Après réparation du groupe électrogëne, 11 était décidé d'exécuter un

deuxième essai au débit de 40 m3/h environ, alors que le forage était de nouveau

en production au débit de 7 m3/h et que la pression du piézomètre s'établissait à

0,195 bar.

Le deuxième essai débutait à 8 h 30, soit après un arrêt de 80 mn. Le

débit bien stabilisé durant les premières 5 heures (Q = 41,5/43 m3/h) avec un ni¬

veau dynamique â 16,19 m sous le sol, chutait à 39,5 m3/h, de sorte qu'il étaitdécidé, après 2 h 30 d'observation, alors que le niveau dynamique était remonté

à 15,50 m, d'ouvrir la vanne aux alentours de 50 m3/h, pour essayer de voir le com¬

portement de l'ouvrage à ce débit, durant 90 mn. Au bout de ce temps de pompage,

le niveau dynamique s'établissait à 20,10 m sous le repère des mesures (+ 0,60 m)

to n T- fvo-'y^oo-oo kï CO r o» o- ^ 00 >oto n T- fvo-'y^oo-oo kï CO r o» o- ^ 00 >o

)o CO X mo-Ncooo)o CO X mo-Ncooo

Le diagramme logarithmique de la figure 5 fait apparaître le même phé¬

nomène au bout de 50 mn que pour l'essai précédent, ce qui est logique et conforme

au schéma hydrogéologique défini (Cf. § 3, fig. 2).

6. 2. 3. Remontée (Fig. 6)

A l'arrêt du pompage, l'observation de la remontée du plan d'eau s'est

effectuée pendant une heure (Cf. fiche en annexe). Le niveau de l'eau atteignaitla surface du sol au bout de 2 220 secondes et débordait du tubage à -i- 0,45 m, au

bout de 3 505 secondes.

au bout duq

On procédait alors au retrait .du groupe de pompage durant 40 mn, temps

iuel le forage était en production et débitait 1,6 m3/h.

L'observation de la remontée s'est effectuée par la suite après mise

en place de la tête du puits avec manomètre. La pression a augmenté régulièrement

jusqu'à P = 0,640 bar.

7 - INTERPRETATION

L'Interprétation de l'essai de pompage s'est faite au moyen d'un pro¬

gramme mis eu point par le BRGM (ISAPE) qui tient compte de tous les événements sur¬

venus à partir du début de l'essai (changement de débit, arrêt etc.).

La procédure ISAPE reconstitue, avec les paramètres hydrogéologiques

estimés par l'opérateur et la prise en compte de phénomènes perturbateurs, l'évolu¬tion théorique des niveaux. L'obtention d'une correspondance satisfaisante avec lesévolutions mesurées permet de justifier l'appréciation correcte.

7. 1 . Le forage

La période simulée va du 22/07 à 7 h avec un niveau à 4,59 m, jusqu'àla remontée le 23/07.

Le diagramme logarithmique de la figure 5 fait apparaître le même phé¬

nomène au bout de 50 mn que pour l'essai précédent, ce qui est logique et conforme

au schéma hydrogéologique défini (Cf. § 3, fig. 2).

6. 2. 3. Remontée (Fig. 6)

A l'arrêt du pompage, l'observation de la remontée du plan d'eau s'est

effectuée pendant une heure (Cf. fiche en annexe). Le niveau de l'eau atteignaitla surface du sol au bout de 2 220 secondes et débordait du tubage à -i- 0,45 m, au

bout de 3 505 secondes.

au bout duq

On procédait alors au retrait .du groupe de pompage durant 40 mn, temps

iuel le forage était en production et débitait 1,6 m3/h.

L'observation de la remontée s'est effectuée par la suite après mise

en place de la tête du puits avec manomètre. La pression a augmenté régulièrement

jusqu'à P = 0,640 bar.

7 - INTERPRETATION

L'Interprétation de l'essai de pompage s'est faite au moyen d'un pro¬

gramme mis eu point par le BRGM (ISAPE) qui tient compte de tous les événements sur¬

venus à partir du début de l'essai (changement de débit, arrêt etc.).

La procédure ISAPE reconstitue, avec les paramètres hydrogéologiques

estimés par l'opérateur et la prise en compte de phénomènes perturbateurs, l'évolu¬tion théorique des niveaux. L'obtention d'une correspondance satisfaisante avec lesévolutions mesurées permet de justifier l'appréciation correcte.

7. 1 . Le forage

La période simulée va du 22/07 à 7 h avec un niveau à 4,59 m, jusqu'àla remontée le 23/07.

lio

9.0.

8.0.

7.0.

6.0.

5.0.

i.a.

3,0.

2.0.

1.0.

0

1 1 1 1 1 1

^^.^H*-*-'-*^'^''^'^''^^^'^^"^""'^'^

1 1 1 1 1 1

1 1 1 1

+

^

H 1 1 1

1-

+

1-

1 H 1 1

' --

+

+ ^ ...

Mauvais fonctionnement du groupeQ variable

--

-

--

--

1 1 1 i0 25 50 75 100 125 150 175 200 225 250 275 300 325 350 375 400ESSAI DE PQMPRGE SUR LE FORRGE(22.07.86 fl 17H30)T=1.5E-3 S=3E-3 1

Fig. 7

lio

9.0.

8.0.

7.0.

6.0.

5.0.

i.a.

3,0.

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0

1 1 1 1 1 1

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Mauvais fonctionnement du groupeQ variable

--

-

--

--

1 1 1 i0 25 50 75 100 125 150 175 200 225 250 275 300 325 350 375 400ESSAI DE PQMPRGE SUR LE FORRGE(22.07.86 fl 17H30)T=1.5E-3 S=3E-3 1

Fig. 7

5.0..

0 50 100 150 200 250 300 350 400ESSñl DE PQMPRGE DANS LE FGRflGE(23.07.86 fl 8H30) T=1.5E-3 S=lE-i

450 500 550 6001

Fig. 8

5.0..

0 50 100 150 200 250 300 350 400ESSñl DE PQMPRGE DANS LE FGRflGE(23.07.86 fl 8H30) T=1.5E-3 S=lE-i

450 500 550 6001

Fig. 8

- 8

Le premier essai est très bien calé jusqu'à 240 mn, avec une transmissl--3 -3vité T = 1,5.10 m2/s, un coefficient d'emmagasinement S = 3.10 , une limite étanche

â 50 m du forage. De 240 mn â 350 mn, les écarts sont dûs à des variations de débit

du pompage (figure 7). y

Le deuxième essai est très bien calé pour toute la descente, avec :

T = l,5.10"^m2/s, S = I.IO"^ et une limite étanche à 50 m (Fig. 8).

7. 2. Le piézomëtre

Les rabattements observés dans le piézomètre durant les essais sans

pompe du 22/07 à 7 h (fig. 9) permettent de retrouver les mêmes gammes de valeursde T et S : T = I.IO"^, S = 4.10' , limite étanche à 50 m.

7. 3. Conclusion ^

-3Tous les essais sont ajustés avec la même gamme de T = 1 â 1,5.10 et

-3 -4un S captif compris entre 5.10 ET 1.10 . L'interprétation avec une limite étanche

à 50 m semble justifiée.

8 - PREVISION D'EXPLOITATION DU FORAGE

La simulation d'exploitation est réalisée avec les valeurs de transmis¬

sivité et coefficient d'emmagasinement correspondant à l'essai le plus long :

T = l,5.10"^m2/s, S = I.IO'^et en prenant l'hypothèse d'une limite étanche à 50 m.

On suppose un pompage de 40 m3/h, 10 heures par jour durant 6 mois con¬

tinus.

La figure 10 rend compte de cette simulation. Le graphique traduit l'é¬

volution du niveau dynamique en mètres dans le forage en fonction du temps en heures.

On constate d'Importantes fluctuations journalières de l'ordre de 16 m.

Toutefois, l'accroissement du rabattement sur 6 mois n'est pas très Important, de

l'ordre de 2 m (niveau dynamique au bout de 6 m : 18,30 m).

- 8

Le premier essai est très bien calé jusqu'à 240 mn, avec une transmissl--3 -3vité T = 1,5.10 m2/s, un coefficient d'emmagasinement S = 3.10 , une limite étanche

â 50 m du forage. De 240 mn â 350 mn, les écarts sont dûs à des variations de débit

du pompage (figure 7). y

Le deuxième essai est très bien calé pour toute la descente, avec :

T = l,5.10"^m2/s, S = I.IO"^ et une limite étanche à 50 m (Fig. 8).

7. 2. Le piézomëtre

Les rabattements observés dans le piézomètre durant les essais sans

pompe du 22/07 à 7 h (fig. 9) permettent de retrouver les mêmes gammes de valeursde T et S : T = I.IO"^, S = 4.10' , limite étanche à 50 m.

7. 3. Conclusion ^

-3Tous les essais sont ajustés avec la même gamme de T = 1 â 1,5.10 et

-3 -4un S captif compris entre 5.10 ET 1.10 . L'interprétation avec une limite étanche

à 50 m semble justifiée.

8 - PREVISION D'EXPLOITATION DU FORAGE

La simulation d'exploitation est réalisée avec les valeurs de transmis¬

sivité et coefficient d'emmagasinement correspondant à l'essai le plus long :

T = l,5.10"^m2/s, S = I.IO'^et en prenant l'hypothèse d'une limite étanche à 50 m.

On suppose un pompage de 40 m3/h, 10 heures par jour durant 6 mois con¬

tinus.

La figure 10 rend compte de cette simulation. Le graphique traduit l'é¬

volution du niveau dynamique en mètres dans le forage en fonction du temps en heures.

On constate d'Importantes fluctuations journalières de l'ordre de 16 m.

Toutefois, l'accroissement du rabattement sur 6 mois n'est pas très Important, de

l'ordre de 2 m (niveau dynamique au bout de 6 m : 18,30 m).

1.5..

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0 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 110RABATTEMENTS DANS LE PIEZOMETREt22.07.86)T=lE-3 S=4E-3 DEBIT VARIABLE

Fig. 9

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Fig. 9

0 400 800 1200 1600 2000 2400 2800SIMULATION SUR 6 MOIS 0=40 M3/H T=1.5E-3 3=1E-4 LIMITE ETANCHE 50M

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Fig. 10

0 400 800 1200 1600 2000 2400 2800SIMULATION SUR 6 MOIS 0=40 M3/H T=1.5E-3 3=1E-4 LIMITE ETANCHE 50M

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Fig. 10

9 -

La valeur d'un débit de 40 mS/h peut être admise coitme débit d'exploi¬tation de l'ouvrage.

Dans le cas d'une telle exploitation, on se rend compte que l'artésia¬

nisme diminue et qu'il n'y aura plus de débordement de l'ouvrage puisqu'en période

d'arrêt, le niveau sous le sol se situera entre 0,5 et 3 m.

9 - EVOLUTION DE LA QUALITE PHYSICO-CHIMIQUE DES EAUX - PRELEVEMENTS POUR ANALYSES

9 . 1 . Mesures in situ

Durant toutes les opérations et pendant le pompage, une mesure quasi

continue de différents paramètres a été effectuée. Il a été employé un conductivi¬

mètre CM 85 T donnant Instantanément la température et la conductivité à 25°C, avec

compensation de température en micromhos. Pour l'indice de sulfuration, un dosage

rapide par colorimétrie a été pratiqué à l'aide d'un coffret MERCK. Ml croquant 14777,

disposant d'un comparateur à l'échelle de 10 couleurs de 0,1 à 5 ppm.

Les différentes valeurs de température, conductivité et indice de sul¬

furation ont été notées sur les fiches d'observation du pompage jointes en annexe.

Nous pouvons noter une constance de la température à l'émergence : 16°9 et durant

le pompage : 17°1, la différence provenant du transit de 11 m à travers les tuyaux

d'exhaure ; la température extérieure variait entre 28 et 30°C.

La conductivité est pratiquement constante, les valeurs très proches,

en moyenne 1 150 m1cromhos/cm.

L'indice de sulfuration, de même, est constant tout au long des mesures

(HS = 4).

9. 2. Prélëvement du Laboratoire d'Analyses d'AJACCIO

Parallèlement à la prise d'échantillons pour analyses par le BRGM, au

débit de 16,5 m3/h (le 23/07 à 7 h) et à 42 m3/h (le 23/07 à 10 h 30), le Labora¬

toire Départemental d'Analyses d'AJACCIO (M. LAMBERET) prélevait des échantillons

pour analyses physico-chimiques et bactériologiques à 11 h (23/07), alors que le

9 -

La valeur d'un débit de 40 mS/h peut être admise coitme débit d'exploi¬tation de l'ouvrage.

Dans le cas d'une telle exploitation, on se rend compte que l'artésia¬

nisme diminue et qu'il n'y aura plus de débordement de l'ouvrage puisqu'en période

d'arrêt, le niveau sous le sol se situera entre 0,5 et 3 m.

9 - EVOLUTION DE LA QUALITE PHYSICO-CHIMIQUE DES EAUX - PRELEVEMENTS POUR ANALYSES

9 . 1 . Mesures in situ

Durant toutes les opérations et pendant le pompage, une mesure quasi

continue de différents paramètres a été effectuée. Il a été employé un conductivi¬

mètre CM 85 T donnant Instantanément la température et la conductivité à 25°C, avec

compensation de température en micromhos. Pour l'indice de sulfuration, un dosage

rapide par colorimétrie a été pratiqué à l'aide d'un coffret MERCK. Ml croquant 14777,

disposant d'un comparateur à l'échelle de 10 couleurs de 0,1 à 5 ppm.

Les différentes valeurs de température, conductivité et indice de sul¬

furation ont été notées sur les fiches d'observation du pompage jointes en annexe.

Nous pouvons noter une constance de la température à l'émergence : 16°9 et durant

le pompage : 17°1, la différence provenant du transit de 11 m à travers les tuyaux

d'exhaure ; la température extérieure variait entre 28 et 30°C.

La conductivité est pratiquement constante, les valeurs très proches,

en moyenne 1 150 m1cromhos/cm.

L'indice de sulfuration, de même, est constant tout au long des mesures

(HS = 4).

9. 2. Prélëvement du Laboratoire d'Analyses d'AJACCIO

Parallèlement à la prise d'échantillons pour analyses par le BRGM, au

débit de 16,5 m3/h (le 23/07 à 7 h) et à 42 m3/h (le 23/07 à 10 h 30), le Labora¬

toire Départemental d'Analyses d'AJACCIO (M. LAMBERET) prélevait des échantillons

pour analyses physico-chimiques et bactériologiques à 11 h (23/07), alors que le

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10.

débit était dë 42 m3/h environ. Il procédait en même temps à des analyses in situpour le dosage du soufre.

Reporté sur un diagramme SCHAELLER-BERKALOFF (Fig.. 11) et comparé au

prélèvement sur le forage "ELISE" du 21/04.85, on constate une similitude de faciès.Au point de vue bactériologique, l'eau est d'une pureté remarquable.

9. 3. Prélëvement 'BRGM

9. 3. 1. Analyses physico-chimiques

Deux prélèvements ont eu lieu lors du pompage aux débits de 16 m3/h et42 m3/h. Les résultats sont reportés sur le tableau ci-après et ont été transcritssur le diagramme d'analyses de la figure 11.

Les résultats de ces analyses permettent de constater que la composition

chimique est restée parfaitement stable pendant les essais à différents débits.

On enregistre une légère augmentation de la minéralisation totale par

rapport à l'eau du forage "ELISE", si l'on se réfère aux analysés du Laboratoire

National de la Santé (+ 14,1 % pour le calcium ? <- 18,7 %,pour le magnésium et+ 5,6 % pour les bicarbonates). Cette minéralisation légèrement supérieure montre

que le nouveau forage "APOLLONIE" "capte l'eau minérale" limitant mieux les mélan¬

ges avec les eaux plus superficielles (de type bicarbonatées).

Comme on peut le constater sur la figure 12, l'analyse de l'eau échantil¬

lonnée pendant le pompage d'essai représente bien le "pôle minéral".

L'indice de sulfuration mesurée "In situ" par le Laboratoire Départemental

d'Analyses est légèrement supérieur à celui du forage "ELISE".

9. 3. 2. Analyses isotopiques

Dans le cadre d'études hydrogéochimiques sur des eaux souterraines banales

ou minéralisées, l'utilisation des isotopes du milieu permet, en complément des ana¬

lyses chimiques et bactériologiques, de préciser certaines données : comme leur mode

10.

débit était dë 42 m3/h environ. Il procédait en même temps à des analyses in situpour le dosage du soufre.

Reporté sur un diagramme SCHAELLER-BERKALOFF (Fig.. 11) et comparé au

prélèvement sur le forage "ELISE" du 21/04.85, on constate une similitude de faciès.Au point de vue bactériologique, l'eau est d'une pureté remarquable.

9. 3. Prélëvement 'BRGM

9. 3. 1. Analyses physico-chimiques

Deux prélèvements ont eu lieu lors du pompage aux débits de 16 m3/h et42 m3/h. Les résultats sont reportés sur le tableau ci-après et ont été transcritssur le diagramme d'analyses de la figure 11.

Les résultats de ces analyses permettent de constater que la composition

chimique est restée parfaitement stable pendant les essais à différents débits.

On enregistre une légère augmentation de la minéralisation totale par

rapport à l'eau du forage "ELISE", si l'on se réfère aux analysés du Laboratoire

National de la Santé (+ 14,1 % pour le calcium ? <- 18,7 %,pour le magnésium et+ 5,6 % pour les bicarbonates). Cette minéralisation légèrement supérieure montre

que le nouveau forage "APOLLONIE" "capte l'eau minérale" limitant mieux les mélan¬

ges avec les eaux plus superficielles (de type bicarbonatées).

Comme on peut le constater sur la figure 12, l'analyse de l'eau échantil¬

lonnée pendant le pompage d'essai représente bien le "pôle minéral".

L'indice de sulfuration mesurée "In situ" par le Laboratoire Départemental

d'Analyses est légèrement supérieur à celui du forage "ELISE".

9. 3. 2. Analyses isotopiques

Dans le cadre d'études hydrogéochimiques sur des eaux souterraines banales

ou minéralisées, l'utilisation des isotopes du milieu permet, en complément des ana¬

lyses chimiques et bactériologiques, de préciser certaines données : comme leur mode

ANALYSES DES EAUX

Eléments

Ca

Mg

Na

K

HC03

Cl

S04

Ph

Conductiv.micromhos

Indice desulfurât.

Soufreréducteurtotal

Soufre dessulfures

Soufre dessulfites

"APOLLONIE"

Laboratoire Départemental 23/07/86

Débit : 4 2m3/h

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53,46

93

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62

210

7.25

1 304

5,6

7,36

6,82

0,32

BRGM 23/07/86

16.5 m3/h

103 mg/1

62

82

2,5

497

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198

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1 121(1 150 in situ)

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42 m3/h

104 mg/1

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"ELISE"

Laboratoire Départemental 22/04/85

5 m3/h

112 mg/1

48,6

100

3,76

390

66

225

7,42

1 061

5,3

7,20

6,72

0,16

BRGM 26/09/85

5 in3/h

99 mg/1

55

80

2.8470

64,4166

870(in situ)

Santé 20/03/85

5 m3/h

90 mg/1

52,1

84

2,1

468,7

66

132

7,23944

(in situ)

4,8

ANALYSES DES EAUX

Eléments

Ca

Mg

Na

K

HC03

Cl

S04

Ph

Conductiv.micromhos

Indice desulfurât.

Soufreréducteurtotal

Soufre dessulfures

Soufre dessulfites

"APOLLONIE"

Laboratoire Départemental 23/07/86

Débit : 4 2m3/h

176 mg/1

53,46

93

3

576,30

62

210

7.25

1 304

5,6

7,36

6,82

0,32

BRGM 23/07/86

16.5 m3/h

103 mg/1

62

82

2,5

497

68,2

198

7,0

1 121(1 150 in situ)

V

42 m3/h

104 mg/1

62

84

2.6497

68

194

7,0

1 115(1 150 in situ)

7

"ELISE"

Laboratoire Départemental 22/04/85

5 m3/h

112 mg/1

48,6

100

3,76

390

66

225

7,42

1 061

5,3

7,20

6,72

0,16

BRGM 26/09/85

5 in3/h

99 mg/1

55

80

2.8470

64,4166

870(in situ)

Santé 20/03/85

5 m3/h

90 mg/1

52,1

84

2,1

468,7

66

132

7,23944

(in situ)

4,8

HC03(mg/l)

B0Q

6013 ..

4013 - Eûun superf/ciei/es

20Q ..

Q t

0 20

nGí-HC03

Source E/t'íie {Pole minéral

\

-I f- 1 h-

40 60-H 4-

80

\

MG(fn9/n

H

100

Fig. 12 - RELATION ENTRE LA TENEUR EN MAGNESIUM ET BICARBONATES

HC03(mg/l)

B0Q

6013 ..

4013 - Eûun superf/ciei/es

20Q ..

Q t

0 20

nGí-HC03

Source E/t'íie {Pole minéral

\

-I f- 1 h-

40 60-H 4-

80

\

MG(fn9/n

H

100

Fig. 12 - RELATION ENTRE LA TENEUR EN MAGNESIUM ET BICARBONATES

11

d'alimentation récente ou ancienne par. le tritium ( H), les conditions de la recharge2

de l'aquifère par le deuterium (H) et l'oxygène 18 et l'origine du soufre réduitet oxydé par le soufre 34. -

Cet emploi des traceurs isotopiques naturels du cycle de l'eau pour dé¬

finir les caractéristiques d'une eau minérale naturelle a été recommandé par leJournal Officiel des Communautés Européennes endate du 30 août 1980 et doit s'appli¬quer dans un permi er temps sur les eaux embouteillées, mais on peut prévoir d'icila fin du millénaire, une extension â toute exploitation thermale.

9. 3. 2. Présentation des résultats des analyses isotopiques

Les résultats des analyses isotopiques effectuées sur les eaux du nouveau

forage "APOLLONIE", prélevées au cours de tests de production de l'aquifère pendant

le mois de juillet 1986, sont présentés dans le tableau suivant.

Forage "APOLLONIE"

Analyses isotopiques des eaux

Référence

Echantillon B

Débit

mS/h

40 mS/h

Tritium

3H en UT

é 1

Deuterium

SD %o VS SMOW

-39,2 - 0,5

Oxygène 18

S 18 %o VS SMOW

-6,6^0,1

V

Soufre 34S 34S %o VS CDT

HS'

-11,6^0,2

. 504"

+8,5 i0,2

Ces résultats sont exprimés en unités conventionnelles dont les défini¬

tions sont les suivantes :

3. Pour le tritium : 1 unité tritium (1 UT) représente un atome de tritium ( H) pour

18 110 atomes de protium ( H).

. Pour les isotopes stables : les résultats s'expriment en unité "delta pour mille"

{S%o) qui est l'expression d'une mesure relative correspondante à la relationsuivante : S %o = Ratio Echantillon - Ratio Référence X 10

Ratio Référence '

11

d'alimentation récente ou ancienne par. le tritium ( H), les conditions de la recharge2

de l'aquifère par le deuterium (H) et l'oxygène 18 et l'origine du soufre réduitet oxydé par le soufre 34. -

Cet emploi des traceurs isotopiques naturels du cycle de l'eau pour dé¬

finir les caractéristiques d'une eau minérale naturelle a été recommandé par leJournal Officiel des Communautés Européennes endate du 30 août 1980 et doit s'appli¬quer dans un permi er temps sur les eaux embouteillées, mais on peut prévoir d'icila fin du millénaire, une extension â toute exploitation thermale.

9. 3. 2. Présentation des résultats des analyses isotopiques

Les résultats des analyses isotopiques effectuées sur les eaux du nouveau

forage "APOLLONIE", prélevées au cours de tests de production de l'aquifère pendant

le mois de juillet 1986, sont présentés dans le tableau suivant.

Forage "APOLLONIE"

Analyses isotopiques des eaux

Référence

Echantillon B

Débit

mS/h

40 mS/h

Tritium

3H en UT

é 1

Deuterium

SD %o VS SMOW

-39,2 - 0,5

Oxygène 18

S 18 %o VS SMOW

-6,6^0,1

V

Soufre 34S 34S %o VS CDT

HS'

-11,6^0,2

. 504"

+8,5 i0,2

Ces résultats sont exprimés en unités conventionnelles dont les défini¬

tions sont les suivantes :

3. Pour le tritium : 1 unité tritium (1 UT) représente un atome de tritium ( H) pour

18 110 atomes de protium ( H).

. Pour les isotopes stables : les résultats s'expriment en unité "delta pour mille"

{S%o) qui est l'expression d'une mesure relative correspondante à la relationsuivante : S %o = Ratio Echantillon - Ratio Référence X 10

Ratio Référence '

12

Dans cette formule, le Ratio correspond au rapport de l'abondance de

l'isotope lourd sur l'abondance de l'isotope léger pour un élément donné.

. Pour le deuterium et 1 'oxygène 18 : la référence internationale est commune :

c'est le S M 0 W (Standard Mean Ocean Water) qui représente une eau océanique moyen¬

ne.

. Pour le soufre 34, la référence internationale est prise dans la composition isoto¬

pique en soufre de ía troTlite de Canyon Diablo qui est considérée comme caracté¬

ristique d'une composition Isotopique en soufre primordial ou endogène.

. Tritium dans le forage "APOLLONIE". Dans une eau souterraine banale ou minérale, la

* présence ou l'absence de tritium fournit une indication qualitative sur le temps

de séjour de l'eau dans le réservoir et permet d'atablir une distinction entre

des eaux actuelles ou récentes dont l'âge moyen est compris entre 1 et 30 ans et

qui contiennent plus ou moins de tritium et des eaux anciennes, supérieures à

plus de 30 ans et qui en sont dépourvues.

Dans le cas des eaux du forage "APOLLONIE", ces eaux sont "anciennes"

car non "tritiées" et assurément caractéristiques du gisement hydrominéral de

PUZZICHELLO.

A l'aide du tritium, on ne peut apprécier réellement le degré d'ancien¬

neté d'une eau au-delà de plus de 30 ans, car sa période est trop courte

(12,43 ans). Pour pouvoir préciser mieux cette notion d'ancienneté, il pourraitêtre envisagé, dans le futur, un dosage de carbone 14 sur les bicarbonates dissous,en respectant les précautions opératoires qu'une telle analyse réclame sur le ter¬

rain (précipitations de 60 g de bicarbonate sous atmosphère d'azote).

. Deuterium et oxygène 18. Les eaux du forage "APOLLONIE" ont des compositions iso-

topiques en deuterium et oxygène 18 qui satisfont à la relation générale proposée

pour les eaux de la Corse :

Sd = 8^^^ 0 + 14

le décalage de l'ordonnée (+4) par rapport à l'équation de CRAIG pour

les eaux de pluie non évaporées :

^D = 8S^^ 0 + 10

tient aux conditions météorologiques spécifiques de l'Ile (Insularitéet climat méditerranéen).

12

Dans cette formule, le Ratio correspond au rapport de l'abondance de

l'isotope lourd sur l'abondance de l'isotope léger pour un élément donné.

. Pour le deuterium et 1 'oxygène 18 : la référence internationale est commune :

c'est le S M 0 W (Standard Mean Ocean Water) qui représente une eau océanique moyen¬

ne.

. Pour le soufre 34, la référence internationale est prise dans la composition isoto¬

pique en soufre de ía troTlite de Canyon Diablo qui est considérée comme caracté¬

ristique d'une composition Isotopique en soufre primordial ou endogène.

. Tritium dans le forage "APOLLONIE". Dans une eau souterraine banale ou minérale, la

* présence ou l'absence de tritium fournit une indication qualitative sur le temps

de séjour de l'eau dans le réservoir et permet d'atablir une distinction entre

des eaux actuelles ou récentes dont l'âge moyen est compris entre 1 et 30 ans et

qui contiennent plus ou moins de tritium et des eaux anciennes, supérieures à

plus de 30 ans et qui en sont dépourvues.

Dans le cas des eaux du forage "APOLLONIE", ces eaux sont "anciennes"

car non "tritiées" et assurément caractéristiques du gisement hydrominéral de

PUZZICHELLO.

A l'aide du tritium, on ne peut apprécier réellement le degré d'ancien¬

neté d'une eau au-delà de plus de 30 ans, car sa période est trop courte

(12,43 ans). Pour pouvoir préciser mieux cette notion d'ancienneté, il pourraitêtre envisagé, dans le futur, un dosage de carbone 14 sur les bicarbonates dissous,en respectant les précautions opératoires qu'une telle analyse réclame sur le ter¬

rain (précipitations de 60 g de bicarbonate sous atmosphère d'azote).

. Deuterium et oxygène 18. Les eaux du forage "APOLLONIE" ont des compositions iso-

topiques en deuterium et oxygène 18 qui satisfont à la relation générale proposée

pour les eaux de la Corse :

Sd = 8^^^ 0 + 14

le décalage de l'ordonnée (+4) par rapport à l'équation de CRAIG pour

les eaux de pluie non évaporées :

^D = 8S^^ 0 + 10

tient aux conditions météorologiques spécifiques de l'Ile (Insularitéet climat méditerranéen).

13

.':. z. 9. 3. 2. 2. Origine du soufre dissous

Les eaux sulfureuses du forage "APOLLONIE" analysées en soufre isoto¬

pique sur le prélëvement à 42 m3/h donnent des compositions isotopiques en soufre 34

nettement différentes entre les espèces réduites et oxydées.

Du point de vue chimique : par la variété des espèces soufrées dissoutes,

J. BOULEGUE (1979) considère les eaux "sulfureuses calciques" de PUZZICHELLO comme

des eaux liées à une réduction bactérienne de sulfate au contact de marnes noires

du Miocène, riches en matière organique (MAGNE et al. 1975).

Du point de vue isotopique, le fractionnement de l'ordre de 20^ entreles espèces réduites (HS~) et oxydées (S04~~) est en convergence avec cette inter¬prétation. Ce fractionnement qui traduirait donc l'activité bactérienne est compara¬

ble à celui d'autres sources sulfureuses françaises qui sont sans équivoque d'origine

bactérienne :

- ENGHIEN-LES-BAINS : 2U de différence entre HS" et S04"~,

- ALLEVARD : 24^ de différence entre HS" et S04"".

Du point de vue isotopique, on peut affirmer que la source "APOLLONIE"

est parfaitement dans la lignée des caractériqtiques du gisement hydrominéral sulfu¬

ré de PUZZICHELLO comme le montre les résultats des analyses isotopiques du tableau

comparatif cl -dessous.

Référence

Source droite

Source gauche

Source gauche

Forage "ELISE"

Forage"APOLLONIE"

Date

1977

1977

1982

20/7/83

28/7/83

22/7/86

Deuterium

Sd %o ys sMow_

-38,1-0,5

-37,6^0,5n.d.

-38,1^0,5-39,4^0,5

-39,2^0,5

Oxygène 18

Sl8 D %o VS SMOW

-6,7^0,1

-6,7^0,1n.d.

-6,5-0,1

-6,5^0,1

-6,7-0,1

Soufre 34^ 34 S %o VS CDT

HS"

-17,3'to,2-10,5^0,2-9,3-0,2

+5,0

-11,6

S04""

+6,0^0,2

n.d.

+17,8

+16,5

+8,5

Gisement hydrominéral de PUZZICHELLO

Analyses isotopiques des eaux

13

.':. z. 9. 3. 2. 2. Origine du soufre dissous

Les eaux sulfureuses du forage "APOLLONIE" analysées en soufre isoto¬

pique sur le prélëvement à 42 m3/h donnent des compositions isotopiques en soufre 34

nettement différentes entre les espèces réduites et oxydées.

Du point de vue chimique : par la variété des espèces soufrées dissoutes,

J. BOULEGUE (1979) considère les eaux "sulfureuses calciques" de PUZZICHELLO comme

des eaux liées à une réduction bactérienne de sulfate au contact de marnes noires

du Miocène, riches en matière organique (MAGNE et al. 1975).

Du point de vue isotopique, le fractionnement de l'ordre de 20^ entreles espèces réduites (HS~) et oxydées (S04~~) est en convergence avec cette inter¬prétation. Ce fractionnement qui traduirait donc l'activité bactérienne est compara¬

ble à celui d'autres sources sulfureuses françaises qui sont sans équivoque d'origine

bactérienne :

- ENGHIEN-LES-BAINS : 2U de différence entre HS" et S04"~,

- ALLEVARD : 24^ de différence entre HS" et S04"".

Du point de vue isotopique, on peut affirmer que la source "APOLLONIE"

est parfaitement dans la lignée des caractériqtiques du gisement hydrominéral sulfu¬

ré de PUZZICHELLO comme le montre les résultats des analyses isotopiques du tableau

comparatif cl -dessous.

Référence

Source droite

Source gauche

Source gauche

Forage "ELISE"

Forage"APOLLONIE"

Date

1977

1977

1982

20/7/83

28/7/83

22/7/86

Deuterium

Sd %o ys sMow_

-38,1-0,5

-37,6^0,5n.d.

-38,1^0,5-39,4^0,5

-39,2^0,5

Oxygène 18

Sl8 D %o VS SMOW

-6,7^0,1

-6,7^0,1n.d.

-6,5-0,1

-6,5^0,1

-6,7-0,1

Soufre 34^ 34 S %o VS CDT

HS"

-17,3'to,2-10,5^0,2-9,3-0,2

+5,0

-11,6

S04""

+6,0^0,2

n.d.

+17,8

+16,5

+8,5

Gisement hydrominéral de PUZZICHELLO

Analyses isotopiques des eaux

14

10 - CONCLUSIONS

La réalisation d'un deuxième ouvrage de captage à PUZZICHELLO, dénommé

"APOLLONIE", permet d'assurer par pompage une exploitation des eaux minérales à un

débit de 40 m3/h.

Une bonne completion du forage assure à l'ouvrage de captage une protec¬

tion efficace. (cimentation sous pression de 0 à 41 m) et des conditions d'exploita¬tion satisfaisantes (mise en place d'une crépine slot 15 %).

Une surveillance attentive de la qualité des eaux lors de la foration

du réservoir aquifère de 40 à 51 m, confirmée par les résultats des analyses d'échan¬

tillons prélevés en cours de pompage permet d'affirmer que l'eau des forages

"APOLLONIE" et "ELISE" provient du même réservoir aquifère et que leurs compositi ons

sont comparables.

L'indice de sulfuration est même largement supérieur sur le second ou¬

vrage et l'analyse isotopique de tritium montre que cette eau minérale a un temps

de transit dans le sous-sol élevé.

*

* *

14

10 - CONCLUSIONS

La réalisation d'un deuxième ouvrage de captage à PUZZICHELLO, dénommé

"APOLLONIE", permet d'assurer par pompage une exploitation des eaux minérales à un

débit de 40 m3/h.

Une bonne completion du forage assure à l'ouvrage de captage une protec¬

tion efficace. (cimentation sous pression de 0 à 41 m) et des conditions d'exploita¬tion satisfaisantes (mise en place d'une crépine slot 15 %).

Une surveillance attentive de la qualité des eaux lors de la foration

du réservoir aquifère de 40 à 51 m, confirmée par les résultats des analyses d'échan¬

tillons prélevés en cours de pompage permet d'affirmer que l'eau des forages

"APOLLONIE" et "ELISE" provient du même réservoir aquifère et que leurs compositi ons

sont comparables.

L'indice de sulfuration est même largement supérieur sur le second ou¬

vrage et l'analyse isotopique de tritium montre que cette eau minérale a un temps

de transit dans le sous-sol élevé.

*

* *

ANNEXEANNEXE

ESSAI DE POMPAGE - PUZZICHELLO 2

ANNEXE 1

Origine des mesures :' + 0,60 du sol

Niveau piézométrique : + 4,59DESCENTE

Date : 22/07/86

ïures

7.30

^40

}.00

1.30

1.00

1.00

1.45

.30

.45

.00

.30

.00

.30

.00

.00

.00

.00

.00

.00

.00

.00

.30

/0736

.50

.00

Mn

0

357

10152025303540455060708090

100110123135150165180195210225240255270300330360390

0

5

1012151719202530354045

Débit(m3/h)

10,7

28,4

28,4" '

28,428,4

28,4

28,4

28,428,4

28,428.4

28,4

24 '

16,56,7

4342

42

42

42,1

Niveaudynamique

(m)

+ o;o55

- 6,326,406,486,556,616,676,736,796,836,876,866,846,876,906,967,027,08

. 7,137,197,247,317,357,417,457,497,557,577.037,046,496,196,316,07

'

. ?

14,1814,2714,3614.451 ~ 5 ^%J

14,5214,5714,6014,7114,8114,8814,9315

t°C

16°9

17°4

17°4

17°4

17°417°4

17°417°4

17°4

17°4

17°2

17°117°

17°17°2

17°217°2

Conductivité(micromhos)

1152

1150

1150

1151

11601161

11631162

1162

1154

1151

11511152

'

11541150:

1154

Indice desulfuration

4(1)

4

4

44 -

4

4

4

4

44

4

Observations

(1) Débit artésien - Mesudes paramètres à 17 h

--

r

!

Baisse de débit. Le groupeélectrogène fonctionne mal

7 h : Prise échantillonBR(àM. Précipitation du S.arrêt de pompage 7 h 10,réparation du groupe.7 h 30 : débit artésien =

5,6 m3/h ;7 h 40 = 6,3 m3/h8 h =6,7 m3/h8 h 30 = 7 m3/hPression piézo. = 0,195 bô

Mise en route de la pompe8 h 30 - Réglage vannedurant 5 mn

.

ESSAI DE POMPAGE - PUZZICHELLO 2

ANNEXE 1

Origine des mesures :' + 0,60 du sol

Niveau piézométrique : + 4,59DESCENTE

Date : 22/07/86

ïures

7.30

^40

}.00

1.30

1.00

1.00

1.45

.30

.45

.00

.30

.00

.30

.00

.00

.00

.00

.00

.00

.00

.00

.30

/0736

.50

.00

Mn

0

357

10152025303540455060708090

100110123135150165180195210225240255270300330360390

0

5

1012151719202530354045

Débit(m3/h)

10,7

28,4

28,4" '

28,428,4

28,4

28,4

28,428,4

28,428.4

28,4

24 '

16,56,7

4342

42

42

42,1

Niveaudynamique

(m)

+ o;o55

- 6,326,406,486,556,616,676,736,796,836,876,866,846,876,906,967,027,08

. 7,137,197,247,317,357,417,457,497,557,577.037,046,496,196,316,07

'

. ?

14,1814,2714,3614.451 ~ 5 ^%J

14,5214,5714,6014,7114,8114,8814,9315

t°C

16°9

17°4

17°4

17°4

17°417°4

17°417°4

17°4

17°4

17°2

17°117°

17°17°2

17°217°2

Conductivité(micromhos)

1152

1150

1150

1151

11601161

11631162

1162

1154

1151

11511152

'

11541150:

1154

Indice desulfuration

4(1)

4

4

44 -

4

4

4

4

44

4

Observations

(1) Débit artésien - Mesudes paramètres à 17 h

--

r

!

Baisse de débit. Le groupeélectrogène fonctionne mal

7 h : Prise échantillonBR(àM. Précipitation du S.arrêt de pompage 7 h 10,réparation du groupe.7 h 30 : débit artésien =

5,6 m3/h ;7 h 40 = 6,3 m3/h8 h =6,7 m3/h8 h 30 = 7 m3/hPression piézo. = 0,195 bô

Mise en route de la pompe8 h 30 - Réglage vannedurant 5 mn

.

leures

9.30

0.00

10.30

11.00

1.30

2.00

2.303.00

13.304.304.455.005.305:456.00

16.055.12

6.32

7.00

7.30

.-

Mn

5055 .

6065707580859095

100110120130140150160170180190100210225240270300360375390420435450455462467467472482505510525540

Débit(mS/h)

42

42

42

42

42

41,5

41,5

41,5

41,541

39,539,539,539,5505050

50

50

50

Niveaudynamique

(m)

15,0315,1215,1815,2415,2915,3415,4015,4515,5015,5515,6015,6715,7515,8115,8715,931616,0616,1016,1416,1916,1716,2216,28

- 16,3616,1916,3415,9015,1515,50.15,5115,502019,7819,7819,80.,19,8319,8919,9419,9920,0620,10

t°C

17°3

17°3

17°3

17°3

17°3

17°3

17°3

17°3

17°317°3

17°3.17°317°3

17°3

17°3

17°3

Conductivité(micromhos)

1156

1154

1160

1160

1149:

1151

1150

1152

11511154

11501150

1145

1145

1151.

Indice desulfuration

4

4

*

4

4

4 ,.

4

4

44

44

4

4

4-

Observations

Prise d'échantillonsPrécipitation du soufre

Prélèvement Labo. AJACCIO

Ouverture de la vanne .50 m3/h -Réglage

.

Arrêt du pompage

leures

9.30

0.00

10.30

11.00

1.30

2.00

2.303.00

13.304.304.455.005.305:456.00

16.055.12

6.32

7.00

7.30

.-

Mn

5055 .

6065707580859095

100110120130140150160170180190100210225240270300360375390420435450455462467467472482505510525540

Débit(mS/h)

42

42

42

42

42

41,5

41,5

41,5

41,541

39,539,539,539,5505050

50

50

50

Niveaudynamique

(m)

15,0315,1215,1815,2415,2915,3415,4015,4515,5015,5515,6015,6715,7515,8115,8715,931616,0616,1016,1416,1916,1716,2216,28

- 16,3616,1916,3415,9015,1515,50.15,5115,502019,7819,7819,80.,19,8319,8919,9419,9920,0620,10

t°C

17°3

17°3

17°3

17°3

17°3

17°3

17°3

17°3

17°317°3

17°3.17°317°3

17°3

17°3

17°3

Conductivité(micromhos)

1156

1154

1160

1160

1149:

1151

1150

1152

11511154

11501150

1145

1145

1151.

Indice desulfuration

4

4

*

4

4

4 ,.

4

4

44

44

4

4

4-

Observations

Prise d'échantillonsPrécipitation du soufre

Prélèvement Labo. AJACCIO

Ouverture de la vanne .50 m3/h -Réglage

.

Arrêt du pompage

Origine des mesures : Sol(0)

ESSAI DE POMPAGE - PUZZICHELLO 2

REMONTEEDate : 22-23/07/86

Temps depuisB ' arrêt du pompage

(secondes)

20 (17h30)405580

1061126170200220240270300 (17h35)330360390420450480510540570500 (17h40)530560590720F507S0310340370300 (17h45)330360390L0201 0501 0801 1201 1401 200I 2601 320

380440500560620680740800860920980040100160

Niveaudynamique

(m)

12,047,545,744,243,24-2,792,342,121,951,861,771,671,591,511,451,391,331,271,231,181,15

- 1,111,071,041,010,970,940,910,880,850,820,790,7650,7650,715 :.0,690,670,640,62 .

0,600,560,510,470,420,390,360,320,290,260,230,200,1650,1350,110,080,050,005

Secondes

2 2202 2802 3402 400(18hl0)2 5202 6402 7602 8803 0003 1203 2403 3603 4803 505

Niveaudynamique. (m)

0 + 0,025+ 0,05. 0,095

0,1250,1650,210,2550,3040,3390,370,4050,445^0,45

Observations

.. Le forage est jaillissant, l'eauremonte dans le tubage

;

.. Le forage déborde 23/07/8518h30,.: t° = 17°, C = 1151 micromhosRetrait de la pompe jusqu'à 19hl0Débit artésien : 1,6 m3/hPression piézo : 0(manomètre à + 1 m du sol )

\ -

,

.-'

^

\\f

»

" - , -

;

-' ,

Origine des mesures : Sol(0)

ESSAI DE POMPAGE - PUZZICHELLO 2

REMONTEEDate : 22-23/07/86

Temps depuisB ' arrêt du pompage

(secondes)

20 (17h30)405580

1061126170200220240270300 (17h35)330360390420450480510540570500 (17h40)530560590720F507S0310340370300 (17h45)330360390L0201 0501 0801 1201 1401 200I 2601 320

380440500560620680740800860920980040100160

Niveaudynamique

(m)

12,047,545,744,243,24-2,792,342,121,951,861,771,671,591,511,451,391,331,271,231,181,15

- 1,111,071,041,010,970,940,910,880,850,820,790,7650,7650,715 :.0,690,670,640,62 .

0,600,560,510,470,420,390,360,320,290,260,230,200,1650,1350,110,080,050,005

Secondes

2 2202 2802 3402 400(18hl0)2 5202 6402 7602 8803 0003 1203 2403 3603 4803 505

Niveaudynamique. (m)

0 + 0,025+ 0,05. 0,095

0,1250,1650,210,2550,3040,3390,370,4050,445^0,45

Observations

.. Le forage est jaillissant, l'eauremonte dans le tubage

;

.. Le forage déborde 23/07/8518h30,.: t° = 17°, C = 1151 micromhosRetrait de la pompe jusqu'à 19hl0Débit artésien : 1,6 m3/hPression piézo : 0(manomètre à + 1 m du sol )

\ -

,

.-'

^

\\f

»

" - , -

;

-' ,

Origine des mesures : sol(0)

REMONTEE (suite)

Date

4.07.86

15.07.86

18.07.862.08.864.08.86

Heure

7.309.30

10.0010.4011.3015.008.00

11.0016.0016.0011.00

Temps depuis1 ' arrêt du pompage

(secondes)

54 00057 60059 40061 80064 80077 400

138 600149 400426 600

1 342 600

-

Niveaudynamique

forage

+ 3,103,203,403,654,204,605,706,406,40

Niveaudynamique

piézo.

+ 2,10

+ 2,402,803,103,604,404,455,45

/

Observations

Débit artésien 7,2 m3/hà + 0,45 mise en place de latête dé puitsMise en pression t° = 16°9C = 1150

Le piézomètre (forage n°l) estmanipulé dans la journée. Lavanne ne reste pas toujoursfermée

Manomètre détérioré sur leP,i.ézo.

Stabilisation ?

Le niveau piézométriqueparaît avoir été atteint

t° = 16°9 C = 1180Prélëvement pour analyses desgaz libres et dissous

Origine des mesures : sol(0)

REMONTEE (suite)

Date

4.07.86

15.07.86

18.07.862.08.864.08.86

Heure

7.309.30

10.0010.4011.3015.008.00

11.0016.0016.0011.00

Temps depuis1 ' arrêt du pompage

(secondes)

54 00057 60059 40061 80064 80077 400

138 600149 400426 600

1 342 600

-

Niveaudynamique

forage

+ 3,103,203,403,654,204,605,706,406,40

Niveaudynamique

piézo.

+ 2,10

+ 2,402,803,103,604,404,455,45

/

Observations

Débit artésien 7,2 m3/hà + 0,45 mise en place de latête dé puitsMise en pression t° = 16°9C = 1150

Le piézomètre (forage n°l) estmanipulé dans la journée. Lavanne ne reste pas toujoursfermée

Manomètre détérioré sur leP,i.ézo.

Stabilisation ?

Le niveau piézométriqueparaît avoir été atteint

t° = 16°9 C = 1180Prélëvement pour analyses desgaz libres et dissous

.^^ "X-DEP/vRTEMENT DE LA CORSE DU SUD

LABORATOIRE DEPARTEMENTAL D'ANALYSES

VETERINAIRES, AGRICOLES ET DU CONTROLE

DES EAUX

Agrtîé par le Ministère de laSant:é Pubiicfue v

Avenue Noël Pranchini

20 000 AJACCIO

ANNEXE 2 -:

République Françai-si-^

AJ.vCCIü, le 30 JUILLET 1986

SERVICE GEOLOGIQUE CORSE

IMMEUBLE AGOSTINI

Z.I. FURIANI

20 200 BASTIA

BULLETIN D'ANALYSED'UNE EA.U

ORIGINE DE L'EAU :

Prélèvement effectué le : 23 JUILLET 1986 PAR LE LABORATOIRE REGIONAL

Nature du point d'eau : FORAGE ; PUZZICHELLO

CARACTERES PHYSIQUES GENERAUX :

Couleur ........ incolore

Odeur . . . . Inodore

Saveur - . /

Température de l'eau "in situ" au prélèvement . . . /Température de l'air ambiant au prélèvement /

F'' 7,25Conductivité électrique â 20° C (10 - 6 s/cm) .... i304Chlore libre (mg/l) NEANT

Turbidité :

N.T.U 0,97

Gouttes de mastic 12

Résidu sec à 105° (mg/litre) 1220

Eléments figurés d'origine anima lo NEANT

" " végétale . . NEANT

" " " minóralo NEANT

.^^ "X-DEP/vRTEMENT DE LA CORSE DU SUD

LABORATOIRE DEPARTEMENTAL D'ANALYSES

VETERINAIRES, AGRICOLES ET DU CONTROLE

DES EAUX

Agrtîé par le Ministère de laSant:é Pubiicfue v

Avenue Noël Pranchini

20 000 AJACCIO

ANNEXE 2 -:

République Françai-si-^

AJ.vCCIü, le 30 JUILLET 1986

SERVICE GEOLOGIQUE CORSE

IMMEUBLE AGOSTINI

Z.I. FURIANI

20 200 BASTIA

BULLETIN D'ANALYSED'UNE EA.U

ORIGINE DE L'EAU :

Prélèvement effectué le : 23 JUILLET 1986 PAR LE LABORATOIRE REGIONAL

Nature du point d'eau : FORAGE ; PUZZICHELLO

CARACTERES PHYSIQUES GENERAUX :

Couleur ........ incolore

Odeur . . . . Inodore

Saveur - . /

Température de l'eau "in situ" au prélèvement . . . /Température de l'air ambiant au prélèvement /

F'' 7,25Conductivité électrique â 20° C (10 - 6 s/cm) .... i304Chlore libre (mg/l) NEANT

Turbidité :

N.T.U 0,97

Gouttes de mastic 12

Résidu sec à 105° (mg/litre) 1220

Eléments figurés d'origine anima lo NEANT

" " végétale . . NEANT

" " " minóralo NEANT

- Deuxième rôle-

ANALYfJE CHIIvíIQUE

DUPET::r> OU TITRES HYDRO-IIiîb'rniQUÏÏL)

. Tu'^eté totale . . .

Dureté calcique . .

Dureté magnésienne

ALCALINITE3 DE TITRATIOIÍ

(Degrés français) , > . 66/':.' ' 44

22

T.A. à la phtaléine . . . milliéquivalents/l . . .....; NEANT

T.A.f!. à l'o rangé POIRRIEP. U" 3 "

COKTKOLE CHIMIQUl^ DE LA FOLIUTION DE L'&\U18

Asutj des nitrates mg/l 0,00Azote des nitrites mg/l

Azote ammoniacal mg,''l

0,05

0,00

Oxygène emprunté au permanganate de potassitun, mg/l à bh?M-:er. cj-lieu acide . . . . . 5,40

EVALUATION DE L'AGRESSIVITE : .

par contact a-vec le marbre concassé :

Ai/ant marbre

ï^ 7,25 '^-'C 18 ..... ,

Emprunt au marbre (.nu^^'l CC Ca ) . . . *25,0I.IIIiEALISATION - MLA>rCE lONIQ'JS

Après marbre

7,40

18,5

CATIONC mg/l méq/1 [OiK mg/l moq.

! Calcium en Ca .

îfagnéoium en î.lg

Sodium en Na

Potassium en X

Ammoniua en NH,4

rer en Pe . . .

î.ianganèse en îlnArsenic en AS

Cuivre en Cu

Zinc en Zyi

176

53,46

93

3,0

0,00

TRACES'

0,0100,002

0,0

0,0

8,782 !l5icarbonato.'3 exi HC-O

4,396 !('>'rbor;.'iteG un CO.,

4,043 î'-'hlijr'.ii'ec t;n C

!;'.uiratc.'j en l;0

lîiitrito^ en ÎIO,,

!üitr.ite:. en MO,

0,076

0,00

//

.;

¡i'hosphuriqiie ¿ii i

iSilicf 'în 'oi03

iPluor en u' " .

567,30' 9,300

/62

210,0

0,05

0,00

0,86

55,11

0,11

/1,748

4,372

0,001

0,00

0,027

1,448

' 0,005

- Deuxième rôle-

ANALYfJE CHIIvíIQUE

DUPET::r> OU TITRES HYDRO-IIiîb'rniQUÏÏL)

. Tu'^eté totale . . .

Dureté calcique . .

Dureté magnésienne

ALCALINITE3 DE TITRATIOIÍ

(Degrés français) , > . 66/':.' ' 44

22

T.A. à la phtaléine . . . milliéquivalents/l . . .....; NEANT

T.A.f!. à l'o rangé POIRRIEP. U" 3 "

COKTKOLE CHIMIQUl^ DE LA FOLIUTION DE L'&\U18

Asutj des nitrates mg/l 0,00Azote des nitrites mg/l

Azote ammoniacal mg,''l

0,05

0,00

Oxygène emprunté au permanganate de potassitun, mg/l à bh?M-:er. cj-lieu acide . . . . . 5,40

EVALUATION DE L'AGRESSIVITE : .

par contact a-vec le marbre concassé :

Ai/ant marbre

ï^ 7,25 '^-'C 18 ..... ,

Emprunt au marbre (.nu^^'l CC Ca ) . . . *25,0I.IIIiEALISATION - MLA>rCE lONIQ'JS

Après marbre

7,40

18,5

CATIONC mg/l méq/1 [OiK mg/l moq.

! Calcium en Ca .

îfagnéoium en î.lg

Sodium en Na

Potassium en X

Ammoniua en NH,4

rer en Pe . . .

î.ianganèse en îlnArsenic en AS

Cuivre en Cu

Zinc en Zyi

176

53,46

93

3,0

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TRACES'

0,0100,002

0,0

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8,782 !l5icarbonato.'3 exi HC-O

4,396 !('>'rbor;.'iteG un CO.,

4,043 î'-'hlijr'.ii'ec t;n C

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iPluor en u' " .

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0,001

0,00

0,027

1,448

' 0,005

v.. > :.

- Troisième rule -

AJí/lLYSES BACTERIOLOGIQUES

De-noni'T:.:" .it total des bactéries : ,

(£;ur gélose nutritive) .'

Nombre de colonies pour 1 ml ,

- Après 3 jours à 20-22° . 13

- Après 24 Heures. à 37° ; -^ 8

Colimétrif,'

("elon Buttiaux et Coll. gélosi; lactosée uu B.B. T.sur membrane à 37" et 44'', toc' F.iackeni:if.' )

0

0

- Conformes pour ^0Q siL

- r;schérif;hia Culi pour 100 ni ... - .

!.' í:rcpboüoques fccaïuc : ,

(méthode de Slanot;: et Bartley)

- Streptocoques fécKux p-rir ^00 ml - o

C'"-Cf:trLulum ^iuliito rérlucrtourrj :

^sur géiosp T. s:.:;. ) ,

-- Nombre de sporefi po ;r 100 ml . -

rNTBRPKETATION HYGIENIQUE DES FESULTATS DIJS AIJy'iLYSE.S ET 0BS]T:VATJi>JI

Mesures effectuées sur place

nO = 5,6

ni = 4,6

n2 = 0,3

n3 = 0,1

Indice de Sulfuration

Soufre total

Soufre des Sulfures

Soufre des Sulfites

5,6

7,36

6,88

0,32

Soufre des Thio sulfates inférieur à la sensibilité de la méthode

L'analyse démontre que la conductivité, le calcium. et le T-A.C, sontplus élevés que dans le précédent forage.

¿V;-: DÉPAñn?.':crTr C2 LA concE DtJ r

y UlÇ0nA7Z:."E DÉPARTEMEtv'

ITAHAji

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- Troisième rule -

AJí/lLYSES BACTERIOLOGIQUES

De-noni'T:.:" .it total des bactéries : ,

(£;ur gélose nutritive) .'

Nombre de colonies pour 1 ml ,

- Après 3 jours à 20-22° . 13

- Après 24 Heures. à 37° ; -^ 8

Colimétrif,'

("elon Buttiaux et Coll. gélosi; lactosée uu B.B. T.sur membrane à 37" et 44'', toc' F.iackeni:if.' )

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- Conformes pour ^0Q siL

- r;schérif;hia Culi pour 100 ni ... - .

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(méthode de Slanot;: et Bartley)

- Streptocoques fécKux p-rir ^00 ml - o

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^sur géiosp T. s:.:;. ) ,

-- Nombre de sporefi po ;r 100 ml . -

rNTBRPKETATION HYGIENIQUE DES FESULTATS DIJS AIJy'iLYSE.S ET 0BS]T:VATJi>JI

Mesures effectuées sur place

nO = 5,6

ni = 4,6

n2 = 0,3

n3 = 0,1

Indice de Sulfuration

Soufre total

Soufre des Sulfures

Soufre des Sulfites

5,6

7,36

6,88

0,32

Soufre des Thio sulfates inférieur à la sensibilité de la méthode

L'analyse démontre que la conductivité, le calcium. et le T-A.C, sontplus élevés que dans le précédent forage.

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y UlÇ0nA7Z:."E DÉPARTEMEtv'

ITAHAji

BUREAU DE RECHERCHES GEÜLOS IQUES ET Mli^lIERES

DIRECTION de? la TECHNULUGIE

Depa r tñinen t M i ner a 1 og i e , Geoc hi i m i ù , Ana 1 y ses (H . C-i . A . )B.P. 6009 - 4.50G0 Or leans Cedex ~ Tel : (33:)b4~34-34

í^:í:*:í::í::í::í:t::i:^::t::t::^:^:::í;:4::ic:;l.:;í:^::i.::^:^::í::i.:

% RESULTATS D'ETUDES-J. <

'i.

%

DOMINICI %

SGR/CSC %

DESb0K37 *RP441- tM7345A %

ANAL. . EAU >:îi-: %

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BUREAU DE RECHERCHES GEÜLOS IQUES ET Mli^lIERES

DIRECTION de? la TECHNULUGIE

Depa r tñinen t M i ner a 1 og i e , Geoc hi i m i ù , Ana 1 y ses (H . C-i . A . )B.P. 6009 - 4.50G0 Or leans Cedex ~ Tel : (33:)b4~34-34

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