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fleet BELGIQUE - BELGIE P.P. - P.B. B-324 Autorisation de Fermeture B-324 The magazine for efficient people / n° 129 avril 2012 by D’Ieteren Perles belges sur canapé BELGIQUE - BELGIE P.P. - P.B. B-324 Autorisation de Fermeture B-324

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fleetBELGIQUE - BELGIE

P.P. - P.B.

B-324

Autorisation de Fermeture B-324

The magazine for efficient people / n° 129 avril 2012

by D’Ieteren

Perles belges sur canapé

BELGIQUE - BELGIE

P.P. - P.B.

B-324

Autorisation de Fermeture B-324

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> E D I T O R I A L

ATN ! Depuis le début de l’année, ces trois lettres résonnent sans

cesse auprès des utilisateurs de véhicules de société et des

responsables de flotte. L’écho des nouvelles règles de calcul de

l’Avantage de Toute Nature (ATN) s’est amplifié au fil du temps, par

manque de clarté essentiellement. Les inquiétudes sont grandes, les

incertitudes nombreuses et les montants parfois exorbitants cités à titre

d’exemples dans la presse ont clairement marqués l’opinion publique.

La réalité est toutefois plus nuancée. Ainsi, pour environ 10% des

utilisateurs de véhicules de société, l'ATN imposable est même moins

élevé que précédemment. Pour l’immense majorité des autres,

65 à 70%, on constate une augmentation de l’ATN,

mais celle-ci reste mesurée et ce particulièrement

pour l’ensemble de nos marques. Finalement, le

cataclysme annoncé ne vaut que pour les véhicules

les plus chers et les plus gourmands, qui ne repré-

sentent certes qu’une proportion plus faible du parc

fleet, mais qui génèrent une activité économique im-

portante ainsi mise en péril, ce qui est bien entendu

inacceptable !

Nous sommes conscients que tout citoyen devra

participer aux mesures d’économie, mais une fois de

plus le législateur se concentre sur les véhicules

de sociétés. Savez-vous que depuis 2005 on estime

que l’impact des différentes mesures prises en la

matière a impacté pour plus de 15% (si on cumule

les charges employeur et utilisateur) ce soi-disant avantage?

Mais même si nous avons le sentiment que l’utilisateur d’une voiture

de société est pris en otage, nous nous devons d’avancer. C’est l’objet

du dossier que vous découvrirez dans ce magazine, basé sur tous les

éléments connus au moment de mettre sous presse, et qui relativise

pour nos marques l’impact réel de ces nouvelles mesures.

Excellente lecture,

Editeur responsable : Alain Frenay, s.a. D’Ieteren n.v. Leuvensesteenweg 639 - 3071 Kortenberg Tél.: 02/756 85 63Coordination : Philippe Verniers, Annick DaemsConception, rédaction, production : MMM Business Media Tél.: 04 387 87 87 e-mail : [email protected] www.mmm-businessmedia.com

fleetby D’Ieteren

3Fleet by D’Ieteren 02/2012

Ce magazine étant exclusivement adressé à des sociétés, les prix sont indiqués hors TVA. Prix au 02/04/2012. Les véhicules illustrés dans ce magazine peuventproposer des équipements disponibles en option ou non repris dans le programmed'importation en Belgique.

A.Frenay

Un magazine D’Ieteren Auto

Alain Frenay

Group Fleet Manager :

«Depuis 2005 les mesures prises en matière de véhicules

de sociétés à diminué de 15% l’avantage salarial!».

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> S O M M A I R E

4 Fleet Magazine 10/ 2010

08La nouvelle Audi A4 : pouvoir d’attraction

40Royal BelgianCaviar : la passionde l’excellence

36Thierry Soret et

Philippe Simonart(Volkswagen

D’Ieteren Finance) :"Ensemble, pour

mieux vous servir"

Et aussi > 05 City Emerging Braking > 10 L’A1 puissance 5 > 12 SEAT à Genève > 20 ŠKODA Citigo > 22 ŠKODA Octavia Green E Line > 24 Volkswagen Beetle > 26 Volkswagen Véhicules Utilitaires : double cabine > 35 A-trium by Audi Bustin > 42 Flotte-test Golf Blue-e-Motion > 43 5 questions au Secrétaire d’Etat à la Mobilité Melchior Wathelet jr.

4 Fleet by D’Ieteren 02/2012

fleetby D’Ieteren

28Inde : entre sérénité et chaos

14Dossier fiscalité : la loi de la nature

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Parce que circuler en ville s’apparente parfois à un par-

cours du combattant ponctuéd’embûches, les ingénieurs duGroupe Volkswagen ne se sont pascontentés de développer des voi-tures compactes, maniables etéconomiques. Il en fallait pluspour bénéficier d’emblée d’unelongueur d’avance avec une attention particulière pour laconduite en ville, terrain de prédi-lection de la nouvelle up!.

Non seulement parce que la circu-lation dense est un facteur derisque supplémentaire, mais aussiparce que les accrochages à faiblevitesse sont sources d’immobilisa-tions fréquentes et nuisent à lamobilité.

Capteur laserProposé en option sur les Volkswagen up!, ŠKODA Citigo etSEAT Mii, le freinage d’urgence enville détecte tout risque de colli-sion à l’aide d’un capteur laser in-tégré en haut du pare-brise quibalaye la route sur une distance de10 m. Si un risque de collisionavec un objet en déplacement ou àl’arrêt est détecté sans que leconducteur ne réagisse, le circuitde freinage est préconditionnépour augmenter son efficacité etsa rapidité. Dans un second temps,l’assistant au freinage d’urgenceest placé en alerte. Ensuite, selonla situation, le système déclencheun freinage d’urgence automa-

tique jusqu’à l’immobilisation duvéhicule ou fournit toute la puis-sance de décélération au conduc-teur si ce dernier ne freine passuffisamment.

Entre 5 et 30 km/hDans tous les cas de figure, leconducteur conserve la maîtrisetotale de son véhicule. Il peut ainsireprendre le contrôle sur le sys-tème de freinage d’urgence en ac-célérant, en braquant ou enappuyant sur l’embrayage. D’autrepart, le système peut être décon-necté par simple pression sur unbouton situé dans la partie infé-rieure de la console centrale. Véritable ange gardien des dépla-cements urbains, le système defreinage d’urgence automatiqueest actif entre 5 et 30 km/h. Il per-met d’améliorer la sécurité en évi-tant la collision lorsque c’estpossible, mais aussi de réduirel’intensité du choc quand l’impactne peut être évité. <

L’ange gardien des villesLES VOLKSWAGEN up!,

ŠKODA CITIGO ET SEAT

MII PEUVENT ETRE

EQUIPEES D’UN SYSTEME

DE FREINAGE D’URGENCE

AUTOMATIQUE EN

CONDUITE URBAINE.

UNE PREMIERE MON-

DIALE DANS LE SEGMENT

DES CITADINES.

> B O N A S AVO I R C I T Y E M E R G E N C Y B R A K I N G

Fleet Magazine 02/2012 5

Un capteur laser s itué en haut du pare-br ise détec te les r isques de col l is ion

frontale et freine la voiture avec un maximum d’eff icacité .

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> A C T U A L I T E

Fleet by D’Ieteren 02/2012

Volkswagen Passat AlltrackBaroudeuse

Mi-break, mi-SUV, la nouvelle Passat

Alltrack se distingue de la version

Variant par ses pare-chocs redessinés,

ses passages de roues élargis et ses bas de

caisse proéminents. Bénéficiant d’une

garde au sol surélevée, elle affronte sans

sourciller les chemins les plus difficiles

sans secouer ses occupants. Même

lorsqu’elle est équipée de la transmission

intégrale à gestion intelligente, sa fruga-

lité reste intacte. La version TDI 4MOTION

de 140 CV se contente ainsi de

5,7 l/100 km en moyenne (150 g de

CO2/km).

Volkswagen Jetta HybridFrugalité et dynamisme

Après le Touareg, la Jetta est le deuxième mo-

dèle Volkswagen à accueillir sous son capot un

module hybride. La Jetta Hybrid combine le

moteur TSI de 150 CV et un moteur électrique

de 20 kW. De quoi lui permettre d’accélérer de

0 à 100 km/h en moins de 9 secondes tout en

se contentant de 5,2 l/100 km en moyenne.

En outre, le conducteur peut, d’une simple

pression sur un bouton, rouler en mode pure-

ment électrique pendant 2 km et jusqu’à

70 km/h. La Jetta Hybrid sera commercialisée

chez nous l’année prochaine.

SEAT AlhambraMeilleur MPV importé

6

Dans le cadre de l’élection des Meilleures Voitures

2012, le magazine allemand Auto Motor und Sport,

une référence, a décerné le prix du Meilleur MPV im-

porté à la SEAT Alhambra, et ce pour la seconde

année consécutive. L’Ibiza s’est également illustrée

en se plaçant sur la troisième marche du podium des

Meilleures Voitures compactes importées. L’Alhambra

poursuit donc sa moisson de victoires entamée dès le

début de sa commercialisation, début 2010.

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A C T U A L I T E <

Audi A1 quattroLimitée à 333 exemplaires

Avec sa transmission intégrale permanente et son moteur 2.0 L TFSI de 256 CV, l’Audi A1 quattro passe

de 0 à 100 km/h en seulement 5,7 s et pointe à 245 km/h. Des performances au sommet de

son segment qui s’accompagnent d’une

consommation maîtrisée puisque le

nouveau fleuron de la catégorie

compacte se contente de

8,5 l/100 km.

Le Groupe Volkswagen a mis au point une

nouvelle plateforme modulaire destinée aux

véhicules à moteur transversal des marques

Volkswagen, Audi, ŠKODA et SEAT. Véritable

tournant en matière de conception et de

production, cette nouvelle plateforme permet

de construire sur la même ligne de montage

des véhicules dotés d’empattements et de voies

différentes.

Synergies de GroupePlateforme modulaire

Volkswagen up!Freinage récompensé

La nouvelle Volkswagen up! impressionne les experts

en sécurité de l’organisme indépendant Euro NCAP.

Après avoir obtenu la note maximale de cinq étoiles

pour son concept de sécurité global, elle se voit dé-

cerner le prix Advanced pour sa fonction de freinage

automatique d’urgence en ville. Une récompense

décernée depuis 2010 seulement, qui place la up!

au sommet de sa catégorie en termes de sécurité.

> D I D I E R T ’ S E R ST E V E N S , D I R E C T E U R G R O U P S E RV I C E

Didier t’Serstevens a été nommé Directeur Group Service et membre duComité de Direction de D'Ieteren Auto. Après avoir occupé divers postes

depuis son arrivée en février 1988, dont celui de Directeur de ŠKODA Im-port. Depuis sa nomination à la tête de la marque aux 4 anneaux en décem-

bre 2003, Didier t'Serstevens a mené celle-ci à la première place de lacatégorie Premium.

> D I D I E R W I L L E M S , D I R E C T E U R AU D I I M P O RT

Didier Willems a été nommé Directeur Audi Import. Entré chez D’Ieteren en janvier1989, Didier Willems a développé ses facultés innées pour le commerce dans la vente

des véhicules d’occasion de D’Ieteren Lease. Depuis décembre 2003 il dirige lamarque ŠKODA qui a simply delivered un record de volume en 2011.

> C H R I ST I A N R A M P E L B E R G H , D I R E C T E U R ŠKO DA I M P O RT

Christian Rampelbergh a été nommé Directeur ŠKODA Import. Juriste de formation,entré chez D’Ieteren en mars 1990, Christian Rampelbergh a été une cheville ouvrière de la séparation des marques dans nos réseaux en sa qualité de directeurNetwork Support & Fleet . Il a également implanté My May à travers le pays, permettant ainsi à nos concessionnaires de disposer d’un véritable outil de

revente de leurs véhicules d’occasion.

> B E N O I T D E C A N N I È R E , D I R E C T E U R N E T WO R KS S U P P O RT & F L E E T

Benoit De Cannière a été nommé Directeur Networks Support &Fleet chez D’Ieteren. Il a sous sa responsabilité la Group

Fleet Division, ainsi que les départements My Way & Used Cars,Operative Support Management, Networks Legal Advising et

Business & Driver Management.

En bref

Fleet by D’Ieteren 02/2012 7

Variable

Variable VariableVariable Homogène

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8

> S H O W R O O M A U D I A 4

Fleet Magazine 02/20128

Pouvoir d’attraction

SI LA NOUVELLE AUDI A4 EST UNE

REFERENCE EN MATIERE D’EFFICACITE

ENERGETIQUE, CE N’EST PAS SEULEMENT

GRACE A SES EXCEPTIONNELS MOTEURS

TDI. TOUT EN ELLE EST OPTIMISE POUR

REDUIRE LA CONSOMMATION ET

AUGMENTER VOTRE PLAISIR DE

CONDUIRE. MEME CE QUI

NE SE VOIT PAS…

Pouvoir d’attraction

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A U D I A 4 S H O W R O O M <

9Fleet by D’Ieteren 02/2012

Avec plus de dix millionsd’exemplaires vendus en

40 ans, l’A4 est incontestablementle best-seller de la marque. Un succès qu’elle doit non seule-ment à son savant mélange d’élégance, de sportivité et deconfort, mais aussi à sa capacitéd’adaptation, voire même d’antici-pation de vos attentes. Cette huitième génération ne dérogepas à la règle et vous offre un rap-port prestations/consommationhors du commun.

Soigner chaque détai lA y regarder de plus près, c’est ensoignant une multitude de petitsdétails que les ingénieurs Audi ysont parvenus. Ainsi, le 2,0 L TDIutilise désormais un nouveau vo-lant moteur visant à éliminer lesvibrations à bas régimes. Le plai-sir de conduite en profite, En ma-tière de transmission, la nouvellegestion thermique des boîtes devitesses raccourcit la phase demise en température et les pertesliées au frottement. Là aussi, laconsommation et l’agrément sontgagnants. Même la direction parti-cipe au travail d’optimisation. Cerise sur le gâteau : elle vous as-siste par de légères corrections encas de freinage sur sol glissantasymétrique (une roue dansl’herbe, par exemple).

Détec t ion de fat igueCe souci du détail, vous en bénéfi-ciez également dans l’habitacle dela nouvelle Audi A4, avec un largechoix de nouveaux volants, fini-tions, revêtements et coloris. Lescommandes sont devenues encoreplus intuitives à utiliser, et le sys-tème de navigation MMI se simpli-

fie en passant de huit à quatretouches. Le nouveau système d’in-formation, avec détection de fa-tigue, est de série sur tous lesmodèles. Il surveille les mouve-ments du volant et d’autres para-mètres, identifie les différencespar rapport à votre style deconduite habituel et vous en aver-tit. D’autres systèmes d’assistancecomme l’adaptive cruise control,l’active lane et le side assist sontégalement disponibles. La naviga-tion MMI peut en outre être com-plétée par le téléphone Bluetoothonline qui vous permet d’accéderà différentes applications Google(Earth, Street View). Via le hot spotdu système, les passagers de lanouvelle A4 peuvent consulterleurs messages ou surfer sur Internet à l’aide de leurs appareilsportables.

Nouveau visageSéduisante par ses prestations, la nouvelle Audi A4 soigne aussi sa présentation. Plus expressifs,les phares qui entourent la calan-dre Singleframe s’inspirent deceux de l’A5. Les projecteursxénon plus, tout comme l’éclai-rage dynamique en virage adap-tive light, sont disponibles surdemande. Le nouveau visage de

l’A4 trouve également un écho àl’arrière avec de nouveaux feux etune partie basse (pare-chocs etdiffuseur) qui gagne en dyna-misme. Enfin, le nuancier de carrosserie compte désormaisquinze coloris, dont quatre inédits. De quoi apporter la touche finaleau tableau en vous permettantd’ouvrir la page d’un nouveau chapitre à succès dans l’histoire de l’A4. <

L’Audi A4 soigne son habitacle avec un large choix de nouveaux volants,

f init ions, revêtements et color is .

En moyenne, la consommation a été réduite de 11%,

alors que de nombreux moteurs gagnent en puis-

sance et en couple. Tous associent l’injection directe

et la suralimentation. Le système Stop-Start est de

série sur l’ensemble des modèles, à l’instar de la ré-

cupération d’énergie au freinage. Des solutions tech-

niques qui permettent à l’A4 2,0 L TDI 136 CV de se

contenter de 4,2 l/100 km, soit 112 g de CO2/km.

Et avec 4,4 l/100 km et 115 gde CO2/km, la version

163 CV est à peine plus gourmande ! La nouvelle

assistance électromécanique participe également à

cette réduction en ne consommant en effet aucune

énergie en ligne droite, ce qui vous fait gagner

jusqu’à 0,3 l/100 km (7 g de CO2/km).

U N E CO N S O M M AT I O N en net recul

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10 Fleet Magazine 02/201210

Si vous craigniez que la version 5 portes perdraiten personnalité, vous pouvez être rassuré :

la Sportback est une A1 à 100% (et 100% belgepuisqu’elle est produite à l’usine bruxelloise d’Audi – voir encadré). Avec une largeur et une hauteur aug-mentée de 6 mm, vous y trouverez la même habitabi-lité et le même confort intérieur que dans la version3 portes, le côté pratique des 2 portes supplémen-

taires en sus. Le design aussi s’inscrit dans la lignée de sa sœur, avec entre autres un arc de toit aumontant arrière très incliné. Une ligne dynamiquequi sied à la flotte d’une entreprise qui veut aller de l’avant. Vous aimez en plus ajouter une touchepersonnelle à vos véhicules ? Les possibilités de personnalisation vont du toit contrastant à la finitionS line en passant par une large gamme d’accessoires.

> S H O W R O O M A U D I A 1 S P O R T B A C K

L’A1 puissance 5EN PASSANT DE TROIS A CINQ PORTES, L’A1 SPORTBACK GAGNE EN ASPECTS

PRATIQUESSANS RIEN PERDRE DE SA VIVACITE. CONCENTRANT TOUTES LES

QUALITES D’AUDI EN MOINS DE 4 METRES DE LONG, ELLE VOUS PROPOSE LE LABEL

L’AVANCE PAR LA TECHNOLOGIE EN FORMAT COMPACT.

L’Audi A1 Spor tback

vous permet d’emmener

3 ou 4 passagers,

selon la vers ion chois ie .

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A U D I A 1 S P O R T B A C K S H O W R O O M <

11Fleet by D’Ieteren 02/2012

Construc t ion légèreFidèle à la tradition Audi, l’A1 Sportback soigne saligne. La carrosserie légère permet non seulement delimiter le poids (la version 1.2 TFSI n’accuse que1.065 kilos sur la balance !), mais aussi d’accroître larigidité : au volant, vous bénéficiez ainsi d’une plusgrande précision de conduite. Avec un véhiculeexempt de vibrations et de bruits parasites, vous etvos passagers apprécieront un agrément et unconfort digne d’une berline du segment supérieur.Vos passagers peuvent être au nombre de 3 ou de 4,suivant que vous choisissez pour la version quatre (desérie) ou cinq places (en option). Et si vous avez du matériel à emporter, les 5 portes vous facilitent l’accèsà l’arrière et le seuil du coffre, placé à seulement 66 cmdu sol, vous permet de charger sans trop d’effort jusqu’à270 litres de bagages et autre matériel.

Cyl indres à la demandeComme beaucoup, vous vous posez beaucoup dequestions quant au montant à calculer pour l’avan-tage en toute nature. Au niveau de ses motorisations,l’A1 Sportback se positionne avantageusement à ceniveau. Qu’il développe 90 ou 105 CV, le moteur 1,6 LTDI ne réclame que 3,8 l/100 km en moyenne, soit 99 g de CO2/km. La large gamme de sept moteurs essence et diesel accueille également un tout nouveau 1,4 L TFSI de 140 CV capable de couper automatiquement deux de ses quatre cylindres pour moins consommer lorsque c’est possible (bas régimes, faible accélération).Résultat : 4,7 l/100 km malgré des performances de sportive (0 à 100 km/h en 8,1 s et 212 km/h en pointe). <

A l’instar de sa sœur à 3 portes, c’est chez Audi Brussels à Forest que

l’A1 Sportback est fabriquée. Audi a investi pas moins de 410 millions

d’euros dans la modernisation de l’équipement, des chaînes,

des infrastructures et des robots de l’usine bruxelloise. Avec un

objectif majeur : la qualité ! Chaque jour, deux châssis

sont sortis des chaînes pour subir un contrôle portant sur quelque

4.500 mesures. Une opération entièrement électronique qui dure

8 heures. Les soudures sont même photographiées par un robot

espion qui envoie les clichés vers un centre de contrôle permettant

de détecter toute anomalie. A la sortie du kilomètre de chaîne,

chacun des 520 exemplaires produits quotidiennement est testé

sur une piste d’essai.

Vous voulez découvrir comment se construit votre future A1 ?

C’est tout à fait possible, car le site est accessible pour une visite

de 2 heures environ. Le parcours débute dans une zone de réception

disposant d’une salle de projection. Les informations détaillées

relatives à tout le cycle de fabrication apparaissent sur les différents

stands d’information. Outre les clips vidéo, des graphiques expli-

quent les faits et chiffres, les étapes de la logistique et l’utilisation

des matériaux de haute technologie. Les visites se déroulent du

lundi au vendredi en français, néerlandais, allemand et anglais.

Les tarifs sont de 9 ¤ par personne et 120 ¤ par groupe de maximum

15 personnes. Un prix réduit à 5 ¤ est accordé aux seniors, étudiants

et moins de 18 ans. Plus d’info sur www.audibrussels.com.

M A D E I N Belgium

Plus large et plus haute de 6 mm que la vers ion 3 por tes,

l ’A1 Spor tback soigne son habitabi l i té et votre confor t .

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Page 12: fleet dieteren fr 129

L’avenir est en marchePRESENTEE A GENEVE, LA NOUVELLE IBIZA RENFORCE SA PERSONNALITE GRACE A UN

DESIGN REVISITE, ALORS QUE LA NOUVELLE MII SE DECLINE EN 3 OU 5 PORTES POUR

UNE POLYVALENCE ACCRUE. ET POUR FIN 2012 S’ANNONCE LA NOUVELLE TOLEDO,

QUI SE DEMARQUE PAR UN PROFIL DE COUPE ET LA FONCTIONNALITE D’UN BREAK.

12 Fleet Magazine 02/2012

> S H O W R O O M S E A T T O L E D O C O N C E P T / M I I / I B I Z A

Avec son design très typé, sesémissions CO2 intéressantes et

son excellent rapport prix/qualité,l’Ibiza a déjà su convaincre bonnombre de gestionnaires de flotte.Avec l’objectif de continuer surcette lancée, l’Ibiza profite duprintemps pour affiner encore sondesign, dans la lignée du nouveaulangage stylistique de la marque.Cela donne entre autres une im-pression de largeur à la voiture.Les phares aussi renforcent cesentiment de renouveau : ils se dé-clinent en deux versions halo-gènes, alors que des projecteurs

Bi-Xénon intégrant des feux deroute à LED sont disponibles enoption.

Dans et hors de la voitureOutre le design, les utilisateursd’Ibiza ont également été conquispar les idées pratiques proposées,facilitant l’usage au quotidien. Iciaussi l’Ibiza peaufine les détails,en adoptant par exemple une boîteà gants dont la capacité a été por-tée à 10,7 litres : de quoi ranger unmaximum de choses. Plus specta-culaire sans doute : le PortableMedia System, disponible en

option. Avec son écran tactile, il combine les fonctions d’un GPS,d’un ordinateur de bord, d’uneinstallation audio et d’un télé-phone mains libres. Cerise sur le gâteau : bien que totalement intégré à l’électronique de bord de l’Ibiza, il peut également êtreutilisé en dehors de la voiture.

A chacun son IbizaVotre critère de choix concerne plutôt le volume de chargement ? Ou vous cherchez une voituresympa et pratique pour vos juniors ?De la sportive trois portes SC au

La famil le Ibiza

renforce encore sa personnal ité .

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break ST en passant par la version5 portes, la famille Ibiza répond àtous les besoins. En matière demotorisations aussi, le spectre deses compétences est particulière-ment large (voir encadré). Il vousreste dès lors le plus difficile àfaire : choisir la bonne version !

Mii : 3 ou 5 por tesVous pourrez enfin découvrir la nouvelle SEAT Mii version 3 portes dans les showroomsbelges dans les prochaines se-maines. Et voici déjà une version5 portes qui s’annonce, pour en-core plus de polyvalence. Les deuxportes supplémentaires s’intè-grent parfaitement à la silhouette.La ligne de toit reste inchangée etles montants arrière conserventleur forme large et puissante. Légèrement plus basse que dansla version 3 portes, la ceinture decaisse cède de l’espace aux vitresarrière pour une visibilité péri-phérique optimale. Avec leurgrand angle d’ouverture, lesportes arrière facilitent l’accès à labanquette, par exemple lorsqu’ils’agit de déposer du matériel oudes dossiers. Grâce à leur taille ré-duite, ces portes se manipulent fa-cilement, même sur les places deparking étroites. <

S E A T T O L E D O C O N C E P T / M I I / I B I Z A S H O W R O O M <

13Fleet by D’Ieteren 02/2012

Le concept Toledo présenté à Genève préfigure la version de série prévue pour fin 2012.

Une allure puissante, des surfaces et des lignes tendues : pas de doute, SEAT fait la part belle

à l’émotion. Le toit, formant un arc élégant jusqu’à la vitre arrière très inclinée, renforce le

style coupé. Mais ne vous méprenez pas : la nouvelle Toledo ne sacrifie en rien les aspects pra-

tiques à son allure. Prenez le cas du coffre : difficile de deviner, à première vue, qu’il s’agit d’un

hayon. Et pourtant… Son seuil de chargement situé à seulement 70 cm du sol et son généreux

volume de 500 litres en font un allié de taille pour les transports volumineux. Avec la banquette

arrière rabattue, la capacité de charge maximale dépasse même celle de certains breaks !

Compacte, mais spacieuse

Malgré ses dimensions relativement compactes pour une voiture de son segment, gage d’une

excellente maniabilité, la future Toledo offre un maximum d’espace à ses cinq occupants.

Son secret : un empattement de 2,60 mètres. Et en dépit de son profil dynamique, les passa-

gers assis à l’arrière bénéficient d’une garde au toit de 97 cm. A l’avant, le tableau de bord et

toutes les commandes se distinguent par leur clarté et leur ergonomie poussée. La lumière

colorant l’intérieur, les coutures des sièges et le revêtement en cuir sont autant de touches

de raffinement qui accentuent le caractère premium du concept Toledo.

CO N C E P T Toledo

L’Ibiza 1,2 L TSI ECOMOTIVE est un exemple

d’efficacité énergétique. Malgré sa

puissance de 105 CV, elle se contente

de 5,1 l/100 km en moyenne, grâce

notamment à son système Stop-Start de

série. Côté essence également, le 1,4 L TSI

de 150 CV affiche des performances

de premier ordre grâce à sa double

suralimentation.

Mais la championne de la consommation

est la version 1,2 L TDI ECOMOTIVE dont

les rejets de CO2 ne dépassent pas

89 g/km, et ce quel que soit le type de

carrosserie.

I B I Z A ECOMOTIVE

Malgré ses al lures de coupé, la future Toledo possède un hayon bien

pratique et soigne son habitabi l i té .

L’angle d’ouver ture des por tes arr ière

faci l i tent l ’accès à bord de la Mii .

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Page 14: fleet dieteren fr 129

L’établissement du budget 2012par le gouvernement Di Rupo a

fait grincer des dents de tous lescôtés. Aux tâtonnements et incerti-tudes du début d’année ont faitplace l’analyse des mesures misesen œuvre. Avec une notion récur-rente : l’Avantage de Toute Nature(ATN). Lorsqu’un salarié, adminis-trateur ou gérant utilise sa voiturede société à des fins privées – c’est-à-dire qu’il utilise le véhicule pourdes trajets domicile/lieu de travail– le fisc lui attribue un ATN. Déter-

miné encore en 2011 en fonctiond’une distance forfaitaire entre ledomicile et le bureau (moins de25 km / plus de 25 km, soit un for-fait de 5.000 km / 7.500 km par an),cet avantage de toute nature est,depuis janvier 2012, fonction desémissions de CO2 et de la valeurcatalogue du véhicule.

Pour qu’il y ait ATN il faut qu’il y aitdonc usage privé du véhicule etmise à disposition du véhicule àtitre gratuit ou moyennant une

Fleet Magazine 02/201214

> D O S S I E R F I S C A L I T E

LE NOUVEAU CALCUL DE L’AVANTAGE DE TOUTE

NATURE INSTAURE PAR LE GOUVERNEMENT A FAIT

L’EFFET D’UN COUP DE TONNERRE DANS LE MONDE

DU FLEET. MAIS QU’EN EST-IL EXACTEMENT ?

QUEL EST SON IMPACT REEL SUITE AUX DIFFERENTES

ADAPTATIONS RÉALISEES (NOUS EN SOMMES DEJA A

LA 3EME VERSION)? REPONSE EN COMPAGNIE DES

SPECIALISTES DE LA QUESTION ET DES FLEET

MANAGERS DES MARQUES VOLKSWAGEN, AUDI,

SEAT ET ŠKODA.

L’ATN est désormais fonc t ion

des émissions de CO2 et de la

valeur catalogue du véhicule .

La loi de la nature

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contribution réduite de la part duconducteur par rapport à l’ATN for-faitairement calculé. Les voituresde service utilisées strictement àdes fins professionnelles et qui res-tent le soir sur le parking de l’en-treprise ne sont dès lors pasconcernées par la nouvelle régle-mentation.Notons encore qu’avec ce nouveaumode de calcul, l’état devrait récol-ter quelque 200 millions d’euros !

Introduction d’un facteur âgeEtant donné que cette nouvelle réglementation de l’ATN a très rapidement généré des solutionscréatives, le gouvernement a prisles devants en incluant le facteurâge afin de fermer la porte à lasolution qui consistait à vendre unevoiture neuve en tant qu’occasionpour en diminuer l’ATN. Décision adonc été prise d’appliquer un coef-ficient de correction de la valeurcatalogue : dans le calcul de l’ATN,cette valeur diminuera chaqueannée de 6%, avec un maximumcumulé de 30%. En d’autrestermes, dès le moment où la voi-ture est âgée de plus de 5 ans (qu’ils’agisse d’une voiture neuve oud’une voiture d’occasion) par rap-port à la première immatriculation,elle ne sera plus dépréciée d’avan-tage : l’ATN sera donc calculé sur70% de la valeur catalogue à l’étatneuf.

La règle de calcul pour l ’employéPour calculer le montant de l’ATN,il y a plusieurs paramètres.

1. la valeur catalogue du véhicule2. le coefficient CO2 du véhiculeil s’élève à 5,5% pour les véhiculesdiesel rejetant 95 g de CO2 /km etpour les véhicules à essence émet-tant 115 g de CO2 /km. Au-delà deces valeurs d’émissions de réfé-rence, le coefficient augmente de0,1% par gramme de CO2 avec unmaximum de 18%. A l’inverse, desémissions plus faibles que les va-leurs de référence (95g et 115g) diminuent le coefficient de 0,1%par gramme de CO2 en moins avecun minimum fixé à 4%. 3. La formule de calcul ([valeur catalogue] x [coefficient CO2] x [6/7]x [correction de l’âge])Sachant que l’avantage imposablene peut jamais être inférieur à1.200 euros par an (pour l’annéefiscale 2012).

Comment calculer la valeur catalogue ?On l’a dit, l’un des principaux fac-teurs qui détermine le calcul del’ATN est la valeur catalogue. Et la3e définition proposée par le textede loi ne laisse aucune marge demanœuvre de ce côté. Il s’agit,pour les voitures neuves et d’occa-sions du «prix catalogue du véhi-cule neuf pratiqué dans le cadred’une vente à particulier, options etTVA payée incluses, sans prise encompte des éventuels remises, ris-tournes, rabais ou réductions pra-tiquées ». Aucune ristourne n’estdonc prise en compte, même en cequi concerne le fleet. En ce qui concerne la TVA, là aussivu le risque pris par le législateur

de se voir condamné pour taxationsur une TVA non due, soit la valeurde la différence entre la TVA surprix catalogue et la TVA réellementperçue sur la facture (tenantcompte de la remise éventuelle-ment pratiquée), la nouvelle pro-position prendra en compteuniquement ce dernier montantpour le calcul de l’ATN .“Et dans certains cas, déterminer leprix catalogue d’une voiture n’estpas si simple car il n’existe pas debase de données centrale quiservirait de référence”, comme l’ex-plique Stéphane Verwilghen, prési-dent de Renta, la fédération belge des loueurs de voitures. «Certainesentreprises de leasing ont l’habi-tude d’enregistrer le prix d’achat de leurs véhicules dans des bases de données, mais ce n’est pas le casde tous les acteurs du marché.» L’autre problématique du prix catalogue concerne les optionsproposées à prix réduit sous formede package. Face à cette situationsusceptible d’engendrer une insé-curité fiscale, Renta se demande«s’il ne faudrait pas prendre desmesures transitoires pour disposerd’un mécanisme vivable. Dans lefutur, le secteur et le fisc pour-raient convenir d’une base de don-nées de référence des prix. Quantaux véhicules existants, on pour-rait soit prolonger le mécanismeantérieur, en modifiant les para-mètres pour arriver au rendementsouhaité, soit convenir d’un forfaitd’options en pourcentage de la va-leur du véhicule.»

15Fleet by D’Ieteren 02/2012

F I S C A L I T E D O S S I E R <

«Le nouvel ATN ne va pas tellement influencerle marché fleet en termes de volume,

mais renforcer la tendance au downsizing.»FEBIAC

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Que payera l ’employé ?Les deux tableaux ci-contre re-prennent l’impact moyen par catégorie de véhicule et en fonction du fait que l’utilisateur soit sous régime de fiche 281.10 ou sous régime de contributionpersonnelle, tableaux présentés lors de la soirée Fleet Corner du28 février dernier par EuroFleetConsult. Les chiffres sont basés sur base deflottes de sociétés disposant d’unparc de plus de 100 véhiculestoutes marques confondues, et cepour des véhicules récents (moinsde 12 mois) et véhicules 2008 (représentant la valeur moyennedu parc roulant, sachant qu’un véhicule de société reste en flotteen moyenne 4 ans). Afin de situerles catégories répertoriées, nousavons identifiés quelques modèlesde nos gammes répondant aux critères de EuroFleet Consult :• Segment B : ŠKODA Fabia,

VW Polo, SEAT Ibiza…• Segment C : VW Golf, Audi A3,

ŠKODA Octavia…• Segment C+ : SEAT Altea XL,

VW Touran, …• Segment D : Audi A4,

VW Passat, …• Segment H : Audi A6, …• Segment H2 : véhicules d’excep-

tions

Il est à noter que ces chiffres netiennent pas encore compte de la nouvelle application du calcul de la TVA réelle, ces valeurs se verraient donc encore diminuées.Il est aussi important de savoir quedans le marché fleet les segments« B » à « D» représentent +/- 80%des flottes roulantes, le segment H2moins de 5%.En ce qui concerne nos marques,celles-ci tirent en réalité cettemoyenne vers le bas. Voici d’ail-leurs deux exemples (avec remise0%) d’évolution pour un employésous régime fiche 281.10 :Exemple 1 : pour le conducteurd’une Golf 1,6 L TDI BlueMotion

(99 g de CO2 /km) qui bénéficiaitdans le régime précédent du statut‘habite à moins de 25 km de sonbureau’, l’ATN augmente de2,24 euros.Exemple 2 : le travailleur qui étaittaxé dans le régime précédent surbase du statut ‘habite à plus de25 km de son bureau’ et qui béné-ficie d’une Audi A1 Sportback 1,6 LTDI ou d’une ŠKODA OctaviaCombi 1,6 L TDI, payera enmoyenne 50 euros d’ATN enmoins !

L’employeur passe à la caisse aussiL’ATN a également des consé-quences sur les coûts de l’em-ployeur ou encore pour un gérant

ayant un statut d’indépendant.Pour eux, l’ATN est calculée selonla formule suivante : ([1/7] x [montant de l’ATN calculépour l’employé].)

Le montant obtenu de cette ma-nière est considéré comme des dé-penses non admises sansqu’aucune perte reportée ne puisseêtre prise en compte. Cela signifiedonc que les sociétés déficitairespayeront également des taxes. <

> D O S S I E R F I S C A L I T E

Fleet Magazine 02/201216

TA B L E AU 2 CO N T R I B U T I O N P E R S O N N E L L EImpact net salaire, valeur en EUR © EuroFleet Consult

5000 km (2011) 7500 km (2011)

VÉH. RÉC ENT VÉH. 2008 VÉH. RÉC ENT VÉH. 2008

SEGMENT B -5 -19 -52 -78

SEGMENT C +8 -12 -46 -77

SEGMENT C+ +35 +45 -31 -28

SEGMENT D +53 +37 -6 -31

SEGMENT H +202 +134 +133 +55

SEGMENT H2 +1199 +784 +1044 +649

TA B L E AU F I C H E 2 8 1 . 1 0 Impact net salaire, valeur en EUR © EuroFleet Consult

5000 km (2011) 7500 km (2011)

VÉH. RÉC ENT VÉH. 2008 VÉH. RÉC ENT VÉH. 2008

SEGMENT B -3 -10 -27 -41

SEGMENT C +4 -6 -24 -41

SEGMENT C+ +19 +34 -17 -15

SEGMENT D +28 +20 -3 -17

SEGMENT H +108 +72 +71 +30

SEGMENT H2 +369 +419 +322 +347

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17Fleet by D’Ieteren 02/2012

F I S C A L I T E D O S S I E R <

«Malgré l’entrée en vigueur de la nouvelle législation,nous ne nous attendons pas à un recul notable de nosventes. Nous disposons en effet d’une vaste gamme devéhicules adaptés aux différents types d’utilisation, etce tant en motorisation essence que diesel. En outre, lesversions Blue Motion sont particulièrement efficaces entermes d’émissions de CO2. N’oublions pas non plus quela disposition forfaitaire de l’ATN sur base de la nouvelleformule est applicable pour les véhicules particuliers, lesvoitures avec une utilisation double et les minibus. Pourles véhicules répondant à la définition fiscale desvéhicules utilitaires légers, c’est toujours l’ancien régimede calcul sur frais réels qui reste d’application.»

L U C D E ST U Y V E R , Key Account Manager Commercial Vehicles Import

«Je n’irais pas jusqu’à dire que le nouveau calcul de l’ATNnous réjouit, mais SEAT a toujours été très compétitif tanten matière d’émissions de CO2 qu’en ce qui concerne le prixcatalogue. Résultat : nous proposons de nombreux modèlesqui donnent accès à l’ATN imposable minimum de 100euros par mois. Dans le courant de l’année, l’Ibiza étrenneraun nouveau moteur essence à coupure automatique decylindres, très intéressant en terme de consommation.Même constat pour l’Exeo qui se dotera d’un système Stop-Start réduisant le CO2. Plus que jamais, la tendance est audownsizing et de nombreuses petites et moyennes sociétésdont la flotte est utilisée réellement comme outil de travailse tournent actuellement vers nous.»

B E R N A R D B O U C K A E RT, Fleet Sales Manager SEAT

FEBIAC craint que le changement du mode de calcul de l’ATN pour les voitures de société ne freine l'adoption de véhicules toujours plusverts par les parcs de société. C'est en tout cas ce qui ressort de la réponse de Michel Martens, Directeur des services d'études de FEBIAC.«Il faut voir comment le marché fleet va réagir aux modifications intervenues en matière de fiscalité sur les voitures de société», in-dique-t-il. «Le nouvel ATN ne va peut-être pas tellement influencer le marché fleet en termes de volume, mais plutôt renforcer la ten-dance au downsizing des moteurs.» Une régression du niveau d'équipement des voitures de société serait également possible,estime-t-on chez FEBIAC. «Les employés vont vraisemblablement se montrer moins exigeants en matière d'équipements de confort, desécurité ou de préservation de l'environnement pour diminuer leur ATN. Voilà qui mettrait aussi en péril la tendance actuelle qui va àdes flottes plus respectueuses de l'environnement et diminuerait d'autant les recettes TVA de l'Etat.» Michel Martens voit encore un autreeffet pervers à la nouvelle réglementation. «Etant donné que la valeur du véhicule pèse beaucoup plus lourd dans le nouveau mode decalcul de l'ATN que les émissions de CO2, les voitures électriques et hybrides se trouvent désavantagées, ces véhicules étant plus onéreuxpuisqu'ils font appel à une technologie environnementale évoluée.»

N E FA ST E à l’environnement ?

Réaction de nos fleet managers

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18 Fleet Magazine 02/2012

> D O S S I E R F I S C A L I T E

«A l’instar de nos concurrents, nous avons effectué dessimulations en appliquant le nouveau calcul de l’ATN imposablepour les modèles de notre marque. D’une manière générale, et cen’est pas une surprise, il augmente. Mais il convient de nuancerla comparaison, car la situation est très différente si l’utilisateurétait soumis précédemment à la règle des 5.000 km ou à celledes 7.500 km. Certains utilisateurs d’Octavia ou Superb 1,6 L TDIvoient ainsi leur avantage en nature imposable diminuer. Tout lemonde n’est donc pas perdant, mais il est clair qu’il faudrachoisir intelligemment sa voiture de société à l’avenir. Ledownsizing prendra encore plus d’importance. En attendant, lessociétés grands comptes, pour lesquelles la taille de la flotteconstitue un important levier, sont très prudentes.»

X AV I E R JA S P E R S , Fleet & Special Sales Manager ŠKODA

«Depuis des années, les ingénieurs d’Audi travaillent sur labaisse des émissions et des consommations. Notre slogan‘Vorsprung durch Technik’ prend ici tout son sens. Entermes de prix catalogue, Audi pratique une politiquestable et cohérente depuis des années. Nos tarifs officielssont souvent inférieurs à ceux des autres marquespremium, ce qui nous procure aujourd'hui un avantage.J’invite tous les conducteurs à faire la comparaison avec nosconcurrents. Ils constateront que le résultat du calcul esttrès avantageux. Concrètement cela signifie que beaucoupde nos clients et prospects paieront demain le même ATN,voir même un ATN plus avantageux pour une Audi plusperformante, plus économique et mieux équipée.»

J O R I S S P I G T, Audi Fleet Manager

«J’estime que cette nouvelle réglementation a été décidéetrop rapidement, sans (surtout au début) avoir pris avisauprès du marché et des spécialistes en la matière. Lemanque de clarté qui régnait et qui règne toujours a pourconséquence que bon nombre de sociétés et conducteursattendent avant de commander leur véhicule. Seul legouvernement peut mettre un terme à cette situationavec une communication claire pour stopper laspéculation. Cela dit, les modèles Volkswagen sont bienpositionnés. Certainement si vous étiez sous le régime des7.500 km en 2011 : dans la plupart des cas, la situation estmême plus avantageuse avec la nouvelle législation. Pourles autres (5.000 km), la différence est très raisonnable.»

ST E F H O L E M A N S , Brand Fleet Manager Volkswagen

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Si, pour votre flotte, vous êtes à la recherche de solutions

inédites en milieu urbain entermes d’espace, de commodité,de sécurité et de technique, la Citigo vous ravira. Des détails in-génieux qui font de la nouvelleŠKODA une voiture particulière-ment pratique au quotidien. «C’est la première fois que lamarque est présente dans le seg-ment des petites citadines, et ellepose de nouveaux jalons entermes de sécurité, d’économie,d’astuces et de modernité. Cettevoiture est non seulement simplyclever, mais elle est aussi city clever» explique Winfried Vahland, Président du Directoirede ŠKODA.

Du confor t pour tousMalgré ses dimensions ultra-compactes, ni vous ni vos passa-gers ne se sentiront à l’étroit dansla nouvelle Citigo. La recette decette habitabilité ? Un empat-tement généreux, une largeur intérieure (1,36 m) battant des records dans ce segment, unegarde au toit capable d’accueillirles plus grands. Vous vous ditespeut-être que ceci se fait au détri-ment du coffre et que vous devrezlaisser vos dossiers et votre maté-riel au bureau ? Eh bien non, lecoffre aussi est impressionnant,non seulement par son volume de251 litres, mais aussi par sa hau-teur de chargement. Et lorsque lesdossiers des sièges arrière sontrabattus, la contenance passe à951 litres, avec une surface quasi-

ment plane. Vous pouvez alorsmême charger des objets de deuxmètres de long !

El le freine toute seule….Le trafic en ville vous oblige régu-lièrement à freiner de manière ur-gente devant des obstaclesinattendus. Pour vous aider, la Citigo innove en proposant sonassistant de freinage actif CitySafe Drive. En fonction de la vitesse et du trafic, l’intervention

automatique du freinage peut ré-duire la gravité de la collision,voire vous aider à éviter le choc.La carrosserie aussi contribue à lasécurité, tout en ajoutant deux ob-jectifs supplémentaires : leconfort et la légèreté. Grâce auxnouvelles techniques de produc-tion, le poids de la voiture a eneffet pu être réduit et la rigidité dela caisse accrue pour réduire lesvibrations parasites et augmente

ainsi votre confort à bord. Ces dif-férents éléments et bien d’autresencore ont permis à la Citigo dedécrocher cinq étoiles aux testsEuro NCAP. La preuve que la sécurité ne se calcule pas en fonction de la taille.

Mobil i té mult i fonc tionnel leSi vous recherchez les petiteschoses qui facilitent le quotidiendes utilisateurs des voitures devotre flotte, la Citigo va vous

aider. Elle peut en effet être équi-pée d’un système d’infodivertis-sement mobile et multifonctionnelbaptisé Move&Fun. Ce dernier regroupe en un seul appareil lanavigation GPS, un dispositifBluetooth, un lecteur multimédiaainsi que les informations concer-nant le véhicule. Vous comman-dez le système par l’intermédiaired’un écran tactile en couleurs : in-tuitif et simple d’utilisation. <

20 Fleet Magazine 02/ 2012

City CleverTRUFFEE D’ASTUCES, LA TOUTE NOUVELLE CITIGO VOUS PROPOSE UNE SOLUTION

COMPACTE ET PRATIQUE AU QUOTIDIEN. SIMPLY CLEVER, SLOGAN ET VERITABLE

CULTURE D’ENTREPRISE CHEZ ŠKODA, SE DECLINE DONC DESORMAIS DANS LE

SEGMENT DES PETITES CITADINES ET DEVIENT TOUT NATURELLEMENT…CITY CLEVER.

> S H O W R O O M ŠK O D A C I T I G O

Vos dossiers et votre matér iel ne resteront

pas au bureau : le coffre est étonnamment

spacieux pour un véhicule de ce gabarit .

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ŠK O D A C I T I G O S H O W R O O M <

Tai l lée pour la v i l le grâce à ses

dimensions, la Cit igo vous la isse le

choix entre 3 ou 5 por tes .

21Fleet by D’Ieteren 02/ 2012

Le segment des petites citadines représente aujourd’hui quasiment 10% du marché automo-

bile international, et la tendance est à la hausse. Selon les experts, ce segment poursuivra sa

croissance dans les prochaines années : de 25% d’ici 2014 à plus de 40% à l’horizon 2019. Une

évolution qui s’accompagne d’un niveau d’exigence de plus en plus élevé. C’est pourquoi

ŠKODA a développé la Citigo, dans lequel la priorité est systématiquement donnée à une

conduite sure, une faible consommation et un poids réduit. La Citigo jouera un rôle primordial

dans la croissance de la marque ŠKODA, qui s’est fixé de nouveaux objectifs en termes de crois-

sance après une année record (879.200 véhicules vendus) en 2011.

C I TA D I N E S en pleine croissance

Avec son architecture à trois cylindres, le moteur essence de 1,0 L est un exemple de compacité

et de légèreté. Il est disponible en deux niveaux de puissance : 60 ou 75 CV. Le premier se

contente de 4,5 l/100 km et 105 g de CO2/km, et même 4,1 l/100 km et 96 g/km dans sa

déclinaison GreenTec. Le plus vigoureux consomme 4,7 l/100 km et rejette 108 g de CO2/km

(4,2 l/100 km et 98 g/km en GreenTec). La technologie GreensTec combine le système Start-

Stop, la récupération d’énergie au freinage et des pneus à faible résistance au roulement.

Même la boîte de vitesse, qui ne pèse que 28 kilos (huile comprise !), est étudiée pour réduire

la consommation. Car moins de poids à déplacer, c’est moins d’énergie dépensée et moins de

CO2 rejetés.

M OTO R I S AT I O N S et GreenTec

Tai l lée pour la v i l le grâce à ses

dimensions, la Cit igo vous la isse le

choix entre 3 ou 5 por tes .

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22 Fleet Magazine 02/2012

Elle se nomme Octavia Green ELine. C’est la première voiture

à propulsion entièrement élec-trique de ŠKODA. Il s’agit encorepour l’instant d’un prototype, dontdix exemplaires enchaînent les kilomètres en conditions réellesde circulation depuis fin 2011.«Cette voiture reflète nos compé-tences technologiques dans le domaine de l’électromobilité etconstitue une étape marquantedans notre vaste stratégie de déve-loppement durable», expliqueWinfried Vahland. Et le présidentdu directoire de ŠKODA AUTOd’ajouter : «Nous n’allons pas nousreposer sur nos lauriers, mais aucontraire continuer à développerpas à pas des solutions qui favori-

sent une mobilité sans émissionspolluantes. La propulsion élec-trique joue à ce titre un rôle capital, et notre travail de déve-loppement se fait en étroite collaboration avec le GroupeVolkswagen.»

Per formanteL’Octavia Green E Line est étroite-ment dérivée de l’Octavia Combi.Son moteur électrique développeune puissance maximale de 85 kWet un couple de 270 Nm disponibleà la moindre sollicitation de l’ac-célérateur. Du coup, les chiffresd’accélération n’ont pas grand-chose à envier aux modèlesconventionnels à moteur ther-mique puisque le 0 à 100 km/h estabattu en à peine 12 secondes.

Quant à la vitesse de pointe de 135 km/h, elle permet d’envisagerles trajets autoroutiers en toute sérénité.

Sans concessionLa batterie lithium-ion de dernièregénération permet à l’OctaviaGreen E Line de parcourir 150 kilo-mètres, une autonomie largementsuffisante pour la plupart des tra-jets quotidiens. Aucune concessionn’a été faite en matière d’habitabi-lité : la voiture conserve cinq placesassises, les 180 cellules de la batte-rie (315 kilos!) étant réparties entreles zones centrales et arrière dusoubassement ainsi qu’une partiedu coffre. Au volant, vous disposezen permanence de toutes les infor-mations relatives à la puissance, laconsommation, le niveau de chargeet l’autonomie. L’écran GPS affichequant à lui en direct le fonctionne-ment du système. <

En route vers l’électromobilitéDEPUIS PLUSIEURS MOIS, UNE FLOTTE-TEST

COMPOSEE DE DIX OCTAVIA ELECTRIQUES SILLONNE LA

REPUBLIQUE TCHEQUE. OBJECTIF : EMMAGASINER UN

MAXIMUM D’INFORMATIONS EN VUE DE LA COMMERCIA-

LISATION EN SERIE D’UN MODELE 100% ELECTRIQUE.

> S H O W R O O M ŠK O D A O C T A V I A G R E E N E L I N E

Grâce à sa batter ie de dernière

génération, l ’Oc tavia Green E L ine

est capable de parcourir 150 km

sans r ien concéder en dynamisme

de conduite .

Grâce à sa batter ie de dernière

génération, l ’Oc tavia Green E L ine

est capable de parcourir 150 km

sans r ien concéder en dynamisme

de conduite .

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Page 23: fleet dieteren fr 129

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Page 24: fleet dieteren fr 129

La bouteille de Coca-Cola,l’iPhone, les Ray-Ban Aviator,

le Leica M9, la Coccinelle : certains produits sont profondé-ment inscrits dans l’inconscientcollectif. Un privilège qui reposeavant tout sur un design intempo-rel et immédiatement reconnais-sable, mais aussi sur des qualitésessentielles comme la fonctionna-lité ou la performance technique.Avec plus de 21,5 millions d’exem-plaires vendus, la Coccinelle originelle, celle des années 50, est l’une des trois voitures les plus produites de tous les temps.Une ligne à nulle autre pareilleaujourd’hui réinventée dans lerespect de la matrice originelle.Car si vous garez côte à côte lapremière Coccinelle et la nouvelleBeetle en éclairant seulement leurtoit, vous vous rendez compte quela partie arrière de la silhouetteest pratiquement identique.

Plus basse, plus largeRien n’a donc changé ? En fait touta changé, comme l’explique KlausBischoff, designer en Chef de lamarque : «La nouvelle Beetle estempreinte d’une sportivité affir-mée et revendiquée. La voiture est non seulement plus basse,mais aussi beaucoup plus large.Le capot moteur s’est allongé, tan-dis que le pare-brise, reculé, s’estsensiblement redressé. L’ensem-ble crée une nouvelle dynamique.»Alors que le conducteur était assistrès bas dans la Coccinelle (etqu’au volant de l’ancienne Beetle,apparue en 1998, vous aviez plutôt l’impression de vous faireconduire en raison de l’éloigne-ment du pare-brise), la nouvelleBeetle vous distille dessensations de coupé, une impres-sion de faire corps avec votre voi-ture. A bord, les clins d’yeux à la Coccinelle originelle sont nom-

24 Fleet Magazine 02/2012

LA COCCINELLE DONNE

L’IMPRESSION D’AVOIR

TOUJOURS EXISTE.

ELLE A TRAVERSE LES

EPOQUES EN MARQUANT

L’INCONSCIENT

COLLECTIF. LE VOTRE

AUSSI PEUT-ETRE ?

ET SI AUJOURD’HUI,

VOUS VOUS FAISIEZ

PLAISIR EN CHOISISSANT

LA NOUVELLE EETLE,

UNE VOITURE UNIQUE

EN SON GENRE, UNE

SUBTILE ALCHIMIE

ENTRE TRADITION ET

MODERNITE ?

> S H O W R O O M V O L K S W A G E N B E E T L E

Caractère bien trempé

Image for te et rat ional ité :

la nouvel le Volkswagen Beetle

propose une bel le a lchimie au

gestionnaire de f lotte .

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V O L K S W A G E N B E E T L E S H O W R O O M <

Réinventer l ’or iginel le ! Tel le était la

tâche des designers . Miss ion réussie .

Fleet Magazine 02/2012 25

breux. Ils vont du combiné d’ins-truments à la boîte à gants quis’ouvre vers le haut. Même s'ils'agit d'un clin d'oeil volontaire au passé, la nouvelle Beetle se veut résolument moderne : son côté, pratique vous combleraau quotidien et ses caractéris-tiques sont parfaitement adaptéesaux exigences du marché fleet,donc à votre car-policy, notam-ment en termes de CO2. Ce qui ne l’empêche pas d’avoirdu caractère !

Polyvalence accruePour votre confort et celui de vospassagers, la nouvelle Beetle offreune garde au toit impression-nante, même pour les plus grandsgabarits. Et ceci malgré que laBeetle se soit aplatie (par rapportà la version sortie en 1998), surtout à l’avant. Constat identique à l’arrière, où l’habitabi-lité progresse considérablement, que ce soit au niveau des genoux,

des épaules ou des coudes. Le coffre aussi a sérieusementgagné en volume, et passe de 209 à 310 litres. Enfin, suivant l’utilisation quevous en attendez, la nouvelleBeetle vous propose le choix entreune palette de cinq moteurs, toussuralimentés. Le plus sobre d’en-tre eux (1,6 L TDI 105 CV) secontente de 4,3 l/100 km, soit112 g de CO2/km, notammentgrâce à la BlueMotion Technology(système Stop-Start et récupéra-tion d’énergie à la décélération).Ou comment concilier le rationnelet l’émotionnel, la valorisation de l’utilisateur et l’optimisation dela gestion de flotte. <

Tous les amateurs de rock connaissent les

légendes que sont Jimi Hendrix et Eric

Clapton. L’un jouait avec une guitare

Fender, l’autre l’utilise toujours. Désormais,

le légendaire fabricant américain d’ampli-

ficateurs et d’instruments de musique pro-

pose son savoir-faire en exclusivité à la

marque Volkswagen, en collaboration avec

Panasonic. La Beetle devient ainsi la pre-

mière voiture en Europe à pouvoir être

équipée en option d’un système audio

Fender. Ce dernier est combiné à un éclai-

rage d’ambiance modulable en rouge,

blanc ou bleu.

D E C L A P TO N à Hendrix

La nouvel le Beetle soigne le

confor t de ses passagers : e l le est

nettement plus habitable .

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Page 26: fleet dieteren fr 129

Si cette transformation n’est pasréalisée en usine, elle est bien

sûr effectuée par des profession-nels aguerris, avec toutes les garanties du constructeur. Unetransformation belge donc, quipermet de répondre aux critèresde la législation belge pour qu’unvéhicule soit considéré commeutilitaire avec tous les avantagesfiscaux qui l’accompagnent. Il fauten effet que la longueur du com-partiment de charge, mesurée àvingt centimètres au-dessus du

plateau de chargement, soit supé-rieure à la moitié de l’empat-tement. Une équation facilementrésolue par le Transporter, que cesoit en version courte ou longue,mais aussi par le Caddy Maxi.

Ca d d y M a x i D o u b l e Ca b i n e : une offre unique !Vous recherchez un véhicule quipeut à la fois transporter voséquipes et leur matériel jusqu’àleur lieu de travail ? Le CaddyMaxi Double Cabine est LA solu-

tion. Avec ses 47 centimètres sup-plémentaires par rapport auCaddy, le Caddy Maxi affiche eneffet une longueur totale de 4,87 mètres. Des dimensions par-ticulièrement généreuses qui ontdonné l’idée à Volkswagen Commercial Vehicles Import deproposer une version double ca-bine répondant aux attentes dessociétés en quête d’un véhiculecapable de transporter cinq per-sonnes ainsi qu’une grande quan-tité de matériel, tout en restant

Tout en unDISPOSER DE CINQ CONFORTABLES PLACES ASSISES ET D’UN ESPACE DE CHARGEMENT

IMMENSE TOUT EN BENEFICIANT DES AVANTAGES D’UNE IMMATRICULATION EN

VEHICULE UTILITAIRE : UN TOUR DE PASSE-PASSE MADE IN BELGIUM QUI VOUS EST

PROPOSE PAR VOLKSWAGEN COMMERCIAL VEHICLES.

26 Fleet Magazine 02/2012

> S H O W R O O M V O L K S W A G E N U T I L I T A I R E S D O U B L E C A B I N E

Aménagé en ut i l i taire double cabine, le Caddy Maxi

bénéfic ie d ’une longueur de chargement de 1 ,52 mètres .

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estampillé 100% utilitaire. Uneoffre unique sur le segment desfourgons compacts !

Cloison f ixePour parvenir à respecter les di-mensions légales, il a été néces-saire de déplacer la banquettearrière de quelques centimètresvers l’avant (le même principevaut également pour la versioncourte du Transporter). L’espaceaux genoux des passagers arrièreest donc légèrement moins géné-reux que dans un Caddy Maxistandard, mais il reste largementsuffisant pour bénéficier d’un ex-cellent niveau de confort. La se-conde étape de la transformationconsiste en l’aménagement d’unecloison en ABS comportant unevitre fixe séparant complètementl’habitacle de l’espace réservé autransport des marchandises et dumatériel. D’autres possibilitésvous sont proposées, commel’aménagement d’un plancher enbois sur la surface de chargement,ou encore d’un grillage un niveaude la vitre arrière.

Pas de TMCAménagé en utilitaire double ca-bine, le Caddy Maxi bénéficied’une longueur de chargement de1,52 mètre (soit plus de la moitiéde l’empattement) tout en étantcapable de transporter cinq per-sonnes dans d’excellentes condi-tions de confort. S’il perd un peuen polyvalence (la cloison est inamovible), il bénéficie parcontre, comme le Transporter, detous les avantages d’un véritable

véhicule utilitaire, à savoir unamortissement à 100%, l’exemp-tion de la taxe de mise en circula-tion ainsi qu’une taxe de roulageréduite. Ce qui a un impact impor-tant sur le TCO du véhicule. Seulecontrainte : en tant que véhiculesutilitaires, Transporter et CaddyMaxi Double Cabine doivent satis-faire chaque année au contrôletechnique, et ce dès leur mise encirculation. Entièrement vitré, le

Caddy Maxi double cabine peutnéanmoins être équipé d’un filmassombrissant pour les quatre vitres arrière ainsi que le hayon,histoire de mettre les marchan-dises à l’abri des regards indis-crets. Un équipement égalementdisponible sur le Transporter. <

V O L K S W A G E N U T I L I T A I R E S D O U B L E C A B I N E S H O W R O O M <

27Fleet by D’Ieteren 02/2012

Le Crafter a droit lui aussi à sa déclinaison double cabine. A partir des versions Fourgon (charge

utile de 3,2 tonnes, 3,5 tonnes ou 5 tonnes), l’atelier de transformation Volkswagen Commercial

Vehicles installe une cloison de séparation inamovible et une banquette arrière pouvant

accueillir quatre personnes. En combinaison avec les trois places disponibles à l’avant,

le Crafter Double Cabine peut donc accueillir jusqu’à 7 personnes, et ce sur tous les types

d’empattement (court, moyen, long et extra-long). Les motorisations disponibles sont

identiques à celles proposées sur le Crafter Fourgon standard.

S E P T P L AC E S dans le Crafter !

La c loison f ixe inamovible est

instal lée derr ière les trois

confor tables s ièges arr ière .

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28 Fleet Magazine 02/2012

> E VA S I O N I N D E

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29Fleet by D’Ieteren 02/2012

«Pour marcher sur le chemin,il faut devenir soi-même le

chemin» : suivant la devise dubouddha Gautama, nous nous met-tons en route pour l’Inde, où nousespérons trouver l’illumination etnotre chemin personnel. Le resortAnanda in the Himalayas est lepoint de départ de notre périple.Cet ancien palais de maharadja, où l’on respire l’air pur des mon-tagnes indiennes, a déjà accueilliBill Gates, qui souhaitait s’initier àl’Ayurveda (médecine indiennetraditionnelle) et à la philosophiedu yoga. En toute honnêteté, nouséprouvons d’abord un certainscepticisme face à la thématiquespirituelle du séjour, mais nousavons tôt fait de balayer cette ré-serve pour nous concentrer plei-nement sur notre objectif : santédu corps et équilibre intérieur.

La quête commence…Le premier matin, nous décou-vrons un paysage extraordinaire :une brume légère enveloppe lemassif de l’Himalaya, le soleiltente de percer... A 1.600 mètresd’altitude, la nature offre un spec-tacle à couper le souffle ! Autourde nous, des pousses de bambousondulent légèrement sous le ventfrais et jettent une touche de vert dans ce magnifique tableau.Le maharadja était indéniable-ment bien inspiré lorsqu’il a dé-cidé de bâtir son palais en ce lieuisolé, d’où l’on aperçoit aussi leGange. Pleins d’entrain, nous nouspréparons à la séance de yoga. Elle se déroule dans une grandesalle de l’ancien palais. Le sol

revêtu de bois patiné et les hautsplafonds sur lesquels le temps alaissé son empreinte témoignentd’une époque révolue. Combien deréceptions fastueuses cette salle a-t-elle jadis accueillies ? Mais cematin, le lieu est paisible. Bienqu’il soit encore très tôt, les participants sont nombreux. Vêtusd’une tenue de yoga blanche et al-longés sur une natte en raphia,nous écoutons attentivement les instructions du professeur, Sandeep Agarwalla. Sa voix ins-taure une atmosphère détendue et nous ne voyons pas le tempspasser.

Voir «à l ’ intér ieur»Après ce premier cours, parfaite-ment sereins, nous explorons les autres parties du palais. Sur les murs, de vieilles photos en noir et blanc dépeignentl’époque de la colonisation britannique. Le premier gouver-neur, Lord Mountbatten, vivait ici. Aujourd’hui, les hôtes du resortpeuvent réserver la suite où s’en-dormait celui qui fut alorsl’homme le plus puissant de l’Inde.Retour dans le présent, avec laconsultation du Dr Adarsh Shetty,spécialiste de l’Ayurveda. Déten-teur d’un savoir médical éprouvé,pratiqué depuis cinq millénaires, il me regarde intensément etprend mon pouls. Il pose ensuitequelques questions, perçoit monscepticisme : «Même si cela semble difficile à croire, je saisdéjà énormément de choses àvotre sujet. Vous êtes du typePITTA.» C’est-à-dire ? «Vous vous

dépensez sans compter pour les personnes que vous aimez etvotre travail, et vous tenez à votreliberté. Votre esprit est aussi aiguisé que votre appétit.»

Au s s i l o i n q u e n o s p i e d s nous por tentLe lendemain, nous partons àl’aube pour découvrir l’Himalaya– à pied, évidemment. Seize kilo-mètres plus loin et 400 mètres plushaut, l’objectif de la randonnée est en vue : 305 marches nous séparent du temple Kunjapuri. Là-haut, un moine et un panoramaincroyable nous attendent. Unefois déchaussés, nous sommes invités à prendre place pour rece-voir une bénédiction personnelle.A la fin d’une litanie, le moinenoue l’indispensable lacet rougeautour de notre poignet. Leshommes se tiennent à droite, les femmes à gauche. Nous rece-vons aussi le fameux point rougesur le front.

Une spir itual ité palpableToujours sous le charme de la bénédiction, nous décidons d’as-sister le soir à la Ganga Aarti, unecérémonie sacrée qui se dérouleau bord du Gange, à Rishikesh.Cette ville blottie au pied de l’Himalaya est un haut lieu del’hindouisme. Le Gange prend sa source non loin. Les centres de méditation – les ashrams – et de yoga succèdent aux temples.Nous croisons des yogis et des sadhus, qui tentent d’atteindre ledivin grâce à l’ascèse, le yoga et la méditation. Dans la rue, cette

Entre sérénité et chaosIL EST DIFFICILE DE TROUVER UN PAYS OU LA SPIRITUALITE EST AUSSI PRESENTE QU’EN

INDE. ON Y CROISE INDIFFEREMMENT DE SAGES YOGIS, DES MOINES BOUDDHISTES EN

ROBES ROUGES, DES SADHUS INDIENS AU CORPS ORNE DE PEINTURES OU DES SIKHS

PORTANT TURBAN ET LONGUE BARBE.

I N D E E VA S I O N <

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spiritualité tant et tant décrite estpresque palpable.Dans un brouhaha de bruits, de chants, de mantras, de klaxonset de musique, nous suivons lamarée humaine et nous dirigeonsvers les rives du Gange. Quelquesmètres plus loin, une immense statue de Shiva en marbre blancémerge de l’eau. À sa vue, un sentiment de paix intérieure nousenvahit pour la première fois.Nous voici invités à prendre part àla cérémonie du feu : on nousdonne une poignée de grains àjeter dans les flammes tandis quele prêtre entonne sa mélopée. La foule ne cesse de grandir et il règne une joyeuse confusion.

Un esprit neuf ?Le troisième jour débute par uneséance décontractée d’Ayurveda.Après le massage Shirodhara, au cours duquel on vous verse

de l’huile chaude sur le front, l’impression de paix intérieure estencore plus intense. Notre soif desavoir est cependant intacte etnous assistons à l’une des confé-rences Vedanta quotidiennes. Ces débats menés par des philo-sophes sont enrichissants et favorisent une réflexion créative. Des réponses sont avancées – même à des questions qui n’ontpas été posées. La journée se ter-mine toujours par une heure deméditation : aujourd’hui, l’objectifest de trouver le moment qui sé-pare l’état éveillé et le sommeilprofond. Confortablement allongéssur le dos, nous répétons silen-cieusement un mantra personnel.Cela marche : une légère somno-lence s’empare de nous. Le scep-tique qui sommeille en chacundirait sans doute : «Logique, tantde choses à vivre, c’est fatigant.»Notre nouvel esprit, désormais

éveillé, sait qu’il n’en est rien etesquisse un sourire.

Spécial i té indienneMentalement plus forts, nous enta-mons la deuxième partie de notrepériple le lendemain. DirectionDelhi, une ville à travers laquellenous voulons découvrir l’autre visage de l’Inde. Cette gigantesquemétropole, qui abrite environ 14 millions d’âmes, compte uneville ancienne et une nouvelle.Notre hôtel, le Leela Palace, se trouve à New Delhi, non loin duShanti Path, le chemin de la paix.Le quartier accueille 80% des am-bassades – le monde entier dansune seule rue. Nous visitons laville avec un chauffeur et un guide– tous deux aussi précieux, vu lafaçon dont les Indiens conduisent.En plus des voitures et des bus, la rue est encombrée de carriolestirées par des bœufs, de pousse-

30 Fleet Magazine 02/2012

> E VA S I O N I N D E

Delhi , une métropole gigantesque, trépidante et r iche en contrastes, où se mêlent la splendeur des temples sikhs,

les marchés hauts en couleur et la vie simple de la population.

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pousse, de piétons et, bien entendu, de vaches sacrées. Un formidable chaos ! Les klaxonsne s’arrêtent jamais. Transformerune deux-bandes en rue à cinq bandes semble une spécialitéindienne. Nous sommes tendus,mais la paix intérieure que nousavons trouvée récemment conti-nue d’agir...Nous nous dirigeons d’abord versla Porte de l’Inde (India Gate) etcontinuons sur le boulevard Raj Path, vers le palais présiden-tiel. Il faut impérativement annoncer sa visite pour y entrer :après un contrôle très strict, vous pouvez découvrir le parcourspolitique de l’Inde vers la démo-cratie. Des objets et des photos da-tant de l’occupation britanniquesoulignent l’importance, tant posi-tive que négative, de cette période.Après cet intermède politique,nous replongeons dans le religieuxavec la visite du temple sikh deBangla Sahib Gurdwara. Le si-khisme réunit des éléments em-pruntés à l’islam et à l’hindouisme.A côté du temple, quelques fidèles

s’immergent dans un immensebassin d’eau ou y prient debout.Autour de nous, des femmes vêtues de saris colorés et deshommes aux turbans éclatantsponctuent cette scène paisible denotes hautes en couleur, presquepicturales.

L’autre v isage de l ’ IndeNous arrivons dans la vieille ville,où la paix et la nonchalance semblent définitivement oubliées.L’expérience doit être vécue : nous découvrons un tout autre visage de l’Inde. La vie, bruyante,frénétique puis brutalement apaisée, se joue là, dans la rue. Un coiffeur manie peigne et ciseaux sur le trottoir, à côté, un homme lave du linge. Un mé-decin donne des consultations sousun arbre – les prix sont affichéssur le tronc. N’étant pas encorepassés maîtres dans l’art d’évoluerparmi cette marée humaine, nous prenons un pousse-poussepour sillonner les rues étroites. Le conducteur s’attelle – dans lesens littéral du terme – et trouve

le temps de nous montrerquelques curiosités. Le multitas-king à son plus haut niveau.La tête encore pleine d’images et riches de ces expériences extra-ordinaires, nous nous apprêtons à rentrer chez nous. Longtempsencore, nous garderons en mémoire le flegme incroyable desIndiens : malgré la foule et la frénésie de la rue, personne ne crie, ne râle ou ne se montregrossier. Tous semblent habitéspar une certaine sérénité. Noustentons de retrouver cette paix intérieure et adoptons cette fois la devise du Dalaï-Lama : «Le sommeil est la meilleure méditation» ! <

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31Fleet by D’Ieteren 02/2012

Une rencontre inoubliable : dans le temple de Kunjapuri , chacun peut recevoir la bénédiction d’un moine et admirer le tableau

extraordinaire offert par l ’Himalaya.

Exemple de Logement

• Hôtel Leela Palace à New Delhi,

www.theleela.com

• Ananda in the Himalayas,

www.anandaspa.com

I N F O S VOYAG E Inde

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> A C T U A L I T E

Fleet by D’Ieteren 02/2012

Six Volkswagen Crafter pour la Croix-Rouge flamande

Les clés de six Volkswagen Crafter ont été

remises à la Croix-Rouge flamande dans

le Contact Center Volkswagen de

Kortenberg. «Plus hauts et plus longs, ces

véhicules sont dotés d’une double cabine,

d’un moteur TDI 136 CV et d’une boîte

six vitesses», explique Geert Speltens.

Équipés par la société NV Dias en Zonen,

ils sont destinés aux équipes d’interven-

tion rapide agissant dans le cadre d’un

plan médical d’urgence. Le dossier a été

élaboré par les chefs de projet de la Croix-

Rouge, David Muylle et Kevin Vereecke,

en concertation étroite avec les responsa-

bles de l’importateur.

Europromotion choisit le Volkswagen Caddy

32

Europromotion a commandé au Garage Thuy, à la fin de

l’année dernière, 12 Volkswagen Caddy. Les véhicules ont

été livrés au siège de l’entreprise, à Wommelgem.

Europromotion, qui opère principalement dans le field

marketing, s’efforce d'améliorer l’image de marque de ses

clients et de stimuler leurs ventes. Son action passe par le

merchandising, l'installation de matériel et présentoirs

publicitaires, ou l'organisation d'animations. Les 12 Caddy

seront utilisés par les merchandisers de Ferrero, un nouveau

client d’Europromotion.

«L'excellent rapport qualité-prix et le service du

Garage Thuy ont facilité notre choix en faveur de

Volkswagen», expliquent les responsables d’Europromotion.

Les véhicules sont en leasing full service auprès de

D’Ieteren Lease.

Au nom de ses col lègues et en présence de Marc Dias, Wim Cockx,

responsable SIT Herent , reçoit symbol iquement les c lés de Geer t Speltens,

Publ ic Affairs Advisor chez D’ Ieteren Group Fleet Divis ion.

Monsieur Buysschaer t (responsable du parc d’Europromotion), Messieurs Thuy

et De Kesel (Garage Thuy), Monsieur Depetter (directeur général Europromotion)

et Monsieur Gezduci (D’Ieteren Lease) étaient présents à la remise des clés.

Makkie opte pour la Polo

Implantée à Courtai, la société de titres-services

Makkie a mis une Volkswagen Polo à la disposi-

tion de chacun de ses directeurs de filiale.

Les véhicules ont été fournis par le Garage

R. Maes & Zoon de Roeselare. «Un partenaire

de confiance qui nous offre la garantie d’une

mobilité de tous les instants», déclare Bart Baert,

administrateur délégué de Makkie.

Forte de 9 filiales réparties dans toute la Flandre

occidentale, Makkie est une entreprise prospère

qui propose des services d’aide ménagère à

quelque 6.000 clients. Bart Baert : «Le directeur

de filiale se rend en Polo chez le client afin de

voir comment répondre au mieux à ses besoins

et lui propose ensuite les services de l’un de nos

800 collaborateurs professionnels.» Le nom de la

société figure de manière discrète mais recon-

naissable sur toutes les Polo.

Le Garage R. Maes & Zoon a fourni les Volkswagen

Polo à la société de t i tres-ser vices Makkie .

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A C T U A L I T E <

À la fin de l’année dernière, Aquafin a réceptionné 8 Caddy et 4 Polo chez Autobedrijf

Y&N Claessens BVBA, à Wilrijk. Les autres partenaires de cet accord sont D’Ieteren Public

Affairs, KBC Autolease et ACT, l’entreprise qui a réalisé la transformation suivant

le cahier des charges d’Aquafin. Le parc d’Aquafin compte 428 véhicules.

L’achat fait partie d’un contrat cadre global. C’est la Région flamande qui

a fondé Aquafin en 1990, avec la mission de développer, d’exploiter et

de financer l’épuration des eaux d’égouttage en Flandre.

Nouveaux Caddy et Polo pour Aquafin

La zone de police de Bruges investit dans des Audi A6 pour les missions prioritaires

Le 8 mars dernier, le Garage Raes de Bruges a livré

des Audi A6 Avant 3.0 L TDI S-tronic quattro à la

zone de police de Bruges. Les véhicules seront

utilisés pour des missions spécifiques, comme les

arrestations de personnes jugées dangereuses ou les

interventions liées à des faits criminels graves.

Le chef de corps Dirk Van Nuffel de la zone de police

de Bruges : «Afin de mener à bien ce genre de missions,

les 2 Audi ont été blindées. La société Rauwers a éga-

lement installé un avertisseur lumineux LED multi-

colore sur les voitures afin de garantir leur visibilité.

La sécurité des usagers est donc garantie.»

> G R O U P O N S E L A I S S E S É D U I R E PA R S E AT

Le Garage Ceulemans Motors d’Herent a livré à la société de marketing Groupon 25 SEAT Ibiza, que conduiront

ses représentants. Les voitures, de la série spéciale Copa, sont équipées d’un moteur diesel 1.2 TDI de 75 cv et n’émettent

que 99 g de CO2 au km. Ces Ibiza ont été prises en leasing opérationnel auprès d’Arval.

> B D O AT R I O R E N O U V E L L E S A CO N F I A N C E E N D ’ I E T E R E N

Voilà des années que BDO Atrio est un client fidèle de D’Ieteren. Et 2012 ne fera pas exception. Le cabinet

comptable a récemment commandé 29 SEAT Ibiza et plusieurs Volkswagen Polo et ŠKODA Fabia à

D’Ieteren Lease, devenu Volkswagen D’Ieteren Finance.Les 29 SEAT Ibiza possèdent chacune 5 portes et sont

dotées d’un moteur diesel 1.2 de 75 cv. Un contratde leasing de 36 mois et 75.000 km a été

conclu pour chaque véhicule.

Fleet by D’Ieteren 02/2012 33

En bref

Nadine Rigo, responsable des achats chez Aquafin Aar tselaar, reçoit les

c lés de Patr ick Verstraeten, en présence de Yves Claessens (tous les deux de

Autobedri j f Y&N Claessens BVBA) et de Geer t Speltens (Publ ic Affairs

Advisor Group Fleet Divis ion de D’ Ieteren) .

Nico Raes, gérant du Garage Raes, remet les c lés de 2 Audi A6

bl indées au chef de corps Dirk Van Nuffel .

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Sur le parking du garage AudiBustin, situé dans le zoning

nord de Wavre, certaines placessont réservées aux clients du res-taurant. Y aurait-il une erreur ? Ilsuffit de pousser la porte du show-room pour se rendre compte qu’iln’en est rien. L’escalier menant àl’étage débouche sur l’A-trium : unesalle en mezzanine, totalement iso-lée de la concession. Le restaurantest exploité par l’équipe de MathieuPinna, une référence dans lemonde de la gastronomie belge.Traiteur officiel du parlementbruxellois, il s’occupe aussi de larestauration au très réputé Châteaude Petit-Leez, près de Gembloux.

Transparence totaleLe concept de l’A-trium est né en2009, en partenariat avec Dominique

et Anne Bustin. Aujourd’hui, sa no-toriété a largement dépassé lesfrontières du Brabant Wallon. Lerestaurant est ouvert midi et soirtous les jours de la semaine, le sa-medi soir pour tous les événementsprivés (anniversaires, communions,mariages) et même le dimanche surdemande. En été, une agréable ter-rasse accueille les clients. Ici, toutest axé sur la qualité des produits etdu service, dans une ambiance à lafois professionnelle et conviviale.La cuisine de l’A-trium est centraleet ouverte sur la salle. On peut ymanger au bar, face au chef, ou àtable pour les rendez-vous d’affaireplus intimes.

Décontrac t ion et raff inementEn face du restaurant (45 cou-verts), l’étage de la concession

Audi Bustin dispose d’une salle deréunion de 15 places. L’endroitidéal pour les business meetings,d’autant que toutes les formulessont envisageables, ou presque. La gastronomie prend ainsi le relais des réunions avec, à la demande, des cours de cuisine. Le lien avec l’automobile est dis-cret, mais omniprésent puisquel’accès à l’A-trium se fait exclusi-vement via le showroom Audi. Lesoir, lorsque la concession est fer-mée, une hôtesse accueille les visiteurs qui peuvent ainsi décou-vrir les véhicules en toute décon-traction avant ou après leur repas. Et il ne faut pas forcément êtreclient Audi pour venir manger.Qu’on se le dise… <

Savoureux mélange des genresOUVRIR UN RESTAURANT AU-DESSUS D’UN SHOWROOM : UNE IDEE ORIGINALE DEVENUE

REALITE CHEZ AUDI BUSTIN A WAVRE. OU COMMENT MELER DEUX UNIVERS ANIMES

PAR LES MEMES VALEURS DE SERVICE ET DE PROFESSIONNALISME.

> B O N A S AVO I R A - T R I U M B Y A U D I B U S T I N

Fleet Magazine 02/2012 35

Ouver t midi et soir tous les jours de la

semaine, l ’A-tr ium surplombe le

showroom Audi dans une ambiance

aussi raff inée que décontrac tée.

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> I N T E R V I E W P H I L I P P E S I M O N A R T / T H I E R R Y S O R E T

Volkswagen D’Ieteren Finance réunit en uneseule entité les activités de leasing et de finance-ment automobile. Mais encore ?Philippe Simonart (COO) : «Volkswagen D’Ieteren Finance (VDFin) est une filiale commune de D’Ieteren et de Volkswagen Financial Services(VWFS). Cette dernière est une filiale à 100% deVolkswagen AG, 1er groupe européen de l’industrieautomobile. Grâce à elle, D’Ieteren accède à deux nouveaux secteurs : le Retail Financing (Financement classique et Autocrédit) et le Dealer

Financing (financementdes stocks réseau). Ces

deux activités étaientexercées jusqu’icipar la division deVWFS en Belgique :Volkswagen BankBelgium.

D’Ieteren apporte le leasing opérationnel par sa filiale D’Ieteren Lease ainsi que le leasing financier,deux produits destinés principalement aux profes-sionnels. Ces apports respectifs sont regroupés et exploités depuis le 13 février dernier par VDFin. L’action-nariat est composéà parts égalesentre D’Ieteren etVWFS. D’IeterenLease s.a. devientdonc filiale à100% de

«Ensemble, pour mDEPUIS LE 13 FEVRIER DERNIER, D’IETEREN ET VOLKSWAGEN FINANCIAL SERVICES ONT

REGROUPE LEURS COMPETENCES SOUS LA BANNIERE DE VOLKSWAGEN D’IETEREN

FINANCE. UN PAS DE PLUS VERS LE CUSTOMER DELIGHT, COMME L’EXPLIQUENT PHILIPPE

SIMONART ET THIERRY SORET, LE NOUVEAU DUO A LA TETE DE LA NOUVELLE SOCIETE.

Thierry Soret (C FO) et

Phi l ippe Simonar t (CO O) :

des compétences croisées

et complémentaires à la

tête de Volkswagen

D’Ieteren Finance.

Fleet Magazine 02/201236

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P H I L I P P E S I M O N A R T / T H I E R R Y S O R E T I N T E R V I E W <

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la nouvelle société. Ce nouvel ensemble, unique en Belgique, allie la performance commerciale deD’Ieteren, leader en Belgique, à la puissance finan-cière de VWFS».

D’Ieteren/Volkswagen : comment s’organise cettestructure bicéphale ?Thierry Soret (CFO) : «VDFin est dirigée par unConseil d’Administration composé à parité égaleentre VWFS et D’Ieteren. Les décisions se prennentà l’unanimité. Deux administrateurs sont chargés dela gestion quotidienne de l’entreprise : pour la par-tie opérationnelle, un COO désigné par D’Ieteren etpour la partie financière, un CFO nommé par Volkswagen. Le COO et le CFO forment l’ExecutiveManagement Team, responsable de la gestion quoti-dienne. Les décisions sont prises par double signature. Une procédure logique quand on sait quel’entreprise a un besoin de financement (dont lemontant atteint plus de 700 millions d’euros) per-manent de VWFS, et qui doit évoluer au-delà du mil-liard d’euros dans les 5 ans.»

Quels sont les services proposés par VDFin ?Philippe Simonart : «VDFin s’adresse à la fois au

marché des professionnels et des particuliers.Notre adossement à D’Ieteren constitue un atoutnon négligeable puisque VDFin est intégrée à lastratégie du Groupe D’Ieteren. Tous nos clientssont pris en charge par le réseau de distributionofficiel des marques. VDFin travaille avec tousles concessionnaires et accompagne les im-portateurs pour former les vendeurs dans lesproduits financiers spécifiques. Les marquesVolkswagen, Audi, Volkswagen Utilitaires,SEAT et ŠKODA comptent pas moins de300 partenaires de proximité en Belgique.Nous les connaissons bien, et c’est réci-proque. Ensemble, nous offrons une qua-lité de service supérieure à celle desautres acteurs financiers du marché.»

Quels sont vos objectifs ?Thierry Soret : «Le but est clairement de soutenir lesmarques du Groupe Volkswagen de manière à leurpermettre de poursuivre et consolider leur crois-sance. La part des produits financiers dans le mar-ché des particuliers doit progresser de plus de 100%dans les 5 ans qui viennent. En ce qui concerne lefleet, malgré les plus de 30% de D’Ieteren Lease surle marché du leasing opérationnel, notre but est dedépasser les 40% dans les années à venir. Le poten-tiel de croissance est également considérable en lea-sing financier. Ces ambitions ne peuvent se réaliserque si les clients sentent qu’ils ont un intérêt à nousrejoindre et que nous disposons de moyens finan-

r mieux vous servir»

«Nous étudions des formules innovantes pour répondre aux besoins de nos clients.»

Fleet by D’Ieteren 02/2012

Carrière chez D’Ieteren

Nom : Philippe Simonart

Fonction : Directeur, Chief Operations Officer VDFin

Age : 54 ans

Nationalité : Belge

Etat civil : marié, 4 enfants, deux petits-enfants

Expérience professionnelle : 30 ans de carrière chez D’Ieteren,

Directeur CVI (5 ans), Directeur Volkswagen Import (9 ans),

Directeur D’Ieteren Lease (3 ans)

Cursus : Licencié en sciences économiques (UCL)

L A C A R R I E R E D E Philippe Simonart

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«Nous soutenons les marques du Groupe Volkswagen pour consolider leur croissance.»

38 Fleet Magazine 02/2012

> I N T E R V I E W P H I L I P P E S I M O N A R T / T H I E R R Y S O R E T

ciers solides et pérennes, d’où la création de VDFin.Nous devons développer notre attractivité, que cesoit dans notre communication avec nos clients, lacompétence de chacun des acteurs (vendeurs, dea-lers, VDFin,…), la simplification et la transparencedes process et des offres, sans oublier l’innovationdont nous devons faire preuve pour nous démarquerde nos concurrents.»

Réunir le leasing à destination des professionnelset le financement destiné aux particuliers sous unmême toit va-t-il vous permettre de gagner en ef-ficacité ?Thierry Soret : «Oui, clairement. Si la nature desclients est évidemment différente, derrière chaquevolant se trouve un utilisateur. Les synergies semarqueront dans les outils de relance, les outils in-formatiques et marketing, le matériel envoyé auxconcessionnaires, la formation, les collaborationsavec les marques, la comptabilité, le credit collec-tion, le risk management etc…Toutefois, les besoins des clients sociétés sont sanscommune mesure avec ceux des particuliers. Noussommes partenaires pour la gestion de leur flotte.Nous leur apportons des outils de fleet managementon-line, nous les assistons dans la composition deleur car policy en fonction de leurs besoins et del’optimisation fiscale. VDFin dispose d’équipes dé-diées exclusivement aux clients Fleet, et d’autrestournées vers les particuliers. A ce niveau, ce sontdes métiers différents.»

Sur quels points pouvez-vous faire la différencepar rapport aux banques ?Philippe Simonart : «Le marché du financement desparticuliers est très concurrentiel. Les banques pra-tiquent une politique tarifaire agressive pour attirerde nouveaux clients vers d’autres produits bancairesplus rentables, ce qui n’est pas notre cas. Par ailleurs, nous sommes de plus en plus compétitifsdans ce créneau. Le taux de 2,99% affiché pendantla période Salon a connu un très beau succès. Laréactivité est aussi un élément crucial. Plus stratégi-quement, nous observons l’évolution du comporte-ment des particuliers vis-à-vis de l’automobile et dela mobilité. Nous étudions des formules de finance-ment innovantes pour répondre à leurs besoins etparfois même les anticiper. L’intégration de VDFindans la stratégie des marques chez D’Ieteren permet

de faire équipe avec nos collègues pour développerces thèmes de réflexion. Une de nos missions n’est-elle pas de rendre la voiture et la mobilité accessi-bles à tous ?»

Quel impact y aura-t-il sur le service de leasingoffert jusqu’ici par D’Ieteren Lease aux profes-sionnels ?Philippe Simonart : «D’Ieteren Lease a soufflé ses35 bougies en 2011 et ces années ont concouru à entretenir des rapports privilégiés avec nos clients. Leurs besoins sont de plus en plus importants entermes de gestion de flotte. Les crises économiqueset financières successives ont renforcé la rigueurdes fleet-owners. Ils ont besoins d’outils de gestionqui leur permettent, en un coup d’œil, de rectifier letir là où le TCO l’exige, d’optimiser le choix des mo-dèles, la durée et le kilométrage des contrats de lea-sing, de sensibiliser les utilisateurs à prendre soinde leur véhicule, etc… Ils attendent de VDFin unsuivi et des contacts réguliers pour les épauler danscette tâche.» <

Carrière dans le secteur bancaire

Nom : Thierry Soret

Fonction : Directeur, Chief Financial Officer VDFin

Age : 44 ans

Nationalité : Franco-Brésilien

Etat civil : marié, deux enfants

Expérience professionnelle : 25 ans de carrière dans la banque,

Toyota Bank Brésil (8 ans), Volkswagen Bank Brésil (5 ans)

Cursus : Business Administration, MBA en gestion (San Paulo),

MBA en gestion stratégique (Chicago)

L A C A R R I E R E D E Thierry Soret

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A C T U A L I T E <

Après une précédente livraison via le Garage Lagrou

de Dixmude (quatre combis Volkswagen), 12 Volkswagen

Polo et un Caddy sont venus renforcer en décembre 2011

le parc de la Zone de police Polder, qui couvre les

communes de Dixmude, Kortemark, Houthulst et

Koekelare. «Les 12 nouveaux véhicules, parmi lesquels

deux voitures banalisées, sont destinés à nos inspecteurs

de quartier. Nous avons délibérément choisi des voitures

plus petites pour faciliter le plus possible le contact avec

les citoyens», précise Alain De Laender, chef de corps.

16 Volkswagen Caddy pour Ericsson

Le fabricant de télécom Ericsson s’est récem-

ment fait livrer les 9 premiers Volkswagen

Caddy d’une commande totale de 16 véhicules,

réalisées via D’Ieteren Mail. Ericsson s’est

laissé convaincre par la fiabilité, la sécurité, la

valeur résiduelle et le loyer concurrentiel des

Volkswagen Caddy Maxi 75 kW. Ceux-ci seront

utilisés par les techniciens d’Ericsson chargés

de la maintenance du réseau télécom. «Pour ces

conducteurs, l’ordre et la sécurité revêtent une

importance capitale. C’est pour cette raison que

leurs véhicules ont été aménagés par Sortimo.

Chaque chose à sa place : voilà notre philoso-

phie», déclare-t-on chez Ericsson.

Macadam fait confiance à ŠKODA

Fleet by D’Ieteren 02/2012 39

Logistique de transport et inspection de véhicules

arrivés en fin de contrat locatif, telles sont les deux

secteurs d’activité de Macadam, une société basée à

Vilvoorde et devenue aujourd’hui un acteur incontour-

nable du marché automobile.

Présent dans sept pays de l’Union (Benelux, Allemagne,

France, Espagne et depuis peu Italie), Macadam,

avec plus de 200.000 expertises à son actif en 2011,

pointe dans le top 3 européen.

Depuis toujours, pour les déplacements de ses experts

en Belgique, Macadam fait confiance aux marques

importées par D’Ieteren. Ainsi, il y a peu, huit ŠKODA

Octavia 1.6 CRTDI Ambiente (109g/CO2) destinées à

ses inspecteurs sont venues prendre place dans le

parc de cette société dirigée par Jean Thomas.

Sur la photo, on reconnaît Yves Helven (F leet Logist ics) ,

Serge Ruy tjens (Er icsson) , Wil lem Peeters (Er icsson) ,

Inge Verspecht (LeasePlan) et Jean-Luc De Loof (Er icsson) .

Zone de police Polder : les inspecteurs de quartier roulent en Volkswagen

De g . à d . : le chef de corps A. De Laender, la bourgmestre de

Dixmude et présidente du consei l de pol ice Madame L . Lar idon,

le bourgmestre de Koekelare P. Lansens, G. Speltens Publ ic Affairs

Advisor (Group Fleet Divis ion D’ Ieteren) et K . Lagrou,

du garage du même nom.

En présence des huit ut i l isateurs mais également de Phi l ippe

Simonar t , CO O de Volkswagen D’ Ieteren Finance, Pascale

Chèvremont, Key Account f leet ŠKODA, remet à Joep Weijden,

Direc teur Business et Développement Nor th de Macadam,

les c lés d ’une des ŠKODA Oc tavia 1 .6 C RTDI Ambiente.

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Page 40: fleet dieteren fr 129

Quelques grammes de caviar suffisent à transformer un repas en moment inoubliable.

De par sa rareté et son prix (entre 1.500 et 5.000 euros selon l’origine), le caviar est, depuislongtemps, symbole de luxe et de raffinement.

Les Chinois le commercialisent depuis le 10e siècleavant Jésus Christ, mais de nos jours, c’est d’Iran etde Russie que proviennent les boîtes les plus presti-gieuses. Par contre, ce que l’on sait moins, c’est quedepuis quelques années, la Belgique est entrée dansle cercle très fermé des producteurs renommés. Une performance que l’on doit à deux biologistes visionnaires : Joosen et Luyckx.

Sur vei l lance individuel leA la fin des années 80, la société Aqua Bio importeles premiers esturgeons des pays de l’Est. «Aprèsavoir acheté et importé des larves de Russie, nous

Fleet Magazine 02/201240

> C ’ E ST D U B E L G E R O Y A L B E L G I A N C A V I A R

CHAQUE ANNEE, LA SOCIETE AQUA BIO

EXTRAIT UNE TONNE DE CAVIAR DES

ETANGS DE TURNHOUT. UNE ACTIVITE 100%

BELGE DONT LA RENOMMEE S’ETEND

AUJOURD’HUI JUSQUE DANS LES CUISINES

DE LA FAMILLE ROYALE BRITANNIQUE.

Chaque ki lo de caviar

représente 50.000 œufs.

Et chaque gramme compte !

La passion de l’ex

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Page 41: fleet dieteren fr 129

avons constitué une réserve d’élevagede différentes espèces dans les meil-leures conditions possibles» expliquentles responsables de la société. «La miseen place d’une réserve en site propre per-met d’éviter l’importation d’espèces sau-vages menacées. Nos poissons sont élevésen eau pure et dans des conditions opti-males. Nous maîtrisons le cycle complet dela reproduction, depuis l’œuf jusqu’au pois-son adulte. Il ne s’agit pas d’une produc-tion de masse. Chacun des esturgeons estsuivi individuellement durant tout soncycle de vie.»

Déterminer la maturitéL’un des plus importants gages de qua-lité du caviar est la faculté de détermi-ner avec précision le stade dedéveloppement optimal des œufs.Chaque espèce d’esturgeon produitun caviar spécifique, que ce soit auniveau du goût, de la taille, de lacouleur ou encore de la consistancedes œufs. Raison pour laquelle les pois-sons ne sont jamais mélangés.Mais au fait, savez-vous pourquoi le caviar est sicher ?Cela tient grandement au temps qu’il faut y consa-crer pour obtenir le produit fini. Le travail de pro-duction commence dès la maternité : une véritable pouponnière où les œufs sont fécondés.Quand les esturgeons pèsent 1,5 kilo, les femellessont séparées des mâles et transférées vers lesétangs. La maturité sexuelle n’est atteinte qu’aprèssept longues années, et la quantité d’œufs extraitepar poisson ne représente qu’entre 10 et 15% dupoids total. Une fois les œufs récoltés, ils sont cri-blés avant d’être rincés. Après un léger salage, ilssont prêts à être dégustés. <

41Fleet by D’Ieteren 02/2012

R O Y A L B E L G I A N C A V I A R C ’ E ST D U B E L G E <

Le Royal Belgian

Caviar provient d’esturgeons de

Sibér ie . Sa couleur var ie du ver t ol ive au brun foncé.

Les gastronomes décrivent les perles noires de Turnhoutcomme «douces et délicates en bouche», avec un petit goût denoisette. Les boîtes de Royal Belgian Caviar contiennent desœufs d’esturgeon de Sibérie, dont la couleur varie du vert oliveau brun foncé. Il est proposé en deux qualités : Classic et GoldLabel. La différence repose sur la taille des œufs et leur fermeté.

D E S P E R L E S au goût de noisette

«Nous maîtrisons le cycle complet de la reproduction, depuis l’œuf jusqu’au poisson adulte.»

A Turnhout, les esturgeons s ibér iens

pèsent entre 15 et 20 ki los . Dans la nature,

ce poids atteint 200 ki los .

cellence

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Page 42: fleet dieteren fr 129

42 Fleet Magazine 02/2012

Après avoir testé pas moins de80 Golf électriques en condi-

tions réelles de circulation sur les routes allemandes en 2011,Volkswagen étend son programmeinternational d’essai cette annéeavec la mise en circulation de voitures en Autriche, en France etaux Etats-Unis, mais aussi en Belgique. Le 16 février dernier, lesclés de dix Golf Blue-e-Motion ontété remises aux participants réu-nis au Contact Center de Korten-berg. Accenture, AKKA Belux,Coca-Cola Entreprises, Colruyt, la Commission Européenne etVolkswagen Import poursuiventtous le même objectif : parcourirle plus de kilomètres possible afind’évaluer l’utilisation de la Golf électrique en conditionsréelles de circulation. Une expé-

rience indispensable avant lacommercialisation en grande sériede la Golf Blue-e-Motion en 2014,quelques mois après les débuts de la e-up!, premier modèle élec-trique de la marque.

A l ’épreuve de Bruxel les«La flotte-test belge est une nou-velle étape dans notre vaste proces-sus de développement car elle vanous permettre de mettre la voitureà l’épreuve de manière intensivedans le trafic urbain de la capitale,particulièrement dense» explique ledocteur Rudolf Krebs, en charge dela propulsion électrique au sein duGroupe Volkswagen. «Nous avonschoisi des groupes-tests très diver-sifiés et nous nous réjouissonsd’avoir comme partenaires, en plusde la Commission Européenne,

les directions générales d’entre-prises connues dans le mondeentier et actives dans les secteursde la consultance en informatique et technologies ou de la distribu-tion.»

Encadrement professionnelD’un point de vue pratique, chaqueGolf-e-Motion est livrée avec unchargeur facile à utiliser. Grâce àun iPhone disposant d’applicationsspécialement développées pour letest, chaque conducteur peut visualiser les données de son véhicule, et même régler à distance la température ambiantede l’habitacle. En outre, un portailWeb et un call-center permettentaux essayeurs de bénéficier d’unencadrement professionnel et de partager leur expérience deconduite électrique 24h/24. <

Une flotte-test en BelgiqueDEPUIS LE 16 FEVRIER DERNIER, DIX GOLF ELECTRIQUES

BLUE-E-MOTION CIRCULENT EN BELGIQUE.

UNE EXPERIENCE PILOTE REALISEE EN PARTENARIAT

AVEC PLUSIEURS GRANDES ENTREPRISES AINSI QUE LA

COMMISSION EUROPEENNE, ET QUI PREFIGURE UNE

COMMERCIALISATION À GRANDE ECHELLE DES 2013.

> F L OT T E -T E ST G O L F B L U E - E - M O T I O N

Charles Alen (AKKA Belux) , Jean-Marc Laruel le

(Coca-Cola Enterpr ises) , Phi l ip Cuyle

( Volkswagen Impor t) , K im Spigt (Coca Cola

Enterpr ises) , Michel Schoukens (N.V. Etn. Franz

Colruy t) , Patr ick Mathot ( Volkswagen Impor t)

et Alain Duez (Accenture Belux) .

Charles Alen (AKKA Belux) , Jean-Marc Laruel le

(Coca-Cola Enterpr ises) , Phi l ip Cuyle

( Volkswagen Impor t) , K im Spigt (Coca Cola

Enterpr ises) , Michel Schoukens (N.V. Etn. Franz

Colruy t) , Patr ick Mathot ( Volkswagen Impor t)

et Alain Duez (Accenture Belux) .

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Page 43: fleet dieteren fr 129

1Quels sont vos trois objectifs principaux ?

Je compte prendre les mesures nécessaires afin degarantir une mobilité sûre, fluide et durable au profitdes citoyens et des entreprises. Mon objectif est de réduire le nombre de tués sur nos routes de 50%entre 2010 et 2020. Pour ce faire, je souhaite prendredes mesures de prévention plus efficaces (informa-tion, sensibilisation, …). Il me semble également nécessaire, grâce à une meilleure collaboration avecles autorités compétentes, d'envisager des sanctionsplus adéquates à l'égard des délinquants de la route.J’ai également l’intention de réduire les émissions degaz à effet de serre et les pollutions en soutenant unprojet transversal de développement des voituresélectriques et à faibles émissions de CO2.

2Une des mesures que vous envisagez concernela limitation du taux d’alcool à 0,2 au lieu de

0,5. Pourquoi ?On sait que le risque d’accident dû à alcool est trèsimportant. Tout dépend évidemment du taux d'alcool.Des études ont démontré qu'avec 0,2% de taux d'alcool dans le sang, le risque d'accident est plus dedeux fois supérieur que pour un conducteur sobre. Le risque d’accident mortel est 2,5 fois plus importantà 0,5% d'alcool et 4,5 fois plus important à 0,8%. Ces chiffres me font réfléchir. Une étude (DRUID)montre que la prévalence de la conduite sous influence de l’alcool est plus petite dans les pays oùla limite est de 0 ou 0,2 que dans les pays où cette dernière est fixée à 0,4 ou 0,5. La question de l’abais-sement du taux d’alcool autorisé est évidemment liéeà celle de l’augmentation des contrôles. Le risque de se faire contrôler doit être suffisamment élevé sil’on veut que la mesure ait du sens et un impact surles conducteurs.

3Le secteur automobile a émis de nombreusescritiques concernant les nouvelles règles sur

l’Avantage de Toute Nature. Avec raison ?Il est vrai que l’Avantage de Toute Nature a augmentéen particulier pour les voitures de grosse cylindrée.Cette politique est d'abord dictée par un souci de justice fiscale. De plus, le gouvernement doit bouclerun exercice budgétaire particulièrement délicat.

Quant aux modalités d’application, de nombreusesconsultations ont eu lieu. Je ne peux malheureuse-ment m’exprimer plus sur cette question car elle nerelève pas de ma compétence.

4Les entreprises cherchent activement des solutions pour la mobilité de leurs employés.

Pouvez-vous les soutenir, et comment ?Cela relève avant tout de la gestion de chaque entreprise. Nous nous efforçons de présenter uneoffre transport en commun suffisante, adaptée et accessible afin d’augmenter la mobilité. Avec les Régions nous y travaillons. Au niveau public, notamment, il est évident que nous devons améliorernotre politique de mobilité dans le but d’intensifier les synergies avec le secteur privé.

5Dernière question. Vous avez hérité du virus politique de votre père, Melchior Wathelet sr.

Lui demandez-vous encore parfois son avis ?Bien sûr ! Nous sommes d'ailleurs souvent d’accord.Homme passionné des questions de transport (surtoutles trains et les automobiles), cette question est unsujet récurrent de discussion. <

APRES PLUSIEURS ANNEES DE BAISSE,

LE NOMBRE DE VICTIMES SUR LES ROUTES

EST REPARTI A LA HAUSSE EN 2011 (+ 3,8%).

UNE SITUATION QUI FAIT REAGIR LE NOUVEAU

SECRETAIRE D’ETAT A LA MOBILITE.

43Fleet by D’Ieteren 02/2012

> 5 Q U E ST I O N S A M E L C H I O R W A T H E L E T

Melchior Wathelet : «Le r isque de se faire contrôler doit être

suffisamment élevé si l ’on veut que la mesure ait un

impact sur les conducteurs.»

«Sanctionner les délinquants de la route»

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Page 44: fleet dieteren fr 129

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