FL. INIBAP, - Agritropagritrop.cirad.fr/568439/1/document_568439.pdfRESUME Mille cent soixante-dix...

1
137 143 OR: ANGLS PRESELECTION POUR RESISTANCE A DE LA PO BR DES CABOSSES DU CACAOYER S . Sjdeo-/ , S. B\ V. Singb, FL. Bele1, D. R Butle� , P. Um\ A.D. I1 ? AB. E 1Unité de rherche cao, Uversité l 1s, St. Augusn, Trinité et Tobago. 2 Bioversity InteonAD, c/o , Parc Scienque Aopolis , 34397 Montpellier cedex 5, Frce E: pti'à;sta. U\ \·i . edn RES Mille cent soixante-dix plants de descendants de 24 croisements faisant intervenir 48 pents de trois oupes de populaon de oyers (Forastero, o ? Tio) ont été po le risce foliaire à Phytophthora pa/mivora t diu de f eles . L 48 nts dans les croisement ont aussi été évalués pour la sisn des bosses à l' d'inlaon des cabosses détachées (DPT) et pour les פrfoans au cmp relaves à la bnme ? à la maladie des balais de sorcières. Un large éc ene les scores de morbité moyens ont été observés en réponse à l'infecon à la fois chez les populaons parenles (1,27 à 4,40) et les descends ( 1,84 à 3,32), basés une échelle d'évaluation de la malae allant de 1 à 5. Les scores test DTP allaie 1 à 6, basés e helle d'évalon de la mdie allant de 1 à 8. Le nombre de sses infs les l 0 à 5 s ion. Plusieurs méthes d'évalon (LDT, DPT et observaons champ) la à la be ont été examinées ur déterer la nare de la relaon qui eξste elles. Ae relaon (cœfficient de rrélaon R 2 = 0,024) n'a été obseée lorsque les moyennes des descendants ur le LDT ont fait l'objet d'une analyse de réession les de-moyennes pareles, qui suggère que les פrfos parenles פuvent ne pas être véritable indicateur pour la פrfoce des descendts. De la même çon, de f aibles relaons ont été obseées ene obseaon le t ur les parents et LDT le ds (cœfficient de coélaon R 2 = 0,005) et aussi ene DTP ents) et LDT l dnts (ficient de laon R2 = 0,6). De plus, senle une relaon ès fruble eξsit DPT ? aons au p (ficient corrélon R 2 = 0,0002), ce qui sie que le DPT פut ne pas refléter la situation lle de la résisce au champ. Les implications de ces conclusions en lien avec l'plion du LDT comme oul ur l'élon de la résisce foliaire à Phytophthora palmivora chez les clones de cacaoyers et leurs pulons de sélecon sont lysées.

Transcript of FL. INIBAP, - Agritropagritrop.cirad.fr/568439/1/document_568439.pdfRESUME Mille cent soixante-dix...

Page 1: FL. INIBAP, - Agritropagritrop.cirad.fr/568439/1/document_568439.pdfRESUME Mille cent soixante-dix plants de descendants de 24 croisements faisant intervenir 48 parents de trois groupes

1 3 7

143 OR: ANGLAIS

PRESELECTION POUR LA RESISTANCE A LA MALADIE DE LA POURRITURE B RUNE DES CABOSSES DU CACAOYER

S. Surujdeo-Mahara/, S. Bharath\ V. Singb, FL. Bekele1, D. R Butle�, P. Umaharan\ A.D. Iwaro1 et AB. Eskei

1Unité de recherche sur le cacao, Université des Caral1x:s, St. Augustin, Trinité et Tobago. 2 Bioversity International!CIRAD, c/o INIBAP, Parc Scientifique Agropolis II, 34397 Montpellier cedex 5, France

Email: pwnaltarani'à;sta. U\\·i . edn

RESUME

Mille cent soixante-dix plants de descendants de 24 croisements faisant intervenir 48 parents de trois groupes de population de cacaoyers (Forastero, Refractario et Trinitario) ont été évalués pour leur résistance foliaire à Phytophthora pa/mivora en utilisant un essai sur disques de feuilles (LDI). Les 48 parents utilisés dans les croisement ont aussi été évalués pour la résistance des cabosses à l'aide du test d'inoculation sur des cabosses détachées (DPT) et pour les performances au champ relatives à la pourriture bnme et à la maladie des balais de sorcières. Un large écart entre les scores de morbidité moyens ont été observés en réponse à l'infection à la fois chez les populations parentales (1 ,27 à 4,40) et les descendants (1 ,84 à 3,32), basés sur une échelle d'évaluation de la maladie allant de 1 à 5. Les scores du test DTP allaient de 1 à 6, basés sur une échelle d'évaluation de la maladie allant de 1 à 8 . Le nombre de cabosses infectées pour les parents allait de 0 à 5 par accession. Plusieurs méthodes d'évaluation (LDT, DPT et observations an champ) pour la résistance à la poUIIiture bnme ont été examinées pour déterminer la nature de la relation qui existe entre elles. Aucune relation linéaire (coefficient de corrélation R2= 0,024) n'a été observée lorsque les moyennes des descendants pour le LDT ont fait l'objet d'une analyse de régression sur les demi-moyennes parentales, ce qui suggère que les performances parentales peuvent ne pas être un véritable indicateur pour la performance des descendants. De la même façon, de faibles relations ont été observées entre observation sur le terrain pour les parents et LDT pour leurs descendants (coefficient de corrélation R 2 = 0,005) et aussi entre DTP (parents) et LDT pour leurs descendants (coefficient de corrélation R2 = 0,006). De plus, senle une relation très fruble existait entre DPT et observations au champ (coefficient de corrélation R2 = 0,0002), ce qui signifie que le DPT peut ne pas refléter la situation réelle de la résistance au champ. Les implications de ces conclusions en lien avec l'application du LDT comme outil pour l'évaluation de la résistance foliaire à Phytophthora palmivora chez les clones de cacaoyers et leurs populations de sélection sont analysées.