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Serge Fitz Dossier entités Répercussions médicales et spirituelles édition

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  • Serge Fitz

    Dossier entits Rpercussions

    mdicales et spirituelles

    2" dition

  • Tous droics de reproduction. de traduction et d'adaptation du p.senl OU\'nlge. ainsi que des 6dition pntc-.

    rsco pourt(M.h pa)"

    C&lilions S

  • Note de l'diteur

    Dossier entits rpond une demande imporrame des lecteurs dsireux de trouver des explications et justifications de multiples faits concernant les nergies subtiles qui perrurbenr rgulirement le comportement de l'homme.

    Radiesthsiste et thrapeute du corps et de l'me, Serge Ficz ne pouvait pas ne pas croiser les encirs. Homme courageux et entreprenant, il a rudi les cas rencontrs en urilisanr sa grande connaissance du pendule. Il nous livre ici son exprience. Hommc curieux, il parle des pistes qu'il a croises dans ses recherches ainsi que des rraces qu'il compte bien suivre pour parfaire sa connaissance des entits er des sujets connexes.

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  • INTRODUCTION

    Pour apprhender le sujer des enrirs, il importe de saisir ce qu'esc la vie. Lorsqu'on demande un Occidental de donner le conrraire de mort il rpond vie. la mme quesrion, un Orienra! rpond naissance. Ce que nous avons l'habitude de qualifier de naissance ou de mort, relve d'un continuum apparaissant er disparaissant de nos yeux de chair. La vie, avant, pendanr, aprs, forme un cour. Le physicien DAVID BoHM parle de processus de dsenfouissement et d'enfouissement pour signifier que norre ralit provient d'un rar spcifique vers lequel elle retourne. Il l'appelle l'ordre implicite par opposition un ordre explicite que nous percevons habiruellemenr. !.:ordre explicite (ou dpli), manifest, dploy, esc l'univers rel qu'il nous apparar, articul aurour de l'espace-temps. Au contraire, l'ordre implicite (ou impli) esr au-del de l'espace-temps. C'esr un vide rempli de roures les potentialits.

    Il cre une ralit qui nous semble spare er indpendance. Selon DAVID BOHM, nous nous accrochons dans une large mesure au monde manifest considr comme la ralit fondamentale o l'imporram consiste disposer d'uni rs relarivemenr spares, mais en interaction. Dans la ralit non manifeste, cour s'interpntre, rour esr interconnect.

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  • Ordre implicite

    Dsenfoulssement

    i J ,L-_..:....:.:...._--{_] ___ _ Ordre Implicite

    Lespace-remps de l'ordre explicite se dveloppe partir de l'ordre implicite. On pourrait comparer ce systme un appareil de projection compos de deux bobines de film, l'une pleine qu'on droule vers la vide qui emmagasine. Lors du passage du film devant l'objectif, on se trouve au stade du dsenfouissement d'une ralit enfouie dans la bobine de film qui se droule. La bobine qui reoit le film aprs son passage devant l'objectif, amne le stade de l'enfouissement. Seule l'image projete apparalt l'cran alors que les prcdentes et les suivantes restent invisibles. Le passage du film d'une bobine l'autre ressemble ce que DAVID BoHM entend par holomozwement. Les objets en mouvement nous apparaissent dans l'ordre explicite, soustendus par un ordre implicite voil. De ce fait, le rel vritable nous est cach. Il peut tre apprhend seulement en certaines de ses structures, mais partiellement. Lorsqu'on voit quelqu'un

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  • qui courr, on le voir courir, mais on ne voit pas ce qui le fair courir. Le rel voil se si rue au-del des phnomnes. Ce reL ensoi ou ordre implicite est diffrent de notre monde quotidien. Le concept de la vitesse n'y a plus de sens. C'est un espace multidimensionnel o le temps ne s'coule plus: il y a instantanit de rous les vnements, il n'y a ni pass, ni prsent, ni furur. Il n'y a plus de causalit, mais information pure er synchronicit. Cerre ralit peut ressembler un hologramme, dom chaque portion contient la totalit des informations de l'ensemble. "Tour est dans le rout disait le philosophe grec ANAXAGORE. DAVID BOHM estime que l'esprit er la matire sont interdpendants, relis entre eux de man ire non causale. I.:holomouvement esr une manifestation du temps qui passe. Il esr charg d'nergie. Le savant russe KOZIREV pense que les toiles y puisent leur nergie. Notre propre nergie puise peur-tre sa source dans ce vivier. La question que nous nous poserons dans ce livre esr de savoir, en reprenan t l'image du film dont nous avons parl, si celle-ci passe en boucle ou non. En d'aurres termes, esr-ce que nous effectuons des va-er-vient emre le monde dans lequel nous nous disons vivants (incarns) er un monde invisible dans lequel nous nous considrons comme morrs (dsincarns) ?

  • LA RINCARNATION

    la lumire de ce que nous venons de voir, la rincarnation serait une manifestation de l'holomouvemenr. Elle nous plongerait rgulirement dans un au-del donc nous reviendrions chargs de nouvelles nergies et de nouveaux programmes de vie. La rincarnation rpondrait de la soree aux fameuses questions de nos origines: d'o venons-nous ct o allons-nous ? Peut-on venir de nulle pan? Cela ne parat gure possible. I.:enfanr qui nar (s'incarne) manifeste crs rapidement un caractre. Il s'affirme dans ce qu'il est ds le dpart. Face la mort, les comportements som trs diffrents d'une culture l'autre. Les uns se lamentent, les autres chantent er dansent. l'approche de la lin, tout tre se trouve plac dans un engrenage de deux dynamiques trs diffrences : un esprit en progression et un corps en rgression. Cette progression peut-elle s'anantir? La mort du corps peutelle signifier aucomatiquemenr la mon de l'esprit ? !.:alternance de l'tat de veille et de sommeil ne serait-elle pas davanrage en correspondance analogique avec nos disparitions et nos renaissances successives ? Le jeu prfr des enfants, le cache-cache, ne serait-il pas une rminiscence de leur passage entre le visible et l'invisible ?

    toutes ces questions, nous allons prsent essayer de rpondre.

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  • Mais avant de rentrer dans le vif du sujet, il est noter que ceux qui s'intressent l'astrologie pourront trouver grce l'astrologie karmique des pistes intressantes. En effer, l'axe des nuds lunaires (nuds nord er sud) est rradirionnellemenr l'indice du fil d'AluANE que nous sommes invits suivre pour comprendre nos vies passes. Dans le rhme, rous les lments qui indiquent des difficults rsoudre reprsentenc les bases d'appui de l'astrologie karmique. La lisre esr longue. On peur citer, ple-mle, les signes intercepts, la lune noire er tout ce qui tourne l'envers, c'csr--dire dans le sens inverse des signes du zodiaque. Mais notre propos n'est pas d'entrer dans des explications rechniques pousses, mais d'essayer de ressentir le sujet.

  • LES SIGNES DE L'AVA NT

    De grands savants, dont le prix Nobel de mdecine joHN ECCLES, ont reconnu que norre conscience pouvait subsister indpendamment de notre corps er donc de notre cerveau. Le docteur MELVIN MORSE, pdiarrc amricain, s'appuyant sur les tudes de nombreux spcialistes, arrive formuler la thse que notre mmoire n' esr pas contenue dans notre cerveau, mais dans une dimension non matrielle de la vic. Le lobe temporal du cerveau droit permet de communiquer avec une vritable banque de donnes universelles, que la tradition de l'Inde appelle les nrc/Jives nknshiques. Les tudes des para psychologues cr des physiciens quantiques amricains arrivent la mme conclusion : l'homme n'est pas seulement un tre de matire, il esr aussi, er avant tour, un tre spirituel ! Cerre mmoire esr une vritable banque de donnes disponible pour rous ceux qui souhaitent y entrer par le biais de l'intuidon cr du lcher-prise. Elle comporte, inscrire dans le corps causal, les traces de chocs motionnels graves. Alors, quel esr donc le monde implicite d'o la vie semble provenir, notamment au niveau de la naissance ? rra vers quels signes peur-on essayer de l'apprhender ? Nous allons cour cour l'explorer travers diffrences pistes.

  • LES TMOIGNAGES SPONTANS

    DES ENFANTS EN BAS AGE

    Les enfancs tmoignent, gnralement entre deux et quarre ans, des souvenirs de leur vie antrieure. Ces rcirs se renouvellent parfois jusqu' huit ans, puis commencent s'estomper. Malheureusement, ces souvenirs karmiques se heurtent l'incomprhension des adultes qui demandent gentiment ces exadultes d'arrter de fabuler. Or l'coute attentive de ces rcics permet de comprendre les raisons de la rincarnation de l'enfant. Elle met en vidence les efforts d'adaptation qu'il doit oprer dans sa nouvelle situation. U y avait cette adorable petite fille prnomme ADELINE qui commenait souvent ses phrases, la grande surprise de ses parents, par Lorsque j'tais vieille . . . Dans certains cas, l'enfant rejette ses nouveaux pare nes parce que les souvenirs de sa vie prcdente sonr encore trop forts et l'empchent de s'adapter sa nouvelle famille. En thrapie, roures ces connaissances sont bien entendu extrmement prcieuses pour ressentir la ralit de la siruarion, notamment dans les cas de maladies ou de problmes psychologiques.

    lAN STEVENSON raconre dans son livre - La rincarnation et la biologie- La croise de chemins -le tmoignage d'un l'enfant birman, U TINN SEIN, qui se disait avoir t un soldat japonais. Cet enfant possdait une marque de naissance sur le thorax, zone plate er ronde plus pigmenre que le reste du corps. U TINN SEIN dcrivait comment, dans la vie prcdente, lui, un soldat japonais, se rrouvair prs d'un lac l'extrieur de la ville l'endroit o il tait n au nord de la Birmanie. Un avion avait

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  • survol les maisons et, mitraillant la zone, l'avait touch la poitrine. Aprs sa mort, disait-il, il tait demeur une personnalit dsincarne dans la rgion du lac. Pour se divertir, il effrayait parfois les passants en leur lanant des pierres. Aprs le dsastre de la guerre, le bois brler tait rare en ville et le futur pre de U TtNN SEIN se rendit vers la rgion du lac avec un chariot pour en ramasser. Le soldat japonais dsincarn le suivit jusque chez lui et opra une renaissance dans le ventre de sa femme. I.:enfam prsentait une multitude de ce que l'on peut appeler des trairs de caractre japonais. I.:un des plus marquants a t son zle remarquable. Il tait infatigable au travail er mprisait ceux qui ne l'raient pas. Les Birmans ne sont pas un peuple paresseux, mais leur socit a fourni le prororype de l'ide que peu est bien et ils dsirent rarement produire plus que ce qui est ncessaire. I.:inrrt de l'enqute du professeur en psychiatrie lAN STEvENSON (universit de Virginie) esr au niveau du recoupement des tmoignages avec les personnes de la rgion et celles des traces de naissance sur le corps des enfanrs qui corroboraient leurs rcits. STEVENSON tudia de la sorte prs de 2600 cas similaires.

    Les enfunts parlent souvent des circonstances de leur mort antrieure, surtout si elle a t violente. Dans leurs jeux, ils miment les circonstances de leur dcs. Ils endossent galemenr le rle de la personne adulte qu'ils se rappellent avoir t. Ainsi, une petite fille se souvenait d'une vie prcdenre en tant qu'institurrice, faisait jouer ses can1arades le rle d'lves tandis qu'elle leur faisait le cours sur un tableau imaginaire. Un en fanc, qui se souvenait d'une vie en tant que mcanicien dans un garage, passait des heures sous le sofu familial rparer une voiture imaginaire symbolise par ledit meuble. Lorsque la rincarnation conduit

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  • un changement de sexe, les enfants montrent presque invariablement des traits de caractre du sexe de la vie prcdente. Ils se travestissent, jouent des jeux de sexe oppos er peuvent aussi avoir des comportementS caractristiques de l'autre sexe. Une petite fille en pareille situation est gnralement appele garon manqu et un garon poule mouille. Ces comportements peuvent avoir une explication dans une incarnation passe.

    LES ENFANTS SURDOUS

    Les enfants que l'on dit surdous reviennent avec l'acquis d'une ou plusieurs incarnations prcdentes. Leur plan d'incarnation implique de pousser leur art la perfection. On pense, bien entendu, MOZART et actuellement ces enfants dies indigo. Ces mes viennent en mission pour faire bouger les choses. Le plan de l'incarnation de ces enfants est de ce fair trs particulier. Le choix des familles d'accueil et des lieux gographiques joue un rle important. Actuellement on assiste un cart dramatique encre un l'enseignement d'une poque rvolue et des enfantS surdous ou simplement dous pour vivre une poque nouvelle. Au lieu de les calmer avec des sdatifs, il serait prfrable de leur proposer de suggrer des rformes cr leur donner les moyens d'en esquisser les modalits de ralisation.

    RGRESSIONS DANS LES VIES ANTRIEURES

    Nous ne nous souvenons gnralement pas de nos vies antrieures par protection de la partie spirituelle de notre esprit.

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  • Tant de souvenirs de nos morts er de nos souffrances antrieures seraient rrop difficiles supporter er risqueraient de nous empcher de vivre. La recherche des vies anrrieures peur rrc douloureuse. Pour cerre raison, il n'esc pas recommand de s'y livrer seul, mais accompagn d'une personne entrane qui peur vous aider ne pas vous laisser happer inutilement par des souvenirs trop durs. Il existe aujourd'hui de nombreux hypnotiseurs, magntiseurs ou radiesthsistes qui pratiquent ce type de rgression dans une optique thrapeutique visant dbusquer et neutraliser des traumatismes ayant pris racine dans un pass karmique loinrain. Dans ce registre, il sera vident d'tre l'coute de son ressenti er de son intuition quant au choix du praticien afin que celui-ci puisse vous apporter les informations recherches avec roure l'thique cr la conscience professionnelle voulues.

    li existe plusieurs mthodes, dont celle du docteur TAL ScHALLER que nous reproduisons en fin d'ouvrage (Annexe 1). Le canevas utilis par ce mdecin pour accompagner les patients dans les vies anrrieures permet d'encrer dans un rar de conscience modifie er de rsoudre des problmes rcsrs en suspens.

    EXEMPLES DE RGRESSION '

    DANS DES VIES ANTERIEURES

    Cerre femme avait la hanrise du feu sans savoir exacremenr pourquoi. Ainsi, elle avait peur d'allumer le feu dans sa chemine. Curieusemenr plusieurs objets de sa maison ayant rapport au feu raient chargs en nergies ngarives. Il lui fur demand

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  • de se relaxer er de retourner dans la vie anrrieure qui avait cr cene peur. La scne se dessina dans un dcor du Moyen ge. Elle se vir brle sur le bcher de I'INQUISITJON comme sorcire : il y avair des Aammes parrout et des cris.

    Il lui fur propos de modifier le scnario et d'imaginer qu'elle tait dlivre par un homme cheval. Elle opra cene dcrarion plusieurs reprises. La peur du feu disparur. Les objers chargs ngativemenr basculrent vers des nergies positives. Nous verrons par la suite que les phobies prennent souvent racine dans des traumas de vies passes.

    Dans son livre 10ttS avez vcu tant de vies, TAL ScHALLER cite cet aurre exemple d'un petit garon qui avait peur de dormir la fentre ouverte.

    Je lui mis tm peu de musique douce et je ris avec lui. Puis, je lui pris la main et lui demandais de fermer Les yeux, de respirer, tout simplement, de sentir que sa maman tait !lt, que j'allais l'endormir en Le berant avec ma voix et qu'il n'y avait pas s'inquiter du tout.

    - Gwenal pourquoi as-tu peur Le soir dans ta chambre ? Pourquoi veux-tu teLlement qu'on ferme la fentre? - C'est comme a maman ! j'ai peur que ... de toute faon, a va te paratre bte. - Mais non, Gwenal, raconte toujours, j'ai envie de srwoil: Et puis ttt sais bien que c'est pour rire. - Bon d'accord, si c'est pour rire. Oui, tu vois maman, j'ai peur que des bandits viennent par la fentre m'attaquer et m'assassiner. De toute faon, je te l'ai dj dit il y a longtemps.

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  • -Ah oui! 7i4 ns peur qu'ils viennent par la fentre. Et pourquoi pns par la porte ? -Non, c'est par la fentre. j'ai peur quls tirent par la fentre. -Ah oui! Mais pour quelk raison ces bandits voudraient-ils t'as-snssiner ? -Parce que je les ai mis en prison. Tu comprends. Parce que j'ai mis leur chef en prison. Parce que je les ai presque tous attraps et

    je les ai tous mis en prison. -Ah oui? -Et puis ils ont essay de librer leur che/Justement. Et quelques-uns de leurs compagnons at4Ssi. Dans la bataille, j'ai russi en tuer quelques-uns. je ne voulais pns le foire, mais j'ai t oblig. C'est pour a que maintenant j'ai peur. -Ah oui ? Et qu'est-ce q1ti risque d'arriver? -Eh bien ! Ils vont revenir, maman. -Pourquoi vont-ils revenir? -Mais pour se venger. Ils sont trs en co/J:re. -Comment crois-tu qu'ils puissent se venger? Comment vois-tu cela ? - C'est simple tien ! Ils vont me tirer dessus par la fentre. -Ah oui ? 7i4 crois a ? Mais que peux-tu foire pour que a n'arrive pns ? -Arrte, maman ! Arrte de me prendre pour un imbcile, tu sais bien qu'on est en train de jouer puisque ce n'est qu'une l'histoire. -Oui, c'est vrai, Gwena4 mais nOI4S pouvons quand mme conti nuer le jeu. Alors, disom que maintmant on a racont un film. D'accord? Et puis disom qu'on a envie de changer ce film. La fin ne re plat pns. Qu'est-ce que tu forais pour que la fin puisse tre plus jolie et te fnsse moim peur ? -Eh bien, je les appellerais. -Alors, appelle-les. Est-ce que ttt les vois ?

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  • -Oui, oui, je les vois, ils sont tous l. -Ils som plusieurs ? -Mais oui ils sont plusieurs, je te l'ai dj dit ! -Alors, tu les vois, tu les regardes bien dans les yeux. Dis-leur ce que ttt penses maintenant. -Eh bien ! j'ai envie de leur dire que je n'avais pas envie de leur foire du mal, je n'avais pas envie de les mettre en prison, je n'avais pas envie que les choses se passent comme a. -Oui, mais il ne fout pas me le dire moi, il fout que ttt t'imagines en train de leur dire eux. Est-ce que a y est ? -Oui, oui. -Est-ce qu'ils comprennent? -Oui, oui. -Alors maintenant ont-ils l'air contents ou fchs ? - Bah, ils ont l'air fchs. -Alors, explique-leur mieux ! Avec ton cur ! - a y est, je leur dis que je regrette d'avoir fait a, j'aurais voulu trouver une solution meilleure qui arrange tout le monde, j'ai t oblig de foire comme a, parce que j'ai eu la sensation que je n'tais pas bien compris que je n'tais pas entendu. -Est-ce qu'ils ont l'air coment maimenant? -Oui. -Alors, tu imagines maintenant qu'ils vont partir vers les toiles. Est-ce que m peux essayer de les envqyer vers les toiles ? -Oui maman, c'est un jeu. Pourquoi veux-tu qu'ils aillent vers les toiles? -justement comme a, juste pour voir. -Alors d'accord - 1illeur dis que tu les aimes, parce que tu !.es aimes, n'est-ce pas? -Oui, c'est vrai, maman, je les aime.

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  • -Alors, fois-les partir. -D'accord -Ils partent? - Oui, oui! Hop ! Ils ont disparu. -Bravo, Gwenal! T sais que tu ferais un trs bon metteur en sc-ne. Oui vraiment, jaime beaucoup ce que tu as foit tottt l'heure. j'adore cette histoire, Gwenal! Vraiment, tu tkvrais l'crire. -]ai sommeil, maman. -Alors, tu sais, ttl peux dormir, je te transporterai dans ton lit

    avec beaucoup de baisers. Je t'aime mon petit chri.

    Depuis ce rve veill dirig, le petit garon n'a plus jamais eu peur des fentres ouvertes.

    En thrapie, la rgression dans une vie antrieure s'impose lorsque le mal-rre du patient rsiste rous les traitements. En radiesthsie, dans la procdure du check-up psycho-bio nergtique*, le pendule indique cla.iremenr si la cause des perturbations se trouve dans la vie antrieure ou ailleurs.

    LES PHOBIES

    Les phobies, que l'on prsente gnralement comme des maladies, sont en fair des traumas que l'on peur vaincre en rravaillant sur le stress. Les peurs s'affrontent. Il ne sert rien de s'en cacher ou de chercher s'en protger. Cene approche dcoule du filigrane apport par les contes er lgendes qui apprennent aux enfants les combats livrer pour surmonter les obstacles qui surgissent sur leur roure er leur permet de devenir eux-mmes. La mdicalisation outrance dresponsabilise les individus. Les

    'C/,ulr.r1p pi)YIJO-/JD lnny,lriqut' 1111 poululd.itions Scrvranx. 2006. Bruxelles.

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  • phobies prennenr gnralement racine dans un traumatisme li une vie anrrieure et leurs dclencheurs peuvem tre multiples : une odeur, une siruation particulire, un objet, une foule, un espace clos, etc. Elles peuvenr s'estomper avec l'ge, mais tour aussi bien perdurer. Les gors particuliers pour certains rypes de nourriture onr galemenr voir avec un pass karmique. Les rincarnations ayanr perdu une vie prcdenre par noyade om gnra.lemem peur de l'eau. Celles quj om t brles om peur du feu. Les individus qui souffrent de claustrophobie onr gnralemenr t enterrs vivanrs ou bien onr pri sous les dcombres d'un uemblemem de rerre.

    De trs nombreux traits de caractre proviennent d'une ou plusieurs incarnations prcdentes. Au sein d'une mme famille, cela est parfois parriculiremenr frappam au niveau du consrat de diffrences de caractre dans la fratrie. Peu de parents comprennenr cela et souffrent inutilemem des originalits de leur progniture.

    \-0s enfants ne sont pas vos enfants. Ils sont les fils et les filles tle l'appel tle la vie elle-mme. Ils viennent travers vous, mais non tle vous. Et, bien qu'ils soient avec vous, ils ne vou.r appartiennent pas.

    Le prophte, I

  • travail psychologique par une sorre de cicatrisation sur le plan subtil.

    LA SENSATION ou DJ vu

    "Apprendre, c'est se ressouvenir, disait Platon. Qui n'a pas prouv dans son existence cette curieuse impression de quelque chose de connu dans l'inconnu ? Dans les rencontres avec de nouvelles personnes, l'impression que d'emble quelque chose passe ou au contraire ne passe pas induit la sensation d'une prexistence ou d'une connaissance directe. Lors de voyages l'tranger, de nouveaux paysages, de nouvelles contres, paraissent soudain tre reconnus.

    Voici deux exemples.

    Deux vieux amis qui ne s'raient pas vus depuis trs longtemps se croisent dans une gare et tombent dans les bras l'un de l'autre. Puis ils parlenr ensemble cr ralisent avec stupfaction ... qu'ils ne s'raient jamais rencontrs auparavant ! Que l'un se trompe passe encore, mais deux en mme temps au point de se jcrer dans les bras de l'autre est pour le moins surprenant!

    Que penser de cc jeune homme, visitant un chteau cathare, qui s'est mis spontanment chantonner une chanson inconnue de lui ct qui plus fort, dans une langue qu'il n'avait jamais apprise ? Une fois sorrie de l'enceinte du lieu, cette mmoire disparut ct ne revint plus jamais ! Parfois dans la rue un visage parat si familier qu'il faur presque faire un effort pour ne pas aller vers lui. Les rves n'chappent pas au phnomne cr nous

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  • livrent parfois des paysages et des villes parfaiment reconnus dans lesquels nous ne nous sommes pounam jamais avemurs. Dans cenains milieux religieux, notamment che-z: les pentectistes, des personnes se mettent parler en langue, c'est--dire communiquer dans des dialectes non appris.

    Le temps parat, dans certaines circonstances, perdre de sa linarit er dcouper l'espace-temps la manire du clbre anneau de MBIUS, qui ne comporte, on le sait, qu'une seule face et qu'un seul ct.

    LART DES CENDRES

    Une exprience fort intressante illustre de manire analogique et quelque peu symbolique le phnomne de la rincarnation. Il s'agit de l'arr des cendres. Les cendres, chacun le sait, sont grises. En brC.lam des vgtaux, chacun a pu s'en rendre compte. Pourtant, en les insrant dans l'mail des poteries, on obtient, aprs cuisson, l'apparition de magnifiques couleurs ! Ces teintes dpendenr de la nature des vgtaux, de la saison de leur cueillette, er enfin du moment o ils ont t incinrs. Cerces, ces expriences ne prouvent rien, mais induisent de manire

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  • impressionnanre cerre norion de roue de l'existence karmique avec mon er renaissance. Ces expriences onr t menes par le frre DANIEL de la communaur de Thse qu'il relate dans un livre inriml L'Art des cendres.

    Une autre exprience permet de produire un retour l'origine inrressanr. Elle consisre disposer de deux bocaux e n verre qui s'embotenr l'un dans l'aurre de manire laisser un inrersricc emre la surface inrrieure de l'un er la surface extrieure de l'autre. On remplir de glycrine le grand bocal er on y verse quelques gouttes d'encre. On rourne le bocal central dans le sens des aiguilles d'une monrre. !.:encre sc disperse progressivemenr dans le liquide. En assurant une rotation du bocal cenrral en sens inverse, l'encre reprend sa forme originale. Une aurre exprience amusante consiste introduire une perturbation dans une image numrise. Lorsque l'on inrroduir un riremenr-repliemenr plusieurs reprises, l'image commence se brouiller, puis devienr uniforme, mais la 139' opration de brouillage, l'image originale commence rapparatre !

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  • LES SIGNES DE L'APRS

    Nous venons de parler des signes suscepribles de nous fournir des indices sur l'exisnce d'tme vie avant la vie. Nous allons prsent examiner les signes dont nous disposons au niveau de l'aprs-vie, c'est--dire dans ce que l'on appelle gnralement la mort. La langue des oiseaux nous en donne un premier semblant d'explication : L'me hors - la mort ... La mort est ce qui jecte l'me hors du corps de chair. Si l'me se trouve hors du corps physique, elle est forcment quelque parr ! Il devrait donc tre possible de pouvoir communiquer avec elle. Alors comment ?

    LE SPIRITISME

    Le spiritisme est l'une des voies permerranr d'tablir un contact avec l'au-del. La sance de spiritisme commence par cerre traditionnelle question : Esprit, es-ru l ? En fair, le spiritisme provoque une communication encre deux mondes. I..:me dsincarne s'exprime uavers le mdium grce routes sortes de rechniques: criture auromatique, tables rournanres, channeling, etc. Cerre pratique existe depuis la nuit des temps (avec les chamans notamment) er fur trs en vogue la fin du XIX' sicle o

    Jc:u de m ot5 de 1-l. l angue des oi.sc:aux prop re i l:a l a ngue fr J.n i.se !

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  • elle trouva un engouemenr trs particulier dans les salons parisiens. ALLAN KARDEC est considr comme le pre du spiritisme en France, de son vrai nom rair HIPPOLYTE LON DENJZARD RJvAJL. Son pseudonyme provienr de communications mdiumniques. Ces deux noms ALLAN er i
  • la nature des esprits. Le lien ou prisprit qui unit le corps et L'esprit est une sorte d'envewppe semi-matrielle. La mort est la destruction de l'enveloppe la plus grossire ; l'esprit comerve la seconde, qui constitlle pour lui un corps thr, invisible pour nous dans ltat normal, mais qu'il peut rendre accidentellement visible et mme tangible! comme cela a lieu dans le phnomne des apparitiom.

    Livre des esprits-ALlAN I

  • TRANSCOMMUNICATION AUDIO

    Il s'agit d'enregistrements provenam de sources non matrielles. En laissant un appareil d'enregistrement audio en marche dans une pice vide, voire dans un endroit en plein air, il est possible d'enregistrer des sons er des voix en provenance d'un monde inconnu. La procdure consiste laisser l'enregistrement filer vide en maintenant le volume au minimum pour viter les interfrences avec des bruits ambiants. Une fois la dure voulue enregistre, on coute la piste en montant le volume au maximum. Gnralement, on repasse l'enregistrement plusieurs fois en lui accordant route son anention : vous entendrez peurtre quelque chose de stupfiant. Rappelez-vous, quoi qu'il en soir, que la patience constitue la meiUeure arme du chercheur srieux. Si vous souhaitez vous lancer dans des expriences plus labores, branchez un enregistreur sur une radio. Dix ou douze minutes suffisent, selon les experts, pour obrcnir des sons qui ncessiteront ensuire quelques heures d'analyse er d'interprtanon.

    Mais voici tour d'abord le rcit de deux expriences fortuites clbres.

    Le 17 septembre 1952, deux physiciens du laboratoire de physique exprimentale de l'universit catholique de Milan, k pre CEMELU et le pre PELLEGRINO ERNE171, travaillent l'aide d'un oscillographe sur des enregistrements de chants grgoriens : il s'agit d'obtenir un son plu.s pur. Les bandes magntiques sont d'une fragilit extrme. Le pre GEMELLI grommelle Aide-moi

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  • papa , invoquant son pre dcd, chaque fois que la bande se casse. Lorsque GEMELLI rcoute ln. bande pour vrifier sa rparation, il entend sa gmnde surprise ln. voix de son pre prononcer trs clairement: "Mais bien sr que je t'aide, je suis toujours avec toi! Il eut un choc et transpira beaucoup racontera plus tard ERNE77'1. Les deux hommes interrogent nouveau le mystrieux intrus: Mais oui, gros bent, bien str que c'est bien moi! En italien, gros bent se dit zuccone . . . le surnom qu'utilisait le pre de GEMELU pour appeler son fils! Les deux physiciens se rendirent au Vatican pour s'entretmir sur ce phnomne avec le pape PtE XI/. Le Saint-Pre leur dit alors : Rasmrez-vous, ceci semble relever du scientifique et non du spiritisme. L'enregistreur est un appareil objectif incapable d'tre suggestionn. Il ne peut capter que les vibrations sonores, quelles que soient leurs sources. Cette exprience pourra pmt-tre marquer le dibut de nouvelles tudes scientifiques pour confirmer ln. foi dans l'nu-del.

    FRIEDRICH }URGENSON, peintre et chantmr d'opra, enregistrait des cris d'oiseaux dans les environs de Stockholm. En rcoutant ln. bande, il entendit ln. voix d'tm homme lui parlant en norvgien. }URGENSON pense videmment que son magntophone a ptt capter une mission de radio extrieure. Mais le phiMmne se reproduit. Et quand il rcoute les bandes, il peroit des voix l'interpellant en allemand, des messages tranges et incohrents jusqu' l'appel insistant : " S'il te plat, attmds, coute-nous. Il entre en relation avec rm autre cherchmr, le Letton CONSTAN-71N RAuD/VIi (1909-1974), qui aurait dj dcouvert la mme possibilit de communiquer avec des trpasss et capt sur son magntophone pliiS de 70 000 voix.

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  • Il y a quelques annes de cela, j'ai moi-mme vcu un phnomne paranormal. Les circonsranccs en raienr les suivanres : sur la table de la salle vivre se trouvaient tales les photos de mes parenl:S que j'avais gares quelques annes auparavanr. J'tais en train de les montrer ma dame de cur de l'poque. Un CD de musique classique agrmentait notre aprs-midi. Tour coup la musique s'arrta et j'entendis deux voix paraissant venir d'une pice lointaine. Lintuition me dit que c'tait la voix de mes paren[S. Le phnomne se prolongea pendant une vingtaine de secondes, puis la musique reprit son droulement normal. la fin du morceau, j'ai tenu le repasser pour m'assurer qu'il n'y avait pas de dfut de gravure. Le disque tait parfait. Je vivais l'poque une priode fort rourmente et il est tout fait possible que mes parenrs eussenr eu envie d'enrrer en communication avec moi pour me rconforter ou me conseiller.

    On ne peur aborder la rranscommunicarion sans voquer le pre FRANOIS BRUNE :

    Des conversations mdiumniques sont des contacts avec des esprits, encore voisins de la Terre. L est le phnomne d'interpntration d'tm plan dans un aztre, mais cette zone est incommenmrablement loigne du royaume (de Dieu). Ces incursions d'un plan dans un autre deviendront par la suite aussi familires que L'aviation est devenue courante. Pourtant, ce n'est pas parce que les hommes se sont construit des ailes qu'ils sont devenus des anges, ni parce qu'ils atteignent de hautes altitudes qu'ils se rapprochent de Dieu. Vtms arriverez communiquer avec l'invisible, mais cet invisible est aussi loin de la Divinit que vous l'tes vous-mme d'une toile. Ces rservoirs d'esprits voisins de

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  • votre univers ont atteint tm degr suprieur au vtre, mais ne som encore qu' UJ. premire des marches qui conduisent au septime ciel. Un jour viendra o, scientifiquement, ce monde sera en reUJ.tion avec votre monde. Les tudes diriges vers ce pUJ.n ne peuvent en rien tre une profanation envers Le Divin, car Les rayons clestes ne pntrent gure plus en ces rgions que dans UJ. vtre.. . Un jour viendra o VOliS capterez Les vibrations de ce pUJ.n, com m e vous avez capt de l'lectricit, et elles vous seront perceptibles.

    MONIQUE SIMONET apporre galement une large contribution l'tude de la transcommunication audio. Voici son tmoignage. En 1979, elle se trouvait alors Montpellier, chez sa mre. Son pre tait dcd depuis plus de trois ans. En feuilletant une revue, elle rom be sur un article relarant ces enregisuements mystrieux de l'autre monde.

    j'en parle ma mre, qui se souvient avoir Lu cette revue, mais sans y prter attention. Tu sais, ajoute-t-elle, il n'y a peuttre mme pas la moiti de vrai dam ces affirmations . . . Cependant, pourquoi ne pas essayer ?

    Aussitt dit, aussitt fait. Une cassette vierge est introduite dans Le petit appareiL Bientt midi. C'est l'heure du djeuner, dont ma mre temline UJ. prparation. je m'approche du magntophone et j'appuie sur UJ. touche d'enregistrement : L'enregistrement com mence.

    - Tu fois Le caf, maman ? - Oui, je fois Le caf. - Papa, tu aim erais boire une tasse de caf ? - Tu aimerais ? . . .

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  • - En tout cas, Monique, si papa nous entend, il t:Wit se rappeler qu'il L'aimait bien, son caf ! . . . Et la conversation continue quelques instants sur ce ton . . . IL est prsent midi. Avant de passer table, il faut que j'coutl! ce premier enregistrement. Nous allons nous asseoir toutes deux prs de l'apparei4 je rebobine la bande magntique et nous commenons l'coute . . .

    C'est immdiat, fulgurant, renversant. .. Comment dicrire cela, ce que nous ressentons ? . . . Le cur nous bat trs vite ; nous avons soutlain trs chaud, et nous tremblons ; cette bande devient magique . . . La prsence est l, la riponse est l, la voix est l ! . . .

    - Papa, tu aimerais boire une tasse de caf ? - Ow! - 7it aimerais ? -OUI, TE DIS-jE ! . . .

    Cette voix masculine, l'intonation bien reconnaissable, mon Dieu, c'est celle de mon pre ! . .. Ma mre et moi ne sommes donc pas seuls dans la maison, bien que personne d'autre que nous deux n'y soit visible . . . Mon pre est l, nous venons d'en avoir la preuve ; cer appareil ne peur mentir, ce n'est qu'une machine. Ma mre pleure er n'ose y croire ; c'est trop beau .. . Aurions-nous rv ? Nous coutons de nouveau, deux fois, cinq fois, dix fois : le phnomne se rpte, identique . . .

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  • TRANSCOMMUNICATION VIDO

    La rranscommunication concerne galement le domaine de l'image. Le procd s'effectue par l'intermdiaire d'un simple camscope. On place la camra relie un magntoscope face un tlviseur. La connexion se fait par prise PRJTEL er non par la fiche antenne, ce qui vite le passage par le syntoniseur (tuner) er donc annule tout ventuel brouillage par des missions de tlvision. On mer le tlviseur en mode AV et on dirige la camra vers l'cran pour obtenir un effit nuage. Il est recommand de ne pas travailler dans l'obscurit, mais en lumire ambiante. Rduire la luminosit de la tl de 20 o/o, le contraste de 1 00 o/o, la couleur de 30 o/o. Vous pouvez coucher la camra 90 ce qui, dans certains cas, donne un X sur l'cran. C'est dans ces zones que se forment les images. Meme aussi l'objectif 45 er une distance de 50 centimtres de l'cran, et ce, en fonction de la raille de ce dernier. Avec un peu d'exprience et quelques essais, vous dcouvrirez des formes ou des visages. En aucun cas ces mthodes ne doivent servir de divercissemenr. Ces commun icarions peuvent tre obtenues par rous, mais l'important est de se mettre dans un tat d'esprit sain o la curiosit et l'amusement ne sont pas de mise. ll est important de garder un certain respect vis--vis de routes les techniques visant communiquer avec l'au-del, sans quoi vous pourriez rencontrer des esprits malfaisants. Les images obtenues sont parfois impressionnantes, bien que de qualit souvent mdiocre.

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  • LES SIGNES

    l:au-dcl nous envoie des signes que les personnes sensibles er observatrices ne manquent pas de constater : concidences troublantes, objets dplacs, rves, apparirions er mme des courriels. On a relat des cas de messages tlphoniques paraissant maner de personnes dcdes. Lorsque le destinataire cherche rappeler son correspondant, il s'aperoit que ce numro n'existe pas. Mais voici quelques tmoignages.

    Henri et Claudine, la cinquantaine, sont frre et sur. Tous tkux divor cs, ils vivent avec leur mre. Au cours du printemps de l'anne 1999, celk-ci est prise tk quintes de toux qui persistent malgr plusieurs traitements. On dcide de la foire examiner en milieu hospitalier. Une radiographie pulmonaire met en vidence de nombreuses taches dont les biopsies rvknt tm caractre malin. La mre ne vivra encore que quelques semaines. Environ zm an s'est coul. Henri rentre son domicik aprs sa journe de travaiL Son attention est attire par k palmier dam kur proprit . . . Le voil paifaitement taill. Il se fait cette r

    flexion : Tiem, Claudine ne m'a rien dit . . . son retour, sa sur lui apprend qu'elk n'a dcnn aucune comigne kur jardinier. Le kndemain Henri obtient k jardinier au tlphone et lui dit : Nous ne comprenons pas, car ni ma sur ni moi-mme ne VOtiS avons demand de tailler notre palmier. . . l'homme marqzte lm temps d'hsitation puis rpond : vvtre mre m'en a den n l'ordre par tlphone monsieur ! Ma mre ? . . . Mais maman est dicde depuis un an -' Interdit, l'interlocuteur ne voulut mme pas tre rgl pour son travail.

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  • Voici un autre tmoignage. Le rcit se situe deux semaines aprs le dcs, 46 ans (accident mdical), du mari de Gcaldine.

    Il tait environ 6 h 45 et j'tais veill depuis une bonne heure, wrrque je rmentis une impression trs forte : la prsence d'un tre dam ma chambre (la porte du couwir tait entrouverte et un peu de lumire pntrait dam la chambre). Cet tre tait debout, au pied de mon lit ; iL s'approcha et se pencha pour s'aLwnger mon ct. La premire pense qui me vint fot que cela lui serait impossible, car j'tais tout au bord et il ny avait pas de place prs tle moi ! L'tre s'aLwngea tout prs tle moi, comme si le Lit tait plus large qu'en ralit. Il me serra trs Jort je ressentis une joie ineffable tle ce que j'appelle une union d'mes ! Puis

    je vis ses traits, sa tte tait contre la mienne, nos chevet/.X se mlaient, je voyais les moindres dtails de son visage tout prs du mien et je reconnus mon mari . . . IL ne parla pas, mais par une sorte de transmission de pense, j'entendis sa voix dam ma tte. IL me donna ce message trs clair. j'avais L'impression que chaque mot tait important et qu'aucun terme n'tait superflu !

    je suis revenu pour te rasmrer ! j'ai t oblig de partir, je n'avais pas le choix ! Mon amour, ne t'inquite pas ; o que tu sois, je serai toujours prs tle toi, je ne t'abantknnerai jamais ! Prends ma force, je te la donne, c'est la force que j'avais ici-bas, elle passe en toi, je t'en fois don !

    ce moment, je sentis une chaleur intense passer dans ma main et remonter dans mon bras... La prsence se gomma et s'effaa avec une grande douceur ! Depuis le dbut de cet vnement, je tentais d'appeler ma fille qui se prparait dans la saLLe d'eau voisine. je n'avais qu'une ide, lui crier: Viens vite, papa

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  • est l ! Mais malgr tous mes efforts, aucun son ne sortait de ma gorge qui tait absolument paralyse comme s'il mtait interdit d'appeler ! Quelques secondes aprh la fin de cette apparition, ma gorge se dtnotta et je pus enfin appeler ! Aussitt, des larmes inondrent mon visage, tout la fois d'motion et de bonheur pour avoir eu la chance de connatre cet instant extraordinaire de communion et de bonheur.

    Il arrive que des couples paniculirement unis restent en comact la morr de l'un d'eux. Parfois ils se promernt de se donner des signes de part et d'autre de la frontire. Ce sont gnralemem des sensations de dplacement d'air, de lgers bruissements, des craquements et mme des apparitions furtives . La communication s'opre alors au-del des paroles . Quelque chose passe sans r.re dit, mais l'information est claire. Ains i, Marcel un homme au caracrre bien tremp se manifesta auprs de sa compagne Suzanne pour lui dire que rout allait bien, qu'il aidait les mes nouvellement arrives oprer le passage vers la lumire er que cela lui prenait beaucoup de temps er d'nergie. Marcel confia galement qu'il lui tait difficile de se manifester eUe, car cela ncessirait beaucoup d'efforts. Ce rype de message est assez frquem chez les tres qui se sonr beaucoup aims au sein d'une belle complicit d'me.

    LES DAMES BLANCHES

    Voici le cas d'une auto-stoppeuse fantme qui apparriem la famille des tkzmes blanches.

    Le scnario se droule toujours de la mme manire. Une auro-sroppeuse nocturne vtue d'une robe claire apparat rou-

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  • jours aux abords du mme abribus, sur la roure de Luc-sur-Mer, juste aprs le Centre hospitalier de Caen dans le Calvados. Le dernier rmoin l'avoir prise en charge l'a dcrire comme une jolie jeune femme d'une trentaine d'annes, sobrement habille de blanc er prtendant rentrer chez elle, Luc. Pendant le trajet de 14 km le long de cerre roure, la D7, elle conserve toujours le silence. C'est la rra verse de Mathieu que la jeune femme se montre fbrile. Puis, l'entre du Luc-sur-Mer, la jeune fille s'affole carrment : Faites attention ! Le virage est tratre. " Tous les tmoins dclarent avoir tent de la calmer. Au moment o le chauffeur, aprs avoir ngoci son virage, se tourne vers la passagre, il trouve immanquablement un sige vide. Cerre affaire, qui se renouvelle rgulirement selon le mme scnario, est localement trs connue. Il se trouve qu'une jeune femme fur victime en 1970 d'un accident morre! dans ce virage alors qu'elle revenait de Caen. Prs de trois cenrs cas similaires ont t recenss, principalement sur la faade atlantique !

    Certains rcirs s'accompagnent de preuves matrielles. En 1977, par une pluie battante, un tmoin prit en charge une jeune femme vrue de blanc er peu volubile apparaissant rgulirement sur la N90 Chapareillan. Elle dclara dsirer aller wur simplement chez ses parents. Arrive la haureur du pont aux Furets, elle monrra des signes d'agitation non dissimuls qui s'estomprent une fois la zone dangereuse dpasse, ce qui veur dire que notre heureux tmoin eut le privilge d'une apparition plus longue. Un peu plus loin, la voiture arrive haureur d'une maison que l'inconnue dclare tre celle de ses parents. Comme il tombe des cordes, notre tmoin, un mdecin, prte son parapluie l'aure-stoppeuse. La jeune femme prend l'objet

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  • puis s'loigne sous les yeux de l'automobiliste. Elle emre bien dans la maison en question, mais n'en ressort jamais. Croyant un oubli, notre tmoin rejoint la fameuse demeure pensant ainsi rcuprer son bien. Mais ce n'est pas une jeune femme qui lui ouvre, mais un couple de quinquagnaires ayam perdu leur fille unique dans un accident de moto, devi ne-t o . . . au pont du furet, bien entendu ! Effectivement, les pauvres gens, dont on imagine l'motion, confirment ds la description du mdecin qu'il s'agie bien de leur fille disparue . . .

    LES PHOTOS PARANORMALES

    I.:avnemem de la photo numrique a accentu considrablemene l'apparition des photographies dites paranormales. En cffer, les lectrons sont dors de facults d'intelligence ainsi qu'en anesce le physicien jEAN CHARON. li n'est donc pas tonnant que les lectrons, CHARON les appelle les ons, puissent capter des informations l'insu du photographe. Le physicien distingue quatre processus de communication des ons avec leur milieu environnant. !.:amour : communication entre eux par changes de spin. La rflexion : rangement des informations collectes par la loi de conservation des spins (inversion de deux spins opposs en mme temps, passage de spin + 1 + 2 pendant qu'un autre passe de -1 -2). La connaissance : facult de capter des informations du milieu extrieur. I.:acre : influencer le milieu dans lequel il se trouve (ce qui leur permet par exemple de construire une molcule ou mme plus simplement un acome). De nombreux effets ainsi obtenus se manifestent par la prsence sur les clichs de ronds clairs appels orbes. Ce sont des sphres d'nergie virale (prana) traduisant la prsence d'entits incelligences.

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  • Parfois elles se prsentent sous une forme angulaire. En lecture radiesthsique, sur l'chelle des nergies, on obtient des valeurs suprieures celles du resre de la phorographie. Des personnages n'ayant pourtant pas t prsents au moment de la prise de vue apparaissenr parfois sur les images. Pour s'assurer de l'authenticit du phnomne, la radiesthsie est d'un secours apprciable. !.:abaque ci-contre permet de diffrencier les nergies incarnes des nergies dsincarnes .

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    Le secreur de droite (+) indique les nergies incarnes, tandis que le secteur de gauche indique les nergies non incarnes (-). Ainsi, en pointant un srylet en bois sur le personnage analyser on peut se rendre compre de quel ct il se trouve. Le procd est infaiUible et permet de dmasquer les trucages.

    Nous reproduisons ci-aprs une srie de photographies paranormales particulirement remarquables, notamment celle de cette procession de l'au-del au monastre de OIEVEVO, phorographie considre comme une icne miraculeuse en RussiE.

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  • Dcde en avril 1975

    95 000 UB->

    Chiens dcds->

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    Photographie miraculeuse

    Dcde en avril 1975

    Dame il lu nenes

  • LES SIGNES DU PENDANT

    LES NOE

    Les progrs de la mdecine ont rendu possible le retour la vie de personnes se rrouvanr dans des situations critiques, lors d'accidents ou d'oprations chirurgicales. Ces personnes vivent ce qu'on appelle des NOE (Near Death Experience), en franais EMI, expriences de more imminente. Le docteur RAYMOND Mooov s'est rendu clbre en rcoltant un nombre important de tmoignages de personnes s'tant trouv aux frontires de la morr. Curieusement rous ces rcits se recoupent que.lques dtails prs. Un homme meurt er, tandis que ses forces physiques ne lui obissent plus, il entend le mdecin constater son dcs. Il entend alors un bruir semblable une sonnerie ou un bourdonnement er, en mme remps, il se sent emport rapidement travers un runnel obscur. Il s'aperoit alors qu'il a quitt son corps er qu'il se trouve dans la salle, d'o il peut contempler son propre corps distance, comme un spectateur. Il observe les renrarives de ranimation. Au bour d'un instant, il sc reprend er commence s'accoutumer sa nouvelle condition. Il s'aperoit qu'il possde un corps, mais que celui-ci est d'une nature bien trange. Il entend, voir, mais ne ressent pas la pesanreur, passe

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  • travers les objets et Aotte. Bientt d'autres tres arrivent sa rencontre. Bien souvent des amis ou des parents dcds. Puis, une entit spirituelle lumineuse er dgageant beaucoup de tendresse er d'amour - un tre de lumire - approche. Il formule une question, qui n'est pas parle, incitant l'individu effecruer le bilan de sa vie passe. Une vision panoramique de rous les vnements de la vie passe se projette rapidement comme un film en acclr. Le moment arrive o le dfunt aperoit une frontire, symbolisant apparemment le passage entre la vie er la morr. L, il comprend que l'heure de mourir n'est pas venue pour lui, et qu'il doit rintgrer son corps. Il rsiste, se trouvant dans un tat de bonheur rare, mais rintgre son corps, er revient la vie. li esc remarquable de constater que rouees les personnes ayant vcu ce type d'exprience se trouvent compltement mtamorphoses. Leur regard sur l'existence terrestre se transforme. Ces personnes n'ont plus peur de la more et vivent une existence spiritualise.

    Sous le ricrej'ai visit les cieux, des journaux russes ont publi une information encore plus surprenante. U s'agie d'un vnement arriv au dnomm Borus PlLIPCHOUK, lieurenant milicien, dans une bourgade de la rgion de Chmelnitz (Ukraine). La more le surprit en pleine activit. Le diagnostic des mdecins faisait car d'une hmorragie crbrale ayanr atreinr 95 % du

    '

    cerveau. A la mort clinique du lieurenant, les mdecins poursui-virent leurs efforts pour le ramener la vie pendant une bonne demi-heure. Malheureusement, cela ne servir rien. Boris tait allong sous un linceul, plus exactement son corps raie allong de la soree, car il avait l'impression d'tre en dehors de son enveloppe charnelle. Il se voyait d'en haur, son corps entour de

  • plusieurs mdecins qui essayaient de le ranimer l'aide de diffrents appareils.

    J'ai eu l'impression de m'loigner et de monter de pl11S en plus haut. Le vent me sifflait dans les oreilles. j'tais dans tm endroit rempli de clart. Je me sentais trs bien. j'aper-IIS un escalier en or qui paraissait trs lumineux etmr les marches desquelles se tenaient beaucoup d'anges. Deux d'entre eux se dtachrent du groupe et se mirent derrire moi ma droite et ma gauche. j'avais l'impression de voir mr 360 autour de moi. je ne me demandais pas o je me trouvais ni ce qui allait m'arriver. Je me sentais trs sr de moi.

    Je me transportai sur une clairire trs vaste dans laquelle couraient des chevaux de grande beaut. Au milim de cette clairire se dressait une grande ville en forme de cube. [Qrsque je l'aperf'IIS, je me mis me rapprocher du cube. Au cours de mon dplacement, mes pieds ne touchaient pas I.e sol. j'ava is l'impression de glisser. La ville tait constitue de murs orns de pierres prcimses. Mon merveillement grandissait au jr et memre que je prenais conscience que toute la ville, les maisons, les mes, les portes taient en or et d'un clat translucide. je n'avais jamais vu auparavant une telle luminosit. Je ne pouvais pas m'imaginer qu'un mtal dur pouvait tre dhme telle transparence limpide. je ne demandais pas aux anges o je devais aller, car j'avais tout fait l'impression d'tre chez moi. En me rapprochant du centre, j'aperf'IIS un grand arbre couvert de fruits en forme de poire dont la dimension avoisinait celle d'une bote de conserve d'un litre. je m'approchai de la fort et j'eliS envie de cueillir un fruit. je tendis la main et fut merveilli par le fait qu'elle tait transparente. jtais prt cueillir les fruits, mais l'ange qui se trouvait derrire moi s'interposa. Dim geste, il me fit comprendre qu'il ne fol/ait pas I.e foire. Lorsque j'atteignis le

    4)

  • centre de la ville, j'aperus une cascade de Lumire. Elle tait tellement agrable que mon merveillement grandissait vue d'iL Il m'est difficile de trouver les mots pour traduire le sentiment qui m'animait a/on. Lonque j'aperus le centre de cette cascade de lumire, j'prouvais le besoin de me mettre genoux, mais les anges qui se trouvaient derrire moi me maintinrent debout et j'entendis une voix : Mon fils, ce que je t'ai montr est mffoant. Tit dois

    ' , . . a present revemr en amere et transmettre ce que tu as vu et en-tendu. j'ai compris que c'tait Dieu qui me parlait et je me mis le supplier de m'autoriser rester. Ii rpondit: Tit as une femme et trois enfants. Tu dois retourner ven eux parce que le temps n'est

    . ; . . . pas arrwe encore pour toz pour rester zcz. En un clin d'i je me sentis projet dans l'espace. j'aperw

    la Terre et t'hpital. En me rapprochant, j'ai pu assister la scne suivante. Des brancardien poussaient un chariot sur lequel gisait un corps inanim. J'aperus ma ftmme en pleun qui marchait ct et je compris que c'tait moi que l'on transportait. L'un des brancardiers essayait de la consoler et voulait t'empcher d'entrer dans le local qui se trouvait derrire zme porte en for ven lequel on emmenait mon corps. Lorsque je vis tout cela, je ressentis une secousse qui me fit rentrer brttsquement dans mon corps. Au mme moment, je ressentis une force norme qui branla la porte double battant et la fit sortir de ses gonds. En tombant, les battants jectrent le chariot de la morgue. Aprs cela, la partie suprieure de mon corps se releva, faisant glisser le drap. Le brancardier et l'infirmire tombrent la renverse dans un tat proche de la syncope. Au mme moment, une autre infirmire entra dans la salle et, me voyant assis sur le chariot, perdit connaissance. La mme force contribua mettre le chariot la verticale, ce qui me permit de me mettre debout. je voulus

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  • marcher, mais je n'en Jus pas capable. Mon corps ne m'obissait pas. }'entendais des voix autour de moi, mais elles me paraissaient trangres. j'avais l'impression d'un son semblable celui d'un magntophone fonctionnant au ralenti. Awrs, je me suis mis prier pour avoir la force de marcher. j'avais L'impression que mes cheveux s'taient dtachs de ma tte et que des milliers d'pingles peraient mon front. je me dirigeais vers le bureau des mdecins. Sur mon chemin Les infirmiers poussaient des cris d'ef

    froi, d'autres s'enfoyaient. Ma femme me rattrapa et me couvrit d'un drap. j'ouvris la porte du bureau de garde. Par la suite, j'appris qu'elle avait t forme tbJub/.e tour et barricade par une am10ire, ce qui ne m'empcha pas de L'ouvrir facilement ! Certains mdecins partirent en courant, L'tm d'eux s'vanouit, d'autres se rfugirent au fond de la pice et me crirent : Q;1i es-tu, qu'est-ce que tu nous veux ? Laisse-now en paix ! j'essayais de Les tranquilliser en Leur demandant des habits. Au vu de Leur effroi, je compris qu'il ne servait rien de leur expliquer que j'tais resswcit. De toute manire, ils ne m'auraient pas compris. je leur demandais simplement qu'ils me restituent mes vtements afin que je puisse rentrer chez moi.

    Le retour la vie de Borus PrLIPCHUK suscita bien entendu beaucoup de remous. Sa femme, pendant longtemps, eut peur de dormir ct d'un mort ressuscit, et mme de le coucher. Sur le plan mdical, Boris fut reconnu apte la reprise de son travail. Il le reprit, mais assez rapidement donna sa dmission. Son caractre changea. Il cessa de fumer et de boire. La rumeur de ce fait divers extraordinaire se rpandit travers tOute la Russie et mme jusqu'en Amrique.

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  • VoYAGE DANS L'ASTRAL

    Le corps physique est reli aux corps subtils par une corde d'argent, sorre de cordon ombilical subtil situ entre les omoplates. la mort, cette corde se rompt. Les expriences de sorties du corps sont nombreuses er beaucoup de personnes les pratiquent volontairement ou involontairement. Nous sortons tous hors de notre corps chaque fois que nous dormons. Mais nous n'en sommes pas conscients et n'en gardons aucun souvenir. Certains d'entre nous cependant se souviennent d'une unique exprience o ils se sont retrouvs accidentellement en dehors de leur corps et pleinement conscients du fait. Mais ils ne savent pas comment ni pourquoi le phnomne s'est produit. li esr trs facile de se diriger dans l'astral, il suffit de dsirer aller dans un endroit et vous y tes immdiaremenr. Il n'y a plus de murs, plus d'obstacles, tout y est Auide, mouvant, on s'y sent bien, en scurit, er c'est l qu'il faut faire trs attention, car des dangers divers peuvent survenir. C'est si agrable d'aller du sous-sol au dernier tage en passant travers planchers et plafonds sans prendre l'escalier ou l'ascenseur. On n'en a nul besoin ! Seul le dsir compte, il suffit de penser, de vouloir.

    Dans le corps physique, nous avons un champ de vision de 220 : nous pouvons seulement voir en face de nous, mais pas derrire, au-dessus er en dessous en mme temps. Avec le corps astral, nous avons un champ de vision de 360 et pouvons voir de tous les cts la fois, c'est une vision sphrique. Les meilleures techniques pour provoquer le ddoublement som celles qui reposent uniquement sur la dtente du corps et la matrise de

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  • l'csprir. Mme si cela parat trs compliqu la seule lecture des conditions ncessaires, il n'en est rien. La drcnrc du corps s'obcicnr aisment par l'coute de ce nains enregisuemenrs spciaux qui induisent un tat alpha puis thta au niveau des rythmes crbraux.

    Des chercheurs er exprimentateurs srieux, comme le fut ROBERT MONROE, ont apport une rponse claire cr prcise cerre question. Il se pencha sur la condition qui lui permettait de sortir de son corps (un son trs bas) cr voulut l'automatiser ; il ne dcouvrit rien de plus que ce qu'il savait dj sur les frquences du cerveau :

    ondes bta (entre 1 6 e r 12 Herr-.:) en situation rveille, ondes alpha (entre 1 2 er 7 Hz) en relaxaon, ondes thta (entre 7 er 4 Hz) juste avanr le sommeil, ondes delta (en dessous de 3.5 Hz) sommeil.

    Les expriences lui prouvrent que sa conscience restait veille alors que son corps tait dans un profond sommeil. Il ne lui restait plus qu' trouver comment endormir le corps sans endormir l'esprir. Il russit ! Il avait donc mis au point une machine qui permettait le voyage astral en cnvoyanr des sons er des frquences propres au cerveau. JI breveta sa machine sous le nom de HEMI-SYNC er l'essaya sur une quarantaine de personnes en 1977. Le succs dpassa rou res ses esprances cr l'appareil finit par sc rpandre un peu parrout, mme dans l'arme amricaine (qui ne l'utilisait pas pour le voyage astral, mais pour relaxer les soldats afin d'obtenir de meilleures performances l'entranement). En envoyant dans chaque oreille un si-

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  • gnal sonore de frquence diffrente, le procd HEMI-SYNc cre un troisime son correspondanr la diffrence entre les deux premiers. Il contrainr ensuite, par le phnomne de rsonance et d'harmonisation bien connu des physiciens, l'ensemble du cerveau calquer son propre rythme frquentiel sur la rsultante perue. On possde ainsi un outil susceptible de guider le sujet vers un type d'activit crbrale prdrermin. Le procd HMI-SYNC, s'il ne peut tre considr comme un moyen capable de gnrer volont l'exprience hors du corps permit en revanche un nombre croissant de personnes venues suivre les programmes organiss par l'institut d'avoir accs des dimensions rserves d'ordinaire aux personnes pratiquant assidmenr la mditation.

    Depuis 1981, plus de 8000 personnes se sont succd dans son centre : des mdecins, des ingnieurs, des journalistes . . . Tous en revenaient crs branls. Beaucoup de gens onc vcu des choses incroyables dans l'astral. Il en ressort de ces expriences que chacun peroit ses guides sa Faon. Voici par exemple le tmoignage d'une assistante sociale qui a rencontr un bonhomme vert.

    je bavarde avec mon bonhomme vert et j'ai compris pourquoi il avait cette robe verte. Il m'a dit qu'iL n'en avait pas besoin ! mais qu'ilia fol/ait, pour moi, afin que je sois plttS l'aise avec lui.

    Il y a plein d'autres tmoignages, mais on constate que l'apparence des anges dpend de la culture des gens. Certains vont voir les entits avec des ailes, car dans leur inconscient les an-

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  • ges one des ailes, d'aurres vont jusre voir une lumire, d'autres vont les voir d'une certaine couleur ou d'une certaine faon. On constare donc que la culrure joue un grand rle. C'est pour cela qu'il est strile de penser qu'il n'y a qu'une unique voie ou religion pour s'panouir ou arriver la vrit (vrit toute relative d'ailleurs). I:nergie et les entits sone universelles, mais l'homme ne peur s'empcher d'y coller les tiquettes qu'il trouve dans sa culture.

    Voici un rcit instructif alors que MoNROE est au dbut d'une sortie du corps et se heurte quelque chose d'insolite.

    je regardais de plus prs. Quelque chose cJchait. Ce mur n'avait pas de fentres, aucun meuble n'y tait appuy, aucune porte ne s'y ouvrait. Ce n'tait pas un mur de ma chambre. Pourtant, il m'tait familier. je l'identifie aussitt. Il ne s'agissait pas d'un mur, mais du plafond. je flottais prs du plafond, le cognant lgrement chaque mouvement. je roulais dans l'air et sidr ! regardais vers le bas. Au-dessous de moi, dans l'obscurit, j'aperus le lit. Deux personnes y reposaient. droite, je distinguais ma ftmme. ses cts un homme. Tous deux taient endor.mis. Quel trange rve ! j'tais intrigu. Quel tait cet homme que j'imaginais alwng at/X cts de ma ftmme ? je l'observais plus attentivement et le choc jt brutaL L'homme n'tait autre que moi!

    !.:exprience est effectivemene tonnante.

    Voici prsene le rcit d'une autre exprience. Le professeur GERHARDI rve qu'il s'est bris une dene. Lorsqu'il rente de l'ar-

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  • racher, eUe se dtache facilement, comme un long bonbon de caramel collant.

    j'tais veill ! dit-il, je Le savais, car j'tais persuad que je rvais de cette dent. Par consquent, bien que rvant t011jours,

    je n'avais qu' me rveiller pour m'assure1 que ma dent allait bim. Alors, rveille-toi, me dis-je, et vois que la chirurgie n'est pas ncessaire. Je m'veillai, mais en sursaut: j'avais tendu la main pour presser le bouton de la lampe au-dessus de mon Lit, mais je ne trouvais que Le vide, et j'tais suspendu dans L'air, hautmr de la bibliothque. La chambre, except la lueur venant du pole lectrique, tait sombre, am que tout autour de moi baignait dans une Lumire laiteuse et translucide. j'tais ce moment-IJJ pleinement rveill et tellement conscient que je ne pouvais douter de mes sens. tonn, je me dis : Imagine donc a. Et ce n'est pas un rve ! La suspension dans l'air ne dura que quelques minutes, pendant laque/Le je me sentis comme retemt par un bras de for. Ensuite, je filS dplac horiZQntalement, puis remis sur pieds et pouss gentiment comme si on me disait : Maintenant, c'est toi d'avancer. je me tins l, toujours le mme, vivant, mais moins stable, comme si je dfiais la gravit. Si l'univers entier stait uni pour me dire que c'tait un rve, je n'a1erais pas t convaincu . . . j'approchai de la porte ; je touchai la poigne, mais je ne pus L'actionner. Au moment o elle accepta de tou mer, je me rendis compte d'un trange appendice : derrire moi se trouvait un fil de Lumire (Le cordon d'argent}. Ce cordon de lumire clairait L'oreiller, comme s'il tait attach la tte du dom1mr. Qui aurait cru que j'avais un corps de rechange ? Mais je ntais pas mort : mon corps physique dormait paisiblement, alors que jtais apparemment sur mes pieds et aussi solide

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  • qu'avant. Pourtant, ce n'tait pas mon moi habituel. Au mme instant, je fus pouss vers l'avant. La porte me traversa. Ou fut ce moi qui la traversai ?

    je me retrouvai dans le corridor qui tait sombre, mais o. luisait une douce lumire qui semblait maner de mon propre corps, puis je pntrai dans la salle de bain, et l encore je fus incapable de manipuler l'intermpteur. Il y avait toujours cet trange ruban de lumire entre mon corps subtil et l'autre, comme un cordon ombilical qui permet au corps endormi de respirer. Je semblais patauger dans une mer instable. Mais, me suis-je dit, t11 do is tre certain que tout a est rel, de telle sorte que plm tard rien ne puisu te foire croire que c'tait un rve. je me parlais tout en accumulant touus sortes d'images : la fentre ouverte, Le rideau tir, une nouvelLe serviette de bain. je n'eus pas l'ide de me regarder attentivement dans le miroir, mais j'y remarquai un contour de moi qui tait familier. ( . . .} Puis, je notai l'heure :je ne trouvai rien d'autre comme preuve pouvant me convaincre plus tard. [. . . }je me suis soudain pouss hors de la fentre, dans L'espace. je craignis que le fil de lumire ne se brist. Mais mon corps subtil obit et retouma au-dessttS du corps qui sommeillait . . . je ne voulus pas le rint grer, je voulais chercher d'autres preuves. Je dcidai d'aller visiter mon ami MAX FtSIIE Hastings. je volais, mais je me mis soudain douter, de sorte que je revins aussitt. je sais que c'est possible , me suis-je dit. Et de nouveau, je me mis voler telfemellt vite que ma comcience diminua. Soudain, je me rveillai dans mon lit. Aucun dtail ne m'avait chapp de toute L'exprience. je me levai pour vrifier tout ce que j'avais remarqu : tout y tait.

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  • Mais voici la description d'une aurre exprience de MONROE particuliremenr inrressante au niveau des passerelles qu'elle tablir enue les corps physique er asrral.

    je m'allcngeai dans ma chambre vers 15 hmres et me relaxais. Puis je songeais avu force mon dsir de me rendre auprs de Mme W. je connw L'impmsion familire de me dplacer travers une rgion bleute ; puis je me trouvais dans ce qui tait apparemment une cuisine. Madame W tait assise sur une chaise ma droite. Elle tenait rm verre la main. Elle regardait vers ma gauche o taient galement assises, tm verre la main, deux jmnes filles de 17 et 18 ans, l'une blende, l'autre brune. Toutes trois discutaient, mais je n'entendais pas letm propos. je m'approchai d'abord des deux jeunes filles, me plaant directl!ment devant elles, mais ne rwsis pas attirer lmr attention. Je me tournais enmite vers Madame W et je lui demandai si elle avait conscience de ma prsence. Oh oui ! je sais que ttt es l , rpliqua-t-elle mentalement au moyen de cette communication sttpra consciente que je connaissais bien. je lui demandais si elle tait sre de se souvtmir que je lui avais rendu visite. Oh! Cela ne fait aucun doute , rpondit-elle. Je lui dis que je dsirais en tre certain et qu' cet effet j'allais la pincer. Ne voulant rien laisser au hasard j'essayais de la pincer doucement juste tmtre les hanches et la cage thoracique. Elle laissa chapper un cri de douleur et je reculais quelque pert mrpris. je n'avais pas cru que je rwsirais la pincer. je me ditournais et quittais la pice pour revenir dam mon corps physique. ()}te/que temps aprs je demandai Madame W ce qu'elle faisait le jour o je mis venu la voir. Elle me dcrivit la scne avec sa nice et son amie. je lui demandai si elle se souvenait de quelque chose d'autre, mais elle

  • rpondit par la n gative. Alors impatimt, je finis par lui demander si elle se souvenait d'avoir t pince. Un regard stupfait me rpondit. C'tait toi ! Elle souleva lgrement le bord de son sweater du ct gauche. li y avait deux marques bmnes et bleues l'endroit prcis o je J'avais pince. j'tais assise discutant avec les filles, expliqua-t-elle, wrsque tout coup j'ai ressenti une terrible douleur. je dois avoir fait un bond de 50 centimtres. je cr(}yais que c'tait mon beau-.frre qui tait revemt en catimini et Marie qui me pinait par plaisanterie. Je me mis retourne, mais il ny avait personne. Je n'ai pas song un seul instant que c'tait toi. a fait mal!

    REMARQUE Il esc ucile de signaler que lors d'un rveil trop brutal, il arrive parfois que les corps subtils aient du mal se recentrer. La personne a l'impression, suivant l'expression consacre, d'tre ct de pompes.

    LES DCOUVERTES DE RoBERT A. MoNROE

    ROBERT MONROE a mis en vidence que nous possdons un corps second capable d'aerions aux confins du physique er de l'immatriel. Au cours de ses nombreux voyages dans l'astral, il a dcouvert er rpertori l'existence de trois lieux distincts qu'il a largement expriments. Ces diffrents lieux prsenrenr des regroupements intressants ranc avec la religion qu'avec la physique quantique. Voici le descriptif de ces diffrents espaces.

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  • Lieu 1. Dans cet espace-temps, il esr possible d'aller visiter des r.res incarns ici et maintenant er de les voir dans leur ralit quotidienne. La vision se fait en noir er blanc. Le conracr n'est pas que facile, mais possible. Somme roure, il s'agit de la facult de se dplacer d'un endroit vers un autre avec pour seul moyen de rransporr le corps immatriel er la ferme intention de se rendre un endroit prcis. li semble que le corps second possde un sens inn de la direction. La seule difficult vient du risque de dispersion de l'attention. Supposons qu'une perire ide parallle s'impose pendant une microseconde er vorre cours se sera dvi , prcise MoNROE.

    Lieu 2. Ce lieu esr un environnement non matriel possdant des lois du mouvement er de la matire trs diffrentes de celles du monde physique. Le temps tel que nous l'envisageons dans le monde physique n'existe pas ; pass, prsent et futur continuent d'exister simultanment. Dans ce lieu, la pense est la source de l'existence. Elle satisfait aux besoins ou dsirs. La pense est action. Tour se ralise en fonction des motivations profondes. La pense mne la danse. Toutefois, on y rencontre des objets physiques crs par les personnes qui onr vcu dans le monde physique, par ceux qui Ont particulirement aim certains objets er par des intelligences suprieures pour rduire le trauma des mons arrivant du monde physique. Les rgions de ce lieu les plus proches du monde physique sont peuples en majeure partie par des fous ayant des motions draisonnables. On y rencontre des individus drogus et endormis. La sexualit se pratique la manire du monde physique sans commune mesure de celle qui opre dans les rgions loignes du lieu 2. Cc n'esc que lorsque vous ave-: dpass le stade des motions brutes que vous devene-1: capables de

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  • pnrrer dans les sites d'activits trs diverses, mais apparemment bien organises du lieu 2. On y rencontre des pares, des jardins publies avec des centaines d'hommes et de femmes dambulant ou se dtendant sur des bancs. Cette organisation ressemble aux norions de purgatoire et de paradis.

    MONROE relate en effet des passages dans des rgions idylliques.

    Le nuage dans lequel VOliS flottez et la traverse du rayon de lumire ayant des formes, des apparences qui se modifient en permanence, chacune tant source de bien-tre ... Ytu absorbez l'ternit des bleus, des Jaunes, des verts et des rouges ainsi que les multiples complexit s des nuances intermdiaires ... Tout ici vous est familier. Ici est chez vous. Le nuage s'accompagne d'une musique ambiante. Voru n'en avez pas vraiment conscience. Elle est Ill tout moment voru vibrez en harmonie avec elle. Il ne s'agit pas de la mtiSique que notiS connaissons. Ce sont des harmonies, des passages mlcdiques dlicats et dynamiques, ces contrepoints plusieurs voix, ses nuances mouvantes qui voquent en vow les motions les p!tu profondes. Des churs de vo ix humaines rsonnent sans cesse ... Le point le plm important est que vot/.S n'tes pas seuls. Avec votiS, prs de vorJS, en vous, il y a les autres. Ils n'ont pas de nom, vor/.S n'tes pas conscients de leur forme, mais vom les connaissez et votJS tes lis eux par une connaissance

    privilgie. Ils sont en tout point semblables vous, ils sont vor/.S et comme vOt/.S, ils som chez eux. \lm prouvez le sentiment d'tre des lerm, de sentir de d.ouces ondes lectriques vottS parcourir, un amour total qui ne fait que l'incompltude de votre exprience ... ici vous connaissez et acceptez aisment l'existence

    S7

  • du prrt:. D votr vmi u" L pr. crauur d tout c qui est et fut.

    Lieu 3. Ce lieu ressemble un an ti monde avec un passage par un trou noir er une existence semblable la ntre. Le lieu crois n'tait rien de plus qu'une partie de noue plante qui m'tait inconnue , raconte MONROE. La physique fondamemale est tour fair en accord avec la conception cosmologique d'un anti monde compose d'atomes d'antimatire qui serait en quelque sorte des noyaux ngatifs entours d'lectrons positifs. Il s'agir peut-tre du monde souterrain dont l'existence est atteste dans beaucoup de textes. Mais dans les expriences de MONROE, la plus F.mrastique est de wute vidence celle qui lui permet des contactS avec des personnes dcdes. Nous reproduisons ici celui qu'il opra avec son pre dcd l'ge de 82 ans suite une crise d'apoplexie qui le laissa paralys pendant plusieurs mois.

    Je me trouvais dans tme pice som br de grand dimension. je sentais qu'iL s'agissait d'un h pitaL ou d'un centre de convalescence, mais on ny pratiquait pas tks traiuments au sem o nottS l'emendom ici ... Pltuieurs petites pi(ces dormaiem dam celles o je me tenais. je regardais lntmeur tk deux d'entre elks. Dam chaCIIne il y avait plruiezm prsonnes qui ne pritrmt grre attention moi. je commenais nu: demander si j'trais la bonne adresse. La troisime pice n'itait gr1re pius grande que la celLule d'tm moilu, tme fentre unique lt hautmr d'paule s'ouvrait dam le mur foisam foce la portt. Un homme y tait appuy et regardait vm l'extrieur. je ne voyais qtu: son dos. Puis il se "tourna et m'aperp11. Son visage marqua un tonnement profond et mon pt" dcd me parla : Que fois-NI ici ? " Il

    S8

  • pronona ces mots la manire d'une personne qui vient de traverser la moiti du monde et rmcontre quelqu'un qui il avait dit au revoir avant de quitrer la maison ... Mon pre se prcipita vers moi, me saisit sous les bras et joyeusement et m'leva dam les airs et me reposa sur le sol, ainsi qu'il le faisait quand j'tais tm petit enfant . . . je trouvais assez de confiance pour parler. je lui demandais comment il se sentait. Beaucoup mieu.:
  • DIFFRENTES MTHODES DE VOYAGE EN ASTRAL

    Il existe des rechniques pour sorrir de son corps. Elles consistent s'allonger et se reprsenter au-dessus de soi une ouverrure avec une chelle qui monte vers elle. La procdure consiste grimper par cene chelle. li est bon de demander ses guides une protection avant d'accomplir l'exprience. Une relaxation pralable est trs importante. Il y a mille er une techniques de relaxation, mais il est important de rappeler d'tre en position confortable afin de pouvoir se drcndre. Vous pouvez crer votre propre technique. Prenez l'exemple du char, il se couche, prend soin de bien s'tendre, il ronronne, et il s'endort. Tout comme le chat qui ronronne, relaxez-vous en coutant vorre respiration. Concentrez-vous sur chacune des expirations et des inspirations. Au dbut de la relaxation, les penses doivent tre axes sur la relaxation er la dtente. Utilise-: vorre voix inrrieure afin de vous programmer la drenre. Dites-vous des phrases relies que Mon corps se relaxe ... Mon corps est de plus en plus dtendu . . . " Chaque respira rion me dtend de plus en plus ... Rptez les phrases le plus souvent possible, car la prochaine tape sera de faire un vide men ra!. Alors, quand vous sen-

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  • tirez votre corps bien dtendu, inspirez et expirez profondment au moins quarre cinq fois. Il est beaucoup plus simple de se concenrrer sur sa respiration er sur une phrase d'aurosuggesrion que sur des penses futiles qui dfilent. Si vous essayez de fire le vide mental avant de vous relaxer ou d'rre prs de l'rar de veille, vous aurez des dmangeaisons et des picotements. Le but de la relaxation est de vous amener un tar de veille, cour prs du sommeil. Mais il ne faur pas s'endormir.

    MTHODE MONROE

    1. Dans une chambre obscure, bien chauffe, o vous ne serez pas drang, allongez-vous confortablement, la tte au nord. Desserrez vos vremenrs er enlevez rous vos bijoux.

    2. Dtendez-vous mentalement er physiquement. Fermez les yeux er respirez rgulirement, la bouche lgrement ouverte.

    3. Concentrez-vous sur une seule image en glissant dans le sommeil. Quand vous parvenez la frontire emre la veille et le sommeil, approfondissez votre relaxation en vous centrant sur le noir derrire vos paupires.

    4. Pour provoquer les vibrations censes annoncer le dbur d'un voyage astral, concentrez-vous sur un point fix environ 30 cm de vorre from. loignez progressivement le point de concentration er tracez une ligne imaginaire parallle votre corps. En vous concentrant sur cc plan, imaginez les vibrations et faites-les descendre dans votre tte.

    5. Contrlez ces vibrations en les guidant consciemment travers votre corps - de la tte aux pieds er inversement. Une fois que vous aurez volontairement provoqu ces on-

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  • des vibratoires, vous serez prt pour tenter la sparation d'avec votre corps.

    6. Pour quitter le corps, concentrez-vous en pensant l'aspect agrable du fait de Aorrer dans l'air. Retenez ces penses et votre forme astrale devrait commencer s'lever.

    7. Pour revenir votre moi physique, concentre-t.-vous sur la runion des deux formes, mentale er physique, de votre tre.

    MTHODE GNOSTIQUE

    1. Dans une chambre obscure, bien chauffe, o vous ne serez pas drang, allongez-vous confortablement. Desserrez vos vtements et enlevez tous vos bijoux

    2. Dtende-t.-vous menralement et physiquement. Fermez les yeux er respirez rgulirement.

    3. Concentrez-vous sur votre respiration 4. Essayez d'tre conscient de votre rar d'me. Ralentissez le

    processus du sommeil. 5. Pour mieux se concentrer sur votre respiration er diriger

    le mental vers un but prcis, il faut rciter un mantra, une sorte de mor sanscrit, sur chaque respiration. Le mantra

    " LLLLLAAAAA RRRRRAAAAA

    sera utilis afin de se concentrer sur la respiration, tour comme le ronronnement d'un char.

    6. Aprs avoir eu les sensations de vibrations ou d'oscillations, un bruit srridenr se fera entendre dans la tte, comme une sirne, un siffler de train.

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  • ' 7. A cc momem prcis, levC"L.vous er loignez-vous du lit d'au moins 4 mtres, retournez-vous er regardez votre corps physique sur le lit. Mme si vous avez la sensation que c'est votre corps physique qui se lve.

    8. Pour retourner, il suffit de penser votre chambre, votre lit, ou votre corps. Rintgn!'L votre corps tour doucement.

    LEs TROIS CHAMPS n'MILE PINEL

    Le marhmaricien MILE PINEL a mis en vidence 3 biochamps. Un champ H2 dou de mmoire renfermant taure la programmation cellulaire, puis un champ H3 de transmission des ordres de H2 au champ excutant. Ce champ, dans le noyau de la cellule, se prsente comme un champ de forme H 1 magnriquc, excutant les ordres de H2 qui lui sont transm.is par H3. H2 est un chan1p de mmoire qu.i sous-rend l'axe de l'ADN. Laquelle esr une antenne, capable de capter les informations lumineuses. MILE PINEL le qualifie de psychobiolcgique. li dmonue que, dans le noyau, le temps n'existe pas, il esr remplac par des niveaux d'nergie. Ces champs sont, pour nous, aussi impalpables que le champ magntique, pourtant ils agissent sur nous. Mais le plus curieux est qu' la mort de l'individu, les quations indiquent que deux de ces champs meurent, mais pas le troisime !

    En voici la formule (qui parlera aux initis) :

    E = A x H 1 + B x H2 + C x (dH3/dt)

    E correspond un vol rage er H 1, H2, H3 sont les 3 champs cirs. Le dernier terme, dH3/dr reprsente la variation du champ

  • H3 en foncrion du remps (en fait, il s'agit du temps biologique qui est reli au temps ordinaire, en consquence le raisonnement propos ici reste valable).

    la mort de l'individu, il n'y a plus de voltage, donc E est nul. Il en rsulte bien sr que la partie droite de l'galit do ir rre nulle elle aussi. Il se trouve que les coefficients A, B, C ne pouvant tres annuls, il faut alors annuler les quanr.irs H 1, H2 er dH3/dr. C'est pourquoi nous disons que les champs Hl et H2 meurent. Mais le champ H3 ne meurt pas, c'esr sa variarion en fonction du temps qui meurr. Autrement dit, la mort de l'individu, le champ H3 ne varie plus, il doit donc rester constant. Or, il se trouve que ce champ a une composante psychologique, constate par MILE PINEL sur les malades qu'il a soigns.

    LES tONS DE jEAN CHARON

    Nous l'avons vu propos des photos numriques, les lectrons sont dots de proprits intelligentes. jEAN CHARON disait que le monde n'est pas inerte er que l'univers est entirement vivant : Je crois que l'univers esr sacr, mais je sens que l'objectif de cet univers est de se faire connatre d'abord Sa priori r tait d'expliquer comment est fa ite la matire, qu'il appelait la psychomntire, considrant qu'elle esr la fois matire et esprit. Pour cela, il a propos un modle reprsentant la fois la partie mari re er la partie esprit, l'on, un lment matriel qui serait porteur de l'esprit er de la conscience. Les lectrons-ons, quasi immortels, constituent les lments de norre propre survie aprs la morr, mais sous une forme trs diffrente de celle de notre corps. jEAN CHARON pense que ces lectrons seraient le support

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  • de notre spiritualit, capables d'acqurir des informations, et donc des consciences. Ces panicules subatomiques, vecteurs de l'esprit, seraient aussi responsables de l'volution, allant des particules lmentaires aux atomes, puis aux molcules, aux cellules, aux tissus, aux organes, aux tres, aux socits ... Les atomes qui constituent notre tre ne meurent pas. Us passent d'une vie une autre vie, d'un tre un autre tre. Il en est de mme de routes les particules lmentaires. De ce fait, quelque chose en nous est immortel. Dans la pense de ]EAN CHARON, il y a en l'homme une partie relle, entropique (qui se dfait la mort), et une partie qui est l'esprit, imaginaire au sens mathmatique du terme, qu'il qualifie de nguentropique (qui organise) et qui ne peut rgresser. Chaque on est en quelque sorte un hologramme qui reflte l'univers tout entier. Notre esprit serait contenu dans ces ons. Les particules rant rernelles, norre esprit existerait depuis le dbut de l'univers. Aprs la mort, il conrinuerair participer au devenir. Au fur er mesure de l'volurion de l'univers l'expansion de la mmoire tonique construit une complexit croissante des srructures et du psychisme. Les ons conscients pilotent les transformations physiques, chimiques, organiques et mentales ncessaires, tant l'intrieur des corps vivants que dans cout l'univers. Ainsi, science er conscience se rejoignentelles n'auraient jamais d se sparer si l'homme avait utilis la totalit de ses facults mentales en intgrant de faon quilibre lobe gauche er lobe droir.

    je vois cela de cette foon : il y a deux moyem d'approcher l'univers : ou bien on u dit qu'on n'est qu'en soi, donc spar de l'1mivers, ou bien on est en tout on foit alors partie de tout cet univers ... Chacun de nous devient awrs un moi et un rom. C'est

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  • pour moi quelque chose qui tkvient fondamentaL Et dans cette approche, ce qui devient trs important, c'est d'tre convaincu qu'une chose pmt la fois tre ce qu'elle est et son contraire. Cela rejoint tout fait l'univers par l'approche de l'intuition.

    JEAN CHARON

    Autre poinr imporranr : chaque on de l'organisme est son rour une me pour une sous-structure de l'organisme, c'est-dire un sous-ensemble d'ons. En prenanr l'exemple de l'organisation d'une enrreprise, nous dirons qu'en dessous, c'est le directeur gnral qui coordonne rous les participants de l'entreprise. On trouve les chefs de dpartement, des chefs de service, etc. qui, leur niveau fonctionnel, jouent aussi le rle de chef d'orchestre pour un sous-ensemble de participants de l'entreprise ; un chef de service va orchestrer, par exemple, vingt participants, alors que le directeur gnral, rout en haut de la pyramide fonctionnelle, orchestre la totalit des participants de l'entreprise. Cette image, ce modle, resrc encore valable pour reprsenrer les relations fonctionnelles encre les ons d'un organisme vivant. On voit ainsi apparaltre des strucrures oniques trs diversifies et, cependam, tour imbriques les unes dans les autres, la manire des poupes russes, chaque on pouvant tre considr comme l'me d'une sous-structure dont il est le chef d'orchestre, mais pouvant tre considr comme un esprit excutant pour une structure plus grande laquelle il participe comme un simple musicien de l'orchestre. Le niveau le plus lev de la pyramide, o l'on trouve l'me, sera dit niveau zro. En dessous, les niveaux sont numrots ngativement : -1, -2, -3, etc. Er compte tenu du fait que l'me de cet organisme est elle-mme imbrique, l'chelle cosmique, dans des niveaux psychiques suprieurs au

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  • niveau zro qu'elle occupe, nous numrorcrons positivement ces niveaux psychiques du monde extrieur l'organisme er psychiquement suprieurs l'me : + 1 , +2, +3, etc.

    Dans la pratique de la vie courante, le fonctionnement de l'organisme ne fait pas appel au chef d'orchestre, c'est--dire l'on-chef. Tous les ons savent parfaitement agir tout selLis. Le chef d'orchestre principal n'intervient qu'en cas de dfaillance d'un ou plusieurs ons musiciens. C'est lui qui dclenche les procdures de maladie qui sont des drives de stress devenues trop importantes ou bien de la mise en surtension de certains organes fin d'attirer l'attention sur un problme. Les ons possdent chacun des expriences spcifiques lies leur pass karmique alors qu'ils uvraient dans d'aurres orchestres. Leurs traumarismes spcifiques lis ce pass peuvent expliquer certains dysfonctionnements organiques. Mais l'ensemble des ons possde une exprience identique depuis leur fonctionnement au sein de l'organisme dans lequel ils jouent acruellement. Il est donc ncessaire d'harmoniser coures ces diffrences afin de leur permettre d'uvrer pour le bien de l'organisme. Le sommeil joue en la matire un rle fdrateur essentiel. De sa qualit dpend la sant de l'individu. C'est dire quel point l'quilibre gobiologique d'un lieu de vie est important.

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  • EFFET l
  • Le clich rvle l'image fantme du morceau de feuilles inexisram physiquement ce qui prouve que les vgraux onr des corps subrs er par voie de consquence qu'ils possdent une vie indpendanre du corps physique.

    PHoTos KJRLIAN o'uN EFFET FANTME

    Mise en vidence de l'effet fantme : parmi les nombreuses possibilits de recherche, voici le rsultat d'une exprience rendant montrer l'existence des fameux champs morphogntiques du biologiste anglais RuPPERT SHELDRAKE. La feuille de gauche est entire. Sur l'image de droite, on a coup le sommet de la feuille : la trace nergtique de la plan re subsiste. Nora : le phnomne nergtique esr le mme chez l'homme ... mais beaucoup moins photognique !

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  • QUELQUE CHOSE DPASSE LES LIMITES VISIBLES DU CORPS PHYSIQUE

    Mais voici une exprience encore plus tonnante qui nous a t communique par HENRI FABRE. Elle consiste couper les feuilles d'un arbre er mesurer la superficie occupe par ses corps mental, causal et divin. On renouvelle l'exprience au bour de 5-6 jours er on constate que les corps mental et causal se sont rtracts alors que le corps divin s'est tendu. En intgrant la porte de cerre exprience, on comprend l'indicible beaut spirituelle qui se dgage dans une fort o des milliers er des milliers de feuilles d'arbre se dtachent en l'automne et contribuent la formation de l'humus. On comprendra que, prive de ce trsor, une agriculture base sur les engrais chimiques dspiritualise la terre er contribue donner des plantes dnatures sur les plans subtils. Chacun a pu constater, du reste, que les fruits et lgumes cultivs de manire intensive manquent cruellemem de got et de saveurs.

    Dans diffrents pays, l'effet KIRLIAN est mis contribution dans les diagnostics mdicaux et la prvention des maladies. La parapsychologue THELMA Moss a popularis l'utilisation de la photographie KI RUAN comme outil de diagnostic mdical. Elle tait convaincue que le procd K.!RLIAN tait une porte ouverte sur la bionergie du corps astral. Mais celui qui fit les plus grandes perces dans le domaine du diagnostic est KoNSTANTIN KoROTKOV. Docteur en lectronique physique ct docteur en ingnierie mdicale, lui et son quipe de chercheur de l'universit mdicale de Sainr-Ptersbourg (Russie) ont montr que l'effet

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  • KI RUAN est en ralit une excitation lectrique des gaz diffuss par la peau humaine, provoquant un effet couronne. I.:quipe de recherche comprit ensui re que ces flammches mises amour de la peau donnaient par leur localisation er leur intensit des informations trs prcises sur l'tat de sant physique er psychologique de la personne reste. Forts de cene constatation, ils mirent au point un appareil, le systme GOY (gas discharge visualizarion) qui permet de photographier dans un premier temps cet effet sur les 10 doigts de la main, puis dans un second temps, grce un logiciel ultra perfectionn er complexe mis au point par le dpartement de technologies informatiques, de mcanique er d'optique de l'universit d'tat de Sainr-Prersbourg (SPITMO), de cartographier l'tat de sant du parient. Ce logiciel permet ainsi de transcrire les informations biolectriques digitales enregistres en expression nergtique sur une silhouerre totale du corps tout en quantifiant le niveau nergtique (vitalit et facreurs de stress) de chaque organe. Ce dispositif tablir un lien intressant emre le physique er le subtil.

  • LES BLOCAGES DU PROCESSUS

    1 DE REINCARNATION

    Cet ensemble d'lments que nous venons d'examiner est en mesure de nous laisser