Fa 1re la v1lle - montigny78.fr

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Novembre ZOOZ En 1975, sous la Présidence de Valéry Giscard d'Estaing, a été adoptée en Fran- ce la premi ère loi sur le Handicap. L' an proch ain, 28 ans après, notre pays de vrait en fi n sous l'impulsion du Sénat form er c ette loi. Parce que notre société doit accorder à chacun de s es enfants l es mêmes droi ts et s outen ir pr ioritairement ses membres les plus fragil es, des effo rt s con sidér ables restent à accompli r. Le président Jacques Chiracad écla fai - re du Handicap une des t rois pri or ités de son mandat. Comme lui, ayons la volonté de modifier notre approche et notre regard sur le handicap. les enfants, les femmes et les hommes porteurs d'une déficience sont pés par la non-réponse (alors que celle- ci existe ou est possible) de la société à . leur défidence mais plus encore par la pe ur, l'indifférence ou le p ris des per- son nesdi tes valides ... Le Sénateur-maire, A&ovn t Services LA MAIRIE ASSOUPLIT LES INSCRIPTIONS page4 t San LES MÉDECINS RÉFORMENT LA GARDE DE NUIT t Vendanges LE CLOS DES PRÉS VINIFIE t Presse «TOUTES LES NOUVELLES» DERETOU'R page3 page 10 page 11 Le journal . de Montigny·le-Bretonneux Fa 1re la v1lle a tous es c1to ens Egaux devant les services publics, ce principe fondateur de vie en colledivité s'écrit trop souvent en pointillés pour nombre de citoyens porteurs d'un handicap. Pour que cet immen- se chantier initié par le président de la République prenne corps, notre volonté individuelle et collective doit être questionnée. Le projet de loi examiné au Sénat est un préambule' une vraie évolution des mentalités qui peut être guidée localement Notredossierenpages8et9 t UN PAS DE PLUS ENVIRONNEMENT L'ignymont-ain, le journal de Montigny-le-Bretonneux - Hôtel de Ville - 66, rue de la mare-aux-carats 78180 Montigny-le-Bretonneux- tél : 01 39 30 31 32- fax: 01 39 30 31 33- mel : retrauvez ch. aque mois l' lgn y mon ta in en ligne sur le site internet de la v ille h ttp: l / www . montigny 7 8 . fr ( .. l ' ' \.

Transcript of Fa 1re la v1lle - montigny78.fr

Novembre ZOOZ ~·

En 1975, sous la Présidence de Valéry

Giscard d'Estaing, a été adoptée en Fran­

ce la première loi sur le Handicap.

L'an prochain, 28 ans après, notre pays

devrait enfin sous l'impulsion du Sénat

réformer cette loi.

Parce que notre société doit accorder à

chacun de ses enfants les mêmes droits

et soutenir prioritairement ses membres

les plus fragiles, des efforts considérables

restent à accomplir.

Le président Jacques Chirac a déclaré fai­

re du Handicap une des trois priorités de

son mandat.

Comme lui, ayons la volonté de modifier

notre approche et notre regard sur le

handicap.

les enfants, les femmes et les hommes

porteurs d'une déficience sont handica~

pés par la non-réponse (alors que celle­

ci existe ou est possible) de la société à

. leur défidence mais plus encore par la

peur, l'indifférence ou le mépris des per­

sonnes dites valides ...

Le Sénateur-maire,

Nic~s A&ovn

t Services

LA MAIRIE ASSOUPLIT LES INSCRIPTIONS

page4

t Santé

LES MÉDECINS RÉFORMENT LA GARDE DE NUIT

t Vendanges

LE CLOS DES PRÉS VINIFIE

t Presse «TOUTES LES NOUVELLES» DERETOU'R

page3

page 10

page 11

Le journal . de Montigny·le-Bretonneux

• • • • •

Fa 1re la v1lle

a tous es c1to ens Egaux devant les services publics, ce principe fondateur de vie en colledivité s'écrit trop

souvent en pointillés pour nombre de citoyens porteurs d'un handicap. Pour que cet immen­se chantier initié par le président de la République prenne corps, notre volonté individuelle et collective doit être questionnée. Le projet de loi examiné au Sénat est un préambule' une

vraie évolution des mentalités qui peut être guidée localement --~-----------------------' Notredossierenpages8et9

t UN PAS DE PLUS

ENVIRONNEMENT L' ignymont-ain, le journal de Montigny-le-Bretonneux - Hôtel de Ville - 66, rue de la mare-aux-carats 78180 Montigny-le-Bretonneux- tél : 01 39 30 31 32- fax: 01 39 30 31 33- mel : joumal~montiglry78.fr

retrauvez ch.aque mois l' lgn y mon ta in en ligne sur le site internet de la v ille h ttp: l / www. montigny 7 8 . fr

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SOMMAIRE p~~tl 3 A® :

Garde de nuit des médecins - Contrat Local de sécurité.

Pt19~4 A<TU: Services périscolaires : la mairie assouplit les inscriptions - Bacheliers 2002- Concours des Maisons et Balcons fleuris 2002 - le CCAS bien aidé.

p~gt! 5 AC.TLJ : Les nouveaux habitants en balade - l'AMI hôtesse d'étudiants étrangers.

P~9ê 6 ACIIJ : Tri sélectif : au tour des emballages - la fin dE: I'EPA.

P~9~ i ACfU; Au dernier Conseil - Le CMJ change de prési­dente - Montigny Plurielle - Améliorer son habitat avec PACT-ARIM- En bref

pag~ 8 Au S~Mt : 75 propositions pour compenser le handicap

p~g~ 9 ACTU ~ Montigny et le handicap. la MIJ et la sécuri­té routière

pag(1510 ~t 11 QUARTIERS : Les vendanges aux Prés - les jardins fami­liaux - Rentrées à Malraux et Jouvet - Fête au Pas-du-Lac -10 ans du Secours Catholique

pagenut 1; CUi, TURE : Zbigniew Wieckowski au Salon des Arts -Laurent Serrano, artiste résident - le pro­gramme de novembre - Noche Mexicana -Jean-Max.

pag~s 14 ~t 1S SPORTS : Parcourir Montigny 2002 - le centre aqua­tique - Les cougars champions de France - À l'Ecole du Vélo - Le CVSQ au top

page 16 JEUX· ANNONCES

URGENCE SAPEURS-POMPIERS: 18

POLICE SECOURS: 17

SAMU: 15

CENTRE DE SECOURS ET D•INCENDIE Té l. : 01 30 69 39 oo

POLICE MUNICIPALE Té l. : 01 30 57 57 57

TÉLÉSURVEILLANCE Té l. : 01 34 86 26 oo

COMMISSARIAT DE POLICE Té l. : 01 30 48 26 70

ou 17

GARDES DE NUIT MEDECINS

Té l. : 01 30 57 90 45 ou 15

PHARMACIES Commissariat

de Guya ncou rt

Tél. : 01 30 57 50 75

CENTRE ANTI-POISON Tél. : 01 40 37 04 04

DÉPANNAGE D•URGENCE EDF Té l. : 01 30 50 88 54 GDF Tél. : 01 30 50 8o 72

SOS ENFANTS MARTYRS Té l. : o1 45 83 75 56

Avt cidY'YVf. jt:tcr~s B're~ ETRE ET AVOIR lco2 France 1H45 Film documentaire de Nicolas PHILIBERT Dans l'école à la classe unique de Saint-Etienne­sur-Usson·, dans le puy de Dôme, cohabitent Monsieur LOPEZ, l'instituteur et sa douzaine d'éleves de 4 à 11 ans. Le réalisateur du "Pays des sourds" nous fait passer une année scolaire en leur compagnie.

Mer<;redi 6 à 20h30, samedi 9 à 17h30 et 20h3o, dimanche 10 à 14h30

K-19 : LE PIEGE DES PROFONDEURS 2002 USA 2H2o Film de Kathryn BtGELOW, avec Harrïson FORD, Liam NEESON, Peter SARSGAARD 1961, en pleine guerre froide, un capitaine so­viétiquE! commande un sous marin nucléaire qui prend la mer en dépit de nombreux incidents. En poste prés des côtes américaines, l'appareil subit bientôt une avarie qui pourrait causer une explosion, et celle des missiles nucléaire embar­qués.(histoire, basée sur des faits réels). Mercredi 6 à 15'h, vendredi 8 à 20h30, samedi 9

à 14h, dimanche 10 à hh30 et 20h30

PARLEZ-MOl D'AMOUR 2oo2 France 1H38 Film de Sophie MARCEAU, avec Judith GO­DRECHE, Neils ARESTRUP, Anne LE NY Justine et Richard ont trois enfants et quinze ans de vie commune .. Justine va se séparer de Richard . . IJ vit déjà dans un autre appartement et vient d'accepter un travail à l'étranger. La séparation, .l'inertie entre un passé lourd et un futur incertain.

Mercredi 13 à 20h3o, samedi 17h3o et 20h30, dimanche 17 à 15h

xxx TRIPLE x 2002 USA 2H04 Film de Rob COHEN , avec Vin DIESEL, Asia ARGENTO, Marton CSOKAS Un ancien athlète de sports extrêmes, Xander · xxx Cage est connu pour ses cascades uniques et ultra périlleuses. Persuadé qu'i l peut réussir là où les espions conventionnels ont échoué, il est recruté par la NSA pour en faire un espion infiltré. Mercredi 13 à 15h, vendredi 15 à 20h3o, samedi

16 à 15h, dimanche 10 à 17h30 et '2oh30

MINORilY REPORT 2002 USA 2H25 Film de Steven SPIELBERG, avec Tom CRU ISE,

Colin FARELL, Samantha MORTON Washington, 2054. La société du futur élimine le meurtre en se dotant du système de préven­tion/détection/répression le plus sophistiqué au monde. Mercredi 20 à 15'h, samedi 23 à 17h et 20h30, di­

manche 24 à 15h et 18h

INTERVENTION DIVINE 2002 Palestine/France 1H32 Film de Elia SULEIMAN, avec Elia SULEIMAN, Jamel DAHER, Georges KHEIFI Au cœur du film palpite une histoire d'amour, un Palestinien vit à Jérusalem, une Palestinien­ne vit à Ramallah. Au regard de la réalité poli­tique, la liberté de mouvement de la femme s'arrête au check point militaire israélien qui sépare les deux villes. Mercredi 20 à 20h30, vendredi 22 à 20h30, sa­

medi 23 à 15'h, dimanche 24 à 20h3o

SPIRIT L'ETALON DES PLAINES 2oo2 usA 1H24 Film d' animation de Kelly AS BURY L'étalon sauvage Spirit est né dans les plaines de l'Ouest américain au début de la conquête . Son enfance sera placée sous le signe du jeu et de l'aventure. Un soir, il rencontre l'homme. Pris au lasso, livré à un colonel sadique, il subit l'horreur de la captivité. Il sera sauvé par un jeune Lakota. Mercredi 27 à 15h, samedi 30 à 1S'h30 et 17h30,

dimanche 1" à 17h30

EMBRASSEZ QUI VOUS VOUDREZ 2002 France 1H43 Film de Michel BLANC, avec Charlotte RAM­PLING, Jacques DUTRONC, Carole BOUQUET T'as raison ma belle, la vie c'est bizarre .... Si tu y penses, ça te déchire le cœur ... Mais si tu fais comme moi ... Si tu la traverses en zigzaguant, c'est plutôt comique .. Allez viens.

Mercredi 27 à 20h3o, samedi 30 à 20h30, dimanche 1" à 15'h et 20h30

Plein tarif: s€ - Tarif reduit : 3-3o€ • Film longue dulie : TP: 5,2o€- TR : 3,7o€ carnet de 10 places : 33€

.Bms. : 01 JO 44 10 11 (/~pondeur) ou au 01 J9 JO 1170 (Direction de la Culture).

· L'lgnymontain, le journal de Montigny-le-Bretonneux

Directeur de la publication : Nicolas ABOUT, Sénateur-maire- C(}-Directeur : Michel LAUGIER, 1" adjoint au maire Rédaction : 66, rue de la Mare aux Carats- 78180 Montigny-le-Bretonneux - Tél.: 01 39 30 31 34 · Fax : 01 39 30 31 33 ·

mel : [email protected] Directeur de la rédaction : Yann Pasco Rédaction : Y. Pasco, A.·S. Parisot (Sénat), Sandra Duranteau Photos : Catherine Maraone, Yann Pasco Conception, mise en page : Y. Pasco Imprimerie: SEMIF HEBDOS: bd des Champs Elysées- 91002 Evry Cédex - Distribution PTI Abonnement : 8,4€ pour 11 numéros· contactez le Journal ISSN : 1241-605'3

Tiré à 19 .000 exemplaires sur papier recyclé.

z

Du 9 au 17 Salon des Arts

Ferme du Manet (salle C. Claudel)

Du 9 au 2

lool

Le mardi 19 "Un Jour, Il faisait nuit", spectacle Jeune public <le Jean-Malt ~o~ : salle _Jacques, Brel

Exposition de Zbignlew Wleckowskl Le vendredi 22 salsa cubaine : Ernesto "Tito" Puentes" 21h - Ferme du Manet

Conservatoire des Arts Plastiques

Le lundi 11 Commémoration , .,. Guerre Mondiale : ?"- 20h3,0- salle J.,Brel RV 10h45 salle Jacques Brel .... _:'!

Le lundi 11 Pétanque : Challenge de l'Amitié Toute la journée- Stade Roger Couderc

Le samedi 16 Remise de diplômes du travail 11h • Hôtel-de-Ville

Le samedi 16 "Noche mexlcana" à partir de 20h - Ferme du Manet

Du 16 au 24 Exposition d'Art et Usse : "Aux Fils du temps" Maison Félix

Lejeudi28 Récital Michel Fugain 21h - Ferme du Manet

Les 6, 7 et 8 décembre : Marché de Noël Ferme du Manet

/

ElA l CtVfL NAISSANCES MOREL Victoire GUSMAO Christophe et

Le 5 aoOt 2002 PIERRARD Madèlia CIZEL Sandrine

SABYH llian Le 26 septembre 2002 CYMERMANN Marc et

Le 3 septembre 2002 DECHAMPS Killian BRENAS Elodie

TOURÉ Garaba JACQUEMIN Anthony Le 5 octobre

Le 12 septembre 2002 Le 28 septembre 2002 LAUNAY Guillaume et

GÉRARD Cyprien LEDRIN Marianne LECOEUR Roxane

HAl Inès EYMARD Maximilien TAROT Jean-Paul et

Le 13 septembre 2002 Le 1" octobre 2002 LELANDAIS Sophie

GUISLAIN Thomas DALIGAULT Manon CARRARD Ch-ristophe et

Le 14 septembre 2002 DESROCHES Kilian LEVIS Julie

FLAMENT Coralie VANDENMERSCH

Le 1S septembre 2002 Alexandra DÉCÈS EL-ALAOUI-CHRIFI Naim Le 3 octobre 2002 Le 6 septembre

Le 18 septembre 2002 JUGÉ Romane BILLY veuve NEVEU

ABOUT Elisa PASCAL Ganesh Marthe

ABOUT Manon Le 5 octobre 2002 Le 19 septembre

RAYNAL Quentin DANIAU Guillaume KOEGEL Jean-Jacques

Le 19 septembre 2002 GAVIGNET Sébastien Le 25 septembre

DHERSIN Aurélie Le 6 octobre 2002 JOLY Marcel

DOUHARD Roxane LAZARD Matéo Le 29 septembre

Le 23 septembre 2002 Le 8 octobre 2002 LARDÉ épouse RAOULT

GUERARD Léa BILLO Lou-Anne Pascale

KLENOV Ksenia Le 11 octobre 2002 Le 14 octobre

Le 24 septembre 2002 BARBIER Océane FERRIN veuve GEORGES

BARRAS Evan Anne

DAG NET Thomas MARIAGES PASDELOUP Jacques

THOREAU Jenyfer Le 21 septembre Le 25 septembre 2002 NAHMANI Emmanuel et MANN Jimmy KOHOUT Sandrine

collecte des ordures ménagères

QUARTIERS Pas du Lac Plan de Troux Le Village St Quentin Plan de l'Eglise La Sourderie

Les Prés Rés. Descartes Le Manet

ORDURES mardi lundi mardi lundi M~NAGËRES

jeudi mercredi jeudi mercredi samedi vendredi samedi vendredi àpartirde 7h du matin

ENCOMBRANTS jeudi 14 nov.

mercredi 20 (Village) jeudi 28 nov. 1 fois par mois mercredi 6 nov. jeudi 21 (Manet)

PAPIER samedi mercredi samedi mercredi

VERRE jeudi vendredi jeudi vendredi

GRAVATS Une dé<:hetterie est à votre disposition le week-end (samedi et dimanche de 18h à 20h), aux Ateliers municipaux (8, rue des Frênes· Zo-

DËCHETS VERTS ne de l'Observatoire) du , .. "jrs au 30 novembre. (justificatif de domicile demandé).

D~CHETS Une collecte le 3• samedi de chaque mois de 9h à 13h place Etienne Marcel, quartier St Quentin, une collecte le r mardi de chaque mois

TOXIQUES de 15h à 16h rue des Mouettes, quartier Pas du Lac et de 16h15 à 19h place Jacques Cœur, quartier la Sourderie.

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Garde de nuit des médecins "Boire moins, c'est mieux"

Montigny expérimente Le programme "Boire moins, c'est mieux" est la déclinaison française d'une étude de l'OMS qui cherche à promouvoir le repéra­ge précoce des buveurs à risque par les mé­decins généralistes, et à développer une intervention de prévention spécifique. Plusieurs études ont déjà été menées sur ce thème, dont certaines à Saint-Quentin en lien avec l'Observatoire de la Santé. L'association Nationale de Prévention -de l'Alcoolisme (ANPA) prévoit de mettre en oeuvre une action expérimentale sur 4 sites pilotes, dont Saint-Quentin. Les mé­decins généralistes de l'agglomération vont être ainsi prochainement invités à dépister de manière systématique les bu­veurs à risque et proposer à ces derniers l'intervention préventive. Le SAN a décidé d'associer 1'1 PM (Institut de Promotion de la Santé) à cette initiative, qui a initié une campagne de communication sur le thème récemment.

Fin septembre, Alain )ami (à gauche), présiaent ae l'association aes Méaecins aes Trois-VIllages (AM3VJ, présentait à ses collègues en compagnie au Sénateur-Maire Nicolas About le local ae per­manence ae soins mis à aisposition par la ville. L'expérience pourrait intéresser a' autres secteurs en France.

A l'heure où les urgences hospitalières font face à une situation de plus en plus difficile, le système de permanence des soins de nuit est aussi à la croisée des chemins. Cette per­manence assurée traditionnellement par les médecins libéraux peine également à trou­ver un système de fonctionnement péren­ne. Les causes du dysfonctionnement sont multiples.

Les dérives de la "bobologie"

Alain Jami préside l'Association des Méde­cins des Trois Villages (AM3V), qui réunit les 57 généralistes installés à Montigny, Voi­sins et Guyancourt. Il pointe le doigt sur un système qui, selon lui et nombre de ses confrères, a vécu. "Il faut constater d'abord que notre population médicale viëillit. Notre charge de travail est de plus en plus importante, alors que nous souffrons d'une pénurie de remplaçants volontaires." Et cet­te dégradation est accentuée par le fait que des médecins quittent le secteur sans être remplacés. "Les gardes étaient jusqu'à pré­sent prises par les médecins les plus jeunes, qui enchaînent leur journée avec la perma­nence de nuit, puis une nouvelle journée de travail de uh. Or, les nouvelles installations sont rares." Ajoutez à cela le fait que la ré­munération des actes de nuit n'est pas for­cément jugée attractive,- que les motifs d'appel de nuit des usagers sont parfois ano­dins et rélèvent trop souvent de la bobolo­gie. Néanmoins, l'association parvient en­core à assurer les tours de garde pour la per­manence de nuit, en comptant sur les prati­ciens volontaires, ce qui n'est plus le cas sur d'autres secteurs comme aux Mureaux, à Mantes, à Jouars, où les permanences de nuit ont été purement et simplement sup­primées fautes de volontaires pour les tenir. A l'initiative de l'association, un nouveau

système fonctionne depuis le 1" octobre, qui pourrait faire tâche d'huile en France s'il fait ses preuves. Une solution (voir notre encadré ci-dessous) qui présente en outre la vertu d'avoir fédéré plusieurs partenaires pour une cause commune. La ville de Mon­tigny a fourni des locaux, le SAMU joue un rôle de régulateur des appels. Dans un sys­tème extrêmement cloisonné, cette mutua­lisation des énergies secoue les habitudes de la corporation médicale et fait bei et bien fi­gure d'expérience pilote qui pourrait servir de référence à plus grande échelle. Le local est installé dans les anciens locaux de l'éco­le Jacques Prévert près de la mairie. Avec l'arrivée prochaine d'une équipe du SMUR, un véritable dispositif sanitaire s'y met en place.

Un partenariat entre secteurs public et libéral Yves Lambert, directeur départemental du SAMU, prévoit en effet d'installer une de ses quat're équipes d'intervention au cœur de Saint-Quentin. "Nos statistiques nous montrent qu'environ un quart de nos inter­ventions se produit sur la ville nouvelle et ses environs proches. L'idée développée avec la ville est donc de placer en perma­nence une équipe, pendant la journée uni­quement, dans un lieu central du secteur, afin de gagner en efficacité. Cela ne signifie pas que l'équipe sera affectée uniquement sur Saint-Quentin, mais elle sera plus dili­gente et prioritaire sur le secteur". Pour le directeur départemental, travailler sur les permanences de nuit en partenariat avec les médecins, c'est initier un dialogue souhai­table entre service public et secteur libéral. "Ça bouscule un peu, mais c'est cette idée de travail en réseau qui nous aidera à amélio­rer la qualité des soins pour tous". Un der­nier élément de ce dispositif coordonné

Co~ment consulter le médecin de Qarde la nuit ou le week-end ?

·si vous devez faire appel à un médecin après 2ohlen semaine, le samedi de 14h à 24h et le djimanche de 8h à 24h, vous pou· vez contacter le praticien de permanence au 01 30 5l 90 45. Vous pouvez aussi choi­sir d'appeler le 15 et joindre alors le SA­MU.· Depuis le 1., octobre, quel que soit l'option que vous choisissez, vous êtes au­tomatiquement basculé vers le médecin régulateur du SAMU. C'est lui qui au vu

dU diagnostic téléphonique vous aiguille­ra vers le bon interlocuteur. S'il vous invi­te à consulter le médecin de permanence à l'école Jacques Prévert, il vous indiquera l'adresse du local et son code d'accès, où le praticien de garde vous accueillera et ·vous examinera. La permanence se dérou­le de 20h à minuit. Au-delà, le 15 vous oriente vers un autre effecteur que la maison médicaie. •

3

concerne l'arrivée dans des locaux contigus de la Police municipale, qui quittera à la fin de l'année les locaux de l'Ancienne Mairie au Village pour se rapprocher de l'actuel Hôtel-de-Ville. Le local de permanence de soin est en fonc­tion depuis le début octobre. Dans un souci d'information et de localisation, les méde­cins des trois villes en font la promotion dans leurs cabinets, en soulignant auprès des patients l'intérêt de cette coordination avec le SAMU. Les patients ignymontains, vicinois et guyancourtois auront à cet égard expérimenté un système qui, transparent pour eux en terme de fonctionnement, as­sure une meilleure qualité de soin. C'est bien là l'essentiel.

Rens. : 01 30 16 17 Bo. mel : [email protected]

Contrat local de Sécurité

Le comité de suivi fait le point

Signé notamment le 21 septembre 2001

par Nicolas About et le Préfet des Yvelines Bernard Prévost, le Contrat local de Sécu­rité engage l'Etat, la ville et les partenaires sociaux pour une coordination des moyens en faveur de la sécurité sur la ville. Une année après cette signature, Nicolas About avait convié ces partenaires le 27 sep­tembre dernier à l'Hôtel-de-Ville dans le cadre d'un premier comité de suivi. Après le diagnostic et les engagements, l'heure était donc au premier bilan. Le commissai­re Chapin, muté très prochainement à Chartres, dressait en préambule un état des lieux des faits délictueux enregistrés à Montigny depuis un an. Les statistiques montrent une stabilité des chiffres, malgré des effectifs de police en b-aisse au com­missariat de Guyancourt. Sans surprise, ils restent localisés principalement autour de la gare et du centre commercial régional.

Une concentration des délits au centre ville

Le maire ne manquait de rappeler que la sécurisation du centre ville est l'un des 8 objectifs prioritaires du CLS, entériné par le Préfet, au moyen d'un accroissement des effectifs policiers, au moyen aussi d'installation de portillons d'accès plus hermétiques à la gare par la SNCF. Sur ces deùx objectifs, la Préfecture et la régie des chemins de fer n'a pu concrétiser d'avan­cée. La SNCF a observé 50 actes délictueux depuis le début de l'année, dont 33 dans les trains (pour l'essentiel des déclenche­ments d'alarme). Elle a néanmoins annon­cé la création d'un système de vidéosur­veillance dans la gare à échéance de 12 à 18 mois. Au centre commercial , Bernard Sal­mon le directeur regrette les trop nom­breux petits larçins non réprimés qui pour­rissent la vie des commerçants, dont il a annoncé qu'ils sont désormais dotés d'un bip d'appel direct vers le service de sécuri­té. Nicolas About a rappelé à cette occa­sion au représentant préfectoral que la vil­le propose toujours un local pour accueillir un bureau de police, sous réserve que l'Etat y affecte du personnel. Un propos repris au bond par son premier adjoint chargé de l'Action sociale Michel Laugier, qui souhaite la création rapide d'un groupe de travail afin d'anticiper les besoins de sé­curité liés à l'arrivée du complexe commer­cial et de loisirs la Fiesta. Parmi les parte­naires sociaux associés au CLS, SQYbus fai­sait remarquer que l'installation de la vi­déosurveillance et de portails anti-agres­sions pour les conducteurs, ainsi que la

création de la carte lmagin'R avaient fait baisser les chiffres de vandalisme et de fraude sur le réseau. L'organisme de trans­port note en outre que le quart des procès verbaux dressés intervient à Montigny, au centre ville, et concerne les jeunes de 12 à 21 ans.

Insister sur la prévention Au titre de l'Education nationale, le princi­pal de la Couldre Catherine Mary observe une recrudescence de la consommation de tabac, d'alcool et de cannabis auprès des jeunes, et juge prioritaire une politique prévention dans ce domaine. L'association locale de prévention DIRE, par la voix de Thierry Olive son président, a souscrit à ces propos en plaidant pour un meilleur dialogue et une meilleure coordination des initiatives avec l'Education nationale. Il souhaite mettre en place des cellules de veille éducative pour dépister les pro­blèmes sociaux en amont et favoriser un traitement individualisé des problèmes. En conclusion, le maire a rappelé tous les partenaires du CLS à leurs engagements, en particulier l'Etat en matière d'effectifs de police, en insistant sur le travail indis­pensable de prévention à l'adresse des fa­milles et des enfants.

-t

. Restauration et garderie périscolaire

La mairie assouplit les i tl seri ptions

Le Conseil Municipal s'apprête à voter de nouvelles modalités d'inscription et de paîement aux activités périscolaires (res­tauration scolaire, garderie, centre de loi­sirs). Le projet vise à simplifier les dé­marches en offrant la possibilité d'~ ses enfants pour un mols (cornme actuel­lement) mais aussi pour un trimestre et même pour. l'ensemble de l'année scolaire. Il est rappelé à cette occasion que l'inscrip­tion aux activités (avant le 2.0 désormais) est obligatoire et indispensable à la com­mune pour ajuster les prévisions de repas et d'effectifs. Comme il est indiqué dans l'encadré ci-d.es­sous), une facture vous sera envoyée tous

les mois. Ainsi, même si vous optez pour une inscription à l'année, votre participa­tion mensuelle sera calculée sur la prévi­sion de fréquentation sur la même pério­de. l.,es déductions (pour absence) seront intégrées à la facture suivante et donc ré­cupérées beaucoup plus rapidement qu'au-jourd'hui. • De nouvelles · fiches d'inscription, plus claires verront le jour et le personnel de l'Accueil Polyvalent, formé pour vous ren­seigner sur ce nouveau fonctionnement, est là pour vous conseiller. Ces nouvelles modalités entrent immédia­tement en application, c'est à dire pour les inscriptions du mois de décembre.

Le prin<!ipe 1. Vous inscrivez vos enfants jusqu'au 20 du mols, pour le mois suivant.

2.. Entre les et le 10 du mois suivant (qui devient donc le mois en cours), vous recevrez une facture comprenant : - les activités auxquelles sont inscrits les enfants pour le mois en cours - les ajouts ou annulations du mois précédent.

3. Vous disposez d'un délai de 10 jours pour adresser votre règlement en mairie, faute de quoi vous vous exposez à une maj oration de votre facture.

La déduction des absences en restauration scolaire et èn garderie suit le même principe qu'actuellement. En revanche, poùr les centres ,qe loisirs, il ne sera plus nécessaire de justifier (par un certificat médical par exemple) les absences. En revanche, elles ouvri­ront droit à une déduction totale que si celle-ci est formulée, par écrit, l'avant-veille avant midi.

Graine d'étudiants 34 bacheliers re.çus .avec mention bien et

,.très bi~n.~ u baccalau ~éat promo 2002 ont été conviés à une réception le vendredi 4 octobre dernier à l'Hôtel de Ville. Attendus dans la salle du Conseil Munici­pal, ils ont été félicités par le sénateur-mai­re Nicolas About et les élus présents dont Michel Laugier, 1" adjoint délégué à l'Ac­tion Sociale, service municipal à l'origine de cette initiative. Nicolas About a prononcé un discours élogieux, complimentant sim­plement les lauréats pour leurs résultats et les encourageant à poursuivre leurs efforts. A l'appel de leurs noms, les bacheliers se rendaient au centre de la salle, sous les ap­plaudissements, afin de recevoir un diplô­me honorifique et un bon d'achat. Bache­liers, parents, professeurs et élus ont dé­gusté cocktail et petits fours dans une at­mosphère chaleureuse pour célébrer letra­vail accompli. Michèle Parent, élue délé­guée aux jumelages et professeur d'anglais au lycée Descartes, était très émue, décla­rant que '\:'est un grand plaisir de voir l'aboutissement de leurs efforts, ils ont pris un bon départ". Sophie (mention bien Sec-

tion Littéraire) avouait ainsi :"je suis fière que la ville s'intéresse à nous et reconnais­se notre travail, le bac ne restera pas qu 'un diplôme pour passer à la suite mais un tra­vail abouti et reconnu". Stéphane (mention bien Section Scientifique) s'est prouvé qu'il pouvait réussir en travaillant, tandis que Jérémy (mention très bien Section Littérai­re) déclarait modestement être surpris par son résultat. "Je n'étais pas le premier de ma classe, j'ai été bien noté par les correc­teurs", tout en annonçant son entrée en Prépa Maths Sup ! Sérieuse, Bao Chi (men­tion bien Section Scientifique) estimait qu 'elle n'a pas spécialement travaillé pour le bac mais plutôt de manière régulière les années précédentes. "On n'a pas le bac en révisant 3 heures avant ! ". Ambassadrice dans l'âme, Claire (mention bien Section Sciences et techniques de laboratoire) était heureuse de pouvoir représenter et faire connaître sa section ; d'un point de vue personnel, cette mention lui a permis de franchir l'entrée d'une école sélective. Un vrai cocktail de fierté, de réussite et de joie pour les bacheliers mentionnés. ·

mention Très Bien : Jérémy GALLET, Christelle ZÉFÉRINO.

mention Bien : Claire ALBERT, Chloé BERNARD, Thomas BRAIBANT, Christophe CHEVILLARD, Jimmy DE CORTE, Jean-Noël DESALDELEER, Kadidiatou DIALLO, claire ENJALRIC, Julien FEY, Gaëtan FLEURY, Lauren GREGOIRE, Amandine JEULIN, Laëtitia KERMADEC, Sophie LE BRETON, Elise LE FIN, Manon LLORCA, Aimée Mac CLENAHAN, Caroline PELTIER, Clotaire PAILLARD, Andrey PY, Stéphan RAUX, Jean-Loup RAKHO­DAI, Marie ROUYER, Johanna SOUDRY, than-Tuyen TRAN, Mathilde VUILLEMENOT, Romain WARNAN, Stéphane WOJEWODA.

www.IIHIIItlglfYTB.tr

Concours des Maisons et Balcons Fleuris 2002

La prime annuelle aux mains vertes

Les 92. participants au 17• concours des Mai­sons et balcons fleuris ont été récompensé par _!Jne remise des prix et un buffet-cock­tail organisés à l'Hôtel-de-Ville, le vendredi 11 octobre dernier. Jean-Luc Grattepanche, élu délégué au Patrimoine et au Cadre de Vie, a inauguré la soirée en adressant ses remerciements à tous ceux qui font de Montigny une ville fleurie et agréable à vivre. "Je me réjouis de la forte participa­tion et je pense que le travail des services techniques pour l'embellissement de la vil­le favorise le respect des lieux publics et constitue un bon moteur pour la commu­nauté". Si le concours est un travail de longue durée, puisque les gagnants ont at­testé de leur travail au printemps et à la rentrée, les jardiniers ont été secondés par un bel été pluvieux qui a verdi les jardins ! Colette, 42 ans, habite le Plan de Troux et a remporté pour la 4' année consécutive le pri x de la plus belle maison fleurie. "Je pas­se 2 heures par jour dans mon jardin pen­dant les plantations mais je plante pour

mon plaisir, pas spécialement pour le concours". Roger, 74 ans, habite le quartier du Plan du Troux et a gagné la 2 • place en avouant : "tout alsacien qui se respecte cul­tive son jardin ! L'Alsace est le pays des fleurs car elles sont l'âme de la maison qui doit être colorée et décorée pour vous ac­cue illir et égayer vos hivers". Marie-Thérè­se, 76 ans, vit au quartier des Prés et a été inscrite par surprise par son mari. "J'ai dû faire un effort supplémentaire cette an­née! Pour moi, un appartement sans fleur est triste, elles apportent lumière et cha­leur à l'intérieur", a déclaré la gagnante du fleurissement en immeuble collectif. La ré­sidence "Le Clos de Montigny", représentée par Mme Ghisolfo et M . Delorme, a troqué une habituelle place .de 1" contre une 3• pla­ce tout en annonçant : " la 1• place sera le challenge 2003 ! Notre but est de créer une vie en collectivité par le jardinage, qui reste une démarche très conviviale". Vous êtes tous invités en 2003 pour la 18' édition de ce rendez-vous fleuri !

Le Palmarès Immeubles collectifs, balcon?, terrasses ·

1. Sylvie LEDREN 2. Geneviève GODDET 3. Simone SPEEL

Immeuble collectif, jar­din en rez-de-chaussée

1. Gérard MINDER 2. Gérard HENRY

Maison avec jardin 1. Marie COCOZZA 2 . Roger MORITZ 3· Evelyne VERSMISSE 4. Angela MONTEIRO s. Colette LORGE

Maison avec balcon ou terasse

1. Monique VALLIER 2 . Sandrine LENNE 3. Odile GIACINTI

Ensemble urbain collectif

1. Résidence Saint-Quentin centre ville représentée par Marie-Thérèse LEBON

2.. Résidence Mail des Thuyas représentée par Marie-Josée CHARRON

3. Résidence Le Clos de Montigny représentée par Marc DELHOMME

Le CCAS bien aidé Le Centre communal d'Action sociale peut aussi compter sur la solidarité directe des associations et des particuliers pour mener sa mission de soutien aux familles dans le besoin . Ainsi le Club de l'Amitié a-t-il tenu à clore de la meilleure manière son initiati­ve lo~de la ·dernière Cavalcade, en rever­sant à l'organisme social communal le pro­duit des ventes des "Monti" que les petites mains avaient patiemment découpés et cousu ~ pendant les semaines précédant la fête. Le 11 octobre dernier à l 'Hôtel-de-Vil-

le, Jean Quémard (c i-dessous à gauche), le président de l'association des seniors igny­montains, a remis un chèque à Michel Lau­gier, 1" adjoint chargé de l'Action Sociale. Quelques jours auparavant, ce dernier avait aussi reçu l'obole de trois étudiants du centre Delorosoy (ci-dessous) organisa­teurs d'un tournoi de football au stade Ro­ger Couderc le 25 mai dernier au profit de l'organisme communal (voir notre édition de juin).

L 'ignymontain www.-usiiYT&.fr

Les nouvea~ux habitants Paroles d'arrivants

.en balade instructive Sandrine, 27 ans et Jean-Marc, 32 ans Habitent les Pres

8o nouveaux ignymontains étaient ·ac­cueillis à l'Hôtel de Ville le samedi 5 octobre. Au programme matinal était inscrite la dé­couverte de la ville en compagnie des Élus municipaux. Le service événementiel avait réservé 2 cars pour parcourir la ville, au gré d'une balade forcément riche en informa­tions pour des familles nouvellement instal­lées.

Au fil des quartiers

"On a découvert des quartiers que l'on ne connaissait pas. A plusieurs reprises on avait vu des voitures à la Ferme du Manet sans avqir l'occasion de visiter. En venant de Toulouse , on avait des a priori sur la banlieue parisienne mais nous sommes rassurés, Montigny est une ville très verte ! "

Nicole, 61 ans, Habite le Village

Chaque quartier est conçu pour "vivre" en autonomie grâce à ses équipements sco­laires, culturels et sportifs, ainsi qu'aux commerces de proximité. La ville a d'ailleurs reçu le label national de la petite enfance de 1991 à 1995 pour le nombre de ses struc­tures d'accueil. Le travail des services tech­niques sur la qualité de l'environnement comme le fleurissement des ronds-points a été particulièrement remarqué. Le quartier du Pas du Lac, dernier espace en cours de construction avec la ZAC du Village, est le quartier d'affaires où résident de nombreux sièges ~ociaux et qui accueillera bientôt le nouveau bâtiment des Archives Départe­mentales.

Les nouveaux habitants ont découvert notamment l'ampleur et le rythme du chantier du centre aquatique, dont ils pourront pro(tter dans quelques semaines.

" La visite a été très agréable. Je suis bientôt à la retraite et avec mon mari nous avons choisi Montigny car c'est une ville qui offre t outes les commodités. Nous aimons aussi marcher, et la ville et ses environs sont idéaux pour ça. "

3 arrêts culture et loisir La visite en bus était ponctuée de plusieurs arrêts sur site. Première halte, la Ferme du Manet, que la ville a racheté en ruine en 1984 dans le but de la réhabiliter. 6 années

de travaux ont permis de transformer les ruines du domaine agricole en fer de lance du patrimoine communal, mêlant moderni­té et tradition. Un lieu de travail, de loisirs, de fête et de promenade à l'orée de la forêt de Port Royal. Avec l'Eglise Saint-Martin si­tuée au cœur du vieux village, ce sont les 2 plus anciens sites de la ville dont on retrou­ve des traces dès 1206. Le deuxième arrêt

L'AMI hôtessepdes étudiants étra r:1gets

Chaque année, des étudiants étrangers sé­journent à l'université de Saint-Quentin dans le cadre du programme européen Erasmus. Accueillis au long d'un semestre ou d'une année pour un cursus à la françai­se, ils entrent à la fac avant leurs homo­logues français et commencent par un sta­ge intensif de français. Pour la troisième année, l'Association Montigny Internatio­nal (AMI) participe elle aussi à cette for­mation préalable en proposant aux étu­diants de résider une semaine dans urie fa­mille d'accueil. La formule est bien rôdée grâce aux famillés ignymontaines adhé­rentes de l'AMI qutse prêtent volontiers au jeu. Le 2.4 septembre dernier, les étudiants · fraîchement débarqués et leurs familles d'accueil étaient réunis par Marie-Thérèse André, présidente de l'association, et Mi­chelle Parent, conseillère municipale char­gée des Jumelages. pour un pot de l'amitié dans les nouveaux locaux de l'AMI aux Prés. Pour Michelle Parent, cette immer­sion en famille est réellement bénéfique aux étudiants. "Tous ne parlent pas et ne

comprennent pas parfaitement le français. La semaine en famille les met complète­ment dans le bain avant le début des cours. Ces étudiants suivent le même cursus que les étudiants français, sous la houlette de professeurs français. Ils poursuivent les études ql!'ils ont entamées dans leur pays, économie, science politiques, histoire, et il doivent donc intégrer correctement la langue française pour suivre le programme qu'ils ont à assimiler." Une opin.ion parta­gée par Christian Da Izon, le professeur co- . ordonnateur du programme Erasmus à l'université de Saint-Quentin, présent au milieu de ses étudiants le 24 au soir. La vie sociale des étudiants, venus cette a.nnée d'Espagne, de Grèce, d'Ukraine, d'Angleter­re, de Pologne et de Norvège, concourt pour beaucoup dans la réussite de leur sé­jour. C'est pourquoi l'initiative de l'AMI leur ouvre aussi les portes d'autres contacts avec les familles et les jeunes fran­çais tout au long de l'année, lorsqu'ils au­ront pris leurs habitudes dans la résidence universitaire où ils ont leurs quartiers.

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s'effectuait au Conservatoire Municipal d'Arts Plastiques, qui propose au centre vil­le de nombreuses activités d'initiation artis­tique à la peinture, au dessin, à la sculpture, à l'infographie, des expositions, des confé­rences d'histoire de l'art ... Le dernier arrêt fut la visite inédite du chan­tier du nouveau centre aquatique. Un bâti­ment intégrant design architectural de l'ar­chitecte Jean-Michel Ruols (concepteur no­tamment du parc Astérix) par sa luminosité, son espace et ses performances techniques. Une fois la matinée passée, c'est autour du pot de l'amitié que s'achevait avec succès la visite, qui aura permis aux nouveaux igny­montains de se rencontrer et de mieux connaître leur ville, leur patrimoine.

Amélie, 9 ans 1j12

Habite le Plan de l'Eglise "J'avais déjà vu le dessin de la piscine dans le journal mais j'étais pressée de sa­voir comment c'était en vrai. Ce sera super pour s'amuser et j'aime Monti­gny parce qu'on peut faire

L.•lliil •• plein d'activités."

Véronique, 44 ans et Jacques, 47 ans, habitent le Village "On a reçu un accuei 1 très chaleureux et c'est plutôt rare qu'une ville s'oc­cupe aussi bien de ses nouveaux arrivants. On ne connaissait personne en arrivant mais cette visite nous a permis de rencontrer un couple dans nos âges qui vient également d'emména­ger."

Isabelle, 42 ans et Stéphane, 43 ans Habitent le VIllage

"C'est mieux que de lire des brochures et plus pratique pour discuter de la ville avec les élus. On est moins dépaysé et très content d'avoir choisi de vivre ici pour les espaces verts et la vie dans les quartiers. Même notre chien est ravi ! "

Cava Ica de 2002 :

merci aux acteurs Si vous étiez nombreux à plonger dans le rythme débridé de la Cavalcade en juin, c'est parce qu'une forte mobilisation s'était opérée dans les associations, les écoles, les conseils de quartier, parmi les lgnymon­tains volontaires. Et il le fallait pour mettre sur pied et coordonner cette masse d'éner­gie et de créativité. Ces acteurs de l'ombre ou de la lumière étaient conviés à un dé­briefing gustatif le 27 octobre dernier au

centre sportif Pierre de Coubertin à l'appel du sénateur-maire Nicolas About et sa mu­nicipalité. Après les hommages d'usage, tout le monde s'est tourné vers le buffet, tout en suivant avec intérêt l'écran qui dif­fusait la vidéo souvenir de la fête. La cas­sette, au prix de 15,70€, est à commander auprès du service Evènementiel à l'Hôtel de Ville. Rens. : 01 39 30 31 38.

Autour du Sénateur-Maire à Coubertin le Zl septembre, la Municipalité a tenu à rendre un vi­brant hommage et trinquer avec les bénévoles acteurs de la dernière Cavalcade.

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L 'ignymontain www.montignylS.fr

Le tri des ordures ménagères passe la vitesse supérieure en janvier prochain. Toutes les communes françaises doivent trier le papier~ le verre et les emballageS. Vous triez d~à les deux premiers depuis une dizaine d~années~ le prochain système de collecte dans les quartiers vous invitera à trier également tous les types d~emballages.

Tri sélectif • au tour •

des emba liages Dans deux mois, à partir du début de l'an­née prochaine, c'est une petite révolution qui se mettra en place dans les quartiers. Pavillonnaires ou collectifs, tous sont concernés par le nouveau mode de collecte des ordures ménagères. La législation natio­nale oblige en effet désormais les com­munes de France à organiser le tri sélectif des trois matériaux suivants : le verre, le pa­pier et les emballages. L'objectif premier est environnemental. Il faut trouver des pa­rades au traitement des volumes croissants de déchets. Les décharges sont aujourd'hui interdites, l'incinération a un coût impor­tant en terme financier et écologique. Le re­cyclage constitue donc une alternative sé­duisante et surtout rationnelle. On refait du papier, du verre ou des emballages en plas­tique à partir de celui que l'on jette. Le prin­cipe est respectueux de l'environnement et, bien appliqué, peut engendrer des écono­mies. Il fait aussi appel au sens citoyen de chacun. A Montigny, ce sens civique a donc

été aiguisé depuis 10 ans. Vous avez pris de bonnes habitudes dans le tri du papier et du verre, qui sont autant d'atouts au moment de faire un pas supplémentaire en ajoutant un nouveau matériau volarisable à la collec­te sélective. Il s'agit en quelque sorte du lan­cement du troisième étage de la fusée, le "tri tri ".

Des conteneurs à la place des sacs en pa vi lion

Un dispositif de sensibilisation est program­mé dans les prochaines semaines pour expli­quer clairement comment la nouvelle col­lecte va se mettre en place. Le principe du porte à porte est maintenu dans les quar­tiers pavillonnaires (voir ci-contre l'inter­view de Jean-Luc Grattepanche). Vous rece­vrez prochainement dans votre boîte aux lettres un premier guide d'information, sui ­vi d'un autre document diffusé en même

Les trois conteneurs seront livrés chez les habitants des zones pavillonnaire! le mois prochain. Ce· lui de gauche ûaune-180 litres) est bicompartimenté pour le papier et les emballages. Celui du centre (gris-120 litres) est destiné aux ordures ménagères. Celui de droite (vert-50 litres) vous permettra de trier le verre et peut s' imbriquer dans le conteneur gris.

temps qu'une série de conteneurs propres à faciliter le geste de tri. Dans la réalité, l'organisation reste donc si­milaire au fonctionnement actuel. Pour vous faciliter les choses, la Municipalité a néanmoins choisi de doter les foyers en pa­villons de conteneurs plutôt que de conser­ver les sacs distribués chaque semestre. Si vous habitez en appartement, le local pou­belles de votre immeuble sera équipé de conteneurs adéquats. La société Sita, désignée dans le cadre d'un nouveau marché public, reste en charge du ramassage des ordures ménagères. Seules les ordures ménagères sont incinérées à l'usine du SIDOMPE (le syndicat intercom­munal gestionnaire auquel adhère Monti­gny) à Thiverval-Grignon. Le verre, le pa­pier et les emballages sont quant à eux triés en vue de leur recyclage au centre de tri de Buc.

En pavillon La société Plastic Omnium vous contacte­ra au cours des deux prochains mois pour étudier avec vous vos besoins et vos contraintes en matière de conteneurs. Ces derniers vous seront livrés au tout début de l'année avec un guide du tri détaillant clairement comment procéder au tri et quels jours sortir vos conteneurs spéci­fiques.

En immeuble Votre local poubelles va simplement s'enri­chir d'un nouveau conteneur à double compartiment destiné aux emballages et au papier. Vous pourrez alors procéder au dépôt, à votre convenance et à votre ryth­me comme aujourd'hui.

Un code de couleurs (vert pour le verre, jaune pour les embal­lages et le papier, gris pour les ordures ménagères) vous per­mettra de placer vos déchets dans les bons conteneurs.

Jean-Luc Grattepanche,

adjoint charge de l'environnement

L'lgnymontain : quelles sont les disposi­tions prévues par la Municipalité pour gagner cette nouvelle bataille du tri à Montigny?

JL Grattepanche : nous avons à Monti­gny la chance que les habitants soient fa­miliarisés au geste du tri depuis 10 ans. Pour les emballages, l'organisation dans les pavillons sera légèrement différente, avec la fourniture de conteneurs à la pla­ce des sacs. Mais l'essentiel est fait dans l'habitude que chacun a pris peu à peu au fil de ces 10 années. Le nouveau système va doter les pavillons de conteneurs, c'est en fait l'unique évolution importan­te à appréhender pour les usagers, avec l'instauration d'un calendrier de collecte légèrement modifié par quartier. Le but n'est pas de changer pour changer. Trier doit devenir pour chacun un geste natu­rel au quotidien. La contrainte est fi nille­ment peu importante au regard des en­jeux en terme d'environnement.

L'/. : qu'est-ce qui change concrètement pour ces derniers ?

JL G.: les foyers en appartement sont in­vités à séparer le verre, le papier et tous les emballages en plastique et en carton . Ils trouveront dans leur local poubelle un conteneur collectif supplémentaire où déposer ces derniers. Les foyers en pa­villons recevront au tout début de l'an­née une série de trois conteneurs. Un de 120 litres pour déposer les ordures ména­gères, un second de 18ol. constitué de deux compartiments, un pour les embal­lages et l'autre pour le papier. Enfin un troisième plus petit et encastrable desti­né au verre .. Un nouveau calendrier de ramassage par quartier leur indiquera les jours de sortie pour chacun des conte­neurs. Les ordures ménagères seront ra­massées deux fois par semaine au lieu de trois, au profit d'un ramassage par se­maine du conteneur destiné aux embal­lages/papiers.

L'/. : la taxe d'enlèvement des ordures ménagères va-t-elle augmenter ?

JL G. : le dispositif devient plus coûteux, à cause notamment de la complexité de la collecte, de la conteneurisation et du tri des emballages. L'augmentation de la taxe d'enlèvement des ordures ména­gères restera néanmoins limitée, en par­ticulier si le tonnage de déchets triés est en croissance significative .

'Rou.i:quoi trier ? LI! ft~Jtvtté ~ <.ftS"tt

, ..

La vi lie nouvelle s'achève, l'agglomérati_on voit le jour

Trier ses ordures ménagères, c'est faire un geste utile pour soi et pour les autres. Une ma­nière moderne et personnelle de contribuer à la protection de l'environnement.

) /

Ut -terre 9vt 011.t frtstrvt Le tri rime avec économies d'énergie et de ressources naturelles. C'est une réalité que l'on est capable de mesurer. En 1960, chaque français produisait 200 kg de déchets par an. En 1998, ce ciffre atteignait 430 kg. Selon l'Organisation Mondiale de la Santé, la pollution atmosphérique cause davantage de décès que les accidents de la route.

Uf ~Ù ~ l"leJCi'f<.Jt Rares sont les choses de la vie quotidienne qui nous donnent l'occasion d'influencer le cours des choses. Et pourtant, trier ses déchets, c'est changer le destin de nos emballages en leur permettant de réapparaître sous forme de produits recyclés. 700 à 8oo kg de pé­trole brut sont économiés pour une tonne de plastique recyclée. L'an dernier, soo ooo tonnes de bois sont restées dans les forêts grâce aux mitions de boîtes et paquets récu­pérés par les trieur~.

L'organisation de la collecte des encombrants, des déchets toxiques et le dépôt des déchets verts aux Services Techniques (voir en page 2) restent inchangés.

Rendez-vous dans notre prochaine édition pour la suite de ce dossier

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Deux décrets de l'Etat officialisant la fin de l'opération d'intérêt national (01 N) et prononçant la dissolution de I'EPA (Eta­blissement Public d'Aménagement), ont fixé au 31 décembre prochain l'entrée de Saint-Quentin-en-Yvelines dans le droit commun. Pourtant, en pratique, le déve­loppement de l'agglomération ne va pas s'arrêter du jour au lendemain . A Montigny comme dans les six autres communes de Saint-Quentin, de nom­breux chantiers sont encore en cours, d'autres comme la ZAC Sud-Village ou celle du Pas-du-Lac ne sont pas encore to­talement sortis de terre. Pour assurer cet­te continuité, l'Etat et les Elus locaux éla­borent depuis plusieurs mois trois conventions, stratégiques pour l'avenir de Saint-Quentin-en Yvelines. La première concerne le contrat de déve­loppement, par lequel l'Etat s'engage à poursuivre ses interventions locales pour des opérations particulières pendant en­core s ans. Le SAN et les communes, qui ont pour mission à compter du 1., janvier 2003 la charge de poursuivre le dévelop-

pement et l'aménagement de l'agglomé­ration, devront s'entendre avec l'Etat sur les opérations devant faire l'objet de sub­ventions exceptionnelles (à hauteur de 23 millions d'euros). Le budget global de ce contrat de développement est estimé à 76 millions d'euros. La seconde concerne la convention de sortie signée entre l'Etat, le SAN et I'EPA, qui a pour but de préciser les principes du transfert des responsabilités de l'aména­gement de I'EPA vers le SAN et les com­munes, la cession des biens immobiliers, des terrains ... La 3• convention concerne "l'agrément" lié aux implantations d'acti­vités dont la ville nouvelle était jusqu'à présent dispensée. Après la signature de ces conventions et décrets, I'EPA sera of­ficiellement dissout et une cellule de li­quidation sera mise en place pour deux ans. Le SAN, qui orchestre la gestion ur­baine et le développement des équipe­ments publics de Saint-Quentin, va ainsi devoir faire face à de nouvelles missions d'aménageur et de développeur dès le dé­but 2003 à la place de I'EPA.

Au dernier Con sei 1

Un budget su pplémen­taire d'ajustement

Le dernier conseil municipal se tenait le lundi 7 octobre denrier à l'Hôtel-de-Ville. L'assemblée a notamment voté le budget supplémentaire de l'exercice 2002, qui ajuste les prévisions de dépenses et de re­cettes et intègre les résultats du compte administratif de l'exercice 2001. Dans un souci d'identification pour les usa­gers, le conseil a également voté la déno-

•· Catherine Baston i entre au Conseil

la séance du Conseil Municipal du 7 oc­tobre s'est ouverte sur une minute de si­lence respectée par l'assemblée au sou­venir de Ferdinand Rayon, décédé ré­cemment des suites d'une longue mala­die. Comme le veut la règle, Catherine Bastoni sa remplaçante a pris ses fonc­tions dans les rangs de la majorité muni­cipale. Résidente du quartier du Plan de Troux, 39 ans, ingénieur, mère de 3 en­fants, elle siège à la Commission Famille. Par ailleurs, Armelle Aubriet remplace Ferdinand Rayon au conseil d'école Charles Péguy, et Jean-Luc Grattepanche le remplace au sein du Conseil d'adminis­tration du collège des Prés.

EN BREF

10 ans de I'UNC et commémoration

du 11 novembre La section des Anciens Combattants de Montigny fêtait ses dix ans le samedi 12

octobre à la Ferme du Manet, sous la présidence du lieutenant-Colonel en re­traite Raymond Lebon. Les convives étaient très nombreux à ce dîner-dan­sant, et le conseil municipal bien repré­senté autour du Sénateur-Maire Nicolas About, ainsi que le président départe­mental de I'UNC Gérard Colliot. Lundi 11 novembre prochain sera com­mémoré l'armistice de la Première Guer­re mondiale. A Montigny, les anciens combattants et tous ceux qui veulent se souvenir (les enfants sont vivement in­vités à s'associer) ont comme à l'accou­tumée rendez-vous pour le départ du cortège devant la salle Ja<:ques Brel à 10h45. La cérémonie officielle se dérou­lera au Monument aux Morts de la ville, au son de la fanfare municipale, puis se poursuivra dans la rue de l'Ancienne Mairie devant la stèle honorant les Ins­tituteurs et au cimetière face à la stèle du Soldat inconnu. La commémoration s'achèvera autour du verre du souvenir à l'Hôtel-de-Ville pour tous les partici­pants.

mination des parkings publics du centre vil­le (créés ou en construction), actuellement désignés par des numéros. Le Po/P1 devient le parking du Centre, le P2/P33Ie parking de l'Aqueduc, le P3 le parking Etienne Marcel, le P6 le parking Joël Le Theule, le P10 le parking de la Gare, et le P34 le parking Bièvre. Le Conseil a également entériné la création d'une commission consultative des services publics locaux, interrogée en particulier sur les délégations de service public concédées par la ville. L'instance est composée de cinq élus (Suzanne Blanc, Marie-Noëlle Tha­reau, Armelle Aubriet, Elisabeth Lefèvre, Bernard Bitu), et trois représentants du secteur associatif (Mme Régnier et MM Frugier et Mai Quoc). La convention avec l'Agence locale de Maî­trise de l'Energie de la ville nouvelle a éga­lement été officialisée. Elle a pour objet principal de · proposer une permanence mensuelle gratuite à l 'Hôtel-de-Ville (le 3• mercredi du mois de 17h à 2oh), pour aider et conseiller les usagers dans la gestion de leur consommation d'énerg ie.

Soutien scolaire à la Maison de la Réussite La Maison de la Réussite propose un soutien scolaire ayant pour objectif de renforcer les acquis pour les collégiens et les lycéens de Montigny le Bretonneux qui rencontrent des difficultés dans certaines matières. Collégiens : français, anglais, math, alle­mand, le soir de 17 h oo à 18 h 30. Tarif tri­mestriel de 15 à 30€ selon quotient. Lycéens : français pour les 1"', math pour les secondes,- anglais pour les seconde, 1•" et terminale, allemand pour les seconde, 1•'• et terminale, le soir de 17 h 30 à 19 h oo. Tarif de 18,75 à 37,50€ selon quotient) Rens. ou Inscription : Maison de la Réussite 10, rue Charles Linné Tél.: 01.30.43-43.39 Mel: [email protected]

personnes âgées, handicapées

Améliorer son habitat grâce au

CCAS et PACT-ARIM Pour vivre chez vous dans de bonnes condi­tions de sécurité et de confort, peut-être vous faut-il adapter ou améliorer votre lo­gement. Le CCAS (Centre Communal d'Ac­tion Sociale) de Montigny a chargé le PACT­ARIM des Yvelines, association à but non lu­cratif spécialisée dans l'amélioration de l'ha­bitat, d'une mission de conseils personnali­sés, techniques et d'une assistance adminis­trative et financière auprès des personnes âgées et handicapées.

Pour quels types de travaux ? -adaptation d'une salle de bains -création de sanitaires - installation d'un monte-escalier - installation d'une rampe ou d'une main courante -accessibilité intérieure et extérieure - réfection des sols (sécurité) - remplacement ou création d'une installa-tion de chauffage - mise aux normes de l'installation élec­trique - réfection de la toiture, etc. Attention, des conditions de ressources sont nécessaires pour prétendre à des aides. vous ne devez pas avoir commencé les travaux AVANT d'avoir obtenu les accords de finan­cement. Se munir des deux derniers avis d'imposition . - PACT-ARIM des Yvelines au 01 39 07 78 51 ( lundi au vendredi de 9h à 12h). - CCAS au 01 39 30 30 20.

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L 'ignymontain www.IIIOIItigfiYlB.fr

Le CMJ change de présidente

De Carole à Alizée, le CMJ conserve une présidence féminine et de caractère. Après avoir travaillé avec la persévérante Carole et ses vices-présidents sur plusieurs dos­siers aujourd'hui bien entamés, la jeune as­semblée s'est en effet désignée le mois der­nier une nouvelle présidente en élisant Ali­zée Ortunez, 12 ans 1/2, jeune résidente de la Sourderie et collégienne à Bergson. Elle qui se définit comme passionnée, voire bu­tée, bavarde, sportive et dynamique, en­tend bien pousser le CMJ sur les projets ac­tuellement entamés. "Le skate parc est en bonne voie, de même que l'organisation du concours d'expression pÎ'cturale et le parrai­nage d'enfants du Tiers-Monde qui nous tient particulièrement à- coeur. Chaque membre de notre assemblée est un pilier in­dispensable au CMJ, la présidente comme les autres. Je veux bien représenter les jeunes qui m'ont élue". Son caractère bien trempé devrait lui permettre d'y parvenir sans encombre.

Alizéè a succéaé ,,ur ~es 6 prochains mois à carole aans le rôle ae présidente au conseil Municipal aes Jeunes.

EN BREF

La SEVESC relève les compteurs

La société de distribution d'eau SEVESC procède actuellement et jusqu'à la fin de l'année aux relevés annuels des comp­teurs d'eau. Elle passera donc au domici­le de chacun jusqu'à cette période. Les préposés de la SEVESC sont tous vêtus d'une tenue de travail identifiable, et munis d'une mini-ordinateur portable spécifique ainsi que d'une carte d'identi­té de service que les clients peuvent se faire présenter.

Elancourt pour Guyancourt ...

Dans son éditorial du mois dernier, Ni­colas About revenait sur le dossier réali­sé en juin dernier par l'hebdomadaire L'Express, pointant Montigny-le-Bre­tonneux en tête d'un classement des villes yvelinoises de plus de 20000 habi­tants. Les comparant notamment aux résultats des autres villes de Saint­Quentin, i l attribuait le résultat d'Elan­court à celui de Guyancourt et vice ver­sa. Il fallait donc lire : Elancourt, 8• (les "harmonieuses") et 10• (les "enraci­nées"), et Guyancourt 1o• et 14•.

Le gala d~ danse sportive annulé

Le gala international de danse sportive prévu le 30 novembre a été annulé. L'as­sociation de danse de salon Carnet de Bal, qui comptait proposer la 3e édition de ce gala de haut niveau au centre sportif Pierre de Coubertin, a dû renon­cer, pouT cause de concurrence avec le gala niçois le même soir.

La parole au groupe Montigny Plu riel le

Tarifs communaux (1) Ces derniers mois le Conseil Municipal a eu à ré­actualiser les "tarifs communaux", c'est à dire la participation financière des citoyens au coût des "services communaux" dont ils bénéficient. La fixation de ces tarifs est relativement libre. Elle constitue un acte important de politique commu­nale. Dans les débats du Conseil Municipal relatifs à ce sujet le groupe Montigny Plurielle a plusieurs fois exprimé son désaccord avec les choix retenus par la majorite municipale, en en proposant d'autres. Souhaitant expliquer aux citoyens de Montigny les raisons de ses préférences, Monti­gny Plurielle se propose de consacrer quelques ar­ticles de sa rubrique à ce sujet. Pour ce premier ar­ticle rappelons simplement quelques notions sur les services communaux : La commune de Montigny, comme toutes les communes, propose aux citoyens des "services". Certains de ces services sont imposés par la loi (par exemple le service de l'état civil, la collecte des ordures ménagères, ... ) et d'autres non (par exemple l'organisation de séjours de vacances pour les jeunes, de crèches ... ) . La proposition aux citoyens de tel ou tel service non obligatoire constitue déjà un premier choix politique. Il est motivé par [a conviction que ces services (par exemple le soutien à l'éducation) se­ra non seulement bénéfique aux individus qui l'utilisent, mais aussi à la collectivité (prospérité économique, paix et justice sociales, solidarité ... ) . Chacun de ces services a, bien entendu, un coût. Ce coût est supporté, dans des proportions di­verses, par trois types de ressources : - des ressources que la commune a la possibilité d'affecter comme elle l'entend (certaines dota­tions nationales, certaines taxes ... ), - des ressources que la commune doit affecter à un service, voire à un projet, bien déterminé (sub­ventions nationales, régionales, départemen-tales ... , taxe d'enlèvement des ordures ména-gères ... ) - les participations des utilisateurs au coût des services. Ces "participations" sont déterminées par le

Conseil Municipal et constituent les "tarifs com­munaux". Le "prix" d'un service communal peut donc varier, pour son utilisateur, de zéro (gratuité) au coût total de revient pour la commune (et même, éventuellement, à plus que ce coût, dans l'éven­tualité, rare, où la commune voudrait tirer profit du service proposé). Pour beaucoup de services communaux (par exemple : cours de musique, pratique de sports ... ), le Conseil Municipal, considérant qu'ils sont bénéfiques à la collectivité, en fixe un prix in­férieur au coût de revient pour favoriser, plus ou moins fortement, leur utilisation par les citoyens. La commune prend ainsi à sa charge, pour cesser­vices, une participation financière, plus ou moins importante, à leurs coûts de revient. La détermination de cette participation, pour chacun des services communaux, constitue un deuxième choix politique du Conseil Municipal. Mais le Conseil Municipal peut aussi souhaiter, pour plus d'efficacité, favoriser l'utilisation de tel ou tel service de manière différenciée, suivant les caractéristiques de !•utilisateur. Par exemple, il peut juger utile de plus favoriser une activité pour les jeunes, ou pour les personnes âgées, ou pour les habitants de la commune, ... Il peut aussi souhaiter que certains services (par exemple la cantine scolaire) soient accessibles aux citoyens les moins riches de la commune moyen­nant un effort qui soit, pour eux, comparable à celui demandé aux citoyens de richesse moyenne. Le Conseil Municipal peut ainsi décider que la par­ticipation de la commune soit "catégorielle" en fixant des tarifs différenciés suivant les caracté­ristiques des citoyens (par exemple age, domicile, quotient familial. .. ). La différenciation des tarifs suivant les caractéris­tiques des citoyens constitue un t roisième choix politique du Conseil Municipal. Tous ces choi x politiques ne sont pas équivalents. Dans un prochain article, Montigny Plurielle ex­posera ses positions sur les tarifs communaux. Pour nous contacter : Montigny Plurielle, 15 rue de Bréhat 78180 Montigny le Bx. Email : [email protected].

L'ignymontain www.morrtignylB.fr

Fidèle à ses engagements pris lors du débat sur rarrêt PerrucheJ la Commission des Affaires sociales du Sénat dont le président nJest autre que Nicolas AboutJ vient de publier un épais rapport sur le handicap et sa nécessaire compensation par la JJsolidarité nationaleJJ. Un travail parlementaire qui fera dateJ dans la mesure où il comporte 75 propositions et{ou orientation,s fortes destinées à améliorer les conditions de vie des personnes handicapées et de leur tamilleJ une initiative quJa tenu à saluer personnellement le Président de la République (voir encadré) qui a tait du handicap run des trois chan· tiers prioritaires de son quinquennat. Ce rapport sénatorial vient en tout cas à point nomm~ à quelques semaines de rexamen par le Parlement du projet de loi de finances et de financement de la sécurité socialeJ et dans la perspective prochaine de rannée Z003J qualifiée dJ "année européenne des personnes handicapéesJJ···

75 propositions pour compenser le ha nd ica p Simplifier

Afin de simplifier la vie des personnes han­dicapées, en particulier dans leÙrs relations avec les administrations, le rapport sénato­rial propose de développer des " guichets uniques" à leur attention. Plutôt que d'éva­luer les déficiences, il s'agira de prendre en compte les besoins et les potentialités propres à chaque personne. L'analyse des besoins sera donc personnalisée, et devra conduire à la définition d'un "parcours de vie", réalisé en concertation directe avec la personne.

Choisir 1 i breme nt sa vie Pour cela, la Commission préconise la créa­tion d'une " allocation compensatrice indi­vidualisée " (ACI) garantissant aux per­sonnes handicapées la prise en charge ef­fective de tous les frais liés à leur handicap (aides humaines, aides techniques, aména­gement du logement). Cette nouvelle allo­cation serait calculée sur la base des besoins individuels de chacun et serait financée par l'Etat, au titre de la solidarité nationale. El­le se substituerait donc aux allocations ac­tuelles qui ne couvrent que très partielle­ment les besoins. Parallèlement, ces nouveaux moyens de compensation, mis à la disposition des per­sonnes handicapées, devraient s'accompa­gner d'une amélioration des services d'aide et de soins à domicile. L'acquisition des aides techniques (fauteuil roulant, contrôle d'environnement .. . ) serait facilitée par un meilleur remboursement de la part de l'as­surance maladie.

Intégrer partout le handicap

ACCESSIBILITE des BATIMENTS Tous les bâtiments neufs destinés à recevoir du public sont censés répondre à des normes d'accessibilité strictes, Pourtant, certaines dérogations existent et la toi est encore trop souvent contournée. Le rap­port du Sénat propose de restreindre ces dérogations et de systématiser les contrôles d'accessibilité de ces bâtiments, avant leur ouverture. En cas de non-respect, les contrevenants se verraient imposer des sanctions financières, sous forme de cotisa­tions versées à un fonds d'accessibilisation de la cité. Concernant le privé, il est proposé d'instau­rer un quota de logements adaptés dans tous les logements HLM.

TRANSPORTS Devant la carence actuelle des transports, la Commission se prononce en faveur d'une mise en accessi bil ité progressive des t rans­ports en commun, sur une période limitée à 10 ans. L'Et at partici pera it au f inancement des surcoûts occasionnés. A chaque renou­vellement de leur flotte, les transporteurs publics seraient tenus d'acheter du matériel accessible. Par ailleurs, le monta nt des amendes pour non-respect des emplacements de station-

. nement réservés, serait sérieusement révisé à la hausse, afin de devenir dis­suasif.

EDUCATION Le rapport sénatorial propose d'inscrire dans la lo i le principe de l'obligation de scolarité pour tous les enfants handica­pés. La priorité de l'intégration scolaire en milieu ordinaire est réaffirmée. Dans la pratique, la Commission préconise de favoriser le. recrutement des C!uxiliaires d'intégration, d'augmenter le nombre de classes d'intégration coll~ctive (CLIS et UPI), d'accroître. le nombre d'enseignants spécialisés, et d'améliorer la formation des enseignants dans le domaine du han­dicap.

EMPLOI Afin de favoriser l'emploi des personnes handicapées en milieu ordinaire, la Com­mission propose d'introduire une obliga­tion de négociation, entre· les partenaires sociaux, tous les sans, dans les branches et les entreprises. Le nombre de contrats ai­dés par l'Etat (contrats initiative emploi et CEC) pourrait augmenter. Dans le privé, les entreprises de plus de 2.0

salariés sont actuellement tenues de res­pecter un quota de 6% de travailleurs han­dicapés. Toutefois, dans 37 % des cas, ce quota n'est pas respecté, les entreprises préférant s'acquitter d'une taxe. Afin de rendre cette obligation d'emploi plus effica­ce, la Commission propose de majorer pro­gressivement le montant de cette taxe. _ Dans le public, le texte prévoit d'instaurer la ·~ même obligation d'emploi que dans le pri­vé. En cas de non-respect, les trois fonc­tions publiques (Etat, hôpitaux et collecti­vités locales) se verraient infliger des sanc­tions financières, destinées à alimenter un fonds d'insertion spécifique. Par ailleurs, les conditions de recrutement par concours se­raient aménagées.

Certaines personnes handicapées tra­vaillent également en milièu protégé. ~fin . de décloisonner ce secteur, la Commission ' propose que l'on réforme le statut des ate­liers protégés, notamment pour permettre aux plus dynamiques d'eiitre eux d'évoluer vers des formules plus proches du secteur concurrentiel. Des passerelles entre les ate­liers protégés et les centres d'aide par letra­vail (CAT) seraient par ailleurs créées.

CITOYENNETE Les personnes handicapées sont avant tout des citoyens. C'est pourquoi, le rapport pré­voit plusieurs mesures visant à permettre l'exercice concret de cette ci toyen neté : mi­se à disposition des électeurs des bulletin s de vote en braille, mise en accessibilité prio­ritai re des bu reaux de vot e, sous-titrage obligatoi re des ém issions té lévisées de grande écoute.

Accueillir Afin de pallier le manque criant de places en institution, la Commission estime qu 'il est prioritaire d'effectuer un recensement pré­cis des besoins et de créer le nombre de

8

Monsieur le P1;ésident,

, . 1 ort' que la Commission d~s. Vous avez bien voulu m adresser e rapp . ... · . ( d Affaires sociales . d~ Sénat vient de consacrer à la politique de ~otnpe~.~a m~. u

'' !·

handicap. Je vouS en remercie.

Corrurie vous handicapées dans notre. :soc•eu:: également par une p· , olitiiqlj:e elles les moyens de

places nécessaires. Les efforts devraient porter en particul ier sur les places pour adultes, et sur les handicaps les plus lourds (autistes; polyhandicapés et traumatisés crâniens). Les établissements devront éga­lement s'adapter aux nouveaux besoins, liés au vieillissement des personnes handica­pées mentales. Enfin, la lutte contre la mal­traitance devra être renforcée.

Connaître Personne ne connaît à l'heure act uelle le nombre exact de personnes hand icapées en France. La Comm ission propose donc d'améliorer, en priorité, les out ils statis­t iques afin de mieux connaître cette popu­lation, y compris au niveau loca l, pour en faire un instrument d'aide à la décision. Par ailleurs, le handicap pourrait être élevé au rang de priorité de la recherche publique: Enfin, le développement des aides tech­niques pourrait être encouragé, notam­ment en permettant aux personnes handi­capées d'accéder elles-mêmes à des forma­tions diplômantes dans ce domaine.

A 11ssue de ses travaux, la Commission des Affaires sociales du Sénat a cohvenu qu' "une telle pollti<{!Je de com~sation du handicap ne pourrait pas: se fairce sans un

effort financier SUjPI consé­quent, et pose donc la q

tés que se donne notre;.p t-elle ajouté, "les déclar Prési­dent de la République du 14 j1:1illet sont des indications fortes, puisque la place etes personnes handicapées figure désormaïs au rang des trois grands chantiers du quin­quennat". Une proposition de loi devrait être déposée par la Commission des Af­faires so.cia les du Sénat, avant la f in de J'année.

f@ ttint@grêfit@ dY rt~pport ~

httpfi(Www .i@nêt.tr /f'à pjro1, J69/fOt=l09.htmf Compensation du handicap : le temps de la solidarité

Montigny et le handicap

La France doit relever en 2.003 le défi d'un nouveau regard sur les femmes et les hommes frappés d'une déficience grave et d'une nouvelle approche de la compensa­tion de cette déficience pour réduire le handicap. Chaque collectivité aura à son niveau à ef­fectuer une véritable révolution . Chaque service devra être rendu à l'en­semble des citoyens ; il devra donc être adapté aux capacités de chacun et non ré­servé aux seuls citoyens ayant les capaci­tés de l'utiliser. Tous les enfants devront pouvoir bénéfi­cier d'une formation assurée par l'éduca­tion nationale qui devra s'adapter et non considérer que l'éducation des enfants présentant une déficience relève d'autres institutions. Parce que chaque enfant porteur on non d'une déficience doit pouvoir accéder aux services de la commune ; la commune de­vra mieux adapter ses services aux capaci­t~s de tous ses enfants. Parce que chaque citoyen doit pouvoi r cir­culer, se garer, accéder aux différents sites et services de la cité. Nous renforcerons l'accessibilité de la cité et nous devrons

faire respecter les sites prévus pour lesta­t ionnement et l'accès des personnes à mo­bilité rédu ite. Parce que le trava il est reconnu comme un droit pour tout citoyen ; la commune contribuera à l'accès à l 'emploi de tous les lgnymontains. En bref, Montigny-le-Bretonneux ne se contentera pas de ses efforts actuels. Nous développerons avec l'aide, je l'espè­re, de la ville nouvelle du département et de l'Etat, une approche plus globale des besoins des personnes les plus handica­pées. Nous devons être capables de mettre en place un service de soutien à domicile souple et efficace pour tous ceux qui ne peuvent accomplir seuls les actes de la vie ·quotidienne. Nous devons veiller à ce que les autorités en charge des transports publics assurent bien avec la même efficacité le transport de tous. Nous devons individuel lement devenir respectueux des difficultés des autres, comme par exemple du respect des places de stationnement réservées aux per­sonnes handicapées. Au Canada ou en Eu­rope du Nord, aucune personne val ide n'oserait (ne serait-ce qu'une minute) oc­cuper une place réservée aux personnes handicapées. Les Français sont-ils dessau­vages? Nous devons enfin, et nous le ferons, as­sumer collectivement le coût d'une répon­se adaptée aux difficultés qui handicapent trop de nos concitoyens. La marginalisation en institution, l'aban­don à la seule charge des familles, la néga­tion de leur existence ont été et restent encore trop souvent la réponse de notre société au combat que mènent les femmes et les hommes handicapés ; notre commune prendra sa part de l'effort qui sera demandé à l'ensemble de notre pays pour une plus grande justiEe et un plus grand respect de la personne humaine.

Nicolas About

Une ville pour tous Un peu facilement, par désintérêt souvent, on assimile le handicap à une seule réalité, alors que la situation des personnes handicapées dans la cité recouvre des réalités bien différentes. Vivre dans là ville n'engendre pas les mêmes difficultés selon qu'on se ~épia­ce en fauteuil, qu'on est non-voyant, sourd, ou qu'on présente un handicap mental. La chose est évidente, encore est-il bon de la rappeler. La municipalité entend s'engager, dans la lignée des 75 propositions du rapport parle­mentaire, à établir un diagnostic sur la commune et travailler à une meilleure prise en compte de la réalité quotidienne des personnes handicapées. L'accessibilité dans les lieux publics, les commerces, le déplacement, les services spécifiques. Un travail de recense­ment minutieux va être effectué et sera répertorié dans le prochain guide pratique de la ville, puis s ur son site internet. La ville a besoin de vous pour mener à bien ce travail de fourmi. Vos propositions, vos réactions, vos informations, vos suggestions sont bienve-

nues au : 01 39 30 31 98 . ou sur le mel : [email protected]

La MIJ interpelle. sur la ; . ; . . ' secur1te rout1ere

Le 2.3 octobre denrier, dans le cadre de la journée nationale de l'Information Jeunes­se, Montigny lnfo Jeunes montait une opé­ration "tolérance zéro" sur l'i nformation en mat ière de sécurité routière dans le ha ll d'accueil de l'Hôtel-de-Ville. Il s'ag issa it de

solliciter les usagers sur leur niveau de connaissance dans le domaine, et traquer les petits relâchement s dont chacun fa it preuve avec les règles de condu ite. Plus de 200 j eunes et adultes se sont vo­lontiers prêt és au j eu du rant l'après-mid i, par l'intermédiaire de questionnaires, sous la houlette volontai re des membres du Consei l M unicipa l des Jeunes et de la Poli­ce municipale. Question nai re axé pl us spé­cifi quement sur les règles essentielles et le pi lotage de deux-roues pour les jeunes, et questionnaire plus pointu pour les adultes, avec quelques colles sur les temps de frei­nage, les pénalisations du permis à point. Cette après-midi "commando" aura en outre permis au CMJ et à Montigny lnfo Jeunes de se faire connaître auprès du grand public. Que du positif donc. ..

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Florence Gossiaux, ignymontaine ·

"Il fa ut être corn bat if tous les jours"

Florence Gossiawc reconnaît que son mental de sportive de haut niveau et sa profeSSion de PSY· chologue clinicienne l'ont préparée à assumer son handicap dans la vie quotidienne.

"Il faut être combatif". Pour tout dire, on donnera acte à Florence Gossiaux du sens de ses mots. Comme toute personne clouée dans un fauteuil (pour elle, c'est un accident de voit ure à 15 ans et la tétraplé­gie), elle sait ce qu 'affronter l'adversité si­gnifie. Le regard acier montre un peu de ce mental trempé, qui n'est forcément pas pour r ien dans. son parcours de sportive de haut niveau (voir ci-dessous). La quiétude de sa voix révèle aussi la sérénité, forgée dans sa formation puis son métier de psy­chologue clinicienne.

La volonté d'être autonome

Lorsque Florence Gossiaux revient sur les 2.0 dernières années de sa vie, elle recon­naît qU'elle ne porte plus aujourd'hui le même regard sur son handicap. "Pendant longtemps, j'ai choisi de le relativiser. C'était un moteur pour avancer, une vo­lonté farouche de ne jamais vouloir être dépendante. Pendant mon parcours scolai­re, universitaire, puis sportif, je me suis toujours considérée comme tout le mon­de. C'était une motivation. Je reconnais maintenant que ce parcours a été difficile, que mon tempérament combatif a été une chance". Plus que beaucoup de personnes valides, elle veut être maîtresse de son des­tin, et elle s'est donnée les moyens ·d'une vie ~e plénitude qu'elle goûte aujourd'hui: Jeune maman du petit Emile, dans un cadre urbain dont elle apprécie les ser­vices, aù carrefour d'échéances profession­nelles futures, Florence ne veut pas perdre de temps. "Nous autres non-valides avons besoin de plus de temps et d'énergie pour tout faire. Se lever, se préparer, sortir ... Mon temps est précieux, alors je ne veux pas trop le perdre en agacements sur les

travers de mes contemporains qui m'em­poisonneraient la v ie. Je sa is par exemple qu'il existe des handicaps invisibles, et qu 'une personne qui des~end debout d'une voiture garée sur une place réservée aux personnes non valides peut être cardiaque congénitale, ou asthmatique chronique".

La diversité des ren-contres, des activi~és

Pourtant, Florence s'avoue parfois énervée par certains comportements. Sur ceux-là, elle peut porter un regard moins nuancé. Comme la lourdeur de certaines adminis­trations mal renseignées, comme .ces places de parking aménagées mais pas as­sez larges pour sortir le fauteuil. Les amé­nagements spécifiques aussi, parfois .t-elle­ment mal conçus, comme ces plans incli­nés sans retrait qui vous envoient directe­ment dans une porte non automatique. "Je suis installée à Montigny depuis quelques mois, au centre ville, et il est vrai que l'en­vironnement ici a été relativement bien pensé en faveur des personnes non valides. Je peux aller pousser lej_andau d'Emile dans le parc tout proche, aller au centre commercial faire quelques courses. Pour­tant, nous ne sommes jamais à l'abri du pe­tit trottoir ou du bateau juste trop haut pour un fauteuil électrique". Le tempéra­ment optimiste revient lorsque Florence évoque la découverte de la ville et son pas­sage au forum des associations. "Un point positif est que ce n'est pas difficile ici d'al­ler à la rencontre des autres. J'ai été frap­pée par la diversité des associations et leur accueil. C'est important de savoir que je peux y avoir accès si j'en ai envie." Au-delà des trottoirs, cette intégration-là intéresse Florence. Et elle a beaucoup à apporter el­le-même.

Médaillée olympique Après son accident , Florence s'est tour­née vers le sport. Elle a découvert l'athlé­t isme handisport, en l'occu rrence la course sur 100, 2.00, 400 et Bo o m, jus­qu'à intégrer le cent re de haut niveau de Bouffémont. Elle ne cultive pas le culte de ses exploits et avoue se mélanger un peu dans ses titres nationaux et interna­tionaux. En fait, elle retient surtout ses souvenirs olympiques entamés en 19BB à Séoul par une médaille d'argent sur 2.09m. 4 ans plus tard aux JO de Barcelo-

ne, elle prend l'argent sur 1oom et le bronze sur Boom. Déception en 1996 où elle n'est pas sélectionnée pour Atlanta, ce qui la motive pour tenter un retour en 2.000 à Sydney où elle obtient sa sélec­tion en équipe de France et empoche le bronze sur 2.oom. La boucle est bouclée. Aujourd'hui, elle s'est tournée vers le tennis de table. Avec le même mental, et donc l'ambition de rejoindre l'équipe de France. Pourquoi viser· bas quand on peut espérer le plus haut ?

ï

(Les Prés )

Le clos des Prés vinifie

tot l'initiateur •• l'opération.

Il ne sera peut-être pas en vente dans les rayons de Carrefour ou chez les cavistes de la ville, pour autant le crû ignymontain vi­nifié au collège des Prés s'affiche aujour­d'hui comme une tradition . Il n'est pour s'en convaincre que de recenser les person­nalités et la presse venues assister aux ven­danges le 27 septembre dernier. Le Séna­teur-Maire Nicolas About, son premier ad­joint Michel Laugier et la presse locale avaient répondu à l'invitation de Martine Gainant le principal du collège. C'est donc sous la houlette de Jean Flattot, professeur de technologie aujourd'hui retraité, que trois classes du collège ont manié le séca­teur pour venir à bout des deux rangs de vigne. En préambule, ils avaient convoqué Georges Brassens en cha'nson sous la ba­guette de leur professeur de musique Alain Jung. Après la vendange, la leçon de chose s'est poursuivie devant le collège où était installé le pressoir. Les raisins fraîchement coupés ont d'abord été pressés à la métho­de artisanale, par les élèves volontaires pour y enfoncer les pieds nus, avant d'être introduits dans le pressoir afin de collecter

Le press•!• •• raisi• p us : 11e tra.itio• et u teMps fort pt~r les celli!ieu ••s Pris.

Il

le premier et précieux jus. Après la tournée générale de rigueur, il en restait encore pour une bonne trentaine de litres qui constitueront le millésime 2002 du Clos des Prés. Il n'est pas dit que le robuste cé­page 54/55 fasse un jour les délices de la commission d'attribution des appellations contrôlées, il est sûr en revanche que tant que la quarantaine de pieds de vigne du collège des Prés vivront, et tant que des élèves existeront, la tradition vinicole de Montigny prendra du corps. La même cho­se qu 'on demande au Clos des Prés.

La rentrée à la . MQ Malraux

La rentrée de la maison de quartier Mal­raux se tenait le 17 octobre dernier pour les riverains des Prés, invités à venir dé­couvrir les activités et les associations qui gravitent autour de la structure. Toute l'équipe de id directrice Nathalie Goud était à pied d'oeuvre tout au long de la soirée, notament pour informer les habi­tants sur les nombreuses possibilités d'ac­tivités et d'ateliers proposées pour tous les publics. La maison de quartier a no­tamment réactivé l'idée d'un sècteur fa­mille, piloté par Christian Le Hars, qui propose des activités et des vi sites régu­lières pour les adultes. En novembre, le groupe v isitera le Louvre ( le 6) , et les grands monuments de Paris à vélo ( le 13). Les inscriptions restent ouvertes.

Rens. : 0130 44 19 41.

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L 'ignymontain www.IIIOIIti911Y7B.fr

Les jardins familiaux remisent les bêches

Un espace à cultiver, une cabane au fond du jardin et beaucou p de convivialité, voici ce que propose l'association des Ja rd ins Fa mi­liaux de Mont igny. Toute l'année, chaque adhérent bichonne sa parce lle de terre atti­t rée, à son rythme et se lon ses goûts, sous la garde des 2 châteaux d'eau qu i dominent les jardins et inspirent peut-être les plantat ions. Une équipe de 7 personnes, choisies parm i les adhérents, assure à la fois tâches admi­nistratives, bon fonctionnement des instal­lations et animation de la petite communau­té. Fabrice Peslerbe, président de l'associa­tion, déclare : "je su is entouré d'une équipe très dynamique, désireuse de participer à la vie de l'association et qui me pousse à faire des choses nouvelles". Même s'ils se côtoient tout au long de l'année, échangeant lé­gumes et bons tuyaux pour le jardin, une centaine d'adhérents se sont rassemblés, le 23 juin dernier, pour la réunion annuelle de l'association sur le thème du barbecue géant. Ils ont mangé autour de longues tables, qui avaient été disposées dans les al­lées des jard ins, dégustant les légumes natu­rels de leurs jardins, fêtant l'arrivée de l'été

mais surtout le plaisir d'êt re ensemble. Tra­dit ionnellement, une remise des prix est or­ganisée à la mi-septem bre, en collaborat ion avec la mairie, propriétai re des terrai ns en charge de leur attribution. Elle récompense les pl us belles plantations, celles qui mélan­gent art f loral et potager. "C'est leur peti t bout de campagne qu 'i ls cultivent au 7 rue du Champ d'Avoine ! C'est aussi une activité conviviale, car tout le monde se retrouve ré­gulièrement et une heure de jardinage s'achève souvent par une heure de discus­sion ! ", ajoute Fabrice Peslerbe. L'hiver, les jardins s'endorment, mais les jardiniers ré­coltent encore les légumes plantés l'été comme les choux et les poireaux, qui rés is­tent au froid . Dès j anvier, les passionnés préparent leurs terrains pour l'arrivée du printemps, ils nettoient et fertilisent. L'asso­ciation vit donc en permanence, certains viennent le week-end ou tous les jours, d'autres préfèrent les soirs d'été plus agréables pour avoir la main verte. Chacun travaille donc en toute liberté et toujours pour partager un moment de joie et de bon­ne humeur en compagnie de ses voisins.

Mireille Boucherie succède Ferdinand Rayon

.... a

Les élus du Conseil de quartier des Prés ont appris avec consterna­tion la disparition de leur président Ferdinand Rayon. La maladie qui le frappait de plein fouet depuis plu­sieurs mois avait conduit Armelle

Aubriet à devoir assurer l'intérim à la prési­dence. Le 10 septembre, l'annonce du décès du président initial a suscité l'émotion dans l'assemblée de quartier (de même qu'au

conseil municipal - voir page 7), qui avait initié ses travaux et amorcé le travail d'équipe sous l'égide de Ferdinand Rayon depuis octobre 2001 .

Tous ont voulu faire part de leur émotion et et leurs condo­léances à l'adresse de la famille du défunt. Le 17 octobre, la Mu­nicipalité a nommé Mireille Boucherie, conseillère municipa­le résidant aux pour succéder à Fer-dinand Rayon. Mireille. BetcHrle

Les Conseils de quartier en sémi.naire le 30 novembre

Ils ne vont pas se contenter de souffler la bougie, le verre à la main. Un an après leur élection, les 9 conseils de quartier se re­trouveront pour une bonne séance de tra­vaille 30 novembre prochain. Une j ournée d'information et de réflexion, proposé par Jean-Pierre Dauvergne, adjoint au maire chargé et la démocratie locale et à ce titre coordonateur des conseils de quartier. Le matin, les présidents et vice-présidents se retrouveront pour un bilan de leurs aè­tions et un état des lieux des projets à ve­nir. L'après-midi, les 180 membres se fa mi-

liariseront avec les rouages des finances communales, de la démocratie de proximi­té et du processus de décision municipale sous l'égide de plusieurs adjoints au maire. Nicolas About assurant pour sa part la clô­ture des débats. Les conseils de quartiers vont être ces prochaines semaines en pre­mière ligne sur le dossier de collecte sélec­tive des emballages. Ils inviteront égale­ment le maire pour une réunion publique d'ici 1~ fin de l'année, et'vont aussi animer les quartiers à l'occasion des prochaines fêtes. Rude programme !

DANS LE4-' QLLARTIER._'

( Le Pas au Lac :)

La fête sous le solei 1

i $1 v. .. 4t~n4u lt ~tlt~l, tUN~ttl•l••t tt 1'~ .. " 4t_l• fttt 4t ~mtltt 4• Pta·4•·Lte, lltat tt•jma n Na· : 4u·v.•• 4 m jmttt 4tmtNttft 4• tu .. •t" tt 4t 4ttt•tt ~.., lea ~~~ltuta 4• ~mtltt,

Ne demandez pas aux organisateurs de la fête du Pas-du-Lac s'ils redoutent les nuages, ils ont banni ce mot-là de leur vo­cabulaire. De mémoire d'habitant, on ne

. se souvient plus quand une infortune cli­matique a pu perturber la journée de dé­tente proposée conjointement par le Conseil de quartier et la maison Henri Ma­tisse, le samedi 28 septembre dernier. Tous les ingrédients traditionnels d'une journée bien rythmée étaient à nouveau ·sur l'échiquier. Le petit train avait allongé son parcours (à faire pâlir d'envie plus d'un cheminot), la kermesse a trouvé son jeune public, les Cougars se sont joints à la fête avec force battes et balles de base

( La sourtlerle-sua )

Des nouveautés i la maison de quartier Louis Jouvet

Au côté d'Elisabeth Lefèvre, adjoint au maire déléguée à la Jeunesse, l'équipe de la maison de quartier Jouvet accueillait ses adhérents, les associations et les com­merçants voisins pour une soirée de ren­trée le 22 octobre dernier. Une petite centaine de visiteurs, pour lesquels il s'agissait d'abord pour l'équipe d'anima­tion de montrer la riche palette des acti­vités proposées par la structure toute l'année, en particulier les nouveautés. Un atelier d'arts plastiques accueille les en­fants le mercredi et les adultes le samedi, un atelier d'art déco vous invite à réaliser vos petits cadeaux personalisés sous la houlette créative de Magali. De même, le labo-photo noir et blanc renaît de ses cendres à compter de janvier prochain, à la fois pour les jeunes et les adultes, sous l'autorité de Fabrice. Après sa comédie musicale en juin der­nier, la MQ travaille . également toute l'année à la préparation de son spectacle final , axé en 2003 sur la danse et les ma­rionnettes, dont un atelier a également vu le jour. L'équipe d'animation dirigée par Gianna Belkadi a opté · cette année pour un thème condU<:;teur : les 4 élé­ments. C'est l'air qui s'y colle en premier le 6 décembre prochain lors d'une soirée "Ayez l'air de ... ", où l'on dîne (racletfe) et où l'on danse ... évidemment déguisés.

Rens. : 01 30 64 os 76.

L'641lpe 4e le ••lm 4e 4mtler, u treR4e for111t pm vou mullllr toit u lue 4e l'ande 4m ut utlvlth.

bali, les verres de l'amitié se sont souvent embrassés, .et le final s'est évidemment conclu en musique avec le groupe Ka­rib'son. Salsa, biguine, reggae .. .. et pun­ch .. . Tous les ingrédients d'une bonne journée (prolongée) au soleil.

( Le ·VIIIage )

Audi s'Installe

Un nouveau voiturier a fait son apparition en bordure de l'avenue des Prés. La société Audi a en effet choisi Montigny pour im­planter une nouvelle concession automobi­le, qui rejoint ainsi plusieurs concurrents dans le secteur. Le groupe inaugurait offi­ciellement ses locaux flambant neufs fin septembre, en conviant le Sénateur-maire Nicolas About ainsi que sa clientèle à un buffet autour des berlines de la marque.

( Saint-Quentin ) Le Crédit Mutuel i bon port

Le Crédit Mutuel a retrouvé pour sa part ses locaux au coeur du centre ville, après plu­sieurs mois de travaux d'agrandissement qui avaient exilé la banque mutualiste vers l'avenue des Prés. Le Sénateur-Maire Nico­las About a inauguré les locaux rénovés (et stratégiques) le 3 octobre dernier, en com­pagnie notamment du directeur de l'agence Bernard Gueguen et le président Daniel Pi­chaud.

L 'ignymontain www.IIWfltiglfYl&.fr

( Saint-Quentin)

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"Toutes 1 Nouv Il ,,

r met le pi d Montigny

Depuis un mois, l'hebdomadaire d'infor­mations locales "Toutes les Nouvelles" est revenu au coeur de la villé nouvelle, en ou­vrant une nouvelle rédaction au centre vil­le, en bordure du Canal dans la rue Fulgen­ce Bienvenüe. Un choix stratégique justifié par le retour dans les kiosques et chez les buralistes d'une édition spéciale Ville nou­velle chaque mercredi. La fermeture de la rédaction, précédemment située sur la pla­ce Pompidou, répondait alors à la volonté de l'éditeur de regrouper l'information saint-quentinoise dans l'édition de Ram­bouillet. La volonté du groupe Soc Presse, qui a pris les rênes de l'entreprise de pres­se, est à l'opposé. Il veut clairement se for­ger un lectorat fidèle, sur un territoire à conquérir pour la presse locale. David Ca­nova est le nouveau rédacteur en chef de

l'édition. Il couvrait auparavant la zone de Fontenay-Les Clayes depuis la rédaction versaillaise. A Saint-Quentin, il se retrouve à la tête d'une jeune équipe composée des journalistes. «Nous percevons une réelle attente de la part des Saint-Quentinois. Les retours sur nos premières éditions sont positifs. Beaucoup d'attente signifie aussi beaucoup de travail, ce qui motive l'équi­pe». Aurélie Piel couvre plus particulière­ment Montigny. Fraîchement diplômée de l'école de Lille, la jeune journaliste s'est spécialisée dans la presse locale. Au sein de la rédaction, Philippe Cohen la supplée sur le secteur, alors que Stéphane Gauthier couvre l'actualité sportive. 15, place Etienne Marcel (centre ville) Tél. : 01 61 37 27 70 Mel: [email protected]

10 ans d'accueil au Secours Catholique

Alors que l'association caritative s'apprête à célébrer sa journée annuel du Don le di­manche 17 novembre dans toute la France, la délégation de Saint-Quentin-les-Sources du Secours Catholique réunissait ses princi­paux protagonistes le 10 octobre dernier à l'église Saint-Quentin les Sources, afin d'honorer (en ce 10e jour du 10e mois ... ) 10

années de travail et de dévouement au ser­vice des plus démunis. Réunie par Catheri­ne Tabard leur déléguée locale, l'équipe des 18 bénévoles avait mis la main à la pâ­te en préparant les agapes. L'anniversaire s'est célébré sous l'égide de Philippe Rozet, président yvelinois, qui, par delà la déléga­tion de Saint-Quentin-les-Sources, a aussi

voulu rendu hommage à l'action des 2000

bénévoles du département. A Montigny, la délégation de Saint-Quen­tin se veut plus spécialement un lieu d'ac­cueil et d'écoute en faveur des personnes en situation d'isolement, de rupture fami­liale et sans domicile fixe. Trois bénévoles assurent une permanence du lundi au ven­dredi, et propose une douzaine de couverts et l'usage d'une douche, ou tout simple­ment un café autour d'une table. En re­vanche, la délégation de la Sourderie se destine plus particulièrement aux familles ignymontaines démunies, en particulier par le biais du vestiaire situé boulevard Descartes.

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L'ignymontain www.IIIOfltignyTB.fr

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Les deux cycles de conférences d'his­toire de l'Art et d'histoire de la Mu­sique ont _repris le mois denrier au Conservatoire des Arts. en voici les prochains rendez-vous : Le 12 novembre : "Matisse-Picasso • : la trajectoire des deux principaux inventeurs de l'art moderne qui ont vécu et travaillé dans un vis à vis fécond. Le 19 novembre : "Dido & Aeneas" opéra de Henry Pur­cell, contemporain de Lully ; ce chef d'œuvre d'une intensité dramatique exceptionnelle nous entraîne dans l'Angleterre baroque. Le 23 novembre : Dans le cycle "conférence en famille", venez découvrir "les artistes de Pha­raon à Deir ei-Medineh et la Vallée des Rois", véritable rencontre avec ceux qui ont creusé et décoré les tombes des pharaons et des reines du Nouvel Empire. Le l.6 novembre : A travers le polyptyque de l'Agneau Mystique, œuvre de Jan Van Eyck, le Retable d'Issenheim de Grünwald et le triptyque du Jardin des Délices de Jé­rôme Bosch, la Direction de la Culture clôture son cycle de conférences de novembre par une invitation à par­courir cet art religieux que sont "les retables de l'âge gothique à la Renais­sance•. Tarif unique : 4,2o€ - Carnet : 15,70€ Direction de la èulture : 01 39 30 31 70 Conservatoire des Arts: 0134 52 07 41

EX'frr Pr~lle vt 11.rt e-t Lisse

L'association Art et Lisse montrera ses travaux du samedi 16 au dimanche 2.4 novembre à la Maison Félix, dans le cadre de l'exposition baptisée "Aux fils du Temps".

M

Rencontrer Zbigniew Wieckowski, c'est entrer de plain pied dans la dimension de "l'échange calligraphique·. Après trois minutes d'interview, il a déjà largement foncé les feuilles qu'il accapare autour de lui, a capturé votre stylo et vous distille ses convictions, avec forces dessins, es­quisses, écritures. Le tout asséné d'une voix veloutée au fort accent slave, qui ré­vèle des origines polonaises. Comme l'huile qu'il utilise exclusivement pour ses toiles, ce langage-là lui appartient aussi. Zbigniew Wfeckowski est 1,10 artiste. Le regard vif et acéré, profond comme le bleu délavé de ses pupillesr roule sur vous comme pour vous envisager, vous mesu­rer, vous croquer déjà. C'est ce jubilateur gourmand, qui expri­me sans retenue ses humeurs, ses re­cherches, ses envies en osant les couleurs sur la toile, qui est cette aimée l'invité d'honneur du Salon des Arts de Monti­gny. Du 9 au 2.4 novembre, une large ré­trospective de ses oeuvres est organisée au Conservatoire des Arts. Pour cette ex­position, le scénographe qu'il est égale-

(

ment resurgit forcément. ~Je conçois d'abord une exposition en fonction de l'espace où je me situe. A Montigny, le lieu m'a incité à concevoir une mise en espace un peu ludique, décalée, à partir de travaux réalisés récemment au Brésil, où je réside et travaille plusieurs mois dans l'année."

Cit-pyt/1; ~ ~ Ce déraciné, natif d'une région polonaise sacrifiée au bloc communiste après-guer­re, a fait les Beaux-Arts à Cracovie tout en apprenant la scénographie. C'est le théâtre qui l'a fait débuter dans un par­cours artistique, un théâtre pour lequel il continue de travailler régulièrement. En 1973, "l'année de la mort de Picasso" s'en­quiert-il de préciser, il débarque en Fran­ce, dans ce Paris des artistes, cet eldora­do des créateurs. Depuis, il alterne créa­tion picturale et collaboration théâtrale, un pied au Brésil ou aux Etats-Unis, un autre en France. Toujours entre deux aventures artistiques, deux rencontres, deux envies. "J'aime l'idée de travailler dans un espace clos, cohérent, et en mê­me temps propre aux ouvertures que j'imagine pour lui. Je ne suis jamais loin de la scénographie, même dans une ex-

"La culture pour vivre", outre le fait d'être le titre d'une des dernières expositions du centre Georges Pompidou, pourrait être en ce mois de novembre le leitmotiv de la culture à Montigny. A la Ferme du Manet pour débuter, une journée découverte de l'Afrique était proposée sa­medi dernier par l'association des Ressortissants afri­cains (Aray) avec un programme de danse, gastronomie, griots et conteurs (compte-rendu dans notre prochaine édition).

le temps d'un soir le public ignymontain. La salle Jacques Brel ne sera pas de reste, puisqu'elle accueillera "Comment devenir une mère juive en 10 leçons• le mar­di 2.6 novembre à 20h3o, un grand classique de la comé­die revisité avec brio par des jeunes comédiens. Et les tout-petits se questionneront sur la disparition du soleil avec le spectacle de Jean-Max, mardi 19 novembre à 2.oh, "un jour il faisait nuit".

Viendra le tour des latinos américains avec une nuit mexicaine aux sons des mariachis, mise sur pied par l'as­sociation America le samedi 16 novembre à partir de 2.oh, une soirée autour de la musique traditionnelle, de la danse et du chant. Et pour conclure cette aventure musicale en Amérique Latine, Ernesto "11to" Puentes et son big band, vendredi 2.2 novembre à 2.1h, ajoutera sa touche latine et conclura la saison des rythmes afro-cu­bains. En continuité, le jeudi 2.8 novembre à 2.1h, Michel Fugain le joyeux, le tendre mais aussi l'incisif envoûtera

Des goûts et des couleurs différents tout au long de ce mois pour une saison qui se veut proche de vous.

Renseignements : Direction de la Culture : 01 39 30 31 70.

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position." Cette liberté, cette fantaisie dans l'expression artistique, Zbigniew Wieckowski la revendique de plein droit. Son oeil caressant, malicieux comme le renard, son humour, d'une subtile légère­té, le désignent avec la même force que son talent: cet homme-là est libre.

Le ç ~tu-~ se -tient v~M- ~ ~vt , :;- vr &r Ferme dM.- M~YlU Sous le parrainage de Zbigniew Wiec­kowski, les artistes amateurs de la commune se livrent au public du 9 au 17 novembre proçhains à la Ferme du Manet (salle Camille Claudel) pour le traditionnel Salon des Arts de Monti­gny. Chaque année bien suivi par le public, ce salon ouvre un espace d'ex­position pour les artistes locaux, qui peuvent aussi glâner l'un des prix · au palmarès de chaque édition. Prix de peinture, de sculpture, prix du jury et du public, les résultats toujours atten­dus seront dévoilés avec la fébrilité qui sied à l'évènement le dimanche 17 no­vembre à 17h, en clôture du Salon.

rinçant, son spectacle •Kvetch" le sera à n'en point douter. Le texte de l'auteur américain Steven Ber-

koff ne donne pas d'autre porte de sor­tie. Laurent Serrano est metteur en scè­ne, attaché depuis s années à la scène nationale. Il monte actuellement ce spectacle à cinq personnages, joué à partir du 8 novembre au thé3tre de Saint-Quentin-en-Yvelines. "J'attends av« impatience la réaction du public devant un texte assurément déran­geant, mais pas provocateur. Un texte qui ·nous révèle tellement, dans notre cruauté, nos-excè$.:;J;.es kvetchs en yid­dish, ce sont ces petits riens qui nous pourrissent ra vie, nos petits démons in­térieurs, Exprimés libre-ment dans une situation dramatiq11e qui oscille entre comédie, vaudeville et drame existen­tiel, où les personnage$ livrent le fond de leurs pensées à haute voix, Ils laisse-­ront forcément planer l'ambiguïté, le malaise. C'est cette réactivité que Lau­rerlt Serrano guettera dès la sematne prochaine au baisser du rideau. L'hom­me est bien connu de la maison où il ré­side artistiquement et livre chaque sai­son un nouveau spectacle en exclusivi­té pour le public saint-quentinois. La saison dernière, il avait choisi un re­gistre plus léger avec •La càgnotte'r, d'Eugène labiche, qui suivait "les nou• velles aventures du Chat botté", un spectacle jeune public dont il est l'au-

Novembre accueille principalement les artistes résidents du théâtre de Saint­Quentin, en les personnes du metteur en scène Laurent Serrano (voir ci-dessus) qui crée avec sa compagnie une comédie américaine de Steven Berkoff, "Kvetch", et Rachid Safir, directeur musical qui a choisi de faire découvrir le talent du com­positeur contemporain Thierry Pécou, avec l'opéra polyphonique de chambre "La ville des Césars", adapté d'un grand poème de Pablo Néruda.

. "Kvetch•, comédie de Steven Berkoff, adàptée par Laurent Serrano. Zoomant sur la vie d'un petit groupe d'américians moyens, l'auteur renvoit l'image de nos sociétés qui tendent tou­jours plus d'efficacité, de performances, de · rendement. L'humour acide la comé-die réside dans le fait que les 5 person­nages nous font partager à haute voix le fond de leur pensée. Le jeu de massacre est en plaçe. Du 8 au 24 novembre A 20h3o (les dimanches 10 et 17 A 15h3o).

teur, et la pièce de Victor Hugo "1oooF de récompense". Prolixe, il a aussi colla~ boré au spectacle de Fellag "Un bateau pour l'Australie". Cet éclectisme, ces en­vies, ce boulimique (16 spectacles en années de création) les assume avec la sérénité que lui confère son statut d:ar­tiste résident. "le courant est bien passé avec Pierre Moutarde qui a souhaité notre collaboration. Etre atta­ché à une scène, outre l'apport finan­cier, c'est aussi un avantage logistique. Nous pouvons répéter dans le thé3tre, et être au contact direct du public•. Pour ce dernier, la résidence d'un artis­te, c'est l~casion d'assister à des répé­titicms, d'entrer dans les arcanes d'un trpvail d~ création. Ils ont été ainsi plu­sieurs centaines à disséquer •Kvetch" au tM3tre les semaines passées, notam­ment les élèves de l'école de Thé3tre de Montigny. AUt~nt de spectacteurs po­tentiels, gagnés à la passion du spec­tacle vivant, et sûrement dans la salle du 8 au 23 novembre.

"La ville des Césars•, opéra polyphonique de chambre de Thierry Pécou. Direction musicale de Rachid Safir. Rachid Safir a souhaité faire découvrir le talent du jeune compositeur français Thierry Pécou. Son opéra (version orato­rio), en 4 parties pour 7 chanteurs, une voix indienne, un récitant, voile de 9ambre, violoncelle et percussions, s'ap­puie sur un poème de Pablo Neruda, ex­trait de "I'Epée en flammes", où le poète chilien réinvente le premiers épisodes de la Genèse. mardi 26 novembre A 20h3o.

La scène nationale accueillera également le vendredi 29 novembre "la lady blanche à la voix noire•, la grande chanteuse de blues, de gospels, de chants yiddish et orientaux Polya Jordan, pour un récital exceptionnel avec le quartets franco­américain, le quartet russo-hongrois et le quartet orientaL

Locations au 01 30 96 99 oo.

L 'ignymontain www.lfiOiftigfiYTB.fr

à la ,Ferme du Manet

Le rendez-vous culturel proposé par l'asso­ciation América et sa présidente Yolande Ma­rek creuse chaque saison l'épais sillon de la ci­vilisation latino-américaine. Devenu au fil des ans un must qui se déguste autour du buffet, face aux cimaises ou à la scène de la Ferme du Manet, le rendez-vous 2002 abor­de les terres mexicaines sous l'angle des tra­ditions musicales, mais aussi de l'histoire d'une riche civilisation. Les 8 musiciens du groupe folklorique Los Mariachis seront aux manettes, au service d'un ballet de 6 dan­seurs et danseuses, pour un spectacle qui re­tracera l'histoire, mais aussi les régions du Mexique. Des Aztèques à "La Bamba", en

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passant par le bolero, la plus passionnée des danses, ou la révolution, le spectacle sera aussi ponctué de repères didactiques de Yo­lande Marek. Le public est convié dès 20h pour profiter du Ch ili con carne et des des­serts traditionnels (compris ·dans le billet d'entrée), mitonnés par le lycée hôtelier de Rambouillet. Ils pourront aussi musarder sur les stands d'artisanat sud-américain, dont un artisan d'orfèvrerie pré-colombienne, ou au­tour des cimaises d'une exposition d'art plas­tique. A la fin du spectacle, un s~ateur au­. ra la chance de se ).(oi-F-of1'fiTUi1 voyage pour deux personnes au Mexique. Alléchant ! Tarifs : 22€ et 19€. Rens. : 01 30 43 42 30.

RirniJU~At de ses dif~s Comptines et jeux de doigts, Rémi les a joués ce mardi 15 octobre à la salle Jacques Brel devant un public captif et tout ac­quis à sa cause. L'artiste ouvrait la saison jeune public de la ville et a em-

- porté le temps de deux re­présentations les tout-pe­tits et les plus grands dans un tourbillon d'histoires, alliant ses chansons à un jeu scénique bien adapté aux jeunes enfants. Sa poésie, son enthousiasme n'ont pas échappé à ces spectateurs en herbe peu avares en rires et en applaudissements. La salle Jacques Brel affichait complet et a du renvoyer

quelques optimistes arrivi5 à-la demîêrem i­nute. Ce bon démarrage de la saison Jeune public augure bien des prochains rendez­vous (voir Jean-Max ci-dessous).

"Un jour, il faisait nuit", spectacle jeune public le 19 novembre

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r~ ~ fffrê-t e::tvt.K' W\i[le Vffi.(?' On l'avait laissé à la Ferme du Manet au baisser de rideau de "la Forêt aux Mille Voix" en juin 2001, et voilà qu'il réapparaît dans le rond de lumière sur la scène de la salle Jacques Brel. Le mardi 19 novembre, Jean-Max Frézignac retrouvera les enfants pour .son nouveau spectacle "Un jour il fai­sait nuit". L'artiste n'est pas un inconnu de la scène ignymontaine, en particulier pour les élèves du Conservatoire Municipal de Musique qui le connaisse dans l'habit plus martial de professeur de guitare où il en­seigne depuis 1994. Mais ce qui porte aussi Jean-Max l'artiste, c'est l'écriture et la composition. "J'ai reçu une culture clas­sique, sans cesser pourtant de m'intéresser au métissage des musiques. Mon goût de la comédie vient lui de mes premières ex­périences d'artiste de scène, dans un re­gistre classique un peu décalé, comme les spectacles du Quatuor par exemple." Son imaginaire lui a très vite tracé la route des enfants, qu'il a superbement explorée en créant en production avec la Ville "La Fo­rêt aux Mille Voix" en 2001 . Après avoir ré­uni des centaines de jeunes acteurs et mu­siciens à ses côtés (i ls s'en souviennent en­core) pour un spectacle haut de gamme à la -Ferme du Manet, il trace cette fois seul

sa route dans son nouveau spectacle, ac­compagné de 3 musiciens. Où il est ques­tion d'un caprice du soleil, en mal d'amour et de considération ... Les deux séances sco­laires affichent complet, le grand public est prié de se presser à 2oh à J. Brel. Connais­sant l'homme, gageons que l'émotion et le rire guettent ...

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Se Pareourir Monti~ le 6 oefohre demier

.. 1000 eoureurs en "Montigny en courant, Allez! Allez!" C'est ce que scandait le public venu encourager les participants à la s• édition de la course " Parcourez Montigny", le dimanche 6 oc­tobre dernier, au Centre Sportif Pierre de Coubertin. Un important dispositif d'orga­nisation et de sécurité avait été mis en pla­ce dès 7h3o du matin pour accueillir les quelque 1000 coureurs inscrits dans les quatre courses, l' lgnymontaine (5,7 kms), la

~ Course des As (10 kms) et les 2 courses des enfants (3 et 1,7 kms).

130 bénévoles à l'o~nisation Des remerciements doivent d'ores et déjà être adressés aux 130 bénévoles, policiers, commissaires de rue, secouristes et parte­naires présents qui ont assuré le succès de la matinée, ainsi qu'un remerciement parti­culier à Sylvain Grison qui a été l'organisa­teur bénévole de cette course pendant 9 ans. De manière générale, les concurrents ont apprécié le balisage intensif du par­cours et la distribution de collations après la course. Si certains comme Ossama (12 ans, 3 kms) auraient voulu faire mieux, "dommage que j'aie trébuché au départ car c'était trop court de rattraper la course sur 3 kilomètres", le T-shirt et la médaille de la course resteront tout de même un bon sou­venir. Jérémie (15 ans, vainqueur du 3 kms catégorie minime) a raisonnablement dé­claré : "j'ai laissé partir la course pour accé­lérer à partir du 1" kilomètre, même si c'était un PE:U dur avec le vent".

Elias Couto, 2" opus Le 10 kms a vu Corinne Raux première chez les femmes. La championne de course en montagne, également 3• des championnats de France sur 10 kms a déclaré :"c'est une des courses sur route les plus importantes des Yvelines et un très bon entraînement pour ma préparation aux championnats du monde de duathlon. C'est aussi un parcours roulant qui permet de réaliser de très bons

chronos". Le vainqueur masculin n'est pas une surprise car Elias Couto a remporté la course pour la 2 • année consécutive ; son parcours de prédilection semble-t-il ! La re­mise des pri x en compagnie de Pierre Paillas, élu délégué aux Sports, Robert (a­dalbert président du SAN et des partenaires a récompensé les meilleurs coureurs avec des femmes gâtées par de splendides bou­quets de fleurs. Un classement spécifique­ment ignymontain fera date de cet événe­ment consacré au sport, et aux joies de la course à partager en famille.

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Les podiums Course 10 kms : Cadets G. : 1 Adrien TEILLET 2 Nicolas QUINTIN 3 Sebastien MODOLO Espoirs F.: 1 Martine TEMPLIER 2 Ketty RIEDEL 3 Flore BLONDEAU Espoirs H.: 1 David CEDOLIN 2Xabi BORDA 3 Yann GESTIN ROQUES Juniors H.: 1 Fabrice DESRUES 2 Aurelien DU PUYTISON seniors F.: 1 Corinne RAUX 2 Stephanie MICHEA 3 Patricia CARRIOL Seniors H.: 1 Elias COUTO 2 Philippe LAZAREVIC 3 Faredj BOUKAIS Vétérans o F. : 1 Sylvie PARMANTIER 2 Nathalie HUBERT 3 Anna TRONEL-PEYROZ Vétérans 1 F.: 1 Abeba DUBOIS :t Nadine WEISS DU­

RCHE 3 Brigitte BOUTO

étérans 1 H. : 1 Ali BEbGHAZI 2 Bruno DIPIER 0 3 Patrick RASPAUT

étérans 2 F. : 1 onique D OUAL 2 Josette lE GROUYER 3 Martine GUYOT Vétérans 2 H. : 1 Guy BERTRAND ::tlouis TONAl 3 DaniellAFERRIERRE Vétérans 3 H. : "' Kader BOUZOUINA 2 J.-<laude SOUDIEUX 3 Gilbert BURTEL

Vétérans 4 H. : 1 David BELLAICHE 2 Yves LEHMANN 3 Marcel CU NARD

Co rse s kms : Cadettes : 1 Segolene THIERY 2 Severine MARCHAND 3 Laure HOSLIN Cadets: 1 Michel GROS-DESIRS 2 Suthursan ARIYANAYA­GAM 3 Bastien TARDY Espoirs F.: 1 Floriane FOUGERAY 2Asmaa ELATMANI Espoirs H.: 1 Aymeric BOUTTEFROY 2 Guillaume l~FEVRE 3Leo DIDIER Juniors F.: 1 adia OUCCHI 2 Caroline ROUSSEAU Juniors H.: 1 Pierre BILLA 2 Olivier DROUeT l Ale andre MO ZA Seniors F.: , Oli •a 0 ZO 2 a renee ETC EBEHERE Seniors H. : 1 mee t POIRIER 2 Victor BORRAlHO 3 urad BENBElKALEM Vétérans oF.: 1 Marguerite BE EDEK :t Chantal MANGIU 3 Catherine GUITTON Vétérans 1 F. : 1 Sylvie PHIUPART 2 Elene QUENAULT 3 Isabelle QUANTIN Vétérans "1 H. : "'Mkhel UGER 2 Christophe LECOQ 3 Jeilln Pierre MERCIER Vétérans 2 F. :

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1 Noelle RUBIO Vét érans 2 H. : 1 Francois LIAUME 2 Jean C M OIZO Vét érans 4 H. : 1 Roland MOUNIER

Course 3 kms ~ Catégorie benjamine : 1 Claire DAVID 2 Allison BRAS 3 Aurelie AMAOUCHE Catégorie benja in : 1 Emmanuel DELMAS 2 Paul bECLAIRE 3 Ghristophe ARBËZ Catégorie minime F. z 1 Morgane bOUVET 2 baUre PAsCAL 3 chal'lotte DU PUYTISON Catégorie minime G. : 1 Jeremie CHARPENTIER 2 Nicolas PETITJEAN 3 Felix PERRIN

Course 1,6 kms : C-atégorie Ecole d'Ath. F.: 1AnaisSIMO 2lnesZIZA 3Aiida DJE AOUSSl E Catégorie Ecole d'Ath. G. : 1 Vincent FI LLO :t Tristan BARROT 3 Jeremy LEFORT Catégorie poussine : 1locie BEREJNOI 2 Melodie DENIS 3 Celine MAL.OSSE Catégorie poussin : 1 Antonin GASTAUOO :t Alexandre DHAUSSY 3 Jefferson MARCHAND

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A.l'école du vélo Le samedi après-midi devant le centre sport. Il faudra donc attendre quelques an-sportif Coubertin, ils n'ont pas encore des nées encore pour qualifier les résultats en rêves de Galibier ou de Champs-Eiysées en terme de trophées et de victoires pour tunique jaune. Pourtant, ils ont déjà leurs l'école mis sur pied il y a 3 ans par Jean-idoles, au rang desquels notre Jaja national Marc Couffin, le président de la s~ction tient le haut du podium devant Arm- course sur route. Cette année, les jeunes strong. Mais avant les rêves de victoire, les cyclistes se contenteront de quelques corn-jeunes apprentis de l'école de cyclisme du pétitions organisées par les clubs franci-VCMB ont surtout rendez-vous avec le la- liens pour leurs écoles. Des courses en for-beur, sous la direction d'éducateurs menés me de tests où les enfants s'affrontent sur par Jean-Noël Dutois. Accélérations, sla- un sprint de 6o m, une série de jeux et une loms, freinage .. . Les exercices de manie- course de 2 à 4 kilomètres selon les âges. ment et d'équilibre s'enchaînent sans répit Mais Jean-Noël Dutois n'entend pas s'arrê-pour des élèves attentifs, qui en redeman- ter là. L'émulation est aussi interne avec deraient plutôt. En matière d'effectif, les propres tests trimestriels mis sur pied l'école a d'ailleurs le vent en poupe. Ils sont par les éducateurs pour permettre aLix en-quinze à porter le maillot vert et blanc, fants de mesurer leurs progrès. A la clé, le soit un peu plus chaque saison. "Il faut di- plus méritant de l'école se verra décerner

_nf que nous P.renons l~s enfahts jeunes, à le trophée Georges Bernier qu'il remettra · pârt1r ae· t 'âns< prém~ )èan-NoeT rYuto i S. - én Jeuï a"sâisorr suivànte. Côn"'''ne ' un pre-

._Un âge où le vélo est autant un jeu qu'un mier maillot jaune ...

1es Cou~ars : champions de France '' ••

Après avoir boosté le club pendant les an­nées de maturation, les seniors des Cougars entament une période de transition en quittant l'Elite (la première Division du ba­se-bali) à l'issue d 'une saison en dents de scie, au moment même où les jeunes pren­nent le relais sur la scène nationale. Le pas­sage de témoin n'est pas anodin pour le président Christophe Hérard qui défend avec ardeur le creuset d'une école de base­bali de référence à Montigny. La création du parc des sports Jean Maréchal, allié au dynamisme de l'équipe de dirigeants des Cougars, a fait éclore beaucoup de jeunes base-balleurs qui occupent désormais le haut du panier en France. Honneur tout d'abord aux cadets, entraînés par William Boggess et Franck Lecarpentier, qui ont dé­croché le titre de champions de France les s

et 6 octobre derniers à Lyon, en surclassant la Grande Motte en finale sur un score sans appel de 10 à 3. Les minimes, drivés par Jean-François Duchossoy, ont fait à peine moins bien en trébuchantuniquement en f inale au cours d'un derby face à Saint-Ger­main-St Nom. Une petite déception néan­moins, due au fait que leur invincibilité pendant le saison aurait pu leur permettre une meilleure conclusion. Le bilan reste tout de même largement à la hauteur des espoirs des dirigeants. Il est même symbolique d'une volonté de pous­ser la formation des jeunes joueurs locaux, qui peuvent regarder la sa ison prochaine avec de nouvelles ambitions. On en repar­lera au printemps prochain après la trève hivernale.

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Centre aquatique

url Temple de loisir avec ses bassins, ses to­boggans et son espace relaxation, le futur centre aquatique n'oublie pas pour autant les nageurs et les sportifs. A l'arrivée dans l'enceinte, passés la douche et le pédiluve, on choisira d'ailleurs délibérém~nt l'espa­ce dédié au fun sur la droite, ou celui des­tiné à l'effort sur la gauche, Un concept volontaire de l'architecte Jean-Michel Ruols pour assurer la meilleure cohabita­tion dans l'équipement. A lui seu), le bassin nautique est plus grand en superficie que celui de l'ex-pisci­ne Louison Bobet. Deux lignes d'eau sup­plémentaires portent à six le nombre de couloirs permettant aux sportifs au long cours d'aligner les longueurs. On notera au passage que les horaires de l'équipe­ment prévoient une ouverture .systéma-

. tique le midi pour permettre aux nageurs de venir sur le temps du déjeuner. La Direction des Sports a ouvert plusieurs écoles pour les différents publics (enfants,

Le baSsin de Z5m et six lignes d'eau permet· fra auk nageurs d'aligner les longueurs.

adolescents, adultes) dans un objectif d'apprentissage ou de perfectionnement. Leur succès a été assuré dès septembre dernier lors des inscriptions au Forum des Associations. Les retardataires d~vront donc reporter leur projet d'adhésion à la saison prochaine en septembre. Mais la natation ne sera pas le seul exerci­ce à privilégier pour les sportifs. La mez­zanine de l'équipement abritera en effet un vaste espace de remise en forme, ac­cessible sur abonnement et permettant d'accèder à une panoplie d'équipements de musculation ou d'entretien physique. La salle de musculation, actuellement ou­verte au Village dans la maison de la Dan­se, se transportera au centre aquatique avec professeurs et matériel. Pour elle aussi, la fréquentation par abonnement a été garantie dès le Forum .

lèe honi du eenfl'C

tl! ouverture quitlque:

lundi de 12h à 14J\ et de 18h à 21h mardi de uh à 14h et de 17h à 20h mercredi de 13h30 à 20h jeudi de uh à 14h et de 17h à 20h vendredi de 11h à 14h et de 17h à 20h samedi de 11h à 13h et de 14h30 à 19h30 dimanche de Sh à 13h et de 14h3o -à 18h

La caisse ferme 1/2 heure et les bassins 1/4-d'heure avant /a fermeture de /'iqulpement.

Rens. : 01 39 30 31 So.

Voile

Des espoirs au top pour le CVSQ

Erwan Le Ferree (à droite ci -contre) et Guilla.ume Lecointre sont deux coureurs du CVSQ (Club de Voile de Saint-Quentin) qui s'entraînent régulièrement sur le plan d'eau de la base de loisirs, en été comme en hiver. L'école du CVSQ porte ses fruits puisque du­rant la saison 2.001/2002, tous deux ont parti­cipé aux différentes épreuves sélectives pour les championnats de France et d'Europe, sur des plans d'eau intérieurs et en mer. En catégorie "équipe minime", c'est-à-d ire la filière dériveur double pour les 12-15 ans, Gu illaume Lecointre s'est classé premier fran~

çais à la 6' place lors des championats d'Euro­pe disputés à Bari (Italie) en juillet dernier. Du 17 au 23 août, Guillaume et Erwan ont re­pris leurs voiles et cap sur Martigues pour na­viguer sur l'étang de Berre à l'occasion des championnats de France. Le challenge éta it difficile puisqu 'i ls avaient à y affronter les 50

meileurs équipages français . Pour cette épreuve également, ils ont su démontrer que l'entraînement des équipages franciliens était de qualité, en luttant jusqu'au bout et en s'ac­crochant à leurs choix tactiques. Parvenus en finale, ils se sont magnifiquement comportés en obtenant une place de vice-champion de France pour Guillaume, et une belle 10' place

Guillaume Lecointre et Erwan Le Fe"ec s'en­traînent sur le baSsin de Saint-Quentin, mais font parler d'eux à l'échelon national.

pour Erwan. La saison prochaine, Gu illaume évoluera vers la catégorie 420. Il se prépare pour obtenir sa qualification en vue des championnats de France 2003. Il participera en outre au trophée des Lycées avec son établissement de Descartes. Erwan asurera pour sa part la relève en catégorie équipe. Bon vent à tous les deux pour la prochaine saison, ainsi qu 'aux autres lgnymontains qui naviguent sous les couleurs du CVSQ : les frères Le Chalony, les frères Le Ferree, Mathieu Fouchet et tous les jeunes voileux de l'école de voile.

Pét.nque : ehallenge de l'Amitié le l1 L'ASMB pétanque organise son challenge de l'Amitié le 11 no­vembre prochain, sur toute la journée au stade Roger Cou­·derc. Le concours accueillera 1600 compétiteurs licenciés, ce qlii en fait la plus importante manifestation du genre en Fran­ce. L'entrée est libre pour les spectact; urs.

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