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Évaluation du CREVALE et de ses projets F aits saillants

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F aits saillants. Évaluation du CREVALE et de ses projets. D éroulement. La présente présentation est un temps pour : prendre acte d’une partie des effets du travail collectif produit par le CREVALE et ses partenaires; - PowerPoint PPT Presentation

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Évaluation du CREVALE et de ses projets

F aits saillants

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La présente présentation est un temps pour :• prendre acte d’une partie des effets du travail collectif produit par le CREVALE et ses

partenaires;• se questionner sur ce que l’on souhaite poursuivre ensemble considérant les effets

et résultats présentés.

D éroulement

Les buts visés par les questions avec les œufs de votation :• capter votre analyse spontanée des informations recueillies;• amener au comité de travail sur les prochaines orientations des idées

sur les axes stratégiques d’intervention.

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La firme Léger Marketing a été mandatée par le CREVALE pour réaliser une étude auprès :• des parents d’enfants en âge préscolaire et scolaire;• des jeunes au secondaire;• des employeurs;• des partenaires.

Les principaux objectifs de l’étude étaient de connaître la notoriété, l’appréciation, l’impact et l’utilité perçue des campagnes du CREVALE et de leurs outils :• Du berceau au sac à dos;• J’aime ça quand tu m’encourages;• Journées de la persévérance scolaire;• OSER-JEUNES.

Les partenaires étaient aussi invités à communiquer leur évaluation sur le rôle perçu et le rôle attendu du CREVALE.

I ntroduction

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Est-ce que :• les informations transmises par les campagnes étaient comprises?• des changements de pratiques chez les familles pouvaient être reliés aux campagnes?• des changements de pratiques chez les partenaires pouvaient être reliés aux projets?

C e qu’on cherchait à savoir

Il est important de rappeler que le CREVALE rejoint les jeunes et les parents par le biais des partenaires et que les campagnes tentent de les mobiliser autour de facteurs de protection bien documentés.

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Trois méthodes de collecte de données ont été retenues :– un sondage en ligne réalisé du 24 février au 9 mars 2012 auprès de 129 partenaires

membres ou non membres du CREVALE (liste de 620 personnes et un taux de participation de 21 %);

– cinq sondages postaux ou en face à face effectués auprès de parents d’enfants âgés de 0 à 6 ans, de parents d’enfants du primaire, de parents d’enfants du primaire ou du secondaire, de jeunes du secondaire et d’employeurs;

– deux groupes de discussion avec des partenaires volontaires.

Cible Méthodologie utiliséeNombre

d'entrevues complétées

Marge d'erreur

Parents - 0 à 6 ansPostal - Remis par les organismes participant à « Du berceau au sac à dos » 132 ± 8,53 %

Parents - PrimairePostal - Remis par les enseignants participant à «J'aime ça quand tu m'encourages » 228 ± 6,49 %

Parents - Primaire et Secondaire Postal - Remis par les commissions scolaires 117 ± 9,06 %

Jeunes du secondaireFace à face - Distribué par le CREVALE dans sept écoles secondaires 166 ± 7,61 %

EmployeursFace à face - Distribué par le CREVALE lors de rencontres dans des chambres de commerce 38 ± 15,9 %

M éthodologie

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• Pour la quasi-totalité des jeunes (95 %), il est important d’obtenir un diplôme.

• La très grande majorité des jeunes (93 %) trouvent très ou assez important de persévérer à l’école.

• Plus de quatre jeunes sur 10 (42 %) affirment avoir besoin de plus d’encouragement afin de persévérer dans leurs études.

• Les deux éléments qui contribueraient principalement à encourager les jeunes à l’école sont d’avoir de meilleures notes (29 %) et d’avoir plus de plaisir à l’école (25 %); 11 % estiment avoir besoin du soutien des parents pour persévérer.

• La majorité des jeunes (88 %) travaillent actuellement moins de 20 heures par semaine (moyenne de 11,5 heures) durant l’année scolaire. Selon eux, le nombre d'heures maximum qu'un étudiant devrait travailler durant l'année scolaire pour éviter que cela ait un impact négatif sur ses études est d’en moyenne 12,8 heures.

L es jeunes du secondaire 166 répondants (47 % de garçons et 52 % de filles)

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Les jeunes du secondaireet les cartes postales d’encouragement

• 24 % ont reçu une carte postale d’encouragement de leurs parents.

• Pour la majorité des jeunes qui ont reçu une carte postale d’encouragement (83 %), cette carte les a motivés.

• Près d’un jeune sur cinq (18 %) aime ou aimerait recevoir une carte postale d’encouragement.

• 31 % des jeunes n’aimeraient pas du tout recevoir une carte postale d’encouragement.

• Les principales raisons évoquées par les jeunes sont qu’ils perçoivent la carte comme étant inutile (16 %), n’y voient aucun intérêt (7 %) ou leurs parents les encouragent déjà (4 %).

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Les jeunes du secondaireet les Journées de la persévérance scolaire (JPS)

• Les Journées de la persévérance scolaire obtiennent une bonne notoriété auprès des jeunes (73 %).

• La notoriété du ruban vert et blanc de la persévérance scolaire est plus élevée que celle des Journées de la persévérance scolaire. En effet, 92 % des jeunes disent l’avoir déjà vu.

• Un peu plus de quatre jeunes sur 10 (42 %) affirment avoir déjà participé à une activité en lien avec la persévérance scolaire; le port du ruban (28 %) et la réception d’un certificat de la persévérance (11 %) sont les deux principales activités auxquelles les jeunes ont déjà participé (11 %).

• Pour le tiers des jeunes interrogés (31 %), qu’ils connaissent ou non les JPS, cet événement contribue beaucoup ou assez à les encourager à persévérer dans leurs études.

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Les jeunes du secondaire et leprogramme OSER-JEUNES

• La notoriété du programme OSER-JEUNES auprès des jeunes est très faible (8 %).

• Malgré que les jeunes ne connaissent pas le programme, la grande majorité des jeunes semblent d’accord avec plusieurs principes du programme, tels que les employeurs devraient encourager les jeunes à obtenir un diplôme, leur permettre des horaires flexibles et prendre le temps de les encourager à persévérer à l’école.

• Une grande proportion de jeunes aimeraient aussi que les employeurs prennent le temps de les former, de parler avec eux et de les écouter.

• Par contre, seulement la moitié des répondants sont d'accord pour dire que les employeurs devraient empêcher les jeunes de travailler plusieurs heures par semaine.

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• Pour la quasi-totalité des entreprises (97 %), la réussite scolaire des jeunes est très ou assez importante. Bien que les employeurs soient d’accord pour affirmer qu’il est important d’encourager les jeunes à faire des efforts pour obtenir un diplôme et qu’ils ont un rôle à jouer dans la conciliation travail-études des jeunes, seulement la moitié des représentants d’entreprises sondés (50 %) affirment connaître le programme OSER-JEUNES.

• 66 % des entreprises interviewées engagent des étudiants, que ce soit tout au long de l’année ou seulement durant l’été. D’ailleurs, plusieurs entreprises, certifiées ou non, qui embauchent des étudiants proposent déjà des mesures facilitant la conciliation travail-études.

• La majorité des entreprises certifiées OSER-JEUNES ont l’intention de renouveler leur certification l’an prochain et apprécient le programme. Globalement, la moitié des représentants d’entreprises sondés (53 %) affirment connaître le CREVALE.

• La promotion du programme par de la publicité et la présence du CREVALE sur le terrain avec les dirigeants d’entreprises et à la chambre de commerce semblent être les meilleures façons d’inciter les employeurs à s’impliquer dans la prévention de l’abandon scolaire.

38 employeurs (faible échantillon)

L es employeurset le programme OSER-JEUNES

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• La campagne bénéficie d’une bonne notoriété : 69 % des parents en ont entendu parler. Parmi ceux qui affirment en avoir déjà entendu parler, 49 % croient en avoir une bonne connaissance et 87 % l’ont appréciée.

• Des parents qui connaissent la campagne, 88 % disent qu’elle les a influencés à faire davantage d’activités d’éveil à la lecture et à l’écriture. Le fait de faire déjà beaucoup d’activités d’éveil avec leur enfant (70 %) et le manque de temps (30 %) sont les principales raisons pour ne pas avoir été davantage influencés par la campagne .

• 82 % des parents croient que la campagne est utile dans la mesure où elle les soutient dans leur rôle de parent.

• 74 % ont participé à la campagne en lisant Annie la chenille. Fait intéressant, il s’agit là d’une plus grande proportion que la notoriété de la campagne elle-même. Près d’un parent sur cinq (18 %) dit avoir reçu la toise à l’effigie d’Annie la chenille.

• On constate une grande participation des parents à certaines activités d’éveil avec leur enfant : lisent des histoires (97 %), dessinent ou écrivent (95 %) et chantent (94 %). Par contre, les parents font un peu moins souvent des devinettes (67 %), des calculs mathématiques (67 %) et vont moins souvent à la bibliothèque avec leur enfant (53 %).

• Plus du tiers des parents (38 %) aimeraient être plus soutenus dans leur rôle de parent. Ils souhaiteraient avoir plus d’outils et d’activités à faire avec leur enfant. Presque la même proportion deparents (36 %) ne souhaitent pas être davantage soutenus puisqu’ils se sentent déjà informés ou outillés.

132 répondants, majoritairement des femmes, dont 14 % de scolarité primaire/secondaire, 52 % collégiale et 33 % universitaire

L es parents d’enfants âgés de 0 à 6 anset la campagne du Berceau au sac à dos

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• La campagne bénéficie d’une bonne notoriété : 79 % des parents en ont entendu parler. Parmi ceux qui affirment en avoir déjà entendu parler, près de la moitié (47 %) croient avoir une bonne connaissance et 93 % affirment y avoir participé.

• Parmi les parents qui ont participé à la campagne, 89 % l’ont appréciée. De ceux-ci, 100 % des parents ayant un niveau de scolarité primaire et secondaire l’ont appréciée.

• Pour 64 % des parents, la campagne les a sensibilisés à l’importance d’encourager quotidiennement leur enfant. De plus, 88 % des parents croient que la campagne est utile dans la mesure où elle leur rappelle le rôle qu’ils peuvent avoir dans la persévérance scolaire de leur enfant.

• La campagne a eu un impact pour 93 % des parents. De plus, le quart des parents (24 %) affirment que la campagne les a amenés à exprimer plus souvent des mots d’encouragement à leur enfant.

• Les parents posent souvent des actes d’encouragement envers leur enfant, par exemple soulignant ses bons coups (92 %), lui demandant « Comment ça va à l’école » (98 %) ou l’encourageant à poursuivre ses efforts scolaires (91 %). Les parents participent un peu moins souvent à différentes rencontres à l’école (71 %).

• Plus du tiers des parents (37 %) aimeraient être plus soutenus dans leur rôle. Ils souhaiteraient avoir plus d’outils et d’activités à faire avec leur enfant et avoir plus de communications avec leur école et ses acteurs. Un peu plus de parents (39 %) ne souhaitent pas être davantage soutenus puisqu’ils se sentent déjàinformés ou outillés.

228 répondants, dont 21 % de scolarité primaire/secondaire, 50 % collégiale et 25 % universitaire

L es parents d’enfants du primaireet la campagne J’aime ça quand tu m’encourages

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• La campagne bénéficie d’une certaine notoriété (50 %). Parmi ceux qui affirment en avoir déjà entendu parler, 32 % croient avoir une bonne connaissance et 74 % l’ont appréciée.

• Dans une proportion de 80 à 82 %, les JPS ont sensibilisé les parents à l’importance d’encourager et d’accompagner son enfant.

• 84 % des parents croient que la campagne est utile dans la mesure où elle permet de rappeler le rôle de tous, notamment celui des parents, à l'égard de la persévérance scolaire.

• La grande majorité des parents disent encourager leur enfant à fournir des efforts à l’école (93 %) et parlent avec leur enfant de l’importance de persévérer à l’école (91 %). Dans une moindre proportion (71 %), les parents discutent aussi avec leur enfant du type de diplôme qu’il souhaiterait obtenir. Par contre, les parents sont beaucoup moins nombreux à participer à des activités organisées par l’école dans le but d’encourager leur enfant à persévérer (43 %).

• Près de la moitié des parents (46 %) aimeraient être plus soutenus dans leur rôle de parent. Les parents souhaiteraient avoir plus de communications avec leur école et ses acteurs.Par ailleurs, plus du tiers des parents (37 %) ne souhaitent pas être davantage soutenus puisqu’ils se sentent déjà informés ou outillés et estiment quetout va bien.

117 répondants, dont 32 % de scolarité primaire/secondaire, 45 % collégiale et 20 % universitaire

L es parents d’enfants du primaire ou du secondaireet les Journées de la persévérance (JPS)

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Bonne notoriété Participé Efficace Influencé Utile au

travail

Du berceau au sac à dos 53% 44% 74% 37% 26%J'aime ça quand tu m'encourages 71% 81% 81% 52% 41%Journées de la persévérance scolaire 80% 83% 77% 55% 64%OSER-JEUNES 66% 45% 78% 44% 23%

• On constate que la grande majorité des partenaires sont capables de bien identifier les objectifs de chacune des campagnes mises en place par le CREVALE.

• Les principales raisons évoquées par les partenaires pour ne pas avoir participé aux différentes campagnes sont de ne pas avoir été en contact avec la cible, de ne pas avoir eu l’occasion de le faire ou de penser que ce n’est pas leur rôle d’y participer.

• Quand on s’interroge sur les pistes d’amélioration, la promotion et l’augmentation de la visibilité des campagnes sont les suggestions des partenaires qui reviennent le plus souvent.

• Il ressort de l’évaluation qualitative des campagnes qu’elles sont généralement appréciées par les partenaires et qu’elles doivent continuer d’exister. Certains aspects tels que la diffusion des campagnes et l’adaptation des outils devraient cependant être améliorés afin de maximiser le potentiel de chacune.

Le tableau ci-dessous présente un bref aperçu de l’évaluation des projets du CREVALE selon cinq variables mesurées.

129 répondants provenant de tous les secteurs

L es partenaireset les campagnes du CREVALE

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Il semble que certains partenaires rencontrés doutent de l’impact réel des campagnes sur l’incidence du décrochage dans la région depuis la création du CREVALE.

Bien que tous soient d’accord pour dire que les campagnes sont de bonnes initiatives, qu’elles poursuivent de bons objectifs et qu’elles sont en général bien exécutées, certaines personnes rencontrées croient que les retombées ne sont pas proportionnelles aux investissements effectués et que d’autres moyens plus efficaces devraient être développés.

19 participants aux groupes de discussion

L es partenaireset les campagnes du CREVALE

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Le nombre d’outils semble aussi suffisant aux yeux des partenaires.

Certains d’entre eux pensent même que le CREVALE devrait s’attarder davantage à la pénétration des outils actuels dans les organismes locaux et à l’adaptation des outils actuels dans l’optique de joindre une clientèle plus défavorisée ou moins facilement accessible, au lieu de se concentrer sur la production de nouveaux outils.

19 participants aux groupes de discussion

L es partenaireset les campagnes du CREVALE

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Le rôle actuel du CREVALE est bien compris et bien perçu par la majorité des partenaires.

129 répondants provenant de tous les secteurs

L es partenaireset le rôle du CREVALE

RappelLe CREVALE a fait le choix d’actualiser sa mission de mobilisation de la communauté autour des jeunes et de leur réussite scolaire par trois axes d’intervention :• L’information destinée aux partenaires et à la population; • La concertation des partenaires; • La sensibilisation des parents, des employeurs et des jeunes.

Une grande part des énergies a été consacrée à la sensibilisation, qui, rappelons-le, nécessite la mobilisation des intervenants de tous les secteurs pour être viable.

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126 répondants provenant de tous les secteurs

L es partenaireset les actions posées par le CREVALE

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Promotion de la campagne de sensibilisation «J'aime ça quand tu m'encourages »

Promotion des Journées de la persévérance scolaire

Promotion de la campagne de sensibilisation «Du berceau au sac à dos»

Promotion du programme OSER-JEUNES

Accompagnement dans le déploiement d'actions locales

Organisation de conférences ou de présentations spéciales en lien avec la persévérance scolaire

Organisation de journées de réflexion

Participation aux tables locales

Production d'un bulletin de liaison, d'une infolettre, etc.

Autres actions

Bonification du site Internet

Aucune de ces actions ne devrait être priorisée

NSP

44%

43%

40%

35%

32%

31%

21%

17%

6%

6%

4%

0%

3%

126 répondants provenant de tous les secteurs

L es partenaireset les actions à prioriser par le CREVALE

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• Les partenaires présents à la discussion sont d’accord pour dire que le CREVALE devrait prioriser la promotion des campagnes.

• La très grande majorité des partenaires rencontrés comprennent que le rôle du CREVALE est de soutenir les organismes locaux et de les accompagner dans leurs démarches visant à favoriser la persévérance scolaire.

• Lorsqu’on demande aux participants ce que le CREVALE fait de mieux et devrait continuer à faire, la majorité soulèvent que les quatre campagnes sont ce que le CREVALE fait de mieux. Ensuite, lorsqu’on les questionne sur ce que le CREVALE fait de moins bien et devrait cesser de faire, aucun aspect n’est mentionné. Cependant, aux yeux de plusieurs partenaires, le CREVALE devrait aussi consacrer beaucoup de son temps au soutien des organismes locaux et à l’enracinement local.

• Quelques partenaires mentionnent qu’en devenant un bailleur de fonds, le CREVALE aura de la difficulté à poursuivre son rôle : « Il devient un gestionnaire, pas un partenaire », « Il risque de se perdre » et son nouveau statut le place en « conflit d’intérêts ».

19 participants aux groupes de discussion

L es partenaireset la perception du rôle du CREVALE

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Léger Marketing a émis une série de conclusions stratégiques.

• Concernant le rôle du CREVALE, Léger Marketing recommande que le CREVALE :– Conserve et affirme son rôle de partenaire et de soutien aux organismes

locaux.– Maintienne le développement des outils et continue de concentrer ses

efforts à travailler de pair avec les organismes pour adapter les outils afin qu’ils correspondent aux diverses clientèles.

– Soutienne la communication des succès des organismes locaux à l’ensemble de la région.

C onclusions stratégiques