exposition Greco à Dali 2010

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exposition Greco à Dali 2010

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Communiqué de presse Page 5

Introduction du conservateur Page 6

Le parcours de l’exposition Page 10

Visuels disponibles pour la presse Page 17

Liste des œuvres Page 20

L’équipe de conception Page 22

Les publications Page 23

Les outils d’aide à la visite Page 25

Le Musée national des beaux-arts du Québec

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Crédit du Nord, mécène de l’exposition Page 27

Les partenaires

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Institut de France / Culturespaces : un partenariat public-privé

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Le Musée Jacquemart-André Page 33

Informations pratiques

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Du 12 mars au 1er août 2010, le Musée Jacquemart-André accueille l’exposition « Du Greco à Dalí :

les grands maîtres espagnols. La collection Pérez Simón ». Cinquante-deux chefs-d’œuvre et plus de

vingt-cinq maîtres, réunis par le goût sûr et raffiné d’un grand collectionneur, présentent un

panorama exceptionnel de la création artistique en Espagne au cours des quatre derniers siècles.

Hommage à l’art espagnol au Musée Jacquemart-André

Les œuvres majeures de la collection Pérez Simón sont exposées pour la première fois en France au

Musée Jacquemart-André. L’exposition réunit des œuvres clés de différentes époques et de divers

mouvements picturaux. Elle propose un passionnant voyage esthétique et artistique. Elle se construit

autour d’un parcours thématique dans lequel chaque étape est l’occasion de confrontations inédites

entre des maîtres de siècles différents permettant ainsi de souligner les traditions et les ruptures qui

ont fait le succès de l’école espagnole.

Le siècle d’or de la peinture sacrée Avec les œuvres du Greco, de Jusepe de Ribera et de Bartolomé Estéban Murillo, le visiteur plonge

au cœur des différents visages de l’art de la réforme catholique. Les artistes, souvent influencés par

la pensée mystique, traduisent un monde aspirant à la gloire céleste par de saisissants effets de

clair-obscur. Puis le ténébrisme laisse place aux peintures lumineuses de Murillo, maître du baroque

espagnol, qui a laissé à Séville de nombreux disciples. À cet art religieux répond un art profane

dominé par les grands portraits de cour et la finesse d’un Goya.

Un art hispanique du portrait et de la vie de cour Grands collectionneurs férus d'art italien et flamand, les monarques espagnols ont néanmoins

confié à des peintres espagnols la réalisation de leurs portraits. De Sánchez Coello à Goya, les

artistes mêlent intimement l’image du pouvoir à celle de la réalité.

De l’affirmation d’une identité nationale… L'opposition à l'occupation napoléonienne, la lente émergence d'un état moderne et la découverte

des richesses de la civilisation espagnole par l’Europe tout au long du XIXème siècle ont contribué à

asseoir le sentiment d'une forte identité nationale. À travers de grandes scènes de fêtes populaires,

ce mouvement déploie sur la toile toute la beauté des costumes traditionnels et des décors des

villes pavoisées. Il développe également un goût pour les sujets intimes, jeux de plage, jardins et vie

de famille. Joaquin Sorolla est le maître incontesté de ces scènes dédiées aux bonheurs simples. Les

couleurs vives, fortes et éclatantes illuminent ses toiles.

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… vers la modernité C’est toujours en termes de continuité et de rupture que s’envisage le passage à ce qu’il est convenu

d’appeler « la modernité ». Le traitement de la lumière devient le maître mot des héritiers de

Sorolla. Quant à celui de la couleur, il subit l’influence de l’impressionnisme français.

L'exposition s'achève avec ces grands maîtres espagnols qui ont révolutionné l'art occidental. Pablo

Picasso, Juan Gris, Joan Miró ou Salvador Dalí établissent des dialogues entre cubisme et

surréalisme. Une riche sélection d’œuvres graphiques et picturales de ces artistes offre un aperçu

saisissant de cette évolution jusqu’à Tàpies.

Juan Antonio Pérez Simón, un collectionneur averti

Important homme d’affaires mexicain d’origine espagnole né en 1941 en Asturies, Juan Antonio

Pérez Simón est une personnalité reconnue dans le monde des collectionneurs. Depuis les années

1970, sa passion pour l’art et son goût pour la culture l’ont incité à réunir une collection

exceptionnelle : peintures, sculptures, dessins, gravures, objets d’art décoratif, manuscrits, mais

aussi une bibliothèque de plus de cinquante mille volumes.

Cette collection, connue dans le monde entier, est l’une des plus importantes d’Amérique Latine par

son caractère exhaustif ainsi que par la notoriété des artistes représentés. Juan Antonio Pérez

Simón parle de ces choix artistiques comme étant le prolongement de sa propre personnalité : « J’ai

bâti un univers personnel qui fait écho à ce qui me définit et me stimule. Tous ceux qui, comme moi,

ne possèdent pas ce merveilleux don de créer la beauté grâce à l’art peuvent se consoler en admirant

des œuvres et en jouissant de se laisser séduire par elles ». Amateur des grandes écoles

européennes, les tableaux présentés au Musée Jacquemart-André représentent la partie hispanique

de sa collection, la moins connue du grand public.

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Hommage à l’Espagne des peintres par Nicolas Sainte Fare Garnot

On se souvient de la mémorable rétrospective « Goya, un regard libre » organisée par le Palais des

Beaux-arts de Lille en 1999 mais il faut remonter à l’année 1976 pour que l’on puisse mentionner

dans un des grands musées de la capitale, une manifestation consacrée à la peinture espagnole.

C’était autrefois… La curieuse absence de cet art ibérique dont il n’est pas nécessaire de rappeler et

l’exigence et la virtuosité ne peut s’expliquer que par une paresse incompréhensible et peut-être,

faut-il l’avouer, par la carence de certaines de nos institutions. Quelle est aujourd’hui la place faite à

la civilisation espagnole dans nos universités, comme celle de son art dans nos musées ? S’il est vrai

que son école de peinture s’est nourrie et développée dès le XVe siècle des influences de l’art

européen, elle s’est surtout centrée sur sa propre expression et sur l’illustration d’un sentiment

national auquel sa géographie a donné un mouvement concentrique. C’est cette originalité que l’on

apprécie, ce caractère sans nul autre pareil.

Il nous est donc apparu naturel de saisir la chance offerte au Musée Jacquemart-André de pouvoir

présenter la collection de M. Pérez Simón. Après les Primitifs Italiens d’Altenbourg ou les panneaux

flamands de Sibiu, cette collection de chefs-d’œuvre espagnols, du Greco à Dalí, rassemblée par ce

grand collectionneur mexicain, nous permet aujourd’hui de revisiter cette grande école. Si la

séquence chronologique est parfaite (XVI-XXe siècle), à quelques exceptions près mais qui

s’expliquent, et donne à voir les meilleurs exemples de la peinture hispanique, il y a comme dans

toute collection, ces choix particuliers ou ces coups de cœur qui distinguent ce rassemblement d’un

regroupement académique. On peut espérer que chemin faisant, le visiteur y trouvera les noms qu’il

s’attend à rencontrer mais aussi qu’il en découvrira d’autres qui lui seront bientôt familiers.

Nicolas Sainte Fare Garnot

Conservateur du Musée Jacquemart-André

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Le parcours par Véronique Gerard-Powell, co-commissaire de l’exposition

Salle 1 : Terres d’Espagne

Charles Quint (1500-1558) et son fils Philippe II (1527-1598) sont les premiers souverains de la

dynastie Habsbourg à régner sur l’Espagne. Ils ont contribué à forger l’identité d’un pays constitué de

l’union de plusieurs Etats veillant jalousement sur leurs prérogatives. Utilisant leur culture

européenne, ils ont bâti un art de cour éclectique, mêlant inspirations flamande et vénitienne,

comme en témoignent les portraits des deux monarques présents dans l’exposition. Les typologies

inventées par les deux grands peintres de cour de cette époque, le flamand Antonio Moro et le

vénitien Titien, ont été reprises par des peintres espagnols comme Alonso Sánchez Coello (1531-

1588) et Juan Pantoja de la Cruz (1553-1608).

En 1561, Philippe II a décidé de faire de Madrid sa capitale. Construite au début du XVIIe siècle dans

une architecture de brique, de pierre et d’ardoises typique de l’époque, la Plaza Mayor a servi d’écrin

aux fêtes publiques de la monarchie. La fête de taureaux sur la Plaza Mayor, peint au milieu du XVIIe

siècle, montre la place aménagée pour une corrida royale. Le roi Philippe IV, à cheval, y est

représenté chargeant lui-même le taureau, étape obligatoire des grandes entrées royales.

La fête urbaine est un des points forts du « régionalisme », thème récurrent de la peinture espagnole

jusqu’au début du XXe siècle. L’exposition en offre trois exemples de très grande qualité : le pur

« costumbrismo » de la feria sévillane (courant artistique célébrant des coutumes nationales) illustré

par l'esprit romantique de Manuel Barrón y Carrillo (1814-1884), le traitement fauviste de la feria

valencienne d’Hermen Anglada-Camarasa (1872-1959) de retour d’un long séjour à Paris et le le

détournement des scènes de la vie paysane vers le réalisme social d’Ignacio Zuloaga y Zabaleta

(1870-1945).

En plein XXe siècle, Salvador Dalí (1904-1989) revient vers cette Espagne urbaine, vibrant depuis plus

de quatre siècles aux rythmes des commémorations de la semaine sainte, avec ses projets de décor

du ballet Misterio (1942).

Salles 2 et 3 : Une peinture tournée vers Dieu

Les Rois Catholiques et les Habsbourg ont été d’ardents défenseurs de la foi catholique et l’Espagne

un terrain privilégié du renouveau spirituel issu des réformes lancées par le Concile de Trente (1545-

1562). Siège de la primatiale, peuplée de lettrés, Tolède trouva en Domenikos Theotokopoulos dit Le

Greco (1541-1614) le traducteur idéal de sa recherche spirituelle.

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La collection Pérez Simón possède une des rares miniatures de dévotion réalisées par le Greco,

domaine encore méconnu de la carrière espagnole du peintre crétois. Les possessions flamandes et

italiennes de la Monarchie ont permis aux amateurs d’embellir leurs palais avec des scènes de genre

ou mythologiques, des peintures d’Histoire ou des paysages venus de ces deux grandes écoles. Mais

ils se tournaient plutôt vers leurs compatriotes pour les thèmes religieux, représentés sur les grands

retables des églises ou les chapelles particulières. Bien que vivant surtout à Naples, Jusepe de Ribera

(1591-1652) a contribué, par ses nombreux envois en Espagne, à bâtir cette peinture religieuse d’un

naturalisme puissant et sobre, servi par des coloris sourds et d’audacieux jeux de lumière (Sainte

Marie l’Egyptienne en lévitation).

Un peu plus tard dans le siècle, dans une Séville décimée par les pestes et les catastrophes

économiques, Bartolomé Estéban Murillo développa une manière plus douce, nourrie de références

flamandes. À côté d’un Crucifix qui semble être un unicum, sont présentés deux magnifiques

exemples de sa peinture religieuse populaire : l’Immaculée Conception et Saint Jean-Baptiste

adolescent. Murillo impose un dessin élégant, une atmosphère unique, des couleurs subtiles et des

jeux de lumière qui ont séduit tant de collectionneurs. Une oeuvre d’un de ses plus talentueux

suiveurs, Alonso Miguel de Tovar (1678-1758), La Divine Bergère, démontre la pérennité de son

impact sur la création artistique à Séville.

Salvador Dalí est l’un des rares peintres du XXe siècle qui sut – son Ascension du Christ en est un des

plus célèbres exemples – traiter l’image religieuse avec la même force artistique et spirituelle que les

peintres du Siècle d’Or.

Salle 4 : Portraits d’enfants

Longtemps magnifique apanage de la peinture de Cour, de Sánchez Coello à Goya, le portrait

d’enfant a souvent inspiré la génération romantique espagnole. Petite fille jouant du tambour

d’Antonio Maria Esquivel (1806-1857) est un excellent exemple de cette veine élégante et naturelle

du milieu du siècle. Les thèmes de l’enfance, de l’innocence heureuse ou du courage devant

l’adversité sont au cœur de l’œuvre de Joaquin Sorolla (1863-1923), orphelin de bonne heure, père

de famille comblé et observateur attentif du petit peuple valencien. Les enfants nus courant dans les

vagues lumineuses de la Méditerranée, sujet récurrent dans son œuvre, sont une de ses plus belles

études préparatoires pour le vaste et poignant Triste Héritage, qui obtient le Grand Prix de

l’Exposition Universelle de Paris en 1900.

Salle 5 : Entre terre et mer

Quelques exceptions mises à part, les peintres espagnols ne se sont intéressés au paysage qu’à partir

de la seconde moitié du XIXe siècle : au voyage en Italie, qui n’était plus uniquement tourné vers

l’étude du classicisme, ils ont ajouté le voyage en France. En participant aux salons, ils ont été

influencés par les mouvements contemporains, de l’école de Barbizon au fauvisme.

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Spécialiste des scènes de vie sociale, à mi-chemin vers le paysage, Federico Godoy y Castro (1869-

1939) représente dans la vaste toile de la Balançoire, le divertissement spécifique de certaines fêtes

populaires d’Andalousie : les couleurs, la lumière disent la joie du printemps et des promesses de

l’amour.

Joaquin Sorolla, peintre particulièrement cher à Juan Antonio Pérez Simón, affirme, dès ses premiers

paysages peints lors de son voyage en Italie (Scène napolitaine, 1886) son attraction pour les jeux de

lumière, traités alors dans une délicate opposition avec les ombres de la pergola. Plus tard, ce sera le

passage de la fraîche lumière des matins de Valence (1901) aux couleurs vives de l‘après-midi sur

l’écume des vagues que franchissent les bœufs tirant les barques. Ces paysages toujours animés de

petites figures évoquent l’influence d’Anders Zorn et replacent toujours le spectateur dans la réalité

du moment.

Traitée à la manière d’une épopée antique, Etude pour « La pêche au thon » de Salvador Dalí (1965)

n’en garde pas moins ce même intérêt pour le choc des couleurs, le sang des poissons transformant

brusquement le bleu et l’écume de la Méditerranée.

Salle 6 : Le corps féminin

Par le dessin précis du corps, hérité de sa formation académique, qu’il souligne par un contraste

chromatique fort avec le blanc du peignoir, Laureano Barrau Buñol (1863-1950) met en valeur le nu

féminin, thème récurrent des peintres espagnols du XXe siècle. Pablo Picasso (1881-1973) en est

évidemment le représentant privilégié. Le petit nu vif de la période bleue (1902), témoin de la vie de

bohême parisienne, sa monumentale, bien que de petites dimensions, Grande danseuse nue (1962)

et la frise de La danse au bord de la mer présentent le même amour des courbes sensuelles du corps

féminin. Joán Miró nous en offre ici une version plus rêveuse, plus poétique, tout comme Salvador

Dalí qui donne dans La Plage érotique (1950) les derniers feux de son inspiration surréaliste, mêlant

songe et paysage.

Salle 7 : Portraits de femme

Le joyau de la collection Pérez Simón est assurémment le portrait de Maria Teresa de Vallabriga,

l’épouse de l’Infant Don Luis, frère de Charles III. Conservé dans la famille jusqu’à son acquisition par

Juan Antonio Pérez Simón, il s’agit d’un des tous premiers portraits féminins de Goya, réalisé à la

même période que sa célèbre Famille de l’Infant Don Luis (Fondation Magnani, Parme, 1783). La

simplicité de la pose, de l’habillement et le regard direct mettent en valeur la délicatesse du

traitement du visage. L’expression rêveuse est obtenue par une touche fine et délicate, une

luminosité subtile. Cette conception hispanique du portrait est également sensible dans le petit

Portrait de Feliciana Bayeu, fille de Francisco Bayeu (1734-1795) et nièce de Goya.

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Après l’intervalle néo-classique et romantique, le portrait féminin prend en Espagne une nouvelle

force. Fils d’un fort bon peintre formé en France et en Italie, Federico de Madrazo (1815-1894) est

un portraitiste hors pair, représenté ici par le portrait très incisif de la comtesse de Cienfuegos levant

les yeux de son livre de prière avec une spontanéité inhabituelle. Le cosmopolite Ignacio Zuloaga y

Zabaleta, qui lui succède comme peintre de la haute société, cherche ses modèles dans les grandes

effigies aristocratiques de Goya, traités avec des contours épais et une monumentalité qui lui est

spécifique (Portrait de la Señora Corcuera, 1918). On retrouve une sophistication semblable dans le

Portrait de femme à qui Julio Romero de Torres (1874-1930) a donné la beauté en partage. Dans La

Marcelina, l’une de ses dernières œuvres, Joaquin Sorolla, le peintre aux multiples facettes fait une

admirable synthèse de ses talents de coloriste et de spectateur de la société humaine. Pablo Picasso

clôt cette belle série avec une étude rapide mais introspective de Françoise Gilot (1949).

Salle 8 : Les créateurs du monde moderne

La contribution des artistes espagnols aux grands mouvements historiques de l’art contemporain est

bien connue. Pendant sa période bleue et avant de devenir un pionnier du cubisme, Pablo Picasso a

pénétré au cœur des drames humains, ce dont témoigne ici le bouleversant Déjeuner du pauvre.

Après que Braque et Picasso aient défini les principes, c’est Juan Gris (1887-1927) qui a poussé le

plus loin toutes les possibilités techniques du cubisme. Dans Cuillère et bol (1913), une œuvre

extrêmement structurée qui ne nie pas les couleurs, se lit le souvenir de Cézanne. Datée de 1919, La

Nature morte au pigeon de Picasso, apparemment cubiste, porte en elle les germes de l’évolution du

peintre vers un monde plus rêveur, plus spontané. On sait que Salvador Dalí, dont plusieurs chefs-

d’œuvre rythment les autres salles, a été très longtemps fidèle au surréalisme qui fit son succès et

correspond profondément à sa personnalité. Deux sculptures des années 70, La Noblesse du temps

et Le Profil du temps illustrent les thèmes récurrents qui expriment dans son œuvre le temps et la

perfection du corps humain.

Face à eux, l’élan poétique de Joán Miró (1893-1983) et son insurpassable sens de la dynamique des

couleurs sont évoqués par un dessin tardif mais tout à fait caractéristique de sa technique. Revient à

Antoni Tàpies (né en 1923) l’honneur de clore cette exposition : œuvre éminemment caractéristique

de l’importance qu’il a voulu donner, tout au long de sa carrière, au symbole dans sa peinture

abstraite, Grand papier gris avec symbole blanc (1965) « symbolise » ici la continuelle quête

spirituelle de la peinture espagnole.

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1. Domenikos Theotokopoulos, dit Le Greco (1541-1614)

Tête du Christ, vers 1600

Huile sur papier collé sur panneau de bois, 10,2 x 8,6 cm

Collection Pérez Simón, Mexico

© Fundación JAPS © Studio Sébert photographes

2. Bartolomé Estéban Murillo (1618-1682)

L’immaculée Conception, vers 1670-75 ?

Huile sur toile, 190 x 145 cm

Collection Pérez Simón, Mexico

© Fundación JAPS © Studio Sébert photographes

3. Jusepe de Ribera (1591-1652)

Saint Jérôme

1648, huile sur toile, 77 x 71 cm

Collection Pérez Simón, Mexico

© Fundación JAPS © Studio Sébert photographes

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4. Ecole madrilène

Fête de taureaux sur la Plaza Mayor de

Madrid, milieu des années 1650,

Huile sur toile, 135 x 200 cm

Collection Pérez Simón, Mexico

© Fundación JAPS © Studio Sébert

photographes

5. Francisco Goya y Lucientes (1746-1828) 6. Manuel Barrón y Carrillo (1814-1884)

Doña Maria Teresa de Vallabriga y Rozas Figures élégantes dans Séville

1783, huile sur panneau de bois, 66,7 x 50,5 cm Le duc et la duchesse de Montpensier

Collection Pérez Simón, Mexico XIXe siècle, huile sur toile, 73 x 58,4 cm

© Fundación JAPS © Studio Sébert photographes Collection Pérez Simón, Mexico

© Fundación JAPS © Studio Sébert photographes

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7. Joaquin Sorolla y Bastida

(1863-1923)

Scène napolitaine

1886, huile sur toile,

26 x 35 cm

Collection Pérez Simón, Mexico

© Fundación JAPS © Studio Sébert

photographes

8. Joaquin Sorolla y

Bastida (1863-1923)

Soleil du matin, 1901

Huile sur toile, 81 x 128 cm

Collection Pérez Simón,

Mexico

© Fundación JAPS © Studio

Sébert photographes

9. Joaquin Sorolla y Bastida (1863-1923)

Sur la plage, 1908

Huile sur toile, 47 x 58,1 cm

Collection Pérez Simón, Mexico

© Fundación JAPS © Studio Sébert photographes

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10. Hermen Anglada-Camarasa

(1874-1959)

Feria de Valence, vers 1907

Huile sur toile, 71,1 x 108,6 cm

Collection Pérez Simón, Mexico

© Fundación JAPS © Studio Sébert

photographes © ADAGP, Paris 2010

11. Julio Romero de Torres (1874-1930)

Portrait de femme, vers 1925-1930 ?

Huile sur toile, 62,2 x 52,1 cm

Collection Pérez Simón, Mexico

© Fundación JAPS © Studio Sébert

photographes

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12. Pablo Picasso (1881-1973)

Nu étendu sur un lit, 1902

Crayon et encre sur carton, 9 x 13,3 cm

Collection Pérez Simón, Mexico © Fundación JAPS

© Studio Sébert photographes © Succession Picasso 2010

13. Pablo Picasso (1881-1973)

Françoise dans un fauteuil

16 mars 1949

Huile sur toile, 41,6 x 27,6 cm

Collection Pérez Simón, Mexico © Fundación JAPS

© Studio Sébert photographes © Succession Picasso 2010

14. Joán Miró (1893-1983)

Femmes devant la lune, 1944

Pastel et gouache sur toile, 22,2 x 33,7

cm

Collection Pérez Simón, Mexico – ©

Fundación JAPS © Studio Sébert

photographes © Successió Miró –

ADAGP, Paris 2010

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15. Salvador Dalí (1904-1989)

Projet de décor de ballet. Roméo et Juliette ?

1942, huile sur toile, 69,4 x 79,4 cm

Collection Pérez Simón, Mexico

© Fundación JAPS © Studio Sébert

photographes © Salvador Dalí, Gala-Salvador

Dalí Fondation / ADAGP, Paris, 2010

16. Salvador Dalí (1904-1989)

L’Ascension du Christ, 1958

Huile sur toile, 115 x 123 cm

Collection Pérez Simón, Mexico

© Fundación JAPS © Studio Sébert

photographes © Salvador Dalí, Gala-Salvador

Dalí Fondation / ADAGP, Paris, 2010

ADAGP

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L’ensemble des œuvres présentées dans cette exposition proviennent de la collection Pérez Simón.

Terres d’Espagne École madrilène Proclamation de Charles III sur la Plaza Mayor de Madrid, seconde moitié du XVIIIe siècle, huile sur toile, 108 x 139,7 Manuel Barrón y Carrillo (1814-1884) Figures élégants dans Séville. Le duc et la duchesse de Montpensier XIXe siècle, huile sur toile, 73 x 58,4 École madrilène Fête de taureaux sur la Plaza Mayor de Madrid, Milieu des années 1650, huile sur toile, 135 x 200 Juan Pantoja de la Cruz (1553-1608) Portrait de Philippe II Vers 1606-1608, huile sur toile, 110,5 x 89 Salvador Dalí (1904-1989) Projet de décor de ballet. Roméo et Juliette ? 1942, Huile sur toile, 69,4 x 79,4 Alonso Sánchez Coello (atelier de) (vers 1531/1532-1588), Portrait de Charles Quint, vers 1580, huile sur toile, 70,5 x 55,9. Hermen Anglada-Camarasa (1872-1959) Feria de Valence Vers 1907, huile sur toile, 71,1 x 108,6 Ignacio Zuloaga y Zabaleta (1870-1943) Les Vendangeurs 1905, huile sur toile, 213 x 191

Une peinture tournée vers Dieu Jusepe de Ribera (1591-1652) Sainte Marie l’Égyptienne en lévitation Vers 1640, huile sur toile, 177 x 123

Salvador Dalí (1904-1989) L’Ascension du Christ 1958, huile sur toile, 115 x 123 Bartolomé Esteban Murillo (1617-1682) Immaculée Conception Vers 1670/75?, huile sur toile, 190 x 145 Jusepe de Ribera (atelier de) (1591-1652) Tête de saint Jean-Baptiste Vers 1646, Huile sur toile, 50,5 x 51,5 Jusepe de Ribera (1591-1652) Saint Jérôme 1648, huile sur toile, 77 x 71 Alonso Miguel de Tovar (1678-1752) La Divine Bergère Vers 1740-1747, Huile sur bois, 126,6 x 105,8 Bartolomé Esteban Murillo (1617-1682) Saint Jean-Baptiste adolescent 1660-1665, huile sur toile, 203,2 x 135,9 Dario de Regoyos (1857-1913) Pour les morts 1886, huile sur toile, 116 x 89 Bartolomé Esteban Murillo (1617-1682) Crucifix XVIIe siècle, huile sur bois, 48,9 x 31,7 Domenikos Theotokopoulos, dit Le Greco (1541-1614) Tête du Christ Vers 1600, huile sur papier collé sur panneau de bois, 10,2 x 8,6 Fernando Álvarez de Sotomayor (1875 – 1960) Figures dans une église. Office dans l’église de Buño, Vers 1920-1932, huile sur toile, 55.2 x 55.2

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Portraits d’enfants Antonio María Esquivel (1806-1857) Petite fille jouant du tambour 1837, huile sur toile, 122,5 x 95 Joaquín Sorolla y Bastida (1863-1923) Enfants dans la mer, étude pour Triste Héritage ! 1899, huile sur toile, 40,6 x 54,9 Joaquín Sorolla y Bastida (1863-1923) Enfant dans les rochers, Jávea 1905, huile sur toile, 57,8 x 37,5 Joaquín Sorolla y Bastida (1863-1923) Sur la plage 1908, Huile sur toile, 47 x 58,1

Entre terre et mer

Joaquín Sorolla y Bastida (1863-1923) Bœufs dans la mer, étude pour Soleil de fin d’après-midi 1903, huile sur toile, 96 x 135,5 Joaquín Sorolla y Bastida (1863-1923) Tête de vieux pêcheur Vers 1897, huile sur toile, 43 x 50 Salvador Dalí (1904-1989) Étude pour La Pêche au thon 1965, encre, aquarelle et gouache sur papier collé sur bois, 35,6 x 47,4 Frederico Godoy y Castro (1868-1939) La Balançoire 1899-1900, huile sur toile, 149,9 x 200 Joaquín Sorolla y Bastida (1863-1923) Soleil du matin 1901, huile sur toile, 81 x 128 Joaquín Sorolla y Bastida (1863-1923) Scène napolitaine 1886, huile sur toile, 26 x 35

Le corps féminin

Pablo Picasso (1881-1973) Danse au bord de la mer, 10 août 1933 Encre indienne sur papier, 33,9 x 45,1 Laureano Barrau Buñol (1864-1950) Après le bain 1913, huile sur toile, 194,9 x 103,5 Pablo Picasso (1881-1973) Nu étendu sur le lit 1902, crayon et encre sur carton, 9 x 13,3 Pablo Picasso (1881-1973) Grande danseuse nue, 1962 Linogravure sur papier, édition 7/50, 64.1 x 52.7 Salvador Dalí (1904-1989) La plage érotique 1950, huile sur bois, 14 x 17,5 Joán Miró (1893-1983) Personnage étoile, 29 avril 1977 Crayon sur carte d’invitation, 22,2 x 16,5 Pablo Picasso (1881-1973) Le Déjeuner du pauvre 1903, aquarelle sur papier, 24,2 x 32,6

Portraits de femme

Joaquín Sorolla y Bastida (1863-1923) Portrait du peintre José Moreno Carbonero 1895, huile sur toile, 92 x 112 Joaquín Sorolla y Bastida (1863-1923) La Marcelina 1917, huile sur toile, 104 x 80,5 Francisco de Goya y Lucientes (1746-1828) Doña Maria Teresa de Vallabriga y Rozas 1783, huile sur panneau de bois, 66,7 x 50,5

19

Francesco Bayeu y Subias (1734-1795) Portrait de Feliciana Bayeu, fille de l’artiste Vers 1792, huile sur toile, 58 x 39 Ignacio Zuloaga y Zabaleta (1870-1943) Portrait de la Señora Corcuera 1918, huile sur toile, 187,5 x 132 Pablo Picasso (1881-1973) Françoise dans un fauteuil 16 mars 1949, huile sur toile, 41,6 x 27,6 Julio Romero de Torres (1874-1930) Portrait de femme Vers 1925-1930 ?, huile sur toile, 62,2 x 52,1 Federico de Madrazo y Kuntz (1815-1894) Portrait de María Amparo Cienfuegos Jovellanos, XIXe siècle, huile sur toile, 89 x 70,5

Les créateurs du monde moderne Joán Miró (1893-1983) Femmes devant la lune 1944, pastel et gouache sur toile, 22.2 x 33.7 Juan Gris (1887-1927) Cuillère et bol Août 1918, huile sur toile, 21,5 x 26,5

Antoni Tàpies (1923 –) Grand papier gris avec un symbole blanc 1965, acrylique sur papier sur toile, 193 x 137 Pablo Picasso (1881-1973) Nature morte au pigeon 1919, huile sur toile, 46,3 x 55,2 Joán Miró (1893-1983) Sans titre 5 octobre 1974, encre indienne et gouache sur papier japonais, 41,5 x 41,5 Salvador Dalí (1904-1989) La Noblesse du temps, 1977-1984 Bronze avec patine verte et brune, 60 x 38 x 29,5 Salvador Dalí (1904-1989) Profil du temps 1977-1984 (254/350), bronze à patine verte 51,5 x 35 x 34 cm. Dans l’escalier du jardin d’hiver :

Salvador Dalí (1904-1989) Vénus de Milo aux tiroirs, Vers 1964 (EA I/IV), bronze à patine verte et brune, 218,5 x 67,5 x 66 cm

20

Le commissariat

Nicolas Sainte Fare Garnot, historien de l’art spécialiste de la peinture française du XVIIème

siècle, est le conservateur du Musée Jacquemart-André depuis 1993. Depuis sa nomination au

Musée Jacquemart-André, il a réorganisé la distribution des collections selon le programme

d’origine et a lancé des campagnes de restaurations et d’inventaires. Avec Culturespaces, il

contribue à créer une nouvelle dynamique au sein du Musée en apportant son concours scientifique

à des expositions temporaires dont les sujets permettent d’approfondir la connaissance des artistes

présents dans les collections permanentes.

Véronique Gerard-Powell, maître de conférences en histoire de l'art moderne à

l'Université de Paris-Sorbonne, est spécialiste de l'art espagnol. Elle a participé à plusieurs

expositions d'art espagnol en France (Zurbaran au Grand Palais en 1988 ; Goya au Musée des Beaux-

arts de Lille en 1999). Elle a réalisé le catalogue raisonné des peintures espagnoles du Musée de

Grenoble (RMN, 2000) et, en collaboration avec Claudie Ressort, celui des peintures espagnoles et

portugaises du Musée du Louvre (2002). Elle achève actuellement un ouvrage écrit en collaboration

avec Claudie Ressort sur « Les maîtres anciens de l'école espagnole en France entre 1800 et 1914 ».

Une scénographie d’Hubert Le Gall

Pour mettre en valeur quatre siècles de peinture espagnole, Hubert Le Gall conçoit comme à son

habitude un décor élégant et raffiné où chaque salle est l’occasion de confrontations audacieuses

entre des artistes de siècles différents. Ce parti pris thématique met en exergue l’âme profonde de

l’école espagnole à travers ses héritages et ses évolutions. La présentation résolument moderne et

lumineuse de cette exposition invite donc le visiteur à porter un nouveau regard sur les œuvres de

ces grands maîtres.

Hubert Le Gall est un designer français, créateur et sculpteur d'art contemporain, né en 1961. Son

œuvre fait l’objet de nombreuses expositions à travers l’Europe. Depuis 2000, il réalise des

scénographies originales pour des expositions, parmi lesquelles :

2009 – Musée d’Orsay, Paris – « Voir l’Italie et mourir. Photographie et peinture dans l’Italie du XIXe siècle. » 2009 – Musée du Luxembourg, Paris – « Louis Comfort Tiffany. Couleurs et Lumière. »

2009 – Musée Jacquemart-André, Paris – « Bruegel, Memling, Van Eyck… La collection Brukenthal »

2009 – Musée Jacquemart-André, Paris – « De Sienne à Florence. Les Primitifs Italiens. La collection

d’Altenbourg »

21

2008 – Musée Jacquemart-André, Paris – « Van Dyck »

2008 – Musée d’Orsay, Paris – « Picasso-Manet, le déjeuner sur l’herbe »

2007 – Musée Jacquemart-André, Paris – « Fragonard, les plaisirs d’un siècle »

2007 – Galeries nationales du Grand Palais, Paris – « Design contre Design »

2007 – Musée Bröhan, Berlin – « Les bijoux de Lalique »

2007 – Musée du Luxembourg, Paris – « Les bijoux de Lalique »

2006 – Galeries nationales du Grand Palais, Paris – « Portraits peints-Portraits sculptés »

2005 – Galeries nationales du Grand Palais, Paris – « Mélancolie - Génie et folie en occident »

2005 – Musée des Beaux Arts de Bucarest, Roumanie – « Ombres et Lumières, Chefs-d’œuvre

de la peinture Française »

2005 – Musée du Luxembourg, Paris – « Matisse »

2003 – Galeries nationales du Grand Palais, Paris – « Edouard Vuillard »

2003 – Musée des Beaux Arts de Montréal, Québec – « Edouard Vuillard »

2002 – Musée Jacquemart-André, Paris – « Les dessins de la collection Krugier-Poniatowski »

2000 – Musée Jacquemart-André, Paris – « Les Primitifs Italiens »

2000 – Musée Jacquemart-André, Paris – « Merveilles de la Céramique Ottomane »

2007 : Fragonard 2008 : Van Dyck

2009 : Les Primitifs Italiens 2009 : Bruegel, Memling, Van Eyck...

22

Le catalogue

Dans le cadre de l’exposition, le Musée Jacquemart-André édite, en

collaboration avec la maison d’édition Snoeck et le Musée national des

beaux-arts du Québec, un catalogue de 208 pages, réunissant

l’ensemble des œuvres exposées. Chacune de ces œuvres fait l’objet

d’une étude spécifique réalisée par le co-commissaire de l’exposition

Madame Véronique Gerard-Powell. Le visiteur est ainsi invité à

approfondir la découverte de cette collection à travers cet ouvrage

réunissant qualité scientifique et nombreuses illustrations en couleur et

en pleine page.

Le catalogue est mis en vente à la librairie-boutique du Musée

Jacquemart-André au prix de 39 euros.

Le hors-série « Connaissance des Arts »

Connaissance des Arts consacre un numéro « Hors-série » à Monsieur Juan

Antonio Pérez Simón et à sa riche collection. Cette publication rassemble les

œuvres majeures de l’exposition et offre une approche intéressante sur l’art

espagnol.

Il sera mis en vente à la librairie-boutique du Musée Jacquemart-André au prix

de 9 euros.

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Le site de l’exposition www.greco-dali.com

- Des notices claires et détaillées d’une vingtaine d’œuvres majeures.

- Des visuels de grand format pour apprécier les œuvres dans leurs moindres détails.

- Une rubrique « Les coulisses » offrant la possibilité de découvrir les dessous de l’exposition grâce à

des podcasts audio et des reportages photos.

- Des quiz réguliers permettant de gagner des catalogues ainsi que des entrées pour l’exposition.

La visite commentée : iPhone, audioguide…

NOUVEAU ! Pour cette exposition, un audioguide présentant une vingtaine d’œuvres majeures sera

remis à chaque visiteur.

L’application iPhone et iPod touch

Ce guide de visite nouvelle génération, disponible en français et en anglais, propose

la présentation vidéo de l’exposition, une introduction complète, le commentaire

audio d’une vingtaine d’œuvres ainsi que des bonus audio pour découvrir les

coulisses de l’exposition.

Le Musée Jacquemart-André propose le téléchargement sur place et sans nécessité

d’une connexion 3G grâce à un accès Wi-Fi exclusivement dédié au téléchargement

sur l'App Store. Ce téléchargement in situ sera également accessible aux

possesseurs d'iPod touch ainsi qu'aux visiteurs étrangers sans surcoût de roaming

data.

La variété des contenus (vidéo, audio, image), les bonus

exclusifs et la navigation fluide grâce à la présentation de

type « cover flow » en font l’outil indispensable pour une

visite approfondie de l’exposition.

24

Le livret de visite

Pour enrichir votre visite, ce livret disponible à l’entrée du Musée permet de suivre, pas à pas, le

cheminement de l’exposition avec une présentation générale de chaque thématique ainsi que des

commentaires spécifiques sur les œuvres majeures de la collection Pérez Simón.

En vente à la billetterie du musée au prix de 1,5 euros.

Pour les plus petits : le livret-jeux

Remis gratuitement à chaque enfant qui se rend à l’exposition, ce livret

est un guide permettant aux plus jeunes d’observer, de manière ludique,

les tableaux majeurs de l’exposition à travers différents mots mystères et

diverses énigmes à découvrir.

Réalisation : Au clair de ma plume

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Une collaboration entre le Musée Jacquemart-André et le Musée national des beaux-arts du Québec

L’exposition « Du Greco à Dalí. Les grands maîtres espagnols. La

collection Pérez Simón » est réalisée en coproduction entre le Musée

Jacquemart-André et le Musée national des beaux-arts du Québec.

Fondé en 1933, le Musée national des beaux-arts du Québec fut la première institution

muséologique créée par le gouvernement du Québec dédiée à la mise en valeur de l’art national. Sa

collection permanente est constituée de plus de 34 000 œuvres, datées du XVIIe siècle jusqu’à nos

jours.

Outre les nombreuses expositions sur l’art du Québec, autant historique que contemporain, le musée

présente chaque année des expositions temporaires d’envergure internationale, parmi lesquelles on

notera : Picasso et la céramique (2004), Camille Claudel et Rodin : la rencontre de deux destins

(2005), De Caillebotte à Picasso. Chefs d’œuvre de la collection Oscar Ghez (2006), De Cranach à

Monet. Chefs d’œuvres de la collection Pérez Simón (2007), Le Louvre à Québec. Les arts et la vie

(2008), Ingres et les modernes (2009). Grâce à ses expositions, le Musée national des beaux-arts du

Québec a développé d’étroites collaborations avec d’importants musées européens et américains,

parmi lesquels plusieurs grandes institutions françaises comme le Louvre, le Musée d’Orsay ou le

Musée Rodin.

Reconnu pour son excellence en muséologie, le musée

est situé dans le vaste parc des champs-de-bataille, au

cœur de la ville de Québec. Réunissant un bâtiment de

style Beaux-arts (1933) et une ancienne prison (1860), il

prévoit la construction d’un troisième pavillon qui offrira

d’ici 2014 un parcours de ses collections d’art moderne

et contemporain, ainsi qu’un espace de 1 500 m2

consacré aux expositions temporaires. Un concours

international d’architecture a été lancé à l’été 2009 et

les architectes gagnants seront connus à l’été 2010.

Le Musée national des beaux-arts du Québec a le plaisir de collaborer avec M. Pérez Simón depuis

2006 et est heureux que cette très belle collection soit présentée à Paris grâce à la collaboration

enthousiaste du Musée Jacquemart-André.

26

Le Groupe Crédit du Nord, partenaire de l’exposition sur les grands maîtres espagnols

Le Crédit du Nord est fier d’apporter son soutien, en tant que mécène, à cette très belle exposition sur les

grands maîtres espagnols. Du Greco à Dalí en passant par Murillo, Goya ou Picasso, la collection Pérez

Simón nous propose un voyage captivant à travers les grandes époques de l’art espagnol.

C’est la deuxième exposition du Musée Jacquemart André que le Crédit du Nord accompagne après celle

sur les Primitifs Italiens. Les visiteurs pourront également apprécier les œuvres permanentes issues de la

collection privée de Nélie Jacquemart et de son époux Edouard André, héritier d’une famille de banquiers

régionaux dont l’activité prit son essor au second empire tout comme celle du Comptoir national

d’escompte de Lille, notre ancêtre fondé en 1848.

Aujourd’hui, notre groupe est une fédération de sept banques régionales (Banques Courtois, Kolb,

Laydernier, Nuger, Rhône-Alpes, Tarneaud et Crédit du Nord) partageant la même stratégie centrée sur la

satisfaction de leur clientèle.

Disposant d’un fort ancrage régional, elles soutiennent déjà, chacune en tant que mécène, de nombreux

projets culturels de leur région.

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Fidèle à sa vocation de service public, France Télévisions s’est fixé pour objectif

de rendre la culture accessible et intelligible au plus grand nombre.

En choisissant d’être partenaires de l’exposition « Du Greco à Dalí. Les grands

maîtres espagnols. La collection Pérez Simón », France 2 et France 3, deux des

antennes du bouquet France Télévisions, privilégient une nouvelle fois

l’événement culturel.

France 2 et France 3, dont les programmes, tous genres confondus, favorisent la

culture sous toutes ses formes, sont fières de poursuivre leur partenariat avec le

Musée Jacquemart-André qui présente, au travers de cette exposition, un

panorama exceptionnel de la création artistique en Espagne, au cours des quatre

derniers siècles. Après avoir accompagné les expositions des artistes italiens et flamands la saison

dernière, France Inter prolonge l’aventure en soutenant la nouvelle exposition

du Musée Jacquemart-André « Du Greco à Dalí » et propose à ses auditeurs de

découvrir les grands maîtres espagnols.

Fidèle à sa programmation qui privilégie la présentation de collections privées, le

Musée Jacquemart-André accueille une des plus importantes collections d’art

espagnol, celle de Juan Antonio Pérez Simón. Les spectateurs et auditeurs de

France Inter pourront ainsi découvrir 50 chefs-d’œuvre encore jamais exposés en

France.

Avec France Inter, partez pour un passionnant voyage esthétique et artistique

qui réunit les œuvres clés de l’art espagnol ! Un événement à découvrir, vivre et

explorer sur les antennes de France Inter et sur www.franceinter.com Paris Match est partenaire du Musée Jacquemart-André depuis plusieurs

années. Cette fidélité à des engagements culturels, impliquant autant le

magazine que les équipes du Musée et Culturespaces, raconte l’histoire d’une

aventure humaine que partage Paris Match avec ses lecteurs.

La nouvelle exposition apporte justement un éclairage comparatif sur la peinture

espagnole qui permet un voyage dans le temps à la rencontre des hommes qui

ont écrit des pages de l’art. En croisant les œuvres de ces artistes « Du Greco à

Dalí », le visiteur devient spectateur complice d’une émotion.

Paris Match est le 1er magazine français d’actualité et le 5e au monde d’après le

classement de FIPP.

28

Musique, exposition, cinéma, théâtre, littérature, le Parisien décrypte toute

l’actualité culturelle dans les pages « Les spectacles » et les expositions

occupent une grande place dans les pages du journal.

Chaque jeudi, le Parisien propose à ses lecteurs les pages « Sortir à » pour leur

donner tous les bons plans du week-end et donner la part belle aux nouvelles

expositions.

A partir du 12 mars et jusqu’au 1er août 2010, le Musée Jacquemart-André

présente une collection exceptionnelle : celle de Juan Antonio Pérez Simón.

L’exposition « Du Greco à Dalí », riche de 50 chefs-d’œuvre de plus de 25

artistes passe en revue les quatre derniers siècles de création artistique

espagnole. Il était tout naturel que le Parisien s’associe au Musée Jacquemart-

André pour ce qui s’annonce comme l’exposition phare du printemps 2010. Résolument ancré dans son temps, Arts Magazine aborde l'Art de façon

accessible et exigeante, didactique et ludique. Arts Magazine est un mensuel

éclectique et généraliste qui parle de tous les arts visuels, de la peinture au

design en passant par la photographie, la sculpture et l'architecture. Chaque

mois, Arts Magazine donne les clefs pour comprendre les artistes d'hier et

d'aujourd'hui à travers l'actualité des expositions et des musées. Toujours

soucieux de faire découvrir des œuvres et des artistes à ses lecteurs, Arts

Magazine est enchanté d'être partenaire de l'exposition « Du Greco à Dalí » qui

dévoile au public des chefs-d'œuvre de la peinture espagnole trop rarement

montrés en France. Premier newsmagazine français, le Nouvel Observateur commente chaque

jeudi toute l’actualité politique, économique et culturelle. Il analyse et décrypte

tous les mouvements de société en anticipant leurs conséquences.

Son supplément TéléCinéObs présente les programmes télévisés de la semaine,

un panorama complet de l’actualité cinématographique avec les coups de cœur

et critiques des journalistes sans oublier plusieurs pages multimédia. Dans ses

pages parisiennes, il annonce et commente tous les grands événements

culturels : expos, théâtres, concerts.

Le Nouvel Observateur est heureux de s’associer au Musée Jacquemart-André et

d’être partenaire de cette très belle exposition.

29

Le magazine Vanity Fair Espagne est une revue destinée à un public de lecteurs

avisés et sophistiqués recherchant une information pointue aux niveaux

national et international. Le magazine possède un contenu unique, apportant un

regard différent et proposant une qualité photographique inégalable. Il est, sans

conteste, une référence dans le milieu de la presse espagnole et internationale

par son aptitude à mettre en évidence les sujets d’actualité les plus pointilleux

et à donner la parole à tous les interlocuteurs : politiques et personnalités qui

font l’actualité du moment.

Les éditions Condé Nast Espagne, créées 1988, ont su se positionner parmi les

plus prestigieuses du marché éditorial ibérien par le lancement de plusieurs

magazines tels que Vogue, Glamour, GQ, AD, Condé Nast Traveler et bien sûr, le

plus récent, Vanity Fair. De tous ces magazines, se dégage une qualité

esthétique d’image et de contenu rédactionnel, ceci grâce à la collaboration des

meilleurs professionnels du secteur.

Dans le cadre de ses activités, le magazine Vanity Fair Espagne est fier de

s’associer à l’exposition du Musée Jacquemart-André « Du Greco à Dalí ».

Visioscène est une société de production audiovisuelle qui travaille à la diffusion

de contenus vidéo dans les médias (Internet, transports…) pour différents lieux

culturels, loisirs et salles de spectacles. Depuis plusieurs saisons, Visioscène

collabore avec Culturespaces pour faire connaître au plus grand nombre les

expositions temporaires et les collections permanentes du Musée Jacquemart-

André. La Fnac, 1er distributeur de billets de spectacles en France propose, l’offre la plus

riche dans tous les domaines de la culture et des loisirs (concerts, théâtre,

danse, opéras, festivals, expositions, musées, sport, parcs de loisirs, cirques,

cabarets, salons). Plus de 60 000 événements par an sont accessibles à la

réservation. Avec plus de 80 magasins en France, son site internet

www.fnac.com et sa plateforme téléphonique, la Fnac permet la réservation et

l'obtention de billets de façon immédiate. C’est également un lieu de rendez-

vous entre le public et les artistes : la FNAC organise toute l'année des

rencontres, débats et des mini-concerts dans ses Forums et hors de ses murs, et

s’associe à de nombreuses manifestations, jouant ainsi pleinement son rôle

d’acteur culturel et d’agitateur de curiosité.

En étant partenaire du Musée Jacquemart-André, qui accueille l'exposition « Du

Greco à Dalí », elle réaffirme son attachement à la créativité artistique et sa

volonté de défendre l’accès de tous à toutes les cultures.

30

Un partenariat public-privé

Cette exposition est produite et organisée par Culturespaces dans le cadre d’un partenariat public-

privé, l’Institut de France lui ayant délégué l’ensemble de la gestion du Musée Jacquemart-André.

Depuis 20 ans Culturespaces anime et gère des musées, monuments et sites historiques qui lui sont

confiés par les institutions publiques. Celles-ci mandatent Culturespaces pour la gestion complète

(accueil des visiteurs, entretien, promotion et animation) de ce patrimoine public pour une longue

durée dans le cadre d’une délégation de service public.

Culturespaces gère actuellement 12 monuments publics dans toute la France et en Belgique, et

compte près de 200 collaborateurs.

Pendant toute la durée de la délégation de service public, Culturespaces travaille en étroite relation

avec les institutions propriétaires et la conservation, afin de mettre en valeur et de promouvoir les

monuments, ainsi que d’organiser des événements culturels majeurs.

Depuis 1996, Culturespaces a organisé plus d’une vingtaine d’expositions au Musée Jacquemart-

André, parmi lesquelles :

- Caillebotte-Picasso en 2003

- David en 2005

- L’Or des Thraces en 2006

- Fragonard en 2007

- Van Dyck en 2008

- Les Primitifs Italiens, la collection d’Altenbourg en 2009

- Bruegel, Memling, Van Eyck… La collection Brukenthal en 2009

Sans un partenariat étroit avec l’Institut de France, ces expositions à succès n’auraient pas été

possibles. Culturespaces se réjouit de ce partenariat public-privé particulièrement réussi, grâce

auquel est présenté aujourd’hui au Musée Jacquemart-André l’exceptionnel ensemble d’œuvres de

la collection Pérez Simón.

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Le Musée Jacquemart-André, demeure de collectionneurs de la fin du XIXème siècle,

propose au grand public, dans ce temple de l’art, de nombreuses œuvres d’art portant les signatures

les plus illustres de :

▪ L’art de la Renaissance italienne : Della Robbia, Bellini, Mantegna, Uccello…

▪ La peinture flamande : Rembrandt, Hals, Ruysdaël …

▪ La peinture française du XVIIIème siècle : Boucher, Chardin, Fragonard, Vigée-Lebrun…

Sont présentés également des éléments de mobilier significatifs du goût d’Édouard André et Nélie

Jacquemart pour les arts décoratifs.

Cet ensemble unique, tant par la qualité que par la diversité des œuvres qui le composent, bénéficie

de conditions d’accueil et de visites exceptionnelles qui le rendent accessible à tous. Avec plus de

deux millions de visiteurs depuis sa réouverture en mars 1996, le Musée Jacquemart-André est l’un

des premiers musées de Paris.

L’hôtel André est très vite devenu l’hôtel Jacquemart-André, tant le rôle que Nélie Jacquemart put

jouer dans son évolution et son aménagement fut important. Cet hôtel et ses collections

apparaissent aujourd’hui comme le témoignage qu’a voulu laisser à la postérité ce couple fortuné et

sans descendance, qui a voué sa vie à l’art dans ce qu’il a de plus beau.

Légataire de ce bien, l’Institut de France s’emploie depuis lors à respecter les volontés de Nélie

Jacquemart et à faire connaître au plus grand nombre ses collections rassemblées avec passion.

Aujourd’hui, ce sont quinze salons magnifiques, des pièces de réceptions aux plus intimes, toujours

exceptionnellement décorés, que le visiteur du Musée Jacquemart-André peut découvrir sur près de

1 000 m².

Les travaux de restauration et de mise en valeur entrepris en 1996, en vue de la réouverture au

public, ont eu pour objet de rendre au lieu, dans la mesure du possible, son atmosphère de demeure

habitée, afin que chaque visiteur puisse s’imprégner de la chaleur d’un cadre vivant, sensible, plus

que didactique.

L’art, raison de vivre d’Édouard et Nélie André, a permis à ce couple de collectionneurs de

rassembler, en quelques décennies, près de 5 000 œuvres, dont beaucoup sont d’une qualité

exceptionnelle.

Pour satisfaire leur souci d’éclectisme, les époux André ont su, avec rigueur et détermination, faire

appel aux plus grands antiquaires et marchands, parcourir le monde à la recherche de l’objet rare,

dépenser des sommes considérables pour des œuvres de maîtres, sacrifier des pièces de second

ordre – et parfois même les renvoyer au vendeur – afin de respecter un choix d’excellence, qui fait de

l’hôtel Jacquemart-André un musée international de premier rang.

32

À l’image de la Frick Collection de New York, le Musée Jacquemart-André allie la présentation d’une

exceptionnelle demeure de collectionneurs du XIXème siècle à des conditions d’accueil et de visite

adaptées aux attentes des visiteurs d’aujourd’hui.

Propriété de l’Institut de France, le Musée Jacquemart-André est mis en valeur et géré par

Culturespaces depuis 1996.

33

HORAIRES ET TARIFS

Ouvert tous les jours de 10h à 18h.

Nocturnes tous les lundis jusqu’à 21h30.

Café Jacquemart-André ouvert de 11h45 à 17h30.

Librairie-boutique culturelle ouverte selon les horaires

du musée, y compris le dimanche.

Individuels

Plein tarif : 11 €

Tarif réduit : 8,5 € (étudiants, demandeurs d'emploi)

Gratuit pour les moins de 7 ans et les invalides.

Offre Famille

L’entrée est gratuite pour le 2ème enfant (7 à 17 ans).

Groupes

Les visites pour les groupes se font uniquement sur

réservation : [email protected]

Carte Privilège

Carte solo : 28 € / Carte duo : 52 € / Carte jeune : 20 €

ACCES

Musée Jacquemart-André

158, boulevard Haussmann - 75008 PARIS

Tel. : + 33 (0)1 45 62 11 59 / www.musee-jacquemart-andre.com

Le musée se situe à 400 m de la place

Charles de Gaulle-Étoile.

Métro : lignes 9 et 13 (Saint-Augustin,

Miromesnil ou Saint-Philippe du Roule)

RER : RER A (Charles de Gaulle-Étoile)

Bus : 22, 43, 52, 54, 28, 80, 83, 84, 93.

Parc de stationnement : Haussmann-Berri,

au pied du musée, ouvert 24h/24. Station Vélib’ : rue de Berri

Les salles d’exposition temporaires ne sont

pas accessibles aux personnes à mobilité

réduite.