Exposé Brésil Duchet Mareau Nataf

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 1 Duchet Anne Mareau Clémentine  Nataf Léa  Le Brésil  

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Duchet Anne

Mareau Clémentine

Nataf Léa

 Le Brésil  

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Sommaire 

Introduction………………………………...………….………………………………………………………………………………………. 3 

Un peu d’histoire …………………………………………………………………………………………………………………………….. 4 

Usages et Coutumes ………………………………………………………………………………………………………………………… 5 

Les types de clients…………………………………………………………………………………………………………………………… 6 

Les fêtes………………………………………………………………………………………………………………………………………… 7-8

La diversité de la cuisine brésilienne………………………………………………………………………………………. 9-10-11

Les habitudes alimentaires……………………………………………………………………………………………………………. 12

Conclusion………………………………………………………………………………………………………………………………………. 13 

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Introduction 

Le Brésil dont la capitale est Brasilia représente la sixième puissance économique mondiale et laprincipale puissance économique du continent sud-américain. C'est un pays considéré comme unegrande puissance émergente et plus précisément un nouveau pays industrialisé (NPI) c'est à dire quele pays a amorcé depuis les années 60 un véritable décollage industriel, une croissance économiquerapide et une hausse du niveau de vie.

Du point de vue géographique, le Brésil est le plus grand pays en Amérique du Sud (avec unesuperficie de 8 514 876 km² pour 192 376 496 d’habitants), un pays hétérogène qui possède demultiples facettes par sa grande diversité. Il est en partie recouvert par le plus grand bassin forestierde la planète: l'Amazonie ; mais possède également des régions de pampas, de marais, de savanes etde cotes participants ainsi à sa riche biodiversité.Outre ces contrastes géographiques, le brésil possède des climats différents. En effet le Brésil estsitué entre l'Equateur et le Tropique du capricorne ce qui lui confère un climat équatorial dans sapartie septentrionale et un climat tropical sur la côte atlantique et dans l'arrière-pays. Les saisons ysont inversées par rapport aux notre.Le Brésil a entamé sa sortie de la transition démographique mais la croissance démographique restetout de même importante (indice de fécondité de 2,2 enfants par femme). La population y est très

 jeune. C'est une population métissée, résultant d'une longue histoire coloniale. Les Brésiliens sontdonc un heureux mélange de noirs africains, d’indiens et d’européens (espagnols, italiens, portugais).Cette population brésilienne parle principalement leportugais à cause de son histoire mais on peuttrouver également 170 dialectes indiens. L'anglaisest aussi parfois parlé.Enfin ce pays est l'un des plus grands pays religieuxavec près de 90% de catholiques.

Quelles sont les caractéristiques du Brésil et desBrésiliens, leurs traditions, leurs manières de vivre ?

Comment pouvons-nous faire pour les accueillirdans de bonnes conditions ?

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Un peu d’histoire  

Tout d'abord il y eu la découverte du Brésil par Pedro Alvares CabralLes premières traces d’activités humaines découvertes sont des céramiques ou des squelettes quitémoignent de tribus nomades, datés d'environ 4800 avant J.C, qui. ne laissèrent pas de tracesparticulières, si ce n’est très peu de témoignages archéologiques (céramiques ou des squelettes).On peut réellement reconstruire l'histoire du Brésil qu'à partir de 1500 avec l'arrivée des portugaiset de Pedro Alvares Cabral.Jusqu’alors, vivaient au Brésil de deux à cinq millions d’indigènes, aujourd’hui réduits à moins de

200.000.Les premiers colons arrivèrent en 1531, envoyés par le roi portugais Joao III

Le climat et le terrain brésilien se révélèrent idéaux pour la culture de la canne à sucre, d’où latentative des colons de soumettre la population indigène et la contraindre à travailler pour eux dansles plantations. De même l'existence de gisements d'or dans les zones internes du pays, ont amenéde nombreux locaux à être utilisé comme esclaves afin de creuser et mourir dans les mines.

Le brésil est le plus grand pays catholique du monde mais aussi le plus grand pays de religion africainyoruba, qu'on désigne sous le terme global de candomblé qui est une des religions afro-brésiliennespratiquées au Brésil mais également dans les pays voisins. C'est un mélange subtil de catholicisme,de rites indigènes et de croyances africaines.

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Usages et coutumes :  Les Brésiliens sont très démonstratifs, ils ont le contact facile. Pour se dire bonjour ou au

revoir, ils se donnent souvent «l'abraço » ou l’accolade qui veut d’ailleurs dire au revoir.Lorsqu’ils discutent, les brésiliens se rapprochent beaucoup et ont même tendance à se

toucher.

  Les femmes se font la bise tandis que les hommes se serrent la main (s ’ils se connaissent bienils se font également la bise).

  La courtoisie est très importante. Ils apprécient tout particulièrement lorsqu’on fait un effort

pour parler leur langue mais si on ne connait vraiment rien au portugais-brésilien il estpréférable d’utiliser l’anglais plutôt que l’espagnol.

  Le signe de la main (pouce et index formant un o) ne signifie pas que c’est bien comme en

France. Il s’agit d’un geste blessant voir même offensant. Pour donner son accord ou direqu’on trouve quelque chose bien, il faut lever le pouce.

  Les brésiliens hochent la tête pour montrer qu’ils comprennent ce que vous leur dites, c’est

également une bonne façon de leur montrer que vous comprenez ce qu’ils vous disent.

  Dans les grandes villes, on regarde les gens dans les yeux lors d’une conversation mais dans

les endroits plus ruraux ce n’est pas obligatoire. 

  Il faut prévoir ses réunions au moins deux semaines à l’avance, et prévoir, en plus de la

tranche horaire réservée à la réunion, un moment avant et après pour parler de choses plusinformelles.

  Ils apprécient tout particulièrement la ponctualité même s ’ils ne le sont pas vraiment. En casde retard de l’interlocuteur, il ne faut en aucun cas montrer son énervement.

  Refuser un café ou de la nourriture est très mal vu.

  Lors d’un rendez-vous d’affaire la tenue vestimentaire doit être très soignée, les brésiliens

mettent un point d’honneur à être élégant.   Lors d’un repas privée, il est d’usage d’apporter des fleurs, en revanche, elles ne doivent pas

être violettes ou noirs : c’est un symbole de deuil. 

  Les brésiliens aiment parler du football, de la famille et des enfants mais pas du tout del’Argentine, de la pauvreté, de la religion et de la déforestation.  

  Lors d’un match de football, tout le pays s’arrête pour soutenir son équipe.

  Les brésiliens aiment les hôtels modernes, très propres, avec internet impérativement, faciled’accès et dans un quartier dynamique. 

  Il faut absolument que la douche soit dans la même pièce que les WC.

  Ils prennent un petit-déjeuner copieux, ils consomment beaucoup de fruits mais leur qualitéest très importante. Ils aiment également découvrir les spécialités françaises : baguette,

pains, pâtisserie.  Pour le déjeuner un fast-food leur suffit, ils ne veulent pas perdre du temps sur leur après-

midi.

  Le soir, ils recherchent une bonne table à moindre coût, ils préfèrent dépenser leur argentdans le shopping.

  Ils sont très famille, ils veulent rapporter des souvenirs à vraiment tous les membres.

  Ils ont beaucoup de valises.

  Ils ne restent dans l’hôtel que pour dormir et parfois pour le petit -déjeuner. Ils préfèrentfaire du shopping et visiter.

  Ils préfèrent les transports en commun plutôt que le taxi.

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 Type de Clients 

Il y a trois types de clients brésiliens, ils ont chacun des attentes différentes :

-La première catégorie est très riche. Elle va majoritairement dans des 5 étoiles ou des palaces : ellecherche le luxe et le raffinement, est très exigeante et ne supporte donc pas la moindre petiteerreur, le moindre petit défaut. Une petite attention dans la chambre (champagne, corbeille defruits…) est vraiment très appréciée. Elle doit être servie tout le temps, pour montrer son statut. Ellene prend pas les transports en commun et préfèrera le taxi pour ne pas se mélanger à la population.Elle arrive très chargé en bagages, c’est pourquoi elle a besoin de grandes chambres avec beaucoup

de rangement, qui soit également moderne avec de nombreux gadgets.L’hôtel doit proposer des services d’exception : bagagiste, groom, voiturier … Mais également un

SPA, un centre de remise en forme… 

-La deuxième catégorie se compose de la classe moyenne. Elle loge majoritairement dans des 3étoiles et parfois dans des 2 ou 4 étoiles. Ils font beaucoup plus attention à leurs dépenses que lapremière catégorie. Elle veut s’intégrer à la population, c’est pourquoi elle préfère visiter qu’avec

l’aide de documents, de brochures fournis par l’hôtel. Elle se déplace majoritairement à pied et entransport en commun. Elle cherche, comme la première catégorie, des hôtels dans des zones

dynamiques ou des quartiers historiques. En revanche elle n’utilise pas les services de l’hôtel ou

seulement pour le petit-déjeuner.Elle arrive à l’hôtel également très chargé en bagages. 

-La troisième catégorie est celle des gens qui viennent en pèlerinage. Elle est beaucoup moins aiséeque les deux autres catégories. C’est souvent le voyage de leur vie. Elle loge dans des hôtels 1 ou 2étoiles. Ils cherchent seulement le confort, le reste est superflu. Elle est donc beaucoup moinsexigeante. Elle vient souvent en voyage organisé avec un guide, tous les trajets se font donc en bus.L’emplacement de l’hôtel leur est égal. Ils  n’auront pas recours à tous les services types SPA, centre

de fitness… En revanche ils apprécient une salle qui peut leur servir pour faire la messe. 

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 Les fêtes 

Le Brésil est un des pays les plus festifs du monde. Des centaines de manifestations se déroulent aucours de l’année dans tout le pays. 

→La Festa do Bonfim se déroule à la mi-janvier. Les femmes de Bahialavent les marches de l’église de Bonfim devant des milliers de

personnes. La tradition veut qu’on achète des rubans colorés pour les

mettre au poignet en faisant un vœu. Lorsqu’il se cassera, notre vœu

se réalisera.Cette tradition des bracelets s’est rependue à travers le monde. 

→Le 2 février se déroule deux fêtes : la fête d’Iemanjá, la reine de la mer dans les religions afro -brésiliennes sur le littoral de Bahia et la fête de Notre Dame des Navigants qui est son équivalentdans la religion catholique.

→La fête la plus connue du Brésil est le Carnaval. Cet événementest sacré pour tous les Brésiliens. Il attire des millions de touristesdu monde entier. Il se déroule en février (40 jours avant Pâques),pendant les 4 jours qui précèdent le mercredi des Cendres. Il a lieudans plusieurs villes du pays mais le plus important est à Rio.L’événement majeur du Carnaval de Rio est le défilé des écoles deSamba dans le "Sambódromo", c’est un véritable spectacle aussi

bien visuel que sonore pour tous les spectateurs. Dans les autresvilles se déroulent d’autres défilés de moindres importances. 

→La procession du Fogaréu de Goiás est une fête religieuse. Elle sedéroule à minuit le mercredi de la Semaine Sainte à Goiás Velho.Pendant cette cérémonie, des hommes vêtus de longues tuniquescolorées : les farricocos, portent des torches et parcourent les ruesdans l’obscurité, au son des tambours. Ils représentent les soldats

romains qui ont emprisonné le Christ avant sa crucifixion.

→Les Fêtes de São João ou Saint Jean se déroule en juin. La plus importante a lieu à Campina Grande.Des milliers de personnes se retrouvent pour célébrer São João en dansant dans les rues. A Caruarules gens dansent autour d’un feu de 12 mètres de haut. 

→Le festival Folklorique de Parintins a lieu tous les ans pendant 3 jours au mois de juin. C’est fêtes est mélanges des cultures arabe,ibérique et indigène. Elle célèbre une légende locale parlant d’un

bœuf ressuscité. Durant cette manifestation deux groupes

s’affrontent : « Garantido »et « Caprichoso ». Pour gagner, chaqueéquipe tente d’être meilleure que l’autre lors de danses, de chantset du défilé de char.

Cette manifestation est la deuxième plus importante du pays aprèsle Carnaval.

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→Le 7 septembre est le jour de l’indépendance du Brésil. De nombreuses manifestations se

déroulent dans tout le pays.

→Le Círio de Nazaré est l’une des plus grandes fêtes religieuses du pays. Elle

se déroule en octobre pendant 15 jours à Belém. Deux millions de personnesviennent rendre hommage à Notre Dame de Nazareth. L’événement majeur

est le grand défilé de 2,5 kilomètres. Certaines personnes le font pieds nus ouen portant des grosses croix pour remercier Notre Dame de Nazaré. Unestatue de la vierge est tirée par une corde d'environ 350m, les croyantsveulent toucher la corde.

→Oktoberfest est une fête tout droit venue d’Allemagne. Elle se déroule en octobre pendant 3 à7jours. Les touristes viennent participer aux manifestations culturelles allemandes et surtout boire

de la bière.

→Le Brésil étant le plus grand pays catholique du monde, Noël a unegrande importance. Tout prend des proportions démesurées, SaintNicolas arrive en hélicoptère dans le stade de Maracana puis c’est au

tour du père Noël, qui après avoir survolé la foule se pose sur le toitd’un centre commercial. 

→Pour célébrer la nouvelle année, des milliers de personnes se retrouvent à Copacabana pouradmirer le feu d’artifice. 

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 La diversité de la cuisine brésilienne 

La gastronomie brésilienne est assez simple mais les spécialités diffèrent selon les régions dupays. En effet, le Brésil a pu bénéficier de diverses influences qui se sont mêlées au fil du temps,donnant un grand métissage ethnique et culturel que l’on retrouve aussi dans la gastronomie. Ainsi,

la cuisine brésilienne est le produit d’influences et d’héritages amérindiens, européens (portugais) etafricains, elle se caractérise par des plats et des habitudes alimentaires typiquement régionaux.Au nord du pays, en Amazonie, on cuisine traditionnellement de nombreux plats de poisson alorsque les plats à base de viande sont plus répandus dans le sud en raison d’une forte activité autour

des élevages bovins. On note une cuisine exotique au nord et plus européenne au sud qui sespécialise dans la viande de porc ou de bœuf séchée, salée, cuisinée avec des pommes de terre, du

riz, des haricots rouges. Le poulet et les petits pains au fromage appelés pão de queijo apparaissenten allant vers le sud. La diversité culinaire est aussi présente au sein d’une même région comme au

Nordeste où Bahia a sa propre cuisine et ses spécialités.Malgré cette variété quelques aliments restent à la base de la cuisine brésilienne (à l’échelle

nationale) : le riz, les haricots secs, la farine de manioc et le maïs sont utilisés au quotidien dans lesplats courants tels que la feijoada (plat national comparable au cassoulet français ), le churrasco(spécialités de viande grillée), le pirão (farine de manioc ajouté au bouillon de cuisson des viandes oupoissons) ou encore le cozido (pot-au-feu/ragout). Les fruits frais sont aussi très présents à traverstout le pays.Les brésiliens utilisent l’huile de dendê (huile de palme donnant une coloration jaune vive aux

aliments) et le piment fort (malagueta) comme assaisonnements. Quant aux viandes, ils consommentdavantage de bœuf mais aussi du veau, porc et poulet. Le gras de bœuf, le beurre et l’huile d’olive

représentent les principaux corps gras.

 Les mets typiques brésiliens 

  Feijoada : plat national du Brésil par excellence que l’on peut

assimiler au cassoulet français. À Rio de Janeiro, où ce plat estparticulièrement populaire, la feijoada est préparée avec des haricots noirs,du bœuf séché, des saucisses fumées, de la langue, des oreilles et de laqueue de cochon. Il est courant de remplir une assiette creuse avec du riznature et de verser la feijoada dessus. Sur la feijoada, on rajoute de la farinede manioc, une fécule qui épaissit la sauce. Le plat est garni de couve (chou

portugais), coupés en fines lamelles, et de tranches d'orange. Le toutassaisonné d'une sauce piquante.

  Churrasco : plat principal de l'extrême sud du Brésil, composé de viandes(surtout de bœuf, parfois aussi d'agneau, de porc ou de volaille) cuites sur desépées placées au-dessus du feu. Il est agrémenté d'une sauce à la tomate et auxoignons. Au fil du temps d'autres régions du Brésil ont adopté le churrasco et ontcréé d'autres manières de faire, surtout à São Paulo où l'on pose souvent la viandesur une grille. La churrascaria est le restaurant spécialisé dans le churrasco.

  Cuscuz : gâteau de semoule de maïs, aux crevettes et aux sardines, avec légumes.

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  Farofa : farine de manioc mélangée avec du beurre chaud et dusel, servie en accompagnement (pour les feijoadas notamment).

  Bobo de camarão : soupe de crevettes.

  Pão de queijo : petite boule de pain au fromage, à base de fécule demanioc, originaire de l'Etat du Minas Gerais.

  Vatapá : crevettes coupées ou pilées avec des morceaux de poisson et cuitesavec de l'huile de dendê, du lait de coco et des morceaux de pain. Ce plat est serviaccompagné de riz nature.

  Pirão : sorte de purée obtenue grâce au mélange de la farine de manioc et du bouillon(préalablement bouilli) de cuisson des produits. Par exemple pirão de peixe est fait à partirdu bouillon de cuisson du poisson et le pirão de carne, de celui de la viande.

 Les principaux desserts 

  Brigadeiro : confiserie typique des fêtes d’anniversaire, à base de lait

condensé, beurre et chocolat, peut avoir le nom de negrinho dans le sud (RioGrande do Sul).

  Cocada : friandise à base de noix de coco rapée, de sucre et de lait.

  Pudim de leite : sorte de crème renversé brésilienne à base de laitconcentré sucré.

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  Quindim : flan à la noix de coco.

  Paçoca : friandise à base d’arachide, de farine de manioc et de sucre. 

 Les principales boissons 

  Batidas : cocktail de jus de fruit, à base de fruits battus avec cachaça etsucre.

  La cachaça : eau de vie faite à partir de canne à sucre, mondialement connue aujourd’hui. 

  La caipirinha : cocktail à base de jus de citron vert et de cachaça.

  Le guarana : boisson gazeuse rafraîchissante nationale préparée à partir du guarana (petitesbaies rouges) de la forêt amazonienne.

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 Les habitudes alimentaires brésiliennes 

Contrairement aux européens, les brésiliens n’ont pas d’heures fixes ou déterminées pour lesrepas, ils mangent et grignotent tout au long de la journée. De la même façon ils mangent en touslieux : dans les rues, les magasins, les parkings, on trouve généralement des tables au centre desgrands supermarchés permettant aux brésiliens de grignoter s’ils le souhaitent, ou même des étages

consacrées à la restauration dans les centres commerciaux. De cette façon la nourriture àconsommer immédiatement est omniprésente au Brésil, que ce soit dans les grandes surfaces, lescentres commerciaux, ou sur la plage où des vendeurs ambulants proposent fruits, glaces, beignetssalés, brochettes, poissons séchés, sandwichs, etc… La tentation est partout, c’est pourquoi il n’y pas

de rigueur en matière d’alimentation mais plutôt ce que l’on pourrait qualifier de « désordrealimentaire ». On ne retrouve pas une structure respectée par tous comme en France avec un repasorganisé selon un ordre précis « entrée, plat, fromage, dessert », des tranches horaires ou des codes

très réglementés. Les brésiliens ont un rapport à la nourriture très différent de celui des français. Ilsne mangent pas nécessairement à table mais parfois sur une chaise avec une assiette sur les genoux,pendant les churrascos où l’on mange et boit de façon discontinue de 11h du matin jusqu’à minimum

20h le soir, tout en discutant. On peut alors assimiler le comportement social des brésiliens à leurcomportement alimentaire. En effet si l’on prend l’exemple du code de la route, il n’est pas toujours

respecté. Les brésiliens conduisent vite, n’hésitent pas à doubler à droite ou à rouler à trois voitures

sur une route à une voie. On retrouve donc naturellement cette flexibilité, ce laxisme dans le modede vie des brésiliens.Ils privilégient aussi la quantité sur la qualité : on peut faire un parallèle entre la musique et lanourriture qui est consommée de manière luxuriante, tout comme la musique qui s’écoute très fort

au point parfois de "dénaturiser" le son

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Conclusion Le Brésil accueille environ 5 millions de touristes venus du monde entier. Ils sont attirés par lesplages, les sites historiques mais surtout le Carnaval et les nombreuses autres fêtes.

Les brésiliens voyagent beaucoup, ils « envoient » dans le monde environ 4,7 millions de touristes,ce chiffre augmente tous les ans. Ils aiment, en général, être accueilli chaleureusement et s’intégrer à

la culture du pays, être comme en famille. Il faut donc les accueillir comme s'ils étaient chez eux,dans un cadre moderne, rempli de nouvelles technologies et de « gadgets ». Il faut aussi qu’ils aient

un accès quasi constant à la nourriture. Ainsi il est d'autant plus important de connaître les usages,coutumes, traditions, habitudes quotidiennes et alimentaires de cette population dont les fluxtouristiques externes augmentent considérablement.