EUROVAL PLUS FCP Actions Européennes « Situations Spéciales » Mars 2008.

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EUROVAL PLUS

FCP Actions Européennes

« Situations Spéciales »

Mars 2008

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Sommaire

1. Politique de Gestion

2. Méthodologie de Gestion

3. Les chiffres clés

4. Caractéristiques du fonds

5. Revue de Presse succincte

6. Annexes

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1. Politique de Gestion

EUROVAL PLUS est un fonds actions européennes (zone Euro- éligible au PEA) dont l’objectif est une performance supérieure à celle de l ’EUROSTOXX 50.

Approche « bottom up » de sélection de valeurs :– susceptibles de bénéficier des effets d’une restructuration– fortement sous-valorisées par rapport à leur valeur intrinsèque– pouvant faire l’objet d’une opération sur le capital : OPA,OPE...

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a) Les sociétés en restructuration : cibles potentielles

Événements déclencheurs : crise financière, crise sectorielle…

Conséquences sur le cours :– Perte de confiance des actionnaires– Ventes massives des titres– Fort décalage des cours

Solutions pour l’entreprise: se restructurer– Quelle que soit la forme de la restructuration, l’objectif est qu’elle permette à

l’entreprise de survivre et de se redéployer : Nouveau management Assainissement ou restructuration du passif Rationalisation de l ’outil de production Réduction des coûts Recentrage sur l ’activité la plus créatrice de valeur...

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a) Les sociétés en restructuration: cibles potentielles

Notre démarche de sélection des valeurs– Identifier les problèmes confrontés

Exogènes : Marchés, secteur, tiers... Endogènes : management, endettement, outil de production...

– Analyser la stratégie de l ’entreprise

– Étudier la faisabilité des solutions envisagées Les restructurations sont-elles en rapport avec les problèmes confrontés? Les restructurations permettront-elles à l ’entreprise de se redéployer? Y aura t-il création de valeur? La valorisation actuelle permettra t-elle une marge d ’appréciation significative?

– Timing de l ’investissement et objectif de valorisation Fixer un niveau de cours pour l ’achat et pour la vente Investir avant l’annonce de la restructuration effective afin de mieux profiter de

l ’appréciation du cours Attention aux faux départs! Certaines situations difficiles nécessitent plusieurs rounds

de restructurations (augmentation de capital, refinancement…). Il convient d ’essayer de viser le dernier round.

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a) Les sociétés en restructuration: cibles potentielles

Quelques exemples de sociétés en restructuration détenues (ou ayant été détenues) en portefeuille

AlstomAbb

AlcatelAltran

BullCap Gemini

CésarConverium Holding

Atos Origin

EricssonGroupe Open

Karstadt QuelleMarsh MC Lennan

OsiatisPenauille Polyservices

RhodiaScor

Vivendi

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b) Les sociétés sous-valorisées : cibles potentielles

Le marché financier évolue par phases.– Lors de celles-ci, certaines valeurs sont sous-valorisées et certaines

survalorisées, notamment du fait d’un effet mode (par exemple : décote des holdings qui peut évoluer de 40% à 0%).

Notre stratégie consiste à investir dans ces valeurs sous-valorisées avant que le marché ne corrige les écarts.

Démarche axée sur le concept de « Value ».– Il s’agit de faire la différence entre la valeur et le prix

Les marchés ne sont pas parfaits, les valorisations ne reflètent pas toujours la valeur de l’entreprise.

Cette méthode permet de résister aux excès de marché et d ’éviter les pires erreurs.

– Nous sélectionnons les valeurs à l’aide d’indicateurs d ’évaluation... Le PER Les multiples de CA et d ’EBIT Le rendement, la récurrence des cash-flows Capitalisation/Actif net réévalué

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b) Les sociétés sous-valorisées : cibles potentielles

– …à l’aide d ’informations essentielles L ’évolution des valorisations dans le temps Les parts de marché Engagements hors bilan Clarté et fiabilité de l’information financière Qualité et participation du management dans le capital

– Nous recherchons les éléments expliquant la faible valorisation des valeurs sélectionnées et nous les comparons à leur secteur.

– Nous analysons les capacités de l’entreprise à réaliser les objectifs attendus compte tenu de son management et de l’environnement économique, sectoriel et financier de l’entreprise.

– Nous recherchons les événements (catalyseurs) pouvant contribuer à une revalorisation de la société:

Événements exogènes : changement de cycle économique, contexte monétaire, environnement sectoriel...

Événements endogènes : mouvements dans l’actionnariat, nouveau management, restructuration de l ’endettement...

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c) Les sociétés susceptibles de faire l’objet d’une opération sur le capital : cibles potentielles

Contexte propice aux opérations sur le capital :

– Les taux d’intérêts sont relativement bas

– Les valorisations des sociétés sont attractives

– Certaines sociétés familiales sont susceptibles d’être retirées de la côte.

– Le désendettement des entreprises a été important

– Les niveaux de ROE sont élevés en Europe : >16% (en 2007)

– La morosité de la croissance rend la croissance externe comme seule alternative pour les entreprises

– Les fonds de private equity regorgent toujours de liquidités.

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c) Les sociétés susceptibles de faire l’objet d’une opération sur le capital : cibles potentielles

Objectif de notre stratégie :– Investir dans des valeurs susceptibles d’être la cible d ’une opération sur le

capital afin de bénéficier des plus values potentielles. Notre démarche: sélectionner les valeurs en analysant principalement

– L ’actionnariat de l ’entreprise: bloc de contrôle, actionnariat diffus, possible sortie du majoritaire, conflits entre les actionnaires principaux, société familiale…

– La taille de l’entreprise– La valorisation de l’entreprise et son positionnement sur le secteur (prédateur

ou proie)– Le management de l’entreprise: potentiel d’évolution de la gestion– L’intérêt d’une éventuelle opération: fiscal, comptable ou industriel...

Cette stratégie nécessite d’anticiper la réaction des marchés afin de profiter de la hausse des cours et de limiter la perte au cas où rien ne se passe.

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c) Les sociétés susceptibles de faire l’objet d’une opération sur le capital : cibles potentielles

Les OPA récentes ayant contribué à la performance du Fonds

Acquéreur CibleAS WATSON

BNP PARIBAS

BNP PARIBAS

Clayton Dubilier & Rice, Eurazeo,Merill Lynch Global Private Equity

FRANCE TELECOM

GAZ DE FRANCE

GENERALI

HBI

KKR

LOGICA

STARWOOD CAPITAL

SUEZ

ALLIANZ

IMPERIAL TABACCO

PENAUILLE POLYSERVICES

VIVENDI

MARIONNAUD

BANCA NAZIONAL DEL LAVORO

GALERIES LAFAYETTE

REXEL

EQUANT

SUEZ

AMB GENERALI

ELIOR

PAGES JAUNES

UNILOG

LOUVRE

ELECTRABEL

AGF

ALTADIS

CFF RECYCLING

NEUF CEGETEL

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2. Méthodologie de gestion

Un savoir faire :Christian GINOLHAC dispose de plus de 25 ans d’expérience de gestion.

• Ingénieur de Centrale Paris et MBA• Membre de la SFAF et de l’AGPP• Ancien DG de la Banque Vernes• Président de Gaspal Gestion

Études approfondies des Business Plan– Dans les cas de restructurations lourdes, il pourra être fait appel aux

compétences d ’analyse des équipes de private equity de QUILVEST.– Des rencontres avec les dirigeants des entreprises concernées sont également

effectuées afin de confirmer les choix d’investissement.

Règles de gestion : – Fixation d’un maximum de détention par ligne dans le fonds, afin de diversifier

les risques : 4%.– Fixation d ’un stop-loss à 20% de baisse par rapport au prix de revient.

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3. Les chiffres clés

Performances du fonds depuis sa création

Principales lignes actions au 31/03/2008

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3. Les chiffres clés

Répartition sectorielle (au 31/03/2008)

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Répartition géographique du portefeuille action (au

31/03/2008)

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3. Les chiffres clés

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Répartition des actions détenues par capitalisation boursière

(au 31/03/2008)

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3. Les chiffres clés

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4. Caractéristiques du fonds

Code ISIN : FR0010072678

Valorisation : hebdomadaire

Devise : Euro

Frais de gestion : 2.20%

Date de création : 28 Mai 2004

Objectif de gestion :Recherche de performance en valeur absolue, à moyen terme, supérieure à la progression de l ’Eurostoxx 50.

Société de Gestion : – GASPAL Gestion

Promoteurs : – GASPAL Gestion– QUILVEST Banque privée

Dépositaire :– CM-CIC Securities

FCP de droit français « Actions européennes », éligible au PEA

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5. Revue de Presse succincte

Les Echos , 30 avril 2008.

Les fonds souverains pèsent 3.500 milliards de dollars« Armés de tels montants de liquidités, qu'ils n'ont pas à rembourser, les fonds souverains sont les nouveaux maîtres de cérémonie de la finance », estime un expert de Global Insight. La formidable croissance des fonds souverains ne se dément pas. Alors que l'Arabie saoudite se prépare à entrer dans le secteur en envisageant un fonds dotés d'un capital initial de 5,3 milliards de dollars, le rapport trimestriel du cabinet d'analyse Global Insight publié lundi évalue à 3.500 milliards de dollars en 2007 leur taille globale. Sur les trois dernières années, leurs réserves ont progressé en moyenne de 24 %. A ce rythme, indique le cabinet américain, la puissance financière de ces fonds d'investissement dépassera le produit intérieur brut des Etats-Unis en 2015, et celui de l'Union européenne d'ici à 2016. « Armés de tels montants de liquidités, qu'ils n'ont pas à rembourser, les fonds souverains sont les nouveaux maîtres de cérémonie de la finance, où ils prennent la place des «hedge funds» et autre fonds d'investissements, et outrepassent les banques centrales dans leur rôle de prêteurs internationaux de dernier ressort », a estimé Jan Randolph, responsable du risque souverain à Global Insight. Selon ce rapport, les fonds souverains ont injecté 80 milliards de dollars dans le secteur bancaire aux Etats-Unis en 2007. Les tensions inflationnistes qui se sont intensifiées dans la plupart des pays dotés de fonds souverains motivent l'investissement à l'étranger plutôt que sur le sol national. A l'échelle mondiale, 93 % des investissements ont été dirigés vers le secteur financier occidental. Mais les fonds s'intéressent de plus en plus au secteur minier et à l'énergie, relève le rapport. Rien qu'en janvier 2008, le montant total des acquisitions réalisées par des fonds souverains s'est élevé à 20,6 milliards de dollars, soit près du tiers des opérations de fusions-acquisitions de l'année 2007. La Chine, forte de ses réserves de change de quelque 1.700 milliards de dollars, reste le pays le plus puissant, son fonds souverain est doté d'environ 1.200 milliards de dollars. Suivent la Russie, le Koweït, Taiwan et le Brésil . Néanmoins, au cours des cinq dernières années, les pays ayant enregistré la plus forte croissance de leur fonds sont le Nigeria (+ 291 %), Oman (+ 256 %), le Kazakhstan (+ 162 %), l'Angola (+ 84 %), la Russie (+ 74 %) et le Brésil (+ 65 %).

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5. Revue de Presse succincte

La Tribune, 27 Septembre 2007 La vague de rachats d'entreprise a atteint des niveaux record ces dernières années. La

consolidation de certains secteurs, l'émergence du private equity et la montée en puissance des pays émergents expliquent le phénomène.

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5. Revue de Presse succincte

La Tribune, 27 Septembre 2007 (suite) Trois facteurs expliquent le phénomène, motivé par la nécessité de créer de la valeur. D'une part, les

opérations de consolidation dans l'ensemble des F&A sont devenues majoritaires, passant de 48,7 % en 2000 à 71,4 % en 2006. " La consolidation, c'est-à-dire la fusion dans un même secteur, est une spécificité de la nouvelle vague, après celle d'Internet ", remarque Jérôme Hervé, vice-président au bureau de Paris du Boston Consulting Group. Ce mouvement de consolidation est avant tout guidé par les synergies dans la structure des coûts des entreprises et est soutenu par le phénomène de la mondialisation, de la tendance à la déréglementation et de la bonne trésorerie d'un grand nombre de sociétés.

D'autre part, le rôle croissant joué par le private equity (PE) : la part de ces acteurs dans la valeur totale des transactions est passée de 6 % à 24 % entre 1996 et 2006. En 2000, ils intervenaient à hauteur de 160 milliards de dollars, en 2006, à 650 milliards de dollars. Réputé disposer de moyens financiers leur permettant d'acquérir au prix fort leur proie, les sociétés de PE paient comparativement moins cher leurs acquisitions que les groupes soumis à une logique de consolidation. " Cela s'explique par la différence des stratégies, les premières ont pour objectifs les cash-flows futurs tandis que les seconds visent les économies futures ", fait valoir Jérôme Hervé.

Enfin, les marchés émergents alimentent le boom des F&A : si l'Amérique du Nord compte toujours pour une large part (46,5 %) suivie de l'Europe (29,5 %), il est remarquable que les fusions-acquisitions dont Chine et Inde sont parties prenantes grossissent en valeur au rythme annuel de 20,4 %.

Outre ces trois tendances majeures, les opérations hostiles sont perçues plus favorablement par les investisseurs aujourd'hui que durant la précédente période (1997-2001). La logique de la consolidation y concourt. L'acquéreur cherche à augmenter la productivité en évitant le doublon du management et en mettant en oeuvre les meilleures synergies. et en rationnalisant les coûts.

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5. Revue de Presse succincte

Les Echos week-end, vendredi 26 et samedi 27 janvier 2007

OPA : Toujours et encore ! Alors qu’en 2006 les fusions-acquisitions ont dépassé le pic de l’année 2000, 2007 sera de nouveau une année riche en OPA.

Les professionnels de la gestion s’attendent à ce que 2007 soit, tout comme 2006, surtout marquée par des acquisitions pures et simples, avec une nette augmentation des OPA hostiles émanant tout autant des sociétés européennes que des fonds d’investissement ou des industriels émergents. Sous l’influence grandissante de ces nouveaux acteurs, les OPA ont battu de nouveaux records l’an passé, les transactions totalisant 3,6 milliards de dollars, contre 3,4 milliards en 2000.

Tous les gérants de fonds spécialisés dans les fusions-acquisitions prévoient que 2007 sera de nouveau une année riche en OPA, touchant potentiellement toutes les tailles de capitalisations et tous les secteurs : finance, automobile, médias, luxe, les services informatiques… Ce vaste choix sectoriel présente clairement un avantage , à savoir de permettre une plus grande sélectivité.

Pour autant, 2007 ne sera pas similaire en tout point à 2006. Alors que les cours des prédateurs se sont souvent comportés aussi bien que ceux des cibles l’an passé, les gérants sont désormais plus partager sur ce point. Pour Olivier Cassé, «il reste possible de se positionner sur les prédateurs, et pas systématiquement sur les cibles, dans la mesure où les opérations font rapidement augmenter le bénéfice par action grâce aux conditions de financement favorable. De plus le marché est très liquide et les acquéreurs peuvent aisément trouver des repreneurs pour les activités jugées non stratégiques. »

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5. Revue de Presse succincte

Investir n°1723, Samedi 13 Janvier 2007

OPA : encore du potentiel : La trentaine d’OPCVM qui misent sur les opérations financières à globalement bénéficié d’une année 2006 record pour les fusions-acquisitions.

Comme annoncé par les gérants de fonds dits de ‘situations spéciales’, l’année 2006 s’est avérée un excellent cru pour les opérations financières. Le marché mondial des fusions-acquisitions a bondi à un niveau inégalé de 3,6 milliards de dollars, battant le record de l’an 2000 de 3,4 milliards de dollars. A l’instar de 2005 où elle s’est amorcée, la reprise des opérations financières prend sa source à la fois dans la bonne santé générale des entreprises, dans un environnement monétaire favorable, de taux d’intérêt bas et de valorisations boursières raisonnables.

Les gérants de fonds dits de ‘situations spéciales’ sélectionnent au cas par cas, avec des convictions marquées, des actions d’entreprises qui, du fait de leur ‘situation spéciale’, présentent un potentiel important d’appréciation. Derrière l’appellation ‘situation spéciale’ figurent des circonstances exceptionnelles comme les OPA (offres publiques d’achats), mais aussi, plus souvent, des restructurations financières ou opérationnelles. Même en l’absence d’une forte activité dans le domaine des seules OPA, ces fonds typés s’en sortent plutôt bien, y compris dans la durée et dans des circonstances de marché variées.

Cette année encore des gérants spécialisés se disent optimistes quant aux perspectives de la thématique. ‘L’activité des fusions et des acquisitions’, estime H. Mangin, gérant d’Axa Europe Opportunités, ‘va continuer à soutenir les marchés boursiers européens. L’environnement reste attrayant avec des taux d’intérêt bas et des entreprises dont les bilans sont sains et qui vont chercher à faire de la croissance par des opérations externes’.

Conclusion : En 206, la déferlante des fusions-acquisitions a gagné presque toutes les branches de l’activité

économique… … A l’origine d’une grande partie de la performance des fonds ‘situations spéciales’ l’an dernier le thème des OPA devrait encore faire mouche en 2007.

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5. Revue de Presse succincte

Le journal des finances, Janvier 2007

Les fonds « situations spéciales » surfent sur la vague des OPA Restructuration, fusion, recapitalisation, situation spéciale…, autant d’éléments fréquemment mis en avant

pour expliquer la croissance des cours de Bourse. On peut se demander si les opérations stratégiques portant sur le capital des entreprises, et qui ne se limitent plus aux PME, sont la conséquence d’un excès de liquidités dans le marché, de taux d’intérêt peu élevés ou même d’un simple effet de mode. Les gérants de fons spécialisés sur les entreprises pouvant faire l’objet d’une restructuration ou d’une OPA, pour leur part, se déclarent confiants dans l’avenir de ce thème, qui a généré des gains mirifiques l’année passée.

Les opérations devraient continuer à animer le marché en 2007. « Les OPA n’ont porté que sur 10% de la capitalisation en 2006 alors qu’elles avaient atteint 15% en 1999 », souligne Julien Bonnin, cogérant de Caam Actions Restructurations, FCP de Crédit Agricole Asset Management, qui a gagné 30% l’an dernier. Il serait donc exagéré de parler de bulle financière.

Autre signe de la confiance des sociétés de gestion pour le thème des situations spéciales, Edmond de Rothschild Asset Management vient à son tour de lancer un produit sur ce thème. Appelé Saint-honoré Europe Synergie, ce FCP est confié à Philippe Lecoq, qui pourra allouer jusqu’à 50% du portefeuille aux valeurs en restructuration financière ou interne, la majeur partie étant dédiée aux fusions acquisitions.

Conclusion : Préférer les équipes qui ont fait leurs preuves : Les performances passées ne préjugent pas du résultat

futur. Dans le cas des fonds spécialisés sur le thème des situations spéciales, les performances mettent cependant en exergue le savoir-faire d’équipe de gestion à opérer des choix judicieux année après année.

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5. Revue de Presse succincte

CM-CIC Securities Flash, 18 Octobre 2006

L’envolée des OPA accompagne la montée en gamme des champions mondiaux Dans un univers mondialisé et libéralisé, l’envolée des fusions et acquisitions depuis trois ans accompagne

la montée en puissance de champions nationaux, régionaux, voire mondiaux. En France l’Etat actionnaire reste la « nurserie » des futurs champions, ailleurs, ce sont notamment les fonds de pension qui commandent l’ancrage territorial.

Un écosystème de champions mondiaux sans cesse remis en question A la traditionnelle division internationale du travail, se substitue désormais une organisation matricielle où les

lignes représentent les territoires et les colonnes les pôles d’excellence. Rien n’est jamais acquis, compte tenu de la poussée des OPA hostiles qui se donne libre cours et qui amène à prévoir des stratégies de réponse.

Première parade aux OPA hostiles, les arsenaux juridiques sont lourds mais peu efficaces Ce type d’arsenal comporte trois séries d’instruments : les directives anti-OPA, la constitution de fonds de

pension à l’anglo-saxonne, et enfin, l’intervention directe de l’Etat au titre des secteurs dits « stratégiques ». Leur efficacité pratique est faible, en raison notamment du biais de plus en plus libéral des autorités de régulation supranationales.

La vraie parade : les OPA de précaution L’arsenal juridique montrant ses limites, la véritable dissuasion nous paraît résider dans la course préalable à

la taille… et dans les OPA « de précaution »…L’effervescence qui affecte les services électriques et gaziers allemands, espagnols et français, les banques italiennes, la pharmacie allemande, le pétrole ou l’aéronautique européenne témoigne du caractère désormais incontournable des OPA de précaution.

Conclusion : Dans un environnement 2007 d’atterrissage-redécollage en douceur, les OPA de précaution seront un

facteur de soutien des marchés d’actions.

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5. Revue de Presse succincte

Catalyseurs favorables aux fusions et acquisitions

Coût de financement attractif

Cibles potentielles :– Valorisation boursière attractive

Fonds d’investissement :– Excès de capitaux disponibles

Entreprises :– Forte Capacité de Financement

19/10/2006

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5. Revue de Presse succincte

Boursorama, 05 septembre 2006

«OPA: la saga devrait se poursuivre en 2007 »

« On constate que très peu de secteurs échappent aux fusions acquisitions. Le secteur des produites de base risque de rester propice à de telles fusions. Les producteurs de tels produites, énergétiques ou non, ont une réelle amélioration de leurs termes de l’échange, c’est-à-dire que le prix relatifs de leurs produits à fortement augmenté, plus que la moyenne. Le secteur bancaire compte également de très nombreuses entreprises aux profits démesurés. Ces entreprises profitent de taux longs comme les obligations qui sont relativement bas. Les opérations de fusions acquisitions coulent de sources dans un contexte si propice.»

« A partir du moment où il n’y a pas de fonds de pension ni même de gros investisseurs institutionnels qui contrôlent tout ou partie de l’actionnariat de l’entreprises alors celle-ci est très exposée à un mouvement de rapprochement. Le seul moyen d’échapper à un rachat, c’est d’avoir des noyaux durs d’actionnaires ou un investisseur majoritaire clairement identifié. Dés qu’il y a un flottant conséquent dans une société, comme c’était le cas d’Arcelor, vous devenez une proie ».

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5. Revue de Presse succincte

Boursorama, 05 septembre 2006

«OPA: la saga devrait se poursuivre en 2007 »

« On constate que très peu de secteurs échappent aux fusions acquisitions. Le secteur des produites de base risque de rester propice à de telles fusions. Les producteurs de tels produites, énergétiques ou non, ont une réelle amélioration de leurs termes de l’échange, c’est-à-dire que le prix relatifs de leurs produits à fortement augmenté, plus que la moyenne. Le secteur bancaire compte également de très nombreuses entreprises aux profits démesurés. Ces entreprises profitent de taux longs comme les obligations qui sont relativement bas. Les opérations de fusions acquisitions coulent de sources dans un contexte si propice.»

« A partir du moment où il n’y a pas de fonds de pension ni même de gros investisseurs institutionnels qui contrôlent tout ou partie de l’actionnariat de l’entreprises alors celle-ci est très exposée à un mouvement de rapprochement. Le seul moyen d’échapper à un rachat, c’est d’avoir des noyaux durs d’actionnaires ou un investisseur majoritaire clairement identifié. Dés qu’il y a un flottant conséquent dans une société, comme c’était le cas d’Arcelor, vous devenez une proie ».

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5. Revue de Presse succincteParu le 25 Février 2006 dans INVESTIR

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5. Revue de Presse succincte

Le Journal des finances, semaine du 31 mars 2006

« les niveaux de valorisation incitent à plus de sélectivité » Interview de Christian GINOLHAC

« Plusieurs conditions sont aujourd’hui réunies pour favoriser les opérations financières. Les grands groupes industriels ont renforcé leur structure financière et sont à même de faire de la croissance externe. En 2005, il y a eu une trentaine d’opérations dans l’univers des valeurs moyennes. Les deux tiers concernaient des projets industriels et un tiers des opérations financières. »

« Les sociétés en phase de retournement présentent des opportunités d’amélioration importante de leurs résultats. Il s’agit à chaque fois de paris réfléchis: je citerai Groupe Flo, Penauille Polyservice, Groupe Open et Osiatis. »

Paris Match, semaine du 26 janvier 2006

« Misez sur les grandes valeurs » Interview de Christian GINOLHAC

« La Bourse est la catégorie la plus attractive des trois grands secteurs, immobilier, obligations, actions. Seuls les marchés boursiers ont un potentiel de hausse acceptable. Surtout les actions européennes. Elles s’apprécient grâce aux profondes restructurations qui rendent les entreprises plus profitables. »

« Pour pimenter votre performance, plutôt que de chercher la perle rare parmi les petites ou moyennes valeurs, chères aujourd’hui, revenez vers les grandes sociétés qui ont beaucoup souffert: Alstom, Alcatel, Carrefour, Cap Gemini. Suez est également un pari moins risqué »

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6. Annexes

1. Fiche mensuelle du fonds

2. Prospectus simplifié