Rapport de stage : ETUDE ET DEVELOPPEMENT D'UN PORTAIL INTRANET D'ENTREPRISE EN

SHAREPOINT

Reda LASRI

Master 1 MIAGE

2013/2014

Tuteurs :

François Estrade, Directeur technique, EKILOG.

Kim Nguyễn, Responsable de la formation Master 1 MIAGE, Université d’Orsay.

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Remerciements

Pour commencer, je voudrais remercier Monsieur François Estrade qui m’a donné

l’opportunité de faire mon stage de Master 1 au sein de EKILOG en tant qu’assistant chef de

projet SharePoint. Ensuite, je le remercie aussi pour m’avoir donné goût à travailler dans ce

domaine qu’est le développement et la gestion de projet. Pour finir, je remercie toute

l’équipe d’EKILOG qui m’a soutenu durant ce stage.

Je tiens à remercier aussi Monsieur Kim Nguyễn qui m’a redonné le courage pour poursuivre

mon stage jusqu’à sa fin et qui m’a permis de décrocher une formation en alternance pour

mon Master 2 MIAGE.

Résumé

De nos jours, qui n’a jamais utilisé ou vu un intranet que ça soit au sein d’une entreprise,

d’une association ou même d’une université ? Cet outil, facile d’utilisation, s’est généralisé

au monde grâce à l’utilisation d’internet. Il permet un échange rapide avec les utilisateurs et

divers documents susceptibles de leur être utile ainsi qu’une communication rapide à

l’intérieur d’une organisation verticale ou horizontale.

L’intranet constitue une partie de l’infrastructure technique d’un réseau qui permet de

développer le travail collaboratif et les projets d’ingénierie des connaissances. Celui-ci est

souvent développé via SharePoint qui est un portail web collaboratif et social.

Durant toute la période de mon stage, j’ai travaillé sur le développement d’interface de

divers Intranet. J’ai pu intervenir sur les différentes phases de la mise en place d’un intranet

que ça soit en développement et en intégration ainsi que sur la gestion de projet. J’ai eu

accès directement aux clients qui m’ont fait part de leurs besoins avec qui j’ai pu discuter

des méthodes utilisées afin de répondre au mieux à leur projet et leur délivrer dans un

temps imparti.

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Définitions

Portlet : Application informatique que l'on peut placer dans un portail web, qui sert alors de

conteneur. C'est un objet qui affiche un bloc sur une page web et qui est souvent émis par

des servlets. Un portlet traite les requêtes d'une tâche ou d'un service donné et génère

dynamiquement le contenu web affiché à l'utilisateur. Les portlets permettent de fournir

toutes sortes de services généralistes ou spécialisés (interface de consultation de dossiers,

agenda personnel, annuaire, panneau d'information, intégration d'un moteur de recherche,

météo, etc.)

Pages maîtres : Elle définit le chrome (éléments de tramage partagés) des sites. Ces

éléments peuvent inclure l’en-tête et le pied de page, la navigation supérieure, les vues

miniatures, la zone de recherche, le logo du site et d’autres éléments de personnalisation. La

page maître reste cohérente au fur et à mesure que les visiteurs parcourent le site.

W3C : Le World Wide Web Consortium, abrégé par le sigle W3C, est un organisme de

normalisation à but non lucratif, fondé en octobre 1994 chargé de promouvoir la

compatibilité des technologies du World Wide Web telles que HTML, XHTML, XML, RDF,

SPARQL, CSS, XSL, PNG, SVG et SOAP. Fonctionnant comme un consortium international, il

regroupe au 26 février 2013, 383 entreprises partenaires.

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Sommaire

1 Introduction ..................................................................................................................................... 5

1.1 Objectifs professionnels .......................................................................................................... 5

1.2 Objectifs personnels ................................................................................................................ 5

2 Présentation de l’entreprise ............................................................................................................ 7

2.1 Histotique ................................................................................................................................ 7

2.2 iShare ....................................................................................................................................... 7

2.3 locaux ...................................................................................................................................... 9

3 Outils et méthodes utilisés ............................................................................................................ 10

3.1 Principe d’un intranet ............................................................................................................ 10

3.2 Présentation de Microsoft Office SharePoint. ...................................................................... 10

3.2.1 Historique : .................................................................................................................... 10

3.2.2 Portail Web .................................................................................................................... 11

3.2.3 Les fonctionnalités de base SharePoint ......................................................................... 13

3.3 SharePoint Designer .............................................................................................................. 16

3.4 Visual studio .......................................................................................................................... 17

3.5 Windows Server 2008: .......................................................................................................... 17

3.6 Power SHELL: ......................................................................................................................... 18

4 Les Phases et les Réalisations ........................................................................................................ 19

4.1 Migration SharePoint 2007 à SharePoint 2010 ..................................................................... 19

4.2 les fonctionnalités natives de SharePoint (Projet Ares & Co) ............................................... 20

4.3 Branding et développement des composants SharePoint .................................................... 23

4.3.1 Projet Sagard ................................................................................................................. 23

4.3.2 Projet Brothier ............................................................................................................... 27

5 Conclusions .................................................................................................................................... 32

6 Références ..................................................................................................................................... 33

7 Annexes ......................................................................................................................................... 34

7.1 Annexe 1 : Projet SAGARD ..................................................................................................... 34

7.2 Annexe 2 : Projet Brothier ..................................................................................................... 35

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1 INTRODUCTION

Tout au long de ma période de stage j’ai pu réaliser différents projets, en commençant par

l’infrastructure, l’administration jusqu’au développement en passant par le Branding.

En plus de la technique, j’avais la responsabilité de gérer la phase recette avec les clients afin

de valider le besoin attendu.

Enfin, j’ai participé à la formation des clients sur l’outil SharePoint en expliquant le

fonctionnement natif de ce dernier ainsi que les fonctionnalités demandées qui étaient

développées par moi-même. Tout cela, en respectant un délai fixé par le client.

En substance, durant mon stage j’ai porté plusieurs casquettes, à la fois développeur et chef

de projet.

1.1 OBJECTIFS PROFESSIONNELS Il y a plusieurs objectifs à réaliser au cours de ce stage :

- Comprendre et cibler les attentes du client afin d’appréhender le besoin. J’ai

consulté les documents réalisés, par mon tuteur de stage, durant la phase audite du

projet. - Analyser également les besoins dans le but de créer des spécifications techniques.

- Organiser les espaces de travail et les éléments de charte graphique.

- Développer les fonctionnalités demandés en C#, ASP.NET, HTML, CSS ou JavaScript.

- Assurer le suivi avec des interlocuteurs en faisant des recettes régulièrement

(chaque semaine ou tous les 15 jours).

- Former les utilisateurs finaux.

- Rédaction d’un manuel d’utilisation de l’outil destiné aux clients pour qu’ils puisent

utiliser l’outil avec aisance.

1.2 OBJECTIFS PERSONNELS Au-delà des objectifs professionnels, je me suis fixé des objectifs personnels :

- Satisfaire aux objectifs professionnels en réalisant un travail sérieux et de qualité en

adéquation avec les attentes de l’entreprise et des utilisateurs sur la durée des

quatre mois du stage.

- M’intégrer à un environnement professionnel et répondre aux besoins de mes

collaborateurs.

- Appliquer mes acquis dans des domaines variés aussi bien informatique qu’en

gestion (gestion de l’organisation du projet...).

- Apprendre de nouvelles notions dans les mêmes domaines que ci-dessus et de

manière autonome (recherches sur Internet, documentations, ...).

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- Etre impliqué dans la prise de décisions en donnant des idées sur l’organisation et le

développement des projets notamment grâce à l’analyse des besoins.

- Développer mon sens relationnel auprès des clients ainsi que mes confrères « de

souris » pour leur poser des questions, connaître leurs opinions et surtout bien

cerner leurs attentes.

Le succès de mes projets est mesuré, en effet, à la satisfaction du client, à la qualité du

résultat (conformité du produit, ce qui est attendu…), au respect du délai imparti et du

budget alloué.

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2 PRESENTATION DE L’ENTREPRISE

2.1 HISTOTIQUE

Fondée en Août 2010 par François ESTRADE et Julien DROUHAUT, EKILOG est une start-up

française basée à Gif-sur-Yvette, spécialisée dans l’édition de logiciels pour les Petites et

Moyennes Entreprises (PME).

EKILOG propose dans le cadre de son produit « iShare », une gamme d’outils métiers basée

exclusivement sur la technologie Microsoft SharePoint, visant à offrir des gains de

productivité et d'organisation en termes de développement commercial, de ressources

humaines, de gestion documentaire, de services généraux et de communication interne.

2.2 ISHARE

Afin de présenter d’avantage l’entreprise, je me dois d’exposer certains des produits

proposés par EKILOG. Ils sont tous basés sur la technologie Microsoft SharePoint et sont

l’aboutissement d’une réflexion logique et pertinente entre ses deux cofondateurs.

En effet, EKILOG se veut être une société à l’écoute des besoins de ses clients afin d’éviter

les critiques les plus courantes, à savoir des produits :

- Usine à gaz.

- Lent.

- Inadapté au besoin.

- Rigide.

- Long à mettre en œuvre.

A partir de ce constat simple, EKILOG offre aux utilisateurs confort, performance et rapidité

dans la gestion de 5 métiers essentiels à la performance d’une entreprise :

- CRM : acquisition et fidélisation des clients.

- Gestion des ressources humaines : recrutement, fidélisation et formation des

collaborateurs.

- Gestion documentaire : partage et gestion de la connaissance au sein de l’entreprise.

- Services généraux : dématérialisation et automatisation des processus de gestion

courants soumis à approbation (frais, achats…).

- Intranet : communication efficace des informations de l’entreprise et dynamisation

des équipes.

L’ensemble de cette gamme dite « iShare » est déployée sur la plateforme Microsoft

SharePoint chez les Clients. Son accès depuis n’importe quel navigateur internet rend donc

très facile l’utilisation du produit qui est par ailleurs parfaitement intégré à l’environnement

Microsoft Office des entreprises.

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D’autres projets voient également le jour suivant les besoins des clients. EKILOG a par

exemple développé des produits sur la gestion de parc ou encore des produits pour la

gestion des comptes rendus d’activités (CRA).

A l’inverse des autres sociétés d’informatiques qui facturent leurs clients par « Client Access

License per User », c'est-à-dire, un paiement pour les droits d’accès pour chaque utilisateur

et par mois. EKILOG se distingue par une tarification unique de ses projets. En d’autres

termes, le montant global comprend l’audit, le déploiement de la plateforme, la

personnalisation de la solution et la formation des utilisateurs et administrateurs. EKILOG

assure donc un suivi du client de la première étape de l’audit jusqu’à la formation sur ces

produits.

En résumé, nous pouvons dire qu’EKILOG se développe autour des 4 points clés suivants :

- Conseiller les PME sur leurs organisations et leurs fonctionnements.

- Penser, construire et distribuer des logiciels correspondants : « iShare ».

- Former les clients aux produits EKILOG.

- Maintenance.

Figure 2-1 : Gestion des 5 métiers via « iShare »

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2.3 LOCAUX

La société EKILOG fait partie de la pépinière de Gif-sur-Yvette. Il s’agit d’un regroupement

d’entreprises situé sur le plateau de Saclay offrant ainsi un cadre de travail calme et

verdoyant à proximité du cluster Paris Saclay. L'alliance du calme de la vallée de la

Chevreuse et de l'environnement scientifique en fait un lieu idéal pour de jeunes entreprises

qui démarrent et se développent dans les secteurs de l'innovation et du service aux

entreprises.

La proximité avec le RER et l’accès rapide aux différents axes routiers permettent de se

rendre rapidement sur Paris. De plus, l’arrivée prochaine de Centrale Paris, rejoignant ainsi

Polytechnique et Supelec en fait un lieu privilégié pour les entreprises.

La pépinière est aussi labellisée AFNOR, preuve de la qualité de son accueil et son

accompagnement. Elle a obtenu la labellisation de l'ARD pour l'accueil d'entreprises

internationales « Paris Region International Business Center » et est membre du réseau

CREE.

Ainsi, c’est un ensemble d’une quarantaine d’entreprises environs qui travaillent dans les

2000 m² de bureaux de la pépinière. Ces entreprises travaillent majoritairement dans le

domaine de l’informatique, du conseil, dans le développement Web, l’aéronautique et bien

d’autres encore.

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3 OUTILS ET METHODES UTILISES

Le principal outil utilisé est bien sûr le logiciel de la suite Microsoft Office qui se nomme

Office SharePoint. Spécialement conçus pour le développement d’intranet.

Mais au fait qu’est-ce qu’un intranet ? Et à quoi sert-il ?

3.1 PRINCIPE D’UN INTRANET

Un Intranet est un site web interne à l'entreprise, réservé à ses collaborateurs et inaccessible

aux personnes non autorisées.

La rapide croissance de l'intranet au sein des entreprises s'explique par les avantages qu'il

offre :

- Faciliter la communication à l’intérieur de l’entreprise.

- Améliorer la productivité dans le partage et la recherche d’informations.

- Permettre de véhiculer une certaine culture d’entreprise.

- Centraliser des données.

- Portail d’entreprise.

- Simplicité d’utilisation car il faut juste un navigateur web.

De plus, tous les services de l’entreprise peuvent en profiter (Direction Générale, Ressources

Humaines, Services Généraux...).

C’est un système d’information complet et à faible coût.

Le facteur humain est important dans un projet de conception d’un intranet car c’est un

projet informatique mais aussi et avant tout un projet d’organisation (gestion de projet).

Un intranet doit-être conçu en fonction des besoins d’une entreprise ou selon l’organisation

de celle-ci (services à mettre en place).

L’intranet ne doit pas être conçu seulement par les besoins des informaticiens de

l’entreprise mais suivant un cahier de charges qui prend aussi en compte tous les besoins de

tous les services de l’entreprise.

3.2 PRESENTATION DE MICROSOFT OFFICE SHAREPOINT.

3.2.1 HISTORIQUE :

Les premiers balbutiements de SharePoint ont démarré en 1999 mais se sont rapidement

arrêtés. On peut considérer que SharePoint a réellement vu le jour en 2001 avec Microsoft

SharePoint Portal Server 2001. Plusieurs versions sont apparues depuis.

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SharePoint est réellement devenu populaire à partir de la version 2007 où il a littéralement

envahi le marché et investi beaucoup d’entreprises notamment pour ses fonctionnalités

natives en termes de collaboration en entreprise, de gestion documentaire et de portails

web.

SharePoint 2007 proposait en effet une gamme complète de fonctionnalités et une

intégration très forte avec les autres produits Microsoft (Active Directory, Exchange Server)

ainsi que la Suite Office. Il comportait d’ailleurs le mot « Office » dans son nom (Microsoft

Office SharePoint Server 2007 ou MOSS 2007).

Ceci fut «corrigé» dès la version 2010 car les néophytes avaient tendance à assimiler

SharePoint à un simple composant de la suite Office. Il n’en était bien sûr rien puisque

SharePoint, à lui seul, était beaucoup plus vaste que l’intégralité de la suite Office.

En 2010, SharePoint s’ouvre davantage au monde extérieur car Microsoft y intègre des API

spécifiques (CSOM (Client Side Object Model) et REST (Representational State Transfer))

facilitant l’interaction à distance avec la plateforme.

Microsoft développe également une nouvelle version de SharePoint Online devenu alors

Office 365.

SharePoint suit donc la tendance « Cloud » (nuage) de version en version et vient de faire,

avec la version 2013, un pas décisif vers encore plus de « Cloud » en intégrant notamment

un nouveau modèle de développement appelé les Apps.

3.2.2 PORTAIL WEB

Un portail web est un site Web qui offre un accès unique à de multiples services (forum,

messagerie électronique, espaces de publications, moteur de recherche).

De manière générale, les utilisateurs doivent s’enregistrer afin de pouvoir se connecter

quand ils le souhaitent au portail.

Après identification, le portail offre à ses utilisateurs différents services, comme la

personnalisation de leurs espaces de travail qui est organisé à l’aide d’éléments d’Interface

Home Machin (IHM) de base : les portlets.

Un portlet est une application informatique qui joue le rôle d’un conteneur que l’on place

dans un portail Web afin d’enrichir celui-ci. C’est un objet qui se place dans une page Web

(applet) et traite une ou plusieurs requêtes afin de générer dynamiquement le contenu de la

page visible par l’utilisateur.

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Un portlet peut être :

- Un moteur de recherche.

- Une liste (contact, entreprise ...).

- Une bibliothèque de documents.

- Un annuaire.

- -...

D’un point de vue utilisateur et donc interface Web, un portlet apparaît donc comme un

composant graphique que l’on peut placer ou l’on souhaite dans son portail Web.

D’un point de vue pratique, l’administrateur du portail peut décider de publier un portlet

dans une catégorie particulière pour le rendre visible de tous ou d’en faire profiter à une

audience ciblée (Système d’audience intégré à MOSS). Dans MOSS, les portlets sont

représentés par des Web Parts.

Un webpart est donc un portlet qui a la particularité d’être un composant graphique

développer en ASP.net qui fait partie de Microsoft.net (créé par Microsoft) et qui regroupe

un ensemble de technologie de programmation Web permettant de créé des sites Web

dynamique ou des applications Web.

Lors de la personnalisation d’une page, nous pouvons donc ajouter des composants Web

Parts dans les différentes zones prédéterminées d’une page.

Ces webparts nous permettent entre autre d’afficher des documents disponibles dans le site

sous visionneuse de page (Iframe) avec un éditeur XML et d’avoir accès à un éditeur de

contenu simple ou élaboré.

Pour résumer, les portails Web sont donc considérés comme des sites communautaires qui

tentent de rassembler de nombreux services afin de satisfaire pour le mieux les internautes.

Chacun, par l’intermédiaire de son portail, fournit du contenu propre et adapté pour sa

communauté.

D’un point de vue des entreprises, la mise en place d’un portail a permis de résoudre de

nombreux problèmes notamment en ce qui concerne les chartes graphiques ou le nombre

grandissant d’application Web à gérer.

Quelques portails d’entreprise :

- IBM WebSphere Portal

- SAP EP|SAP Enterprise Portal

- Office SharePoint Server

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3.2.3 LES FONCTIONNALITES DE BASE SHAREPOINT

L'outil SharePoint propose par défaut de nombreuses « briques » prêtes à l’emploi. Elles

facilitent la mise en place d’une structure de publication et de partage des informations.

Pour simplifier, la création d'un site SharePoint consiste à « emboiter » correctement ces

briques pour rendre opérationnel leurs interactions.

Un site est constitué :

- De pages d’administration permettant la gestion du site et des listes : sécurité,

contribution, conception, navigation, ...

Figure 3-1 : Page d'administration

14

- De bibliothèques et de listes

Figure 3-2 : Listes

- De pages et de contenu

Figure 3-3 : Pages et contenu

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- De WebParts

Figure 3-4 : WebPart

- D’une navigation

- D’utilisateurs et groupes (accès et permissions)

Figure 3-5 : Accès et permissions

Voici la liste simplifiée des briques SharePoint :

- Le site : Brique principale qui contient l'arborescence des sous-sites et tous les

constituants ci-dessous.

- Les listes et bibliothèques : Briques « Container ». Pour les éléments d'information de

type répétitif. Enregistrement de nombreux documents présentant une organisation

et une structure de saisie commune.

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- Les pages : Brique de « Présentation ». Elle regroupe dans un document unique des

informations ponctuelles et personnalisées. Elle permet aussi l'affichage des

documents enregistrés dans les listes et bibliothèques.

- Les WebParts : Briques d'interface personnalisables crées dans les pages pour

permettre la visualisation des informations enregistrées dans le site (conteneurs de

documents, pages web…).

3.3 SHAREPOINT DESIGNER

Durant ma période de stage, j’étais amené à travailler régulièrement avec SharePoint

Designer 2010/2013, en fonction du type de version SharePoint.

Cet outils m’as permis de modifier et créer des structures différentes de pages (Pages

Layouts, Master Pages,…), d’ajouter des fonctionnalités, créer des flux de travail et de

modifier le ruban de SharePoint en ajoutant des boutons personnalisés.

Microsoft SharePoint Designer 2010 est un programme de conception de sites Web et

d’applications permettant de créer et personnaliser des sites et des applications SharePoint.

Avec SharePoint Designer 2010, il est possible de créer des pages riches en données,

élaborer des solutions puissantes qui prennent en charge les flux de travail et concevoir

l’apparence générale du site. Les créations peuvent s’étendre du simple site d’une petite

équipe de gestion de projets jusqu’à des solutions de portail pour l’entreprise pilotées par

tableau de bord.

Figure 3-6 : Interface SharePoint designer

Pour créer des fonctionnalités plus complexe et plus robuste, il m’a été nécessaire

d’apprendre à coder en C#, ASP.NET, JavaScript,… en utilisant l’outil Microsoft Visual Studio.

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3.4 VISUAL STUDIO

Visual Studio est un ensemble complet d'outils de développement permettant de générer

des applications Web ASP.NET, des Services Web XML, des applications bureautiques et des

applications mobiles. Visual Basic, Visual C++, Visual C# et Visual J# utilisent tous le même

environnement de développement intégré (IDE, Integrated Development Environment) qui

leur permet de partager des outils et facilite la création de solutions faisant appel à plusieurs

langages. Par ailleurs, ces langages permettent de mieux tirer parti des fonctionnalités du

Framework .NET qui fournit un accès à des technologies clés simplifiant le développement

d'applications Web ASP et de Services Web XML grâce à Visual Web Developer.

Pour une bonne compréhension de cet outil puissant qu’est « SharePoint », il était

nécessaire de commencer par administrer les Frames SharePoint dans le but de comprendre

l’architecture de ce gigantesque outil.

3.5 WINDOWS SERVER 2008:

Windows Server 2008 étant basé sur le même noyau que Vista, il reprend la plupart des

fonctionnalités techniques, de sécurité, de gestion et d'administration apportées par celui-ci.

On peut citer par exemple (liste non-exhaustive) :

- Réécriture de la couche réseau (IPv6 et connectivité sans-fil en natif) .

- Amélioration du déploiement, de la récupération et de l'installation basée sur une

image source.

- Amélioration des outils de diagnostic, de supervision, de traçabilité des évènements

et de rapports.

- Apport de nouvelles fonctionnalités de sécurité telles que Bitlocker et ASLR,

amélioration du pare-feu Windows avec la configuration sécurisée par défaut.

- Technologie .NET Framework 3.0, spécifiquement Windows Communication

Foundation (WCF), Microsoft Message Queuing et Windows Workflow Foundation.

- Amélioration également du noyau, de la gestion mémoire et du système de fichiers :

les processeurs et composants mémoire sont définis comme des périphériques Plug

and Play afin de permettre le « branchement à chaud » (hot-plug) de ceux-ci. Cela

permet aux ressources système d'être partitionnées de façon dynamique à l'aide du

module « Dynamic Hardware Partitioning » (littéralement : « Gestion Dynamique du

Partitionnement ») ; chacune disposant de sa propre partition de mémoire,

processeur et pont d'hôte E/S indépendante les unes des autres.

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3.6 POWER SHELL:

Windows PowerShell est le successeur des interfaces en ligne de commande DOS/Windows

fournies par :

- Command.com (c'est-à-dire l'interface MS-DOS) de Millennium, Windows 98 et de

ses prédécesseurs.

- Cmd.exe de Windows NT depuis 1993.

On peut aussi mentionner Windows Scripting Host (WSH), introduit en 1998, qui connut un

certain succès auprès des administrateurs mais ne permet pas une utilisation interactive : les

scripts peuvent être appelés depuis la ligne de commande mais ils doivent être

préalablement enregistrés dans un fichier.

Aucune de ces interfaces n'est conforme à POSIX 2 (POSIX étant une norme faite pour les

shell Unix qui eux ne sont pas orientés objet mais plutôt flux de texte à décomposer et à

interpréter).

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4 LES PHASES ET LES REALISATIONS

4.1 MIGRATION SHAREPOINT 2007 A SHAREPOINT 2010

Dès ma première semaine de stage, j’avais la responsabilité de résoudre l’un des problèmes

les plus durs de la migration de SharePoint 2007 à SharePoint 2010, l’unique tâche restée en

suspens qui s’intitule BCS (Business Connectivity Services) qui consiste à :

- Afficher des données externes à partir d’applications d’entreprise, de services web et

de services OData dans SharePoint et dans les applications clientes riches d’Office.

- Fournir des fonctionnalités et des comportements de type Office à des données et

services externes (par exemple, des contacts, tâches et rendez-vous).

- Fournir une interaction complète avec les données, y compris les fonctionnalités

d’écriture différée à partir des applications Office et SharePoint Server aux objets

métiers et données de système externe sous-jacents.

- Activer l’utilisation en mode hors connexion des processus et données externes.

- Relier les données structurées appropriées verrouillées dans les systèmes externes

aux personnes et aux documents non structurés.

Figure 4-1 : Architecture et composants SharePoint

20

La complexité de cette tâche réside dans la simplicité de cette dernière, en effet, dans

l’ancien projet SharePoint 2007, il existait un modèle BDC (Business Data Catalog), l’ancien

intitulé de BCS. Ce modèle était fait par un outil payant « Lightning Tools » qui n’était pas

facile de migrer vers SharePoint 2010.

Après avoir analysé l’existant, j’ai proposé la modification de ce modèle manuellement

puisque le contenu était du XML. Durant les deux semaines qui suivirent, j’ai gagné mes

galons et le respect de mes collègues en réussissant cette tâche difficile. Mais l’aventure ne

venait que commencer car les tâches qui m’étaient incombées se détournaient du sujet de

stage. Afin de redresser la barre et avec l’intervention de mon tuteur pédagogique, ils ont

recentré mon activité en rapport avec le sujet du stage.

4.2 LES FONCTIONNALITES NATIVES DE SHAREPOINT (PROJET ARES & CO)

Dans ce projet, l’outil utilisé est SharePoint online (SharePoint 365).

Dans la majorité de ce projet, j’étais amené à utiliser les fonctionnalités fondamentales de

SharePoint : Listes, Documents, Sous-Site, site dédiées à la gestion de projet et notamment

des composants Web Parts.

Figure 4-2 : Site Intranet de notre client Ares & Co

Il fallait mettre en place tous les dispositifs accompagnant SharePoint comme onNote,

Ondrive et aussi gérer les contraintes de sécurités/Gestion des droits d’accès.

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Comme il a été dit précédemment, SharePoint permet la mise en place d’un portail intranet

sécurisé. En effet, la gestion de la sécurité et des droits d’accès repose sur l’annuaire de

l’Active Directory. Tout l’environnement SharePoint est soumis à son système de sécurité.

La sécurité intervient à différents niveaux pour définir les autorisations d'accès aux

ressources :

- Site d’administration centrale

- Collections de sites

- Sites, Sous-sites

- Listes, Bibliothèques de documents et de Pages

- Eléments et documents

Pour assurer la pérennité des informations enregistrées dans les documents des listes et

bibliothèques sur les sites Ares & Co, la gestion des droits d'accès au niveau du document

individuel est déconseillée.

Sous SharePoint, la gestion des accès aux objets (sites web, listes, éléments de liste) se fait

soit par la définition de groupes d'accès d'utilisateurs ou soit par l’assignement de « niveaux

d’autorisation » à ces groupes ou aux personnes.

Les permissions peuvent être héritées (héritage dans les sites, listes) ou bien spécifiques à un

objet (héritage interrompu). Il est toujours possible de rétablir après-coup, un héritage

« rompu » dans une arborescence de sites.

Lors de la création d'un sous-site, il est conseillé de valider l'option d'héritage des droits du

site parent afin de transmettre simplement au nouveau site la configuration de sécurité

définie à la racine du portail.

Tant que l'héritage des droits n’est pas interrompu, toutes modifications des autorisations

d'accès dans le site supérieur seront transmises automatiquement aux sites « enfants »

(inférieurs dans l'arborescence).

Dès que l'héritage des droits est interrompu (« cassé »), les modifications d'accès effectuées

au niveau supérieur ne sont plus transmises aux sites « enfants ». L'arborescence des sites

inférieurs dispose alors de sa propre gestion personnalisée des accès. Pour personnaliser les

autorisations d'accès d'un sous-site, il faut donc préalablement interrompre l'héritage des

droits avec son site parent.

22

Figure 4-3 : Différents droits d’accès dans le portail SharePoint Online

Avant de délivrer un produit, il est nécessaire de vérifier sa qualité, sa fiabilité et surtout s’il

répond bien aux attentes des collaborateurs. Un portail intranet développé avec SharePoint

est réputé pour être fiable et efficace. Cependant, plusieurs séries de test ont été effectuées

avant, pendant et après la phase de développement. Tous les tests se font sur le portail

intranet en production mis à la disposition du client. Les tests m’ont surtout permis de

découvrir les fonctionnalités de SharePoint en liens avec les besoins de mes collaborateurs.

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4.3 BRANDING ET DEVELOPPEMENT DES COMPOSANTS SHAREPOINT

En plus de l’utilisation native des composants SharePoint, les demandes de nos clients

dépassent ce périmètre ce qui nous amène à développer ces fonctionnalités soit en faisant

appel à SharePoint Designer soit à Visual Studio. Le choix se fait par rapport à la complexité

et la faisabilité de ses fonctionnalités.

4.3.1 PROJET SAGARD

Ce projet consiste à refaire toute l’interface graphique de l’intranet en mettant en place les

fonctionnalités demandées par le client, autrement dit, mettre en place les web Parts, les

flux de travail, les flux RSS… .

A savoir, SharePoint existe en 2 versions : payante et gratuite. La différence se fait sur les

fonctionnalités ajoutées à la version payante, en contrepartie toutes ses fonctionnalités

peuvent être développées en cas de besoins. Cependant, certaines facilitent le travail sur

SharePoint 2013 comme le « Design Manager » en version payante mais malheureusement

n’existe pas sur la version gratuite.

Figure 4-4 : Design Manager sur SharePoint 2013

SharePoint utilise des modèles pour définir et afficher les pages d’un site. La structure d’une

page SharePoint comprend trois éléments principaux :

- Les pages maîtres définissent les éléments de tramage partagés ou chrome de toutes

les pages de votre site.

- Les mises en page définissent la disposition d’une classe spécifique de pages.

- Les pages sont créées à partir d’une mise en page par les auteurs qui ajoutent du

contenu aux champs de page.

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Figure 4-5 : Structure d’un page SharePoint

Il faut savoir que la charte graphique est faite par un designer partenaire de l’entreprise. Elle

est faite sous Photoshop. Mon travail, dans un premier temps, consistait à intégrer la charte

en utilisant HTML/CSS et JavaScript. Dans le but de changer la structure des pages natives de

SharePoint, j’ai été amené à apporter des modifications sur la page maître « Master Page »,

en apportant des modifications concrètes afin de respecter la charte graphique.

Dans SharePoint 2013, Microsoft a mis à disposition un outil aux utilisations de SharePoint

qui s’appelle « SharePoint Color Palette Tool », développeurs d’interface SharePoint 2013.

Cet outil facilite la personnalisation des thèmes sans se soucier du code.

Figure 4-6 : SharePoint Color Palette Tool

25

Color Palette Tool génère un fichier xml que l’on met dans le dossier

« http:// sagard.ekilog.korp /_catalogs/theme/15 / » après une configuration de ce fichier.

Pour la police d’écriture, il a fallu créer le fichier xml manuellement dans le but de fabriquer

un thème pré-composé du fichier comprenant le Color palette tool, le fichier de la police

d’écriture et bien sûr de la page maitre.

Figure 4-7 : Fichier XML généré par l’outil

Cet outil a été très utile puisque même les icones ont été personnalisées et mises aux

couleurs de la charte graphique.

Figure 4-8 : Icones personnalisées

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Or, le souci était de changer la structure de la page maître « Master Page » afin de se

rapprocher le plus possible à notre maquette graphique.

Avant de démarrer cette partie, je me suis plongé dans la documentation afin de

comprendre le fonctionnement de cette page qui est considérée comme l’un des piliers de

SharePoint.

Figure 4-9 : Exemple de « Master Page »

Après avoir mis le thème en place, il nous rester le contenu à introduire, autrement dit la

mise en page du contenu « Page Layout ».

Pour changer la mise en page des composants, il existe un fichier CSS dans les dossiers

systèmes de SharePoint, plus précisément dans « C:\Program Files\Common Files\Microsoft

Shared\Web Server Extensions\14\TEMPLATE\LAYOUTS ». Il ne faut en aucun cas le

supprimer ou le modifier. Donc pour appliquer nos propriétés CSS, il a été nécessaire de

créer un nouveau fichier CSS qui écrasera l’ancienne propriété du fichier Cover15.CSS.

Après avoir mis les fonctionnalités natives de SharePoint personnalisées, voici le résultat

final :

27

Figure 4-10 : Résultat final du Projet SAGARD

4.3.2 PROJET BROTHIER

Ce projet était sur une version 2010 gratuite (SharePoint 2010 Foundation).

Lors de ce projet, j’ai pu, dans un premier temps, confirmer mes compétences dans le

Branding en suivant plus ou moins les mêmes étapes que le projet Sagard.

Ensuite, comme notre client avait besoin d’un développement spécifique d’une dizaine de

pages, je suis intervenu dans la phase analyse dans le but de participer à la rédaction des

spécifications fonctionnelles avec le client. Ainsi, j’ai pu donner mon opinion sur la faisabilité

du besoin demandé.

Après avoir validé les spécifications fonctionnelles, j’ai dû rédiger les spécifications

techniques et estimer le délai nécessaire pour ces tâches.

4.3.2.1 LES BESOINS DU CLIENT

4.3.2.1.1 ANALYSE DE L’EXISTANT

Notre client avait besoin de plusieurs pages dynamiques remplies avec des données

provenant des listes et des bibliothèques, autrement dit, le but était de rassembler plusieurs

informations provenant de plusieurs sources différentes ayant une relation avec le produit

ou le laboratoire choisit par l’utilisateur.

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Figure 4-11 : Les besoins du client

4.3.2.1.2 TRADUCTION TECHNIQUES

Afin de traduire les besoins demandés de notre client, j’ai proposé l’utilisation des pages

applicatives. Comme leur nom l’indique, ces pages ne peuvent être conçues et modifiées

que de manière applicative par programmation et ce via des solutions de type ferme.

La ferme est le conteneur logique suprême, elle n’a en effet aucun parent. Elle représente

l’ensemble des objets SharePoint et l’ensemble des serveurs.

Dans cette solution, j’ai eu recoure au CSOM (Client Side Object Model). L’objectif était de

faciliter les interactions entre une ferme SharePoint et les diverses applications clientes en

offrant une couche d’abstraction qui effectue le dialogue avec les services web SharePoint et

récupère les données renvoyées par ceux-ci.

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Il existe trois types de CSOM :

- Le JSOM (JavaScript Client Object Model) est utilisé directement dans le code

JavaScript de nos pages. C’est certainement le plus complexe des trois.

- Le .NET CSOM (.NET Object Model) est spécifique pour les applications .NET (WPF,

ASP.NET, Winforms…).

- Le Silverlight Object Model doit être utilisé pour des applications développées en

Silverlight.

Quel que soit le CSOM utilisé, certains concepts sont systématiquement applicables. Le

CSOM sert à communiquer avec SharePoint depuis une application cliente. Pour que cela

fonctionne, il faut initialiser un contexte côté client, celui-ci permet d’effectuer toute une

série d’opérations localement et ensuite de demander l’exécution en contactant le service

Client.svc de SharePoint. Pour ma part, j’ai choisi de travailler avec JSOM et .NET CSOM.

4.3.2.1.3 DEVELOPPEMENT ET GESTION DE PROJET

La phase développement a été faite sur plusieurs étapes sans oublier les contraintes de la

charte graphique faite par notre designer.

Premièrement, il fallait extraire des données et établir l’interaction entre les objets

SharePoint (dans notre cas les listes et les bibliothèques de documents et d’images).

Ensuite, il fallait présenter les résultats en utilisant le HTML/CSS/JavaSript, en respectant les

normes W3C et éventuellement prendre en considération toute les résolutions d’écrans

possibles.

Les projets sont gérés avec une approche classique « en cascade » basée sur des activités

séquentielles : on recueille les besoins, on définit le produit, on développe puis on le teste

avant de le livrer au client.

Ces méthodologies se caractérisent par un attachement farouche à tout planifier « tout doit

être prévisible » au tout début du projet. Un plan de management du projet décrit comment

le travail sera réalisé, les modalités de planification, d’exécution, de suivi et de clôture du

projet, mes outils et langages utilisés.

Pour arriver aux objectifs, Visual studio a été choisi pour programmer en C#, .NET, JavaScript

ainsi que le CAML qui a été utile pour faire des requête et pour filtrer les résultats. Enfin,

pour déployer la solution chez le client, le choix s’est porté sur Power Shell.

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4.3.2.1.4 RECETTE

Tous les 15 jours environ, un point avec le client a été fait afin de lui montrer l’avancement

du projet de manière à le rassurer et de confirmer son besoin sur des fonctionnements réels.

Le déroulement de ces points techniques était géré via une vidéo conférence afin d’avoir la

visibilité sur le livrable et de comprendre d’éventuelles évolutions des besoins.

Figure 4-12 : Différentes phase du projet

La figure ci-dessous montre le résultat final du projet Brothier.

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Figure 4-13 : Résultat final du Projet Brothier

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5 CONCLUSIONS

Dans le cadre du Master 1 MIAGE, j’ai effectué un stage au sein d’Ekilog pendant une durée

de quatre mois. Ce stage s’est déroulé du 5 mai 2014 au 12 septembre 2014.

Grâce à un stage en entreprise, l’année du Master 1 MIAGE a pour objectif la mise en

pratique d’acquis et de notions tels que la gestion de projet et le développement. Durant ce

stage, une véritable expérience professionnelle peut alors être acquise grâce à un échange

relationnel mutuel.

Lors de la recherche de mon stage, je souhaitais trouver une expérience professionnelle me

permettant de réaliser un projet dans lequel je pouvais mettre mes connaissances en

pratique et prendre des décisions sur l’étude, le développement et les tests ainsi que gérer

la formation des futurs utilisateurs. Le thème proposé par Ekilog répondait à mes attentes,

mais j'avais une crainte, c’était ma capacité à travailler de manière autonome sur des projets

tels que ceux qui m’ont été proposés.

Le sujet proposé, s'intitulant « étude et développement d'un portail intranet d'entreprise en

SharePoint », est un projet d'analyse et de développement Web.

Lorsque que ma candidature fut acceptée, je me suis investi avec motivation dans la

réalisation de ce projet.

Ce stage n’a pu être qu'enrichissant, notamment grâce à l'autonomie qu'il m’a offert et

grâce à l'application de mes connaissances aussi bien en informatique qu'en gestion. De

plus, il m’a permis d'évoluer au sein d'une Start-up où j’ai pu être en contact direct avec le

client, chose qu’il m’aurait été plus difficile dans une grande entreprise. Ce stage me

permettra à l’avenir d'acquérir une plus grande maturité dans un milieu professionnel avec

tous les aléas qu'il peut générer et d’évoluer dans un domaine porteur de l’informatique

dans lequel j’ai acquis de bonnes bases.

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6 REFERENCES

- Microsoft SharePoint 2013 App Development, Scot Hillier, Ted Pattison 978-0-

7356-7498-1.

- Beginning SharePoint 2013 Development Steve Fox, Chris Johnson, Donovan Follette

978-1-1184-9584-1.

- SharePoint 2013 Branding and User Interface Design Randy Drisgill, John Ross, Paul

Stubbs 978-1-118-49567-4

- Centre pour développeurs http://msdn.microsoft.com/fr-fr/office/dn448478.aspx .

- http://technet.microsoft.com.

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7 ANNEXES

7.1 ANNEXE 1 : PROJET SAGARD

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7.2 ANNEXE 2 : PROJET BROTHIER

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