Étude 2012 sur les perceptions des conseillers Rapport à l’intention des conseillers...

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1 Étude 2012 sur les perceptions des conseillers Rapport à l’intention des conseillers

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Étude 2012 sur les perceptions des conseillers Rapport à l’intention des conseillers participants. Table des matières. Présentation de l’ Étude sur les perceptions des conseillers 3 Présentation des participants à l’ Étude sur les perceptions des conseillers 4 - PowerPoint PPT Presentation

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Étude 2012 sur les perceptions des conseillers

Rapport à l’intention des conseillers participants

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Table des matières

Présentation de l’Étude sur les perceptions des conseillers 3

Présentation des participants à l’Étude sur les perceptions des conseillers 4

Données démographiques sur les conseillers 5

Défis auxquels sont confrontés les conseillers 7

Croissance de la rémunération provenant de services tarifés 9

En quoi les fluctuations du marché influencent-elles les valeurs du portefeuille des clients? 10

Quels types de services les conseillers offrent-ils à leurs clients?11

Gérer l’offre 12

Quels facteurs incitent un conseiller à inclure une entreprise dans son portefeuille? 13

Quels résultats ont obtenus les meilleures sociétés? 14

Perception des meilleures sociétés 17

Quelles sources les conseillers utilisent-ils pour se tenir informés? 19

Quelles sont les retombées pour 2013? 22

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Présentation de l’Étude sur les perceptions des conseillersMise en place depuis maintenant 17 ans, l’Étude annuelle d’Environics sur les perceptions des conseillers est l’analyse de suivi la plus exhaustive sur les sociétés de fonds communs de placement et les compagnies d’assurance du Canada. En travaillant en collaboration avec un grand nombre de banques, de compagnies d’assurance et de sociétés de fonds communs de placement de premier plan au Canada, Environics suit l’évolution de la façon dont les conseillers financiers indépendants offrant des services aux particuliers perçoivent les marques. Cette mesure s’avère importante, car les conseillers constituent une composante clé du système canadien de distribution de produits financiers.

C’est grâce à la participation de conseillers financiers de l’ensemble du Canada qu’Environics est en mesure de fournir à l’industrie de précieux renseignements sur l’image de ses entreprises en ce qui a trait au rendement du produit, au renforcement des relations, à l’efficacité de l’équipe chargée des ventes et du marketing, ainsi qu’à l’ensemble des opérations commerciales. La précision des données recueillies par Environics permet aux entreprises de déterminer les domaines dans lesquels elles peuvent améliorer ou renforcer leur rendement aux yeux de leurs principaux clients, à savoir les conseillers financiers offrant des services aux particuliers au Canada.

COMMENT L’ÉTUDE A-T-ELLE ÉTÉ RÉALISÉE?L’Étude sur les perceptions des conseillers comprend un volet propre à l’assurance et un autre relatif aux fonds communs, qui sont traités dans des questionnaires distincts. Sur les 2 411 conseillers qui ont participé à l’étude en 2012, 1 990 ont rempli le questionnaire relatif aux fonds communs, et 1 855, le questionnaire relatif à l’assurance. Parmi les conseillers ayant rempli le premier questionnaire, 663 sont considérés comme des conseillers de premier plan, ayant plus de 15 millions de dollars de fonds communs sous mandat de gestion.

Les données ont été recueillies de mai à juillet 2012, grâce à un sondage en ligne envoyé à une base de données d’environ 35 000 conseillers financiers, dont bon nombre font partie du Groupe consultatif d’Environics sur les perceptions des conseillers.

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Type de conseiller

Autorisés par l'OCRCVM

Autorisés par la MFDA

AGG/AG

31%

40%

29%

28%

37%

34%

20112012

Présentation des participants à l’Étude sur les perceptions des conseillers

Les répondants de l’Étude sur les perceptions des conseillers sont représentatifs de trois réseaux de prestation de services.

En 2012, 31 % de l’échantillon étaient des courtiers autorisés par l’OCRCVM (travaillant pour des sociétés membres de l’OCRCVM), 40 %, des courtiers autorisés par la MFDA (travaillant pour des sociétés membres de la MFDA qui ne font pas partie de l’OCRCVM), et 29 %, des agents généraux de gestion (AGG) (qui exercent principalement leurs activités dans le secteur de l’assurance, mais dont certains sont autorisés à vendre des fonds communs). Ces chiffres sont similaires aux résultats obtenus l’an dernier. Le questionnaire distribué dans le cadre de l’Étude sur les perceptions des conseillers est divisé en deux parties. La plupart des conseillers ont rempli le questionnaire sur les fonds communs et celui relatif à l’assurance, ceux n’étant autorisés à vendre que l’un ou l’autre de ces produits n’ayant rempli que la partie les concernant.

Les trois quarts (74 %) des conseillers financiers provenant de l’échantillon ont mentionné qu’ils exerçaient depuis 10 ans ou plus, dont plus de la moitié (54 %) depuis 15 ans ou plus. Dix pour cent en sont à leurs premières armes dans la profession et exercent depuis moins de cinq ans.

Nombre d’années d’expérience

Moins de 5 ans

5 à 9 ans

10 à 14 ans

15 ans et plus

9%

16%

21%

54%

10%

16%

20%

54%

20122011

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Région

Données démographiques sur les conseillersRÉPARTITION PAR RÉGION. Chaque année, l’Étude sur les perceptions des conseillers analyse un échantillon varié de conseillers répartis sur l’ensemble du territoire canadien. Cette année, la répartition des conseillers dans les différentes régions du Canada correspond à peu près aux résultats que nous avions obtenus en 2011. Presque un cinquième des conseillers (17 %) exerce ses activités en Ontario, à l’extérieur de la région du Grand Toronto, tandis que près d’un quart (23 %) d’entre eux se concentrent dans la région du Grand Toronto. De même, 17 % des conseillers travaillent en Colombie-Britannique, 11 % en Alberta, et 7 % dans les Prairies (Manitoba et Saskatchewan). Il faut encore ajouter à cela deux répondants sur dix (18 %) travaillant au Québec, et 6 % dans la région de l’Atlantique.

RÉPARTITION PAR SEXE. En 2012, le ratio homme femme était légèrement supérieur à 4 pour 1, ce qui est comparable aux résultats que nous avons obtenus au cours des dernières années. De plus, pour les conseillers de premier plan, le pourcentage de femmes est légèrement à la baisse et est passé de 13 à 11 pour cent. Le nombre de conseillères ayant répondu au sondage est plus élevé en Colombie-Britannique (19 %), dans le Grand Toronto (19 %) et dans les Prairies (19 %), où un répondant sur cinq était une femme. L’incidence de conseillères au Québec est plus faible (15 %).

Total des conseillers

Conseillers de premier plan

2012 2011 2012 2011

Homme 82 83 89 87

Femme 17 17 11 13

Les conseillers de premier plan disposent d’au moins 15 M$ de fonds sous mandat de gestion

C.-B.

AB

MB/SK

Région du Grand Toronto

Extérieur de la région du Grand

Toronto

QC

Atlantique

17%

11%

7%

23%

17%

18%

6%

16%

10%

7%

22%

17%

22%

6%20112012

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6

Démarrage

Croissance

Maturité

Planification de la relève

9%

52%

30%

7%

7%

55%

30%

7%

20112012

PHASE DE L’ENTREPRISE. En 2012, environ sept conseillers sur dix (71 %) exerçant à temps plein étaient âgés de plus de 40 ans. De façon similaire, nous remarquons qu’en moyenne, les conseillers exercent depuis 16,2 ans, une proportion similaire à celle obtenue en 2011.

La plupart des conseillers croient qu’il est possible d’étendre les activités de leur entreprise, alors que plus de la moitié d’entre eux (52 %) considèrent que leur société se trouve dans une phase de croissance et que neuf pour cent des répondants sont d’avis que leur société est à l’étape du démarrage.

Bien que de nombreux conseillers planifient la croissance de leur entreprise, le nombre d’entreprises qui en est à l’étape de la planification de la relève est demeuré stable à sept pour cent (comme en 2011), mais constitue une hausse comparativement aux cinq pour cent de 2009.

Phase de l’entreprise

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Défis auxquels sont confrontés les conseillersCette année, nous avons interrogé les conseillers à propos des défis auxquels ils sont confrontés dans l’industrie des services financiers :

RENDEMENT : Pour bon nombre de conseillers, le rendement du marché est le problème le plus important auquel l’industrie est confrontée. Cela comprend des préoccupations liées à la volatilité et aux mauvais rendements sur les investissements des clients, de même qu’une incertitude dans les marchés financiers et par rapport à l’économie en général.

CONFORMITÉ : Les conseillers jugent les exigences de conformité de l’industrie des services financiers onéreuses et inefficaces. Ils sont frustrés, car le temps consacré à la conformité est du temps en moins qui, de leur avis, pourrait être mieux investi en développant leurs activités et en voyant des clients.

PROBLÈMES LIÉS À LA PRATIQUE : Les conseillers sont confrontés à une myriade de problèmes relativement à la gestion de leur pratique. Ces défis sont notamment la prospection et la planification de la relève, la qualité du service qu’ils reçoivent des sociétés de fonds communs de placement et d’assurance, et leur désir de fournir de bons services de planification financière à leurs clients.

FRAIS ET COÛTS : La concurrence au niveau des coûts est un enjeu pour de nombreux conseillers. Ils ressentent de la pression autant en matière de revenus que de coûts. Bon nombre de conseillers sont frustrés par rapport à la rémunération qu’ils reçoivent des sociétés de fonds communs de placement et d’assurance, de même que par rapport aux coûts élevés des produits (ratios des frais de gestion et primes d’assurance).

Rendement

Conformité

Problèmes liés à la pratique

Frais et coûts

Perceptions de l'industrie

Clients

Concurrence

Produits

Autre

Aucun

30%

27%

17%

9%

9%

7%

7%

3%

2%

1%

Problèmes liés à l’industrie – Réponses textuelles codifiées

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Défis auxquels sont confrontés les conseillers

PERCEPTIONS DE L’INDUSTRIE : De nombreux conseillers estiment que les institutions financières, l’industrie des services financiers et les marchés eux-mêmes ont perdu de la crédibilité aux yeux des investisseurs. Cela comprend des perceptions négatives générées par les médias relativement aux scandales sur les investissements et aux conseillers financiers malhonnêtes.

CLIENTS : Gérer les attentes des clients en ce qui a trait au rendement du marché est un enjeu pour bon nombre de conseillers. De nombreux conseillers sont également frustrés par les attitudes des clients à l’égard de l’épargne et de l’endettement et par leur manque de préparation en vue de la retraite.

CONCURRENCE : Les conseillers sont confrontés à la concurrence de plusieurs réseaux. La concurrence des banques est particulièrement préoccupante, de même que celle des autres conseillers et de l’investissement autonome.

PRODUITS : Les conseillers sont parfois frustrés par la qualité ou le manque de disponibilité des produits, de même que par une prolifération excessive des produits.

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Croissance de la rémunération provenant de services tarifésLa croissance de la rémunération provenant de services tarifés constitue l’une des tendances les plus manifestes étudiées au cours des dernières années dans le cadre de l’Étude sur les perceptions des conseillers. Environ un tiers (30 %) des conseillers de l’industrie ont reçu une rémunération provenant de services tarifés, à un certain degré. Toutefois, cela diffère considérablement selon le type de conseiller. Sept conseillers autorisés par l’OCRCVM sur dix (70 %) reçoivent une rémunération provenant de services tarifés, alors que c’est le cas pour seulement 15 pour cent des conseillers autorisés par la MFDA et pour dix pour cent des conseillers d’AGG. Pour les conseillers autorisés par l’OCRCVM, il s’agit d’une hausse significative par rapport à 2009, alors que seulement 58 pour cent d’entre eux recevait une rémunération provenant de services tarifés.

Chez les conseillers qui reçoivent une certaine rémunération provenant de services tarifés, cela représente 43 % de leurs revenus. La moyenne est plus élevée chez les conseillers autorisés par l’OCRCVM (47 %) que chez les conseillers autorisés par la MFDA (37 %) ou chez les conseillers d’AGG (20 %).

Proportion de conseillers recevant chaque type de

rémunération

Rev. provenant de commissions

Rev. provenant de services tarifés

Primes

Salaire

Autre

91%

30%

22%

16%

3%

92%

29%

22%

13%

3%

Total des conseillers OCRCVM MFDA AGG

2012 2012 2012 2012Revenus provenant de commissions 91 94 83 97

Revenus provenant de services tarifés 30 70 15 10

Primes 22 22 15 32

Salaire 16 13 23 12

Autre 3 3 2 3

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Pourcentage moyen de clients dont la valeur du portefeuille est de :

Moins de 50 000 $

50 000 $ à 100 000 $

100 000 $ à 250 000 $

250 000 $ à 500 000 $

500 000 $ à 1 million $

1 million et plus

22%

21%

23%

18%

10%

5%

22%

22%

23%

18%

10%

5% 20112012

En quoi les fluctuations du marché influencent-elles les valeurs du portefeuille des clients?La valeur des registres des conseillers continue de tenir bon après les pertes importantes de 2009. Cela exclut les AGG/AG, qui ont constaté une baisse de leurs fonds sous mandat de gestion par rapport à 2010.

Si la récession mondiale a eu un impact sur les portefeuilles de nombreux investisseurs en 2009, elle n’a cependant pas considérablement altéré la répartition des valeurs de portefeuille des clients dans le registre du conseiller moyen. C’est encore le cas en ce qui concerne la reprise économique puisque l’on remarque peu de changements dans les proportions de 2012 quant aux valeurs de portefeuille des clients.

Un peu moins du quart des portefeuilles clients relevait de l’une des catégories suivantes : moins de 50 000 $, de 50 000 à 99 999 $ et de 100 000 $ à 249 999 $ (22 %, 21 % et 23 % respectivement), tandis que les 33 % restants dépassent les 250 000 $.

En 2012, environ la moitié des conseillers (49 %) a indiqué avoir au moins un client millionnaire. Toutefois, parmi les conseillers de premier plan (qui disposent d’au moins 15 M$ de fonds communs sous mandat de gestion), environ huit sur dix ont déclaré avoir au moins un client millionnaire (81 %).

Une autre recherche menée par Environics a démontré que seulement un quart des ménages canadiens détenait des actifs financiers de 100 000 $ ou plus, et que seulement 14 pour cent détenait des actifs de 250 000 $ ou plus.

2012 2011 2010

Autorisés par l’OCRCVM

70,6 71,2 67,6

Autorisés par la MFDA

20,0 20,8 21,4

AGG/AG 11,2 12,3 16,8

Moyenne de fonds sous mandat de gestion (en

millions de dollars)

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Quels types de services les conseillers offrent-ils à leurs clients?Les conseillers n’ont pas signalé de changements significatifs dans la prestation de services de planification entre 2012 et 2011.

Alors que neuf conseillers sur dix (86 %) offrent à leurs clients des comptes rendus annuels de leurs plans financiers, cette pratique ne se concrétise que pour six clients sur dix (58 %). De plus, environ les deux tiers des conseillers offrent des conseils en matière de planification de la relève (66 %), de rédaction de plans officiels (63 %) et de fiscalité (64 %), mais seule une petite proportion de leurs clients bénéficie de ces services (30 %, 36 % et 45 % respectivement).

Examen du plan financier annuel

Planification successorale

Rédaction de plans officiels

Conseils fiscaux (autres que ceux relatifs aux déclarations

de revenus)

Planification liée au mode de vie

86%

66%

63%

64%

46%

89%

67%

64%

65%

47%

20112012

Incidence des services de planification offerts aux

clients

Cela suggère que, bien que les conseillers puissent offrir des services tels que des conseils relatifs à la planification successorale et à la planification de la relève, à la fiscalité et à la rédaction de plans financiers officiels, ils demeurent sélectifs quant aux clients auxquels ces services sont offerts; les meilleurs services sont possiblement réservés aux clients ayant les meilleures valeurs en portefeuille.

2012 201158 % 57 %

30 % 30 %

36 % 34 %

45 % 43 %

35 % 33 %

Pourcentage moyen des clients recevant les

services

Page 12: Étude 2012 sur les perceptions des conseillers Rapport à l’intention des conseillers participants

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Gérer l’offre

Les conseillers examinent attentivement les sociétés de fonds qu’ils incluent à leur offre de produits. Ils doivent équilibrer l’avantage d’offrir un bon éventail de fonds communs de placement à leurs clients et les coûts et risques liés à la recherche et à l’ajout de nouveaux fonds à leur offre. Depuis plusieurs années, notre étude montre que de nombreux conseillers cherchent à réduire le nombre de sociétés de placement compris dans leur offre afin de simplifier leurs activités et de minimiser les fardeaux en matière de réglementation et d’administration.

En 2012, les conseillers vendant des fonds communs ont déclaré vendre une moyenne de 5,1 sociétés de fonds. Il est intéressant de souligner que tandis que les conseillers projettent de réduire leur offre de produits en 2013, ils ne l’ont pas fait en 2012, contrairement à leur prédiction de 2011 qui suggérait qu’ils réduiraient leur offre de produits dans l’année à venir.

Total des conseillers

Autorisés par

l’OCRCVM

Autorisés par la MFDA

AGG/AG

2012 2011 2012 2011 2012 2011 2012 2011

Nbre moyen de sociétés de fonds incluses

5,1 5,0 5,3 5,3 5,3 5,2 3,8 4,3

La force de la corrélation entre la pénétration commerciale et le volume des portefeuilles devient évidente lorsqu’on examine le pourcentage moyen de ventes en fonction du classement. En 2012, la société de fonds communs de placement la plus vendue par un conseiller représentait 50 % de ses ventes totales en moyenne. En comparaison, la société la plus vendue au deuxième rang représentait seulement une moyenne de 22 pour cent des ventes totales du conseiller, et s’ensuit une chute accélérée des résultats. Étant donné que les conseillers préfèrent vendre un nombre limité de fonds, les sociétés qu’ils classent au premier rang sont grandement récompensées. Autrement dit, si vous n’êtes pas parmi les meilleures sociétés, vous n’êtes pas dans la course. C’est aussi vrai pour le secteur des assurances, où les primes d’assurance-vie les plus vendues représentaient 68 % des ventes en 2012, tandis que les deuxièmes primes les plus vendues représentaient 20 % des ventes. Il est essentiel que les sociétés de fonds misent sur la fidélité des conseillers afin de s’assurer de leur soutien.

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Cinq principaux facteurs pour les conseillers (classement moyen sur 10)

Qualité des gestionnaires de fonds

Rendement des produits

Résolution rapide des problèmes

Rendement constant

Offre de produits cor-respondant aux besoins

des clients

8.9

8.9

8.7

8.7

8.5

Quels facteurs incitent un conseiller à inclure une entreprise dans son portefeuille?

Dans le cadre de l’Étude sur les perceptions des conseillers, on demande aux participants de classer les sociétés de fonds communs de placement et les compagnies d’assurance selon 24 critères. Ils doivent également classer ces critères par ordre d’importance, de façon à ce que nous puissions comparer le rendement de l’industrie en fonction des critères auxquels les conseillers accordent le plus d’importance.

Les participants ont fait savoir que leur décision reposait à la fois sur le rendement et sur les services administratifs. Plus précisément, les conseillers jugent qu’il est très important qu’une société de fonds dispose de gestionnaires de fonds de qualité supérieure, capables d’obtenir des résultats homogènes, de même que d’un personnel administratif compétent qui soit en mesure de réduire l’incidence de problèmes liés aux transactions et de résoudre rapidement ceux-ci lorsqu’ils se présentent.

Bien que des ratios de frais de gestion appropriés soient au cœur de l’ensemble des critères jugés importants, ce critère a fait un bond de 7,3 à 7,7, le mouvement le plus important dans l’évaluation de nos critères. Cela est particulièrement perceptible chez les conseillers autorisés par l’OCRCVM, et suggère que les clients sensibles aux frais forceront les conseillers à être plus sélectifs relativement aux ratios de frais de gestion.

En 2012, 51 pour cent des conseillers ont considérablement augmenté leurs activités avec une société de fonds. Un tiers (34 %) des conseillers affirment que cette hausse est liée au rendement global des fonds. Un quart (26 %) des conseillers indiquent qu’ils ont augmenté leurs activités en raison de la qualité et du soutien du grossiste, tandis que 15 pour cent d’entre eux soulignent la qualité des gestionnaires de fonds. Les conseillers ont également mentionné le service à la clientèle (8 %) et l’accès à des produits précis (6 %).

Principales raisons liées à l’augmentation des activités avec les sociétés de fonds communs de placement

Rendement des fonds

Qualité/soutien du grossiste

Gestionnaires de fonds

Service à la clientèle

Accès à des produits précis

34%

26%

15%

8%

6%

Page 14: Étude 2012 sur les perceptions des conseillers Rapport à l’intention des conseillers participants

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Les 10 meilleures sociétés de portefeuille

en fonction de la pénétration commerciale

Fidelity

Fonds communs Dynamique

Placements CI

Mackenzie

Fonds AGF

Fonds communs TD

Invesco Trimark

Franklin Templeton

IA Clarington

Fonds communs Manuvie

57%

50%

47%

42%

34%

34%

31%

25%

22%

22%

58%

53%

48%

45%

39%

34%

30%

26%

20%

21%

2011

2012

Quels résultats ont obtenus les meilleures sociétés?SOCIÉTÉS DE FONDS COMMUNS DE PLACEMENT. Les fonds communs de placement de Fidelity et de Dynamique figurent au premier rang de l’industrie pour ce qui est de la pénétration commerciale. Toutefois, tandis que Fidelity, chef de file de l’industrie, a conservé son avance en matière de pénétration, Dynamique a perdu du terrain, avec la moitié (50 %) des conseillers ayant indiqué avoir vendu les fonds Dynamique au cours des 12 derniers mois; ce chiffre est à la baisse comparativement aux 53 pour cent obtenus en 2011. Au troisième rang (47 %), CI continue de perdre du terrain, accusant une chute par rapport aux chiffres de 2009 (53 %).

En 2012, nous avons constaté l’émergence de deux nouvelles tendances – la pénétration croissante de sociétés plus récentes et plus petites telles que Sentry Investissements et Investissements Russell, et le renforcement des sociétés de fonds associées à des banques. Cela est survenu au même moment qu’un ralentissement de la pénétration des grandes sociétés de fonds indépendantes traditionnelles. Les plus petites sociétés qui sont populaires auprès des conseillers sont celles qui fournissent des produits spécialisés aux clients et ont offert un rendement exceptionnel au cours des dernières années. À l’autre extrémité du spectre, les grandes banques, ayant survécu à la crise financière de façon si impressionnante, attirent des clients grâce à leur réputation en matière de stabilité et d’intégrité. Nous prévoyons que ces tendances vont se poursuivre à l’avenir, et qu’elles auront un impact significatif sur le paysage de l’industrie des services financiers au Canada.

Page 15: Étude 2012 sur les perceptions des conseillers Rapport à l’intention des conseillers participants

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Cinq principales sociétés de FCB chez les

conseillers vendant des FCB

iShares

Claymore

BMO

Horizons

Invesco PowerShares

76%

48%

44%

26%

21%

SOCIÉTÉS DE FCB. Les fonds cotés en bourse (FCB) constituent un segment d’investissement à croissance rapide. En 2012, 43 pour cent des conseillers autorisés par l’OCRCVM ont indiqué vendre des FCB, une hausse par rapport au chiffre de 39 pour cent obtenu en 2009. Particulièrement favorisés par ceux cherchant à faire correspondre un indice, les FCB trouvent une place de plus en plus importante dans les portefeuilles des clients, que ce soit pour un investissement dans des produits de base ou spécialisés.

Les iShares de BlackRock figurent en premier rang du marché parmi les conseillers autorisés par l’OCRCVM vendant des FCB. Les trois quarts (76 %) des conseillers offrent des iShares à leurs clients. Assez loin derrière, les fonds Claymore (appartenant également à BlackRock) sont offerts par la moitié (48 %) des conseillers. Les sociétés BMO (44 %) et Horizons (26 %) ont également été mentionnées. La société Invesco PowerShares bénéficie également d’une présence considérable (21 %), et a le mérite d’avoir contribué à revigorer la marque Invesco Trimark.

Page 16: Étude 2012 sur les perceptions des conseillers Rapport à l’intention des conseillers participants

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Les 10 meilleures compagnies d’assurance

en fonction de la pénétration commerciale des primes d’assurance-

vie

Manuvie

Canada-Vie

Empire Vie

Transamerica Vie

RBC Assurances

Industrielle Alliance

BMO/AIG

Assurance vie Équitable

Sun Life

Desjardins

60%

38%

31%

27%

26%

26%

24%

20%

12%

10%

59%

41%

34%

27%

24%

24%

13%

19%

12%

9%

20112012

COMPAGNIES D’ASSURANCE. En ce qui concerne le secteur de l’assurance, Manuvie a conservé sa position de chef de file en 2012, avec 60 pour cent des conseillers ayant déclaré avoir vendu les produits d’assurance de Manuvie au cours des 12 derniers mois.

En 2012, nous avons constaté une baisse chez certaines sociétés de l’industrie. Canada-Vie a perdu du terrain (38 %, une baisse par rapport aux 41 % de 2011), de même que Empire Vie (31 % en 2012, une baisse par rapport aux 34 % de 2011. Nous avons également remarqué, au cours de la dernière année, des changements liés à la pénétration, ce qui est conforme à la tendance générale de croissance des sociétés d’assurance associées aux banques. RBC Assurances a été vendue par un quart des conseillers (26 %, une hausse par rapport aux 24 % de 2011), et avec la récente acquisition, BMO/AIG a fait un bond de 13 pour cent à 24 pour cent en matière de pénétration.

Page 17: Étude 2012 sur les perceptions des conseillers Rapport à l’intention des conseillers participants

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Notation générale des sociétés (moyenne sur

dix)Perception des meilleures sociétésSOCIÉTÉS DE FONDS COMMUNS DE PLACEMENT. Reflétant l’excellente pénétration commerciale effectuée par Fidelity en 2012, les conseillers lui ont encore une fois attribué la meilleure notation générale de l’Étude sur les perceptions des conseillers de cette année (6,9 sur 10, ce qui est près du chiffre de 7,0 obtenu en 2011). Nouvelle dans l’étude de 2012, la société Sentry Investissements a obtenu une impressionnante deuxième place grâce à sa note de 6,4. Alors qu’en 2012 Sentry obtient seulement 15 pour cent en matière de pénétration commerciale, cette note très élevée augure bien pour son avenir, et suggère une meilleure pénétration dans l’année à venir. Investissements Russell, une autre petite société, fait également très bonne figure (6,2, une hausse par rapport à la note de 5,9 obtenue en 2011).

L’histoire de redressement marquante en 2012 est le succès de Invesco Trimark dont la note est passée de 4,7 en 2011 à 5,4 cette année. Des gains de cette ampleur pourraient se traduire par une pénétration commerciale accrue en 2013. La société Placements NEI a également fait des gains (5,0 à 5,4).

Fidelity

Sentry Investissements

Fonds communs Dynamique

Investissements Russell

Fonds communs TD

Placements CI

IA Clarington

Standard Life

Mackenzie

Fonds communs RBC

Banque Nationale

Fonds communs Manuvie

Nord-Ouest et Éthiques

Invesco Trimark

Franklin Templeton

Fonds BMO/Guardian

CIBC Renaissance

Fonds AGF

6.9

6.4

6.3

6.2

6.1

6.0

6.0

5.9

5.8

5.7

5.6

5.5

5.4

5.4

5.3

5.2

4.9

4.3

7

6.9

5.9

6.2

6

5.8

5.7

5.9

5.7

5.7

5.6

5

4.7

5.3

5

4.7

4.9

20112012

Page 18: Étude 2012 sur les perceptions des conseillers Rapport à l’intention des conseillers participants

18

Notation générale des sociétés (moyenne sur

dix)COMPAGNIES D’ASSURANCE. Manuvie a conservé une forte avance dans les notations globales des sociétés, avec 6,8 sur 10 (une baisse comparativement au chiffre de 6,9 obtenu en 2011, au chiffre de 7,0 obtenu en 2010 et au chiffre de 7,2 obtenu en 2009). Standard Life a obtenu une deuxième place au classement, en raison des évaluations élevées obtenues par sa division de fonds distincts. La Great-West, Canada-Vie et Sun Life complètent le palmarès des cinq principales sociétés.

Plusieurs sociétés ont vu leurs évaluations chuter cette année. Les sociétés Empire Vie (6,2, une baisse par rapport au chiffre de 6,5 de 2011) et RBC Assurances (5,6, une baisse par rapport à la note de 5,9 en 2011) ont toutes les deux constaté des baisses. Cela pourrait se traduire par une pénétration commerciale plus faible dans l’année à venir.

Manuvie

Standard Life

Great-West, compagnie d’assurance-vie

Canada-Vie

Sun Life

MOYENNE

Empire Vie

Desjardins

Industrielle Alliance

Assurance vie Équitable

Transamerica Vie

RBC Assurances

BMO/AIG

6.8

6.7

6.6

6.4

6.3

6.2

6.2

6.2

6.0

6.0

5.9

5.6

5.5

6.9

6.6

6.6

6.5

6.5

6.4

6.5

6.2

6.1

6.2

5.8

5.9

5.6

20112012

Page 19: Étude 2012 sur les perceptions des conseillers Rapport à l’intention des conseillers participants

19

Se-ries1

21%

10%

10%

9%

2%

1%

32%

39%

39%

23%

12%

8%

4% ÉnormémentAssez

Advisor’s Edge/Advisor’s Edge Report

Globe & Mail/ Report on Business

Investment Executive

National Post/Financial Post

Investors’ Digest

New York Times

Le Devoir

53 %

Utilisation nette :

49 %

49 %

32 %

14 %

9 %

5 %/12 % au Qc

Autres mentions :• Advocis Forum• Barron’s• Bloomberg• The Economist• La Presse• Les Affaires• Wall Street Journal• Sociétés de fonds

communs de placement

• Sa propre société

Médias imprimés Sources auxquelles les conseillers se fient énormément

ou assez

Quelles sources les conseillers utilisent-ils pour se tenir informés quant aux produits, sociétés ou tendances de l’industrie?Lorsqu’on les a interrogés sur les sources qu’ils utilisaient pour se tenir informés quant aux produits, sociétés ou tendances de l’industrie, les conseillers ont clairement répondu qu’ils avaient recours à une assez grande variété de ressources. Parmi ces sources, on en trouve qui s’adressent précisément aux conseillers, et d’autres plus vastes qui s’adressent également aux investisseurs amateurs et à la communauté financière en général.

MÉDIAS IMPRIMÉS. Malgré l’éventail de ressources disponibles, plusieurs se démarquent du lot comme étant davantage utilisées par les conseillers. Parmi ces principales mentions en lien avec les médias imprimés, citons le Globe and Mail, Advisor’s Edge, Investment Executive et le National Post.

Au Québec, Le Devoir est une source à laquelle se fient énormément les conseillers.

Page 20: Étude 2012 sur les perceptions des conseillers Rapport à l’intention des conseillers participants

20

Series1 22%

18%

14%

13%

10%

10%

6%

2%

33%

34%

31%

38%

22%

31%

21%

10%

7%

3% ÉnormémentAssez

globeadvisor.ca

globeandmail.com/ globeinvestor.com

morningstar.ca

advisor.ca

bloomberg.com

nationalpost.com/ financialpost.com

investmentexecutive.com

advisoranalyst.com

ledevoir.com

55 %

Utilisation nette :

52 %

45 %

51 %

32 %

41 %

28 %

13 %

9 %

Autres mentions :• CNBC.com• Google Finance• Reuters.com• Seekingalpha.com• Yahoo.com/Finance• Marketwatch.ca• Retirehappy.ca• Zerohedge

Médias en ligne Sources auxquelles les conseillers se fient énormément

ou assez

MÉDIAS EN LIGNE. Il est évident que les conseillers se fient énormément aux ressources en ligne dans leurs efforts pour se tenir au courant de ce qui se passe dans l’industrie, et ils en ont identifié une panoplie. Entre les ressources en ligne, les ressources imprimées et les ressources télévisées, les conseillers sont plus susceptibles de se fier principalement aux ressources en ligne pour obtenir de l’information, et sont également plus susceptibles de choisir des ressources en ligne de façon générale. De plus, bon nombre de conseillers profitent des offres en ligne que proposent plusieurs de leurs médias imprimés préférés.

Les principales mentions en lien avec les médias en ligne comprennent : •Globeandmail.com/Globeadvisor.ca•Morningstar.ca•Advisor.ca•Bloomberg.com•Investmentexecutive.com •Nationalpost.com

Au Québec, ledevoir.com est également une source à laquelle se fient énormément les conseillers.

fundlibrary.com

4 %/10 % au Qc

Page 21: Étude 2012 sur les perceptions des conseillers Rapport à l’intention des conseillers participants

21

Series1 16%

5%

30%

22%

Énormément Assez

Business Network News (BNN)

CNN Money

46 %

27 %

Autres mentions :• BBC Business Report• Bloomberg TV• Canal Argent• CBC/Newsworld• CNBC• MSNBC

Utilisation nette :

Médias télévisés Sources auxquelles les conseillers se fient énormément

ou assez

MÉDIAS TÉLÉVISÉS. Contrairement à ce qui se produit avec les médias en ligne et imprimés, les conseillers se fient beaucoup moins aux médias télévisés pour se tenir informés des produits, sociétés et tendances de l’industrie.

Les principales mentions en lien avec les médias télévisés comprennent les chaînes Business Network News et CNN Money, avec la moitié des conseillers qui se fient énormément (15 %) ou assez (28 %) à la chaîne Business Network News.

Page 22: Étude 2012 sur les perceptions des conseillers Rapport à l’intention des conseillers participants

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Quelles sont les retombées pour 2013?L’industrie financière traverse une période d’énormes changements. L’évolution des institutions financières, des produits financiers et de la rémunération des conseillers modifiera de façon fondamentale le paysage de l’industrie à l’avenir.

Dans l’Étude 2012 sur les perceptions des conseillers, nous avons constaté une pénétration accrue et des gains incrémentiels dans les évaluations des sociétés de fonds associées à des banques, de même que dans les évaluations des sociétés de fonds spécialisés de petite taille. Ayant résisté à la crise financière, les banques ont acquis une réputation de stabilité et leurs ratios de frais de gestion plus faibles sont en accord avec la sensibilité croissante des conseillers relativement aux coûts cette année. Toutefois, les sociétés de fonds indépendantes traditionnelles conservent une base d’appuis solide et ne sont pas prêtes à céder leur part du marché.

Cette année a marqué l’arrivée d’une nouvelle société de fonds – Sentry Investissements – dans notre liste de sociétés de fonds. Sentry a connu une croissance considérable fondée sur un solide rendement de ses fonds et l’obtention du prix Lipper pour une deuxième année consécutive. La croissance continue de cette société dépendra de sa stabilité à continuer d’offrir le surrendement que les conseillers s’attendent désormais d’elle. En plus de ceux de Sentry, les conseillers utilisent davantage les produits de petites sociétés de fonds pour compléter et personnaliser les portefeuilles de leurs clients. Pour de plus amples renseignements, n’hésitezpas à communiquer avec :David MacDonald, MBA, CMRPVice-président du Groupe, Services financiers Groupe de recherche Environics33, rue Bloor Est, bureau 900Toronto, Ontario, M4W 3H1Tél. : 416-920-9010Courriel : [email protected]

La croissance de la rémunération provenant de services tarifés s’est poursuivie en 2012. Les conseillers se tournent de plus en plus vers les options liées aux services tarifés. En grande partie grâce à l’attention des médias sur le sujet, les clients sont préoccupés par le montant des paiements à la commission de même que par les conseils partiaux potentiels. L’accent sur les commissions et les frais va probablement se poursuivre, car certains intervenants du gouvernement et de l’industrie continuent de réclamer de meilleures restrictions réglementaires en ce qui a trait à la rémunération des conseillers.

Les conseillers financiers seront confrontés à un certain nombre de défis au cours de la prochaine année. Les conseillers indiquent qu’ils sont principalement préoccupés par le rendement du marché, alors que l’économie et les marchés financiers continuent de rétablir la stabilité et la croissance. Les préoccupations des conseillers à propos des ratios de frais de gestion ont monté en flèche cette année alors que les clients continuent de mettre de la pression en ce qui a trait aux coûts. Cela s’est également reflété sur la popularité croissante des FCB, qui sont perçus comme offrant une solution de rechange à moindre coût aux fonds communs de placement traditionnels. Ces importantes préoccupations à propos des frais provenant à la fois des conseillers et des clients devraient persister au cours de la prochaine année, particulièrement si le rendement du marché continue de stagner.

À propos de ce rapportCe rapport est préparé exclusivement pour les conseillers qui ont partagé leurs points de vue dans le cadre de l’Étude 2012 sur les perceptions des conseillers et ne doit pas être mis en circulation sans la permission du Groupe de recherche Environics.