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N° 32 2018 ETAPE www.departement06.fr PETITE ENFANCE EN DIRECT DU DÉPARTEMENT Dans ce contexte et à l’initiative de Charles Ange GINÉSY, Président du Conseil départemental, l’assemblée départementale a voté le 8 décembre 2017, de nouvelles dispositions favorisant l’accès au métier d’assistants familiaux et revalorisant les indemnités relatives à la prise en charge des enfants confiés. Le salaire moyen d’un assistant familial est de 1 750 € net (environ). Les montants, attribués sous conditions de recevabilité de la demande, au bénéfice des assistants familiaux agréés, figurent ci-dessous : Pour l’accès au métier : • Création de 2 primes pour : 1 - La sécurisation des conditions d’accueil de l’enfant lors de la délivrance de l’agrément à concurrence de 2 000 2 - l’aménagement de l’habitation principale en vue de l’extension de la capacité d’accueil à concurrence de 4 000 Pour la prise en charge des enfants confiés : • la prime journalière d’entretien est revalorisée à hauteur de 16 € ou 17 € par jour en fonction de l’âge de l’enfant. • Revalorisation de la prime pour l’installation du 1 er enfant à concurrence de : - âge de 0 à 3 ans : 600 € - âge de 3 à 18 ans : 400 € Dans le cadre de la mission de protection de l’enfance, le Département lance une campagne de recrutement du métier d’assistant familial. ASSISTANT FAMILIAL, LE DÉPARTEMENT RECRUTE ! ÉDITO Les missions d’action sociale pour l’enfance occupent depuis la décentralisation une place très importante dans les compétences du Département. Avec un budget de 106,6Men 2018, près de 800 agents pleinement mobilisés -assistants sociaux, assistants familiaux, éducateurs spécialisés, psychologues, médecins, infirmières, puéricultrices, sages-femmes, conseillers en économie sociale et familiale, cadres administratifs-, et 143 points d’accueil répartis sur l’ensemble des Alpes-Maritimes, le Département soutient les familles et les enfants qui en ont besoin dans de très nombreux domaines : la protection maternelle et infantile, l’accueil des tout-petits, l’adoption, la prévention et la protection de l’enfance en danger à travers la prise en charge par des assistants familiaux ou en établissements, ou encore la lutte contre le désoeuvrement, l’absentéisme scolaire et les incivilités dans les quartiers sensibles. Le développement de l’enfant, du plus jeune âge à la maturité, est en effet une alchimie qui nécessite la coordination optimale des parents et des professionnels impliqués, ainsi que la prise en compte de tous les facteurs indispensables à son bien-être. À travers cette publication consacrée aux tout-petits, je veux très sincèrement remercier l’ensemble des acteurs engagés dans cette tâche difficile qu’est l’action sociale pour l’enfance, humainement souvent bouleversante mais tellement nécessaire dans un monde parfois brutal envers les plus fragiles. CHARLES ANGE GINÉSY Président du Département des Alpes-Maritimes Pour obtenir de plus amples informations, vous pouvez contacter l’équipe au Conseil départemental en charge des assistants familiaux au 04 97 18 78 63 ou à l’adresse www.departement06.fr au parcours de vie d’un enfant en étant soutenu par une équipe pluridisciplinaire Participez

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N° 32 2 0 1 8

E T A P Ew w w . d e p a r t e m e n t 0 6 . f r

PETITE ENFANCE

E N D I R E C T D U D É P A R T E M E N T

Dans ce contexte et à l’initiative de Charles Ange GINÉSY, Président du Conseil départemental, l’assemblée départementale a voté le 8 décembre 2017, de nouvelles dispositions favorisant l’accès au métier d’assistants familiaux et revalorisant les indemnités relatives à la prise en charge des enfants confiés.

Le salaire moyen d’un assistant familial est de 1 750 € net (environ).

Les montants, attribués sous conditions de recevabilité de la

demande, au bénéfice des assistants familiaux agréés, figurent ci-dessous :

Pour l’accès au métier :

• Création de 2 primes pour :

1 - La sécurisation des conditions d’accueil de l’enfant lors de la délivrance de l’agrément à concurrence de 2 000 €

2 - l’aménagement de l’habitation principale en vue de l’extension de la capacité d’accueil à concurrence de 4 000 €

Pour la prise en charge des enfants confiés :

• la prime journalière d’entretien est revalorisée à hauteur de 16 € ou 17 € par jour en fonction de l’âge de l’enfant.

• Revalorisation de la prime pour l’installation du 1er enfant à concurrence de :

- âge de 0 à 3 ans : 600 €

- âge de 3 à 18 ans : 400 €

Dans le cadre de la mission de protection de l’enfance, le Département lance une campagne de recrutement du métier d’assistant familial.

ASSISTANT FAMILIAL, LE DÉPARTEMENT RECRUTE !

É D I T OLes missions d’action sociale pour l’enfance occupent depuis la décentralisation une place très importante dans les compétences du Département.

Avec un budget de 106,6M€ en 2018, près de 800 agents pleinement mobilisés -assistants sociaux, assistants familiaux, éducateurs spécialisés, psychologues, médecins, infirmières, puéricultrices, sages-femmes, conseillers en économie sociale et familiale, cadres administratifs-, et 143 points d’accueil répartis sur l’ensemble des Alpes-Maritimes, le Département soutient les familles et les enfants qui en ont besoin dans de très nombreux domaines : la protection maternelle et infantile, l’accueil des tout-petits, l’adoption, la prévention et la protection de l’enfance en danger à travers la prise en charge par des assistants familiaux ou en établissements, ou encore la lutte contre le désoeuvrement, l’absentéisme scolaire et les incivilités dans les quartiers sensibles.

Le développement de l’enfant, du plus jeune âge à la maturité, est en effet une alchimie qui nécessite la coordination optimale des parents et des professionnels impliqués, ainsi que la prise en compte de tous les facteurs indispensables à son bien-être.

À travers cette publication consacrée aux tout-petits, je veux très sincèrement remercier l’ensemble des acteurs engagés dans cette tâche difficile qu’est l’action sociale pour l’enfance, humainement souvent bouleversante mais tellement nécessaire dans un monde parfois brutal envers les plus fragiles.

CHARLES ANGE GINÉSY Président du Département des Alpes-Maritimes

Pour obtenir de plus amples informations, vous pouvez contacter l’équipe au Conseil départemental en charge des assistants familiaux au 04 97 18 78 63 ou à l’adresse www.departement06.fr

au parcours de vie d’un enfant en étant soutenu par une équipe pluridisciplinaire

Participez

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L E D O S S I E R D E S A I S O N

ENFANTS EXPOSÉS AUX VIOLENCES INTRAFAMILIALES : QUELLES CONSÉQUENCES SUR LEUR DÉVELOPPEMENT ?

Geneviève IRONDELLE, psychologue clinicienne Service Départemental de PMI

En France, en 2016, une femme décède tous les 3 jours, victime de son

conjoint ; 60 % des enfants ont moins de 6 ans et sont présents lors de scènes conjugales.L’enfant exposé à la violence intrafamiliale est le témoin de la violence à l’œuvre entre les personnes assurant une fonction parentale, qu’elles vivent ou non sous le même toit. Il s’agit le plus souvent du père et de la mère, mais parfois c’est le beau-père ou le frère aîné qui sont les auteurs. Il faut remarquer

qu’il arrive également que des hommes soient victimes de la violence de leur conjoint. Ces violences peuvent être physiques, sexuelles, verbales ( insultes , humil iat ions) , psychologiques (chantages, manipulations), économiques. Soumises à des mécanismes d’emprise, les mères envahies par la peur et la honte gardent le silence. Ces violences sont cachées et c’est pourquoi la souffrance de l’enfant, réduit à un statut d’objet et non plus de sujet, est repéré tardivement. De plus, les enfants de 0 à 3

ans, qui ne sont pas encore scolarisés et qui vivent dans le huis-clos familial, sont encore plus exposés.Il est fondamental de faire la distinction entre le désaccord et la violence. Le désaccord fait partie de la vie, il permet à l’enfant de comprendre qu’on peut avoir des avis différents donnant lieu à des discussions, voire des colères très vives, tout en respectant l’autre.Le désaccord ouvre l’enfant à l’altérité. En revanche, lorsque la discussion tourne à l’humiliation, l’insulte,

LA BOÎTE À IDÉES Que se passe-t-il ce matin au Relais ?

En plus des espaces habituels, les poupées, les livres, le coin bébés, des modules de motricité ont été installés, observons…

Certains enfants évoluent librement (ramper, rouler, escalader...) tandis que d’autres préfèrent rejoindre l’espace dînette ou poupée.

Un enfant, lui, exprime son désir d’aller à la rencontre d’une autre assistante maternelle : il a envie de parcourir un album jeunesse avec elle, s’installe dans ses bras...il parait serein et confiant.

Ainsi, le jeune enfant est libre d’agir selon son envie, son désir du moment... Il expérimente, recommence ; il découvre ses limites et ses capacités. Il prend confiance en lui.

En fin de matinée, nous nous rassemblons tous petits et grands, assis ou allongés, volets fermés, pour chanter, faire des jeux de doigts, des comptines, pour un retour au calme tout en douceur…

Grâce à une attitude bienveillante et sécurisante, à l’observation attentive du comportement de chaque enfant, les professionnels s’adaptent aux rythmes et aux besoins de chacun sans vouloir imposer, ni apprendre à faire... n

Florence et Nicole, assistantes maternelles

de La Colle-sur-Loup

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V O T R E Q U O T I D I E Nl’agression, elle se transforme en violence. L’intégrité physique et psychique est atteinte et la parole ne fait plus tiers, laissant démunis ceux pour qui le langage est le premier outil de communication.Lorsque des scènes d’agression répétées se passent devant ses yeux, l’enfant se retrouve dans un état d’agonie psychique, du fait que l’attaque vient d’un adulte censé le protéger sur l’autre adulte qui est pour

lui un repère sécurisant. La violence intrafamiliale altère la confiance du jeune enfant dans ses supports d’attachement, perturbant ainsi le processus de séparation-individualisation. Or, c’est grâce à la qualité du lien que l’enfant va pouvoir se constituer une sécurité de base et une estime de soi lui permettant d’aller à la découverte du monde, des apprentissages et de la réussite.Chez l’enfant plus grand, l ’absence totale de communication entre les parents le propulse dans deux mondes hermétiques qui entraînent chez lui un clivage nocif pour son psychisme. L’enfant est obligé de renoncer à ses propres désirs pour se protéger. Il risque aussi de s’identifier au parent violent et de le devenir à son tour, et penser que la violence est la façon de résoudre les conflits dans l’intimité de la famille. Sur le plan neurologique, le stress répété et intense abîme les structures cérébrales fondamentales et bloque le processus de plasticité* à la base des progressions du bébé. Plus l’enfant est jeune, plus les risques sont grands car il n’a pas encore acquis les capacités intellectuelles, langagières et mentales qui lui permettent de se protéger. Il présente alors des signes de souffrances comme l’irritabilité, la fuite

du regard, le comportement d’agrippement, les troubles du sommeil, l’hypervigilance, le repli, le babil traumatique, les pleurs, l’arrêt des jeux, les troubles somatiques.Il est important que les professionnels de l’enfance puissent accueillir la parole de ces mères qui vivent dans la terreur et ne parviennent plus à s’occuper correctement de leur bébé. Le soutien de la mère pour protéger l’enfant est indispensable. De même, la finesse du repérage du contexte de violence et des signes de souffrance de la mère et de l’enfant permettra au professionnel de signaler les difficultés et mobiliser le système d’accompagnement de ces situations.En conclusion, s’il faut se garder de réduire ces familles au statut de victime, la mise en place d’un maillage humanisant autour d’elles, permettra peut-être de rompre la répétition et de s’ajuster à « hauteur d’enfant ». n

* Définition : la plasticité neuronale ou cérébrale est un terme utillisé en médecine pour désigner les mécanismes de l'apprentissage et de la mémorisation. Les neurones et leurs connexions sont constamment en changement, en se construisant ou en se détruisant. Cette faculté est visible tout au long de la vie, de l'embryon à la vie d'adulte et lors de lésions cérébrales. Le cerveau est malléable et cette malléabilité lui permet de se configurer et se reconfigurer à l'infini, modifiant la forme de son réseau neuronal en réponse à un stimulus extérieur.

Dix grands principes pour grandir en toute confiance1 Pour grandir sereinement, j’ai besoin que l’on m’accueille quelle que soit ma situation ou celle de ma famille.

2 J’avance à mon propre rythme et je développe toutes mes facultés en même temps : pour moi, tout est langage, corps, jeu, expérience. J’ai besoin que l’on me parle, de temps et d’espace pour jouer librement et pour exercer mes multiples capacités.

3 Je suis sensible à mon entourage proche et au monde qui s’offre à moi. Je me sens bien accueilli(e) quand ma famille est bien accueillie, car mes parents constituent mon point d’origine et mon port d’attache.

4 Pour me sentir bien et avoir confiance en moi, j’ai besoin de professionnel(le.s) qui encouragent avec bienveillance mon désir d'apprendre, de me socialiser et de découvrir.

5 Je développe ma créativité et j’éveille mes sens grâce aux expériences artistiques et culturelles. Je m’ouvre au monde par la richesse des échanges interculturels.

6 Le contact réel avec la nature est essentiel à mon développement.

7 Fille ou garçon, j’ai besoin que l’on me valorise pour mes qualités personnelles, en dehors de tout stéréotype. Il en va de même pour les professionnel(le)s qui m’accompagnent. C’est aussi grâce à ces femmes et à ces hommes que je construis mon identité.

8 J’ai besoin d’évoluer dans un environnement beau, sain et propice à mon éveil.

9 Pour que je sois bien traité(e), il est nécessaire que les adultes qui m’entourent soient bien traités. Travailler auprès des tout-petits nécessite des temps pour réfléchir, se documenter et échanger entre collègues et avec d'autres intervenants.

10 J’ai besoin que les personnes qui prennent soin de moi soient bien formées et s’intéressent aux spécificités de mon très jeune âge et de ma situation d'enfant qui leur est confié par mon ou mes parents. n

CHARTE NATIONALEPOUR L’ACCUEIL DU JEUNE ENFANTLe ministère a publié la charte nationale pour l’accueil du jeune enfant. Elle s’adresse à tous les professionnels de l’accueil du jeune enfant. Elle pose les conditions d’une identité professionnelle commune et implique l’engagement de chacun à proposer un accueil bienveillant, respectant le développement, la sensibilité de l’enfant et la diversité des familles.

V O T R E S A N T É

Chaque printemps, la grippe, la gastro-entérite et la bronchiolite touchent

des millions de personnesLE GESTE À ADOPTER : LE LAVAGE RÉGULIER DES MAINS

Pourquoi ? Pour limiter la transmission des germes.Quand ? Après s’être mouché, avoir toussé ou éternué, après avoir rendu visite à une personne malade, après chaque sortie à l’extérieur, après avoir été aux toilettes, après avoir changé la couche d’un enfant, avant de préparer les repas, de les servir ou de les prendre.

Comment ? Utiliser de l’eau et un savon liquide pendant trente secondes, frotter les ongles et le bout des doigts, la paume et l’extérieur des mains, les jointures des doigts et les poignets, se sécher avec un support à usage unique. Réserver la solution hydro alcoolique quand le lavage des mains n’est pas possible.Pour en savoir plus :

• http://inpes.santepubliquefrance.fr/CFESBases/catalogue/pdf/912.pdf • http://inpes.santepubliquefrance.fr/CFESBases/catalogue/pdf/1684.pdf • http://inpes.santepubliquefrance.fr/CFESBases/catalogue/detailTPSP.asp?numfiche=1240

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Directeurs de publication : C. NOEL-DU-PAYRAT - É. LACROIX - Rédaction : DIRECTION DES SOLIDARITÉS HUMAINES - Infographie : A. CEILLIER - Département des Alpes-Maritimes - B.P. 3007 - 06201 NICE CEDEX 3. ISSN 2104-0567 - Dépôt légal : décembre 2009 - Crédits photos : © DEPARTEMENT06 / ISTOCK.Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès, de rectification ou d’opposition aux informations qui vous concer nent, que vous pouvez exercer en vous adressant, par voie postale, au Correspondant Informatique et Liberté - Département des Alpes-Maritimes - B.P. 3007 - 06201 Nice CEDEX 3.

ETAPEPETITE ENFANCE

Écrire à charles ange ginÉsY, Président du Département des Alpes-Maritimes

BP 3007 • 06201 Nice CEDEX 3 Tél. : 04 97 18 60 00

courriel : [email protected] www.departement06.fr

A G E N D A

Numéros de téléphone et sites Internet utiles • Caisse d’Allocations Familiales : www.caf.fr

Tél. 0 820 25 06 10• FEPEM

(Fédération du Particulier Employeur) : Tél. 0820 024 324 (service salarié) et 04 93 39 60 63 (service employeur)

• Inspection du travail : Tél. 04 93 72 49 49

• Centre Pajemploi : www.pajemploi.urssaf.fr Tél. 0 820 00 72 53

• Impôts service : www.impôts.gouv.fr Tél. 0 820 32 42 52

• Caisse Primaire d’Assurance Maladie : www.ameli.fr Tél. 0 820 904 130

• Assedic : www.pole-emploi.fr Tél. 0 811 01 01 06 pour un accueil téléphonique, ou 0 890 642 642 pour une attestation, des informations sur un dossier ou une actualisation

• Ufnafaam : www.ufnafaam.fr• Travail Info Service : Tél. 0825 347 347• École des Parents et Maison des Enfants

26, rue François de Paule - Nice [email protected]

Relais départemental Petite Enfance et Point Info FamilleDirection de l'Enfance Service départemental de protection maternelle et infantile Département des Alpes-MaritimesBP 3007 - 06201 Nice cedex 3 Tél. 04 97 18 70 82Courriel : [email protected]îte internet :www.departement06.fr

SOS Médecins : Tél. 0 810 850 101

Médecins d’urgence : Tél. 04 93 52 42 42

Médecins de garde : Tél. 04 93 53 03 03

T O U T E L A V I E

L E D É P A R T E M E N T

E S T À V O S C Ô T É S

C O N T A C T S N U M É R O S U T I L E S

n Journée nationale d’études et de formation organisée par l’UFNAFAAMSamedi 24 mars et dimanche 25 mars Lieu : Antibes Thème : « L’évolution de l’accueil de l’enfant au regard des nouvelles connaissances et des neurosciences » Renseignements et réservations sur : ufnafaam.org

n Forum petite enfanceSamedi 14 avril de 9 h 30 à 12 h 30 Lieu : La Colle-sur-Loup Crèche Ô P’tits Mômes Avenue Pierre Raybaud Accès libre et gratuit

n Semaine européenne de la vaccination Du lundi 23 au vendredi 27 avrilDes séances de vaccination gratuites, sur rendez-vous, seront organisées dans les centres de PMI La loi n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018 (article 49), par application du décret 2018-42 du 25 janvier 2018, étend à partir de 2018, l'obligation vaccinale pour les jeunes enfants de trois à onze vaccins, afin d'obtenir une protection collective contre des maladies évitables par la vaccination et ainsi limiter les risques d'épidémie et diminuer la mortalité infantile.

n Festival Na na nère Du lundi 23 au vendredi 27 avril Cinéma, spectacles et ateliers gratuits pour les enfants de 2 à 10 ans et leurs parents Lieu : Nice - Cinéma Mercury Salle Laure Ecard https://www.departement06.fr/espace-laure-ecard/festival-nananere-15865.html

n Journée départementale de l’enfance, de la jeunesse et de la parentalité Mercredi 25 avril - Le matin pour les professionnels à partir de 8 h 45

- L’après midi pour le public à partir de 14 h 30 : stands d’information, ateliers et animation pour les enfants Entrée gratuiteLieu : Nice Palais des Rois sardes Renseignements : www.departement06.fr

n Soirée thématiquemercredi 23 mai 19 h - 21 hpour les professionnels de l’enfance « Prévention de la mort inattendue du nourrisson » Intervenant : Dr Afanetti, centre de reférence des morts inattendues du nourrissonLieu : Mouans-Sartoux Salle Maupassant Inscription : [email protected]

n Réunions d'information sur la profession d'assistant familial

Sur inscription : [email protected] 6 février - Mardi 6 mars - Mardi 17 avril - Mardi 15 mai - Mardi 5 juinLes réunions ont lieu de 9 h15 à 16 h30 (pause de 12 h à 13 h 30)Lieu : Centre administratif des Alpes-Maritimes Bâtiment Audibergue RDC Salle 97https://www.departement06.fr/documents/A-votre-service/Solidarite-Social/enfance/dpt06-enfance_cal-as-fam.pdf

INFO +Courriel :[email protected]éléphone : 04 97 18 78 68

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