ET SERVICE À DOMICILE Le meilleur départ dans la viesont plus faibles, car les délais de séjour...

Habiter, Louer, Economiser - p.7 à 14

Dossier HabitatPolignyConstruction d’unemaison de santé -p. 14

Culture etgastronomieMusique, théâtre,expo... et recette du mois - p. 16-18

Le meilleur départ dans la vie

Pour la quatrième fois, lepôle femme-enfant deLons-le-Saunier a été dis-tingué le 8 janvier dernierpar le label international“Ami des bébés”. La recon-naissance de douze annéesde travail pour l’équipetout à l’écoute des besoinsdu nouveau-né et de sesparents.

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2 / Pays de Lons n°69 - Février 2013

Un pôle femme-enfant exemplairePour la quatrième fois, le pôle femme-enfant de Lons-le-Saunier a été distingué le 8 janvier dernier par le label inter-national “Ami des bébés”. La reconnaissance de douze années de travail pour l’équipe tout à l’écoute des besoins dunouveau-né et de ses parents.Si vous arpentez les coursives dupôle femmeenfant de LonsleSaunier, vous n’entendrez pas debébés pleurer. Un silence qui endit long sur le bienêtre et l’harmonie qui règnent dans ces lieux.Et pour cause, depuis douzeannées, l’équipe du service travaille et se forme à une approcheinnovante de soins, où les besoinsdu bébé et de sa maman sontreplacés au cœur des préoccupations. Une philosophie qui bouleverse les habitudes de travail, etqui relègue au second plan l’organisation interne du service. Peu– trop peu – de maternités peuvent se targuer d’être labellisées.17 services en France sont distingués. Créé et recommandé parl’OMS et l’UNICEF, le programme“Hôpital Ami des bébés” a pourbut d’améliorer l’information desfemmes enceintes et l’accompa

Santé - Label international “Ami des bébés”

gnement des nouveaunés et de leurs parents. Le pôle femmeenfant lédonien a été un des premiers à être labellisé en France en2000. En 2008, il est le premierpôle certifié en Europe.

L’allaitement maternel aucœur des recommandationsdu labelLa sensibilisation à l’allaitementmaternel est un des chevaux debataille du docteur FrancisSchwetterlé, chef du pôle. “Dansle microcosme lédonien, on peutvoir des bébés au sein dans desespaces publics, ce n’est pastabou. Les bébés ont droit au sein,et on leur montre commentfaire”. Le gynécologue obstétricien pointe clairement du doigtles laboratoires de lait artificiel etleurs “influences perverses”, sanspour autant culpabiliser les

Le centre hospitalier développe l’ambulatoireEn pleine réorganisation de ses services, le centre hospitalier de Lons-le-Saunier affiche sa volonté de développer la chirurgie ambulatoire, aveccomme trame de fond des enjeux financiers cruciaux, tout en offrant des conditions d’accueil plus sereines au patient.

Se faire opérer en une journée : cela étaitdéjà possible au centre hospitalier de LonsleSaunier, mais insuffisamment développé. Comme d’ailleurs partout enFrance, les établissements de santé accusent un sérieux retard en la matière. “Lesprofessionnels n’avaient pas envie, mais on

nous obligeait” explique le docteur PierreChavon, chef du pôle anesthésiechirurgiede l’hôpital de Lons. Pourtant, cette chirurgie apporte un réel confort au patient.“Nous avons rapidement été conquis parl’ambulatoire” continue le chirurgien.“Lorsqu’on va plus vite, que l’on remet plus

vite un patient debout, il y a moins de complications, et il en sera bénéficiaire”. Depuisune dizaine d’années, les mentalités évoluent et l’activité tend à gagner de plus enplus de domaines de la chirurgie, grâcenotamment aux progrès techniques. A celas’ajoutent les nouveaux enjeux de santépublique et les déficits abyssaux affichéspar les hôpitaux en France. Si le nombred’actes augmente, les besoins en lits euxsont plus faibles, car les délais de séjoursont moins longs. Ce qui n’arrange rien audéficit. “Plutôt que de diminuer le nombrede lits, nous avons repensé l’hospitalisationet réorganisé les services de chirurgie, afinqu’ils s’adaptent au parcours du patient”.

Deux principaux changementsCette nouvelle organisation s’articuleautour de deux mesures phares, parallèlement à la chirurgie conventionnelle, etconcerne les pôles anesthésiechirurgie etfemmeenfant. D’une part, un nouveauservice de semaine a vu le jour débutfévrier, fermé les weekends, et ouvert àtoutes les spécialités chirurgicales etoffrant 15 lits. “On sait quel jour le patientrentre et quel jour il sort” explique Véronique Grandin, sagefemme cadre supérieure. “Cela permet à la famille de s’orga

niser, elle est prévenue à l’avance”. D’autrepart, l’UACA (Unité d’anesthésie et de chirurgie ambulatoire) a déménagé et a étérenforcée, avec l’objectif d’optimiser les litset d’accueillir plusieurs patients pour unmême lit dans une journée. Cette activitéprend en charge toutes les chirurgies inguinales, les hernies ombilicales, syndrome ducanal carpien, actes d’ophtalmologie ouendoscopiques... Du côté de la chirurgie gynécologique, lesdélais d’intervention ont été considérablement réduits ces dernières années, et seprêtent d’autant plus à l’ambulatoire. Atitre d’exemple, un curetage qui nécessitait8 jours d’hospitalisation il y a 30 ans, seréalise aujourd’hui en ambulatoire. “C’estune des spécialités qui a le plus bénéficiédes progrès en chirurgie” explique le docteur Francis Schwetterlé, chef du pôlefemmeenfant. “Cette évolution a permisune prise en charge simplifiée, et la récupération est plus rapide pour les femmes.Nous avons rapatrié notre conventionnelleen gynécologie obstétrique. C’est une fiertéd’avoir réorganisé les services dans le cadred’une collaboration amicale”.

C.G.

Lons-le-Saunier - Santé

mamans. “Aujourd’hui, lesfemmes croient avoir le choix,alors qu’elles ne choisissent pas.Les énormes bénéfices des firmesde lait en poudre vendant à prixd’or un produit volé à la vache amodifié la puériculture par desprocédés pervers. Aujourd’hui, iln’y a pas d’enseignement à la facsur l’allaitement. Et combien defois aton vu une publicité où unefemme allaite au sein ? Aucune. Ily a un mimétisme puissant quifait que la femme ne voit que desschémas où le bébé est au biberon”. Pour assurer un réel choixen toute connaissance de causeaux mamans, les informations surl’allaitement sont fournies bienen amont de l’accouchement,lors des consultations mensuellesde suivi. Pendant le séjour à lamaternité, les bébés ont tété aumoins une fois dans l’heure sui

vant leur naissance, les tétéessont à la demande et surveillées,et les connaissances des mèressont vérifiées. Et les mamans nesouhaitant pas allaiter recevrontune aide personnalisée, sur lapréparation du biberon, la bonneposition…

Les premiers instants de viedans des conditions idéalesGrâce à cette véritable éthique desanté, la grande aventure de lavie est plus sereine pour le bébé,qui s’adapte plus facilement à sonnouvel environnement extrautérin. Dès la naissance, et ce mêmeaprès une césarienne, le nouveauné est sur le ventre de samère, nu, pour privilégier le“peau à peau”, donnant uneautre dimension aux premierscontacts avec sa maman. Durantdeux heures minimum, le bébé

est en contact permanent avec sa

maman ou son papa, retardant

les soins de toilette de naissance

non urgents. Puis le nourrisson

séjourne 24 h/24 dans la

chambre de sa mère, y compris

encore une fois pour les femmes

césarisées. “Pas de complément

alimentaire, ni de tétine qui per

turbe la succion. En cas d’échec

de l’allaitement, on essaie decomprendre les raisons et de lescorriger”. Tout un programmepour offrir à son bébé le meilleurdépart possible dans la vie !

Céline Garrigues

Le docteur Pierre Chavon, chef du pôle anesthésie-chirurgie, et Véronique Grandin, sage-femme cadre supérieure

TransportL’ÉCO-TAXE POIDS LOURD EN ROUTEMesure du Grenelle de l’Environnement, l’éco-taxe poidslourd sera mise en application en juillet 2013. Elle concernetous les véhicules de marchandise de plus de 3,5 tonnes,français ou étrangers. Tous les poids lourds roulant sur leréseau taxé devront être équipés d’un boîtier permettant lecalcul de la taxe. Dans le Jura, quatre tronçons seront taxés :la RN83 entre Besançon et Lons-le-Saunier, et entre Lons etBourg-en-Bresse. Et la RN73, entre Besançon et Dole, etentre Dole et Chalon-sur-Saône.

CultureOBJECTIFS ATTEINTS POUR LA MÉDIATHÈQUELe centre culturel communautaire des Cordeliers, qui ouvraitses portes le 28 novembre dernier, dépassait début janvierla barre des 5 000 abonnés, son objectif lors de l’ouverture.La médiathèque flambant neuf propose, outre le prêt delivres, de CD et de DVD, des connexions Internet et deuxsalles de cinéma d’art et d’essai.

GastronomieMCDONALD’S LANCE UN SANDWICH AU COMTÉDu comté dans un hamburger, certains considéreront celacomme un sacrilège ! C’est bien la nouvelle recette duprochain sandwich de la chaîne de fast-food, qui sera envente dans tous ses restaurants à partir du 12 février.Jusqu’au 18 mars, c’est la fruitière de Poligny, Monts etTerroirs, qui approvisionnera la chaîne. Un super coup deprojecteur sur le Jura et son produit phare !

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Romain Guillaume en routevers de nouveaux objectifsLe triathlète lédonien Romain Guillaume continue son apprentissage dans le mondedes professionnels. Il découvrait en 2012 les championnats du monde face aux cadorsde la discipline. Le spécialiste des longues distances revient sur son excellente saison2012 et sur sa nouvelle casquette “d’Ambassadeur du Jura”.

Pour la première fois, le Juras

sien Romain Guillaume repré

sentait le drapeau tricolore en

2012 aux championnats du

monde, aux côtés des grosses

pointures internationales. “J’ai

pu m’échapper sur 70 km des

stars mondiales, et je me classe

second des meilleurs jeunes”

raconte le triathlète pas peu fier

de faire parti des meilleurs fran

çais de sa discipline. “L’année

2012 a été bonne, les entraîne

ments paient”. Passé profession

nel en 2009, il avale depuis les

kilomètres, à raison de 30 à 35 hd’entraînement par semaine. Sila natation et le vélo sont sesspécialités, il sait que la coursedemeure son point faible. Deuxobjectifs sont dans sa ligne demire pour les deux ans à venir :l’Ironman d’Hawaï 2014,La Mecque des triathlètes, et leschampionnats du monde à Belfort en juin prochain. “Je ne veuxpas être trop prétentieux, mais jem’entraîne pour figurer au moinssur le podium le 1er juin prochain”. En attendant ceséchéances, le Jurassien s’apprêteà partir quatre mois sous le soleilde Floride afin d’optimiser sesentraînements. “Avec une température entre 20 et 24 °C, jepourrai m’entraîner comme je lesouhaite. Je rentrerai le 30 avrilpour préparer les championnatsdu monde et la fin de saison”.

Ambassadeur jurassien 2013Après Sébastien Lacroix et AnaïsBescond, Romain Guillaume a

Lons-le-Saunier - Sports

Signature du partenariat entre Romain Guillaume et ChristophePerny, président du Conseil général

été désigné “Ambassadeur du

Jura” par le Conseil général et

s’est vu recevoir en janvier une

subvention qui l’aidera à finan

cer ses différentes compétitions.

“C’est motivant de se sentir sou

tenu” confiait le jeune homme.

En contrepartie, il devra porter

les couleurs du Département

lors des épreuves officielles. Un

excellent vecteur de communi

cation pour le président du

Conseil général Christophe

Perny : “On a souhaité élargir

ces partenariats à d’autres disci

plines que le ski. C’est innovant

pour l’image du Jura. On est

parti avec lui pour ses deux

grands objectifs”. Une fierté

également pour François Jac

quot, président du Triath’Lons,

présent lors de la signature du

partenariat : “Romain est un

exemple pour les jeunes du club,

il partage du temps et s’entraîne

avec eux”.

Céline Garrigues

Bilan 2012 de la délinquance :hausse des cambriolagesLe Préfet du Jura Francis Vuibert présentait le 24 janvier dernier le bilan de la délinquance en 2012, en présencedes acteurs de la sécurité du territoire. L’exercice 2012 affiche une hausse des cambriolages, qui reste moindreque pour les autres départements français.

Comme chaque semestre, la préfecturedu Jura livrait le 24 janvier dernier les derniers chiffres de la délinquance dans ledépartement, en présence de la procureure de la République Virginie Deneux,du commissaire Frédéric VincentGenod,directeur de la sécurité publique, et ducolonel Joël Gleyzon, commandant dugroupement de gendarmerie du Jura. Cesmodes de calcul, assez complexes, ferontl’objet d’un remaniement du ministère del’Intérieur l’année prochaine, avec de

nouveaux indicateurs, telles que les violences intrafamiliales. C’est un bilan assezcontrasté qui a été communiqué, que lesacteurs de la sécurité ont relativisé en lescomparant aux moyennes nationales.

Atteintes volontaires à l’intégrité physiqueComprenant les menaces et les violencesintrafamiliales, les AVIP ont augmenté de5,43 % par rapport à 2011, avec 54 faitssupplémentaires. “Une hausse qui peut

s’expliquer par la facilité des révélationset des dépôts de plainte, mais le département gagne une place par rapport à lamoyenne nationale” commentait VirginieDeneux, procureure de la République.

Atteintes aux biens (dont lescambriolages de résidencesprincipales et secondaires)Elles ont explosé en 2012 avec une augmentation de 8,01 %, soit 393 faits deplus. Là encore, la procureure précisait

que le département reste bien en dessous des chiffres nationaux, mais insistaitnéanmoins sur un message de vigilanceet de prudence de la part des particuliers.Trois types de cambriolages sont mis enavant : vol dans les résidences, notamment de cartes bancaires et petits objetsvendables, vol dans les locaux industriels,et vol préparé à forte valeur ajoutée(DAB, tabac…).

Les escroqueries financières Elles enregistrent une baisse de 14,83 %.C’est un message de prévention et desensibilisation que Virginie Deneux a tenuà adresser. Bien souvent sous la formed’arnaque à la carte bleue via Internet,ces escroqueries auraient pu être évitéesavec plus de prudence. “Beaucoup sontencore trop naïfs. Nous n’avons pas lesmoyens d’investiguer en Afrique. Il fautfaire appel à son bon sens, et être attentif aux mails comprenant par exemple desfautes d’orthographe”.

Sécurité routière : deux tués en moins sur les routesLes campagnes d’information et derépression portent leur fruit, avec unebaisse globale des accidents (105), dunombre de tués (2) et de blessés (137dont 94 hospitalisés). L’alcool reste la principale cause d’accidents dans le département, devant la vitesse, les stupéfiants, etle défaut du port de la ceinture. A signalerqu’à partir du 7 mars prochain, le dépôt depréplainte sur Internet sera mis en servicepour les atteintes aux biens. Par ailleurs,Frédéric VincentGenod et Joël Gleyzonont tenu à rappeler l’importance de la participation des citoyens, qui ne doivent pashésiter à composer le 17 face à tout individu suspect. C.G.

Jura - Sécurité CONCERT DU “TEUF ET JOËL” AU PROFIT DU RIRE MÉDECINLe 17 février prochain, Le “Teuf et Joël”, accompagné dePierre Sassard, Pascal Clément et Rémy Manera offri-ront à l’association le Rire Médecin un concert dans lagrande salle du Casino de Lons.

Ces artistes bénévoles concoctent un spectacle où se marieront, avecl’humour, la dérision et le talent qui les caractérisent, des séquencesmusicales, des chansons de chansonniers et des créations espiègles,des parodies…Ce groupe bien connu nous entraînera le temps d’une après-midi dansun show interactif délirant, tendre et sérieux à l’image des spectaclesque les clowns du Rire Médecin offrent aux enfants hospitalisés,comme des piqûres de bonheur et de rire pour surmonter leursouffrance.Entrée : 10 € au profit du Rire Médecin, gratuit pour les moins de 12 ans. http://www.agirpourleriremedecin.com

LE BUDGET DEPARTEMENTALPOUR LES NULSComment les élus dépensent-ils l’argent des contribuables ? Quelssont les projets et les aménagements financés par nos impôts ? LesJurassiens peuvent avoir quelques éléments de réponse en assistantaux réunions publiques sur le budget organisées par le Conseilgénéral. Christophe Perny, président du Conseil général, organisejusqu’au jeudi 7 février des réunions publiques pour expliquer leschoix budgétaires de la majorité, à l’ensemble des Jurassiens. “Lebudget expliqué à tous” : l’exercice de démocratie participative del’organe exécutif du Département est renouvelé cette année. En 2012,plus de 1 000 personnes s’étaient intéressées aux orientationsbudgétaires du Conseil général. Depuis le 16 janvier jusqu’au jeudi7 février, dix réunions publiques pour expliquer les choix budgétairesde la majorité, à l’ensemble des Jurassiens sont organisées dansdifférentes villes du département. Une thématique différente estabordée à chaque réunion. Ces réunions, ouvertes à tous, permettentd’observer comment nos élus décident leurs projets et les financent.Le public est ensuite invité à débattre sur les thématiques abordées età poser ses questions.Programme des réunions à venir :Le 4 février à 18 h 30 à Clairvaux-les-Lacs. Thème : sports. Le 5 févrierà 18 h 30 à Mantry. Thème : agriculture et forêt. Le 6 février à 18 h 30à Arinthod. Thème : solidarités et santé. Le 7 février à 18 h 30 àMacornay. Thème : développement et aménagement du territoire.

LONS-LE-SAUNIER : DES BÉNÉVOLESRENDENT VISITE AUX PERSONNESÂGÉESLa Croix Rouge, le Secours catholique et le centre communal d’actionsociale de Lons-le-Saunier se sont associés pour mettre en place unnouveau service dans toute la ville. Une cellule de bénévoles s’estformée pour l’occasion afin de rendre visite aux personnes âgéesisolées. Dix bénévoles ont déjà répondu présents pour effectuer cesvisites.Contact : 03 84 47 88 19 (CCAS)


Les perspectives du Club des décideursLe 24 janvier dernier, le Club des décideurs Jura-Franche-Comté se réunissait à La Maison de la Vache qui rit pour tirer unpremier bilan de son événement phare en 2012, “Autour du Green” et lancer les pistes pour les manifestations de 2013.Parmi celles-ci, un grand événement sportif, avec la présence notamment de Fabrice Guy, pourrait voir le jour en mai.

Economie - Réseau

Dans un contexte économiquedifficile, le réseau du Club desdécideurs JuraFrancheComtéétait lancé en juin 2012 dans lebut de pallier à l’isolement deschefs d’entreprise jurassiens. Al’origine de cette initiative, LeGolf de Vernantois et l’agencelédonienne de marketing etcommunication RSP créait pourl’occasion un événementunique, “Autour du Green” les21 et 22 juin derniers. Au gréd’une journée conviviale etsportive autour du Golf de Vernantois, les entrepreneurs jurassiens se rencontraient et échangeaient. Partages, contacts… leréseau d’affaires est un boncompromis pour dynamiser sonactivité et multiplier ses affaires.Telles sont les ambitions du Club

des décideurs JuraFrancheComté, via divers événementsrécurrents chaque année. Le24 janvier dernier, 80 chefsd’entreprise avaient réponduprésents à l’invitation pouréchanger sur cette journée, etdéfinir les contours des événements à venir, avant la prise dedécision finale lors de la prochaine réunion du 13 février.

Un événement autour de stars et de sportifsParmi les pistes, la “Jurastar” aété longuement évoquée, suiteà sa reconduction en 2013. Initialement prévue en 2012, sonobjectif est d’associer une image“people” aux entreprises jurassiennes. Elle devrait se tenir du16 au 18 mai, mais sa formen’est pas encore clairementdéfinie. JeanMarie Laurent, ledirecteur du Golf de Vernantois,évoquait entre autres la possibleprésence d’Olivier Girault,ancien capitaine de l’équipe deFrance de Handball, et deFabrice Guy, médaillé olympique de combiné nordique.

C.G.

Les Négociales, les futurscommerciaux dans le bainLes Négociales, challenge de négociation commerciale ouvert aux étudiants, se réuni-ront pour la 24e année le 13 février prochain au lycée Pasteur Mont-Roland de Dole. Co-organisées par l’établissement et l’EMC, elles seront le terrain des joutes commercialesdes vendeurs de demain.

Jura - Société

nisera autour de deux cessions,le matin pour la vente d’un produit, et l’aprèsmidi pour lavente d’un service. Chaqueannée, les profils d’étudiantssont divers et variés. Ils aurontdix minutes pour décrocher lemarché dans le cadre d’unesimulation plus que réelle face àun professionnel, sous l’œilimpitoyable du jury. En amont,on leur fournira les clés du produit (quelle entreprise, quel prix,quelle marge de manœuvre…)et ils disposeront de 3/4 d’heure

pour se préparer. “Les professionnels jouent le jeu et se mettent à niveau” précise MarylineCheviet. “Ils attendent que lejeune pose les bonnes questions,c’est la force de conviction qui vatout faire. C’est un plus sur le CV,c’est très porteur” explique Virginie Schmitt, directrice adjointe

de l’EMC. En effet, chaqueannée, au terme de cette journée, les étudiants repartentavec des contacts et des cartesde visite. Une passerelle intéressante pour de futurs stages, etmême pourquoi pas pour unepremière embauche !

C.G.

Dix minutes pour convaincre etvendre son produit à un professionnel, tel sera le défi des étudiants en filière de commerce,dans des conditions 100 % réalistes. Le challenge des Négociales, lancé il y a 24 ans enFrance, est depuis relayé etorganisé localement par l’EMC,l’Ecole de management commerciale du Jura. Cette annéepour la première fois, elle s’associe au lycée Pasteur MontRoland de Dole, établissementproposant une des deux forma

tions commerciales les plusimportantes du Jura, avec cellede l’EMC. “Cet événement auraun impact important pour lesjeunes, c’est la mise en valeurd’un métier” souligne MarylineCheviet, responsable de l’enseignement supérieur du lycée. Encharge d’une partie de l’organisation de l’événement, uneclasse de BTS Assistant demanager accueillera le jour Jétudiants et professionnels. Permettant d’accéder à la finalenationale, cette journée s’orga

ELECTION CHAMBRE AGRICULTURE : RÉSULTAT ENTRE LE 6 ET LE 8 FÉVRIEREn janvier 2013, le monde agricole a élu, pour six ans, ses représentants aux plans départemental, régional et national. Les chambres d’agriculture tiennentleur légitimité de l’élection de leurs membres au suffrage universel. Ces membres élus, issus de 10 collèges, sont représentatifs de l’ensemble du mondeagricole. Les votes se sont déroulés par correspondance jusqu’au 31 janvier, et les résultats seront connus entre le 6 et le 8 février. La liste arrivée en tête descrutin remportera la moitié des sièges (soit généralement 11 sièges sur 21). Les sièges restants (10 sièges) seront répartis à la représentation proportionnellesuivant la règle du plus fort reste. Pour la première fois, les agriculteurs éliront par ce même vote leurs représentants à la chambre régionale. Deuxièmeinnovation : chaque liste devra comporter au moins un candidat de chaque sexe par tranche de trois candidats, ce qui aboutit à une nette féminisation deslistes par rapport aux élections antérieures.


Les plans anti-crise du Pass’MalinSortir sans se ruiner, tel est le leitmotiv du Pass’Malin. Plus de 110 bons plans sont réunis dans lanouvelle édition 2013.

Si la crise a fatalement allégé le portefeuille des Jurassiens et destouristes, il existe des solutions pour éviter de trop amputer le budget loisir. Le Pass’Mallin version 2013 propose au fil de ses 147 pagesplus de 110 bons plans, pour profiter de son temps libre sereinement. Ce petit livret ergonomique et pratique tenant dans unepoche est un guide qui permet aux Jurassiens ou touristes de pas

sage de bénéficier de 42 menus gratuits (au sein desplus grandes tables jurassiennes, tel que JeanPaul Jeunet à Arbois, entre autres), et de 70 activités de loisirsou culturelles offertes. “Dans ces périodes difficiles, leguide redonne l’envie et le plaisir de sortir, de découvrirdes bonnes tables grâce à des avantages financiers incitatifs” explique Jean Christophe Le Gall, créateur et éditeur du Pass’Malin. “Il permet également de soutenircertaines filières économiques du département, et depromouvoir la destination Jura auprès des touristes”.Cette bible du bon plan 100 % jurassienne cumule plusde 1500 € d’avantages variés, et est valable un an,quelle que soit sa date d’achat. Dès la première utilisation, il est donc amorti. Ce guide est également destinéaux professionnels de l’hébergement gîtes, chambresd’hôtes, campings avec des tarifs préférentiels, afin deles inciter à proposer le Pass’Malin dans sa version15 jours à tous leurs hôtes. La centrale de réservationdu Comité départemental du tourisme, qui gèrepresque 5 000 contrats par an, proposera également àtous ses clients le guide Pass’Malin 15 jours.Deux versions avec les mêmes avantages : 39 € pour un ande validité, et 15 € pour les touristes pour 15 jours devalidité. Disponible sur le site www.passmalin-jura.fr(livraison gratuite), dans les OT et dans quelques librairies(liste des distributeurs sur le site).

Jura - Loisirs

Jean Christophe Le Gall, un des créateurs du portail Juracom,lançait il y a trois ans le Pass’Malin.

Ski : Les Rousses sur la bonne pente ?Après un début de saison excellent en terme de neige et de fréquentation, la station de ski du Haut-Jura prépare l’avenir avec la création d’un centre aqualudique, d’une patinoire et d’un nouveau musée Paul-Emile Victor.

Aux Rousses, à moins d’uneheure de LonsleSaunier, à1 670 mètres, l’horizon sembledégagé pour la station quitourne à plein régime depuis le8 décembre, date d’ouverturedes remontées mécaniques enalpin, et un peu plus tôt en ski defond. La station a depuis lesannées 2000 connu une profonde transformation, mais

peine toujours à attirer les Jurassiens. Un paradoxe. “Nos premiers clients en nombre sont lesBourguignons”, témoigne Pierrick Amizet, directeur d’exploitation de la station. “Viennentensuite les Francscomtois, Paris,RhôneAlpes, Nord PasdeCalais,Champagne, Picardie, Normandie et Ouest” précisetil. Enterme de fréquentation, les

séjours sont longs. “Nous avonsvendu peu de forfaits à la journée” témoigne la Sogestar, l’organisme qui bénéficie d’unedélégation de service publictransmise par la communautéde communes pour gérer l’alpin.Alors que la plupart des structures alpines du massif du Juraont des difficultés à équilibrer lescomptes, Les Rousses parvien

nent à dégager des bénéfices.Elle emploie 75 équivalentstemps plein et 160 saisonniers.“Nous avons les ressourcesfinancières pour passer un hiversans neige” concède la directricede la Sogestar, Michèle Ulrich,qui loue la vision des politiqueslocaux qui ont su s’unir pourdévelopper la station.

Une station qui dégage des bénéficesC’était à la fin des années 90.Après une mauvaise année lorsde la saison 20062007 en raison du manque de neige, la station avait accueilli moins de200 000 skieurs, soit un chiffred’affaires (pour le ski alpin) de2 millions d’euros. Heureusement, les années suivantesfurent meilleures, jusqu’à cellede 2011/2012, excellent millésime, qui permit aux Roussesd’enregistrer 281 338 journéesskiées, soit un chiffre d’affairesde 4,602 millions d’euros. Dequoi investir. Et surtout un gagepour la collectivité qui n’est pas“contrainte” de renflouer les

Jura - Sports d’hiverdéficits. Les contribuablesapprécieront, même si le ski defond demeure déficitaire (environ 200 000 euros par an). LeJura apporte son aide, comme laRégion. Le Conseil général vaainsi allouer 576 000 euros cetteannée pour le développementtouristique de la station et sonfonctionnement. Des projetsd’envergure se trament. Ici, lesélus estiment qu’il faut pallierles hivers sans neige. Ainsi, lacommunauté de communes vaengager la création de l’espacedes mondes polaires (50 000 à70 000 touristes à l’année) quiréunira un nouveau musée(PaulEmile Victor), un auditorium, un bistro polaire, une patinoire. Autre grand projet : lacréation d’un centre balnéoludique. “L’investissement estd’environ 7 millions d’euros avecla création de 5 à 10 emploisaprès 2015” explique le directeur de la communauté de communes des Rousses. Une offretouristique qui s’ajoute auxForts des Rousses qui accueille25 000 visiteurs à l’année. Lastation a su se diversifier. A ellemaintenant de se développer.En attendant, les conditionssont excellentes pour goûter à lapoudreuse jurassienne durantles vacances de février.

A ladécouvertedu ski defond !

Après le succès de la première opération “6e au ski” lors de la saison 2009/2010, l’association JuraNordique en partenariat avec le Conseil général réitère l’action. 2 834 fondeurs en herbe sont attendus sur les pistes du Haut-Jura jusqu’au 15 février.Pour la troisième année, après une pause en 2012/2013 pour raisons budgétaires, les petits 6e de 30 collèges du département iront tâter la poudreuse jurassienne sous leurs spatules de skis de fond. A l’origine de cette initiative, unconstat : celui de la baisse d’intérêt pour la pratique, que le Conseil général du Jura et l’association départementale JuraNordique ont voulu redynamiser. Une journée de découverte aux plaisirs de la neige est ainsi offerte aux collégiens, etlors de leur venue, un bon leur sera remis pour revenir skier une journée gratuitement, accompagnés de leurs parents.La première opération était lancée en 20092010 et remportait un large succès, avec pas loin de 3 000 enfants provenant de 24 établissements, publics et privés. Cette année, elle a débuté dès la rentrée des vacances de Noël, le 7 janvier à Morbier, et se terminera avant les vacances d’hiver, le 15 février. Emmitouflés comme il se doit, les petits fondeurs des collèges Aristide Briand, SainteMarie, Rouget de Lisle, Saint Exupéry… sont reçus sur leur site d’accueil(Hautes Combes, Morbier, les Rousses…) et encadrés par les moniteurs de l’Ecole de ski français. Les parents n’ontaucun frais à débourser, que ce soit pour le transport, la location du matériel ou de la salle chauffée pour le piquenique du midi. Les transports sont financés en totalité par la dotation sportive de l’établissement. Le Conseil généralsubventionne l’opération à hauteur de 34 000 euros pour la location du matériel et l’encadrement, et Jura Nordiqueprend en charge une enveloppe de 3 000 euros.

Sports d’hiver -Collèges

LE CONSEIL GÉNÉRAL LANCE UNENOUVELLE LIAISON DOLE-PARISLe 25 janvier dernier, le Conseil général du Jura votait encession publique la subvention pour la nouvelle liaisonDole-Paris au départ de l’aéroport de Dole-Jura. Un vote àl’unanimité, malgré l’intervention de Jean-Marie Sermier endéfaveur de cette mesure. Après une suspension de séance,l’opposition départementale se rangeait finalement auxarguments de Christophe Perny, président du Conseilgénéral. La rotation aérienne s’effectuera donc cinq jours parsemaine, à raison de deux allers-retours du lundi au jeudi, etun aller-retour le vendredi, à destination de l’aéroport d’Orly,avec la compagnie allemande Bin Air. Le tarif de l’allersimple est estimé à 80 € environ. Cette phase test s’étendrade fin mars à fin octobre grâce à une subvention de370 000 €. Suite aux tensions avec la présidente de laRégion Marie-Guite Dufay fin 2012, Christophe Perny affirmequ’il n’y a aucune volonté de concurrence avec le ferroviaire.Pourtant, la FNAUT (Fédération Nationale des Associationsd’Usagers des Transports) de Franche-Comté a rédigé uncommuniqué où elle fait part “de sa stupeur et de sonindignation” : “A qui fera-t-on croire que la SNCF vamaintenir des dessertes TGV vers la Suisse par Dole dès lorsque le Conseil général subventionne lourdement unconcurrent aérien ? Nous n’aurons aucun mal à démontrerque ces vols ne font pas gagner une seule minute à leurspassagers, que la clientèle ciblée est… Très ciblée ! Le Conseilgénéral du Jura s’est bien tiré hier une balle dans le pied !”


Rénover son logementavec Jura HabitatDepuis plus de 50 ans, Jura Habitat accompagne

dans tout le département particuliers et collectivités

dans leur projet habitat et cadre de vie. Ses missions

sont multiples : accompagner les Jurassiens dans

leur parcours résidentiel, valoriser l’identité des ter

ritoires, appuyer les collectivités dans leur dévelop

pement, contribuer à la qualité environnementale

des projets et favoriser le développement écono

mique et social. Chaque année, l’association parti

cipe à la rénovation ou la réhabilitation de 650 loge

ments et réalise 800 visites conseils sur les lieux duprojet. Pour les particuliers, Jura Habitat est le partenaire indispensable pour réaliser son projet : maîtrise de l’énergie, adaptation des logements auvieillissement, au handicap, amélioration de l’habitatet investissement locatif. Nous vous proposons untour d’horizon des aides apportées par l’organisme,pour d’une part les propriétaires bailleurs, puis pourles propriétaires occupants. Jura Habitat 32 Rue Rouget de Lisle Lons-le-Saunier Tél. 03 84 86 19 10 A gauche, Claude Pecclet, directeur de Jura Habitat, et Bernard Cantenot, chargé d’études

Habiter, louer, économiserC’est un rêve qui s’obtient au terme d’un long parcours, quelquefois semé d’embûches.Parce qu’il s’agit généralement du bien le plus cher que l’on acquiert de toute sa vie, lesinterrogations et les précautions des acheteurs se révèlent nombreuses. “Pays de Lons”dresse, au cours de ses parutions de janvier, février et mars, un panorama de la sphèreimmobilière dans le Jura.

Pages “Spécial Habitat” 2/3 (Février) SOMMAIREEN TROIS PARTIESJANVIERn Acquisition du terrain.n La conjoncture vue par les notaires. Le point de vue des banquiers et des courtiersn Les agences immobilières et la crise. Tendance : home staging,investissement malin ou fausse bonne idée ?

CE MOIS-CIPage 7-9-10. Rénover son logementPage 10. Maîtriser sa consommation d’eau et d’énergiePage 12-14. Le projet d’architecte. Aménager votre extérieur.

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ponts thermiques qui en sont souvent à l’origine ainsique les infiltrations d’eau. Un autre des nombreuxavantages, c’est que nous n’intervenons pas à l’intérieur de la maison et que le chantier ne perturbe pasle quotidien des clients”, précise le sympathique spécialiste, engagé dans une démarche environnementale responsable. Garanti dix ans, antichoc, imputrescible, léger, résistant aux intempéries et auxtempératures extrêmes, doté d’un aspect et d’unetexture déclinés en imitation bois, crépis ou brique, lematériau utilisé peut aussi bien être posé lors d’uneconstruction neuve que dans le cadre d’un projet derénovation. Par ailleurs, ce matériau peut tout à faitêtre posé sans réaliser d’isolation, avec pour seulobjet l’embellissement de votre demeure. Et commedans le bâtiment on peut désormais faire rimer “pratique” avec “esthétique”, ce bardage révolutionnairesans entretien, facile d’emploi pour la finition desfaçades et des pignons, est disponible dans une

demidouzaine de coloris du plus bel effet qui vont dublanc au bleu clair en passant par le gris. Posées indifféremment à l’horizontale, à la verticale ou en diagonale et fixées par des vis inox, ces lames en PVC ouen tôles aluminium laquées sont installées sur un bâtide panneaux chevillés et de tasseaux de bois cloués.Crédité d’une résistance thermique certifiée de3,90 m2/kW, le pack utilisé permet, sous certainesconditions* mais hors conditions de ressources, debénéficier d’un crédit d’impôt pouvant aller de 15 %du montant des travaux pour les fournitures et lapose, et jusqu’à 23 % dans le cas d’un bouquet de travaux, dans le cadre des dispositions fiscales ayanttrait aux travaux d’amélioration de l’habitat principal“Développement durable”. Quant au résultat visuel, ilest parfaitement bluffant et s’il ne vous en coûteraque 120 euros du m2 (TTC et posé) pour ce tour demagie rafraîchissant**, il vous faudra certainementpasser et repasser plusieurs fois la porte d’entréepour reconnaître votre maison…

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Réhabiliter pour mieux louer son bienLes propriétaires bailleurs ont-ils droit à des aides financières ? A quelles conditions ? Quel est l’impact de ces investissements sur les impôts ? Quelniveau de loyer après les travaux ? Autant de questions qui se posent lorsque l’on souhaite louer son bien. Jura Habitat accompagne les proprié-taires bailleurs désireux de réaliser des travaux en vue de la location.

Jura habitat - Propriétaires bailleurs

A Dole, de nombreux logements vacants sont à réhabiliter au centre-ville.

Pages “Spécial Habitat”

Investir pour louer, oui, mais à condition d’offrir un logement décent àses locataires. De nombreux logements demeurent vacants dans ledépartement pour cause d’insalubrité, où sont occupés mais en mauvaisétat. A LonsleSaunier comme dans les gros bourgs voisins, beaucoup

sont vieillissants. Ils ne sont plus aux normes d’habitabilité : absenced’équipement de confort, passoire énergétique, problèmes de sécurité etd’insalubrité… “Il faut compter entre 800 et 1 000 € d’investissement aum2” explique Claude Pecclet, directeur de Jura Habitat. A la demande despropriétaires, l’association se rend sur place pour effectuer une analysedu logement et réalise une grille de dégradation. “On définit ensuite unprogramme de travaux, et on établit la meilleure performance énergétique”. Après estimation du coût des travaux, Jura Habitat élabore un plande financement et calcule les aides financières, le montant du prêt àeffectuer, le niveau de loyer. Tout cela gratuitement. Les seules conditions pour les propriétaires bailleurs sont de s’engager à louer neuf ansleur bien à des personnes ne dépassant pas un certain seuil de ressources, et de faire appel à des entreprises pour effectuer les travaux.Entre les différentes subventions de l’ANAH (Agence Nationale de l'Habitat) et de ECLA (Espace communautaire de Lons Agglomération) via sonOPAHRU (Opération programmée d’amélioration de l’habitatrenouvellement urbain), Jura Habitat procède à un calcul savant permettant dedéfinir précisément le montant des aides. Cellesci peuvent atteindre jus

qu’à 30 % de la facture globale ! Sans oublier les avantages fiscaux : la rénovation est une des dernières nichesfiscales. Pour l’agglomération lédonienne, l’objectif deJura Habitat est de réhabiliter 140 logements locatifs dansles cinq ans, avec une enveloppe de 2,2 M€ d’aides.

La Région subventionne le BBCMis en place par le Conseil régional de Franche-Comté en 2009 avec le soutien del’Ademe, le programme Effilogis a pour objectif de diviser par quatre les consommationsénergétiques en soutenant le développement des bâtiments basse consommation(BBC). Avec ce programme régional, les actions entreprises prennent une nouvelleampleur avec le soutien aux projets de particuliers, bailleurs sociaux et collectivités.Pour les propriétaires occupants, l’aide à la conception et au suivi de projet s’élève à80 % des dépenses. La subvention est plafonnée à 3 000 euros pour les prestationssuivantes : assistance à maîtrise d’ouvrage ou maîtrise d’œuvre, test(s) d’étanchéité àl’air initial et/ou intermédiaire (en cours de chantier), étude thermique réglementaire.Pour les propriétaires bailleurs, la subvention forfaitaire s’élève à 3 000 euros parlogement, dans la limite de 15 000 euros par opération retenue après expertise.

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Petits aménagements pour grosses économies

Maîtriser sa consommation d’eau et d’énergie Comment réduire ses factures d’eau et d’énergie sansinvestir dans de lourds travaux coûteux ? Grâce àquelques astuces, il est possible de payer moins cher.L’heure est à la chasse au gaspillage !Réduire sa consommation d’eau et d’énergie de moitié,sans travaux ? C’est possible grâce à quelques gestessimples, accessibles au portefeuille de tous. Armé d’uneformation de technicien conseil en rénovation thermiquedes bâtiments, le Jurassien Steeve Cretiaux est en train decréer sa société afin de donner un coup de pouce auxfoyers prêts à revoir leur comportement. Son idée est deproposer un miniaudit chez les particuliers pour faire lepoint sur leur consommation. D’après lui, il est possible deréduire ses factures de 20 à 50 % grâce à de petits aménagements. “Je l’ai testé chez moi, ça marche !” affirmetil. “Mais cela dépend aussi beaucoup du comportementdes gens”. En effet, si la maîtrise de l’énergie est unedémarche collective, elle dépend aussi des efforts individuels. “Pour une meilleure efficacité, il faut faire un suivide sa consommation, un tableau de bord” explique lejeune homme. Pour ce faire, il existe un outil simple etgratuit à votre disposition : le site www.ecolometre.com.Chaque mois, il vous suffit de relever vos compteurs et deles transmettre au site par mail. Grâce à des graphiques etdes indicateurs, vous pouvez évaluer de façon simple etdidactique mensuellement vos progrès. “Cela permet de

se rendre compte immédiatement d’un éventuel problème, comme une fuite d’eau par exemple, qui ne se voitpas forcément”.

Quelques conseilsIl est donc important de surveiller sa chasse d’eau, qui,elle aussi, peut fuir sans que cela soit perceptible. D’autrepart, un limitateur de pression sur les robinets et le pommeau de douche distribue moins d’eau, avec le mêmeconfort (environ 40 €).Pour ce qui est de l’électricité, une des règles d’or estd’éteindre ses appareils en veille. Ils consomment del’électricité, même si cela peut paraître faible à l’échelled’un foyer. Une télévision en veille durant 20 heuresconsomme plus d’énergie qu’en marche pendant4 heures ! Pour l’éclairage, depuis l’interdiction de labonne vieille ampoule à filament énergivore, la technologie LED semble la plus prometteuse (voir page 14).Question chauffage, c’est le bon sens qui s’impose : nenégligez pas l’entretien annuel de la chaudière. Une chaudière encrassée peut entraîner une surconsommation de20 % ! Pensez également à équiper vos radiateurs devannes thermostatiques (entre 12 et 40 €) : cellesci permettent de contrôler la température souhaitée dans unepièce. Enfin, un thermostat d’ambiance (environ 100 €)permet de réguler les températures, sans altérer leconfort. C.G.

“Habiter mieux”, pour les économies d’énergiePour réaliser des travaux d’économie d’énergie dans son logement, Jura habitat peut vous faire bénéficier d’un nouveau programme initié en 2011,“Habiter mieux”. Ces aides sont attribuées lorsque les travaux mis en œuvre permettent d’atteindre un gain d’énergie d’au moins 25 %.

Alors que les prix de l’énergie sont en constante augmentation, de nombreux propriétaires sont convaincus de l’utilité d’engager des travaux d’économie d’énergie. Déclinésur tout le territoire, le programme “Habiter mieux” aide les propriétaires occupants àréduire leur facture énergétique. Les demandeurs doivent répondre à certaines conditions d’éligibilité, notamment de ressources, et les revenus doivent être inférieurs à unseuil fixé par l’Etat. Cependant, Jura Habitat est dans l’attente d’un probable élargissement des plafonds de ressources, et il serait donc utile de se renseigner dans les mois àvenir ! Après avoir rencontré les propriétaires, Jura Habitat s’occupe de tout ! Un spécialiste se rend sur place et établit un bilan thermique. “On étudie les sources d’énergie,le niveau d’isolation, les systèmes de ventilation…” explique Claude Pecclet, le directeurde l’organisme. “On définit ensuite un programme de travaux dans le but d’obtenir ungain d’énergie d’au moins 25 %”. Le dossier de financement est monté de A à Z, et lebon déroulement des travaux est également suivi par Jura Habitat.

Plusieurs aides financières cumulablesDepuis que le programme a été lancé en 2011, 240 dossiers ont été instruits dans ledépartement. Le montant moyen des travaux oscille entre 10 000 et 12 000 €. Le programme permet de cumuler des subventions de l’ANAH (Agence Nationale de l’Habitat) et de l’Etat (dans le cadre du grand emprunt). Une aide complémentaire est accordée par le Conseil général, ainsi que par la Communauté d’agglomérations selon sapolitique (OPAH : Opération programmée d’amélioration de l’habitat).

Jura Habitat - Propriétaires occupants

Les conditions- Etre éligible aux aides de l’Anah (13 000 ménages éligiblesdans le Jura, possible élargissement des plafonds à venir)- Etre propriétaire occupant d’un logement de plus de 15 ans- Améliorer la performance énergétique d’au moins 25 %

Un exemple concretPour un projet de travaux de 12 000 €HT :- 2 400 € : aide aux travaux Anah- 2 100 € : aide Habiter Mieux- 500 € : complément Conseil général- 500 € : aide agglomérationSoit 5 500 € d’aides à déduire.

Un exemple de rénovation réalisée à Perrigny : avant à gauche, après à droite.

Pages “Spécial Habitat”

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“Le contemporain n’est pas forcément plus coûteux”Faire appel à un architecte pour construire sa maison est un gage de qualité. Profession-nel reconnu par la loi, il saura vous accompagner dans toutes les étapes de votre projet. Si le contemporain a du mal à se développer dans le Jura, une maison d’archi-tecte ne coûte pas forcément plus chère, assure le CAUE. Le point avec Florence Juillard,directrice de l’organisme.

Association de service publique, le CAUE

(Conseil d’architecture, d’urbanisme et de l’en

vironnement du Jura) a pour missions d’infor

mer et de sensibiliser le public dans le domaine

de l’architecture, de l’urbanisme et de l’envi

ronnement. Il contribue à la formation des

maîtres d’ouvrage et des professionnels. Ses

informations et ses conseils s’adressent aux col

lectivités locales mais aussi aux particuliers dési

reux de construire ou rénover. Composée de six

salariés, dont trois architectes conseil, la struc

ture jurassienne fournit des conseils gratuits,

uniquement architecturaux. “On ne fait pas de

plans, nous n’avons pas le droit de faire de la

maîtrise d’œuvre” explique la directrice Flo

rence Juillard. “L’idéal est d’avoir déjà un plan”.

Le CAUE informe ainsi les particuliers sur les

formes architecturales, les normes à respecter,

mais aussi sur l’aménagement intérieur, les

couleurs des façades, la construction d’une

extension… Il faut savoir que le recours à un

architecte est obligatoire pour toute construc

tion supérieure à 170 m2.

“L’architecte s’adapte au budget de ses clients”Bien souvent le travail d’un architecte, la maison contemporaine répond à des critères architecturaux et esthétiques bien précis, qui peuvent être non conformes si mal réalisés “Il estbeaucoup plus difficile de construire une maisoncontemporaine, car elle peut s’opposer auxdocuments d’urbanisme. Ceux qui instruisent lespermis de construire n’ont pas forcément lesclés, nous les aidons à mieux les comprendre”.Ces volumes épurés, munis souvent de grandesouvertures, ne sont pas forcément plus coûteux, dixit Florence Juillard. “L’architectes’adapte au budget de ses clients, il le respecte”affirmetelle. C’est pour cette raison qu’il estconseillé de faire appel à un architecte pour cetype de projet : mal dessiné ou optimisé, lebudget s’en trouvera gonflé. De façon générale,pour tout type de construction, ce professionnel conçoit les plans d’exécution, et peut instruire les appels d’offres auprès des entreprises,et suivre le chantier de A à Z. C.G.

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L’extension : des règles à respecterQue ce soit un garage, un bûcher, une piècesupplémentaire, une véranda… votre mairie doitêtre informée de votre projet d’extension. Si celui-cidépasse 40 m2, une demande de permis deconstruire doit obligatoirement être déposée pourles communes à PLU, et au-delà de 20 m2 pour lesautres communes. En dessous de ces seuils, unedéclaration de travaux doit être déposée. “Pourn’importe quelle extension, nous conseillons de serapprocher du CAUE, qui apportera des conseils surla forme. Il n’y a pas de petits projets, et il fautréfléchir sur le global, sur ce qu’il y a autour”informe Florence Juillard.

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De ceux qui, en tous cas, se reconnaissent dans legoût du travail bien fait, l’amour du métier et quiplacent l’individu et les relations humaines au centre de leurs préoccupations. Dans son atelier de300 m2 équipé de matériel performant, le Jurassientravaille à l’envi le “surmesure” avec un plaisir sanscesse renouvelé. Passionné, créatif et enthousiaste,le sympathique chef d’entreprise, à la poignée demain aussi franche que son regard, nous parle deson quotidien : “Je partage avec mon équipe l’enviede satisfaire pleinement mes clients et de trouveravec eux des solutions appropriées à leur projet.Nous allons au bout des choses. Quand je travaillesur mes chantiers, je le fais comme si c’était un

ouvrage pour moi”. Et depuis le temps, grâce à laqualité de ses réalisations, à son professionnalisme,à sa rigueur et aux tarifs attractifs qu’il propose, laliste des nombreuses collectivités locales et territoriales, administrations, architectes, maîtres d’œuvre et des particuliers qui lui font confiance necesse de s’allonger : “Les gens pensent, à tort, quede faire appel à un artisan revient plus cher : à prestation égale, c’est faux. Et pourtant mes fournitureset mes matériaux, de préférence de productionfrançaise, sont soigneusement sélectionnés parmiles produits diffusés par les entreprises leaderseuropéens du marché et bénéficient d’une garantiedécennale ou biennale. Par ailleurs, je travaille en

direct avec mes fournisseurs habituels ce qui mepermet de négocier au mieux les tarifs pour mesclients”. Pour l’artiste aux mains d’argent, que celaconcerne l’extérieur ou l’intérieur, il n’y a pas depetits ou de gros chantiers et les clients sont toustraités avec les mêmes égards : bardage, réalisationde terrasse, de placards et de rangements sousescalier, boiseries, lambris, portails, fermeturesextérieures de l’habitat, portes, fenêtres, voletsroulants, aménagements d’espaces, création etpose de cuisine incorporée, d’escalier, de meublesmodernes design ou de dressing figurent d’ailleursindifféremment au rang des multiples savoirfairede ce professionnel accompli, pour qui le respectde la parole donnée n’a d’égal que le respect desrègles de l’art. Qu’il s’agisse de bois, d’aluminiumou de PVC, Frédéric Dégut donne corps à vos idéesles plus novatrices et les plus improbables comme

à vos projets, des plus délicats aux plus classiques.Pour vous en convaincre, il ne vous reste plus qu’àdécrocher votre téléphone et prendre rendezvous.Avec lui, pas de surprise : “Je viens systématiquement chez mes clients avec des échantillons desproduits que j’installe. Ainsi, dans le confort de leursalon, ils peuvent se rendre compte et se faire uneidée précise avant de faire leur choix”. Et quedemander de mieux ?

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Menuiserie-Ebénisterie :L'artisan Frédéric Dégut cultive ses différencesMenuisierEbéniste depuis trente ans, Frédéric Dégut peut, à tout le moins, se targuer d’une solideexpérience dans son domaine de prédilection. Installé à son compte dans le Jura depuis 2000 etdepuis bientôt cinq ans à Courlans à l’enseigne AC Design, à cinq minutes en voiture de Lons,l’homme se réclame de la corporation des artisans.

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L’agence lédonienne, exclusivement spécialisée dans la transaction, appartient au premierréseau national à frais réduits. Elle s’appuiedepuis l’ouverture sur la même équipe de professionnels entreprenants et dynamiquesdont l’efficacité, le sérieux et la rigueur ontdéjà séduit près de 450 clients qui n’ont pashésité à lui confier un mandat. A la coquetteagence du numéro 39 de l’avenue JeanMoulin, en plein centreville de Lons, l’agent immobilier encarté Rodolphe Jeanjacquot, laconseillère immobilière Delphine Sorgue etl’assistante commerciale Corinne Gauthierreçoivent une clientèle chaque jour plus imposante, séduite par le concept “4 %” développépar un groupement qui en a fait son cheval debataille et… sa raison sociale : “Statutairementet contractuellement, nous nous engageons

à ne pas dépasser 4 % TTC d’honorairesd’agence ou un forfait de 4 000 euros pour lesbiens inférieurs à 100 000 euros. Cela nous permet de proposer à nos clients des prix beaucoup plus attractifs que ceux qu’ils peuventtrouver dans des agences traditionnelles quiexigent régulièrement entre 6 et 8 % d’honoraires, et parfois jusqu’à 10 %. Le tarif de nosprestations est d’ailleurs le premier cadeau quenous faisons à notre clientèle et la confiancequ’ils nous rendent est notre plus granderécompense. Qu’ils en soient remerciés !”, sourit Rodolphe Jeanjacquot, ravi de se retrouverà la tête d’une petite entreprise qui ne connaîtpas la crise : “Nous avons réalisé une très belle

année 2012 et celle qui débute commence trèsbien. Nous sommes plutôt optimistes car ilapparaît que, dans un contexte économiquecontraint, le concept de frais réduits dont nousavons fait notre modèle économique soit particulièrement bien adapté aux attentes desgens et à la conjoncture”. Conjugué au renchérissement du marché du neuf, dont les tarifsont fait un sérieux bond en avant en raison ducoût drastique des mises aux normes environnementales et énergétiques, le taux historiquement bas des emprunts bancairesconcourt à booster le marché de l’immobilierancien et dope les activités de “4 % Immobilier” qui, un bonheur n’allant jamais seul, s’estoffert pour son deuxième anniversaire un petitrelookage en changeant son logo et sa signalétique avant de l’afficher à l’arrière d’un busurbain qui sillonne la ville. On n’a pas tous lesjours deux ans !

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4 % Immobilier 39, avenue JeanMoulin 39000 LONS�LE�SAUNIER Tél. : 03 84 85 38 40

Deux ans et pas plus ! C’est, en tout etpour tout, le temps qu’il aura fallu à l’équipe

de l’agence lédonienne “4 % Immobilier” pour se faireconnaître et s’installer définitivement comme le partenaire incontour-nable des vendeurs et des acheteurs de biens immobiliers de la région.

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c’est l’adopter !� Publ i rédac t ionne l


Comment aménager son jardin ?Le jardin est une affaire de goût personnel, chacun le conçoit en fonction deréférences particulières. Il doit pourtant respecter l’équilibre du paysage.

La création d’un jardin doit s’inscrire dans une démarche globale deconception, mêlant l’observation du terrain dans son site, le jardin idéalisé et les moyens à mettre en œuvre. D’une part, les caractéristiques du

terrain (pente du terrain, ruissellement des eaux, ensoleillement, vents…)

induisent une série d’options dont il faudra tenir compte pour la concep

tion du jardin. Les différents types d’aménagement détermineront les

espaces : végétal ou minéral, sophistiqué ou champêtre, esthétique, fleuri

et planté d’arbustes, thématique… Les espèces sont plantées en fonction

de leur rôle dans le jardin. Les arbres à feuillage caduc portent de l’ombre

en été, une haie discontinue protège mieux du vent, les arbustes en bos

quets, en quinconces, ou en haies, protègent des vues, les plantes grim

pantes ou arbustes peuvent dissimuler un élément disgracieux…

La clôture, limite de la parcelle, établit un dialogue avec l’environnement :

les vues sur la campagne ou la ville, le voisinage et le passant. Dans le

Jura, les formes traditionnelles sont variées : murets de pierres ou pierres

levées dans le Vignoble ou sur le Premier Plateau, haies discontinues dans

le reste du département, grillage ou clôture de parc. Ces formes

anciennes sont à conserver et entretenir. Toute plantation de plus de

deux mètres de haut doit être distante de deux mètres des limites de pro

priété. Si la hauteur des plantations est inférieure à deux mètres, la dis

tance est réduite à cinquante centimètres. Sources : CAUE

Quelle ampoule choisir ?Les ampoules à filament se sont définitive-ment éteintes le 31 décembre dernier suite àune interdiction progressive de l’UnionEuropéenne. Comment s’y retrouver parmiles différentes ampoules basse consomma-tion proposées sur le marché ?

La lampe à incandescence traditionnelle, appeléeaussi lampe à filament, ne grésillera plus dans vossalons. Inventée en 1879 par Joseph Swan etaméliorée par les travaux de Thomas Edison, cetteampoule avait le défaut de ne transformer que 5 %de l’énergie en éclairage, perdant le reste enchaleur. Fluo-compactes, halogènes ou LEDS, les

ampoules de nouvelle génération sont moinsénergivores.

Comment s’y retrouver ?Les fluo-compactes conviennent davantage aux pièces allumées longtemps. Elles sont peugourmandes, mais quatre fois plus chères que lesampoules à incandescence. Inconvénients : elles contiennent du mercure et émettent deschamps électromagnétiques.Les ampoules halogènes basse tension sontmoins chères que les fluos-compactes ou lesLEDS, mais consomment plus, et ont une durée devie plus courte que ces dernières. Enfin, les LEDS ont la meilleure durée de vie et lameilleure performance énergétique. Elle restecependant assez onéreuse, et il en faut plusieurspour illuminer une grande pièce.

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La maison de santé pour avril 2014Pour anticiper les futurs départs à la retraite des médecins du territoire, la mairie de Poligny lançait en 2008 uneétude pour la construction d’une maison de santé. Les travaux devraient débuter en avril.

Présentées comme une alternative aux déserts médicaux, lesmaisons de santé pluridisciplinaires permettent un regroupement de professionnels desanté, solution plus souple que

d’installer son propre cabinet.Pour la communauté de communes du Comté de GrimontPoligny, sept médecins généralistes exercent pour un bassin depopulation de 12 000 habitants.

Soit un ratio d’un médecin pour1 700 habitants. Une densitérelativement correcte par rapport à la moyenne nationale(1 pour 1 000), notamment enterritoire rural. Oui, mais c’estsans compter le futur départ à laretraite de trois de ces médecins, dans les cinq ans à venir.C’est ainsi qu’en 2008, la mairiepolinoise se penchait sérieusement sur un projet de construction d’une maison de santé, permettant de regrouper sous unmême toit plusieurs praticiens.“L’objectif est de maintenir lesprofessionnels sur le territoire etanticiper leur diminution”explique le maire de PolignyDominique Bonnet. Un projetqui a mis une année pour arriverà maturation, car les élus ontsouhaité y associer pleinement

les professionnels. Un projet desanté a été ficelé avec eux,autour de thématiques telle quel’adaptation à un public de personnes âgées. “Un autre point arenforcé notre idée : un nouveaulaboratoire d’analyses va êtrecréé et sera accolé à la maisonde santé, qui ellemême sera àcôté de l’hôpital”. Les locaux, d’une superficie de1 000 m2, accueilleront cinqkinésithérapeutes, quatre généralistes, trois dentistes, quatreinfirmières, quatre autres spécialistes, ainsi qu’une surfaceaménageable pour d’autres professionnels à venir. Une salle depremières urgences est également prévue. Bien que la structure soit financée par des fondspublics, ces professionnels resteront des libéraux, et paieront

Poligny - Santéun loyer à la collectivité. Latâche la moins aisée sera de lesattirer en dehors d’une zoneurbaine. Pour ce faire, la mairiemise sur des logements mis àleur disposition, et des loyersraisonnables. “Nous savons bienqu’il n’est pas évident d’attirerles médecins, ils ne se bousculent pas et préfèrent les grossesstructures. Il y a une hantise dumédecin de campagne et sasemaine de 70 heures. Mais unregroupement permettra justement plus de fluidité”. Les travaux devraient débuterdébut avril et s’étendront surune année. L’enveloppe globales’élève à 2,4 M€ TTC, financéepar des subventions du Conseilgénéral, de la Communauté decommunes, de l’Etat, et unepetite partie de la Région. Pourl’heure, un couple de généralistes a déjà déposé sa candidature. Dominique Bonnet assureque la mairie laissera le soin auxprofessionnels du territoired’étudier les candidatures sansintervenir, et n’assurera également pas la présidence.

Céline Garrigues

Une charte pour noter l’engagement bio et local dans la restauration collectiveQuatre collèges, quatre lycées et deux restaurations centrales jurassiennes ont choisi de s’engager dans le développement durable en rédigeantensemble une charte afin de valoriser les produits biologiques et locaux.La cuisine centrale de LonsleSaunier était précurseur en lamatière, et cette expérience faitaujourd’hui des émules. C’est àplusieurs que le développementdurable de demain se dessine :ces établissements qui ontdécidé de réfléchir ensemble surcette problématique l’ont biencompris. Chaque responsablesignait la charte “Carte surtable” le 22 janvier dernier aulycée agricole de Mancy, et s’engageait ainsi à favoriser les produits bio et locaux dans leurmenu. A l’initiative de ce projet,les lycées agricoles de Mancy etMontmorot planchaient d’abordavec les établissements les plusmotivés à revoir leur cuisine.Cependant, même avec lameilleure volonté, les structuresse heurtent souvent aux mêmestypes de contraintes. “L’aspectfinancier est souvent une difficulté mise en avant” concèdeMuriel Lesaint, chef de projet departenariat – circuits courts

pour les deux lycées. “Mais onse rend compte qu’il y a unemarge de manœuvre, notamment en réduisant le gaspillage,en modifiant les conditionnements, en étudiant d’autres produits bruts plutôt que transformés…”. S’il est donc possible decompenser ce surcoût, cela nese fait pas du jour au lendemain,et dépend aussi de la motivationdes équipes.

Des mesures concrètesPour répondre à ces difficultés,un groupe de travail s’est ainsiconstitué depuis début 2012 àl’initiative des lycées de Montmorot et Mancy, avec les responsables de 10 restaurationscollectives jurassiennes. L’occasion d’échanger et de réfléchirsur les solutions à mettre enplace pour valoriser les circuitscourts. Les responsables ontrédigé main dans la main unecharte baptisée “Carte surtable”, qui définit les objectifs àatteindre pour chaque établisse

ment. Chaque critère à respecter de la charte répond à un système de notation qui atteint untotal général de 200 points.“L’idée est de progresser d’année en année, et de mesurer cesprogrès” continue MurielLesaint. “En fin d’année, les établissements se réuniront, et on

mettra en avant le lycée où uneffort particulier a été réalisé”.Et puisqu’il s’agit de jouer “cartesur table”, l’opération se déroulera en toute transparence. Pourcette première année test, lesrésultats seront transmis auxconvives et aux parentsd’élèves. C.G.

Mantry - Produits biologiques et locaux

Les établissements signataires :Collège Michel Brezillon d’Orgelet,Collège Bichat d’Arinthod, Collège des Lacs de Clairvaux-les-lacs,Collège du Plateau de Lavans-les-Saint-Claude, Lycée Pierre Vernotte de Moirans-en-montagne, Lycée Jean-Michel de Lons, Lycée Mancy de Lons, Lycée Edgar Faure deMontmorot, Restaurant municipal deLons et CHS Dole St Ylie de Dole.

Littérature jurassienneLa chair des objets, nouveau livre deColette FoisyObjets utiles ou futiles, outilsagricoles obsolètes conservésen pensant qu’un jour ilspourraient servir encore : tousfont actuellement le bonheurdes écomusées. Colette Foisya souhaité les mettre enlumière dans son dernierouvrage “La chair des objets”.Ici un couperacines rouillé, làun van en osier ; au fond de l’étable – où depuis belle luretteaucun animal n’a mis les sabots – une sarcleuse et un entonnoirà vendange. Dehors une râteleuse à foin avec ses longues dentsrecourbées… Lecteurs, vous changerez de siècle… Dans de vieuxplacards un tonneletgourde, des sabots, une balance et unpeson, un portegraisse, un ensemble de toilette, des cardes, undévidoir à laine, un fer à repasser en fonte, etc. Toutes ceschoses possèdent une histoire particulière et souvent émouvante. Nostalgiques du passé, ce livre vous ressemble. JT“La chair des objets”, éditions du Vendredi est disponible chezl’auteur à Villers-Farlay (03 84 37 62 04 - [email protected]),en maisons de presse, librairies et commerces du Val d’Amour

Robert Viel marche sur les terres de son pèreEcrivain jurassien aux origines sibériennes, Robet Viel vient depublier son second ouvrage, “J’irai marcher sur ses terres”. Dansson premier livre, “Christophor Glotoff, l’homme du Baïkal”, ilretrace la vie de son père, né dans un village proche du lac Baïkal en Sibérie, et qui aurait eu 100 ans cette année. Dans ce nouvel opus, il fait découvrir la Russie, et notamment la Sibérie, sousun jour nouveau, grâce aux huit voyages qu’il a entrepris dansune contrée où la nature est encore intacte. “Beaucoup d’amiset de futurs lecteurs vont apprécier de découvrir ce pays dans unvent de fraîcheur, sous l’angle de l’humilité, de sa richessehumaine. C’est la Russie, la Sibérie profonde que je mets sur ledevant de la scène : la mienne tout simplement”.“J’irai marcher sur ses Terres”, éd. du Murmure.

André Besson dévoile les “Secrets de la forêt”Les milliers de spectateursayant assisté à la projectionen multivision panoramiquedu film “Secrets de la forêt deChaux” réalisé par l’APUS etdont André Besson avait déjàécrit le scénario et les commentaires, peuvent désormais revoir les magnifiquesimages dans le nouvelouvrage intitulé “Secrets de laforêt – Mystères d’un paradisretrouvé”. Lire ce livre merveilleusement illustré, c’ests’enfoncer dans les entrailles de cette immense forêt. Desdruides et Templiers d’hier aux chasseurs, cueilleurs et promeneurs d’aujourd’hui, seules les voûtes gothiques des alléesbordées de chênes séculaires n’ont pas changé. Cet ouvrages’adresse aux amis de la nature de tous les âges. Couleurs,odeurs, bruits, rien n’a changé. Il est une continuité du filmdont les photos et prises de vue signées Henri Bertand etautres photographes et cinéastes de l’APUS sont particulièrement réussies.“Secrets de la forêt” par André Besson aux éditions Cabédita –144 pages – 23 € - En vente en librairie ou sur www.cabedita.ch

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Une nouvelle salle pour le Bœuf sur le toitLe pôle artistique du Bœuf sur le toit sera l’objet d’une rénovation massive dès septembre 2013. La salle centrale sera intégralement détruite pourfaire place à un bâtiment neuf à l’architecture moderne, offrant plus de capacité et de meilleures conditions d’accueil.La salle du Bœuf sur le toit, quihéberge de nombreuses associations culturelles, faisait étatdepuis longtemps déjà desérieux problèmes phoniques etd’étanchéité. Ce sont ainsi delourds travaux que la mairieannonçait le 24 janvier dernieraux associations : en effet, elleprévoit une démolition totalede la salle centrale, ainsi qu’uneréhabilitation des bâtimentsannexes. Ces derniers serontéquipés notamment de studiosson, permettant d’accueillir lesgroupes dans des conditionstechniques optimales. D’unesurface d’emprise au sol de934 m2, la nouvelle salle sera

équipée de gradins, ainsi qued’un éclairage performant. Lestravaux permettront de supprimer les piliers encombrants. Lacapacité sera de 980 places,dont 300 places assises en gradins. Les travaux devraientdébuter en septembre, pourune durée d’un an. Le coût global de l’opération s’élève à2,3 millions d’euros, financéspar la Ville, par une subventionde la DETR (Dotation d’équipement des territoires ruraux) de229 000 euros, par un fondsministériel de 229 000 euros, etpar la Région à hauteur de264 000 euros.

C.G.

Lons-le-Saunier - Culture

Crédit : Cabinet dʼarchitecture Gutfreund et Chalumeau

Une expo pour comprendreles causes de la faimLe Comité Français pour la Solidarité Internationale (CFSI) et leréseau Alimenterre proposent une exposition dans le cadre de lacampagne Alimenterre. Jusqu’au 15 février dans le hall de lamédiathèque de l’IUFM de Lons-le-Saunier, huit panneauxseront mis en avant pour comprendre les causes de la faim dansle monde et donner des pistes d’actions concrètes et durablespour l’éradiquer.

Au fil de l’exposition, les visiteurs prennent connaissancedes problématiques liées àl’agriculture et l’alimentation àtravers plusieurs axes thématiques : l’agriculture familiale,l’agriculture biologique, la gestion des ressources naturelles,l’accaparement des terres, lesagrocarburants…Appuyés de questions et deparadoxes, les panneaux invitent à l’analyse des incohérences du système alimentaireactuel et à juger des change

ments qui doivent être réalisés.Accessible au grand public lorsde visites libres, comme aupublic scolaire dans le cadre devisites pédagogiques, cetteexposition est adaptée pour unpublic jeune de 15 à 25 ans.Un livret pédagogique est disponible en téléchargementpour animer l’exposition.

Exposition du 28 janvier au 15 février,Hall de médiathèque, IUFM deFranche-Comté, site de Lons leSaunier – 23 rue des écoles.Entrée libre lundi au vendredi 8 h / 18 h.

Lons-le-Saunier - Exposition

Venus déjà avec “cendres”, les revoilà ! Sacré scénario : troisclowns étranges, glauques et drôles si l’on veut, célèbrentl’enterrement de leur papa Kiki, clown à femme, mort d’unidiot arrêt cardiaque ! On baigne avec délice dans un humournoir, défoulatoire et psycho-marrant… “Tragicomique àsouhait”. Le 22 février à 21 h

Les 1er, 2 et 3 mars, avec l’équipe de Côté Cour 39 et le foyerrural de Macornay, une série de 4 spectacles joués par4 troupes de théâtre amateur, ainsi que des moments dediscussion seront proposées.

PREMIERES RENCONTRESDE THÉÂTRE AMATEUR

Au programme de L’Amuserie“AINSI SOIT-IL !” DE LA COMPAGNIE LA CHOUING

Jazz et électro au Moulin de BrainansMC2, UN HIP HOP ÉNERGIQUEGlitch hop, dubstep, lazer bass, future funk... on abeau inventer, on ne sait pas trop où classer MC2...et c’est tant mieux ! Parfait dosage d’efficacité et desubtilité, leur hip hop électronique plein d’énergiefait des ravages. Sur scène, le duo marseillaispratique le live intégral, armés de multiplescontrôleurs et de joysticks.Le 15 février à 21 h

Fidèle au jazz manouche, les DOIGTS de l’HOMMEne se laissent pas enfermer dans un genre. Au seinde ce quintet, l’esprit gypsy, synonyme degénérosité et d’aventure est bien là. Leurs multiplesinfluences musicales nous emmènent pour unpériple planétaire, idéal en cette année decommémoration des 60 ans de la disparition deDjango Reinhardt. La sortie de leur 5e album en2013 coïncide avec cet événement, nul doute qu’ilsvont sublimer ce style inébranlable. Le 23 février à 21 h

LES DOIGTS DE L’HOMME, L’ESPRIT MANOUCHE ET GYPSY

AFFAIRE JAZZEE, JAZZ MANOUCHE JURASSIENTrio jurassien, composé de deux guitares et d’une contrebasse,Affaire Jazzée innove en associant musique classique, bossanova, rumba et valse au jazz manouche. Distillant une musiqueintimiste et festive, ils allient des accords tziganes et desmélodies swinguées. Affaire Jazzée vous fera visiter l’Europe enempruntant les routes gitanes... Le 23 février, seconde partie de soirée

Au théâtre de Lons“MAÎTRE PUNTILA ET SON VALET MATTI” Maître Puntila est un riche propriétaire terrien qui administreavec une grande cruauté son domaine et ses gens. Mais il y aen réalité deux maîtres Puntila : celui qui boit et qui, sousl’effet de l’alcool, devient aussitôt humain, doux comme unagneau, prêt à ouvrir son cœur et sa bourse ! Et celui qui, àjeun, redevient acariâtre, dur, inflexible et radin comme unrat. Le premier à subir et à tenter de lutter contre cetteduplicité, c’est son fidèle valet Matti... Le 7 février au théâtre de Lons


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NAISSANCESLine de Sébastien ROYER et Aurélie BOISSON, BletteransÉlliandé de Olivier GAMBEY et Stéphanie CUINET, ChavériaMaxime de Cyrille DUBIEF et Emilie COUTANT, ChevrotaineLison de Patrick GUILLOT et Sophie AÏELLO, ClairvauxlesLacsPaul de Frédéric SASSARD et Corinne RENAUD, ClairvauxlesLacsFlore de Christophe DAMELET et Deborah RIFF, CourbouzonMathis de Julien PROST et Charlotte DEBORD, DomblansMaëlys de Ugo LALANE et Nolwenn JOURDAIN, FrontenayEnzo de Michel MARCHAND et Séverine NICOD, GiziaSoan de Christophe SIMERAY et Pascale BOUSSEMART, La ChassagneNoé de Frédéric MORGANT et Catherine MENIN, LonsleSaunierAdel de Adrachi MISTOIHI et Saoudati MCHAMI, LonsleSaunierUlysse de Walter NOGUEIRA CONTRERAS et Stéphanie ROSSIGNEUX, LonsleSaunierTéo de Franck MULLER et MarieMorgane PERNIN, LonsleSaunierYanis de Abdelghani BOUKRI et Kheïra SEDDIK, LonsleSaunier

Memet de Remzi SÖNMEZ et Yeter TOKTAS, LonsleSaunierHugo de Bruno NULDIN et Paula MACHADO, LonsleSaunierJulie de Charles BERTHELOT et Francine TIXIER, MontmorotPaul de PierreAndré BADOS et Cynthia HOWALD, MontmorotEdzio de Yohann BALLAUD et Anaïs RAMONET, OnozLina de Nicolas CLÉMENT et Justine CROCHET, PlaisiaBerat de Ilyas ЦZEL et Nese KOЗ, PolignyManon de Lionel ROCHE et Céline ETHEVENOT, PontdePoitteNoé de Emmanuel CHEVALIER et Edwige ARNAUD, QuintignyNaelle de Christophe GARNIER et Lucie BOULET, SaintDidierArthur de David CRISINEL et Audrey MELONI, SaintLamainJoris de Julien MONET et Ludyvine CHAMBERLAND, VerciaNolan de Mathieu CHAMOIS et Jennifer PETIT, VillevieuxMaèva de Brian ORCIER et Marina PERNAUDET, Villevieux

DÉCÈSMELQUIOND Albert, Beaufort, 79 ansPUYFAGES Jean, Beaufort, 82 ansGOUDOT Régis, Beaufort, 84 ansGRÉAT André, ChapelleVoland, 72 ansRICHARD Madeleine, Chevreaux, 91 ansVILLETTE Daniel, Chille, 71 ansROY Robert, Courlans, 84 ansSIMONIN Paul, Courlaoux, 80 ansVADOT Gilbert, Frébuans, 87 ansARMION JeanPaul, Hautecour, 67 ansHAAG Isabelle, Le Louverot, 56 ansPROTET Jean, LonsleSaunier, 81 ansSALENBIER Odette, LonsleSaunier, 80 ansSKALSKI Bernard, LonsleSaunier, 54 ansDALLOZ Roger, LonsleSaunier, 98 ans

PINTIER JeanPierre, LonsleSaunier, 65 ansBORDY Jeanine, LonsleSaunier, 79 ansMOINE Andrée, LonsleSaunier, 68 ansBADOT Blanche, LonsleSaunier, 98 ansCABUT Maurice, LonsleSaunier, 83 ansKOKEMNOS Jean, LonsleSaunier, 62 ansNAINTRÉ Robert, LonsleSaunier, 106 ansBOURDY Marcelle, LonsleSaunier, 83 ansRODOT Jacques, LonsleSaunier, 6

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