Rapport sur moi

Compagnie The Party D’après Grégoire Bouillier

Mise en scène Matthieu Cruciani

Du vendredi 30 mai au dimanche 1er juin / Théâtre des Feuillants

THÉÂTRE EN MAI FESTIVAL DU 23 MAI AU 1ER JUIN 2014

Contact presse : Florent Guyot 03 80 68 47 37 06 85 57 25 54 f.guyot@tdb-cdn.com

Billetterie / réservations : Parvis Saint-Jean Rue Danton 03 80 30 12 12 Billetterie en ligne : www.tdb-cdn.com

RAPPORT SUR MOI VENDREDI 30 MAI VENDREDI 30 MAI VENDREDI 30 MAI VENDREDI 30 MAI ÀÀÀÀ 22H, SAMEDI 31 MAI 22H, SAMEDI 31 MAI 22H, SAMEDI 31 MAI 22H, SAMEDI 31 MAI ÀÀÀÀ 20H & DIMANCHE 120H & DIMANCHE 120H & DIMANCHE 120H & DIMANCHE 1ERERERER JUIN JUIN JUIN JUIN ÀÀÀÀ 20H3020H3020H3020H30

Théâtre des Feuillants Théâtre des Feuillants Théâtre des Feuillants Théâtre des Feuillants –––– DuréeDuréeDuréeDurée 1h151h151h151h15

COMPAGNIE THE PARTY

D’APRÈS GRÉGOIRE BOUILLIER MISE EN SCÈNE MATTHIEU CRUCIANI

AVEC PIERRE MAILLET, ÉMILIE CAPLIEZ ET MATTHIEU DESBORDES

Lumières Ronan Bernard Scénographie Marc Lainé Costumes Claire Raison

Atelier décor et costumes La Comédie de Saint-Étienne Régie générale Arnaud Olivier Régie son Fabrice Drevet

Production déléguée La Comédie de Saint-Étienne – Centre Dramatique National

Coproduction Compagnie The Party

Pierre Maillet : Grégoire, batterie Emilie Capliez : Marie blanche, clavier, chœur

Matthieu Desbordes : Nicolas, piano, guitare, batterie, leader charismatique

EXTRAIT « L’histoire se répète de manière

LA FABLE © J.A Raveyre Grégoire Bouillier a compris très tôt ce qu’est la littérature : à 10 ans, alors qu’il n’a jamais vu le Maroc et qu’une maladie l’a privé de son odorat, il obtient la meilleure note en rédaction pour sa description du souk de Marrakech et de ses odeurs enivrantes et exotiquroman, l’auteur raconte une existence symétrique où enfance et âge adulte se répondent. Avec beaucoup de lucidité il subit les frasques de ses parents, les maux de l’enfance et une vie sentimentale particulièrement agitée. Avec toujours en tête la même question : que retirer de ses expériences ? Rapport sur moi est une traversée singulière et personnelle des annéeséchos troubles de mai 68 à ce qu’on nomme Traversée de fêtes et de musiques, d’appartements aux décorations évolutives, de maîtresses et de maladies, de tentatives de suicide, de fuite ou de disparition. Un voyage plein de lucidité et d’humour blanc, où l’écriture à vue de la petite h Bouillier y trace une mythologie individuelle et subjective.

L’AUTEUR Grégoire Bouillier est né en 1960. Avant de publier son premier roman, autodidacte auto-revendiqué est tour à tour peintre,et publie quelques textes aux revues littéraires L’Infini et NRV.Amateur de rock’n’roll et de Bret Easton Ellis, un brin superstitieux, "comme tous les gens rationnels", Grégoire Bouillier a une vision toute personnelle de la littérature.Pour lui, les livres ne se cantonnent pas au simple rôle de passeune influence sur la vie, le devenir des lecteurs.

L’histoire se répète de manière caricaturale. »

a compris très tôt ce qu’est la littérature : à 10 ans, alors qu’il n’a jamais vu le Maroc et qu’une maladie l’a privé de son odorat, il obtient la meilleure note en rédaction pour sa description du souk de Marrakech et de ses odeurs enivrantes et exotiques. Dans cette autobiographie dissimulée en roman, l’auteur raconte une existence symétrique où enfance et âge adulte se répondent.

Avec beaucoup de lucidité il subit les frasques de ses parents, les maux de l’enfance et une vie ent agitée. Avec toujours en tête la même question : que retirer de ses

Rapport sur moi est une traversée singulière et personnelle des années 70 à la fin des années 90, des échos troubles de mai 68 à ce qu’on nomme présentement la post modernité.

Traversée de fêtes et de musiques, d’appartements aux décorations évolutives, de maîtresses et de maladies, de tentatives de suicide, de fuite ou de disparition. Un voyage plein de lucidité et d’humour blanc, où l’écriture à vue de la petite histoire s’enchâsse dans la grande.

Bouillier y trace une mythologie individuelle et subjective.

Grégoire Bouillier est né en 1960. Avant de publier son premier roman, Rapport sur moirevendiqué est tour à tour peintre, employé de bureau et enfin journaliste. Il collabore

et publie quelques textes aux revues littéraires L’Infini et NRV. Amateur de rock’n’roll et de Bret Easton Ellis, un brin superstitieux, "comme tous les gens rationnels",

toute personnelle de la littérature. Pour lui, les livres ne se cantonnent pas au simple rôle de passe-temps. Ils ont une véritable fonction, une influence sur la vie, le devenir des lecteurs.

a compris très tôt ce qu’est la littérature : à 10 ans, alors qu’il n’a jamais vu le Maroc et qu’une maladie l’a privé de son odorat, il obtient la meilleure note en rédaction pour sa description du

es. Dans cette autobiographie dissimulée en roman, l’auteur raconte une existence symétrique où enfance et âge adulte se répondent.

Avec beaucoup de lucidité il subit les frasques de ses parents, les maux de l’enfance et une vie ent agitée. Avec toujours en tête la même question : que retirer de ses

70 à la fin des années 90, des

Traversée de fêtes et de musiques, d’appartements aux décorations évolutives, de maîtresses et de maladies, de tentatives de suicide, de fuite ou de disparition. Un voyage plein de lucidité et d’humour

Rapport sur moi, cet employé de bureau et enfin journaliste. Il collabore

Amateur de rock’n’roll et de Bret Easton Ellis, un brin superstitieux, "comme tous les gens rationnels",

temps. Ils ont une véritable fonction,

Et si lire est un mystère pour lui, dans une société où chacun peut facilement accéder à la télévision, au cinéma, à internet, où chacun à ses soucis, il n’en trouve pas moins un sens : "Parce que nous sommes des êtres de langage, les livres nous parlent et c’est aussi à travers nos lectures que nous parlons et agissons, même si nous avons tendance à oublier le livre posé sur la table de nuit". Il serait même amusant de voir pour soi-même ce que nous devons aux livres qui nous ont émus dans notre enfance, que ce soit Oui-Oui et la voiture jaune ou Le Club des cinq…. Il vit et travaille actuellement à Paris. Il a publié quelques textes dans les revues L’ Infini et NRV. Dans Rapport sur moi, son premier livre publié en 2002 (prix de Flore 2002), sa vie se dessine en filigrane au travers de brefs épisodes, souvent drôles, parfois à peine supportables dans leur violence et leur franchise. C’est ainsi que Grégoire Bouilllier fait surgir les lois souterraines de l’existence, et ce faisant, invite son lecteur à reconsidérer sa propre vie sous un angle nouveau. Il écrit L’Invité mystère publié en 2004 (mettant en scène notamment Sophie Calle) et Cape Canaveral en 2008

EXTRAIT "Un dimanche après-midi, ma mère surgit dans notre chambre où mon frère et moi jouons chacun dans notre coin : "Les enfants, est-ce que je vous aime ?" Sa voix est intense, ses narines fantastiques. Mon frère répond sans ambiguïté. J'hésite à me lancer du haut de mes sept ans. J'ai conscience de l'occasion et, en même temps, je redoute la suite. Je finis par murmurer : "Peut-être que tu nous aimes un peu trop." Ma mère me regarde avec épouvante. Elle reste un instant désemparée, se dirige vers la fenêtre, l'ouvre avec violence et veut se jeter du cinquième étage ..."

LE PROPOS " ©J.A Raveyre « J’ai eu une enfance heureuse. » Première phrase du petit livre. Suit une description au scalpel, froide et détachée, de la tentative de suicide d’une mère. Le drame laisse une tache de sang sur le mur, qui sert de cible à l’enfant pour jouer aux fléchettes. "[...] lorsque je mets dans le mille, j’imagine retrouver un bref instant la faculté de parler sans crainte". Dans le mille, effectivement, cette écriture sèche, distancée, pleine d’ironie sous-entendue, dépourvue du moindre larmoiement. Parler sans crainte ? Il a fallu que Grégoire Bouillier atteigne la quarantaine pour juguler ses angoisses sur le papier. Une mise à nu sans aucune complaisance. Encore moins de suffisance. Dépouillée et percutante. Au rythme fluctuant de la mémoire, l’auteur pêche ses souvenirs de bric et de broc, sans chronologie, et tente de comprendre qui il est. Sa mère n’a-t-elle pas eu la "bonne idée" de lui révéler qu’il avait été conçu lors d’une partie de jambes en l’air à trois ? Drôle de mère, drôles de parents, drôle d’enfance "heureuse" décrits avec sobriété et concision, comme il convient à un rapport. Pressentant que

« l’histoire se répète d’une manière caricaturalepsychanalytique les retentissements des jeunes années sur l’âge adulte. Les faits sont poignants, les relations avec la mère, le père, le frère, effrayantes, le constat lugubre. Le récit se clôt en miroir par un autre suicide raté de la mère. N’y auraitsens de la vie s’il n’existait, en parallèle de cet amoncellementinouïs ? Ceux que les femmes, par exemple, sont à même de procurer. Étonnement devant la saveur douce-amère de l’existence que Grégoire Bouillier résume en une formule éblouissante : dégingandé de la vie ». Preuve que l’autobiographie, à ceécrivain. Un vrai. Dernière phrase du livre, face à un dernier suicide raté, la mère souffle moi. » Réponse : « C’est encore heureux

LE SPECTACLE

© J.A Raveyre Rapport sur moi n’est pas une pièce de théâtre, ni vraiment un roman. C'est un texte singulier et unique, un inédit. L’enjeu, le plaisir, c’est de donner cette singularité si drôle et émouvante à voir. D'en donner une représentation vivante, où l’on s’impatienterait gentiment des filtres esthétiques habituels, pour ne garder que les codes fondamentaux, pour être compris avec une syntaxe simple, une franchise musicale. De créer, modestement, une forme originale. Pour cela, j’ai souhaité ajouter un contre point à la narration littéraire de jeu, pour jouer de perspectives et de distances, pour créer de la surprise. Nous avons donc ajouté de la fable à la fable, imaginant la vie d’un groupe les répétitions constituent l’activité principale, ainsi que la matière première de notre spectacle.Et Grégoire, personnage et narrateur, fait partie de ce groupe.C'est comme un cross over, le personnage d'un livre s'invite dans Pour donner vie à ce groupe, je me suis inspiré des dialogues d’un documentaire retraçant les aléas du groupe de speed métal Metallica pendant les 700 jours de création d’un de leurs albums.Ce documentaire rend compte du dialogue quoréflexions sur la place d’un batteur dans le cœur des fans, de l’avenir du solo de guitare dans le heavy métal de demain, ou de comment gérer l’éducation de ses enfants en bas âge quand on est en rehab à trois jours de se produire devant 100 000 personnes dans un stade Et c’est en clandestin, paradoxalement, que s’invite Grégoire, est ici batteur le groupe, discrètement amoureux de la pianun peu jaloux du leader charismatique (cheveux longs et guitare, fatalement).Il y a deux représentations en une donc, l’une à la matière « réelle » subjective, l’autre à la matière documentaire, objective, les deux

l’histoire se répète d’une manière caricaturale », Grégoire Bouillier fouille à la manière psychanalytique les retentissements des jeunes années sur l’âge adulte.

les relations avec la mère, le père, le frère, effrayantes, le constat lugubre. Le récit se clôt en miroir par un autre suicide raté de la mère. N’y aurait-il pas d’issue ? Et quel serait le sens de la vie s’il n’existait, en parallèle de cet amoncellement de calamités, certains petits bonheurs inouïs ? Ceux que les femmes, par exemple, sont à même de procurer. Étonnement devant la saveur

l’existence que Grégoire Bouillier résume en une formule éblouissante : . Preuve que l’autobiographie, à ce niveau d’exigence littéraire, peut révéler un

Dernière phrase du livre, face à un dernier suicide raté, la mère souffle « Même la mort ne veut pas de

C’est encore heureux. »

n’est pas une pièce de théâtre, ni vraiment un roman. C'est un texte singulier et

L’enjeu, le plaisir, c’est de donner cette singularité si drôle et émouvante à voir. D'en donner une représentation vivante, où l’on s’impatienterait gentiment des filtres esthétiques habituels, pour ne garder que les codes fondamentaux, pour être compris avec une syntaxe simple, une franchise

De créer, modestement, une forme originale.

la, j’ai souhaité ajouter un contre point à la narration littéraire de Rapport sur moi.jeu, pour jouer de perspectives et de distances, pour créer de la surprise.

Nous avons donc ajouté de la fable à la fable, imaginant la vie d’un groupe de rock, The Klongs, dont les répétitions constituent l’activité principale, ainsi que la matière première de notre spectacle.Et Grégoire, personnage et narrateur, fait partie de ce groupe. C'est comme un cross over, le personnage d'un livre s'invite dans une autre fiction.

Pour donner vie à ce groupe, je me suis inspiré des dialogues d’un documentaire retraçant les aléas du groupe de speed métal Metallica pendant les 700 jours de création d’un de leurs albums.Ce documentaire rend compte du dialogue quotidien du groupe en répétitions, les affres de ses réflexions sur la place d’un batteur dans le cœur des fans, de l’avenir du solo de guitare dans le heavy métal de demain, ou de comment gérer l’éducation de ses enfants en bas âge quand on est en rehab à rois jours de se produire devant 100 000 personnes dans un stade de Football américain.

Et c’est en clandestin, paradoxalement, que s’invite Rapport sur moi dans «son propre spectacle». Grégoire, est ici batteur le groupe, discrètement amoureux de la pianiste (qui n’en sait rien, bien sûr), et un peu jaloux du leader charismatique (cheveux longs et guitare, fatalement). Il y a deux représentations en une donc, l’une à la matière « réelle » subjective, l’autre à la matière documentaire, objective, les deux jouant de contrastes simultanés.

, Grégoire Bouillier fouille à la manière

les relations avec la mère, le père, le frère, effrayantes, le constat lugubre. Le il pas d’issue ? Et quel serait le

de calamités, certains petits bonheurs inouïs ? Ceux que les femmes, par exemple, sont à même de procurer. Étonnement devant la saveur

l’existence que Grégoire Bouillier résume en une formule éblouissante : « l’absolu niveau d’exigence littéraire, peut révéler un

Même la mort ne veut pas de

n’est pas une pièce de théâtre, ni vraiment un roman. C'est un texte singulier et

L’enjeu, le plaisir, c’est de donner cette singularité si drôle et émouvante à voir. D'en donner une représentation vivante, où l’on s’impatienterait gentiment des filtres esthétiques habituels, pour ne garder que les codes fondamentaux, pour être compris avec une syntaxe simple, une franchise

Rapport sur moi. Pour tendre le

de rock, The Klongs, dont les répétitions constituent l’activité principale, ainsi que la matière première de notre spectacle.

une autre fiction.

Pour donner vie à ce groupe, je me suis inspiré des dialogues d’un documentaire retraçant les aléas du groupe de speed métal Metallica pendant les 700 jours de création d’un de leurs albums.

tidien du groupe en répétitions, les affres de ses réflexions sur la place d’un batteur dans le cœur des fans, de l’avenir du solo de guitare dans le heavy métal de demain, ou de comment gérer l’éducation de ses enfants en bas âge quand on est en rehab à

de Football américain.

dans «son propre spectacle». iste (qui n’en sait rien, bien sûr), et

Il y a deux représentations en une donc, l’une à la matière « réelle » subjective, l’autre à la matière

Il m’importait de réfléchir le narrateur comme le contraire d’un héros littéraire, comme un anonyme pensant, un inconnu vivant. Par lui, c’est le théâtre que je souhaitais voir vivre à la marge, pour le réduire à son essence, le mettre en survie, le percoler. Ce dispositif nous permet ainsi un parcours troublant : du réel de sa vie passée, Bouiller fait roman. Ce roman, nous le remettons nous au présent, au réel d’une représentation. Du réel filmé des répétitions de Metallica, nous faisons roman ou fiction en les transposant au théâtre. Cela dans le même mouvement croisé. Et ces deux spectacles échangent, parlent des mêmes choses avec des mots différents, comme deux amis très différents que l’on voudrait se faire rencontrer. © J.A Raveyre

PLAYLIST Hey - Pixies In particular et for the damaged - Blonde redhead Le responsable - Jacques Dutronc The man who sold the world - David Bowie Chercher le garçon - Taxi girl Get misanderstood - Trouble makers Slogan – Serge Gainsbourg

CV Matthieu Cruciani, metteur en scène / comédien Né le 23/02/1975 FORMATION : 1999 / 2002 : Elève à l’école du Centre Dramatique National de Saint Etienne. Intervenants : P. Debauche, C. Guerre, M. Didym, C. Colin, C. Baugué, B. Houplain, M. Bernardy, P.E. Heymann, A. Del Perugia, S. Tranvouez. 1997/1999 : Elève à l’école du Théâtre National de Chaillot. P. Vial, M. Marion, G. Cohen.

MISES EN SCÈNE : 2010 : FAUST, Goethe, Festival Nuits de la Bâtie d’Urfé PLUS QU’HIER ET MOINS QUE DEMAIN, I. Bergman, A. Moravia, G. Courteline, Co-mise en scène avec P. Maillet, Scène Nationale de Rouen RAPPORT SUR MOI, G. Bouiller, Volière Dromesko. Maquette 2009 : GOUTTES DANS L’OCEAN, R.W. Fassbinder. Théâtre Mouffetard. 2007 : L’INVENTION DE MOREL, A. Bioy Casares. Festival Nuits de la Bâtie d’Urfé 2006 : EXIT, H. Selby.Jr. 2004 : ORION, texte et mise en scène JE SUIS LE MONDE MAIS LE MONDE N’EST PAS MOI, D. Harms, co-mise en scène avec M. Bedleem. SPECTACLES EN TANT QUE COMÉDIEN: 2010 : LA VIE EST UN SONGE, P. Caldéron - D. Mesguich, CDN Montpellier, Théâtre 13. LA TRAGEDIE DU VENGEUR, Tourneur - J.F Auguste, Ferme du buisson. 2009 : PRENDS SOIN DE L’OURS, S. Coher - C. Gresset, Théâtre de l’Arpenteur, Théâtre National de Bretagne. 2008 : LE CRISTAL ET LA FUMEE, J. Attali - D. Mesguich. WE CAN BE HEROES, A. Pirault. LE SICILIEN, Molière - E. Capliez. 2007 : LA CHEVAUCHEE SUR LE LAC DE CONSTANCE, P. HandkE- P. Maillet. RUY BLAS, V. Hugo - W. Mesguich. 2006 : LES NUITS BLANCHES, F. Dostoievski - M. Bedleem, E. Capliez, L. Lemesle HELENE, J. Audureau - S.Tranvouez. KATERINE BARKER, J. Audureau - S.Tranvouez. THEATRE VOLE, L. Javaloyes - P. Maillet. 2005 : ACTES DE TCHEKHOV, A.Tchekov - D. Mesguich MERES ET FILS, A. Arias. JEREMY FISHER, M. Rouhabi - E. Capliez. LE PRINCE DE HOMBOURG, H. Kleist - D. Mesguich. 2004 : SORTIE DE SCENE, N. Bedos - D. Benouin. L’EPREUVE, Marivaux - A. Jebeile. 2003 : DU SANG SUR LE COU DU CHAT, R.W. Fassbinder - P. Maillet. BEAUCOUP DE BRUIT POUR RIEN, W. Shakespeare - J.C. Berrutti. ROMEO ET JULIETTE, W. Shakespeare - A. Allain. CHAT ET SOURIS MOUTONS, G. Motton - M. Bedleem. 2002 : LE CABARET DU GRAND ORDINAIRE, J.P Siméon - C. Schiaretti. 2001 : BARBE BLEUE ESPOIR DE FEMME, D. Loher - S. Tranvouez. 2000 : PEINES D’AMOUR PERDUES, W. Shakespeare - J.Y Lazennec. Pierre Maillet Il fait partie du collectif Les Lucioles avec qui il travaille en tant que Metteur en scène et comédien. Il met en scène Preparadise sorry now de Rainer Werner Fassbinder (1995) qui remporte le Grand Prix du Jury Professionnel du Festival Turbulences au Maillon de Strasbourg. Igor et caetera… de Laurent Javaloyes (2001), Les ordures, la ville et la mort de R.W. Fassbinder (2003), deux textes de Lars Noren Automne et hiver en (2004)… Co-met en scène plusieurs projets avec des artistes comme Marcial Di Fonzo Bo Et ce fut… (1999), avec Mélanie Leray La veillée (2006), avec Matthieu Cruciani, Plus qu’hier et moins que demain (2010). En tant que comédien il a joué notamment dans : Depuis maintenant de Leslie Kaplan mis en scène par Frédérique Loliée (1996), Les Cabaret Lucioles (1997), Eva Peron de Copi, mis en scène par Marcial di Fonzo Bo (2002), Mes jambes si vous saviez quelle fumée… d’après l’œuvre de Pierre Molinier mis en scène par Bruno Geslin (2003), La Chaise de Florian Parra mis en scène par Mélanie Leray en 2007, La Paranoïa en 2009 et L’Entêtement de Raphaël Spregelburd mis en scène par Marcial Di Fonzo Bo et Elise Vigier. … Parallèlement à son travail avec les Lucioles, il a été assistant de Giorgio Barberio Corsetti. Il met en scène Du Sang sur le cou du chat de R.W.Fassbinder et L’Opéra des gens d’après John Gay et Bertolt Brecht (2003), Les Quatre jumelles de Copi et La Cage aux blondes avec Marie Payen et Aurélia Petit (2005), Les Bonnes de Jean Genet (2008), Anarchie en Bavière de R.W.Fassbinder en (2011). Il a également joué sous la direction de Christian Colin, Laurent Sauvage, Julien Geskoff, Patricia Allio, Hauke Lanz, Zouzou Leyens, Matthieu Cruciani, Marc Lainé, Guillaume Béguin…

Matthieu Desbordes Après avoir suivi un enseignement musical au C.N.R. d'Angoulême, à la faculté de musicologie de Tours, à Jazz à Tours, et auprès du batteur Simon Goubert, il accompagne sur scène Big Joe Turner, bassiste de B.B. King. Depuis une dizaine d'année, il multiplie les rencontres et les créations avec de nombreux artistes de jazz : la Cie Frasques, Erwann Jan, Louis Winsberg, Bruno Reigner et le X tet, Jean Luc Cappozzo, Cedric Piromali, Eclecpileptic... Membre depuis 1999 de la Cie dU COiN, il dirige à présent l'Orchestre Ducoin "Orchestre impertinent de musiques variées", pour lequel il crée et compose en 2011 avec Émilie Beauvais la comédie musicale Alice. Il est aussi musicien et compositeur dans les pièces de théâtre Kiss Me Quick m.e.s. Bruno Geslin, Cabaret m.e.s. Pierre maillet, Angel's In América m.e.s. Julien Rocha. Depuis 2003, il est professeur de batterie et de culture rythmique à Jazz à Tours et au C.R.R. de Tours dans le cadre du DEM jazz. En 2011, il fonde avec Émilie Beauvais la Cie de théâtre et musique Supernovæ qui donne le jour à L'Effet de Sol, évocation de la vitesse, de Gilles Villeneuve et du monde de la formule 1. Eleonore Du Bois Sortie du conservatoire du 5ème arrondissement de Paris en 2002. Elle est chanteuse-pianiste-clarinettiste au sein du groupe Éléo, qui a composé et enregistré notamment les bandes originales des films de Benoit Cohen Les Acteurs anonymes, Nos Enfants chéri, Qui m'aime me suive et le générique de la série inspirée du film Nos Enfants chéris, diffusée sur Canal +. Elle participe depuis 2002 à plusieurs projets en tant que chanteuse choriste sur divers albums Alex Beaupain, 33 Tours, Max Lars, Idem… En 2008 elle enregistre un album en tant que chanteuse du groupe ROCOCO Elle sort son premier album, Bedtime Story en 2011.

THE PARTY La compagnie The Party est fondée autour d’un metteur en scène, Matthieu Cruciani, et de six comédiens : Pierre Maillet, Sharif Andoura, Emilie Capliez, Yann Métivier, Christel Zubillaga et Jean François Auguste. Clément Vercelletto, compositeur, et Véronique Leyens, scénographe et costumière. The Party n’est pas pour autant un collectif et ne prétend pas l’être. C’est une bande, qui se propose de se réunir autour de projets théâtraux, musicaux, plastiques, et de se définir à travers eux. C’est une compagnie, car le mot, quand on s’y attarde, est assez joli. Elle est le fruit nouveau de compagnonnages nombreux et inscrits dans le temps. La réponse structurelle aussi à des exigences nouvelles, de légèreté et de vivacité, exigence de liberté et de singularité artistique. Elle se propose de faire du théâtre, dans la joie de la création et l’interrogation du monde qui l’accueille. Elle aime les contemporains. Elle aime aussi les classiques. Et plus encore ceux qui ne sont ni l’un ni l’autre. Elle aime lire, voir, entendre, rencontrer, et plus encore ce qui ne se laisse ni voir, ni entendre, ni lire ni rencontrer. Elle réfute tout dogmatisme, tout discours pré existant à la création, toute tyrannie formelle ou morale. Elle préfère la science fiction, le futur antérieur, l’imprécision. Elle a le souci de la pertinence et celui de l’impertinence. Elle a le gout de l’espoir et du désespoir. Elle a le désir du nouveau et du durable. Le désir de produire un théâtre clair et étonnant, questionnant sans cesse la réalité. Comme son nom l’indique, elle peut être diurne ou nocturne. Réussie ou ratée. Elle se rêve toujours surprise, surprenante, en mouvement. Elle porte le nom d’une fête et en aime l’énergie.

Contact : Direction : Arnaud Meunier Comédie de Saint Etienne 7, avenue Émile Loubet F - 42000 Saint-Étienne Tél. : + 33 (0)4 77 25 01 24 Fax : + 33 (0)4 77 41 96 34 www.lacomedie.fr