Entre le difﬁcile démarrage et les nouvelles mesures ... · Ces copropriétés abordables à 15...

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Le Bulletin d’informations et d’analyses au service de l’immigration au Canada 61ème parution

Le prix des choses

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inscription en ligne des deMandes pour le prograMMe des travailleurs qualifiés du québec (ptqq)

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acheter des véhicules usagés au QuébecVous avez ci-dessous des propositions de prix de certains

véhicules usagés au Québec

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iMMigration et MarCHé du travail au QuébeC

Comment réussir son intégration professionnelle ?(Une conseillère en emploi donne des astuces pertinentes)

eConoMie

12 700 nouveaux emplois en décembre dernier au Québec• Les économistes annoncent une croissance économique en 2016 et 2017

MarCHé du travail

Plusieurs débouchés dans le secteur des jeuxvidéo à Montréal

etudes et prévisions du ConferenCe board

Croissance économique attendue dans plusieurs provinces canadiennes en 2016

eduCation et vie professionnelle

Les étudiants internationaux s’installent deplus en plus au Canada après leur étude

Habitat au QuébeC

Ces copropriétés abordables à 15 minutes de marche d’une station de métro(Top 5 des stations de métro au prix médian le plus bas)Canada

Le meilleur canal pour réussir son immigration

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Grandes entreprises canadiennes

Les femmes de plus en plusreprésentées au sein desconseils d’administration

A Montréal, le marché du travail dans le secteur des jeux vidéo offre

d’importantes opportunités.Plusieurs entreprises du domaine conti-

nuent d’être à la recherche de nouveaux talents dans les métiers de

programmeurs, d’animateurs Gameplay et de concepteurs de jeux...

Comme prévu par le gouvernement du Québec,le démarrage du dépôt des demandes pour leProgramme des Travailleurs Qualifiés duQuébec (PTQQ) par le biais d’un nouveau sys-tème en ligne, a été bien effectif depuis le 05janvier 2016.Seulement, les candidats à l’immigration ontrencontré d’énormes difficultés dans cette ins-cription numérique nouvellement instituée. Lesgrandes défaillances techniques constatées auniveau du site gouvernemental n’ont pas faci-lité l’enregistrement des données.

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Les quatre employeurs qui recrutent actuellement dans le secteur des technologies de l’Information

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Marché du travail P. 17

Entre le difficile démarrage et les nouvelles mesures gouvernementales pour corriger les ratés

Lettre du PDG d’Accès Canada à la Ministre de l’Immigration du Québec

Les employeurs québécois se tournent vers la main-d’œuvre immigrante

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61ème parution 2

Nouvelles du CanadaNouvelles du Canada

InscrIptIon En LIgnE dEs dEmandEs pour LE programmE dEs travaILLEurs quaLIfIés du québEc (ptqq)

Comme prévu par le gouvernement duQuébec, le démarrage du dépôt des

demandes pour le Programme desTravailleurs Qualifiés du Québec (PTQQ) parle biais d’un nouveau système en ligne, a étébien effectif depuis le 05 janvier 2016.

Seulement, les candidats à l’immigration ontrencontré d’énormes difficultés dans cetteinscription numérique nouvellement insti-tuée. Les grandes défaillances techniquesconstatées au niveau du site gouvernemen-tal n’ont pas facilité l’enregistrement desdonnées.

Cette situation a crée dans le rang des can-didats à l’immigration, l’indignation et lapanique à cause du nombre restreint denouvelles demandes (2 800) attendu par leMinistère de l’Immigration, Diversité etInclusion (MIDI) du Québec et aussi lalongue attente qu’impose le site dans la sai-sie des données.

Nicolas Roberge, propriétaire d’Evolia, uneentreprise spécialisée dans le domaine del’informatique, s’insurge contre une tellelégèreté :« Ils n'ont absolument pas planifié la capa-cité qui était requise, ni même l'architecturedu système (…). En quatre ans de travail,c'est surprenant et troublant de voir qu'ilsn'ont pas été capables de planifier ça. », a-t-il fait observer... ».Pour avoir déjà créé des portails web pour leDirecteur général des élections et pour leministère des Affaires autochtones sansoublier bien d’autres projets liés aux transac-tions en ligne relatives par exemple au com-merce électronique, Nicolas Roberge, dontles services pour l’amélioration du site

avaient été refusés par le MIDI, met enexergue la légèreté qui a caractérisé laconception du portail « Mon projet Québec ».

Il critique également le processus d'attribu-tion des contrats informatiques du gouverne-ment par lequel les mêmes fournisseursseraient toujours privilégiés.Dans ce cafouillage inattendu, la firme AccèsCanada a également interpellé les autoritéscompétentes québécoises à ce sujet.

« Un gouvernement ne devrait jamais avilirdes candidats qui respectent le Québec et leCanada pour ses valeurs de justices etd'équités. (…) Ce quota doit être suspendu letemps que le système fonctionne correcte-ment. La Ministre sait très bien qu'il n'y aaucune urgence pour ce quota puisque l'in-ventaire existant permet encore au moins 2ans de traitement avant d'avoir besoin deces nouveaux dossiers. Et, dans le fond,quitte à demander les documents plus tardautant les demander tout de suite cette foisaussi, le temps de mettre en ligne un sys-tème qui fonctionne. (…) Pour toutes ces rai-sons et au nom de la logique et de l'équité, je

Kathleen Weil, Ministre de l’Immigration, Diversité et Inclusion

Entre le difficile démarrage et les nouvelles mesures gouvernementalespour corriger les ratés

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61ème parution 3

demande donc à la Ministre de prendre sesresponsabilités et les décisions qui s'impo-sent pour suspendre le processus lancé le 5janvier et mettre en ligne un système infor-matique qui fonctionne correctement dèsque ce sera possible ». M. Alain Guerrero,PDG d’Accès Canada, une firme d’immigra-tion francophone au Canada, a été fermedans sa réaction.

A travers plusieurs créneaux de communicationsociaux et institutionnels, la voix du consul-tant en immigration s’est fait entendre et aabouti finalement à une lettre adressée per-sonnellement à la Ministre de l’Immigration,Diversité et Inclusion, Kathleen Weil. A lasuite de cette correspondance, le gouverne-ment québécois a revu sa position et a prisdes mesures dans ce sens.

Désormais, les candidats ont eu jusqu'au25 janvier au lieu du 18 janvier pour créerleur profil sur le site. Ensuite, les Demandes

de Certificats de Sélection Québec (DCSQ)ont commencé à être complétées depuis le26 janvier pour prendre fin le 15 février.

Le 16 février 2016 est retenu comme le pre-mier jour pour soumettre la demande et cejusqu'au 31 mars ou jusqu'au jour où lequota de 2 800 dossiers sera atteint.

Si cette nouvelle mesure ministérielle aapporté de la sérénité dans le rang des can-didats à l’immigration au cours du processusde création des profils, l’insertion des DCSQdans la seconde étape du processus faitapparaître les mêmes ratés du début.

Nous vous proposons ci-dessous la lettre duPDG d’Accès Canada, Alain Guerrero, adres-sée à la ministre Kathleen Weil après lesdéfaillances techniques enregistrées sur lesite gouvernemental aux premières heuresdu démarrage de ces inscriptions.


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Madame la Ministre,

Vous êtes sûrement au courant, depuis le5 janvier dernier, de l’insatisfaction géné-ralisée qui découle de la mise en ligne devotre programme informatique « Monprojet Québec ».

Ceci dit, vous ne devez pas avoir le temps

de lire ce qui se dit sur les réseauxsociaux et les divers forums en immigra-tion concernant la frustration et la colèregénérée par votre nouveau système desoumission des DCSQ en ligne.

Nous vous avons donc fait un petitrésumé des centaines de commentairesnégatifs que votre système génère que

À l’intention de madame Kathleen WeilCabinet de la ministre Ministère de l'Immigration, de la Diversité et de l'Inclusion Édifice Gérald-Godin360, rue McGill, 4e étageMontréal (Québec) H2Y 2E9

OBJET : Votre système de soumission des DCSQ en ligne ;

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ce soit sur les forums de discussion, les murs des réseaux sociaux ou même lesmessages transmis au ministère parTwitter.

•… C’est hallucinant que ça se passecomme ça!!!

•…Pensez à retirer votre outil en ligne,ça ne fonctionne pas du tout.

•… Voilà 3 jours et nuits que j’essaiesans succès…

•…J’ai essayé à toutes les heures de lajournée des centaines et centaines defois…

•…Je crois qu’après 2 nuits d’insomnie,je vais entamer une grève de la faim!

•…Je suis pas informaticien mais jecommence à douter de votre système…un grand projet avec un système médio-cre! (sic)

•… J’ai essayé plus que 500 fois! (sic)

•…vraiment la production du site laisseà désirer…(...)

• ...j’ai du cliquer pendant plusieursheures (ce n’est pas exagérer!) … Je n’aipas dormi de la nuit (sic).

• …MERCI A MIDI D’AVOIR INVENTER LAMACHINE A REMONTER LE TEMPS!!Avec leur site, on se croit dans lesannées 80 où il faut deux heures pourqu’une page arrive et où toutes lesminutes une page d’erreur arrive! Je nesais pas combien ils ont payé l’informa-

ticien pour faire ce truc, mais franche-ment, moi je le payerais même pasl’euro symbolique…•…Moi je suis développeur mais depuisque je programme je n’ai jamais vu unsystème en production qui fonctionneaussi mal…

•…je parlais de bras cassés : comme sile site avait été fait par une bande dejuniors sans expérience (sans mêmeparler du retard dans la livraison du sys-tème). C’est ridicule.

•…on est pas au casino quand même.

•…MARRE DE CLIQUER. ELLE EST OÙL’ÉGALITÉ DES CHANCES…

Nous allons arrêter là, car nous pour-rions continuer à écrire toute la journée.Les mauvais commentaires sontlégions.

Les candidats sont TRÈS INSATISFAITSet cela est en train de se transformer enpréjudice irréparable pour l’image duQuébec.

Qu’un système mis en ligne pour la pre-mière fois connaisse des ratés, cela esttrès possible et pardonnable.

Par contre, que malgré la quantité decommentaires négatifs, le Ministère (etdonc la Ministre) ose dire à des candi-dats qui sont connectés depuis desjours ...


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61ème parution 5

et des nuits, que le système fonctionne,c’est se moquer d’eux. Nous avonsd’ailleurs fait tester votre site par desprogrammeurs et rien ne confirme qu’ilfonctionne adéquatement.

Quant à leur clamer en boucle que lesystème est simplement lent, difficile,mais qu’il faut persévérer et réessayer,être patient, c’est carrément de la mal-traitance.

Comme si le temps ou la santé de cesgens qui ont de l’estime et de l’intérêtpour le Québec n’avaient aucune impor-tance ou encore qu’ils ne sont pas assezintelligents pour tirer leur propre conclu-sion.

Je me permets aussi de vous rappelerque c’est vous qui étiez en poste àce même ministère dès août 2010et que c’est durant cette secondemoitié de 2010 et l’année 2011 que prèsde 100 000 demandes ont été déposéessans aucune réaction de votre part,alors que la loi vous permettait de réagirafin d’éviter cette énorme accumulation.Cet inventaire qui a bloqué la vie descandidats durant des années, c’est vousqui l’avez provoqué en 2011.

C’est aussi à cause de cette accumula-

tion d’inventaire qu’aujourd’hui votreministère rejette les dossiers pour desraisons futiles après avoir fait perdredes années de vie à des milliers degens. Nous faisons ici référence auxintentions de rejet pour documentsmanquants.

En règle générale, l’inaction ne donnejamais de bons résultats.

Il vous appartient maintenant de pren-dre des mesures immédiates, madamela Ministre.

À présent, les candidats savent quevous avez été informée du problème. Ilsattendent donc une réaction rapide devotre part.

Veuillez croire, madame la Ministre, enl’expression de nos salutations distin-guées.

Alain Guerrero LL.L.Consultant agréé auprès du CRCIC

Et au Registre québécois des consul-tants en immigration

Cc :

- 521 000 amis Facebook du site Accès Canada ;

- Principaux forums de discussion reliés à l’immigration.


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61ème parution 6

Justin Trudeau, Premier Ministre du Canada


L’économie canadienne

En brèves…séminaire spectre 2016

Des experts identifient les réels déterminants de l’économie canadienne en 2016

respect des promesses électorales

Des mesures gouvernementales qui réduisent les impôts de la classe moyenne

La croissance de l’économie améri-caine, la baisse du prix des métaux et

la diminution du prix du pétrole restentdes tendances importantes quidevraient influencer l’économie duQuébec et du Canada au cours de cettenouvelle année 2016.

Ce constat émane des conclusionsissues du « séminaire Spectre 2016 »organisé par l’École des dirigeants deHEC Montréal en décembre dernier.

Selon les experts de haut niveau ayantparticipé à cette importante rencontre,ces trois identifiants auront de l’impactsur les entreprises canadiennes.Avec quatre années de croissanceconsécutive à un taux supérieur à 2%,une croissance solide et diversifiée qui

devrait continuer pendant plusieursannées sans oublier les dépenses gou-vernementales et les mises en chantierde plus en plus en hausse aux Etats-Unis, le Canada aurait bien de raisonsde s’attendre à une hausse des exporta-tions, à une croissance des investisse-ments et de l’activité manufacturière .

L’année 2016 sera par exemple, uneexcellente année pour les exportateursde produits manufacturiers québécois.Pour les experts, la croissance de l’éco-nomie américaine et la baisse du tauxde change et des coûts de transportcréeront une conjoncture plus favora-ble pour l’exportation qui devrait être leprincipal moteur de croissance de l’éco-nomie québécoise.

Il s’agit d’une promesse faite au coursdes derrières campagnes électorales

dans le cadre des élections généralesau Canada. Désormais PremierMinistre, Justin Trudeau et son gouver-nement ont décidé de joindre l’acte à laparole : baisser les impôts de la classemoyenne en haussant ceux des plus for-tunés, créant un manque à gagner de1,2 milliard $ dans les finances de l'État.

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Il y a quelques semaines, le ministre desFinances, Bill Morneau, a déposé auxCommunes une motion de voies etmoyens en ce sens.

En effet, selon la mesure du nouveaugouvernement libéral, il s’agit d’aug-menter les impôts des contribuablesgagnant plus 200 000 $ en créant unnouveau taux d’imposition de 33 %. Lespersonnes dont le revenu annuel impo-sable se situe entre 44 700 $ et 89 401 $verront pour leur part leur taux d’imposi-tion réduit de 22 % à 20,5 %.

Les contribuables sans conjoint se ver-ront ainsi en moyenne accorder un allè-gement de 330 $ par année alors queles couples recevront environ 540 $.

« Nous allons continuer avec notreengagement pour le Canada, parce quenous savons qu’avec un niveau decroissance plus faible que prévu dans lebudget 2016, c’est nécessaire de fairedes investissements », indique le minis-tre Morneau qui précise que cesmesures profiteront à 9 millions deCanadiens chaque année.

AMontréal, le marché du travaildans le secteur des jeux vidéo

offre d’importantes opportunités.

Plusieurs entreprises du domainecontinuent d’être à la recherche denouveaux talents dans les métiersde programmeurs, d’animateursGameplay et de concepteurs de jeux...

C’est le cas par exemple d’Ubisoft,un important studio de développe-ment de jeux vidéo basé àMontréal depuis près de 18 ans. Cettefirme réalise, selon ses responsablesentre 80 et 85% des embauches auQuébec.

« Il y a beaucoup de concurrence en pro-venance des États-Unis, surtout pourl’embauche de programmeurs de qualité.

La chute du dollar canadien, les délaisd’immigration qui s’étirent et les condi-tions climatiques plutôt rigoureuses enhiver nous rendent la tâche plus difficilequ’il y a 5 ou 6 ans », affirme MatthewWiazowski, chef de l’équipe de recrute-ment chez Ubisoft.Selon ce responsable de la firme Ubisoft,

marché du travail

Plusieurs débouchés dans le secteur des jeux vidéo à Montréal

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Sur le marché de l’emploi, les sources de Jobboom indiquent ici les quatre employeurs qui recru-tent actuellement dans le secteur des Technologies de l’Informations (TI).

LGSFiliale d’IBM, LGS est une firme d’experts-conseils dans le domaine des technologies de l’infor-mation et du management. Ses principaux bureaux sont situés à Montréal et à Québec. LGSrecrute présentement des chargés de projets, des programmeurs et des intégrateurs de solutionsréseaux, entre autres.

Banque NationaleCette banque canadienne offre plusieurs opportunités en TI à partir de son siège social deMontréal et propose à ses employés de nombreuses possibilités d’avancement et de développe-ment professionnel.

L’entreprise a présentement plusieurs postes ouverts dans le secteur des TI, notamment pour desanalystes d’affaires, des chargés de projets et des analystes en sécurité TI.

ACCEO SolutionsChef de file en matière de solutions TI d’affaires, comptables, bancaires. L’entreprise compte surune marque employeur forte et une culture dynamique pour accroître son équipe, qui compte pré-sentement environ 1000 employés.

ACCEO Solutions est présentement à la recherche de technicien en soutien aux utilisateurs, deprogrammeurs et d’administrateurs de bases de données.

MediagrifÀ partir de son bureau principal situé à Longueuil, Mediagrif développe et opère un ensemble desolutions novatrices pour le commerce électronique dans des domaines d’affaires variés, parmilesquels on retrouve notamment Jobboom, LesPAC et Réseau Contact.L’entreprise offre de nombreux bénéfices à ses employés : salaires concurrentiels, plan completd’avantages sociaux, compte de dépenses pour la santé et plan d’achat d’actions avec contribu-tion de l’employeur.

L’entreprise a présentement des ouvertures pour des analystes fonctionnels, des analystes enassurance qualité et des spécialistes mobile, entre autres.

Source : Jobboom

Les quatre employeurs qui recrutent actuellement

dans le secteur des technologies de l’Information

il s’agit pour la plupart des métiers bienvalorisants avec des possibilités d’avan-cement certaines pour une moyenned’âge des employés d’environ 35 ans.

Il faut noter qu’Ubisoft possède 32studios à travers le monde et près de2 700 employés travaillant au studio deMontréal.

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Les femmes demeurent davantage pré-sentes à des niveaux plus élevés dans

le monde des affaires au Canada.

Selon un rapport du Conseil Canadienpour la Diversité Administrative (CCDA)publié il y a quelques jours, les femmesoccupent 19,5 % des sièges des conseilsdes sociétés classées sur le FP500 (uneliste des 500 plus grandes sociétés cana-diennes au chapitre des revenus) alorsqu'elles n'en occupaient que 17,1 % l'andernier.

Pour Pamela Jeyffrey, Fondatrice duConseil canadien pour la diversité admi-nistrative, le Canada réalise des progrès àtravers ces données. Cependant, elle sou-haite que la cadence du changement soitdavantage rapide.

Il faut noter que cette augmentation faitsuite à l'introduction d'une politique « seconformer ou se justifier » qui oblige les

sociétés inscrites à la Bourse à dévoilercertaines statistiques sur la représenta-tion des femmes au sein de leur conseild'administration et dans les postes dehaute direction.

Les autorités réglementaires en valeursmobilières de toutes les provinces et terri-toires, à l'exception de celles de l'Île-du-Prince-Édouard, de l'Alberta et de laColombie-Britannique se sont conforméesà cette mesure.

Le marché du travail canadien a connuune importante hausse de l’emploi au

cours de l’année 2015 dans les servicesprofessionnels, scientifiques et techniques.

Selon les données de Statistique Canada,ce secteur a progressé de 5,2% au coursde l’année dernière.

Cette croissance est remarquée dans d’autressecteurs comme ceux des soins de santé

et de l’assistance sociale avec une haussede 3,8%. Le secteur de la fabrication aconnu également une bonne performanceavec une croissance de 2,1%.

Durant le mois de décembre dernier, lemarché du travail canadien a enregistré23 000 nouveaux emplois avec un taux dechômage resté inchangé par rapport aumois précédent à 7,1%.

Les femmes de plus en plus représentées au sein

des conseils d’administration

Grandes entreprises canadiennes

Les femmes de plus en plus représentées au sein des conseils d’administration

marché du travail

Croissance de l’emploi dans les services professionnels, scientifiques

et techniques en 2015

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Au cours des 12 mois ayant pris fin endécembre, le Canada a totalisé 158 000nouveaux emplois, soit une hausse de0,9% comparativement à celle enregistréeaussi bien en 2013 qu’en 2014 (0,7%).

La hausse de l’emploi a été surtout remar-quable dans la province de l’Ontario et lemarché du travail au cours du dernier moisde l’année 2015 a été dynamique dans lessecteurs des soins de santé et de l’assis-

tance sociale, les services d’enseigne-ment ainsi que les finances, les assu-rances, l’immobilier et la location.

Découvrez ci-dessous, les taux de chô-mage des différentes provinces duCanada. Ils sont issus du récent communi-qué de l’Enquête sur la Population Active(EPA) pour la période de novembre àdécembre 2015.

Vous avez ci-dessous, les taux de chômage dans les grandes villes du Canada au coursde la période de novembre à décembre 2015.— Saint-Jean (Terre-Neuve-Et-Labrador) 6,2 % de novembre 2015 à 6,4 % à décembre 2015— Halifax (Nouvelle-Ecosse) .................6,1 % de novembre 2015 à 6,2 % à décembre 2015— Québec (Québec).................................... de 4,8% à 4,9% — Trois-Rivières (Québec).......................... de 6,9% à 7,3% — Sherbrooke (Québec) ............................ de 6,3% à 6,6% — Montréal (Québec) ................................. de 8,6% à 8,7% — Gatineau (Québec) ................................ de 6,3% à 6,2% — Toronto (Ontario)..................................... de 7,0% à 7,0% — Winnipeg (Manitoba).............................. de 5,7% à 6,1%— Regina (Saskatchewan)......................... de 4,0% à 4,1% — Saskatoon (Saskatchewan)................... de 6,1% à 6,4% — Calgary (Alberta)..................................... de 6,9% à 7,0% — Edmonton (Alberta) ............................... de 6,1% à 6,2% — Vancouver (Colombie-Britannique)........ de 5,8% à 5,7%— Victoria (Colombie-Britannique)............. de 6,3% à 6,1%


Alberta…………..........................................................…de 7,0% à 7,0%

Saskatchewan…….............................................…....….. de 5,5% à 5,5%

Manitoba …………......................................................... de 6,1% à 5,9%

Colombie- Britannique.................................................... de 6,2% à 6,7%

Ontario………....…....................................................…. de 6,9% à 6,7%

Québec…......................................................................... de 7,5% à 7,8%

Nouvelle-Ecosse….......................................................... de 8,6% à 8,6%

Nouveau-Brunswick….................................................... de 8,7% à 8,9%

île-du-Prince-Edouard…................................................. de 10,4% à 9,7%

Terre-Neuve-et-Labrador ................................................ de 13,0% à 14,4%

Taux de chômage / mois denovembre à décembre 2015

Provinces canadiennes

marché de l’emploi

Taux de chômage en décembre 2015 dans les grandes villes du Canada

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Une étude menée par QS TopUniversites a classé Montréal au top

des villes universitaires du Canada.

Cette ville a reçu le meilleur score parmiles villes canadiennes dans le tout dernierclassement des meilleures destinationspour étudiants universitaires, établi par QSTop Universities pour 2016.

Ce classement a été effectué en tenantcompte de plusieurs paramètres. QS TopUniversities a tenu compte par exempledes villes de plus de 250 000 personnesavec au moins deux institutions d'ensei-gnement supérieur sans oublier bien d’au-tres facteurs comme la qualité des univer-sités, l’abordabilité, la qualité de vie, etc.Toronto, Vancouver (ex aequo au 13e rang)

et Ottawa (49e) sont les trois autres villescanadiennes qui figurent au palmarès.

Montréal est passé de la 8ème à la 7ème

place dans ce classement à cause du bonrendement de ses écoles, en particulierl'Université McGill, sa vie culturelle répu-tée et ses excellents standards de qualitéde vie.

Il faut noter qu’à l'échelle mondiale,aucune ville nord-américaine ne s'est his-sée dans le top 5, qui est dominé parMelbourne (2e) et Paris (1er).

Le classement mondial des universités QS(QS World University Rankings) est unclassement annuel des universités publiépar Quacquarelli Symonds.

Une étude récente de StatistiqueCanada indique que les étudiants

étrangers qui viennent au Canada pour lesétudes, commencent de plus en plus à yrester une fois leur formation terminée.

Le grand besoin affiché d’une main-d’œu-vre nouvelle et qualifiée par le pays et l’in-sertion professionnelle rapide des étu-diants internationaux diplômés sur placemotiveraient une telle option.

Les politiques d'immigration du paysdemeurent également un facteur de moti-vation pour ces étudiants étrangers dansleur prise de décision de s’installer auCanada.

Selon Statistique Canada, un étudiantétranger sur deux obtient le statut de rési-dent permanent alors qu'il y a une ving-taine d'années, c'était dans une proportiond'un étudiant sur trois.

La même source précise que le rythmed'arrivée au Canada des étudiants étran-gers, en moyenne de 31 000 par an audébut des années 1990, a plus que triplédepuis 2010.

Les régions métropolitaines de Toronto enOntario, Vancouver en Colombie-Britanniqueet Montréal au Québec restent les endroitsqui accueillent la majorité de ces étudiantsétrangers.

education supérieur

Montréal, la meilleure ville universitaire du Canada

education et vie professionnelle

Les étudiants internationaux s’installent de plus en plus au Canada après leur étude

Société


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61ème parution 12

QuébecQuébecLes nouvelles duLes nouvelles du

marché du travail

12 700 nouveaux emplois en décembre dernier au Québec• Les économistes annoncent une croissance économique en 2016 et 2017

Le marché du travail a été dynamique àla fin de l’année 2015 au Québec. Des

données publiées par Statistique Canadaindiquent que cette province a connu12 700 nouveaux emplois au cours dumois de décembre 2015.

Le rapport de Statistique Canada précisequ’au cours de l’année 2015, la haussede l’emploi dans l’ensemble du canada,s’est chiffrée à 158 000, soit une progres-sion de 0,9% par rapport à l’année précé-dente, comparativement à la période de2013 à 2014 où le taux de croissance del’emploi s’était établi à 0,7%.

La même source note également une pro-gression de 1,2% en ce qui concerne letaux d’embauche en 2015 au Québec. Eneffet, 48 300 personnes ont décroché untravail l’année dernière dans cette pro-vince.

Cette croissance au Québec serait attri-buable uniquement à l'emploi à tempsplein et aurait surtout profité aux hommes(30 500 emplois supplémentaires).

Pour cette nouvelle année 2016 qui vientde démarrer, l’optimisme est permis dansle secteur économique québécois.

Prévisions économiques encourageantes pour le Québec, selon les économistes

A travers une note économique publiée il ya quelques jours, l’institution financière,Desjardins annonce que la création d’em-plois devrait demeurer positive en 2016 ettable sur une croissance moyenne de 1 %

pour l’ensemble de l’année. Dans leurs plus récentes prévisions, leséconomistes de Desjardins ont mentionnéque la progression du produit intérieurbrut (PIB) de la province devrait atteindre1,5 % au cours de la présente année et1,7 % l'an prochain alors qu'elle avait plu-tôt été estimée à 1,3 % en 2015.

Selon ces spécialistes, la croissance duPIB sera dynamisée par trois élémentsprincipaux en 2016 et en 2017: l'injectionde fonds dans des projets d'infrastruc-tures, "le redressement des investisse-ments des entreprises" et "la bonne tenuedes exportations".

Les économistes de la Banque Royalepour leur part soulignent que l’économiede la province connaitrait une croissanceanticipée de 1,9 % contrairement à cellede l’année dernière fixée à 1,3%.« On note une accélération de l’activitééconomique au Québec (…). Nous nousattendons à un regain de vie des exporta-tions. Ce rebond alimentera l’activitémanufacturière et divers liens au sein deschaînes d’approvisionnement », a faitsavoir l’économiste principal de la BanqueRoyale, Robert Hogue, lors d’un entretienau Journal.

À l’échelle du pays, l’économie cana-dienne verra davantage d’actions en2016 avec une croissance anticipée de2,2 %, d’après la même source, qui pré-cise également que l’économie de laColombie-Britannique dominera celle desautres provinces avec une croissanceattendue de 3,1 %.

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61ème parution 13

habitat au Québec

Ces copropriétés abordables à 15 minutes de marche d’une station de métro(Top 5 des stations de métro au prix médian le plus bas)

QuébecQuébecLes nouvelles duLes nouvelles du

Au Québec, certaines personnes enquête d’habitat prennent pour réfé-

rence la proximité d’une station de métropour opérer le choix de la maison à acheter.

Ce constat est fait aujourd’hui dans lavente des copropriétés au Québec etexplique la différence de prix.

Faudrait-il le rappeler, la copropriété,selon les spécialistes dudit domaine est« l'organisation d'un immeuble bâti ougroupe d'immeubles bâtis dont la pro-priété est répartie entre plusieurs per-sonnes par lots comprenant chacun unepartie privative et une quote-part des par-ties communes ».

Le caractère luxueux de ces types d’habi-tations mais aussi leur proximité du cen-tre-ville restent des facteurs expliquantcertains prix élevés au Québec.

Par exemple, le prix médian des copropriétéssituées près des stations Peel et McGillest plus élevé que celui des copropriétésse trouvant près des autres stations de lamême ligne.

Ce constat de cherté de prix est la mêmeen ce qui concerne les copropriétésproches des stations Atwater et Villa-Maria, près de Westmount, à cause deleurs caractères luxueux.

JLR, une entreprise qui conçoit des solu-tions innovantes basées sur l’intégration

et la diffusion de données immobilièresau Québec, a mené une étude sur lespropriétés à proximité des gares de trainet des stations de métro.

Découvrez ci-dessous le top 5 des sta-tions de métro au prix médian le plusélevé et celui des stations de métro auprix médian le plus bas :

Top 5 des stations de métro au prixmédian le plus élevé :

Peel — 585 000 $Outremont — 449 000 $Atwater — 435 000 $McGill — 412 500 $Place - d’Armes — 410 065 $

Top 5 des stations de métro au prixmédian le plus bas :

Saint-Michel — 193 000 $De La Concorde — 203 000 $Montmorency — 205 900 $Honoré-Beaugrand — 213 500 $Parc — 222 250 $

Plusieurs promoteurs ayant compris l’en-jeu ont dû construire des copropriétés àproximité des stations de métro afin demieux attirer les acheteurs.

Les ventes ont explosé à la stationBonaventure, particulièrement grâce auboom de construction du secteur deGriffintown.

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61ème parution 14

Les nouvelles dans les

Autres Provinces Canadiennes

Les nouvelles données du ConferenceBoard sont formelles. Plusieurs pro-

vinces canadiennes devraient s’atten-dre à une croissance économique en2016.

Selon les spécialistes de cet organismed’envergure internationale, le PIB del’Alberta grimpera de 1,2%.

Cette croissance est annoncée dansplusieurs autres provinces comme laSaskatchewan, le Québec, le Manitobaet l’Ontario qui devraient voir leur PIBcroître respectivement de 2 %, 2,1 %,2,5% et 2,3 %.

Selon les chiffres du Conference Board,c’est la Colombie-Britannique qui enre-gistrera la plus forte croissance detoutes les provinces en 2016, soit uneprogression de 3,6 % surtout grâce aux secteurs de la construction et de l’im-mobilier.

Dans les provinces maritimes, l’Île-du-Prince-Édouard et le Nouveau-Brunswick connaîtront une croissanceplutôt modeste à 1,6 % tandis que laNouvelle-Écosse verra son économiebondir de 2,3 %.

Les récentes données du marché del’emploi dans la province de l’Ontario

restent satisfaisantes.

Selon un rapport publié récemment parTD Economics, l'économie ontarienne acrée 34 900 nouveaux emplois endécembre.

Le taux de change favorable et unedemande internationale à la haussedevraient favoriser une croissance éco-nomique dans la province.

Selon Exportation et DéveloppementCanada, les exportations dans les sec-teurs des véhicules automobiles et des

pièces d'autos, des métaux et minerais,et d'autres produits industriels vontconnaître une bonne croissance tout aulong de 2016.


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etudes et prévisions du conference board


marché du travail

Plusieurs milliers de nouveaux emplois obtenus en Ontario

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61ème parution 15

« L’Ontario veut favoriser un milieuconstructif où le secteur privé peutcréer de bons emplois et l’économiepeut croître. Les chiffres de l’emploi endécembre montrent que notre écono-mie continue de prendre de l’essor,mais il reste encore beaucoup à faire.Nous continuerons d’aller de l’avant etpoursuivrons nos efforts pour rendrenotre économie plus concurrentielle àl’échelle mondiale en la faisant croîtreet en créant des emplois », note leMinistre du Développement Economique,de l’Emploi et de l’Infrastructure BradDuguid.

Dans le plan du gouvernement, ils’agira de créer des emplois et des pos-sibilités visant à renforcer la provincede l’Ontario. Ce plan comprend quatrevolets à savoir :

- investir dans les talents et les compé-

tences de la population ;

- faire le plus important investissementdans l'infrastructure publique de l'his-toire de l'Ontario ;

- créer un environnement dynamiqueet novateur où les entreprises pros-pèrent ; et

- établir un régime d'épargne-retraite sûr.

Il faut noter que selon Perspectiveséconomiques et revue financière del’Ontario de 2015, les ventes au détailen Ontario ont progressé de 4,5 % aucours des 10 premiers mois de 2015par rapport à la même période en2014. Dans le secteur manufacturierde l’Ontario, les ventes ont égalementprogressé de 1,1 % au cours des 10premiers mois de 2015 par rapport à lamême période en 2014.

Les ministres canadiens du Tourismeont appuyé ces dernières années,

une campagne de marketing auxÉtats-Unis dénommée : « Accueillirl'Amérique », dans le but de dynamiserle secteur.

Il s’agit d’une campagne de marketingde trois ans qui ciblera l'industrie tou-ristique aux États-Unis, soutenue dansce sens par les provinces, les terri-toires, les municipalités, les membresde l'industrie et Destination Canada.

Lors de la rencontre du Conseil cana-dien des ministres du Tourisme, il y aquelques jours, la priorité a été don-

née à la création d'une nouvelle straté-gie visant à favoriser une collaborationsoutenue en matière de tourisme.



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canada

L’industrie touristique canadienne à l’assaut du marché des Etats-Unis

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61ème parution 16



• Le tourisme constitue un volet essentiel de l'économie canadienne. Il est le plus importantsecteur d'exportation de services au Canada. En 2014, les recettes de l'industrie touristique ontaugmenté de près de 5 % pour atteindre 88,5 milliards de dollars. Ce secteur représentaitégalement près de 628 000 emplois au pays.

• Les États-Unis représentent un important marché touristique pour le Canada, puisque les visi-teurs de ce pays comptent pour 70 % des séjours avec nuitée effectués par des touristes del'étranger.

• Le Projet de recherche national sur le tourisme autochtone 2015 a démontré que le tourismeautochtone avait connu une croissance marquée depuis 2001. Ce secteur génère une activitééconomique brute de 2,77 milliards de dollars et emploie eviron 37 000 personnes, soit 2 % dela main-d'œuvre canadienne de l'industrie touristique.

bon à savoir

« (…) Le tourisme est un moteur del'économie dans toutes les régions dupays. Nous avons tenu des discussionsproductives au sujet des avenues quiassureront la croissance du secteur,feront augmenter le nombre de visites et les dépenses en tourisme, et favori-seront la création d'emplois. Je suisparticulièrement heureux de constater

la collaboration qui s'est établie entreles différents gouvernements et le sec-teur privé, ce qui a mené à la reprisedes activités ciblant le marché touris-tique américain. (…) », a noté le minis-tre du Tourisme, de la Culture, duPatrimoine, du Sport et de la Protectiondu consommateur du Manitoba, RonLemieux.

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61ème parution 17

Nouvellesrelatives aux programmes d’intégration

Une récente étude du Conseil duPatronat du Québec (CPQ) a relevéle grand intérêt que les

employeurs québécois portent désor-mais pour la main-d’œuvre immigrante.

Selon les conclusions de l’enquête duCPQ réalisées auprès des entreprisesmembres, près de 84 % des répondantsà un sondage effectué dans ce sens,ont dit compter un ou plusieurs immi-grants parmi leurs employés ou diri-geants.

D’après la même source, près des deuxtiers de ces employeurs estiment quecette main-d’œuvre répond à leursattentes. Plus de la moitié évoque uneardeur au travail et une attitudeconforme aux attentes, les autres lesqualifiant de supérieures.

Dans le petit nombre d’entreprises quin’ont pas encore de travailleurs immi-grants, la moitié dit que c’est parcequ’aucun d’entre eux n’y a postulé.

Des données qui expliquent à suffi-sance la positive expérience dont béné-ficient désormais les employeurs québé-cois qui recrutent les immigrants.

« Je ne peux pas dire que cela m’étonne,mais cela me conforte néanmoins dansmon impression que les réticences,qu’on entend exprimées parfois par desemployeurs à l’égard des travailleursimmigrants, disparaissent générale-ment aussitôt qu’on est directementexposé à cette réalité », a expliqué leprésident-directeur général du CPQ,Yves-Thomas Dorval.

Le sondage du CPQ va plus loin dansson étude pour mesurer l’impact del’immigration économique sur la prospé-rité québécoise.

Il en ressort entre autres des conclu-sions que les immigrants économiques(essentiellement des travailleurs quali-fiés, mais aussi des entrepreneurs etdes investisseurs) constituent près desdeux tiers des 47 000 immigrants reçusen moyenne au Québec chaque année.

Il faut noter que pour son étude, le CPQa aussi sondé des spécialistes en immi-gration ainsi que des organismes enga-gés dans le domaine pour connaître leurappréciation des principaux pro-grammes gouvernementaux en vigueurdans le domaine.

Beaucoup semble rester à faire à ceniveau, car la moyenne de leurs notesest d’à peine 4,6 sur 10 pour le pro-gramme à l’intention des travailleursqualifiés et ne passe même pas le capde 4 sur 10 en ce qui concerne lesentrepreneurs et les investisseurs.

marché du travail

Les employeurs québécois se tournent vers la main-d’œuvre immigrante

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61ème parution 18

Immigration : 4 obstacles à surmonter en recherche d’emploi

Il n’est pas facile pour les nouveaux arri-vants de se démarquer à leur arrivée auQuébec. L’étiquette d’immigrant fait sou-vent ressortir toutes sortes de stéréo-types… qu’il est toutefois possible de bri-ser! Voici quelques astuces pourcontourner quatre obstacles fréquem-ment rencontrés par les travailleursimmigrants en recherche d’emploi.

1. La langueL’employeur peut craindre que vous neparliez ni le français, ni l’anglais. Encoreplus si vous écrivez sur votre CV quevous venez de compléter votre cours defrancisation !

Que faire ?Bien que vous soyez très fier d’avoirréussi cette formation, il vaut mieux évi-ter de la mentionner sur votre CV.L’employeur pourrait penser que votrefrançais laisse toujours à désirer s’il voitque vous avez eu besoin d’un coursd’appoint. Il vaut mieux laisser l’em-ployeur évaluer par lui-même votreniveau de français.

Si vous avez fait vos études en françaisou en anglais dans votre pays d’origine,

pourquoi ne pas l’inscrire sur votre CV?Vous pourriez l’insérer près de la men-tion d’équivalence du ministère de l’im-migration, de la diversité et del’Inclusion (MIDI) obtenue. C’est unepreuve bien concrète que vous parlez lefrançais ou l’anglais.

Le petit plus Faites relire votre lettre de présentationpar une personne francophone (commeun voisin, le parent d’un ami de votreenfant, etc.) pour vous assurer qu’ellesoit rédigée dans un bon français.

2. La formationLes employeurs se demandent souventsi une formation suivie à l’étranger est àla hauteur de celle offerte ici.

Que faire ?L’ajout des cours de perfectionnementeffectués au Québec à votre CV démon-tre l’étendue de vos connaissances etpermet aux employeurs de bien cernervotre profil de formation. Nommez lesentreprises et les centres de formationsoù vous les avez suivis, en utilisant leurnom complet plutôt que les abrévia-tions. De plus, décrivez brièvement,dans votre lettre de présentation, ce quevous avez appris durant vos études.

Intégrer facilement le marché du travail québécois peut paraître difficile pour le nou-vel immigrant lorsque certaines informations lui échappent. Par le biais de Jobbom,Mme Jessica Ramhormozian, une conseillère en emploi, prodigue ici quelquesconseils dans l’article qui suit :

immiGration et marché du travail au Québec

Comment réussir son intégration professionnelle ?(Une conseillère en emploi donne des astuces pertinentes)

Nouvellesrelatives aux programmes d’intégration

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61ème parution 19

Le petit plusComparez votre CV et votre lettre demotivation à ceux de personnes qui ontle même diplôme que vous. Si vous n’enconnaissez pas, contactez une entre-prise où vous aimeriez vraiment travail-ler et demandez si un recruteur pourraitvous accorder quelques minutes pourregarder votre CV. Je vous le dit, ça sefait !

3. Le salaireLes immigrants arrivent souvent au paysavec un bon diplôme en poche et plu-sieurs années d’expérience dans degrosses boîtes… Voilà qui a de quoieffrayer un employeur !

Que faire ?Mes clients me demandent souvent s’ilsdoivent omettre de dire qu’ils ont été,par exemple, directeur de banque, pouréviter de paraître surqualifié. Comme onne veut pas mentir, il est préférable del’ajouter au CV; de toute façon, un troudans votre parcours ne serait pas mieux. Pour éviter de paraître surqualifié (etdonc trop cher à payer), vous pouvez parexemple changer votre titre de directeurpour un titre plus générique, commecelui de coordonnateur.

Le petit plusAppelez un employeur potentiel pour luidemander si votre candidature l’inté-resse. Dites, par exemple : «J’ai 8 ansd’expérience comme directeur de

banque, mais je suis un nouvel arrivant.J’aimerais vous faire profiter de mesconnaissances tout en apprenant com-ment les banques québécoises fonction-nent. J’ai vu que vous cherchiezquelqu’un qui a deux ans d’expérienceau service à la clientèle. Puis-je vousenvoyer mon CV quand même?»

4. L’expérience québécoiseLa fameuse question «Avez-vous de l’ex-périence au Québec?» effraie bien desnouveaux arrivants. Il faut bien com-mencer quelque part! Les employeurspréfèrent généralement embaucher unepersonne immigrante qui est déjà bienintégrée au Québec.

Que faire ?Premièrement, il vaut mieux éviter de seprésenter en disant : «Chez nous, j’aifait…». Votre expérience est en vous, ellen’est pas attachée à votre pays! Si vousavez suivi une formation en arrivant auQuébec, elle peut également être pré-sentée comme étant une expériencelocale.

Ensuite, faire du bénévolat est toujoursune bonne idée. Il y a beaucoup de pos-sibilités dans les organismes commu-nautaires. Ne cherchez toutefois pas àfaire du bénévolat dans une entreprisecommerciale privée, car c’est illégal.

Source : Jobboom



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61ème parution 20

acheter des véhicules usagés au Québecvous avez ci-dessous des propositions de prix de certains véhicules

usagés au Québec

Le prix des choses

………..… 413, 62 F CFA

………..... 0,63 Euro

…………. 6,81 Dirhams (Maroc)

………..... 1,40 Dinar (Tunisie)

….........… 0,69 Dollar américain (USA)

…............ 2,86 Ron (Roumanie)

Ce tableau permet d’effectuer la conversion du dollar canadien en certaines devises internationales

en fonction du taux de change sur le marché. Ainsi, à la date du 19 janvier 2016 :

1 dollar canadien valait :

Conversion du dollar canadien

Il est à mentionner que ces taux ne sont pas applicables au versement des frais gouvernementaux par nos

clients qui doivent tenir compte de potentielles variations mais aussi de frais de rapatriement incluant

des commissions de change et des retenues à la source du pays d’origine. Ces éléments expliquent la

différence.

Chaque client peut, s’il le désire, fournir sa propre traite bancaire pour acquiter ses frais gouvernementaux .

*

9 999 dollarscanadiens, soit 6 299,37 euros

7 995 dollarscanadiens, soit

5 036, 85 euros.

7 900 dollarscanadiens, soit4 977 euros.

900 dollarscanadiens, soit

567 euros.

Produits Prix

toyota Yaris le (usagé)Toyota YARIS LE 2011 usagé et indiquant 54554 km au compteur. Il s'agit d'un véhi-

cule de type A Hayon, avec 5 portes, une transmission automatique et une traction

Avant (FWD)…

A trouver sur le site : https://www.auto123.com/fr/autos-occasion/quebec/que-

bec/2011/toyota/yaris-le/a-hayon/ac-automatique/boulevard-toyota?id=6867252

2013 smart fortwo pure auto (usagé)AM/FM stéréo ; dispositif auxiliaire ; air climatisé ; portes à commande électrique ;

vitres à commande électrique ; freins ABS…

A trouver sur le site : http://www.hgregoire.com/auto-usage/smart-fortwo-2013-a-ven-

dre-86943

acura CsX 2008 (usagé)Acura CSX 2008 avec un toit ouvrant ; un volant inclinable ; un air bags: (Passenger

Safety) ; une commande audio au volant…

Trouver sur le site : http://www.autonet.ca/vehicules-occasion-a-vendre/montreal-

qc/2008-acura-csx-berline-argent-12180697

1999 lincoln town Car (usagé)1999 Lincoln Town Car Carier . Intérieur tout équipé en cuir tan. Couleur blanche ; car-

rosserie berline ; transmission roue motrice arrière…

A trouver sur le site : http://www.kijiji.ca/v-autos-camions/ville-de-quebec/1999-lincoln-

town-car/1137050561?enableSearchNavigationFlag=true

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