Force de travail, en avant toute !

Nouveau loft d’exposition de Wiesner-Hager.

En finir avec l’invasion des câbles.

Nouvelle tendance : les réunions « Walk and Talk ».

Édition 17

A quoi sert une préface?

C’est très simple : Une préface vous aide à décider si la lecture et le temps que vous lui consacrerez en vaut la peine. Mais quelles sont les choses qui en valent la peine ?Selon mon opinion tout ce qui nous est utile, tout ce qui nous fait avancer ou rend la vie plus agréable. Selon la devise courante des experts en communication, un bon magazine répond à cette attente « Aidez-moi ou distrayez-moi » !

Alors comment pouvons-nous vous aider?Nous vous montrons comment vous pouvez maîtriser l’invasion de câbles sous ou sur vos bureaux. Ou encore, quels sont les gadgets actuels et les applications qui rendent votre travail plus efficace. Un coach personnel nous explique pourquoi il y a des entreprises qui sont plus performantes que d’autres. Il nous propose en plus quelques exercices utiles pour un dos contracté. Nous vous donnons des renseignements afin d’optimiser la motivation au bureau.

Voici nos thèmes divertissants : Nous découvrons avec vous l‘esprit de jeunes architectes et nous jetons un œil à la table de bureau de Ben van Berkel, architecte vedette à Amsterdam. Ensuite nous vous emmenons en Mexique où l’on peut obtenir des espaces de bureau sur ordonnance. Enfin nous vous convions à une fructueuse réunion à la mode du « walk and talk ».

Avons-nous suscité votre intérêt? Je vous souhaite bien du plaisir en lisant notre magazine contact !

Markus Wiesner

Impressum.

Who is Who: « Architekten Färbergasse » ............................................................................. 4

Des choses utiles pour le quotidien au bureau ...................................................................... 7

Nouveau loft d’exposition de Wiesner-Hager ......................................................................... 8

En finir avec l’invasion des câbles ........................................................................................ 10

Les réunions « Walk & Talk » ................................................................................................ 13

Force de travail, en avant toute ............................................................................................ 14

Projet de référence: Jardin zen, jungle ou un espace high-tech? ............................................. 16

Pourquoi y-a-t-il des entreprises qui sont plus en forme que d’autres? .................................. 18

Showroom ........................................................................................................................... 20

Aménagement sur ordonnance: Adressez-vous à votre pharmacien ou à un architecte .......... 22

Que trouve-t-on sur votre bureau, Ben van Berkel? ............................................................... 25

Découvrez Concept Wiesner-Hager ....................................................................................... 26

Edition : Wiesner-Hager Möbel SARL, Linzer Straße 22, A-4950 Altheim, T +43/(0)7723/460-0, F+43/(0)7723/460-331, altheim@wiesner-hager.com, www.wiesner-hager.com; Concept, Rédaction, Direction artistique, mise en page : plenos creative; Sous réserve d’erreurs typographiques et de fautes d’impression; 11/2013.

Adresse bibliographique :

D’abord l’aire, ensuite l’allureHermann Zeilinger et Helmut Dirmayer, du cabinet « Architekten Färbergasse », collaborent régulièrement avec Wiesner-Hager et nous montrent qu’à l’écart des points névralgiques urbains, l’architecture s’épanouit aussi.

magnifique, alors que l’on ne profite vraiment du jardin que durant le court intermède estival. Nos commanditaires furent immédiatement séduits par l’idée. Comment travaillez-vous généralement ? Dirmayer : Pour commencer, nous ne présentons aux clients qu’une projection en deux dimensions. Les façades et les modèles seront eux présentés le plus tard possible. La priorité est donnée à définir le champ spatial le plus pertinent. Cet objectif atteint, on peut se pencher sur l’allure générale. Vos clients n’ont-ils pas déjà une idée arrêtée quant à l’apparence extérieure? Zeilinger : Si, d’emblée. Il n’est pas rare que des clients nous montrent une photo dans un magazine et disent : « Je veux ça en plus petit. » Mais ce que le bâtiment permet vraiment, ils l’ignorent encore. En association avec Wiesner-Hager, vous avez conçu l’Ecole de Musique d’Altheim. Quelle était la particularité de ce projet? Zeilinger : L’ancienne bâtisse est inscrite au patrimoine historique, un bijou. Sa superficie est cependant trop modeste pour les besoins d’aujourd’hui. Nous aurions pu être en mesure d’y faire entrer un maximum de choses en quelque sorte, mais pas sans en altérer son entrée et son âme, ce cachet propre à Altheim. Par conséquent nous lui avons adjoint à l’arrière un cube, sobre et moderne. Vous avez conçu la façade de l’extension avec des bandes lumineuses dont la couleur change, quelle est l’idée sous-jacente ? Zeilinger : Les pulsations des bandes lumineuses projettent vers l’extérieur la musique et la vie qui émanent

Pourquoi vous êtes-vous établi à Braunau ? Pourquoi pas à Salzbourg, Linz ou encore Vienne ? Dirmayer : Mais voyons, le lieu où l’on travaille importe peu, et Braunau offre de par son patrimoine architectural un grand potentiel. En étudiant vos projets de référence on remarque une part importante de rénovations, une inclination particulière pour ce type de défis ? Dirmayer : Oui, naturellement! Car il s’agit de sublimer les qualités d’un ouvrage ancien et de l’adapter aux exigences modernes. Comment définiriez-vous votre style, votre credo ? Zeilinger : Il nous importe de développer des solutions personnalisées, de ne pas recourir à un standard « prêt-à-l’emploi ». Dès lors, il n’est pas inconcevable d’aménager, comme récemment dans une habitation privée, les chambres à coucher au rez-de-chaussée et les salles de séjour à l’étage. Pourquoi cela ? Zeilinger : Parce que ce n’est que dans cette configuration particulière que l’on peut jouir toute l’année d’une vue

“ Notre mot d’ordre? Pour chaque bonne construction aboutie, rayonne une atmosphère.”

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Hermann Zeilinger et Helmut DirmayerWho is Who

Zeilinger: Les maîtres d’ouvrage privés pèsent de leur influence tout au long du processus et jusqu’au dernier lavabo. Ils veulent pouvoir s’identifier dans chaque détail. C’est pourquoi il est essentiel que le maître d’ouvrage et l’architecte soient sur la même longueur d’onde afin qu’un projet de construction privée soit une réussite. Dirmayer: Quand il y a cette entente, c’est même parfois une amitié durable qui s’instaure.

de ce bâtiment. A l’origine cette installation n’était destinée qu’à être ponctuelle, lors d’événements, mais l’adhésion et l’enthousiasme ont été tels que les bandes sont désormais allumées tous les soirs.

La politique de Wiesner-Hager quant à ses produits est très axée sur le design. Quel rôle joue-t-il dans la conception de vos projets? Qu’attendez-vous du design d’un produit ? Zeilinger: Nous orientons assurément notre travail autour du design du produit. Wiener Hager a développé, ces dernières années, des concepts très sophistiqués qui ont toute leur place dans les projets que nous menons. Nous privilégions généralement les fournisseurs locaux. Nous sommes nous-mêmes des « acteurs régionaux » et ces derniers devraient être encouragés dans les marchés publics. Vous réalisez un grand nombre de projets à l’échelle des communes. Quelles sont les différences par rapport à des commandes privées ? Dirmayer: Les marchés publics représentent généralement des plus gros volumes. Les conditions générales et le budget sont plus strictement définis mais la marge de manœuvre dans la phase de transposition est plus grande. Au niveau politique, une prédisposition favorable à la construction moderne s’est inscrite dans l’air du temps.

Trendwatching

Des choses utiles pour le quotidien au bureauTout le monde les connaît : les petits ustensiles qui facilitent le travail quotidien au bureau. Nous vous présentons ici une sélection de gadgets actuels et un choix d’applications, qui ne révolutionnent pas votre travail mais qui le rendront beaucoup plus efficace.

Repose-pied oolooLe nouveau board ooloo venant des Etats Unis, une planche de skate où les roulettes ont été remplacées par des bascules met le bureau en mouvement. Il y a deux façons de l’utiliser : soit sous la table de bureau en tant que repose-pied basculant ou debout pour parfaire son sens de l’équilibre. Les deux formes d’utilisation réduisent l’accumulation excessive du sang dans les vaisseaux lorsque vous restez assis longtemps et elles exercent un effet positif sur votre santé. Plus d’informations sur : www.oolooboard.com

Le board ooloo active la pompe veineuse dans les jambes en position assise et met en marche la circulation du sang.

PhatPadGrâce à l‘application « PhatPad » on peut facilement gérer des croquis et des notes

ajoutés à la main et les fusionner dans une présentation. Les notes peuvent être établies en modules vocales ou en modules de texte en écrivant le texte à la main ou

par clavier. Si la note est rédigée à la main, elle sera automatiquement adaptée par l’application. C’est la même chose pour des éléments de croquis tels que des flèches, cercles etc. PhatPad est compatible avec iPad, Android et Windows. (Prix : 3,99 €)

Application orientée vers l‘avenir: PhatPad pour enregistrement des notes et des présentations rapides

Scanner Pro pour portable : PDF creatorLe scanner Pro pour portable transforme le portable ou l’ordinateur à tablette graphique en scanner. Des documents de plusieurs pages, des tableaux blancs mais aussi des cartes de visite peuvent facilement être digitalisés. Les PDFs ou les JPEGs qui en résultent sont d’une qualité excellente et peuvent par la suite être adaptés. Equipement pratique : l’InstantUpload au Dropbox ou à Google Drive. (Prix : 2,99 €)

La voie du papier au pdf de qualité par un seul scan : Pro – le scanner pour portable

Parois murales en bois et plafond

spécialement conçus pour optimiser

l’acoustique de la salle de concert.

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Point d’orgue de la conception de l’Ecole de Musique d’Altheim : les pulsations des bandes lumineuses qui changent de couleur.

Un loft à cachet industriel

En pénétrant dans le hall d’accueil un vrai point de mire saute aux yeux : Le dé magique, conçu de Gustav Peichl et réalisé par Wiesner-Hager. Ce dé a été construit lors de l’exposition dans la Bundeskunsthalle de Bonn en 1996, montrant entre autres des œuvres des architectes et peintres autrichiens. Son intention était de présenter les succès de certains architectes autrichiens. Dans les tiroirs on a exposé entre autres des œuvres de 16 architectes sous le titre « Architecture des années 1896 – 1996 ». Dans le hall d’accueil, outre les meubles du thème Care Living et des sièges en bois, on présente le meuble lounge LTB dans lequel on est invité à prendre place. Un escalier en métal et en verre mène au loft qui se présente dans le même design que les cloisons et les estrades qui servent de scène pour présenter les sièges. Les matériaux utilisés soulignent le caractère du loft industriel : Le sol est une chape magnésienne souvent utilisée dans des halls de production. L’installation de tous les câbles et de toutes les conduites est visible et on a délibérément renoncé aux revêtements des parois avec des plaques Rigips.

Division rationnelle en zones

Pour préserver la générosité de l’espace, des impostes vitrées dans les cloisons et des parois latérales en verre divisent

C’est un grand plaisir d’avoir depuis juin 2013 un nouveau showroom au siège social de Wiesner-Hager à Altheim. Nous présentons sur une surface de 700 m² des solutions créatives pour les bureaux et les collectivités. Le nouveau loft donne un signal fort sur le nouveau positionnement de l’entreprise en tant que fournisseur de concepts.

Présentation pointue du monde du bureau : Nouveau loft d’exposition de Wiesner-Hager

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Configuration Open-Space pour bureau avec poi, veron et float_fx

Dé magique (Projet : Gustav Peichl, fabriquant : Wiesner-Hager)

L’espace musée Wiesner-Hager avec l’exposition actuelle « Les ancêtres du siège tournant moderne »

Communication et bureau – made in Austria

Showroom

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En automne 2012 nous avons commencé les travaux dans l’ancien atelier de production pour le transformer en loft industriel. L’intention était de conserver le caractère et l’impression du loft et de créer une scène afin de pouvoir présenter l’idée de « Concept Wiesner-Hager » : « Nous voulons aider nos clients à créer la base pour un travail efficace et dans un même temps, un sentiment de bien-être pour leurs employés dans leur cadre de travail. C’est une mission de « Concept Wiesner-Hager » qui s’appuie sur l’action conjuguée des trois principes que sont l‘Office Consulting, l’architecture d’intérieur et l’ameublement », ainsi l’explique Markus Wiesner, gérant de Wiesner-Hager.

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Le nouveau loft est l’attraction pour les entreprises et les architectes au cours de la visite de l’usine.

propose des possibilités d’aménagement dans divers styles et impressions. La division en zones se fait par des étagères, des plantes, des paravents et des rideaux.

Une rétrospective

Une entreprise qui a été fondée en 1849 doit accorder une certaine importance aux produits du passé et les présenter dans un coin musée. La partie tout au fond du loft est réservée pour la présentation non seulement de l’histoire de la société Wiesner-Hager Möbel GmbH, mais également pour des expositions selon des thèmes variés. La première des expositions est une rétrospective sur les ancêtres du siège tournant moderne remontant jusqu’à l’année 1930.

Une scène pour l’œuvre d’art des artistes régionaux

Il n’y a rien de tel que de combiner les beaux meubles et le design intérieur avec l’art. Les toiles du peintre Robert Schuster sont les premières œuvres, parmi celles d’une série d’artistes régionaux, qui seront exposées au loft. Elles parachèvent le concept global du loft d’exposition qui est une présentation vivante des tendances actuelles, des standards passés et des développements récents au niveau de l’Office Consulting, de l’architecture d’intérieur et de l’ameublement.

l’espace en zones selon leur fonction. La zone près de l’entrée du loft accueille un bar et un espace de présentation avec un écran TV ou bien avec un moniteur pour des présentations devant un grand nombre de personnes. Les écrans, la totalité de la technique telle que l’éclairage, les médias, la technique de présentation et le système d’ombrage peuvent être commandés par un réglage centralisé par un trolley médias.

Les cloisons ont des caractéristiques acoustiques : des panneaux de fibre à densité moyenne et à fines perforations, de la société suisse TOP-Akustik, laqués en coloris gris clair amortissent le niveau sonore. Les armoires du bar donnent l’impression de sortir directement du mur et correspondent parfaitement avec le coloris violet des joints.

Large espace pour les idées

Derrière les lounges et l’espace pour les présentations on arrive aux zones de réunions, qui sont équipées d’écrans TV, de configurations des tables de conférence et d’armoires qui reçoivent les collections tissu et surfaces. On utilise ces zones surtout pour des entretiens avec les clients et des petites réunions internes. La majeure partie du loft sert de surface d’exposition pour les meubles : Pour les diverses situations au bureau, dans les espaces de communication et de détente, on

Plus de liberté pour les tables de bureau : en finir avec l’invasion des câbles!

Office Concepts

La branche en technologie invente d’innombrables moyens pour nous débarrasser des câbles agaçants. Ils nous proposent les tablettes, les ordinateurs portables, les smartphones, le bluetooth et le réseau sans fil. Mais la réalité est tout autre. En tant qu’expert de la situation du travail au bureau on a l’impression que c’est le contraire : La quantité des câbles trainants augmente avec le nombre des appareils sans fil. Finalement tous ces gadgets mobiles au bureau doivent être rechargés. Sans courant électrique les appareils statiques allant de l’écran à la lampe de bureau n’ont pas d’énergie.

La technique sans fil ?

Les tendances actuelles pour les bureaux nous démontrent que les exigences vers le câblage et l‘électrification du poste de travail gagnent en importance : L’ordinateur classique disparaît de plus en plus du marché. Il sera remplacé d’une part, par des appareils « All-in-one » (moniteur et processeur), et d’autre part, par des ordinateurs portables puissants ou des SmartPCs (hybride d’ordinateur portable et tablette). La quantité des câbles ne sera point réduite.

Le câble réseau nous reste également fidèle. Les réseaux sans fil sont, le cas échéant, utilisés dans les moyennes et les grandes entreprises mais uniquement en sus du reste. L’accès au réseau n’offre pas la même performance par rapport aux réseaux modernes avec câbles à fibres optiques. Pour garantir une sécurité informatique on recommande l’utilisation des réseaux câblés à l’intérieur des entreprises.

Le réseau sans fil a surtout une grande importance dans les espaces communs, les halls d’attente, les lounges ainsi que dans les salles de conférence et de séminaire, y permettant un accès mobile et facile au réseau pour tous les participants.

On peut remarquer une autre tendance : En particulier dans les entreprises qui travaillent fréquemment avec un logiciel dessin technique et graphique, un moniteur secondaire au poste de travail fait partie de l’équipement standard. Cela signifie : encore un câble en plus !

Le câblage qui mène aux terminaux informatiques se fait le plus souvent par l’aménagement de faux-plafonds, de sols à double paroi ou de conduites dans les murs. Le nombre et le positionnement des connecteurs électriques dépendent du concept d’utilisation de l’espace.

Wireless – sans câbles – c‘est l’avenir dans les bureaux, du moins à l’idée des entreprises en informatique et en télécommunication. Orifice passe-câbles simple avec goulotte articulée pour une connexion

directe entre la table de travail et les prises.

Boîtier passe-câbles avec couvercle : Plug-in facile et rapide à hauteur de table. Les boîtiers données (dans les variantes diverses) seront intégrés dans le boîtier passe-câbles ou montés au couvercle et utilisés selon besoin.

La goulotte offre assez de place pour ranger le surplus de câbles : L’accès à la goulotte se fait par un orifice passe-câbles étendu ou par un plateau coulissant de la table.

Gestion de câbles à travers une station technique spécifique : Celle-ci accueille non seulement la totalité de la technique et de l’électrification (prises et/ou boîtiers données), mais range tous les câbles et les surplus des câbles. Le Plug-in se fait à hauteur de table. Les stations techniques sont idéales pour une utilisation intense de l’ordinateur.

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Intégration de la gestion de câbles aux meubles de bureau

L’invasion de câbles est néfaste, autant pour des raisons d’organisation et de sécurité, que pour des raisons esthétiques. Il n’est donc pas surprenant, que les entreprises soient de plus en plus à la recherche de solutions adéquates pour une gestion de câbles raisonnée au bureau. Pour les producteurs de meubles de bureau, la tâche primordiale est de cacher les câbles. Ils offrent plusieurs possibilités à leurs clients : de l’orifice passe-câble simple (sans ou avec goulotte articulée), aux boîtiers passe-câbles et aux goulottes (sous le niveau de la table) jusqu’aux stations techniques spécifiques, qui dégagent complètement la table de travail de ses entraves.

Souvent en matière d’électrification, les producteurs de meubles de bureau coopèrent avec des entreprises spécialistes qui offrent des prises de courant simples, des boîtes de données multimédias et des branchements individuels pour le courant, le réseau, VGS, HDMI ou audio. Les besoins des utilisateurs constituent leur angle d’approche.

Ne pas oublier : En cas d’utilisation de la technique mobile tels qu’ordinateurs portables, tablettes ou smartphone, il faut accorder sa préférence à une gestion de câbles « Plug & Play » : Personne n’a envie de fouiller une éternité en branchant et débranchant les appareils.

Présentation sans câbles : Les technologies récentes WLAN (à partir de 802.11n) permettent une connexion sans câbles entre réseau, vidéoprojecteur ou écrans TV et des appareils mobiles (p.ex. ordinateurs portables, tablettes). Ainsi un câblage compliqué et coûteux des salles de conférence peut être évité. Chaque participant a la possibilité de s’investir dans la présentation de son poste. (Ici : Présentation System de Black Box Network Services)

Pour tous ceux entre vous qui considèrent les nouvelles technologies sans câbles pas encore très fiables, soit par des raisons de sécurité soit par des raisons de performance, un câblage de conférence astucieux garantit une qualité excellente pour l’interconnexion et les présentations dans les salles de communication. Des tables de communication adéquates intègrent le câblage et offrent un guidage de câbles entre les tables, indépendamment des configurations de tables.

Des trolleys médias reçoivent l’équipement technique dans les salles de communication. Ils permettent un rangement impeccable de tous les appareils pertinents en allant de la commande automatique des médias, au lecteur Blue-Ray, de l’installation du son au récepteur satellite. Ils servent en plus de pupitres et de lieu de présentations diverses.

Qui dira qu’une utilisation détournée des goulottes n’est pas possible ? Le programme de tables de conférence pulse de Wiesner-Hager en est un exemple parfait. Le câblage est discrètement intégré au fût du piètement de la table et à la goulotte horizontale. La goulotte peut être utilisée sur deux niveaux : d’une part pour le guidage des câbles et le plug-in des boîtiers médias et d’autre part pour des bacs crochetables qui peuvent être utilisés pour des ustensiles, des plantes, des boissons ou des en-cas. Une source d’énergie pour l’homme et la technique.

Office life / La vie au bureau

Merchant recommande de mener de temps en temps des réunions en se promenant à l’air frais. Cela vous maintient en forme, donne de l’allant à la réflexion et favorise l’émergence d’idées neuves. Question pertinente : A-t-on systématiquement besoin de ses notes à chaque réunion ? Merchant elle-même a notablement changé sa façon de travailler au quotidien et, à travers les réunions « Walk and Talk », en arrive selon elle à marcher de 30 à 50 kilomètres par semaine. Dans les sociétés Facebook, Apple et Twitter, les réunions  « Walk and Talk » sont déjà entrées dans les mœurs. Aux Etats-Unis, cette tendance a même son propre mouvement en ligne pour la promouvoir sous l’adresse everybodywalk.org (« tout le monde à pied »). Avec sa propre application, bien sûr (disponible pour iOS et Android), afin d’inciter l’Amérique à bouger plus. Cette approche apparaît autrement plus humaine que la « fat tax » au Japon qui pèse conséquemment sur les salariés obèses.

Les réunions « Walk & Talk »

« Etre assis est devenu le tabagisme de notre génération » – cette déclaration de Nilofer Merchant annonce la nouvelle tendance des réunions « Walk and Talk » (« Marcher et parler »). Elle affirme que l’on n’a pas besoin de s’asseoir à chaque réunion.

Conférence TED par Nilofer Merchant, dans laquelle elle suggère : « Une réunion ? Menez-la en vous promenant ! »

Nilofer Merchant, ambassadrice des réunions

« Walk and Talk »

Selon de récentes études, les gens s’assoient en moyenne 9,3 heures par jour - c’est plus long que le temps passé à dormir (7,7 heures par jour). Malheureusement, le corps humain n’est pas prédisposé à passer autant de temps assis et de nombreux problèmes de santé surviennent en conséquence de ce mode de vie. Dix pour cent des cancers du sein et des cancers du côlon sont directement liés au manque d’exercice. Il en va de même avec l’infarctus du myocarde et le diabète de type 2.

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Vital Office

environnante. Du moins en quelque sorte. Le papier peint, tiré d’une photo pixélisée en haute résolution avec des motifs de paysage de la Styrie orientale, rend cela possible. « L’espace est non seulement un volume, mais également toujours la possibilité, en dépit des nécessaires limites et des lignes droites, de créer un effet sphérique et donc une atmosphère agréable et attrayante pour ses occupants » explique Mark Blaschitz, représentant du cabinet d’architectes Splitterwerk. Ainsi Splitterwerk suit une tendance mondiale dans l’architecture de bureau, laquelle est ainsi définie : Un bureau n’est pas seulement une cellule de travail pour les employés, mais aussi un salon où vous passerez de nombreuses heures par jour et doit donc être conçue d’une façon attractive. « Le lieu de travail peut et doit être un endroit où vous pouvez vous sentir à l’aise et détendu, où vous agissez sans stress et sans pression », explique Christine Korak, directrice de AGIL, société établie dans la gestion de la santé. « Cela englobe autant la conception immédiate de l’environnement du travail personnel, la lumière, la couleur, les matériaux et les préoccupations ergonomiques que l’environnement même du bureau et au-delà. Il s’agit, idéalement, de garages à vélos, douches, salles de fitness, espaces pour micro sieste et de zones de retraite individuelle entre deux tâches. » La présence au quotidien dans le bureau d’un panier de fruits et de légumes frais, ou proposer un moment d’activité sportive en groupe peut parfois déjà suffire » pense Bettina Wegleiter, experte en psychologie au travail. Celle qui s’intitule elle-même « Coach professionnel pour la tête et le corps » ajoute : « L’épanouissement mental ne doit jamais être dissocié de celui du corps. Il est important de toute façon de donner aux employés la sensation morale et physique qu’ils sont estimés, car l’argent à la fin du mois n’est pas la seule récompense à laquelle nous, les humains, sommes dépendants dans notre vie professionnelle. Il s’agit aussi de valeurs sociales et les relations interpersonnelles dans l’entreprise ». Et ce n’est pas qu’un vœu pieux, mais aussi la loi. Depuis le 1er janvier 2013 la loi sur la protection du travailleur autrichien, l’article 2 et 7, impose la conception optimale du poste de travail et de son environnement. Il s’agit notamment de l’ergonomie, de la psychologie de l’espace et, ce qui n’est pas à négliger, de la possibilité d’apporter une touche personnelle et individuelle à son propre poste de travail. En outre, l’employeur est tenu d’évaluer régulièrement la satisfaction des employés ainsi que le stress mental et physique auquel ils sont exposés. Voilà pour la théorie. Dans la pratique, beaucoup sont encore à la traîne. « Il y a déjà un certain nombre d’entreprises qui utilisent l’architecture et le design à dessein dans « l’espace travail » afin de se positionner clairement comme un employeur attrayant », dit Riklef Rambow du cabinet berlinois PsyPlan. « Pour de nombreux travailleurs ce n’est certainement pas le critère le plus décisif en com-paraison d’autres, tels que le salaire et les possibilités de promotion. Mais dans certains cas, quand sont offertes des conditions compa-rables, ces critères de conception pourraient jouer un grand rôle ».

Un tel bureau est, par exemple, le nouveau siège de l’agence de publicité Österreich Werbung dans la « Haus an der Wien ».

Force de travail, en avant toute !Motivation au travail? Tout est possible... dès lors que l’on s’éloigne de la grisaille.

Cet environnement de travail d’aspect baroque et semi-futuriste ne semble rien avoir de commun avec les concepts de bureaux standardisés et prêts à l’emploi. Les meubles sont de tons clairs, plaisants et sobres, au sol un épais tapis ruisselle l’écarlate dans un style qui n’est pas sans rappeler la chambre à coucher de l’impératrice Sissi. «Le sol, dans un bureau, a le même rôle que l’abat-jour dans le salon », explique l’architecte Andreas Burghardt. « Il s’agit d’une surface utile qui réfléchit la lumière sur une grande échelle et immerge ainsi la pièce entière en couleur froide, chaude ou neutre. Cela permet de façonner une atmosphère par un procédé simple. À mon avis, cet élément de conception est largement sous-estimé. »

En général la couleur est trop peu utilisée dans l’architecture de bureau, pense Anna Pia Buxbaum du cabinet-conseil viennois Archicolor. « La couleur a un impact énorme sur

notre psychisme. Certaines couleurs ou matériaux ont un effet calmant, certains éveillent, d’autres provoquent ou inspirent. De cette façon, vous pouvez prendre en considération, avec un faible investissement et une bonne conception, les besoins spécifiques de votre bureau. »Que la couleur affecte non seulement le bien-être de l’employé, mais aussi sa productivité et son efficacité, a été démontré par une étude menée en 1996 à l’Université d’Austin, Texas. Nancy Kwallek, directrice du programme de design, réunissait 90 secrétaires professionnelles pendant une semaine. Elles concouraient les unes contre les autres dans différentes pièces conçues pour un travail individuel et on testait leur productivité à la machine à écrire et à la relecture. Le résultat après quatre jours complets de travail : la quantité de travail dans les zones colorées a été supérieure en moyenne de six pour cent à la quantité de travail effectuée dans une salle blanche. Les plus mauvaises performances furent recensées dans les pièces grises et beiges. Wojciech Czaja

La raison vous dit que ce ne sont que des sièges pivotants, des dalles de moquettes et du papier peint. Mais vos yeux ne voient que la floraison printanière de champs de coquelicots dans des pâturages de montagnes. Déconcertant. Les bureaux de l’immeuble « Reine des grenouilles », appartenant à l’entreprise spécialisée en techniques de motorisation « Prism Engeneering », basée à Graz, évoquent une subtile confrontation du réel et de l’illusion.  La surface légale d’exposition à la lumière a été divisée en plusieurs petits guichets et au lieu d’un panorama constitué de maisons familiales et d’une zone commerciale, les employés bénéficient d’une vue imprenable sur la nature

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Jardin zen, jungle ou un espace high-tech ?

Les premières cafétérias furent livrées au printemps 2013 et mises à la disposition des employés. Ils peuvent désormais se faire une idée concrète quant à la concrétisation de leurs suggestions et en sont enchantés. Parallèlement, la refonte de salles de repos est également prévue dans d’autres bâtiments de l’établissement dédié aux techniques. Prendre un café dans les mers du Sud, cela sonne tellement mieux.

Le thème « High-tech »

Le thème « Jungle »

Le thème « Jardin Zen »

La direction de l’Ecole Supérieure voulait accorder une attention particulière aux besoins des employés lors de la conception des espaces de pause et de convivialité. Une enquête réalisée auprès des utilisateurs potentiels devait montrer quelles caractéristiques sont particulièrement importantes dans les zones de régénération. Celles-ci ont ensuite été incluses dans la conception.

Un thème principal par étage

Roomware Consulting a ensuite exploré différents thèmes et domaines qui ont été développés pour les cafétérias de chaque département. Outre les exigences purement fonctionnelles, la créativité, en matière de conception dédiée au bien-être, a joué un rôle important. Chaque étage du bâtiment principal s’est vu attribuer un thème qui a servi de base pour sa conception et son apparence.

Le « Jardin Zen » est ascétique, décoré avec des couleurs apaisantes comme le vert et le blanc naturel. L’ameublement et la décoration sont inspirés du style japonais, avec des lignes droites et des tons nature. La « jungle » s’étend dans des couleurs terreuses. Les meubles en bois foncé avec des accents verts créent une atmosphère relaxante.

Odyssée de l’espace dans la cafétéria

Dans un tout autre registre, les mots d’ordre pour la cafétéria « high-tech » étaient épure et modernité. Comme il était important de tester là aussi les développements techniques des étudiants, un « mur médias », équipé de différents éléments techniques, a été aménagé. Visuellement, une image, tirée du classique « 2001, l’odyssée de l’espace » de Stanley Kubrick constitue un point fort. Elle a été transférée sur un film translucide, appliquée à une paroi vitrée. C’est la compagnie Warner Brothers qui a spécialement accordé à l’école le droit d’utiliser cette image, créée à partir d’une diapositive originale des Archives de l’Université des Arts de Londres.

Life Long Learning

Afin d’offrir un lieu convivial aux participants des séminaires, l’Académie LLL (Life Long Learning) a été conçue à l’étage supérieur. Elle offre plus de places assises et un grand espace pour les repas, la détente et la communication.

Les cafétérias d’entreprise sont souvent négligées

en termes de design, un mur peint en blanc est

généralement suffisant. Il en va très différemment

à l’Ecole Supérieure des Techniques de Vienne. Ses

employés peuvent maintenant se ressourcer dans

une véritable oasis de bien-être, pensée avec leur

participation.

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Projet de référence

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La prévention en matière de santé en entreprise est un thème très complexe qui est devenu un véritable facteur de réussite et un moyen de se présenter comme entreprise attractive. Michael Mayrhofer, un expert en sciences du sport et un entraîneur professionnel, identifie pour nous les tendances et les points perfectibles du moment ainsi que le moyen de tirer son épingle du jeu.

Pourquoi y-a-t-il des entreprises qui sont plus en forme que d’autres ?

Tuyau : Ceux qui veulent démarrer immédiatement le Personal Health au bureau – par-là vous arrivez aux trois exercices pratiques de Michael Mayrhofer.

De quoi s’agit-il ? Il s’agit d’acquérir des avantages compétitifs pour pouvoir recruter les meilleurs talents. Une prévention santé ciblée signifie un instrument très efficace pour l’image de l’employeur! Elle stimule incontestablement l’attractivité de l‘employeur et redore l’image d’une entreprise. Une bonne communication de ces mesures non seulement à l’intérieur, mais encore vers l’extérieur est très importante. Peu d’entreprises sont à la hauteur de ces exigences. Mais la prévention santé n’est-elle pas très coûteuse ? Bien sûr la prévention santé exige certains moyens budgétaires. Mon client Christoph Bründl, gérant de la société Sport Bründl, appelle les choses par leur nom : « Je serais bête de ne pas le faire! Il faut offrir des possibilités à mes employé(e)s. » C’est la raison pour laquelle il organise des événements et des actions pour tous ces 330 employé(e)s. Ces offres sont acceptées avec enthousiasme. La bonne atmosphère dans l’entreprise et les faibles taux d’absence maladie en disent long.

Il y a des employeurs qui prétendent que de telles offres ne sont pas toujours bien acceptées. Oui, c’est un problème très connu. Cela dépend en premier lieu de la façon de communiquer les offres et les mesures. Les employé(e)s doivent percevoir les offres en tant qu’acte d’estime. Nous connaissons des exemples où le message n’a pas été compris et les employé(e)s ont réagi ainsi : «  Il y a alors de l’argent pour ces choses-là ». Comment expliquez-vous ce phénomène ? La « santé » est un thème sociopolitique qui dépend toujours fortement de la conscientisation. Dans certaines branches et entreprises un très gros travail d’information est nécessaire. Il nous reste beaucoup à faire.

Qu’en est-il de la « prévention santé en entreprise » ? C’est un sujet qui est soumis à des changements permanents. Il y a 20 ans la prévention des accidents était primordiale. Plus tard l‘ergonomie est devenue une question centrale. Il y a 10 ans les centres de remise en forme à l’intérieur des entreprises étaient très en vogue. Le bénéfice tiré était limité, car l’influence de ces centres dépend du climat interne. Actuellement le sujet « santé » est devenu beaucoup plus complexe. Il s’agit non seulement de bonne condition physique, mais également d’épanouissement mental et d’ambiance de coopération dans l’entreprise.

Qu’est-ce que cela signifie ? La prévention santé en entreprise doit tenir compte de ces exigences complexes. Il est donc important de créer un programme qui allie forme physique, sérénité intérieure et esprit d’équipe. Hier, j’ai mis en pratique le programme suivant avec les collaborateurs d’une grande entreprise commerciale : Le matin un footing en forêt assisté par un entraîneur, à midi faire la cuisine en équipe sous l’égide d’un cuisinier pro et un entraînement mental l’après-midi. Cette méthode holistique peut être déclinée de différentes matières. L’essentiel est l’apport qualitatif. Peut-on dire qu’il faut toujours avoir une approche globale ? Exactement! L’analyse de cette approche doit être effectuée d’un point de vue très exhaustif : Il ne s’agit plus seulement des aspects isolés de la santé mais du spectre entier des critères physiques, mentaux et sociaux et également de «  la santé de l’entreprise ». Y-a-t-il une vraie volonté des entreprises d’aborder ce sujet ? Les absences maladies des employé(e)s surchargé(e)s pèsent dans le budget des entreprises sous gestion traditionnelle et la perte totale de motivation de services entiers, suscite un taux exponentiel de fluctuation du personnel à travers des phénomènes d’abandon, sur le plan psychologique, voire de démissions. Ce sont les entreprises innovantes qui ont identifié depuis longtemps cette urgence et qui ont réagi conformément à la situation. C’est dans des temps comme ceux-ci, qu’en plus de l’avantage qui sera apporté à l’entreprise par un personnel sain, performant et motivé, d’autres bénéfices seront révélés à l’usage.

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Mag. Michael Mayrhofer est un entraîneur par l’Etat et chargé de cours à l’université de Salzbourg, de l’Académie pour entraîneurs de Linz, de l‘Académie médicale et technique pour physiothérapie et autres. L’ancien sportif de haut niveau accompagne, depuis 20 ans dans sa fonction de Health-Improvement Coach, un grand nombre d’entreprises nationales et internationales (p. ex. Porsche Holding, Salzburg AG, Wüstenrot, Agrana, Hartlauer, dm). Plus d’informations sur : www.personal-fitness.at

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PURe AVeC PIèteMent LUGeLe design de la série des meubles de bureau pure est l’interprétation d’une architecture moderne et offre une alternative classique pour bureaux. Le nouveau piètement luge disponible en option, correspond parfaitement au design sobre de la famille de produits. Les variantes multiples de pure permettent une utilisation pour une quantité d’exigences de travail : du backoffice aux zones pour un travail créatif en équipe, aux bureaux de direction.

UPDAte_b tAbOURet De bARLa famille de sièges polyvalents update s’enrichie : un nouveau tabouret de bar complète la famille de sièges update de Wiesner-Hager. Le design sobre, les variantes de couleurs et de revêtements font de ce tabouret de bar un siège universel qui peut être utilisé dans tous les espaces de communication et de détente. Il se distingue par sa fonctionnalité et par son rapport qualité/prix.

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GRACe PetIt FAUteUILEquipé avec un nouveau piètement luge le petit fauteuil de la série grace est idéal pour une utilisation dans les bureaux et les collectivités. Ce piètement confère à la série une certaine légèreté. Ainsi grace est devenu un meuble moderne pour les lounges business, les halls d’accueil, les bureaux de direction et les salles d’attente prestigieuses. Ce fauteuil, haut de gamme et confortable, offre une caractéristique intéressante qui s’intègre sans difficulté : Pour un nettoyage facile le siège est amovible. Pour ce modèle le revêtement tissu est disponible en version bicolore.

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Pour avoir du succès sur le marché, il faut non seulement concevoir des nouveautés, mais également perfectionner des produits déjà existants. C’est pourquoi nous avons ajouté à la famille de sièges pure et à la famille des fauteuils grace de nouvelles variantes. Nous avons également complété la famille update par un tabouret de bar et le programme pour cafétérias macao par un autre coloris.

MACAO en COLORIS GRISEtant disponible jusqu’à maintenant en coloris noir et blanc, la coque d’assise du siège macao a été complétée par un coloris gris doux, combiné au piètement en coloris assorti. Cette particularité souligne la polyvalence de macao qui sera surtout utilisé dans les cafétérias, les restaurants, les bistrots et les zones de pause et de séjour. La silhouette fine et sobre d’un côté et la construction solide et robuste de l’autre côté font de macao un siège pérenne dans un design haut de gamme.

Bureaux à travers le monde

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La première impression renvoie quelque peu à un film de science-fiction des années 90. A peine avez-vous passé l’entrée principale, vous vous trouvez au milieu de ce vaisseau spatial et de sa lumière d’une blancheur intense. Derrière la réception - l’odeur envahit promptement le nez - les graminées et les fougères ornent le mur. De gauche à droite, comme protégées par des ailes bleues, les boîtes de médicaments sont disposées sur des plaques de verre acrylique courbées. Des boîtes de pilules et d’historiques pots de verre pour médicaments y figurent symboliquement. Un total de 750 pictogrammes. La seule vue de ces signes médicinaux vous guérirait instantanément.San Pablo est l’une des plus grandes forces de ventes pharmaceutiques du Mexique. Avec près de 40 magasins rien qu’à Mexico, de la petite boutique d’apothicaire au supermarché, San Pablo est une sorte de chaîne de distribution, grand public, des gouttes et des comprimés.

Pour la chaîne de pharmacie mexicaine « San Pablo », Juan Carlos Baumgartner a créé un bureau d’entreprise exceptionnel avec de nombreux espaces hétérogènes de réunion et de travail. Ceci avec une touche homéopathique de graphisme pour la satisfaction et le bien-être psychologique.

Alors que ces dernières années, beaucoup d’argent avait été investi dans le marketing, la RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) et le développement de nouveaux sites, le siège basé au cœur de Mexico faisait lui figure de parent pauvre. La perception externe de la société et la qualité structurelle du centre de gestion n’étaient pas encore parfaitement accordées. La décision a donc été prise de s’agrandir, de changer l’adresse et d’opter pour de nouveaux bureaux sur l’avenue des Insurgés, dans le sud de la ville. Six cabinets d’architectes ont été sollicités et mis en concurrence dans un concours. « Pour nous, il était clair que la philosophie d’ouverture de l’entreprise devait se refléter dans la conception du nouveau bureau », déclare Juan Carlos Baumgartner. « Pour cette raison, nous avons créé des bureaux emprunts de caractéristiques tirées de divers domaines, dédiés à des activités et des personnels tout aussi divers que variés. » L’architecte de 41 ans est spécialisé dans l’architecture d’entreprise et gère, sous son label «  Space Mexico », trois cabinets d’architectes à Mexico, Chicago et Tokyo. Une centaine de collaborateurs dans le monde s’affairent à proposer des solutions à de grands groupes tels que BASF et d’autres parmi les plus High Tech.Baumgartner voit en San Pablo l’un des projets les plus heureux et sereins menés par lui jusqu’ici.«  L’aspect le plus important dans une telle entreprise ouverte et libérale est que les gens peuvent non seulement se sentir dans un bureau, mais également que les pièces ont quelque part l’atmosphère d’un salon. » S’ajoutant à environ 190 postes de travail classiques, qui sont répartis sur deux étages, il y a les 3000 mètres carrés du siège social de San Pablo avec ses cafés accueillants, ses bibliothèques, ses différents lieux de travail informels et des zones futuristes pour les réunions ponctuelles. On trouve également à sa disposition des salles de baby-foot et de billard, des salons pour les mélomanes ou pour les amateurs de micro-sieste dans une atmosphère protégée du bruit. « Dans l’ensemble, le bâtiment est conçu pour environ 280 personnes » explique Baumgartner. « Mais nous avons dû prendre en considération le fait que de nombreux employés travaillent le plus souvent sur le terrain et ne passent que peu de temps dans le centre et de façon irrégulière. Il était nécessaire d’envisager une partie de l’activité sédentaire comme un élément alternatif à travers des stations de travail modulables. » D’où la grande diversité architecturale. Parfois, vous avez l’impression de prendre un café chez Starbucks. Alors que les postes de travail traditionnels sont équipés comme partout avec un bureau, un fauteuil pivotant et des éléments de stockage mobiles, ce sont la spontanéité et le hasard qui régissent les zones communes traditionnelles. « Les meubles proviennent pour la plupart de brocanteurs spécialisés qui se consacrent à la période allant des années trente aux années soixante-dix, ainsi que de divers marchés aux puces », explique l’architecte. « Je me souviens comment, avec mon chef de projet et le conseil d’administration de San Pablo, nous sommes allés de marché en marché, parce que nous voulions sélectionner pour chaque individu, pour chaque recoin, l’élément mobilier le plus pertinent. Un tel amour du détail ne va pas toujours de soi. La plupart des

Aménagement sur ordonnance :

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Den Himmel ins Büro holen: Die dynamische Licht decke „Virtual Sky“

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L’emplacement est idéal. Le bureau d’UNStudio est situé au cœur d’Amsterdam, juste à côté du Quai des Stathouders, donnant sur le canal Singelgracht. Contrairement aux maisons futuristes, lisses et sophistiquées qui semblent sorties d’une soufflerie glaciale et qui sont l’apanage d’UNStudio, c’est dans une vieille maison en briques du 17ième siècle que travaillent Ben van Berkel et sa partenaire Caroline Bos. Ces temps-ci, une centaine de leurs employés y collaborent également. Vraiment très amsterdamien !« Pour autant que je sache, on fabriquait ici des calèches tout au long du 17ième et du 18ième siècle », explique Ben van Berkel. « Et d’après la légende c’est dans mon bureau au deuxième étage que le carrosse d’or de la famille royale a été construit. »  Les colonnes de fonte, les grandes fenêtres, et les longues conduites dépourvues de soutènement qui traversent le bâtiment évoquent clairement l’ancienne manufacture. «  D’un côté, cette historique maison en briques, et de l’autre, nos propres projets modernes - c’est exactement ce que j’aime », dit van Berkel. « Atteindre l’unité et la cohérence n’est pas une difficulté en soi, mais je trouve cela ennuyeux. Ce sont les attentes contrariées qui rendent la vie passionnante. » Lorsqu’en 1999 UNStudio a élu domicile sur le canal Singelgracht, il a fallu procéder à la rénovation de l’ancien bâtiment. L’électricité et le chauffage ont été restaurés, des cloisons de verre ont été installées et tout fut repeint à neuf. Radicalement. Les sols et les murs sont jaunes vif, orangés, rouges, magentas, bleus, violets et verts. « Vous savez, l’ambiance est très décontractée chez nous. Il suffirait de pas grand-chose et d’un rien de temps pour transformer notre bureau d’architecture en une discothèque branchée. C’est ce que j’appelle la flexibilité. » Wojciech Czaja

Que trouve-t-on sur votre bureau, Ben van Berkel?

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Ce mur noir est ma source d‘inspiration personnelle. Tout ce que je recherche, dessine, écris ou trouve au hasard, sur Internet ou dans n‘importe quel magazine, finira tôt ou tard sur le mur. Un bureau avec cinq chaises. Soit je suis seul ici, soit j‘utilise le bureau pour des réunions avec mes clients. Parfois aussi ce sont mes collaborateurs qui occupent le poste quand je suis en déplacement. Je n‘utilise pas l‘ordinateur fréquemment. Quelques courriels, consulter mon agenda et de la communication interne, c‘est tout. Je travaille principalement sur iPhone et Notebook. Webcam sur le moniteur. J‘utilise beaucoup Skype avec mes collègues à Shanghai, en général tous les trois à quatre jours. Par conséquent, la caméra m‘est utile. Financial Times et Herald Tribune comptent parmi mes journaux préférés. Le Herald Tribune : J‘ai une préférence pour sa qualité linguistique et journalistique, mais dans le Financial Times, la probabilité est plus élevée que j‘apprenne quelque chose concernant mes propres clients. Cette pile de livres est une petite bibliothèque à portée de main pour les temps morts. Deux maquettes correspondant aux deux chantiers qui nous occupent actuellement intensivement : Celle de Raffles City à Hangzhou dont la réalisation est en cours et celle de la gare d‘Arnhem aux Pays-Bas qui est en voie d‘achèvement. Le matin, je fais habituellement 40 minutes de sport, parfois, je vais courir, parfois je vais à la gym. Quand j‘arrive au bureau vers 10 heures, je dois me forcer à boire beaucoup. Cela aide aussi à lutter contre les effets du décalage horaire que j‘éprouve souvent. Je bois beaucoup de thé. Et c‘est ma tasse préférée, une tasse blanche avec une bordure en caoutchouc vert de chez Bodum. Elle est très pratique, car vous ne pouvez pas vous y brûler les doigts. Et elle est jolie.

What’s on your desk?Bureaux à travers le monde

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maîtres d’ouvrage donnent une indication générale pour ces détails plutôt que de s’en préoccuper eux-mêmes. »En plus de l’architecture et du design, le développement durable a également été au centre des préoccupations. Une grande partie de la somme consacrée à la rénovation et à l’extension (2,1 millions de dollars américains, environ 1,55 million d’euros) a été affectée à des mesures techniques telles que l’éclairage LED, l’aération activée par la capacité thermique des éléments de construction, ainsi que des produits recyclés certifiés. Toutes les couleurs et tous les matériaux de surface portent le timbre vert. Et les dalles de moquette sont faites de fibres recyclées à 30 pour cent. Même les cloisons de verre ont été récupérées dans l’ancien siège social et vont maintenant servir de cloisons de rechange. Le résultat de ces efforts est une certification d’or LEED (Leadership in Energy and Environnemental Design).Après moins de deux années de fonctionnement, le succès de la nouvelle identité visuelle semble assuré. Tout récemment dans le quartier de Tecamachalco à Mexico, une pharmacie San Pablo a été rénovée selon les mêmes critères de conception. Dans les prochaines années, il est prévu que la grande partie des succursales adoptera le nouveau concept. Juan Carlos Baumgartner peut s’attendre à des sollicitations répétées. Wojciech Czaja

Design: SPACEPhotos: Huguette Ampudia24 contact

O� ce Concepts

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poi – le nouveau siège tournant pour bureau : un design cool, une ergonomie bien mûrie et un confort assuré.Et le prix alors? Nous l’avons renversé.