ÉLÉMENTAIRE ET PROGRESSIVE -...

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ÉLÉMENTAIRE ET PROGRESSIVE PAR RENFERMANT LES PRINCIPES: DE LA MUSIQUE. EXERCICES. - GAMMES. ^EXEMPLES. !• ÉTUDES et 24 TRANSCRIPTIONS POUR TOUS •'• LÈS JEUX DE L'ORGUE TIRÉS DES OPÉRAS CÉLÈBRES, ANCIENS ET MODERNES, Prix T\et : 6 francs FRANGE ET ÉTRANGER LÉON ESCUDIER ÉDITEUR %i P RUE DE CH01SECL, 21 >

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ÉLÉMENTAIRE ET PROGRESSIVE

P A R

RENFERMANT LES PRINCIPES: DE LA MUSIQUE. — EXERCICES. - GAMMES. ^EXEMPLES.

• !• ÉTUDES et 24 TRANSCRIPTIONS POUR TOUS •'•

LÈS JEUX DE L'ORGUE TIRÉS DES OPÉRAS CÉLÈBRES, ANCIENS ET MODERNES,

Pr ix T\et : 6 francs

FRANGE ET ÉTRANGER

LÉON ESCUDIER ÉDITEUR %iP RUE DE CH01SECL, 21

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Kenfeimaulles îrincipes de là,Musicjiie l Qf Exercices _ Gaïames _ Exemples ^Êtadea

2 4 Transcriptions pour tous les j eux de î Orgue Tirés des Opéras célèbres des Maîtres anciens et modernes

t .Trafics et Jfflrajvff&r. J? *

1

MÉTHODE D'ORGUE

I M R O D I C T I O I N

L a Musique- comme art et comme science à pour mission de charmer l'oreille.

Par sa nature tendre et harmonieuse, la musique est un puissant civilisateur. Elle adou­

cit les mœurs , occupe sans fatigue, repose des travaux, tient compagnie aussi bien à l'ouvri­

er qu'au riche, et son action bienfaisante convient a tous les âges .

L'orgue est un instrument relativement facile à apprendre car i! ne demande pas aux doigts

de grands efforts de meVanîsme, (comme le piano par exemple). La seule difficulté' est dans

la parfaite e'galite' du son qui s'obtient par la soufflerie; ce sont donc les pieds qui ont .lo

plus à s'exercer; maïs, cette étude n'est ni longue, ni fatigante; elle demande du soin et de l'at­

tention.

.. l i e s ressources qu'offre l'orgue sont très-grandes, car indépendamment des solos , on peut

jouer des duos avec le piano, l'orgue accompagne et soutient très-bien les voix, il peut rempla­

cer à l'orchestre le hautbois ou le basson, dans IV\o'eutkm des trios des grands maîtres il peut,

à la. rigueur faire la partie de violoncelle, il tient une place indispensable dans les cérémonies

religieuses. Toutes ces qualités doivent le faire rechercher des amateurs.

Cette Me'fhode étant eVrife spécialement pour les personnes qui veulent apprendre com -

pletement la musique en mévme temps que l'instrument, je'donne les éléments des principes, les

gammes, les exercices et les études, ainsi que les conseils indispensables à la connaissance de

la soufflerie de l'orgue; de plus, des transcriptions d'airs des ope'ras les plus célèbres,qui apporte­

ront.à cette Méthode un intérêt tout particulier.

F. B.

P R I N C I P E S D E L A M U S I Q U E .

La-Mimique ^ divise en deux parties: la M é l o d i e qui est 1« chant ou le thème, et l ' h a r m o n i e qui e«l la combi­

naison des sons, ou la science des accords.

Pour écrire la musique, on se sert de petits signes ronds ou ovales, qu'on a appelés n o t e s ; elles sont an nombre de

s e p t , et se nomment d o , p é , m i , f a , s o l , la , s i . Ces notes se posent sur cinq lignes, dont l:i réunion se nomme

p o n t ô e . Le nom d'ut a été remplacé par celui de d o comme étant plus euphonique.

E X E M P L E

w- ^ L'"a'ii' !. l'"s."" — — — lorsque les cinq lignes ne suffisent pas, on en ajoute des petites

•Si'"'""'' Ì' " a u f ' t i B S U S o u : | " dessous, et c'est dans ces ligues, et les ihler.-£ ' ''f*"' '"' i"wrli«"* L i s - | i s sj;;l"j ,s " • .lignes que se plaident les finies.que Ion nomini1 ligues addition.-

'«"-*•»••• ~ = nelles.

Il existe trois clefs que Ion met ordinairement an commencement de fa portée, qui sont la clef de S o l , la clef de -Fa

<•! la rtef d'I't , Mais comme cette dernière ne nous est pas utile, nous ce nous occuperons que de la clef de solyeldelaelef

de fa, seules employers pour l'orgue, de salon. " -

Clef de S o l . .T Clef de Fa.

Commencez par bien apprendre les noies placées sur les lignes et celles des interlignes.

La clef de S o l se pose toujours sur la ii>t>e ligne.

E X E M P L E . : Clef de

I P L E - # i I J m T 11 ' ! I - \—à--y-f-

3 s o i . ^-j^iSJ^TTffTr-" mi toi «/ re. Ja ' , ,„ 'rfo m , .soi

.ni fii I" d 0

.Puis après, vous apprendrez les notes placées au dessus et au dessous de la portée, notes peu employées dans ia. mu­

sique de cli-jrtl, mais indispensables pour l'étude de l'orgue.

la do

E X E M P L E . I t do lo fa xi noi «ti

La clef de sol est le plus ordinairement employée pour la main droite, et la clef de fa, est généralement destinée à la

main gauche ce qui n'empêche que quelquefois, on emploie la clef de fa pour la main droite, et la clef de sol pour ta main

gauche, alors on l'indique, soit à la portée soit dans le courant du morceau.

Lorsque vous saurez bien votre clef de sol, vous devrez apprendre la clef de fa, qui. se pose toujours sur la quatrième

ligne et qui donne son nom à la noie. rè •"'

Clef de Fii. 1 1 J 0 r \ i - 1 w r

# ' * i 1 1_J—• tozr-1 = J

V A L E U R D E S J V O T E S .

Toutes ces notes peuvent avoir des valeurs différentes ou une durée qui change selon la l'orme (Je la note.

R o n d e . B l a n c h e . ' Moire . . C r o c h e . D o u b l e C r o c h e . T r i p l e C r o c h e .

-Noms des valeurs: des notes. _ T

Chacune de- ces notes à une valeur déterminée dont voici l'explication. . TJlll» 'l'Ollde

vaili dei ix M a n c h e s .

Crie b i a n c h e viiul deux n o i r e s .

Viti', n o Ire vani d e u x c r o c h e s .

Clin e'iwlw» valli deux d o u i l l e s croche*.

L'iie double c r u c h e vaut d e u x It-thins e m e t i c s .

r r r r

T — T ~ r r r r r r r r

U n e - r i u n i i .

Valli

1 M a n c h e s .

o n -4. n o i r e s ,

un S. c r u e l l e s ,

o u i l i d o u b l e s c r o c h e s ,

o n SB tr iple» c r o c h e s .

Chacune de ces figures de note à un silence qui lui répond en valeur, la pause se place toujours sous une ligni' el s'y .joignant, la demi pause est placée dessus, le soupir est fait comme r renversé, tandis que le demi soupir est place comme'un 7 ordinaire.

F I G U R E S E T V A L E U R S D E S S I L E N C E S AVEC LEURS RAPPORTS.

F;i u s e . D e m i - P a u s e . S o u p i r ; D e m i - S o u p i r . - Quart d e S o u p m D e m i ijiiai'l d e Soupir .

E X E M P L E .

! 1 . f —

a !J_ „

I:i rollili'. Mritii" vnteiir que

In nnhf. M?mi" mlpiir que

la nuire. Martin vriknr I^IIP lii (îouNi'i'iwhf.

•Mi'mi" ralfdrjjiip la jrîple tri»hi\

n - n —.— , 1 . 1 —

Toutes ces figures de notes et de silences peuvent être augmentées de durée, en y ajoutant un point après;le point pla­ce' après une note augmente la note de la moitié de sa valeur.

l U m d e p o i n t é e . B l a n c h e p o i n t é e . N u i r e p o i n t é e . C r o c h e p o i n t é e . D o u b l e c r o c h e p o i n t é e . .

E X E M P L E . Villani uiif hiaiichp ili1 plus.

Vidniit imp noi re He plus.

Vniiint une wne l iH lip [llllS.

Valnilt mie IIOIIIIIB rroi'lin lie plus.

Vntiinl imp tripli" croche ile plus.

Si après un premier point il s'en trouve un second, ee dernier augmente de moitié la valeur du premier.

E X E M P L E M ê m e v a l e u r . M ê m e valent"'.

t.. K. 3 3 4 0 .

La. mesure est le partage de la durée des sons en plusieurs parties égales; ces divisions s'appellent T e m p s , un Temps eut toujours uni* Noire ou sa valeur. Pour bien senlir la division des temps de la mesure, o h les marque par­un mouvement de la main ou du pied, ce qui s'appelle b a t t r e l a m e s u r e . On se sert de barres pour séparer les mesures.

Il F, S D I F F E R E N T E S M E S U R E S .

Les plus usitées sont celles à 4 temps, à 3 temps, à 2 temps.

M a n i è r e d e b a t t r e la m e s u r e . 4

E X E M P L E . Л [ | i] . ' i l iT i r m p s . Ч- . A (ro is t e m p s . A d e u s t e m p s .

1 .

1 2 3 4 1 2 3 4 1 2 3 1 2 1 2 3 ' T4

^

Q t m i i d la mesure est composée, d'est à dire qu'elle esf marquée par deux chiffres* si le chiffre supérieur est pair, elle se luit à deux temps; ou a quatre temps, s'il est impair, elle se bal à (rois temps.

Quand la mesure est marquée par deux chiffres, voici ta règle générale pour savoir de suite do quoi elle est composée. Le chiffre supérieur indique la quantité; et l'inférieur la qualité des Notes. Ainsi, quand on dit | , c'est tomme si l'on di­

sait 2 .quatrièmes d'une Ronde, ce qui fait évidemment. 2 Noires dans la mesure,* | c'est 6 huitièmes, par conséquent G croches cl trois dans chaque temps, puisque le chiffre supérieur est pair. Si je mets |f, c'est trois croches, c'est 12 croches.­Ainsi, (i;nis les chiffres inférieurs, 4 signifie Noires, 8 signifie croches; 16 signifie double croches. Le barré se bat à deux temps.

D E S I N T E R V A L L E S . En Musique, on nomme intervalle le rapport d'un son à un autre son. Ainsi les sept notes de la musique' forment .une

gamme' dont les notes se suivent.et ne forment entre elles de l'une à l'autre qu'un ton ou un' demi­ton, drmi-ton. ' ; ttrmi-tou.

' • m E X E M P L E .

Mais en prenant pour point de départ la première note on trouve un intervalle de s e c o n d e , t i e r c e , q u a r t e , q u i n t e , s i x t e , s e p t i è m e et o c t a v e . On nomme unisson deux notes semblables.

E X E M P L E . ;

2 3 4 5

> . .

7

1 y ft­ J 1 6

k4 4? La g­rtmme c h r o m a t i q u e est une gamme formée seulement de demi tons; nous fa donnons dans l'étendue de 4 octaves.

Elle pourra/venir en aide pour trouver sur le clavier­dé l'orgue la place qu'occupe la note sur ta musique.

D U D I E S E , D U B E M O L E T D U B E C A R R E .

( S i g n e s d ' a l t é r a t i o n s ) . Le dièse (S) est un aiguë qui hausse d'un demi ton l'intonation de la note; le bémol (b) la baisse d'un demi toc, et le bécarre remet la note dans son ton naturel, haussée par le dièse ou baissée par le bémol.

Haussée d'un (icmi­lnn Remise rlans son ton BniHSw'd'un Hemi­lnn Remise dansisoii tnti ^ Katiirnlle. [iar le ­<WI'>SP. nature! par h' b é e a r r P . К»1ПГР11Р. . par lf b é m o l , naturel par 1P hA*arri>.

i 3p Le dièse ou le bémol employé' ainsi se nomme accidentel, et n'agit que dans la mesure oû il­est placé.

Il y a une autre manière de s'en servir; on les place an-commencement ries morceaux rie musique pour en d^sijtner le , ! n n ; alors toutes les notes qni portent le même nom que le degré ou sont posés ces signes en prennent le caractère.

E X E M P L E i 14"" J r-û \\tr^¥Wm

Dans ce cas, le bécarre qui se trouve devant une note n'agit que sur cette note ou celles qui pourraient suivre du mf-iiie nom .et dans la même mesure.

Il y a autant de dièses et de bémols que de notes ( s e p t ) ; ils se posent, comme elles, sur les lignes el interlignes du fa portée, et ont" leurs positions d'après le genre de la clef. Les dièses se posent (en commençant par le Fa) par qtiïnli'. un montant ou par quarte en descendant. Les bémols se posent (en commençant par le s i ) par quarte en montant ou par quinte en descendant.

Les dièses et les bémols se posent invariablement comme le tableau suivant. FA U-T S O L RÉ LÀ MI S I S I MI LA HE S O L U T VU

E X E M P L E -k-

3c V 5" 6" 7 l ! " l w Wmol. 2« 3 P 4° y 6" 7"

Il y a aussi le double dièse (x), qui hausse 1« uote d'un ton, et le double bémol (!>!») qui la baisse d'un Ion.

D U T O W D ' U N M O R C E A U Le Ion exprime le degré' d'élévation d'une gamme; il est indiqué à la clef par des dièses ou par-des bémols.

Pour'distïnguer'le ton d'un morceau:-ï" S'il y a des dièses 'a la clef, on prend la note qui suit le dernier dièse; celte note sera celle du ton majeur. 2° S'il y a des bémols à la clef, on prend l'avant dernier bémol; celte note sera celle du ton majeur.

Deux exceptions à cette règle, i" Lorsque la clef est sans armure, te morceau est en d o . 2" Lorsque la clef porte un seul b^mol, "!ë~môrceân est en f a .

Il y a.deux modes, le majeur et le mineur; ils se reconnaissent à la tierce de la première note du Ion: quand cette tierce est compose'e de deux tons, elle est. majeure, el lorsqu'elle est composée d'un ton et demi, elle est mineure.

GT, morte majeur.' SOL, mode mnjetiK R E , mnrte majeur. ' LAj mode majeur. I Ï I , tivride ranieiir. S I , mnrte m;iji>ur. FA 5, nmde majeur.

J —=— m at

p—-—u 1——a zn. LA, mode [dîneur, • M I , modeliiljneim' S I , miide rniueur, 7A 3,.niode mineur, • E T %, mode mineur,

relatif cl'ÇT majeur. relatiT de SOL majeur, relatif dè HE majeur, reîalif dp LA majeur., relatif de M I majeur.

FA,

— 9 1 11 iueurç S O L t} mode i

relut ¡1' rie S I majeur. HE 3, mnrte mineur,-

relatif de FA 8 majeur.•

R E ' ^ ' I l i a d e majeur.- SOL i>, ni ' idr majeur.-

- # t à * l> J 1 J 1 I ^ L J = ^ = \ 1 U - 1 r 1 A r J ^H- S

f ' mnrfe mil)

Intîr il'f SOL h mnji'ur. • A..

relatif dp FA majeur.- relatif de S I tmajeur. - relutîr di- MI t majeur, relatif dp LA i> majeur. ' relatif rie Hl5 l> majeur.

On peut aussi s'assurer du ton dans lequel est un morceau, en regardant la dernière note qui le termine; elle est toujours la principale du ton. Mais il est préférable de connaître le ton en cherchant la tierce au commencement.

V o i c i d i v e r s s i g n e s e m p l o y é s dit n s l a m u s i q u e , qu' i l e s t i m p o r t a n t d e c o n n a î t r e .

I» p f . T r i o l e t . Les trois notes du triolet n'ont pas plus de'valeur que deux notes de même nature.

• p S i x a î n e . Les six notes du bi sixaîne ont la même valeurtque quatre notes de même espèce.

I>LT C O I 1 L E , Ï>E L A L I A I S O N E T D E L A S Y K C O P E . Ces trois dénominations se marquent.par un trait recourbé- ~^qui lie plusieurs notes ensemble.

Nott>_s coulées. . M'iteadii^s.- ' "~ Mutes, sjneupées. mm m T"i '•iiirrirnrrirrir.r Les notes eiiùlées se finit d'un -««ni son file!; el (mur le chant, t a MaL-m indique qu'il faut tenir les mites On entend par synetipnnne mile ijtii si' partage egalt'meiil entre

d'un seul ivm;i <h poster. de Imite leur valeur pendant la riur.fe du sijriie. la partie faillie dim temps et la partie Furie du temps suivant,

L . F . 3349.

f. D U D E T A C H E .

Le détaché se marque par des points ou des petites barres que l'on met au-dessus des notes.

E X E M P L E

J** P o r t dp voix ou n o t e d ' a g r é m e n t . Petite note qui n'appartient pas essentiellement à la phrase musicale en ce qu'ell n'esl.pas comptée comme valeur dans la mesure.

fîrupetto- Le grnpello est un groupe de petites notes qui n'appartiennent pas essentiellement à la phrase musicale. Elles sont surajoutées pour embellir le chant et ne comptent pas comme valeur dans la mesure.

Ce pririi|ii; s'ilirùge comnii- i lsui l .

E X E M P L E . , - I , r I

f "H 1

M - — 1

D t T R I L L E OU C A D E N C E .

La cadence se fait par-le moyen de deux notes que l'on fait entendre successivement. f-iiiJi'uri" prppiirAt et iiv«c sii (i>rmiiiiiis(iii.

. tr ^

E X E M P L E . Kf'fel. A

8 Ce signe indique qu'il faut jouer toutes les noies, une octave au dessus, tant que le trait se prolonge

On nomme accord plusieurs noies superposées les unes sur les autres. E X E M P L E .

Lorsque ce signe | se trouve devant un accord il faut faire entendre les notes les unes après les autres, eu commençant toujours par la plus grave.

ise. H - 'I Barre, de reprise. -B' - *jf Ce signe indique qu'il faut répéter le morcean renfermé entre les quatre points. D..C. ou Da fiapo. C'est uo renvoi au commencement. % Renvoi. Ce signe renvoie au même signe. P Piano. A ce signe, fe musicien doit donner plus de moelleux et plus de douceur aux sons. VP Pianissimo dit encor plus. ft Jf Forte, Fortissimo, he forte aujoute de la force et de la vigueur au-passage. -==c Crescenrfo. Ce signe apposé sur un passage de musique indique que la force des sons doit croître.

Le. Decrescendo produit l'effet contraire. Point d'orgue.- Temps d'arrêt sur une note ou sur un silence.

L i l F g ' O . . . .

L a r g i i e t t o

DES DIFFERENTS MOUVEMENTS EMPLOYES DANS LA MUSIQUE.

T r è s l ent el l a r g e . - - M o d e r a t o Moriéué.

A « s e z l a r g e m e n t . A l l é g r e t t o L é g e i i Gracieux. A d a g i o L e n t . A l l e g r o . . . Gai. SlaestOSO M;(j<'sliieii5«iiìeii(. .' l i y a c e Vif , A n i m é .

A n d a n t e L e n i , E x p r e s s i f . . P r e s t o . : . . . . . V i l e .

A n d a n t i n o M o i n s leni c h ' a n d a n t e . P r e s t i s s i m o T r è s v i l e .

Les principes qui précédent devront être lus très attentivement; lorsqu'on les possède à fond, ils forment la base de toute banne éducation musicale.

L. E . 3 3 4 9 .

P R É L I M I N A I R E S D E L O R G I Ï E .

Maintenanl_que. nous_avons la connaissance générale-.des principes de.la musique, nous allons nous occuper "péciali-W'-iit de l'orgue, tant pour la question des doigts, qHe pour les pieds quU'onl fonctionner les soufflets.

L ' O r g u e h a r m o n i u m , M é l o d i u m , ou O r g - u e - E x p r e s s i f , est appelé instrumenta h a n c h e s l i b r e s . Ce son! de petites lames de eu ivre, enchâssées dans un cadre, qui varient de longueur ou d'épaisseur selon le son qu'elles doivent produire. Ces lames sont mises en vibration par l'air, qui est produit par le mouvement des pieds sur les pédales les­quelles font agir les soufflets.

Il y a des Orgues à un jeu, deux jeux,quatrejeux,el quatre jeux et demi. Ce sont ces derniers qui sont les plus employés. On. petit apprendre sur n'importe quel instrument, les soufflets étant proportionnés à la dépense probable des registres. La plus grande .difficulté" de l'orgue étant défi ler purement.un son, un Orgue à un jeu peut suffire pour apprendre.

Tous devez avoir une chaise assez élevée pour que vos coudes soient à la hauteur du clavier.Celte chaise doit être im-linée sur le devant de façon à ce que vos jambes puissent être libres pour tous les mouvements. P c plus,elle doit avoir de pe­tites pointes sous les pieds de derrière pour là tenir fixe; car il est indispensable pour la soufflerie que la chaise cl l'or­gue soient bien d'aplomb. .

D E I / O R G U E .

En ouvrant le couvercle de l'instrument, un clavier de cinq octaves se présente a vos yeux.On appelle clavier, la réunion de petits morceaux de bois mobiles les uns couverts d'ivoire..les autres de bois noir, qu'on nomme 1nuehct i . l l suffit d'ap­prendre une octave pour savoir les autres. Car c'est cinq fois la même répétion. Apprenez vos noies dont j e vous mels ci. a-près un exemple détaillé.

S m £ < ~

. 3 * 3 «

© H

a TE < o <

Les.touches noires servent de dièse a droite, et.de bémol à gauche.

DO * É MI F A SOL LA S I

Toutes les sept touches btanches,vous'a-vez la même répétition de notes , i les l donc très-important de bien connaître une oc­tave.

NOTATION DE LA MUSIQUE RELATIVEMENT AU CLAVIER.

Cette note t'sl [;i nipme que (:cHc nu t taçus In diffère il et' île hi rtvf c\|ilîi]iii> ce cliflii^pmeiif.

C L A V I E R DE L'ORGUE.

1..R. 3349.

D E S R E G I S T R E S .

Au­dessus du clavier se trouvent des petits boutons ou bobines que l'on, nomme r e g i s t r e s .

E X E M P L E D U » O B G U E À 1 J E U X .

® © © ® ® Voici l'étendue des registres de gauche.

S ) ;(G) (E © (D © ® ® Voici l'étendue des'regislres dp droite.

Il faut donc un registre de gauche, et un registre de droite pour former un sou dans toute l'étendue du clavier. Les registres (D et © sont accordés à l'unisson,c'est­à­dire qu'ils_font la même nole,.le timbre_seul esl_différent. Le registre © esl.acrordé.une octave au d e s s o u s de ces_deux registres, eela_âugmenle donc l'étendue du clavier (quant

au son) d'une octave dans les basses. Le registre © est accordé une octave au d e s s u s des registres (D et © . et d e u x o c t a v e s au dessus du ® cela augmente

donc l'étendue du clavier (quant ai) son) d'une octave dans le haut. Par le fait des changements de registres, nous avons 7octaves. Le registre marqué © qui se trouve au milieu se nomme g r a n d j e u . Il donne le son de tous les registres réunis. Ce qui

fuit qu'en faisant u n e n o i e , il fait entendre trois note à.trois octaves.

E X E M P L E note touchée et ainsi pour toutes

les notes du clavier.

Le registre marqué © se nomme s o u r d i n e , e t atteinte la forcenés basses, qui ont. généralement la lendence de­Couvrir les sons du haut.

Le registre du milieu marqué © se nomme r e g i s t r e d ' e x p r e s s i o n . Il n'a pas de sou par lui même, mais son action est des plus importantes, car c'est lui qui met en communication direclel 'air qu'on prend en faisant mouvoir les soufflets et l'envoie aux registres; c'est par lui qu'on peut e n f l e r , d i m i n u e r , les sons,jouer Forte ou p i a n o , c'est lui qui donne la sen­

s i b i l i t é , Г fi m e , l a vie; sans lui l'instrument est barbare. Aussi doit— il t o u j o u r s r e s t e r o u v e r t . Oirne'doit jouer qu'aven ce registre ouvert.

C'est ce registre d'expression qui fait la difficulté de la soufflerie. Car en changeant de soufflet il ne faut pas laisser en­

tendre la moindre intermitence. dans le son. Mais si l'étude en est pénible, combien aussi est grand le plaisir d'exprimer sa pensée dans toute sa pureté.

Que ce registre soit marqué sur la musique, ou qu'il ne le soît pas, il faut toujours le laisser ouvert.Du reste, il devient in­

dispensable à la personne qui a.étudié sérieusement, l'orgue.' Les registres de gauche et.de droite ® sont'nommés f o r t e , ils n'ont pas de son, maïs donnent une plus grande puissant

ce aux autres registres. Les registres sont fermés lorsqu'ils sont placés près de la planchette qui les reçoit.L'instrument reste donc muet si Гон a

eu le soin d'ouvrir d'avance,(ou de tirer) un registre. #

Les registres se marquent sur la musique; pour.[es registres de gauche au d e s s o u s de la portée, et pour les registres de droite au d e s s u s de la portée; J e registre grand jeu se met e n t r e . l e s deux lignes.

E X E M P L E .

®

Lorsqu'un registre ne sert plus on indique ainsi: (Sf qu'il faut le fermer.

T...T'.TH9.

'1

D E S S O N S F I L E S . Commence]; par vous asseoir bien au milieu du clavier, le corps reposant moitié sur la chaise, moitié sur les jambes,

vos pieds étant sur les pédales,le talon appuyé.contre la tringle de cuivre. Tirez de la main droite le r e g i s t r e d ' e x p r e s s i o n ; (C'est lui qui donne la sensibilité aux soufflets:) lirez aussi de la

même main, le registre @ de.droite.Tirez delà main gauche le_ registre ® de gauche. Mettez, le doigt sur nue noie el com­

mencez le son en appuyant.lé­gèrement le. pied.gauehe sur la pédale. Lorsque vous sentirez que voire pédale «si p r e s q u e rendue à la position, h o r i z o n t a l e , el que l'air.de.votre.soufflet va être épuisé, vous commencerez avec le pied droit le mou­

vement que vous venez d'exécuter avec le pied gauche, c'est­à­dire sans que.le pied mettre trop de force ni devilesse,car­

ne l'oubliez.pas cet.exercice préseul,esLle plu> difficile. IL.faut avoir soin.d'user tout l'air qui est contenu dans.le soufflet (.en perdre.le. moins possible) n e pas pié t iner ,ce qui

arrive trop souvent aux organistes. L'air,du soufflet est à l'organiste ce qu'est la respiration au chanteur,chose très précieuse. Tachez que votre son soit bien pur, bien égal, et qu'on ne s 'aperçoWe pas d u c h a n g e m e n t d e p i e d .

MAIN DROITE. П : U <Y —о—Il—— "ft H ­1Нэ— — e —

Filez le son sur_châque..note­pendant p l u s i e u r s m i n u t e s s a n s v o u s a r r ê t e r ; et surveillez la parfaite.égalilé du son, c'est surtout lorsqu'on change de pied que se fait senlir l'inégalité.Pas de secousses si vous appuyez trop sur le­soufflet le son sera fort, si vous n'appuyez que peu, le son sera faible.Prenez une moyenne et soutenez la bien.

H arrive souvent que pour.rattraper un son qu'on sent se perdre on donne une attaque aux pédales à l'aide du pied. Il faut éviter cela.

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MAIN GAUCHE, 3 E

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A mesure que vous descendez,les lames étant plus grandes, laissent échapper plus d'air, il faut précipiter un peu le mouvement des pieds et surveiller toujours attentivement, l'éga lité du son. C'est au moment de la reprise du soufflet qu'est la.difficulté. Ecoutez, vous.bien. Ne cherchez рай à enfler ou diminuer les sons;cela sera l'objet d' une efude spéciale que

..vous trouverez plusJoiu­

E X E K C Ï C E S Р О Ш D E U X R E G I S T K E S .

Travaillez plusieurs minutes -àe suite chaque mesure.

MAIN DROITE,

Lorsque vous prenez une seconde note ne r e p é t e z p a s celle que vous tenez déjà, surveillez l'égalité <l<'s soos,(euez cha­

que noie ou accord, sans interruption, en précipitant un peu le mouvement de vos pieds à mesure que vous augmentez le попь br.e du vos notes car vous avez plus d'air qui s'échappe.

MAIN GAUCHE.

Etudiez chacune de ces mesures très lentement, veillez à l'égalité du son et ne i;épétez pas les noies.

b . K . 3 3 « .

IJ faut prendre généralement le registre e n t r e l e s d e u x . d o i g t s , ( l e s doigts, en fourche) pour l'ouvrir on poni Ir.-

mer, el ne jamais se servir du dessus .des doigts; cela produit un bruit désagréable, qu'on peut éviter.en prenant la preVauliun que j'indique.On peu! aussi ouvrir ou .fermer deux registres à la fois en employant t r o i s d o i g t s en fourche.

D E S P É D A L E S O U S O U F F L E T S Au bas de l'orgue se trouvent deux planchettes, mobiles; c'est là, que.doivent se melfrejes, pieds, le talon, appuyé sur l.i

t r i n g l e de euïvre­qui termine ces planchettes, le pied d'aplomb; le.mouvemenl à imprimer doiLetre très léger,car le souf flet est d'une extrême sensibilité; le monvemenLen.doît être, a l t e r n a t i f . Si on appuie.trop, le' son devient fort,si au.contrai­

re, on appuie peu, le.son faiblit.On doit 'prendre.une moyenne entre les.deux extrêmes. Lorsque vous .serez arrivé à.savoir.bien souffleT un son f i lé ,et que vous voudrez donner­de.I'expression,.vous poutre? h.

ver les talons, et jouer d e l à pointe du pied, ce. qui donne toujours.plus de_sensibilité,.mais seulement.lorsque vous saurez bien souffler, et que vos pieds auront l'habitude de se bien poser.

io E X E R C I C E S P O U R L E S D O I G T S.

Ayez soin de tenir votre poignet un peu élevé au dessus du ­clavier, la main arrondie, pouvant laisser fonctionner facile­

ment le pouce,sous la main. Vos doigts doivent être arrondis, lepouce et_Ie_5?doigt étant plus__courts; presque droits sur la louche; de cette façon la main sera d'aplomb.

Il faut faire deux mouvements pour exécuter une note, u n pour relever le doigt (arrondi) l ' a u t r e pour frapper la touche. ï! ne doit pas y avoir d'interruption de son d'une .note à l'autre. Mais vous_ devez évitendeJaissertramerles doigts cela serait désagréable à l'oreille.

Vous pourrez si vous voulez, pour étudier ces exercices et les gammesqui suivent o t e r le registre, d'expression qui vous enlèvera toute préoccupation pour la soufflerie. Vous, n'avez alors qu'a. alimenter d'air vos soufflets selon la perte d'air que donneront vos notes.

Ayez soin de remplir d'avance vos souff lets , par quelques mouvements de pieds sur vos pédales et entretenez l'air de vos soufflets.Vous aurez parce moyen toute liberté d'esprit pour surveiller vos doigts. .

Répétez chaque exercice d i x f o i s de suite sans vous arrêter, et très régulièrement.

MAIN DROITE.,

MAIN GAUCHE.

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Exercices pour donner de l'indépendance aux doigts.

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D E S G A M M E S .

V élude des gammes est indispensable; car les gammes occupent une place très grande dans la musique, et la difficulté de les faire bien égales est telle sur tous les instruments, que les artiste» les travaillent toute leur vie, comme étant l'étude qui met les doigts le mieux en état pour jouer des morceaux.Corn me leur exécution est diff ici le , il faudra les étudier sé­rieusement, elles ont pour le commençant une utilité très-grande en ce qu'elles habituent les élèves aux différentes to­nalités, tout en exercaut les doigts.

La régie générale du doigté,est de passer une fois t r o i s doigts de suite,et une fois q u a t r e doigts. Il faut répéter plusieurs fois de/suite chaque gamme, d'abord lentement et ensnite en accélérant le mouvement. Et

également les accords qui sont après qui établissent la tonalité. Etude qui nous avancera.beaucoup pour l'exécution des morceaux.

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dette gamme procède toujours par demi-fuu,voiei le doigté le plus emplojé.

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E T U D E S D E L A S O U F F L E R I E

Nous allons compléter nos études pour la soufflerie, maintenant que nos doigts savent agir, vous ferez bien de reprendre

eu tirant In r e g i s t r e d'express ion, les exercices des sons filés page !). en ajoutant le registre © et vous continuerez par

tes suivants qui sont à t r o i s et q u a t r e registres et que vous devrez filer sans secousses. Ecoutez votre son bien attenti­

vement, songez que plus vous avez de registres ouverts plus vous devez presser le mouvement do vos pieds, mais avec le mémo

soin qu'au commencement. Tenez ces notes ou accords plusieurs minutes sans vous arrêter.

G)®© 4 o . i- » MAIN DROITE MAIN GAUCHE

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DEUX MAINS. © m O-

Etudiez cet exercice de g r a n d j e u , en ayant soin do ne pus enlever les doigts pour aller d'un accord à l'autre et en ob­

servant l'égalité du son,si vous le faites bien, vous êtes déjà organiste. La soufflerie des nuances s'apprend vite.

D E L A S O U F F L E R I E D E S NUANCES.

L'étude que nous allons entreprendre est bien plus une distraction qu'un travail, d'autant plus que nous aJIons aborderdes é-

tudes écrites spécialement pour l'orgue et des transcriptions sur les œuvres les plus célèbres> nous allons j o u e r de l 'orgue

.enfin.

Tl est une nuance qu'on emploie beaucoup à l'orgue, c'est d ' en f l er et d i m i n u e r les sons, en effet il n'est pas une

plirnse musicale qui n'ait besoin de cette ressource; exerçons-nous à l'acquérir.

Commence?, votre soufflerie l e t ; i I o n tin p e u l evé au dessus du soufflet, poussez votre jambe sur la pointe du pied et d>'-

G A M M E S D O U B L E S

Pour faire des gammes doubles, il suffit de remplacer la note du petit doigt par le pouce, et de continuer à loctave suï-

vrmti' comme on.a commencé. Voici an exemple qui servira a faire toutes les a u t r e s gammes.

veloppez bien vos pédales. Appuyez t r è s - l é g è r e m e n t et p r o g r e s s i v e m e n t votre pied jusqu'à ce que vous soyez arrivé

à employer toute votre force, redescendez doucement mais cela très-lentement- sans secousses*. Ayez bien soin de ne pas f'iiiv

coïncider votre expression et votre soufflet, il faut que ce dernier agisse l i b r e m e n t , que vous changiez un soufflet à n'im­

porte qui'1! degré de forée ou de faiblesse;et n e pas f a i r e a l l e r v o t r e p é d a l e e n m e s u r e vous seriez lésclave de vos pied*

et montreriez de l'impuissance.

Etudiez cet exercice en faisant un. long c r e s c e n d o et un long d i m î n u e n d o commencez par bien constater combien il

faut peu de pression pour faire un son piano.

. CD©

Soutenez d'abord le son très longtemps faites plusieurs changements de soufflets, puis enflez votre son doucement en chan­

geant encore plusieurs fois vos soufflets, et arrivez progressivement à la forée,ou vous devez rester nu peu pour bien vous habi­

tuer à changer de soufflets dans la force, diminuez longuement.

Etudiez l'exercice suivant en e n f l a n t et d i m i n u a n t très vivement pour rendre votre soufflet indépendant et vous habi­

tuer à reprendre le soufflet à tons les degrés de force ou dê~ faiblesse.

Cette étude étant faîte, habituez vous à une autre nuance souvent nécessairfi ( faites travailler vos pieds à passer subite­

ment dune extrême force à une extrême douceur, et de la douceur à la force sans hésitation.

Lorsque vous voulez une forée subite faites une a t t a q u e v i o l e n t e , f e r m e , maintenez votre son,commit vous latini donné vo­

tre attaque dir pied- sur la pédale, et passez subitement au p i a n o en cessant p r e s q u e vos mouvements de jambes.Nc changez

pus de soufflet pour faire la nuance,continuez votre soufflet ou il se trouvera.

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Répétez souvent cet exercice jusqu'à ce que vous soyez arrivé à faire les nuances: sDua hésitation.

fjiifitid vous aurez des silences après des accords, ayez soin de terminer voire son avec l e s o u f f l e t , i t non pas en enle­

vant les doigts de dessus les touches,nous devons toujours filer les sons, et imiter la voix humaine qui n'a pas de briM|li»Tii!

dans le chant.

Fuîl'-s l'application de ces nuances dans les Irausennliuii'» qui suivent. . . n V i l

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M o d e r a t o . CROCHES ET DOUBLES CROCHES.

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D E S N O T E S P O R T É E S Les notes portées servent beaucoup dans la musique expressive, elles se font avec les pieds sur les pédales, an moyen

dune légère pression f allant du faible au fort, si la note que l'on veut porter est longue de durée on accentue davantage, si elle

est courte on prononce la note avec le pied par une petite saccade sur la pédale.

Il faut produire leffet suivant sur chaque note — = r avec le pied. Exercez surtout le pied gauche.

Ne commencez votre mouvement du soufflet que lorsque votre doigt à frappé sa nute, presque ensemble, mais cependant

le doigt commençant.

Etudiez les exemples suivants, attentivement et des deux pieds l'un après l'autre, car votre pied gaucho doit être aussi habile

que le droit.

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La musique d'orgue étant iVrife |o plus souvent à plusieurs parties, il. arrive souvent qu'eu faisant un chant oïl ait de. la même main des notes à tenir ¡1 faut s'exercer à remplacer un doigt par un autre en le glissant sur une uouvi-lie touche, et sans répéter la note, «-es soins sont exigés pour éviter l'interruption du son, ce qu'il faut généralement craindre Morgue, où le jeu lié est de rigueur, l'emploi des doigtés par substitution est indispensable.

Faites l'application de cette observation dans les transcriptions qui suivent.

D E S A C C O M P A G N E M E N T S Quand la main gauche a à soutenir des sons, r i e n n'est plus facile, mais lorsque vous avez des notes déf;ir-hées,el!es de­

mandent beaucoup de soins, car indépendamment de la tendance que l'on a decourUr le son du petit doigt, on est obligé de corriger un défaut naturel de l'instrument. Plus vous descendez, plus le son est lent à se produire et plus il est mon. lai^ez donc relativement plus longtemps le doigt sur les notes graves, de celte façon v o u s aurez pour l'oreille la même valeur. En­suite ¡1 arrive souvent qu'on à une note seule dans le bas, et un accord de trois notes après. La différance 'est trop gramlc,puis l'harmonie reposant toujours sur la note grave, il faut lui donner une valeur réelle, car elle est très importante.

Comme c'est un travail de soins, écoutez vous atteuLiveulent en étudiant fes exercices suivants.

WAIN

Il tauL que toutes ces notes daccompagnement soient égales pour l'oreille, du soin est nécessaire, celle étude est très im­portante, car on a recours à ce genre d'accompagnements ne pouvant toujours employer les accords; qui donneraient de la monotonie.

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D U V I B R A T O Le v i lu-nto v>l l'expression qui s'échappe de la voix d'un bon chanteur dans une phrase musicale pathétique,l'agitation

que lionne un violoniste à ses doigts dans un chant expressif,-on peut l'obtenir à l'orgue en faisant fi>eml>lt-i> le p i ed sur la

pédale, mais coin me cet effet est 1res sympathique aux auditeurs, il ne faut pas que l'organiste en abuse, car il pourrait alors

fatiguer au Heu de charnier. Il faut obtenir cette nuance si ravissanle,sans nerfs et sans saccades. Voici le moyeu à employer.

Votre pied étant appuyé de la pointe sur la pédale, votre talon levé, faites un petit mouvement allant du genou au lalon,me-

surez votre mouvement d'abord lentement, puis plus vite lorsque vous sentirez que votre jambe a saisi ce qu'on lui demande

n'accentuez pas trop votre pression, il faut qu'il n'y ait pour l'oreille qu'une s i m p l e o s c i l l a t i o n d u s o n d e lu note,trop de

mouvement \"us ferait chevrotler.

N'étudie/ pas longtemps île suite cet exercice, mais revenez y souvent, jusqu'à ce qu'il vous satisfasse, quoique généralement

li! \ibrato M'xécnîe dit pied droit, étudiez des deux pieds, car il pourrait vous arriver d'en avoir besoin dans une phrase ou tfo-

Ire pied gauche serait déjà eu mouvement. Travaillez la phrase suivante en vibrant pour vous habituer.

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Faites l'application de celte ntutnee dans les transcriptions

D E S C A D E N C E S OU T R I M E S .

i . e trille s e lait presque sans mécanisme c'est à dire que vos doigts ne doivent qu'à peine quitter la touche, cepoudanl.as-

sez pour que la unie soit répétée, étudiez le trille de différents doigts.

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Lorsque vous rencontrez dans la musique,ce qui est rare cependant, des imtes détachées, faîtes le>, à l'aide dun p-'til

m o u v e m e n t d e p o i g n e t , avec une attaque très franche de la part des doigts, n'écotrrfe/ p:is fnqi.c.-ir lofrc Mm pntrrnitl

n'avoir pas le temps de se produire.

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D E S P R É L U D E S O U M O D U L A T I O N S rut! des grnrides jouissances que procure l'orgue à U D musicien, c'est la facilité qu'a cet instrument de se prêter aux modu­

lations, ;iux accords, î' n'y a pas de traits de doigts à chercher, pas d arpèges, pas de gammes pour éblouir, nnu des sonssou-(eims qui charment et vont au cœur, c'est là, le côté dîstïnclif de l'orgue. Donner un moyen facile pour moduler, est croyons rniu-, tm w i v i c e ;i rendre-aux amateurs; je n'hésite pus à t essayer, et j'espère que les marches harmoniques que je vais indiquer combleront une lacune, et devront donner les meilleurs résultats.

Lorsque vous voulez moduler, prenez à- la b a s s e la d o m i n a n t e (ou 5? note) du ton dans lequel vous voulez passer; ajou­tez à celle noie de basse un accord de s e p t i è m e , bien facile à reconnaître en ce qu'il est compose de trois t i e r c e s el vous pourrez dii cette façon parcourir tous les tons majeurs et mineurs.

Gomme il fuut toujours éviter de couper les sons et de faire sauter ia main; lorsque vous aurez sous les doigts une note qui dvvr.t s en ir à (accord suivant, ne la quittez pas et complétez votre accord sans changer de position.

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. en suivant la

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Vous pourrez refaire tous ces accords, dans les tons mineurs, c'est absolument la même marche à suivre seulement vous • Icvrez changez la t i e r c e seule note différente.

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C O I V S E 1 U S G É N É R A U X .

Pour le choix d'un orgue tenez vous en,à un q u a t r e j e u x e t d e m i , p e r c u s s i o n c"i ! lorgne le plus complet employé au salon, quand vous Iachèterez, essayez surtout lit soufTIellerie rVsi h . le point important.

Lorsque viius jouerez de l'orgue en public assurez­vous que votre iusfrumen! est Lieu d'aplomb, ainsi que |;i chaise sur laquelle vous devez vous asseoir, car la moindre oscillation, donnerait il'­ 1 inéga­

lité à voire soufflerie. Si votre chaise n'a pas do pointes sous les pieds de derrière, avez soin que .celle cltaîse ne puisse reculer, car il vous serait difficile sans cela de bien jouer.

Employez toujours le jeu lié, c'esf­à­dire que vos sous sutoiif. bien soutenus, quand \ous a\e/ i|(*s noies semblables dans les secondes parties un les répétez pas. Le pouce peut eu glissant taire imi?. el quatre unies de suite, et le" 5";

ie doigt glisser facilement d'une touche noire sur une blanchi' Ouand vous jouerez avec le numéro d e u x ouvert à la basse, ne forcez pas le son, car ce regis­

tre est naturellement sourd, et si vous forcez le sou, il peut baisser jusqu'à un demi­ton, ce qui produi­

rait tin effof désagréable.

l'orgue ayant une forte sonorité pour la personne qui le joue, lorsqu'on fait de la musique densem­

ble il faut. ;>M?ir soin de s 'orienter découler ses partenaires,car il serait facile de tomber dans un défaut commun à tout le monde, celui de ralentir les mouvements. En jetant un coup dVil sur l s mi­

tres exécutants vous pouvez vous remettre facilement dans le mouvement.

Lorsque vous voudrez déchiffrer des partitions écrites pour le piano, ayez soin denepreudreque les notes indispensables de l'harmonie, et évitez autant que possible les r é p é t i t i o n s d u<'<*ords;Nii lés répète au piano pareeqnil ne soutient pas les sons, mais lorgne pouvant les prolonger, tenez lis ac­

cords,el s'il est béguin de marquer un rliytlime ou un mouvement faites­le avec une seule note eu te­

nant les autres notes, et mettez pour cela de préférence deux registres à la main droite un et qua­

t r e , et un aux basses cela est suffisant.

i l existe beaucoup de musique pour l'orgue,beaucoup aussi pour piano e t o r g u e , également des trios pour violon, piano et. o r g u e ; ces trois instruments forment un ensemble parfait qui in­

dépendamment du charme qu'il donne aux auditeurs, est une ressource très­grande pour développer 1«' sentiment musical.

Il y a plus de mille, m o r c e a u x graves et <men compose tous les jours, vous voyez que la musique lie peut vous manquer.

F I N D E L A M É T H O D E D O R G U E .

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P R I N C I P E S D E L A M U S I Q U E -2

P R É L I M I N A I R E S D E L ' O R G U E 7

E X E R C I C E S P O U R L E S D O I G T S 10

G A M M E S : 12

ÉTUDES POUR UN REGISTRE 1 6 L A J E U N E M È R E Mf.i.oiHii,. S C H K B E K T 1 7

L E S P U R I T A I N S uro B E I Ì I N I 1 8

M É L O D I E , M e n d e l s o h k 18

H Y M N E A U T R I C H I E N H a y d n 18

L E P R E M I E R J O U R D E B O N H E U R Aï jber 19

DES NOTES'PORTÉES : 20 ÉTUDES POUR DEUX REGISTRES 21 J O C O N D E air N i c o l o 22

R I C H A R D C Œ U R - D E - L I O N romassœ G R É T K Y 23

D O N J U A N u h M o z a r t 2 3

R I G O L E T T Û ..mr V e r d i 24

C H O R A L D E L U T H E R 25

DU VIRRATO 25 ÉTUDES POUR TROIS REGISTRES 26 D E R N I È R E P E N S É E . . . . W E B E R 27

E O O S A V E T H E Q U E E N 28

J É R U S A L E M Aia V E R D I 21)

J O S E P H air Mimo*. ^ 3 0

H Y M N E P O R T U G A I S 3 1

ÉTUDES POUR QUATRE REGISTRES 3 2 A D A G I O D U S E X T U O R B E E T H O V E N 3 3

L E S O N G E D ' U N E N U I T D ' É T É mélodie A. T h o m a s 3 5

H Y M N E R U S S E 3(ï

P R I È R E D E M O S É R o s s i n i 37

D O M S É B A S T I E N MR D O N J Z E T T I 3 8

L A M A G I C I E N N E AIR H A L E V Y 3 9

C A T R A V I A T A brighisi. V e r ' D I 4 0

O R P H É E A1B G M « 4 1

LE 1 A S T U Z I E F E M M I N I L I air C i m a r o s a 42

I L T R O V A T O R E miserere V E B D I 44 MODULATIONS 4(i CONSEILS GÉNÉRAUX 4 9

l-

FIN DE LA TABLE.

LISTE DES PRINCIPAUX MODÈLES DE LA SOCIÉTÉ DES ORGUES

D'ALEXANDRE PÈRE & FILS 106, Rue Richelieu, PARIS.

No. 1. S. a. 4. s. 6. 7. 6. S.

10. 11. 1S. 13, 14. 16. 16. 17. 16. 18. 80. a. 22. 23. 84. 25. 86. 37,

3D. 3L 88.

as. 3*. 36.

as. BT. as. as. 40. 41. 43. 43. 44. 45. 46. 47. 46. 49. 50. 61, 62. 53.

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1 JEUX 1/8, IG BES., POPITES. Ve GBÜHE 850 b b H. A . . OHENE. . 730 • b OHENE. . 800 B > . . i . . . NOTEB. . 380 b b PALIS B. . №0

4 JEUX 1/B, IG BES., EXHIBIT, OHEHE . . 780 B B I . . NOYER . . 860 1 » » . . PALIES. . 860

4 JEUX lß, IG BES., TBABBPr. CHENE . . 830 t B • PALISS. . 935 > t H. A. B CHÊNE . . 760

1 JEUX 1/2. U SES., PSBOUBS. OHEHE . . 1100

ti* Prii 107. i JEUX lfi> IG BE9.J FEBCUB9. NOTEB . . 11S0 108. »• b » PALISS . 1180 10D. 1 JEUX ijî, MI8H0H, FEBO. . Ti OHENE 1800 110. b B B HOTES. . 1875 131. b' P B FALISS. . 1876 118.1 JEUX 1/3, TRASSE, PESO. . . OHfiNE . . 1180 113. o » B FALIBB. . 1880 l i t 4 JEÏÏZ1/2,18 RES., PERO­, PUP. PALISS. . 1186 115. 4 JEUXl/8; PROLONGE*.FERO. PALIES. . 1800 HB. S JEUX, 16 BE9ISTREB . . . . . OBENB . . B7D 117. > B FALIBB. . 1060 Ü8. G JEUX, 1B RES., TBAHSpr. . . OHSHX . . 1000 IIS. ^ b B PALISS. . 1100 130. G JEUX, 16 RES., PERUDBSION. OHENE . . 1800 121. i B ! . . FALIBB. . 136D 122. SIEÜ3,16RES.,TBAHSP',PEBO. O B * « . . 1300 •m. b » b b P i r n a s . . im 124.GJ£UX,lGBEa.,JALQUBI«?£R0. Ti OHÄHB 1E00 125. i .b b. ­* ­ HOTES'. . 1B00 126. b > i i FALIBB. . IBOO 127. 5 JEUX, 2S SE9ISTBES, FBRO. PALIBS. . 1500 128. 5 JEOX.BOÏÏBDIBEB SEK.,FERO. PALISS. . 2000 128. » t b SOUP. AL. FALIBB. . 3000

130. 5 JEUX 1/8,17 RESISTR. FEBO. Ti OSfiHS 1675 131. » i . b NOTER. . 1675 138. t » v PALIBS. . 1575 133. 5 J. 1/3, 0. 8 00BF8, Bus» Quii» PALISS. . 2700 194. < i PSOLONOEHBHT PALISS. . 3800 135. S JEUX, i 8 .0* Gai» PALISS. . 3300 186. 6 JEUX, 18 REMBTBBS CHENE . . 13G0 137. »• s . . . . . . FALIBB,. 11S0 138. B JEUX, 18 REO., TBANBP'. . . OBGKB . . 1380 190. » B B . : . PALISS. . 1500 110. B JEUX, 16 BES., FSBOUBBION. OHÊNE . . 1600 141. b b B FALIBB. . 1530 142. 8 JEUX, 18 BES., TBABBPr » OHEHE . 1800 m B T b b FALISS. . 1800 VU. B JEUX, 19 RESISTE. TALONN. CHENE . 1300 145. 0 JSUX, S CLAVIERS Vi DHÜ8B 2000. llfl. B > HOTBB. . £000 .147. b i FALIBB . 8000 IIB. 8 JEUX, 2 0LATIEB3, PHBOUBB. '

x OttÉHB 3400 119. j B • NOTES. . 3100 150. • b B PALISS. . 2400 161. LEB KÊKES AVEC PÉDALIERS. 2100 & 2700 162. 7 JEUX 1/2. HONT BE, TRAN6P' OBÉNE . . 8000 153. 8 JSBX, BANS REOIBTRÏB . . . CHÊNE . . 1360 151. B JEUX, 2 CLAV., MOSTRE Wf. OHEHE . . 3250 165. b a POEME fi ABBE. OHEHE . . 3900 160. 10 ET 12 JEUX, AVEC ET BANS

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E D E liEBEATJ. — Mi Ballo in Maschera, mosaïque pour orgue-linrmo- (

m a m . (i. » G »i 0 •» 6. »

— l a Traviata, mosaïque pour oi^uc-h.arïnoiiîura... — I Lombardi, mosaïque pour orgue-harmonium. -. — Emani, mosaïqua pour orguoharmonlnm. . . . . . . — Giovanna d'Arco, mosaïque- pour orgue harmoDium. 6 — U Trovatore, Miserere transcrit pùur orgue-harmo­

nium....... ... S » — Aida, fantaisie pour orgue-harmonium (i » .— Aida, duo fleconuert pour piano et o r g u e . . . 9 »

MEREADX (Amédde). — H Trovatore,- Wiserti^, transcrit pour - _ piimo et orgue 7 50

— n Trovatore,, filettino pour orgue expressif et piànô.. 0 ».

.MI5SE.AÍÜX{AOLaTraviata.to-ffo du/tooi pourpiano et o r g u e . . . . . 7ISO - Bigoletto, cjuàiwr (ranffcritpoar piano" e t ÇÈgâe ex^

¡préssif • • • • " ' : . * • * ° — Le Premier jo.ur da boniieür, nootarne et les Ujins

.icânscriÎS pOJir piano.et orgue MI0LAN ( A ) . — Bigoletto, tranacripüoií pour orgue et p i a n o . . . . -Ï'BO

COHEPî (Jules).—.Il Trovatore,. Miserere, trio piarne oïgiïfi et violon ; '. i . . . . . . . . . . "í'-iíO

DURAND. — RigqlettO, gv-almr, trio, piano, orgue et v i o l o n . . . . . . TSO HERMAN. — X, Lombardi {Jérusalem},-triapianq, orgue et -violón.. •/.SO KEH'EHlilÌ el DDIìÌND. — La Traviata, trio piano,."oigne et

violon '• - .Y. ." 9 »

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