Éducation physique et sportive Modalités … · physique et sportive, par contrôle en cours de...

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Bulletin officiel n°31 du 27 août 2009 © Ministère de l'Éducation nationale > www.education.gouv.fr 198 / 284 Enseignements élémentaire et secondaire Éducation physique et sportive Modalités d’organisation du contrôle en cours de formation et de l’examen terminal prévus pour l’E.P.S. aux examens du baccalauréat professionnel, du certificat d’aptitude professionnelle et du brevet d’études professionnelles NOR : MENE0916587A RLR : 933-4 ; 933-5 ; 933-6 arrêté du 15-7-2009 - J.O. du 31-7-2009 MEN - DGESCO A2-2 Vu code de l'éducation ; arrêté du 22-11-1995 ; arrêté du 5-8-1998 ; arrêté du 20-11-2000 ; arrêté du 17-6-2003 ; arrêté du 10-2-2009 ; arrêté du 8-7-2009 ; avis du CSE du 1-7-2009 Article 1 - Le présent arrêté fixe les modalités d’organisation du contrôle en cours de formation et de l’examen terminal prévus pour l’évaluation de l’enseignement d’éducation physique et sportive au baccalauréat professionnel, au certificat d’aptitude professionnelle et au brevet d’études professionnelles. Article 2 - Les candidats au baccalauréat professionnel, au certificat d’aptitude professionnelle et au brevet d’études professionnelles des établissements d’enseignement publics ou privés sous contrat et des centres de formation d’apprentis ou des sections d’apprentissage habilités à pratiquer le contrôle en cours de formation sont évalués, pour l’éducation physique et sportive, par contrôle en cours de formation. Sous réserve des dispositions des articles D 337-19 et D 337-84 du code de l’éducation susvisé et du 1er alinéa de l’article 13 du présent arrêté, les candidats au baccalauréat professionnel et au certificat d’aptitude professionnelle qui ont préparé ces diplômes par la voie de la formation professionnelle continue dans un établissement public sont évalués par contrôle en cours de formation et ceux qui ont préparé ces mêmes diplômes par la voie de la formation professionnelle continue dans un établissement privé sont évalués par contrôle ponctuel. Article 3 - Sous réserve des dispositions des articles D 337-19, D 337-83 et D 337-84 du code de l’éducation susvisé et du 1er alinéa de l’article 13 du présent arrêté, doivent participer à l’examen terminal les candidats individuels, les candidats scolarisés dans les établissements d’enseignement privés hors contrat, les candidats scolarisés au Centre national d’enseignement à distance, les candidats scolarisés dans les centres de formation d’apprentis non habilités. Doivent également participer à l’examen terminal, les candidats relevant de handicap ou présentant une inaptitude partielle, aptes à subir l’épreuve mais dont les conditions de scolarisation n’ont pu permettre la mise en œuvre du contrôle en cours de formation. Lorsque les conditions d’aménagement de scolarité prévues pour les candidats inscrits sur les listes de sportifs de haut niveau et de sportifs «espoirs», arrêtées par le ministre chargé des sports ne leur permettent pas de se présenter aux épreuves prévues en contrôle en cours de formation, l’examen terminal leur est proposé. La détermination du mode d’évaluation s’opère lors de l’inscription à l’examen. Article 4 - Les candidats présentant une inaptitude partielle ou un handicap physique attesté par l’autorité médicale scolaire ne permettant pas une pratique assidue des activités physiques et sportives bénéficient d’un contrôle adapté soit dans le cadre du contrôle en cours de formation, soit dans le cadre de l’examen terminal. Après avis de l’autorité médicale scolaire, les handicaps ne permettant pas une pratique adaptée entraînent une dispense d’épreuve et une neutralisation de son coefficient. Article 5 - Dès lors que le handicap ou l’inaptitude partielle attestée par l’autorité médicale scolaire ne permet pas une pratique assidue des activités constituant les ensembles certificatifs proposés, mais autorise une pratique adaptée de certaines activités, les candidats relevant du contrôle en cours de formation sont évalués, aux examens des certificats d’aptitude professionnelle, des brevets d’études professionnelles et du baccalauréat professionnel, sur deux épreuves adaptées. En cas de sévérité majeure du handicap, le recteur autorise, après avis de la commission académique d’harmonisation et de proposition des notes, une certification sur une seule épreuve appropriée au cas particulier de handicap. Les candidats qui ne relèvent pas du contrôle en cours de formation mais de l’examen ponctuel terminal, lorsque leur inaptitude partielle ou leur handicap l’exige, sont évalués à ces mêmes examens, sur une seule épreuve adaptée. Les adaptations, proposées par les établissements en début d’année, à la suite de l’avis médical et après avis de la commission académique d’harmonisation et de proposition des notes, sont arrêtées par le recteur.

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Bulletin officiel n°31 du 27 août 2009

© Ministère de l'Éducation nationale > www.education.gouv.fr 198 / 284

Enseignements élémentaire et secondaire Éducation physique et sportive

Modalités d’organisation du contrôle en cours de formation et de l’examen terminal prévus pour l’E.P.S. aux examens du baccalauréat professionnel, du certificat d’aptitude professionnelle et du brevet d’études professionnelles NOR : MENE0916587A RLR : 933-4 ; 933-5 ; 933-6 arrêté du 15-7-2009 - J.O. du 31-7-2009 MEN - DGESCO A2-2

Vu code de l'éducation ; arrêté du 22-11-1995 ; arrêté du 5-8-1998 ; arrêté du 20-11-2000 ; arrêté du 17-6-2003 ; arrêté du 10-2-2009 ; arrêté du 8-7-2009 ; avis du CSE du 1-7-2009

Article 1 - Le présent arrêté fixe les modalités d’organisation du contrôle en cours de formation et de l’examen terminal prévus pour l’évaluation de l’enseignement d’éducation physique et sportive au baccalauréat professionnel, au certificat d’aptitude professionnelle et au brevet d’études professionnelles. Article 2 - Les candidats au baccalauréat professionnel, au certificat d’aptitude professionnelle et au brevet d’études professionnelles des établissements d’enseignement publics ou privés sous contrat et des centres de formation d’apprentis ou des sections d’apprentissage habilités à pratiquer le contrôle en cours de formation sont évalués, pour l’éducation physique et sportive, par contrôle en cours de formation. Sous réserve des dispositions des articles D 337-19 et D 337-84 du code de l’éducation susvisé et du 1er alinéa de l’article 13 du présent arrêté, les candidats au baccalauréat professionnel et au certificat d’aptitude professionnelle qui ont préparé ces diplômes par la voie de la formation professionnelle continue dans un établissement public sont évalués par contrôle en cours de formation et ceux qui ont préparé ces mêmes diplômes par la voie de la formation professionnelle continue dans un établissement privé sont évalués par contrôle ponctuel. Article 3 - Sous réserve des dispositions des articles D 337-19, D 337-83 et D 337-84 du code de l’éducation susvisé et du 1er alinéa de l’article 13 du présent arrêté, doivent participer à l’examen terminal les candidats individuels, les candidats scolarisés dans les établissements d’enseignement privés hors contrat, les candidats scolarisés au Centre national d’enseignement à distance, les candidats scolarisés dans les centres de formation d’apprentis non habilités. Doivent également participer à l’examen terminal, les candidats relevant de handicap ou présentant une inaptitude partielle, aptes à subir l’épreuve mais dont les conditions de scolarisation n’ont pu permettre la mise en œuvre du contrôle en cours de formation. Lorsque les conditions d’aménagement de scolarité prévues pour les candidats inscrits sur les listes de sportifs de haut niveau et de sportifs «espoirs», arrêtées par le ministre chargé des sports ne leur permettent pas de se présenter aux épreuves prévues en contrôle en cours de formation, l’examen terminal leur est proposé. La détermination du mode d’évaluation s’opère lors de l’inscription à l’examen. Article 4 - Les candidats présentant une inaptitude partielle ou un handicap physique attesté par l’autorité médicale scolaire ne permettant pas une pratique assidue des activités physiques et sportives bénéficient d’un contrôle adapté soit dans le cadre du contrôle en cours de formation, soit dans le cadre de l’examen terminal. Après avis de l’autorité médicale scolaire, les handicaps ne permettant pas une pratique adaptée entraînent une dispense d’épreuve et une neutralisation de son coefficient. Article 5 - Dès lors que le handicap ou l’inaptitude partielle attestée par l’autorité médicale scolaire ne permet pas une pratique assidue des activités constituant les ensembles certificatifs proposés, mais autorise une pratique adaptée de certaines activités, les candidats relevant du contrôle en cours de formation sont évalués, aux examens des certificats d’aptitude professionnelle, des brevets d’études professionnelles et du baccalauréat professionnel, sur deux épreuves adaptées. En cas de sévérité majeure du handicap, le recteur autorise, après avis de la commission académique d’harmonisation et de proposition des notes, une certification sur une seule épreuve appropriée au cas particulier de handicap. Les candidats qui ne relèvent pas du contrôle en cours de formation mais de l’examen ponctuel terminal, lorsque leur inaptitude partielle ou leur handicap l’exige, sont évalués à ces mêmes examens, sur une seule épreuve adaptée. Les adaptations, proposées par les établissements en début d’année, à la suite de l’avis médical et après avis de la commission académique d’harmonisation et de proposition des notes, sont arrêtées par le recteur.

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Article 6 - Dans le cadre du contrôle en cours de formation, chaque candidat au baccalauréat professionnel doit réaliser un ensemble certificatif composé de trois épreuves relevant de trois compétences propres à l’éducation physique et sportive différentes. Afin de respecter le principe de capitalisation, dans le cadre du contrôle en cours de formation, les unités de formation ont vocation à servir de support à la certification. Au début de l’année de terminale, chaque élève choisit un ensemble certificatif parmi les unités de formation offertes dans les classes de première et de terminale. L’une d’elles peut être issue de la classe de première pour servir de support à la certification. Pour chaque ensemble certificatif, deux des épreuves au moins sont choisies sur la liste nationale prévue à l’article 9. La troisième peut être issue d’une liste académique. Les notes sont attribuées en référence au niveau 4 (quatre) du référentiel de compétences attendues fixé par les programmes. La notation est individuelle, que la prestation soit individuelle ou collective. Article 7 - Dans le cadre du contrôle en cours de formation, chaque candidat au certificat d’aptitude professionnelle doit réaliser un ensemble certificatif composé de trois épreuves relevant de trois compétences propres à l’éducation physique et sportive différentes. Afin de respecter le principe de capitalisation, les unités de formation ont vocation à servir de support à la certification. Au début de la deuxième année de formation, chaque candidat choisit un ensemble certificatif parmi les unités de formation offertes au cours des deux années. L’une au moins doit être issue de la première année de formation. Dans le cadre du contrôle en cours de formation, chaque candidat au brevet d’études professionnelles doit réaliser un ensemble certificatif composé de trois épreuves relevant de trois compétences propres à l’éducation physique et sportive différentes. Afin de respecter le principe de capitalisation les unités de formation ont vocation à servir de support à la certification. Au début de la première professionnelle chaque candidat choisit un ensemble certificatif parmi les unités de formation offertes dans les classes de seconde et de première. L’une au moins doit être issue de la classe de seconde. Pour chaque ensemble certificatif, deux des épreuves au moins sont choisies sur la liste nationale prévue à l’article 9. La troisième peut être issue d’une liste académique. Les notes sont attribuées en référence au niveau 3 du référentiel de compétences, fixé par les programmes. L’évaluation est individuelle, que la prestation soit individuelle ou collective. Article 8 - Dans le cadre du contrôle en cours de formation, la notation de chaque épreuve au certificat d’aptitude professionnelle, au brevet d’études professionnelles et au baccalauréat professionnel est effectuée, par l’enseignant du groupe classe de l’année en cours, selon les dispositions définies à l’article 10. Chacune des trois épreuves est notée sur 20 points. Le total des points obtenus est divisé par trois pour obtenir une note individuelle sur 20. Article 9 - La liste nationale d’épreuves et les définitions d’épreuves correspondantes sont publiées en annexe I au présent arrêté. Une liste académique d’épreuves et des activités correspondantes la complète. Elle est arrêtée par le recteur. Elle retient au maximum quatre épreuves. Elle se rapporte à des activités physiques, sportives ou artistiques, présentant une particularité géographique ou culturelle régionale ou répondant à une politique éducative académique. Article 10 - Pour chaque établissement et pour chaque diplôme, un projet annuel de protocole d’évaluation précise les ensembles d’épreuves proposés aux élèves et le calendrier des contrôles. Le projet est adressé, pour validation, à la commission académique d’harmonisation et de proposition des notes, placée sous l’autorité du recteur. Il est ensuite transmis pour information au conseil d’administration de l’établissement. Le protocole définitivement validé est porté à la connaissance des élèves. Présidée par le recteur ou son représentant, la commission académique est composée du ou des inspecteurs d’académie-inspecteurs pédagogiques régionaux d’éducation physique et sportive et d’enseignants d’éducation physique et sportive. Article 11 - À l’issue des contrôles, la commission académique d’harmonisation et de proposition des notes analyse les notes qui lui ont été transmises et procède à leur harmonisation éventuelle. Elle communique ensuite les notes harmonisées au jury de l’examen considéré, lequel arrête définitivement la note affectée du coefficient en vigueur pour cet examen. La commission académique dresse le compte rendu de chaque session pour l’ensemble des épreuves de chaque examen (baccalauréat professionnel, certificat d’aptitude professionnelle et brevet d’études professionnelles) et le transmet à la commission nationale d’évaluation qui publie un rapport annuel. Placée auprès de la direction de l’enseignement scolaire, la commission nationale est présidée par le doyen du groupe d’éducation physique et sportive de l’inspection générale de l’éducation nationale ou son représentant. Article 12 - L’examen terminal de l’éducation physique et sportive au baccalauréat professionnel, au certificat d’aptitude professionnelle et au brevet d’études professionnelles s’effectue sur deux activités. Ces deux activités sont indissociables. La liste des couples d’activités est publiée en annexe II au présent arrêté. L’évaluation s’effectue selon les mêmes exigences que pour le contrôle en cours de formation. La proposition de note est faite sur 20 points. Le choix du couple d’activités est opéré par le candidat lors de l’inscription à l’examen.

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Article 13 - Les candidats autres que scolaires et apprentis peuvent à leur demande être dispensés de l’épreuve d’éducation physique et sportive. Les dispositions de l’article 6 de l’arrêté du 5 août 1998 susvisé sont abrogées. Article 14 - Le présent arrêté prendra effet à compter de la session 2011 de l’examen pour les certificats d’aptitude professionnelle et brevet d’études professionnelles et 2012 pour le baccalauréat professionnel. Les modalités d’organisation du contrôle en cours de formation et de l’examen ponctuel terminal pour l’évaluation de l’enseignement d’éducation physique et sportive, fixées par l’arrêté du 11 juillet 2005, sont abrogées pour ce qui concerne le baccalauréat professionnel à l’issue de la session 2011, le brevet d’études professionnelles et le certificat d’aptitude professionnelle, à l’issue de la session 2010. Article 15 - Le directeur général de l’enseignement scolaire et les recteurs sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 15 juillet 2009. Pour le ministre de l’Éducation nationale, porte-parole du Gouvernement et par délégation, Le directeur général de l’enseignement scolaire Jean-Louis Nembrini

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Annexe 1 Liste nationale des épreuves Définition des épreuves Les compétences propres à l’E.P.S. Épreuves Réaliser une performance motrice maximale mesurable à une échéance donnée

1. Course de haies 2. Course de demi-fond 3. Relais-vitesse 4. Disque 5. Javelot 6. Pentabond 7. Natation de course

Se déplacer en s’adaptant à des environnements variés et incertains 8. Course d'orientation 9. Escalade 10 Sauvetage

Réaliser une prestation corporelle à visée artistique ou acrobatique 11. Acrosport 12. Gymnastique (sol et autres agrès) 13. Arts du cirque 14. Danse (Chorégraphie collective)

Conduire et maîtriser un affrontement individuel ou collectif 15. Basket-ball 16. Handball 17. Football 18. Rugby 19. Volley-ball 20. Judo 21. Savate boxe française 22. Badminton simple 23. Tennis de table simple

Réaliser et orienter son activité physique en vue du développement et de l'entretien de soi

24 Musculation 25 Course en durée 26 Step

Conditions de composition des ensembles certificatifs d’épreuves : 1) Les trois épreuves doivent relever de trois compétences propres différentes conformément à l’arrêté et dans le respect de la diversification des pratiques dans le second degré d’enseignement professionnel inscrite dans les programmes. 2) Une épreuve parmi les trois peut relever de la liste académique à condition de respecter la représentation des trois compétences propres à l’E.P.S. Annexe 2 Liste des couples d’activités La liste nationale des couples d’activités de l’épreuve obligatoire d’éducation physique et sportive pour les candidats qui sont évalués dans cette discipline en épreuve ponctuelle terminale aux examens du baccalauréat professionnel, du certificat d’aptitude professionnelle et du brevet d’études professionnelles, est la suivante : - demi-fond et badminton simple ; - demi-fond et tennis de table simple ; - sauvetage et tennis de table simple ; - sauvetage et basket-ball ; - gymnastique et basket-ball.

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ospo

rt, E

LEM

EN

T to

us le

s él

émen

ts (g

ymni

ques

et a

crob

atiq

ues)

de

gym

, LIA

ISO

N le

s lie

ns c

horé

grap

hiqu

es e

ntre

les

figur

es e

t les

élé

men

ts

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

2

/ 33

AR

TS D

U C

IRQ

UE

: CA

P-B

EP

CO

MPE

TEN

CE

ATT

END

UE

PRIN

CIP

ES D

’ÉLA

BO

RA

TIO

N D

E L’

ÉPR

EUVE

NIV

EAU

3

Rep

rodu

ire d

es f

orm

es s

ingu

lière

s en

jong

lage

, acr

obat

ie,

équi

libre

, les

org

anis

er p

our

les

repr

ésen

ter

au s

ein

d’un

e pi

èce

colle

ctiv

e.

Les

élèv

es s

pect

ateu

rs a

ppré

cien

t la

qual

ité d

e ré

alis

atio

n de

s di

ffére

ntes

form

es s

ingu

lière

s.

En

s'ap

puya

nt s

ur d

es é

lém

ents

arti

stiq

ues

et s

céni

ques

sim

ples

pou

r su

ggér

er u

n un

iver

s (é

poqu

e, li

eu),

des

pers

onna

ges,

des

se

ntim

ents

, des

éta

ts, l

es c

andi

dats

par

gro

upe

de 3

, pré

sent

ent u

n nu

mér

o co

llect

if qu

i arti

cule

les

diffé

rent

es s

péci

alité

s de

s ar

ts

du c

irque

: jon

gler

ie, é

quili

bres

pré

caire

s, a

crob

atie

s co

llect

ives

. La

duré

e du

num

éro

est c

ompr

ise

entre

2’ e

t 5' L

a tro

upe

prés

ente

so

n nu

mér

o, e

n ut

ilisa

nt d

es o

bjet

s, d

es a

cces

soire

s, d

es c

ostu

mes

, un

supp

ort s

onor

e. E

lle d

ispo

se e

t met

en

pist

e so

n m

atér

iel

pour

inve

stir

et re

défin

ir en

tout

e sé

curit

é un

esp

ace

d'en

viro

n 8m

sur

8m

. D

eux

leço

ns a

vant

l’év

alua

tion

du n

umér

o, le

s él

èves

réa

lisen

t un

e ré

pétit

ion

(1)

deva

nt u

n gr

oupe

de

spec

tate

urs-

lect

eurs

(de

pr

éfér

ence

cho

isi).

Un

spec

tate

ur-le

cteu

r obs

erve

un

circ

assi

en à

l’ai

de d

’une

fich

e, le

rens

eign

e su

r sa

pres

tatio

n et

pré

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e un

e ou

des

pro

posi

tions

pou

r l’a

mél

iore

r. Il

est é

valu

é lo

rs d

e la

pré

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atio

n fin

ale

du n

umér

o su

r la

perti

nenc

e de

ses

con

seils

et s

ur

les

amél

iora

tions

pro

duite

s su

r la

qual

ité d

e ré

alis

atio

n du

circ

assi

en lo

rs d

e l’é

valu

atio

n .

(1)

Les

élèv

es p

rése

nten

t leu

r num

éro.

Il s

’agi

t d’u

ne é

tape

de

trava

il da

ns le

pro

cess

us d

e cr

éatio

n, p

uisq

u’ils

pou

rron

t le

mod

ifier

en

tena

nt c

ompt

e de

s in

dica

tions

four

nies

pa

r les

spe

ctat

eurs

lect

eurs

. (2

) P

ar e

xem

ple,

il e

st c

apab

le d

e pr

éser

ver l

es fo

rmes

de

jong

lage

en

mod

ifian

t des

form

es c

orpo

relle

s si

mpl

es :

avan

cer,

recu

ler,

s’as

soir,

tour

ner s

ur s

oi…

etc

(3)

Exe

mpl

e de

crit

ères

de

virtu

osité

: am

plitu

de d

es la

ncer

s, n

atur

e et

qua

lité

des

appu

is, q

ualit

é de

la s

urfa

ce s

ur la

quel

le il

s se

trou

vent

(4)

Exem

ple

de c

ritèr

es d

’orig

inal

ité: c

hoix

des

obj

ets,

dét

ourn

emen

t de

leur

s us

ages

con

vent

ionn

els,

orig

inal

ité d

e le

ur tr

ajec

toire

dan

s l’e

spac

e et

aut

our d

u co

rps

CO

MM

ENTA

IRES

:

(2) L

’acq

uisi

tion

des

savo

ir-fa

ire fo

ndam

enta

ux li

és a

ux d

iffér

ente

s te

chni

ques

circ

assi

enne

s se

réal

ise

dans

une

per

spec

tive

artis

tique

qui

priv

ilégi

e le

s di

men

sion

s cr

éativ

es e

t po

étiq

ues,

dén

uée

de te

chni

cism

e. A

u re

gard

des

con

ditio

ns d

’ens

eign

emen

t et d

es re

prés

enta

tions

des

élè

ves,

« re

prod

uire

des

form

es s

ingu

lière

s »,

est

à e

nten

dre

com

me

l’app

ropr

iatio

n et

la s

élec

tion

de s

avoi

r-fai

re e

t de

tech

niqu

es d

ans

une

rech

erch

e de

sin

gula

rité.

V

ous

trouv

erez

que

lque

s pi

stes

de

trava

il à

expl

orer

pou

r per

met

tre a

ux é

lève

s de

con

stru

ire c

ette

sin

gula

rité,

dan

s le

s di

ffére

nts

arts

du

cirq

ue.

Jong

lerie

: jo

ngle

r con

sist

e à

lanc

er, m

anip

uler

, rou

ler o

u fa

ire v

irevo

lter d

es o

bjet

s. L

a va

riété

et l

a di

vers

ité d

es tr

ajec

toire

s po

ssib

les

cons

titue

nt u

n pr

emie

r axe

de

rech

erch

e av

ec le

s él

èves

. Par

exe

mpl

e, l’

expl

orat

ion

des

traje

ctoi

res

supp

ose

de c

onfro

nter

l’él

ève

au tr

avai

l des

col

onne

s, c

asca

des,

jets

, mai

s au

ssi,

d’en

visa

ger

un tr

avai

l au

sol,

à ba

se d

e ro

ulem

ents

….

Div

ers

para

mèt

res

peuv

ent ê

tre e

nvis

agés

pou

r cré

er d

e l’o

rigin

alité

et/

ou d

e la

virt

uosi

té :

- la

nat

ure

et le

cho

ix d

es o

bjet

s : f

orm

e, ta

ille, v

olum

e, p

ropr

iété

s, s

ymbo

lism

e, m

atiè

re, n

ombr

e.

- le

type

d’a

ctio

ns m

is e

n œ

uvre

, leu

rs d

épla

cem

ents

(dan

s l’e

spac

e av

ant,

laté

ral,

arriè

re d

u ca

ndid

at),

et/o

u le

ur a

mpl

itude

. -

la tr

ajec

toire

des

obj

ets

dans

l’es

pace

et a

utou

r du

corp

s.

- le

s m

ouve

men

ts d

e l’o

bjet

: ro

tatio

n, tr

ansl

atio

n, s

pira

le…

enro

ulem

ent,

perc

ussi

on, a

rrêt,

amor

ti, re

bond

. Le

jong

lage

est

aus

si u

n tra

vail

d’ill

usio

n, d

e m

anip

ulat

ion,

de

circ

ulat

ion

et d

ispa

ritio

n d

’obj

ets

qui n

éces

site

l’ac

quis

ition

d’h

abile

tés

fines

. Il

fait

appe

l à d

es q

ualit

és d

e co

ordi

natio

n, l

atér

alis

atio

n, d

isso

ciat

ion

très

fines

et

esse

ntie

lles

aux

prog

rès

des

élèv

es.

Pou

r im

pres

sion

ner,

surp

rend

re,

éton

ner :

le

circ

assi

en

utili

se d

es p

artie

s du

co

rps

varié

es p

our l

ance

r, at

trape

r, pr

odui

re d

es re

bond

s ou

arrê

ts :

pied

s, g

enou

x, c

oude

s, é

paul

e, n

uque

Enf

in,

le jo

ngla

ge n

’est

pas

qu’

une

activ

ité in

divi

duel

le,

il ré

clam

e la

circ

ulat

ion

et le

par

tage

d’o

bjet

s en

tre le

s ci

rcas

sien

s. U

ne r

eche

rche

aut

our

des

écha

nges

, pa

ssin

gs,

pick

ings

et a

utre

s «

vols

» d

’obj

ets

est p

rimor

dial

e.

Équi

libre

: Il

s’ag

it p

our l

e ci

rcas

sien

de

joue

r av

ec le

dés

équi

libre

et l

e re

tour

à l’

équi

libre

: la

que

stio

n du

risq

ue e

t de

la c

hute

org

anis

e le

trav

ail d

e l’é

quili

bris

te q

ui c

herc

he

à re

cule

r san

s ce

sse

les

limite

s de

l’éq

uilib

re p

our m

ieux

y re

veni

r. Le

trav

ail d

es é

quili

bres

au

cirq

ue n

e se

lim

ite p

as à

la lo

ngue

ur d

u dé

plac

emen

t effe

ctué

san

s ch

ute

ou à

la

duré

e m

aint

enue

de

la s

tabi

lité,

m

ême

si e

lles

s’av

èren

t so

uven

t pr

emiè

res

pour

les

élè

ves.

La

rech

erch

e de

l’e

mpi

lem

ent

ou d

u tra

vail

en h

aute

ur e

st u

ne p

iste

pa

rticu

lière

men

t pro

met

teus

e et

app

réci

ée d

es é

lève

s,

mai

s la

rec

herc

he p

eut a

ussi

se

nour

rir d

’un

jeu

sur

la d

iver

sité

et l

e no

mbr

e d’

appu

is u

tilis

és (

pied

s, m

ains

, gen

oux,

fe

sses

, dos

…).

Com

me

au jo

ngla

ge, l

e tra

vail

des

équi

libre

s fa

it ap

pel à

des

qua

lités

de

coor

dina

tion,

laté

ralis

atio

n, d

isso

ciat

ion,

not

amm

ent e

ntre

les

mem

bres

infé

rieur

s et

le

rest

e du

cor

ps q

ui p

eut a

lors

s’e

ngag

er d

ans

d’au

tres

actio

ns, e

xpre

ssio

ns…

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

3

/ 33

Acr

obat

ie :

Il pe

ut ê

tre i

ntér

essa

nt e

n ci

rque

d’a

bord

er l

’acr

obat

ie e

n ex

plor

ant

un r

éper

toire

sen

sibl

emen

t di

ffére

nt

de l

a gy

mna

stiq

ue :

figur

es c

olle

ctiv

es,

piro

uette

s,

casc

ades

, pyr

amid

es c

onst

ituen

t une

pre

miè

re e

ntré

e da

ns l’

acro

batie

au

cirq

ue. C

ette

que

stio

n es

t éga

lem

ent à

env

isag

er à

trav

ers

des

prod

uctio

ns d

’équ

ilibr

es c

olle

ctifs

: la

co

nstru

ctio

n d’

équi

libre

s pr

écai

res

par

oppo

sitio

n, t

ract

ion,

dan

s le

s co

ntre

poid

s et

app

uis

com

plém

enta

ires.

Mai

s el

le n

e se

rés

ume

pas

à la

réa

lisat

ion

de p

yram

ides

co

llect

ives

ou

de fi

gure

s st

atiq

ues

à 2,

3. C

’est

dan

s la

rec

herc

he d

e pr

oduc

tion

d’ef

fets

col

lect

ifs à

par

tir d

e fig

ures

sim

ples

: ro

ulad

es, r

oues

, sau

ts r

éalis

és e

n in

vers

ion,

sy

mét

rie,

addi

tion;

dan

s l’e

ncha

înem

ent

de f

igur

es in

divi

duel

les

ou c

olle

ctiv

es e

n jo

uant

sur

les

proc

édés

: ca

scad

e, c

anon

, ré

pétit

ion…

(p

ar e

xem

ple:

rou

lade

s ch

inoi

ses,

ch

ari-v

ari,

saut

e-m

outo

n) o

u en

core

dan

s la

réa

lisat

ion

de fi

gure

s dy

nam

ique

s. U

n tra

vail

sur l

e re

gard

, le

ryth

me,

l’en

chaî

nem

ent d

es fi

gure

s ou

leur

exé

cutio

n or

igin

ale

peut

êt

re p

rivilé

gié.

Enf

in,

l’acr

obat

ie a

u ci

rque

, da

ns u

ne e

xplo

ratio

n in

habi

tuel

le d

es a

grès

tra

ditio

nnel

s (m

ini t

ram

polin

es,

cord

es,

chai

ses,

édu

cgym

, bl

ocs

mou

sses

…)

ouvr

e m

aint

es p

ersp

ectiv

es.

A

RTS

DU

CIR

QU

E B

AC

CA

LAU

RÉA

T PR

OFE

SSIO

NN

EL

CO

MPÉ

TEN

CE

ATT

END

UE

PRIN

CIP

ES D

’ÉLA

BO

RA

TIO

N D

E L’

ÉPR

EUVE

NIV

EAU

4 :

C

onst

ruire

une

piè

ce c

olle

ctiv

e à

parti

r de

s di

ffére

nts

arts

du

cirq

ue p

our

la p

rése

nter

, en

inté

gran

t une

pris

e de

ris

que

tech

niqu

e ou

affe

ctiv

e à

parti

r de

diff

éren

ts p

aram

ètre

s :

équi

libre

, gra

vité

, tra

ject

oire

des

obj

ets

ou d

es e

ngin

s, fo

rmes

co

rpor

elle

s in

divi

duel

les

ou

colle

ctiv

es.

Les

élèv

es

spec

tate

urs

appr

écie

nt

l’org

anis

atio

n sp

atia

le

et

tem

pore

lle d

e la

piè

ce e

t l

a qu

alité

d’in

terp

réta

tion

des

circ

assi

ens.

A tr

aver

s un

thèm

e si

mpl

e, c

hois

i lib

rem

ent o

u pa

rmi c

eux

prop

osés

par

l’en

seig

nant

, les

can

dida

ts p

ar g

roup

e de

3 à

5 p

rése

nten

t un

num

éro

en e

xplo

rant

indi

vidu

elle

men

t, su

cces

sive

men

t ou

conj

oint

emen

t les

diff

éren

tes

spéc

ialit

és d

es a

rts d

u ci

rque

: jon

gler

ie,

équi

libre

s pr

écai

res,

acr

obat

ies

colle

ctiv

es (a

u m

oins

un

coup

de

proj

ecte

ur p

ar c

andi

dat)

La

trou

pe m

ixte

(si p

ossi

ble)

util

ise

des

obje

ts, d

es a

cces

soire

s, d

es c

ostu

mes

, mêm

e trè

s si

mpl

es :

nez,

mas

que,

gan

ts, c

hape

au,

chau

sset

tes.

Elle

arti

cule

des

spé

cial

ités

circ

assi

enne

s, e

t m

et e

n sc

ène

des

pers

onna

ges

sur

un u

nive

rs s

onor

e. E

lle s

e

réap

prop

rie l’

espa

ce d

ispo

nibl

e (e

nviro

n 12

m -

12m

) en

dél

imita

nt s

a pi

ste,

en

disp

osan

t so

n m

atér

iel,

en m

aint

enan

t so

n pu

blic

de

rriè

re u

ne li

gne

imag

inai

re o

u m

atér

ialis

ée. L

a du

rée

du n

umér

o es

t com

pris

e en

tre 3

’ et 6

'. La

trou

pe e

t le

spec

tacl

e on

t un

nom

, une

affi

che

et u

n pr

ogra

mm

e sp

écifi

ant l

a tra

me,

le c

anev

as d

e la

piè

ce.

Deu

x le

çons

ava

nt l’

éval

uatio

n du

num

éro,

les

circ

assi

ens

réal

isen

t une

répé

titio

n (1

) dev

ant u

n gr

oupe

de

spec

tate

urs-

lect

eurs

(de

pr

éfér

ence

cho

isi).

Cha

cun

obse

rve

le n

umér

o à

l’ai

de d

’une

fich

e, e

t ren

seig

ne la

trou

pe s

ur la

pre

stat

ion

en p

rése

ntan

t un

e ou

de

s pr

opos

ition

s po

ur l’

amél

iore

r. Il

est é

valu

é lo

rs d

e la

pré

sent

atio

n fin

ale

du n

umér

o su

r la

perti

nenc

e de

ses

con

seils

et s

ur le

s am

élio

ratio

ns p

rodu

ites

sur l

a qu

alité

de

com

posi

tion

lors

de

l’éva

luat

ion.

C

OM

ME

NTA

IRE

S :

(1

) Le

s él

èves

pré

sent

ent

leur

num

éro.

Il s

’agi

t d’

une

étap

e de

tra

vail

dans

le p

roce

ssus

de

créa

tion,

pui

squ’

ils p

ourro

nt le

mod

ifier

en

tena

nt c

ompt

e de

s in

dica

tions

fo

urni

es p

ar le

s sp

ecta

teur

s le

cteu

rs.

(2)

Par

exe

mpl

e, il

est

cap

able

, de

régu

ler s

on é

quili

bre

sur l

’eng

in s

ans

pertu

rber

la c

ontin

uité

du

jong

lage

(mob

ilité

jam

bes+

bas

sin

indé

pend

ante

du

bust

e).

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

4

/ 33

BA

DM

INTO

N C

AP

BEP

CO

MPÉ

TEN

CE

ATT

END

UE

PRIN

CIP

ES D

’ÉLA

BO

RA

TIO

N D

E L’

ÉPR

EUVE

Niv

eau

3 :

S’in

vest

ir et

pr

odui

re

volo

ntai

rem

ent

des

traje

ctoi

res

varié

es e

n id

entif

iant

et u

tilis

ant l

es e

spac

es li

bres

po

ur

met

tre

son

adve

rsai

re

en

situ

atio

n dé

favo

rabl

e et

ga

gner

.

Les

cand

idat

s so

nt re

grou

pés

en p

oule

s m

ixte

s ou

non

, de

nive

au h

omog

ène.

Une

renc

ontre

se

joue

en

deux

set

s ga

gnan

ts d

e 11

poi

nts

avec

2 p

oint

s d’

écar

t (co

mpt

abili

satio

n so

us fo

rme

de ti

e-br

eak

uniq

uem

ent)

• Le

s év

alua

teur

s pr

endr

ont e

n co

mpt

e le

s di

ffére

nces

gar

çon/

fille

pou

r app

réci

er la

vite

sse

des

vola

nts

et d

es

dépl

acem

ents

. .

B

AD

MIN

TON

BA

CC

ALA

UR

ÉAT

PRO

FESS

ION

NEL

CO

MPÉ

TEN

CE

ATT

END

UE

PRIN

CIP

ES D

’ÉLA

BO

RA

TIO

N D

E L’

ÉPR

EUVE

Niv

eau

4 : F

aire

des

cho

ix ta

ctiq

ues

pour

gag

ner

le p

oint

, en

prod

uisa

nt

des

frapp

es

varié

es

en

dire

ctio

n,

long

ueur

et

ha

uteu

r afin

de

faire

évo

luer

le ra

ppor

t de

forc

e en

sa

fave

ur.

Les

cand

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s so

nt re

grou

pés

en p

oule

s m

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s ou

non

, de

nive

au h

omog

ène.

Une

renc

ontre

se

joue

en

deux

set

s ga

gnan

ts d

e 11

poi

nts

avec

2 p

oint

s d’

écar

t (co

mpt

abili

satio

n so

us fo

rme

de ti

e-br

eak

uniq

uem

ent).

Les

éval

uate

urs

pren

dron

t en

com

pte

les

diffé

renc

es g

arço

n/fil

le p

our a

ppré

cier

la v

itess

e de

s vo

lant

s et

des

plac

emen

ts.

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

5

/ 33

CO

MPÉ

TEN

CE

ATT

END

UE

PRIN

CIP

ES D

’ÉLA

BO

RA

TIO

N D

E L’

ÉPR

EUVE

NIV

EAU

3 :

Pou

r gag

ner l

e m

atch

, met

tre e

n œ

uvre

une

org

anis

atio

n of

fens

ive

qui u

tilis

e op

portu

ném

ent l

a co

ntre

-atta

que

face

à

une

défe

nse

qui c

herc

he à

récu

pére

r la

balle

au

plus

tôt d

ans

le re

spec

t des

règl

es.

• M

atch

à 4

con

tre 4

sur

un

terr

ain

régl

emen

taire

, opp

osan

t des

équ

ipes

don

t le

rapp

ort d

e fo

rce

est é

quili

bré

à pr

iori

(1).

• C

haqu

e éq

uipe

dis

pute

plu

sieu

rs r

enco

ntre

s de

8 m

inut

es m

inim

um,

dont

au

moi

ns d

eux

renc

ontre

s co

ntre

la m

ême

équi

pe. A

u co

urs

des

phas

es d

e je

u, d

es te

mps

de

conc

erta

tion

sont

pré

vus,

de

man

ière

à p

erm

ettre

aux

joue

urs

d’un

e m

ême

équi

pe d

’aju

ster

leur

s or

gani

satio

ns c

olle

ctiv

es, e

n fo

nctio

n du

jeu

adve

rse.

Les

règl

es e

ssen

tielle

s so

nt c

elle

s du

bas

ket,

la 3

ème fa

ute

pers

onne

lle e

st s

anct

ionn

ée p

ar u

ne e

xclu

sion

tem

pora

ire d

e 1’

30.

(1) C

omm

enta

ires

: Le

prin

cipe

d’é

quili

bre

du r

appo

rt de

for

ce :

les

équi

pes

qui s

e re

ncon

trent

doi

vent

être

hom

ogèn

es e

ntre

elle

s et

en

leur

sei

n (é

quip

es d

e ni

veau

). C

’est

à c

ette

con

ditio

n qu

e pe

uven

t être

rév

élée

s le

s co

mpé

tenc

es a

ttend

ues.

Dan

s ce

rtain

s ca

s pa

rticu

liers

(c

onte

xtes

spé

cifiq

ues

d’ét

ablis

sem

ent

et e

ffect

ifs),

ce p

rinci

pe p

eut

être

mis

en

œuv

re d

e m

aniè

re d

iffér

ente

: co

nstit

utio

n d’

équi

pes

de m

ême

nive

au m

ais

hété

rogè

nes

en le

ur s

ein,

à c

ondi

tion

que

les

indi

vidu

alité

s pu

isse

nt s

e ne

utra

liser

.

B

ASK

ET B

ALL

BA

CC

ALA

UR

ÉAT

PRO

FESS

ION

NEL

CO

MPÉ

TEN

CE

ATT

END

UE

PRIN

CIP

ES D

’ÉLA

BO

RA

TIO

N D

E L’

ÉPR

EUVE

NIV

EAU

4 :

Pou

r ga

gner

le

mat

ch,

met

tre e

n œ

uvre

une

org

anis

atio

n of

fens

ive

capa

ble

de f

aire

évo

luer

le r

appo

rt de

for

ce e

n sa

fa

veur

par

une

occ

upat

ion

perm

anen

te d

e l’e

spac

e de

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carte

men

t et é

tage

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t), fa

ce à

une

déf

ense

qui

se

repl

ie

colle

ctiv

emen

t pou

r déf

endr

e sa

cib

le o

u ré

cupé

rer l

a ba

lle.

• M

atch

s à

4 co

ntre

4, s

ur u

n te

rrai

n ré

glem

enta

ire, o

ppos

ant d

es é

quip

es d

ont l

e ra

ppor

t de

forc

e es

t équ

ilibr

é (1

). •

Cha

que

équi

pe d

ispu

te p

lusi

eurs

renc

ontre

s de

8 m

inut

es, d

ont a

u m

oins

deu

x re

ncon

tres

cont

re la

mêm

e éq

uipe

. Ent

re

ces

deux

ren

cont

res

oppo

sant

les

mêm

es é

quip

es, u

n te

mps

de

conc

erta

tion

sera

pré

vu, d

e m

aniè

re à

per

met

tre a

ux

joue

urs

d’un

e m

ême

équi

pe d

’aju

ster

leur

s or

gani

satio

ns c

olle

ctiv

es e

n fo

nctio

n du

jeu

adve

rse.

Les

règl

es e

ssen

tielle

s so

nt c

elle

s du

bas

ket-b

all.

La 3

ème fa

ute

pers

onne

lle e

st s

anct

ionn

ée p

ar e

xclu

sion

tem

pora

ire d

e 1’

30’

’. (1

) Com

men

taire

s :

Le p

rinci

pe d

’équ

ilibr

e du

rapp

ort d

e fo

rce

: les

équ

ipes

qui

se

renc

ontre

nt d

oive

nt ê

tre h

omog

ènes

ent

re e

lles

et e

n le

ur s

ein

(équ

ipes

de

nive

au).

C’e

st à

cet

te c

ondi

tion

que

peuv

ent ê

tre ré

vélé

es le

s co

mpé

tenc

es a

ttend

ues.

Dan

s ce

rtain

s ca

s pa

rticu

liers

(c

onte

xtes

spé

cifiq

ues

d’ét

ablis

sem

ent e

t effe

ctifs

), ce

prin

cipe

peu

t être

mis

en

œuv

re d

e m

aniè

re d

iffér

ente

: co

nstit

utio

n d’

équi

pes

de m

ême

nive

au m

ais

hété

rogè

nes

en le

ur s

ein,

à c

ondi

tion

que

les

indi

vidu

alité

s pu

isse

nt s

e ne

utra

liser

.

BA

SKET

BA

LL

CA

P B

EP

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

6

/ 33

SA

VATE

BO

XE F

RA

AIS

E C

AP

BEP

C

OM

PÉTE

NC

E A

TTEN

DU

EPR

INC

IPES

D’É

LAB

OR

ATI

ON

DE

L’ÉP

REU

VE

Niv

eau

3 : I

ntég

rer l

es p

rinci

pes

d’af

front

emen

t en

prés

erva

nt

son

inté

grité

phy

siqu

e et

cel

le d

’aut

rui,

par

l’acq

uisi

tion

de

tech

niqu

es s

péci

fique

s et

en

acce

ptan

t d’

entre

r da

ns u

ne

logi

que

d’as

saut

cod

ifié.

● su

rface

de

4 ou

5 m

ètre

s su

r 4 o

u 5

mèt

res

● as

saut

non

mix

te

● ra

ppor

t de

forc

e éq

uilib

● as

saut

: co

ntrô

le d

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pui

ssan

ce d

es to

uche

s, c

onfo

rmém

ent a

ux rè

glem

ents

UN

SS

arbi

trage

des

ass

auts

par

les

élèv

es

● 2

assa

uts

à th

èmes

de

2 re

pris

es d

’une

dur

ée d

e 1m

n 30

ave

c 1

mn

de ré

cupé

ratio

n en

tre c

haqu

e re

pris

e. (e

t non

plu

s du

os, m

ais

ça s

e di

scut

e e

n C

AP

!)

● 1

assa

ut s

emi l

ibre

de

2 re

pris

es d

’une

dur

ée d

e 1m

n30

avec

1 m

n de

récu

péra

tion

entre

cha

que

repr

ise.

SA

VATE

BO

XE F

RA

AIS

E B

AC

CA

LAU

RÉA

T PR

OFE

SSIO

NN

EL

C

OM

PÉTE

NC

E A

TTEN

DU

EPR

INC

IPES

D’É

LAB

OR

ATI

ON

DE

L’ÉP

REU

VE

Niv

eau

4 :

Pou

r ga

gner

l’a

ssau

t, ac

quér

ir le

s él

émen

ts d

e ba

se d

’un

syst

ème

d’at

taqu

e et

de

défe

nse

afin

de

met

tre e

n œ

uvre

un

proj

et.

● su

rface

de

4 ou

5 m

ètre

s su

r 4 o

u 5

mèt

res

● as

saut

non

mix

te

● ra

ppor

t de

forc

e éq

uilib

● as

saut

: co

ntrô

le d

e la

pui

ssan

ce d

es to

uche

s, c

onfo

rmém

ent a

ux rè

glem

ents

UN

SS

arbi

trage

des

ass

auts

par

les

élèv

es

● 3

assa

uts

libre

s de

2 re

pris

es d

’une

dur

ée d

e 1m

n 30

ave

c 1

mn

de ré

cupé

ratio

n en

tre c

haqu

e re

pris

e et

10

mn

de

récu

péra

tion

entre

cha

que

assa

ut

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

7

/ 33

C

OU

RSE

DE

HA

IES

C

AP

BEP

CO

MPÉ

TEN

CE

ATT

END

UE

PRIN

CIP

ES D

’ÉLA

BO

RA

TIO

N D

E L’

ÉPR

EUVE

NIV

EAU

3

Se

prép

arer

et r

éalis

er la

mei

lleur

e pe

rform

ance

sur

une

co

urse

long

ue d

e ha

ies,

en

franc

hiss

ant l

a sé

rie d

’obs

tacl

es

sans

pié

tiner

L’ép

reuv

e se

dér

oule

en

1 pa

rcou

rs d

e 20

0 m

ètre

s ha

ies

. L’é

lève

par

t ave

c ou

san

s st

artin

g-bl

ocks

mai

s le

dép

art e

st c

omm

andé

. C

haqu

e 20

0 ha

ies

com

pren

d 8

haie

s es

pacé

es d

e 20

m. D

ista

nce

entre

le d

épar

t et l

a 1èr

e hai

e : 3

0 m

; di

stan

ce e

ntre

la d

erni

ère

haie

et l

’arr

ivée

: 30

m. H

aute

ur d

es h

aies

: 70

cm

pou

r les

fille

s, 8

4 cm

pou

r les

gar

çons

(pos

sibi

lité

pour

les

élèv

es e

n di

fficu

lté d

e pr

endr

e de

s ha

ies

de 6

4 cm

pou

r les

fille

s et

76

cm p

our l

es g

arço

ns. (

Dan

s ce

cas

, la

perfo

rman

ce ré

alis

ée n

otée

sur

15

poin

ts e

st

dim

inué

e de

2 p

oint

s)

Le te

mps

réal

isé

sur l

e pa

rcou

rs c

ompt

e po

ur 7

5 %

de

la n

ote.

L’

écha

uffe

men

t (C

ompé

tenc

e M

étho

dolo

giqu

e 1

: s’e

ngag

er a

vec

luci

dité

) et l

a ge

stio

n de

la c

ours

e in

ter-

obst

acle

s co

mpt

ent p

our

25%

.

C

OU

RSE

DE

HA

IES

B

AC

CA

LAU

RÉA

T PR

OFE

SSIO

NN

EL

C

OM

PÉTE

NC

E A

TTEN

DU

EPR

INC

IPES

D’É

LAB

OR

ATI

ON

DE

L’ÉP

REU

VE N

IVEA

U 4

S

e pr

épar

er e

t réa

liser

la m

eille

ure

perfo

rman

ce s

ur u

ne

cour

se lo

ngue

de

haie

s, e

n lim

itant

la p

erte

de

vite

sse

liée

au

franc

hiss

emen

t des

obs

tacl

es.

L’ép

reuv

e se

dér

oule

en

1 pa

rcou

rs d

e 25

0 m

pla

t ( u

n se

ul e

ssai

) et

1 p

arco

urs

de 2

50 m

ètre

s ha

ies

. L’é

lève

par

t ave

c ou

san

s st

artin

g-bl

ocks

mai

s le

dép

art e

st c

omm

andé

. C

haqu

e 25

0 ha

ies

com

pren

d 10

hai

es e

spac

ées

de 2

0 m

. Dis

tanc

e en

tre le

dép

art e

t la

1ère h

aie

: 30

m ;

dist

ance

ent

re la

der

nièr

e ha

ie e

t l’a

rriv

ée :

40 m

. Hau

teur

des

hai

es :

70 c

m p

our l

es fi

lles,

84

cm p

our l

es g

arço

ns (p

ossi

bilit

é po

ur le

s él

èves

en

diffi

culté

de

pren

dre

des

haie

s de

64

cm p

our l

es fi

lles

et 7

6 cm

pou

r les

gar

çons

. (D

ans

ce c

as, l

a pe

rform

ance

réal

isée

not

ée s

ur 1

5 po

ints

es

t dim

inué

e de

2 p

oint

s)

Le c

umul

des

tem

ps ré

alis

és s

ur le

s de

ux p

arco

urs

com

pte

pour

75

% d

e la

not

e.

En

cas

de c

hute

sur

le 2

50 m

hai

es u

ne d

euxi

ème

tent

ativ

e es

t pro

posé

e à

l’élè

ve.

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

8

/ 33

CO

UR

SE D

E R

ELA

IS- V

ITES

SE

CA

P B

EP

C

OM

PÉTE

NC

E A

TTEN

DU

EPR

INC

IPES

D’É

LAB

OR

ATI

ON

DE

L’ÉP

REU

VE N

IVEA

U 3

Po

ur p

rodu

ire la

mei

lleur

e pe

rfor

man

ce, c

oord

onne

r les

vi

tess

es d

e co

urse

du

donn

eur e

t du

rece

veur

et a

ssur

er

une

tran

smis

sion

val

ide

dans

une

cou

rse

sécu

risée

.

1. C

haqu

e él

ève

réal

ise

un 5

0 m

ètre

s dé

part

en s

tarti

ng-b

lock

s co

mm

andé

par

un

sign

al e

xtér

ieur

(2 e

ssai

s so

nt p

ossi

bles

). 2.

Les

équ

ipes

de

rela

is (1

) effe

ctue

nt c

hacu

ne 2

par

cour

s de

4 x

50

mèt

res,

dép

art e

n st

artin

g-bl

ocks

com

man

dé. L

ors

de la

2iè

me te

ntat

ive

les

cour

eurs

cha

ngen

t de

plac

e de

la fa

çon

suiv

ante

:le

post

e 1p

asse

au

2 , l

e po

ste

4 pa

sse

au 3

et r

écip

roqu

emen

t. Lo

rsqu

e le

tém

oin

ne fr

anch

it pa

s la

lign

e d’

arriv

ée, u

n es

sai s

uppl

émen

taire

est

acc

ordé

afin

de

pouv

oir c

ompa

rer l

es 2

ten

tativ

es

(et c

eci

dans

cha

cun

des

cas)

. Le

s zo

nes

de tr

ansm

issi

ons

et d

’éla

n so

nt le

s zo

nes

conv

entio

nnel

les

fédé

rale

s (1

0 m

d’é

lan,

20

m d

e tra

nsm

issi

on).

Cha

que

élèv

e es

t not

é se

lon

les

critè

res

suiv

ants

: P

our 2

5 %

sur

sa

perfo

rman

ce s

ur 5

0 m

ètre

s in

divi

duel

. P

our 2

5 %

sur

la d

iffér

ence

ent

re la

som

me

des

tem

ps ré

alis

és s

ur 5

0 m

. des

4 re

laye

urs,

et l

e m

eille

ur t

emps

des

2 re

lais

ef

fect

ués.

P

our 2

5 %

sur

la s

omm

e de

s 2

per

form

ance

s ré

alis

ées

lors

des

2 p

arco

urs

de re

lais

, don

t l’u

n av

ec c

hang

emen

t des

pos

tes

1-2/

3-4.

Po

ur 2

5 %

sur

l’éc

hauf

fem

ent a

vant

l’ép

reuv

e, l

a ré

cupé

ratio

n ap

rès

l’effo

rt, e

t la

val

idat

ion

des

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s de

tran

smis

sion

CO

MM

ENTA

IRES

(1

) R

egro

uper

les

élèv

es p

ar ra

ppor

t aux

tem

ps ré

alis

és s

ur 5

0 m

ètre

s, e

t con

stitu

er d

es é

quip

es d

e re

laye

urs

de te

mps

iden

tique

s. N

e pa

s ch

erch

er à

faire

des

équ

ipes

éq

uilib

rées

, plu

s le

s éc

arts

son

t im

porta

nts

et p

lus

les

régu

latio

ns d

es v

itess

es s

ont d

iffic

iles

à ré

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er. L

es é

quip

es p

euve

nt ê

tre m

ixte

s (2

) Le

tem

ps d

u re

lais

doi

t être

infé

rieur

à la

som

me

des

tem

ps a

dditi

onné

s, c

e qu

i tra

duit

le te

mps

gag

né lo

rs d

es 3

pas

sage

s de

tém

oin

grâc

e au

dép

art l

ancé

. (3

) L’

ense

igna

nt fa

it la

som

me

des

deux

per

form

ance

s ré

alis

ées

par l

a m

ême

équi

pe. L

ors

de la

sec

onde

pre

stat

ion

les

rôle

s de

rela

yeur

s po

stes

1 e

t 4 s

ont é

chan

gés

dans

l’o

rdre

ave

c le

s po

stes

2 e

t 3 .L

e ch

ange

men

t de

rôle

s pe

rmet

de

vérif

ier l

a fa

culté

de

s’ad

apte

r à d

iffér

ente

s pl

aces

pos

sibl

es d

ans

un re

lais

. (dé

part-

arri

vée,

deu

xièm

e et

tro

isiè

me

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is).

CO

UR

SE D

E R

ELA

IS- V

ITES

SE

BA

CC

ALA

UR

ÉAT

PRO

FESS

ION

NEL

CO

MPÉ

TEN

CE

ATT

END

UE

PRIN

CIP

ES D

’ÉLA

BO

RA

TIO

N D

E L’

ÉPR

EUVE

NIV

EA

U 4

P

our p

rodu

ire la

mei

lleur

e pe

rform

ance

opt

imis

er le

s vi

tess

es

de c

ours

e du

don

neur

et d

u re

ceve

ur e

n as

sura

nt u

ne

trans

mis

sion

effi

cace

et v

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e, g

râce

à u

n re

péra

ge e

t un

code

de

com

mun

icat

ion

stab

ilisé

s.

1. C

haqu

e él

ève

réal

ise

un 5

0 m

ètre

s dé

part

en s

tarti

ng-b

lock

s co

mm

andé

par

un

sign

al e

xtér

ieur

(2 e

ssai

s so

nt p

ossi

bles

). 2.

Les

équ

ipes

de

rela

is (1

) effe

ctue

nt c

hacu

ne 2

par

cour

s de

4 x

50

mèt

res,

dép

art e

n st

artin

g-bl

ocks

com

man

dé. L

ors

de la

2iè

me te

ntat

ive

les

cour

eurs

cha

ngen

t de

plac

e de

la fa

çon

suiv

ante

: le

pos

te 1

pass

e au

2 e

t le

post

e 4

au 3

et r

écip

roqu

emen

t. Lo

rsqu

e le

tém

oin

ne fr

anch

it pa

s la

lign

e d’

arriv

ée, u

n es

sai s

uppl

émen

taire

est

acc

ordé

afin

de

pouv

oir c

ompa

rer l

es 2

ten

tativ

es

(et c

eci

dans

cha

cun

des

cas)

. Le

s zo

nes

de tr

ansm

issi

on e

t d’é

lan

sont

les

zone

s co

nven

tionn

elle

s fé

déra

les

(10m

d’é

lan

, 20m

de

trans

mis

sion

).

Cha

que

élèv

e es

t not

é se

lon

les

critè

res

suiv

ants

: P

our 2

5% s

ur s

a pe

rform

ance

sur

50m

indi

vidu

el

Pou

r 25%

sur

la d

iffér

ence

ent

re la

som

me

des

tem

ps ré

alis

és s

ur 5

0m d

es 4

rela

yeur

s et

le m

eille

ur te

mps

des

2 re

lais

effe

ctué

s.

Pou

r 25%

sur

la s

omm

e de

s 2

perfo

rman

ces

réal

isée

s lo

rs d

es 2

par

cour

s de

rela

is d

ont l

’un

avec

cha

ngem

ent d

es p

oste

s 1-

2/3-

4 P

our 2

5% s

ur la

val

idité

et l

’effi

caci

té d

es tr

ansm

issi

ons

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

9

/ 33

CO

MM

ENTA

IRES

(4

) R

egro

uper

les

élèv

es p

ar ra

ppor

t aux

tem

ps ré

alis

és s

ur 5

0 m

ètre

s, e

t con

stitu

er d

es é

quip

es d

e re

laye

urs

de te

mps

iden

tique

s. N

e pa

s ch

erch

er à

faire

des

équ

ipes

éq

uilib

rées

, plu

s le

s éc

arts

son

t im

porta

nts

et p

lus

les

régu

latio

ns d

e vi

tess

es s

ont d

iffic

iles

à ré

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er. L

es é

quip

es p

euve

nt ê

tre m

ixte

s (5

) Le

tem

ps d

u re

lais

doi

t être

infé

rieur

à la

som

me

des

tem

ps a

dditi

onné

s, c

e qu

i tra

duit

le te

mps

gag

né lo

rs d

es 3

pas

sage

s de

tém

oin

grâc

e au

dép

art l

ancé

. (6

) L’

ense

igna

nt fa

it la

som

me

des

deux

per

form

ance

s ré

alis

ées

par l

a m

ême

équi

pe. L

ors

de la

sec

onde

pre

stat

ion

les

rôle

s de

rela

yeur

s po

stes

1 e

t 4 s

ont é

chan

gés

dans

l’o

rdre

ave

c le

s po

stes

2 e

t 3 .L

e ch

ange

men

t de

rôle

s pe

rmet

de

vérif

ier l

a fa

culté

de

s’ad

apte

r à d

iffér

ente

s pl

aces

pos

sibl

es d

ans

un re

lais

. (dé

part-

arri

vée,

deu

xièm

e et

troi

sièm

e re

lais

).

(7)

Cha

que

cour

eur p

artic

ipe

sur

les

deux

par

cour

s de

4x5

0m à

troi

s ch

arni

ères

de

rela

is

(8)

Deu

x re

laye

urs

se ta

mpo

nnen

t lor

squ’

ils v

ienn

ent a

u co

ntac

t l’u

n de

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tre o

u qu

and

le d

onne

ur e

st o

blig

é de

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ntir

pour

ne

pas

dépa

sser

le re

ceve

ur.

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

10

/ 33

CO

UR

SE D

’OR

IEN

TATI

ON

CA

P B

EP

C

OM

PÉTE

NC

E A

TTEN

DU

EPR

INC

IPES

D’É

LAB

OR

ATI

ON

DE

L’ÉP

REU

VE N

ivea

u 3

: P

révo

ir et

con

duire

son

dép

lace

men

t en

util

isan

t pr

inci

pale

men

t de

s lig

nes

de n

ivea

u 1

(che

min

, ro

ute

…)

pour

s’e

ngag

er d

ans

une

épre

uve

de c

ours

e d’

orie

ntat

ion

en

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eu c

onnu

dan

s le

resp

ect d

es rè

gles

de

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rité.

Le c

oure

ur d

oit r

éalis

er, s

eul o

u en

bin

ôme,

un

parc

ours

de

son

choi

x, c

ompo

sé d

e 8

post

es, d

ans

un te

mps

lim

ité d

e 30

ou

35

min

utes

, sel

on la

diff

icul

té d

u te

rrai

n : p

révo

ir un

e su

perfi

cie

du ré

seau

d’e

nviro

n 1

km²,

pour

un

circ

uit d

’env

iron

2,5

km.

24 p

oste

s (b

alis

es o

u pi

quet

s pe

rman

ents

ave

c pi

nces

) so

nt p

lacé

s su

r de

s él

émen

ts c

arac

téris

tique

s et

da

ns u

n m

ilieu

boi

sé o

u se

mi b

oisé

con

nu. 1

4 ba

lises

son

t de

nive

au 1

et 1

0 ba

lises

de

nive

au 2

. Le

cod

e d’

iden

tific

atio

n, d

e la

bal

ise

ou d

u pi

quet

, est

iden

tique

à c

elui

du

post

e pr

écis

é su

r la

carte

mèr

e.

Pen

dant

5 m

inut

es le

can

dida

t dev

ra c

hois

ir 8

post

es e

n fo

nctio

n du

niv

eau

qu’il

veu

t atte

indr

e.

Tout

es le

s do

nnée

s so

nt v

érifi

ées

à l’a

ide

d’un

car

ton

de c

ontrô

le c

ompo

rtant

les

num

éros

de

tous

les

post

es à

poi

nçon

ner.

Le

can

dida

t peu

t con

trôle

r la

duré

e de

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dép

lace

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t à l’

aide

d’u

n ch

rono

mèt

re o

u d’

une

mon

tre.

C

OM

MEN

TAIR

ES :

Dan

s le

cad

re d

u co

ntrô

le e

n co

urs

de fo

rmat

ion,

la c

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e es

t ind

ivid

uelle

ou

en b

inôm

e.

Les

cont

rain

tes

de s

écur

ité n

éces

site

nt d

e ch

oisi

r des

dis

posi

tifs

parti

culie

rs n

otam

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t dan

s le

s do

mai

nes

suiv

ants

: - c

once

ptio

n du

dis

posi

tif (d

épar

t et a

rrivé

e le

plu

s au

cen

tre, f

avor

iser

les

pass

ages

pro

ches

de

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one

cent

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, lim

iter l

’esp

ace

d’év

olut

ion,

avo

ir de

s lig

nes

d’ar

rêt v

isib

les

par l

es é

lève

s, e

tc.)

- Mis

e en

pla

ce d

e co

mm

issa

ires

adul

tes

ou é

lève

s (o

rgan

isat

ion

éven

tuel

le d

e l’é

preu

ve e

n 2

séqu

ence

s ou

2 s

éanc

es s

ucce

ssiv

es,…

etc.

) -

Il es

t pos

sibl

e d’

intro

duire

d’a

utre

s po

stes

san

s va

leur

, don

c no

n pr

is e

n co

mpt

e, p

our

augm

ente

r l’i

ncer

titud

e, l’

activ

ité d

e re

cher

che

pers

onne

lle e

t la

prés

ence

d’u

n pl

us

gran

d no

mbr

e d’

élèv

es s

ur le

par

cour

s.

- Des

ada

ptat

ions

des

tem

ps d

e co

urse

à h

aute

ur d

e 10

% p

euve

nt s

’app

lique

r lor

s de

mau

vais

es c

ondi

tions

mét

éo (t

erra

in g

ras,

plu

ie, f

roid

, ven

t for

t,…)

- Les

bal

ises

de

nive

au 1

se

situ

ent s

ur d

es é

lém

ents

car

acté

ristiq

ues

le lo

ng d

e lig

nes

dire

ctric

es (c

hem

in, s

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r, cl

ôtur

e, li

mite

de

végé

tatio

n pr

écis

e).

- Les

bal

ises

de

nive

au 2

néc

essi

tent

d’id

entif

ier u

n po

int d

’atta

que

sur d

es li

gnes

dire

ctric

es d

e ni

veau

1 (r

oute

, che

min

, sen

tier,

grill

age…

) pou

r leu

r rec

herc

he.

Les

sym

bole

s IO

F (in

tern

atio

nal o

rient

erin

g fé

déra

tion)

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risen

t l’é

lém

ent c

arac

téris

tique

du

post

e et

sa

posi

tion

par r

appo

rt à

celu

i-ci

ht

tp://

ww

w.o

rient

eerin

g.or

g/i3

/inde

x.ph

p?/io

f200

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nten

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nloa

d/17

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Des

crip

tions

%20

2004

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ulle

tin o

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el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

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Min

istè

re d

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natio

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/ 33

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SE D

’OR

IEN

TATI

ON

BA

CC

ALA

UR

ÉAT

PRO

FESS

ION

NEL

CO

MPÉ

TEN

CE

ATT

END

UE

PRIN

CIP

ES D

’ÉLA

BO

RA

TIO

N D

E L’

ÉPR

EUVE

Niv

eau

4 : C

onst

ruire

son

itin

érai

re, a

dapt

er s

on d

épla

cem

ent

en u

tilis

ant d

es li

gnes

de

nive

au 1

et 2

(s

entie

r, fo

ssé

...)

et

gére

r se

s re

ssou

rces

pou

r ré

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er la

mei

lleur

e pe

rform

ance

en

mili

eu b

oisé

et

parti

elle

men

t co

nnu,

dan

s le

res

pect

des

gles

de

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rité.

Le c

oure

ur d

oit r

éalis

er, s

eul o

u en

bin

ôme,

un

parc

ours

de

son

choi

x, c

ompo

sé d

e 8

post

es, d

ans

un te

mps

lim

ité d

e 30

ou

35

min

utes

, sel

on la

diff

icul

té d

u te

rrai

n : p

révo

ir un

e su

perfi

cie

du ré

seau

d’e

nviro

n 1

km²,

pour

un

circ

uit d

’env

iron

2,5

km.

24 p

oste

s (b

alis

es o

u pi

quet

s pe

rman

ents

ave

c pi

nces

) so

nt p

lacé

s su

r de

s él

émen

ts c

arac

téris

tique

s et

da

ns u

n m

ilieu

boi

sé o

u se

mi b

oisé

par

tielle

men

t co

nnu.

14

balis

es s

ont d

e ni

veau

2 e

t 10

balis

es d

e ni

veau

3.

Le c

ode

d’id

entif

icat

ion,

de

la b

alis

e ou

du

piqu

et, e

st id

entiq

ue à

cel

ui d

u po

ste

préc

isé

sur l

a ca

rte m

ère.

P

enda

nt 5

min

utes

le c

andi

dat d

evra

cho

isir

8 po

stes

en

fonc

tion

du n

ivea

u qu

’il v

eut a

ttein

dre.

To

utes

les

donn

ées

sont

vér

ifiée

s à

l’aid

e d’

un c

arto

n de

con

trôle

com

porta

nt le

s nu

mér

os d

e to

us le

s po

stes

à p

oinç

onne

r.

Le c

andi

dat p

eut c

ontrô

ler l

a du

rée

de s

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épla

cem

ent à

l’ai

de d

’un

chro

nom

ètre

ou

d’un

e m

ontre

. C

OM

MEN

TAIR

ES :

Dan

s le

cad

re d

u co

ntrô

le e

n co

urs

de fo

rmat

ion,

la c

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e es

t ind

ivid

uelle

ou

en b

inôm

e.

Les

cont

rain

tes

de s

écur

ité n

éces

site

nt d

e ch

oisi

r des

dis

posi

tifs

parti

culie

rs n

otam

men

t dan

s le

s do

mai

nes

suiv

ants

: - c

once

ptio

n du

dis

posi

tif (d

épar

t et a

rrivé

e le

plu

s au

cen

tre, f

avor

iser

les

pass

ages

pro

ches

de

la z

one

cent

rale

, lim

iter l

’esp

ace

d’év

olut

ion,

avo

ir de

s lig

nes

d’ar

rêt v

isib

les

par l

es é

lève

s,…

etc.

) - M

ise

en p

lace

de

com

mis

saire

s ad

ulte

s ou

élè

ves

(org

anis

atio

n év

entu

elle

de

l’épr

euve

en

2 sé

quen

ces

ou 2

séa

nces

suc

cess

ives

,…et

c.)

- Il

est p

ossi

ble

d’in

trodu

ire d

’aut

res

post

es s

ans

vale

ur, d

onc

non

pris

en

com

pte,

pou

r au

gmen

ter

l’inc

ertit

ude,

l’ac

tivité

de

rech

erch

e pe

rson

nelle

et l

a pr

ésen

ce d

’un

plus

gr

and

nom

bre

d’él

èves

sur

le p

arco

urs.

- D

es a

dapt

atio

ns d

es te

mps

de

cour

se à

hau

teur

de

10 %

peu

vent

s’a

ppliq

uer l

ors

de m

auva

ises

con

ditio

ns m

étéo

(ter

rain

gra

s, p

luie

, fro

id, v

ent f

ort,…

) - L

es b

alis

es d

e ni

veau

2 n

éces

site

nt d

’iden

tifie

r un

poin

t d’a

ttaqu

e su

r des

lign

es d

irect

rices

de

nive

au 1

(rou

te, c

hem

in, s

entie

r, gr

illag

e…) p

our l

eur r

eche

rche

. - L

es b

alis

es d

e ni

veau

3 n

éces

site

nt d

’iden

tifie

r un

poin

t d’a

ttaqu

e su

r des

lign

es d

irect

rices

de

nive

au 2

(fos

sé, l

imite

de

végé

tatio

n, ta

lus…

) pou

r leu

r rec

herc

he

Les

sym

bole

s IO

F (in

tern

atio

nal o

rient

erin

g fé

déra

tion)

car

acté

risen

t l’é

lém

ent c

arac

téris

tique

du

post

e et

sa

posi

tion

par r

appo

rt à

celu

i-ci

http

://w

ww

.orie

ntee

ring.

org/

i3/in

dex.

php?

/iof2

006/

cont

ent/d

ownl

oad/

1787

/835

8/fil

e/IO

F%20

Con

trol%

20D

escr

iptio

ns%

2020

04.p

df

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

12

/ 33

C

OM

PÉTE

NC

E A

TTEN

DU

EPR

INC

IPES

D’É

LAB

OR

ATI

ON

DE

L’ÉP

REU

VE N

ivea

u 3

: M

odul

er l'

inte

nsité

et l

a du

rée

de s

es d

épla

cem

ents

, en

rapp

ort a

vec

une

réfé

renc

e pe

rson

nalis

ée, p

our p

rodu

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t id

entif

ier d

es e

ffets

imm

édia

ts s

ur l'

orga

nism

e en

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d’un

mob

ile d

’agi

r.

Le c

andi

dat d

oit c

hois

ir un

obj

ectif

par

mi l

es 2

qui

lui s

ont p

rése

ntés

, cel

ui q

ui c

orre

spon

d le

mie

ux a

ux e

ffets

qu’

il so

uhai

te à

term

e ob

teni

r sur

son

org

anis

me.

Pou

r cel

a, le

can

dida

t doi

t ide

ntifi

er c

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’il v

ise

com

me

étan

t « le

bon

usa

ge d

e so

i » a

u se

in d

’un

cont

exte

de

vie

sing

ulie

r. Le

s 2

obje

ctifs

son

t :

Obj

ectif

1 :

Dév

elop

per u

ne s

anté

phy

siol

ogiq

ue p

erso

nnel

le o

ptim

ale

O

bjec

tif 2

: R

eche

rche

r les

moy

ens

d’un

e ré

cupé

ratio

n ou

d’u

ne d

éten

te o

u d’

une

aide

à l’

affin

emen

t de

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ilhou

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D

ans

le c

adre

du

prot

ocol

e d’

éval

uatio

n, le

can

dida

t doi

t don

c ré

alis

er u

n ex

trait

d’un

e sé

ance

d’e

ntra

înem

ent i

ntég

rant

une

ent

rée

dans

l’ac

tivité

et d

es e

fforts

(dép

lace

men

ts e

n co

urse

ou

en c

ours

e/m

arch

e) d

’une

dur

ée d

e 15

à 2

0 m

inut

es (y

com

pris

les

tem

ps

de ré

cupé

ratio

n). D

es re

père

s so

nore

s ou

vis

uels

ext

erne

s so

nt ré

guliè

rem

ent a

nnon

cés

aux

cand

idat

s au

cou

rs d

e le

ur

entra

înem

ent (

par e

xem

ple

: ann

once

de

chaq

ue m

inut

e de

l’en

traîn

emen

t, ut

ilisa

tion

poss

ible

d’u

n ca

rdio

-fréq

uenc

emèt

re…

): Il

est

dem

andé

au

cand

idat

de

cons

truire

et d

e ré

alis

er u

ne p

artie

de

la s

éanc

e d’

entra

înem

ent.

Au

min

imum

2 c

hang

emen

ts d

’allu

res

au c

ours

de

cet e

ffort

sont

atte

ndus

. La

char

ge d

es e

ntra

înem

ents

pro

posé

s (d

ista

nces

, int

ensi

tés,

récu

péra

tion)

, et q

ui in

tègr

e la

pa

rtie

conç

ue p

ar le

can

dida

t, es

t ind

iqué

e da

ns le

pro

toco

le d

’éva

luat

ion

du p

roje

t péd

agog

ique

de

l’éta

blis

sem

ent,

prés

enté

à la

co

mm

issi

on a

cadé

miq

ue d

es e

xam

ens.

Il

est d

onc

exig

é du

can

dida

t :

- qu’

il co

nçoi

ve u

ne p

artie

de

sa s

éanc

e d’

entra

înem

ent e

t qu’

elle

soi

t int

égré

e à

l’aut

re p

artie

pré

sent

ée d

ans

le p

roto

cole

d’

éval

uatio

n de

l’ét

ablis

sem

ent

- qu’

il ju

stifi

e pa

r ora

l ou

par l

’écr

it l’o

bjec

tif p

ours

uivi

par

un

mot

if d’

agir

pers

onne

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u’il

expr

ime

par o

ral o

u pa

r l’é

crit

les

sens

atio

ns q

u‘il

iden

tifie

au

rega

rd d

e la

cha

rge

de tr

avai

l effe

ctiv

emen

t réa

lisée

- q

u’il

intè

gre

des

allu

res

de c

ours

e re

lativ

es a

ux ty

pes

effo

rts e

xigé

es p

ar l’

obje

ctif

choi

si e

t qu’

il do

it av

oir e

xpér

imen

tées

au

cour

s de

sa

prép

arat

ion

à ce

tte é

preu

ve.

CO

UR

SE D

E D

UR

EE

BA

CC

ALA

UR

ÉAT

PRO

FESS

ION

NEL

CO

MPÉ

TEN

CE

ATT

END

UE

PRIN

CIP

ES D

’ÉLA

BO

RA

TIO

N D

E L’

ÉPR

EUVE

NIV

EAU

4 :

P

révo

ir et

réal

iser

une

séq

uenc

e de

cou

rses

en

utili

sant

di

ffére

nts

para

mèt

res

(dur

ée, i

nten

sité

, tem

ps d

e ré

cupé

ratio

n, ré

pétit

ion…

) pou

r pro

duire

sur

soi

des

effe

ts

diffé

rés

liés

à un

mob

ile p

erso

nnel

. Sc

hém

a de

prin

cipe

:

(Ex

: pou

r une

vite

sse

de 1

0 km

/h, l

'élè

ve c

ourt

83 m

à l'

alle

r et

83

m a

u re

tour

, en

1 m

inut

e)

Tout

aut

re d

ispo

sitif

est

acc

epté

dès

lors

qu'

il pe

rmet

le

pass

age

de to

us le

s ca

ndid

ats

aupr

ès d

e la

bal

ise

de

réfé

renc

e à

chaq

ue m

inut

e.

L'ép

reuv

e se

réal

ise

dans

un

disp

ositi

f per

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tant

à c

hacu

n de

cou

rir e

n al

ler-

reto

ur à

par

tir d

'une

bal

ise

de ré

fére

nce,

à d

es

vite

sses

alla

nt d

e 5

à 18

km

/h. D

'aut

res

balis

es s

eron

t ins

tallé

es p

our m

arqu

er le

s vi

tess

es d

e 5

km/h

à 1

8 km

/h. L

a rè

gle

impo

se à

to

us le

s co

ureu

rs d

e re

pass

er à

cha

que

min

ute

dans

une

zon

e au

tour

de

la b

alis

e de

réfé

renc

e (5

m d

’ava

nce

ou d

e re

tard

son

t ac

cept

és).

Le d

ispo

sitif

est

déc

rit c

i-con

tre.

Le c

andi

dat d

oit c

onst

ruire

en

débu

t de

leço

n le

pro

jet d

e sa

séa

nce

d'en

traîn

emen

t , pr

évue

sur

un

tem

ps d

e 30

min

utes

. Il d

evra

ch

oisi

r, pa

rmi l

es tr

ois

obje

ctifs

pro

posé

s, c

elui

qui

cor

resp

ond

le m

ieux

aux

effe

ts q

u’il

souh

aite

à te

rme

obte

nir s

ur s

on o

rgan

ism

e :

Obj

. 1 :

Acc

ompa

gner

un

obje

ctif

spor

tif e

n ra

ppor

t ave

c de

s éc

héan

ces.

O

bj. 2

: D

ével

oppe

r un

état

de

sant

é de

faço

n co

ntin

ue.

Obj

. 3 :

Rec

herc

her l

es m

oyen

s d'

une

récu

péra

tion

ou d

'une

dét

ente

ou

d'un

e ai

de à

la p

erte

de

poid

s.

Dan

s le

pro

jet p

rése

nté,

le c

andi

dat p

réci

se l'

obje

ctif

choi

si e

t con

stru

it sa

séa

nce

en c

onsé

quen

ce. I

l ind

ique

, les

tem

ps e

t des

in

tens

ités

des

cour

ses

en k

m/h

, les

tem

ps e

t les

type

s de

récu

péra

tion,

et s

es s

ensa

tions

, ava

nt d

e co

mm

ence

r l'é

preu

ve. S

es

tem

ps d

e co

urse

ou

de ré

cupé

ratio

n se

ront

touj

ours

un

mul

tiple

de

1 m

inut

e et

il d

evra

pro

céde

r à a

u m

oins

3 c

hang

emen

ts d

'allu

re

pend

ant l

es 3

0 m

inut

es.

Le c

andi

dat r

éalis

e en

suite

la s

éanc

e qu

'il a

cons

truite

. Un

de s

es c

amar

ades

, sou

s le

con

trôle

de

l'ens

eign

ant,

relè

ve s

es re

tard

s et

ses

ava

nces

ain

si q

ue le

s fo

rtes

accé

léra

tions

ou

décé

léra

tions

à la

bal

ise

de ré

fére

nce

et é

vent

uelle

men

t lui

rapp

elle

son

pro

jet.

Pou

r con

trôle

r ses

allu

res,

l'él

ève

ne b

énéf

icie

que

d'u

ne s

eule

info

rmat

ion

sono

re :

un c

oup

de s

iffle

t tou

tes

les

min

utes

. Pu

is, à

l'iss

ue d

e l'é

preu

ve, à

par

tir d

es s

ensa

tions

épr

ouvé

es e

n co

urse

, des

reta

rds

et d

es a

vanc

es à

la b

alis

e de

réfé

renc

e re

levé

s pa

r son

cam

arad

e, e

t des

con

nais

sanc

es a

cqui

ses

sur l

'ent

raîn

emen

t, il

appo

rte u

n co

mm

enta

ire é

crit

ou o

ral s

ur la

qua

lité

de s

on

entra

înem

ent.

Il ex

pliq

ue é

vent

uelle

men

t les

éca

rts e

ntre

pro

jet e

t réa

lisat

ion.

Il s

itue

en c

oncl

usio

n, c

ette

séa

nce

dans

l'en

sem

ble

de s

on p

rogr

amm

e d'

entra

înem

ent (

pass

é et

à v

enir)

. La

séa

nce

se d

érou

le d

onc,

apr

ès é

chau

ffem

ent,

en 2

tem

ps d

e 30

min

utes

pou

r per

met

tre le

pas

sage

de

2 gr

oupe

s d'

élèv

es. U

ne

fiche

indi

vidu

alis

ée fa

it ap

para

ître

l'obj

ectif

per

sonn

el p

ours

uivi

, la

VM

A e

t per

met

l'éc

ritur

e de

cet

te s

éanc

e d'

entra

înem

ent,

de s

a ré

alis

atio

n ef

fect

ive,

ain

si q

ue d

es c

omm

enta

ires

et c

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usio

ns. C

ette

fich

e es

t un

outil

pou

r Éva

luer

, Con

cevo

ir et

Ana

lyse

r.

CO

UR

SE D

E D

UR

EE

CA

P B

EP

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

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Min

istè

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natio

nale

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13

/ 33

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NSE

CH

OR

ÉGR

APH

IE C

OLL

ECTI

VE

CA

P B

EP

CO

MPÉ

TEN

CE

ATT

END

UE

PRIN

CIP

ES D

’ÉLA

BO

RA

TIO

N D

E L’

ÉPR

EUVE

Niv

eau

3 :

Com

pose

r un

e ch

orég

raph

ie c

olle

ctiv

e à

parti

r d’

un t

hèm

e d’

étud

e pr

opos

é pa

r l’e

nsei

gnan

t, en

fai

sant

év

olue

r la

mot

ricité

usu

elle

par

l’ut

ilisa

tion

de p

aram

ètre

s du

m

ouve

men

t (es

pace

, tem

ps, é

nerg

ie) p

our l

a ré

alis

er d

evan

t un

gr

oupe

d’

élèv

es

dans

un

es

pace

sc

éniq

ue

orie

nté.

A

ppré

cier

le

de

gré

de

lisib

ilité

du

th

ème

d’ét

ude

et

l’int

erpr

état

ion

des

élèv

es d

anse

urs.

Pré

sent

er u

ne c

horé

grap

hie

en g

roup

e de

2 à

5 é

lève

s

Dur

ée :

1’30

à 2

’30,

esp

ace

scén

ique

et e

mpl

acem

ent d

es s

pect

ateu

rs d

éfin

is

Deu

x le

çons

ava

nt l’

éval

uatio

n de

la c

ompo

sitio

n ch

orég

raph

ique

, le

s da

nseu

rs r

éalis

ent

une

répé

titio

n (1

) de

vant

un

grou

pe d

e sp

ecta

teur

s-le

cteu

rs (

de p

réfé

renc

e ch

oisi

). U

n sp

ecta

teur

-lect

eur

obse

rve

un d

anse

ur

à l’a

ide

d’un

e fic

he,

le r

ense

igne

sur

sa

pres

tatio

n et

pré

sent

e un

e ou

des

pro

posi

tions

pou

r l’a

mél

iore

r. Il

est é

valu

é lo

rs d

e la

pré

sent

atio

n fin

ale

de la

cho

régr

aphi

e su

r la

per

tinen

ce d

e se

s co

nsei

ls e

t su

r le

s am

élio

ratio

ns p

rodu

ites

sur

la c

horé

grap

hie

ou l

’inte

rpré

tatio

n du

dan

seur

lor

s de

l’é

valu

atio

n.

CO

MM

ENTA

IRES

:

(1)

Les

élèv

es p

rése

nten

t le

ur c

horé

grap

hie.

Il s

’agi

t d’

une

étap

e de

tra

vail

dans

le p

roce

ssus

de

créa

tion,

pui

squ’

ils p

ourro

nt la

mod

ifier

en

tena

nt c

ompt

e de

s in

dica

tions

fo

urni

es p

ar le

s sp

ecta

teur

s le

cteu

rs.

Con

cern

ant l

es rô

les

soci

aux

: L’

APSA

dan

se a

bord

ée s

ous

la f

orm

e de

cho

régr

aphi

e co

llect

ive

impl

ique

les

élèv

es d

ans

des

rôle

s so

ciau

x to

ut a

u lo

ng d

u cy

cle

et d

ans

les

3 re

gist

res

d’ap

pren

tissa

ge

(com

posi

tion,

inte

rpré

tatio

n, a

ppré

ciat

ion)

. Il n

e pa

raît

pas

perti

nent

de

quan

tifie

r ces

rôle

s de

faço

n sp

écifi

que

dans

l’év

alua

tion

des

regi

stre

s de

com

posi

tion

et d

’inte

rpré

tatio

n.

Dan

s le

s rô

les

de c

ompo

site

urs-

chor

égra

phes

, les

élè

ves

doiv

ent f

aire

des

pro

posi

tions

, acc

epte

r ce

lles

des

autre

s et

trou

ver

un c

ompr

omis

dan

s le

s ch

oix

rete

nus.

Cec

i im

pliq

ue c

onfia

nce

en s

oi, é

cout

e de

s au

tres

En t

ant

que

dans

eurs

-inte

rprè

tes,

ils

doi

vent

acc

epte

r de

se

« m

ontre

r » d

evan

t le

s au

tres,

ass

umer

le

choi

x de

s da

nseu

rs d

u gr

oupe

et

les

erre

urs

éven

tuel

les

d’in

terp

réta

tion.

E

n re

vanc

he, l

e rô

le d

e sp

ecta

teur

s-le

cteu

rs, l

es a

ppré

ciat

ions

des

élè

ves

se c

arac

téris

ent s

elon

les

3 ni

veau

x de

maî

trise

déf

inis

. C

once

rnan

t les

term

es u

tilis

és d

ans

la fi

che

d’év

alua

tion

:

mot

ricité

usu

elle

: mot

ricité

org

anis

ée a

utou

r de

la v

ertic

alité

, mob

ilisa

nt la

pér

iphé

rie d

u co

rps,

dan

s un

esp

ace

proc

he, p

eu d

isso

ciée

thèm

e d’

étud

e :

les

thèm

es p

euve

nt ê

tre e

xtrê

mem

ent

dive

rs :

gest

es f

onct

ionn

els

(frot

ter,

plie

r, to

rdre

, gl

isse

r, po

usse

r, tra

nche

r, ab

attre

..) l

es u

sage

s pr

ofes

sion

nels

: ge

stes

du

trava

il et

pos

ture

s du

mét

iers

(pa

rticu

lière

men

t per

tinen

ts p

our

ces

élèv

es),

les

rela

tions

soc

iale

s et

fam

ilial

es, l

es r

appo

rts h

umai

ns (

défi-

renc

ontre

...),

un

lieu

(gar

e, ru

e, …

), m

ais

égal

emen

t des

imag

es, d

es p

eint

ures

, des

text

es o

u de

s po

ésie

s (a

ppro

prié

s da

ns le

cad

re d

e pr

ojet

s pl

urid

isci

plin

aire

s)

argu

men

t : fa

ire e

xpliq

uer p

ar le

s él

èves

ce

qu’il

s on

t cho

isi d

e tra

iter d

ans

le th

ème.

pa

ram

ètre

s du

mou

vem

ent e

t prin

cipe

s de

com

posi

tion

(pro

cédé

s ch

orég

raph

ique

s) :

les

para

mèt

res

du m

ouve

men

t : l’

espa

ce, l

e te

mps

, l’é

nerg

ie, l

e co

rps.

La

fréqu

ence

, la

duré

e et

la m

aîtri

se d

e le

ur u

tilis

atio

n/ex

ploi

tatio

n so

nt d

es in

dica

teur

s du

ni

veau

de

com

péte

nces

acq

uise

s.

● l’e

spac

e : f

aire

gra

nd, p

etit,

pro

duire

des

form

es c

ourb

es o

u an

gula

ires,

alle

r ver

s le

hau

t ou

vers

le s

ol, o

rient

atio

n …

mai

s au

ssi l

es m

odes

de

grou

pem

ent,

les

ligne

s fo

rtes,

le je

u av

ec le

s ni

veau

x, le

s di

rect

ions

, les

orie

ntat

ions

par

rap

port

au p

ublic

, les

ent

rées

et s

ortie

s de

scè

ne, l

’am

énag

emen

t de

l’esp

ace

scén

ique

av

ec u

n dé

cor…

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

14

/ 33

● le

tem

ps :

faire

lent

, vite

, être

à l’

arrê

t, ut

ilise

r des

acc

ents

, mai

s au

ssi l

a fa

çon

dont

est

stru

ctur

ée la

cho

régr

aphi

e da

ns s

on e

nsem

ble

● l’é

nerg

ie :

dans

er a

vec

une

éner

gie

faib

le, f

orte

, sac

cadé

e, m

ais

auss

i dan

s l’e

nsem

ble

de la

cho

régr

aphi

e (c

omm

ent l

’éne

rgie

évo

lue

?…)

● le

cor

ps :

les

diffé

rent

es p

artie

s du

cor

ps q

ui s

ont

mob

ilisé

es,

le p

lace

men

t du

reg

ard,

la

prés

ence

… m

ais

auss

i la

rép

étiti

on d

’un

mou

vem

ent,

l’acc

umul

atio

n d’

un g

este

pou

r le

déve

lopp

er p

rogr

essi

vem

ent…

le

rap

port

aux

aut

res

: di

stan

ce,

orie

ntat

ion,

con

tact

, un

isso

n, p

olyp

honi

e, d

écal

age

dans

le t

emps

, co

ntra

stes

… a

fin d

’org

anis

er le

rap

port

aux

autre

s de

faç

on

dive

rsifi

ée, o

rigin

ale,

plu

s ou

moi

ns c

ompl

exe

(en

rela

tion

au th

ème

et e

n jo

uant

ave

c le

s pa

ram

ètre

s du

mou

vem

ent).

U

tilis

atio

n de

l’es

pace

scé

niqu

e da

ns c

es d

iffér

ente

s di

men

sion

s : d

ans

la p

rofo

ndeu

r, da

ns la

larg

eur (

de c

ôté

cour

à c

ôté

jard

in),

sur d

iffér

ents

niv

eaux

.

DA

NSE

CH

OR

ÉGR

APH

IE C

OLL

ECTI

VE

BA

CC

ALA

UR

ÉAT

PRO

FESS

ION

NEL

CO

MPÉ

TEN

CE

ATT

END

UE

PRIN

CIP

ES D

’ÉLA

BO

RA

TIO

N D

E L’

ÉPR

EUVE

Niv

eau

4: C

ompo

ser

une

chor

égra

phie

col

lect

ive

à pa

rtir

d’un

e dé

mar

che

et d

es p

rocé

dés

de c

ompo

sitio

n dé

finis

pa

r l’e

nsei

gnan

t. E

nric

hir

la p

rodu

ctio

n pa

r l’o

rgan

isat

ion

de

l’esp

ace

scén

ique

et

les

rela

tions

ent

re le

s da

nseu

rs.

La

mot

ricité

alli

e di

ffére

nts

para

mèt

res

du m

ouve

men

t au

serv

ice

d’un

pro

jet e

xpre

ssif.

La

chor

égra

phie

est

réa

lisée

dev

ant u

n gr

oupe

d’é

lève

s.

Rep

érer

les

élém

ents

de

com

posi

tion

et e

n ap

préc

ier l

a pe

rtine

nce

au re

gard

du

prop

os c

horé

grap

hiqu

e

Pré

sent

er u

ne c

horé

grap

hie

en g

roup

e de

2 à

5 é

lève

s

Dur

ée :

1’30

à 2

’30,

esp

ace

scén

ique

et e

mpl

acem

ent d

es s

pect

ateu

rs d

éfin

is

Don

ner u

n tit

re e

t fou

rnir

un a

rgum

ent (

écrit

ou

oral

) D

eux

leço

ns a

vant

l’év

alua

tion

de la

cho

régr

aphi

e, le

s da

nseu

rs r

éalis

ent

une

répé

titio

n (1

) de

vant

un

grou

pe d

e sp

ecta

teur

s-le

cteu

rs (d

e p

réfé

renc

e ch

oisi

). C

hacu

n ob

serv

e le

num

éro

à l’

aide

d’u

ne fi

che,

et r

ense

igne

les

dans

eurs

sur

leur

cho

régr

aphi

e en

pré

sent

ant

une

ou d

es p

ropo

sitio

ns p

our

l’am

élio

rer.

Il es

t éva

lué

lors

de

la p

rése

ntat

ion

final

e de

la c

horé

grap

hie

sur

la

perti

nenc

e de

ses

con

seils

et s

ur le

s am

élio

ratio

ns p

rodu

ites

sur l

a qu

alité

de

com

posi

tion

lors

de

l’éva

luat

ion .

CO

MM

ENTA

IRES

(1

) Le

s él

èves

pré

sent

ent

leur

cho

régr

aphi

e. I

l s’a

git

d’un

e ét

ape

de t

rava

il da

ns le

pro

cess

us d

e cr

éatio

n, p

uisq

u’ils

pou

rront

la m

odifi

er e

n te

nant

com

pte

des

indi

catio

ns

four

nies

par

les

spec

tate

urs

lect

eurs

. Pr

océd

és c

horé

grap

hiqu

es

1.

/ c

orps

/mou

vem

ent:

La

répé

titio

n : re

pris

e, re

prod

uctio

n d’

un g

este

, d’u

ne s

éque

nce

ou d

’une

phr

ase.

La

tran

spos

ition

: pr

inci

pe d

e re

prod

uctio

n d’

un m

ême

mou

vem

ent a

vec

une

autre

par

tie d

u co

rps

ou u

n au

tre s

egm

ent.

L’ac

cum

ulat

ion

: à p

artir

d’u

n ge

ste

vien

t s’a

jout

er u

n au

tre g

este

, pui

s on

repr

end

en a

jout

ant u

n 3èm

e … D

’un

élém

ent s

impl

e à

un d

ével

oppe

men

t cum

ulat

if pa

r de

plus

en

plus

de

seg

men

ts.

L’al

éato

ire :

dans

la d

éter

min

atio

n d’

un c

erta

in n

ombr

e d’

élém

ents

: poi

nt d

e dé

part,

d’a

rriv

ée ;

nom

bre

de s

éque

nces

à ré

péte

r ; é

nerg

ies

choi

sies

; no

mbr

e d’

arrê

ts…

D

éfor

mat

ion

: agr

andi

r, ré

duire

, tor

dre…

2.

/esp

ace:

inve

rsio

n (in

vers

er d

ébut

et f

in, p

oint

de

dépa

rt et

d’a

rrivé

e), c

ontra

ste,

cou

plet

refra

in, d

iago

nale

s (li

gne

de fo

rce:

dia

gona

le q

ui p

art d

e ja

rdin

-fond

à p

ublic

-co

ur ;

ligne

de

fuite

: di

agon

ale

qui p

art d

e ja

rdin

-pub

lic à

fond

de

scèn

e co

ur),

ligne

/cer

cle.

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

15

/ 33

3.

/tem

ps: c

resc

endo

-dec

resc

endo

(acc

élér

atio

n dy

nam

ique

pro

gres

sive

, pui

s dé

célé

ratio

n pr

ogre

ssiv

e), c

olla

ge-m

onta

ge à

par

tir d

’une

frag

men

tatio

n de

la p

hras

e da

nsée

, fo

ndus

- enc

haîn

és, e

ffet d

e tu

ilage

4.

/R

elat

ion

entr

e da

nseu

rs: s

olo,

duo

, trio

Alte

rnan

ce: q

uest

ion-

répo

nse

mou

vem

ent l

’un

aprè

s l’a

utre

. U

niss

on :

dans

eur e

n m

ouve

men

t sim

ulta

ném

ent.

Suc

cess

ion:

cas

cade

(la

vagu

e da

ns 1

sta

de).

Can

on: s

éque

nce

de m

ouve

men

ts ré

intro

duite

par

d’a

utre

s da

nseu

rs à

inte

rval

les

régu

liers

. La

fugu

e : u

ne s

éque

nce

se p

ours

uit d

iffér

emm

ent,

puis

se

retro

uve.

St

ylis

atio

n : P

roce

ssus

par

lequ

el le

mou

vem

ent s

’élo

igne

du

quot

idie

n po

ur d

even

ir un

mou

vem

ent d

ansé

.

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

16

/ 33

CO

UR

SE D

E D

EMI-F

ON

D

CA

P B

EP

C

OM

PÉTE

NC

E A

TTEN

DU

EPR

INC

IPES

D’É

LAB

OR

ATI

ON

DE

L’ÉP

REU

VE N

IVEA

U 3

P

rodu

ire la

mei

lleur

e pe

rform

ance

sur

une

sér

ie d

e co

urse

s,

se p

répa

rer e

t rép

artir

son

effo

rt gr

âce

à un

e ge

stio

n ra

ison

née

de s

es re

ssou

rces

.

En

dem

i-fon

d, c

haqu

e él

ève

réal

ise

3 co

urse

s de

500

m (

récu

péra

tion

de10

mn

max

imum

) ch

rono

mét

rées

par

un

ense

igna

nt à

la

seco

nde.

Les

élè

ves

cour

ent s

ans

mon

tre n

i chr

onom

ètre

mai

s un

tem

ps d

e pa

ssag

e le

ur e

st c

omm

uniq

ué a

ux 2

50m

Le

tem

ps c

umul

é co

mpt

e po

ur 7

5 %

de

la n

ote.

L’

écha

uffe

men

t, la

récu

péra

tion

et la

ges

tion

de l’

effo

rt c

ompt

ent p

our 2

5%.

C

OU

RSE

DE

DEM

I-FO

ND

B

AC

CA

LAU

RÉA

T PR

OFE

SSIO

NN

EL

C

OM

PÉTE

NC

E A

TTEN

DU

EPR

INC

IPES

D’É

LAB

OR

ATI

ON

DE

L’ÉP

REU

VE N

IVEA

U 4

P

our

prod

uire

la

m

eille

ure

perfo

rman

ce,

se

prép

arer

et

cupé

rer

effic

acem

ent

de l

’effo

rt su

r un

e sé

rie d

e co

urse

s do

nt l’

allu

re e

st a

ntic

ipée

En

dem

i-fon

d, c

haqu

e ca

ndid

at r

éalis

e 3

cour

ses

de 5

00 m

(ré

cupé

ratio

n 10

mn

max

imum

ent

re c

haqu

e co

urse

), ch

rono

mét

rées

pa

r un

ens

eign

ant à

la s

econ

de.

Les

cand

idat

s co

uren

t san

s m

ontre

ni c

hron

omèt

re m

ais

un te

mps

de

pass

age

leur

est

com

mun

iqué

aux

250

m.

Apr

ès l’

écha

uffe

men

t et a

vant

la p

rem

ière

cou

rse,

le c

andi

dat i

ndiq

ue s

ur u

ne fi

che

le te

mps

vis

é su

r le

prem

ier

500

m.

Apr

ès la

pre

miè

re c

ours

e, il

not

e su

r sa

fiche

le

tem

ps v

isé

pour

le d

euxi

ème

500

m.

Le te

mps

cum

ulé

(som

me

des

3 te

mps

réal

isés

) com

pte

pour

70

% d

e la

not

e de

l’ép

reuv

e.

La p

répa

ratio

n et

l’éc

art a

u pr

ojet

(so

mm

e de

s 2

écar

ts te

mps

vis

és /

tem

ps ré

alis

és) c

ompt

ent

pour

30%

.

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

17

/ 33

LAN

CER

DU

DIS

QU

E

CA

P B

EP

C

OM

PÉTE

NC

E A

TTEN

DU

EPR

INC

IPES

D’É

LAB

OR

ATI

ON

DE

L’ÉP

REU

VE

NIV

EAU

3

Pou

r pro

duire

la m

eille

ure

perfo

rman

ce, s

e pr

épar

er à

l'ef

fort,

rer l

a sé

curit

é et

réal

iser

un

lanc

er é

quili

bré

en u

tilis

ant

l’éla

n et

le c

hem

in d

e la

ncem

ent e

ffica

ce g

râce

à la

rota

tion

accé

léré

e du

trai

n su

périe

ur.

Cha

que

cand

idat

dis

pose

de

6 es

sais

au

max

imum

ave

c él

an (d

épla

cem

ent d

es a

ppui

s et

rota

tion)

Le

s de

ux m

eille

urs

essa

is s

ont r

eten

us p

our l

a no

tatio

n. L

eur m

oyen

ne é

tabl

it la

per

form

ance

sup

port

de la

not

atio

n.

L1 e

t L2

= le

s 2

mei

lleur

s la

ncer

s.

Cha

que

élèv

e es

t not

é po

ur 7

5% s

ur la

moy

enne

de

L1 e

t L2

L’éc

hauf

fem

ent

(com

péte

nce

mét

hodo

logi

que

: s’

enga

ger

luci

dem

ent

dans

la p

ratiq

ue)

et la

ges

tion

de la

séc

urité

(co

mpé

tenc

e m

étho

dolo

giqu

e : r

espe

cter

les

règl

es d

e vi

e co

llect

ive

et a

ssum

er le

s di

ffére

nts

rôle

s lié

s à

l’act

ivité

) com

pten

t pou

r 25%

. P

oids

des

eng

ins

: 1K

G p

our l

es fi

lles,

1,5

KG

pou

r les

gar

çons

C

as d

’ess

ai n

ul :

règl

emen

t offi

ciel

.

LAN

CER

DU

DIS

QU

E

BA

CC

ALA

UR

ÉAT

PRO

FESS

ION

NEL

C

OM

PÉTE

NC

E A

TTEN

DU

EPR

INC

IPES

D’É

LAB

OR

ATI

ON

DE

L’ÉP

REU

VE

NIV

EAU

4

Pou

r pr

odui

re la

mei

lleur

e pe

rform

ance

en

un n

ombr

e lim

ité

de

tent

ativ

es,

accr

oître

la

vi

tess

e d’

envo

l de

l’e

ngin

en

re

cher

chan

t lor

s de

la p

hase

de

volte

, l’e

ffica

cité

de

la c

haîn

e d’

impu

lsio

n au

m

oyen

des

pr

ises

d’

avan

ce

et

de

la

coor

dina

tion

des

actio

ns p

ropu

lsiv

es.

Cha

que

cand

idat

dis

pose

de

6 es

sais

au

max

imum

ave

c él

an (d

épla

cem

ent d

es a

ppui

s et

rota

tion)

A

près

son

éch

auffe

men

t et a

vant

le d

ébut

du

conc

ours

le c

andi

dat i

ndiq

ue a

ux é

valu

ateu

rs s

a pr

évis

ion

conc

erna

nt la

moy

enne

de

ses

3 m

eille

urs

essa

is

Il es

t not

é po

ur 4

0% la

per

form

ance

réal

isée

par

son

mei

lleur

lanc

er.

Pou

r 40%

sur

la p

erfo

rman

ce m

oyen

ne d

es 3

mei

lleur

s la

ncer

s.

Pou

r 20%

sur

la ju

stes

se d

e sa

pré

visi

on.

Poi

ds d

es e

ngin

s : 1

kg

pour

les

fille

s, 1

.500

kg

pour

les

garç

ons.

C

as d

’ess

ai n

ul :

règl

emen

t offi

ciel

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

18

/ 33

ESC

ALA

DE

C

AP

BEP

CO

MPÉ

TEN

CE

ATT

END

UE

PRIN

CIP

ES D

’ÉLA

BO

RA

TIO

N D

E L’

ÉPR

EUVE

Niv

eau

3 :

Pou

r gr

impe

r en

mou

linet

te d

es v

oies

de

diffi

culté

4 à

5,

se

dom

iner

et

cond

uire

so

n dé

plac

emen

t en

s'

adap

tant

à

diffé

rent

es fo

rmes

de

pris

es e

t de

supp

ort.

Ass

urer

sa

sécu

rité

et c

elle

d'a

utru

i à la

mon

tée

com

me

à la

de

scen

te.

Le d

ispo

sitif

com

pren

d de

s vo

ies

de n

ivea

u 3c

à 5

c po

ur le

s fil

les

et d

e 4a

à 6

a po

ur le

s ga

rçon

s, d

’une

long

ueur

min

imal

e de

7

m e

n S

AE

et 1

2 m

en

fala

ise.

Le

can

dida

t cho

isit

son

nive

au d

e di

fficu

lté s

elon

la m

odal

ité d

’asc

ensi

on

en m

oulin

ette

ave

c un

e bo

ucle

pin

cée

1 m

ètre

au

dess

us d

u ba

udrie

r par

un

élas

tique

ou

sans

bou

cle,

dan

s un

e vo

ie p

lus

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oins

con

nue.

L’

épre

uve

cons

iste

à s

’équ

iper

, s’e

ncor

der

puis

grim

per

dans

un

tem

ps m

axim

um d

e 8

min

utes

. L’é

preu

ve e

st c

ompl

étée

par

un

e pr

esta

tion

d’as

sura

ge a

u co

urs

du

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per d

’un

parte

naire

. A

la p

rem

ière

chu

te, l

e ca

ndid

at p

eut r

epre

ndre

sa

prog

ress

ion.

A la

sec

onde

chu

te, l

’épr

euve

s’a

rrêt

e.

Dan

s le

cas

d’u

n ar

rêt

de l

’épr

euve

, le

can

dida

t m

arqu

e le

s po

ints

en

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de l

a ha

uteu

r de

voi

e gr

avie

. Le

s po

ints

ac

cord

és à

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otat

ion

sero

nt o

blig

atoi

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nfér

ieur

s à

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oitié

des

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poss

ible

s se

lon

la c

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ion.

ES

CA

LAD

E

BA

CC

ALA

UR

ÉAT

PRO

FESS

ION

NEL

CO

MPÉ

TEN

CE

ATT

END

UE

PRIN

CIP

ES D

’ÉLA

BO

RA

TIO

N D

E L’

ÉPR

EUVE

Niv

eau

4

Pou

r grim

per e

n tê

te d

es v

oies

de

diffi

culté

4 à

5, c

ondu

ire

son

dépl

acem

ent e

n s'

écon

omis

ant s

elon

des

itin

érai

res

varié

s en

dire

ctio

n.

Ass

urer

sa

sécu

rité

et c

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d'a

utru

i à la

mon

tée

com

me

à la

de

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te.

Le d

ispo

sitif

com

pren

d de

s vo

ies

de n

ivea

u 3c

à 6

a, d

’une

long

ueur

min

imal

e de

7 m

en

SA

E e

t 12

m e

n fa

lais

e. L

es

déga

ines

son

t en

plac

e.

Le c

andi

dat c

hois

it so

n ni

veau

de

diffi

culté

pou

r grim

per e

n tê

te d

ans

1 ou

2 v

oies

con

nues

. L’

épre

uve

cons

iste

à s

e pr

épar

er, s

’équ

iper

pui

s gr

impe

r da

ns u

n te

mps

max

imum

de

8 m

n (p

ar v

oie)

. L’é

preu

ve e

st

com

plét

ée p

ar u

ne p

rest

atio

n d’

assu

rage

au

cour

s d

u gr

impe

r du

parte

naire

A

la 1

ére

chut

e, le

can

dida

t peu

t rep

rend

re s

a pr

ogre

ssio

n. A

la s

econ

de c

hute

, l’é

preu

ve s

’arr

ête.

L’

épre

uve

s’ar

rête

si l

e ca

ndid

at n

e m

ousq

ueto

nne

pas

tous

les

poin

ts.

D

ans

le c

as d

’un

arrê

t de

l’épr

euve

, le

cand

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mar

que

les

poin

ts e

n fo

nctio

n de

la h

aute

ur d

e vo

ie g

ravi

e. L

es p

oint

s ac

cord

és à

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ion

sero

nt o

blig

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ent i

nfér

ieur

s à

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oitié

des

poi

nts

poss

ible

s se

lon

la c

otat

ion.

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

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.edu

catio

n.go

uv.fr

19

/ 33

FOO

TBA

L

CA

P B

EP

C

OM

PÉTE

NC

E A

TTEN

DU

EPR

INC

IPES

D’É

LAB

OR

ATI

ON

DE

L’ÉP

REU

VE N

IVEA

U 3

: P

our

gagn

er l

e m

atch

, m

ettre

en

oeuv

re u

ne o

rgan

isat

ion

offe

nsiv

e qu

i ut

ilise

opp

ortu

ném

ent

la c

ontre

-atta

que

face

à

une

défe

nse

qui c

herc

he à

récu

pére

r la

balle

au

plus

tôt d

ans

le re

spec

t des

règl

es.

• M

atch

à 6

con

tre 6

(5jo

ueur

s de

cha

mp

et u

n ga

rdie

n) s

ur u

n te

rrai

n de

foot

ball

à 7,

opp

osan

t des

équ

ipes

don

t le

rapp

ort

de fo

rce

est é

quili

bré

à pr

iori

(1).

• C

haqu

e éq

uipe

dis

pute

plu

sieu

rs r

enco

ntre

s de

10

min

utes

min

imum

(com

porta

nt 2

mi-t

emps

). A

u co

urs

des

phas

es d

e je

u, d

es t

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de

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erta

tion

sont

pré

vus,

de

man

ière

à p

erm

ettre

aux

joue

urs

d’un

e m

ême

équi

pe d

’aju

ster

leur

s or

gani

satio

ns c

olle

ctiv

es, e

n fo

nctio

n du

jeu

adve

rse.

Les

règl

es e

ssen

tielle

s so

nt c

elle

s du

foo

tbal

l à

7. L

’eng

agem

ent

est

réal

isé

par

le g

ardi

en d

epui

s sa

sur

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. Le

s re

mis

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n je

u s’

effe

ctue

nt a

u pi

ed.

(1) C

omm

enta

ires

: Le

prin

cipe

d’é

quili

bre

du r

appo

rt de

for

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les

équi

pes

qui s

e re

ncon

trent

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vent

être

hom

ogèn

es e

ntre

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s et

en

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sei

n (é

quip

es d

e ni

veau

). C

’est

à c

ette

con

ditio

n qu

e pe

uven

t être

rév

élée

s le

s co

mpé

tenc

es a

ttend

ues.

Dan

s ce

rtain

s ca

s pa

rticu

liers

(c

onte

xtes

spé

cifiq

ues

d’ét

ablis

sem

ent

et e

ffect

ifs),

ce p

rinci

pe p

eut

être

mis

en

œuv

re d

e m

aniè

re d

iffér

ente

: co

nstit

utio

n d’

équi

pes

de m

ême

nive

au m

ais

hété

rogè

nes

en le

ur s

ein,

à c

ondi

tion

que

les

indi

vidu

alité

s pu

isse

nt s

e ne

utra

liser

.

FO

OTB

ALL

B

AC

CA

LAU

RÉA

T PR

OFE

SSIO

NN

EL

C

OM

PÉTE

NC

E A

TTEN

DU

EPR

INC

IPES

D’É

LAB

OR

ATI

ON

DE

L’ÉP

REU

VE N

IVEA

U 4

: P

our

gagn

er l

e m

atch

, m

ettre

en

œuv

re u

ne o

rgan

isat

ion

offe

nsiv

e ca

pabl

e de

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re é

volu

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rap

port

de f

orce

en

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fave

ur p

ar u

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ccup

atio

n pe

rman

ente

de

l’esp

ace

de j

eu

(éca

rtem

ent e

t éta

gem

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face

à u

ne d

éfen

se q

ui s

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plie

co

llect

ivem

ent p

our d

éfen

dre

sa c

ible

ou

récu

pére

r la

balle

.

• M

atch

s à

6 co

ntre

6 (

5 jo

ueur

s de

cha

mp

et u

n ga

rdie

n),

sur

un t

erra

in d

e fo

otba

ll à

7, o

ppos

ant

des

équi

pes

dont

le

rapp

ort d

e fo

rce

est é

quili

bré

(1).

• C

haqu

e éq

uipe

dis

pute

plu

sieu

rs re

ncon

tres

de 8

min

utes

, don

t au

moi

ns d

eux

renc

ontre

s co

ntre

la m

ême

équi

pe. E

ntre

ce

s de

ux r

enco

ntre

s op

posa

nt le

s m

êmes

équ

ipes

, un

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ps d

e co

ncer

tatio

n se

ra p

révu

, de

man

ière

à p

erm

ettre

aux

jo

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s d’

une

mêm

e éq

uipe

d’a

just

er le

urs

orga

nisa

tions

col

lect

ives

en

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tion

du je

u ad

vers

e •

Les

règl

es e

ssen

tielle

s so

nt c

elle

s du

foo

tbal

l à

7. L

’eng

agem

ent

est

réal

isé

par

le g

ardi

en d

epui

s sa

sur

face

. Le

s re

mis

es e

n je

u s’

effe

ctue

nt a

u pi

ed.

(1) C

omm

enta

ires

: Le

prin

cipe

d’é

quili

bre

du ra

ppor

t de

forc

e : l

es é

quip

es q

ui s

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ncon

trent

doi

vent

être

hom

ogèn

es e

ntre

elle

s et

en

leur

sei

n (é

quip

es d

e ni

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). C

’est

à c

ette

con

ditio

n qu

e pe

uven

t être

révé

lées

les

com

péte

nces

atte

ndue

s. D

ans

certa

ins

cas

parti

culie

rs

(con

text

es s

péci

fique

s d’

étab

lisse

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t et e

ffect

ifs),

ce p

rinci

pe p

eut ê

tre m

is e

n œ

uvre

de

man

ière

diff

éren

te :

cons

titut

ion

d’éq

uipe

s de

mêm

e ni

veau

mai

s hé

téro

gène

s en

leur

sei

n, à

con

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n qu

e le

s in

divi

dual

ités

puis

sent

se

neut

ralis

er.

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

20

/ 33

GYM

NA

STIQ

UE

AU

SO

L

C

AP

BEP

CO

MPÉ

TEN

CE

ATT

END

UE

PRIN

CIP

ES D

’ÉLA

BO

RA

TIO

N D

E L’

ÉPR

EUVE

NIV

EAU

3

Com

pose

r deu

x sé

quen

ces

diffé

rent

es c

onst

ituée

s ch

acun

e de

3 é

lém

ents

enc

haîn

és (3

fam

illes

gym

niqu

es d

istin

ctes

do

nt u

n re

nver

sem

ent),

pou

r les

réal

iser

ave

c m

aîtri

se e

t flu

idité

dev

ant u

n gr

oupe

d'é

lève

s. J

uger

con

sist

e à

iden

tifie

r le

s él

émen

ts e

t à a

ppré

cier

la fl

uidi

té d

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aque

séq

uenc

e.

Réa

lisat

ion

libre

pré

sent

ée s

ur u

ne fi

che

type

qui

com

porte

son

scé

nario

: nom

bre

d'él

émen

ts e

t fig

urin

es, v

arié

té d

es fa

mill

es,

chro

nolo

gie

et n

ivea

u de

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icul

tés.

D

es e

xige

nces

: le

s él

émen

ts p

rovi

enne

nt d

'au

moi

ns 3

fam

illes

gym

niqu

es d

iffér

ente

s do

nt u

n re

nver

sem

ent

Des

con

train

tes

d'es

pace

: l'e

ncha

înem

ent e

st ré

alis

é su

r un

chem

in d

e ta

pis

de 1

2mx2

m (a

u m

oins

2 lo

ngue

urs)

U

n pa

ssag

e de

vant

un

publ

ic e

t une

app

réci

atio

n po

rté p

ar d

es ju

ges

La c

otat

ion

des

diffi

culté

s es

t réf

érée

au

code

sco

laire

A:0

,20

B

:0,4

0

C:0

,60

D

:0,8

E

:1

G

YMN

AST

IQU

E A

U S

OL

B

AC

CA

LAU

RÉA

T PR

OFE

SSIO

NN

EL

C

OM

PÉTE

NC

E A

TTEN

DU

EPR

INC

IPES

D’É

LAB

OR

ATI

ON

DE

L’ÉP

REU

VE N

IVEA

U 4

C

ompo

ser u

n en

chaî

nem

ent d

e 6

élém

ents

min

imum

(de

4 fa

mill

es g

ymni

ques

dis

tinct

es d

ont u

n re

nver

sem

ent e

t une

ro

tatio

n ar

rière

, de

2 ni

veau

x de

diff

icul

té) p

our l

e ré

alis

er

avec

maî

trise

et f

luid

ité d

evan

t un

grou

pe d

'élè

ves,

en

utili

sant

des

dire

ctio

ns e

t des

orie

ntat

ions

var

iées

. Jug

er

cons

iste

à id

entif

ier l

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de

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des

élé

men

ts

prés

enté

s et

à a

ppré

cier

la c

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ctio

n de

leur

réal

isat

ion.

Réa

lisat

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libre

pré

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ée s

ur u

ne fi

che

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qui

com

porte

son

scé

nario

: nom

bre

d'él

émen

ts e

t fig

urin

es, v

arié

té d

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es,

chro

nolo

gie

et n

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u de

diff

icul

tés.

D

es e

xige

nces

: les

élé

men

ts p

rovi

enne

nt d

e 4

fam

illes

dis

tinct

es d

ont u

n re

nver

sem

ent e

t une

rota

tion

arriè

re d

e 2

nive

aux

de

diffi

culté

D

es c

ontra

inte

s de

tem

ps: e

ntre

30"

et 1

'

Des

con

train

tes

d'es

pace

: l'e

ncha

înem

ent e

st ré

alis

é su

r un

prat

icab

le (a

u m

oins

2 lo

ngue

urs

dont

une

dia

gona

le)

Un

pass

age

deva

nt u

n pu

blic

et u

ne a

ppré

ciat

ion

porté

e pa

r des

juge

s

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

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.edu

catio

n.go

uv.fr

21

/ 33

HA

ND

BA

LL

CA

P B

EP

C

OM

PÉTE

NC

E A

TTEN

DU

EPR

INC

IPES

D’É

LAB

OR

ATI

ON

DE

L’ÉP

REU

VE N

IVEA

U 3

: P

our

gagn

er l

e m

atch

, m

ettre

en

œuv

re u

ne o

rgan

isat

ion

offe

nsiv

e qu

i ut

ilise

opp

ortu

ném

ent

la c

ontre

-atta

que

face

à

une

défe

nse

qui c

herc

he à

récu

pére

r la

balle

au

plus

tôt d

ans

le re

spec

t des

règl

es.

• M

atch

à 6

con

tre 6

(5

joue

urs

de c

ham

p et

un

gard

ien)

sur

un

terr

ain

régl

emen

taire

, opp

osan

t des

équ

ipes

don

t le

rapp

ort d

e fo

rce

est é

quili

bré

à pr

iori

(1).

• C

haqu

e éq

uipe

dis

pute

plu

sieu

rs r

enco

ntre

s de

8 m

inut

es m

inim

um,

dont

au

moi

ns d

eux

renc

ontre

s co

ntre

la m

ême

équi

pe. A

u co

urs

des

phas

es d

e je

u, d

es te

mps

de

conc

erta

tion

sont

pré

vus,

de

man

ière

à p

erm

ettre

aux

joue

urs

d’un

e m

ême

équi

pe d

’aju

ster

leur

s or

gani

satio

ns c

olle

ctiv

es, e

n fo

nctio

n du

jeu

adve

rse.

Les

règl

es e

ssen

tielle

s so

nt c

elle

s du

han

dbal

l, m

ais

l’eng

agem

ent e

st ré

alis

é pa

r le

gard

ien

depu

is s

a su

rface

.

(1) C

omm

enta

ires

: Le

prin

cipe

d’é

quili

bre

du r

appo

rt de

for

ce :

les

équi

pes

qui s

e re

ncon

trent

doi

vent

être

hom

ogèn

es e

ntre

elle

s et

en

leur

sei

n (é

quip

es d

e ni

veau

). C

’est

à c

ette

con

ditio

n qu

e pe

uven

t être

rév

élée

s le

s co

mpé

tenc

es a

ttend

ues.

Dan

s ce

rtain

s ca

s pa

rticu

liers

(c

onte

xtes

spé

cifiq

ues

d’ét

ablis

sem

ent

et e

ffect

ifs),

ce p

rinci

pe p

eut

être

mis

en

œuv

re d

e m

aniè

re d

iffér

ente

: co

nstit

utio

n d’

équi

pes

de m

ême

nive

au m

ais

hété

rogè

nes

en le

ur s

ein,

à c

ondi

tion

que

les

indi

vidu

alité

s pu

isse

nt s

e ne

utra

liser

.

H

AN

DB

ALL

BA

CC

ALA

UR

ÉAT

PRO

FESS

ION

NEL

C

OM

PÉTE

NC

E A

TTEN

DU

EPR

INC

IPES

D’É

LAB

OR

ATI

ON

DE

L’ÉP

REU

VE N

IVEA

U 4

: P

our

gagn

er l

e m

atch

, m

ettre

en

œuv

re u

ne o

rgan

isat

ion

offe

nsiv

e ca

pabl

e de

fai

re é

volu

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rap

port

de f

orce

en

sa

fave

ur p

ar u

ne o

ccup

atio

n pe

rman

ente

de

l’esp

ace

de j

eu

(éca

rtem

ent e

t éta

gem

ent),

face

à u

ne d

éfen

se q

ui s

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plie

co

llect

ivem

ent p

our d

éfen

dre

sa c

ible

ou

récu

pére

r la

balle

.

• M

atch

s à

6 co

ntre

6

(5 jo

ueur

s de

cha

mp

et u

n ga

rdie

n),

sur

un t

erra

in r

égle

men

taire

, op

posa

nt d

es é

quip

es d

ont

le

rapp

ort d

e fo

rce

est é

quili

bré

(1).

• C

haqu

e éq

uipe

dis

pute

plu

sieu

rs re

ncon

tres

de 8

min

utes

, don

t au

moi

ns d

eux

renc

ontre

s co

ntre

la m

ême

équi

pe. E

ntre

ce

s de

ux r

enco

ntre

s op

posa

nt le

s m

êmes

équ

ipes

, un

tem

ps d

e co

ncer

tatio

n se

ra p

révu

, de

man

ière

à p

erm

ettre

aux

jo

ueur

s d’

une

mêm

e éq

uipe

d’a

just

er le

urs

orga

nisa

tions

col

lect

ives

en

fonc

tion

du je

u ad

vers

e.

• Le

s rè

gles

ess

entie

lles

sont

cel

les

du h

andb

all.

L’en

gage

men

t se

réal

ise

au c

entre

du

terr

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et p

eut-ê

tre ra

pide

.

(1) C

omm

enta

ires

: Le

prin

cipe

d’é

quili

bre

du ra

ppor

t de

forc

e : l

es é

quip

es q

ui s

e re

ncon

trent

doi

vent

être

hom

ogèn

es e

ntre

elle

s et

en

leur

sei

n (é

quip

es d

e ni

veau

). C

’est

à c

ette

con

ditio

n qu

e pe

uven

t être

révé

lées

les

com

péte

nces

atte

ndue

s. D

ans

certa

ins

cas

parti

culie

rs

(con

text

es s

péci

fique

s d’

étab

lisse

men

t et e

ffect

ifs),

ce p

rinci

pe p

eut ê

tre m

is e

n œ

uvre

de

man

ière

diff

éren

te :

cons

titut

ion

d’éq

uipe

s de

mêm

e ni

veau

mai

s hé

téro

gène

s en

leur

sei

n, à

con

ditio

n qu

e le

s in

divi

dual

ités

puis

sent

se

neut

ralis

er.

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

22

/ 33

JUD

O C

AP

BEP

CO

MPÉ

TEN

CE

ATT

END

UE

PRIN

CIP

ES D

’ÉLA

BO

RA

TIO

N D

E L’

ÉPR

EUVE

Niv

eau

3 :

inté

grer

les

prin

cipe

s d’

affro

ntem

ent e

n pr

éser

vant

son

in

tégr

ité p

hysi

que

et c

elle

d’a

utru

i, pa

r l’a

cqui

sitio

n de

te

chni

ques

spé

cifiq

ues

et e

n ac

cept

ant d

’ent

rer d

ans

une

logi

que

d’af

front

emen

t cod

ifié.

• 3

rand

ori d

e 3

min

utes

, réc

upér

atio

n de

6 à

10

min

utes

ent

re d

eux

rand

ori.

• U

n él

ève

arbi

tre e

st c

harg

é de

faire

resp

ecte

r le

s rè

gles

de

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rité

et d

’ann

once

r les

ava

ntag

es m

arqu

és

(d

ebou

t et

au s

ol)

• É

thiq

ue e

t ritu

el d

éfin

is

• Le

ippo

n n’

arrê

te p

as le

com

bat

JU

DO

BA

CC

ALA

UR

ÉAT

PRO

FESS

ION

NEL

CO

MPÉ

TEN

CE

ATT

END

UE

PRIN

CIP

ES D

’ÉLA

BO

RA

TIO

N D

E L’

ÉPR

EUVE

Niv

eau

4 :

Com

bine

r des

tech

niqu

es d

’atta

que

et d

e dé

fens

e po

ur

affro

nter

et d

omin

er u

n ad

vers

aire

en

met

tant

en

œuv

re u

n pr

ojet

stra

tégi

que

dans

une

situ

atio

n de

rand

ori.

• 3

rand

ori d

e 3

min

utes

, réc

upér

atio

n de

6 à

10

min

utes

ent

re d

eux

rand

ori.

• U

n él

ève

arbi

tre e

st c

harg

é de

faire

resp

ecte

r le

s rè

gles

de

sécu

rité

et d

’ann

once

r les

ava

ntag

es m

arqu

és

(d

ebou

t et

au s

ol)

• É

thiq

ue e

t ritu

el d

éfin

is

• Le

ippo

n n’

arrê

te p

as le

com

bat

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

23

/ 33

LAN

CER

DU

JA

VELO

T

CA

P B

EP

C

OM

PÉTE

NC

E A

TTEN

DU

EPR

INC

IPES

D’É

LAB

OR

ATI

ON

DE

L’ÉP

REU

VE

NIV

EAU

3

Pou

r pro

duire

la m

eille

ure

perfo

rman

ce, s

e pr

épar

er à

l'ef

fort,

rer

la s

écur

ité e

t ré

alis

er u

n la

ncer

équ

ilibr

é en

util

isan

t l’é

lan

et le

che

min

de

lanc

emen

t effi

cace

grâ

ce à

la p

hase

de

doub

le a

ppui

.

Cha

que

cand

idat

dis

pose

de

6 es

sais

au

max

imum

ave

c él

an

Les

deux

mei

lleur

s es

sais

son

t ret

enus

pou

r la

nota

tion.

Leu

r moy

enne

éta

blit

la p

erfo

rman

ce s

uppo

rt de

not

atio

n.

L1 e

t L2

= le

s 2

mei

lleur

s la

ncer

s.

Cha

que

élèv

e es

t not

é po

ur 7

5% s

ur la

moy

enne

de

L1 e

t L2

L’éc

hauf

fem

ent

(com

péte

nce

mét

hodo

logi

que

: s’

enga

ger

luci

dem

ent

dans

la p

ratiq

ue)

et la

ges

tion

de la

séc

urité

(co

mpé

tenc

e m

étho

dolo

giqu

e : r

espe

cter

les

règl

es d

e vi

e co

llect

ive

et a

ssum

er le

s di

ffére

nts

rôle

s lié

s à

l’act

ivité

) com

pten

t pou

r 25%

. P

oids

des

eng

ins

: 600

g p

our l

es fi

lles,

700

g p

our l

es g

arço

ns.

Cas

d’e

ssai

nul

: rè

glem

ent o

ffici

el.

LA

NC

ER D

U J

AVE

LOT

B

AC

CA

LAU

RÉA

T PR

OFE

SSIO

NN

EL

CO

MPÉ

TEN

CE

ATT

END

UE

PRIN

CIP

ES D

’ÉLA

BO

RA

TIO

N D

E L’

ÉPR

EUVE

NIV

EAU

4

Pou

r pr

odui

re la

mei

lleur

e pe

rform

ance

en

un n

ombr

e lim

ité

de

tent

ativ

es,

accr

oître

la

vi

tess

e d’

envo

l de

l’e

ngin

en

re

cher

chan

t lor

s de

la p

hase

de

doub

le a

ppui

l’ef

ficac

ité d

e la

ch

aîne

d’im

puls

ion

au m

oyen

des

pris

es d

’ava

nce

et d

e la

co

ordi

natio

n de

s ac

tions

pro

puls

ives

.

Cha

que

cand

idat

dis

pose

de

6 es

sais

au

max

imum

ave

c él

an (5

app

uis

min

imum

) A

près

son

éch

auffe

men

t et a

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le d

ébut

du

conc

ours

le c

andi

dat i

ndiq

ue a

ux é

valu

ateu

rs s

a pr

évis

ion

conc

erna

nt la

moy

enne

de

ses

3 m

eille

urs

essa

is

Il es

t not

é po

ur 4

0% la

per

form

ance

réal

isée

par

son

mei

lleur

lanc

er

Pou

r 40%

sur

la p

erfo

rman

ce m

oyen

ne d

es 3

mei

lleur

s la

ncer

s.

Pou

r 20%

sur

la ju

stes

se d

e sa

pré

visi

on

Poi

ds d

es e

ngin

s : 6

00 g

pou

r les

fille

s, 7

00 g

pou

r les

gar

çons

. C

as d

’ess

ai n

ul :

règl

emen

t offi

ciel

.

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

24

/ 33

MU

SCU

LATI

ON

CA

P B

EP

C

OM

PÉTE

NC

E A

TTEN

DU

EPR

INC

IPES

D’É

LAB

OR

ATI

ON

DE

L’ÉP

REU

VE N

ivea

u 3:

M

obili

ser d

es s

egm

ents

cor

pore

ls e

n ré

fére

nce

à un

e ch

arge

pe

rson

nalis

ée p

our i

dent

ifier

des

effe

ts a

ttend

us, d

ans

le

resp

ect d

e so

n in

tégr

ité p

hysi

que.

Le c

andi

dat d

oit p

rése

nter

, réa

liser

et a

naly

ser l

a sé

ance

d’e

ntra

înem

ent s

oum

ise

à év

alua

tion.

L’

épre

uve

se c

ompo

se d

e de

ux p

rest

atio

ns :

-

la p

rése

ntat

ion

d’un

pro

jet d

e sé

ance

de

mus

cula

tion

que

le c

andi

dat c

onço

it po

ur lu

i, af

in d

e se

sou

met

tre à

une

cha

rge

en ré

fére

nce

à se

s re

ssou

rces

. Le

choi

x de

s gr

oupe

s m

uscu

laire

s pa

r l’é

lève

s’é

tabl

it en

fonc

tion

d’un

mot

if d’

agir

pers

onne

l. -

la ré

alis

atio

n de

cet

te s

éanc

e.

Le p

roje

t per

sonn

el d

e m

uscu

latio

n po

rtera

sur

4 e

xerc

ices

sol

licita

nt 4

gro

upes

mus

cula

ires

( 3 g

roup

es s

ont c

hois

is p

ar l’

élèv

e et

1c

once

rne

oblig

atoi

rem

ent l

e gr

oupe

mus

cula

ire d

es a

bdom

inau

x).

M

USC

ULA

TIO

N

B

AC

CA

LAU

RÉA

T PR

OFE

SSIO

NN

EL

C

OM

PÉTE

NC

E A

TTEN

DU

EPR

INC

IPES

D’É

LAB

OR

ATI

ON

DE

L’ÉP

REU

VE

NIV

EAU

4 :

Pré

voir

et ré

alis

er d

es s

éque

nces

de

mus

cula

tion,

en

utili

sant

di

ffére

nts

para

mèt

res

(dur

ée, i

nten

sité

, tem

ps d

e ré

cupé

ratio

n, ré

pétit

ion…

), po

ur p

rodu

ire s

ur s

oi d

es e

ffets

di

fféré

s lié

s à

un m

obile

per

sonn

el

Le c

andi

dat d

oit c

hois

ir un

obj

ectif

par

mi l

es tr

ois

qui l

ui s

ont p

ropo

sés,

cel

ui q

ui c

orre

spon

d le

mie

ux a

ux e

ffets

qu’

il so

uhai

te à

te

rme

obte

nir s

ur s

on o

rgan

ism

e (m

obile

per

sonn

el é

labo

ré d

ans

un c

onte

xte

de v

ie s

ingu

lier)

:

- Obj

ectif

1 -

Acc

ompa

gner

un

proj

et s

porti

f (r

eche

rche

d’u

n ga

in d

e pu

issa

nce

mus

cula

ire).

- Obj

ectif

2 -

Con

duire

un

déve

lopp

emen

t phy

siqu

e en

rela

tion

avec

des

obj

ectif

s de

« fo

rme

», d

e pr

éven

tion

des

acci

dent

s (r

eche

rche

d’u

n ga

in d

e to

nific

atio

n, d

e ra

fferm

isse

men

t mus

cula

ire e

t/ou

d’ai

de à

l’af

finem

ent d

e la

silh

ouet

te).

- Obj

ectif

3 -

Sol

licite

r la

mus

cula

ture

pou

r la

déve

lopp

er e

n fo

nctio

n d’

obje

ctifs

est

hétiq

ues

pers

onna

lisés

(rec

herc

he d

’un

gain

de

du v

olum

e m

uscu

laire

). S

ur le

s po

stes

de

mus

cula

tion

disp

onib

les,

le c

andi

dat c

hois

i 2 g

roup

es m

uscu

laire

s (o

u pa

rties

du

corp

s) q

u’il

souh

aite

mob

ilise

r en

fonc

tion

de l’

obje

ctif

qu’il

s’e

st c

hois

i : m

olle

ts, c

uiss

es, f

esse

s, é

paul

es, d

os p

artie

hau

te, d

os p

artie

bas

se, t

orse

face

an

térie

ure,

bra

s, a

bdom

en…

; Il

doit

prés

ente

r des

exe

rcic

es d

e m

uscu

latio

n po

ur c

es 2

gro

upes

mus

cula

ires

choi

sis.

P

uis

un ti

rage

au

sort

d’un

exe

rcic

e m

uscu

laire

dan

s ch

acun

e de

s de

ux c

atég

orie

s (tr

onc

et m

embr

es) o

blig

e le

can

dida

t à le

s ré

alis

er e

n te

nant

com

pte

de l’

obje

ctif

qu’il

s’e

st c

hois

i. P

our r

épon

dre

à l’e

nsem

ble

de c

es e

xige

nces

, le

cand

idat

met

en

œuv

re u

ne s

éque

nce

de 4

0 m

inut

es q

ui d

oit ê

tre c

onsi

déré

e co

mm

e un

e pa

rtie

d’un

e sé

ance

de

mus

cula

tion.

Cet

te s

éque

nce

com

pren

d un

éch

auffe

men

t, un

e or

gani

satio

n en

plu

sieu

rs p

oste

s de

trav

ail,

des

récu

péra

tions

. Le

s ob

ject

ifs é

tant

diff

éren

ts, l

es é

lève

s en

gro

upes

de

deux

ou

trois

peu

vent

se

stru

ctur

er e

n fo

nctio

n de

s be

soin

s (m

atér

iel,

pare

ur,…

). C

haqu

e ca

ndid

at c

hois

i un

obje

ctif

de m

uscu

latio

n et

tran

scrit

sur

une

fich

e le

s él

émen

ts s

uiva

nts

: (m

obile

per

sonn

el,

mat

érie

l util

isé,

mus

cles

sol

licité

s, s

érie

s, ré

pétit

ions

, réc

upér

atio

ns p

révu

es, j

ustif

icat

ions

). A

u co

urs

de la

séq

uenc

e, l'

élèv

e re

lève

ra le

trav

ail e

ffect

ivem

ent r

éalis

é, e

t par

ora

l ou

par é

crit,

il id

entif

iera

les

sens

atio

ns p

erçu

es, e

t pro

pose

ra e

n fin

de

séqu

ence

un

bila

n de

cel

le c

i et u

ne m

ise

en p

ersp

ectiv

e po

ur u

ne s

éque

nce

d'en

traîn

emen

t fut

ure.

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

25

/ 33

NA

TATI

ON

DE

VITE

SSE

C

AP

BEP

CO

MPÉ

TEN

CE

ATT

END

UE

PRIN

CIP

ES D

’ÉLA

BO

RA

TIO

N D

E L’

ÉPR

EUVE

NIV

EAU

3

Se

prép

arer

et n

ager

vite

en

priv

ilégi

ant l

e cr

awl,

en a

dopt

ant

une

expi

ratio

n aq

uatiq

ue.

Epr

euve

chr

onom

étré

e de

100

m N

age

Libr

e.

La n

age

craw

lée*

est

val

oris

ée, d

’aut

ant p

lus

en s

econ

de p

artie

du

parc

ours

. Le

can

dida

t ann

once

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pro

jet d

e pa

rcou

rs e

n sp

écifi

ant l

es m

odes

de

nage

aux

quel

s il

reco

urra

pou

r cha

que

fract

ion

de 2

5m.

(cra

wl,

bras

se, d

os).

Au

term

e du

par

cour

s, le

can

dida

t ann

once

le te

mps

qu’

il es

time

avoi

r réa

lisé

en in

diqu

ant u

n in

terv

alle

de

tem

ps d

e 5

seco

ndes

. Exe

mpl

e : e

ntre

1’4

0’’ e

t 1’4

5’’.

*

la n

age

est r

econ

nue

« cr

awlé

e »

si le

s ac

tions

des

bra

s so

nt a

ltern

ées

avec

reto

ur a

érie

n, e

t si l

es a

ctio

ns d

e ja

mbe

s so

nt

alte

rnée

s de

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bat

tem

ents

.

N

ATA

TIO

N D

E VI

TESS

E

BA

CC

ALA

UR

ÉAT

PRO

FESS

ION

NEL

C

OM

PÉTE

NC

E A

TTEN

DU

EPR

INC

IPES

D’É

LAB

OR

ATI

ON

DE

L’ÉP

REU

VE

NIV

EAU

4 :

Se

prép

arer

et n

ager

vite

en

ench

aîna

nt p

lusi

eurs

mod

es d

e na

ge, d

orsa

l, ve

ntra

l, al

tern

é et

sim

ulta

né, e

t réc

upér

er d

ans

l’eau

.

Le c

andi

dat n

age

une

série

de

trois

50m

chr

onom

étré

s, e

ntre

coup

és d

’env

iron

10m

n de

récu

péra

tion

au c

ours

des

quel

les

le

cand

idat

peu

t cho

isir

de re

ster

dan

s l’e

au.

Un

prem

ier 5

0m «

2 n

ages

» c

hois

ies

parm

i le

craw

l, la

bra

sse,

le d

os, o

u le

pap

illon

. U

n se

cond

50m

« 2

nag

es »

don

t au

moi

ns u

ne e

st d

iffér

ente

des

deu

x re

tenu

es p

our l

e 1er

50m

. U

n tro

isiè

me

50m

« n

age

libre

».

A l’

arriv

ée d

e ch

aque

50m

chr

onom

étré

, le

cand

idat

ann

once

le te

mps

qu’

il es

time

avoi

r réa

lisé

en in

diqu

ant u

n in

terv

alle

de

tem

ps

de 3

sec

onde

s. E

xem

ple

: ent

re 5

0 et

53

seco

ndes

. P

our l

e pr

emie

r et l

e se

cond

50m

, la

pres

tatio

n es

t con

sidé

rée

com

me

régl

emen

taire

si l

es n

ages

cho

isie

s so

nt e

ffect

uées

com

me

suit,

par

frac

tion

de 2

5m.

Cra

wl :

act

ion

alte

rnée

et r

etou

r aér

ien

des

bras

ver

s l’a

vant

, act

ion

alte

rnée

des

jam

bes

de ty

pe «

bat

tem

ents

».

Bra

sse

: act

ion

sim

ulta

née

et re

tour

aqu

atiq

ue d

es b

ras

vers

l’av

ant,

actio

n si

mul

tané

e de

s ja

mbe

s de

type

« c

isea

ux »

. D

os :

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n de

s br

as e

t des

jam

bes

en p

ositi

on d

orsa

le.

Pap

illon

: ac

tion

sim

ulta

née

et re

tour

aér

ien

des

bras

ver

s l’a

vant

, act

ion

sim

ulta

née

des

jam

bes.

P

our l

e tro

isiè

me

50m

, réa

lisé

en «

nag

e lib

re »

, le

cand

idat

est

néa

nmoi

ns c

ontra

int d

e se

dép

lace

r en

surfa

ce, à

l’ex

cept

ion

des

ph

ases

de

coul

ée, c

onsé

cutiv

es a

u dé

part

et a

u vi

rage

.

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

26

/ 33

NA

TATI

ON

SA

UVE

TAG

E

CA

P B

EP

C

OM

PÉTE

NC

E A

TTEN

DU

EPR

INC

IPES

D’É

LAB

OR

ATI

ON

DE

L’ÉP

REU

VE N

ivea

u 3

: E

n ch

oisi

ssan

t so

n m

ode

de n

age,

se

dépl

acer

sur

une

di

stan

ce

long

ue

en

un

tem

ps

impa

rti,

exig

eant

le

fra

nchi

ssem

ent

en

imm

ersi

on

d’ob

stac

les

disp

osés

en

su

rface

, et l

a re

mon

tée

d’un

obj

et im

mer

Épr

euve

com

porta

nt d

eux

parti

es e

ncha

înée

s.

Un

parc

ours

de

200m

com

porta

nt 8

obs

tacl

es à

fra

nchi

r en

imm

ersi

on. C

ette

dis

tanc

e do

it êt

re n

agée

en

moi

ns d

e 5

mn2

0 po

ur

les

cand

idat

s et

en

moi

ns d

e 5

mn4

0 po

ur le

s ca

ndid

ates

. Le

par

cour

s de

200

mèt

res

est c

onst

itué

par l

e ju

ry q

ui d

ispo

se le

s 8

obst

acle

s ré

guliè

rem

ent s

ur le

par

cour

s. U

n in

terv

alle

d'

envi

ron

25m

sép

are

les

obst

acle

s qu

i son

t orie

ntés

ver

tical

emen

t par

rapp

ort à

la s

urfa

ce a

fin d

’impo

ser u

ne im

mer

sion

d’e

nviro

n 1

m d

e pr

ofon

deur

, ou

horiz

onta

lem

ent i

mpo

sant

un

dépl

acem

ent s

ubaq

uatiq

ue d

’au

moi

ns 2

m.

Les

mod

alité

s de

fran

chis

sem

ent s

ont l

ibre

s. L

e no

mbr

e de

tent

ativ

es d

e fra

nchi

ssem

ent n

'est

pas

lim

ité. P

asse

r les

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tacl

es s

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les

heur

ter e

st v

alor

isé.

A

u te

rme

du p

arco

urs

d’ob

stac

les

et d

ans

son

prol

onge

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t, le

can

dida

t nag

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rs u

ne z

one

indi

quée

, dis

tant

e d'

une

ving

tain

e de

m

ètre

s, p

our r

emon

ter e

n su

rface

en

moi

ns d

e 30

s (g

arço

ns),

de 3

5 s

(fille

s), u

n m

anne

quin

qui

s'y

trou

ve im

mer

gé à

env

iron

2 m

de

pro

fond

eur.

C

e pa

rcou

rs e

st c

hron

omét

ré, j

usqu

'au

mom

ent o

ù le

s vo

ies

resp

irato

ires

du m

anne

quin

son

t ém

ergé

es.

Le

cand

idat

com

mun

ique

ava

nt le

déb

ut d

e l’é

preu

ve a

u ju

ry le

nom

bre

de p

oint

s qu

i lui

ser

ont a

ttrib

ués

pour

cha

cun

des

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ents

év

alué

s, a

u co

urs

des

deux

par

ties

de l'

épre

uve.

N

ATA

TIO

N S

AU

VETA

GE

B

AC

CA

LAU

RÉA

T PR

OFE

SSIO

NN

EL

C

OM

PÉTE

NC

E A

TTEN

DU

EPR

INC

IPES

D’É

LAB

OR

ATI

ON

DE

L’ÉP

REU

VE N

IVEA

U 4

E

n ch

oisi

ssan

t son

mod

e de

nag

e, s

e dé

plac

er v

ite s

ur u

ne

dist

ance

long

ue to

ut e

n fra

nchi

ssan

t en

imm

ersi

on u

ne s

érie

d’

obst

acle

s va

riés

disp

osés

régu

lière

men

t sur

un

parc

ours

ch

oisi

, pui

s re

mor

quer

en

surfa

ce u

n ob

jet p

réal

able

men

t im

mer

gé, s

ur u

n al

ler-

reto

ur d

ont l

a di

stan

ce e

st d

éter

min

ée

par l

e na

geur

Épr

euve

com

porta

nt u

n pa

rcou

rs d

e fra

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ssem

ent d

’obs

tacl

es c

hron

omét

ré d

’une

dis

tanc

e de

200

m, p

rolo

ngé

sans

inte

rrupt

ion

par l

e re

mor

quag

e d'

un m

anne

quin

sur

une

dis

tanc

e de

10

à 40

m c

hois

ie p

ar le

can

dida

t. Le

par

cour

s de

200

mèt

res

est c

onst

itué

par l

e ju

ry e

n di

spos

ant a

u m

oins

8 o

bsta

cles

à fr

anch

ir. C

es o

bsta

cles

son

t orie

ntés

ve

rtica

lem

ent p

ar ra

ppor

t à la

sur

face

afin

d’im

pose

r une

imm

ersi

on d

’env

iron

1m d

e pr

ofon

deur

, ou

horiz

onta

lem

ent i

mpo

sant

un

dépl

acem

ent s

ubaq

uatiq

ue d

’au

moi

ns 2

m. L

es m

odal

ités

de fr

anch

isse

men

t son

t lib

res.

Tou

t con

tact

ave

c un

obs

tacl

e es

t pé

nalis

é. L

e no

mbr

e de

tent

ativ

es d

e fra

nchi

ssem

ent e

st li

mité

à 1

0 su

r l’e

nsem

ble

du p

arco

urs.

A

u te

rme

du p

arco

urs

d’ob

stac

les,

et s

ans

arrê

t, l’é

lève

rem

onte

en

surfa

ce le

man

nequ

in c

hois

i im

mer

gé à

env

iron

2m d

e pr

ofon

deur

, et l

e re

mor

que

sur u

ne d

ista

nce

choi

sie,

sou

s fo

rme

d’al

ler r

etou

r en

tem

ps li

mité

(1 m

inut

e m

axim

um).

Pou

r cha

que

pass

age,

deu

x m

anne

quin

s au

moi

ns s

ont i

mm

ergé

s; le

can

dida

t ide

ntifi

e ce

lui c

hois

i dan

s so

n pr

ojet

. Le

can

dida

t com

mun

ique

ava

nt le

déb

ut d

e l’é

preu

ve s

on p

roje

t per

sonn

el d

e pa

rcou

rs :

perfo

rman

ce c

hron

omét

rée,

nom

bre

d’ob

stac

les

franc

his,

type

de

man

nequ

in re

mor

qué

(enf

ant o

u ad

ulte

).

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

27

/ 33

RU

GB

Y

CA

P B

EP

C

OM

PÉTE

NC

E A

TTEN

DU

EPR

INC

IPES

D’É

LAB

OR

ATI

ON

DE

L’ÉP

REU

VE N

IVEA

U 3

: P

our

gagn

er l

e m

atch

, m

ettre

en

œuv

re u

ne o

rgan

isat

ion

offe

nsiv

e ca

pabl

e de

cré

er e

t d’

expl

oite

r le

dés

équi

libre

en

perfo

rant

et/o

u co

ntou

rnan

t la

défe

nse

qui c

herc

he à

blo

quer

le

por

teur

de

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le p

lus

tôt p

ossi

ble.

S’a

ppro

prie

r les

règl

es

liées

au

cont

act c

orpo

rel.

• M

atch

à 7

con

tre 7

sur

un

terr

ain

de 5

0m x

40m

, opp

osan

t des

équ

ipes

don

t le

rapp

ort d

e fo

rce

est é

quili

bré

a pr

iori

(1).

• C

haqu

e éq

uipe

dis

pute

au

moi

ns 2

ren

cont

res

de 1

0 m

inut

es, d

ont a

u m

oins

deu

x re

ncon

tres

cont

re la

mêm

e éq

uipe

. E

ntre

les

ren

cont

res,

les

tem

ps d

e re

pos

sont

mis

à p

rofit

pou

r ré

ajus

ter

l’org

anis

atio

n co

llect

ive

en f

onct

ion

du j

eu

adve

rse.

Les

règl

es e

ssen

tielle

s so

nt c

elle

s du

rug

by à

7 s

cola

ire (

mêl

ée à

3 s

imul

ée, t

ouch

e à

2 sa

ns a

ide

au s

aute

ur, j

eu a

u pi

ein

dire

ct d

onc

tact

ique

sur

tout

le te

rrai

n).

(1) C

omm

enta

ires

: Le

prin

cipe

d’é

quili

bre

du r

appo

rt de

for

ce :

les

équi

pes

qui s

e re

ncon

trent

doi

vent

être

hom

ogèn

es e

ntre

elle

s et

en

leur

sei

n (é

quip

es d

e ni

veau

). C

’est

à c

ette

con

ditio

n qu

e pe

uven

t être

rév

élée

s le

s co

mpé

tenc

es a

ttend

ues.

Dan

s ce

rtain

s ca

s pa

rticu

liers

(c

onte

xtes

spé

cifiq

ues

d’ét

ablis

sem

ent

et e

ffect

ifs),

ce p

rinci

pe p

eut

être

mis

en

œuv

re d

e m

aniè

re d

iffér

ente

: co

nstit

utio

n d’

équi

pes

de m

ême

nive

au m

ais

hété

rogè

nes

en le

ur s

ein,

à c

ondi

tion

que

les

indi

vidu

alité

s pu

isse

nt s

e ne

utra

liser

.

R

UG

BY

B

AC

CA

LAU

RÉA

T PR

OFE

SSIO

NN

EL

CO

MPÉ

TEN

CE

ATT

END

UE

PRIN

CIP

ES D

’ÉLA

BO

RA

TIO

N D

E L’

ÉPR

EUVE

NIV

EAU

4 :

Pou

r ga

gner

le

mat

ch,

met

tre e

n œ

uvre

une

org

anis

atio

n of

fens

ive

capa

ble

de f

aire

évo

luer

le r

appo

rt de

for

ce e

n sa

fa

veur

en

alte

rnan

t opp

ortu

ném

ent j

eu g

roup

é et

jeu

dépl

oyé.

La

déf

ense

s’o

rgan

ise

en u

ne li

gne

disp

osée

sur

la la

rgeu

r et

cher

che

à co

nqué

rir le

bal

lon.

• M

atch

à 7

con

tre 7

sur

un

terr

ain

de 5

0m x

40m

, opp

osan

t des

équ

ipes

don

t le

rapp

ort d

e fo

rce

est é

quili

bré

a pr

iori

(1).

• C

haqu

e éq

uipe

dis

pute

plu

sieu

rs r

enco

ntre

s de

10

min

utes

, do

nt a

u m

oins

deu

x re

ncon

tres

cont

re l

a m

ême

équi

pe.

Ent

re le

s re

ncon

tres,

les

tem

ps d

e re

pos

son

t m

is à

pro

fit p

our

réaj

uste

r l’o

rgan

isat

ion

colle

ctiv

e en

fon

ctio

n du

jeu

adve

rse.

Les

règl

es e

ssen

tielle

s so

nt c

elle

s du

rugb

y à

7 sc

olai

re (m

êlée

à 3

sim

ulée

, tou

che

à 2

sans

aid

e au

sau

teur

, jeu

au

pied

in

dire

ct d

onc

tact

ique

sur

tout

le te

rrai

n).

(1) C

omm

enta

ires

: Le

prin

cipe

d’é

quili

bre

du r

appo

rt de

for

ce :

les

équi

pes

qui s

e re

ncon

trent

doi

vent

être

hom

ogèn

es e

ntre

elle

s et

en

leur

sei

n (é

quip

es d

e ni

veau

). C

’est

à c

ette

con

ditio

n qu

e pe

uven

t être

rév

élée

s le

s co

mpé

tenc

es a

ttend

ues.

Dan

s ce

rtain

s ca

s pa

rticu

liers

(c

onte

xtes

spé

cifiq

ues

d’ét

ablis

sem

ent

et e

ffect

ifs),

ce p

rinci

pe p

eut

être

mis

en

œuv

re d

e m

aniè

re d

iffér

ente

: co

nstit

utio

n d’

équi

pes

de m

ême

nive

au m

ais

hété

rogè

nes

en le

ur s

ein,

à c

ondi

tion

que

les

indi

vidu

alité

s pu

isse

nt s

e ne

utra

liser

.

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

28

/ 33

SAU

T D

E C

HEV

AL

C

AP

BEP

CO

MPÉ

TEN

CE

ATT

END

UE

PRIN

CIP

ES D

’ÉLA

BO

RA

TIO

N D

E L’

ÉPR

EUVE

NIV

EAU

3

Cho

isir

un s

aut p

ar re

dres

sem

ent,

le m

aîtri

ser p

our p

ouvo

ir le

alis

er e

n sé

curit

é 2

fois

con

sécu

tivem

ent à

niv

eau

iden

tique

, dan

s le

resp

ect d

'exi

genc

es te

chni

ques

(im

puls

ion

et p

rem

ier e

nvol

) et d

e la

dim

ensi

on e

sthé

tique

. Jug

er e

n ét

ant c

apab

le d

e re

pére

r la

qual

ité d

u pr

emie

r env

ol

(am

plitu

de e

t for

me

du c

orps

).

Pré

sent

atio

n d'

une

fiche

qui

com

porte

le s

aut c

hois

i (le

niv

eau

de d

iffic

ulté

est

indi

qué)

La

tabl

e de

sau

t ou

le c

heva

l son

t à u

ne h

aute

ur d

e 1,

10m

pou

r les

fille

s, 1

,20m

pou

r les

gar

çons

U

ne z

one

de ré

cept

ion

est t

racé

e à

1m d

e l'a

grès

3

zone

s so

nt tr

acée

s su

r l’a

grès

(si t

able

de

saut

ou

chev

al e

n lo

ng)

2 es

sais

con

sécu

tifs

U

ne 3

ème

cour

se e

st a

utor

isée

si l

'élè

ve n

'a p

as to

uché

le tr

empl

in o

u l'a

grès

, mêm

e si

le p

lan

du c

heva

l ou

de la

tabl

e a

été

dépa

ssé

Le

sau

t est

nul

si:

1-

app

ui d

'un

seul

pie

d ou

d'u

ne s

eule

mai

n (à

l'ap

pel e

t sur

l'ag

rès)

2-

le s

aut e

xécu

té n

'est

pas

répe

rtorié

3-

une

aid

e es

t app

orté

e pe

ndan

t le

saut

Le

mei

lleur

des

2 s

auts

ser

a re

tenu

pou

r la

note

fina

le

SA

UT

DE

CH

EVA

L

BA

CC

ALA

UR

ÉAT

PRO

FESS

ION

NEL

CO

MPÉ

TEN

CE

ATT

END

UE

PRIN

CIP

ES D

’ÉLA

BO

RA

TIO

N D

E L’

ÉPR

EUVE

NIV

EAU

4

Cho

isir

un s

aut p

ar re

nver

sem

ent,

le m

aîtri

ser p

our p

ouvo

ir le

alis

er e

n sé

curit

é 2

fois

con

sécu

tivem

ent à

niv

eau

iden

tique

, dan

s le

resp

ect d

'exi

genc

es te

chni

ques

(im

puls

ion,

pr

emie

r env

ol, t

enue

du

corp

s) e

t de

la d

imen

sion

est

hétiq

ue.

Juge

r en

étan

t cap

able

d'a

ppré

cier

la q

ualit

é du

sau

t (a

mpl

itude

du

prem

ier e

nvol

, for

me

du c

orps

, gai

nage

).

Pré

sent

atio

n d'

une

fiche

qui

com

porte

le s

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hois

i ( le

niv

eau

de d

iffic

ulté

est

indi

qué)

La

tabl

e de

sau

t ou

le c

heva

l son

t à u

ne h

aute

ur d

e 1,

10m

pou

r les

fille

s, 1

,20m

pou

r les

gar

çons

U

ne z

one

de ré

cept

ion

est t

racé

e à

1m d

e l'a

grès

2

essa

is c

onsé

cutif

s

Une

3èm

e co

urse

est

aut

oris

ée s

i l'é

lève

n'a

pas

touc

hé le

trem

plin

ou

l'agr

ès, m

ême

si le

pla

n du

che

val o

u de

la ta

ble

a ét

é dé

pass

é

Le s

aut e

st n

ul s

i:

1- l

e sa

ut e

xécu

té n

'est

pas

répe

rtorié

2

- une

aid

e es

t app

orté

e pe

ndan

t le

saut

Le

sau

t est

déc

lass

é si

la fo

rme

du c

orps

et l

a ha

uteu

r du

bass

in (a

u-de

ssus

des

épa

ules

) son

t tro

p él

oign

és d

es e

xige

nces

du

saut

ch

oisi

Le

mei

lleur

des

2 s

auts

ser

a re

tenu

pou

r la

note

fina

le

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

29

/ 33

SAU

T EN

PEN

TAB

ON

D

CA

P B

EP

C

OM

PÉTE

NC

E A

TTEN

DU

EPR

INC

IPES

D’É

LAB

OR

ATI

ON

DE

L’ÉP

REU

VE

NIV

EAU

3

Pou

r pro

duire

la m

eille

ure

perfo

rman

ce, s

e pr

épar

er à

l’ef

fort

et ré

alis

er u

ne s

uite

de

bond

s va

lides

(clo

che-

pied

sui

vi d

e qu

atre

foul

ées

bond

issa

ntes

) et s

écur

isés

en

utili

sant

des

ac

tions

pro

puls

ives

suc

cess

ives

Le p

enta

bond

est

un

ench

aîne

men

t de

5 bo

nds

aprè

s un

e co

urse

d’é

lan.

Le

prem

ier b

ond

est o

blig

atoi

rem

ent u

n cl

oche

-pie

d. C

inq

essa

is s

ont a

utor

isés

. La

moy

enne

des

2 m

eille

urs

saut

s (S

1 et

S2)

com

pte

pour

75%

de

la n

ote.

L’

écha

uffe

men

t (c

ompé

tenc

e m

étho

dolo

giqu

e :

s’en

gage

r lu

cide

men

t da

ns

la

prat

ique

) et

la

cupé

ratio

n (C

ompé

tenc

e M

étho

dolo

giqu

e : a

ppré

cier

les

effe

ts d

e l’a

ctiv

ité) c

ompt

ent p

our 2

5%.

Cas

de

nulli

té :

1) lo

rsqu

e le

1er

bon

d n’

est p

as u

n cl

oche

-pie

d

2) q

uand

le s

aute

ur p

rend

son

pre

mie

r app

el a

u-de

là d

e la

lim

ite d

’app

el e

t/ou

quan

d il

ne re

tom

be p

as d

ans

le s

able

à l’

inté

rieur

la

zone

de

réce

ptio

n (q

ui c

omm

ence

un

mèt

re a

u de

là d

u bo

rd d

u sa

utoi

r ou

débu

t du

sabl

e).

Mes

ure

des

saut

s : d

epui

s la

lim

ite d

’app

el c

hois

ie p

ar l’

élèv

e ju

squ’

à la

mar

que

dans

la z

one

de ré

cept

ion

auto

risée

. Plu

sieu

rs

« pl

anch

es »

(ou

dist

ance

s co

mpr

ises

ent

re la

lim

ite d

’app

el e

t la

zone

de

réce

ptio

n) s

ont a

mén

agée

s.

SA

UT

EN P

ENTA

BO

ND

B

AC

CA

LAU

RÉA

T PR

OFE

SSIO

NN

EL

C

OM

PÉTE

NC

E A

TTEN

DU

EPR

INC

IPES

D’É

LAB

OR

ATI

ON

DE

L’ÉP

REU

VE

NIV

EAU

4

Pou

r pr

odui

re la

mei

lleur

e pe

rform

ance

en

un n

ombr

e lim

ité

de te

ntat

ives

, acc

roîtr

e la

vite

sse

lors

de

la p

hase

d’a

ppel

en

rech

erch

ant

l’équ

ilibr

e de

s bo

nds

et

la

coor

dina

tion

des

actio

ns p

ropu

lsiv

es.

Le p

enta

bond

est

un

ench

aîne

men

t de

5 bo

nds

aprè

s un

e co

urse

d’é

lan.

Le

prem

ier b

ond

est o

blig

atoi

rem

ent u

n cl

oche

-pie

d.

Cha

que

cand

idat

(e) r

éalis

e 6

essa

is a

u m

axim

um.

Apr

ès s

on é

chau

ffem

ent e

t ava

nt le

déb

ut d

u co

ncou

rs le

can

dida

t ind

ique

aux

éva

luat

eurs

sa

prév

isio

n co

ncer

nant

la m

oyen

ne d

e se

s 3

mei

lleur

s es

sais

. Il

est n

oté

pour

40%

la p

erfo

rman

ce ré

alis

ée p

ar s

on m

eille

ur s

aut.

Pou

r 40%

sur

la p

erfo

rman

ce m

oyen

ne d

es 3

mei

lleur

s sa

uts.

P

our 2

0% s

ur la

just

esse

de

sa p

révi

sion

. M

esur

e de

s sa

uts

: dep

uis

la li

mite

d’a

ppel

cho

isie

par

l’él

ève

jusq

u’à

la m

arqu

e da

ns la

zon

e de

réce

ptio

n au

toris

ée. P

lusi

eurs

«

plan

ches

» (o

u di

stan

ces

com

pris

es e

ntre

la li

mite

d’a

ppel

et l

a zo

ne d

e ré

cept

ion)

son

t am

énag

ées.

C

as d

e nu

llité

:

lors

que

le 1

er b

ond

n’es

t pas

un

cloc

he-p

ied.

Qua

nd le

sau

teur

pre

nd s

on p

rem

ier a

ppel

au-

delà

de

la li

mite

d’a

ppel

et/o

u qu

and

il ne

reto

mbe

pas

dan

s le

sab

le à

l’in

térie

ur la

zo

ne d

e ré

cept

ion

(qui

com

men

ce u

n m

ètre

au

delà

du

bord

du

saut

oir o

u dé

but d

u sa

ble)

.

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

30

/ 33

STEP

C

AP

BEP

CO

MPÉ

TEN

CE

ATT

END

UE

PRIN

CIP

ES D

’ÉLA

BO

RA

TIO

N D

E L’

ÉPR

EUVE

Niv

eau

3 :

choi

sir

un

ench

aîne

men

t dé

fini

par

diffé

rent

s pa

ram

ètre

s (in

tens

ité,

duré

e,

coor

dina

tion)

et

le

alis

er

seul

ou

à

plus

ieur

s, p

our

prod

uire

sur

soi

des

effe

ts i

mm

édia

ts s

ur

l’org

anis

me

proc

hes

de c

eux

qui s

ont a

ttend

us.

Les

cand

idat

s pe

uven

t pré

sent

er l’

épre

uve

indi

vidu

elle

men

t ou

colle

ctiv

emen

t*. I

ls d

oive

nt r

éalis

er u

n en

chaî

nem

ent,

à pa

rtir

d’un

im

posé

, d’a

u m

oins

troi

s bl

ocs,

en

choi

siss

ant u

n ob

ject

if. C

et e

ncha

înem

ent e

st ré

pété

en

bouc

le s

ur u

n ry

thm

e m

usic

al d

e B

PM

**

com

pris

ent

re 1

30 e

t 16

0,

sur

des

duré

es d

’effo

rt et

de

récu

péra

tion

dépe

ndan

t de

l’or

ient

atio

n ch

oisi

e. L

e re

gist

re d

’effo

rt e

st

réfé

ré à

la F

réqu

ence

Car

diaq

ue (F

C).

L’ut

ilisa

tion

de c

ardi

ofré

quen

cem

ètre

est

con

seill

ée.

O

BJE

CTI

F 1

: SE

DÉV

ELO

PPER

SE

DÉP

ASS

ER (1

60<F

C<2

00)

L’ef

fort

est

cou

rt e

t l’u

tilis

atio

n de

par

amèt

res

le r

end

plus

inte

nse.

L’e

ncha

înem

ent

est

prés

enté

sur

3 s

érie

s de

3 X

2’

avec

2’

de r

écup

érat

ion

et 4

’ à

6’ e

ntre

les

sér

ies.

La

natu

re d

es p

aram

ètre

s à

utili

ser

indi

vidu

elle

men

t es

t d’

ordr

e én

ergé

tique

: ut

ilisa

tion

d’un

éta

ge, u

tilis

atio

n de

s br

as, u

tilis

atio

n de

lest

s, im

puls

ions

, BPM

.

OB

JEC

TIF

2 :

S’EN

TRET

ENIR

R

EPR

END

RE

UN

E A

CTI

VITÉ

PH

YSIQ

UE

SE

REM

ETTR

E EN

FO

RM

E SE

TO

NIF

IER

(1

10<F

C<1

60)

L’ef

fort

est l

ong

et d

e fa

ible

inte

nsité

. L’e

ncha

înem

ent e

st p

rése

nté

sur u

ne s

éque

nce

de 3

X 1

0 m

inut

es a

vec

une

récu

péra

tion

sem

i act

ive

entre

les

pério

des.

La

natu

re d

es p

aram

ètre

s à

utili

ser i

ndiv

idue

llem

ent e

st d

’ord

re é

nerg

étiq

ue :

haut

eur d

u st

ep, à

té d

u st

ep, u

tilis

atio

n de

s br

as, u

tilis

atio

n de

lest

s, im

puls

ions

, BPM

.

OB

JEC

TF 3

: DÉV

ELO

PPER

SA

MO

TRIC

ITÉ

ET A

MÉL

IOR

ER S

A C

OO

RD

INA

TIO

N. L

e gr

oupe

ou

l’élè

ve p

rése

nte

deux

fois

un

ench

aîne

men

t de

sa c

réat

ion

sur u

ne d

urée

de

4 m

inut

es p

ar p

assa

ge, a

vec

5 m

inut

es d

e ré

cupé

ratio

n. U

n co

de d

éfin

i au

sein

du

proj

et d

isci

plin

aire

doi

t per

met

tre d

e dé

finir

le n

ivea

u de

com

plex

ité d

e l’e

ncha

înem

ent.

La n

atur

e de

s pa

ram

ètre

s à

utili

ser

indi

vidu

elle

men

t est

d’o

rdre

bio

méc

aniq

ue :

com

plex

ité d

es p

as, u

tilis

atio

n de

s br

as, c

oord

inat

ions

, syn

chro

nisa

tion,

vite

sse

d’ex

écut

ion

et m

émor

isat

ion

POU

R T

OU

TES

LES

OB

JEC

TIFS

, C’E

ST L

A C

ON

TIN

UIT

É D

AN

S LA

RÉA

LISA

TIO

N D

ES S

ÉQU

ENC

ES Q

UI E

ST

REC

HER

CH

ÉE.

Com

men

taire

s :

* la

poss

ibili

té d

e ch

oisi

r ind

ivid

uelle

men

t un

mob

ile d

oit p

réva

loir

sur l

’org

anis

atio

n pa

r gro

upes

en

cas

de fa

ible

effe

ctif.

Si l

e ca

ndid

at e

st s

eul,

il n’

y a

pas

d’év

alua

tion

du «

pro

duire

ens

embl

e »,

la

tota

lité

de la

not

e es

t ind

ivid

uelle

. **

BPM

: B

atte

men

t Par

Min

ute

ou te

mpo

de

la m

usiq

ue

Afin

d’é

valu

er l’

ense

mbl

e de

s él

èves

sur

une

seu

le s

éanc

e, il

est

pos

sibl

e de

faire

évo

luer

des

gro

upes

sim

ulta

ném

ent e

t d’a

nnon

cer

aux

élèv

es le

s te

mps

d’e

ffort

et d

e ré

cupé

ratio

n dé

finis

pou

r leu

r obj

ectif

, afin

de

les

aide

r à s

’org

anis

er.

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

31

/ 33

STEP

B

AC

CA

LAU

RÉA

T PR

OFE

SSIO

NN

EL

C

OM

PÉTE

NC

E A

TTEN

DU

EPR

INC

IPES

D’É

LAB

OR

ATI

ON

DE

L’ÉP

REU

VE N

ivea

u 4

: pr

évoi

r et r

éalis

er u

n en

chaî

nem

ent s

eul o

u à

plus

ieur

s, e

n ut

ilisa

nt d

iffér

ents

par

amèt

res

(inte

nsité

, dur

ée, c

oord

inat

ion)

po

ur p

rodu

ire s

ur s

oi d

es e

ffets

diff

érés

liés

à u

n m

obile

pe

rson

nel o

u pa

rtagé

.

Les

cand

idat

s pe

uven

t pr

ésen

ter

l’épr

euve

indi

vidu

elle

men

t ou

col

lect

ivem

ent*

. Ils

doi

vent

réa

liser

un

ench

aîne

men

t d’

au m

oins

ci

nq b

locs

. Cet

enc

haîn

emen

t est

rép

été

en b

oucl

e su

r un

ryt

hme

mus

ical

de

BP

M**

com

pris

ent

re 1

30 e

t 16

0,

sur

des

duré

es

d’ef

fort

et d

e ré

cupé

ratio

n dé

pend

ant d

e l’o

bjec

tif c

hois

i.

Cha

que

cand

idat

s’in

scrit

dan

s un

pro

jet p

erso

nnel

en

choi

siss

ant p

arm

i les

troi

s ob

ject

ifs p

ropo

sés

celu

i qui

cor

resp

ond

le m

ieux

au

x ef

fets

qu’

il so

uhai

te à

ter

me

obte

nir

sur

son

orga

nism

e. L

e re

gist

re d

’effo

rt es

t ré

féré

à l

a Fr

éque

nce

Car

diaq

ue d

’Effo

rt (F

CE

)***

. L’

utili

satio

n de

car

diof

réqu

ence

mèt

re e

st v

ivem

ent c

onse

illée

.

OB

JEC

TIF

1 : I

NTE

NSI

TE S

E D

ÉVEL

OPP

ER, S

E D

ÉPA

SSER

(int

ensi

té d

e tra

vail

> 85

%)

L’

ench

aîne

men

t pe

ut s

’insp

irer

d’un

impo

sé.

Deu

x po

ssib

ilité

s :

2 sé

ries

de 3

X 4

’ ave

c 2’

de

réc

upér

atio

n et

4’ à

6’ e

ntre

les

série

s ;o

u 3

série

s de

3 X

2’ a

vec

2’ d

e ré

cupé

ratio

n et

4’ à

6’ e

ntre

les

série

s. L

a na

ture

des

par

amèt

res

à u

tilis

er in

divi

duel

lem

ent

est d

’ord

re é

nerg

étiq

ue :

utili

satio

n de

s ét

ages

, util

isat

ion

des

bras

, util

isat

ion

de le

sts,

impu

lsio

ns, B

PM.

O

BJE

CTI

F 2:

DU

RÉE

S’E

NTR

ETEN

IR, R

EPR

END

RE

UN

E A

CTI

VITÉ

PH

YSIQ

UE,

SE

REM

ETTR

E EN

FO

RM

E. (i

nten

sité

de

trava

il en

tre 6

0 et

75

%)

L’en

chaî

nem

ent p

eut s

’insp

irer d

’un

impo

sé. D

eux

poss

ibili

tés

: une

séq

uenc

e de

4 X

10

min

utes

ou

de 2

X 2

0 m

inut

es, a

vec

une

récu

péra

tion

sem

i act

ive

entre

les

pério

des.

La

nat

ure

des

para

mèt

res

à ut

ilise

r ind

ivid

uelle

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t est

d’o

rdre

éne

rgét

ique

: ha

uteu

r du

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, à c

ôté

du s

tep,

util

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ion

des

bras

, ut

ilisa

tion

de le

sts,

BP

M.

O

BJE

CTI

F 3

: C

OO

RD

INA

TIO

N D

ÉVEL

OPP

ER S

A M

OTR

ICIT

É, A

mél

iore

r sa

coo

rdin

atio

n- d

isso

ciat

ion,

sa

conc

entra

tion,

son

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ticip

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n, s

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nchr

onis

atio

n et

sa

créa

tivité

. L’

ench

aîne

men

t est

ent

ière

men

t cré

é pa

r le

s él

èves

. Un

code

déf

ini a

u se

in d

u pr

ojet

péd

agog

ique

de

l’éta

blis

sem

ent,

prés

enté

à

la c

omm

issi

on a

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miq

ue d

es e

xam

ens,

doi

t per

met

tre d

e dé

finir

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ivea

u de

com

plex

ité d

e l’e

ncha

înem

ent.

Il es

t pré

sent

é su

r un

e du

rée

de 6

min

utes

par

pas

sage

, av

ec 5

min

utes

de

récu

péra

tion.

L’e

ffort

est

aéro

bie.

La

natu

re d

es p

aram

ètre

s à

utili

ser

indi

vidu

elle

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t es

t d’

ordr

e bi

oméc

aniq

ue :

com

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ité d

es p

as,

utili

satio

n de

s br

as,

coor

dina

tions

, sy

nchr

onis

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n, v

itess

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exéc

utio

n et

mém

oris

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n.

Cha

que

élèv

e pr

ésen

te s

on p

roje

t de

séan

ce p

ar é

crit

: obj

ectif

et s

éque

nces

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rt/ré

cupé

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n ch

oisi

s, a

insi

que

les

para

mèt

res

utili

sés

pers

onne

llem

ent.

Il ré

alis

e en

suite

ce

proj

et.

A l’

issu

e de

l’ép

reuv

e, l’

élèv

e an

alys

e sa

pre

stat

ion

par

écrit

, à p

artir

des

sen

satio

ns é

prou

vées

. Il a

ppor

te u

n co

mm

enta

ire s

ur la

qu

alité

de

sa s

éanc

e. Il

exp

lique

éve

ntue

llem

ent l

es é

carts

ent

re p

roje

t et r

éalis

atio

n.

Ce

sont

les

aspe

cts

éner

gétiq

ues

(FC

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’une

par

t et b

iom

écan

ique

s (c

ontin

uité

) d’a

utre

par

t qui

son

t les

repè

res

de la

per

tinen

ce

des

choi

x de

l’él

ève.

PO

UR

TO

US

LES

OB

JEC

TIFS

, C’E

ST L

A C

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TIN

UIT

É D

AN

S LA

RÉA

LISA

TIO

N D

ES S

ÉQU

ENC

ES D

ÉTER

MIN

EES

QU

I EST

R

ECH

ERC

HÉE

C

omm

enta

ires

: * l

a po

ssib

ilité

de

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sir i

ndiv

idue

llem

ent u

n m

obile

doi

t pré

valo

ir su

r l’o

rgan

isat

ion

par g

roup

es e

n ca

s de

faib

le e

ffect

if. S

i le

cand

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est

seu

l, il

n’y

a pa

s d’

éval

uatio

n co

llect

ive

du «

con

cevo

ir »

et

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pro

duire

», l

a to

talit

é de

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ote

est i

ndiv

idue

lle.

**B

PM :

Bat

tem

ent P

ar M

inut

e ou

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po d

e la

mus

ique

**

* For

mul

e de

KA

RVO

NEN

: FC

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rt =

FC

Rep

os +

[(FC

Max

– F

CR

epos

) X %

d’in

tens

ité d

e tr

avai

l déf

inie]

Ex

: can

dida

t de

16 a

ns a

vec

une

FC R

epos

de

65 c

hois

issa

nt l’

obje

ctif

1 : F

CE

=

65 +

[(22

0-16

) – 6

5) X

90

%] =

190

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

32

/ 33

TEN

NIS

DE

TAB

LE

CA

P B

EP

C

OM

PÉTE

NC

E A

TTEN

DU

EPR

INC

IPES

D’É

LAB

OR

ATI

ON

DE

L’ÉP

REU

VE N

ivea

u 3

: U

tilis

er d

es p

lace

men

ts d

e ba

lles

varié

s et

des

acc

élér

atio

ns

sur l

es b

alle

s fa

vora

bles

pou

r être

à l’

initi

ativ

e du

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nt e

t ch

erch

er à

gag

ner.

Les

cand

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s so

nt re

grou

pés

en p

oule

s m

ixte

s ou

non

, de

nive

au h

omog

ène.

Une

renc

ontre

se

joue

en

deux

set

s ga

gnan

ts d

e 11

poi

nts

avec

2 p

oint

s d’

écar

t. Le

cha

ngem

ent d

e se

rvic

e s’

effe

ctue

to

us le

s de

ux p

oint

s sa

uf e

n ca

s d’

égal

ité à

10

où le

ser

vice

dev

ient

alte

rné.

Les

éval

uate

urs

pren

dron

t en

com

pte

les

diffé

renc

es g

arço

n/fil

le p

our a

ppré

cier

la v

itess

e de

s ba

lles

et d

es

dépl

acem

ents

.

TE

NN

IS D

E TA

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B

AC

CA

LAU

RÉA

T PR

OFE

SSIO

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EL

C

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PÉTE

NC

E A

TTEN

DU

EPR

INC

IPES

D’É

LAB

OR

ATI

ON

DE

L’ÉP

REU

VE N

ivea

u 4

: fa

ire d

es c

hoix

tact

ique

s po

ur g

agne

r le

poin

t en

adap

tant

pa

rticu

lière

men

t son

dép

lace

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t afin

de

prod

uire

des

fra

ppes

var

iées

(bal

les

plac

ées,

acc

élér

ées

et p

rése

ntan

t un

débu

t de

rota

tion)

.

Les

cand

idat

s so

nt re

grou

pés

en p

oule

s m

ixte

s ou

non

, de

nive

au h

omog

ène.

Une

renc

ontre

se

joue

en

deux

set

s ga

gnan

ts d

e 11

poi

nts

avec

2 p

oint

s d’

écar

t. Le

cha

ngem

ent d

e se

rvic

e s’

effe

ctue

to

us le

s de

ux p

oint

s sa

uf e

n ca

s d’

égal

ité à

10

où le

ser

vice

dev

ient

alte

rné.

Les

éval

uate

urs

pren

dron

t en

com

pte

les

diffé

renc

es g

arço

n/fil

le p

our a

ppré

cier

la v

itess

e de

s ba

lles

et d

es

dépl

acem

ents

.

B

ulle

tin o

ffici

el n

° 31

du

27 a

oût 2

009

©

Min

istè

re d

e l'É

duca

tion

natio

nale

> w

ww

.edu

catio

n.go

uv.fr

33

/ 33

VOLL

EY B

ALL

C

AP

BEP

CO

MPÉ

TEN

CE

ATT

END

UE

PRIN

CIP

ES D

’ÉLA

BO

RA

TIO

N D

E L’

ÉPR

EUVE

NIV

EAU

3 :

Pou

r ga

gner

le

mat

ch,

met

tre e

n œ

uvre

une

atta

que

qui

atte

int v

olon

taire

men

t la

cibl

e, p

riorit

aire

men

t la

zone

arr

ière

. Le

s jo

ueur

s as

sure

nt c

olle

ctiv

emen

t la

prot

ectio

n du

terr

ain

et

cher

chen

t à fa

ire p

rogr

esse

r la

balle

en

zone

ava

nt.

• M

atch

à 4

con

tre 4

sur

un

terr

ain

de 1

4m s

ur 7

m o

ppos

ant d

es é

quip

es d

ont l

e ra

ppor

t de

forc

e es

t équ

ilibr

é à

prio

ri (1

). •

Cha

que

équi

pe d

ispu

te a

u m

oins

2 re

ncon

tres

en u

n se

t de

25 p

oint

s (jo

ué a

u po

int d

écis

if). A

u co

urs

des

phas

es d

e je

u,

des

tem

ps d

e co

ncer

tatio

n so

nt p

révu

s, d

e m

aniè

re à

per

met

tre a

ux j

oueu

rs d

’une

mêm

e éq

uipe

d’a

just

er l

eurs

or

gani

satio

ns c

olle

ctiv

es, e

n fo

nctio

n du

jeu

adve

rse.

Les

règl

es e

ssen

tielle

s so

nt c

elle

s du

vol

ley-

ball.

La

haut

eur d

u fil

et p

eut ê

tre a

dapt

ée a

ux c

arac

téris

tique

s de

s ca

ndid

ats

(de

2,00

m à

2,3

0m) e

t le

nom

bre

de s

ervi

ces

cons

écut

ifs e

ffect

ués

par l

e m

ême

joue

ur e

st li

mité

à 3

. •

(1

) C

omm

enta

ires

: (2

)

Le p

rinci

pe d

’équ

ilibr

e du

rap

port

de f

orce

: le

s éq

uipe

s qu

i se

renc

ontre

nt d

oive

nt ê

tre h

omog

ènes

ent

re e

lles

et e

n le

ur s

ein

(équ

ipes

de

nive

au).

C’e

st à

cet

te c

ondi

tion

que

peuv

ent ê

tre r

évél

ées

les

com

péte

nces

atte

ndue

s. D

ans

certa

ins

cas

parti

culie

rs

(con

text

es s

péci

fique

s d’

étab

lisse

men

t et

effe

ctifs

), ce

prin

cipe

peu

t êt

re m

is e

n œ

uvre

de

man

ière

diff

éren

te :

cons

titut

ion

d’éq

uipe

s de

mêm

e ni

veau

mai

s hé

téro

gène

s en

leur

sei

n, à

con

ditio

n qu

e le

s in

divi

dual

ités

puis

sent

se

neut

ralis

er.

VO

LLEY

BA

LL

BA

CC

ALA

UR

ÉAT

PRO

FESS

ION

NEL

CO

MPÉ

TEN

CE

ATT

END

UE

PRIN

CIP

ES D

’ÉLA

BO

RA

TIO

N D

E L’

ÉPR

EUVE

NIV

EAU

4 :

Pou

r ga

gner

le

mat

ch,

met

tre e

n œ

uvre

une

org

anis

atio

n co

llect

ive

qui

perm

et u

ne a

ttaqu

e pl

acée

ou

accé

léré

e. L

a dé

fens

e as

sure

de

s m

onté

es

de

balle

s ré

guliè

rem

ent

expl

oita

bles

en

zone

ava

nt.

• M

atch

s à

4 co

ntre

4, s

ur u

n te

rrai

n de

14m

sur

7m

, opp

osan

t des

équ

ipes

don

t le

rapp

ort d

e fo

rce

est é

quili

bré

(1).

• C

haqu

e éq

uipe

dis

pute

au

moi

ns d

eux

renc

ontre

s en

25

poin

ts a

u tie

-bre

ak

cont

re la

mêm

e éq

uipe

. E

ntre

ces

deu

x re

ncon

tres,

un

tem

ps d

e co

ncer

tatio

n se

ra p

révu

, de

man

ière

à p

erm

ettre

aux

joue

urs

d’un

e m

ême

équi

pe d

’aju

ster

leur

s or

gani

satio

ns c

olle

ctiv

es, e

n fo

nctio

n du

jeu

adve

rse.

Les

règl

es e

ssen

tielle

s so

nt c

elle

s du

vol

ley-

ball.

La

haut

eur

du fi

let e

st a

dapt

ée a

ux c

arac

téris

tique

s de

s ca

ndid

ats

(de

2,00

m à

2,3

0m).

Le n

ombr

e de

ser

vice

s su

cces

sifs

effe

ctué

s pa

r le

mêm

e jo

ueur

est

lim

ité à

troi

s.

(1)C

omm

enta

ires

: Le

prin

cipe

d’é

quili

bre

du r

appo

rt de

for

ce :

les

équi

pes

qui s

e re

ncon

trent

doi

vent

être

hom

ogèn

es e

ntre

elle

s et

en

leur

sei

n (é

quip

es d

e ni

veau

). C

’est

à c

ette

con

ditio

n qu

e pe

uven

t être

rév

élée

s le

s co

mpé

tenc

es a

ttend

ues.

Dan

s ce

rtain

s ca

s pa

rticu

liers

(c

onte

xtes

spé

cifiq

ues

d’ét

ablis

sem

ent

et e

ffect

ifs),

ce p

rinci

pe p

eut

être

mis

en

œuv

re d

e m

aniè

re d

iffér

ente

: co

nstit

utio

n d’

équi

pes

de m

ême

nive

au m

ais

hété

rogè

nes

en le

ur s

ein,

à c

ondi

tion

que

les

indi

vidu

alité

s pu

isse

nt s

e ne

utra

liser

.