Edmond de-chazal-4sur4-pamphlets-théologiques-rev-pierre-le brun-pasteur-protestant-maurice-1861

127

description

L'échange dialectique (Platon, Hegel) est nécéssaire en vue de faire apparaître la Réalité et la Vérité d'une Religion, d'une Philosophie. En ce sens, la dialectique théologique pratiquée par Edmond de Chazal à Maurice, avec les Evêques des autres confessions chrétiennes, fut terriblement efficace... Elle s'avère eminemment utile, encore aujourd'hui, pour éclairer ceux qui sont en recherche de Vérité.

Transcript of Edmond de-chazal-4sur4-pamphlets-théologiques-rev-pierre-le brun-pasteur-protestant-maurice-1861

  • 1.Il.'. ['Plnsieurs personnes intresses ans le rgne du Seigneur et mme quelques uns des Swdenborgiens ont, xprim le dsir de voir ma rponse la triple attaque dont j'ai t l'objet ans les trois rponses qui ont paru. D'autres de mes amis, avec, il me semble, un peu trop de l'esprit des Laodicens, All0calypse 3,14-16. m'ont dit quoi bon ces discussions thologiques, elles n'aboutiront rien. Leur conseil ressemble celui d'un ami qui voit le mdecin prt couper le bruR gangreneux de son malade et qui lui dit: quoi bon: laissez le malade tranquille. Non, laissczmoi ,plut(prendre l'pe de l'Esprit qui est la Parole de Dieu et je couperai, non pas COlllme on veut nous le faire accroire une simple excroissance mais cette GANGR:N~~wdellhorgienne qui veut attaquer mme les partIes vltarSdu Christianisme. Et SI ceux qui sont dj atteiirtS de la gangrne ne veu ent pas de cette petite opration, au moins la prvention est mieux qu'une cure; donnez PAR CHARIT donc aux parties saines de l'Eglise le remde infaillible que la Parole nous donne contre toutes les hrsies et les pernicieuses influences dey faux prophtes. Comme c'est l'amour du prochain qui me fait prendre la plume, je prie le lecteur de ne pas confondre la personne de mes a versaires avec leur systme. Pour celui-ci, je l'ai en horreur;mais pour celle-l, je n'ai ni haine, ni rancune, et je respectemme ~enrs convictions religieuses que je co.nsidre sincres qUOiqUe~"zr,rerronnees. On m'accuse donc faussement, Il me iScmb,le~ de calom-,'., nie, parceque je les appelle SwedenborfJiens, mais en vrit, enL_conscience, puis-je les appeler Chrtiens, lorsque je suis prouver,fl ,~qu'ils ont reni ]e Christ; puis-je mme leur concder le nQm de ,~$t~ N ovi-Jrusalmites, quand je crois fel'l11cment que tout ce qui est ~, crit dans l'Apocalypse-XIX-XX-XXI n'est pas accompli ct -".....:=J par consquent que la sainte Cit ni la nouvelle Jrusalem n'est pas f; ~'Il"'II#~;'1 ,encore pare ni orne pour son Epoux Apoc: 21,Q. Je regarde'donc la rvlation de Swdcnborg dans laquelle il dit que la nouf' velle Jrusalem existe actueIIem.ent dans le centre de l'Afrique et ,"'Ii j,-4fV'Ilt.,;.1, que pour la dcouvrir un Sudois du nom de Vad:5trom et un naturaliste nomm Sparman ont fait des voyages de dcouvertesdans ce Continent; cette revlation, dis-je, est aus~i vraie quecelle de J oe Smith chef des Mormons qui dit que "la sainte ville ouZion est en Missouri l'ouest de la rivire Mississipi an centre dumonde. "Non, Messieurs, vous vous trompez-J'e ne connais pas en lll-'')/ 1 ti"r(~ de religion et de conscience ni Calvin ni Luther, ni Athanase, /Jj yr,>r';- ".' ni A!lgU:;tiu 1l~ acun Concile ou Egli!ie SQit Gallicane, AUilicaac

2. IlRomaine ou autre; je ne reconnais que l'autorit absolue u (,1lrist sllul chef de l'Eglise et dans le ciel et sur la ~erl;e; et pour r gle de l' doctrine et de discipline la Parole de Dieu sans aucune addition des prtendues rvlations ou traditions des hommes! ! Une des grandes erreurs de Swdenborg, c'est qu'il a fait un autre Dieu de sa manire qui n'a que l'attribut d'amour, mais le seul vrai Dieu est aussi S.I..lNT et JUSTE. Il est donc le Sultve Tain de ses cratures qui sont non seulement ses enmts mais aussi ses sujets, et dans sa qualit de Souverain il a donn une LOI qui est la rgle de leur conduite et il a sanctionn cette LOI par des rcompenses et des peines. Par consquent, la position de l'homme envers. Dieu chauge selon son obissance ou sa d,sobissance. L'homme donc arrs sa dsobissance n'est plus enfant de Dieu, mais enfant" de colre.-L'homme redevient enfant de Dieu non pas par nature ou par naissance, mais par GRACE et par ADOPTION. L'homme en dsobissant la LOI de Dieu n'est pas seulement malade, mais il est COUPABLE et CRIMINEL'et par consquent il n'est pas seulement physiquement mort mais/ .il est surtout moralement et LGALEMENT MORT. "Les gages du U/!/);;;''';t'"pch, c'est la mort." Rom: 6,23. Gen: 2,17. Ainsi les Sw-LY';1 of ,. d.enborgiens n'ayant qu'un demi-Di~u ils n'ont point de Dieu.,8Pwt'.)J.2/:~....../'Je n'ai de place que pour indiquer les trois passages de la Bible sur lesquels tout le systme Swdenhorgen est bti; et comme ce n'est que stl..r du sable, toute leur maison croulera. (Luc: 6,49.) Le premier se trouve Jean 10,30: "Le Pre et moi SOMMES 1 UN" comparez Jean 11,11-" Afin qu'ils soient UN, comme{nous SOMMES UN" Si le raisonnement de Swdenborg est vrai dans son interprtation au premier passagc, alors il le sera aussi.' dans le second, et par consquent, il tablit le systm~ de Spin~saJe Panthisme p~r 1!, . ~Le second se trouve (Jean 14,9.) "Celui qui m'a vu a vu ./mon Pre. ': .Si l'interprtation de Swdenborg est vraie, cc serait ~1/7h~ en contradICtIOn avec Exode 33,20. Jean 1,8. 5,1. 6,46. Tout le . v',. ~monde comprend que c'est dans un sens figuratif que l'on doit y ... ir,.; ".d,,-...interprter ces paroles-{lt le sens ou interprtation litterale de t/lj~Swdenborg LE TUE.Le troisime et dernier est: "Toute la plnitude de la Divinithabite en lui corporellement." Colas: 2,9 comparez avec: "Etconnatre la Charit de Christ, laquelle surpasse toute connaissance; afin que vous soyez remplis DE TOUTE LA PLNITUDE DE.DIEu" Eph: 3,19. L'interprtation de Swdenborg conduit n- ,l .'cessairement au Panthisme et tout en se vantant du sens spirituel ~)J4I/Ir.'Let cleste de la ParoJe: il n'a bas son systme que SUR LA.LETTRE QUI TVE. 2 Cor: 3,6.........! 3. ~~""'- ~ . P ~fl~, (~N;y(J.., t :: ==~ ~ 5.v' ~ ~,~ ~k/41' oL- /' ~A~,. '"..&.::>~e-plutM ces elin qili unit Chnst' son Eglise. VOicI'commentl'Aptre ou plutt le Saint-Esprit en parle: Ceux qu'il a AUPARA VANT CONNUS, il les a aussi PRDESTINS; et ceux qu'il a prdestinsil les a aussi APPELS; et ceux qu'il a appels illes a aussi JUSTIFIS,et ceux qu'il a justifis, il les a aussi GLORU'IS. Romain 8. ~9.SO-Le premier anneau de cette chaine est la connat"$sance ouplutt l'amour de Dieu, qui ne voulant pas que tous prissent a.,. , 13. -1-1 PltF.D EST L"f; , la vie une portion de la masse cOl'l'ompue de l'huma~nit-Ces prdestins - serent Arl'EL1~:'; par la prdication de laParole, ct croyuut ils ,(~ront ,JFSTIFlS ct puis dans k consomma tion du temps ils seront GLORIFIS. A ceux dunc qui vculent. ajouterles bOllllCS nncs ; la foi comme mOY~)llS de SaInt uu qui vculentter la doctrine de la l)rdcstination e la Bible je conseille de 'lire Dout: 4. 2. U. 3, Prowbes 30, 6-..'1.poc ~Q, 18, 19, N'ajou , te ricn il ses Parole;;, de peur qu'il ne te reprenne et que tu sois trouy mentcur. Prov: 30 6.,. " La question qui Re pr~sellte nous est celle-ci: Le Saint-Esprit,eRt-il une personne ct de plus, une personne divine? Ou le Saint Esprit, est-il une influence, une vertu ou une Opration Pi vinecomme Swdeuborg et ses disciples l'enseignent. Examinon&!': /~ 'r 1111sa personne; mais ces cas sunt si l'arcs qu'ils n'offrent aucune difficuIt; avec cette sele rsel've nous di:;ons que partout ailleurs laParole nous ens~ignc que le Saillt-Esprit est nnn personne distincteu Pre et u Fil:;, J)e la mme ma,nire que l'on prouve que leFils est une pers01111e Divine, de la mme manire nous prouvonsque le Saint-Esprit est una Personne Divine, Nous avons dj' ,sonne d Inne a uue r , .fait voir d'aprs le ra.isonnement de Ml', Ed, de Chazal qu'une pel'- /,#,~:': /li',~ ..1l'VIne; nous" r. t '"1' 1.' ..... Jorma corpore Il e ayec l' essence d' , . r" ,._avons fait voir fjue le Saint-Esprit a pris une furme corporelle et !~. u.;;.! fque l'essence divine est en lui; donc le Saint-Espl'it est urie per- ~ ,,,. 1 ~!'sonne D IVille, D' que l e ' E spnt n'est qu , une operatIOn ou , ' ! ' i' [,. , ,1re e call1t- "" /~, ' une illfiuenee, ce serait faire une insulte grossire sa Majest t' ~~ ';:'4 p"'j". 1divine, insulte aur5si grossire si ce n'est plus encore; que celle que ./1 l'~m ferait ~unlIde~in,sioa lui disait qu'il est lui l'opration ql~'il 'I,!~I-.l,; ~.. l .vwnt e faue sur la Jamhe de son malade!! Je ne veux pas ue'" ,.. , par l. chers Messieurs" que vous insultez volontairement le Saint- .;/, !~!1-1 ' Esprit; j'attribue cette faoll de parler plutt votre ignorance des_"#'.t" Sa.intes Ecritnl'C$ et (tWC nouvelles ides que malheureusement vous ' " .' '" ( . ,ayez puises daas les erits de Swden1>org'. .Te respecte vos con vietions roligicusc.3 quoiqne je les croie sans connaissance; je tacherai de vous:cluirer d'aprs la Parole sm cet important sujet. Nous' disons:donc-" Que CELUI qui toutes les proprits, tous les attri- , buts, et toutes les oprations personnelles sont attribus -; et QUI ,'; ".,) ;.:' ~ , rien n'est attribu que l~s ChOSCfl qui n'appartienncnt proprement > ,Qu' 1111e Persunne, IL est une J>El1.S0NNE et h Parole nous enseigne ,,':': ';4!(,."'t {; croire qU,'il est une PF.USO:'iNJ;," Prenez l'Opration ou l'influ-. ' ~:; ence ou quelque autre attribut de Dieu soit l'Amolli', la Sagesse ou (,'/14. ,'''':. ~ ln Puissf:nce. Essayoz de lem' attrihucr des proprits pei'ijonnelles et vun:; ,sere:.': convaincus e l'absnnl de confundre, c()IDJlle Sw " .. t. ,< 14. -15 denborg le fait, l'opmtion avec L'OPBRATEUR. Je vous le deman"::de, une opration est-elle un trenteHigent ou n'est-elle pas plutt- "~':~~~~~f~~~~~l'attribut d'un tre intellig-ent?-Par exemple, une opration, peut-, elle c01inatre toutes choscs-sonderrle cur, enseigner, donner, conduire; comme partout il est' enseign du Suiut-Esprit? O .a-t-on appris qU'411e Opration, 01: , une infiuenl,:s l'nsti,tution 1u BaptJ?e "au nom du .Pre, du :Fils, et du "Samt-Espnt:", ICI encore SI l'un de ces trOIS est une personne, les deux ilutre's le sont galement; car est-il vrniscmb-lableque Dieu donnerait sa gloire une crature, ~ une simpl opration; ou peuton croire que l'homme qui est un 'tre intelligent puissetre"bal1tis'au nom d'une chose~d'un attribut?~Je ne citerai qu'un autre passage. C'est dans ~es Actes 5. 3 comp avec Mat: 12. 32.' ;'(1r, Dans le premier de ces passages il est dit" Ananias, comment4 ,/, ,11 Sa~an s'est} empar de to~ cur jus9-u' t:incitcr MENTIR a';I' .I.#"~' )/: , SaUlt-EsprIt." Un tout petlt enfant salt qU'lI ne peut pas mentn' ,r ." >la. un~ P?upe ni un ~hi~n ou au~une ~utre chose, mais .qu'il pe';l~ , _/' tlf.l,I;.' mentn a UNE PE~soNNE,a un tre mtelhg'ent; donc le Samt-EsprIt "',fy~~l , est uue personne, parce qu'on peut mentir au Saint-Esprit. Le. , second passage que nous avons 'cit dit " Si' quelqu'un a 'parl contre le Pns de l'homme, il 'lui sera pardonn; niais si qlqu'un IL pai'l contre le Sain.t-Esprit" il ne .lui serapa.rdonn, Iii en-cesicle, pi en elui qui' est av~nir." Tout prjug de ct, le Sei,;,gueux Jsus ne nous enseigne-t-ilcpas ici q'il y a une distiIlctiori'marque entr~ sa petsomie et ~elle da Saint-Esprit, lorsqu'il nous dit que le mme pch contre l Fils peut tre .pardonn hindis qu'il ne serl!- pas p'arlonn lorsqu'il sera commis contre le Sint 'Esprit.:" Qu~l,t-6i't 'ou "pbh 'peut-il. y' vor a parler contre' le Saint ,.,. 'Esprit it'ilri.'ci3t-qu'une opration ou une influence ~ Comment 'peut';,./, 15. -16l'!~ "~il tre moins coupable de parler contre le Fils qui a reu sansl', mesure de cette i~uence? J?Dnc to~te la Parol~ r.end tmoi~nage l " l,.' la Personne Dlvme du Samt-Espnt comme du~tmcte du Pere et f . du Fils mais UN avec eux eu Nature ou Essence Divine-dans ," ~ 1- 1-, .:. l'Essence, Jhovah dans les penlOnnes, Elohim. ,'.1 ( _ ~~"i , Que deviennent alors Swdenborg et sa vraie Religion? Qui ~eviennent tousles raisonnements de la sagesse humaine? C'est / folie 'devant Dieu, devant les Anges et devant les hommes. M. J,.esage dit avec plus de courage que de connaissance, que le mot ~) r~ . personne ne se trouve nulle part dans la Sainte Ecriture, depuis la' 1 .~ense jusqu ' l'Apocalypse. Je crois que s'il a lu ce qui est critJO]me ?a1ti 8' en ~a:. ~q,uoi c,.eltli gt4i vient LE ,!,"7t REMPLACER ne serait.. ;fU ",~,~.',. ..,i,',-' 1~;#' ~~J',"f'UlJ l!d-.;1 (1 phI-_ . , / ;/ , '? ,.f~~ ~:" '. -. r~-J/r ~. ' . ,. ,. 16. -, 17'!~.il pas une personne aussi? Mais "s'il faut-croire le S~ignUr;'tt que l'homme, Swdenborg par e~emp~e, il f~ut donc ~ro~E!, le Saint-Esprit n'est pas une opratIOn nI une mfluence malS. vritable personne, vu' que Christ1'appelle 'UN AUTRE CONflOLATEU Tout le monde qui a encore sa raison dira que si le Saint-Esp~t n'tait qu'une opration ou une influence, Chrst aurait dit qu' leur donnera une simple consolation; mais Christ qui ,n'est, l'auteur de la vraie (?) Religion (Swdenborg) a dit pp$i~reirieBS",v.~~~~f~~~qu'il donnera ses disciples un autre CONSOLATEUR; do~c d-aprJl" f. Seigneur lui-mme le Saint-Esprit est UNE PERSONNE DivINE!! _' . . ~'"Tout vrai enfant de Dieu croira Christ plutat qu'Appo1nariu,; .' , Sabellius, Plage et mme Swdenborg. Ce serait inutile de m'- ' tendre sur ce slljet, ou de citer d'autres preuves. Car si les Sw denborgiens ne veulent pas croire LE StIONEUR, ils ne croiront pas quand mme un mort rssusciterait.Je viens maintenant aux preuves bibliques de la doctrine,de laTrinit. Je citerai seulement quelques uns des passages qui l'tablissent et je renvoie le lecteur la note qui se trouve la dernirepage de ma brochure intitule "Rponse aux deux catchismesSwdenborgiens. " On dit qu'il n'y a aucune dclaration positive,aucun texte prcis qui nous enseigne une Trinit de PersonnesDivine. C'est ce que nOllS allons voir. Depuis la Gense jusqu'l'Apocalypse les preuves sont si nombreuses que je pourrais citerdes pages entires avec seulement le texte sans les paroles. Tour- l"';;~f,nez la Gense 1,~6. "Puis Dieu dit: FAISONS l'homme NOTRE: J ~/ 'image, selon NOTRE ressemblance. .. La void donc dans le premier .Iq.~ 1chapitre et nous aurons pu la faire voir mme dans le premier verset .,.,de la Bible o il est dit "Les Dieu." 111-''('1-1 1Ici nous avons le pluriel par consquent. il faut qu'il y ait plu": et!/f'- ..(.Ilieurs personnes dans l'essence ou nature divine. On peut seule i ,.. t' ", ~r{ ...l'tVI.I "ment objecter que ce fut la manire de parler de ces tems-l. Ceci " est faux, car ce n'est pas la manire de parler des Hbreux et on nepeut pas citer l'exemple d'un seul roi qui ait parl de lui-mmedira: Nous; mais on peut prouver le contraire, car tous les rois mentionns dans la Bible parlent toujours d'eux-mmes au singulier.Voyez par exemple le Roi de Sodome Gense 14,21, :PharaonGen 41,15. Nabucadneza~Danie12.3,5J8~:- , :J Voici l'homme est devenu comme UN DE NOUS sachant le 1 f.(~ ~ ,ft bien 'et le mal." Gen: Il,7; Ici encore nous' voyons qu'il y a ;. . __ '*~~'''-,plus d'une personne dans l'essence divine; parce qu'il est dit UN DENOUS de qui? Cela ne peut s'entendre des anges, car Dieu ni/.~- LI -"l'homme ne sont pas semblables aux anges; car quand la paroleiL t faite chait, il est dit qu'il n'a. _pas, pris la. forme dea_~g~/ 17. : ........ ,.---'-.,18li:llnostrit d'Abraham. U Gen: .11,1. Deseendons et con ndon~l-leur' langage.Esa: 6,8. ': "J'mitendis 'la voix du.Seigneur "(ri.dit: Qui enverrai-je ',et qui ha p6urNoU'S? '.. Es: 4L21,'22;23.u'on les' amne' et 'qu'lls NOUS dclarent les choses qui arri veront; dclareZ:Nous e' qui aTrlvera le premier,:et NOus y EE'RONsattention et NOUS' n SA URON8 !issue ;" ou~ faites Nos-entendIe .ce qui est' prs arriver, &a.~' &a. '," .l'1.11" . . . . . " , .. ; . Dalls le ]).()uveau Testament la I}odrin(de la Trinit t:st.enNr~, , e!4ucQup. plu~ explicitement ensejgn~e; car leur nombre. ,et le'.lt:5. noms r~spetifs sont donns, Qui est plus vident et plus clair 'que . la pr~uve dll baptme ,de Christ.' ',' "'.. , .:, No~s' a;ons 'UA~ .autr~ p~eu-YQ Q.al1-~ M.a~: 28. .19. o Jsus d'it,.. .' H baptisant au upm du PJ:.e':du Fils et du Saint-Esprit." LetiS,vdenborgiens ont falsifi ces .,paroles; cal' quand.is baptisl:)nt ,ilsdisent: Jete baptise au ,nom du Seigneur J sus:qui est le Pre, IFils et le 'Saint-Esprit. Cet acte seul les condamne dans le .curde tous ceux qui respectent les paroles du Seigneur. l,a bndic~ ..;: tian ,Apostolique" La grce ~u Seigneur Jsus-Christ, J'amour deDieu et la communication du Sa~nt-Esp~'it soie~t ave~ vou.s tous." Voil les troiS~DIF-:U a en;y L'ESPRIT de &Oft J:'II.S. (ial: 4, 6. .. _;l 1.," I,e non;tbre mmeel't indiq.u- eule.et.m)he natur ouessence,elles.sout UN et par consquent ellessont UN SEL DIEU. ,': , .' .:.. '." , ' , .1', . Je prends ma demite, citation de l'Apocalypr:re 1. 45. /' Lagrce et la paix voul1 soient dOI1les par celui qui est, et qui taitct,qui .sera ,". (.le P.re) e~ par le~ sept e~p~its qui 'sont devaD;t sontrne; (le Samt-E~pnt) et par Jsus-Ch,pst. l , r !, 1 : ':f' 4"" J ' r~ ~:1Maintenant je ternne ce petit t'ravail eh montrant d'aprs les Eeritur-es que le systme d~ SWden90tg'est bsurd, ridicUle, don i 18. J - .."!!I:~.~ traire n1l 'iilllpl,; hi,ehli-rol~fo'I~E.L~.I:;.:'',' E? n ~l!1e, ,~,y.i1. "d ut:.J,.( tfl, v:k-l*~t1.~mps HUC vnix Yl11t des Cleux, qlU dIt:, C est'lei PlO11 1:)1:;; ib,l -," l1tt ""'" aim, ('n qui 1 ,mis tonte, mor aft('I',1jon.'~. lei llons ay?n~:-bi{'ri, d",ux per;;ollues {hstl11_cts, satU> delJ,..x innc~ CQl'Pc:rellcs d~t;tl1l.cr~s _ ft ;#H#'""et sparl~R;,et p~lsUl,le tri:siml" qui sc fait COl1llHtrc lmr une 'Oi~ , du Ciet Et 'Swslc_nbon~ et. ses (iisciples ne voient dans tqut cela : 1qu'nn personne!!! .' .. r'~ Maintenant'jamaisunhomme th'e ~t ~u ~'ils ~l1S une s,I11.110 " / personne, connue le font les" S"vedenb0rglens.' ~P"h..#t~ ;;..1' (J1"". J .lOnsleur L d'" . l l l ~f' . d "1'1 ''/,. esag~ ,!lQ.us It: ',P us ~ e (ont(', de con ~SJOll fil e 1 ' ! - ( PZ4.#11 . ,myst're. Voynssi c'est v~ai; 1 Mat: '10,3~~. "Q1COllCl,llC do~ ~ l . ~, ME eQnl'e~sera devant les hommes, JE' le oufessenii aussi DYANTmm' P~J'& qui est aux cieux." Remarquons que c'est le Seiglleur ~;;lui-mme qui parle, toute bouche doit se taire devant L'Pl. Il dit Po f 1/,qr.{i'J. '. donc qn tlIlLdis qu'il est personnellement sur la terre ~E P~re..!. 1.')j2' 1(~~t ~mx cieux.. Ce serait absurde et contradictoire si le Pre et le / - . . ''"'', ~J'il,; sont' une et la mme persollI!~; ~ar comment peut-iUes confesser ~ # tf{.~,t4ecur~t l~i-mme~" Ainsi, il y a ici mystres sur mystres pour les ~~.. { 't:iSwden orgiens. ,ftlU't-',M... r.~Alf , Jean S:l~~ 17, IS. "JE ne suis pas SElJ~, mais le ~r~QtTI It~~nt'JV.'''~mil nvoy 'e81 A VEi>MOI. Il est de meUle cnt dans votre 101 qlle 1" i'l " .le t oig1i:~e de DRUX HOMlm~ ,est. ~ligJIe, de f.oi. (rc~,~ ~ffJr qui ~(uI' Jtf.4 ~,rcndH 'tl~()]gnage de :roI-'Il!::ln.:; ct LE l'RE qui- m'a I~NYOyf;, l'lU; Ji4~f(- f 19. -20- rl'n anssi t(~mojgnng;c." lei nons avons la P1'f'llW' ln plus dnin la;tMmonstration la pIns pORi ti ve tle la tlistillC'tioll qui existe entre les '.):personnes de la Trintt. Voici donc, encore et encorfl un antre mystre pOUl' les Swdenborgiens! ! Vous pou vez trouver un autre mystre dans Jean 8, 42-et je prie les Swdenborgicns tle m'excu- ser sije prends sur moi de leur donner le conseil suivant de lire attentivement les versets 4~ jusql1'au 45 inclusivement. Je frJll.s" d'horreur pour un systme si diabolique que ce systme de Swden horg qui n'est remplis que d'ahmrdits et de blasphimes. Voyez" , enCQre Luc 28,46. :Mme les dernires paroles du Seigneur ne sont pas respectes et on l'accuse de monsonge et de fourl:jerie; quand Ohrist d'it "Mon Pre, JE remets MON esprit entre TES mains, et ayaht 'dit cela, il expira." Ceci est un autre mystre pour les Swdenborgiens. Dans l'Evapgile selon Saint Jean" il Y a plus d'une centaue de ces passages qui' sont autant de mystres pour les Swdenborgiens! "Mon Dieu, mon Dieu, pourquo~ m'as-tu abandonn? " Voici donc une preuve foudroynte contre ~e s~!.~ tme Swdenborgien et en mme temps un mystre que nous laissons leur ingnuit rsonrdre: savoir, que s'il n'y a ~n'uneseule personne en D~eu, comment est-il possible Dieu n';,ulAN- {;u, , DONNER SOIM~1E? ~p.~4l" 'l'''~.< E xcusez-mOl,' .." ... . . aux '!lf,tf:1 .1'~(' (. ''f.. . 1ecteurs ch retIens, SI.! allaIt encore a Il USlon/' 1~kA- ;..paroles de notre Divin Sauveur sur la croix; ce n'est que pour~"" cette fuis seulement et ma tache est acheve; et j'aurai accompli' mon devoir envers mon prochain, car c'est l la vritaMe Cha- rit que d'clairer son prochain, de lui tendre la main avant qu'il ne tombe dans la perdition et au moins de faire un effort pour l'instruIre' dans fa vnt. J'ai finis donc mon travail et quelque faible qu'il est, je le recommande humblement Celui qui seul .1. peut le bnir; et j'estimerai toutes mes peines et mes tudes plus 1'U',/,~'!'! que mille fois recompenses, si ce petit travail ne seiait utile qu'" 1 ramener une me la vrit. CApoc: 5,13,) Or Celui qui est ;f(-1 ~.", assis sur le trne, et l'Agneau, soit louange, honneur,:;Z;loire; ;It ~/j'" e,t fo'rce aux sicles des si~cles! 1 "rJttz'",.~ .1 / .,. r...",' . . ' ("t~,... ~,/ ~."(P,/~ 4? :.t;,:".~;". /M~ ~'~ff~'J .~ 1'~~y;~~~~/l~jFIN.Lfi t1M.. ~~'"d ..-( .t. !* . r ;;" _~ " ,:.~ -.,~ ~-.:'.'.'.'.:'.:'.'.'.'.'."..-.'.'.'." ::~ ~~~~~ '~"'stac)econtre l'a{tcofflP~issep.lent de la., volo.!!tvUi~: votre raiso'" est libre Q,e choisir entre ces deux_h1PQthses, il.n:y a ra's.-d'autr,e .~lternative; que, vous .disiez iu4-.ou, q!1.!t-v0!AL ~isie~; ..noll,,~, VO)l;S ,PL~~z le .libre-.ar:Qitre ...'---------. cho.l61~ilt.l" , . .. ... r _. . ...,r ," ....- ., ~ . ""of"if";!J' ...atf 1" '.; e t;:{ ,~. " __~_ ~rqrOY:~~fiJ'U~it Divine et ~l~1>ntiment de l'impuis -iliil~m: Ne-;'oyons~n~us pas en effet que dans toutes~" les reii.gi~l{s':quelconquescette unit est respecte sous quel'qlIe forme q~'on la reprsente dans le sy.mbole des croyances1iF~~~ons-n()us' douter que Celu( qui" nous donne tant de' -"tlives.:de -l'Infinie MansutUde~ ait reu son inspiration-d'ailleurs- qU du' Divin mme 1- . .'. ..'~ . ..1"'. -""'"~i':j ..ID~.ta~lu8:'1,rise'~onsquedee de cette thologie est sans .t "eOltrdn le fatalisme'; la pIlls dplorable erreUl!, la doctrine qui dtruit la J ustic Divine en enseignant' que la Loi Su ,prme de la DiVine Providence est la Prdestination. Eh'1tQn-~Die;'mon'chermonsieur, si connne vous le prtendez,in5~1itinm-es prdestins l'enfer, si nous 'n'avons pas le'. 'nb~-arbitr, si nous n'avons pas le choix, ni la facult de:~ oU de 'ne pas {:roire comme vous, qui tes par pr 'dimnation du nombre heureux: des lus, que0trang~ sen~tinieiltde'charit vous ~ousse donc nous tounnenter, Eour J Jous. enlevr~Ia. seule:consolation qui nous reste en ce monde~~dari' ls terribles effets -de;;tre' condmnatio,Ii iliilis iUl"qilo' vouloir "nOlIS oter l'esprance d'obtenir le,~.i~pat-notre':FOi en' la~misrieorae infinie;' 'tous 33. ",....... ;.- '.'..... _-=.;. tl'.3 .. '.:' -0; - ""'., ~, ,:";'t~'-. .:o....-.:. :=~- tex qui s'adresserOiIt_-miSeigIiur get11et qui ~~1Id1l'obissance de ~_ ommalldemens t Est-ce' ineon5quene6devotr part 1- Ou.-prtendriezyouspar votr-e 'interventionnous arracher au triste sort qui nous est rserv' par ce quevOllS-appelez l'Eternelle Loi de la Justice et de la Providn~;Divines ~ Oh, j'aime _mieux croire que votre esprit n'est q~ '. troubl par ces ,striles discussions scolastiqu,es qui ~r~it la base de votre ducation religieuse, et - ~ous nedfendez .l~our ainsi dire c q,ue ~r 'habitude des do~eS a"'xquels'il est impossible que vous puissiez donner une iWh sio~ sinere. ,-Votre dsir mme de nous faire partag-er VQS,croyances '!moigne ,d'un sentiment de charit incompa-1;i. ,ble avec les consquen~es logiquement rigoureuses mais im possibles d~une doctrine qui n'admet que la FATALIT dansle Gouver:aement de l'uuiv:ers-par Celui qui est Amour Infini,Sagesse .Infinie !... ... votre raison ne peut que repousser,d 1 nnitivem,ent ~ette pr.destination pour l'~nfer, qui bl~se leplus pur. sentiment qUI nous annouce la presence du Seigneur en nous,' LA CHARI Tt ! ." , . Oh oi, je' respre avec vous, votre~tit crit~ rtnbuh~meIise utili~ la--ce~' ~s: pas une ~e qu'~l ~urs' ~()ir ) d'~ne a. ramener a;. vente; ce se~'pa:r milliers,- ieIiai'yespoir. ,l; Votre bl'oc?ure aura plus .d'~et, ren ~u~s- ,'. r- ~._....:/_: '.~'.J:.',}"~~.:~ Eh' ffet; la prem:ire chose q~i' no~s frappe dans i'tde .'. d.Jli 1Rtt'l~iion~fite' Swedenborg, c'est la preu,ye crtaine ':'~U la;tQl 1'frlinD'e }oind'tre la premire: loi de l'h'Ul;a . nit, n~'n est au 'Contrire que l 'dernire. Ainsi la scien~e:;~ les"':colihaissance's humaines que vous. repoussez parce-.~ qu'elles 'Suffisent.pout dtririre vos thories, viennent au con i triiiifconfirnier les vrits: de la', Science Divine. Rvle,-. - : w~eIlboig., Il ~(}US-~t faCilede nos convaincrequ~le "!reft de iaHen'se n'esiiloint f'histoire de la cration. ma.t.' ~1'neU~;ili~ftmivers, mais la descrip~n;SOU8 la fonne symboli . 'ql1e,a!un~)c~ation m:at.Yielle, ge la rg.~nratioI1humaine; de ~-'r.on~tat d.Dtgrit, de ahute,':de-sa dgradation 8l.icc~s~ve ~~~:~~sesfiiclIlt~&d,: roep~ion ~e la,~i~ ~i~ne,-de.sa sal~a .- titm~ eMi.i 1~r la~miserl(~onile 111 fil11e: .Les' SI x 'J ()ursde la' crea"'on n~pl'sentent ni--six jours ni six grandes poques,.mais 1:'siittats 'sccessif$:de 1& rgnbration jusqu' l'tat cleste f stHl'8eptirde jomi'ou:..l't&t de 'saintet dans' le Seigneur _'le .rpos~~ irpax... ~ riN ous .acqtirons la conviction que lS 'langfig 'SythhbtiqueeBt' la. correspondance .relle des ,cho L~s...:de ;Iai-terre:avec les choses; du ciel, et..qu'il est.la base}o'tle to-it1l'Bselgnement-de l ParOle. : Nous 'acqurons enfin cinviction~'qllEfc'est'en~vain que la science humaine vent '~~~1' dans; j'origin.ldu :Tems. et, de 'lspace;- cette;, on td!PoUl':UQl1s' dans, lei. Bain de 1'Innuin ilous:n,e. Ja.~ ialMbi1ptU'ce:.::que -notl~'n'en ..arons;pas:sain, ~~~iffhe. c!e?i~ st'ait< tt'Bi~~. paJ; :!ln ..a~tr. ,1Il~ren'!I~ elui don~ par.le .Sei~eur, c'est-~-dire par l~ .;EJr..?~~:q~ .. est le vntable.gUIde de la conSCience humame et le setil.~.niQy~il(J'git):ple~~-e:}:~ic~ion. ay .le. ~~~'E8::l"le Sei~glielT d~nf 1'r~u.prine~:iest:l'~;;Pr4i'Sa,i~: -J>fP~~dan.t . . : Divin. Humain 'Gloritifi-' u . . . .- ~ J'~.; :..:1 il ,~ . 50. ,-:. .-: :~ .> < ':' ....... l ~30~..'- ".~ _ s. '.',"',:' ,~.:~Ii~~ e,atJe Dj~,. ~~~ei~n~~1fent I?~r,' ~D:1en~r'-i~r;4:~~l1B~~c~la.;~~~,~:~S,t:~~,. v.e~ ~?~ C~a) ~~iJ:P~oph.!i~J~st le',Fii~,c~p~~~~y~~ ~~~.~e~,~~ns~i~~mpn~'; si " ,le~Cllrist--rsum --tmites les Pfoph~ties pr le Divn V~ ;.. ,-. ~u.rls:~1a:pdrte des;liomme~.;. ilest vident .que par:'fari. ,.' .~~~'~tp;r t1.n~,~lmrtt"Jio~' d~yq~s. c~r~fl~re non,", ~nterit"'.to~'~u*,qui mCQnnaissent .l'o~lli~%en~, o;~t.nde.la.j>remire mauvise affecflIl?S-~.s-pare.le, Dieu; ey.: vP1!}&n~ par ~o-qs.m:~es q1rir, c~ sagesse :q~ .ne fa:it: .~ctifi.er tout~s. nps fa~ul.g!qnlatailt;que,.nou~r.ec qu]l, s'~p~e.)nu'::1~"Parole,e~.qu'ilne. . . 'Q.lleJapiple 1a.fuain., . ,marche "l JI " .. " ' . . . , . ..,'.~~ ~ -::' ' ...i~Provid~n~~'-~chi~i_' p~i ~.:~r d~n;~r. ~e~~jde.~i.ie~f'~,'~'oIi~ 1e~~upe qtii ~ f~t' f1,~ir.e. au, mo~en .~d~' ProtestantismelJe.. p~ ~;D.d"l p~s. a. la.. clvih~~~on : lwetle~nel;,~" ,peuple .,~x~". ,so~lpe ~il ..(a ~~oi~ l~ "princi~,)'~alrrcati.po~ :p~. dtf~~~}' loup.~:I, l ~uissa~ce,JRo~;L~ne::: .. !".; . ' :~_. . -. e' _~ ... ~ ..,..... '.. ..' '. ~ f~:-~}"-~~ efft" isi ~Ie. dog~( ~~l'la- pt~de~ti~t.H)n ~st' cbiftIe~tJ.t: ~hu~in' glorifiez;' 'le' clif~d' ~tl.VJ;e ags .dbftnnes: Protes . iIht~s; -vll~ l~e etteur-de leur Doctrine de la Foi sans?es uvres, ils~-u~t .dQ~~~i.e)n(p~~e-;IDle~Kle;b,ut.A.~.~bi~: le~' sup;forit. ~t. de. satisfa~re.lelr orgHeil: c'~t _orgueil.'d~vait .tre 55. - C' .!}1!l... _.... ..-:,tJ ~~( NfJ 56. /~..;:i.::' .- - ..... .:::,),..;:" ~C~~~ ,~WL-S J) '-rr-, ". r 'i CI - 1CI, C;;- . . _. .: ~""J~ ':p , ....~~........ ~~ ,f q ~ ,... ',-':' .... .,. ti 57. ":'. iI.-:;':.. ! . ...+!t"..~....-, ; .......~.~ , . .' : :.i_.. ;~. ~.':. ......~ ~I_1 .-. > "Ne vous s~!t;p..il?~~ ,9.e,.;."crt,~xe1pple P9 ur 'VOJt~ ~'~ajI.~.: '. .. touclier 'du doigt le second avnement en Esprit de Vrit"l ~ F~~~it;aua:si'Yolis,~ -fai~ .'voir__les m~es.;;-rs'ultaf,sen .Asie, cliez.}es peupl~"qui,ont,d '.subirleurc;pl:partion: 'sous'ri~xrfluel)te.. de-,'l;~j.cieJ(ne lQi IJQ.nbhique~ parce. 'qu:ils n'.a.uraillt. '.pUi,1 -~.---::-'" ._" pnnclpe.c;. 60. .. .;.... .t~~>"-~, I.--:~-;:'~.:- ~'.;;' -r..- .::.:;) " ~,;..r-"~ . ,-.... ;,"'_~-":'. ~. _:~: ~ . '~ hr.sies' que la .Croyance en une Trinit de Personnes Divines.-tatriaitre ~n81-'E8ns Chttinile:,'. . .:!.. ;.. I~ ~ ...i.r..~' ~: - .: -: r ',' ~ " .~ ;"l .~......:.".La, ~cit' espre que: ,par- ;cette publi~ation, M~ J~B~: Bamndra, ~ se ' reIldre: ,compte : comment chaqri~>membre de rEglise'~t :en ._~ son librear}:litre e~ , sa libr~ actio~ ~ndividuell~,Jprol1~J~ependantun dsir , siucre,. et, un:' ..besoin de ' . ........ ,.' sou~ttre' av .,toute l'humilit du ', ,.i)i:.~r&~ son"~j~in~:i. ~It)lic~ti9Ij L4e~" :.luJ!i~res. ~s s,ocits 'comEosesds~lembres les pius clairs et lespiU:s. instruits. '. -ce~in" tfi~~"OOft}B~vec le sentiment ~Hnit h~~~qriique,,,.d.s,,~g~~.#O':lS ~~cres du bien." Il ne "P?}it"y "voir' ~~ dissidence entre les vrais discipls d'e la'''1tliVlfe Eglis, 'q~arit~tl~-rQDdalllnt.ux dela Fo~ aogmS',t de la 'doctrn:e-; ~mM3' il .ptii"8e faire,.: cette ,poque"de'~l1Sitfo~, 'ttti"de~ ipergdriBs.:n ts~fit ~:,~nc@pe sffisa.m.inent ~ '!6~naissansJet mlem'l llrl&hveUes' "vrits;avec~leuts .Jo~infhnes erri:itS,:;' 'le tle deslc9n~rltions'se b-orn 'statuer."Sut; ces questions, 'non comme autoni"poin-" ktablir'~ce' qulil.:~~'1W:F~.te~t~ fai~e,mais~:.p:?ur a'ppr~cier si. le~ I?~op~sitions" , , , ~is,s "'sont eonformes aux "v.rit's joh~e'ntu~8' 'alins- les '~i,--' 'iYl;a8e~"de;' )a.'Nph~lle:~'trltit?n. J'Chaque"n1irr~te'Jst"~, ~ -1tb~~d ~'ep.'::;inir ces . 'uisions l ou'1le ls.'re~tet. ,"I.e':.' ' 9-eV9i;,d"la '~~it:,gri~~lest'ae coin~attrll'errsegriment -"": ddgmes qui sent critralr5.. ''ta DOcii1:ne 'du Se~r; "~i'~dfoit' Tn~ritestti -est' -de' ':neq'c01'l'ria:ft'i'e'" comme:is~ntpriiede la socit ou du corps de rEglise"qu~x ,'~w>nt~la:ptQfessionde"Foi.etJa vie sonLco~feFmes aux bases Qdamentales ,cQn1iJ;lues' dans les euv.rages de la ~ o,uvelle ' lll:!"n' d 'lT' ,~~etlJ)atIoo'~ ~l!t- e "e~. - ,~:-~. :,.~ ":r.'" ." . l' ",.., i .. ' ~ ~ ( , . .' ._ , . " ,. "Le~ 4octiin6s de -la: :N~ilv.ene Eglise' aya~t t 'plusiers _ .., _ . :~p~stit~e~. .u ,pu9iic cortllne' sapant 'les ba:ses -au :'~~~~P8tf.~s1.U~~~i-l~gton:J~~ DiYinjt.~du:" e.~tii;t,.ll~ ia~-~~taelt~,Cloit deTo1i~fi.e '"appI-Au1~1r-J'mtpattitU ~'atl1i-!d~ ',7 61. J' .:~, ;; ~'r~;._: :;~~. /J".'~.!f~' ""_la. v.ri~,. de pr~nQre. cf!Ulla~.Qi' ~l~ q;.~~ti~f!rl ~ qJJi.c0!Uie~nen~ cesdpctrinflJ: e,l~Sl ne,d~as qu~ ~ simpl: ~t~ ,d. ces~' o~v:ra;k~ilei'Ei~fl~ pout faire r~s91~rTtoute .. li. ratIs~et. des' accij.sMi9ns~8i injustement lance~' 'j:nrtre la' NouyclIiEgllsed;ll ~~i~~~;'~ ~..... ~, ! ' ' . : " ~; "... ~ :,,'.: .~""",'J.~ -~ : .,'.." .~- ~ .. :. Swediborg'.n~u~.":eQ8e~: ~aIt.s .)a,. fra. ieJ~~!ifJ/0ii;'elmtie.MNo~,2, ~~a que. "~.&i ;IraI, DU N()'(~.vEAU,lE~ E'i" "'. DE LA N0U:Y BLLE ~.GLlS~ D~~S, LA' F'ORME UNIVRSE.L~-) "est celle-ci:' Que le' .Seig~~.f>' tOlIte ternit, .qui e~;, !e. " J HOV:AtI.~. est venu. dans, le n,..ollfl~ pour- s.ubjugue;r' l~ . . . ... ~ .... . _ 01", O'enfers et glontier. -sOJ1.' hO:iOauf; 'q~ sa.ns c~la aucun:. ~: mortel ~arltpu .tre-su-ft ~'et qu~ ceux qu~ .e-rolen~; e.n:~ "":Lui sot sauvs.,!'- '. .'. .> . ",De~.1~:pal't dei'homme'les,s-inguliers de la F~LsQIlt:~., 10. -Qu'il y .unseu l ,DieR en qui .est la))iv ipe Trini~{'" "'et 'quec Dieu' est le Seigneur Diu:.sauveur_ J~SRS' " 'Chritl> ~Q: Que la -Foi: Salvinqtle est de cr.oi.re en. Lui;i~~ .3b. Que les maux ne doivent pas tre faits parceq U"-' " sont du Diable et' viennent fi "Diable. ,40. Queles bieml ,; do-ivnt tre faits, parequ'ils- sent de Dieu et vien~~nt de.."" Dieu. . 50. Et qtie les biens doivent tre faits pa,r)'llQ:ui ." comme.- p-~r. lui'. m~e, mais" qt~'il doit rolr~ qUEt c'e~t",.d'aprs le SeigIur ~'il~, sont chez lui ei fait~_par lui: .. ~" Lesdeu:x.. premiers appartl~~nent ln. foi, les deux sUivail'tt,;,,~ la cli~nt,et le, cinquime appartient "l~ conjoncti. ~' de la. chtW.~_ et de.l foi, .ainsi . la conj onction' dil Sei~UoC, " et de l'homn.." n est ais de voir que la Nouvelle Eglis "ne ' r~ eon~ai! ~ se~on les paroles du Sei~ur,"'quedeux essentiels, 62. '.'~';~~;:;'".J,' -...... 'o . . ~.',:~:::-::,... .~. :;~ ~/'.: :: :~i.~u~:ti-~'Fcii!est d~'::;;k' c~: p!(role5:-:~t s~rto~t 'd-e '.6n,' ~ " r?~er ~a.~V~, it. ceS, ~i'1~~:p.rcept~s. (t~ c~ e s~nti ..~, i ' ~m~t tnterne de .1ame qU1,,,.proc~de '. du SeIgneur Jesus .'qhri~t, comme de. sa" source" et~p~~~~Je.W~l J'homm ,veut .mre le bien, d'aprs l'amour du: bien sans gard au mrite:et ~u~rcomPenss (Doctril1;e':d~'la ;Nouvelle Jrusalem.'Nq. :104 )esfdont le premier principe> de' J'Eglise,- et la Foi '~'~'est que la,r~onnaiss~nce,du.vrai il'n estqe le Sc()nd.~::C~ 332~.) ,La charit:seule; nous enseigne Swedenborg,llis' donne -la f~elt 'de recevoir l'Influx du Seigneur et le ,~t q~:h.Pl~ut; (A.. C. 8321,).elle est l'ess~'~c~d~h 'Epi,-(A. R.417) ,car c'est elle ~'que conduisent toutes'" les choses qu:on no.mme doctrines de la foi, c'est cneHe -'~~qu';elIes' sont toutes, :et ,c'est d'elles qu'ellesd,r:i.vent ,"'~oute$~: (~i ,ci 2228) " Le Seigneur, la .Charit ~t la,Foi .'~ S'ont ~insi le& trois essentiels du .salut, et doi,,:ent faire un."(.'Z. B. -C. 450).-La sparatio~ de ces trois essentieis e.st laule cause de toutes les,hr,sies qU! ont dsol l'a.neienne"...Egl1s:e ~ en tuant la~. charit, on. a doun, nai-ssance .~et sp'r~t .de'secte- qui est si contr~ire ,aux ~ prceptes du vrai';'. ~hlBtiailism .-'" ,,' '_ .....:_ t. __4;.. ..__ . :.. Le~, ~xtrits suivants de' Swedenb?rg metti:ont le)ecteur.J tri.m~ d'~pprcieI: les ass.erti~ns de cux qui, anims de,Jt.es.Illit t~oi~~iisec-t:ai~e~ et ~e pou~a,n~.C?mprli~re.)~s prin..:~.e~s~ntlels. qm 'col}strtuent !]ghse TIm vers elle du.~gneur, accusent la Nouvelle 'Jrusalem d'tre une sectenouvelk. '_~~J~ '~:Le Do~-tl'inal lui-mme ne fait pas l'externe, et fait ~ili.."'i=-- ':.~~i.,~ -~.eneori moins _l'interne de l'Eglise: ce n'est pas lui qui lUS, 1~f.('~1~-!.~~'11";"-m -. - . _ _ ~~~~~~," ~K!JiU!'.leS. ~!Jl,~e=ckez: le Seigntn..~, mais~e qui. les di,sti.n7 ....."gae,.e CBt-lli; .'Vle's~lon les D9c.tl"lnaux,qUl tous, quand Ils ,n, , ,~. sont Vrclis,regardent lactl.lmt comme leur 'fondement!;. qUO!. sert letioctrinal, siil~ltii enseigner cOin)~ent l'homo. 63. ".. ,-:-. ~.',~ ,{,~ ~~.::;:/~'". ,.et ne :dot~"tte.i~D.alis.l'ChTti~i ~~ '~bnt 'le~trina~',(. u 'qui distinguent 1e~ Eglises, c:;,l ;d~.IA on se qi~!ifie de C~ ,; C4 tlioliqes ;Romins, -de Luth~1.eU"s, de CalvinistSi' ou -de ;" Rfor'ns et d:Evanglilluel5, sans parler ds a:iItres~,quw . . n lifications. .. ,Si on ~ qalHie aim;i, c'es~. d'aprs le Do-qui :" 'trinal "seul, c xi'arri.v~rai.t eriail1ement pas,- ~i 1'~D: 'l~ prenait' po1..,l -princ.ipalde la Foi l'Amourdaris le ..sei~ " gnelir et la Charit envers.le Prochain; alors il y aurait " seulement des' varits d1opinions sur les mystres de.la' "foi; et les vrais chrtiens' les laisseraient chacun s~rori' U sa conscience, et diraient 'dans leur ccc"ur qu'on eBtmi.. " ment chrtien quand on vit comme UI1chrtien, ou' commeU le Seigneur l'enseigne. De toutes ces diverses Eglises, il K s'en formerait ainsi une seule et tous les dbats qui n'exls;''~tent que par le Doctrinal seul, s'vanouiraient; les hin.e~ "mmes des uns contre les autres se dissiperaient n~s:' "tant et le Royaume ~u Seigneur s'tablirait sur laterre.. ~, L'Eglise ancienne, qui exista im:mdiatement aprs'l~~l " luge, quoiqu~ };pandue dans plusieurs .royaumes, fut-t&. "pendant telle,. c'est--dire: que ,ses membres diffrai~ri-t " beaucoup entre eux quant aux Doctrinaux, mais'nque " amnoins ils faisaient, de la charit le princip~ et con-sid~ " raient le culte, non d'aprs les doctrinu~ qui llPpal.-tl.ennent " la foi, mais d'aprs la charit qui appartient Ja vic'; ". c'est' ce q"'on entend par ces mots.: n!J e..l.!t pour t6~(j. ;, ~'Y",,,,~ . ~," " seule lvre -et lesmm~s pal"oles. Gens xt 1: (Aicilt Cel. 1799.. ) , 64. . ~ ..: :"." :; -o..' ,0-:""f .- '!- mais' apres-.,'Ql, cel'talItTaps ,d ,tetns-;-la"' charita diminu9l-eto . ' 'l,.ene S'V8Do::uit. ' La 'c~ar.it~;'s:~V~p.ou~sap.t,:les maux pri~.l ':-, 'K rent' ~place,: 1;' ~v.e~ leg- .IIlaux. s'int~9duisire,I).t :au~;si ~8'l ".~~~: ,.de--I: !es . ~cll.ismes et les h'rsie~ ~q~, n'e.xistel1J.ient, '. jaillBiB.si la, 'charit~tiait etviva~t ; alors l~, 6chisme .~e.; c, eer~J:n~IUe p~s appeltt,tichflnlle, 'n~ rhr~Bie, h!,~iE!, II4lois~c: :~ ~ 9~it qu;' es~ uD:C.dPo,tri!ie selon l' o;p~~i~n d'uJl :ttl, et'l.~ ~tJ:abandoonerait dJ,'la con.sence d~ chac'un,' P0fl,1:VU . qu,fJlle; ;~~tj-,as ZespjiJtcipes.;, 'c',e~t~-d~re, le.Seigne~J,1, la Vie., '" " ,_ "-,,.J~,:la. ;,1!:(;l.r~le, et' pou~ qU'elle. Ile fu,t :p~s' cn.tret y ~'~ .iliy:i~1 (j~eit~e, cohti'e les prce~. du D~caw. ,." gue!~J~A. C. 1~34,~).: "" '" ",,', ofu.me ' l'Eglise ~ tire ses doctriiiaux du sens littraJ; ":del~"Prol~ il est impossible-qu~~Uen soit. pas,:varie..ev ses", d1veni, quant.li' doctrinaux, "c.'est-,aire qu'une 'sQci.t) .~Cd.it 4u~ le I~~l .~~~. te. Seigneur. ','- Heureux ceux qui .' ~fo1lt sscommanimens,""3fin d'avoir droit l'arhre de vie, . --, t"~", ~,-,.:...:." et d'ent~er par les,poxtesdans la ville." Apoc XXII. .14, - ."' d-~. ~~~~ r('~~!~" . . . :.: .:..,:/~:~.-. :-'-: .~ "P,' Sigueur qui eat.i.C qui sjournera dans tontabern~- .. ~ ~ '~"JJ ~,de-t .~ 'el't ,cel~i 9:uf mafc4ee~_~~tglit~, qui, f~it q~ice ':;:~~~,. '~~~-If,"e~,,!lUi."a~;.la .. Y~Iit~. ~iIisi qu~en~ 'est e~ sou e~~~,," ;J .... t: ~~:f ~-"elui qui Ii m~dit.:poi~t 'par sa: langue~ qui" n~ f~i~: ';~.'p~inf:de Hlai soli ami,qui ne lve point de blm contre ~~~$t1 pl'ocliain." Psami.e XV'. 1. 2.' 3.~ ...,,"'1.:-. " ..":""; 't.".' ~"'. ...:.. ~ ," . -""'~- ,i:~'est~ve.u_n., 'sntiment de respect pour la supriorit~,(Ie)irmiresnes ConventIons Gnrales des Eglises d!An. glet~rr; dl Amrique et de France, que la: naissaI!!~ Soci.! ,:dJg., N01;Jvelle Jnlsalem Maur.i_ce s'appie avec b?nheurJn1!'~k}Nns~ils, 'leur approhaton, ~t se run~t ~e pe~~~e '~fd:1l1fectron'tolHdeurs: actes ,comme tous leurs travaux .lr--._. , .'. . '. ~..1 _ .' ~ ~.~li.n~llig,erice:- '" C'est pour donner M. LeBrun une preuve ' ';~:de:c.ette;l.lnit hpnQ:nml!~ qu'%Qa- Soci~~ puis dns iegrs ~l:iaatj.t>.n~J~ m'eiUeure rfutatioI!qu'~~le p~tluioffrir, a.ux "'-. }pl'opos.it,iQ!lS ~l1iones c9~tenu.es da~s" sa brocp.ur~~ ;- . ',." :~~'... _ . . .. ' _ ._ ..':.. _ : -i.4 67. ~"; ...~'l. - .... 4.. .- .. _., PREUVB8 DE LA, DtVINIT .. SUPR:r.rE DU SEIGNEUR J8US..-~ ~ ......" . .,.. - .. - - , .... ... ~;-- ~."~ CHR~T, ET DE LA DOCTRINE D'E LA DIVINE TRiNIT,' . ,.,.-.,. 'CL/dREMENT DDUITES ~ES SA'INTES ~Rliui~s:..(La,~roy~n.~e~nXexisten~ '~n EntE SUPR~~E est ~: .p'ofon~~p1ent e.nracine dans humain,.qe rin ne,'l'~sprit .. ~erait c~pa~le ge la d~truir;~ell es~ tellement en harmonie.avec les' dclarations explicites de l'Ecritureet" lesad~C'-.tions. d'une rais~n' Claiiie, -q'ue ~' i)eul~'ide ~deplus D'UN'~t~ ~vin es~ ;uffis~nte, poui trouDI~r l~ pens~ :iiltrieltede _toutchrt,ill' rationnel et intellg~nt... ;~ .-: .. -'"'0 ,';'::' :n y a pourtant, malgr ces faits, da.ns la,-.thQlogie du-' jour, bien des choses subversives de cette doctrine fonda- rhentflle de l"Eg~,~ontra.lres la dignit ~e so~ divfu, et fondateur.' Nous' aUonsdoD:c essayer de prseiitei.~ Sujet ' dans tout, son jour,t poui cela noUs . nous: etrotero dmontrer, par l)utorit de l'Eeriture:.' ,;.' ". '~".'~'.. :.'t-; -+" .. ~L'Unit ~bsolue.:d Dieu; ." . ".J!', -'~ .. ,...:,~,'L,.-,f::...i::".i :.;:~).,:~('",: ".','. ,,~': ":',' ':-.. .qu;iD~i. c'~st" 1~h~v~~. l~i-Wm~ ~~i est dev~nu le" ~~emP7. kur.et le ~a:vur:~~.s~~~Jieupl;." . " ...': _ ":'.. - . -~ ~J __~ ,1' rt," ~:'...~ ..~.I(;o ~,~. ~ - ':' .: ~..':;:.-7 Cj~~ qu'il fali(~t,tidrfpar' l'existeneeii'i:ril~RINt..; -ri ~..' dans L'UNIT 'D .riHOVAIi ou du SEiGNl:lJRDu:u.- .,:.. '" . . i .... ,;..:. ..) ...... ' . . :'".~. ~j:), :,,~ . L jjr.a;d~~~~e cie::';#~!alls~lued~~.Dieu est si- clair~.en.'eU;"9 pnissamment ..ipp.me .~l'1s' Ja< Parole, tant cd,u