EDC Paris IN/OUT

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. EDC Paris a la cote ! . Le 61eme Gala . Les conseils de survie . Les minutes de «Buzz» . Le «trombinoscope» de vos events EDC IN /OUT Toute l’actualité des étudiants de EDC Paris Business School 1 / 2015 Une fenêtre avec vue sur EDC Paris Business School

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Journal des étudiants de EDC Paris Business School. Il relate les miscellanées relatives à la vie estudiantine à EDC Paris Business School. Il à été produit par l'association BAM.

Transcript of EDC Paris IN/OUT

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. EDC Paris a la cote !

. Le 61eme Gala

. Les conseils de survie

. Les minutes de «Buzz»

. Le «trombinoscope» de vos events

EDCIN/OUT

Toute l’actualité des étudiants de EDC Paris Business School

n° 1 / 2015

Une fenêtre avec vue sur EDC Paris Business School

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INtro1

Chères lectrices, chers lecteurs, nous vous avons préparé, pour ce numéro spécial Gala (et le premier de l’année) un journal spécial.

Il parle du meilleur, des meilleurs, des étudiants... comme du corps professo-ral, de EDC Paris Business School tout simplement.

Vous y trouverez des conseils de tout le monde, des plaintes du même et des infos incontournables.

Vous apprendrez beaucoup, que cela vous serve ou non, c’est une autre his-toire.

- Bonne année 2015 !

- EDC Paris Business School a la cote

- 61eme Gala : salle, date et thème dévoilés !

- Comment se préparer pour le Gala

- Le(s) ERASMUS bien(s) intégré(s)

- Le Superbowl selon Promo

- Les minutes de Buzz

- Apple révolutionne la révolution!

- Les focus : Stan Smith et Pharrell Williams

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Concocté doucereusement pour vos fins palais, nous voulons que vous vous régaliez.Bon appétit.

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Evènement le plus important de l'année, cette soirée inoubliable dans une salle majestueuse et mythique, réunira les étudiants EDC et anciens lors d'un moment

en dehors du temps...

www.ga laedc.com

Le Gala vous promet cette année :

- Une soirée hors du temps et riche en émotions ;- De nombreux évènements où l’éleganceest de mise au fil de l’année ;- Conseils et bon plans sur un tout nouveau site internet.

Et tant d’autres surprises...

Consultez le programme du Gala p20

Lien vers le site

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Les nouveaux classements tels qu’on les connaissait ne sont plus et certains critères délaissés auparavant sont maintenant pris en compte. La satisfaction des diplômés, la proximité avec les entreprises, le nombre d’élèves créateur d’entreprise... et avec ces changements, nous montons au classement ;)

Longtemps mal jugée, notre école a enfin la reconnaissance qu'elle mérite, ce qui devrait faire le bonheur de notre président !

Récemment publié, le classement de l'étu-diant ne place pas EDC Paris Business School en tête des chartes certes mais les va-leurs de l'école sont nettement appréciées à leurs justes valeurs. Ainsi, on peut y lire que la création d'entreprise positionne EDC Paris Business School au top du classement (res-pect), avec près de 15% de diplômés créa-teurs d'entreprises ! L'école porte fièrement le secteur de l'entrepreneuriat ! Mais un autre point fort nous permet d'accéder à la pre-mière place, eh oui les nombreuses missions et stages nous positionnent au premier rang quant à notre relation au monde profession-nel. Il est important de reconnaître l'influence et surtout l'apport très enrichissant de ces parties du cursus imposées, cela contribue

d'ores et déjà à notre expérience estudian-tine.

Parlons-en tiens de nos expériences. Nous avons la chance de bénéficier du soutien d'un réseau d'anciens diplômés très large et parmi les plus influents du panel d’écoles de commerces françaises : Force EDC place l'école au deuxième rang du classement de l'étudiant pour son réseau d'anciens, et re-groupe plus de 14 000 anciens diplômés, constitués surtout de plus de 4 000 chefs d'entreprises répartis dans 74 pays, c'est au-tant de portes qui s'ouvrent à nous pour des stages, des missions d'entreprises et des jobs ! A nous de savoir faire les bons choix en conséquence !

Le cadre de l'école (locaux, corps professoral et administratif, bientôt de nouveaux équipe-ments et ambiance et Spartaculte, on compte sur vous) est très apprécié et reconnu.

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Une note d'évaluation établie d'après différents cri-tères dont ceux cités précédemment, attribue à l'école la note de 4,1/5 sur des dizaines d'avis re-cueillis.

Le cursus fait également l'objet de beaucoup d'avis favorables. La troisième année, étape incontourna-ble, nous envoie aux quatre coins du globe au sein de près de 75 universités partenaires, un nombre de partenaires en développement permanent !

75 partenariats, c'est aussi plus de 50 pays où aller et autant de façon différente de faire la fête ! Promo

2018, ça arrive !

Finance, International Business, Audit et conseil, Luxe, création d'entreprises et bien d'autres sont au-tant de débouchés possible à l'obtention du di-plôme. Que tu sois ingénieux, innovateur ou leader dans l'âme, tu as ta place à EDC Paris Business School ! Maintenant, on compte sur l'équipe Promo pour mettre en avant cette montée en puissance au-près de la future promotion 2020 !

EDC family, proud of our School !

- 1ère en terme de création d’en-treprise

- 1ère en relations au monde professionnel

- 2ème pour son réseau d’an-ciens

- 3ème en terme de proximité avec les entreprises

- 8ème en terme de salaire 3ans après la sortie

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What’s Up With the Profs?

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Le corps professoral :Nous tairons l'appréciation générale

Les Conseils :

- Soyez plus impliqués dans vos études, devoirs et projets.

- Arrivez avant l’heure, puisqu’arriver à l’heure ne vous convient pas

- Ne craignez pas le corps professoral et l’administration. Ils vous aideront du

mieux qu’ils peuvent et ce sera un coup de pouce de géant!

Les Gueulantes à retenir :

« Vous ne pouvez pas avoir le dernier mot. Ayez la courtoisie de me le laisser. »

« Il est interdit de manger dans les salles »« Rendez vos travaux en temps et en

heure. »« Lorsque vous parlez je me tais, lorsque je parle vous vous taisez : c’est ou vous

ou moi »

Ces avis sont retransmis de manière synthétique et générale

L’administration :

Sachez que nos responsables administratifs sont «grosso modo» contents de nous, même s’il y a tou-jours quelques-uns qui entachent ce tableau, la ten-

dance générale est bonne !

Mme Richiez s’est même exclamée que nous étions «Super» !

Les Conseils :

- Soyez plus responsables, consultez vos comptes Zimbra quotidiennement, c’est très important; sur-tout que vous pouvez les avoir sur vos smartpho-

nes maintenant.

- Mme Leparoux envoie régulièrement des offres de job étudiant et d’offres de stage de fin d’année sur vos mails. A lire pour ne pas se plaindre en

fin d’année

Les Gueulantes à retenir :

- « Vous devez représenter l’école et ses valeurs, ce n’est pas en jean troué que vous pourrez le

faire. »

- « Eteignez vos portables en cours. »

- « Il est interdit de manger dans les salles »

- « Si vous ne consultez pas vos mails ne soyez pas surpris si les offres de stage de Mme Lepa-

roux vous passent sous le nez. »

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Pour  finir,  nous  avons  concentré  le  «general  advice»  sur  l’utili-­‐

sation  des  outils  virtuels  de   l’intranet.  Ce  serait  dommage  de  

négliger  ces  outils  mis  à  notre  disposition  :  

Claroline   (comprenez   :   cours   en   ligne)   et   CrossKnowledge  

(comprenez   :   plateforme  d’apprentissage   en   ligne)   nous   per-­‐

mettent  de  parfaire  vos  connaissances.

Anecdote du mois

Mr Pesso : « Je me souviens d’un gala il y a 2 ans durant lequel certains étudiants inhibés (très légèrement bien sur) m’avaient confondu avec un agent de sécurité à l’entrée des toilettes et me demandaient l’autorisation pour pouvoir y rentrer. Cela m’avait fait beaucoup rire. »

« Pour rappel, l’abus d’alcool est dangereux pour la santé... et votre crédibilité ;) »

General  Advice

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7Avec l’aide de BABEL.

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Under the Spotlight : ERASMUS

Afin de mieux vous préparer aux départs

à l’étranger, nous avons trouvé judicieux

de vous présenter quelques élèves qui

sont en ERASMUS aux quatre coins du

monde.

Quelles ont été les difficultés rencon-

trées, les barrières à franchir, les étiquet-

tes, les choses à éviter...

Nous avons décidé d’interroger des élèves

actuellement à l’étranger pour leur année

ERASMUS. Pour cette première fois, nous

nous sommes concentrés sur l’Amérique

(Nord et Sud) et plus particulièrement

sur les Etats-Unis, le Mexique et le Brésil.

L’équipe du Journal a réussi, pour vous, à

recueillir des avis, ressentis et feed-back

des élèves en ERASMUS à Fortaleza au

Brésil, Santa Fe au Mexique et Santa Bar-

bara, (Cal) aux Etats-Unis.

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Julie Taguercift, peux-tu nous délivrer tes premières impressions sur ton départ au Mexique, une sorte de feed-back jusqu’à maintenant ?

«  Depuis que je suis arrivée à l’EDC Paris Business School, je savais que mon échange se ferait en Amérique du Sud, mais je ne savais pas dans quelle université ni dans quel pays. Dès que l’on a commencé à nous parler de l’Erasmus, mon choix s’est tourné vers le Mexi-que, car j’avais eu de très bons retours sur ce pays, et cela m’a donné envie de découvrir la culture, mais aussi de rencontrer les gens de ce pays, tout en apprenant une nouvelle manière de travailler au niveau des cours. Je ne savais pas quel campus choisir car il y en a 4 que l’EDC Paris Business School propose : Guadalajara, Queretaro, Santa Fe et Ciudad de Mexico. Je suis donc allée demander conseil à Madame Chiaramonti qui m’a proposé deux campus qui pouvaient être bien pour ma future spécialisation. J’ai fini par choisir le Tec de Monterrey à Santa Fe, et aujourd’hui, je ne le regrette pas du tout. Je découvre une nouvelle manière de communiquer au niveau du marketing, mais aussi de négocier. J’ai aussi choisi Santa Fe car l’université est collée à Mexi-co, tout comme la Défense pour Paris, et que je voulais absolument pouvoir vivre dans cette ville hors du commun. Aujourd’hui, j’étudie donc à Santa Fe et je vis dans un quartier d’étrangers expatriés dans Mexico qui s’appelle la Roma Norte.

Les recommandations que je pourrais donner aux futurs EDC-Mexicains sont par exemple de chercher un appartement ou une maison avant de partir (de façon à avoir des visites dès votre arrivée). La colocation est primordiale à Mexico, comme cela, vous pratiquerez l’espagnol et l’anglais tous les jours. Quand nous étudions au Tec de Monterrey dans le campus de Santa Fe, il est préférable d’habiter dans Mexico dans les quartiers comme la Condesa ou encore la Roma, ce sont des quartiers d’expatriés qui ne sont pas dangereux et qui sont quand même très animés que ce soit le soir en semaine, ou le dimanche. Quand nous prenons un taxi la nuit, il faut toujours négocier le prix car quand ils voient que nous sommes étrangers, ils essayent de monter les prix. En journée, il est préférable de de-mander le TaxiMetro qui est l’équivalant du compteur en France.  »

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Passons désormais à Capucine Colboc, peux-tu à ton tour nous délivrer tes impres-sions sur ton Erasmus au Brésil ?

C’est l a p remière année qu’EDC Par is Bus iness School effectue un échange académique au Brésil. Nous sommes avec Margaux LA-FITE et Hugo PONTONI les « cobayes » de cette expé-rience. Et nous en sommes ravis. Le Brésil rime avec foot, soleil, «coconut», pla-ges, reggae, palmiers, fêtes … Et c’est exactement ça, la vie ici est « tranquillo » ou en-core « so o filé » comme les brésiliens le disent. Nous nous rendons compte comme les pa-risiens vivent de manière pressée. Nous nous rendons comptes des opportunités que nous avons que d’autres pays n’ont pas. La ville Fortaleza où nous sommes au Brésil est une des villes les plus dangereuses du monde. Nous sommes souvent sur nos gardes, nous fai-sons attention aux choses qui nous entourent, mais ceci est devenu une habitude. Les bré-siliens aiment aider, ils aiment partager les choses de la vie, nous faire apprendre des cho-ses brésiliennes, ils sont très fiers de leurs origines, de leurs cultures et sont très croyants. Ils dégagent la joie de vivre, ils n’ont pas besoin d’énormément de choses pour apprécier les choses de la vie à leur juste valeur. Je recommande vivement cette destination aux fu-turs étudiants, si vous souhaitez être dépaysés, et surtout si vous souhaitez découvrir des paysages hors du commun : le Brésil est pour vous. Avec une petite Caipirinha à la main bien évidemment … !

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Enfin, finissons avec Antoine Huart qui est actuellement à Santa Barbara en Califor-nie (EU), quelles sont tes impressions sur ton Erasmus à l'heure actuelle ? Quelles ont été les plus grandes difficultés à surmonter ?

Je n'ai pas débattu des heures et des heures avec moi-même quant au choix de ma desti-nation. Les États-Unis me faisait rêver, et la Californie encore plus. Avant mon départ, j'ai rencontré quelques personnes qui avaient déjà séjourné à Santa Barbara, et qui m'en ont dit que du bien. Le climat, l'ambiance, et ses diversités culturelles sont les forces de Santa Barbara. C'est un endroit paisible et agréable pour y vivre. Dans l'ensemble, les Califor-niens sont très ouverts d'esprit et très accueillants avec les Français, qu'ils apprécient. De plus, nous avons la chance d'habiter sur un campus de plus de 50 000 étudiants, ce qui ne nous laisse pas le temps de nous ennuyer et ou nous avons rencontré beaucoup d'étran-g e r s . C'est une expérience vraiment très enrichissante, à la fois professionnellement et person-nellement. Nous découvrons beaucoup de concepts ici qui n'existent pas en France, ce qui nous est bénéfique quant à notre ouverture d'esprit au monde de l'entreprenariat. Nous pouvons pratiquer l'anglais fréquemment puisque nous sommes en colocation avec un américain et la majorité de nos voisins sont également américains. Pour finir, si vous avez la soif de voyager, que vous aussi vous rêviez de rencontrer le Stif-fler des fraternités (fait pour ma part), et que vous souhaitez vivre le rêve californien, alors un conseil : prenez un allé simple pour Santa Barbara.

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Tendresse, Palmier et Fraternité !

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DEVENEZ NOTRE PREMIER ASSOCIÉ

Vous avez tout à gagner !

Un proche, un contact bien placé dans une entreprise...

La JCP apporte son expertise dans le domaine des études et du conseil :

- Audit mystère- Étude de satisfaction

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- Benchmarking concurrentiel- Étude de marché

- Plan de communication

UNE ÉTUDE APPORTÉE À LA

=

UNE RÉCOMPENSE

Mais aussi...des points en plus pour l’EDC au clas-sement des ESC et la possibilité de suivre le projet

Pour plus d’informa-tions envoyez un mail à

[email protected]

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EDC Paris Business School by Raizers

EDC Paris by Raizers est une plateforme de financement participatif au service des entre-preneurs de la communauté de l’école.

EDC Paris Business School est la 1re École en France, et aussi à l’international, à avoir lancé une plateforme de ‘crowdfunding’, un système d’économie collaborative du « tous ensemble » destiné à soutenir les projets de créations d’entreprise portés par les étu-diants et les diplômés EDC Paris.

Raizers est une société fondée par deux di-plômés EDC Paris (Promotion 2009), l’une des rares à être accréditée par l’AMF (Autori-té des Marchés Financiers) en tant que Con-seiller en Investissements Participatifs (CIP)

Réalisé en marque blanche pour l’école par Raizers, nouvel acteur du secteur à l’échelon européen, le dispositif s’impose aujourd’hui

comme un outil complémentaire au fonds d’amorçage EDC Capital, lancé par EDC Pa-ris en 2006.

« Avec EDC Capital, le ticket est de 50.000 euros, explique Amine Chelly, enseignant-chercheur et responsable de l’entrepreneuriat au sein de l’école. Sur EDC Paris by Raizers, les levées de fonds pourront être d’un mon-tant inférieur ou au contraire beaucoup plus élevé. »

Lever des fonds auprès des élèves, des an-ciens élèves, du personnel … et plus large-ment auprès du réseau de l’école. C’est l’ob-jectif de cette nouvelle plateforme de finance-ment participatif, inédite au sein d’une grande école de commerce comme EDC Pa-ris Business School.

L’equity-crowdfunding

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La Force des Anciens

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Parkadom

  Parkadom   est   une   communauté  

de  partage  de  parkings  entre  parti-‐‑‒

culiers  en  France.  Ce  projet  a  rem-‐‑‒

porté   le   Prix   d'excellence   ce   qui,  

de   ce   fait,   démontre   l'originalité  

du   projet,   le   potentiel   développe-‐‑‒

ment  qu'ils  pourront  apporter  à  ce  

dernier  et  la  capacité  entrepreneu-‐‑‒

riale  des  co-‐‑‒fondateurs.  Cette  com-‐‑‒

munauté  permet  aux  propriétaires  

de   places   de   parking   de   mettre  

ces   dernières   en   location   et   donc  

de  gagner  de  l'argent.  Dans  un  se-‐‑‒

SidereoBesoin  d'une  stratégie  mobile  ?  Je  vous  présente  SIDEREO.  Ils  sont  4  jeunes,  

dynamiques.  Un  des  co-‐‑‒fondateurs,  Ulrich  ROZIER,  sort  de  EDC  Paris  Business  

School.    

Sidereo  vous  aidera  à  concevoir,  développer  et  mettre  en  route  une  solution  

nomade.  Tout  en  vous  conseillant  sur  la  communication  et  la  promotion  de  vo-‐‑‒

tre  offre.  Cette  entreprise  (SARL)  est  en  activité  depuis  un  an  et  possède  un  

Raizers

En  activité  depuis  moins  d'une  année  et  possédant  

un  capital  social  de    55  000  euros,  Raizers  est  une  

plateforme   de   financement   participatif   au   service  

des   entrepreneurs   qui   permet   aux   entreprises   de  

lever  des  capitaux  moyennant  une  prise  de  partici-‐‑‒

pation   des   investisseurs.   Elle   est   fondée   par   Gré-‐‑‒

goire   Linder,   Maxime   Pallain,   EDC   Paris   Promo  

2009,  et  un  autre  associé  Danois,   Jesper  Fjordbak  

en   2014.   Déjà   lancé   en   France,   ils   prévoient   de  

sʼ’implanter   en   Suisse   en   mars   2015   et   au   Dane-‐‑‒

mark  en  avril-‐‑‒mai.

Cinq   raisons   de   choisir   Raizers   en   tant   quʼ’investis-‐‑‒

seur  :

-‐‑‒  Accessibilité  :  un  ticket  dʼ’entrée  à  partir  de  500  €.  

-‐‑‒  Fiscalité  :  des  avantages  fiscaux  nombreux.

-‐‑‒  Simplicité  :  des  solutions  innovantes  pour  faciliter  

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SuperBowl XLIX

« Pile ou face? On estime que plus d’un million de dollars ont été misé sur le « pile ou face » visant à déterminer le côté du terrain et la possession du ballon en début de match. »

Le Super Bowl est un évènement sportif incontournable aux US et le plus attendu par des centaines de millions de person-nes dans le monde. Nous, français, ne mesurons pas l’importance de cette folie outre-Atlantique, mais laissez moi vous re-transcrire ça.

1967

48 ans après sa création, le Super Bowl est aujourd’hui la star des programmes : sur les dix meilleures audiences de tous les temps aux États-Unis, la moitié d’entre el-les sont survenues lors des Super Bowls. Aujourd’hui, cette finale peut être suivie dans plus de 200 pays et recueille une au-dience supérieure à 110 millions de télé-spectateurs chaque année aux Etats-Unis (chiffres d’audience mondiaux censurés). Vous vous en doutez, avec des chiffres

d’audience d’un tel niveau, le coût des an-nonces publicitaires atteint des sommets. En 2012, l’une des années records, il fallait payer 4 millions pour espérer passer ne se-rait-ce que 30 secondes sur le fameux écran géant. Cette année, la seconde coû-tait pas moins de 150 000 dollars, je vous laisse calculer les 30 secondes (réponse : 4,5 millions les 30 secondes, quelques ba-guettes quoi ! ).

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265C’est le nombre de publications, de men-tions « j’aime » et de commentaires que Fa-cebook a enregistré en janvier sur la seule journée du Super Bowl. Pas la peine de vous précisez là qu’il s’agit d’un record. Ah autant pour moi, une précision oubliée, le chiffre est en million.

Mais cet évènement n’est pas seulement un record sur le plan médiatique, c’est aus-si le jour de tous les excès, y compris les excès alimentaires. Le Super Bowl est le jour où les américains consomment le plus de nourritures et de boissons aux États-Unis, juste derrière l'Action de grâces, se-lon l'association American Institute of Food Distribution.

1,25 milliards

C’est le nombre d’ailes de poulet que les américains ont mangé durant le Super Bowl, soit l’équivalent de 4 ailes par habi-tant. Ce chiffre est similaire à celui de 2014

et a été mis en ligne par le syndicat des producteurs de poulet, le National Chicken Council. Vous l’avez compris, le Super Bowl est la bête noire des poulets (R.I.P). Mais manger donne soif, bien évidem-ment. Ainsi pas moins de 325 millions gal-lons de bière ont été descendu durant cette partie de football. Moi, j’applaudis.

Ces trois chiffres vous démontrent à quel point une folie saisie les Etats-Unis ce jour de janvier.

Pour terminer ce moment de lecture déme-surée, un petit best of des paris insolites sur le Super Bowl 2015 :

- Idina Menzel oubliera-t-elle un ou plu-sieurs mots de l’hymne national qu’elle va chanter ?

- Combien de fois verra-t-on sur les écrans du stade le mannequin Gisele Bundchen, compagne de la star des Patriots, Tom Bra-dy ? (En même temps, c’était un ange Vic-toria’s Secret)

- De quelle couleur sera le sweat porté par le coach des Patriots, Bill Belichick ?

- Verra-t-on ce même Bill Belichick sou-rire pendant le match ? (il ne sourit jamais)

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- Quelle sera la conséquence de ce Super Bowl sur le Down Jones ? Va-t-il monter ou régresser ?

- De quelle couleur sera la boisson Gato-rade versée sur l’entraîneur de l’équipe vic-torieuse ?

- Marshawn Lynch empoignera-t-il son en-trejambe après avoir marqué un touché? Comprenez touchdown. (Gains : 5 fois la mise).

Alors s’il y a bien un jour dans l’année où il faudrait vivre comme un américain, ça doit bien être celui-là, alors oubliez Hallo-ween et attendez le Super Bowl !

Encore merci à l’équipe de Promo pour ce moment hot-dog et Super Bowl !

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« To-Do » list du Ga-

Mesdemoiselles,

Trouvez la tenue qui vous mettra le plus en va-leur et vous rendra irrésistible. Comme vous l’avez maintenant compris, le thème est Caba-ret. Nous vous attendons donc toutes plus bel-les que jamais, vêtues de vos robes à franges, ou à jabots, longues, ou courtes, noires, ou colo-rées, à vous de choisir et de nous faire rêver. Pour cela vous avez un large choix sur les sites de ventes en ligne :

Asos.com, net-a-porter.com, vente-privee.com ou showroomprive.com

Naturellement, vous n’êtes pas des filles pour rien, c’est pourquoi après la tenue on n’oublie pas la manucure, (la pédicure si vos talons sont ouverts), la maquilleuse et le coiffeur pour être belle de la tête aux pieds. Pour les accessoires vous trouverez de tout sur les sites comme asos ou net-a-porter mais aussi sur ohmynode.com ou zalando.fr par exemple.

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Par Julie BarberaVoici nos conseils pour bien se préparer pour le Gala :

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Messieurs,

Ne vous inquiétez pas, nous ne vous oublions pas.

De charmantes demoiselles ne méritent-elles pas de charmants cavaliers ? Pour cela sortez votre plus beau costard ... et hop au pressing. Les hommes n’ont pas autant de liberté dans le choix de l’outfit : costume sombre et/ou brillant, chemise blanche (à ja-bots si possible). Le smoking est requis, le costume est de mise et les baskets sont complètement prohi-bées, alors faites vous beaux, classes, de vrais gentle-men pour faire rêver toutes celles que vous croiserez et pourquoi pas conquérir celle que vous désirez. Vous trouverez de quoi faire sur asos.com, topman.fr, sur mrporter.com ou encore suitsupply.com.

Pour les accessoires n’hésitez pas, c’est la seule soirée ou vous pourrez vous mettre sur votre «32» alors lâchez vous : noeuds papillons, cravates, cravates du far-west (Bolo Tie, voir photo) avec Cabaret comme thème, ça passe !

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10 minutes de Buzz !

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La minute du Mélomane

The Avener / Fade out linesShakka / When will I see you againMark Ronson & Bruno Mars / Uptown FunkImagine Dragons / I Bet My LifeCommon & John Legend / GlorySIA / Elastic HeartD’Angelo / Really LovePharrell Williams / Girl (Album)Big Sean / Dark Paradise (Album)Coup de <3 :Omi /Cheerleader (Felix Jaehn Remix)

La minute RéalitéLa course du Raid 4L Trophy est une course de voiture en Renault 4 qui traverse la France, l’Espagne et le Ma-roc. Ce parcours emprunté par des jeunes entre 18 et 28 ans possède aussi un aspect humanitaire. Les partici-pants récoltent des dons qu’ils distribuent à leurs arri-vées aux jeunes écoliers défavorisés. Des étudiants de EDC Paris Business School y participent.Bravo et bon courage, nous vous soutenons.

La minute Expos. Les couleurs de l’abstraction au Musée d’Art Moderne de Paris. Jeff Koons au Centre Pompidou. Les mayas au Musée du quai Branly. Studio Ghibli au Musée des Arts Ludiques. Klimt et l’art viennois à la Pinaco-thèque. Harry Potter à la Cité du Cinéma

La minute du Cinéphile

Oui, nous attendons tous les sorties de 50 nuances de Grey, Jurassic World, (Fast) Furious 7, le début de la saison 5 de Game of Thrones. Mais en attendant :

- Les nouveaux Sauvages de Pedro Almodovar

- Kingsmen avec Colin Firth et Samuel L. Jackson

- Hackers de Michael Mann avec Chris Hemsworth

- L’affaire SK1 de Frederic Tellier

- Papa ou Maman avec Marina Fois et Laurent Lafitte

- Un homme idéal avec Pierre Niney et Laurent Lafitte

- Invincible d’Angelina Jolie

- Still Alice avec Julianne Moore et Kristen Stewart

Vous vivez à Paris ! Métropole cosmopolite,Ville des lumières, vous êtes dans la fleur de l’age, utilisez votre temps à bon escient.

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La minute étudiante/association

L’entreprenariat est ancré dans l’esprit de l’école et comme nous avons vue, elle

en est récompensé («EDC Paris à la cote») et elle continue d’oeuvrer dans ce sens («EDC Paris by Raizers»). En son coeur, une association a démontré son coté entrepre-neurial en utilisant une plateforme de crowdfunding (financement participatif) afin de fi-nancer le 61ème Gala : Ladies and Gentlemen, comme vous devez le savoir, c’est l’as-sociation Gala EDC. Cette dernière se comporte en digne ambassadrice de l’EDC Pa-ris Business School. Elle a diversifier ses sources de financement afin d’organiser l’évè-nement le plus important de l’année. Un évènement prestigieux qui se doit de représen-ter au mieux le meilleur de EDC Paris.Pour cette initiative et sa gestion nous tirons notre chapeau à l’association Gala EDC.Ils montrent parfaitement que des entrepreneurs se cachent derrière cette image de pres-tige.

La minute du Geek

Clash of Clan?! L’hystérie pour ce jeu de stratégie envahie le métro, les pau-ses, même les boites de nuit - certains se reconnaissent. La mélodie d’ouver-ture du jeu est même entendu en cours, pour ceux qui oublient de mettre leur téléphone sur vibreur.

A coup de géants, trolls, sorcières, archers, magiciens, robots de feu et j’en passe, les joueurs s’affrontent entre eux ou entre «Clans». A quand un «Clan» EDC Paris Business School... par promo. On vous laisse y songer.

L’apogée pendant le Superbowl avec un spot publicitaire avec Liam Neeson, je vous laisse le découvrir ici. #clashofclan #revenge

Disponible pour IOS et Android

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La minute Boites/Bar

Découvrez vous plutôt que vous en-crasser dans la routine, vous aurez le temps pour ça plus tard. Il y a bien sur les Feuillantines mais nous avons pensé à d’autres lieux :

Au Bonheur des damesPapillonLa ConcrèteLa Leçon

La minute BouffeNon loin de l’EDC Paris Business School, vous trouverez. Big Fernand et son burger Bartholomé (Metro 1 - pont de Neuilly)

. New York Factory Café à la Défense dans le centre commercial les 4 temps

. Grazie, une pizzeria incroyable, regardez le menu avant d’y aller et réservez 1 à 2 jours avant (Metro 8 - Filles du Calvaire)

. Un restaurant japonais? allez rue Saint-Anne dans le 1er, vous vous retrouverez à Hokkaido

La minute Shopping- Votre robe ou smo-

king pour le Gala bien sur !

- Adidas Superstar dès maintenant

- Apple iWatch en Avril, de $359 à $17000 ! !

- N o u v e a u x smartphones Vita-min

La minute Concert/Spectacles

Je sais que vous vous en voulez d’avoir raté D’Angelo et

The Kooks en Février. Je sais que vous attendez les dates

de Black M et Calogero mais ... nous non on est plutôt

Johnny Halliday, «Rester Vivant», il nous montre com-

ment. Asaf Avidan le 18 Mars, Nicki Minaj le 26 Mars et

Lionel Richie le 29 Mars au Zenith.

Rien de très intéressant à venir en somme. Nous atten-

dons la fin du printemps pour voir éclore une sélection

plus sympathique.

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Le PPCD" On m'a payé 7000 dollars pour que je fasse la queue pendant deux semaines devant l'Apple store ".

Pire encore, qui pourrait un jour oser échanger sa maison contre un rectangle de 4,7" ?

Déjà deux (Are you serious guys ? !) l'un en Autriche, l'autre à Détroit.

La firme de Cupertino a récemment été élue la marque la plus chère au monde (top branding value) devant deux autres géants, Google et Coca cola.Apple per-turbe le monde et chamboule les esprits, provoquant une vraie folie autour de cha-cun de ses produits. Le dernier bébé, l'iPhone 6. Fidèle aux bases Apple concer-nant la souplesse, l'interface et la simplici-té, ce nouveau «joujou» bouscule légère-ment la lignée iPhone en offrant une forme différente et surtout plus grande du mo-dèle aux fans. Le petit Plus est paradoxale-ment grand. Surprise ? Le grand frère de l’iPhone rencontre un succès surprenant. Apple se serait-il lancée dans une nouvelle aventure à la dimension plus large ? A sui-vre.

En attendant, quelques illustrations chif-frées car l'i6 c'est certes d'immense sensa-

tion au touché (cf. La première chute de l'iPhone 6 détenue par le tout premier acheteur au monde : RESPECT) mais c'est aussi des chiffes qui parles d'eux mê-mes : l'iPhone 6 a été vendu a plus de 10 millions d'exemplaires en 3 jours, soit plus de, 138 888 par heure, so amazing ! En bref, Apple a vendu plus de 30 millions d'iPhone 6 en un mois, mais surtout plus d'i6 plus, et peut prévoir en vendre des mil-lions d'autres avec l'arrivée des petits der-niers en Chine. On note déjà un démarrage impressionnant en Asie : 20 millions de pré commande avaient été enregistré, et plus de 2 millions d'exemplaires ont été vendu en moins de 6 heures sur le sol chinois.

Mais Apple a aussi décidé de multiplier par deux la nouveauté, car l'arrivée de l'iPhone 6 a aussi été synonyme de l'arrivée du nou-veau système d'exploitation iOS 8. Bien que plusieurs problèmes aient du être corri-

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gé au début, la version finale 8.02 est définitivement opéra-tionnelle. Ce nouveau système iOS est une fois de plus sym-bolique du fait que la marque à la pomme pousse jusque dans les moindres détails (bien caché) l'innovation. On peut déjà s'attendre a une prochaine mise à jour mais en attendant savourons le savoir faire du géant californien avec ce nou-veau iPhone 6.

Enjoy.

Petit aparté pour les plus férus de technologie, l’application iHealth, créée pour accompagner l’utilisateur dans son quotidien, apporte notamment des informations sur la qualité du sommeil et mesure avec précision l’intensité de notre activité journalière. A essayer.

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Le PGCD

Stan Smith’s

En 1964, Horst Dassler le président de l’équipemen-tier Adidas convainc l’en-traineur de l’équipe de France de Tennis, Robert Hailler, de concevoir une paire « Tennis » profes-sionnelle. Apres des pro-totypes où la semelle, col-lée, ne tenait pas, ils déci-dent de la coudre. La « Ro-bert Hailler » est née. Horst Dassler exporte la chaus-sure aux Etats Unis mais a besoin d’un ambassa-deur.

Qui d’autre que le n°1 mondial, vainqueur de l’US Open en 1971, de Wimbledon en 1972, de la Coupe Davis en 1978 et 1979 : Stan Smith. C’est ainsi que la « Robert Hailler » est devenue «Stan Smith» et que la chaussure de tennis la plus populaire nait.

Elle est si populaire que les gens pensent la Stan Smith comme une paire de chaussure et non comme un joueur de tennis. « A lot of people now think I’m a shoe. They don’t even know I was a tennis player. The shoe has really taken on a life of its own, way beyond me », confie Stan Smith

De plus la chaussure de tennis est très appréciée des skateurs. Stan Smith lui même le parlera de la versatilité des sneakers.

En 2011, Adidas décide de l'arrêt de la production de la sneaker « Stan Smith » produite depuis 1964 - manque de popularité internationale. Sachez que la

Stan Smith fait partie des chaussure les plus ven-dues au monde depuis 1988 (Guinness record).

La stratégie marketing derrière cet arrêt est ingé-nieuse.

Une fois les stocks épuisés (70 millions de paires de chaussure vendues en 2012 - Wow !)

La marque aux trois bandes laisse les fans se plain-dre de la rareté des modèles. Les réseaux sociaux vont jouer un rôle primordial : #stansmith. Avec de surcroit l’engouement pour la culture streetwear et la popularité du produit dans le monde de la mode - porté par Marc Jacobs, ex directeur artistique de Louis Vuitton et Phoebe Phillo, celle de Celine. entre autre.

Adidas crée un engouement presque invivable pour certains fans.

Elle orchestre le retour avec un plan marketing poin-tu dont les piliers sont des ambassadeurs de renom (du monde de la musique et de la mode) - Raf Si-mons (directeur artistique de la maison Dior), Pharrell Williams, et des concepts store - Colette par exem-ple.

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En janvier 2014, c’est la razzia ! La paire de sneakers est en rupture de stock chez tous les revendeurs en l’espace de quelques jours. Adidas, en raréfiant l’offre, a réussi a capter une clientèle plus grande, recréer un engouement auprès de la clientèle internationale.

Pourquoi? Le confort y est pour quelque-chose mais surtout, elles con-fèrent un style impeccable et négligé. Casual mais correct à la fois. On ne peut s’en délaisser.

Chapeau à Adidas qui a su re-dynamiser son image de marque face à la rude concur-rence des équipemen-tiers et de l’omnipré-sence de Nike.

Janvier 2015, c’est au tour des Super-star d’être en haut de l’affiche

«A lot of people now think I’m a shoe. They don’t even know I was a tennis player. The shoe has really taken on a life of its own, way beyond me », confie Stan Smith

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Who's Who? Pharrell WilliamsPharrell Williams, de l’ombre à la lumière

Certaines chansons prennent parfois d’assaut votre été. Elles s’installent avec vous et rythme votre été. Certaines peu-vent devenir désagréable à ré-écouter, (Eiffel 65, Gala, Scatman.. Britney - les débuts), mais d’autres continuent de mettre de l’ambiance qu’importe le nom-bre de fois entendu.

Boys (remix) - Britney (phase de maturi-té), Senorita - Justin Timberlake, Get Lucky - Daft Punk, Drop It Like It’s Hot - Snoop Dogg, Blurred Lines - Robyn Thicke... Et j’en passe.

Derrière toutes ces musiques, toutes ces sonorités, car c’est ce qu’il incarne, une so-norité particulière, se cache Pharrell Williams.

Ce petit génie de la musique nait un début d’Avril enso-leillé en 1973, en Virginie aux Etats Unis (East Coast).

Il grandit comme un skater, son premier sur-nom est d’ailleurs Skateboy P. Son talent pour la music se manifeste tôt. Il est dans la chorale de son école et va dans des «Sum-mer Camp» pour piano et batterie. Il rencon-

tre ainsi Chad Hugo avec qui il s’associe, avec Shay Haley pour former les NepTunes en 92. Ils produisent dès la fin du lycée des artistes Rap et Hip Hop (Blackstreet, N.O.R.E., Mase, Mystikal, Jay-Z). Ils con-quièrent le monde à coup de mélodie et «Rui-Zemm» ( accent anglais pour le terme Rythm).

Les critiques les encensent.

Ils produisent la chanson « I’m a slave 4 U » de Britney Spears en 2001 et forment un groupe de rock appelé Never Ever Really Die.

Là ! C’est le succès planétaire.

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Une fois que le monde avait entendu ses sonorités, ses percutions, son sens inné pour nous faire danser grâce au son d’une voix suave, d’une cuillère tou-chant un verre, d’un « snare » et de cymbales (prêtez attention)...

Il (le monde) ne pouvait plus s’en passer.

Les collaborations minutieusement choisies lui confèrent une notoriété mondiale

Ils enchainent les collaborations à succès avec Nelly, « Hot in Here » ou encore Daft Punk, dès 2003. Ils créent leur maison de production, les Neptunes, Pharrell, fan d'astronomie et de Star Trek créera le label «Star Trak» plus tard.

Une fois le souffle Pharrell insufflé, une brise musicale vous dénude les tympans.

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Britney, Justin Timberlake, Jennifer Lopez, Shakira, Jay-Z, Kanye West, Gwen Stefani, Ma-roon 5, Big Sean, The Game, Rihanna, Mike Posner, Ludacris, Common, Beyoncé, Drake, Madonna, Franck Ocean... La liste n’en finit pas. Récemment il nous a fait se dandiner avec Get Lucky des français Daft Punk, ou encore Blurred Lines de Robin « Epais » Thicke.

Et à chaque fois... Il donne une dimension internationale aux artistes avec qui il collabore : une note géniale se dégage de son travail. Une notoriété et une reconnaissance artistique méritée : il a un vrai talent.

Faiseurs de Tubes !

Avec autant de notoriété, les collaborations ont pris rapidement une dimension marketing im-portante avec des marques de Sport et Streetwear comme Nike, pour qui il a fait les mer-veilleuses musiques des premiers « Nike Streetstyle Footbal / Basketball » avec « Stickman » (si vous ne connaissez pas, amateurs de sport, musique ou juste curieux, je vous invite à le voir : - permalien - ), Adidas avec sa gamme de Stan Smith et Superstar, ses marques Ice Cream, BBC ou encore Colette. Il aime le luxe et travaille étroitement avec cette industrie il collabore avec Louis Vuitton.

Il a su développer ses entreprises et collaborer avec des personnes incroyables. 4 Albums (les trois premiers sont incontournables) avec N.E.R.D., un projet avec feu Michael Jackson, Hans Zimmer, les collabs avec Bape, Karmaloop, Moncler, Cara Delevingne, Naomi Campbell, Takashi Murakami, les bandes originales des films Universal, Pixar ou Dream-works et « Moi, Moche et Méchant » (Despicable Me 1 et 2).

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Avec 24 nominations aux Grammy Awards, 7 Grammies gagnés, une discrétion lunati-que, Pharrell Williams est passé de l’om-bre, celle des artistes qu’il produisait, à la lumière de ses mélodies.

Mais il trouve encore le temps de donner des chances à ceux qui n’en n’ont pas.

Même s’il déambule avec un chapeau « Trendy » ou ridicule, ça dépend du point de vue, mais l’écrivain, le compositeur, le chanteur, directeur artistique, producteur, le romantique, féministe... l’Artiste (piuff) doit avoir ses raisons.

De plus on ne peut lui nier ses qualités en-trepreneuriales hors du commun. Il pos-sède son label, sa boite de production, sa maison de disque, fait parti d’un groupe à forte notoriété, écrit un livre sur les en-droits branchés, dessine pour ses mar-ques de vêtements et les grandes maisons de luxe, conçoit du mobilier... Mais c’est aussi un entrepreneur social, qui donne du sens à son entreprise, est optimiste sur le monde et la société.

Un entrepreneur, je dirais, « Happy ».

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« Happy » et la « Happy » Mania

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Le  «Trombino»  des  Etudiants2

A  EDC  Paris  Business  School,  ce  ne  

sont  pas  les  événements  et  les  activi-‐‑‒

tés  qui  manquent.  Vous,  Chères  Pre-‐‑‒

mières  années  et  ERASMUS,  lʼ’aviez  

déjà  remarqué  nʼ’est  ce  pas  ?

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Cocktail de la Femme - CDE

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Mars

➔ 2 Mars, se remettre du ski pendant 1 semaine➔ Fin de la 1ère semaine de Mars, après les DST, l'after-ski➔ Mi Mars, un Event Parrain/Fiot➔ Le 20 Mars, Laydies & Gentlemen, un des plus grands événements de EDC Paris Busi-ness School➔ Le 21 Mars, essayer de se souvenir du 61ème Gala de EDC Paris Business School

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Les prix restant sont les suivants :Forceur-> Victor HamonLe meilleur «Piéton des Pistes» -> Tiffany TougardMeilleure «Copine du Yéti»-> Zoé Desqué Première étoile-> Christelle GeorgetChambre à Apéro-> SPARTA61

Dans la Catégorie « Epique » nous avons : Adrien Durand qui gagne le prix du « chamois épique »et Gwen Perrot celui de la « chute épique » (nous n’avons de video mais le prix est mérité)

Dans la catégorie Miss et Pilier, les vainqueurs sont :Camille Houmeau - Miss STAPSZoe Bancel - Miss ELIZAetle couple Jeremy Beauman et Martin Desplan qui obtiennent le prix du meilleur « Pilier de Bar »

Dans la catégorie Spartaculte,le prix Lourdus est obtenu par Guillaume Lau-rentCelui de Vomitus, par Guillaume Dupont

Semaine au Ski - BDE Spartaculte

les prix et vainqueurs

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Semaine au Ski : le nom des chambres

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Semaine au Ski : mentions honorables

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Journée Porte Ouverte - JPO

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Pitch contest

-CDE

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Notorious

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Fiche signalétique -

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Miss EDC 2015 - Mlle Camille Faitiche

Qui es-tu ?

Camille Faitiche

Age ?

J’ai 20 ans

Post EDC Paris Business School ?

Je suis originaire de Toulon, où j'ai grandi, avec la mer, le soleil et le pastis ! !

Sinon j’ai fait un DUT en Technique de commercialisation à La Garde (Provence Alpes Cote d’Azur)

Pourquoi l’EDC Paris Business School ?

J'ai choisi l’EDC Paris Business School parce qu’elle proposait un cur-sus qui m'intéressait : l'internationalisation et la professionnalisation. D'ailleurs je pars au Brésil ! ! !

Une passion ?

Ma passion est la danse que j'exerce depuis 15 ans. J'aime aussi l'art moderne et la musique

Qu’aimes-tu faire ?

J'aime voyager, bouger, parler... (au détriment de mes professeurs ! ) et surtout rire.

Qu’as-tu fait pour être en couverture ?

J'ai dansé pour arriver ici ( couverture), j'ai tout donné pour faire ga-gner des points au bus ROSE !

Erasmus?

Fortaleza au Brésil

Petit ami ?

Non, pas le temps avec mes DST Ahaha !

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Miss EDC 2015

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In Fine3

Voila  les  «loulous»,

Le  diner  est  fini.

En  attendant  le  prochain  repas,

Nous  espérons  que  vous  avez  appré-‐‑‒

ciez  la  formule.

Profitez  bien  du  Gala  !

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Les  Contributeurs

Julie  Barbera                                                -­‐-­‐-­‐-­‐-­‐-­‐                                                      Chroniqueuse

Thomas  Perrin                -­‐-­‐-­‐-­‐-­‐-­‐                                                                      Rédacteur

Arnaud  Quilfen                                  -­‐-­‐-­‐-­‐-­‐-­‐                                                              Rédacteur

Jean-­‐Philippe  Soumah                          -­‐-­‐-­‐-­‐-­‐-­‐                                                                      Rédacteur

Thomas  Thellier                -­‐-­‐-­‐-­‐-­‐-­‐                Coordinateur

lii

L’équipe  du  Bureau  des  Arts  et  Media  est  fière  de  vous  avoir  présenté  le  Journal.

Venez nous voir dans le bureau situé dans le coin des associations.Suivez nous sur Facebook et Instagram

N’hésitez pas à nous faire part de vos impressions à l’adresse :[email protected]

BAM IT YOURSELF !

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