Ecole Primaire Saint Joseph le Château Janvier...
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Les jours, les semaines et les
mois passent rapidement : déjà 4
mois écoulés depuis la rentrée de
septembre. Si tout passe aussi
vite, c’est aussi parce que tout se
passe bien, grâce au
professionnalisme de l’équipe, au
dynamisme des associations.
Des modifications en ce début d’année scolaire 2012/2013 mais pas de transformations radicales :
Une équipe enseignante relativement stable, l’arrivée de nouvelles EVS (emploi de vie scolaire), le
remplacement de Lynn par Helen, un personnel OGEC stable avec tout de même l’arrivée d’Anita en cantine.
Toutes ces personnes sont au service du projet éducatif de l’école ; permettre aux enfants qui nous sont
confiés (des effectifs en légère baisse mais supérieurs aux prévisions) de grandir dans toutes leurs
composantes.
Des temps forts vécus ensemble :
La bénédiction des nouveaux locaux le vendredi 28 septembre par le père Marivin, délégué diocésain à
l’enseignement catholique, en présence de M. Stéphane Gouraud, nouveau directeur diocésain, fut, bien sûr,
un moment important de la vie de l’école.
L’animation de Noël a permis à l’école de faire communauté, de continuer à faire vivre la convivialité.
Que souhaiter pour l’année 2013 qui s’annonce ! La même chose : continuer à grandir ensemble dans la
sérénité, la curiosité, l’exigence, la rigueur, la joie, le respect, la convivialité, le bonheur,… à l’exemple de
Celui qui est la Lumière du monde.
Ecole Primaire Saint Joseph le Château N° 36
Janvier 2013 www.ecole-st-joseph-le-chateau-pontivy.fr
La pastorale
Dans notre école privée catholique,
l’annonce explicite de l’Evangile est importante, je dirais même,
essentielle même si elle doit se faire dans le respect des
convictions de chacun. Mais respecter l’autre ne veut pas dire
gommer les différences ou se taire. Comme l’indique notre
thème d’année, il s’agit bien de grandir ENSEMBLE.
Nous nous sommes retrouvés dans la salle de sports en début d’année scolaire, avec l’ensemble des
élèves et des personnels, pour la célébration de rentrée. Nous avons écouté l’Evangile du grain de
sénevé : la plus petite des graines mais le plus grand des arbres,… Nous avons bien sûr chanté, prié et …
semé quelques graines qui ont pris place dans l’oratoire.
Lors de la célébration de l’Avent, c’est l’Evangile de
l’annonce aux bergers que nous avons entendu en présence du père
Cado et de Catherine Moréac, nouvelle animatrice en pastorale sur
la paroisse. Pour ce temps fort qui ne peut être que préparatoire
à la fête de Noël, il y a 2 célébrations l’une pour les cycles 3 et la
CLIS, l’autre pour les cycles 1 et 2. Cela permet d’adapter les
paroles à chacun, de mieux prendre en compte la catéchèse
(parcours Anne et Léo – Nathanaël pour les cycles 3 ; Zou pour les CE1) et de choisir des chants en
fonction des enfants.
Entre ces 2 célébration, il y a bien sûr la catéchèse et l’éveil à la Foi pour les
plus petits, il y a aussi la préparation des temps forts liturgiques. Ainsi, cette
année, chaque classe était invitée à faire vivre « un arbre pour grandir » pendant le
temps de l’Avent, avec un chant commun à toutes les classes : « Quatre semaines ».
Pour les volontaires, il y a eu aussi des temps de prière à l’oratoire le vendredi midi,
pendant le temps de l’Avent : quinze enfants étaient régulièrement présents. Cela montre que l’on peut
proposer plus et différencier comme on le fait dans le domaine scolaire.
les PS1/PS2 de Mme Nio
Spectacle de Noël
Le mardi 18 décembre, nous nous sommes rendus au
Palais des congrès pour assister au spectacle de fin
d’année.
Tout d’abord, nous avons pris le car. Ce qui fut déjà un
grand événement ! Certains, un peu effrayés au
départ, ont vite pris goût à ce mode de transport.
Arrivés au Palais des Congrès, nous avons assisté à la représentation de « Zélie Les Histoires ».
Il s’agit de l’histoire d’une petite fille, Zélie, habitant au bord du fleuve Niger. Avec elle, nous
avons chanté et dansé. Puis, nous avons imité les pêcheurs lancer leurs filets et les cultivateurs
semer leurs graines.
Enfin, pour conclure le spectacle, l’une
des comédiennes, nous a expliqué
comment étaient fabriqués les
instruments de musique africains. Ce
sont, pour la plupart, des instruments
à percussions fabriqués à partir de
calebasses, des gros légumes dont la
peau est dure comme du bois.
les PS2/MS de Mme Le Maur
Le mélange des couleurs Avec l’album « Trois souris peintres », nous nous sommes
intéressés au mélange des couleurs.
Dans cet album, en mélangeant par hasard les trois couleurs primaires : le bleu, le rouge et le
jaune, les souris obtiennent de nouvelles couleurs.
Cette histoire nous a donné envie de faire la même chose. Alors nous avons fait une expérience
en classe. Comme les souris, nous avons mélangé les couleurs, mais au lieu d’utiliser de la
peinture, nous avons pris du papier crépon.
Voici notre démarche :
Tout d’abord, nous avons déchiré le papier crépon en petits morceaux.
Ensuite, nous avons associé les couleurs par 2 dans des verres :
- un verre avec du papier jaune et du papier rouge
- un verre avec du papier jaune et du papier bleu
- un verre avec du papier rouge et du papier bleu
Puis nous avons versé de l’eau dans les verres et nous avons mélangé.
Et comme les souris, nous avons été émerveillés de constater que de nouvelles couleurs étaient
apparues.
Dans le premier verre, le mélange jaune + rouge a donné de l’ orange.
Dans le deuxième verre, le mélange jaune + bleu a donné du vert.
Dans le troisième verre, le mélange bleu + rouge a donné du violet.
Comme les trois souris peintres, nous avons donc nous aussi découvert la magie des couleurs !
Alors à votre tour maintenant !
les MS/GS de Mme Coulon
L’informatique
Depuis quelques semaines, tous les vendredis matins avec la maîtresse, nous allons en salle
informatique au deuxième étage.
Nous avons découvert l’écran, l’unité centrale, le clavier et la
souris. Cette année, il y a de nouveaux logiciels. On travaille avec
« ZOUM ». C’est un petit personnage jaune en forme de
triangle avec deux pattes et deux antennes. Il nous explique ce
qu’il faut faire et nous donne des étoiles quand nous réussissons
l’exercice. Il nous faut 4 étoiles pour changer de niveaux, il y a
5 niveaux différents. C’est de plus en plus dur !
Zoum nous propose plein de jeux pour compléter des figures, se diriger dans un labyrinthe,
compter des collections, repérer des intrus dans des listes de mots, repérer des lettres, des
mots… il y a beaucoup d’activités.
Tout le monde est attentif. Tous les élèves sont
concentrés ! C’est super ! Nous apprenons en nous amusant !
les MS/GS de Mme Le Roch
Souribambelles
Dans notre classe, nous avons un nouveau jeu : SOURIBAMBELLES. Nous pouvons l’utiliser aussi
bien pour les MS que pour les GS.
Ce jeu nous permet d’apprendre à bien connaître les chiffres en faisant de nombreuses activités
de manipulation.
Pour les MS, nous avons déjà travaillé sur les chiffres jusqu’à 3. Nous savons maintenant
reconnaître le chiffre 3 sous différentes représentations (configurations de doigts,
constellations de dés, écriture chiffrée).
Pour les GS, nous avons travaillé sur les chiffres jusqu’à 5. Dans le jeu, nous devons trouver la
bonne étiquette en fonction du chiffre indiqué puis en fonction du chiffre et de la couleur. Nous
avons aussi travaillé sur les notions moins, plus et autant que.
Ce jeu nous permet d’aborder les chiffres de manière ludique. Il nous plaît beaucoup !!
les C1 bilingues de M. Le Dortz La venue de Radio Bro Gwened
D’ar Lun 17 a viz an azvent e oa daet Andrea Ar Gal, kazetennerez e brezhoneg e radio Bro
gwened, er c’hlas. Aterset ha enrollet he doa ar vugale. Ar re-se o doa kanet div sonenn. Kanet o
doa “ Me em eus un ti e kêr Pondi” ha “Setu Tad Nendeleg”. kontet o doa ar re vras ivez ur
varzhoneg desket gant ar re CP ha ar re CE1 “Miz An Azvent eo…”.
Ar re vras ‘deus displeget ivez e brezhoneg penaos e oa bet livet sapinenn Nendeleg.
Ne oa ket aes aveite kaniñ ha komz dirak ur mikro mes gi o doa kanet ha kontet a-feson. An
Abadenn a oa tremenet er radio d’ar merc’her 19 a viz an azvent.
C’hwi a c’hell selaou an abadenn enrollet ha rac’h ar sonennoù desket gant ar vugale er c’hlas
divyezheg war lec’hienn ar skol, kelc’hiad 1 divyezheg (sonennoù ha barzhonegeoù ar c’hlas).
La venue de Radio Bro Gwened
Lundi 17 décembre, Andréa Le Gal, journaliste en langue bretonne à Radio Bro Gwened, Radio du
pays vannetais et située à Pontivy, est venue dans notre classe. Elle a interviewé et enregistré
les élèves, en breton bien évidemment. Ces derniers ont chanté deux chansons, puis les grandes
sections ont récité un poème appris l’après-midi avec les CP et les CE1. Pour finir, ils ont
expliqué comment ils avaient peint leurs sapins de Noël.
Ce n’était pas facile pour eux de s’exprimer devant un micro mais ils ont su très bien le faire.
L’émission est passée le mercredi 19 décembre à l’antenne de
Radio Bro Gwened.
Vous pouvez toujours écouter l’émission et toutes les chansons apprises par les
enfants depuis septembre en allant sur le site internet de l’école et en cliquant
sur :
Cycle 1 bilingue, chants et comptines de la classe.
les CP de Mme Audren
La poursuite des explorations
Vendredi 14 décembre, l’APEL de l’école nous a permis d’aller au cinéma
pour voir un dessin animé : « Kerity, la maison des contes ». Nous avons
pris le car et nous nous sommes rendus au cinéma Le Rex. Il était
ouvert juste pour notre école.
Voici un résumé de l’histoire :
Nataniel a bientôt 7 ans mais il ne sait toujours pas
lire…
Lorsque sa tante Eléonore lui lègue sa bibliothèque
contenant des centaines de livres, Nataniel est très
déçu !
Pourtant chacun de ces contes va livrer un merveilleux
secret : à la nuit tombée les petits héros, la délicieuse
Alice, la méchante fée Carabosse, le terrible capitaine
Crochet, sortent des livres...
Ils doivent prévenir Nataniel qu’ils courent un grand danger et risquent de disparaître à jamais.
Pour sauver ses minuscules amis et leurs histoires, Nataniel, rétréci par la Fée Carabosse, se
lance dans l’aventure !
Il affrontera vaillamment le très fourbe Ramastou, les crabes géants, l’Ogre affamé...
Arrivera-t-il à temps à lire la formule magique qui les sauvera tous ?
Ce n'est pas parce que c'est inventé que ça n'existe pas !
Cette projection nous a vraiment
plu. Nous nous sommes retrouvés
dans le personnage de Nathaniel qui
ne savait pas lire. Surtout lorsqu’il
se sentait noyé dans les pages des
livres. Nous aussi, nous avons connu
cela avant d’apprendre à lire avec
Gafi.
A présent, nous remontons progressivement à
la surface et bientôt nous pourrons lire tous
les contes que nous avons vus dans le dessin
animé et participer à leur survie comme
Nathaniel.
les CP/CE1 de M. Jéhanno Une enquête
Nos deux amis les arbres de la cour ont perdu leur chevelure.
Pourquoi et qui a bien pu faire cela ?
C’est sans doute pour Noël, dit Axel.
Certains disent que c’est à cause d’un animal : un âne, dit Loanne.
Mais non, c’est un chat pour Sacha.
Quant à Clara, pour elle, c’est un rat,
Pas pour Maëlan, pour qui c’est bien l’âne.
Regardez au sol, il y a une trace de pattes, dit Agathe.
C’est plutôt un génie selon Mélanie, il était près de la cabane dit Iban !
Il est parti vers le pont, je l’ai vu, dit Manon,
- très rapidement comme l’éclair, d’après Claire.
Est-il parti vers Vannes demande Evan ?
En tout cas, c’est en caravane pour Nolann !
Mais, tout à coup, Jérémy aperçoit mamie qui a acheté des cerises pour
Ediz, une pastèque pour Mériadeg , des biscuits pour Louis ,une banane
pour Quillian .
Elle nous raconte qu’elle a vu Superman avec Nohan !
Cette coquine, dit Mayline, avait tout vu. On lui a offert
des fleurs, des iris par Maïlys.
Oh oui ! ajoute Louis, Superman souffla si fort que toutes les feuilles se sont envolées …
La nature serait-elle en panne, dit Romane ?
Ce ne serait pas rigolo, dit Malo.
Surtout pour cette date, selon Agathe.
les C2 bilingues de M. Le Dortz A la découverte du monde Ar c’hevandirioù
Ar blez-mañ emañ ar c’hevandirioù tem ar c’hlas e kelc’hiad 2. A-raok
krogiñ gant ar c’hevandirioù hon eus klasket e-menn e oa lec’hiet
Pondi, ar Morbihan, Breizh, Frañs hag Europa er bed. War-lerc’h hon
eus studiet ar c’hevandirioù da lared eo piv a oa an dud a oa é veviñ
du-hont, penaos, petra a oa kavet (loened, traoù brudet, …)
Gwelet hon eus surtout ar poblañs
hengounel a veze kavet gwezharall hag o
feson da veviñ (indianed e Amerika ha pygmées e Afrika).
Labouret hon eus dija war an Amerika ha Afrika ha chom a ra
c’hoazh da studiiñ an Oseania, AnAzia hag an Europa. Ma hon eus
amzer e vo gwelet an daou bole ivez (Antartika hag Artika).
Les continents
Cette année, le thème retenu en cycle 2 est les continents. Alors,
en cycle 2 bilingue, nous avons, avant de commencer le thème,
cherché à savoir dans quel département se trouvait Pontivy, puis où
se situaient le Morbihan, la Bretagne, la France et l’Europe sur la
carte du monde. Ensuite, nous avons pu regarder les différents
continents. Nous avons débuté par l’Amérique et avons vu qui vivait
là-bas, comment ils vivaient et ce qui s’y trouvait (animaux,
monuments, paysages, histoire,…..).
Nous avons, pour deuxième continent, travaillé sur l’Afrique. Nous
avons étudié surtout les peuples ancestraux et leurs modes de vie (les
indiens pour l’Amérique, les pygmées pour l’Afrique) ainsi que les
paysages et animaux trouvés là-bas.
Il nous reste encore à découvrir l’Océanie, l’Asie et l’Europe.
Et peut-être aussi verrons-nous aussi les deux pôles Arctique et Antarctique.
les CE1 de Mme Reuzé
A la découverte du monde de la mer
Allons, moussaillons de CE1,
barre à tribord ! Hissez les voiles… Gardez le cap !
Depuis le 10 novembre 2012, les élèves de CE1
connaissent une ambiance très marine.
C’est en effet, à cette date qu’a eu lieu le
départ du Vendée-globe et les enfants n’en
perdent pas une miette. Il faut dire que dans la
classe, on ne peut pas passer à côté de la
gigantesque carte sur laquelle figure le trajet
de la course ainsi que les bateaux.
C’est quoi le Vendée-globe ?
Le Vendée Globe est une course à la
voile, autour du monde, en solitaire,
sans escale et sans assistance, sur des
voiliers monocoques. Cette course,
très réputée en France, se déroule
tous les quatre ans, le départ ayant
lieu aux Sables-d'Olonne en Vendée
Alors, comme Tintin, ils regardent les
journaux, écoutent les informations,
vérifient sur le site officiel du Vendée-
globe et s’informent de l’évolution de la
course. Ils découpent les articles, les lisent
à leurs camarades, les affichent en classe
ou les collent dans leur cahier. Car la
question est de savoir lequel des 13
skippers encore en course arrivera le
premier ? Combien de jours lui faudra-t-
il pour boucler la boucle ?
C’est aussi l’occasion de travailler la
géographie, les mathématiques et la
littérature. L’intérêt est à son comble.
Si comme nous, le Vendée-globe vous intéresse, venez nous rendre visite dans notre classe pour suivre la course ou pour nous faire partager vos connaissances.
les CE2 de Mme Guilloux Apprentis journalistes
Les C.E.2 reçoivent le directeur pour parler de l’école et notamment de la cour de récréation.
Ils écrivent et posent leurs questions.
Coraline : Depuis quand
existe l’école ? Quand
êtes-vous arrivé dans
cette école ?
L’école existe depuis 1841, elle a été créée par des religieuses, les Filles de Jésus de Kermaria dans le
château de Pontivy, c’est ce qui explique son nom. Puis les sœurs sont arrivées sur le site actuel en 1884,
cela va faire bientôt 130 ans et elles n’ont cessé de faire des travaux. Pour moi, cela fait moins longtemps
que je suis à l’école Je suis le directeur depuis septembre 2001, il y a donc 11 ans.
Cassandra: comment était
la cour autrefois? Qu’y
avait-il comme jeux ?
Lorsqu’il y avait des sœurs à l’école, la cour dans laquelle vous allez, n’existait pas. C’était un jardin avec
beaucoup d’arbres, dans lequel elles allaient se promener, prier ; c’est pourquoi il y a une croix dans cette
cour. Avant, quand vos parents avaient votre âge, il n’y avait pas de jeux ce qui ne veut pas dire qu’ils ne
jouaient pas. Lorsque je suis arrivé à l’école, il y avait déjà la grande structure de la cour sud et la toupie.
Cassyopée: Pourquoi
n’avons-nous qu’un seul
préau ?
Parce que, avant, il n’y avait qu’une seule cour donc un seul préau.
Gabryel/ Lila : Pourquoi y
a-t-il deux cours ? Pourquoi
allons-nous sur cette cour
à partir du CE2 ? Pourquoi
les « grands » vont dans
la cour nord et les
« petits » dans la cour
sud ?
La cour sud devenait trop petite pour accueillir tout le monde ; par ailleurs, il fallait faire plus de sport à
l’école. Le jardin a donc été transformé : la salle de sports a été construite et une deuxième cour a été
créée mais elle n’était pas comme aujourd’hui.
A l’école, il y a des étapes : quand on arrive en CP, on monte au premier étage ; en CE1, on change de service
à la cantine ; en CE2, on change de cour ; en CM, on passe au deuxième étage. Cela montre que vous
grandissez et que les choses ne sont plus les mêmes. Je trouve cela très important notamment cette année
où on parle beaucoup de grandir. Enfin, en CE2, vous êtes trop grands pour monter à la structure de la cour
sud ; c’est pourquoi cela vous est interdit. Grandir, cela a toujours des inconvénients mais beaucoup plus
d’avantages car on est capable de faire plus de choses seul.
Axel : Pourquoi les parents
nettoient-ils la cour tous
les étés ?
Même si on vous demande de ramasser les papiers (d’ailleurs ce ne serait pas nécessaire si tous les enfants
les mettaient dans les poubelles), le sol des cours de récréation se salit : poussière, feuilles des arbres,
pollution,… Une fois par an, il est bon de faire un grand nettoyage. C’est peut-être ce que vous faites aussi
chez vous.
Hugo : Où va l’escalier qui
descend sous l’école ?
Cet escalier descend dans la chaufferie : c’est une pièce dans laquelle il y a la chaudière qui chauffe les
radiateurs pendant l’hiver. Bien sûr, les enfants ne doivent pas y aller, c’est pourquoi il y a un portillon.
Lucie H : Combien mesure
précisément la cour ?
Je vais avoir du mal à te répondre car la cour a une forme bizarre mais elle mesure environ 1 800 m². Cela
ne représente pas grand-chose pour vous alors je vous dirais que pour remplir la cour nord, il faudrait
2 800 tables comme cette table double.
Manuella : Pourquoi avez-
vous mis un grillage ?
Je pense que tu parles du grillage au milieu de la cour. Je l’ai fait installer pour que les garçons qui jouent
au football, n’aillent pas partout et qu’ils sachent qu’il n’y a pas qu’eux. Il y a aussi un grillage pour protéger
le jardin pédagogique et un autre pour fermer la cour.
Louise : Comment avez-
vous choisi l’emplacement
des bancs ?
A cet endroit, il y avait de l’herbe et je voulais qu’il y ait un coin où les enfants puissent s’asseoir, se
reposer. C’est pourquoi je parle du coin calme. Nous avons installé les bancs à cet endroit en forme de U
pour que l’on puisse se voir et parler. Tu as peut-être aussi remarqué que l’après-midi, le soleil réchauffe
cet endroit.
Antoine : Pensez-vous
couper le noyer ?
Le noyer est très beau et je crois qu’à l’automne, vous aimez ramasser les noix. Alors pourquoi le couper ?
Mais un conseil, ne mangez pas les noix trop vite, il faut les laisser sécher sinon vous risquez d’avoir mal au
ventre.
Mouna : Pourquoi avez-
vous coupé les arbres ?
Avant dans cette cour, il y avait des arbres notamment un énorme conifère (un peu comme un sapin) mais
cet arbre était malade. Il a donc fallu le couper pour éviter un accident ; c’est l’énorme souche en bas de la
cour. A côté du noyer, il y avait aussi un grand laurier. Il a été coupé car ses feuilles bouchaient les
gouttières à l’automne et aussi car des enfants essayaient de monter. Cela devenait trop dangereux.
Lucie T : Avez-vous pensé
à mettre de nouvelles
végétations? Pensez-vous
planter des nouveaux
arbres ?
Tous les arbustes que vous voyez dans la cour nord ont été plantés depuis que je suis à l’école. En 2005, des
enfants ont planté l’arbre qui se trouve près des bancs lorsque la cantine a été créée. C’est donc un
symbole fort, c’est pourquoi je me fâche parfois lorsque je vois des enfants qui s’y accrochent.
Paul : Pensez-vous
agrandir le jardin ?
Non, nous ne pourrons pas agrandir le jardin mais il y a déjà 12 carrés à l’intérieur du jardin et 3 carrés à
l’extérieur. Cela laisse des possibilités de plantation. Toutes les classes ne l’utilisent pas chaque année.
Sarah : Pourquoi est-ce
interdit d’aller derrière la
haie ?
Avant, cette haie le long du mur n’existait pas et des enfants grattaient le mur pour enlever des pierres.
Cette haie a été plantée par des lycéens de Kerlebost pour protéger le mur, pour faire plus joli et pour qu’il
y ait des plantes dans la cour. Quand vous passez derrière, vous risquez d’abîmer les arbustes, c’est
pourquoi nous vous l’interdisons.
François : Pourquoi avez-
vous remplacé l’herbe par
du bitume ?
En bas de la cour, il y avait de l’herbe. Au début, j’interdisais d’aller sur l’herbe mais les enfants y allaient
toujours. A force de marcher dessus, il n’y avait plus d’herbe mais de la terre et donc de la boue lorsqu’il
pleut. Les enfants se salissaient, il fallait tondre la pelouse mais tu sais le samedi, je dois déjà tondre celle
de ma maison car je n’habite pas à l’école. Avec le bitume, la cour est plus grande, plus propre et elle
demande moins d’entretien.
Alexis: Pourquoi avez-vous
mis de la « fausse herbe »,
comment avez-vous enlevé
l’herbe ?
Lorsque je suis arrivé à l’école, cette partie de la cour avait été prévue pour de la pelouse mais les enfants
marchaient tellement dessus que ce n’était que de la terre. Comme je l’ai déjà dit, avec la pluie (et il pleut
souvent en Bretagne), cela devenait de la boue et les enfants ne pouvaient plus jouer à cet endroit. Grâce
au gazon synthétique, vous pouvez toujours y aller et nous avons pu installer la structure de la cour nord.
Laura : Pourquoi avez-vous
décidé de transformer la
cour ?
Dans la cour nord, le bitume s’abîmait et par endroits, il commençait à y avoir des trous ! Il est important
que vous ayez une belle cour de récréation pour pouvoir jouer, souffler, vous détendre, vous amuser. Quand
on a bien travaillé, on a envie de s’amuser. Quand on s’est bien amusé, on est prêt à travailler.
Pierre : Combien de temps
ont duré les travaux de la
cour ?
Je pense que tu veux parler des derniers travaux. Pour refaire le bitume de la cour, les ouvriers d’une
entreprise ont retiré l’herbe et une partie de la terre, consolidé avec des cailloux, posé des bordures,
prévu l’évacuation de l’eau de pluie puis ils ont étalé et écrasé un nouveau bitue. Cela a pris une semaine
pendant les vacances de la Toussaint et je venais presque tous les jours à l’école pour surveiller les travaux
et offrir un café aux messieurs qui travaillaient.
Amandine : Pensez-vous
retracer des nouvelles
marelles ? Les limites d’un
terrain de foot ?
Oui bien sûr. Je demande actuellement des devis à des entreprises (cela sert à savoir combien cela coûte)
puis je ferai des propositions aux élèves et aux enseignants. Tu pourras donc donner ton avis Mais on ne
pourra peut-être pas faire tout ce que tu souhaiterais. Cela coûte cher et on ne peut pas dépenser plus que
ce qu’on a.
Alexane : Comment avez-
vous choisi les structures,
les jeux, les buts… ?
Il faut que cela soit solide, que cela vous plaise et que le maximum d’enfants puisse en profiter.
Marine : Depuis quand
existent les terrains de
football ?
Ça, je ne sais pas. Depuis longtemps certainement. Quand j’avais 9 ans, avec mes amis, on mettait 4
manteaux par terre et cela nous faisait des buts. Parfois on n’était pas d’accord : « C’est poteau, il n’y a pas
but » ; souvent, nos mamans n’étaient pas contentes car nos manteaux étaient sales. Nous aurions été très
contents avec de vrais buts.
Lucas : Comment avez-vous
fait pour mettre du bitume
sous les buts de football ?
J’avais enlevé les filets et les ouvriers ont déposé le bitume avec une brouette. Puis ils sont passés avec
une petite machine pour l’aplatir.
Lucie G : Y aura-t-il
d’autres jeux dans le
futur ?
Peut-être ! Mais je crois que le plus important, c’est que vous ayez des jeux pour jouer ensemble. Avec un
ballon, on joue avec les autres ; avec un vélo, on joue tout seul. Si tu as des idées, tu pourras les dire. Peut-
être faudra-t-il que je remette en place le conseil des délégués.
Camille : Aurons – nous
bientôt les longues
cordes ?
Oui bien sûr, mais l’hiver, ce n’est pas la bonne période surtout lorsque des enfants les sortent alors qu’il
pleut, car elles s’abîment vite. Mais ta grande sœur Claire pourra te dire que parfois, je fais de la corde à
sauter avec les élèves.
Nicolas : Avez-vous pensé
aux ballons de handball, au
tennis….
Vous avez déjà à disposition des ballons de football, de basket et des balles en plastique qui peuvent servir
à jouer au pied ou à la main. Je constate que des filles utilisent les ballons violets pour faire des balles au
prisonnier. Pour les balles de tennis, elles ont 2 inconvénients : elles peuvent faire mal et elles peuvent
boucher les gouttières lorsque vous les envoyez sur le toit.
Lila : Pensez-vous mettre
des nouvelles structures ?
Nous allons bientôt changer la toupie de la cour sud et j’ai une autre idée pour la cour nord (chut, il ne faut
pas encore le dire) après les tracés de terrains et de marelles. Comme je l’ai dit avant, tout cela coûte
beaucoup, beaucoup d’argent. Tous ces travaux n’ont été possibles que grâce à l’APEL et à l’ensemble des
parents ! La tombola de l’école, la kermesse et toutes les animations permettent d’améliorer les cours de
récréation.
les CE2/CM1 de Mme Gautier
Les états de l’eau
Les élèves de cycle 3 bilingue vous présentent les différentes expériences qu’ils ont réalisées
en science sur les états de la matière.
Skolidi divyezhek ar c’helc’hiad 3 a ginig deoc’h an arnodadoù graet er skiantoù a-ziar
stadoù an danvez.
Anaïs (CM1) et Antoine (CE2) : « En classe, nous avons fait une
expérience : on a mis un glaçon dans un verre et on a
chronométré le temps qu’il mettait à fondre. »
« Evit lakaat dour da vont da skorn, ez eo ret yenaat
anezhañ. Dour eo ar skorn ha da O°C e teu da vezañ
solut. »
Honoré (CM1) et Yann (CM1) : « Le glaçon est de l’eau à l’état solide. Il y avait 6
groupes de 2 élèves. Nous, nous devions laisser le glaçon fondre au soleil sur le
bord de la fenêtre. Il a fondu au bout de 34 minutes et 50 secondes. »
« Graet hon eus arnodadoù er skol. Ar skornenn a zo dour solut. »
Gwendal (CE2) et Lison (CE2) : « Pour faire fondre un glaçon, il
faut qu’il fasse plus de 0°C. Nous, nous l’avons fait fondre dans
une boîte et au bout de 18 minutes il s’était transformé en eau . »
« An dour a za da vout skorn pa vez an gwrezverk dindan
O°C. Teuz a ra ar skornenn pa vez an gwrezverk a-us da
0°C. »
Baptiste (CM2) et Léopold (CE2) : « Nous avons fait fondre un glaçon
grâce à une bougie. Notre expérience a duré 12 minutes 50 secondes, on a
été troisième ».
« Lakaet hon eus da deuz ur skornenn get un direnn. Hon arnodad en
deus padet 12 min 50, trivet e oemp. »
Charlotte (CM1) et Clotilde (CE2) : « Nous avons mis le glaçon dans un
verre. Ensuite, nous avons pris un sèche-cheveux et nous avons chauffé le
glaçon. Au bout de 9 minutes 20 secondes, il n’y avait plus que de l’eau. »
« Graet hon eus un arnodad evit lakaat da deuz ur skornenn. Implijet
hon eus ur sec’her-blev evit tommat ar skornenn. »
Hoelig (CM2) : « Pour faire l’expérience, il faut chauffer l’eau dans une
bouilloire et on met le glaçon dans le verre puis on verse l’eau chaude dans
le verre et après il fond. Le glaçon a fondu en 1 minute et 8 secondes. »
« Lakaet em eus ur skornenn en ur werenn ha lakaet em eus dour
tomm arnezhañ : teuzet en deus buhan. »
les CM1 de Mme Hanquez Bientôt la classe de neige
Depuis quelques semaines, nous préparons notre séjour en classe de neige : c’est à la fin du mois
de janvier, ça approche ! Nous avons découvert beaucoup de choses sur le milieu alpin. A vous de
découvrir une petite partie de notre travail ! Pour cela, nous avons créé des jeux pour guider
vos découvertes.
Où partons-nous ? CHARADES 1. Mon premier est le contraire de bas au
féminin.
Mon second est un déterminant possessif.
Mon troisième est parfois cassée, grave, ou
aigue.
Mon tout est notre département de destination.
2. Mon premier est le contraire de petit.
Mon second est un mot de la famille de bordure.
Mon troisième est le contraire de oui dit avec un
accent savoyard !
Mon tout est la station où nous nous rendons.
3. Mon premier est le pays où se trouve la plus
grande muraille du monde.
Mon second : quand on tourne sa tête, je pleure.
Mon troisième est un pronom personnel.
Mon tout est le village où nous séjournerons.
4. Mon premier est la première lettre de l’alphabet.
Mon second est plus laid qu’une souris.
Mon troisième s’enfonce avec un tournevis.
Mon tout est le nom du massif montagneux où nous
allons skier.
Où dormons-nous ? REBUS ET DESSIN Nous dormirons dans un grand
que voici !
Au Ski
Nous Allons
Admirer Quelques
Marmottes Bouquetins
Chocards ou Aigles royaux !
La faune des Alpes Poème « boule de neige » : nous avons ajouté une
lettre à chaque vers.
Devinettes 1- Je suis marron, aime le miel et me gratter sur les
arbres, mais j’ai disparu des Alpes. Qui suis-je ?
2- Je suis un mammifère, mon doux pelage est gris brun l’été, puis devient blanc l’hiver. Qui suis-je ?
3- Je suis un rongeur qui hiberne tout l’hiver, bien au
chaud dans un terrier. Mon poil est brun, noir,
marron. Qui suis-je ?
4- J’ai de petites cornes noires et adore bondir de rochers en rochers. Qui suis-je ?
5- Mon plumage est entièrement noir avec des reflets
métalliques, mes pattes sont rouges, mon bec
jaune, mes amis et moi sommes très nombreux
dans les Alpes. Qui suis-je ?
6- Je suis cousin du chamois mais j’ai de très longues cornes qui peuvent mesurer jusque 70cm. Qui suis-je ?
L’équipement du skieur : mots fléchés
1- Nous les mettons autour du poignet pour ne pas perdre le bâton.
2- Ils nous protègent les mains du froid et du vent.
3- Nous le mettons pour ne pas avoir froid aux oreilles.
4- Il nous préserve la tête en cas de chute et le mettons toujours pour skier.
5- Ils servent à glisser sur la neige.
6- Ils aident les bons skieurs à prendre de la vitesse mais peuvent gêner les skieurs débutants.
7- Elle nous permet de garder le corps à l’abri du froid et de l’humidité.
8- Il nous protège les yeux du soleil et du vent.
9- On y attache solidement nos chaussures de ski.
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les CM1/CM2 de Mme Ezannic
Les dangers domestiques de l’électricité Soyez au courant !
Nous vous proposons un petit jeu : indiquez pour chaque dessin, la situation qui lui correspond.
Situation E - Hep monsieur ! Connaissez-vous les dangers de l’électricité ?
Regardez au dessus de votre tête. L’ampoule va tomber dans le lavabo et vous avez les
pieds dans l’eau ! Vous pouvez vous électrocuter !
Pensez à changer votre éclairage, mettez un néon …et essuyez le sol.
Situation A - Stop petit
garçon ! Débranche ton
batteur, nettoie-le avec
une éponge humide.
Situation D - Attention mon
enfant ! Tu pourrais t’électrocuter
en mettant le couteau dans ce
grille-pain. Enlève la prise avant
de récupérer ta tartine.
Situation C - Oh ! Attention petit ! Tu découpes
une feuille avec tes jolis ciseaux mais ne les
mets pas dans la prise car le fer est un matériau
conducteur. Tu vas t’électrocuter. Pour plus de
sécurité, il faut installer un cache sur chaque
prise.
Situation B - Quelle inconsciente ! Ce radiateur électrique
en équilibre sur l’étagère va tomber dans le bain.
Romane, équipe- toi d’un radiateur mural ou d’un chauffe-
serviette.
la CLIS Mme Lavenant
Des activités en CLIS
Atelier mathématiques
Voir les nombres autrement : apprendre à compter avec un nouvel outil, le boulier japonais
Nous avons utilisé en classe le boulier japonais, le soroban,
pour visualiser des nombres et aussi calculer des additions.
Nous verrons plus tard comment faire des soustractions avec
ce matériel.
On en fabrique un en choisissant de peindre les perles qui
symbolisent les unités, dizaines et centaines avec des couleurs
différentes pour mieux se repérer.
La 1ère colonne (en jaune) donne le chiffre des unités, la 2ème (en rouge), celui des dizaines, la
3ème (en vert) celui des centaines.
Pour plus d’explications, venez voir dans la classe…
Un projet : « un arbre pour grandir »
Nous nous intéressons depuis septembre à un être vivant qui
se trouve dans la cour : le noyer. Nous l’avons observé,
dessiné, touché, en septembre et nous faisons de même à
chaque saison. On se rend compte des transformations et on
se pose des questions : quand, comment, pourquoi ? Grâce à
quoi vit-il ? Comment s’adapte-t-il à chaque saison ?
L’observation et le toucher de l’écorce de l’arbre nous
serviront également plus tard dans l’année lorsque nous
ferons un travail en gravure. A suivre…
MEUBLE, LITERIE, SALON, CUISINE,
ELECTROMENAGER, DECORATION, …
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