Écho des Caps n° 1322

00] écho des caps n° 1300 • vendredi 6 juillet 2012

]Ville de Saint-PierreHebdomadaire municipal gratuit n° 1322 1er mars 2013

des

≥ Trophée Roses des SablesChristelle et Valérie : nouvel équipage

Rencontre avec les dirigeantsd’Europe AIRPOST p. 03

Alcool : les jeunesen danger p. 05

≥ Prévention ≥ « Cols Bleus »≥ Agenda du Sénateur-Maire

l’écho capsArchipel de Saint-Pierre-et-Miquelon

Le dimanche 10 mars à 14 h 30

La France et ses ressourceshalieutiques p.08

Tarif unique de 3€ au profit des Terminales du Lycée

ILS SONT FOUS CES ANGLAIS !

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02] écho des caps n° 1302 • vendredi 28 septembre 201202] écho des caps n° 1305 • vendredi 19 octobre 2012

Tabac, alcool,drogue…Un projet de la PJJ et de l’APS

≥ prévention

La Protection Judiciaire de la Jeunesse et l’Association Action Prévention Santé ont sollicité les jeunes pour créer des illustrations préven-tives sur le thème des consommations à risques (tabac, alcool, drogues).Ce projet s’est mis en place en partenariat avec la Municipalité de Saint-Pierre qui par le biais de l’Écho des Caps diffusera chaque semaine undessin sur la prévention estimant que « mieux informés sur les drogues et toutes les autres sortes d’addictions, les jeunes seront aussi mieuxprotégés ». •

Dossier préparé par Jean-Louis Mahé écho des caps n° 1322 • vendredi 1er mars 2013 [03

Les actions du Sénateur-Maire

≥ Rencontre avec les dirigeants d’Europe AIRPOST

Jeudi 21 février, le Sénateur de l’Archipel s’est longuement entre-tenu avec M. Jean-François Dominiak, Directeur Général d’EuropeAIRPOST (à droite sur la photo) et M. Eric Vincent, Directeur Com-mercial et du Programme de la compagnie qui est membre dugroupe ASL Aviation. Le Président de la CACIMA Xavier Bowring assistait à l’entretien.Le court séjour à Saint-Pierre de MM. Dominiak et Vincent, à peine36 heures, était en fait une visite exploratoire qui s’inscrit dans lecadre du développement normal de la compagnie aérienne qui estbasée sur les aéroports des plus grandes villes de France et àDublin.Ses Boeing 737 lui permettent d’effectuer actuellement des volspassagers et des vols cargo à destination de toutes les grandesvilles européennes, du Bassin Méditerranéen et d’Afrique.

« Aujourd’hui, nous sommes le premier opérateur dans le monde deBoeing 737-300 Quick Change, des avions convertibles transpor-tant du fret express la nuit et des passagers le jour. Nous sommeségalement l’une des toutes premières compagnies aériennes fran-çaises à exploiter des avions au départ de 13 aéroports de provincepour le transport de passagers charters. Nous installons de nou-velles bases en Europe pour nos avions. L’intégration du Boeing737-700 “tout passagers“ dans notre flotte nous permet d’élargirnotre offre commerciale en proposant des destinations plus loin-taines », explique le Directeur Général d’Europe AIRPOST dans labrochure qui a été remise lors de leur réunion à la Mairie de Saint-Pierre.Le slogan de la compagnie : « faire voler des avions au service deshommes ». •

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≥ Fête de Saint-Pierre 2013 : « Saint-Pierre, le berceau des Terre-Neuvas »

vie municipale

Tous à vos archives ! La Commission municipale Fêtes et Loisirs et l’Association Saint-Pierre en Fête lancent un appel à photos pourl’exposition de la 4e édition de la Fête de Saint-Pierre dont le thème est cette année : « Saint-Pierre, berceau des Terre-Neuvas ».Si vous possédez chez vous des photographies, des diapositives et tous autres documents en relation avec cette thématique, n’hésitezpas à nous les apporter à l’Écho des Caps ! Les organisateurs de l’événement vous remercient par avance.« Saint-Pierre, berceau des Terre-Neuvas » couvre la période 1950-1990. Tous les documents nous intéressent : ceux qui traitent desescales dans notre port de chalutiers français et européens, ou encore des navires de la Marine nationale qui assuraient l’assistance àla grande pêche bien sûr, mais aussi ceux qui « mettent en scène » l’ambiance qui régnait dans les lieux publics de la Ville à l’occasionde ces escales et l’implication des marins dans la vie sociale et sportive du territoire.La Commission municipale Fêtes et Loisirs et l’Association Saint-Pierre en Fête comptent sur votre concours qui leur est très précieuxdans la réussite de la Fête de Saint-Pierre programmée le 29 juin ! • J.-L.Mahé

Assistance à la Grande Pêche - Photo : A. Eysseric≥

Remontée du chalut du Victor Pleven - Photo : J.P. Lefranc≥

Sur le Bois-Rosé - Photo : J.C. Marcadet

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écho des caps n° 1322 • vendredi 1er mars 2013 [05

≥ Des chiffres inquiétants

Les médias relayent chaque semaine desfaits divers de plus en plus inquiétants rela-tant des comas éthyliques au collège, desagressions sexuelles au lycée, des soiréesétudiantes mortelles… Force est de constater que les consé-quences de la consommation d’alcool chezles jeunes apparaissent dramatiques. Les experts n’ont de cesse de tirer la son-nette d’alarme.

« La consommation d’alcool chez les jeuneset ses nouveaux modes de consommationsont inquiétants, ils représentent un vérita-ble problème de santé publique », précisaitrécemment Michel Cymes, le Docteur deFrance 5. Il ajoutait : « cette consommation“jeune“ touche tous les milieux sociaux,toutes les tranches d’âge, collège, lycée etétudes supérieures … ».

En France en 10 ans la consommation d’al-cool par les moins de 16 ans a doublé : 13 %des jeunes boivent aujourd’hui plus de 10fois par mois ! 30 à 40 % des premières relations sexuellesont lieu sous alcoolisation… et donc souventnon protégées ; l’alcool est présent dans lamoitié des accidents mortels des adoles-cents et des jeunes adultes.Et ne croyez pas que l’Archipel est épargnépar ces statistiques ahurissantes.

Il est bon de rappeler que les risques de laconsommation d’alcool sont :

• À court terme : échec scolaire, accident dela route, prises de risques (accidentsdomestiques, sexualité non maîtrisée, vio-lences…) coma éthylique.

• À long terme : développement de maladiesneurologiques et psychiatriques. Il a étédémontré que la consommation répétéechez les jeunes créait une forte dépendanceà partir de 40 ans.

≥ Comment parler de l’alcool avec vos enfants

De nombreux parents sont aujourd’huidépassés et ignorants sur la consommationd’alcool de leurs ados. Des sites Internet spécifiques ont été crééspour guider les parents ; nous en avonssélectionné trois principaux :

• www.alcooletparents.com « Vous avez des enfants et vous vous posezdes questions sur leurs expérimentationsen matière d’alcool ? Vous ne savez ni quandni comment leur en parler et vous vousdemandez quel rôle les parents doiventavoir vis-à-vis de cette question ? Vous vousinquiétez pour votre adolescent qui estrevenu ivre d’une soirée et ne savez pascomment gérer cette situation ?...Elaboré en collaboration avec le Pr DanielBailly, pédopsychiatre et professeur de psy-chiatrie à l’université d’Aix-Marseille, ce siteest conçu pour vous aider dans cettedémarche délicate mais nécessaire, consis-tant à accompagner votre enfant pour qu’il

soit le mieux armé possible face aux risquesliés à la consommation de boissons alcooli-sées ».

• www.preventionalcool.com« Un site d’information pour accompagnerles parents dans la prévention des compor-tements à risque de leurs enfants ».

• www.alcoolinfoservice.frCe site délivre « une information complèteet rigoureuse sur le produit alcool, la pré-vention, les risques qu’une consommationexcessive fait peser sur la santé, la loi, etc.“Tout savoir sur l’alcool“ permet d’accéderpar profils de consommateurs (quotidiens,occasionnels, festifs, dépendants) à uneinformation ciblée. Le site propose aussi l’alcoomètre qui per-met de faire le point sur sa consommationet de s’engager dans un programme per-sonnalisé de réduction. “Se faire aider“ oriente les personnes endifficulté avec l’alcool et donne des infor-mations sur la prise en charge de l’alcoolo-dépendance ». • J.-L.Mahé

AlcoolLes jeunes en danger

[ prévention ]

Le projet de la Protection Judiciaire de la Jeunesse et de l’Association Action Prévention Santé de confier aux jeunes untravail de prévention sur l’alcool, le tabac et les drogues à partir dedessins et de messages forts sortis de leur propre imagination (voiren page 2), ce projet donc nous donne à nouveau l’occasion d’alertersur les dangers de l’alcool chez les jeunes.


En octobre 2011, Nathalie Poirier et Mylène Audoux prenaient levolant pour le Trophée des Roses des Sables. Le 10 octobre pro-chain, Valérie Lemoine et Christelle Revert partageront cette mêmeexpérience à bord d’un 4X4 pour 6 milles kilomètres à travers ledésert marocain. « Quand j’ai entendu un matin à 7 h 30 à la radio Mylène et Natha-lie parler de leur expérience, je me suis dit qu’il fallait que je fassece rallye », raconte avec enthousiasme Valérie. Compétition exclusivement féminine, la notion de vitesse n’est pasretenue. Le Trophée Roses des Sables s’appuie sur plusieursépreuves d’orientation, de franchissement des dunes et une étapeen autonomie totale. L’encadrement est assuré par une équipe deprofessionnels, avec un PC organisaton mobile et des moyens d’ac-tion que sont les véhicules d’assistance et l’hélicoptère d’interven-tion qui assure la logistique et la sécurité. Mais le Trophée Rosesdes Sables n’est pas seulement une compétition. Il est doté aussid’une dimension humaine en participant à une action d’entraide

tout en acheminant des dons à destination des enfants défavorisés.Valérie et Christelle emmèneront dans leurs bagages 50 kilo-grammes de denrées non périssables. « À travers ce rallye, nousvoulons avant tout apporter du bonheur aux enfants. »Mais tout cela coûte de l’argent. « Pour financer en grande partienotre projet, nous avons déjà contacté plusieurs entreprises de l’Ar-chipel en leur apportant un book dans lequel tout est expliqué. Denotre côté, nous avons décidé de faire quelques manifestations.Pour la Saint Valentin, nous avons vendu des roses et nous allonsessayer de mettre en place un après-midi récréatif pour la fête desmamies début mars. D’autres actions comme la vente de gâteauxviendront s’ajouter au financement. Nous devons boucler notrebudget pour le mois de juillet », explique Christelle. Si vous aussi,qu’elle soit sportive ou humaine, l’aventure vous passionne, vouspouvez participer à votre manière au Trophée Roses des Sables enapportant votre soutien financier à Christelle et Valérie, nos deuxnouvelles ambassadrices. • J.-C. L’Espagnol

Trophée Roses des SablesDu bonheur aux enfants…

[ aventure ]

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le dessin de la semaine

La baisse des dotationsJacques Pélissard demande de la « suspendre »

≥ finances locales

Marylise Lebranchu, la ministre de la Réforme de l’État, de laDécentralisation et de la Fonction publique, a confirmé que le Gou-vernement va « supprimer le jour de carence institué l’an dernierpour les fonctionnaires ».Le Gouvernement de François Fillon avait institué ce dispositif quiempêchait les fonctionnaires d’être payés le premier jour de leurarrêt maladie « afin de rapprocher leurs conditions de celles duprivé où ce délai de carence est de trois jours ».La ministre Lebranchu juge ce dispositif « injuste, inutile, inefficaceet humiliant », et promet son abrogation dans la prochaine Loi deFinances.Marylise Lebranchu ne veut cependant « pas nier » le problème des« arrêts abusifs » et annonce parallèlement toute une série demesures pour lutter contre d’éventuels abus. • J.-L. Mahé

Le jour de carence des fonctionnairesIl sera supprimé

≥ fonction publique

Lors des questions au Gouvernement à l’Assemblée Nationale,Jacques Pélissard, Président de l’Association des Maires deFrance et Député du Jura, a demandé au Premier ministre Jean-Marc Ayrault de « suspendre cette décision non concertée » du dou-blement de la baisse des dotations aux collectivités et d’ouvrir un« vrai dialogue sur les dotations et les charges induites par la poli-tique de l’État ». Jacques Pélissard estime que « si la diminutiondes dotations est confirmée, les collectivités seront condamnées àréduire les services à la population, les subventions aux associa-tions, à réduire les investissements ».Jérôme Cahuzac, le ministre délégué au Budget, a opposé une finde non-recevoir au Député en jugeant « légitime l’effort demandéaux collectivités », dans la mesure où « l’État par ses propresmoyens ne parviendra pas à l’annulation du déficit public », ajoutantque le crédit d’impôt pour la compétitivité des entreprises, qui jus-tifie l’augmentation de la ponction faite sur les dotations, « profi-tera aussi aux territoires et aux collectivités ». • J.-L. Mahé


En quelques chiffres, il est aisé de com-prendre combien notre activité pêche est àla croisée des chemins. Aujourd’hui, laFrance n’est plus autosuffisante et doitrecourir à l’importation pour 20 % de sesbesoins. Rien qu’en poissons, le déficit glo-bal est passé de 500 000 à 1 million detonnes en l’espace de dix ans. Par ailleurs,la flotte de pêche s’est considérablementréduite, avec une diminution estimée à 43 %

entre 1990 et 2008. Pourtant, la France sedoit non seulement de conserver ce rouageimportant de notre indépendance alimen-taire mais aussi de la valoriser. Ainsi, notre pays avec ses zones écono-miques exclusives (ZEE) d’outre-mer pos-sède 11 millions de km2, ce qui en fait ledeuxième territoire maritime mondial.Mieux, si toutes les zones d’extensionsdemandées étaient accordées, la Francedisposerait de 13 millions de km2, ce qui enferait le premier domaine sous-marin aumonde.

Avec, à la clé, l’exploitation des ressourcesnaturelles afférentes, dont les ressourceshalieutiques. Pourtant, malgré ces surfacesconsidérables, notre productivité halieu-tique ne compense pas les besoins. Les ZEEsont caractérisées par des situations trèscontrastées. Tout d’abord, la différence deconfiguration des fonds marins. Alors que laGuyane ou Saint-Pierre-et-Miquelon dispo-sent d’un large plateau continental, La Réu-nion en est quasiment dépourvue. Ensuite,la disparité des ZEE, avec, par exemple,celle des Antilles plus petite que celle de la

Extrait de « Cols Bleus » (n° 3007) par Anroine De Surirey, le magazine de la marine nationale, reçu tout dernièrement.

≥ La France ne répond qu’à 80% de ses besoins

Planète merLa France et ses ressources halieutiques

Alors que les discussions vont bon train autour de la réforme de la Politique commune de la pêche, la France présente un visage plutôt contrasté en matièrede ressources halieutiques et de pêche. Secteur important de notre économie avec 24 000 marins embarqués, sans compter les milliers d’emplois indirects dans les filières de transformation desproduits de la mer et des cultures marines, il peine pourtant dans un environne-ment international très concurrentiel avec une ressource halieutique parfois fragile.

La France se doit […] de conserver (sa flotte de pêche), […] rouage important de notre indépen-dance alimentaire mais aussi de la valoriser.

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Polynésie, cette dernière représentantquand même 5 millions de km2. Enfin, lesécosystèmes pélagiques sont moins pro-ductifs en outre-mer que sur le plateaucontinental.

Les pistes d’avenir concernent essentielle-ment l’outre-mer, d’une part pour dé velopperle tissu socio-économique local, mais aussipour créer une nouvelle source de productionqui contribuerait à réduire nos importants be-soins extérieurs en ressources halieutiques.Cependant, il apparaît que l’activité piscicoleen outre-mer se limite bien souvent à de lapêche côtière, avec des petites embarcations,à laquelle s’ajoute la pêche de plaisance etdes pêches spécialisées (caseyeurs, palan-griers, crevettiers…). Cette forte exploitationdes ressources côtières se retrouve sur l’en-semble des territoires concernés par l’outre-mer. D’où l’intérêt des dispositifs de concen-tration de poissons, ou DCP (mouillage decorps morts, de structures métalliques, delignes de plusieurs dizaines à quelques cen-

taines de mètres avec flotteurs), qui sont co-lonisés par des algues favorables à la créa-tion d’écosystèmes où peuvent se nourrir lespoissons. Ces DCP sont mouillés au-delà dela bande côtière et permettent de déplaceret d’atténuer la pression de pêche côtière.Sauf que ces dispositifs, jusqu’alors financéspar la Commission européenne, ne le sontplus. D’où la nécessité d’explorer et exploi-ter les grands pélagiques dans les ZEE tro-picales. Cependant, là aussi, les situationssont contrastées. Ainsi, dans certaines zones,les ressources halieutiques ne semblentpas menacées et l’activité de la pêche est biencontrôlée. C’est le cas par exemple de la lé-gine australe dans les TAAF. Mais d’autresexploitations sont plus fragiles comme lesthonidés ou les crevettes, qui souffrent à lafois d’une surexploitation, du changement en-vironnemental, de la pêche illégale voire dudéveloppement de la piraterie.

D’où l’importance de développer l’aquacul-ture. Encore jeune (environ une trentaine

d’années), cette activité constitue un sec-teur porteur d’avenir, qui ne cesse de croî-tre. Aujourd’hui, près de 50 % des produits aqua-tiques consommés dans le monde provien-nent de l’aquaculture. En France, cette activité concerne la conchy-liculture, la pisciculture marine et conti-nentale. Mais notre pays, bien que pionnier, accuseaujourd’hui du retard, notamment vis-à-visde la Scandinavie et du Japon. D’où l’importance de le combler en métro-pole et de développer également des pôlesde production régionaux dans les terri-toires ultramarins, capables de sustenterSaint-Pierre-et-Miquelon, Antilles / Guya -ne, Mayotte / La Réunion et Nouvelle-Calé-donie. Par ces développements, la France pour-rait ainsi réduire ses besoins extérieursen produits de la mer sans mettre en périlses ressources halieutiques et tout encontribuant au développement économiqueet social de ses territoires ultra marins. Un beau pari sur l’avenir et surtout une belleprise dans ses filets ! •

[ presse ]Extrait de « Cols Bleus » (n° 3007) par Anroine De Surirey, le magazine de la marine nationale, reçu tout dernièrement.

Planète merLa France et ses ressources halieutiques

Alors que les discussions vont bon train autour de la réforme de la Politique commune de la pêche, la France présente un visage plutôt contrasté en matièrede ressources halieutiques et de pêche. Secteur important de notre économie avec 24 000 marins embarqués, sans compter les milliers d’emplois indirects dans les filières de transformation desproduits de la mer et des cultures marines, il peine pourtant dans un environne-ment international très concurrentiel avec une ressource halieutique parfois fragile.

≥ L’aquacultureun secteur porteur

Les pistes d’avenir concernent essentiellement l’outre-mer, d’une part pour développer le tissusocio-économique local, mais aussi pour créer une nouvelle source de production.

1 - Remontée de chalut de fond en zone nordGascogne.

2 - Mytiliculture des bateaux à fonds platspermettent la récolte des moules cultivéessur bouchot ou suspendues à des structuresmétalliques en eaux profondes. Ici, près dela Trinité, dans le Morbihan.

3 - Dans les TAAF, la légine australe est bienexploitée, avec 6 000 tonnes/an dans lecadre d’une pêche très réglementée. Ici, unofficier mesure la taille des poissons pêchésau cours d’une mission de surveillance despêches.

4 - Bateaux ostréicoles à l’amarre sur larivière de Crac’h (La Trinité-Sur-Mer, Mor-bihan).

Crédit photos : IFREMER / OLIVIER DUGORNAY

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≥ L’outre-mer,l’avenir de la pêche


* AVIS DE CONSTITUTIONAux termes d’un acte sous seing privé en date à Saint Pierredu 14 février 2013, il a été constitué une société présentant lescaractéristiques suivantes :• FORME SOCIALE : Société civile immobilière.• DÉNOMINATION SOCIALE : MORALEXOU.• SIÈGE SOCIAL : Quartier des Graves - BP 925 - 97500 Saint-Pierre.• OBJET SOCIAL : L’acquisition d’un terrain, l’exploitation et lamise en valeur de ce terrain pour l’édification d’un immeubleet l’exploitation par bail ou autrement de cette constructionqui restera la propriété de la Société.• DURÉE DE LA SOCIÉTÉ : 99 ans à compter de la date de l’im-matriculation de la Société au Registre du Commerce et desSociétés.• CAPITAL SOCIAL : 500 euros, constitué uniquement d’ap-ports en numéraire.• GÉRANCE : Madame Sylvie REBMANN épouse HUREL,demeurant 61 rue Amiral Muselier, 97500 Saint-Pierre.• CLAUSES RELATIVES AUX CESSIONS DE PARTS : Agrémentrequis dans tous les cas. Agrément des associés représentantau moins les trois-quarts des parts sociales.• IMMATRICULATION : Registre du Commerce et des Socié-tés de Saint-Pierre et Miquelon.

Pour avis, la Gérance

≥ MORALEXOU Annonce légale

* Suivant acte reçu par Me Claude L’Espagnol, GreffierNotaire à Saint-Pierre et Miquelon le 18 février 2013, il a étéprocédé au changement de régime matrimonial ci-après,savoir :• Informations concernant les époux : M. HELENE Roger,Émile, Gustave - Mme POIRIER Marie, Georgette - Domiciliésà Saint-Pierre (97500) 10, rue Beaussant - Mariés à la Mairiede Saint-Pierre (97500) le 24 avril 1958 - Régime matrimoniald’origine : ancien régime légal de la communauté de meubleset acquêts.• Informations concernant la modification de régime matri-monial : Modification opérée : adoption du régime conven-tionnel de la communauté universelle avec stipulation d’uneclause attribuant la totalité de la communauté au survivantdes époux.• Greffier Notaire rédacteur de l’acte : Me. Claude L’Espagnol.• Informations concernant les oppositions : Les oppositions,s’il y a lieu, seront adressées, dans les trois mois de la datede parution du présent avis, par lettre recommandée avecdemande d’avis de réception ou par exploit d’huissier de jus-tice auprès de : Me. Claude L’Espagnol, Greffier Notaire àSaint-Pierre et Miquelon, 14 rue Émile Sasco, B.P. 4215 –Saint-Pierre – 97500 Saint-Pierre et Miquelon.

Pour avis et mention, Me Claude L’Espagnol

≥ Avis de changement de régime matrimonial

≥ IEDOM Avis de marché

* L’Institut d’Emission des Départements d’Outre-Mer lanceun avis de marché de travaux pour la construction à Saint-Pierre de la nouvelle agence de l’IEDOM de Saint-Pierre-et-Miquelon.La description de cet avis de marché a fait l’objetd’une publication dans le supplément au journal officiel del’Union européenne consacré aux marchés européens.La notice correspondante est disponible sur le site internet TED(Tenders Electronic Daily) sous la référence

2013/S 036-056756.http://ted.europa.eu/udl?uri=TED:NOTICE:56756-2013:TEXT:FR:HTML

AVIS D’APPEL PUBLIC À LA CONCURRENCEPROCÉDURE ADAPTÉE

Marché de travauxMise en conformité

du Centre de Voile André Pature – Phase 1

IDENTIFICATION DE L’ORGANISME QUI PASSE LE MARCHÉ :Mairie de Saint-Pierre24 rue de Paris, B.P. 4213, 97500 Saint-PierreTéléphone : 05 08 41 10 50 • Télécopieur : 05 08 41 43 13www.mairie-stpierre.fr

OBJET DU MARCHÉMise en conformité du Centre de Voile - Phase 1.

LIEU D’EXÉCUTION97500 Saint-Pierre

CARACTÉRISTIQUES PRINCIPALESRéfection de couverture, travaux de charpente, revêtement defaçades et menuiseries extérieures.

Durée du marché ou délai d’exécution :à préciser dans le cadre de l’acte d’engagement.

Date prévisionnelle de commencement des travaux :Avril 2013

RENSEIGNEMENTS RELATIFS AUX LOTS :Les travaux seront traités par un marché unique.

CRITÈRES D’ATTRIBUTIONOffre économiquement la plus avantageuse appréciée enfonction des critères énoncés ci-dessous avec leur pondéra-tion :• la valeur technique, appréciée au vu du mémoire technique– Coefficient 0,40 ;• le prix des prestations – Coefficient 0,40 ;• le délai – Coefficient 0,20.

MODE DE PASSATION : procédure adaptée prévue à l’article 28 du CMP.

DATE LIMITE DE RÉCEPTION DES OFFRES :Le 27 mars 2013 à 11 heures.

DÉLAI DE VALIDITÉ DES OFFRES : 90 jours.

AUTRES RENSEIGNEMENTS Le dossier de consultation peut être téléchargé sur le siteinternet de la Mairie de Saint-Pierre :www.mairie-stpierre.fr.Les candidatures et les offres seront entièrement rédigées enlangue française ainsi que les documents de présentationassociés.Adresse auprès de laquelle des renseignements d’ordreadministratif et technique peuvent être obtenus :Bureau d’études techniques de la Ville de Saint-Pierre24 rue de Paris, 97500 Saint-pierreTéléphone : 05 08 41 10 60 • Télécopieur : 05 08 41 43 [email protected]

DATE D’ENVOI DU PRÉSENT AVISÀ LA PUBLICATION : 22 février 2013.

≥ Ville de Saint-Pierre Appel à concurrence

La 3e édition de l’Université d’été de lafrancophonie des Amériques se tiendrapour la première fois à l’extérieur du Qué-bec, au Campus Saint-Jean de l’Universitéde l’Alberta, à Edmonton, du 9 au 15 juin2013. Sous le thème « La francophonie desAmériques – De la pluralité à la conver-gence », l’Université d’été accueillera 35participants des quatre coins du continent.La période d’inscription vient d’être lancée.C’est une initiative du Centre de la franco-phonie des Amériques, en collaborationavec l’Institut québécois des hautes étudesinternationales (HEI) et le Campus Saint-Jean. Cette formation à la fois théorique etpratique réunira une quinzaine d’experts del’hémisphère Nord qui sont des spécialistesde la francophonie dans les Amériques.

• Parmi les critères d’éligibilité : les candi-dats doivent être âgés de 18 ans et plus,s’intéresser à la francophonie des Amé-riques et être disponible pendant toute ladurée de la formation. Pour connaître tousles critères et autres détails, consultez lesite du Centre. La période d’inscriptionprendra fin le 5 avril 2013.

≥ Pour s’inscrire :

les intéressés doivent se rendre sur le siteInternet du Centre (www.francophoniede-sameriques.com/universitedete) et sou-mettre leur candidature selon les procé-dures d’inscription.

Organisée sous la forme d’une rencontrepluridisciplinaire, la programmation del’Université d’été est constituée de confé-rences, ateliers, cafés-citoyens qui permet-tront aux participants d’examiner les multi-ples dimensions de la francophonie desAmériques. Pour M. Denis Desgagné, président-direc-teur général du Centre, « l’expérience quevivront ceux et celles qui seront au CampusSaint-Jean les transformera, tant au planacadémique qu’au plan émotif. Elle leurpermettra de tisser des liens qui vont per-durer dans le temps. En ce qui me concerne,j’ai hâte de les rencontrer et d’échangeravec eux dans une région, hautement sym-bolique pour moi, puisque c’est à Edmontonque j’ai commencé ma carrière dans ledéveloppement communautaire ».Par ailleurs, des gens engagés dans la pro-motion et la vitalité de la francophonie del’Ouest canadien seront invités à partagerleur expérience quotidienne, celle de vivre

en français dans un milieu anglophone, enindiquant les défis auxquels ils font face.M. Marc Arnal, doyen du Campus Saint-Jean, se dit « très fier d’accueillir l’Univer-sité d’été sur la francophonie des Amé-riques. Nous espérons que notre expertiseen matière de francophonie et que notrepoint de vue de l’Ouest canadien contribue-ront à l’avancement de ce magnifique projetqu’est la francophonie des Amériques ».Pour M. Pierre Lemieux, directeur par inté-rim des HEI, qui avaient accueilli les deuxpremières éditions, « la 3e édition de l’Uni-versité d’été sur la francophonie des Amé-riques offrira une occasion privilégiée deréflexion sur la vitalité et la diversité de lafrancophonie dans les Amériques ». •

Dossier préparé par Didier Gil

Francophonie des AmériquesUn nouvel appel…

[ invitation ]

La période d’inscription pour la troisième édition de l’Universitéd’été sur la francophonie des Amériques est lancée. Pour en savoir plus…

≥ Pour en savoir plus…

Pour mémoire, l’Archipel n’a étéreprésenté qu’une seule fois à cegenre de manifestation. C’était en2011, à l’occasion de la troisième édi-tion du « Forum des jeunes ambas-sadeurs de la francophonie des Amé-riques » qui s’était tenue à Montréaldu 17 au 27 juin. Pour la premièrefois, Saint-Pierre-et-Miquelon avaitparticipé à cette manifestation cultu-relle dont le thème retenu était «Riches de nos différences... Unisdans l’action ! ». Anaïs Siosse avaitété sélectionnée et avait fait partie dela cinquantaine de jeunes adultes de18 à 35 ans, provenant des quatrecoins des Amériques (cf. Échos 1246du 25 mars et 1257 du 17 juin 2011).

≥ Renseignements- Flavie-Isabelle Hade

Coordonnatrice à la programmationTél : (418) 643-3227

Cell. : (418) [email protected]

- Line GigaultCoordonnatrice aux communications

Tél : (418) 646-3312Cell. : (418) 208-2512

[email protected]



Comme c’est le cas depuis 2007, la Collectivité Territoriale passeraà l’heure d’été le 2e dimanche de mars comme toute l’Amérique duNord. Ce sera donc dans la nuit du samedi 9 au dimanche 10 mars.Vous devrez avancer vos montres d’une heure : à deux heures dumatin, il sera trois heures. Comme nous l’avons souvent écrit, c’estl’occasion, pourquoi pas, d’adopter aussi un autre système nord-américain : c’est à chaque changement d’heure - donc deux foispar an - que les citoyens changent les piles de leurs alarmes anti-feu. Et comme, au plan national, il sera obligatoire d’ici 2015 d’ins-taller au moins un détecteur avertisseur autonome de fumée(DAAF) dans chaque logement privé… cette habitude est peut-êtrebonne à prendre ! • D. Gil

Heure d’étéDans la nuit du 9 au 10 mars

≥ brève d’actualité

Le Réseau de développement économique et d’employabilité deTerre-Neuve-et-Labrador (RDÉE TNL) vient d’éditer VR L’Aventure(camping car), un guide comprenant 4 itinéraires de voyage à tra-vers les régions de la Côte-Nord du Québec, du Labrador, de l’îlede Terre-Neuve et du Cap-Breton en Nouvelle-Écosse. Le lance-ment officiel du guide a eu lieu lors de la conférence « HospitalityNewfoundland and Labrador » du 20 au 22 février 2013 au Delta deSt-Jean de Terre-Neuve. Le Comité Régional de Tourisme de Saint-Pierre et Miquelon y a participé, et ce guide VR L’aventure contientplusieurs conseils de voyage ainsi que des éléments clés permet-tant aux voyageurs francophones de se débrouiller en milieu anglo-phone. • La rédaction

Un guide de voyage intra-provincialpour des touristes en « VR »

≥ Terre-Neuve

Nous sommes en 1908. Yann Beaurelec, 19 ans, fils d’un méde-cin de Paimpol, en rupture avec sa famille et brisé par le départ deFrancesca, devient marin pour aller pêcher sur les Bancs de Terre-Neuve. Avant de le quitter, la jeune italienne laisse en gaged’amour à Yann un violon qu’il emmène avec lui sur le Reine Marie.À bord du trois-mâts, il va découvrir et apprendre le dur métier desterre-neuvas. Gilbert Bordes, l’auteur, nous emmène dans les eaux glacées deTerre-Neuve et nous fait revivre l’angoisse des déferlantes et nousrappelle la noblesse de ce métier. À côté de la rudesse de la vie des morutiers, la musique apportedouceur et réconfort. « La musique fait partie de ma vie. Elle reste,à mon sens, le seul moyen d’expression qui franchit toutes lesfrontières pour ne s’adresser qu’au coeur, à l’âme humaine. Ellepermet d’exprimer ce que les mots ne savent pas traduire. Dansmon roman, je me suis plu à la confronter à ces hommes rudes etsans manière par l’intermédiaire de mon personnage principal quiest aussi violoniste. On voit les marins, ivres de fatigue et de gnole,s’attendrir dès que le violon se met à chanter », raconte GilbertBordes dans une entrevue.

Avant de se consacrer à la littérature, l’auteur a d’abord été insti-tuteur puis journaliste. Prix RTL en 1991 avec le roman La nuit deshulottes, il s’est révélé grand romancier de l’Histoire avec Le por-teur de destins – Prix des Maisons de la Presse en 1992 –, La pestenoire ou Les enfants de l’hiver. En plus d’être écrivain, Gilbert estluthier. « Pendant longtemps, j’ai séparé les deux activités, consi-dérant qu’elles étaient très différentes et pouvaient se porter pré-judice. Il m’a fallu vingt ans pour comprendre que je me trompais.Romancier le matin, luthier l’après-midi. Dans les deux cas, jereste un ouvrier. Ouvrier des mots pour raconter des histoires,ouvrier de la musique pour fournir des instruments capables detraduire les émotions. » • Bientôt disponible à la librairie Lectu-rama. • J.-C. L’Espagnol

Un violon sur la merUne aventure humaine

≥ envie de lire

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1322 Sudoku grille 1322

Niveau expert

Solution du n° 1321 Règles du jeu :Vous devez remplir toutes lescases vides en placant les chif-fres 1 à 9 une seule fois par ligneune seule fois par colonne et uneseule fois par zone de neuf cases.Chaque zone de 9 cases est marquée d’un trait plus foncé.Vous avez déjà quelques chiffrespar zones pour vous aider.

sudokuProblème n° 1322 • niveau : expert

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1322 Sudoku solution 1321

Niveau difficile

15urgence médicale

17gendarmerie

18sapeurs-pompiers

Numérosd’appelsd’urgence


Le jeudi 7 mars à 20 heures 30et le dimanche 10 mars à 14 heures 30

De Laurent Tirard, avec Edouard Baer et Gérard Depardieu.

Cinémavoir la vie en grand présente

L’histoire :« 50 avant Jésus Christ. César a soif de conquêtes. Il décide d’envahircette île, la Bretagne. La victoire est rapide et totale. Enfin… presque. Unpetit village breton parvient à lui résister, mais ses forces faiblissent.Cordelia, la reine des Bretons, décide donc d’envoyer Jolitorax, chercherde l’aide en Gaule, auprès d’un autre petit village, connu pour son opi-niâtre résistance aux Romains… Dans le village gaulois en question,Astérix et Obélix sont déjà bien occupés. Le chef leur a en effet confiéson neveu Goudurix, une jeune tête à claques. Quand Jolitorax arrivepour demander de l’aide, on décide de lui confier un tonneau de potionmagique, et de le faire escorter par Astérix et Obélix, mais aussi Goudu-rix. Malheureusement, rien ne va se passer comme prévu… »

La presse en parlePour Le figaroscope : « Plus enlevé, subtil et bon enfant, “Astérix et Obé-lix : Au service de sa majesté” a su retrouver le secret de la potionmagique de Chabat. »

Voir la vie en grand…Pour ce quatrième opus des aventures d’Astérix sur grand écran, plu-sieurs projets étaient à l’étude, avec Christophe Baratier, avec Luc Bes-son, et c’est pourtant celui de Laurent Tirard qui a remporté la mise. Lesuccès de son adaptation du « Petit Nicolas » de Goscinny a joué indubi-tablement un rôle important dans ce choix. Le réalisateur retrouve ceton, cet humour, ce second degré, qui font le sel des albums. Obélix, c’estévidemment Gérard Depardieu que l’on n’avait pas vu aussi drôle depuislongtemps, il reste un immense acteur. Après Christian Clavier et ClovisCornillac, c’est au tour d’Edouard Baer de prendre le costume d’Asterix.C’est une belle surprise, il ajoute sa touche de roublardise avec un sensde l’humour très proche de l’original. On retrouve également FabriceLuchini, Catherine Deneuve, Valérie Lemercier, Dany Boon. Si le tour-nage n’a pas engendré la mélancolie, le résultat sur grand écran est toutsimplement magnifique, belle réussite pour le cinéma français. « Asté-rix et Obélix - Au service de sa majesté » est un savoureux cocktail d’hu-mour et de tendresse. Alors, avant que le ciel ne nous tombe sur la tête,venez nombreux rire au cinéma et… voir la vie en grand ! • CédricLebailly

Pharmaciesde gardedu lundi 25 fév. 9 hau lundi 04 mars. 9 h

Pharmacie SPM55 28 02

du lundi 04 mars. 9 hau lundi 11 mars. 9 h

Pharmacie CHFD41 47 47

Agenda des maréesMars 2013

Les jours croissent de 1 heure 40 minutes

BASSES MERS PLEINES MERS

Samedi 2 - St Charles le Bon (Carl)05:51 18:04 12:20

Dimanche 3 - St Guénolé06:40 18:52 00:46 13:10

Lundi 4 - St Casimir - Lune : D. Quartier07:38 19:49 01:40 14:07

Mardi 5 - Ste Olive - Ste Olivia 08:52 21:03 02:44 15:14

Mercredi 6 - Ste Colette - Ste Nicole10:22 22:30 03:57 16:29

Jeudi 7 - Ste Félicie - Mi-Carême11:45 23:51 05:12 17:42

Vendredi 8- St Jean de Dieu12:47 06:20 18:45

Samedi 9- Ste Françoise Romaine00:54 13:36 07:18 21:25

Dimanche 10 - St Vivien - Heure d’été02:45 15:18 09:08 21:25

≥ État civilJanvier 2013


[ Fourrière ]Service Fourrière :55 19 75

Fourrière

Journal édité par la Ville de Saint-Pierre

Site internet www.mairie-stpierre.fr

Fondateur Albert Pen (Février 1982)

Directeur de la publication et Éditorialiste Karine Claireaux

Codirecteur Claude Arrossaména

Rédacteur en chefDidier Gil : 05 08 41 10 91

JournalisteJean-Louis Mahé : 05 08 41 10 92

Secrétaire de rédaction et accueil Clarisse Hacala : 05 08 41 10 90

InfographistesSteve Yon et

Jean-Christophe L’Espagnol

05 08 41 10 95

Impression Yannis Lepape :

05 08 41 10 93 — 05 08 41 10 94

PhotographesJean-Christophe L’Espagnol

(J.-C. L’E.) [email protected]

Jean-Luc Drake

(J.-L. D.) [email protected]

Dessins d’actualitéBenoît Germe

Pour nous joindreL’Écho des Caps Hebdo,

rue Georges Daguerre • BP 4213 •

97500 SPM • Tél. 05 08 41 10 90

• Fax 05 08 41 49 33

Courriel [email protected]

Tirage 2 900 exemplaires

Commission paritaire numéro 68511

≥ Conseil Territorial Communiqué* Le Conseil Territorial communique :Le Conseil Territorial informe les personnes ne bénéficiant pas de congés bonifiés et inté-ressées par l’octroi de congés payés en métropole pour l’année 2013 que les dossiers dedemandes sont disponibles à l’accueil du Conseil Territorial ou au Bureau du Conseil Territo-rial de Miquelon.Ceux-ci doivent être déposés complétés au même lieu pour le jeudi 2 mai 2013 dernier délai.Les demandes devront être accompagnées des pièces suivantes :• une fiche de candidature à retirer au Conseil Territorial ;• pour les familles, une copie du livret de famille ;

pour les célibataires, une copie d’une pièce d’identité ;• une copie de la déclaration de l’impôt sur le revenu de l’année 2012 du demandeur et detoute autre personne ayant un revenu et figurant sur la demande ;• une attestation de la Direction Générale des Finances Publiques indiquant qu’aucune per-sonne figurant sur la demande n’est redevable envers la Collectivité.

≥ DTAM Consultation

* La Direction des Territoires, de l’Alimentation et de la Mer communique :Une consultation est relancée par la Direction des Territoires, de l’Alimentation et de la Merpour la réfection de la poutre de couronnement du quai Aconit dans le port de Saint-Pierre.Les entreprises intéressées pourront se procurer le dossier à l’accueil de la DTAM, tous lesjours ouvrables de 8 h 30 à 11 h 30 et de 13 h 30 à 16 h 30 (15 h 30 le vendredi) ou téléchargerles documents de la consultation sur le site http://www.marches-publics.gouv.frLes offres devront parvenir à l’accueil de la DTAM pour le 13 mars 2013 à 16 h au plus tard.

NAISSANCES : 27 – COSTE Kelya • 29 –LEMAINE Lyssa, Adèle • 30 – HELENEAlix, Roger, Pascal.

DÉCÈS : 06 – MALLET Josette,Lucienne, Maryse, épouse de Gérard,Auguste, Emile ADMOND • 10 – OLI-VIER Marie, Andrée, Jeanne, veuve deAndré, Alphonse, Emilien GILBERT •19 – BOISSEL Ireinne, Léone, veuve deJoseph, Théophile LE PARQUE • 21 –CUZA Stella, Marie • 23 – LARRALDEMarcelle, Etiennette, Jeanne, épousede Francis, Joseph DE LIZARRAGA • 27– RUELLAN Richard, Ernest, Germain• 30 – PERRIN Henri, Albert, Auguste.

Kelya COSTE Lyssa LEMAINE

Le 29 janvier à 19 h 15.Fille de Karine ALLAIN etDominique LEMAINE.

Le 27 janvier à 2 h 43.Fille de Jessica DETCHE-VERRY et Sébastien COSTE.

Alix HELENE

Le 30 janvier à 22 h 28. Fils de Lindsey ALLEN-MAHE et de Roger HELENE.

≥ Les bébés de janvier 2013Depuis janvier 2006, avec l’accord des parents, bien évidemment, nous accordons une placedans notre journal aux nouveau-nés du mois. Pour le mois de janvier 2013, ils sont trois, deuxfilles et un garçon. Le premier bébé, vous le connaissez déjà puisque – comme nous avons désormais coutumede le faire pour la septième année consécutive – nous lui avions consacré la première page denotre numéro 1318 du 1er février dernier.

Notre rédaction leur souhaite la bienvenue et adresse toutes ses félicitations aux heureuxparents. Côté statistiques, nous retiendrons qu’il y avait eu 5 naissances (5 filles) en janvier2012. Rappelons que les naissances au Canada ne comptent pas dans les statistiques de l’Ar-chipel. • D. Gil – Photo Jean-Luc Drake

≥ DTAM Consultation* La Direction des Territoires, de l’Alimentation et de la Mer communique :Une consultation est lancée par la Direction des Territoires, de l’Alimentation et de la Merpour des travaux de revêtements en matériaux enrobés et travaux annexes pour chausséeset terre-pleins de l’État.Les entreprises intéressées pourront se procurer le dossier à l’accueil de la DTAM, tous lesjours ouvrables de 8 h 30 à 11 h 30 et de 13 h 30 à 16 h 30 (15 h 30 le vendredi) ou téléchargerles documents de la consultation sur le site http://www.marches-publics.gouv.frLes offres devront parvenir à l’accueil de la Direction des Territoires, de l’Alimentation et dela Mer pour le 26 mars 2013 à 16 h au plus tard.

[ partenaires de la semaine]

Ce Bourgogne rouge se révèle particulièrement élégant.Caractères : panier de petits fruits rouges et noirs (fraise,cerise, cassis, myrtille), se transformant ensuite en notespoivrées de pruneau, de broussailles, de mousse et dechampignons… Accompagne : viande et volaille !

CIA, 7 rue Albert Briand – 41 47 97.L’abus d’alcool est dangereux pour la santé.

BOURGOGNEPINOT NOIR75 cl • 9,33 €Remise de 10 % à l’unité du 1er au 8 mars !

La reine des bisous Kristien Aertssen

Éditions L’école des loisirsAlbum

La reine est trop occupée pour consacrer du temps à sa fille.La petite princesse en manque d’affection décide alors detrouver la reine des bisous. Sur son chemin, elle rencontre lareine des gâteaux, des chats perdus, des jouets, des fleurs etcelle de la nuit, pour finalement réaliser que ce qu’elle veutce n’est pas trouver la reine des bisous mais passer du tempsavec sa mère.Un album sur l’amour maternel dont les illustrations sem-blent être signées de la main d’un enfant. •

Le pipi de BarnabéChristine Naumann-Villemin

Éditions KaléidoscopeAlbum

Barnabé, un gentil petit rhinocéros, fait toujours pipi au lit.Ses parents après avoir consulté un médecin, et essayé tousles remèdes sans succès, ne savent que lui dire que c’est defamille. Barnabé se résigne donc à son triste sort, jusqu’aujour où il est invité à dormir chez la jolie Lilou. Comment faire ? Barnabé a tellement peur qu’il va essayer dene pas dormir de la nuit.Un joli album pour dédramatiser et parler d’énurésie. •

•••Rubrique animée par Josée Gautier

Bibliothèque-Médiathèque de Saint-PierreSite : http://www.biblispm.com

Tél : 05 08 41 31 99 • Fax : 05 08 41 71 40E-mail : [email protected]


« La Maison Chartier »De Joseph Lemoine

≥ Philatélie

Fonctionnement de la Maison de l’EnfantQuelques précisions UTILES

≥ Vie municipale

• La Maison de l’Enfant est un établissement de type multi accueilpuisqu’il associe l’accueil collectif régulier (de type crèche) et l’accueiloccasionnel (de type halte-garderie). Sa capacité d’accueil est fixée à35 places d’enfants âgés de moins de 10 semaines à trois ans.

• Les locaux, et notamment les chambres, de la Maison de l’Enfant per-mettent d’accueillir au maximum : 12 très jeunes enfants dans la sec-tion des plus petits (de 2 mois et demi à l’âge de la marche) ; 16 enfantsdans la section des moyens (qui ont acquis la marche jusqu’à leurs 20– 22e mois) ; 11 enfants dans la section des grands (à partir de 20 - 22mois jusqu’à 3 ans, ces enfants sont capables de monter des escalierspuisque leur salle d’accueil se situe à l’étage du bâtiment) sans tou-tefois dépasser 35 enfants en moyenne sur la semaine.

• Lors des dernières vacances de la Toussaint et de Noël 2012, les en-fants scolarisés de moins de trois ans ainsi qu’un enfant de plus de troisans sur dérogation, ont été accueillis à la Maison de l’Enfant.Cet accueil a pu s’effectuer dans le respect des rythmes et des besoinsdes enfants de la section des plus grands de la crèche dans la mesureoù la majorité d’entre eux allait entrer à l’école en janvier 2013.

• Depuis janvier 2013, la structure est complète. Les bébés accueil-lis à la rentrée de janvier ont été nombreux et sont confiés à tempscomplet, ce qui laisse peu de places d’accueil occasionnel ou auxd’enfants scolarisés pendant les vacances.Quatre enfants scolarisés sont actuellement accueillis à la crèchequ’ils fréquentent le mercredi. Ils sont prioritaires pour les vacancesscolaires puisqu’ils sont intégrés dans le groupe d’enfants de la crèche.

Cinq demandes d’accueil d’enfants scolarisés, dont deux enfants âgésde plus de trois ans, n’ont pu être acceptées en raison des effectifsmaximum atteints et de la configuration actuelle des locaux.

• La gestion de la Maison de l’Enfant est très rigoureuse la structurebénéficiant de fonds publics pour son fonctionnement. Cette gestion rigoureuse va de pair avec une qualité d’accueil, letaux d’encadrement des enfants de la Maison de l’Enfant étant supé-rieur au cadre réglementaire national.Afin de répondre au mieux aux besoins des familles, la Direction a en-gagé une démarche d’optimisation du taux de fréquentation, la voca-tion de la Maison de l’Enfant étant d’accueillir un maximum d’enfants,tout en garantissant une qualité d’accueil aux familles.

• Les moyens de la Maison de l’Enfant ne sont pas restreints ; ils cor-respondent aux besoins en personnels, en services, en matériels et enéquipements d’un établissement multi accueil de cette capacité.

• Les besoins d'accueil sont régulièrement communiqués par la Di-rection de la Maison de l'Enfant à la Présidente et aux membres duConseil d'administration du Centre Communal d'Action Sociale, ges-tionnaire de l'établissement. Une étude portant sur l’accueil collectifdes enfants scolarisés de trois à quatre ans est menée par les servicesdu CCAS - centre de loisirs et Maison de l’Enfant - en étroite collabo-ration avec la Collectivité Territoriale et la DCSTEP.

Ces informations ont été recueillies auprès de Mme Mylène Saouter,Directrice de la Maison de l’Enfant. • J.-L.Mahé

© J.-C. L’Esp

agno

l / V.S

-P

Une émission philatélique a eu lieu le mercredi 27 février2013. Il s’agit, dans la série « Patrimoine » (bâti) du timbre« La Maison Chartier », d’après une œuvre originale deJoseph Lemoine, datant de la fin du XIXe siècle et apparte-nant à la collection du Musée de l’Arche.D’une valeur faciale est de 0,63 €, il a été imprimé en Off-set, et tiré à 85 000 exemplaires dont 5 000 pour l’Archipel.L’émission 1er jour s’est tenue au Bureau Philatélique,place du Général De Gaulle. Une enveloppe et une carte 1er

jour ont été mises en vente à cette occasion.La vente généralisée dans les bureaux de Poste Philaté-lique de Métropole aura lieu à compter de ce samedi 2mars. • D. Gil

Écho des Caps n° 1322

Documents

Transcript of Écho des Caps n° 1322