Echo des Caps n° 1303

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00] écho des caps n° 1300 • vendredi 6 juillet 2012 ] l’écho c aps Ville de Saint-Pierre Hebdomadaire municipal gratuit n° 1303 05 octobre 2012 Archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon des Lutter contre la vie chère Lutter contre la vie chère Le Projet de loi adopté au Sénat Un été chaud et des records battus ! p. 05 Périple chez les « Anglais » p. 10 ≥ Collège Saint-Christophe Un regard différent sur la ville p. 14 ≥ Nuit Blanche ≥ Météo au CCS Ce dimanche à 14 h 30 © Sénat.fr

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Echo des Caps, journal de la ville de Saint-Pierre

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00] écho des caps n° 1300 • vendredi 6 juillet 2012

]l’écho capsVille de Saint-Pierre

Hebdomadaire municipal gratuit n° 1303 05 octobre 2012

Archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon

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≥≥ Lutter contre la vie chère Lutter contre la vie chère Le Projet de loi adopté au Sénat

Un été chaud etdes records battus ! p. 05

Périple chezles « Anglais » p. 10

≥ Collège Saint-ChristopheUn regard différentsur la ville p.14

≥ Nuit Blanche≥ Météo

au CCS

Ce dimanche à 14 h 30

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02] écho des caps n° 1302 • vendredi 28 septembre 2012

concours photographique

On attendait beaucoup plus de participants au concours photographique organisé par le musée de L’Arche mais seulement une quin-zaine de candidats ont pris part à cette 7e édition. Le thème retenu La Grande Miquelon était pourtant très évocateur et prometteur. On aurait pu penser que l’île de Miquelon, avec ses paysages sublimes toutes saisons confondues, allaient créer la curiosité et la créati-vité des photographes amateurs nombreux sur l’Archipel. Eh bien non ! Vendredi dernier, le voile a été levé sur les noms des lauréats destrois prix. Christine Calbrix, habitante de Miquelon, a reçu le Prix du jury de l’Arche (250 euros offerts par la Collectivité Territoriale) etcelui du Prix coup de coeur du public (150 euros offerts par la Collectivité Territoriale) avec son cliché intitulé Quand le ciel et la terre serencontrent pour sublimer l’instant. Ces deux prix donnent lieu à l’édition d’une carte postale par l’Arche Musée-Archives. Le Prix de lacommission philatélique (300 euros offerts par La Poste) a été remis à Nicolas Allen-Mahé pour Histoire de géologie. Nicolas avait obtenuen 2009 le Prix du jury pour Pêche aux rougets dans l’Su dont le thème était pour cette 4e édition Pêche en mer ou en bord de mer. Lessujets des quatre prochaines années sont déjà programmés : 2013 : Jeux d’enfants à l’extérieur ; 2014 : Couleurs d’automne ; 2015 (10e

édition) : l’Île-aux-Marins et 2016 : Mer démontée. Pour voir ou revoir ces différents thèmes, vous pouvez visiter le site www.arche-musée-et-archives.net dans la rubrique expositions virtuelles - concours photos. • J.-C. L’Espagnol

La Grande MiquelonQuinze photographes amateurs seulement !

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Projet de loi contre la vie chèreL’intervention du Sénateur-Maire

Par Jean-Louis Mahé

[ outre-mer ]

Les Sénateurs ont été les premiers lasemaine dernière à examiner le projet deloi contre la vie chère en outre-mer. Dis-cuté en urgence avec une seule lecture auSénat puis à l’Assemblée, le texte, adopté àl’unanimité, a pour objectif des « baisses deprix effectives dans ces territoires ultrama-rins » où les produits alimentaires sont pluschers de 30 à 50 % qu’en métropole.Conçu d’abord pour répondre à la gravecrise sociale qui a secoué les Antilles et LaRéunion en 2008 et 2009, le projet de loi« vise à s’appliquer à l’ensemble des outre-mer », a souligné pour sa part à la tribune leSénateur de l’Archipel. Mme Karine Claireaux a, en outre, préciséque pour Saint-Pierre et Miquelon, le textedu Gouvernement prévoit la mise en placed’un certain nombre de dispositifs comme« le financement à 100 % par l’État de cer-tains projets structurants  ; diversesmesures à caractère social qui, reprisespar le Gouvernement à la demande desParlementaires, permettront enfin l’appli-cation de certaines aides au logement ouencore le développement de l’actionsociale et familiale de l’Archipel rétablis-sant ainsi une certaine équité entre maCollectivité et la métropole ».

Le temps de parole accordé au Sénateur-Maire lui a permis d’insister également surcertaines problématiques bien spécifiquesà l’Archipel. Extraits de l’intervention deMme Karine Claireaux.

• Le calcul du Produit Intérieur Brut. « J’at-tire votre attention sur un premier point par-

ticulièrement nuisible à mon Archipel : lecalcul de son PIB. Ce calcul est faussé parun manque de données habituellementprises en compte dans les autres départe-ments. Nous n’entrons pas “dans lescases”. Faute de cela, le principal facteurretenu est celui des transferts de l’État versl’Archipel (y compris la très onéreuse Délé-gation de Service Public, transport mari-time). Le PIB ne reflète absolument pas larichesse du territoire et n’a pas été calculéen raisonnant en termes de parité de pou-voir d’achat alors même que le coût de la vieest particulièrement élevé sur l’Archipel.Il faut, à minima, présenter le PIB de l’Ar-chipel avec un maximum de précautionsd’usage. Il faut réaliser une estimation, laplus fiable possible, du différentiel des prixentre la métropole et l’Archipel. »

• Réfléchir à des dispositions plus poin-tues. « Si nous sommes déterminés à nousattaquer durablement au problème de la viechère à Saint-Pierre et Miquelon, il faudraaller au-delà des mesures proposées etréfléchir à des dispositions plus “pointues”,notamment en fonction des effets de seuil.Les principaux handicaps sont, pour lesimportateurs d’abord, le paiement immédiatdes droits et taxes à l’importation (et nonpas le système TVA) ce qui induit des coûtssupplémentaires en matière de gestion desstocks, d’invendus, etc. Il faudrait dans cecadre, étudier avec les collectivités de l’Ar-chipel, les conditions d’un accompagne-ment (y compris financier) afin de changerce mode de fonctionnement.

Certaines marges sont peut-être abusiveset certains prix pratiqués sont peut-êtreexcessifs, mais nous rencontrons aussi desproblèmes structurels qui font qu’avantmême d’arriver chez les commerçants cer-taines marchandises ou certaines presta-tions sont déjà beaucoup plus onéreusescomparées à celles effectives en métropole.Plus généralement, les faibles volumesd’achats, le fait de n’avoir qu’une banque[…], le coût du transport des marchandisesmalgré une DSP très avantageuse, lesstocks obligatoires vu les délais de livraison,etc., ce sont autant de handicaps évidentsdans la formation des prix. »

• Un vaste travail de fond. « En outre, àcause d’une économie exsangue et de l’ab-sence de mise en œuvre de projets structu-rants, le territoire n’offre pas aux entre-prises les meilleures conditions pour fairediminuer les coûts de leurs prestations.Dans ce domaine aussi, il y a plusieurs res-ponsables et nous ne résoudrons pas laquestion de la vie chère à Saint-Pierre etMiquelon si nous ne prenons pas le tempsde la réflexion ou n’agissons que partielle-ment sur les différents facteurs d’inflation.[…] Monsieur le Ministre, vous nous avez ditque cette loi était, je cite, “une boîte à outils”dont il allait falloir apprendre à se servirensuite.

Je pense qu’un vaste travail nous attend afinque, tous ensemble, nous puissions vala-blement et durablement réguler le coût dela vie dans ma collectivité. » •

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[ Sénat ]

Projet de loi contre la vie chèreVictorin Lurel estime que c’est une urgence politique et sociale

Par Jean-Louis Mahé

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« Je crois pouvoir dire qu’il y a aujourd’huiun large consensus pour admettre qu’il y aoutre-mer un problème de “vie chère”,qu’y répondre est une urgence politiqueet sociale et que l’intervention des pou-voirs publics est non seulement atten-due, mais légitime ».

Devant la Chambre Haute, lors de la discus-sion générale sur le Projet de loi contre lavie chère appelée « Régulation économiqueoutre-mer », le ministre des outre-mer Vic-torin Lurel a utilisé des mots très forts poursouligner la volonté du gouvernement de« s’attaquer aux causes » de la vie chèredans ces territoires où les produits alimen-taires sont plus chers de 30 à 50 % qu’enmétropole, et non à ses conséquences.

Forts de l’expérience du passé, « nous avonsadopté une autre stratégie : celle qui con sis -te non plus à s’attaquer aux conséquences,mais bien aux causes identifiées de cettesituation particulière aux outre-mer », a dé-

claré le Ministre en précisant qu’il voulaits’attaquer aux prix de gros, et « non plus auxprix de détail, qui sont la partie émergée del’iceberg ». « Il ne s’agit pas d’imposer une législation etune réglementation tatillonnes et figées », apoursuivi Victorin Lurel. «  Il nous faut (...)une nouvelle boîte à outils avec de nouveauxmoyens d’investigation et de sanction decomportements qui conduisent aux prix tropélevés, à des marges et à des profits injus-tifiés ».

Précisons que l’article 6 bis du projetconcerne la mise en oeuvre d’un « bouclierqualité-prix », l’un des engagements deFrançois Hollande pendant sa campagneprésidentielle. « Efficace à très court ter -me, dès la promulgation de la loi », il pré-voit « l’organisation chaque année danschaque territoire d’une négociation pourmettre en place des prix plafonds modérésvisant un panier de produits de consomma-tion courante », a déclaré le Ministre Lurel.

En cas d’échec, ce sont les préfets qui fixe-raient par arrêté les prix plafonds.

Le but du texte « n’est pas de laisser croireque les coûts d’importation vont disparaître,ni que tous les prix s’aligneront un jour,comme par magie, sur les prix de l’Hexa-gone », a souligné le Ministre. « Notreobjectif est de faire baisser les prix chaquefois que cela sera possible afin de rétablir laconfiance de la population dans la loyautédes marges ».

Il faut aussi faire « émerger un véritablecontre-pouvoir consommateur », a jugé Vic- torin Lurel.

« Chacun doit comprendre en effet que la viechère est un authentique frein au dévelop-pement des outre-mer. C’est une hypo-thèque lourde qui pèse sur la croissance denos territoires. […] Les enjeux nécessitentaujourd’hui d’agir. Et d’agir vite », a conclule Ministre des outre-mer. •

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[ météo ]

Avec une moyenne de 16.4° C, le mois dejuillet aura été le plus chaud jamais enre-gistré (précédent record (1) : 16.1° C en juil-let 1999).Le mois d’août aura également battu plu-sieurs records. Avec 19.0° C de moyenne, cemois d’août pulvérise le précédent record(18.3° C en août 1952), ce qui établit égale-ment un nouveau record de températuremoyenne, tous mois confondus.Records également pour les moyennes detempératures maximales et minimales. Ànoter une journée particulièrement chaudele 14 août (21.8° C de moyenne avec 24.3° Cde maxi et surtout 19.2° C de températuremini, ce qui est exceptionnel). 35 jours ontvu le thermomètre dépasser les 20° C cetété (11 en juillet et 24 en août) contre seule-

ment 9 en 2011 (2 en juillet et 6 en août).En ce qui concerne les précipitations, àl’image des mois qui lui ont précédé, juilletaura été très sec (55.9 mm pour une nor-male de 99.5), août ayant été nettement plus

arrosé (97.5 mm dont 44.1 mm pour la seulejournée du 17).Le soleil, quant à lui, se sera montré trèsgénéreux en juillet (184 h) mais beaucoupplus discret en août (117 h) où il aura falluattendre la troisième décade pour retrouverun temps véritablement estival.Il ne nous reste plus qu’à croiser les doigtset espérer que l’été 2013 soit à l’image decet été 2012. •

•••

(1) : Records établis depuis le 1er janvier1949.Retrouvez toutes les normales et recordssur www.meteospm.org

Les personnes ayant décidé de passer leur été sur l’Archipeln’auront pas eu, cette année, à le regretter. En effet, dans lacontinuité d’un printemps particulièrement chaud et sec, les moisde juillet et d’août se seront fait remarquer par des températureslargement au-dessus des normales.

Un été exceptionnellement chaud…Et des records battus !

Par Patrick Boez

≥ Températures été 2012

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[ sécurité routière ]

Ce fut encore le cas, avant les vacancesd’été, avec trois dossiers sur les règles desécurité pour les usagers de la route : « Àvélo, le port du casque est indispensable » ;« Cyclomotoristes : conduire en toute sécu-rité » ; « Seniors au volant : conseils pourvotre sécurité et celle des autres ». Cette semaine, nous relayons la nouvellecampagne d’information lancée en Métro-pole par la Sécurité Routière sous le slo-gan : « Trop d’alcool, trop de fatigue, tropde médicaments ? Passe le volant ».

≥ Installer un nouveau comportement sur la route

L’objectif de la nouvelle campagne de laSécurité Routière diffusée sur les télévi-sions nationales et donc sur le bouquet dechaînes que nous recevons localement : ins-taller un nouveau comportement sur laroute.En effet, alcool, fatigue, médicaments altè-rent les facultés de chacun et sont réguliè-rement impliqués dans la survenue d’acci-dents. Pourtant, de nombreux conducteursne veulent pas laisser le volant, même s’ilsne sont pas en capacité de conduire. La Sécurité Routière incite fortement lesconducteurs à adopter un réflexe simple :passer le volant !

≥ « Passer le volant, le réflexe de bonne conduite »

Au centre de la nouvelle campagne de sen-sibilisation, un nouveau spot TV de la Sécu-rité Routière. Il est rythmé par les tranchesde vie d’un automobiliste qui ne lâchejamais son volant quelle que soit la situationdans laquelle il se trouve : une réunion detravail, un repas au restaurant avec safamille, le spectacle de fin d’année de safille, une promenade avec son chien, la pistede danse d’une discothèque… À chaque image cet homme tient le volantde sa voiture dans sa main. Il s’y accrochefurieusement et refuse de s’en séparer. Lefilm se termine par cette réflexion de bonsens et sur laquelle chacun peut méditer :

« Mieux vaut s’accrocher à la vie qu’à sonvolant » qui appelle donc à un nouveau com-portement.Selon la Sécurité Routière, de trop nom-breux conducteurs rechignent à laisser levolant, même s’ils ne sont pas en état deconduire, pour des raisons futiles : « sur-évaluation de ses propres forces, sentimentde toute puissance, absence de confianceenvers son entourage ».

≥ Données clés

• L’alcool est la première cause infraction-nelle de mortalité sur les routes.• Plus de 3 personnes meurent chaque joursur la route dans des accidents liés à l’al-cool.• La somnolence au volant serait à l’origined’un accident mortel sur trois sur autoroute.• Consommation régulière de médicamentspsychoactifs (tranquillisants et somnifères) : 1 personne sur 4 consomme au moins unefois par an des médicaments psychotropes ; 1 personne sur 10 en consom me régulière-ment (plus de 3 mois).•  Les principaux effets des médicaments

psychoactifs sont notamment : la somno-lence, les vertiges, les étourdissements, lestroubles visuels, les troubles auditifs, lessensations d’ébriété, les modifications ducomportement…

« Passe le volant », c’est donc une solutiontoute simple, un comportement-réflexe àinscrire dans le quotidien de la route. •

À la demande de la Commission municipale de la circulation, nous publions régulièrement dans notre journal des articles sur la sécurité routière.

« Passer le volant »Le réflexe de bonne conduite !

Par Jean-Louis Mahé

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le dessin de la semaine

Mario Bruneau est accordéoniste mais aussi accordeur de pianosdepuis 35 années ! Professeur de musique au C.C.S., Thierry Artura bénéficié de l’expérience du montréalais pour une premièreapproche dans l’accordage. Près de 20 heures d’enseignement debase des gestes de précision pour une nouvelle compétence queThierry devra approfondir dans l’avenir. Une formation indispensa-ble (qui répond aussi à l’un de ses souhaits) vu l’abondance du parcinstrumental nécessitant d’être accordé normalement une fois paran. Mais à cause du très fort taux d’humidité dans nos îles, les pia-nos sont très souvent saturés d’eau (le bois enfle et les cordes onttendance à rouiller) et doivent être examinés 2 fois dans l’année.Beaucoup de travail en perspective ! • J.-C. L’Espagnol

Accordeur de pianoPremière approche

≥ formation

Le rameur et aventurier Charles Hédrich a passé les Îles Canariesdimanche dernier après 82 jours et 17 heures de mer non-stop etsans ravitaillement. Parti de Saint-Pierre le 9 juillet pour une tra-versée de l’Atlantique aller-retour à la rame en solo, il vient d’ac-complir et de valider la traversée Ouest-Est. Seulement 10 rameursont réussi cette performance en solo et dans ce sens. Parmi ces 10rameurs, seulement 3 ont également effectué une traversée dansle sens Est-Ouest. La deuxième partie de son défi a commencé etson arrivée du côté de la Guyane est prévue vers la vingtaine dumois de novembre si les conditions météorologiques lui sont favo-rables. Personne à ce jour n’a tenté ces 2 traversées successive-ment. Bravo et bonne route Charles ! • J.-C. L’Espagnol

Charles HedrichPremière étape réussie !

≥ aventure

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[ publication ]

De format de 42 cm par 22 cm et impriméen recto-verso (sur du papier recyclé avecencres végétales), il reprend à travers vingt-six mots, des éléments emblématiques del’identité du territoire et présente ainsi ladestination Saint-Pierre et Miquelon.Ce dépliant est un document d’interpréta-tion : il évoque l’Archipel en abordant sonhistoire et son patrimoine ainsi que sanature et ses paysages naturels. De courts textes expliquent les 26 définitions,et invitent à une découverte, pour aller plusloin, des produits touristiques de l’Archipel.En effet, la lecture du dépliant « SPM de A àZ… » constitue une clé d’entrée, on pourra enapprendre plus ensuite en réalisant parexemple le tour guidé de l’Arche sur l’archi-tecture, la visite de l’Île-aux-Marins avec leCRT, une sortie en mer avec l’École munici-pale de Voile ou bien encore une Éco-Baladeavec la MNE…La MNE a souhaité réunir l’ensemble desstructures touristiques publiques et para

publiques autour de ce projet, dans la conti-nuité de la Formation Interprétation qu’ellea organisée en 2010 (pour laquelle la MNE areçu un financement du Ministère de l’Éco-logie). Le groupe de travail a conçu cedépliant à partir de la méthodologie acquisedurant cette formation de deux semaines en2010. Ce projet a aussi été encouragé lorsdu séminaire sur le « Développement del’Écotourisme et la Valorisation de la biodi-versité » organisé par la MNE en 2011, oùles intervenants qui se sont déplacés surl’Archipel pour l’occasion, avaient formuléun ensemble de préconisations. Ellesencourageaient notamment la productionlocale par les acteurs du tourisme de docu-ments d’interprétation.Pour la traduction, un projet pédagogique aété mis en place avec le Lycée d’État ÉmileLetournel et particulièrement la classed’anglais de 1°S de Mme Borotra. Puis, laMNE a reçu l’aide de relecteurs avant deprocéder à l’infographie du dépliant. Sur le

verso en anglais, les 26 mots ont étéconservés en français dans le but de fami-liariser les touristes anglophones avecl’identité locale.Édité en grande quantité pour une large dif-fusion sur l’Archipel, il est disponible dansles points d’accueil du public touristique ;une distribution dans les boîtes aux lettres aaussi été réalisée pour les habitants de l’Ar-chipel.Structures participantes au projet : Arche,École municipale de Voile de Saint-Pierre,Maison de la Nature et de l’Environnement,Comité Régional du Tourisme, Conserva-toire du Littoral, Syndicat d’Initiatives etCentre Culturel et Sportif Territorial. •

•••

(1) : Vicky Cormier : Chef de Projet Maisonde la Nature et de l’Environnement de Saint-Pierre et Miquelon.

Depuis le début septembre, un dépliant sur l’Archipel a été mis en distribution dans les structures d’accueil des touristes et du public en général.

Maison de la Nature et de l’EnvironnementDistribution du dépliant « SPM de A à Z… »

Par Vicky Cormier(1)

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Les vingt-sept adolescents, accompagnésde cinq de leurs enseignants, ont cinq jourspour découvrir ou redécouvrir la péninsuled’Avalon grâce au programme concocté parleurs professeurs d’Anglais et d’Histoire-Géographie. Un large panel d’activités leursera proposé durant le séjour. Pas le tempsde s’ennuyer ! Dès leur arrivée, un jeu de piste imaginé parles professeurs de langue invite les élèves àaller à la rencontre des habitants, dans lesrues du centre de St. Jean, afin de glanerdes informations sur les traditions locales. Les jeunes sont très vite propulsés dans laculture terre-neuvienne. Il y en aura pourtous les goûts : « Nous avons eu l’opportu-

nité de participer à un stage d’initiation à ladanse irlandaise. Nous nous sommes vrai-ment amusés à danser tous ensemble desjigs et des reels avec l’excellent prof ShawnSilver », confient Amanda, Lucie et Dina.Quant à Pierre-Alexandre, ce qui l’a beau-coup marqué, c’est « Grease », la célèbrecomédie musicale. « C’était la première foisque j’assistais à ce genre de spectacle.C’était génial. La salle du Art and CultureCenter est gigantesque et très belle. Deplus, je n’ai pas vraiment été gêné par labarrière de la langue ! ». Le « Haunted hike » fait sensation égale-ment sur certains : il s’agit d’une sorte debalade contée nocturne lors de laquelle un

conteur terre-neuvien, affublé d’un costumed’un autre siècle, d’un tricorne et d’uneeffrayante canne terminée par un pommeauen forme de tête de mort, guide le groupedans le dédale des ruelles obscures du cen-tre de la ville, leur narrant des histoires fan-tastiques à vous glacer le sang ! Une visite au musée « The Rooms » s’im-pose également. C’est l’occasion de décou-vrir les œuvres de quelques artistes célè-bres comme Christopher Pratt, mais ausside se mettre dans la peau d’un artiste. Lesélèves sont en effet conviés à prendre uncours de dessin au sein même du musée. Le volet historique du voyage porte sur laprésence française à Terre-Neuve. Plu-

Mardi 11 septembre 2012, l’heure de la rentrée sonne pour les élèves de l’A préparent leur cartable, les élèves de troisième du collège Saint-Christoph pour s’envoler, dès le lendemain, vers la plus vieille ville d’Amérique du No Récit…

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Compte-rendu des élèves et de l’encadrement

≥ Toute la joyeuse troupe à Signal Hill.

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[ récit ]

de l’Archipel. Quand tous les autres istophe, eux, préparent leur valise

du Nord, Saint-Jean de Terre-Neuve.

-Christopheles « Anglais »

sieurs visites guidées sont donc organiséesautour de ce thème : Signal Hill et sa tourCabot ainsi que la ville de Plaisance, célè-bre pour son fort Castle Hill, deux lieuximportants concernant les affrontementsfranco-anglais. Selon Noémie, « les visiteshistoriques pourraient sembler un peurébarbatives mais finalement, cela nouspermet d’obtenir de multiples informationsintéressantes ». On profitera de l’excursionpour aller se détendre aux abords dessplendides falaises de la réserve ornitholo-gique de Cape St Mary’s, lieu hautementapprécié par une des plus importantes colo-nies de fous de Bassan de la région.Les jeunes Saint-Pierrais profitent aussid’un moment d’échange avec des élèves del’école francophone des Grands Vents. L’ac-cueil est très chaleureux. Au menu, matchde basket, balade dans le parc Pippy Park,présentation d’un diaporama sur notreArchipel, réalisé l’an dernier par des élèvesde cinquième du Collège, repas… SelonEvan, « c’était l’occasion de discuter avecdes jeunes de notre âge. Ils étaient trèssympas et on a pu apprendre des chosessur leur façon de vivre, leur scolarité entreautres ! »Au fil des jours, l’aventure collective fédèrele groupe et l’on partage des momentsriches en émotions, de bonnes parties derigolades. « J’étais déjà allée au bowlingauparavant, mais là, avec les élèves et lesprofs, on a vraiment beaucoup ri… », rajouteEstelle, qui n’a pourtant pas gagné la par-tie. « La plupart de ces jeunes connaissaientdéjà la ville de St. Jean, certes, mais on atenté de leur offrir une autre vision en leurproposant des activités qu’ils n’auraient pastous l’occasion de faire en famille. Du côtéde l’équipe pédagogique, l’expérience esttrès enrichissante : on porte un nouveauregard sur les élèves, les rapports sont biendifférents de ce que l’on vit en classe », pré-cise une enseignante. Ce voyage semble donc avoir été appréciéautant du côté des élèves que des profes-seurs et tous garderont en mémoire leurpériple chez les « Anglais ». •

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≥ Church Hill à St. Jean et ses nombreux édifices religieux.

≥ Chez O’Brien, un magasin de musique de St. Jean.

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spectacle

En ouverture de sa saison 2012-2013, la patinoire de Saint-Pierre présente le samedi 13 octobre à 20 heures 30 pour les adultes et ledimanche 14 octobre à 17 heures pour le jeune public la troupe du Patin Libre. L’ensemble montréalais de patinage contemporain, forméen 2005 par d’anciens patineurs de fantaisie de niveau international, propose « de réelles œuvres d’auteurs qui exploitent les possibilitésscéniques et chorégraphiques inouïes de la glisse loin des stéréotypes, des paillettes et des démonstrations de champions », lit-on dansle dossier de presse. Le Patin Libre a participé, dans de nombreux pays (Canada, États-Unis, France, Belgique et Suisse), à l’émergenced’un mouvement qui se ramifie à l’extérieur de la scène professionnelle en inspirant une danse urbaine sur patins. La presse écrite et audiovisuelle se font écho du succès et de l’originalité de cette troupe hors du commun. « … La foule a eu raison de sepresser… Du grand art », écrit L’Yonne Républicaine ; « Une véritable révolution », commente Ici et « … des numéros dynamiques et archi-divertissants, un tantinet extrême. Le patin n’a plus ici rien de traditionnel… », rapporte La Presse. Et pour confirmer leur performance et leur réussite, la troupe a reçu au début de cette année le Prix des Offices Jeunesse Internationauxdu Québec dans la catégorie Projets culturels internationaux. À vous maintenant d’aller voir, d’apprécier et de faire vos propres com-mentaires. • J.-C. L’Espagnol

La troupe du Patin LibreProchainement sur la glace de Saint-Pierre !

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athlétisme

Trail des Collines 2012Deux nouveaux records féminins

Ce samedi 6 octobre, La Foulée des Îles a inscrit à son calendrier 2012 la 5e édition du Relais Georges Poulet, une épreuve disputée paréquipes de 4 coureurs, le départ étant donné au quartier des Graves dès 9 heures.Mais en attendant, il nous faut revenir ici sur le Trail des Collines 2012, le 7e du nom, organisé en septembre et qui a réuni, marcheurs ycompris, une bonne centaine de personnes. Au final, 33 personnes ont été classées dont 11 dames. Une édition qui restera dans lesannales grâce à deux performances féminines.Mais commençons par les messieurs. Comme l’an passé, Christophe Chevet (ci-dessus à gauche) s’est imposé en 34’49, devant PascalBry en 40’52 et Olivier Maugan en 41’33. Si Christophe Chevet a amélioré son temps d’une bonne minute (35’56 en 2011), il n’a pas effa-cer des tablettes les temps de référence de Claudio Arthur : 32’14 (senior en 2007) et 34’43 (vétéran 1 en 2008).Chez les dames, Carine Kerhoas (ci-dessus à droite), en 46’06, est montée sur la plus haute marche du podium, devant Lucie Gorager,en 48’46, et Solo Dianon, en 51’01. Et c’est de ces deux premières féminines qu’est venue la bonne nouvelle du jour. Avec son temps,Carine Kerhoas a non seulement établi le nouveau record de la catégorie V1, mais aussi le record féminin toutes catégories confondues.Et pour ne pas être en reste, sa seconde, la jeune cadette Lucie Gorager, a établi le désormais temps de référence dans sa catégorie maisaussi, excusez du peu, le deuxième meilleur temps féminin enregistré depuis la création de l’épreuve en 2006. Cela méritait bien d’êtresignalé ici. À titre de comparaison, il faut se rappeler que le record senior (50’30) appartenait depuis 2006 à Emmanuelle Boccou, et l’an-cien record V1 (51’11) avait été établi cette année-là aussi par Ursula Delcourt.Après le Relais Georges Poulet de ce week-end, le prochain rendez-vous d’athlétisme est fixé au samedi 20 octobre avec la 22e édition duCross de l’Écho des Caps, une épreuve à laquelle les scolaires vont pouvoir s’inscrire dès ces jours-ci. • D. Gil

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Nuit BlancheUn regard différent sur la ville !

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Présentation du film Teenagers ; animation danse par l’atelier duCentre Culturel et Sportif ; spectacle musical avec Mario Bruneauet Evelyne Cardinal ; projection en extérieur du reportage Une valseà trois temps… L’accordéon et les bals populaires à Saint-Pierre-et-Miquelon 1900 – 1992 devant l’Arche Musée-Archives ; visite gui-dée, sur l’histoire des incendies, dans les rues de Saint-Pierre ;soupe à l’oignon et lecture de contes à la Bibliothèque municipale ;promenade surprise dans les rues et sur les routes à bord du BusMystère ; séance de taïchi sur la place du Général de Gaulle ; petitdéjeuner au Cyber Poly Gone Home… un menu bien équilibré pourcette quatrième édition de Nuit Blanche éclairée radieusement parune pleine lune… Le Bus Mystère, un des points forts de toutes les animations, aemmené une cinquantaine de passagers vers la plage de Savoyard,la route du Gabion, le chemin du Diamant, le belvédère du Cap-aux-Basques, la route du Milieu et l’ancien aéroport où des comédiensbénévoles ont semé tout au long du parcours, humour, poésie etsuspense ! Depuis 4 années, grâce à la mobilisation des services de la Munici-palité de Saint-Pierre et du Conseil Territorial et la convergence deforces et d’énergies, la Nuit Blanche offre un regard différent sur laville. « C’est beau une ville la nuit ! », dixit Richard Bohringer. Il n’apas tout à fait tort ! • J-C. L’Espagnol

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animation

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NATURE DU MARCHÉ :Marché public de services

POUVOIR ADJUDICATEURNom et adresse officiels de l’organisme acheteur :Conseil Territorial de saint-Pierre etMiquelonPlace Monseigneur MaurerBP 420897500 SAINT-PIERREAdresse du profil d’acheteur (URL) :http://www.achatpublic.com

OBJET DU MARCHÉ

Description succincte :Mission de maîtrise d’oeuvre relative auxtravaux d’électrification de Saint-Pierre –programme FACE 2013

Lieu d’exécution :Saint-Pierre

CARACTÉRISTIQUES PRINCIPALESMission témoin + EXE partiel + OPC pour lamaîtrise d’œuvre des travaux de renforce-ment des réseaux électriques desservispar les postes Delattre, Espérance, Bros-sard et Galantry.Le marché comportera une tranche fermeet deux tranches conditionnelles.

Acceptation des variantes : NonPrestations divisées en lots : Non

CONDITIONS RELATIVES AU MARCHÉ

Modalités essentielles de financement etde paiement et / ou références aux textesqui les réglementent :* Origine du financement : budget de laCollectivité Territoriale ;* Une avance sera accordée au titulaireselon les conditions fixées dans le cahierdes charges ;* Les prix seront fermes actualisables ;* Les comptes seront réglés sous la formed’acomptes et d’un solde ;* Le délai global de paiement du règlementdes comptes sera fixé à 30 jours ;

Forme juridique que devra revêtir le grou-pement d’opérateurs économiques attri-butaire du marché :Nature de l’attributaire, chaque marchésera conclu :- soit avec un prestataire unique ;- soit avec des prestataires groupésconjoints.Chaque candidat ne pourra remettre, pourla présente consultation, qu’une seule can-didature en agissant en qualité soit de can-didat individuel, soit de membre d’un grou-pement.

CONDITIONS DE PARTICIPATION

Situation juridique - références requises :* Les documents et renseignements quirendent recevables les candidatures enapplication de l’articles 44 du Code desMarchés Publics (CMP), à cet effet le can-didat pourra utiliser les formulaires DC1 etDC2 téléchargeables sur le sitehttp://www.minefe.gouv.fr ;* La forme juridique du candidat ;* En cas de groupement, sa nature et lenom du mandataire ;* Les pouvoirs de la personne habilitéepour engager le candidat y compris, en casde groupement, le cas échéant, les habili-tations nécessaires pour représenter lesentreprises au stade de la passation dumarché ;* La composition de l’équipe, répartitiondes tâches et compétences des différentsintervenants.

Capacité économique et financière - réfé-rences requises :* Une déclaration concernant le chiffred’affaires global et le chiffre d’affairesconcernant les services objet du marché,réalisés au cours des 3 derniers exercicesdisponibles ;* Une déclaration appropriée de banquesou preuve d’une assurance pour les risquesprofessionnels ;Le candidat peut prouver sa capacité partout autre document considéré commeéquivalent par le pouvoir adjudicateur.

Référence professionnelle et capacitétechnique - références requises :

A – Expérience :Une présentation des principaux projetsélaborés au cours des 3 dernières années,indiquant notamment l’intitulé de l’opéra-tion, le cas échéant son montant, lecontenu de la mission exercée, l’impor-tance du projet, la date et le maître de l’ou-vrage public ou privé. Les prestations deservices sont prouvées par des attestationsdu destinataire ou, à défaut, par une décla-ration de l’opérateur économique.

B - Capacités professionnelles :Indication des titres d’études et/ou de l’ex-périence professionnelle du ou des res-ponsables et des exécutants de la presta-tion de service envisagée ;La preuve de ces capacités peut êtreapportée par tout moyen notamment pardes certificats d’identité professionnelle oudes références de maîtrise d’oeuvre attes-tant de la compétence de l’opérateur éco-nomique à réaliser la prestation pourlaquelle il se porte candidat.

CRITÈRES D’ATTRIBUTIONOffre économiquement la plus avantageuseappréciée en fonction des critères énoncésdans le cahier des charges.

PROCÉDURESType de procédure : Procédure adaptée.Conditions de délaiDate limite de réception des offres : 23octobre 2012 à 16 h 00.

RENSEIGNEMENTS COMPLÉMENTAIRESNuméro de référence attribué au marchépar le pouvoir adjudicateur : DTAM975-SIM-2012-19-09

Autres informations :* Les candidatures et les offres serontentièrement rédigées en langue françaiseainsi que les documents de présentationassociés ;* Unité monétaire utilisée, l’euro ;

Conditions d’obtention du cahier descharges et des documents complémen-taires :* Le mode de retrait du dossier de consul-tation ne conditionne pas le choix du modede transmission de la candidature;* Les documents de la consultation et lesrenseignements supplémentaires pourrontêtre obtenus par voie électronique sur laplate-forme de dématérialisation(http://www.achatpublic.com sous la réfé-rence publique «DTAM975-SIM-2012-19-09», après avoir installé les pré-requistechniques et avoir pris connaissance dumanuel d’utilisation;* Le pouvoir adjudicateur souhaite la trans-mission des offres sous forme papier.

PROCÉDURES DE RECOURSInstance chargée des procédures derecours et auprès de laquelle des rensei-gnements peuvent être obtenus concer-nant l’introduction des recours :Nom de l’organisme: Tribunal administra-tif de Saint-Pierre et Miquelon

Précisions concernant le(s) délai(s) d’in-troduction des recours :* Référé précontractuel: avant la conclu-sion du marché (article L551-1 du Code deJustice Administrative);* Recours pour excès de pouvoir: dans undélai de 2 mois à compter de la notificationde la décision de rejet (articles R421-1 àR421-3 du Code de Justice Administrative);* Recours de plein contentieux: dans undélai de 2 mois à compter de l’accomplis-sement des mesures de publicité concer-nant l’attribution du marché.

DATE D’ENVOI DU PRÉSENTAVIS À LA PUBLICATION : 28/09/2012.

Direction des Territoires, de l’Alimentationet de la Mer Appel Public à la concurrence

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Solution du n° 1302 Régles du jeu :Vous devez remplir toutes lescases vides en placant les chif-fres 1 à 9 une seule fois par ligneune seule fois par colonne et uneseule fois par zone de neuf cases.Chaque zone de 9 cases est marquée d’un trait plus foncé.Vous avez déjà quelques chiffrespar zones pour vous aider.

sudokuProblème n° 1303 • niveau : difficle

15urgence médicale

17gendarmerie

18sapeurs-pompiers

Numérosd’appelsd’urgence

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Le JEUDI 11 octobre à 20 heures 30D’Alexandra Leclère, avec Mathilde Seigner et Josiane Balasko

Cinémavoir la vie en grand présente

L’histoire :« Deux sœurs vont kidnapper leur mère pour l’obliger à lesaimer. »

La presse en parlePour Excessif : « Sobre mais efficace, on adhère avec un indé-niable plaisir. »

Voir la vie en grand…Avec « Maman », la cinéaste Alexandra Leclère poursuit sonétude des liens familiaux et leurs conflits. Après « Les Soeursfâchées » et « Le prix à payer », la voici sur le terrain délicat desrelations Mère/Fille. Partant d’une histoire personnelle, la réa-lisatrice confie : « Il ne s’agit pas pour moi d’étaler une histoirepersonnelle ou de régler quelque chose, même si je m’inspired’un sentiment réel, profond. Alors, partant de cette carenceaffective, j’ai imaginé cette histoire de mère qui débarque aprèsavoir été terriblement absente, et de ces deux sœurs qui, pourarriver enfin à lui parler franchement, ne vont pas lui laisser lechoix ». On peut difficilement imaginer une autre actrice queJosiane Balasko jouant cette mère, peu d’actrices ont ce talentde savoir se faire détester et en même temps aimer à l’écran.C’est rare un tel charisme et ce rôle lui va comme un gant. Sesdeux filles de cinéma sont interprétées par Marina Fois, qui déci-dément enchaîne les films avec un talent qui s’affirme de plusen plus, et par Mathilde Seigner. Au début de l’aventure c’étaitCharlotte Gainsbourg qui était pressentie mais celle-ci a dûrenoncer car au moment du tournage elle était enceinte. C’estdonc la merveilleuse Mathilde Seigner qui a repris le rôle, avecun bonheur réel. Un bonheur communicatif puisque le tournages’est fait dans la joie et la bonne humeur, les quelques bonnesclaques échangées pour les besoins du scénario n’ont donné quedes larmes de joie entre les prises. Un joli trio de cinéma est né.Pour rire sur un sujet grave, pour les prestations géniales destrois actrices, « Maman » vous fera… voir la vie en grand ! •Cédric Lebailly

Pharmaciesde gardedu lundi 1er oct. 9 hau lundi 8 oct. 9 h

Pharmacie CHFD41 47 47

du lundi 1er oct. 9 hau lundi 8 oct. 9 h

Pharmacie SPM55 28 02

Agenda des maréesOctobre 2012

Les jours décroissent de 1 heure 33 minutes

BASSES MERS PLEINES MERS

Samedi 6 - St Bruno - Ste Fiona06:54 19:34 01:19 13:48

Dimanche 7 - dame de Rosaire - St Serge07:39 20:27 02:06 14:39

Lundi 8 - Ste Pélagie - Lune : D. Quartier08:35 21:34 03:03 15:40

Mardi 9 - St Denis 09:49 22:53 04:09 16:47

Mercredi 10 - St Ghislain11:12 05:19 17:53

Jeudi 11 - St Firmin00:50 12:25 06:23 18:53

Vendredi 12- St Wilfried01:02 13:24 07:19 19:47

Samedi 13- St Géraud01:50 14:14 08:10 20:35

Dimanche 14 - St Juste02:34 15:01 08:57 21:22

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≥ Caisse d’Épargne Appel d’offres Numéros utiles* Outre le numéro du standard à utiliser durant les heures d’ouverturedes bureaux, vous pouvez également joindre la Mairie de Saint-Pierre par télécopie. D’autres numéros peuventaussi vous être utiles, notammenten cas d’urgence.

[ Fourrière ]Service Fourrière :55 19 75

Ville de Saint-Pierre

Fourrière

Mairie standard : 41 10 50Pôle Voirie : 55 80 77 ou 55 80 65Pôle bâtiment : 55 80 78 ou 55 57 18Traitement des eaux :55 80 61

* Avis d’appel d’offres – Marché privé.La Caisse d’Épargne – Île-de-France lance un appel d’offres en vue de la rénovation del’agence Caisse d’Épargne à Saint-Pierre.Les travaux sont allotis comme suit :• LOT N° 01 – Démolition – Terrassement – Gros œuvre.• LOT N° 02 – Charpente bois – Bardage.• LOT N° 03 – Couverture – Étanchéité.• LOT N° 04 – Menuiseries extérieures ALU PVC – Métallerie – Cloisons vitrées.• LOT N° 05 – Menuiseries intérieures – Cloisons – Plafonds – Revêtements sols – Murs -Peinture.• LOT N° 06 – Électricité courants forts et faibles.• LOT N° 07 – Plomberie – Sanitaire – Chauffage – Ventilation.Les dossiers de consultations sont disponibles au format électronique au cabinet d’architec-ture :R. Victorri A&MO,5 rue Paul Lebailly à Saint-PierreTél : 41 55 70,[email protected] offres seront à remettre à la Caisse d’Épargne de Saint-Pierre au plus tard :- le 10/10/2012 à 15 h pour les lots 1, 2 et 4 ;- le 23/10/2012 à 15 h pour les autres lots.

≥ BDSPM Annonce légale* ARCHIPEL INVESTISSEMENTSSARL au capital de 7.622€Angle des rues général Leclerc et Jacques Cartier97500 SAINT-PIERRE ET MIQUELONSIREN 412 855 066RCS Saint-Pierre

• DISSOLUTION ANTICIPÉE. Aux termes d’une délibération de l’assemblée générale extraor-dinaire en date du 21 septembre 2021, la collectivité des associés a décidé une dissolutionanticipée de la société à compter du même jour et sa mise en liquidation amiable.Elle a nommé Monsieur Pierre BALSAN demeurant à Saint Pierre en qualité de liquidateur etlui a conféré les pouvoirs les plus étendus pour terminer les opérations sociales en cours, réa-liser l’actif, acquitter le passif.Le siège de liquidation est fixé au siège social de la société : Angle des rues général Leclercet Jacques Cartier – BP 4223 – 97500 SAINT-PIERRE ET MIQUELON.C’est à cette adresse que la correspondance devra être envoyée et que les actes et documentsconcernant la liquidation devront être notifiés.Le dépôt des actes et pièces relatifs à la liquidation sera effectué au Greffe du Tribunal deCommerce de Saint-Pierre.Pour avis, le liquidateur.

≥ À louer à Paris* À louer à Paris, au coeur de Montmartre, métro Abbesses, 39 rue Durantin, un studio meublé,entièrement équipé : cuisine américaine, salle d’eau, lave linge séchant, téléphone, télévision, free-wifi, literie haut de gamme. Linge de maison fourni. Plus de détails sur le site : www.studiomont-martre.frTarifs dégressifs, exemples : 490 euros la semaine -1 500 euros le mois.Contacter Claire Foliot-Guichard : [email protected]• Portable : 06 61 91 56 79 • Fixe : 01 46 44 77 07.

Journal édité par la Ville de Saint-Pierre

Site internet www.mairie-stpierre.fr

Fondateur Albert Pen (Février 1982)

Directeur de la publication et Éditorialiste Karine Claireaux

Codirecteur Claude Arrossaména

Rédacteur en chefDidier Gil : 05 08 41 10 91

JournalisteJean-Louis Mahé : 05 08 41 10 92

Secrétaire de rédaction et accueil Clarisse Hacala : 05 08 41 10 90

InfographistesSteve Yon et

Jean-Christophe L’Espagnol

05 08 41 10 95

Impression Yannis Lepape :

05 08 41 10 93 — 05 08 41 10 94

PhotographesJean-Christophe L’Espagnol

(J.-C. L’E.) [email protected]

Jean-Luc Drake

(J.-L. D.) [email protected]

Dessins d’actualitéBenoît Germe

Pour nous joindreL’Écho des Caps Hebdo,

rue Georges Daguerre • BP 4213 •

97500 SPM • Tél. 05 08 41 10 90

• Fax 05 08 41 49 33

Courriel [email protected]

Tirage 3 300 exemplaires

Commission paritaire numéro 68511

≥ Moncton Export S.P.M. Ltée Communiqué* La Direction de Moncton Export S.P.M. Ltée est heureuse de vous annoncer qu’après avoir servil’Archipel depuis de nombreuses années en marchandise générale, avec en spécialité le domaineautomobile (voitures et pièces détachées), elle peut également maintenant vous offrir ses servicesen pièces d’élévateurs de toutes marques.Pour de plus amples renseignements, veuillez contacter Robert Allain par télécopieur au (506) 384-6396 ou par courriel : [email protected]

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≥ Sénateur Communiqué* Madame Karine Claireaux, Sénateur de l’Archipel, informe la population de Saint-Pierre etMiquelon que sa permanence, 17 rue de Paris, est ouverte tous les matins de 8 h à 12 h.

Vous pouvez joindre son assistant au 41 99 90et les courriers peuvent être adressés à la Boîte Postale 4460.

Page 19: Echo des Caps n° 1303

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Même pas grave !L’échec scolaire ça se soigne

Olivier RevolÉditions j’ai luDocumentaire

Lorsque l’école est synonyme de souffrance et que se précisela peur de l’échec scolaire, ce guide peut aider les parents etenseignants à poser un diagnostic et à trouver le traitementadapté. L’auteur est pédopsychiatre, il dirige le centre d’ap-prentissage de l’hôpital neurologique de Lyon. Avec desexemples de cas rencontrés lors de ses consultations, ilévoque les problèmes rencontrés par des enfants et adoles-cents atteints de dyslexie, dysphasie, hyperactivité, instabi-lité, précocité, dépression, TOC, etc… Un ouvrage très com-plet pour repérer les premiers signes qui doivent alerter l’en-tourage familial et professionnel et leur indiquer la marche àsuivre. •

Écoles du mondeEstelle Vidard

Éditions Père CastorDocumentaire

À l’occasion de la rentrée scolaire, cet album aux très joliesillustrations, permettra aux enfants de découvrir la vie quo-tidienne d’autres écoliers dans quinze pays différents. Pourchacun, le système scolaire, les conditions d’apprentissage,la langue, les loisirs sont évoqués et les règles d’un jeutypique du pays expliquées. De l’Inde à la Finlande, en pas-sant par les États-Unis, le Mexique, le Kenya et l’Australie,une manière ludique et instructive de découvrir d’autres cul-tures. •

•••Rubrique animée par Josée Gautier

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Page 20: Echo des Caps n° 1303

Raphaële Goineau expose à compter de ce week-end au Lézard Créa-tif, zone commerciale de Bessines, près du « Courte Paille », route dela Rochelle, à Niort. Vous pourrez découvrir une trentaine de toiles re-présentant des paysages de la région poitevine et de Saint-Pierre-et-Miquelon. Si le vernissage a lieu ce vendredi 5 octobre à 18 heures, l’expositionrestera en place tout le mois d’octobre et vous pourrez la visiter si vouspassez dans la région (renseignements : 05 49 06 18 04).Chacun le sait ici, Raphaële Goineau, originaire de l’Archipel, vit au-jourd’hui en Métropole, dans le marais poitevin. Son site (http://www.goineau.com) retrace sa carrière artistique, pré-cisant que « de sa formation de graphiste à l’École Estienne, elle a

gardé le goût de l’œuvre gravée, du rapporttexte/image et, dans ses toiles, de la re-cherche de l’équilibre. C’est néanmoinsdans l’étude de la lumière qu’elle se re-trouve le plus.Son œuvre à l’huile se rapproche parfois decelle de certains peintres américains quandelle peint “son” île et prend des teintes plussourdes, une manière plus en glacis et ma-tières quand il s’agit de retranscrire lesambiances poitevines. Elle crée alors uneatmosphère quelque peu mélancolique quise retrouve dans ses estampes ».Depuis 1992, Raphaële a exposé de nom-breuses fois, ici même bien sûr, mais aussien Métropole, à Paris, Bordeaux ou encoreToulouse, mais aussi au Canada à Halifax(Nouvelle-Écosse) ou Saint John’s (Terre-Neuve-et-Labrador). Elle a également reçudes prix de peinture des villes de Paris etBordeaux.

Nombre de ses œuvres apparaissent dansdes collections publiques – Ministère de

l’Outre-Mer, Mairie de Saint-Pierre, Conseil Territorial de Saint-Pierreet Miquelon, L’Arche Musée et Archives de la Collectivité Territoriale deSaint-Pierre et Miquelon, Musée de l’Île-aux-Marins, Aéroport deSaint-Pierre et Miquelon – ou privées.Et les philatélistes le savent aussi, depuis 1990, elle a réalisé de nom-breux timbres postaux pour La Poste de Saint-Pierre et Miquelon.Et sa prochaine grande exposition est déjà annoncée pour novembre2013 à Paris. Elle exposera à l’Eglise de la Madeleine avec Marie LaureDrillet, une autre peintre originaire de Saint-Pierre et Miquelon. Lesdeux artistes présenteront une centaine de toiles pour l’occasion. • D.Gil

Raphaële GoineauExposition à Niort du 1er au 31 octobre 2012

≥ Métropole

Le Sénateur de l’Archipel a participé ce jeudi et ce vendredi aux ÉtatsGénéraux de la démocratie territoriale qui ont connu leur conclusionau Sénat et à la Sorbonne en présence du Président de la République,François Hollande, du Premier ministre Jean-Marc Ayrault et deplusieurs membres du Gouvernement dont le Ministre des outre-merVictorin Lurel.« Représentant des collectivités territoriales, le Sénat est au cœur dudialogue entre l’État et les collectivités locales ». C’est cette convictionqui a conduit Jean-Pierre Bel, Président du Sénat, à organiser cesÉtats Généraux de la démocratie territoriale. « Il m’a sembléimportant que le Sénat donne enfin la parole à ceux qui consacrentbeaucoup de temps à ce véritable engagement civique que constituel’exercice d’un mandat électif », a déclaré Jean-Pierre Bel  ; lePrésident du Sénat a constaté que l’idée d’organiser, avec lesSénateurs, des rencontres dans chaque territoire « correspondait àun vrai besoin d’échange et de dialogue ».Dans ces débats, les élus ont globalement abordé la manière « derendre encore plus efficace l’intervention des communes, des

départements, des régions, de l’intercommunalité ». Les élus s’inquiètent « du financement de leurs investissements, dupoids des normes toujours plus nombreuses et qui sont facteurs decoûts supplémentaires et de tracasseries administratives ». Ils veulent« une véritable simplification des règlements et un pacte financier quistabilise leurs finances et donne de la visibilité sur leur action à moyenterme ».Les élus d’outre-mer sont tous «  demandeurs d’une plus grandeadaptation des contraintes à leurs réalités locales pour mieux lesvaloriser ».Les Sénateurs dont Mme Karine Claireaux, Sénateur de l’Archipel, onttous fait parvenir un compte-rendu des débats territoriaux. La syn-thèse restituée cette semaine à Paris en a dégagé les idées force. Ellea été remise au Premier ministre. Jean-Marc Ayrault a indiqué qu’il« tiendrait le plus grand compte des États Généraux » car les collec-tivités locales ont besoin de « retrouver la confiance de l’État ». Un dossier sur lequel nous reviendrons prochainement. • J.-L. Mahé

Les États Généraux de la démocratie territorialeSynthèse et restitution à Paris

≥ Politique