Droit d’auteur © Bible Pathway Adventures 2016 … · Tout droit réservé. Aucune partie de ce...

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Droit d’auteur © Bible Pathway Adventures 2016

Auteur : Pip Reid Illustrateur : Thomas Barnett Directeur Créatif : Curtis Reid

Traductrice française : Cécile Judd

La Sortie d’Egypte Publié premièrement : 2015

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du monde entier à enseigner nos enfants sur la fondation de notre foi de manière amusante et créative. Les donateurs comme vous sont la source du financement du développement de

l’application, des projets de traduction, de la création des histoires et de la mise à disposition gratuite de matériel des disciples de Yeshua pour les familles de partout.

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1.

Quand le peuple hébreu arriva en Egypte pour la première fois, ils avaient la vie facile. Joseph, le fils de leur chef Jacob, était un bon ami du pharaon. Mais après sa mort, d’autres pharaons, qui n’aimaient pas les hébreux, commencèrent à régner sur le territoire. Les pharaons faisaient travailler les hébreux, de plus en plus dur et, les hébreux criaient à Dieu de les sauver.

« Dieu, s’il Te plait, n’oublie pas ton people. Sauve-nous de ce mauvais pharaon ! »

Bien que cela n’en eût pas l’air, Dieu avait déjà tout résolu. Il n’avait pas oublié Sa promesse faite à Abraham, de faire du peuple hébreu une grande nation. Même si Dieu permit qu’ils fussent conduits en esclavage, Il avait aussi un plan pour les libérer. Son plan incluait un bébé appelé Moïse, qui un jour grandirait pour conduire le peuple hébreu hors d’Egypte.

 « Dieu dit : J'ai vu la souffrance de mon peuple qui est en Egypte et, j'ai entendu les cris que lui font pousser ses oppresseurs,

car je connais ses douleurs. » (Exode 3 : 7)

La Sortie d’Egypte

2.

Moïse était né à l’époque où Pharaon tuait les enfants hébreux. Il y avait davantage d’hébreux que d’égyptiens et, pharaon avait peur qu’un jour les enfants hébreux grandiraient et rejoindraient ses ennemis.

« Les hébreux ont trop d’enfants  », dit Pharaon aux sages-femmes. «  Si une femme hébraïque donne naissance à un garçon, tuez-le. Si c’est une fille, laissez-la vivre. »

La mère de Moïse entendit la nouvelle loi de pharaon. «  Pharaon ne prendra pas mon fils  », pensa-t-elle. Avant que les hommes de pharaon ne trouvent son garçon nouveau-né, elle imagina un plan avec intelligence. Pour sauver la vie de Moïse, elle l’allongea dans un panier tissé et, le plaça au milieu des roseaux au bord du Nil.

3.

Un peu plus tard ce jour-là, alors que la fille de pharaon prenait son bain dans le Nile, elle aperçut un bébé dans un panier près de la berge. «  Il doit être un des enfants hébreux », dit-elle. Elle contempla le bébé. «  Il est trop mignon. Peut-être que je devrais le garder. »

La sœur de Moïse, Miryam, regardait depuis derrière les roseaux pour voir ce qui arriverait à son frère. Elle se précipita hors de l’endroit où elle s’était cachée. «  Princesse, dois-je aller chercher une femme hébraïque pour allaiter le bébé ? »

Miryam courut chercher sa mère qui était la femme parfaite pour prendre soin de Moïse. N’était-il pas si remarquable la manière dont Dieu avait tout arrangé pour permettre à sa propre mère de l’allaiter, même après l’avoir abandonné ? 

La fille de pharaon était contente d’avoir une femme hébraïque pour prendre soin du bébé. Quand Moïse fut un peu plus grand, sa mère le ramena au palais pour vivre avec la princesse.

4.

Moïse grandit au palais royal en tant que petit-fils de pharaon. Il portait des vêtements de la plus grande qualité, mangeait la meilleure nourriture et, avait les professeurs les plus intelligents. Les serviteurs s’inclinaient devant lui et, les hommes égyptiens avaient peur de lui. La vie au palais était bien plus drôle que celle qu’il aurait eut en tant qu’esclave hébreu !

Moïse ne savait pas qu’il était hébreu et pharaon non plus.

Pendant ce temps, les esclaves hébreux étaient forcés de travailler très dur. Ils suaient sous le soleil chaud égyptien, plantaient des récoltes, bâtissaient des statues et fabriquaient des briques de boue et de paille, tous les jours.

5.

Un jour, lorsque Moïse était devenu adulte, il découvrit qu’il était hébreu. Il se mit en route pour rendre visite à sa vraie famille qui vivait dans une partie d’Egypte, appelée Gosen. Alors qu’il les regardait fabriquer des briques de boue, il vit un égyptien battre un esclave hébreu.

Le cœur de Moïse était rempli de colère. « Comment oses-tu frapper cet esclave ! », hurla-t-il. Moïse tua l’égyptien et enterra son corps dans le sable. Le jour suivant, Moïse vit deux hommes hébreux se battre. « Pourquoi frappes-tu ton ami ?  », demanda-t-il à l’un des hommes. « Qui es-tu pour me dire quoi faire ? », répondit l’homme. « Me tueras-tu comme tu as tué cet égyptien ? »

Le cœur de Moïse battait au rythme de la peur. Qui d’autres savaient qu’il avait tué un égyptien ? Quand pharaon entendit ce que Moïse avait fait, il réalisa que Moïse était un hébreu. « Moïse n’est pas mon petit-fils  ! Trouvez-le et tuez-le ! »

Moïse savait qu’il avait des problèmes. Il fuit vers un territoire appelé Madian, loin du palais de pharaon.

6.

Un matin, Moïse s’assit sur le bord d’un puits à Madian, regardant au loin d’un air grave. «  Je suis dans le pétrin  », pensa-t-il. «  Il est impossible que je puisse retourner en Egypte. »

Juste à ce moment-là, les sept filles de Jéthro, le sacrificateur de Madian, vinrent puiser de l’eau pour les moutons de leur père. Un ‘gang’ de bergers essayèrent de les effrayer, mais Moïse se leva d’un bond et les chassa au loin. Quand Jéthro entendit comment Moïse avait protégé ses filles, il invita Moïse à manger avec sa famille.

« Moïse, tu as rendu un grand service à cette famille », dit Jéthro avec reconnaissance. « Je te donnerai ma fille aînée, Séphora, à marier ! »

Les sœurs de Séphora applaudirent des mains ; elles étaient très contentes que leur sœur allait se marier. Ils se rassemblèrent tous et, préparèrent le mariage.

7.

Cette semaine-là, le village vibrait d’excitation à l’idée du mariage de Séphora. Jéthro invita tous ses amis et voisins à la cérémonie du mariage. Les gens chantaient et dansaient et, firent la fête durant toute la journée et toute la nuit.

Moïse et Séphora vivaient ensemble avec la famille de Jéthro. Tous les jours, Moïse rassemblait les moutons et les chèvres de Jéthro et, les faisait paître dans le désert. Ce n’était pas la vie que Moïse avait prévu, mais quarante années dans le désert lui laissèrent plein de temps à passer avec Dieu. Il avait grandi comme un prince au palais du pharaon et maintenant, il était berger dans le désert. « Je vis au milieu de nulle part  », pensa Moïse. « Qu’est-ce que Dieu est en train préparer ? »

De retour en Egypte, les choses s’empiraient pour le peuple hébreu. Mais, Dieu n’avait pas oublié Sa promesse faite à Abraham, Isaac et Jacob. Il vit à quel point les hébreux travaillaient dur et, Il savait exactement quoi faire pour les libérer.

8.

Un jour, près d’une montagne appelée Sinaï, Moïse remarqua un buisson en feu mais qui ne se consumait pas. «  C’est bizarre ! », dit  Moïse. « Il vaudrait mieux que j’aille y voir de plus près. » A sa grande surprise, Dieu lui parla depuis le buisson.

« Moïse, ne t’approche pas davantage. Tu te tiens sur une terre sainte. Je suis le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob.  » Les genoux de Moïse commencèrent à s’entrechoquer. Il arracha ses sandales et couvrit son visage avec ses mains.

« Moïse, J’ai vu à quel point Mon peuple est maltraité en Egypte », dit Dieu. « Je veux que tu ailles chez Pharaon et que tu lui dises de laisser partir Mon peuple. »

Moïse n’était pas sûr de beaucoup aimer cette idée-là. «  Pourquoi m’envoies-Tu  ?  » Il jeta un coup d’œil au buisson enflammé, entre ses doigts. « Je suis un moins-que-rien et un fugitif. Pharaon ne croira pas un mot de ce que je dirai ! »

9.

«  Ecoute-moi  », dit Dieu. «  Tu n’as rien à craindre. Je vais punir les égyptiens, mais Je protégerai Mon peuple. Quand tu les auras conduits hors d’Egypte, reviens et adore Moi ici sur cette montagne. »

Afin que le peuple croie Moïse, Dieu lui montra comment faire des signes et des prodiges. « Qu’as-tu dans ta main  ?  », interrogea Dieu. « Jette-le par terre ! » Moïse jeta le bâton en bois sur le sol et il se transforma en un serpent. Ses yeux en sortirent presque de leurs orbites. Il fixa des yeux le bâton de bois, avec stupéfaction.

Mais Moïse était toujours inquiet. «  Je suis un orateur épouvantable. Ne peux-Tu pas envoyer quelqu’un d’autre ? » Dieu se mit très en colère. « N’as tu pas un frère, Aaron ? Il parle beaucoup. Je l’enverrai avec toi. Il peut parler pour toi et tu peux parler pour Moi. »

Moïse soupira et se gratta la barbe. Il n’y avait pas d’échappatoire au travail que Dieu lui avait donné. Il rassembla sa famille et, ils partirent pour un long voyage de retour en Egypte.

10.

Peu de temps après que Moïse et sa famille furent partis pour l’Egypte, Aaron partit en courant à leur rencontre. Dieu lui avait commandé de rejoindre Moïse dans le désert. Moïse lui raconta tout ce que Dieu avait dit et, il lui montra les signes qui lui avaient été commandés d’accomplir. Aaron n’avait jamais rien vu de pareil de toute sa vie  ; ses yeux devinrent aussi grands que des assiettes.

Après avoir voyagé dans le désert, Moïse et Aaron arrivèrent en Egypte. Aaron parla aux chefs hébreux et Moïse accomplit les signes pour que tout le monde voie. Le peuple tapait du pied et dansait joyeusement.

Le jour suivant, Aaron et Moïse attrapèrent le bâton de bois et montèrent les marches du palais de pharaon. Moïse voulait que Pharaon comprenne le message de Dieu, alors il laissa Aaron prononcer tout le discours. Aaron prit une grande inspiration et s’inclina devant pharaon. « Dieu veut que tu laisses partir Son peuple, ainsi ils pourront apprendre Ses voies et L’adorer. »

11.

Mais Dieu endurcit le cœur de Pharaon et il devint très têtu. « Qui est ce dieu des hébreux ?  Je ne le connais pas et, je ne laisserai personne partir ; j’ai besoin qu’ils travaillent pour moi ! »

Pharaon parla à ses chefs d’esclaves. « Ne donnez aucun foin à ces hébreux faignants », leur dit-il. «  Ils peuvent se le chercher eux-mêmes. Toutefois, ils doivent produire le même nombre de briques qu’auparavant. »

Les esclaves hébreux se mirent très en colère contre Moïse. « Merci à toi, Pharaon nous fait même travailler encore plus dur qu’avant. Tu as fait empirer nos vies !  » Moïse regarda le ciel. « Dieu, pourquoi m’as-tu envoyé ? », demanda-t-il. « Pharaon est seulement en train d’empirer les choses ; tu n’as pas du tout aidé Ton peuple ! »

« Attends et regarde », répondit Dieu. « Lorsque j’en aurais fini avec lui, Pharaon sera heureux de voir partir Mon peuple. Maintenant, va et dis à Pharaon de laisser partir Mon peuple. »

12.

Aaron et Moïse se tinrent devant Pharaon et lui dirent ce que Dieu avait dit. Pharaon refusa d’écouter, alors Aaron éleva le bâton et, changea les eaux du Nil en sang. Tous les poissons moururent et, les égyptiens ne purent boire aucune goutte d’eau du fleuve.

Pharaon jeta sa tête en arrière et rigola. « Mes magiciens peuvent faire la même chose.  » Il convoqua ses magiciens au palais et, ils transformèrent l’eau en sang. Ils ne pouvaient pas rivaliser avec Dieu mais c’était suffisant pour pharaon.

Ensuite, Dieu fit sortir du fleuve des millions de grenouilles. Elles bondissaient dans les maisons des égyptiens et se glissaient même sous leurs lits. Et punaise, qu’est ce qu’elles puaient  ! Les magiciens égyptiens firent aussi apparaître les grenouilles mais ils ne pouvaient pas les faire partir.

« Moïse,  fais disparaître ces grenouilles  !  », dit Pharaon. «  Si tu le fais, je laisserai partir le peuple.  » Mais quand toutes les grenouilles furent mortes, Pharaon changea d’avis  ; «  Les esclaves doivent rester en Egypte. »

13.

La vie était difficile pour les égyptiens, mais le cœur de Pharaon restait endurci. Alors, Dieu dit à Moïse  : « Dis à Aaron de frapper la poussière du sol avec le bâton et Je transformerai la poussière en poux. »

Aaron frappa le sol et, des poux rampèrent au travers la terre d’Egypte. Pharaon ne pouvait pas arrêter de se gratter la tête  ; ces poux démangeaient énormément !

Les magiciens égyptiens essayèrent d’utiliser leur magie pour faire apparaître les poux, mais ils ne pouvaient pas faire la même chose. « Le dieu des hébreux a certainement dû faire cela », dirent-ils à Pharaon. Mais pharaon n’écouta pas et, ne laissa pas partir les hébreux.

Après, Dieu envoya une nuée de mouches sur le pays sauf à l’endroit où les hébreux vivaient. Les mouches bourdonnaient dans le palais et autour de la tête de Pharaon. Les égyptiens essayaient de fuir loin des mouches, mais les mouches les pourchassaient partout et, ils ne pouvaient pas s’échapper. La vie n’était pas drôle pour les habitants de la terre d’Egypte.

14.

Pharaon était toujours têtu et, il refusait de laisser partir les hébreux. Alors Dieu envoya une plaie sur les animaux des égyptiens. Quand les égyptiens se réveillèrent le matin suivant, leurs ânes et bétails étaient étendus morts sur le sol. «  Comment se peut-il qu’aucun animal des hébreux ne soit mort ! », tonna Pharaon.

Puis, Dieu dit à Moïse et Aaron : «  Prenez des poignées pleines de cendre des cheminées et jetez-les dans les airs devant Pharaon ». Moïse fit ce que Dieu demanda et, des ulcères apparurent sur tous les égyptiens et animaux d’Egypte  ; ça les rendait fous !

Les magiciens de Pharaon ne pouvaient même pas se tenir debout parce qu’ils étaient couverts de dégoutants ulcères rouges, exactement comme les autres égyptiens. Ils serraient les dents et grattaient leurs jambes. « Pourquoi nos dieux ne peuvent-ils pas nous aider ? »

Dieu protégeait Son peuple et, aucun des hébreux de Gosen n’était couvert d’ulcères.

15.

La vie devenait de plus en plus difficile pour les égyptiens. Après, Dieu envoya un énorme orage de grêle. Les éclairs allaient et venaient et, le tonnerre grondait au travers le ciel. Des grêlons de la taille de cailloux pleuvaient sur les égyptiens et, du feu provenant des grêlons, affluait sur le sol.

Mais la grêle n’avait rien détruit à Gosen où, les hébreux vivaient. C’était l’orage de grêle le plus étrange que les égyptiens n’aient jamais vu !

Pharaon serrait sa tête entre ses mains et gémissait. « Fais que cela s’arrête et je laisserai partir le peuple hébreu. » Mais après que la grêle et le tonnerre s’arrêtèrent, Pharaon changea d’avis. Son cœur était toujours endurci et, il ne laissa pas partir les hébreux.

Les serviteurs de Pharaon le supplièrent de changer d’avis. «  Nous ne pouvons plus supporter ces plaies ! Ne vois-tu pas que l’Egypte est en train d’être détruite ? Pourquoi ne laisses-tu pas les hébreux partir et adorer leur dieu ? »

16.

Pharaon réfléchit à ce que ses serviteurs lui dirent et, il essaya de proposer un marché à Moïse. « Pars et adore ton dieu. Mais tu prends seulement les hommes. » Moïse soupira et secoua la tête. Il savait que ce n’était pas ce que Dieu voulait. Moïse savait qu’il n’y aurait pas longtemps à attendre avant que Dieu n’envoie une autre plaie.

Sans surprise, Dieu envoya un vent fort qui souffla tout le jour et toute la nuit. Le matin suivant, le vent apporta une nuée de sauterelles. Les sauterelles volèrent au travers l’Egypte, en engloutissant tous les légumes, les arbres et même l’herbe. Les sauterelles gloutonnes mangèrent tout ce qui était vert !

Puis, Moïse étendit sa main et l’Egypte devint obscure pendant trois jours. Les habitants ne pouvaient pas quitter leur maison à cause de l’obscurité. C’était aussi noir qu’à minuit. Mais en terre de Gosen, les hébreux avaient de la lumière.

Se sentant désolé pour lui-même, Pharaon s’assit dans le noir. «  Pourquoi ces choses m’arrivent-elles ? » Mais son cœur restait endurci et, il ne permit pas au peuple de partir.

17.

F i n a l e m e n t , D i e u e n a v a i t a s s e z d u comportement têtu de Pharaon. Il dit à Moïse  : «  Je vais envoyer une dernière plaie. A minuit, Je tuerai tous les premiers-nés des égyptiens et des animaux. Aucun n’y échappera. Mais si le peuple hébreu fait ce que je dis, Je les épargnerai. Après cela, pharaon les laissera certainement partir. »

Cette nuit-là, Dieu ordonna un signe fait à partir du sang d’un agneau, déposé sur les linteaux et le côté des portes des maisons des hébreux. Ce signe sera pour leur protection. Ce sang les sauvera de la plaie finale de Dieu. Ils n’avaient pas compris que ce signe pointait vers la venue de leur futur Messie.

Juste avant minuit, une brume se glissa dans les maisons des égyptiens. Tous les garçons premiers-nés moururent, exactement comme Dieu avait prévenu. Mais le sang de l’agneau protégea les hébreux qui avaient écouté les instructions de Dieu.

18.

FIN

Pharaon était fatigué des plaies. Il appela Moïse et Aaron devant lui. «  Partez d’ici et prenez le peuple hébreu avec vous. Assurez-vous qu’ils emportent tout ce qui leur appartient. Je ne veux plus jamais les revoir.  » Moïse donna une tape sur le dos d’Aaron  ; « Dieu nous a donné une grande victoire ! »

Rapidement, les hébreux rassemblèrent leurs pains non cuits et toutes leurs affaires. Puis, ils dirent aux égyptiens  : « Donnez-nous vos bijoux d’or et d’argent. »

Les égyptiens avaient hâte que les hébreux partent. Ils arrachèrent leurs bijoux et les jetèrent aux hébreux. « Nous sommes malades de votre dieu et de ses plaies », crièrent-ils. « Partez d’ici, pour de bon ! »

Les hébreux et leurs amis suivirent Moïse dans le désert, loin de Gosen. Ce fût un moment très long et difficile, mais maintenant leur douloureuse souffrance était terminée. «  Dieu nous a délivré de pharaon », chantait le peuple. « Nous sommes finalement libres ! »

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