ÉDITORIAL

« Si les lois font les mœurs, les mœurs ne font pas les lois »George SandDepuis 1946, la constitution française garantit le principe del!égalité entre les hommes et les femmes, dans tous les do-maines. En 2012, la journée internationale de la femme nousrappelle que ces principes peinent à s!installer dans les faitset les comportements comme dans les représentations et lesimaginaires individuels et collectifs, malgré un arsenal juri-dique régulièrement renouveléDans les faits, les fonctions, les responsabilités, les métiersrestent assignés selon le sexe, en plein déphasage avec lesexigences d!une société moderne et démocratique, en totaldécalage avec la réalité des femmes d!aujourd!hui. Des ta-lents et des compétences sont ainsi négligés, au détrimentde la société tout entière qui n!a rien à gagner à reléguer cescompétences et ces savoir-faire dans lesquels, pourtant, elleinvestit. L!inégalité n!est pourtant pas une fatalité.

La Ville de Carcassonne met au cœur de ses préoccupationsla question de la parité hommes-femmes. Elle l!applique enpremier lieu dans le cadre de son Conseil municipal et veilleà ce qu!elle soit respectée dans la vie de la Cité, parcequ!elle est au cœur du principe républicain d!égalité. À l!oc-casion de la Journée internationale de la Femme nous avonssouhaité accompagner l!initiative de La Galerie Chorégra-phique - « Carcassonne n!est pas celle(s) que vous croyez ! » et met-tre un éclairage particulier sur des talents féminins. Issuesdu monde du spectacle ou de la société civile, artistes ouélues, elles ont choisi des parcours et s!y sont engagéesavec force et conviction. Elles sont toutes, à leur manière,des «performeuses».

Joignez-vous à elles, rencontrez-les, échangez, partagezleurs expériences, leur énergie et apportez la vôtre. Ainsi seconsolidera notre ville, au croisement de ses vraies forcesvives.

Marylin MARTINEZ1ère adjointe au MaireVille de Carcassonne

Carcassonne n’est pas celle(s) que vous croyez !

"Carcassonne n'est pas celle(s) que vouscroyez!" nous offre la possibilité de partageravec le public carcassonnais notre passion de lacréation artistique contemporaine.Explorer la créativité au féminin est notre ré-ponse au voeu de célébration de la Journée in-ternationale de la femme.Un programme inédit de spectacles chorégra-phiques et théâtraux, de performances, de lec-tures et d'exposition photographique investiradifférents lieux de la ville, de l'esplanade Gam-betta aux berges de l'Aude; ponctué par une table ronde permettant de croiser paroles et témoignages de femmes engagées dans la création, la politique et la défense des droits fondamentaux.

La Galerie ChorégraphiqueThierry GourmelenDominique PassetJean-Pascal Blanchard

7 mars au 10 mars 2012

Cinéma Le Colysée

Nos Ancêtres les Gauloises

Réalisation Christian Zerbib

Pour la première fois de leur vie, dix femmes françaises venues dailleurs racontent en public leur histoiredamour avec la France.Comment devenir française ? Comment faire de ses enfantsdes citoyens français ? On le découvre avecleur engagement dans laventure artistiqueprovoquée par le film : une pièce de théâtreécrite à partir de leurs témoignages. Avec humour et émotion, nos Gauloisesdadoption retracent ici les écueils et les joiessur le chemin.

Mardi 6 mars 21h *Droit d’entrée: 7

http://www.nosancetreslesgauloises.com

Proposé par Les Amis du Cinoch et le Collectif 11 Droit des Femmes

Germaine Acogny

"Cirque de Missira et

autres nouvelles"

Cirque de Missira est un ensemble de récitstraitant des relations entre les hommes etles femmes, de leur rapport à l!amour et àla mort, de la sollicitude, des incertitudesface à l!avenir et confirme toute l!attentionque l!auteur porte à la réalité de la sociétéafricaine contemporaine. Beaucoup de cha-leur, poésie et couleurs se dégagent de cerecueil de nouvelles. Nafissatou Dia Diouffait partie de la nouvelle génération desécrivains sénégalais. Elle s!est notammentillustrée dans le roman, la poésie et la litté-rature de jeunesse, par une écriture alerteet pleine de sensibilité.

Auteur : Nafissatou Dia DioufEditeur : Présence Africaine

Parution: mai 2010

MédiathèqueLecturesCatherine FromentGermaine AcognyLaurence Wagner

Mercredi 7 mars 18h30 entrée libre

Catherine FromentDiane Arbus

- UNE CHRONOLOGIE - par Elisabeth Sussman et Doon ArbusEd.de la Martinière – Jeu de Paume

Diane Arbus Une Chronologie se lit un peucomme un journal intime. Tiré essentiellement del!importante correspondance de Diane Arbusavec ses amis, sa famille, ses confrères, maisaussi de ses carnets personnels et d!autres écritsinédits, ce petit volume révèle, à travers ses pro-pres mots, les pensées, les motivations et lesstratégies d!une photographe dont le courage etla vision d!une franchise brutale ont modifié à ja-mais l!expression artistique contemporaine.

L!originalité et l!éloquence de Diane Arbus dansson écriture rivalisent presque avec ses talentsde photographe. Dans un récit organisé autourdes grands moments de sa vie – de sa naissanceà New York en 1923 jusqu!à sa mort dans cettemême ville en 1971- sa perception d!elle-même,de son travail et des personnes qu!elle rencontreoffre pour la première fois au lecteur une visionintime de la femme qu!elle a été et de l!universde ses photographies.

Les textes de Diane Arbus Une Chronologie ontinitialement paru dans Diane Arbus Revelations,publié en rapport avec l!exposition du mêmenom organisée en 2003 au San Francisco Mu-seum of Modern Art.

Catherine FromentJournée de la femme 2012

J!ai essayé de remonter plusieurs fils pour cette lecture lors de la journée de la femme. Le fil des femmes écrivains, Virginia Woolf, Elfriede Jelinek, Hélène Cixous, sans oublier Durasqui vient de rentrer à la pléiade. Parmi toutes, l!une d!elles m!a marquée cette année, c!estDéwé Gorodey, écrivain et femme politique kanak. Cependant, je cheminais, mais je n!arrivais pas à m!arrêter. Ces écritures sont puissantes, mais je ne sentais pas ce que je voulais partager.

J!ai pensé aux trois femmes prix Nobel de la paix, et surtout la jeune yéménite Tawakkol Kar-man, nous avons le même âge. J!ai tiré le fil des femmes et celui des hommes, avec tous les poètes qui ont chanté la femmeet je me suis arrêtée sur Aragon, Neruda, Eluard.

J!ai fini par lâcher le fil des écrivains.Je me suis posée.

Et une femme m!est revenue, Marie José Chombart de Lauwe, ancienne résistante que j!ai en-tendue sur France Culture. Elle s!occupait des nouveau-nés dans les camps de concentrationde Ravensbrück. J!ai été marquée par sa façon de parler, la noblesse que ses mots conféraientà chaque chose. J!entendais une femme agissante.

J!ai eu la même sensation en écoutant Lucie Aubrac, je me trouvais en présence de femmesqui sont au présent et dans l!action. Lucie Aubrac a publié un livre qui a pour titre «Cette exigeante liberté », un titre qui se rap-proche de toutes mes pensées. J!ai retenu unephrase de Lucie Aubrac également : « le verberésister doit toujours se conjuguer au présent ». Je vois Déwé Gorodey, je vois Lucie Aubrac, jevois Marie José Chombart de Lauwe et je sensun élan vital.Après avoir remonté tous ces fils, j!ai réalisécombien, nous, jeunes femmes, il était impor-tant que l!on écrive, qu!on témoigne d!une pa-role qui nous soit propre et ce, maintenant.

Je me suis évadée de tous ces fils parce que jevoulais être touchée au plus profond.

Je suis allée voir l!exposition de la photographeaméricaine Diane Arbus au Jeu de Paume. LeJeu de Paume était plein à craquer et je voyaiscomme des processions de gens devant cespetits formats de photos. Le silence et tous lesregards plongeant dans chaque photo.

Mais surtout, j!ai découvert ses écrits, lettres, des extraits de son journal, notes. Une rencontre a eu lieu. A l!image de son parcours, il se dégage de ses écrits une vision d!une grande modernité.

Une parole dense et nécessaire, et ce, telle qu!elle est : c!est cette posture-là de la femmeque j!ai envie de défendre ici.

MédiathèqueLectures

Mercredi 7 mars 18h30 entrée libre

Laurence Wagner

TruismesJai choisi Truismes de M.Darieussecq.

Ce livre publié en 1996 soulève la chronique, parson genre, la véracité presque naïve de son pro-pos…Une femme qui se transforme en truie est lhis-toire fiction de ce livre.Je lai lu dans les années 2000 par hasard et jenai été bousculée, sans savoir vraiment pourquoi- puis jai oublié…

En 2004 jai créé la pièce Look… Un regard queje pose sur un monde déshumanisé en y cher-chant désespérément ses faiblesses, ses défautsses différences qui composent une humanité vi-vante et prête à se rencontrer. Pendant les répé-titions de Look au milieu de la création, ce livretruisme mest apparu comme évident, tout cesentiment enfoui dans mon inconscient est res-sorti… La pièce subit linfluence littéraire de celivre… La partie animale, elle existe, elle est là etsinscrit dans nos différences…Nous jouons Look au festival de Carcassonne enjuillet prochain.

Cest en co-incidences que jaie choisi pour cetterencontre publique de lire différents extraits de ceouvrage écrit par une femme.

Lecture filmée et projetée

©JMW/Abacapress

Mercredi 7 mars 18h30 entrée libre

Médiathèque

Lectures

Songook YaakaarSolo

Songook Yaakaar (affronter l!espoir est le nom de latoute dernière création de la chorégraphe franco-sé-négalaise Germaine Acogny. Solo dansé, parlé,cette pièce est une sorte de «parole sur l!Afrique,ses grandeurs et ses failles, sans apprêt ni vio-lences, mais courageuse».

Solo très engagé, interprété par Germaine elle-même, «Songook Yaakaar» a été créé dans un es-prit de dialogue et de collaboration. Ainsi, dans lachorégraphie, on note la participation du chevronnéPierre Doussaint et du bouillonnant Fabrice Bouillonpour la musique. Pour les créations vidéo, costumeset lumières, elles restent les œuvres de Fred Koe-nig, d!Angélique Diedhiou.

Les textes lus sont de Bernard Mounier.

Thêatre Jean Alary

Germaine Acogny

Chorégraphie : Germaine Acogny et PierreDousaint

Musique : Fabrice Bouillon-LaForest Création vidéo : Fred Koenig

Texte : Bernard Mounier Costumes : Angélique Dielhou

Création lumières : Horst Mühlberger

Jeudi 8 mars 21h00 entrée libre

« Depuis longtemps, je cherchais commentrépliquer à ceux qui parlent del’Afrique à tort et à travers. Au-jourd’hui, je le fais avec les gestes dema danse, accompagnés de mots glanés iciet là. J’ai toujours pensé que la vieexprimée par la danse était l’image vé-ritable de notre continent plus qu’au-cune langue ne peut le faire.J’ai choisi de “danser en plaisanterie”,une coutume vivante en Afrique del’Ouest permettant de se moquer de soi-même sans épargner les autres. Senghordisait : “L’Afrique apporte le rire aumonde !”. Mon arme, c’est ma chaloupe,c’est ma danse bénie par les dieux demes ancêtres. Je danse au-delà des motset des maux, pour affronter l’espoir demes Afriques et défendre mes joyeux in-térêts. Puisles partager avec moi.»

Germaine Acogny

Trois femmes, deux générations de dan-seuses et une musicienne...Ce trio de 30 mi-nutes est une rencontre d!artistes qui révèlel!énergie des femmes à être mères, à êtrefemmes, à être filles … Ce trio nous entrainedans les méandres de la femme, "expose ladualité d!une image de femme, là où l!une té-moigne de l!impertinence de l!âge, l!autre senourrit d!un vécu…

Représentation à 11h00Lycée Paul Sabatier dans le cadre du travail

en convention entre la Cie Portes Sud et le lycée

Marion DIAQUES Violoniste altiste, Chanteuse mezzo-sopranoAprès une formation dans une école nationale demusique, elle poursuit des études de musicothé-rapie et explore différents paramètres musicauxau travers de la voix et du violon.Elle se passionne alors pour les musiques tra-ditionnelles d’Orient et d’Europe de l’Est.Sa vivacité et sa fantaisie apportent à son jeuune chaleur et un dynamisme qu’elle diffuse aucœur du trio.

Loriane WagnerElle commence l’apprentissage de la dansecontemporaine en 1985 avec Laurence Wagner. Auditeur libre au CCN de Montpellier puis auConservatoire Régional de Montpellier. En 2002,elle intègre la compagnie Coline. En 2005, elle rejoint le CCN de Grenoble dans lecadre d’un projet de professionnalisation avecla reprise de «L’Enfance de Mammame» et participedepuis à toutes les créations de la Compagnie.

Laurence WagnerFormée à la danse classique , Laurence Wagnerapparaît sur la scène française de la dansecontemporaine en 1997 après avoir suivi les en-seignements de chorégraphes ayant marqué lesannées 80 tels que Christine Bastin, JackieTaffanel ou encore Pierre Doussaint. Elle dé-veloppe depuis une œuvre originale jouant descroisements entre les arts : théâtre, musique,vidéo, littérature. Elle affectionne la poésiedu corps en mouvement et la théâtralité dugeste.

Le Restaurant du PaïcherouLaurence WagnerLoriane WagnerMarion Diaques

Wake Up

Vendredi 9 mars 19h30 entrée libre

La folie de l!écriture de Novarina est ici à son apo-gée, dans un petit bout de femme qui laisse sortirpar tout son corps la plus longue liste qu!il a sûre-ment écrite. Une liste de près de 1714 cours d!eaux qui nousjette pendant une heure à des frontières inclassa-bles, au cœur de l!humain. Orgasme total de l!acteur qui se vide des mots telun volcan en éruption"; et tout à coup presque rien,des noms de rivières au milieu de l!immensité, aubord du vide.

«"On dit d!un fleuve emportant tout qu!il est violent,mais on ne dit jamais rien de la violence des rivesqui l!enserrent"» B.Brecht

«"Les noms des fleuves et d!affluents connus et in-connus déferlent sur la scène pour dessiner unecartographie fluviale et verbale portée par une ac-trice performeuse exceptionnelle."» Bergerac.fr,Avril 2011

Le Restaurantdu Païcherou

Catherine Froment

La Chair de l’Homme52ème scène

L’Enfant TraversantL’Enfant d’Outrebrefde Valère NOVARINA

Vendredi 9 mars 21h00 entrée libre

Catherine Froment

Elle pratique le théâtre avec des ar-tistes qui ont un rapport singulier aucorps tels que Le Teatrino Clandestinode Bologne, Oskar Gomez Mata, RaffaellaGiordano et Rodrigo Garcia.Elle travaille également en tant que co-médienne et joue des auteurs tels queSamuel Beckett, Thomas Bernhard, etc…En 2008, elle tourne avec JacquesDoillon (filmée par Caroline Champetier)quelques extraits choisis parmi ses pro-pres écrits.Elle est également harpiste depuis l’âgede cinq ans et continue à performer avecsa harpe.En 2005, elle met en scène «Alice auPays des Merveilles» dans l’obscuritépour voyants et aveugles à l’Institutdes Jeunes Aveugles de Toulouse. En 2005, elle conçoit et interprète AGA-MEMNON- à mon retour du supermarché,j’ai flanqué une raclée à mon fils- deRodrigo Garcia. Créé dans le Boulodromecouvert du Bazacle à Toulouse. En 2007, elle conçoit et interprète « l’Avantage avec les animaux, c’estqu’ils t’aiment sans poser de questions» de Rodrigo Garcia à l’Observatoire deToulouse avec les Astronomes de laS.A.P. En 2009, elle crée une performance surle dernier chapitre de la Chair del’homme de Valère Novarina, une liste demille sept cent quatorze rivières etcours d’eau.

«J!ai fait des recherches sur tous les systèmesde sièges éjectables et j!ai vu qu!on les trouvaitprincipalement dans les avions, je suis allée àAirbus et j!ai demandé à être éjectée, ils n!ontpas voulu, je leur ai expliqué qu!il fallait absolu-ment que je sois expulsée, que je trouve unmoyen pour m!échapper du monde.» Extrait

Catherine Froment

Conception, interprétation :Catherine Froment

Accompagnée de Charly LomasDirection d’acteur :

Alain DaffosCollaboration scénographie :

Sophie Cardin

Théâtre Jean AlaryFoyer Expo photoL’En-jeu de la Parité

« Être femme et maire dans l’Aude »Le Département de l!Aude compte 53 femmes-maires

sur un total de 438 maires, soit seulement 12%. Ensemble,ces 53 femmes ne représentent qu!environ 11.000 habi-tants (sur un total de 349237), soit 3% de la population.Face à ce constat, l!Association Vive-les EluEs a décidéde se mobiliser. Derrière et au-delà des chiffres, elle pro-pose de faire vivre et de mettre en perspective ces pre-mières magistrates au travers d!une exposition-photoitinérante qui s!inscrit dans les principes de la Charte eu-ropéenne de l!égalité des chances des hommes et desfemmes dans la vie publique régionale. Des portraits de femmes, au quotidien de leur travail et deleur mission, qui rendent hommage à l!engagement ci-toyen des élues de l!Aude. Avec l!ambition de mobiliserd!autres femmes et de les inciter à s!engager, au plus hautniveau, dans la vie publique de leur territoire.

“Au-delà des statistiques, les travaux réalisés par l!Obser-vatoire régional de la parité du Languedoc- Roussillon,animé par l!Assemblée des femmes, ont mis en lumière lequotidien de ces élues. Au moment où la Loi sur la réforme des collectivités terri-toriale devrait désormais fixer le seuil de parité légale surles listes des élections municipales aux communes de 500habitants et plus (au lieu de 3500 et plus), il nous a parupertinent de sortir ces femmes élues de l!invisibilité relative,où souvent, certainement par leur éloignement des pôlesde décision nationaux, régionaux, ou locaux, elles sontmaintenues. Ainsi, au-delà de la sécheresse des chiffres, notre dé-marche vise à préparer et anticiper le scrutin municipal de2014, à susciter des vocations, bref, à donner par l!exem-ple à celles qui pourraient hésiter à se présenter le couraged!entreprendre et de se lancer.”

Cette exposition a pu être réalisée grâce au soutien fi-nancier des communes de Belcaire, d!Auriac, d!Espérazaet de Saint-Martin-Lys.

Un CATALOGUE de 64 pages, préfacé parNathalie KOSCIUSKO-MORIZET, Ministrede l’Ecologie, du Développement dura-ble, des Transports et du Logement,

Maire de Longjumeau et Claude MEJEAN,Maire de Bram, est à la vente sur leslieux d’accueil de l’Exposition ou sur

le site internet: www.lulu.com

LES PHOTOGRAPHES COMPLICESNathalie GRANDIN

www.mi-ange-mi-demon.netSophie HAUTON

www.kaleidoscom.netAlain GEISSELER

www.alaingeisseler.comJean-Louis SOCQUET-INGLARD

www.soc-art.comPauline GREEFHORST

www.pauline-greefhorst.comJean-François DELACAMPAGNE

Mylène BRESSAN

ASSOCIATION VIVE LES ELUESPrésident : Anton GREEFHORST

www.vive-les-elues.org

EsplanadeGambettaCarcassonneJust to Dance the women day

Chorégraphie publique géantepour la Journée internationale

de la femme

Avec la collaborationdu Centre chorégraphiqueFrançoise Bouichet-Sawas

le Collectif 11

interviendra enproposant lechoix d’un texteen lecture publique ayantpour thème la protection des droits desfemmes.

11h00