Dossier Spécial Bebop Festival 2013

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Supplément gratuit au journal du mardi 15 octobre 2013 Woodkid Photo Ismaël Moumin BEBOP 27 e Du 16 octobre au 16 novembre

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Supplément gratuit au journal du mardi 15 octobre 2013

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BEBOP27eDu 16 octobre

au 16 novembre

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FESTIVAL BEBOP 2013 2

BONS PLANS ■ Etudiants gâtés

Cette année encore, le festival gâte les étudiants de l’université du Maine. Des places « spéciales étu-diants » sont disponibles au prix de 15 € pour les concerts de Woodkid le jeudi 14 novembre et de Vitalic.Les billets sont disponibles à l’accueil de l’espace de vie étudiante Eve à l’université sur présentation d’un justi-ficatif. Attention, le nombre de places est limité !

■ Pensez forfaits Si vous mourez d’envie de voir à la fois Woodkid, Pa-trice et Vitalic mais que le budget vous manque, pas de panique !Le festival Bebop a mis en place un forfait pour les trois soirées qui se dérou-lent au Forum du Centre des expositions pour le grand final manceau. Le pass pour les concerts du jeudi 14, vendredi 15 et sa-medi 16 est vendu 50 €.Autre formule, le forfait week-end qui permet d’as-sister aux concerts du ven-dredi et samedi pour 35 €. Pourquoi se priver ?

TextesMathilde BELAUDAlexandre SEPRÉ

Aujourd’hui,on sort avec

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voir.frAvec l’application du Conseil général,

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Le Maine Libre » : Pour-quoi avoir choisi d’orga-

niser des concerts hors de l’agglomération mancelle ?Bruno Le Roy, président de l’association Bebop : Cette édition est un retour aux sources. Nous avions déjà, à plusieurs reprises, organisé des concerts hors du Mans. C’était notamment le cas pour les premières éditions et pour l’édition des vingt ans.Nous avons donc imaginé un « Bebop tour » dans sept villes du département, de La Ferté-Bernard à Sablé-sur-Sarthe, en passant par Arnage, Allonnes, Coulaines ou encore Bouloire. Le festival s’achèvera en apo-théose au Forum du Centre des expositions du Mans. Est-ce également une occa-sion d’aller à la rencontre de nouveaux publics ?Ce Bebop tour nous permet de

toucher d’autres personnes, plus de Sarthois. C’est l’oc-casion d’amener le public à découvrir de nouvelles salles et d’emmener des artistes là où ils n’auraient jamais joué hors du cadre du festival. Je pense notamment à Arnage qui débute le Bebop tour avec Paris Combo qui joue-ra son nouveau concert en avant-première.C’est une façon pour nous de fédérer, construire et travailler en réseau pour promouvoir les musiques actuelles dans le département.Comment s’est fait le choix de la programmation ?Nous avons vraiment axé sur les découvertes. Là encore, c’est un retour aux sources. Le festival Bebop revient à sa mission première et se fait plus curieux.Nous avons choisi des artistes

moins connus mais de grande qualité. Nous présentons no-tamment deux des plus beaux lives actuels : Woodkid et Vi-talic VTLZR.Ce sont deux grosses machines qui tournent énormément et qui ne seraient sûrement pas venues au Mans sans le festi-val. Patrice revient aussi. C’est un des « chouchous » du fes-tival puisqu’il a déjà fait plu-sieurs concerts au Bebop.Quelle est la place des groupes sarthois sur cette affiche ?Les autres années, nous es-sayions de programmer quelques Sarthois de talent mais c’est encore plus vrai cette année. Le Bebop tour nous permet d’ouvrir encore plus la programmation à des groupes locaux. Chaque soir de concert, la première partie est assurée par des musiciens

du département. C’est aussi l’une des missions du festival.Quels sont les coups de cœur du président cette année ?Il y en a plein mais à mon avis, le groupe Cats on trees (jeu-di 14 novembre au Forum) va époustoufler les festivaliers et plus largement, on entendra parler d’eux dans les mois à venir.On peut citer Kate boy aussi, que nous programmons en exclusivité. Ce groupe suédois fera sa première scène fran-çaise lors du festival et il risque fort de marquer les esprits.Ce Bebop 2013 promet donc de grandes chosesLa 27e édition sera explosive et inoubliable. Ça va être un mois de folie sur les scènes et dans le public. Et bien sût, il y aura de nombreuses surprises que les festivaliers pourront découvrir…

« Le retour aux sources »Du 16 octobre au 16 novembre. Pour sa 27e édition, le festival Bebop va s’exporter dans tout le département avec onze concerts en un mois. Avec un mot d’ordre : la découverte.

Le Mans, mercredi 9 octobre. Bruno Le Roy : « La 27e édition sera explosive et inoubliable ». Photo « Le Maine Libre », Denis Lambert

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Festival BeBOp 2013 3

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FESTIVAL BEBOP 2013 4

Mercredi 16 octobre

Paris combo en ouverture

Après une pause de cinq ans, la chanteuse Belle du Berry et ses acolytes feront swinguer la première soirée du festival, à Arnage.

Photo DR

« Le Maine Libre » : Comment est né votre projet musical ?Giedré : Je suis née en Litua-nie et je suis arrivée à l’âge de sept ans en France. Un jour, en 2010, j’ai chanté dans un bar pour gagner un peu d’ar-gent et dans le public, il y avait Raphaël Mezzrahi qui m’a invi-tée à faire sa première partie.Faire des chansons, c’était une démarche désintéressée. Je n’avais jamais prévu de les faire écouter à tout le monde ni d’en faire un vrai métier.Quelle place accordez-vous à Internet ?Internet, c’est génial. Je suis très active sur les réseaux sociaux. C’est une chance énorme de pouvoir parler di-rectement à son public. C’est

plus vrai, plus simple plus hu-main. J’ai toujours fait de la musique en indépendante et ça me permet d’être très libre. Je ne vois pas Internet comme une frustration mais comme une grande liberté.La  pédophilie,  la  violence, la prostitution… Pourquoi aborder  ces  thèmes  durs avec un langage aussi cru ?Je me demande plutôt comment peut-on faire des chansons d’amour dans un monde comme le nôtre ! Et pour parler de cette réalité crue, il est nécessaire d’em-ployer un langage cru. Si on ne voulait pas que ces mots soient employés, il ne fallait pas les inventer.

Jeudi 7 noveMbre

Giedré, la liberté de ton

Avec sa gueule d’ange et ses mots corrosifs, Giedré sera sur la scène Henri-Salvador de Coulaines, avant Andréas et Nicolas.

Photo DR

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Ezra est Manceau. Il est aussi une figure du beat

box en France. Et grâce à son nouveau concept, il va en-core plus loin dans son art, en y alliant une technologie de pointe.

Un gant interactif hors du commun et

bourré d’électronique

En 2007, Ezra fonde sa compa-gnie Organic Orchestra. C’est avec elle aujourd’hui, qu’il

développe son « Bionic Or-chestra 2.0 ».Désormais, le Manceau ne fait pas seulement de la musique avec sa voix, mais aussi avec sa main.Grâce au soutien financier du conseil général de la Sarthe, à hauteur de 65 000 € répartis sur trois ans, et aux ressources technologiques de l’Atelier Arts sciences de Grenoble, de l’Ensim (école d’ingénieurs) et du Laum (laboratoire d’acous-tique de l’université du Maine),

Ezra a fait naître un gant in-teractif hors du commun et bourré d’électronique. « Avec ce gant, je peux enregistrer ma voix, la modifier, la faire voya-ger dans l’espace à travers dif-férentes enceintes, mais aussi contrôler la lumière et la vidéo », explique l’artiste manceau.Le mercredi 13 novembre, au théâtre Paul-Scarron, Ezra se retrouvera seul au milieu du public dans un dispositif son et lumière à 360°. À ne man-quer sous aucun prétexte !

ezra, un projet fou en 2.0Mercredi 13 novembre. Avec son gant, l’artiste manceau repousse les limites du beat box. À découvrir au théâtre Paul-Scarron.

Le Mans, 19 septembre. Ezra a créé un spectacle alliant art du beat box et technologies.

Il est le fils aîné de Fela Kuti, musicien nigérian considéré comme le créateur de l’Afro-beat et qui a joué un rôle considérable dans la vie po-litique de son pays. Saxo-phoniste de renom, Femi Kuti poursuit le combat de son père pour l’égalité et la liber-té. Son dernier album « No place for my dream » revient aux sources de l’afrobeat. Sur scène, Femi Kuti transporte ses spectateurs avec lui. Nul doute que le concert de la salle Jean-Carmet restera l’un des grands moments de cette édition.

Mercredi 30 octobre

Femi Kuti, le pouvoir de l’afrobeat

Femi Kuti sera à Allonnes, le 30 octobre.

Photo DR Youri Lenquette

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FESTIVAL BEBOP 2013 5

C’est d’abord derrière une caméra qu’il a commen-

cé à se faire un nom dans le monde de la musique. Celui de Yoann Lemoine.

Un touche-à-tout de génie

Après avoir étudié l’anima-tion et l’illustration, le prodige lyonnais réalise alors les clips vidéo de stars mondialement connues. Citons notamment « Teenage Dream » de Katy Perry, « Born to Die » de Lana Del Rey ou encore « Back to December » de Taylor Swift. Rien que ça.Installé à New York, Yoann fait une place à son alias, Wood-kid. En parallèle de sa carrière de réalisateur, il se lance dans la musique en 2011 avec un premier EP.Mais c’est véritablement en 2013, qu’il explose. Son al-bum « The golden age », sorti le 18 mars, est un bijou et rem-porte un succès phénoménal.Le touche-à-tout de génie conjugue ses talents pour faire sortir sa musique des sen-tiers battus. Chacun des qua-torze titres ne finit pas de sur-prendre. Une énergie sombre et puissante qui se prolonge sur scène dans un live hors du commun.

Le passage de Woodkid sur la scène du Forum risque fort de

provoquer une onde de choc sur le festival Bebop.

L’âge d’or de WoodkidJeudi 14 novembre. L’artiste français ouvrira les festivités au Forum du Centre des expositions pour le grand final de cette 27e édition.

L’album de Woodkid « The Golden age » est un bijou à écouter d’urgence. Photo DR Ismaël Moumin

Après plusieurs participa-tions au festival, Patrice est de retour au Mans le ven-dredi 15 novembre. Le chan-teur allemand mélange les in-fluences et saura faire oublier la froideur du mois de no-vembre avec ses titres prompts à réchauffer dès les premières notes. Depuis son premier EP en 1999, Patrice a fait progres-ser sa musique multiculturelle, plus aboutie que jamais dans « The rising of the son », son album sorti cette année.

Vendredi 15 novembre

La musique sans frontière de Patrice

Patrice, à (re)découvrir au Forum du centre des expositions.

Jeudi 28 novembre2013

Samedi 8 février2014

20h

20h

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centre deSexpoSitionS

Le MAnSrenSeigeMentS réServAtionS

www.oasislemans.frMercredi 19 février2014

TÉTÉen concert

YODELICEen concert

FAUVEen concert

en concert à

Pour son concert Jeune pu-blic, le festival accueille Vin-cent Malone, le « roi des papas ».« Le Maine Libre » : Comment est né le roi des papas ?Vincent Malone : À l’époque, je faisais des chansons pour mes deux premiers enfants, le soir, dans la chambre. Pour Noël, j’ai voulu leur offrir le disque de mes chansons. Mais ce n’était pas comme aujour-d’hui, quand on enregistrait, il fallait graver d’office 500 dis-ques dans une usine pour pou-voir leur en offrir deux. On l’a sorti et j’ai été surpris de voir que ça pouvait plaire à d’au-tres enfants et surtout à leurs parents.Comment procédez-vous pour composer ?Le principe est simple : si ça me fait rire, ça les fait rire. Je reste un parent et je considère que ce qui plaît le plus aux enfants, c’est de voir leurs pa-rents rire. Dans les concerts, je vois que quand les parents commencent à se détendre, les enfants sont contents. Ils se disent : « Eh mais la vie n’est pas si pourrie que ça ! On peut s’amuser ! ». Donc on prend les sujets, on décortique un peu tout ça et on décoince les choses mais sans intention pédagogique.

Sur scène, finalement, on est un peu comme dans la chambre de vos enfants…Exactement. Évidemment, j’ai été obligé de cadrer un peu les choses pour en faire un concert mais grosso modo, j’y suis aussi à l’aise. Si je ne suis pas en forme, je le dis et puis on fait des choses de « pas en forme ». Comme un papa nor-mal. On crée ainsi une relation sympa.Comment s’est faite l’asso-ciation avec les collégiens de la Madeleine au Mans ?Je serai effectivement accom-pagné par une jolie chorale d’enfants. C’est assez sympa. Ça ressemble à une fête de fin d’année d’école, en plus dé-tendu, plus relax. Un moment joli et simple.

SaMedi 9 noVeMbre

Le papa Vincent Malone

Vincent Malone.

Photo DR

Jeudi 14 noVeMbre

Cats on trees à découvrir

L’un des moments à ne pas louper dans ce festival : la prestation du groupe français Cats on trees en prélude de Woodkid.

Photo DR

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Festival BeBOp 2013 7

«  Le  Maine  Libre  »  :  Voilà presque  un  an  que  votre troisième  album  studio « Rave Age » est sorti. Quel bilan tirez-vous ?Vitalic : Comme pour les deux premiers, il a été accueilli tiè-dement avant de se faire une place. Bien sûr, ce projet a ses qualités et ses défauts mais c’est plus évident à analyser avec le recul.Il sonne davantage pop alors que « Ok Cowboy », mon pre-mier album, était plus solaire. Ce n’est pas réfléchi, ça corres-pond juste à un moment de ma vie. En studio, je travaille à l’instinct.Vous  tournez  à  travers  le 

monde à un rythme soute-nu. Comment le gérez-vous ?Oui, la tournée est intense mais j’ai gardé le même rythme qu’à mes débuts en 1996. Il y a des mini-tournées par vague. Je vais jouer une semaine aux Etats-Unis, puis une autre en Italie.Avec l’habitude, on s’y fait mais bon, le projet marche surtout en France et en Es-pagne. Après, je suis heureux de ne pas croiser uniquement des spécialistes d’électro dans le public.À  quoi  doit  s’attendre  le public manceau pour votre concert à Bebop ?Je viendrai avec la formation

« Vitalic VTLZR », comprenant une puissante scénographie lumineuse.Un batteur et un clavier m’accompagneront également sur scène.On a beaucoup répété cet été et même avant mon passage au Zénith en février. Du coup, le show a évolué sur la durée. Il a gagné en fluidité.Des  musiciens,  de  nom-breuses  collaborations  sur disque… Ressentez-vous le besoin  d’humaniser  votre musique électronique ?Sur scène, oui. Certains spec-tateurs disent ne pas sentir la différence entre mes machines et les musiciens. Moi je la sens.Leur présence ajoute un

groove humain à mes créa-tions, de la fragilité aussi. Puis, être tout seul sur cette grosse scénographie serait ridicule.En revanche, en studio, non. En composant, je pense sim-plement à certains artistes qui pourraient intervenir sur tel ou tel morceau.Quelle est la suite des aven-tures pour Vitalic ?Je vais d’abord travailler sur un remix puis retourner dans mon studio à Dijon. Je n’en avais pas tellement envie puis c’est revenu.J’aime bien faire des pauses parfois, aller à mon rythme.

L’explosif Vitalic VTLZRSamedi 16 novembre. Pascal Arbez-Nicolas, alias Vitalic, produira avec VTLZR, une scénographie lumineuse et sonore explosive. Rencontre avec un grand nom de l’électro.

Vitalic mélange avec classe et talents house, électro et techno pour produire un son unique qui donnera des fourmis dans les jambes des festivaliers et transformera le Forum en dancefloor géant. Photo DR Franck Courtes

LE ZAPPING… LE ZAPPING… LE ZAPPING… LE ZAPPING… LE ZAPPING… LE ZAPPING…

Vendredi 15 novembre. Dub INC fait du reggae mais pas seulement. Ce groupe de Stéphanois présente une mu-sique panachée et colorée.

Vendredi 15 novembre. Oddatee vient de New York, du Bronx plus exactement. L’Américain produit un hip-hop comme on en entend rarement.

Samedi 16 novembre. Pop, new wave, électro… Le style de La Femme est difficile à classer. Le mieux est de les découvrir en live !

15 novembre ■ After électro

L’ambiance sera chaude au Forum le vendredi 15 no-vembre. Et ce d’autant plus, que la soirée se pour-suivra jusque tard dans la nuit. L’After électro fait son retour cette année avec au programme le sound sys-tem anglais Zion train ac-compagné de Dubdadda et Faya Horns.

en couliSSe ■ Talents sarthois

Sur les vingt-huit groupes à se produire lors du festi-val, on retrouve plusieurs Sar thois , notamment Lola Baï, Ruby’s Allshine, Afro Diamond ou encore Quadrupède.

■ Ça discuteUne conférence est orga-nisée en parallèle du fes-tival Bebop le mercredi 6 novembre à 18h30, à la salle Eve de l’Université du Maine. Gérôme Guibert (docteur en sociologie) et Dominique Sagot-Duvau-roux (docteur en économie) viendront échanger avec le public autour du livre « Mu-siques actuelles : ça part en live ».

■ À voirL’exposition « Sarthe Ses-sion » se tient jusqu’à 2 no-vembre à la médiathèque d’Arnage « L’Éolienne » et explore la vie musicale sar-thoise de la scène locale aux espaces de concerts, en passant par des parcours de musiciens.

■ « le maine libre » au cœur de bebopVotre quotidien « Le Maine Libre » jouera à l’unisson du festival toute la semaine. Chaque jour, dans nos co-lonnes et sur notre site in-ternet, interviews d’artistes, infos pratiques et compte-rendus de concerts vous permettront de tout savoir sur l’événement musical.

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