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Mairie d’Erquy

11 square de l’Hôtel de Ville22430 ERQUY

Tél : 02 96 63 64 [email protected]

Dossier de PresseGalerie d’Art Municipale d’Erquy

Saison 2017

Galerie d’Art Municipale d‘Erquy - dossier de presse 2017 - 2

La Galerie d’Art Municipale

Erquy peut être fière de son offre culturelle et la Galerie d’Art Municipale en est, depuis 2006, un maillon important.

L’année 2017 nous offre à nouveau des rencontres inattendues et nous permet de belles découvertes. L’équi-pe chargée de la programmation s’ouvre à toutes formes d’Art et fait le choix de la qualité, de la diversité, pour satisfaire le plus grand nombre d’amateurs d’art contemporain ou plus classique.

En plus de peintres, sculpteurs, marqueteur, photographes et autres artistes nationaux, et parce que l’Art est bien une ouverture aux cultures du monde, nous avons réuni deux collectifs d’artistes internationaux pour des expositions au printemps prochain. Ainsi, une association franco-russe, basée à Pornic, permettra à sei-ze peintres de Saint-Pétersbourg de nous offrir de belles rencontres. Puis, à l’initiative de Nathalie Reymond, Professeur en Arts Plastiques et Sciences de l’art (Université Paris 1, Panthéon-Sorbonne), un échange entre les universités de Paris 1 et l’Institut Supérieur des Beaux-Arts de Sousse, en Tunisie, reliera les deux rives de la Méditerranée. Cette magnifique exposition, présentée à la galerie Elbira de Sousse en février, sera, en juin, dans notre galerie à Erquy. De grands moments d’échanges avec des artistes venus de Russie et de Tunisie attendent les nombreux amateurs d’Art.

Bien-sûr, notre Galerie s’ouvre aussi, comme chaque année, à quelques associations locales et leur permet de mettre à l’honneur le travail de leurs adhérents.

A tous, nous souhaitons une belle année artistique à Erquy et des rencontres inoubliables.

Maryvonne CHALVETAdjointe à la Culture

En pratique

Horaires d’ouverture de 10h30 à 12h30 et de 15h00 à 18h00.

Entrée libre.

Programmation : service culturel de la Ville d‘Erquy.

La Galerie d’Art Municipale d’Erquy reçoit le soutien du Conseil départemental des Côtes d’Armor.

La Galerie d’Art Municipale d’Erquy est partenaire de la Marque Bretagne.

Dossier et photos de presse en téléchargement sur :

http://www.ville-erquy.com/espace-presse/

Pour exposer :

http://www.ville-erquy.com/culture-et-patrimoine/galerie-d-art-municipale/pour-exposer/

Galerie d’Art Municipale d’Erquyrue du 11 Mars 1962

22430 ERQUY

AdministrationMairie d’Erquy - Service Culture & Communication

Alban SORETTE11, square de l’Hôtel de Ville

22430 ERQUY02 96 63 64 64

www.ville-erquy.com

Renseignements pour le publicOffice de Tourisme d’Erquy

rue du 11 Mars 196222430 ERQUY02 96 72 30 12

www.erquy-tourisme.com


Salon d’art animalierDAnS lE CADRE DU fESTiVAl nATUR’ARMOR

du samedi 28 janvier au dimanche 12 février 2017

Ouvert tous les jours, le week-end de 10h30 à 12h30 et de 15h00 à 18h00, en semaine de 15h00 à 18h00, entrée libre.

13 artistes d’horizons divers partageront la galerie pour un même thème, la nature. Cette exposition se tient dans le cadre du festival Natur’Armor qui se déroulera les 4 et 5 février 2017 à Erquy.

Elisabeth BLAIN

Josée CONAN

Caroline DACHé

Christian DACHé

Gwendoline DOLBEAULT-BEZAT

Laurence JOVyS

KERPIOUPIOU

Laëtitia-May LE GUELAFF

Luc NOëL

Jennifer ROBINSON

Catherine & Walter VERVAEKE DE MAEyER


Elisabeth BLAin

« Une passion artistique ! depuis mon plus jeune âge, j’aime les animaux et la nature. Autodidacte en art animalier, je réalise en peinture acrylique les textures de plumes et poils avec un pinceau très fin, délicatesse et minutie sur ma toile. C’est une véritable osmose entre l’animal et moi, ma manière de les faire aimer et respecter des humains ».

Elisabeth BLAin22000 SAinT-BRiEUC

06 72 94 73 [email protected]

http://www.blain-elizabeth.com/

Josée COnAn

Empreinte de mer, la mer, les poissons, les algues et l’aquarelle !

La technique du gyo-taku (mot japonais signifiant « empreinte de poisson » ) est simple dans son prin-cipe. Des pêcheurs japonais du XIXème siè-cle souhaitent offrir une dorade, un « pois-son trophée », à leur empereur. L’éloigne-ment décida l’un d’eux à enduire le poisson d’encre de seiche, de le couvrir d’un papier de riz et d’en faire une empreinte !

Au delà de la technique, c’est toute une nouvelle aventure qui m’attire !

J’attends le retour du pêcheur tout dégoulinant d’eau salée, imprégné d’odeurs, la tête pleine d’émotions, et il raconte. Il raconte encore et toujours, des histoires sous-marines, la rencontre avec le poisson, un monde à part entière !

Certaines empreintes deviennent des tableaux décoratifs, d’autres seront des témoins pour plus tard, mais toutes ces aquarelles sont désormais imprégnées de mer …

Josée COnAn 48 rue de Plouescat

29250 Saint Pol de leon02 98 69 26 28

[email protected]://empreintedemer.overblog.com/


Caroline DACHé

Depuis toujours j’ai été attirée par la nature et c’est avec l’argile que j’ai pu exprimer cet attachement. J’aime à représenter les ani-maux sauvages qui m’entourent, les plus communs, ceux que beaucoup considèrent comme nuisibles ou sans intérêt mais que je trouve magnifiques. Malheureusement l’argile ne permet pas de restituer la légère-té d’un oiseau en vol, la transparence d’une aile de pie traversée par un rayon de soleil mais j’essaie de saisir ce qui fait l’essentiel de l’animal, c’est en général une attitude, une posture, l’idée d’un mouvement. Mes maîtres sont Robert Hainard et surtout François Pompon dont les sculptures lisses et tout en douceur attirent la main et la caresse.

Lorsque l’on entrevoit un animal dans son environnement, c’est toujours de façon furtive. On ne distingue jamais parfaitement les détails et c’est cette vision que je cherche à exprimer. J’aimerais aussi, au travers de mes sculptures, réhabiliter des animaux mal aimés comme les corvidés ou certains carnivores, changer le regard sur cette faune proche mais si méconnue.

Christian DACHé

Né aux confins du Morvan, Christian DA-CHé a depuis toujours développé un amour immodéré des grands espaces et le besoin impérieux de vivre proche de la nature. Les rivières, étangs et lacs du Morvan ont été ses premiers terrains de jeux et d’expérien-ce. Il y a appris la patience et attrapé le vi-rus du contemplatif.

Doté très jeune d’une aptitude à dessiner il s’est spontanément mis à « griffonner » les animaux qu’il avait croisé dans ses pérégri-nations. Il n’y a pas de sujet inintéressant ou de moindre importance : tout animal peut être un objet d’étude et le plus petit ou le plus familier peut se trouver tout aussi fas-cinant que le plus inhabituel.

A l’origine de son travail il y a les observa-tions, les croquis de terrain annotés, les photos qui précèdent le travail en atelier. L’étude est très précise, tout est dessiné au préalable et le dessin préparatoire peut tout à fait faire l’objet d’un véritable tableau en noir et blanc.

Après l’étape des réserves de blanc l’artiste utilise l’aquarelle sur papier sec ou mouillé, les deux techniques pouvant se combiner dans une même œuvre.

Le choix de l’aquarelle s’est imposé pour lui grâce à sa fluidité, sa transparence, la possibilité de créer des effets fantastiques. C’est le côté souvent incontrôlable de ce médium qui le fascine, la peinture lui offrant toujours des surprises.

Il aime à montrer le mouvement de l’animal en fuite, surpris, furtif. Le thème de l’eau avec ses mystères, les sortilèges de ses reflets, est abordé dans bon nombre de ses œuvres.


Les sujets représentés avec un souci d’exactitude naturaliste évoluent dans un biotope à la limite de l’abs-traction.

Ses œuvres ont fait l’objet de nombreuses expositions personnelles ou en participation obtenant de nom-breux prix, en France comme à l’étranger. Il a participé comme illustrateur à plusieurs ouvrages.

Christian DACHéle bois des sentes

21 rue André fauchet22330 lAnGOURlA

02 96 30 41 [email protected] http://christian.dache.free.fr /

Gwendoline DOLBEAULT-BEZAT

Un art en énergie

Je suis entourée, dans mon environne-ment familial, d’électriciens de père, beau père, mari, beau-frère, frère jusqu’à mon fils. Sensible à l’énergie - de sa production à la distribution - j’utilise les matériaux de récupération de chantiers électrique pour concevoir des œuvres en volume ou mu-ral.

Cette pratique est apparue comme une évidence, Le fil de cuivre est une matière conductrice qui réagit à la chaleur de mes mains en s’assouplissant.

Je transmets mon énergie corporelle dans la matière ce qui favorise la forme et le mouvement.

Un art en mouvement

Je donne une deuxième vie à la matière métallique. J’utilise dans la réalisation des sculptures ; des câbles électriques de couleurs, agrafés avec du fil de cuivre nu récupéré.

Les supports sont réalisés avec des matériaux de récupération : tuteurs de tomates ; tiges ou grillage de fer à béton ; ressorts de lit ; cercles en métal d’enjoliveurs ; pierres, bouchon de bouteille plastique, ... etc.

De par ma culture celtique, j’exprime la vie des êtres vivant sur l’aspect végétal, animal et humain dans un environnement terrestre, aérien ou aquatique : je dessine, je croque, j’étudie, j’observe et je laisse le fil danser sous mes doigts créant la figure souhaité.

En démarrant par la spirale ouverte ou fermé, j’exprime le mouvement de la vie.

Chaque sculpture est une histoire : à chacun de la découvrir.

Gwendoline DOLBEAULT-BEZAT06 83 33 96 71

[email protected]://www.gwenartdoline.fr/


Laurence JOVys

Lors d’un séjour en Nouvelle Calédonie, j’ai participé au programme de préservation des tortues marines à l’aquarium de Nou-méa. Lors de ce séjour, j’y ai également dé-couvert la technique des tableaux en sable naturel.

De retour en métropole, j’ai conjugué ces deux passions en créant des tableaux en sable naturel principalement sur le thème de la mer.

J’utilise une palette de 230 sables prove-nant de toute la planète dont la couleur est exclusivement due à leur origine géologi-que ou géographique : sables de déserts, de plages, volcaniques,coralliens ...

Laurence JOVys75 rue Saint Barthélémy

22440 PlOUfRAGAn02 96 78 80 81 - 06 44 78 45 52

http://laurencejovys.fr/

KERpiOUpiOU

Kerpioupiou c’est deux artisans d’art animalier : sculpteur, modeleur, céramiste-raku.

Ker pour nos origines bretonne et pioupiou pour les grands enfants que nous sommes, jouant sur le sable de l’estran tout en observant la danse des mouettes rieuses, animé en arrière plan par les vols majestueux de ces multiples oiseaux marin sauvages et libres.

De notre fenêtre, les yeux clos, nous sentons l’odeur iodée des algues, des embruns, nous entendons le bruit des vagues et parfois le rouleau des galets. En ouvrant les yeux, nous apercevons l’archipel des 7 îles, une des plus belles et des plus remarquables réserves d’oiseaux marins d’Europe, à portée de main. Ce qui en fait notre principal source d’inspiration…

Kerpioupiou se sont des sculptures animalières en terre cuite, émaillé cuisson Raku.

Elles sont principalement inspirées d’animaux sauvages se trouvant à proximité de nos côtes. Cette technique permet d’avoir à chaque cuisson une pièce unique et vivante. Laissez-vous empor-ter, hypnotiser par ces multiples craquelures, qui donnent à l’objet toute son âme et son sens.

KERpiOUpiOU6 rue Renan

22220 TRéGUiER09 61 02 98 78 / 06 66 59 02 59

http://kerpioupiou.com/


Laëtitia-May LE GUELAFF

« S’il n’existait point d’animaux, la nature de l’homme serait encore plus incompréhensible. » Buffon

Ce n’est pas tant l’idée de fictionner qui trans-paraît dans mon approche plastique mais bien plutôt l’idée d’user des images (cinématogra-phiques, littéraires ou artistiques) constituant mon imaginaire pour aborder des questions symptomatiques plus violentes. Le tout à tra-vers de nombreuses recherches textuelles et iconographiques tant historiques, philosophi-ques, mythologiques, scientifiques, éthiques, qu’artistiques.

L’un des aspects de mes préoccupations plastiques, concernant principalement le jeu d’attraction /répulsion entre l’être humain et l’animal mais également entre les matériaux eux-mêmes, se traduit par une pratique sculpturale, ancrée dans la « tradition d’atelier », avec une profonde implication et confrontation à la ma-tière.

Le thème abordé est plus facilement traité par le biais d’hybridations, de chimères ou tout autre forme liant organique et mécanique. En s’appuyant sur des évocations légendaires de bêtes mythiques, certaines hybri-dations deviennent l’incarnation de nos peurs et de nos angoisses

L’utilisation de la figuration animale (d’une partie ou d’un tout) trouve également son intérêt pour le poten-tiel de dangerosité incluse dans ces formes et qui met à jour l’agressivité constitutive de notre propre nature humaine.

Certaines de mes expérimentations abordent les limites de la fracture entre l’homme et l’animal. Parfois, caché derrière le masque ou derrière l’animal lui-même, l’homme parvient à s’évader de sa nature/condition humaine, il s’identifie à la bête, en absorbe ses caractéristiques, ses capacités et acquiert ses vertus. Dans toute forme d’imagerie mythologique ou bien dans les contes, les animaux sont une sorte de personnifica-tion, une projection de nos comportements. L’animal, parfois perçu comme le substitut de la peluche, parfois comme une arme, me permet une certaine incarnation. Il devient un double négatif.

Comment certaines formes peuvent renvoyer à différents imaginaires, à une véritable thématique person-nelle, du poétique à l’horreur ? Comment peut-on interroger leur plausibilité autre qu’à travers une mise en situation dans la nature ? Entre mythologie et réalité sociétale, entre classicisme et contemporanéité, où se situent les limites de la fracture entre l’homme et l’animal ?

Diplômée de l’Ecole Supérieure des Beaux Arts de Cornouaille à Quimper avec les Félicitations du Jury en 2003. Sculpteur de formation, j’ai passé 3 mois en Résidence d’Artistes à Pékin en 2010 où j’ai ensuite exposé à Imagine Gallery (« Once upon The Wolf… »). En 15 ans de pratique plastique, j’ai participé à plus d’une tren-taine d’expositions collectives et une quinzaine d’expositions individuelles en France et à l’étranger.

Entre pratique picturale (peinture animalière, illustration et dessin) et création sculpturale, je me concentre rééllement sur des projets qui me permettent des échanges avec d’autres artistes ou bien avec le public, des projets qui me permettent de développer ma pratique, mes réflexions ainsi que mes capacités.

La relation que nous entretenons avec l’Animal est au cœur de mes préoccupations artistiques.

Laëtitia-May LE GUELAFF2 allée des Bois

35190 lA CHAPEllE AUx filTzMéEnS 06 73 04 31 75

[email protected]://www.mayanimalart.com/


Luc nOëL

Le contact avec l’argile a créé en moi le be-soin de m’ouvrir à d’autres formes animales (mammifères, reptiles, batraciens ...). C’est ainsi qu’au bout de trois années d’autoforma-tion, j’acquiers un savoir faire et une approche de la sculpture animalière réaliste.

M’approcher au plus près de la réalité, le souci du détail sont pour moi la première de mes motivations pour avancer et évoluer.

Habitant du Perche, je sculpte des animaux sauvages que nous sommes susceptibles de rencontrer.

Je souhaite trouver des solutions de coloration pour accentuer les ombres, des détails primordiaux sans nuire au côté détaillé de mes créations. J’aime également ne pas me prendre au sérieux en introduisant de l’humour dans des objets utilitaires. Plus stylisés, ces derniers pourront me permettre de découvrir d’autres aspects recherchés par des cuissons moins traditionnelles.

Luc nOëL06 74 70 35 21

[email protected]

Jennifer ROBinsOn

Née en Angleterre, j’ai passé le plupart de mon enfance à Whitby (North yorkshire), une ville en bord de mer. Ma mère s’intéressait notamment aux plantes et aux amphi-biens. Mon père était géologue passionné par les fossiles. Cet environnement familial m’a donné le goût de la Nature. Comme l’Art m’intéressait également, enfant, j’associais naturellement ces deux passions en fabriquant sans cesse des animaux en pâte à modeler. J’observais tous ceux que je trouvais dans le jardin ou en bord de mer. J’avais, et j’ai toujours, une préférence pour les grenouilles, les bêtes bi-zarres de bord de mer, les insectes, et les animaux drôles ou originaux.

Je suis céramiste professionnelle depuis 1979 (en France depuis 1992). Mes animaux sont pour le plupart stylisés et plein d’humour ou de tendresse. Je travaille plusieurs terres qui sont cuites entre 1000°C et 1280°C – faïence blanche lisse, blanche chamottée et des grès blanc, rouge, jaune ou noir, avec une large gamme de couleurs d’émaux et d’engobes. Mes pièces sont modelées à la main. Pour certains de mes animaux je marie la terre avec d’autres matières, comme par exemple, des fils de cuivre ou de laiton. En 2003 j’ai travaillé plusieurs semaines au Ghana, en Afrique de l’Ouest, en collaboration avec un sculpteur Ghanéen. Ce fut très enrichissant, tant et si bien, qu’elle fit naître des liens avec d’autres artistes qui continuent. Ils déboucheront peut-être vers d’autres projets d’Art animalier.

Jennifer ROBinsOnhttp://www.jen-robinson.com/


Catherine & Walter VERVAEKE DE MAEyER

Installés à Pontrieux Catherine et Walter sculptent des oiseaux en bois. Ils fabriquent également des puzzles et des mobiles en pièces uniques.

Ils exposent leurs travail depuis une trentaine d’années un peu partout dans des Festivals nature et aussi en galerie. Ils ont participé à de nombreux festivals et ont reçu des commandes en France, comme à l’étranger.

Catherine & Walter VERVAEKE DE MAEyERle Bois Migrateur, atelier de Sculpture animalière

12 rue du quai22260 POnTRiEUx


http://www.facebook.com/leboismigrateur/


Jeannemarie TEINTURIERGUEUlES DE BOiS

du jeudi 16 au dimanche 26 février 2017

Ouvert tous les jours de 10h30 à 12h30 et de 15h00 à 18h00, entrée libre.

La seconde vie du bois dormant

J’habite un minuscule village ostréicole. Les maisons sont en bois doublées de lambris. Les murs et les plafonds offrent des formes étran-ges qui, semble-t-il, ne demandent qu’à s’ani-mer. Petit à petit ces signes muets ont péné-tré mon cerveau jusqu’à l’année 2004. Cette année là je découvre les potentialités du bois comme support et j’entre, sans le savoir, dans la famille des artistes dits « Singuliers ».

A partir de 2006, j’abandonne tous mes tra-vaux sur papier (collage, aquarelle…) et ne peins plus que sur du bois, de récupération ou non, lambris, voliges ou parquet. Outre le dessin de ses veines, je prends aussi tous ses défauts. Les taches, nœuds, nuances ou cassures seront incorporés dans la composi-tion du tableau. Ma contrainte est de peindre toujours dans le sens du bois et de provoquer des intersections entre ces lignes parallèles.

Au fil du temps, mon travail est de moins en moins narratif. Je laisse des plages de bois nu. Je m’abandonne aux surprises formelles, surtout si elles débouchent sur une énigme. J’expose partout en France, et aussi en Belgique, dans divers Festivals et Rencontres d’Art Contemporains.


Expositions 2016

Mai Biennale « Pont sur l’Art », Vire (Calvados).

Juin « Reg’Art Actuel », Bruges (Belgique).

« Festival des Arts Actuels », Saint-Martin de Ré (Charente Maritime).

« Les Nouvelles Métamorphoses », La Mothe Saint-Héray (Deux Sèvres). 1er prix.

Juillet Festival « Art Actuel », Dives sur Mer (Calvados).

Août « Biennale des Arts Naïfs et Singuliers », Saint-Junien (Haute- Vienne).

Exposition « Plurielles », Figeac (Lot).

Octobre « Art en Sac », Saugnac et Cambran (Landes).

Décembre « Contempora winter show », Ribérac (Dordogne).

Jeannemarie TEinTURiERVillage du four 230/26

33950 lèGE-CAP fERRET05 56 60 79 78

http://Jeannemarieartiste.blogspot.com/http://teinturier.dictionnairedesartistescotes.com/


Olivier SAGORYRéTROSPECTiVE

du samedi 4 au dimanche 26 mars 2017

Ouvert samedi et dimanche de 10h30 à 12h30 et de 15h00 à 18h00, entrée libre.

présentation

Atypique, autodidacte, je suis né à Saint-Brieuc en Côtes d’Armor et je vis à Plérin depuis plus de vingt ans.

Peintre du dimanche, par sacca-des avec de longues périodes de repos, je me professionnalise en 2008. Depuis, l’aventure conti-nue …

Figuratif jusqu’au début 2000, j’ai évolué vers l’abstraction jusqu’à cette année où un retour vers le figuratif semble se profi-ler à l’horizon …

Je travaille jusqu’à trouver un rythme dans la compo-sition en jouant avec les couleurs et les plans géomé-triques pour obtenir de la profondeur, de la lumière et ressortir une émotion.

L’essentiel de mes recherches tend vers une organi-sation dynamique des pans colorés alternant zones de tensions et zones apaisées ; quatre chevalets et plusieurs toiles sont en création permanente jusqu’à l’achèvement. Mon medium préféré est l’huile fine et extrafine pastel gras, pastel à l’écu à l’occasion, que je travaille au couteau à peindre et pour certains ajouts afin de donner des effets de matière. De plus en plus je fabrique mes couleurs avec des pigments en associa-tion avec les tubes.

Les formats ne dépassent pas 120 x 160 cm à cause de l’exiguïté de mon atelier.

Mes peintres favoris sont Turner, Cézanne, Monet, De Staël, Gauguin, Toulouse-Lautrec, Modigliani.


Expositions

Italie : Porto Viro

Ukraine : KIEV, galerie Zeh

Russie : Saint-Petersbourg, galerie Molbert

Paris : Grand Palais, salon des indépendants, galerie Art & Miss (rue Saint Anastase / Marais), Galerie Schwab (rue Quincampoix / Beaubourg)

Pléneuf-val-André en 2015

Pordic : Aux arts ! etc en 2016

Je m’oriente actuellement sur la Grande-Bretagne, Londres particulièrement.

Olivier [email protected]

http://www.oliviersagory-artistepeintre.com/


Association La PALETTEExPOSiTiOn AnnUEllE

du samedi 1er au mercredi 12 avril 2017


présentation

L’association La Palette est une association Loi 1901 agréée Jeunesse et Education Populaire qui a vu le jour en 1994. Elle est ouverte à tous, adolescents et adultes, débutants ou confirmés. Elle a pour but la décou-verte des arts plastiques.

Elle regroupe une cinquantaine d’adhérents qui se retrouvent, tout au long de l’année, sous la houlette d’ani-mateurs professionnels. Lors de son exposition annuelle, tous les adhérents de la Palette vous présentent leurs travaux.

Ce moment d’exposition annuelle est un évènement fort dans l’année pour l’association La Palette. Il permet aux adhérents des différents ateliers de se retrouver, mais il permet aussi bien des rencontres enrichissan-tes entre adhérents et visiteurs.

La pALETTE3 rue des Ecoles

les Hôpitaux22430 ERQUY02 96 63 60 12


Gaël LE CLEZIOEnCORE DU POiSSOn

du samedi 15 au dimanche 23 avril 2017


présentation

Les travaux de Gaël Le Clézio bou-gent et s’animent par la turbulence de l’écriture, des motifs qui se mê-lent jusqu’à l’illisible, des couleurs fluides qui se superposent.

Les sujets émergent d’un brouillon de graphismes, de glacis, d’acci-dents ... Une « matière première » faite d’harmonies subtiles et de gri-bouillis, comme à l’insu du peintre.

C’est un regard sans sérénité, plu-tôt moqueur sur la bizarrerie du monde. C’est avant tout de la pein-ture : des couleurs étalées avec des pinceaux, voilà.

Gaël LE CLEZiO22 Rieux

56200 SAinT-MARTin SUR OUST 02 99 91 48 29


Maryvonne REYNTJESl’ART éPHéMèRE DU MAnDAlA

du jeudi 27 avril au mardi 2 mai 2017


présentation

Professeur de yoga en retraite, Ma-ryvonne Reyntjes fut depuis très longtemps attirée par la création des mandalas de sables de couleurs des moines tibétains.

Le ressenti d’une joie, d’une colère, d’une tristesse ou d’un bonheur ... c’est là qu’a surgi une image et que l’envie lui est venue de la déposer là, sur le sable, corps et souffle en sym-biose complète avec la présence de la mer.

Des formes géométriques, des mo-tifs, vont créer peu à peu l’univers du mandala, à l’image de ses états d’âmes, de ses émotions du moment et de l’instant vécu. Et la voilà, le cœur et l’âme recentrés dans l’im-mensité de l’espace.

Une fois le mandala terminé, elle prendra du recul puis s’en détachera, définitivement apaisée, en laissant la mer venir le chercher et, alors, s’ouvrira un autre jour, propice à une nouvelle création.

L’exposition se compose de 26 mandalas sous formes de tableaux photographiques.

Biographie

Aujourd’hui retraitée, Maryvonne Reyntjes a exercé les métiers d’infirmière et de professeur de yoga, dans les Pays de Loire puis dans les Côtes d’Armor pendant de nombreuses années.

Sa formation de professeur de yoga à L’Ecole Française de yoga de Paris fut pour elle une vraie révélation et une véritable « Ecole de la Vie ».

Fascinée par la création des mandalas en sables colorés réalisés par les moines tibétains, c’est sur le sable des plages qu’elle va s’exercer et là, qu’elle va très vite découvrir et ressentir des instants de grande pléni-tude dans une profonde concentration.

Maryvonne Reyntjes expose depuis quelques années à Fréhel, Jugon-les-Lacs et participe aux journées Land-Art à Erquy.


Maryvonne REynTJEs22430 ERQUY



Art DATCHAlE CARROUSEl DE SAinT-PéTERSBOURG

du samedi 6 mai au lundi 5 juin 2017

Ouvert vendredi, samedi, dimanche et jours fériés (8, 25, 28 mai et 5 juin), de 10h30 à 12h30 et de 15h00 à 8h00, entrée libre.

Avec

Nadya ANFALOVA

Aghata BELAyA

Olga CHIROKOVA

Armen GASPARIAN

Alexandre KOCENKOV

Natalia KORNILOVA

Lidya KOZMINA

Alexandra NEDZVETSKAyA

Alexandra OVTCHINNIKOVA

Konstantin POLyAKOV

Valentina POVAROVA

Serguei ROJNOV

Denis SAOUNINE

Anna SCHEGOLEVA

Maria TOURINA

Nantalia TROUBINA

présentation

L’objectif de ce projet est de renforcer l’intérêt traditionnel pour la culture russe en France, en favorisant l’accès à sa création artistique contemporaine. Les rencontres autour de l’art créent le terrain fructueux d’échange et aident à la compréhension entre deux cultures pour déterminer les valeurs communes.

« Le carrousel de saint-pétersbourg » présente le florilège de plusieurs artistes russes de grands talents, tous formés aux Académies des Beaux-Arts de Saint-Pétersbourg. Personnalités artistiques affirmées, cer-tains jouissent d’une notoriété internationale et leurs œuvres fréquentent les ventes aux enchères et font partie des collections des musées. Cette rétrospective originale met en lumière les tendances actuelles de la peinture figurative russe et permet d’apprécier la qualité picturale, la variété d’écriture et la richesse émo-tionnelle. C’est un vrai éventail des techniques picturales (de l’académisme à l’art informel) et des thèmes d’inspiration. On peut en citer plusieurs :

la sublimation de la beauté féminine, autour des personnages qui évoluent dans un monde féerique et •les ballets russes (A. NEDZVETSKAyA),

les représentations métaphysiques, comme une sorte d’énigme poétique autour des paysages nostalgi-•ques ou le décor insolite (D. SAOUNINE),


les constructions érudites rappelant les fresques byzantines où l’identité de l’homme moderne est ren-•voyé aux légendes anciennes (A. GASPARIAN),

les natures mortes peintes dans le style des maîtres hollandais (A. • SCHEGOLEVA),

les paysages lumineux et colorés remplis de l’énergie et de la force vitale (A. • OVTCHINNIKOVA),

la minutie et le raffinement des mises en scène théâtrale (N. • KORNILOVA),

le monde mystérieux, rempli de symboles (A. • BELAyA),

sans oublier les histoires humoristiques de la vie des gens simples qui sont présentés sous un angle •positif dans les meilleures traditions de l’humanisme (A. KOCENKOV).

Ce panorama de la peinture russe actuelle est une belle plongée dans «l’âme slave» et une véritable ouver-ture vers les autres contrées.

Association Art Datchahttp://www.artdatcha.fr/


Rencontre des deux rivesSOUSSE - ERQUY 2017

du jeudi 8 au lundi 19 juin 2017


Sousse - Galerie ELBIROU

8 rue du 22 janvier 1952

Exposition du 24 février au 8 mars 2017

Erquy - Galerie d’Art municipale

1 rue du 19 mars 1962

Exposition du 8 au 19 juin 2017

Avec

Abdesslem AyED

Chun-yi CHANG

Faten CHOUBA SKHIRI

Cristina DIAS DE MAGALHAES

Julie DUDRAGNE

Wissem EL ABED

Slimen ELKAMEL

Emna GHEZAEIL

Monique HASBANI-VILLARD

Sang-Sobi HOMME

Eléonore JOSSO

Hela LAMINE

Souad MANI

Thameur MEJRI

Nathalie REyMOND

Laura SANCHEZ-FILOMENO

Nabil SAOUABI

Najah ZARBOUT

Nadia ZOUARI

Un catalogue présentant les 19 artistes de cette exposition sera édité. Il est d’ores et déjà disponible au télé-chargement sur le site de la ville, rubrique culture / galerie.


L’accueil

Je pourrais dire, comme Georges Perec : « Je me souviens ». Oui, je me souviens … des citrons brillants comme des lampions dans les petits jardins cachés de Tunis, des escaliers de Sidi Bou-Saïd, de la coupole blanche près de la plage à Hammamet, des tapis qui séchaient sur les balcons de Kairouan, de l’eau de fleur d’oranger qu’une jeune fille a versée sur mes mains à Nabeul, du bouquet de jasmin qu’elle portait à l’oreille, des étudiants à l’Université de Tunis qui m’ont offert une orange peinte en bleu en hommage à Paul Klee…

Je me souviens de la Maison de la Tunisie à la Cité Universitaire Internationale de Paris, où Najah et Wissem, aidés de quelques passionnés, avaient transformé les sous-sols en salles d’exposition…

Je me souviens de toutes les nations qui se sont croisées dans mes cours, des quatre continents qui s’y sont côtoyés − le lointain et le proche : l’Afrique, l’Amérique, l’Asie, l’Europe − et des œuvres qui y ont dialogué − peintures, photographies, sculptures, installations, vidéos, gravures −…

Je me souviens de l’effervescence précédant nos expositions collectives, dans la rue des Beaux-Arts à Paris et de l’intensité des soutenances de thèse au centre Saint-Charles, une annexe de l’Université Paris 1 Pan-théon-Sorbonne, où j’avais toujours l’étrange l’impression d’être à la fois juge et partie…

Je me souviens qu’il y a peu j’ai présenté à Erquy les œuvres de mes anciens étudiants accompagnées des gros volumes de leurs thèses. C’était dans une jolie petite boutique amie perchée en haut de grandes mar-ches de grès rose et devenue pour l’occasion Galerie éphémère. L’art du « tout monde » comme aurait dit édouard Glissant se rencontrait dans un coin de Bretagne…

Et voilà qu’à nouveau une rencontre s’organise, d’abord en Tunisie, puis en France, sur deux rivages très éloi-gnés, très différents et pourtant similaires, deux ports de pêche, deux endroits chargés d’histoire, deux lieux superbes et accueillants … Sousse, Erquy.

Alors il faut absolument parler de l’accueil, de cette capacité à recevoir, à s’associer, à se réunir, à réserver toujours aux étrangers, aux inconnus qui peuvent venir, une place près du feu. Et les œuvres d’art, me sem-ble-t-il, doivent être accueillantes aux idées et aux formes nouvelles, mais aussi aux spectateurs qu’elles interpellent, car elles n’existent vraiment que dans le regard de l’autre, dans l’échange et le partage.

L’art n’est pas une utopie, un non lieu, un sans lieu, un lieu vide, bien au contraire ! C’est un espace chargé de sens et d’émotion, où la liberté peut s’épanouir en paix.

Et grâce à l’accueil de Sousse, grâce à l’accueil d’Erquy, l’art fleurira sans entraves cet hiver puis au prin-temps prochain, dans le terreau fertile de l’amitié entre les peuples.

Nathalie REyMOND, le 26 octobre 2016, à Erquy.

nathalie [email protected]


Et si les deux rives se rencontraient ?

Entre Erquy et Sousse un long trajet se trace, long en distance et court en durée de voyage, deux terres différentes l’une de l’autre… Comment rapetisser cette distance ? La potion magique qu’on propose ici c’est l’art. « Rencontre des deux rives » est une exposition riche en propositions, déclinant une palette d’artistes venant des deux côtés, onze du côté tunisien et huit du côté français. Ces artistes ont des œuvres qui diver-gent et dialoguent, pour nous saisir, voire nous déranger … Les œuvres ici exposées attestent de l’impossibi-lité de s’isoler de l’autre, toutes les limites sont à traverser, …

Ce projet, fruit d’un échange d’idées et d’une longue correspondance entre les deux rives, est une continuité d’un travail de groupe ancré dans la recherche et la pratique de l’art depuis quelques années au sein de l’école doctorale de l’Université Paris I. Ce projet montre que la recherche peut continuer même en dehors du cadre institutionnel et que les relations peuvent résister aux distances et au temps.

Le principe dans ce projet consiste à faire voyager les œuvres à travers les frontières et à les faire passer d’une terre à une autre via le transport aérien en bagage de soute, d’où les contraintes techniques imposées aux œuvres (poids, dimensions,). L’artiste dans cette traversée, par le biais de sa pratique, rejoint ainsi les deux côtes.

Le trajet se voit ici comme un fil qui coud les deux rives ensemble à l’encontre des lois de la géographie ou des entraves géopolitiques… « Il ne faut pas lier un navire à une seule ancre, ni une vie à un seul espoir », comme disait Epictète ; les rives de cette mer nous séparent et nous lient à la fois.

Najah Zarbout, le 30 octobre 2016, à Sousse.

najah [email protected]

Un catalogue de l’exposition est édité, il est disponible en téléchargement sur le site de la ville et sera présenté à la galerie pendant la durée de l’exposition.


Grand Site Cap d’Erquy - Cap FréhelfêTE SES 25 AnS

du mercredi 21 au mercredi 28 juin 2017


Depuis 25 ans, le syndicat mixte œuvre sur le territoire des Caps. 25 années d’aménagements, de projets et de valorisation du territoire ! Pour marquer ce quart de siècle d’existence, le syn-dicat mixte vous a concocté un week-end festif hors norme du vendredi 23 juin fin d’après-midi au dimanche 25 juin midi.

Il investit également la Galerie d’Art d’Erquy du 21 au 28 juin avec une exposition composée de trois thèmes :

L’éducation à l’environnement

Depuis 25 ans, l’équipe d’animation accompa-gne les écoles du territoire dans la découver-te de leur environnement proche. L’idée étant d’emmener les enfants à la rencontre d’acteurs et de lieux remarquables pour qu’ils connais-sent, apprécient et s’approprient le territoire sur lequel ils vivent.

Cette année, 25 classes participent au projet pédagogique « Un territoire en boîtes ». A la fin du projet, les petits comme les grands réalise-ront des productions qui seront mises à l’honneur : un moyen original de découvrir le regard que portent les enfants sur leur territoire.

Une rétrospective des missions du syndicat mixte

A partir de photographies et de coupures de presse, les 25 ans d’activités du Syndicat mixte seront retrans-crits. L’occasion de parcourir le territoire et de se remémorer les divers aménagements réalisés, les visages des Hommes qui ont œuvré et les projets menés sur les deux caps.

Observatoire photographiques des paysages, concours photo

L’évènement a rassemblé près d’une trentaine de photographes amateurs, enfants et adultes, et a permis au Syndicat mixte de recueillir plus de 120 photographies. Lors du dernier Comité de Pilotage de l’Observatoire Photographiques des Paysages en janvier dernier, le jury a sélectionné les photographies illustrant au mieux


chacune des 6 thématiques. Les photographies primées seront exposées et les différents points de vues retenues pour l’Observatoire Photographiques des Paysages seront présentées.

Grand site Cap d’Erquy - Cap Fréhel16 rue notre Dame22240 PlEVEnOn

Tél : 02 96 41 50 83http://www.grandsite-capserquyfrehel.com/


Association CAPS & COULEURS5 AnS DE BOnHEUR

du samedi 1er au dimanche 9 juillet 2017


présentation

Créée en 2012, CAPS & COULEURS est une association d’arts plastiques destinée aux enfants et aux ados, basée à Erquy et qui a pour but la découverte et l’apprentissage des différentes techniques de dessin, de peinture et de modelage.

L’exposition annuelle présente les œuvres de nos artistes en herbe de la saison 2016-2017 et de ces 5 années de bonheur !

Association Caps & Couleursisabelle GESTin, Présidente / 06 70 56 31 44

Sophie QUinTin, Animatrice / 06 03 32 03 85


FRANNEDU RéEl à l’iMAGinAiRE

du mardi 11 au mercredi 19 juillet 2017


présentation

Une enfance imprégnée de lumière et de chaleur transparait à travers ma peinture : le désert, ses habi-tants, le drapé, les couleurs ...

L’ombre, la lumière, la matière sont les fils conducteurs de ma recherche ainsi que la transparence.

Cette exposition retrace mon cheminement artistique qui me conduit vers des voies différentes : hyperréa-liste, figurative, vers l’abstraction (témoignage de ma vision « au delà du réel » de ce qui nous entoure), tou-jours au pastel sec.

Expositions collectives

Plérin | Noyal sur Lamballe | Salon du Pastel en Bre-tagne (Bazouges puis Fougères) | Salon du Pastel en Dordogne | Plouesc’Art | Salon du Nu à Pleyber-Christ | Atelier de Guillemette à Saint-Servan | Salon Esprit-Maison à Rennes | Foire-Expo Internationale à Rennes | Salon d’Art à La Ferté-Bernard | Combrit Sainte Ma-rine ( Finistère ) | Salon de peinture à Goven | Evran | Pléneuf-Val-André | Lannion | Braspart.

Expositions personnelles

Plurien | Plévenon | Saint-Pol de Léon | Erquy | Orgères | Lamballe.

Récompenses

2ème prix – Salon de Plérin 2002.

Prix de la ville à Bazouges la Pérouse.

1er prix de peinture à Plouescat 2006.

1er prix amateur à Saint-Servan (Atelier de Guillemette) 2006.

2ème prix à Saint-Servan - concours d’Automne 2007.


2ème prix public Salon « Couleurs du centre Bretagne 2007 » Carhaix.

3ème prix public Salon « Couleurs du centre Bretagne 2008 » Carhaix.

Prix « Liviou Kreiz Breizh 2009 » Carhaix.

Grand prix des Arts - SIAL 22 - Salon International des Arts et des Lettres 2011.

Médaille d’or - SIAL 22 - Salon International des Arts et des Lettres 2013.

Prix d’excellence Arts - SIAL 22 - Salon International des Arts et des Lettres 2014.

Françoise TOMBETTE « FRAnnE »8 bis rue de la Marette

22240 PlURiEn02 96 72 35 24

[email protected]


Marion TIMMERSGérald KERGUILLECSCUlPTURES & AQUAREllES

du samedi 22 au dimanche 30 juillet 2017


Marion TiMMERs

Marion TIMMERS est née à Haarlem (Pays-Bas), ville dans laquelle elle demeure toujours mais qu’elle partage désormais avec Moissac-Bellevue où elle aime venir se ressourcer et trouver l’inspiration au contact de la Haute Provence et tout particulierement auprès des oliviers qui lui servent de modèles. Sa passion pour la sculpture et la peinture s’est véritable exprimée en 2003 à l’Académie de Haarlem où elle a été diplômée dans les deux disciplines. Elle sculpte avec du ciment fondu lequel, travaillé avec une brosse en cuivre puis completé à l’acrylique, donne un aspect cuivré à ses personnages.

L’amour constitute le sujet principal de ses œuvres, mais l’amour vu à travers l’expression du corps de la femme re-présenté de maniere filiforme, aérienne et très esthétique. Outre le ciment fondu qui lui permet de présenter des per-sonnages de grande taille, Marion produit également de plus petites sculptures en bronze et en céramique.

Marion TiMMERshttp://www.mariontimmers.nl/


Gérald KERGUiLLEC

Avec Gérald KERGUILLEC, nous sommes sur le fil, entre figuration et abstraction, comme si l’artiste entretenait, avec un plaisir jubilatoire, l’ambiguité. La lumière irradie l’ébauche de paysage, la palette délibérement restreinte permet la reconnaissance, le format nous contraint au dépassement. Au-delà, il y a la part de rêve, notre part de rêve qu’il nous appartient de réveiller

Biographie

Il découvre le monde artistique en 1974 à la suite d’une rencontre et entre aux Beaux Arts de Paris. Il devient assistant du peintre sud américain Luis Felipe Noë (re-présentant de l’Argentine à la biennale de Venise en 2009). Très vite, il essaie de dépasser l’acte de peindre et met en scène sa peinture.

Création des « peintures posées » - Symposium de sculpture de Hecho (Espagne), Salon de Mai (Grand-Pa-lais, Paris), Salon Mac 2000 (Grand-Palais).

Pratique de la gravure et édition d’un livre d’artiste com-menté par Paul Chémétov.

Rencontre avec le critique d’art Ami Barak, autour de la production des « mises en œuvres » (petits objets picturaux mis en espace) - exposition au musée André Malraux, Le Havre, 1994.

Résidence au Centre d’art contemporain de Vassivière en Limousin (Le puzzle), 1994.

Exposition « Ma Maison », Frac de Haute Normandie,1995.

Rencontres professionnelles avec d’autres disciplines artistiques : musique avec Dominique Lemaître, dan-se avec Dominique Boivin et Gisèle Gréau, théâtre avec Alain Fleury, poésie avec Alexis Pelletier, musique avec Philippe Marcel Iung, Marie Ange Cousin, Samuel Antonin … et plus récemment avec l’altiste Stéphanie Rethore.

Résidence à la galerie 2angles (Flers), exposition « de toute nature » sur le paysage et ses représentations, 2006.

Se consacre à la pratique de l’aquarelle depuis 2002.

Il travaille sur le paysage vu comme « lieu commun », texte de Paul Ardenne et Alexis Pelletier et exposition d’aquarelles à l’abbaye de Jumièges en 2007.

Le paysage est le thème principal de ses aquarelles. Sélection officielle pour le festival « Normandie impres-sionniste » en 2010 et 2013. Nombreuses expositions.

En 2013 et 2014, travaille avec la galerie Analix-forever autour du livre «L’ennemi public» et l’exposition « l’oiseau volé » à la galerie Vanessa Quang.

Il expose de grands formats numérises en extérieur au Parc de Clères (76).

Pratique très régulièrement des actions culturelles en milieu carcéral, hospitalier et vers des milieux défa-vorisés.

Gérald KERGUiLLECrue de la Comminière

27100 lE VAUDREUil06 88 75 97 11

http://gerald-kerguillec.com/


Nicole PFUNDGilles BONNINET QUi DiT QUAnD

du mardi 1er au jeudi 10 août 2017


présentation

Si Nicole PFUND et Gilles BONNIN exposent en-semble ça n’est pas un hasard. Leur rencontre a certainement eu lieu dans la dimension parallèle et onirique de la création artistique, et leurs univers poétiques offrent de bien émouvantes similitudes.

Gilles BONNIN sculpte ce qui le fascine, les oiseaux. Un bestiaire à plumes stylisé et imaginaire, nous fait découvrir la discrète vie de ceux qui peuvent voler. Assemblage de matériaux, métal, céramique, osier, fil de cuivre, un subtil jeu s’installe entre le plein et le vide et cela devient un équilibre précaire entre force et fragilité. Ses zoizos, solitaire ou en groupe, partagent leurs chansons avec le specta-teur.

Les animaux anthropomorphes de Nicole PFUND, longues silhouettes filiformes et faussement dé-gingandées sont musiciens. Mais à les voir ainsi, installés sur d’étranges assises, dans des espaces aux architectures savamment désolées ou dans des lieux de grandes solitudes, rêveurs et mélancoliques, leurs instruments à leur cotés, on ne peut que se questionner sur l’étrange musique que jouerait cet or-chestre enfin réuni. Car le propos est bien là, par son dessin et le choix précis de sa matière colorée, Nicole nous donne à voir et à entendre la symphonie de l’humaine destinée. Entre accords discordants et par-faits, entre recherche d’absolus et harmonies improbables, cette poésie nous invite à une évidente empathie pour son personnage «étonné» de sa place dans ce monde, songeur, sur le rôle qu’il a à y jouer.

Les créations de Nicole PFUND et Gilles BONNIN semblent abolir le temps, ils arrêtent la vision à un moment donné, et d’une certaine façon l’espace, puisqu’ils mettent le spectateur à la place que ces artistes ont choi-sit pour leur ...

piero Cavalleri


nicole pFUnD12270 SAinT-AnDRE de nAJAC


http://www.nicolepfund.com/


Guillaume FRIOCOURTPEinTURES

du samedi 12 au dimanche 20 août 2017


présentation

Marines.

Un thème incontournable pour qui vit et peint en Bre-tagne.

Un thème sans contours : le trait jaillit de l’intérieur. Un trait sorti du pot, jeté, lâché, en un geste martial. Guillaume Friocourt peint sans balises. Crée des acci-dents, les maîtrise au même instant, ça crisse, ça glis-se. Ça dégouline, aussi. Un geste brut qui s’évanouit sur la toile, et renaît harmonie. Car il s’agit bien de cela : rechercher l’Harmonie. Guillaume Friocourt s’en ap-proche très intimement. Constante quête qui le mène loin dans le monde des contrastes, avec ou sans cou-leurs, priorité aux valeurs.

Oui, pour lui, la couleur en elle-même est un alibi. Idem pour le tracé, le trait, le figuré.

L’harmonie et l’aléa. L’harmonie au cœur de l’aléa, au-delà aussi. Guillaume Friocourt provoque des coulées ; ces «dégoulinures» savamment orientées, se jouant bien de la pesanteur. Marines. Un thème du mouve-ment, de l’accident, et cependant de la constance, de la permanence. Un thème parmi d’autres, travaillés en parallèle, selon les saisons, selon les envies. Les cubes, sujet d’atelier les jours de mauvais temps, où les pots de peinture se font modèles, se dématérialisent, se

résument à leur lumière, à leur présence, au carré, alignés, ou isolés dans l’atelier. Les botani-ques quand le jardin du peintre offre des verts à faire tourner la tête, des verts à inventer, à comprendre, à domestiquer. Parce qu’il n’était pas à l’aise avec les verts, Guillaume Frio-court s’en est saisis à bras le corps, les observe en nature, y greffe sa soif d’harmonie. Et s’élance.

L’artiste aime aussi travailler la matière, son absence qui laisse à nu la toile de lin, son abondan-ce qu’il faut sculpter, rogner, ou


qu’il laisse prendre le dessus. Très présente dans les séries Marines, Cubes et Botaniques (qu’il réalise en parallèle, tel des mouvements perpétuels), l’idée de la matière est au cœur même d’un autre chantier qu’il a entrepris : ses eaux fortes. Là, il creuse le métal, lui donne du relief, joue sur les profondeurs, avant d’im-primer à plat sur le papier, ce travail en trois dimensions.

Parce qu’il aime toucher la matière, le peintre lâche ses pinceaux pour des bâtons, des morceaux de plexi-glas, le couteau, ou tout simplement : ses doigts. La peinture elle-même est matière à création : le peintre broie ses pigments, mélange et met en pot.

Souvent la couleur en cache une autre. Superposer orange, brun, bleu, jouer des transparences, gratter aussi, pour découvrir une once d’autre couleur. Guillaume Friocourt sculpte la peinture au scalpel, nous fait traverser la surface de la toile. Mais reste parfois le seul à savoir que sous une vague brune se cache un orangé. Parmi les dizaines de pots qui jonchent l’atelier, les gammes d’orange sont bien plus présentes que ce qu’on peut imaginer en parcourant les tableaux. Il faut se rapprocher, observer, scruter les pointillés. L’im-pressionnisme a percuté l’artiste avant même qu’il ait décidé de peindre. Plus qu’une référence... Un modèle de valeurs. Ces nuances d’orange lui sont indissociables des bleus. «Le bleu est la seule couleur réellement indispensable» dit-il. Des orangés extraits des ciels de ses voyages, peut-être aussi. Guillaume Friocourt est un grand voyageur. L’Afrique et l’Asie surtout. De quoi éclairer sa palette de pigments les plus solaires qu’il distille ici dans le reflux des marées.

La série Marines est composée en grande partie de diptyques, triptyques, quadriptyques. Après avoir ex-ploré les formats classiques, le peintre varie aujourd’hui ses supports, en assemblant ses toiles avant de se jeter à l’eau.

Guillaume Friocourt est né à Paris. Des vacances de son enfance toute entière passées au cœur de la Bre-tagne, il garde un attachement viscéral pour la région. Il s’y installe adulte pour ne la quitter que lors de ses voyages au loin. Les rivières que l’enfant-pêcheur sillonnait heure après heure ont imprimé chez l’artiste l’art et le sens du reflet. De la lumière. De l’aléa et de l’harmonie.

ML de noray-Dardenne, février 2017

Guillaume FRiOCOURT06 81 64 51 75

http://www.guillaumefriocourt.fr/[email protected]


Xavier HORTALABAiGnEUSES ET CRUSTACéS

du mercredi 23 août au dimanche 17 septembre 2017

Ouvert tous les jours pendant les vacances, samedi et dimanche en septembre, de 10h30 à 12h30 et de 15h00 à 18h00, entrée libre.

Biographie

1967, premières peintures.

1993, première exposition.

1997, inscription à la maison des artistes.

depuis 1997, nombreuses expositions.

2010, création de l’atelier malpagne Granville.

Xavier HORTALA9 rue Malpagne

50400 GRAnVillE06 70 34 05 61

http://atelierhortala.wordpress.com/


Gérard HUBERTAVEC lE TEMPS

du samedi 23 septembre au dimanche 15 octobre 2017


présentation

Tout petit, déjà dans sa campagne bretonne, il passe son temps à dessiner les paysages, les animaux et les fermes. Alors plus grand, il fait des études de dessin ... industriel. «Il faut avoir un métier» dit-on à l’époque. Obstiné et patient, par des sentiers détournés, il intègre enfin une école d’art parisienne et obtient un diplôme de designer industriel. Depuis de nombreuses années, il exerce ce métier qui allie art et technologie.

C’est par hasard qu’il se remet aux loisirs picturaux en participant à un concours de peinture rapide qu’il rem-porte. La machine est lancée. Il accumule les prix et ex-pose à quelques salons choisis.

Il s’exprime essentiellement par l’aquarelle, discipline magique, fragile et rapide, aux rendus lumineux et sans repentir qui demandent un long travail de réflexion en amont. Il perfectionne sa technique d’abord avec Jean-Lou Guillain puis Maryse de May. Ses thèmes préférés tournent autour de la nature, berceau de son enfance, de quelques lambeaux d’un passé révolu et aussi des souvenirs de voyages.

Gérard Hubert a publié un roman en 2010 : Les promoteurs du vide, aux Editions Elzévir.

Gérard HUBERT06 82 76 94 68

http://gerardhubert-peintre.pagesperso-orange.fr/


Christian TUALSYMPHOniE DES ORiGinES

du samedi 21 octobre au dimanche 5 novembre 2017


présentation

En tant qu’artiste, j’ai besoin de me relier aux cy-cles de la nature, à la terre, à l’océan, aux forces originelles, aux saisons, aux éléments qui sont aux sources de la Vie.

Avec mes couleurs, j’essaie de saisir les mouve-ments, les énergies en action, les jeux incessants de lumière en fonction des heures du jour et des saisons, les transformations et les métamorpho-ses des paysages ou des territoires que je peins, toute la palette des nuances et des contrastes qu’offre l’immensité des spectacles de la nature : l’océan, les montagnes, les nuées …

Je n’essaie pas de reproduire ou de représenter des lieux géographiques connus et identifiables mais je cherche avant tout à l’aide d’évocations colorées à traduire le sentiment de respect et du sacré que j’éprouve envers la Terre.

Ce sont toutes les sensations, les sentiments, les souvenirs et les vibrations que la nature a déclenchés en moi que je cherche à transcrire dans un langage poétique.

J’aspire à une relation tendre et respectueuse avec la terre. Nous sommes tous des « enfants de la terre » mais nous l’avons oublié.

A l’image de la création du monde, le processus de création en peinture part du chaos pour aller vers une construction ; c’est un passage des ténèbres vers la lumière.

Ma peinture parle du monde des origines, de la terre-mère primordiale lorsque les énergies primitives se sont déchaînées pour créer la vie sur terre. C’est la rotation qui est à l’origine des mouvements, de la chaleur et de tous les processus qui créent la vie. Des forces colossales ont soulevé la croûte terrestre, fait éclater des territoires gigantesques, déplacé des masses d’eau vertigineuses sous la poussée des éruptions volca-niques afin de modeler la terre et faire d’elle une planète habitable apte à abriter et à choyer la vie.

Le thème de cette exposition est une invitation à se souvenir d’où nous venons, une célébration de la terre-mère, une ode à la symphonie des Origines.

Christian TUAL

Erquy décembre 2016


Christian TUAL a participé à de nombreuses expositions et a obtenu plusieurs récompenses, notamment un premier prix de peinture abstraite au salon de peinture de Brecey, en Normandie. Il est également médaille de bronze à la Société Arts, Sciences et lettres.

Né à Saint-Malo et marqué par cette ville où il a passé la plus grande partie de sa vie.•

Formation aux Beaux-Arts de Rennes sous la direction de Xavier de Langlais de 1969 à 1973.•

Pratique la gravure en taille-douce ( eau-forte et aquatinte) de 1983 à 1999.•

Depuis 2000, Christian Tual peint à l’acrylique sur toile et à la gouache sur papier.•

parmi ses expositions les plus récentes

Chapelle Notre-Dame des Anges, à Paris en 2003, 2005 et 2007.•

Galerie Mosaïque à Briançon en 2004.•

Espace « Confluences» à Lyon en 2004.•

Château de la Briantais à Saint-Malo en 2007.•

Novotel Thalasso à Dinard en 2007.•

Galerie Bansard, 26 avenue de la Bourdonnais Paris 7• ème en 2007, 2009, 2011 et 2013.

Manoir de la Bouvêche à Orsay en 2009.•

Exposition dans le quartier du Marais à Paris en mars 2012 dans le cadre de la semaine du marais chré-•tien.

Exposition dans le cadre du printemps des poètes au château des longues allées, à Fleury les Aubrais, •au printemps 2012.

Exposition à la galerie d’Erquy en novembre 2012.•

Exposition au Forum, 104 rue de Vaugirard, Paris 6• ème en mai et juin 2013.

Exposition à la Maison des Sources à Trehorenteuc et à l’Institut d’Arts chinois yizong à Saint-Brieuc en •2014.

Exposition à l’abbaye de Paimpont et sur le port d’Erquy en 2015.•

Exposition à la Neylière (Monts du Lyonnais) et sur le port d’Erquy en 2016.•


Christian Tual est à la fois artiste-peintre et animateur d’ateliers et de stages d’expression picturale depuis 1999. Il a animé pendant de nombreuses années des ateliers et des stages de peinture :

au Forum, 104 rue de Vaugirard à Paris de 2002 à 2013•

à la suite d’André Gence, à la chapelle Matisse à Vence de 2004 à 2011•

à Lyon dans le cadre de l’association «Terre de Lumière» de 2004 à 2007•

et depuis 2012, à la Neylière (dans les monts du Lyonnais) et à Erquy, notamment dans le cadre de l’as-•sociation «Chemins de création» qu’ il a créé en 2015.

Christian TUAL06 20 33 23 41

http://www.christiantual.com/


Nicole EUDEAlain CHENARD

du samedi 11 au dimanche 26 novembre 2017


nicole EUDE

Nicole Eude est artiste marqueteur ; art encore trop peu connu, la marqueterie consiste à créer des tableaux à partir d’assemblage et d’incrustation de morceaux de bois de différentes essences. C’est un art méticuleux et de patience nécessitant le travail du bois essentiellement mais également d’autres matériaux précieux, tels que la nacre, le laiton ou le cuivre.

D’origine parisienne, Nicole Eude apprend la marqueterie dès l’âge de 17 ans en apprentissage, puis travaille pendant 33 ans dans la capitale, avant de finalement venir s’installer à Erquy dans un petit atelier aménagé à son domicile en 2014. Travail de créations et de commandes, elle crée des tableaux essentiellement mais a également restauré ou composé sur d’autres supports, du mobilier par exemple. Elle mêle également la technicité à ses créations ; décorée en 1990 du titre de Meilleur Ouvrier de France en marqueterie, gage d’un travail d’excellence du point de vue de la technique.

Vous pourrez découvrir une présentation de plusieurs de ses œuvres de création, exclusivement des ta-bleaux. Vous y découvrirez des sujets et une iconographie diverse : motifs floraux, animaux ou paysages, dans des styles tantôt classiques tantôt plus modernes. En effet, depuis son arrivée à Erquy, les paysages de mer et plus récemment des oiseaux du littoral breton inspirent les créations de l’artiste.

Inspirée par le courant fauve et ses recherches chromatiques audacieuses, Nicole Eude conçoit nombre de ses œuvres comme Matisse ou Derain le faisaient dans leurs tableaux : en choisissant une couleur non pas en fonction de l’objet qu’elle représente mais simplement par instinct et pour une harmonie. La couleur est


ainsi souvent dominante dans ses compositions, et la marqueterie permet de réaliser ces aplats de couleurs grâce aux morceaux de bois teints, et ainsi insuffler une gaîté et une grande force décorative aux tableaux.

nicole EUDE4 rue de la Côte de Pâques

22430 Erquy09 54 43 57 49

http://www.nicole-eude-marqueterie.fr/[email protected]

Alain CHEnARD

Il y a là des Horizons ...

Tout d’abord, le regard bref, saisissement sensible, d’un instant premier. Puis, le temps d’une contemplation, des portraits d’espaces, illimités, aux confins de ce qui n’est pas encore. Presque une déambula-tion où de longs effleurements peuvent fai-re naître un rapport sensuel au monde. Le regard s’installe, s’appesantit, pour tenter une interprétation, éprouver l’imaginaire.

Pensées fluides pour faire, ou défaire le sens. Des lointains qu’il faut atteindre, où s’exercent la trace de l’homme, la mémoire de ses passages dans le temps et dans le sublime.

Les matières picturales sont modelées, ra-clées, frottées ...

L’ensemble proposé regroupe des acryli-ques, sur bois et sur toile, et des huiles sur toile.

Une peinture qui tient sa substance, son propos, de celui qui l’observe.

Une peinture ouverte, offerte, ... où porter le regard.

principales expositions récentes

2013

Galerie du Lavoir – MJC La Paillette à Rennes (35), avec Myriam Le Foll

Orangerie du Thabor à Rennes (35)

Espace G2I – Paris 15ème

2014

«Fluides » Exposition collective au Centre Culturel de Bois-Colombes (92)

Galerie Minyom Art – Paris 15ème

2015

Galerie la Vieille Cave à Perros-Guirec (22)


Galerie du 16ème à Paris

Galerie du Val d’Ille (35), avec N. Lebeau

principaux festivals et salons

2013, 2014 et 2015

Salons de Noyal-Chatillon (35), Thorigné (35) et Ernée (53)

Concours d’Art contemporain de l’Espace C. Peugeot, Paris

Salon des artistes indépendants, Paris

Salon des artistes de Dinard (35)

Collections publiques et privées

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Alain [email protected]

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Les petits formats de NoëlExPO COllECTiVE

du vendredi 1er décembre au samedi 23 décembre


présentation

Pour clore cette année artistique à la galerie, et permettre à chacun d’apporter une touche « Art » à ses cadeaux de Noël, nous mettons à disposition ce lieu d’exposition à la vente d’œuvres originales de petit format.

18 artistes seront retenus sur candidature, toutes techniques acceptées (dossier de candidature disponible sur le site web de la ville ou sur demande auprès du service culturel).

Afin de respecter le thème « petits formats de Noël », les œuvres présentées ne devront pas dépasser 30 cm de côté, les seuls prix de vente autorisés seront de 29,90 € / 39,90 € / 49,90 € (TTC).

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