DOSSIER DE PRESSE

LE PROJET ARTISTIQUE

Le collectif d’artistes 9eme Concept investit les murs du FLOW à Lille, première structure de la métropole dédiée aux cultures urbaines, pour revenir sur 25 ans de création collective et de concepts artistiques.

Exposition rétrospective, résidence scratchpaper, performance live painting, soirées et ateliers tout public : 2 mois de programmation qui raviront curieux et connaisseurs.

Le collectif exposera son histoire et transformera une des salles en atelier : les artistes travailleront à tour de rôle pour proposer des performances live de peinture, collage ou volume autour desquelles le public sera invité à s’exprimer.Le week end, des ateliers tout public seront régulièrement organisés : fresques Scratchpaper et stickers Francs Colleurs au FabLab mais aussi sessions de stickage en ville rythmeront le temps d’exposition.

Le vernissage du jeudi 6 octobre sera suivi, dès 20h, d’une soirée « Quoi de 9 ? », DJ set à base de vinyles et concept phare du collectif qui s’entourera pour l’occasion de DJs locaux. Le week end d’inauguration sera ponctué d’ateliers, de projections et de performances. Une grande fresque Scratchpaper révèlera au gré des déchirures les créations des différents invités, dont Peter Klasen.

Enfin, la rétrospective s’achèvera le 11 décembre autour d’une BlockParty de 14h à 19h. Au programme, Graffiti Collectif sur mur de disques vinyles et performance Cook my record dans la salle de concert qui allie passion de la musique et arts plastiques : des vinyles sont piochés au hasard, intégrés au DJ set de Freddy Jay puis customisés par les artistes qui les offrent ensuite aux heureux dénicheurs.

Seront présents tout au long de ces deux mois : les 9 artistes du 9eme Concept (Stéphane Carricondo, Ned, Jerk 45, Clément Laurentin, Matthieu Dagorn, Olivia de Bona, Théo Lopez, Alexandre d’Alessio, Romain Froquet) ainsi que de nombreux artistes invités parmi lesquels Peter Klasen, Niark1, Gilbert Mazout, Collectif 100 Pression et bien d’autres.

“9EME CONCEPT : 25 ans de création collective”Du 7 octobre au 11 décembre 2016Vernissage le 6 octobre dès 18H30

Au Flow - accès par la maison Folie Moulins (47/49 rue d’Arras - Lille)

Le Flow est l’équipement de la Ville de Lille 100% dédié aux Cultures Urbaines. Tout y est mis en œuvre pour favoriser la professionnalisation et la création des artistes Hip-Hop.Il s’adresse à 3 publics : les professionnels, les semi-professionnels et amateurs en voie de professionnalisation, sans oublier le grand public.Le Flow accueille donc des séances de travail, de réflexion mais aussi des temps d’échange avec le public, notamment lors des restitutions de résidences, spectacles et concerts programmés dans la salle de diffusion. L’objectif est double :- Être à l’écoute du terrain artistique, de ses besoins, de ses contraintes. Ainsi le Flow peut se positionner en complémentarité de l’existant, afin de renforcer les projets et permettre aux artistes d’émerger et de se profession-naliser- Permettre au grand public de se familiariser à ces cultures parfois peu connues.

LES PORTEURS DU PROJET

LE FLOW

LE 9EME CONCEPT

Depuis 25 ans le collectif d’artistes du 9eme Concept ne cesse de partager et diffuser auprès du plus grand nombre son esthétique à travers divers-es expositions, résidences, concepts interactifs et happenings. Le collectif, dont la ligne puise son inspiration dans la fusion de styles et genres variés (BD, tatouage, art premier, graffiti...), a su exploiter la publicité, la vidéo, le collage ou encore la fresque comme autant de canaux de diffusion nova-teurs pour rendre l’art accessible à tous.Né dans la rue avec l’utilisation de l’autocollant dans les années 1990, le collectif incarné par Stéphane Carricondo, Ned et Jerk 45 poursuit son chemin jusqu’à exposer au Centre Pompidou, dans les biennales de Street Art de Rio, Tokyo, Houston ou dernièrement avec le lancement de la nouvelle saison des FrancsColleurs.

Les membres fondateurs posent leurs valises, leurs pinceaux et leurs marqueurs au Flow pour permettre aux curieux comme aux connaisseurs de (re)plonger dans 25 ans de création collective et de concepts artistiques.

9EME CONCEPT L’INDIVIDUALITÉ AU SERVICE DU COLLECTIF

Depuis plus de 26 ans, les artistes du collectif 9eme Concept n’ont cessé de faire évoluer les individualités au sein d’un même groupe, au service de leur art et du public en mettant au point un processus de création alliant graphisme, peinture, collage, musique, art de rue ou encore happening.

Créé en 1990 sous l’impulsion de trois amis, Stéphane Carricondo, Ned et Jerk 45, le collectif est aujourd’hui composé de 9 artistes, mais fédère une communauté et un réseau bien plus large autour de valeurs communes.

Ils sollicitent des formes diverses et modernes de l’art urbain : la publicité, les décors de plateaux, les installations, les con-certs, les festivals… et font appel à des artistes de différents domaines pour travailler à leurs côtés. Ainsi, aux fondateurs du collectif se sont très vite joints d’autres interprètes, sans oublier les musiciens, vidéastes, DJ qui les suivent dans leurs manifestations.

Ce qui caractérise en premier lieu leurs démarches esthétiques c’est cette fusion d’art ethnique fait de tatouages, de photographies anthropologiques, de références à l’art aborigène et de créations typiquement urbaines qui s’inscrivent dans la mouvance artistique contemporaine comme la bd, le graffiti, le graphisme, la mode, le design, la photographie et la télévision.

Indépendamment de leurs travaux respectifs, leur démarche collective résonne comme une ouverture d’esprit, une générosité commune et une émotion forte qui prend forme en un élan artistique et humaniste d’un nouveau genre. Leur spécificité est aussi de vouloir sortir l’art des musées pour le rendre accessible au plus grand nombre.

Dans cet esprit, les membres du collectif vont s’impliquer dans la vie de la cité. Ils recherchent un rapport interactif avec le public de tous les âges comme ils l’ont démontré lors de l’exposition « Peinture Fraîche » au Centre Pompidou en 2008, au Festival « Black and Basque » de Bayonne ou plus récemment avec le projet des « Francs Colleurs » lancé en 2015.

Au cours de ces manifestations les auteurs du 9e Concept proposent souvent des canevas, des trames, des ossatures artistiques qui invitent les spectateurs à réagir, à participer à l’œuvre en train de se faire. La présence des artistes permet d’instaurer un dialogue entre le public et le monde de l’art, en l’incitant à interagir avec une œuvre, en la complétant, la créant ou la détournant, et ainsi faire tomber les barrières, parfois complexantes, de la pratique des arts plastiques. Par là, ils permettent des dialogues entre professionnels et amateurs, des rencontres entre artistes et profanes.

Une des autres démarches fortes du collectif se retrouve dans son rôle de formateurs auprès d’artistes de la nouvelle génération qu’ils invitent en résidence à leur atelier.

UNE DÉMARCHE TOURNÉE VERS LE PARTAGE ET L’ACCESSIBILITÉ DE L’ ART

STÉPHANE CARRICONDO NED JERK 45

MATTHIEU DAGORN OLIVIA DE BONA THÉO LOPEZ

ALEXANDRE D’ALESSIO ROMAIN FROQUET CLÉMENT LAURENTIN

LES ARTISTES DU 9EME CONCEPT

LA RENCONTRE / 1989

Stéphane et Ned se rencontrent au collège et sont plus tard rejoints par Jerk avec qui ils fréquentent la même école parisienne de graphisme et communication visuelle. Ils s’éloignent rapidement du côté académique de leur formation et élaborent ensemble un projet plus personnel et atypique pour l’époque : investir la rue.

Le groupe s’appellera « Le 9eme Concept », référence à un projet de bande déssinée commencé par Ned.Bientôt à l’assaut de la capitale, on retrouvera leur nom imprimé des milliers de fois sur des autocollants qu’ils dissémineront partout dans les rues de Paris.

Ils seront ainsi dans les années 90 parmi les premiers à sticker, ce qui deviendra aussi la philosophie du collectif : promouvoir une énergie positive sans vandaliser.

LES DÉBUTS

BAIFALL DREAM / 1991

C’est à Paris que démarre l’aventure du collectif, vite repérés par le créateur Mike Sylla qui, à cette époque, fait souffler un vent de folie sur la mode à Paris, tout comme dans ses fêtes mythiques à l’Usine éphémère ou à la Galerie Paradis.

Figure de l’activisme culturel de la fin des années 80, il est l’homme qui fera éclore médiatiquement le 9eme Concept en initiant les premières collaborations entre designer et artistes pour le design de sa nouvelle griffe Baïfall Dream en 1992. Ils produiront plus de 600 pièces sur des supports aussi divers que des blousons, des chaussures ou des ceintures.

Cette collection afro-pop-art a fait naître les premières customisations de vêtements où l’art de la rue rencontre le monde de la mode. La couverture médiatique est telle que les trois jeunes artistes se retrouvent rapidement sous le feu des projecteurs : articles dans la presse, édito dans le magazine Elle et démos live à la télévision.

DESPERADOS

Mais c’est la rencontre avec Desperados en 1999 qui leur assure une autonomie artistique et financière. La marque leur confie la direction artistique des bouteilles collector (plus de 90 bouteilles au total), devenant jusqu’à aujourd’hui le client et partenaire historique du collectif.

Le champ d’action du collectif est inédit jusqu’à lors et les artistes expriment leur art de la ligne et de la customisation sur des centaines d’objets, toujours gratuits pour le public : réalisation de packaging et coffrets collectors, ateliers et performances live lors de soirées ou festivals, customisation et sérigraphie d’objets uniques, etc… Une entente unique entre un collectif d’artistes et une marque qui sut faire confiance et donner carte blanche à des talents émergents.

A l’occasion des 25 ans du collectif, le marque et le collectif collaborent une fois de plus pour sortir une bouteille ultra collector disponible lors de l’exposition uniquement.

Dès 1997, après une exposition avenue Montaigne, les membres fondateurs décident de franchir le pas et de dire oui aux différentes marques qui sollicitent depuis quelques mois leur savoir-faire pour promouvoir ou soutenir le lancement de leurs produits.

Les trois artistes y voient là une occasion d’agrandir le collectif et de faire vivre plusieurs de leurs amis artistes grâce à ces différents financements.Ce virage est donc un pari audacieux mais le collectif fixe ses propres règles dès le départ : l’artistique doit passer devant les intérêts des marques et les oeuvres mises en avant doivent être des créations brutes, non-déformées et sans message mercantile.Ils y voient aussi un atout pour être plus autonomes dans l’organisation et la production de leurs propres expositions. La possibilité de vivre en faisant ce qu’ils aiment. Mais surtout l’opportunité de passer par le système pour faire bouger les mentalités et amener l’art partout où se trouve le public.

Ainsi, en 1997, le collectif désormais élargi sillonne les côtes françaises pour proposer des séances de tatouages éphémères : du jamais vu à l’époque. S’en suivra une collection de sneakers pour la marque de glisse Reef.

Groland (Canal +), Puma, MTV, Burn, ou encore Dockers (vitrines Galeries Lafayette) figurent parmi les marques ayant fait confiance au collectif.

AVANCER AUX CÔTÉS DES MARQUES

LES ETIQUETTES Le concept des « Étiquettes » dénonce notre rapport à la consommation. Cette création urbaine imagine en 2006 consiste en une série d’étiquettes, type étiquette de prix, réalisées par 17 artistes du collectif, dont Mambo, Jeykill, Veenom, Big Jul, Clément Laurentin, Romain Froquet, Ankhone, Mast et Speedy Graphito en tant qu’invités.

L’un des cotés comporte le dessin au crayon noir, sanguine ou encre de chine, et l’autre indique un prix fictif voir absurde (009€, 109€, 69€, 16/9€, 99€).

Ce projet urbain a parcouru la France et les grandes capitales du monde, les étiquettes accrochées aussi bien au mobilier urbain qu’aux portes des grands magasins.

LES CONCEPTS

GRAFFITI COLLECTIF

Le concept du « Graffiti Collectif » est pensé comme une zone d’expression libre, où des feutres sont suspendus sur un mur noir.Artistes, passants, enfants, tous sont invités à laisser une trace sur ce mur, géré par les artistes. Au fur et à mesure des passages, le mur collecte les messages, affiches les lignes individuelles, pour créer une œuvre collective. On y retrouve quelque chose à la manière de Basquiat, spontané, multiple, naïf, underground.

Voir la vidéo au festival Black&Basque

SCRATCHPAPER

En 2009, ils créent leur concept collectif « Scratch Paper », une installation composée de créations individuelles imprimées sur grands formats, superposées puis recomposées.

Notamment inspiré de l’œuvre de Jacques Villeglé pour l’esthétisme de ses affiches lacérées, ce concept joue sur les jeux de recouvrement, de foisonnement, de cadavres exquis aléatoires pour laisser s’exprimer la beauté abstraite et spontanée d’une œuvre collective.

Le collectif a utilisé ce concept dans le cadre de plusieurs événements : les vitrines de Coach au Printemps, le Puma Store, au Centre Pompidou, sur les festivals Black & Basque, ou encore au Villette Street Festival.

Plus récemment en 2014, à l’initiative de leur ami et critique d’art Renaud Faroux, ils ont été invités par Peter Klasen, membre historique du mouvement Pop Art et de la Figuration Narrative, à travailler ensemble une œuvre Scratch Paper monumentale au sein de son atelier.

L’œuvre fusionne différentes générations d’artistes marquées par le monde urbain, la société de consommation, le graphisme industriel, la publicité, le graffiti…

La composition finale détaille les techniques du Pop Art et du Street Art : détournement d’images, pochoir, bombe aérosol, autocollant, collage, utilisation de logotypes, etc.

FACE À FACE

«Face à face» propose à deux personnes de se dessiner mutuellement: une vitre sépare deux personnes assises l’une en face de l’autre.

Chacun à l‘aide d’un rhodoide scotché sur la vitre dessine au feutre le portrait de l’autre. Les rhodoides sont ensuite photocopiés sur papier fluo.

Les dessins sont exposés, assemblés et redistrinués, exposés, ou bien insérés à une fresque scratchpaper attenante.

COOK MY RECORDS

Créée en 2008, la « Cook My Record » associe passion de la musique, arts graphiques et performance live.

Lors d’événements festifs, le public est amené à piocher un vinyle au hasard qu’il soumet au DJ qui a pour mission d’intégrer le set dans son mix et d’improviser.

Une fois passé au feu vif des platines, le vinyle passe ensuite sur les platines de deux artistes du 9eme Concept, pour être customisé dans les règles de l’art. Le participant repart ensuite avec son vinyle.

Voir le film à La Flèche d’Or

QUOI DE 9 ?

« Quoi de 9 ? » est né de l’amour de la musique du collectif. Pour ses membres fondateurs, passionnés par les disques vinyles, l’idée de partager cet amour s’est traduite par la création d’un concept de « soirée entre amis ».

Ces rencontres étaient pour eux l’occasion de prendre des nouvelles, musicales et amicales, de partager leurs découvertes et de se retrouver pour partager un bon moment.

D’abord conçu comme soirées programmées le 9 de chaque mois, lors desquelles, les DJ’s tirés au sort avaient pour seule consigne de jouer 9 titres. Le concept « Quoi de 9 ? » a évolué sous la forme d’une émission, filmée au sein des ateliers du 9eme Concept à Montreuil, et diffusée sous forme de podcasts sur internet.

SANG 9 OU L’ART DE PANSER LA VILLE / 2000

« Sang9 » est le premier projet collectif du 9eme Concept, monté et créé avec Mambo.

Stéphane Carricondo, Ned et Jerk 45 ont invité des artistes à travailler un ensemble de créations graphiques utilisant ou détournant les codes de l’univers médical. Des pansements ou encore des feuilles de soin ont été pris pour supports et les artistes ont su proposer une collection d’œuvres multiples : stickers, affiches, toiles, plexiglas…

L’exposition voyagera dans le monde entier jusqu’en 2004, où les oeuvres originales occuperont la rue, un cinema ou un hôpital, sous le regard étonné mais conquis d’un public qu’ils ont su toucher : une exposition et un ouvrage à la galerie Kitchen 93 de Bagnolet, une exposition au Centre d’Art en Île et dans les hôpitaux universitaires de la ville de Genève, à la galerie La Santa à Barcelone, puis en 2004, au MK2 Bibliothèque à Paris et à la galerie Magda Danysz du 13ème arron-dissement.

LE STICKER, DU SUPPORT À LA COMMUNAUTÉ

URBAN FOREST Collection anthologique des stickers, plus de 200 pièces seront présentées dans une installation conceptuelle : une forêt urbaine. Dans le cadre de la rétrospective, le public sera invité à déambuler entre les gouttières de zinc, habillées du support phare du collectif.

Quinze ans après « Sang 9 », le collectif effectue un retour aux sources de leur première passion, le sticker, à travers le projet des « Francs Colleurs ».

Depuis mai 2015, le 9eme Concept a invité une cinquantaine d’artistes français et internationaux à travailler avec lui autour d’une forme graphique commune – la goutte – qui peut être démultipliée et renvoie à l’idée de ruche artistique. L’emboite-ment et l’accumulation des motifs permet de créer in fine une oeuvre collective forte et monumentale.

Ce projet permet de créer et fédérer une communauté artistique et de mettre en avant la force plastique et graphique de la scène urbaine. Il donne l’occasion au public d’investir la rue de manière ludique et créative en lui offrant une vision décom-plexée du monde de l’art.

Le projet propose sur l’année des temps forts récurrents comme des collages collectifs de gouttes géantes, des opérations de stickage massif et des soirées interactives. Un réseau de distribution de stickers a été mis en place dans une douzaine de bars, concepts stores, librairies, disquaires partout en France. En collaboration avec les Francs Colleurs, l’agence MNSTR a développé deux applications de réalité augmentée mettant en animation certaines créations des deux saisons.

Les applications sont gratuites, disponibles sur l’Apple Store (ici), le Google Play (ici), et la plateforme digitale radar.st. Elles ont été créées pour le plaisir de mixer art de rue, motion et digital.

Les 46 artistes de la saison 2 :Alexandre d’Alessio, Nicolas Barrome, Bault, Aurélie Buschaud, Stéphane Carricondo, Claire Mo, Matthieu Dagorn, Olivia de Bona, Dourone, Jean Faucheur, Romain Froquet, Gilbert Mazout, GoddoG, François Goupil, Jan Garet, Nicolas Jaoul, Jerk45, Jeykill, Kan, Peter Klasen, Clément Laurentin, Legz, Bruno Leyval, Théo Lopez, Mattia Lullini, Mademoiselle Maurice, Brice Maré, Mioshe, Moneyless, Monkeybird, Stéphane Moscato, Ned, Neurone & Hasart, Niark1, Stéphane Opéra, Pedro, Popay, RCF1, Joachim Romain, Remi Rough, Albane Simon, Les Suzzies, Jean-Jacques Tachdjian, The Blind, Wide, Pablito Zago

Voir le film de Jules Hidrot du collage à Lens (2016)

LES FRANCS COLLEURS

INAUGURATION

Jeudi 6 octobre > 18h30Vernissage de l’exposition dès 18h30 en présence du collectifSoirée “Quoi de 9 ?” dès 20h dans la salle de spectacle avec DJs locaux et artistes du 9eme Concept

Vendredi 7 octobre > 20hProjections du film “9eme Concept - Trajectoire d’un collectif d’artistes” à l’auditorium du Palais des Beaux Arts suivie d’une conférence-dédicaces avec les fondateurs et membres du collectif.

Samedi 8 et dimanche 9 octobre > 14h-20h/18hPerformance Scratchpaper sur le mur extérieur du FLOWAteliers gratuits, tout public et sans inscription - tatouage éphémère - face à face - initiation au stickage en ville avec Les Francs Colleurs

EXPOSITION

AteliersSamedi 22 octobre : ScratchpaperSamedi 29 octobre : stickers Francs ColleursSamedi 19 novembre : ScratchpaperSamedi 26 novembre : stickers Francs ColleursSamedi 3 décembre : Scratchpaper

Deux sessions par samedi : 14h30 et 17h Ateliers gratuits, tout public et sur inscription : nombre de places limité à 15 pers.

Atelier Scratchpaper (salle graffiti et mur extérieur) : Les dessins faits à l’encre noire sur papier fluo se superposent pour permettre aux participants de déchirer des morceaux du collage collectif et laisser se révéler une oeuvre originale et aléatoire, fruit du hasard

Atelier de création de stickers Francs Colleurs (FabLab) :Devenir un Franc Colleur en créant son propre sticker à intégrer à la collection

Live painting - salle de la TourailleToute les semaines, du mercredi au dimancheDurant toute la durée de l’exposition, chaque semaine un nouveau duo d’artistes investit la salle de la Touraille pour y installer son atelier. Le public est invité à voir leur production évoluer et à participer à la craie, autour des oeuvres des artistes, à la fresque collective déployée sur les murs de la salle.

Conférence : “La place de l’artiste dans la communication et la publicité”Vendredi 18 novembre dès 18h30 en présence des membres fondateurs du collectif, suivi d’un apéro-dédicaces

CLOTURE - BLOCK PARTY

Dimanche 11 décembre > 14h - 19hGraffiti Collectif sur mur de pochettes vinyles avec Gilbert MazoutSoirée “Cook my records” avec Freddy Jay et des artistes du 9eme Concept

AGENDA

INFOS PRATIQUES

Contacts

Christelle VESSOTCommunication 9eme Conceptchristelle.vessot@wanadoo.fr

06 08 41 41 16http://9eme.net/

Morgane VANDEWALLECommunication FLOW

mvandewalle@mairie-lille.fr03 20 78 97 85http://flow.lille.fr/

FLOW20 rue Dupetit Thouars

59000 LilleTel : 03 62 14 59 52

Entrée de l’exposition par la maison Folie Moulins47/49 rue d’Arras

59000 LilleInfos : 03 20 95 08 82