Dossier de presse du film

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www.pouruninstantlaliberte.com

SORTIE LE 28 JANVIER 2009

UN FILM DE

ARASH T. RIAHI

WEGA FILM et LES FILMS DU LOSANGEprésentent

DISTRIBUTIONLES FILMS DU LOSANGE

22, avenue Pierre 1er de Serbie - 75116 ParisTel : 01 44 43 87 15 / 16 / 17 • Fax : 01 49 52 06 40

www.filmsdulosange.fr

Photos & dossier de presse téléchargeables sur www.filmsdulosange.fr

2008 - Autriche / France - 35mm - Couleur - 1.85 - SRD - 1h50

PRESSEANDRÉ-PAUL RICCI / TONY ARNOUX / FLORENCE NAROZNY6, Place de la Madeleine - 75008 ParisTel : 01 40 13 98 09 / 01 49 53 04 [email protected] / [email protected]

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Ali et Merdad tentent de fuirl'Iran avec leurs cousinsAsy, 7 ans, et Arman, 5 ans,

dans le but de les ramener à leursparents qui vivent en Autriche.Mais ils doivent d'abord passerpar la Turquie et attendre un hypo-thétique visa qui tarde à venir. Ilsfont alors la connaissance d'autresréfugiés iraniens : un couple etleur petit garçon cherchant àprouver aux pouvoirs publicsqu'ils sont persécutés pour desmotifs politiques ou encore unprofesseur et un jeune Kurde quisurmontent leurs difficultés quoti-diennes grâce à un incroyablesens de l'humour… Des hommes et des femmes quiespèrent de toutes leurs forcesentrer en Europe, terre de liberté…

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Comment est né le film ?Je suis né en Iran et j'ai fui mon pays avec mesparents à l'âge de 9 ans, dans l'espoir qu'on nousreconnaisse le statut de réfugiés politiques enEurope. A l'époque, mes frères et sœurs étaienttrop petits pour voyager avec nous. Ils nous ontrejoints plus d'un an après, grâce à un cousin età un ami à nous. Du coup, l'un des parcours queraconte le film est assez autobiographique. Lesautres intrigues s'inspirent d'événements réelsqui sont arrivés à de proches amis ou d'histoiressur lesquelles je me suis documenté ces dernièresannées. Mais le sujet du film m'a toujours tenu àcœur et me tiendra encore à cœur à l'avenir.

■ Dans quelle mesure le scénario s'inspire-t-il de votre expérience personnelle ?A hauteur de 25% environ. Mais bien entendu, j'aiaussi modifié certains éléments autobiographiquesdans un souci d'efficacité dramatique. Je n'ai pascherché à raconter l'histoire de ma vie, mais troisrécits emblématiques d'hommes et de femmes enquête de liberté - quelles que soient leurs origines.D'une part, ce qui m'intéressait, c'était de montrercomment ces personnages, jeunes ou moins jeunes,affrontent cette situation extrême et, de l'autre, jevoulais rendre hommage à tous ceux qui ont vécude telles souffrances et qui sont même morts pourun instant de liberté.

■ Dans quelle mesure votre dernier documen-taire vous a-t-il servi d'inspiration pour Pourun instant la liberté ?

Mon documentaire, Exile Family Movie, retraçaitles 15 dernières années de la vie d'une familleentre l'Europe et les Etats-Unis. Contrairement àExile, je souhaitais que Pour un instant, la libertése déroule entre deux mondes - et non pas dansles pays d'origine ou de destination des réfugiés.Je voulais montrer ce que les gens doivent endurerpour venir en Europe - et qu'ils n'ont pas d'autrechoix.

■ Quelle est la probabilité pour qu'une familletraverse la frontière sans se faire arrêter ? Etcombien cela lui coûte-t-il en général ?La probabilité est assez élevée - sinon, il n'y auraitpas tant d'immigrés clandestins en Europe. Quandon était en Turquie pour faire des recherches il ya deux ans, notre guide kurde nous a demandé sinous souhaitions nous rendre au point de passage

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on ne garde pas un minimum de sens de l'humourdans des situations aussi extrêmes, on est voué àêtre anéanti. Après tout, à quoi d'autre peut-onse raccrocher ?

■ En débarquant à Ankara, les réfugiés politi-ques survivent dans des conditions trèsdures… Souhaitiez-vous vous en prendre à laTurquie en particulier ou à n'importe quel paysaccueillant des immigrés clandestins ?En réalité, il ne s'agit pas de la Turquie - celapourrait se dérouler dans n'importe quel pays.J'ai voulu faire un film universel en parlant d'êtreshumains qui aspirent à une vie meilleure loin dechez eux, que ce soit pour des raisons politiquesou humanistes. Je pense que nous devrions tousavoir le droit de vivre là où bon nous semble.D'ailleurs, dans des conditions normales, on nequitte son pays ou sa famille que lorsqu'on n'apas le choix de faire autrement.

■ L'ONU semble impuissante et demeurepassive la plupart du temps. Pensez-vous quel'Organisation pourrait être plus efficace ouqu'elle est totalement tributaire de la politiqued'immigration de l'Europe ?Je crois que l'ONU n'est pas impuissante, mêmesi elle n'est pas aussi forte qu'elle devrait l'être.Elle aide pas mal de gens et elle nous a d'ailleursaidés quand nous étions en Turquie. Mais en fin decompte, son pouvoir dépend des gouvernements.Et ces derniers édictent un nombre croissant deréglementations et de lois à l'encontre des réfugiés- et l'ONU ne peut en aucun cas faire abstractionde ces lois.

■ A un moment donné, l'un des enfants sedemande pourquoi les gens ont besoin depapiers pour retrouver leurs parents. Même sicela est formulé de manière un peu naïve, on

entre l'Iran et a Turquie ! Je ne sais pas exacte-ment combien cela coûte, mais je crois que c'estentre 5000 et 20 000 Euros.

■ Vous évoquez la violence de la police politi-que qui arrête le car au début du film. Pouvez-vous m'en dire un mot ?On les appelle les "Pasdaran", autrement dit lesGardiens de la Révolution. Leur responsabilité leurdonne beaucoup de liberté pour surveiller, tortureret même tuer les suspects.

■ La scène d'ouverture, qui montre en planpanoramique des gens exécutés par l'armée,donne le ton du film.Ce plan-là et la scène suivante, plus légère et plusdrôle, où l'on voit des enfants et leur passeur. Jetrouve que la juxtaposition d'éléments tragiqueset comiques est absolument essentielle. Pour moi,l'humour est la meilleure technique de survie et si

■ Vous fustigez également la collusion entre legouvernement turc et les services secretsiraniens…Chacun sait que les services secrets de ces deuxpays travaillent main dans la main. Je l'ai apprisau cours de mes séjours de recherche en Turquie.J'ai rencontré à Van, ville frontalière, quelquesréfugiés qui m'ont raconté des histoires abomina-bles. Quand on a démarré le tournage dans la villeturque d'Erzurum, le consulat iranien a tenté defaire annuler notre autorisation de tournage. Parchance, notre producteur a réussi à convaincrele maire de la ville qu'il aurait tout intérêt à nouslaisser tourner sur place. Sachant, en plus,qu'Erzurum doit accueillir les Jeux Olympiquesd'hiver universitaires en 2011, le maire a décidéd'être notre allié pour montrer à l'Occident que saville était capable de mener à bien un projet d'unetelle envergure !

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peut dire qu'il s'agit de l'un des thèmes-clésdu film et d'une question majeure de notresociété…Malheureusement, la bureaucratie est considéréecomme la meilleure solution à la plupart desproblèmes de société. Et lorsqu'on apprend qu'unréfugié s'est jeté par la fenêtre et s'est tué parcequ'il ne voulait pas être renvoyé dans son pays,nous devrions revoir en profondeur notre concep-tion de la bureaucratie. Il faut être vraimentdésespéré pour en venir à de telles extrémités,non ?

■ Dans une scène bouleversante, un person-nage va jusqu'à s'immoler par le feu devant lebâtiment de l'ONU. Pensez-vous que le régimeiranien pousse les gens à des gestes aussidésespérés ?Un jour où l'un des réfugiés qui joue un petit rôledans le film faisait la queue, il a vu quelqu'uns'immoler par le feu il y a quelques années. Nonseulement le régime iranien pousse les gens àces extrémités, mais il assassine de nombreusespersonnes hors d'Iran. On trouve la liste de sesactes terroristes sur Internet. L'ironie, c'est que laplupart des pays européens laissent ces assassinsen liberté. Seule l'Allemagne a accusé l'Iran des'être rendu coupable de “terrorisme d'Etat” lorsdu Jugement de Mykonos en 1992.

■ Le film met en scène des personnages trèsdifférents qui ont un but commun : quitterl'Iran et trouver refuge en Europe. Commentêtes-vous parvenu à les rendre aussi atta-chants ? Comment s'est passée l'écriture duscénario ?J'ai commencé à écrire le scénario en 2000. J'aieffectué plusieurs voyages de recherche en Turquiepour voir ce qui avait changé ces dernièresannées. Je me suis beaucoup entretenu avec desréfugiés et des membres d'ONG, et j'ai participéà des ateliers d'écriture comme Equinoxe ou le

Sundance Lab. Tout cela m'a aidé à trouver lejuste équilibre entre tragédie et comédie, ce quiest essentiel pour un film comme le mien.

■ Avez-vous fait des recherches pour les per-sonnages des agents secrets qui torturent l'undes protagonistes ?Bien entendu. Je connais pas mal de gens qui ontété arrêtés et incarcérés par la police secrète. Jeme suis entretenu avec eux et je me suis aussirendu à la frontière entre la Turquie et l'Iran pourrencontrer des réfugiés et discuter avec eux. Ilsm'ont raconté qu'ils évitent de sortir de chez euxparce qu'ils ont peur de la police secrète iranienneet aussi de la police turque. Il y a beaucoupd'exemples de gens maltraités et déplacés qu'onn'a jamais retrouvés.

■ Il s'agit de votre premier long métrage defiction. Quels étaient vos choix de mise enscène ?Comme je viens du documentaire, on s'attendsans doute à ce que j'ai réalisé mon premier filmde fiction dans un style documentaire, mais j'aitoujours été attiré par le réalisme poétique. Jesouhaitais adopter un style visuel et un mode denarration permettant au film de fonctionner surd'autres registres que le seul aspect documen-taire.Au moment des préparatifs, je n'avais qu'une

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casting, à Berlin, Stockholm, Londres, Paris,Vienne et même à Leipzig et Francfort. Nousavions certaines exigences qui ne nous ont pasfacilité les choses : il nous fallait des comédiensperses qui parlent farsi sans aucun accent, certainsdevaient avoir une vingtaine d'années, et bienentendu, il fallait surtout qu'ils jouent bien ! Il nousfallait aussi trois enfants âgés de 5 à 7 ans parlantla langue sans aucun accent. Par-dessus le marché,il fallait que les acteurs soient conscients qu'ilsallaient participer à un film qui critique le régime.Cela a automatiquement exclu ceux qui voulaientrentrer en Iran. Au bout du compte, nous noussommes retrouvés avec un mélange d'acteursprofessionnels et de débutants. Certains d'entreeux ont changé leur nom pour des raisons desécurité. Le plus difficile a été de les diriger demanière à ce que la diversité de leurs parcours etde leurs origines ne soit pas perceptible.

■ Avez-vous beaucoup répété ? Leur avez-vous parlé de votre propre expérience ?Nous avons fait quelques répétitions, mais pastrop non plus. Nous avons beaucoup parlé desmotivations des personnages, et ce qui est inté-ressant, c'est que tous les comédiens se sontsentis proche du sujet du film. Certains étaienteux-mêmes réfugiés ou enfants d'immigrés. Cefilm faisait déjà partie intégrante de nos vies, etnous l'avons considéré comme un manifeste derésistance et un hommage aux millions de réfugiéspartout dans le monde.

■ Où avez-vous tourné l'essentiel du film ? EnTurquie ?Nous avons tourné un mois à Ankara,deux semainesdans la région montagneuse d'Erzurum, à l'est dela Turquie, deux semaines en studio à Vienne et unjour à Berlin.

obsession : comment un film de fiction peut-ildépasser l'esthétique documentaire ? J'avais déjàréalisé deux documentaires partiellement auto-biographiques, et je ne voulais surtout pas merépéter dans mon premier long métrage de fiction.J'avais tendance à penser que la fiction ne pou-vait pas surpasser le documentaire en matière de“réalisme” ou d'“authenticité”. Un film de fiction abeau être “fabriqué” - il permet d'atteindre unevérité plus profonde car on peut faire appel à d'au-tres styles visuels et à d'autres techniques, et onpeut se permettre d'être plus radical.

■ Comment avez-vous choisi les principauxcomédiens ? Avez-vous fait appel à des nonprofessionnels ?Nous avons consacré plus d'un an et demi au

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suivis des Irakiens (environ 2 millions), des Colombiens(552 000), des Soudanais (523 000) et des Somaliens(457 000).Outre les réfugiés et les personnes déplacées, les chiffresde l'UNHCR englobent les apatrides et les demandeursd'asile, ainsi que les réfugiés rentrés au pays. Le nombretotal de personnes susceptibles de bénéficier des aidesde l'UNHCR s'élevait l'an dernier à 31,7 millions.La principale terre d'accueil est le Pakistan (2 millionsde réfugiés), suivie par la Syrie (1,5 million), l'Iran (964000), l'Allemagne (579 000) et la Jordanie (500 000). Al'échelle mondiale, il y avait l'an dernier 647 200 deman-deurs d'asile, soit 5% d'augmentation par rapport àl'année précédente. Il s'agit de la première augmentationen cinq ans. Elle s'explique principalement par le nombrecroissant d'Irakiens demandant asile à l'Europe. Laplupart des demandeurs souhaitent être accueillis auxEtats-Unis, en Afrique du Sud, en Suède, en France, enGrande-Bretagne, au Canada et en Grèce.Point positif soulevé par le rapport de l'UNHCR : lesdemandes de réinstallation de réfugiés dans un paystiers ont fortement augmenté en 2007, l'UNHCR ayantsoumis à d'autres gouvernements les dossiers de 99 000personnes ne pouvant pas rester dans leur pays depremier asile. C'est la plus forte augmentation en 15ans. C'est ainsi qu'en 2007, 75 300 personnes - origi-naires de Birmanie, du Burundi, de Somalie, d'Irak, deRépublique Démocratique du Congo et d'Afghanistan -ont été réinstallées dans des pays tiers. Dans le cadrede programmes de rapatriement volontaire et d'inté-gration dans les terres d'asile, les demandes soumisesaux pays tiers représentent la troisième solution durablepour les réfugiés.L'an dernier, 731 000 réfugiés ont pu rentrer chez euxdans le cadre de programmes d'aides, notamment enAfghanistan (371 000), au Sud-Soudan (131 700) et enRépublique Démocratique du Congo (60 000).Le nombre d'apatrides a baissé l'an dernier pouratteindre le chiffre d'environ 3 millions. Cela s'expliquenotamment par l'adoption d'une nouvelle loi octroyantla nationalité à 2,6 millions de personnes au Népal. Lechiffre total d'apatrides dans le monde est estimé àenviron 12 millions.

(*) Paru le 16 juin 2008 sur le site www.unhcr.at

Genève / Londres - Fin 2007, on estime à 11,4 millionsle nombre de réfugiés dans le monde (sans compter les4,6 millions de réfugiés palestiniens auxquels l'organisa-tion de l'ONU, l'UNRWA, vient en aide), et les personnesdéplacées à l'intérieur de leurs propres frontières (IDP)à 26 millions : il s'agit d'individus qui ont été chassés dechez eux par des conflits ou des persécutions. Voilà laconclusion du rapport annuel du Haut-commissariatpour les réfugiés de l'ONU (UNHCR), publié mardi dernier.En 2007, les chiffres des organisations internationaleset les données collectées dans 150 pays montrent que lenombre de réfugiés et de personnes déplacées ont aug-menté par rapport à 2006 (où l'on dénombrait 9,9 millionsde réfugiés et 24,4 millions de personnes déplacées).“Après cinq ans de baisse du nombre de réfugiés, entre2001 et 2005, ce chiffre est reparti à la hausse depuisdeux ans, ce qui est très préoccupant. Nous sommesaujourd'hui confrontés à plusieurs fléaux mondiaux quirisquent d'accroître le nombre de personnes déplacées”,a déclaré le haut commissaire aux Réfugiés de l'ONU,Antonio Guterres, en présentant les chiffres annuels.Comme l'a rappelé Guterres, ces fléaux sont nombreux :urgences humanitaires liées aux guerres, mauvaisegouvernance des Etats, raréfaction des ressources natu-relles et inflation galopante qui frappe très durementles plus pauvres et qui favorise l'instabilité partout dansle monde. Guterres explique que la situation risqueencore de s'empirer à l'avenir.Le rapport indique que cette augmentation s'explique enpartie par la situation en Irak. Fin 2007, on comptait 2,4millions de personnes déplacées pour ce seul pays(contre 1,8 million début 2007). Les chiffres ont égale-ment bondi en Somalie, passant de 400 000 à 1 million.Cependant, c'est en Colombie que l'on trouve le plusgrand nombre de personnes déplacées : 3 millions.S'agissant des réfugiés, le rapport souligne que lesAfghans sont les plus nombreux (environ 3 millions),

“Les réfugiés sont de plus en plusnombreux dans le monde.” (*)

Quelques repères Sur les réfugiés

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Ali..................................Merdad..........................Kian...............................Hassan...........................Lale................................Azy.................................Arman............................Abbas.............................Manu..............................Jasmin...........................Mère..............................Grand mère....................Mr. Pifko.........................Père...............................

Navid AKHAVANPourya MAHYARIKamran RADPayam MADJLESSIBehi DJANATI-ATAIElika BOZORGISina SABASaid OVEISSIFares FARESEzgi ASAROGLUToufan MANOUTCHERISoussan AZARINJohannes SILBERSCHNEIDERMichael NIAVARANI

Ecrit et réalisé par...........Producteurs....................

Image.............................Montage.........................Son................................Musique.........................Décors...........................Costumes.......................Directeur de production...Producteur exécutif.........Ventes internationales....

Arash T. RIAHIVeit HEIDUSCHKAMichael KATZ (Wega Film)Margaret MENEGOZ(Les Films du Losange)Michi RIEBL aacKarina RESSLER aea Mohsan NASIRIKARUANChristoph KANTERMonika BUTTINGERUlrike LÄSSERMichael KATZLES FILMS DU LOSANGE

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Né en 1972 en Iran, Arash T. Riahi vit depuis1982 à Vienne. Il a fait ses études en arts et

cinéma, et dès 1995 travaille comme pigiste pourle diffuseur national autrichien ORF comme scé-nariste et réalisateur aux départements jeunesseet culture. Il fonde la compagnie Golden GirlsFilmproduction en 1998 (www.goldengirls.at). Ilest l'auteur et le réalisateur de nombreux courtsmétrages documentaires et d'animation, depublicités et de vidéoclips. Il a réalisé deux docu-mentaires, THE SOUVENIRS OF MR. X(www.HerrX.com), coproduit par ARTE et ORF, etEXILE FAMILY MOVIE (www.exilefamilymovie.at).POUR UN INSTANT LA LIBERTÉ est son premierlong métrage de fiction.

Colombe d'or pour le meilleur film d'animationdu Festival du film de Leipzig 2005 • Prix duMeilleur scénario / La meilleure idée au Festivaldu film Fantoche / Suisse 2005 • Visual PleasureAward / Animateka Festival / Ljubljana 2005 •Silver Plaque Award pour le meilleur film docu-mentaire au Festival international du film deChicago 2004 • Mention spéciale dans le cadredu Prix du scénario Carl Mayer pour le scénariode film POUR UN INSTANT, LA LIBERTÉ • Vénusd'argent dans la catégorie du meilleur spotpublicitaire autrichien de cinéma 2002 • Prix duCinéma Innovatif du Festival Diagonale 2001 dansle cadre du projet médiatique de l'associationECHO pour la documentation DIE JUGENDLICHENVOM KARDINAL NAGL PLATZ / LES JEUNES DELA PLACE KARDINAL NAGL de Arash & Geza •Vénus d'or pour le meilleur spot publicitaire TV2001 • 1er Prix des 2èmes Journées viennoises dujeune cinéma 1992.

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